- ENTREE de SECOURS -



vendredi 31 janvier 2020

La stupidité du principe de précaution : illustration avec le tritium à la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi

le 31 janvier 2020


Je me suis permis ici de faire figurer un article de Yann Rousseau paru le 28 janvier sur le site Les Echos pour illustrer l’incommensurable imbécillité des politiciens (japonais en l’occurence mais il en est de même en Europe) qui sont obnubilés par le principe de précaution et la peur irraisonnée du nucléaire civil. Certes il y a eu un grave accident nucléaire au Japon mais il faut relativiser la gravité de la situation. Durant ma carrière de recherche en biologie j’ai utilisé des doses importantes de tritium. Je me suis certainement contaminé sans le savoir comme j’ai aussi eu la surprise de m’être contaminé à deux reprises par de l’iode radioactif, ce qui est beaucoup dangereux. Et pourtant je suis toujours vivant et bien vivant …

« Comment 16 grammes de tritium dans un million de litres d’eau paralysent Fukushima »

Neuf ans après la catastrophe, le gouvernement japonais doit se prononcer sur le sort de l’eau « contaminée » qui s’accumule sur le site de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Tokyo préférerait un rejet en mer, conforme à ce que font les autres centrales [nucléaires] de la planète [situées en bord de mer], mais le projet tétanise la région.

Les cerisiers ont presque tous disparu de Fukushima Daiichi. Plantés à partir des années 1970 pour égayer la gigantesque centrale nucléaire du nord-est du Japon, la plupart des « sakuras » ont été abattus après la catastrophe de mars 2011 qui a ravagé le site et sa région. Plus de 800 des 1.200 arbres à fleurs recensés auraient été abattus sur les neuf dernières années, laissant place à un décor de science-fiction.

Pour figer les poussières radioactives, les collines sont désormais recouvertes d’un ciment gris clair et de longues dalles de béton renforcé sur lesquelles ont poussé partout de gigantesques citernes bleues et grises. La centrale est noyée sous ces 965 réservoirs contenant chacun près de 1.200 tonnes d’eau « contaminée ».

L’heure des choix

Tepco, l’opérateur, estime qu’il peut encore trouver un peu d’espace pour en construire quelques dizaines de plus. « Mais très vite, à l’été 2022, on va atteindre notre capacité de stockage maximale », explique Junichi Matsumoto, le porte-parole de la division en charge du démantèlement chez l’électricien. « Le gouvernement va devoir prendre une décision sur la gestion de cette eau », prévient-il, sans s’engager sur le sujet, conscient de son extrême sensibilité.

Depuis la catastrophe, Tepco pompe en permanence les eaux chargées en éléments radioactifs qui s’accumulent sur le site. Le groupe doit capter les eaux qu’il utilise pour refroidir les réacteurs 1, 2 et 3, mais également récupérer les eaux naturelles souterraines qui s’infiltrent toujours dans les sous-sols ravagés des tranches construites au pied d’une colline.

RESTE LE TRITIUM


Au total, Tepco a déjà « récupéré » 1,18 million de mètres cubes d’eau qu’il a filtré dans ses trois usines de décontamination construites sur place. « Nous parvenons à retirer 62 des 63 radionuclides contenus dans ces eaux », détaille Kenji Abe, l’un des cadres de l’électricien. « Mais il en reste un, le tritium », ajoute-t-il avant de présenter au visiteur du jour un petit bocal pharmaceutique contenant 30 centilitres de cette eau de la discorde. « Elle n’a pas d’odeur, pas de couleur, elle est peu radioactive », insiste-t-il.

Selon les calculs du ministère japonais de l’Industrie, l’ensemble de l’eau stockée sur le site contient 860 TBq (terabecquerels) de tritium soit l’équivalent de… 16 grammes de cet isotope radioactif de l’hydrogène. En décembre dernier, les autorités nippones ont expliqué que ces eaux pourraient  soit être évaporées dans l’air, soit être progressivement diluées en mer sur une vingtaine d’années.

EN FRANCE AUSSI…

Tokyo rappelle que de l’eau tritiée a été rejetée dans l’océan pendant des décennies, avant la catastrophe, sans qu’aucun dégât sur l’environnement ne soit jamais constaté. Les autres centrales nucléaires de la Terre rejettent aussi de l’eau tritiée », note encore Masato Kino du ministère de l’Industrie.

En France, le site de retraitement de la Hague en a rejeté, lui, en 2018… 11400 TBq selon Orano, qui précise dans son rapport environnemental que la limite autorisée sur le site français est de 18500 TBq. Le complexe français écoule ainsi en vingt jours ce que la centrale de Fukushima Daiichi voudrait rejeter en… vingt ans. Depuis l’accident, ce n’est pas si simple. Nous avons un important problème de perception et nous devons obtenir l’accord de chacun », souffle le haut fonctionnaire.

PÊCHEURS EN SOUFFRANCE

En dehors du site, le projet d’un rejet en mer fait l’unanimité contre lui. Dans le port d’Onahama, aussi situé dans la préfecture de Fukushima mais à une cinquantaine de kilomètres plus au sud,  les associations de pêcheurs sont catégoriques. « Nous souffrons déjà des rumeurs blessantes sur nos poissons », s’inquiète, un matin de criée, Hisashi Maeda, de la coopérative de la pêche au chalut.

Malgré des milliers de tests et l’absence de concentration de radio-césium supérieures aux standards internationaux les plus rigoureux, les consommateurs continuent de bouder les produits locaux. En 2019, les ventes de la préfecture n’ont représenté que 15 % des volumes enregistrés avant la catastrophe. Les marins pensent qu’un rejet, forcément mal compris, porterait un coup terrible à la filière.

Défiance générale


Les ONG sont tout aussi méfiantes. « Il y a d’autres solutions que le rejet dans l’air ou l’eau comme le fait croire le gouvernement, explique Kazue Suzuki, de Greenpeace. Mais les technologies d’extraction du tritium sont coûteuses et donc ils ne veulent pas les envisager », avance l’experte  qui préférerait voir appliquer une stratégie de stockage de long terme et dénonce les erreurs passées de Tepco.

