« La valeur nutritive des fruits et légumes a diminué depuis les années 50 / baliverne #22 », d'Agriculture et Environnement
22 Octobre 2019 Seppi Glané sur la toile 422
« En 2015, la revue écologiste Terra Eco défrayait la chronique en affirmant que "pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 50 il faudrait en manger aujourd’hui une demi-cagette". L’émission "Cash Investigation" a repris le même crédo en juin 2019, déclarant que "70% des fruits et légumes les plus consommés en France ont perdu en moyenne depuis 1960, 16% de leur calcium, 27% de leur vitamine C et 48% de leur fer". Toutefois ces chiffres ne sont pas fiables pour plusieurs raisons. »
En 2 minutes 33 secondes, l'excellent Agriculture et Environnement démonte ces balivernes. On peut visionner la séquence et lire le texte sur son site, et visionner sur Youtube ou ci-dessous.
Voilà qui s'ajoute, sous une forme plus ludique à
« 100 fois plus de vitamine C dans une pomme hier que dans celle d’aujourd’hui ? », émission « On n’est pas des pigeons ! », RTBF, 12 septembre 2017.
Tout n'est pas bon dans cette séquence.
« Perte de nutriments dans les fruits et légumes entre 1950 et 2000 ? Fack Checking de "Cash Investigation" », de M. Thibault Fiolet, quoi dans mon assiette.fr, 20 juin 2019.
« La valeur nutritionnelle des aliments a-t-elle diminué depuis 60 ans ? », Léon Guéguen, in La revue de l’Académie d’agriculture, n°12, mai 2017, ainsi que « Le prétendu déclin de la valeur nutritionnelle des aliments ».
Et d'autres. Même le Monde en réaction, à l'époque, à Rue89 et Terra Eco... Quant aux balivernes de Cash Investigation, le Monde pouvait difficilement les démonter : il avait fait l'article pour l'émission avant sa diffusion !
Mais gageons que la baliverne des fruits et légumes sans valeur nutritive (sauf pour les « bio » évidemment) aura plus de succès que la baliverne #22 et les autres rappels des faits, et qu'elle sera périodiquement ressuscitée... La fausse monnaie chasse la bonne, la fausse information, c'est quasiment pareil. Mais il fallait faire la baliverne #22.
Notons aussi que le Calcium a plusieurs pseudonymes: Il s'appelle aussi Tartre (sur les dents) ou Calcaire (dans les tuyaux). Et que les ruptures de la hanches sont généralement dues au manque de calcium cause à l'emploi... d'anti-calcaires !
Les 3 inefficacités du marché des rencontres : pourquoi les premiers rendez-vous sont voués à l’échec
Audrey Duperron 21 octobre
Le marché des rencontres est apparu pour la première fois dans la recherche économique en 1973, lorsque Gary Becker a proposé la première théorie du mariage.
Suite à Becker, Sarah Sharf a mené sa propre expérience de rencontre et décrit trois inefficacités spécifiques à ce marché sur Priceonomics.
Becker considérait la société comme une grande fête, avec des hommes et des femmes en tant qu’agents rationnels cherchant à optimiser la sélection de leurs partenaires. Il a conclu que les hommes choisissent des femmes ayant à peu près le même niveau de séduction, et vice-versa.
Des enquêtes ultérieures ont montré, entre autres, que les hommes attachent plus d’importance à une bonne apparence physique que les femmes. Les femmes, par contre, trouveraient l’intelligence presque deux fois plus importante que les hommes.
Mais le vrai marché des rencontres est complètement différent des expériences contrôlées des économistes et est en réalité extrêmement inefficace, commente Sharf.
En réalité, les candidats ne choisissent pas parmi le total des célibataires d’une société, mais parmi ceux qu’ils rencontrent par hasard. Les recherches de Sharf repose donc sur une enquête auprès d’hommes en recherche de partenaires, plutôt que sur des expériences de laboratoire. Sa première observation majeure est que presque toutes les personnes qui cherchent à rencontrer un futur partenaire se obtiennent leurs premiers rendez-vous par l’intermédiaire d’un ami commun ou au travers des sites de rencontre en ligne.
En outre, elle déduit également de ses recherches trois inefficacités intéressantes lors de ces premières rencontres :
1. Les premières rencontres sont généralement ennuyeuses
La principale raison pour laquelle les personnes interrogées n’avaient pas apprécié un premier rendez-vous était l’ennui. Le problème est que les conversations d’introduction sont rarement intéressantes, surtout lorsque les deux protagonistes sont également nerveux. La stratégie dominante devient alors plutôt ennuyeuse que controversée, ce qui conduit à un équilibre sous-optimal.
2. Nous nous préparons à une déception
Les personnes qui se rencontrent pour la première fois – et en particulier celles qui ont obtenu ce rendez-vous en ligne – ont souvent des attentes déraisonnables quant à l’attrait physique ou à certains traits de personnalité de leur partenaire. La manière dont les hommes et les femmes établissent leurs profils conduit inévitablement à des malentendus. Parce que ‘je suis un amoureux de la nature’ signifie-t-il que vous aimez marcher dans les bois ou que vous vous attendez à ce que votre partenaire vous accompagne faire un trekking dans l’Himalaya quatre fois par an ? Tout cela peut conduire à une dissonance cognitive entre perception et réalité et, par la suite, à un sentiment de mal placé de désillusion.
Il est frappant de constater que peu de personnes sur le marché des rencontres sont activement à la recherche d’une nouvelle relation. 84 % des répondants se sont décrits comme une personne « cherchant occasionnellement une rencontre » ou une personne sélective dans ses rencontres » et une majorité sont « trop occupées » pour se montrer assidu. De nombreuses premières rencontres conduisent donc à des déceptions entre les deux parties qui ont des attentes radicalement différentes.
Si vous souhaitez augmenter vos chances de réussite d’une première rencontre, cette étude offre donc trois leçons :
Ne pas éviter les sujets controversés Ne pas avoir des attentes irréalistes. Indiquez clairement dès le début l’objectif que vous souhaitez atteindre avec la rencontre.
