- ENTREE de SECOURS -



mercredi 15 janvier 2020

FOOD ÉVOLUTION (Bande Annonce)

https://www.youtube.com/watch?v=74mi6Ab5bgo

29 commentaires:

  1. Documentaire Food Evolution : une censure prévisible


    9 janvier 2020
    GRW Médias


    Dans un rapport confidentiel, la société de distribution cinématographique 2iFilms relate ses mésaventures concernant la diffusion du documentaire Food Evolution

    Lorsque 2iFilms, jeune société de distribution cinématographique créée en 2018, décide de s’occuper de la diffusion en France du documentaire Food Evolution, sorti sur les écrans américains en 2017, elle est bien loin de s’imaginer qu’il existe dans notre pays une censure aussi parfaitement bien organisée. Le récit que relate ce distributeur indépendant fait en effet froid dans le dos. Certes, il faut reconnaître que le film en question aborde un sujet sensible : exposer les mécanismes de diabolisation utilisés par les anti-OGM contre cette technologie. S’il peut ne pas convaincre, le documentaire a du moins le mérite indéniable d’ouvrir l’espace à un débat. Mais encore faudrait-il que celui-ci soit le bienvenu…

    Une situation inquiétante

    « Food Evolution a révélé une situation inquiétante qui était méconnue, voire dangereuse, pour la garantie du pluralisme dans le cinéma, à savoir la mainmise des associations militantes dans la programmation cinématographique française », écrit Eddy Agnassia, l’un des responsables de 2iFilms, dans une note confidentielle d’une dizaine de pages datée du 11 décembre 2019. Il poursuit : « Seuls les films qui défendent leurs causes ont droit de cité. C’est un monopole de la pensée qui est ainsi imposé. »

    L’auteur y expose ses mésaventures, qui ont commencé par une surprenante «non recommandation par le cinéma français». Soumis à la fin décembre 2018 à la procédure pour obtenir le label «Art et Essai», le film est refusé un mois plus tard par le collège des experts de l’AFCAE (Association française des cinémas d’art et d’essai). Avec une unanimité surprenante : pas une seule voix ne se prononce en faveur du documentaire ! « Ce film a obtenu le pire vote jamais enregistré par le comité d’experts », déplore Eddy Agnassia, qui juge cette décision d’autant plus étrange que son réalisateur n’est pas un novice en la matière. Scott Hamilton Kennedy a même été nominé aux Oscars en 2009 pour le film The Garden.

    À lire aussi : Du catastrophisme à l’écolo-feel good

    Quant à Food Evolution, avec le très populaire et respecté astrophysicien Neil deGrasse Tyson dans le rôle du narrateur, il a plutôt bien marché outre-Atlantique. D’aucuns pourraient d’ailleurs lui reprocher d’être davantage adapté au public américain qu’européen. Mais son principal défaut ne serait-il pas plutôt de ne pas s’inscrire dans la longue liste des pseudo-documentaires de propagande anti-OGM et antipesticides, tant appréciés dans les milieux du cinéma français ? Ainsi, que penser du documentaire Demain, réalisé par Cyril Dion et Mélanie Laurent, quand il affirme clairement que l’on « plante des OGM qui rendent les animaux et les gens malades » ? Or, en dépit de ses « faits alternatifs », ce film primé aux César a bénéficié du soutien de plusieurs institutions internationales (COP 21, Parlement européen, ONU…) et a même été diffusé dans de nombreux établissements scolaires français, ainsi que dans chacune des écoles de Bruxelles à l’initiative de la ministre belge de l’Environnement…

    RépondreSupprimer
  2. Exclu des festivals

    Et ce n’est pas tout. Originellement programmé pour l’ouverture de la 8e édition du festival international du cinéma Le Temps Presse, Food Evolution fut très rapidement déprogrammé. « Marc Obéron, son directeur, nous a contactés pour nous indiquer que la direction du festival avait reçu des pressions pour le déprogrammer, car le film ne semblait pas plaire à certains membres du jury », note Eddy Agnassia. Pas très surprenant lorsqu’on découvre que des personnalités engagées dans la lutte contre les biotechnologies végétales, comme Juliette Binoche, faisaient partie du jury.

    Menaces et pressions

    « Très vite, nous avons également compris qu’il y avait eu des menaces de retraits de financement par certains partenaires du festival si sa programmation était maintenue » , poursuit Eddy Agnassia, qui déplore que le documentaire ait été sacrifié par des professionnels du cinéma, « qui ne niaient pas sa qualité cinématographique puisque ce film avait été retenu dans un premier temps pour être programmé dans le cadre de ce festival ». Selon lui, la raison de cette décision est limpide : « Il a été exclu parce qu’il n’était pas politiquement correct, compte tenu de son message véhiculé sur l’agriculture, les pesticides et les OGM. »

    À cette occasion, Eddy Agnassia a pu ainsi découvrir comment « les associations militantes – notamment Générations Futures, qui est très actif dans les différents festivals consacrés à l’alimentation et à l’agriculture – ont verrouillé toute expression visuelle différente de la leur, et imposé leur vision idéologique de l’alimentation et de l’agriculture auprès du public, refusant ainsi toute représentation contradictoire dans le cinéma ». Plus incisive, la journaliste de L’Opinion Emmanuelle Ducros a parfaitement résumé l’affaire en expliquant que Food Evolution, « c’est le documentaire sur les OGM que le lobby bio veut cacher ».

    Si le destin du documentaire américain dans les salles de cinéma françaises semble bien être scellé, Eddy Agnassia espère néanmoins qu’il en ira différemment de l’exploitation prochaine sur les plateformes qui proposent des films en VOD, comme Vimeo. Quoi qu’il en soit, l’initiative du distributeur 2iFilms a le mérite d’avoir mis au jour une vérité qui dérange: le totalitarisme fait bel et bien partie de la pensée de l’écologie politique…

    https://www.agriculture-environnement.fr/2020/01/09/documentaire-food-evolution-une-censure-previsible

    RépondreSupprimer
  3. La culture hors-sol en milieu urbain : un rêve non rentable


    le 14 janvier 2020



    Des rangées de bok choï (chou chinois), de persil, d’estragon et de basilic joliment disposées aux côtés de dizaines de variétés de laitue poussent en harmonie sous la lueur rose de lumières LED dans une ancienne sucrerie. L’eau infusée de nutriments ruisselle sur les tours vertes, gardant les plantules hydratées et nourries. Il s’agit d’une ferme verticale intérieure techniquement avancée enfouie au fond d’un sous-sol dans un ancien entrepôt de Tate & Lyle devenu maintenant le Liverpool Life Sciences UTC.

    Deux universitaires ont mis leurs ressources en commun, recruté des étudiants en doctorat et en maîtrise et cultivent la nourriture de manière hydroponique dans les tours – un concept de plus en plus populaire où les salades et les légumes à feuilles sont cultivés toute l’année dans des conditions précises dans des lits remplis de mousse synthétique empilés verticalement sans lumière du soleil ni sol naturels.

    La ferme est la création de Jens Thomas et Paul Myers, tous deux issus de milieux scientifiques, qui se sont rencontrés pour la première fois lors d’une conférence puis à nouveau lors d’un cours de boxe thaï avant de décider de travailler ensemble. Ils ont fondé Farm Urban en 2014. Depuis lors, ils ont installé des systèmes dans toute la ville, notamment à l’Université de Liverpool, à l’hôpital pour enfants Alder Hey et aux jardins botaniques Ness et ont mené une série d’activités de sensibilisation du public. Leur objectif est de changer notre relation avec l’alimentation : les méthodes agricoles traditionnelles, disent-ils, et l’utilisation d’acres de terre ne sont plus « durables ». La population mondiale augmente – l’Organisation mondiale de la santé estime qu’elle atteindra 9,7 milliards d’habitants d’ici 2050, 70% des habitants vivant en zone urbaine.

    Pour préserver les habitats naturels et améliorer la sécurité alimentaire mondiale, il faut une refonte complète des méthodes de production alimentaire, affirment Thomas et Myers. C’est une affirmation risquée car des projets similaires ont échoué, dont un dans le Grand Manchester. La Fondation de la Biosphère (Biospheric Foundation), basée dans un moulin sur les rives de la rivière Irwell à Salford, était censée être une ferme aquaponique urbaine de pointe, où les déchets de poisson fournissaient la source de nourriture pour les plantes en croissance, et les plantes devaient filtrer naturellement l’eau. Trois ans après son ouverture, le projet a été endetté de plus de 100 000 £ (117 016,84 €) et la réputation de l’ensemble de la conception du système est partie en lambeaux.

    Ces programmes de production alimentaire sont confrontés à des défis financiers très réels. Premièrement, il y a des coûts qui, s’ils ne sont pas gérés avec soin, pourraient finir par être astronomiques. Ils sont principalement associés à la consommation d’énergie requise pour maintenir un environnement contrôlé et fournir de la lumière artificielle. Il y a le problème de l’empreinte carbone de l’utilisation de grandes quantités d’énergie dans les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre. On a également critiqué ce type d’exploitations agricoles pour leur capacité à produire uniquement des légumes verts feuillus et non des cultures plus caloriques.