En septembre 2018, l’électricien avait dû admettre qu’une grande partie des eaux stockées sur le site contenait, contrairement à ses premières estimations, encore des radionucléides bien plus dangereux que le tritium. « Nous sommes aujourd’hui certains que 25 % peut être relâché sans problème. Et nous allons retraiter les 75 % qui auraient encore des concentrations d’autres radionucléides supérieurs aux standards », promet Kenji Abe, son bocal d’eau à la main.

Auteur : Yann Rousseau, à Fukushima Daiichi. Illustrations provenant de l’article des Echos

Bref commentaire. La deuxième illustration a probablement été mise en scène pour la cause journalistique. En effet le tritium se désintègre pour former de l’hélium-3 avec émission d’un anti-neutrino et d’un électron de faible énergie (rayonnement beta) qui ne traverse ni le verre ni le plastique. L’opérateur vérifiant la radioactivité du flacon d’eau avec un compteur de type Geiger recherchait des éléments radioactifs émettant des rayons gamma émis par les produits de fission de l’uranium ou par l’uranium combustible lui-même. Il faut enfin se souvenir que du tritium est naturellement présent dans l’eau car il apparaît massivement au cours de la collision d’un atome d’azote avec un neutron de haute énergie provenant du rayonnement cosmique. Ma conclusion, personnelle et que je ne partage qu’avec moi-même, est qu’il faut rejeter toutes ces « eaux tritiées » dans l’océan et il ne se passera strictement rien, les poissons contiennent déjà du tritium mais aussi, et surtout, du potassium-40 beaucoup plus radioactif que le tritium. Mais le principe de précaution étant respecté au Japon il suffirait qu’un tremblement de terre d’intensité moyenne détruise quelques-uns de ces immenses réservoirs construits à la hâte pour qu’on n’entende plus parler de ce tritium …

17 commentaires:

  1. Des chercheurs français ont transformé de l’hydrogène en métal


    16:20 31.01.2020


    Trois chercheurs français ont réussi à obtenir de l'hydrogène sous forme métallique au synchrotron SOLEIL, sur le plateau de Saclay, en France. Pour ce faire, ils ont dû élaborer un nouveau type de presse de diamant qui a permis d’observer le changement de phase.

    Deux chercheurs de la Direction des applications militaires du CEA et un chercheur émérite du CNRS, détaché au synchrotron SOLEIL, viennent de franchir une étape historique en observant pour la première fois de l’hydrogène sous forme métallique. Les résultats de cette première mondiale ont été publiés dans la revue Nature du 30 janvier 2020.

    Pour cela, ils ont enfermé dans une petite cavité un échantillon d'hydrogène sous sa forme solide. Après avoir fait monter la pression à l’intérieur (qui était déjà de 1.400 bars) à l’aide de deux enclumes de diamant, l'hydrogène, pris en étau entre les deux, a éclaté. Les électrons de l'atome d’hydrogène se sont alors séparés de l'attraction des protons. Devenus libres, ils ont acquis la propriété de conduire l'électricité, comme le fait un métal.

    Un nouveau type de presse de diamant

    L'avancée de cette équipe consiste dans le développement des presses de diamant super résistantes «taillées avec une forme bien spécifique afin de casser le plafond de verre qui existait dans les pressions maximales atteignables jusque là», explique Paul Louveyre, chercheur à la direction des applications militaires au CEA.

    La mise au point d’un nouveau type de presse à enclumes de diamant, pouvant sonder un échantillon de quelques microns de diamètre à l’aide d’un rayonnement infrarouge synchrotron très brillant, a permis d’observer le changement de phase, d’obtenir la signature du caractère métallique de l’échantillon sous pression et de déterminer avec une grande précision la pression d’apparition du phénomène.

    Les perspectives éventuelles

    Depuis de nombreuses années, les scientifiques recherchent un moyen de créer synthétiquement de l'hydrogène métallique en raison des perspectives prometteuses de son utilisation en électronique et en tant que carburant de fusée léger et énergivore. Ce métal a des propriétés supraconductrices à température ambiante et, surtout, il est métastable, c'est-à-dire qu'il reste à l'état solide après son retour à la pression normale.

    L'hydrogène métallique est également utile aux physiciens impliqués dans la recherche sur les hautes énergies, similaires à celle actuellement menés au CERN, ainsi qu'aux astrophysiciens qui pourraient pour la première fois étudier des matériaux supposément situés à l'intérieur de planètes géantes.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202001311042984969-des-chercheurs-francais-ont-transforme-de-lhydrogene-en-metal/

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  2. FOURNISSEUR D'ÉLECTRICITÉ : COMMENT ÉCONOMISER ?


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    31/01/2020


    Changer de contrat peut vous faire économiser 10 à 15% sur votre facture mensuelle.

    Vous avez sans doute entendu parler de la hausse des tarifs de l'électricité prévue pour demain. Une hausse significative de 2,4%, qui fait suite à une hausse encore plus importante de 5,9%, l’an dernier.

    2 euros d'augmentation par mois

    Pour un consommateur moyen, 2,4% en plus, sur la facture d’électricité, représente environ 2 euros d’augmentation par mois. Tout le monde n’est pas concerné, et pour cause. Cette hausse concerne en effet les tarifs réglementés d’EDF, dont un peu plus de deux abonnés sur trois sont encore clients aujourd’hui.

    Qu’en est-il pour les autres ? Et bien, ils sont clients d’offres dites “à prix de marché”, proposées par la bonne dizaine de concurrents qui existent désormais en France, et dont vous entendez les publicités à la radio. En fait de prix de marché, la plupart proposent surtout des contrats dont les tarifs sont bloqués pendant une durée convenue d’avance avec vous, souvent deux, ou trois ans. Des contrats qu’il est très facile de rompre pour aller chez un concurrent, s’il propose une offre moins chère encore.

    Comment économiser ?

    Changer de contrat peut vous faire économiser 10 à 15% sur votre facture mensuelle. Ces opérateurs alternatifs proposent en prime des tarifs adaptés à certains usages. Par exemple, vous pouvez souscrire à une offre où l’electricité est moitié moins chère pendant le week-end. D’autres, proposent des super tarifs heures creuses la nuit, parfait si vous avez un lave linge et un lave vaisselle à départ différé.