La rencontre est pour certaines personne considérée comme un tracas ! Un fardeau voire un boulet ! Un problème qui prend la tête au lieu de la satisfaire !
La personne du sexe opposé ne doit pas être considérée comme un soucis en plus mais comme un soucis en moins.
LES ESPÈCES SONNANTES ET TRÉBUCHANTES NE VONT PAS DISPARAITRE DE SI TÔT, SELON LA MONNAIE DE PARIS
par OLIVIER SANCERRE 21/10/2019
La Monnaie de Paris a enregistré un chiffre d'affaires de 137,6 millions d'euros en 2018.
Si la tentation est grande dans plusieurs pays de supprimer complètement la monnaie fiduciaire, le cash est là pour rester, selon la Monnaie de Paris.
Les espèces sonnantes et trébuchantes ont-elles encore un avenir ? La question se pose, alors que les systèmes de paiement dématérialisés se multiplient, que les cryptomonnaies ont toujours le vent en poupe, et que les cartes bancaires remplacement de plus en plus les billets dans les portefeuilles. Pour la Monnaie de Paris, pas de panique : le cash reste toujours un moyen de paiement « résilient, inclusif et gratuit », relève Marc Schwartz, le PDG de l'entreprise, auprès des Echos. « Certains pays qui ont annoncé vouloir se diriger vers une société sans espèces en reviennent », explique-t-il également. Quant à la tentative de Facebook de lancer sa propre cryptomonnaie, le Libra, celle-ci n'a « pas beaucoup de chances de prendre », assure-t-il encore.
Demande en baisse
Même si le cash n'est pas prêt de disparaitre, la production de monnaie fiduciaire est en baisse. L'État va ainsi baisser ses commandes de 10% par an pendant les trois prochaines années. Or, la fabrication d'euros représente près d'un tiers du chiffre d'affaires de La Monnaie de Paris (sur un total de 137,6 millions d'euros l'an dernier). La société doit donc trouver des débouchés pour continuer à prospérer. Pour cela, elle peut compter sur son savoir-faire et son ancienneté (l'entreprise a été fondée en 864 !), et aussi sur l'international.
Opportunités à l'international
Depuis 2016, la Monnaie de Paris fabrique de la monnaie pour l'Arabie saoudite. Les Jeux olympiques de 2024, qui se tiendront à Paris, vont permettre à l'entreprise de multiplier les produits dérivés. Et puis la société mise aussi sur la rénovation et la modernisation de son outil de production pour gagner en compétitivité. Et ainsi attirer de nouveaux clients pour un produit qui ne va disparaitre de si tôt.
L'idée saugrenue de n'autoriser bientôt que les paiements électrique n'empêchera nullement les transactions pour ventes d'armes et de drogues car, elles se feront en monnaies étrangères !
A savoir aussi que les banques (seules propriétaires de l'argent déposé !) peuvent donc vider en moins d'une seconde des millions de comptes pour 'faillites' constatées ! mais encore être victime de l'EMP ! Car, cette arme redoutable que possède désormais tous les pays du monde peut éteindre tout ce qui fonctionne à l'électricité ! Voitures (batteries) comme avions, trains, ordinateurs, téléphones, etc, etc. Cette Impulsion ElectroMagnétique rend tout-à-coup impossible la totalité des transactions par cartes bancaires. C'est aussi tout-à-coup le monde du silence ! Silence où seuls les piétons, les cyclistes et les personnes a cheval peuvent encore se déplacer !
Seuls les moteurs lancés à la manivelle (voitures anciennes, etc) ou à courroie de lancement (tronçonneuses, moto-bineuses, etc) pourront encore servir.
Petite histoire pas du tout fictive : un black-out généralisé en Europe occidentale ?
le 22 octobre 2019
La ville de Caracas et ses environs ont connu il y a quelques mois un black-out pendant plusieurs jours créant un chaos indescriptible. La population était heureusement habituée aux coupures d’électricité récurrentes depuis plusieurs années mais jamais un tel black-out avait duré aussi longtemps. En Californie, l’Etat le plus riche des USA, la compagnie de gaz et d’électricité PG&E, en faillite, a organisé lors d’un épisode de vents violents des black-out partiels concernant tout de même parfois plus de 200000 foyers. La raison incroyable pour un Etat aussi riche est l’état de délabrement avancé du réseau de distribution électrique basse et moyenne tension pouvant provoquer des incendies comme ce fut le cas il y a un an au nord de l’agglomération de Los Angeles. Mais que se passerait-il si un black-out généralisé s’étendait à toute l’Europe occidentale ?
Presque tous les pays européens sont interconnectés et un défaut sur une partie du réseau provoqué par une trop forte demande en énergie ou au contraire une trop forte charge sur ce réseau provoquerait très rapidement un black-out général par un enchainement incontrôlable de défauts. Un défaut peut aussi être provoqué par des conditions météorologiques extrêmes comme par exemple de très fortes chutes de neige. La neige peut en effet s’agglomérer sur les conducteurs électriques aériens et provoquer par son poids une chute ou une rupture de ces derniers. Enfin une forte tempête magnétique solaire peut provoquer un black-out total sans oublier naturellement une ou plusieurs attaques terroristes ciblées sur des centres de dispatching stratégiquement importants.
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La première conséquence du black-out est une déconnection de toutes les usines productrices d’électricité du réseau car elles ne peuvent plus « évacuer » l’énergie produite puisque ce réseau est devenu soudainement inopérant. Les centrales électriques utilisant du gaz naturel présentent les inconvénients les moins critiques car elles peuvent être mises à l’arrêt en quelques minutes et il est possible de rétablir leur fonctionnement tout aussi rapidement. Pour les usines utilisant du charbon et du fuel lourd la situation n’est pas critique car les chaudières produisant de la vapeur ont une inertie thermique relativement peu élevée. Ce n’est pas le cas des centrales nucléaires. Les barres de contrôle et l’injection de borate dans le circuit de refroidissement primaire vont stopper la fission mais l’inertie thermique de l’ensemble du combustible et de la cuve du réacteur est grande. Une mise à l’arrêt va nécessiter un refroidissement rapide et continu du coeur du réacteur tant que le réseau électrique sera incapable d’accepter de l’énergie.