    RépondreSupprimer
  4. Pourtant Thomas et Myers insistent sur le fait que leur projet est différent. Leurs objectifs sont qualifiés d’ « hyperlocaux ». Il s’agit de démarrer une production de petite taille et susciter un intérêt commercial local croissant pour leurs produits. Leur ferme verticale actuelle, qui a été expédiée du Canada, a été payée par First Ark, une organisation d’investissement social basée à Knowsley. Le financement de 150 000 £ est en partie prêté et en partie subventionné. Thomas et Myers espèrent récupérer une partie de l’argent en vendant des caisses de salade pour 12,50 £ (14,62 €) aux particuliers et aux entreprises, les abonnements annuels coûtant 600 £. Ils ont également lancé une campagne de financement participatif, Greens for Good, où chaque boîte de légumes verts achetée par une entreprise locale doit aussi prendre en charge une autre boîte de légumes verts allant dans une école locale. Ils ont levé plus de 17 000 £ sur leur objectif de 25 000 £.

    Myers s’est intéressé à la production alimentaire tout en préparant son doctorat à l’Institut national du cancer. Des milliards sont dépensés pour la recherche sur les médicaments, mais il estime qu’il doit y avoir une approche plus globale pour examiner comment le régime alimentaire et la qualité des aliments peuvent affecter la santé. «C’est l’agriculture du futur. Sans pesticides passant directement de l’agriculture traditionnelle avec traction animale en court-circuitant celle des tracteurs qui détruit régulièrement la planète afin d’atteindre une approche plus durable », dit-il. Myers est pleinement conscient des risques de son cheminement de carrière choisi. « Oui, j’ai un peu peur – nous avons contracté une énorme dette – mais nous l’avons minimisée autant que possible humainement et maintenant il ne s’agit plus que de continuer et de travailler pour que cela fonctionne. »

    Cet article paru sur The Guardian mérite quelques remarques. La culture hydroponique hors-sol n’est rentable que si elle est pratiquée en l’absence de source lumineuse artificielle ou, par conséquent, si l’énergie électrique est disponible à un coût modique. Ces genres de situations se retrouvent dans le désert du Neguev – ensoleillement abondant, donc inutilité d’un éclairage artificiel – et à l’opposé en Islande où l’électricité et le chauffage sont pratiquement gratuits. J’ai visité il y a quelques années des serres dans lesquelles étaient cultivés des légumes à feuilles en hydroponie dans un pays tropical. Pour assurer la circulation de l’eau et un éclairage d’appoint pour stimuler la croissance des plantes, l’alternance jour-nuit étant de 12 heures, ces serres étaient donc dépendantes d’un groupe électrogène puisqu’elles se trouvaient dans une zone non reliée au réseau électrique. Une aberration … Dans les propos rapportés dans cet article il y a enfin une stupidité quand l’un des objectifs de ce type de culture est de réduire les émissions de gaz carbonique alors que de nombreux maraîchers pratiquent l’enrichissement de l’atmosphère de leurs serres justement avec ce gaz pour augmenter jusqu’à 30 % la vitesse de croissance des plantes. Le seul avantage des cultures hors-sol en milieu totalement contrôlé, requérant donc une filtration micronique de l’atmosphère et une stérilité draconienne, est de s’affranchir de l’usage de pesticides, en particulier de fongicides. Ce type d’approche nécessite la création de sas d’accès et un respect total des conditions de stérilité, ce qui complique considérablement l’installation. Il apparaît donc que l’objectif « écologique » d’un tel projet est tout à fait contestable.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/01/14/la-culture-hors-sol-en-milieu-urbain-un-reve-non-rentable/

    RépondreSupprimer
  5. Quand les militaires prennent les avions civils pour cibles


    le 15 janvier 2020


    Le vol 752 de la compagnie aérienne ukrainienne a servi de cible aux pasdarans qui étaient sur le qui-vive en raison d’une alerte indiquant l’arrivée de missiles en provenance d’un pays étranger. Un missile a été tiré par erreur sur l’avion qui emportait la fine fleur intellectuelle iranienne, en majorité de jeunes ingénieurs et des doctorants retournant au Canada pour poursuivre leurs études universitaires. Parmi les passagers il y avait une trentaine de bi-nationaux irano-canadiens. Deux missiles SA-15 ont été tirés.

    Mais cet événement ne constitue pas un précédent si on remonte dans le temps. Les militaires ont toujours considéré l’espace aérien comme leur pré carré et ils semblent se moquer des avions civils. C’est ainsi … Le 11 septembre 1968 le vol Air France Ajaccio-Nice s’écrasait au large du Cap d’Antibes avec 95 personnes à bord. L’avion eut la malchance de survoler une zone maritime où s’effectuaient des exercices militaires. Les autorités maritimes et terrestres avaient émis une alerte pour la période du 9 au 13 septembre mentionnant un « avis de tirs » à l’intention des pêcheurs mais les autorités de l’aviation civile ne crurent pas utile d’en informer la compagnie Air France. Selon une enquête et le témoignage d’un ancien militaire un missile fut tiré depuis le bâtiment lance-missiles le « Suffren » qui se trouvait sur zone ce jour-là.

    Le 3 Juillet 1988, à la fin de la guerre Iran-irak le Capitaine Will Rogers commandant l’USS Vincennes dans le nord du Golfe persique confondit l’Airbus d’Iranian Air, le vol 655, avec un F-14 iranien et l’avion civil se trouvant à une altitude de 13500 pieds fut abattu par deux missiles tirés depuis l’USS Vincennes avec 290 personnes à bord. Le Pentagone étouffa l’affaire. Le 17 Juillet 1996 à quelques jours de l’ouverture des jeux olympiques d’Atlanta l’armée américaine était en état d’alerte maximale, du jamais vu depuis la crise des missiles de Cuba. La paranoïa du conseiller à la sécurité de Bill Clinton, Richard Clarke, était à son comble. Le vol TWA 800 parti de Kennedy Airport à destination de Paris puis Rome fut abattu au large de Long Island par un missile de la Navy. Aucun des 230 passagers ne survécut d’autant plus que l’aéronef se trouvait déjà à une altitude de 13000 pieds. Le FBI s’empara immédiatement du dossier laissant sous-entendre qu’il s’agissait d’un attentat terroriste. Pourtant plus de 250 témoins oculaires se trouvant à Long Island certifièrent qu’ils avaient vu distinctement un missile se diriger vers l’avion. La CIA fit taire ces témoins en les achetant ! Le rapport de la tour de contrôle de l’aéroport JFK fut immédiatement séquestré par le FBI et l’affaire fut close.

    Enfin l’énigme toujours non résolue du vol MH 17, un Boeing 777 de Malaysia Airlines reliant Amsterdam à Kuala-Lumpur abattu par un missile d’origine russe Buk a été immédiatement imputé à la Russie. La majorité des 298 victimes étaient néerlandais. Les autorités néerlandaises dépêchées sur place interdirent tout accès aux journalistes à la zone où se trouvaient éparpillés les débris du crash. Les autorités malaises ne purent pas avoir accès au dossier et le mystère reste encore aujourd’hui entier en ce qui concerne les auteurs du tir de missile. Quatre suspects, trois Russes et un Ukrainien ont été désignés comme coupables, zvec le soutien de la CIA, sans qu’aucune preuve n’ait pu être apportée quant à leur participation dans le crash du vol MH 17.

    RépondreSupprimer
  6. En conclusion, et il y a probablement d’autres accidents délibérément provoqués par des forces armées qu’il est difficile de retrouver tant la chape du silence est lourde, les forces armées, les gouvernements, les services secrets et les commissions d’enquête s’empressent d’étouffer ces affaires regrettables ou d’en déformer les faits à des fins politiques. L’Iran a reconnu que son armée avait abattu par erreur l ‘avion ukrainien provoquant une manifestation hostile de la population iranienne et on peut le comprendre. Cette reconnaissance de culpabilité est un fait sans précédent qui mérite d’être salué …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/01/15/quand-les-militaires-prennent-les-avions-civils-pour-cibles/

    RépondreSupprimer
  7. Ces esclaves cachés


    mardi 21 juin 2016



    Après m'être interrogé sur l'handicap constaté chez les soldats qui reviennent de guerre et leurs séquelles permanentes et définitivement incrustés en eux et irréparables et au combien ce mal pèse également sur les donneurs d'ordre qui dirigent tels ou tels pays, les politiques de dictature et d'appliquer exactement le contraire de ce que demande le peuple, là bien-sûr, on ne peut que se demander comment font-ils pour encore vivre et dormir en paix quand ils ont des milliers (des millions ?) d'enfants morts sur la conscience et autant de femmes et d'hommes décédés par leur faute !

    Leur protection repose uniquement sur le service d'ordre. Ces fonctionnaires gardes du corps sont pour la plupart (?) sans victimes décédées sur leur conscience mais n'en éprouvent certainement pas une sympathie sans limite envers leurs Dirigeants. Alors, comment faire pour sélectionner des personnes intègres, dévouées 'corps & âme' et prêtes à se sacrifier pour leurs patrons ?!

    Sachant que nul n'est faillible et peut faire part de ses sentiments cachés à un tiers comme anonymement sur internet depuis un cyber-café, pourquoi n'y aurait-il pas de fuite ??

    Maintenant, sachant qu'il y a dans le monde des zones dites' militaires' protégées qui sont interdites d'approcher d'accès terrestre, maritimes voire aèriennes aux survols des satellites détournés pour l'occasion, et qu'il y a: "Plus de 47.000 enfants ont été portés «disparus» en France en 2013 !"
    Là, il y a de quoi sursauter !

    47.000 en 1 an ! Rien qu'en France !