    Est-ce compliqué de changer de fournisseur d’electricité ? Non ! il n’y a rien à changer chez vous, même pas le compteur. Pas de coupure de courant à craindre non plus le jour de la bascule.

    http://www.economiematin.fr/news-fournisseur-electricite-comment-economiser

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  3. FÉVRIER 2020 : CE QUI CHANGE VA FAIRE MAL À VOTRE PORTEFEUILLE


    par PAOLO GAROSCIO
    31/01/2020


    Les tarifs de l'électricité augmentent de 2,4% le 1er février 2020.

    Nouveau mois de l’année et… nouveaux changements réglementaires et tarifaires. Malheureusement, cette fois les changements sont en grande majorité négatifs pour les ménages français, à commencer par la baisse du taux de rémunération du Livret A et du LDDS. Voici tout ce qui change au 1er février 2020.

    Tarifs de l’électricité en hausse, tarifs du gaz en baisse

    Comme prévu, le gouvernement a validé la forte hausse des tarifs de l’électricité demandée par la Commission de régulation de l’énergie en guise de rattrapage. Une très mauvaise nouvelle alors qu’arrivent, en France, les mois les plus froids de l’année. En février 2020, les tarifs de l’électricité augmentent de 2,4% ce qui, selon la CRE, devrait être une augmentation moyenne de 21 euros par an pour les ménages. Sauf que, comme toujours, les foyers se chauffant à l’électricité sont les grands perdants.

    Inversement, le gaz se révèle toujours bon marché : les tarifs réglementés baissent le 1er février 2020 de 3,3%. Les ménages les plus gagnants sont ceux qui ne font que se chauffer au gaz : une baisse conséquente de 3,5% contre 2% pour le double usage chauffage/cuisson et 0,9% pour les ménages n’utilisant le gaz que pour cuisiner.

    Les péages augmentent

    Si les automobilistes peuvent se féliciter de la chute du prix du baril de pétrole en Bourse fortement liée à l'épidémie de Coronavirus, ils vont devoir malgré tout mettre la main au portefeuille : les péages augmentent en France, comme chaque année le 1er février. Cette année 2020, l'augmentation est de 0,85% pour les sociétés historiques et de 1,59% pour les concessions plus récentes.

    Les livrets défiscalisés ne rapportent vraiment plus rien

    Le grand changement de ce mois de février 2020 reste toutefois la baisse du taux d’intérêt des deux livrets défiscalisés de France, le Livret A et le LDDS. Le taux chute à 0,50%, son plus bas historique et son niveau plancher.

    Avec une inflation attendue, pour la Banque de France, à plus de 1% en 2020, les Français perdront 0,50% par an de pouvoir d’achat sur chaque euro déposé sur ces livrets. Pour un livret où sont déposés 10.000 euros, par exemple, la perte de pouvoir d’achat sera de 50 euros.

    Prix des taxis en hausse et « Good bye England »

    Autre changement, qui ne va toutefois impacter qu’une minorité de Français, la hausse du tarif minimum pour une course de taxi en France : 7,30 euros, en hausse de 20 centimes d’euro.

    Last but not least, le Royaume-Uni va sortir de l’Union européenne le 1er février 2020, ce qui concrétisera plus de trois ans de débats et de conflits autour du Brexit. Pour 2020, rien ne devrait changer en termes de réglementation pour les voyages et les séjours, mais personne n’est en mesure de prédire ce que décidera le gouvernement britannique pour la suite, en particulier pour les ressortissants européens qui résident et travaillent dans le pays de Sa Majesté. Les touristes, eux, ne devraient pas être fortement impactés.

    http://www.economiematin.fr/news-changements-fevrier-2020-tarifs-electricite-gaz-taxi-livretA-brexit

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  4. Zerohedge suspendu sur Twitter


    par Tyler Durden
    Ven, 31/01/2020 - 19:57


    C'était d'abord Facebook, puis toute la Nouvelle-Zélande; Twitter a maintenant décidé de suspendre Zero Hedge.

    Tout comme dans les interdictions précédentes, qui ont finalement été annulées, dans ce cas, on ne sait pas ce qui a incité la censure abrupte de Twitter: la seule notification que nous avons reçue de Twitter était la suivante:

    C'est une nouvelle pour nous que ce site Web s'est (jamais) engagé dans le harcèlement ciblé de quelqu'un.

    Ce qui semble être arrivé, c'est que Twitter a reçu une plainte du site Web le plus connu pour avoir publié le dossier Steele discrédité alors qu'aucun autre média ne le toucherait, et faire des diaporamas de chats bien sûr, Buzzfeed, dans lequel quelqu'un appelé Ryan Broderick écrit que Zero Hedge "a divulgué les informations personnelles d'un scientifique de Wuhan, en Chine, les accusant à tort de créer le coronavirus comme une arme biologique, dans un complot qui, selon lui, est la version réelle du jeu vidéo Resident Evil."

    Quelques points: l'article référencé par Buzz Feed, "Est-ce l'homme derrière la pandémie mondiale de coronavirus ?", Est, comme son titre l'indique, une question, et qui, compte tenu de l'énorme importance et de l'importance de la vie ou de la mort de la pandémie de coronavirus, Il faut répondre, d'autant plus que même le magazine Foreign Policy de l'établissement écrit de la soupe de chauve-souris, qui est largement citée et diffusée par la presse grand public comme étant la cause de l'épidémie de coronavirus, n'est pas la cause du virus de Wuhan. Le site Web Health.com, largement lu, résonne également: «Non, le coronavirus n'a pas été provoqué par la« soupe de chauve-souris »». Pendant ce temps, Business Insider écrit: "Les experts pensent que le coronavirus de Wuhan est passé des chauves-souris aux serpents aux humains. Les chauves-souris ont été à l'origine d'au moins 4 pandémies."

    Donc, étant donné que Peng Zhou, qui travaille actuellement à l'Institut de virologie de Wuhan, est le chef du groupe d'infection et de vaccination contre les virus de la chauve-souris de l'Institut, la question est certainement raisonnable et, dans un monde normal, exigerait une réponse de la part de les médias établis (en supposant qu'ils n'avaient pas peur de risquer un financement chinois lucratif) au lieu de le laisser à des sites "marginaux".