La reconstruction du réseau est progressive car il est impératif de rétablir les capacités de stabilité du réseau électrique. En effet, afin d’éviter tout risque de nouvelle instabilité il faut adapter la demande à la production électrique et le rétablissement du réseau ne peut en aucun cas être atteint en quelques heures. Or compte tenu des capacités de réserve de production, dans le cas présent les petits systèmes de production en particulier hydroélectriques, au delà de trois jours de black-out la situation devient de plus en plus critique et la reconstruction du réseau de plus en plus longue et difficile. C’est la raison pour laquelle un black-out généralisé sur l’Europe occidentale aurait des conséquences incalculables sur l’ensemble des populations et de l’économie.
Les centrales nucléaires ne peuvent redevenir capable de produire de l’électricité rapidement que, et uniquement, si le black-out n’a pas été trop long. Au delà de 5 jours d’arrêt il faudra autant de jours pour produire à nouveau de la vapeur de qualité suffisante pour que les turbines puissent fonctionner et ainsi de suite. Seules les usines fonctionnant avec du gaz naturel pourront rapidement être reconnectées au réseau en reconstruction progressive. Compte tenu de la taille du réseau électrique européen le rétablissement intégral de ce dernier pourrait nécessiter plusieurs jours en étant optimiste. Les spécialistes dans ce domaine sont très diserts car il ne faut pas affoler les populations. Certains ingénieurs de l’armée suisse ont levé un coin du voile et c’est tout simplement terrifiant.
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Quelles peuvent être les conséquences d’un black-out ?
Immédiatement la population est confrontée à une totale impossibilité d’effectuer toute une série d’opérations de base comme par exemple se nourrir : ni les fours à micro-ondes ni les réfrigérateurs ne fonctionnent. Les distributeurs de billets et les lecteurs de carte de paiement sont inopérants, les feux de signalisation dans les villes sont éteints et il devient rapidement très difficile de se déplacer dans les villes. Il n’y a plus d’eau puisque les pompes ne fonctionnent plus, plus de gaz naturel puisqu’il n’y a plus de pompes et de compresseurs opérationnels, plus de téléphones fixes ou portables, plus d’informations. La nuit les villes sont plongées dans l’obscurité totale et par mesure de sécurité les forces de police et les militaires imposent très rapidement un couvre-feu strict afin de prévenir tout vandalisme ou pillage puisque les systèmes d’alarme ne fonctionnent plus. La plupart des entreprises industrielles sont à l’arrêt, les hôpitaux ne fonctionnent plus qu’à petite vitesse pour éviter au maximum d’épuiser leurs réserves de carburant pour l’alimentation des groupes électrogènes. En effet, la distribution de carburants est devenue également totalement arrêtée. La situation ne peut qu’empirer au point de devenir dangereuse socio-économiquement parlant au fur et à mesure que le black-out se prolonge.
Toute la société se paralyse progressivement et c’est inévitable. Personne, aucun pays, aucun gouvernement, aucun politicien n’a pris une quelconque mesure à l’échelle d’une population en cas de black-out durant plus de trois jours, ce qui est un minimum dans le cas de l’ensemble du réseau européen. Très rapidement, en quelques jours seulement, s’installera dans la population un autre aspect terrifiant : le stress alimentaire combiné à la pénurie de carburant et à la totale absence des réseaux de distribution des denrées alimentaires. En quelques jours seulement la plupart des produits de première nécessité disparaissent. Par exemple en Suisse les ménages disposent de trois jours de nourriture, à Bordeaux un jour seulement et à Paris moins d’une journée.
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Une autre conséquence inattendue mais jamais abordée est la perte totale de la mémoire des banques de données dépendant d’une alimentation électrique fiable pour rester fonctionnelles autant dire que le jour où il redevient possible d’accéder à internet on s’aperçoit que tout a disparu ! Tous les utilisateurs du « cloud », que ce soit des particuliers ou des entreprises seront vraiment désappointés. Je laisse à mes lecteurs le soin d’imaginer ce qui se passerait en cas de prolongement au delà d’une semaine. Je ne suis pas collapsologue mais un « simple » black-out de quelques jours en Europe occidentale aurait des conséquences tout simplement terribles que personne n’ose aborder.
Au sujet de possibles « cyber-attaques » pouvant perturber une centrale nucléaire, je rassure tout de suite mes lecteurs car l’ensemble des système informatiques de pilotage des centrales nucléaires – je parle ici de la France – sont totalement indépendants du réseau internet. Pour EDF en France il existe un réseau « intranet » hautement sécurisé par lequel sont acheminés les ordres de pilotage de puissance des installations hydroélectriques et de certains réacteurs nucléaires dont la puissance est pilotable à +5/-5 % de leur puissance opérationnelle réglée à 95 % de la puissance nominale. Ce réseau intranet propre à EDF est lui-même isolé du réseau internet transnational. Juste une dernière remarque à ce sujet : la privatisation programmée des ouvrages hydroélectriques français ressemble à une haute trahison permettant à des acteurs privés d’interférer avec le fonctionnement de l’électricien national (EDF), la seule entreprise française encore en bonne santé … mais pour combien de temps.
Inspiré d’une conférence présentée à l’INRIA de Grenoble en France par Grégoire Chambaz, ingénieur membre de l’armée suisse. Illustrations tirées de cette conférence : youtube.com/watch?v=u9sau9f1FCM
Cette historiette de 'black-out' ne compte pas bizarrement sur une action émanant de l'EMP ! L'Impulsion ElectroMagnétique est une arme redoutable dont dispose aujourd'hui tous les pays du monde. C'est ce que les chinois (il y a qq années) ont appelé 'la bombe propre'. Elle est larguée depuis un avion ou ballon stratosphérique et explose en altitude. L'onde (suivant la puissance) est capable de couvrir en quelques secondes le tour de la Terre ! et donc de griller TOUT appareil qui utilise de l'électricité !