    Maintenant, même si l'on tient compte d'un certain pourcentage d'enfants retrouvés, il n'en demeure pas moins que - d'après les chiffres - l'on serait... entourés de terroristes ! Ce qui est intelligemment impossible à concevoir que '128,76' enfants disparaissent chaque jour en France !

    Non, un enfant ne se 'volatilise' pas ! Si un enfant est enlevé c'est: qu'il y a une autre raison que celle de personnes adultes en mal d'enfants/obsédés sexuels/psychopathes en liberté.

    Et si ces enfants disparus réapparaissaient en quelques pays lointains ? S'ils étaient alors nourris et éduqués afin d'être formés à des services 'peu recommandables' ?

    Depuis plus de 50 ans existe des satellites qui nous survolent régulièrement (à défilement) comme au géostationnariat de la Terre à 34.000 km et qui peuvent lire un journal ouvert posé sur le sol. Donc là, s'il peuvent lire un journal, ils peuvent aussi révéler un grand nombre de choses comme quelqu'un qui regarde en l'air et que sa photo est conservée.

    Les images de notre planète disponibles sur 'Google Maps' se réservent une certaine distance d'approche où chaque personne est réputée méconnaissable.

    Or, s'il y a 'images prises' il y a images retouchées avant la vente à 'Google Maps'. Mais... qui s'occupe des 'retouches' ? N'oublions pas que ces millions d'images arrivent en direct et que n'importe pourrait transmettre l'information qu'un accident vient d'avoir lieu ici ou là et le film-même du 'comment çà s'est passé'.

    Pareillement qu'il y a aussi des milliers de personnes qui travaillent pour la NSA et d'autres susceptibles d'être des 'Snowden'.

    - (...) Plus de 10.000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois, a affirmé dimanche l'agence de coordination policière Europol, craignant que nombre d'entre eux soient exploités, notamment sexuellement, par le crime organisé. (...)

    https://huemaurice5.blogspot.com/2016/06/ces-esclaves-caches.html#!/t9V6jUMMD

    https://huemaurice5.blogspot.com/2016/06/ces-esclaves-caches.html#!/t9V6jUMMD

    RépondreSupprimer
  8. Des milliers d'enfants migrants ont disparu en Europe

    VIDÉO - Les enfants concernés sont ceux dont toute trace a été perdue après leur enregistrement auprès des autorités européennes. On craint que nombre d'entre eux soient exploités par le crime organisé.


    Par Le Figaro et AFP, AP, Reuters Agences
    le 31 janvier 2016 à 18:18


    Plus de 10.000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois, a affirmé dimanche l'agence de coordination policière Europol, craignant que nombre d'entre eux soient exploités, notamment sexuellement, par le crime organisé. L'organisation, basée à La Haye, a regretté le développement d'une «infrastructure criminelle» paneuropéenne visant à tirer profit de la crise migratoire en Europe.

    Ces informations, relayées par un responsable d'Europol dans un entretien à l'hebdomadaire britannique The Observer, ont été confirmées dimanche à l'AFP par le service de presse de l'agence de coordination policière.

    Les enfants concernés sont ceux dont toute trace a été perdue après leur enregistrement auprès des autorités européennes, a expliqué ce responsable, Brian Donald. Il estime qu'environ 5000 d'entre eux ont disparu en Italie, une des portes d'entrée vers l'Europe pour les migrants venus par la Méditerranée.

    «Il n'est pas déraisonnable d'estimer que nous parlons ici en tout de plus de 10.000 enfants», a assuré Brian Donald. «Mais tous ne seront pas exploités à des fins criminelles, il y en a qui auront rejoint des membres de leur famille. C'est juste que nous ne savons pas où ils sont, ce qu'ils font et avec qui».

    Un porte-parole d'Europol a précisé à l'AFP que le chiffre avait été obtenu notamment sur la base d'informations fournies par les pays européens ou disponibles publiquement, par exemple sur internet et que ces disparitions concernent les 18 à 24 derniers mois.

    Infrastructure criminelle paneuropéenne sophistiquée

    «Les mineurs voyageant sans adultes sont le groupe le plus vulnérable du flux de migrants», a souligné Rafaella Milano, directrice des programmes Italie-Europe de l'ONG Save the Children. «Le renforcement des mesures de protection contre les risques graves qu'ils courent est indispensable.» Elle a par exemple évoqué des programmes de «relocalisation» rapides au niveau européen afin de permettre «à ceux qui arrivent en Italie ou en Grèce de rejoindre d'autres pays européens sans devoir s'en remettre à des trafiquants». «De nombreux mineurs, en fait, se cachent volontairement des autorités de peur d'être renvoyés».

    Environ un million de migrants, principalement des Syriens, Irakiens et Erythréens fuyant leurs pays, sont arrivés en Europe en 2015, rappelle Europol. 27% d'entre eux sont des mineurs. «Ils ne sont pas tous non accompagnés, mais nous avons des éléments montrant qu'une grande partie d'entre eux pourraient l'être», selon Brian Donald.

    Il soutient qu'une «infrastructure criminelle» paneuropéenne sophistiquée vise désormais les migrants à diverses fins. «Il y a en Allemagne et en Hongrie des prisons dans lesquelles la grande majorité des détenus sont là en raison d'activités criminelles liés à la crise migratoire». Des groupes criminels actifs dans la traite d'êtres humains sont par ailleurs maintenant actifs dans les filières d'immigration illégale afin d'exploiter des migrants, a souligné Europol, évoquant de l'esclavage ou des activités liées au commerce du sexe.

    https://www.lefigaro.fr/international/2016/01/31/01003-20160131ARTFIG00123-des-milliers-d-enfants-migrants-ont-disparu-en-europe.php

    RépondreSupprimer
  9. Les plantes fabriquent leurs propres pesticides "cancérigènes" et vous en mangez beaucoup plus.


    Par Ross Pomeroy -
    Personnel du RCP7 janvier 2020


    Dans un monde idéal, les humains pourraient cultiver suffisamment de nourriture pour nourrir le monde sans pesticides synthétiques, mais ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons. Les terres arables sont limitées et toutes sortes de ravageurs de la faune et de la flore attaquent sans cesse l'agriculture. À l'heure actuelle, les pesticides sont des outils nécessaires pour conjurer la famine de notre espèce.

    Malgré l'utilité évidente des pesticides, les humains ont généralement peur de consommer ces produits chimiques pour la plupart invisibles. C'est compréhensible, car diverses organisations les ont étiquetées "toxines" ou "cancérigènes" et ont même publié des listes de fruits et légumes qui contiennent les pesticides les plus synthétiques, apparemment afin que vous puissiez éviter de les manger.

    Rassurez-vous, les résidus de pesticides synthétiques sur les aliments sont sans danger dans les quantités minuscules présentes - nous parlons de parties par milliard. De plus, beaucoup sont encore moins «toxiques» que les substances que vous rencontrez chaque jour. Par exemple, le glyphosate, l'herbicide le plus couramment utilisé aux États-Unis, est environ trois fois moins mortel que le Tylenol et trente fois moins mortel que la caféine.

    Pour montrer à quel point notre peur des pesticides de synthèse est déplacée, nous pouvons effectuer une autre comparaison, souvent ignorée: opposer les pesticides de synthèse aux fruits et légumes aux pesticides "naturels" qu'ils produisent eux-mêmes en bien plus grandes quantités.

    Oui, les fruits et légumes ont développé des milliers de pesticides intégrés, dont beaucoup ne sont pas aussi différents chimiquement que ceux que les humains ont créés dans les laboratoires. Les pommes, les bananes, les cerises, les raisins, la laitue, les champignons et les pois ne sont qu'un échantillon des aliments qui contiennent ces pesticides.

    Et devine quoi ? Nous mangeons 10 000 fois plus de ces pesticides que les pesticides de synthèse que nous avons été conditionnés à craindre !

    Les biochimistes de l'Université de Californie à Berkeley, Bruce Ames, Margie Profet et Lois Swirsky Gold, ont découvert cette fascinante pépite d'informations il y a 29 ans. Au total, ils ont découvert que les Américains consomment en moyenne 1,5 gramme de pesticides végétaux chaque jour, ce qui, encore une fois, éclipse absolument la pitoyable quantité de pesticides synthétiques.

    De plus, ces pesticides naturels pourraient ne pas être inoffensifs. Au moment de leur étude, Ames, Profet et Gold ont noté que 52 d'entre eux avaient été analysés dans des tests de cancer animal, dans lesquels des rongeurs reçoivent des doses exorbitantes de produits chimiques pour voir s'ils développent des tumeurs. Un peu plus de la moitié se sont révélés cancérigènes.

    Alors faut-il paniquer ? Ames et ses co-auteurs ne le pensent pas. Au contraire, disent-ils, leurs résultats remettent en question la validité des essais de cancérogénicité chez les rongeurs. La dose fait le poison, donc nourrir des rongeurs avec des doses massives de pesticides bien au-delà de ce que tout être humain consomme réellement ne nous dit pas si ces produits chimiques sont réellement sans danger.

    RépondreSupprimer
  10. Voici la conclusion générale: les pesticides synthétiques, à leur niveau actuel dans les aliments, sont sûrs à consommer. Comment savons nous ? Parce que les plantes tentent de nous «empoisonner» avec beaucoup plus de leurs propres pesticides «cancérigènes» depuis des milliers d'années, et échouent toujours lamentablement.

    https://www.realclearscience.com/blog/2020/01/07/plants_make_their_own_carcinogenic_pesticides_and_you_eat_a_lot_more_of_them.html

    RépondreSupprimer
  11. Le cas du Roundup ou la démocratie trompeuse d’internet


    par Cécile Philippe
    mardi 28 juin 2016.