    L'élan pour se demander si la maladie est originaire du Wuhan Institute of Virology est particulièrement pertinent à la lumière des rapports des médias sociaux tels que celui-ci qui prétend "avoir des preuves ici que l'épidémie est originaire du Wuhan P4 Research Institute. Vous devez trouver un journaliste vraiment patriotique pour le publier au public. Vous pouvez personnellement me faire confiance pour fournir une chaîne complète de preuves. Merci. "

    Avons-nous donc le droit de poser la question de savoir s'il existe une version alternative pour l'émergence de la pandémie de coronavirus, en particulier avec des centaines sinon des milliers de vies en jeu ? Absolument.

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  5. Pendant ce temps, ceux qui se demandent si le Dr Zhou a un lien avec l'émergence possible du Coronavirus après des années d'expérimentation avec des chauves-souris, nous vous invitons à lire notre article complet au lieu de vous fier aux rumeurs de journalistes idéologiquement partiaux.

    Deuxièmement, et contrairement aux affirmations présentées par Buzzfeed, nous n'avons divulgué aucune "information personnelle": Peng Zhou est une personnalité publique, et toutes les informations de contact que nous avons présentées ont été extraites de sa biographie publiée publiquement trouvée sur un site Web de l'Institut de virologie de Wuhan que toute personne ayant accès à Internet peut extraire de l'URL suivante: http://sourcedb.whiov.cas.cn/zw/rck/201705/t20170505_4783973.html, qui est également l'information que nous avons utilisée.

    Donc, à propos de l'allégation de Buzzfeed, qui a été adoptée par Twitter, selon laquelle nous avons en quelque sorte incité à des "abus ciblés", voici ce que nous avons dit:

    Quelque chose nous dit que si quelqu'un veut savoir ce qui a vraiment causé la pandémie de coronavirus qui a infecté des milliers de personnes en Chine et dans le monde, il devrait probablement rendre visite au Dr Peng.

    À quoi nous avons ensuite ajouté les informations obtenues à partir de sa propre page bio sur le site de l'Institut:

    "Ou au moins commencer par un e-mail: le Dr Peng peut être contacté à peng.zhou@wh.iov.cn, et son numéro de téléphone est 87197311"

    Doit-on alors comprendre que nous sommes maintenant arrivés à un point où la simple collecte d'informations, que nos collègues des médias voudront peut-être faire à terme alors que des milliers de personnes sont quotidiennement affectées par le Coronavirus, est désormais synonyme d '"abus et harcèlement" ? Selon Twitter, et certainement nos concurrents dans les médias, la réponse est oui.

    Dans tous les cas, nous avons envoyé un e-mail au PDG de Twitter, Jack Dorsey, qui arrive d'ailleurs à suivre zerohedge ..
    ... pour la réponse. Si nous en obtenons un, nous le partagerons rapidement avec nos lecteurs. Nous ne retenons pas notre souffle, cependant, car nous réalisons combien il est important pour les géants des médias d'aujourd'hui de ne pas ébouriffer trop de plumes chinoises ou de ne pas perdre l'accès au marché chinois. Après tout, qui peut oublier le rapport suivant du New York Times sur un autre de nos concurrents dans les médias qui, il y a plusieurs années, était lui-même engagé dans la "doxing" (mais qui n'a étrangement pas été suspendu par Twitter):

    Le président de Bloomberg L.P. a déclaré jeudi dans un discours que la société aurait dû reconsidérer les articles qui s'écartaient de son cœur de couverture des informations commerciales, car ils mettaient en péril l'énorme potentiel de vente de ses produits sur le marché chinois.

    Les commentaires du président, Peter T. Grauer, représentaient la reconnaissance la plus frappante à ce jour par un cadre supérieur de Bloomberg selon laquelle les ambitions de la division des nouvelles devraient être évaluées dans le contexte de l'activité commerciale, qui fournit l'essentiel des revenus de l'entreprise. Ils ont également indiqué lesquelles de ces considérations pourraient avoir la priorité.

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  6. Reconnaissant la grande taille de l'économie chinoise, la deuxième plus grande au monde après celle des États-Unis, M. Grauer, a déclaré: "Nous devons être là."

    «Nous avons environ 50 journalistes sur le marché, écrivant principalement des articles sur l'environnement économique et commercial local», a déclaré M. Grauer en réponse à des questions après un discours à la Société asiatique. «Vous savez tous que de temps en temps, nous nous éloignons un peu de cela et écrivons des histoires que nous pourrions probablement avoir repensées - aurions dû repenser.»

    Bloomberg, la société de données financières et d'actualités, dépend des ventes de ses terminaux, qui sont omniprésents sur les bureaux des banquiers du monde entier, pour environ 82% de ses 8,5 milliards de dollars de revenus. Mais les ventes de ces terminaux en Chine ont diminué après que la société ait publié un article en juin 2012 sur la richesse familiale de Xi Jinping, à l'époque le nouveau chef du Parti communiste. Après sa publication, les autorités ont ordonné aux entreprises d'État de ne pas s'abonner au service. M. Grauer n'a pas spécifiquement mentionné l'article sur M. Xi ni aucun autre article.

    "Le fait d'être en Chine fait partie intégrante de notre stratégie à long terme et continuera de l'être à l'avenir", a déclaré M. Grauer. «Cela occupe une grande partie de notre réflexion - Dan Doctoroff, notre C.E.O .; moi; Mike; et d'autres membres de notre équipe senior. "

    Certains journalistes actuels et anciens de Bloomberg, qui ont parlé sous couvert d'anonymat, ont déclaré qu'ils avaient espéré que la controverse entourant les reportages de Bloomberg en Chine inciterait la société à réaffirmer son soutien aux efforts d'enquête. Les commentaires de M. Grauer ont été accueillis avec consternation, notamment parce qu’il est considéré comme proche de M. Bloomberg et qu’il est peu probable qu’il exprime des opinions qui n’ont pas été largement acceptées au sommet de l’entreprise.

    Contrairement à Bloomberg, ou à quiconque dans les médias grand public, nous ne prévoyons pas de «repenser» aucun de nos articles juste pour attirer les faveurs des puissants et nous continuerons certainement nos propres «efforts d'enquête», même si cela signifie que nous perdons certains de notre trafic entrant.

    https://www.zerohedge.com/political/zerohedge-suspended-twitter

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    1. Comme pour Mila, "Le premier qui dit la véritéééé, il doit être exécuté !"