C'est-à-dire: Satellites, avions, bateaux à moteur, véhicules terrestres à moteur en démarrage électrique, ordinateurs, téléphones, etc, etc. Seuls les véhicules au démarrage par manivelle ou courroie de lancement (moto-bineuses, tondeuses à gazon, tronçonneuses, etc) pourront fonctionner.
Or, pour les centrales nucléaire, l'usage de pompe d'approvisionnement en eaux des réacteurs est nécessaire et risquerait de créer des centaines de 'Fukushima' en qq heures par assèchement des réacteurs privés d'eaux !
Personnellement je ne sais pas s'il existe des moteurs pompes (assez puissants pour les centrales) à manivelle ou courroie de lancement.
Quelles en seraient les conséquences ? Dramatiques ! Primo, si toutes les voitures s'arrêtent en villes et qu'il n'y a plus de téléphones portables qui fonctionnent: c'est l'EMP. Donc, dans la première demi-heure cherchez à vous cacher dans une cave ou sous un pont car, durant ces 30 minutes des avions vont forcément tomber et exploser. Passée demi-heure vous ressortez et gagnez la rivière, le fleuve qui va à la mer. Donc: nécessité d'avoir ou d'acheter un bateau (a rames ou a voile), construire un radeau pour gagner la mer. Après, vous vous laissez emporter par le courant ou le vent pour gagner le large car, s'il y a xxx Fukushima dans le monde (sans bruit, sans odeur, sans couleur d'air) des milliards de Becquerels seront transportés par les vents. Par contre, vous aurez plus de chances de vous sauver en gagnant une île du Pacifique qu'une des Antilles.
D'où la précaution d'avoir chez soi au moins un 'Bombard', gonfleur à pied, cannes à pêche, gilets de sauvetages, voiles ou ballons pouvant servir de force de traction, système de fabrication d'eau dessalée (boites, poêle, réchaud).
La prochaine hausse de 50 centimes sur le prix des paquets sera imposée le 1er novembre.
Le tabac permet à l'État de gonfler ses caisses à moindre coût (mais pas pour le fumeur !). Les recettes fiscales tirées de la vente de cigarettes vont augmenter de manière conséquente cette année et l'année prochaine.
La Sécurité sociale, principal bénéficiaire des recettes fiscales tirées de la vente de tabac, peut se réjouir de la politique menée depuis 2018 par le gouvernement. Les gains fiscaux enregistrés sur les cigarettes ont permis à l'État d'encaisser 1,1 milliard d'euros supplémentaires en 2018. Pour 2019, cette somme devrait augmenter de 450 millions. Et en 2020, année qui verra le paquet de 20 cigarettes atteindre les 10 euros, les recettes fiscales seront de 2 milliards d'euros supplémentaires à celles de l'année 2017, d'après BFM Business. Dans le détail, les recettes fiscales sur le tabac atteindront 13,58 milliards d'euros l'année prochaine, un chiffre en hausse de 1,7 milliard par rapport à 2017. À cela s'ajoutent la TVA de 16,64% : on aboutit à 2 milliards de plus soit un total de 16 milliards d'euros pour les finances publiques.
Près de 16 milliards d'euros pour l'État
Le gouvernement a lancé début 2018 une stratégie visant à atteindre un prix de 10 euros le paquet d'ici la fin de l'année prochaine. Chaque année, les prix augmentent de 1 euro en moyenne, alors qu'ils tournaient autour de 7 euros en 2017. Ces hausses successives ont un impact sur la consommation, après tout c'est le but initial de cette politique : -9% en 2018. Mais cette baisse est compensée par la hausse des prix. Une opération très rentable pour les finances publiques !
10 euros le paquet
La prochaine augmentation du prix du tabac aura lieu le 1er novembre. Les fabricants de cigarettes devront appliquer une hausse de 50 centimes en moyenne sur leurs paquets (9,30 euros le paquet de Marlboro, au lieu de 8,80 euros actuellement). En 2020, ce sont deux autres augmentations ciblées qui seront imposées. Les fumeurs pourront-ils continuer à acheter des cigarettes alors que le paquet atteindra 10 euros ? Le seuil psychologique risque d'être difficile à dépasser.
TAXI MOTO À ORLY : REJOIGNEZ LA CAPITALE DÈS LA DESCENTE DE L'AVION !
21/10/2019
Gain de temps, manque de taxis, trajets optimisés… Les services de taxi moto à Orly sont de plus en plus populaires afin de garantir aux usagers des trajets en toute sécurité et tranquillité. Un pilote se chargera d’assurer le transfert des clients entre Orly et toutes les destinations parisiennes. Votre chauffeur sera à votre disposition pour effectuer un trajet dans les meilleures conditions possible. Aussi, si vous en avez marre d’être coincé dans les embouteillages, cette solution est plus qu’avantageuse.
Un moyen de transport sûr
Vous vous plaignez souvent de l’état de la circulation dans la ville parisienne ? Alors il est temps d’opter pour un autre mode de transport qu’est le taxi moto à Orly. C’est un moyen de locomotion très avantageux et qui vous permettra d’être ponctuel. Vous vous éloignerez ainsi de tout stress néfaste provoqué par les déplacements en voiture. Si vous avez besoin de vous déplacer sur Paris, vous devez vite faire une réservation pour un taxi moto à Orly. Nul besoin d’annuler un rendez-vous important ou de gâcher votre séjour. Un pilote agréé se chargera de vous emmener à destination de jour comme de nuit.
Mais comment le pilote va-t-il assurer votre sécurité ?
- En vous proposant un casque ;
- En vous équipant d’une veste de protection ;
- En misant sur une paire de gants ;
- En vous proposant des vêtements de pluie en cas d’intempérie.
Comment faire pour un réserver un taxi moto ?