    Depuis plusieurs mois, la molécule glyphosate fait l’objet d’une grave controverse. Brevetée dans les années 1970 comme substance active de l’herbicide Roundup, ce dernier est devenu dans les années 1980 l’un des désherbants les plus vendus au monde. Au cours des dernières décennies, le glyphosate a été évalué à de nombreuses reprises par diverses instances réglementaires qui ont conclu de façon constante qu’il représentait un faible risque pour la santé humaine.

    Mais la polémique a commencé en mars 2015 avec une étude du Centre international de recherche contre le cancer (CIRC), dépendante de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui identifiait un risque cancérogène. Certes, une étude plus récente réalisée par ce même organisme et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a jugé « peu probable » que le glyphosate soit cancérogène « chez les humains qui y seraient exposés par l’alimentation ». De même l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) juge le risque cancérogène « improbable », mais le doute est là.

    Au final, il est probable que l’homologation du glyphosate arrivant à expiration fin juin ne soit pas renouvelée. La substance fait, en effet, l’objet de vastes campagnes de dénigrement sur les réseaux notamment. Outre des pétitions, une vidéo contre le glyphosate a rencontré un succès phénoménal. Dans sa version française, elle a été vue 5,5 millions de fois et a nourri une controverse forte à son sujet.

    Dans son ouvrage La Démocratie des crédules, paru aux éditions PUF en 2013, Gérald Bronner explique comment l’Internet a révolutionné le marché des idées et comment – notamment sur les questions scientifiques – il tend à créer une société d’hypocondriaques.

    Pour comprendre le processus à l’œuvre, il prend quelques exemples emblématiques d’hypothèses douteuses comme l’astrologie ou l’existence du monstre du Loch Ness et mesure les avis sur les 30 premiers sites consultables sur le net. Dans chaque cas, il montre que si on ne prend en compte que les sites qui prennent position, 70% d’entre eux présentent des arguments en faveur de ces croyances qu’on sait pourtant sans réel fondement.

    J’ai donc voulu tester la chose sur le thème du glyphosate. Pour ce faire, j’ai entré le terme « glyphosate » dans le moteur de recherche Google et consulté les 30 premiers sites proposés, en éliminant ceux qui correspondaient à des sites de vente. Le résultat est étonnant par son exactitude. Sur 30 sites consultés, 8 sont neutres, 16 présentent des arguments favorables à l’interdiction et 6 seulement offrent des arguments favorables à l’utilisation de cette substance. Ainsi, 72% des sites qui prennent position dénigrent le glyphosate. Ils sont liés en général à des organisations ou des personnes qui font campagne contre les pesticides.

    Le cas du glyphosate semble ainsi exemplaire de ce que décrit Gérald Bronner, à savoir que des rumeurs qui autrefois restaient confinées à de petits groupes, peuvent maintenant prendre de l’ampleur. Elles arrivent à se diffuser à la vitesse des réseaux sous les effets d’une part, de la massification de la diffusion et de la disponibilité de l’information (la quantité d’informations produites sur les réseaux est devenue incommensurable) et d’autre part, l’accès libre au marché public de l’information. Tout le monde peut s’exprimer sur Internet.

    RépondreSupprimer
  12. La société de consommation


    samedi 25 juin 2016


    L'économie c'est quoi ? Est-ce acheter un véhicule tous les 5 ans et - quand il ne marche plus - ne pas pouvoir le garder dans une arrière-cour ou garage pour les pièces car: les voitures 'nouvelles' ont TOUT de changé ! TOUT ! Aucune pièce ne coïncide avec un modèle plus ancien ! Donc, vous amenez votre voiture à la casse où il vous faudra... payer pour la faire détruire !!! alors que les aciéries/fonderies peuvent la reprendre, la fondre et en faire une nouvelle avec sans avoir les frais d'aller chercher les minerais à 3000 m sous terre et de les traiter !!!

    Ainsi, depuis quelques décennies, ce sont développés des modèles d'appareils ou véhicules terrestres, maritimes comme aériens bourrés de gadgets électronique qui 'pour votre plus grand confort et votre sécurité' vous diront quelle heure il est à Tokyo ou quelle température il fait sur la Costa Brava sans oublier le cadran des gains calculés que vous faites en roulant doucement sans dépasser les 5000 tours, etc !!! Toutes ces merdes ajoutées (que vous avez payé très cher pour avoir) sont TOUTES (comme votre appareil photo numérique, téléphone, ordi, etc) relayés par satellite et peuvent être arrêtés/mis en panne à distance ! Wôuaaah ! (en principe dès le lendemain de la fin de la garantie). Donc, votre voiture (par exemple) achetée 'pas cher' vous reviendra TRÈS CHER au final sans compter sur le prix des... pièces détachées où seulement un câble ou ampoule de phare vous coûtera un mois de salaire !

    C'est ce que des escrocs (les même que ceux du 'Choc pétrolier de 1974') ont appelé la Société de consommation. Vous achetez/vous jetez/vous payez cette pollution ! alors que vous n'avez fait que prendre quelque chose par terre (ou sur une étagère de supermarché) et de la remettre là où vous l'avez prise ! Où est la 'pollution' ?! Où ?

    C'est pourquoi, hors des circuits commerciaux des arnaqueurs, ont continué à se fabriquer des voitures russes* les mêmes pendant plus de 40 ans où les pièces d'un véhicule accidenté pouvaient servir au nouveau modèle mis sur le marché ! C'est-à-dire que cette économie que d'aller faire x bornes pour aller commander une pièce et la faire monter pouvait servir à l'achat d'autres marchandises du coin. Là, si je précise 'du coin' ce n'est pas par hasard, car, si vous regardez bien d'où vient ce que vous achetez vous verrez que vous faites travailler des pays étrangers et non des entreprises locales ! Ainsi cet argent quittant le pays devra donc être refabriqué par des heures supplémentaires de travail. Et même qu'aujourd'hui... l'on ne fait QUE des heures supplémentaires !

    C'est aussi pourquoi les heures de travail peu chères (mais pouvoir d'achat respecté) ont eu raison de leur exportation de produits fabriqués. Et, c'est ainsi que peu à peu des fournisseurs automobiles locaux (par exemple) ont été remplacés par des fournisseurs automobiles étrangers et les marques nationales de véhicules disparues ou rachetées par... des étrangers !

    *http://marque-voiture.com/marque-de-voiture-russe/

    https://huemaurice5.blogspot.com/2016/06/la-societe-de-consommation.html

    RépondreSupprimer
  13. Brigitte Macron au visage tumefie sur des affiches a Milan – photos


    23:22 15.01.2020


    Pour sensibiliser et attirer l’attention sur les violences faites aux femmes, l'artiste italien AleXsandro Palombo a utilise des images de femmes connues, notamment Brigitte Macron et Michelle Obama. Sur ces affiches, leurs visages sont couverts de traces de coups.

    Des affiches choquantes avec des images des visages tumefiees de femmes celebres, dont Brigitte Macron, Michelle Obama ou encore Angela Merkel, sont exposees dans les rues de Milan et signees par l’artiste italien AleXsandro Palombo.

    L’objectif de cette installation artistique est d’attirer l’attention sur le probleme de la violence domestique faite aux femmes. La campagne est baptisee «Juste parce je suis une femme».

    Selon le bureau de presse de l’artiste cite dans les medias, ces affiches avec des visages tortures et avec des traces de strangulation et de coups de femmes connues doivent illustrer le drame «qui touche des millions de femmes dans le monde entier, [...] dans le but de denoncer, sensibiliser et obtenir une veritable reponse des institutions et de la politique».

    Chaque affiche est accompagnee par la phrase en anglais: «Je suis victime de violence domestique, je suis payee moins, j’ai subi une mutilation genitale, je n’ai pas le droit de m’habiller comme je veux, je ne peux choisir qui je vais epouser, j’ai ete violee».

    https://fr.sputniknews.com/france/202001151042910504-brigitte-macron-au-visage-tumefie-sur-des-affiches-a-milan-photos/

    RépondreSupprimer
  14. Une touriste japonaise se dit «humiliée et frustrée» après la demande de cette compagnie aérienne


    21:44 15.01.2020


    Avant de monter à bord d’un avion de la compagnie HK Express reliant Hong Kong à Saipan, une île américaine du Pacifique, il a été demandé à une Japonaise de passer un test de grossesse. Il s’avère que les autorités de l’île sont préoccupées par le nombre d’étrangères qui y accouchent pour que leurs enfants aient la citoyenneté américaine.

    Pour aller voir ses parents habitant Saipan, une île américaine du Pacifique, la japonaise Midori Nishida a dû faire face à une demande inhabituelle de la part de la compagnie à bas prix Hong Kong Express Airways, écrit le Wall Street Journal.

    Le personnel de la compagnie a notamment soupçonné la femme d’être enceinte et a exigé qu’elle passe un test de grossesse. Bien que la Japonaise de 25 ans ait indiqué dans un questionnaire d'enregistrement qu'elle n'était pas enceinte, cela n’a pas persuadé les employés et la femme a été escortée jusqu'à une salle de repos où elle a dû uriner dans une bandelette urinaire afin de réaliser le test.