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  7. L'élite mondiale utilise-t-elle une montée du nationalisme pour réaffirmer la mondialisation ?


    par Tyler Durden
    Ven, 31/01/2020 - 23:45
    Écrit par Steven Guinness,


    Se mettre dans l'esprit de quelqu'un qui commet un acte d'illégalité est peut-être le seul moyen de commencer à comprendre la motivation de la transgression. Une réaction réflexe commune aux crimes les plus odieux consiste simplement à demander que l'auteur soit retiré de la société et mis en prison. Hors de vue, hors de l'esprit. Bien que ce ne soit pas une attente déraisonnable, cela ne permet pas de comprendre pourquoi il ou elle est devenu un criminel.

    Nous pouvons adopter une position similaire en ce qui concerne le mondialisme. Si une élite autoproclamée qui imprègne des institutions comme la Banque des règlements internationaux et le FMI partage le désir de concentrer le pouvoir mondial à travers un réseau centralisé de gouvernance mondiale, plutôt que de simplement se rebeller contre cette vision, il n'est pas tout aussi important d'essayer de comprendre le vision du point de vue de ceux qui l'ont créée ? Je dirais que pour comprendre l'esprit des planificateurs mondiaux, il est nécessaire de se placer mentalement dans leur façon de penser.

    Il y a quelques années, j’ai publié un article intitulé Sortir du chaos: un regard sur la Commission trilatérale, dans lequel j’ai examiné certaines des principales motivations derrière les objectifs de cette institution particulière. J'ai cité d'anciens membres de la Commission rejetant ouvertement la souveraineté nationale et défendant l'interdépendance des nations. L'une de ces citations provenait de Sadako Ogata, ancien membre du comité exécutif de la Commission trilatérale, qui, lors d'un événement marquant les 25 ans de l'institution, a fait remarquer que «l'interdépendance internationale nécessite de nouvelles formes de coopération internationale plus intensives pour lutter contre le nationalisme économique et politique".

    Peu de temps après la création de la Commission trilatérale en 1973, l'un de ses membres, Richard Gardner, a écrit un essai pour le magazine Foreign Affairs (la publication officielle du Council on Foreign Relations). Dans ‘The Hard Road to World Order’, Gardner a souligné l’objectif de démanteler la souveraineté nationale:

    En bref, la «maison de l’ordre mondial» devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande "confusion en plein essor'', pour utiliser la célèbre description de la réalité par William James, mais une fin de course autour de la souveraineté nationale, l'érodant morceau par morceau, accomplira bien plus que l'attaque frontale à l'ancienne.

    Alors que la Grande-Bretagne est sur le point de quitter l’Union européenne, vous pourriez dire que l’une des principales questions inscrites à l’ordre du jour de la Commission a échoué. Si l'élite mondiale veut que l'intégration des nations européennes et que la majorité de ces nations soient contrôlées par un géant centralisé comme l'UE, voir le Royaume-Uni devenir indépendant de l'union va sûrement à l'encontre de tout ce en quoi il croit ? Pas nécessairement.

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  8. En 2014 et avant que les mondialistes ne commencent à vanter le protectionnisme / nationalisme politique comme un danger pour la stabilité financière, la Commission trilatérale a publié un document intitulé «Credible European Governance». Dans le document, l'adhésion du Royaume-Uni au marché unique est discutée, une question qui est au cœur du discours sur le Brexit depuis le référendum:

    Un débat sur les compétences a été lancé par le gouvernement britannique sur la position future de la Grande-Bretagne en Europe, où il est fait référence au marché unique. Aujourd'hui, la plupart des pays de l'UE acceptent que la zone euro représente ce que le président Van Rompuy appelle le «cœur symbolique de l'Union européenne». Pour le Royaume-Uni, le marché unique est l'essence de l'UE. Ces deux visions peuvent-elles continuer à coexister au sein de l'UE, maintenant que la zone euro surmonte sa «crise existentielle»?

    J'ai demandé en 2017 si ce passage en particulier remettait en cause non seulement la position du Royaume-Uni au sein du marché unique, mais par extension son appartenance à l'Union européenne. C'est le même journal qui a cité Jean Monnet, l'un des pères fondateurs de l'Union européenne:

    Les gens n'acceptent le changement que lorsqu'ils sont confrontés à la nécessité, et ne reconnaissent la nécessité qu'en cas de crise.

    Comme je l'ai expliqué dans des articles précédents, cette philosophie donne du crédit à la théorie selon laquelle les scénarios de crise, plutôt que de nuire aux aspirations des mondialistes, offrent une opportunité de renforcer leur emprise sur le pouvoir.

    À la fin de 2015, quelques mois seulement avant le référendum sur l'UE, la Commission a produit un autre document conçu par quatre boursiers de David Rockefeller - "LA NOUVELLE NORMALE DE L'EUROPE: DES CRISES SIMULTANÉES QUI MENACENT DE DÉRAGIR L'UE". Les auteurs ont longuement écrit sur la méfiance croissante à l'égard d'une «union toujours plus étroite» à la suite de la crise de la dette européenne née après l'effondrement de Lehman Brothers:

    De nombreux Européens en sont venus à soupçonner que les institutions de l’UE sont devenues trop puissantes et certains pensent qu’ils ont même utilisé les dernières crises pour une nouvelle prise de pouvoir.

    Une solution proposée par les boursiers était que «un certain courant dans la direction opposée pourrait aider les Européens à regagner la confiance dans le processus européen».

    Voici ma réponse publiée en 2017:

    Une interprétation de cette remarque est que les pays devraient se voir accorder une plate-forme pour exprimer leurs griefs à l'égard de l'Union européenne, peut-être même au point de rechercher une indépendance renouvelée ou de choisir de se retirer complètement du bloc. De leur propre point de vue, l'union souhaite un partage de la souveraineté plutôt que des expressions individuelles de celle-ci. Par conséquent, une nation instigatrice d'un plus grand niveau d'autonomie (surnommé protectionnisme / populisme dans certains milieux) pourrait éventuellement subir des conséquences durables étant donné la nature ferme et fédéraliste de l'UE supranationale. Au fil du temps, les pays manifestant des tendances plus nationalistes pourraient facilement dégénérer en crise. Surtout si la séparation de l'union entraîne une compromission économique pour une nation. Dans ce scénario, ces mêmes Européens opposés à une intégration plus poussée pourraient-ils devenir plus réceptifs à l'idée ?