Un pilote de taxi se tient à votre entière disposition et vous certifiera un trajet en toute sérénité avec des équipements adaptés. Toutefois, vous devez organiser votre trajet à l’avance, en indiquant l’heure et le lieu de départ, afin de répondre efficacement à toutes vos attentes. Faire une réservation est donc une étape incontournable pour mieux préparer votre voyage à Paris.
Vous pouvez effectuer une réservation en ligne depuis Paris ou une autre ville. Vous recevrez par la même occasion des informations sur le tarif de la course. Avec Fury Road vous aurez de plus amples informations sur le tarif.
Découvrir Paris autrement grâce au taxi moto à Orly
Vous êtes de passage pour quelques jours ou le temps d’un weekend à Paris ? Vous avez peu de temps à passer en ville ? Sachez que Paris séduit toujours autant les voyageurs, malheureusement, en raison d’un emploi du temps assez serré, il n’est pas évident de découvrir tous les points de la capitale. En plus, se déplacer au centre même de la ville n’est pas une mince affaire avec les bouchons.
Opter pour un taxi moto à Orly, c’est partir à la découverte de la capitale de jour comme de nuit, c’est mieux anticiper ses déplacements, c’est profiter au mieux de son séjour et passer moins de temps dans les trafics.
Profiter des plaisirs d’une ballade à moto
Bien évidemment, lorsque vous réserverez un taxi moto à Orly pour vous rendre à l’aéroport ou pour aller retrouver un client, des amis, des collègues, la première chose que vous désirez, c’est de vous rendre d’un point à un autre sans contrainte. Le taxi moto est un mode de transport qui vous permettra de sillonner les routes en toute quiétude. Il est plus pratique de se déplacer en ville à moto qu’avec une voiture, car vous bénéficierez d’un confort inégalé sans oublier le fait que vous profiterez de services irréprochables.
Figure: Andy Pitman dit «nous ne comprenons pas ce qui cause les sécheresses» mais «le lien indirect est clair»!
En août dernier, j'ai posté les premières citations extraordinaires du professeur Andy Pitman selon lesquelles il n'y avait pas de lien entre le changement climatique et la sécheresse.
October 21st, 2019
Les nouvelles sur les sécheresses étaient banales et évidentes, car plus d'eau s'évaporait dans un monde plus chaud et, par conséquent, plus de pluie tombait - comment pourrait-il en être autrement ? Ce qui monte doit redescendre. Mais cette citation était très importante car elle n’avait jamais été énoncée aussi clairement par un croyant et un modeleur de haut rang. (Merci à Jim Sternhill d’avoir repéré cette citation incendiaire et involontairement honnête.) Depuis leur publication ici, ces citations ont été reprises par Maurice Newman, Alan Jones, puis Chris Kenny (The Australian editor) et Andrew Bolt - ce qui signifie que le Pitman- La sécheresse est devenue un problème majeur pour la machine climatique. Par conséquent, ils ont dû trouver une excuse de brouillard pour brouiller la clarté, et la voici. Pitman a oublié un mot.
Prof Andy Pitman dit maintenant qu'il voulait dire qu'il n'y avait pas de lien direct: Barry a déclaré que cette "clarification" disait que Pitman avait "laissé de côté un mot crucial": "il n'y a pas de lien direct entre le changement climatique et la sécheresse".
«Mais le réchauffement climatique entraîne-t-il des changements dans les régimes pluviométriques pouvant entraîner une sécheresse ? Oui. Ce lien indirect est clair… Dans certaines régions, cela augmente le risque de sécheresse, dans d’autres, il diminue. »
Au fur et à mesure que les recouvrements disparaissent, on note «Bon essai, mais pas de banane». Ajouter un seul mot laisse ouverte la possibilité vague de diseur de bonne aventure que les gaz d'échappement de nos voitures peuvent indirectement causer des sécheresses - mais aucun des modèles climatiques mondiaux ne permet de prédire les précipitations régionales de manière fiable, voire non fiable. Ils n'arrivent même pas à prédire le signe plus ou moins des tendances des précipitations. Les GCM sont officiellement au rendez-vous avec des lancers de pièces. Il est donc un peu (comme dans totalement) trompeur de Pitman de dire que le lien indirect est clair. Il n’existe aucune preuve définitive que la modification des niveaux de gaz carbonique ait un effet mesurable sur les régimes de précipitations - les modélisateurs auraient peut-être une idée des régions qui deviendraient plus humides et de celles qui ne le feraient pas, au lieu d’être totalement habiles en matière de précipitations. (voir Anagnostopolous, 2010 pour commencer).
N'oublions pas ce qu'Andy Pitman a également déclaré en juin:
"… Le problème fondamental que nous avons est que nous ne comprenons pas ce qui cause les sécheresses."
Oui, exactement. C’est plutôt une bombe sur l’idée que tout peut être «clair». Apparemment, même si les forces qui provoquent la sécheresse sont un mystère complet pour les climatologues, ils "savent" que le gaz carbonique a un lien, d'une manière ou d'une autre. Lo et Neptune voyagent à travers la constellation de Morceaux, ce qui provoque la carpe sur les GCM. Attendez-vous à ce qu'un homme mystérieux vous vole le coeur le mois prochain, ou peut-être juste une partie de votre portefeuille grâce à votre facture d'électricité.
Pendant ce temps pour les personnes nées sous le soleil, UNSW vole une partie de notre héritage, de notre impôt et de notre santé mentale avec de fausses données scientifiques. Trop c'est trop.
Depuis le flashback Pitman, rappelons-nous à quel point tous ces mots originaux ont été condamnés Du professeur Andy Pitman:
"Nous ne comprenons pas ce qui cause les sécheresses." "Nous ne savons pas ce qui arrête une sécheresse". "Il n'y a pas de lien entre le changement climatique et la sécheresse." "Il n'y a aucune raison a priori pour que le changement climatique rende le paysage plus aride." ”Il n’y a pas de tendance dans les données…. Il n'y a pas de tendance au séchage. … «Pas de tendance au cours des cent dernières années» Nous regardons une analyse de type lecture de palme: Paul Barry sur ABC MediaWatch avait besoin de la vague allusion à un éventuel mécanisme indirect pour accuser Bolt d’omettre des informations essentielles:
Paul Barry:
Vous avez donc omis deux faits cruciaux. La première est qu'il y a une tendance à l'assèchement au cours des vingt dernières années. Deuxièmement, il y a une tendance à la sécheresse à long terme dans certaines régions et pas dans d'autres.