    Le test s’est révélé négatif et la femme a pu finalement monter à bord du vol et partir de Hong Kong pour Saipan.

    «C’était très humiliant et frustrant», a-t-elle par la suite déclaré au quotidien américain.
    L’épisode a eu lieu en novembre 2019, le même mois la compagnie a expliqué que ces mesures étaient une réponse aux préoccupations des autorités de Saipan et devaient «garantir que les lois américaines sur l’immigration ne soient pas contournées».

    La société, achetée au mois de juillet 2019 par Cathay Pacific, a tout de même assuré que sous une nouvelle direction elle a décidé de suspendre cette pratique qui a susciter tant d’inquiétude.

    Tourisme de naissance

    La situation de la touriste japonaise s’explique par les mesures que les autorités de l’île prennent pour diminuer le nombre de femmes qui veulent y accoucher et surtout des femmes en provenance de Chine. En effet, les îles Mariannes du Nord, dont Saipan fait partie, sont le seul territoire américain que les Chinois peuvent visiter sans obtenir au préalable un visa - une politique destinée à stimuler le tourisme en provenance du pays le plus peuplé du monde.

    Profitant de cette possibilité, des centaines de Chinoises cherchent à arriver sur l’île pour y accoucher leur enfant qui grâce au «droit du sol» peut devenir citoyen américain. Les chiffres sont très convaincants: si en 2009, l'année de l'introduction du programme d'exemption de visa pour les citoyens de la République populaire de Chine seulement 12 Chinoises y ont accouché, en 2018 leur nombre était de 575.

    Selon les autorités, cette pratique non seulement augmente les risques pour la santé des mères arrivant en fin de grossesse sans aucun dossier de soins prénatals mais nuit également à la réputation de l'île en tant que destination touristique qui est connue pour ses belles plages et son hospitalité.

    En règle générale, il n'est pas interdit aux étrangères enceintes d'entrer sur le territoire des États-Unis et d’y donner naissance à leurs bébés. Mais les services d'immigration peuvent refuser les touristes si elles considèrent qu’elles mentent sur le but de leur voyager ou si les étrangères ne peuvent pas prouver qu'elles ont les fonds pour payer l’accouchement.

    https://fr.sputniknews.com/societe/202001151042910578-une-touriste-japonaise-se-dit-humiliee-et-frustree-apres-la-demande-de-cette-compagnie-aerienne/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bien différent de l'affaire du kenyan ObamasquéÔhéÔhé qui se disait être né à Honolulu (HI) !!

      Supprimer
  15. Aux États-Unis, les étrangers obtiennent un collège gratuit aux États-Unis


    par Tyler Durden
    Mer, 15/01/2020 - 21:05
    Écrit par Eduardo Neret via CampusReform.org,


    Alors que des milliers d'étudiants américains luttent pour faire face à la hausse des coûts des études collégiales, le Département d'État américain aide à financer un collège communautaire pour plus de 300 étudiants étrangers, selon un récent rapport publié par le sénateur Rand Paul (R-Ky.).

    Le programme, appelé Community College Initiative Program (CCI), a reçu 15825000 $ au cours de l'exercice 2019 pour payer les coûts des collèges communautaires pour les étudiants étrangers provenant de 12 pays différents.

    L'ICC offre des bourses pour l'obtention de visas, des voyages aller-retour vers et depuis les États-Unis pour les dates du programme, un an de frais de scolarité et de frais de scolarité dans les collèges communautaires, des repas, des livres, un logement et d'autres frais accessoires. Les étudiants ne sont éligibles que pour une année d'études.

    Selon un site Web du Département d'État, les étudiants «rentreront chez eux avec de nouvelles compétences et compétences pour les aider à contribuer à la croissance économique et au développement de leur pays».

    Le site Web de l'ICC énumère un certain nombre d'exigences, notamment: être âgé de 18 ans, avoir une «connaissance de base de l'anglais» et avoir un diplôme d'une école secondaire.

    Les participants peuvent également choisir parmi plusieurs domaines, tels que: «l'agriculture, l'ingénierie appliquée, la gestion et l'administration des entreprises, l'éducation de la petite enfance, les technologies de l'information, les médias, la sécurité publique et la gestion du tourisme et de l'accueil».

    Le bureau de Paul a également utilisé les estimations des frais de scolarité de Community College Review pour noter que le financement intégral de l'ICC pourrait être utilisé pour financer une année de collège communautaire pour plus de 3 000 étudiants américains.

    David North, un universitaire résident sur l'interaction entre l'éducation et la migration au Center for Immigration Studies, a déclaré à Campus Reform que même si l'ICC est un exemple de gaspillage, il souhaite que Paul se concentre sur le programme de formation pratique facultative (OPT) pour les étudiants étrangers. .

    «Traiter avec des étudiants étrangers, et plus important [sic], des anciens étudiants étrangers sur le marché du travail américain. Le sénateur devrait se concentrer sur les 3 milliards de dollars dépensés chaque année dans le programme OPT, chaque partie de cet argent, prélevé sur les fonds de sécurité sociale et d'assurance-maladie, subventionne les employeurs qui ont décidé d'embaucher un étranger, pas un américain, dans un poste post-universitaire. "

    Campus Reform a déjà rendu compte du programme OPT.

    https://www.zerohedge.com/political/taxpayers-dime-foreigners-get-free-college-us

    RépondreSupprimer
  16. Les Américains ont subi un lavage de cerveau pour accepter la guerre sans poser de questions


    par Tyler Durden
    Mer, 15/01/2020 - 17:45
    Créé par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Alors que les États-Unis semblaient basculer au bord d'une nouvelle guerre, cette fois avec l'Iran, la plus grande préoccupation était de savoir combien de soutien le gouvernement avait pour ses plans de meurtres de masse. Mais les psychologues disent que ce n'est pas une erreur. En tant qu'Américains, nous avons été conditionnés à la guerre toute notre vie.

    Les Américains ont été programmés pour accepter la violence et la domination avec la conviction que les meurtres de masse sont commis pour une sorte de «bien». La propagande a été largement utilisée avec des images patriotiques pour inciter même ceux qui se considèrent pacifiques à encourager la mort, la violence, et la destruction.


    Les Américains apprennent dès leur plus jeune âge à accepter sans conteste le militarisme de leur pays. Ce conditionnement contient de nombreux ingrédients. Les thèmes du nationalisme et du militarisme sont fréquemment injectés dans la vie publique par le biais des médias et d'autres institutions, par exemple, tout comme le sens de la justice, une croyance rarement contestée selon laquelle le pays est presque toujours une force pour le bien.

    –La psychologie aujourd'hui

    La peur est également un élément majeur pour conditionner les esprits à la guerre. Le gouvernement et les médias rappellent souvent aux Américains de tous âges que les ennemis perçus représentent un danger constant. La menace soviétique a été utilisée pour justifier les dépenses militaires et l'aventurisme dans le monde entier pendant une grande partie du XXe siècle plus tard, validant l'avertissement donné par le président Eisenhower dans son discours d'adieu de 1961 de l'influence croissante du «complexe militaro-industriel».

    Plus récemment, grâce à des rappels constants de la «guerre contre le terrorisme», les Américains sont effectivement conditionnés à voir les malfaiteurs se profiler toujours. Il y a peu ou pas de débat sur la question de savoir si tuer ou tuer des gens à des milliers de kilomètres de là est bien ou mal. Le militarisme et la force par le meurtre de masse sont toujours la conclusion tirée par la plupart des Américains.

    L'anti-intellectualisme semble être un ingrédient important pour conditionner l'état d'esprit américain à la guerre, le système s'appuyant sur une population motivée par la peur et renonçant à la pensée critique. Nous pouvons voir cet anti-intellectualisme prendre forme même dans la façon dont la société façonne les jeunes esprits. Les États-Unis sont le seul pays développé qui s'attend à ce que les écoles procèdent régulièrement à un serment de fidélité (un «serment d'allégeance»). Ce type d'exercice n'a rien pour encourager la pensée critique ou la compréhension des complexités de la géopolitique contemporaine, mais peut aller loin dans la consolidation d'un sentiment de grandeur nationale qui peut ensuite être utilisé pour décrire l'agression comme justifiée.

    Le fait que ceux qui remettent en question le militarisme américain soient considérés par beaucoup comme des fauteurs de troubles est une preuve supplémentaire de la façon dont l'état d'esprit national a été conditionné à la guerre.

    –La psychologie aujourd'hui

    Le signe le plus sûr d'un conditionnement réussi est une population qui non seulement respecte le résultat souhaité, mais le fait sans aucun doute. Nous le constatons chaque fois qu'un nouveau président est élu. Que les lois soient «bonnes» ou «mauvaises» moralement, les Américains les considéreront dans l'ensemble comme morales et acceptables si leur maître était choisi pour diriger les esclaves. La morale est par la fenêtre. On nous a appris à accepter simplement que la classe dirigeante a autorité sur nos vies et nous avons deux choix: obéir ou avoir recours à la violence contre vous.

    RépondreSupprimer
  17. Le pire, c'est qu'on nous apprend à glorifier le gouvernement et que ce n'est pas parce que les États-Unis ne sont pas aussi violents et tyranniques que la Corée du Nord que nous devons accepter notre sort en tant qu'esclaves de pouvoirs qui ne devraient pas l'être.