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  9. La question ultime est alors de savoir si le déclenchement d’une «crise» est organique, dans le sens où il se produit hors du contrôle du gouvernement et des institutions mondialistes. Ou si des cas comme le Brexit ont été conçus pour faire avancer l'agenda pour plus de pouvoir. Vous pouvez vous demander pourquoi le Royaume-Uni serait autorisé à quitter l’UE alors que l’objectif est «une union toujours plus étroite». Mais sans le Brexit et d'autres cas de montée du «populisme», les appels à la réforme sont sans effet. La crise doit soit provenir soit être déclenchée pour obtenir la réponse souhaitée de l'électorat. L'appel à la réforme dans un vide sans troubles discernables au niveau géopolitique expose les institutions comme l'UE à un examen plus approfondi.

    La semaine dernière, Chatham House a publié un article (Gérer l’influence croissante du nationalisme) qui faisait partie d’un rapport spécial du Forum économique mondial intitulé «Façonner un monde multiconceptuel».

    Ici, Chatham House a observé que "le processus de mondialisation exigeait que tous les États s'adaptent pour faire partie d'un projet commun et se soumettent à ses normes et lois'', et que "l'Union européenne est devenue l'avant-garde de ce processus de post-nationalisme."

    Ils ont identifié que l'identité européenne était essentiellement de nature antinationale. Mais la montée du nationalisme observée dans toute l'Europe au cours des cinq dernières années a déformé cette croyance. Pour le combattre, il faudra «investir au cours des prochaines années dans la légitimité des grandes institutions internationales telles que les Nations Unies, l'Organisation mondiale du commerce et le Fonds monétaire international».

    Selon Chatham House, sans investissement, «ces institutions constateront qu'elles sont de plus en plus inefficaces.» En bref, l'avènement d'une nouvelle vague de nationalisme a créé un récit selon lequel les organismes mondiaux auront besoin de plus de pouvoir pour consolider à la fois le commerce et la stabilité économique. et dans le futur.

    Parallèlement à la publication de cet article, il a été annoncé au Forum économique mondial que l’homme d’affaires George Soros allait lancer un «réseau mondial d’enseignement supérieur» contre le nationalisme, avec un investissement de 1 milliard de dollars. Par coïncidence ou autrement, Chatham House est impliquée dans l'initiative. Voici ce que Soros lui-même en a dit:

    Je pense qu'en tant que stratégie à long terme, notre meilleur espoir réside dans l'accès à une éducation de qualité, en particulier une éducation qui renforce l'autonomie de l'individu en cultivant la pensée critique et en mettant l'accent sur la liberté académique.

    La marée s'est retournée contre les sociétés ouvertes après le krach de 2008 car elle constituait un échec de la coopération internationale. Cela a conduit à son tour à la montée du nationalisme, le grand ennemi de la société ouverte.

    Mais la résurgence du nationalisme est-elle vraiment le «grand ennemi» que Soros fait ressortir, étant donné que la crise à l'échelle mondiale mène invariablement à des opportunités ? Un exemple est tiré d'une lettre d'opinion rédigée par l'ancien directeur adjoint du FMI, Mohamed A. El-Erian, qui, en 2017, s'est demandé s'il était possible de remédier à une montée du populisme et du nationalisme dans le monde en réorganisant les droits de tirage spéciaux du FMI:

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  10. Ainsi, les vents anti-mondialisation d'aujourd'hui - causés en partie par une mauvaise coordination des politiques mondiales dans le contexte de trop nombreuses années de croissance faible et insuffisamment inclusive - créent-ils des possibilités de renforcer le rôle du DTS et ses contributions potentielles ?

    Nous avons également vu comment l'UE et l'Organisation mondiale du commerce ont présenté des propositions pour une réforme à grande échelle de l'OMC dans le sillage d'un nationalisme renouvelé. Et comme les lecteurs réguliers le savent, les banques centrales dirigées par la BRI et le FMI avancent rapidement des plans de réforme des systèmes de paiement mondiaux et d'introduction des monnaies numériques. Ce n'étaient pas des considérations publiques avant le Brexit. Ils n'ont commencé à prendre de l'ampleur que lorsque le nationalisme est devenu un élément permanent du paysage géopolitique.

    Le sentiment dominant des mondialistes est qu'une combinaison de protectionnisme politique et économique est une menace directe pour la stabilité financière. Au cours des derniers mois, le FMI, la BRI et la Banque mondiale ont multiplié les avertissements concernant les dangers d'un ralentissement économique imminent. Il y a deux semaines, la nouvelle directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a déclaré au Peterson Institute of International Economics à Washington:

    Nous devons apprendre les leçons de l'histoire tout en les adaptant à notre époque. Nous savons qu’une inégalité excessive entrave la croissance et vide les fondations d’un pays. Il érode la confiance au sein de la société et des institutions. Elle peut alimenter le populisme et les bouleversements politiques.

    Tout comme le FMI, le début de 2020 a vu la Banque mondiale mettre en garde contre une crise de la dette mondiale imminente et le fait que des taux d'intérêt toujours bas pourraient ne pas suffire à conjurer un ralentissement. À l'automne 2019, la BRI a averti qu'une augmentation non durable des prêts à effet de levier pourrait mettre en danger le système financier. Le FMI les a rejoints quelques semaines plus tard en déclarant que "la politique monétaire accommodante soutient l'économie à court terme, mais des conditions financières faciles encouragent la prise de risques financiers et alimentent une nouvelle accumulation de vulnérabilités".

    Le seul problème qui lie tous ces avertissements est le protectionnisme commercial, qui découle directement de la résurgence du nationalisme politique.

    Au-delà des maisons économiques mondiales, le président français Macron a déclaré en 2018 que, en relation avec les conflits commerciaux, "le nationalisme économique mène à la guerre". Même la Chine et la Russie se sont prononcées contre la montée du protectionnisme commercial, affirmant que cela compromettrait l'économie mondiale.