Andrew Bolt l'a qualifié de pathétique trompeur et évasif, soulignant qu'il avait mis les citations complètes sur son blog, et soulignant que la chute des précipitations au cours des vingt dernières années n'avait aucune pertinence si aucune tendance ne se dégageait au cours des 100 dernières années, et que même Andy Pitman a indiqué que ces changements de tendances montrent «à quel point les précipitations australiennes sont variables».
Aujourd'hui, Andrew Bolt présente une diapositive d'une présentation de Pitman. …
Dans les mots d'Andy Pitman:
"La science actuelle ne peut pas nous dire le signe du changement de la sécheresse future."
Paul Barry ne sait pas à quel point les prévisions de précipitations sont mauvaises: c’est un véritable agneau. Il accuse Bolt d'avoir raconté le discours de Pitman:
Paul Barry: Notez l’accent mis sur «admet», comme s’il le connaissait depuis le début et finissait par avouer.
Mais voici la chose, c’est absolument vrai. Les modeleurs ont toujours su. Un monde plus chaud signifie plus de pluie.
Et toutes les «preuves» citées par Paul Barry ne sont que des estimations approximatives qui proviennent d'une planète simulée dans une galaxie très éloignée:
En outre, si vous consultez la recherche publiée - comme Kenny, Jones et Bolt l’auraient facilement pu le faire -, vous constaterez que de nombreux climatologues concluent que le réchauffement de la planète a un effet.
La récente sécheresse en Afrique du Sud, par exemple, au cours de laquelle le Cap a failli manquer d’eau, a été rendue trois fois plus probable par le changement climatique, selon des chercheurs dirigés par l’Institut de changement de l’environnement de l’Université d’Oxford.
De plus, des études menées par différents chercheurs sur 45 sécheresses dans le monde, cartographiées ici par le site britannique Carbon Brief, ont montré que 30 changements étaient aggravés ou plus probables par les changements climatiques induits par l'homme.
Donc, de fausses preuves de fausses planètes. Et Paul Barry, maître journaliste des journalistes, aurait aussi pu "examiner" les recherches publiées, aussi facilement qu'il l'a dit, de Kenny, Bolt et Jones. De toute évidence, il ne l’a pas fait. Ou alors, il aurait pu simplement chercher sur Google et trouver joannenova.com.au et moi aurions expliqué gratuitement à quel point ces calculs modélisés de «pourcentage de probabilité» sont sans signification quand ils proviennent de modèles sans habilité que même les modélistes admettent «ne comprennent pas les causes sécheresses. "
Vous pourriez aussi bien demander à votre astrologue combien de sécheresses ont été causées par votre climatiseur. C’est une meilleure politique nationale que de demander à UNSW - elle aurait autant de chance de réussir mais serait beaucoup moins chère.
Je souligne depuis des années à quel point les modélisateurs du climat sont tristes avec les précipitations, probablement parce qu’ils n’incluent pas les variations spectrales, magnétiques ou éoliennes du soleil, et que les cycles solaires semblent être liés aux précipitations, au débit des cours d’eau, aux jets, aux inondations et aux sécheresses:
Une faible activité solaire signifie davantage d'inondations en Europe centrale Mégadroughs des 2000 dernières années pire, plus longtemps que les sécheresses actuelles Sun contrôle la moitié du taux de recharge des eaux souterraines en Chine depuis 700 ans Les effets du soleil semblent modifier la structure des vents et des précipitations au cours des 3 000 dernières années au Chili Modèles climatiques: 100% correct sauf pour la pluie, la sécheresse, les tempêtes, l'humidité et tout le reste RÉFÉRENCE [1] Anagnostopoulos, G. G., D. Koutsoyiannis, A. Christofides, A. Efstratiadis et N. Mamassis, (2010). Une comparaison des résultats des modèles climatiques locaux et agrégés avec les données observées », Hydrological Sciences Journal, 55: 7, 1094 - 1110 [PDF]
Professor Andy Pitman, (2019) Presentation — The SEI forum: Adapting Climate Science for Business, Wednesday 19 June, 2019, Sydney Environment Institute (SEI), University of Sydney.
AusExit: Pétition pour retirer l'Australie de l'Accord de Paris sur le climat
October 22nd, 2019
Pétition EN1116 - Arguments en faveur de l'abandon de l'accord de Paris sur le climat
https://www.aph.gov.au/petition_list?id=EN1116
Raison de la pétition
Les pétitionnaires soussignés demandons à la Chambre de revenir sur l’engagement de l’Australie vis-à-vis de l’ACCORD DE PARIS SUR LE CLIMAT ratifié le 9 novembre 2016 et déclaré «entrée en vigueur» le 9 décembre 2016. L’Australie respecte ses objectifs en matière d’émission. Nous contribuons environ 1,5% des émissions mondiales et de nombreux scientifiques éminents conseillent que les changements apportés par ce pays n’auront que peu ou pas d’effet sur le climat mondial. L’Amérique, deuxième émetteur de gaz à effet de serre du monde, a officiellement annoncé son intention de se retirer de l’Accord de Paris. La Chine, le plus grand émetteur de gaz à effet de serre du monde, augmentera considérablement leurs émissions d’ici 2030, et d’autres pays en développement ont obtenu un «laissez-passer gratuit» en vertu du même accord. Le coût estimé pour notre pays est de 52 milliards de dollars entre 2018 et 2030. Cela aura de graves conséquences économiques et sociales sur l’Australie, les contribuables finançant des «puissances économiques en développement, à la croissance rapide», comme la Chine et l’Inde. L’Accord de Paris ne fonctionne pas comme prévu et il existe plus de risque que de récompense pour le maintien de l’Australie. Nous devons considérer un AUSExit de Paris.