    Larken Rose rend ce comportement assez apparent dans son livre, Most Dangerous Superstition. La principale menace à la liberté et à la justice n'est ni la cupidité, ni la haine, ni aucune des autres émotions ou défauts humains généralement blâmés pour de telles choses. Au lieu de cela, c'est une superstition omniprésente qui infecte l'esprit des gens de toutes races, religions et nationalités, qui trompe les personnes décentes et bien intentionnées en soutenant et en préconisant la violence et l'oppression. Même sans rendre les êtres humains un peu plus sages ou vertueux, supprimer cette superstition éliminerait la grande majorité des injustices et des souffrances du monde.

    Commencez à penser par vous-même. Posez-vous une question: à qui vous appartient ?

    https://www.zerohedge.com/political/americans-have-been-brainwashed-accept-war-without-question

    RépondreSupprimer
  18. Les CRS étaient bien équipés de fusils d'assaut lors de la manifestation du 12 janvier


    Pauline Moullot
    Libération
    mer., 15 jan. 2020 20:14 UTC


    Bonjour,

    Nous avons reformulé votre question, la voici en intégralité: «On peut voir cette vidéo sur Facebook. Est-ce vrai que les CRS peuvent être équipés de fusils d'assaut pendant les manifestations de gilets jaunes et cette vidéo date-t-elle bien de l'acte IX du mouvement à votre connaissance ? Merci et bravo pour votre travail !»

    Vous avez été nombreux à nous interroger sur ces images, vues plusieurs dizaines de milliers de fois et partagées par plusieurs comptes Twitter:
    Le dictateur #Macron a armé ses milices ! Des CRS se baladent avec des FUSILS D'ASSAUT !!#ActeIX #Paris #GiletsJaunes #YellowVests #ViolencesPolicières #Acte9 pic.twitter.com/ThbjLAb2do

    — LarryLeChanceux (@LarryLeChanceux) 12 janvier 2019

    Commentaire : Le compte Twitter @LarryLeChanceux a été suspendu...

    Comme l'indiquent les commentaires, il s'agit bien de fusils d'assaut. Des modèles HKG36, confirme la préfecture de police qui répond, sans préciser combien de compagnies étaient dotées de ces fusils samedi dernier, que «plusieurs services de police ainsi que des CRS étaient porteurs de fusils HKG36, qui font partie de la dotation des services de police». Et précise: «dans un contexte de menace terroriste toujours très élevé, les services de police ne sauraient ignorer ce risque en portant un équipement inadapté».

    Cette vidéo date bien de l'acte IX du mouvement des gilets jaunes, samedi 12 janvier. Mais des policiers armés de tels fusils avaient déjà été aperçus lors de précédentes manifestations. C'est d'ailleurs ce modèle d'arme qui avait été dérobé dans un camion de police lors de l'acte II le 1er décembre.

    Ces armes font partie de la dotation des policiers des brigades anticriminalité (BAC) et des pelotons de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) depuis mars 2016. Dans une réponse à un député socialiste, le ministre de l'Intérieur répondait que ce renforcement d'équipement avait pour but de «renforcer les moyens des forces de l'ordre face aux menaces terroristes.» «Ce renfort de moyens s'inscrit dans le cadre du plan "BAC/PSIG 2016" lancé par le ministre de l'intérieur dès octobre dernier pour accroître les capacités de ces unités opérationnelles et leur permettre en particulier de faire face efficacement dès les premières minutes à des attaques terroristes, ce qui implique la capacité de pouvoir riposter à des tirs d'arme de type Kalachnikov sans attendre l'engagement des forces d'intervention spécialisées (RAID, BRI, GIGN).»

    https://fr.sott.net/article/34763-Les-CRS-etaient-bien-equipes-de-fusils-d-assaut-lors-de-la-manifestation-du-12-janvier

    RépondreSupprimer
  19. «C'est le« Bill Clinton »des villes»: des banquiers ambulants stupéfaits par la misère de San Francisco


    par Tyler Durden
    Mer, 15/01/2020 - 23:25


    Tous les banquiers qui se sont rendus à San Francisco la semaine dernière pour la conférence JP Morgan Health Care ont été surpris par une surprise inattendue - et très peu appréciée.

    Bien que sa réputation d'épicentre de la Silicon Valley témoigne d'images d'une richesse et d'une richesse incalculables, le programme de police ultra-libéral de San Francisco protège ceux qui commettent des délits mineurs et des nuisances. Cela a transformé la ville - qui, avec sa population de sans-abri en plein essor, est au milieu d'une crise - a été transformée en un "bidonville" recouvert de matières fécales au même titre que Mumbai ou Manille.

    Comme le chef d'une association pharmaceutique l'a dit à Bloomberg, les plaintes des visiteurs concernant les chambres d'hôtel trop chères et la misère côté rue empirent chaque année.

    "Il est présenté chaque année à nos membres", a déclaré Steve Ubl, directeur général de Pharmaceutical Research and Manufacturers of America, qui représente les plus grands fabricants de médicaments au monde. "Cela empire de plus en plus en termes de concentration et de coût. C'est scandaleux."

    L'événement marquant de l'industrie des soins de santé pour l'année, où les commerçants se rencontrent et discutent avec d'autres sommités de l'industrie, met également en évidence la disparité de richesse inconfortable dans la ville.

    Le premier événement de l'industrie des soins de santé, une célébration de l'innovation et de l'argent à gagner, met également en évidence les disparités de richesse considérables de San Francisco, tandis que les participants aisés font des festivités lors de fêtes tout en contournant les personnes vivant dans des boîtes en carton. La confab de cette année survient alors que la ville est aux prises avec une attention accrue sur ses problèmes, avec l'aggravation de sa crise des sans-abri, les entreprises technologiques face à un contrecoup et le président Donald Trump déchaînant les politiques de la Californie.

    Dans un coup porté à l'essor de l'industrie des conférences de la ville, Oracle a récemment annoncé qu'il déplacerait sa conférence annuelle OpenWorld à Las Vegas après qu'un trop grand nombre de participants se soient plaints des chambres d'hôtel chères à SF.

    Et pour porter un coup à la réputation de la région en tant que destination d'entreprise, Oracle Corp. a annoncé le mois dernier qu'il tiendrait sa conférence OpenWorld à Las Vegas après plus de 20 ans à San Francisco en raison des hôtels chers et de l'état des rues. Le déménagement devrait coûter 64 millions de dollars en perte de revenus.

    "San Francisco a dilapidé sa place au soleil", a déclaré John Price, PDG de Greffex Inc., une société de génie génétique basée à Aurora, dans le Colorado, qui s'est rendue à la conférence après un voyage d'affaires en Asie. "San Francisco est le Bill Clinton des villes. Il s'est dilapidé avec ses défauts."

    Les participants se plaignent de la conférence JPM - qui attire généralement environ 10 000 personnes - depuis des années, inondant les médias sociaux d'histoires sur les prix élevés et la misère de la ville.

    Le rassemblement de JPMorgan au Westin St. Francis, qui attire environ 10 000 personnes, a longtemps attiré la colère de certains participants. Les participants à la conférence se sont rendus sur Twitter et sur des blogs pour exprimer leurs préoccupations concernant la situation des sans-abri et regarder les responsables de la ville nettoyer les excréments humains, tout en dépensant des milliers de dollars en chambres d'hôtel et en organisant des réunions dans les salles de bain.

    RépondreSupprimer
  20. Le PDG de JPMorgan, Jamie Dimon, a pris la parole lors d'une interview avec Maria Bartiromo de Fox Business qui a été diffusée mardi. Interrogé sur les plaintes concernant le lieu de la conférence, il a répondu que ce n'était "pas si mal".

    Les participants "savent où ils vont, ils le planifient à la même période de l'année", a-t-il déclaré, soulignant que le centre Chase de la ville était un nouvel emplacement pour les réceptions. Pourtant, il a déclaré que San Francisco avait été blessée par une mauvaise politique et que la banque allait devenir "profondément impliquée" dans la ville.

    Une femme qui assiste régulièrement à la conférence a déclaré que la situation des sans-abri s'était aggravée dans la ville au cours des cinq dernières années et a ajouté qu'elle ne se sentait pas en sécurité en se promenant dans la ville la nuit.

    "Je viens à JPM depuis cinq ans, et la situation des sans-abri s'est aggravée", a déclaré Selin Kurnaz, cofondatrice et PDG de Massive Bio, basée à New York, lors d'une fête lundi soir au Tenderloin. "Je me sens en danger de me promener la nuit, surtout en tant que jeune femme."

    Pour toute personne voyageant à SF dans un avenir proche, voici un conseil. En plus de rechercher les restaurants et les attractions que vous souhaitez visiter, ce n'est peut-être pas une mauvaise idée de jeter un œil à la carte de la merde.

    Après tout, personne n'aime marcher dans les excréments.

    https://www.zerohedge.com/economics/its-bill-clinton-cities-traveling-bankers-stunned-san-franciscos-squalor

    RépondreSupprimer
  21. Un réseau embrouillé de tromperie


    Judge Andrew P. Napolitano.
    le 16 janv.2020


    Lorsque des témoins déposent dans une salle d'audience et offrent des explications diverses, contradictoires ou même illégales des événements examinés, les jurys ont tendance à ne pas les croire. La même chose se produit maintenant avec la défense par l'administration Trump de son assassinat du major général iranien Qassem Soleimani à l'aide d'un drone sans pilote alors qu'il était conduit pacifiquement le long d'une route publique en Irak il y a deux semaines. Pourquoi ces justifications changeantes ?

    Voici la trame de fond.