    Il est maintenant temps de vous mettre dans l'esprit d'un mondialiste. Que ce soit le projet Innovation BIS 2025 ou les objectifs de développement durable de l'Agenda 2030 des Nations Unies, quelles circonstances bénéficieraient le plus à ces personnes dans la poursuite de leurs ambitions? Que devrait-il se passer pour que l'élite obtienne un large soutien public pour des politiques qui changeraient fondamentalement notre mode de vie ? Si une rupture accrue du protectionnisme commercial et du populisme politique provoquait un effondrement économique, cela nuirait-il à l'autonomie des institutions mondiales ? Ou servirait-il à les revigorer au sens de bouc émissaire nationaliste responsable de la rupture de «l’ordre mondial fondé sur des règles» fondé après la Seconde Guerre mondiale ?

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  11. D'un point de vue mondialiste, la souveraineté nationale - l'État-nation indépendant - n'a pas sa place dans un monde interconnecté. C'est un concept dépassé. L'objectif est toujours de centraliser davantage le pouvoir. Mais par quels moyens exactement ?

    Rappelez-vous ce que Richard Gardner a dit en 1974: "une fin de course à la souveraineté nationale, l'érosion morceau par morceau, accomplira bien plus que l'attaque frontale à l'ancienne."

    Les institutions citées dans cet article n'ignorent pas le sort de l'économie mondiale. Les politiques adoptées depuis 2008, passant de taux d'intérêt presque nuls et de milliards de dollars de mesures d'assouplissement quantitatif à la hausse des taux d'intérêt et au resserrement quantitatif, ont amené le système financier où il est aujourd'hui. Les banques centrales connaissent parfaitement l'effet de leurs politiques sur la santé des économies, comme en témoignent les commentaires du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, en 2012:

    À l'heure actuelle, nous achetons le marché, effectivement, et les capitaux privés commenceront à quitter cette activité et à trouver autre chose à faire. Donc, quand il est temps pour nous de vendre, voire d'arrêter d'acheter, la réponse pourrait être assez forte; il y a tout lieu de s'attendre à une réponse forte.

    Pendant ce temps, nous semblons souffler une bulle sur la duration des titres à revenu fixe dans tout le spectre du crédit, ce qui entraînera de grosses pertes lorsque les taux augmenteront. Vous pouvez presque dire que c'est notre stratégie.

    Du point de vue du Royaume-Uni, le départ du pays de l'UE peut apparaître à première vue comme se ralliant à la vague du mondialisme. Mais ma préoccupation est que les mondialistes parviennent à positionner le Brexit et le spectre d'un conflit commercial mondial comme causes d'un effondrement économique, alors qu'en fait c'est la politique monétaire des douze dernières années qui sera le principal coupable.

    Plutôt que de marcher lourdement dans les pays occidentaux et de revendiquer leur souveraineté, je craindrais que l'élite mondiale permette aux mouvements nationalistes de tomber de leur propre épée et, pour le début d'une série de crises, de consommer la géopolitique au cours de la prochaine décennie. Il s'agirait alors de mettre en œuvre toute une série de réformes et d'éduquer la prochaine génération aux dangers de l'autodétermination.

    La réalisation d’un «nouvel ordre mondial» signifie la destruction des structures existantes, ou à tout le moins leur mise en péril au point de s’effondrer, pour faciliter la nouvelle. De la résurgence du nationalisme peut naître une série de directives centralisées qui font que le niveau de mondialisation actuel semble en comparaison.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/are-world-elite-using-rise-nationalism-reassert-globalisation

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    1. Même si une élite s'est autoproclamée l'être, elle ne peut utiliser ce terme d'élite ou d'être supérieur car, les 7 milliards d'habitants en savent des milliards de fois plus qu'elle. SEULE la Démocratie pourra dire ce qui en est de la culture et du qui doit diriger !

      Rappelons que l'UE (qui ne rassemble PAS toute l'Europe) n'est PAS une nation même si des connards ont imaginé un drapeau ! (où chaque pays serait représenté par une étoile jaune !!! HORREUR !). Donc, rien à voir avec le modèle 'calqué' sur les USA où les étoiles blanches représentent les 50 États d'un seul et même pays.

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  12. Absurdistan - Un pédophile libéré de prison parce que "il" identifie maintenant "comme" elle "


    par Tyler Durden
    Ven, 31/01/2020 - 17:05
    Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,


    Êtes-vous prêt pour l’absurdité de cette semaine? Voici notre résumé du vendredi des histoires les plus ridicules du monde entier qui menacent votre liberté, vos finances et votre prospérité.

    Un pédophile libéré de prison en raison d'un changement de sexe

    Joseph Matthe Smith a agressé sexuellement 15 enfants et ses victimes n'avaient pas plus d'un an. C'est horrible.

    Smith a été reconnu coupable de crimes sexuels contre des enfants pour la première fois en 2012, et de nouveau en 2014.

    Lorsque Smith a été incarcéré, le tribunal a même déterminé qu'il était susceptible de continuer à être un récidiviste… alors l'État voulait qu'il soit enfermé pendant longtemps.

    Mais Smith, il vient d'être libéré et se prépare à rejoindre la société.

    Les procureurs d'État affirment que cela est dû au fait que Smith subit une transition de genre pour devenir une femme.

    Ils affirment que «les niveaux d'hormones sont un élément important pour justifier la probabilité de récidive d'un délinquant».

    Désormais désignant Smith comme «Josie» et utilisant les pronoms préférés «elle» et «elle», le bureau du procureur général a déclaré: «Nous ne pensons pas que nous avons des preuves suffisantes pour prouver que Josie Smith a une chance importante de récidiver.»

    Malheureusement, cela semble être une tendance.

    En novembre, nous avons souligné un cas australien où une peine déjà légère de pornographie juvénile a été annulée. Le criminel était confus quant à son sexe au moment des crimes, alors le tribunal l'a laissé partir.

    Cliquez ici pour l'histoire entière:

    https://eu.desmoinesregister.com/story/news/crime-and-courts/2020/01/16/felon-no-longer-deemed-threat-after-sex-reassignment-treatment/4479275002/

    * * *

    L'histoire de l'art est «trop blanche» pour l'Université de Yale
    L'introduction à l'histoire de l'art à Yale a toujours été un cours populaire sur l'art occidental.

    Il commence en Italie à la Renaissance et se poursuit en Europe et en Amérique du Nord.

    Mais de nos jours, c'est un peu trop blanc, hétéro et masculin. Surtout pour Yale.