Demande de pétition
Nous demandons donc à la Chambre d’informer officiellement la CCNUCC de l’intention de l’Australie de se retirer de l’Accord de Paris sur le climat. La première date à laquelle la déclaration peut être faite est de 3 ans à compter de la date de «l’entrée en vigueur» de l’accord. Cette date est le 9 décembre 2019. La radiation officielle prend effet 12 mois plus tard. Le signer. : -)
Veuillez lire et confirmer que vous acceptez les termes et conditions. Vous devez être un résident ou un citoyen australien pour signer une pétition. Les membres actuels de la Chambre des représentants ne peuvent pas signer de pétition.
Vérifiez votre email après la signature pour confirmer!
Petition NOT SCIENTIFIC because, if it were, it would have titled that ALL THE GAS RECYCLENT and that there is NO greenhouse gas and that the carbon gas is NOT a poison !
dégâts de gibiers FNSEA FNC (Fédération nationale de la chasse)
Des hivers plus doux, des glands et du maïs en abondance : les sangliers pullulent en France, au grand dam des agriculteurs dont ils ravagent les cultures et des chasseurs qui disent ne plus pouvoir assumer les dégâts.
Comme ailleurs en Europe, la population de sangliers a augmenté dans l’Hexagone au cours des dernières décennies : 36 000 étaient tués au début des années 1970, 750 000 en 2017. Les raisons de cette explosion démographique ? Les sangliers se reproduisent vite et les hivers plus doux favorisent la survie des marcassins.
Pas de prédateurs naturels
Leurs prédateurs naturels ont été éliminés. Ces omnivores bénéficient d’une nourriture en forêt (glands, châtaignes, faines), mais aussi dans les champs. Ils sont friands de maïs cultivé sur des surfaces étendues en France, peuvent facilement se cacher dans les grandes parcelles et s’adaptent également bien aux zones périurbaines.
Pendant longtemps, la chasse de cet animal rare dans l’après-guerre s’est faite « de façon à en assurer la préservation voire le développement », soulignait en mars un rapport parlementaire. C’est-à-dire en évitant de tuer les adultes reproducteurs, en particulier les laies, en relâchant des sangliers dans la nature ou en les nourrissant.
Davantage de dégâts
19départements concentrent la moitié des indemnisations versées pour des dégâts de grand gibier.
S’en est suivie une augmentation des dégâts agricoles, en particulier sur le maïs, le blé tendre et les prairies, au point que Christiane Lambert, présidente du premier syndicat agricole, la FNSEA, a reproché publiquement aux chasseurs, qui doivent prendre en charge les dégâts, de ne pas en faire assez.
Pour la saison de chasse de 2016-2017, les chasseurs ont ainsi payé 37 millions d’euros au titre de l’indemnisation « grand gibier », dont le sanglier est le principal responsable. En ajoutant les coûts d’estimations des dégâts, des gestions de dossier et d’actions de prévention, la facture grimperait à 60 millions, selon le rapport parlementaire.
« Ces problèmes ne sont pas répartis également sur le territoire », précise à l’AFP Éric Marboutin, de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Les dégâts se concentrent dans l’Est et le centre : « 19 départements concentrent 50 % des montants indemnisés », selon le rapport parlementaire.
Des chasseurs à cours de fonds
« Nous ne sommes plus en mesure financièrement de payer », s’alarme Willy Schraen, président de la FNC, Fédération nationale des chasseurs, qui abordera le sujet lors de l’assemblée générale de l’organisation ce mardi 22 et mercredi 23 ocotbre 2019.
Il existait un pot commun national pour ces indemnisations. Mais il vient d’être supprimé par le gouvernement au profit d’un système de dédommagements au niveau local, dans l’idée de responsabiliser davantage les fédérations de chasse départementales.
« Il y a plein de territoires qu’on ne maîtrise plus », assure Willy Schraen, citant les zones périurbaines où il est impossible de chasser avec des armes à feu car trop dangereux, des espaces naturels protégés ou des forêts où les propriétaires refusent la chasse.
Changer la loi pour partager les frais
« On souhaite changer la loi », poursuit Willy Schraen, pour ne plus être les seuls à payer le montant des dégâts. Thierry Chalmin, qui suit le dossier à la FNSEA, réclame le « tir libre du sanglier », c’est-à-dire que les chasseurs n’épargnent plus les reproducteurs, ni les laies ayant des petits, et si besoin est le recours au piégeage en zone périurbaine.
Le rapport parlementaire va dans ce sens en recommandant de « bannir toute consigne restrictive pour la chasse », mais aussi de réduire la taille des parcelles agricoles pour limiter les possibilités de se cacher pour les sangliers.
Le spectre de la peste porcine africaine
Outre les dégâts dans les champs, la prolifération des sangliers inquiète aussi les agriculteurs à cause de la menace de la peste porcine africaine, présente en Belgique. « Ce serait une catastrophe pour les éleveurs de porcs », insiste Thierry Chalmin.
Le ministère de la Transition écologique, de son côté, met en avant des mesures prises récemment : interdiction de lâcher des sangliers dans la nature, limitation de l’agrainage, qui consiste à appâter le gibier avec du grain en forêt ou responsabilisation financière des fédérations départementales.
Il reste à régler l’épineuse question financière, selon les chasseurs qui attendent à leur assemblée générale le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume, la secrétaire d’État à la Transition écologique Emmanuelle Wargon et la présidente de la FNSEA.
L'augmentation exponentielle du nombre de sangliers en 20 ans a été de les multiplier par 20 ! La cause est premièrement la diminution de paysans qui les chassaient, deuxièmement la surface des exploitations ne permet plus de savoir ce qui se passe à x kilomètres et, troisièmement la diminution du nombre de chasseurs en général.
Une banque sur trois dans le monde pourrait faire faillite dans les prochains mois
15:52 22.10.2019
Un tiers des banques pourrait bientôt faire faillite, révèle un récent rapport du cabinet de conseil McKinsey. Cette étude recense 354 établissements menacés.