    Le général était le commandant des forces militaires et de renseignement d'élite iraniennes. Il était un farouche opposant à l'Etat islamique et à la présence militaire américaine en Irak. L'Iraq et l'Iran ont été belligérants pendant des générations en raison, entre autres facteurs, d'anciens différends entre les deux principales branches de l'islam, les chiites et les sunnites. Pendant des générations, les élites iraniennes étaient majoritairement chiites et celles de l'Irak étaient majoritairement sunnites.

    Lorsque les États-Unis, sous le président George W.Bush, ont envahi l'Irak en 2002, conformément à une autorisation du Congrès pour l'utilisation de la force militaire, le gouvernement l'a fait en trompant le public américain et le Congrès en lui faisant croire qu'il cherchait des armes de destruction massive. Puisqu'aucun n'était là, aucun n'a été trouvé.

    Mais il a détruit le gouvernement sunnite et sa véritable cible, le dictateur irakien Saddam Hussein. Cela a créé un vide de pouvoir, qui a été rapidement comblé par les politiciens chiites. Lentement mais inexorablement, les gouvernements iranien et irakien sont devenus amis et ont parrainé conjointement des milices contre l'Etat islamique. Soleimani a même consulté le président Barack Obama au bureau ovale sur l'utilisation de ces milices pour renverser l'Etat islamique.

    L'assassinat du général était étrange, hors de propos, prématuré et illégal. Bizarre, parce que les gens du général avaient travaillé avec nos gens du renseignement en Irak contre l'Etat islamique. Hors de propos, car le général iranien a été accueilli par le gouvernement irakien et n'a commis aucun acte de violence ni crime de guerre au moment de sa mort. Prématurément, car tout ce qu'il avait prévu de faire n'était pas une attaque imminente contre les États-Unis ou les Américains. Nous le savons parce que les responsables de l'administration Trump ont révélé que le président avait donné l'ordre de tuer il y a sept mois, en juin 2019. Dans quelle mesure une attaque aurait-elle pu être imminente en juin si elle n'avait pas eu lieu en janvier ?

    Et illégal, car nous ne sommes pas en guerre contre l'Iran, et les assassinats politiques ont été interdits par des décrets exécutoires encore valides signés par les présidents Gerald R. Ford et Ronald Reagan. La Constitution des États-Unis limite le pouvoir légal du gouvernement fédéral de tuer des troupes étrangères en temps de guerre et après une procédure régulière, aucun des deux ne résidant ici. De plus, les traités internationaux auxquels les États-Unis sont parties, ainsi que les lois de la guerre auxquelles les États-Unis souscrivent, interdisent les tueries préventives, sauf lorsque la cible est à peu près - la «certitude» est la norme - à frapper.

    Maintenant, revenons aux sables mouvants de la justification.

    RépondreSupprimer
  22. Peu de temps après la mort du général, le secrétaire d'État Mike Pompeo a fait valoir que les attaques de Soleimani contre les Américains étaient imminentes. Le président Donald Trump lui-même a affirmé que Soleimani prévoyait d'attaquer quatre ambassades américaines au Moyen-Orient. Lorsque le secrétaire à la Défense Mark Esper a été invité à dire s'il avait vu des données de renseignement sur l'attaque de quatre ambassades, il a répondu que non. Lorsque Pompeo a été pressé de comprendre les quatre revendications des ambassades de Trump, il a proposé que les données du renseignement ne révèlent pas quand, où ni comment, mais il savait que Soleimani n'était "probablement" pas bon.

    Lorsqu'on a demandé au porte-parole du Département d'État si des alertes d'attaques probables avaient été envoyées à des ambassades américaines dans la région, elle a répondu que non.

    Ensuite, la Maison Blanche a envoyé la directrice de la CIA, Gina Haspel, le président des chefs d'état-major général Mark Milley, et Pompeo et Esper, pour informer les membres du Congrès des renseignements, des justifications morales et juridiques de l'administration concernant le meurtre du général. Aucun des briefers n'a mentionné quatre ambassades ni aucune donnée montrant où, quand et comment il pourrait frapper - juste des probabilités. Lorsque les sénateurs républicains Mike Lee et Rand Paul ont contesté les briefers, le président a pesé lundi avec un tweet surprenant:

    "Les faux médias et leurs partenaires démocrates travaillent dur pour déterminer si la future attaque du terroriste Soleimani était" éminente "ou non, et mon équipe était d'accord. La réponse à la fois est un OUI fort, mais cela ne marche pas" t vraiment important à cause de son horrible passé! "

    Cette vantardise d'avoir tué le général "à cause de son horrible passé" a fait retentir des cloches et des sifflets au ministère de la Justice. L'argument de rétribution de Trump ne justifie pas légalement le meurtre d'une personne qui n'a pas commis de violence au moment du meurtre, et, sans doute, est un crime de guerre.

    Sur ce, le procureur général Bill Barr a révélé que le MJ avait été consulté sur la légalité du meurtre et l'avait approuvé si les attaques du général contre les Américains étaient imminentes. Maintenant que l'argument de l'imminence avait été ébranlé par les propres responsables de l'administration - y compris th

    Sur ce, le procureur général Bill Barr a révélé que le MJ avait été consulté sur la légalité du meurtre et l'avait approuvé si les attaques du général contre les Américains étaient imminentes. Maintenant que l'argument de l'imminence avait été ébranlé par les propres responsables de l'administration - y compris le président lui-même - le procureur général a soutenu que Soleimani devait mourir pour dissuader les autres en vertu de l'ancienne AUMF de 2002.

    RépondreSupprimer
  23. Ces justifications changeantes sont contraires à la raison et ne peuvent survivre à un simple contre-interrogatoire. Quand avons-nous commencé à tuer des généraux de pays avec lesquels nous ne sommes pas en guerre? Jamais dans notre histoire. Quand avons-nous commencé à tuer des généraux étrangers à cause de leur "horrible passé"? Jamais dans notre histoire. Comment le gouvernement peut-il utiliser l'AUMF 2002, dont la cible déclarée était les armes de destruction massive irakiennes, mais dont la véritable cible était Saddam Hussein, comme justification légale pour tuer un général non irakien 18 ans plus tard? Sauf dans l'esprit des loyalistes de l'administration extrême, il ne peut le faire légalement ou rationnellement.

    Pourquoi la vérité est-elle toujours la première victime de la violence gouvernementale ?

    http://www.judgenap.com/post/a-tangled-web-of-deception

    RépondreSupprimer
  24. La dissimulation des vaccins et la corruption massive au sommet: c'est un programme axé sur les produits pharmaceutiques


    Par Gary D. Barnett
    16 janvier 2020


    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) soupçonne toujours, a tenu un sommet mondial sur les vaccins au début de décembre 2019, et une vidéo très accablante a été divulguée et diffusée au public, et bien sûr, cette séquence vidéo particulière, comme l'a observé Mike Adams ici le plus sera probablement banni et supprimé de YouTube. Pourquoi YouTube supprimerait-il les déclarations réelles en direct lors d'une réunion mondiale, à moins qu'une dissimulation ne soit présente? Pourquoi les commentaires des plus hauts membres du W.H.O. à une conférence mondiale censée être supprimée sur l'innocuité de la vaccination, à moins que ces preuves factuelles ne nuisent à ceux qui profitent de ce programme de vaccination corrompu? Pourquoi les médias cacheraient-ils ces informations, à moins d'avoir quelque chose à gagner? Les forces à l'œuvre ici ne sont pas concernées par la sécurité, mais par la saturation totale du vaccin, quel que soit le risque.

    La partie cachée de cette réunion a concerné de nombreuses personnes remettant en question la sécurité réelle des vaccins, ou admettant que les problèmes de sécurité étaient non seulement évidents, mais aussi répandus. L'ouverture de ce lien à Brighton permettra d'accéder à cette séquence vidéo en direct.

    L'utilisation à long terme des vaccins, une utilisation qui a atteint des niveaux jamais atteints auparavant, en particulier chez les nourrissons et les jeunes enfants, a transformé la population mondiale en un état dépendant des vaccins, ce qui signifie que de plus en plus de vaccins devront être distribués pour pour combattre toutes les maladies de la condition humaine. Avec la vaccination de masse à ces niveaux, la résistance humaine naturelle et l'immunité aux maladies échoueront. Est-ce un résultat délibérément planifié? Est-ce que cela se fait progressivement afin de tromper une fois de plus le public dans la soumission totale des remèdes fabriqués recherchés qui augmentent considérablement la richesse et le pouvoir des personnes impliquées dans ce programme, tout en nuisant à la population en général ?

    Il y a des révélations ici qui sont pour le moins stupéfiantes. Ils exposent bon nombre des mensonges présentés par le W.H.O., l'American Medical Association, les médias grand public très complices et tous ses shills, et bien sûr le gouvernement à presque tous les niveaux, en particulier les bureaucraties fédérales toujours complices. Parmi ceux-ci, citons le (CDC) Center for Disease Control, la (FDA) Federal Drug Administration, (ACCV), Advisory Commission on Childhood Vaccines, (ACIP) Advisory Committee on Immunization Practices, ((NIH) National Institutes of Health , et le (VICP) National Vaccine Injury Compensation Program, parmi beaucoup d'autres. Le mensonge est à l'échelle du système et devrait être évident pour toute attention.