    Le cours sera annulé après le semestre de printemps. Mais même dans cette dernière interprétation de la classe, le professeur dit qu'il concentrera l'étude de l'art occidental sur les «questions de genre, de classe et de« race »».

    Tout cela fait partie des tentatives de Yale depuis 2017 de «décoloniser» son programme d'études.

    Il est intéressant de noter que le département d'histoire de l'art de Yale propose des dizaines d'autres cours d'art de différentes cultures, notamment:

    Art et culture britanniques noirs

    Les femmes dans la Rome antique

    Afro-modernisme au 20e siècle

    Arts africains et cultures expressives

    Pouvoir, genre et rituel dans l'histoire de l'art africain

    Art et architecture bouddhistes

    Vous avez eu l'idée.

    Yale aurait pu encourager les étudiants qui veulent en savoir plus sur d'autres cultures à s'inscrire à ces cours, vous savez. Mais non. Au lieu de cela, l'une des institutions éducatives les plus estimées au monde se censure tout simplement… et les œuvres de Monet, Picasso et Michelangelo avec elle.

    Cliquez ici pour lire l'histoire complète:

    https://yaledailynews.com/blog/2020/01/24/art-history-department-to-scrap-survey-course/

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  13. * * *

    Un étudiant chinois condamné à six mois de prison pour tweets
    Pendant ses études aux États-Unis, un étudiant chinois a tweeté des images se moquant du président Xi.

    Il s'agissait notamment de représenter Xi en tant que patron de bande dessinée ou en tant que Winnie l'Ourson. Le gouvernement chinois a déjà interdit ces images peu flatteuses pour le président Xi.

    Lorsque l'étudiant est revenu en Chine, il a été arrêté pour «provocation».

    Maintenant, il a été condamné à six mois de prison pour avoir utilisé son "compte Twitter pour publier plus de 40 commentaires dénigrant l'image d'un leader national et des photos indécentes".

    Son Twitter en ligne "a créé un impact social négatif", selon des documents judiciaires.

    Cliquez ici pour l'histoire entière:

    https://www.axios.com/china-arrests-university-minnesota-twitter-e495cf47-d895-4014-9ac8-8dc76aa6004d.html

    * * *

    Un officier de police affirmant qu'il est noir interrogé par le conseil municipal
    La vidéo se joue un peu comme un sketch du samedi soir en direct.

    Le capitaine de la police de Miami, Javier Ortiz, témoigne à la commission qu'il est un homme noir.

    "C'est ce que je ressens", dit-il.

    L'officier a fait l'objet d'un examen disciplinaire après que ses collègues flics se soient inquiétés du fait qu'Ortiz prétendait être noir sur ses demandes de promotion plus rapide au sein du département.

    Dans la vidéo, un commissaire noir dit: «Ne parlons pas du degré de noirceur.»

    Ortiz répond: "Oh non, tu es plus noir que moi, c'est évident."

    Ensuite, Ortiz cite la règle de l'ère des esclaves "une goutte" pour dire s'il a une goutte de sang noir dans ses ancêtres - ce qu'il a récemment découvert qu'il fait - alors il est noir.

    Ortiz a également mentionné être à moitié juif dans cet échange bizarre.

    Cela a incité un conseiller municipal à remarquer: «M. Ortiz a affirmé qu'il était noir, maintenant nous entendons du noir juif. J'ai peur que le mois prochain, ce soit, tu sais, une femme noire, juive. "

    Bien sûr, si Ortiz prétendait se sentir comme une femme, il serait irréprochable.

    Mais le même sentiment ne s’applique pas à l’identification à la race que vous voulez, du moins pas encore.

    Ortiz a été suspendu indéfiniment avec traitement.

    Cliquez ici pour voir la vidéo:

    https://atlantablackstar.com/2020/01/27/miami-police-captain-caught-lying-about-being-black-suspended-indefinitely-with-pay/

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/absurdistan-pedophile-released-jail-because-he-now-identifies-she

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  14. BOLIVIE L'AVOCATE DE MORALES ARRÊTÉE POUR «TERRORISME»

    Patricia Pamela Hermosa Gutiérrez est accusée de «sédition, terrorisme et financement du terrorisme» par la justice.


    01.02.2020, 04h27


    L'avocate de l'ex-président bolivien en exil Evo Morales, Patricia Pamela Hermosa Gutiérrez, a été arrêtée vendredi à La Paz pour «sédition, terrorisme et financement du terrorisme», a annoncé le parquet.

    Patricia Hermosa et un autre avocat avaient été chargés la veille par Evo Morales de réaliser, auprès du Tribunal suprême électoral bolivien, des démarches pour permettre à l'ancien président de se présenter aux élections législatives de mai.

    Sur Twitter, Evo Morales a affirmé que les autorités boliviennes avaient saisi tous ses documents personnels, y compris son livret militaire, qu'il avait confiés à son avocate en vue de réaliser ces démarches.

    «En octobre, nous avons gagné au premier tour et ils nous ont volé la victoire. Ensuite, de façon anticonstitutionnelle, ils m'ont obligé à renoncer à ma candidature présidentielle. Maintenant, ils saisissent mes documents pour éviter que je sois candidat à l'Assemblée législative», s'est plaint l'ancien chef de l'Etat socialiste.

    Evo Morales avait démissionné sous la pression des forces armées après sa victoire au premier tour de l'élection présidentielle du 20 octobre, un scrutin entaché d'irrégularités selon l'Organisation des Etats américains (OEA). Il vit en exil en Argentine depuis décembre.

    Evo Morales, qui est resté au pouvoir durant près de 14 ans, est sous le coup d'un mandat d'arrêt émis par le parquet bolivien, dans le cadre d'une enquête pour sédition et terrorisme. Les autorités ont averti qu'il sera immédiatement arrêté s'il revient dans le pays.

    Dans un sondage fin janvier, le candidat du Mouvement vers le socialisme (MAS) de Evo Morales, Luis Arce, recueille 26% des intentions de vote à la présidentielle du 3 mai, devant Luis Fernando Camacho (droite) et l'ancien président centriste Carlos Mesa, tous deux crédités de 17%. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/ameriques/avocate-morales-arretee-terrorisme/story/13903517

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    1. Comme pour Gbagbo remplacé lui aussi par la dictature !

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