En cas de pandémie mondiale, voici les endroits les plus sûrs, selon des chercheurs
14:10 06.10.2019
Si une pandémie mondiale se déclenche, certains chanceux pourront se réfugier sur de grandes îles isolées et survivre, affirment des chercheurs néo-zélandais.
Des chercheurs ont désigné les endroits où il serait possible de survivre à l’apocalypse provoquée par une pandémie mondiale, indique une étude publiée dans la revue Risk Analysis.
Selon des chercheurs de l’université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, les nouvelles découvertes en matière de biotechnologie peuvent mener à une pandémie extrêmement dangereuse pour l’ensemble de l’humanité.
Si ce scénario catastrophe se réalise, certains États insulaires pourraient cependant servir de refuges aptes à sauver l’humanité de l’extinction.
Une vingtaine de «refuges»
Les chercheurs ont dressé un classement d’une vingtaine de zones géographiques qui ne seraient pas touchées par la pandémie. Il s’agit ainsi d’îles autosuffisantes et suffisamment grandes pour contenir un grand nombre de personnes ainsi que des technologies avancées pour être à même de repeupler la Terre par la suite.
Dans le top-5 de ces refuges se trouvent l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Islande, Malte et le Japon.
Les Pays-Bas renoncent au mot «Hollande» pour développer le tourisme
12:19 06.10.2019
Amsterdam va procéder à une campagne médiatique destinée à se défaire notamment des associations indésirables qu’a le pays avec les coffee shops en promouvant le nom «Pays-Bas» au lieu de «Hollande».
Les Pays-Bas vont mettre en œuvre une stratégie inédite de positionnement en ne se présentant plus au niveau international sous le nom de «Hollande», mais sous celui de «Pays-Bas». Cette nouvelle image de marque sera présentée plus tard cet automne, annonce le site Adformatie.
Ce changement marque un effort d’éloignement avec les associations indésirables qu’a le pays avec le quartier chaud d’Amsterdam et ses fameux coffee shops. Il est appelé à encourager notamment le tourisme.
La campagne de relations publiques sera menée entre autres par le gouvernement, l'industrie du tourisme et des groupes d'entreprises, précise le Telegraph.
Nouveau nom de marque
«Il a été convenu que le nom "Pays-Bas", nom officiel de notre pays, devrait être utilisé de préférence», a déclaré une porte-parole du ministère néerlandais des Affaires étrangères.
Ce nom figurera dans la promotion du concours Eurovision de la chanson, qui se tiendra à Rotterdam en mai prochain. L’équipe nationale de football ne sera désignée que comme celle des Pays-Bas, de même que l’équipe néerlandaise aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020.
La Hollande septentrionale et la Hollande méridionale sont des provinces des Pays-Bas situées sur la côte ouest du pays. Elles ont été gouvernées par les comtes de Hollande du 10ème au 16ème siècle et ont formé plus tard la partie la plus influente de la République néerlandaise.
Les Pays-Bas ont été fondés après la défaite de Napoléon à la bataille de Waterloo il y a plus de 200 ans, mais le nom Hollande a toujours été utilisé pour les désigner.
«Je ne voulais pas mourir»: une centaine de Femen manifestent au cimetière du Montparnasse - images
10:59 06.10.2019
Seins nus et corps couverts de slogans tels que «Stop féminicides» et «Plus écoutées mortes que vivantes», une centaine de militantes Femen ont manifesté samedi, en silence, au cimetière du Montparnasse.
La peau et les cheveux enduits d'argile, une centaine de Femen ont traversé en silence, samedi, le cimetière du Montparnasse, à Paris, pour dénoncer les féminicides et réclamer au gouvernement «une mobilisation plus forte», a rapporté l'AFP.
Chacune portait une pancarte noire en forme de stèle, où figuraient les noms de femmes tuées par leur conjoint ou ex-compagnon cette année: «Taïna, 20 ans, 3e féminicide», «Michèle, 72 ans, 10e féminicide», «Fabienne, 51 ans, 36e féminicide», «Marie-Alice, 53 ans, 51e féminicide», «Audrey, 37 ans, 66e féminicide», «Denise, 58 ans, 92e féminicide», «Clothilde, 35 ans, 96e féminicide», «Salomé, 21 ans, 100e féminicide».