    Ce n'est plus un secret que les composants ajoutés aux vaccins appelés adjuvants, y compris l'aluminium et le mercure dans de nombreux cas, tous deux très toxiques, sont un risque sanitaire extrême. Mais l'industrie des vaccins ralentirait et mourrait sans recours à des adjudants. Selon le Dr Martin Howell Friede, coordonnateur, Initiative for Vaccine Research, W.H.O.:

    RépondreSupprimer
  25. «Chaque fois qu'il y a une association, qu'elle soit temporelle ou non temporelle, la première accusation est que c'est l'adjuvant. Et pourtant, sans adjuvants, nous n'aurons pas la prochaine génération de vaccins. Et bon nombre des vaccins que nous avons, allant du tétanos au VPH, nécessitent des adjuvants pour fonctionner. Ainsi, le défi que nous avons devant nous est le suivant: comment pouvons-nous renforcer la confiance dans ce domaine? Et la confiance vient d'abord des agences de régulation (je me tourne vers Marion). Quand on ajoute un adjuvant c'est parce que c'est essentiel. Nous n'ajoutons pas d'adjuvants aux vaccins parce que nous le voulons. Mais lorsque nous les ajoutons, cela ajoute à la complexité. Je donne des cours chaque année sur «Comment développez-vous les vaccins?» «Comment fabriquez-vous les vaccins?» Et la première leçon est, pendant que vous fabriquez votre vaccin, si vous pouvez éviter d’utiliser un adjuvant, veuillez le faire. La leçon deux est, si vous allez utiliser un adjuvant, utilisez-en un qui a des antécédents de sécurité. Et la troisième leçon est, si vous ne le faites pas, réfléchissez bien. "

    Il a ajouté: «À mesure que nous ajoutons des adjuvants, en particulier certains des adjuvants les plus récents, tels que l'ASO1, des adjuvants dérivés de la saponine, nous constatons une réactogénicité locale accrue… Le principal problème de santé que nous constatons est l'accusation à long terme , effets à long terme. (Gardez à l'esprit que «réactogénicité» signifie des effets indésirables courants et «attendus», en particulier des réponses immunologiques excessives et les signes et symptômes associés.)

    Après cette révélation qui a été filmée et rendue disponible, il devrait être évident que ceux qui défendent la vaccination sont très conscients du risque élevé associé à ces adjuvants, mais leur principal défi et objectif selon le Dr Friede et d'autres au W.H.O. ne consiste pas à trouver un meilleur moyen, mais à «bâtir la confiance» en utilisant les agences gouvernementales de régulation. Cela est révélateur et n'apporte aucune assurance que cet organisme se soucie de la sécurité, mais semble indiquer qu'une vaccination de masse à tout prix est souhaitée. C'est un résultat normal lorsque continuer à récolter des milliards et des milliards de dollars pour l'industrie pharmaceutique est le véritable objectif.

    De plus, selon le professeur Heidi Larson, PhD, directeur du Vaccine Confidence Project:

    «Nous avons un professionnel de la santé très bancal qui commence à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Lorsque les professionnels de première ligne commencent à poser des questions ou n’ont pas l’impression d’avoir suffisamment confiance en la sécurité pour s’opposer à la personne qui leur pose les questions. Je veux dire la plupart des programmes des facultés de médecine, même les programmes des sciences infirmières, je veux dire que dans les facultés de médecine, vous avez de la chance si vous avez une demi-journée sur les vaccins. Ne vous occupez pas de vous tenir au courant de tout cela. "Elle a également déclaré lors de la conférence:" Vous ne pouvez pas réutiliser la même vieille science pour la rendre meilleure si vous n'avez pas la science qui est pertinente pour le nouveau problème. Nous avons donc besoin de beaucoup plus d'investissements dans les sciences de la sécurité. »

    Donc, apparemment, les médecins et les infirmières en savent peu ou rien sur les vaccins ou leur innocuité. Et les supposés experts de l'Organisation mondiale de la santé admettent que beaucoup plus de sécurité est nécessaire, et en fait, ils utilisent la science ancienne et obsolète comme base pour leurs fausses affirmations selon lesquelles les vaccins sont parfaitement sûrs pour la plupart des gens.

    RépondreSupprimer
  26. De nombreux vaccins différents sont administrés aux nourrissons à six, dix et quatorze semaines, et ceux-ci contiennent de nombreux adjuvants et conservateurs différents provenant de nombreux fournisseurs différents, tous mélangés pour fabriquer ces vaccins. Aucune étude à ma connaissance n'a jamais été réalisée sur les réactions à ces concoctions pour des effets indésirables ou des réactions croisées possibles. Cette question a été posée par le Dr Bassey Okposen - Gestionnaire de programme, Centre national de coordination des vaccinations de routine d'urgence (NERICC) Abuja, Nigéria, mais n'a jamais été correctement répondue lors de cette soi-disant conférence sur la sécurité.

    L'essentiel est qu'aucun parent réfléchi et attentionné ne devrait autoriser ces vaccinations toxiques sans un examen très concentré, et si la satisfaction en matière de sécurité n'est pas à venir, alors plus de questions sont nécessaires. Ces personnes doivent être tenues au feu, car le programme de vaccination de masse est basé sur les bénéfices de l'industrie pharmaceutique et un programme de contrôle de masse de la population mondiale par les organes directeurs. Il s'agit d'une atrocité, et la santé et le bien-être de nous tous, en particulier des nourrissons et des enfants innocents, méritent beaucoup plus de protection que toute bureaucratie axée sur l'agenda ne peut ou ne pourra jamais offrir. La vérité vient sans cesse sur la tromperie du vaccin. Est-ce que quelqu'un écoutera

    https://www.lewrockwell.com/2020/01/gary-d-barnett/the-vaccine-cover-up-and-the-massive-corruption-at-the-top-this-is-a-pharmaceutical-driven-agenda/

    RépondreSupprimer
  27. 'Trans'-Gression: une militante "féminine" qui a flippé quand des femmes ont refusé de cirer ses balles


    par Tyler Durden
    Mer, 15/01/2020 - 18:05


    Juste au moment où vous pensiez enfin pouvoir lire sur quelqu'un comme une personne calme, recueillie et réfléchie - comme le militant trans Jonathan "Jessica" Yaniv qui a flippé lorsque les femmes ont refusé de cirer (cire pour l'épilation) ses parties génitales - ils vont attaquer un journaliste.

    Oui, le "militant trans bien connu" Yaniv est à nouveau pris en photo en train d'attaquer un journaliste devant un tribunal de Surrey, en Colombie-Britannique. plus tôt cette semaine.

    Jonathan Jessica a été filmé le 13 janvier sortant d'un palais de justice par le journaliste de The Rebel Keean Bexte, qui a publié une vidéo de Yaniv le frappant.

    «J. Yaniv vient de me frapper à l'arrière de la tête. Je viens de parler à la police. Heureusement, il y a deux caméras de sécurité directement au-dessus du palais de justice. J'ai besoin d'un Advil », a déclaré son tweet.

    La vidéo montre Yaniv courir ce qui semble être à environ 15 pieds de l'endroit où il / elle marchait pour affronter le journaliste, agitant ses bras sauvagement avant de lancer quelques coups de poing sur le journaliste.

    Le clip vidéo est devenu viral et compte maintenant plus d'un million de vues.

    Bexte dit que la police est "réticente" à inculper Yaniv: "En quelques secondes, Yaniv m'a chargé et m'a frappé l'arrière de la tête tout en me retenant. La police était réticente à l'accuser auparavant, et je m'adresse donc à un conseiller juridique pour déterminer mes options pour faire en sorte que cette menace soit rendue justice. "

    Il / elle était en cour pour une accusation d'armes prohibées pour commencer après avoir montré un taser à un autre activiste transgenre lors d'un débat sur les médias sociaux au sujet des plaintes de Yaniv au BC Human Rights Tribunal au sujet des esthéticiennes qui ne le cireraient pas - une "balle" d'une histoire que nous avons couverte ici.

    "Je n'ai pas besoin d'avoir peur dans ma propre maison, je vais me faire attaquer (de façon explicite)", a-t-il déclaré lors du débat, en brandissant un pistolet Taser.

    Mais ce n'est peut-être pas Yaniv qui doit être prudent, selon LifeSiteNews.com:

    Le blog Gender Trender a allégué qu'en mai, juin et juillet 2018, un certain nombre d'adolescentes se sont rendues sur Twitter, Facebook et Instagram pour affirmer que Yaniv "prétendait être transgenre" afin d'accéder à des groupes Facebook privés pour adolescentes "où il a craché" ses fétiches sexuels effrayants sur les jeunes femmes, les menstruations, les toilettes et les fantasmes des vestiaires. »

    En juillet dernier, Jessica Rumpel a déposé un rapport d'exploitation sexuelle des enfants contre Yaniv auprès de CyberTips pour l'avoir prétendument harcelée sexuellement lorsqu'elle avait entre 14 et 15 ans.

    Pendant ce temps, le Tribunal des droits de la personne de la Colombie-Britannique a finalement statué que: «La législation sur les droits de la personne n'exige pas qu'un fournisseur de services épile un type de parties génitales pour lesquelles il n'est pas formé et n'a pas consenti à l'épilation.

    En fait, à l'époque, Ricky Gervais le disait le mieux:

    https://www.zerohedge.com/health/trans-gression-female-activist-who-flipped-out-when-women-refused-wax-his-balls-attacks

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce sont des pédérastes qui se déguisent en femmes pour pouvoir les attaquer et contraindre des mineures !

      Supprimer