«Pas une de plus»
Les manifestantes dans les rues voisines ont scandé «Pas une de plus», «Plus écoutées mortes que vivantes», avant d'entrer calmement dans le cimetière. Défilant sous la pluie, les Femen avaient inscrit en lettres blanches sur leur buste dénudé «Je ne voulais pas mourir», «Je l'ai quitté, il m'a tuée» ou «On me prendra au sérieux quand je serai morte».
Avec cette «marche symbolique», pour représenter «les 114 femmes victimes de féminicides» recensées par un collectif militant depuis le début de l'année, les Femen ont voulu interpeller le «pouvoir en place», a expliqué l'une d'entre elles dans une déclaration.
«Nous rappelons que la plupart» de ces femmes, «avant d'être assassinées, avaient été victimes de violences intrafamiliales et avaient alerté la société civile, la police, la justice, des menaces qui pesaient sur elles», a-t-elle ajouté, très émue.
«Un mois après le début du Grenelle» contre les violences conjugales, lancé le 3 septembre, «la mobilisation ne doit pas faiblir. Les féminicides ne sont pas une fatalité, mais bien un fléau que l'on peut endiguer», a-t-elle martelé.
Inna Shevchenko, figure de proue du mouvement Femen, a déclaré à des journalistes que «le plus important aujourd'hui, c'est de commencer à entendre les femmes».
«Nous voulons que la mobilisation soit plus forte encore de la part du gouvernement, des juges, des policiers [...]. Chacune d'entre nous est potentiellement victime de violences conjugales, de féminicide», a-t-elle souligné.
En 2018, 121 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, selon le ministère de l'Intérieur.
En cas de pandémie mondiale, voici les endroits les plus sûrs, selon des chercheurs
RépondreSupprimer14:10 06.10.2019
Si une pandémie mondiale se déclenche, certains chanceux pourront se réfugier sur de grandes îles isolées et survivre, affirment des chercheurs néo-zélandais.
Des chercheurs ont désigné les endroits où il serait possible de survivre à l’apocalypse provoquée par une pandémie mondiale, indique une étude publiée dans la revue Risk Analysis.
Selon des chercheurs de l’université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, les nouvelles découvertes en matière de biotechnologie peuvent mener à une pandémie extrêmement dangereuse pour l’ensemble de l’humanité.
Si ce scénario catastrophe se réalise, certains États insulaires pourraient cependant servir de refuges aptes à sauver l’humanité de l’extinction.
Une vingtaine de «refuges»
Les chercheurs ont dressé un classement d’une vingtaine de zones géographiques qui ne seraient pas touchées par la pandémie. Il s’agit ainsi d’îles autosuffisantes et suffisamment grandes pour contenir un grand nombre de personnes ainsi que des technologies avancées pour être à même de repeupler la Terre par la suite.
Dans le top-5 de ces refuges se trouvent l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Islande, Malte et le Japon.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201910061042221021-en-cas-de-pandemie-mondiale-voici-les-endroits-les-plus-surs-selon-des-chercheurs/
Les Pays-Bas renoncent au mot «Hollande» pour développer le tourisme
RépondreSupprimer12:19 06.10.2019
Amsterdam va procéder à une campagne médiatique destinée à se défaire notamment des associations indésirables qu’a le pays avec les coffee shops en promouvant le nom «Pays-Bas» au lieu de «Hollande».
Les Pays-Bas vont mettre en œuvre une stratégie inédite de positionnement en ne se présentant plus au niveau international sous le nom de «Hollande», mais sous celui de «Pays-Bas». Cette nouvelle image de marque sera présentée plus tard cet automne, annonce le site Adformatie.
Ce changement marque un effort d’éloignement avec les associations indésirables qu’a le pays avec le quartier chaud d’Amsterdam et ses fameux coffee shops. Il est appelé à encourager notamment le tourisme.
La campagne de relations publiques sera menée entre autres par le gouvernement, l'industrie du tourisme et des groupes d'entreprises, précise le Telegraph.
Nouveau nom de marque
«Il a été convenu que le nom "Pays-Bas", nom officiel de notre pays, devrait être utilisé de préférence», a déclaré une porte-parole du ministère néerlandais des Affaires étrangères.
Ce nom figurera dans la promotion du concours Eurovision de la chanson, qui se tiendra à Rotterdam en mai prochain. L’équipe nationale de football ne sera désignée que comme celle des Pays-Bas, de même que l’équipe néerlandaise aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020.
La Hollande septentrionale et la Hollande méridionale sont des provinces des Pays-Bas situées sur la côte ouest du pays. Elles ont été gouvernées par les comtes de Hollande du 10ème au 16ème siècle et ont formé plus tard la partie la plus influente de la République néerlandaise.
Les Pays-Bas ont été fondés après la défaite de Napoléon à la bataille de Waterloo il y a plus de 200 ans, mais le nom Hollande a toujours été utilisé pour les désigner.
https://fr.sputniknews.com/international/201910061042220062-les-pays-bas-renoncent-au-mot-hollande-pour-developper-le-tourisme/
«Je ne voulais pas mourir»: une centaine de Femen manifestent au cimetière du Montparnasse - images
RépondreSupprimer10:59 06.10.2019
Seins nus et corps couverts de slogans tels que «Stop féminicides» et «Plus écoutées mortes que vivantes», une centaine de militantes Femen ont manifesté samedi, en silence, au cimetière du Montparnasse.
La peau et les cheveux enduits d'argile, une centaine de Femen ont traversé en silence, samedi, le cimetière du Montparnasse, à Paris, pour dénoncer les féminicides et réclamer au gouvernement «une mobilisation plus forte», a rapporté l'AFP.
Chacune portait une pancarte noire en forme de stèle, où figuraient les noms de femmes tuées par leur conjoint ou ex-compagnon cette année: «Taïna, 20 ans, 3e féminicide», «Michèle, 72 ans, 10e féminicide», «Fabienne, 51 ans, 36e féminicide», «Marie-Alice, 53 ans, 51e féminicide», «Audrey, 37 ans, 66e féminicide», «Denise, 58 ans, 92e féminicide», «Clothilde, 35 ans, 96e féminicide», «Salomé, 21 ans, 100e féminicide».
«Pas une de plus»
Les manifestantes dans les rues voisines ont scandé «Pas une de plus», «Plus écoutées mortes que vivantes», avant d'entrer calmement dans le cimetière. Défilant sous la pluie, les Femen avaient inscrit en lettres blanches sur leur buste dénudé «Je ne voulais pas mourir», «Je l'ai quitté, il m'a tuée» ou «On me prendra au sérieux quand je serai morte».
Avec cette «marche symbolique», pour représenter «les 114 femmes victimes de féminicides» recensées par un collectif militant depuis le début de l'année, les Femen ont voulu interpeller le «pouvoir en place», a expliqué l'une d'entre elles dans une déclaration.
«Nous rappelons que la plupart» de ces femmes, «avant d'être assassinées, avaient été victimes de violences intrafamiliales et avaient alerté la société civile, la police, la justice, des menaces qui pesaient sur elles», a-t-elle ajouté, très émue.
«Un mois après le début du Grenelle» contre les violences conjugales, lancé le 3 septembre, «la mobilisation ne doit pas faiblir. Les féminicides ne sont pas une fatalité, mais bien un fléau que l'on peut endiguer», a-t-elle martelé.
Inna Shevchenko, figure de proue du mouvement Femen, a déclaré à des journalistes que «le plus important aujourd'hui, c'est de commencer à entendre les femmes».
«Nous voulons que la mobilisation soit plus forte encore de la part du gouvernement, des juges, des policiers [...]. Chacune d'entre nous est potentiellement victime de violences conjugales, de féminicide», a-t-elle souligné.
En 2018, 121 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, selon le ministère de l'Intérieur.
https://fr.sputniknews.com/france/201910061042219359-je-ne-voulais-pas-mourir-une-centaine-de-femen-au-cimetiere-du-montparnasse/