Une banque sur trois pourrait mettre la clé sous la porte au cours des prochains mois, indique une étude publiée ce mardi 22 octobre par le cabinet McKinsey. Au total, 354 banques sont concernées.
L’étude, menée sur 984 banques à travers le monde, révèle en effet que 354 d’entre elles sont menacées de disparition. Il s’agit pour la majorité d’établissements bancaires d’Europe de l’Ouest (37%) et de pays développés d’Asie (43%).
McKinsey indique notamment que les banques ont connu une rentabilité d’environ 3,6% entre 2010 et 2018, contre 16,8% entre 2002 et 2007. Par ailleurs, 35% des établissements affichent une rentabilité moyenne de 1,6% sur les trois dernières années, alors que les meilleurs d’entre eux ont généré une rentabilité de 17,1%.
Les banques les plus fragiles disposent d’une dernière chance pour «se construire une taille significative via des acquisitions ou en restructurant leurs modèles d'activité avant qu'il ne soit trop tard», souligne le rapport.
«Ce qui peut rendre particulièrement alarmiste, au-delà des enjeux industriels et stratégiques déjà connus pour les banques, c'est le ralentissement de la croissance. On pourrait arriver en bout de cycle», confie un senior partner chargé du secteur financier chez McKinsey et cité par Les Échos.
Le 15 octobre dernier, le Fonds monétaire international (FMI) avait de nouveau revu ses prévisions à la baisse, annonçant une croissance mondiale de 3%.
Buchanan: La démocratie est-elle une espèce en voie de disparition ?
par Tyler Durden Mar, 10/22/2019 - 11:10 Écrit par Patrick Buchanan via Buchanan.org,
Qu'advient-il lorsque la démocratie ne parvient pas à livrer ? Que se passe-t-il quand les gens abandonnent la démocratie ?
Que se passe-t-il lorsqu'une majorité ou une minorité militante décide que les droits constitutionnels de liberté d'expression, d'élections libres, de réunion pacifique et de pétition sont insuffisants et descend dans la rue pour forcer la démocratie à se soumettre à leurs revendications ?
Le Chili est le pays le plus stable et le plus prospère d'Amérique latine.
Pourtant, lorsque sa capitale, Santiago, a récemment augmenté ses tarifs de métro de 5%, des milliers de personnes se sont engouffrées dans les rues. Émeute, pillage, incendie criminel suivi. Le système de métro a été complètement détruit. La police a été agressée. Des personnes sont mortes. Les émeutes se sont propagées dans six autres villes. Des troupes ont été appelées.
Le président de la République, Sebastian Pinera, a annulé la hausse des tarifs et déclaré une urgence nationale en déclarant que «le Chili est en guerre contre un ennemi puissant et implacable qui ne respecte rien ni qui que ce soit et qui est prêt à utiliser la violence et le crime sans limite.»
Comment une démocratie qui a engendré en elle un ennemi puissant et implacable y fait face ?
La semaine dernière, des dizaines de milliers de Libanais de toutes confessions et associations politiques se sont révoltés à Beyrouth et à Tripoli pour demander le renversement du régime et l'éviction de son président, président du Parlement et premier ministre Saad Hariri. Tout doit partir, les masses exigent.
À Barcelone, vendredi, un demi-million de personnes ont envahi les rues en signe de protestation après la condamnation à Madrid des sécessionnistes qui cherchaient à obtenir l'indépendance de la Catalogne vis-à-vis de l'Espagne en 2017.
Dans toute la Chine, peu de gens jouissent des libertés des 7 millions de Hong Kong. Pourtant, pendant cinq mois, ces Chinois libres et chanceux ont protesté contre une proposition qui aurait permis d'extrader des habitants de Hong Kong vers la Chine. Ils ont fait irruption dans les rues pour défier le régime et dénoncer les conditions dans lesquelles ils vivent.
Ces manifestations ont été marquées par des émeutes, du vandalisme, des incendies criminels et des affrontements avec la police. «Les rues de Hong Kong sont plongées dans le chaos après un rassemblement dimanche non favorable à la démocratie», écrit l'Associated Press. Les manifestants “ont mis en place des barrages routiers et incendié des commerces, et la police a riposté avec des gaz lacrymogènes et un canon à eau. Les manifestants ont lancé des bombes incendiaires et ont pris la colère des magasins liés aux relations avec la Chine continentale. ”
Qu'est-ce que les habitants de Hong Kong dénoncent et exigent ?
Ils protestent contre les limitations actuelles et futures de leur liberté. L’apparition de drapeaux américains dans les manifestations suggère que c’est ce que recherchent les agitateurs du Boston Tea Party et les garçons et les hommes de Concord Bridge: l’indépendance, la liberté et la rupture des liens avec la mère patrie.
Cependant, comme le régime communiste de Xi Jinping n'a pas pu survivre à une telle amputation, la libération de Hong Kong n'est pas dans les cartons. La fin de ces mois de protestation sera probablement frustration, futilité et échec.
C'est peut-être cette prise de conscience qui explique la véhémence et la violence. Mais la rage est aussi ce qui tue le soutien qu'ils ont initialement reçu.
Dans les années 1960 en Amérique, les premières manifestations pour les droits civils ont suscité une sympathie généralisée. Mais les émeutes urbaines qui ont suivi à Harlem, Watts, Newark, Detroit et dans 100 villes après l’assassinat de Martin Luther King ont envoyé des millions de personnes sous les drapeaux du gouverneur George Wallace lors des campagnes de 1968 et 1972.
Lorsque les manifestations du "gilet jaune" ont éclaté en 2018 à Paris, à propos d'une taxe sur les carburants, les manifestants ont eu le soutien de millions de Français.
Mais ce soutien s'est dissipé lorsque les manifestants ont commencé à casser des vitrines de boutiques sur les Champs-Élysée, à attaquer la police et à profaner des monuments et des monuments commémoratifs.
Ce retour à la violence, le saccage des magasins et la pluie de policiers, de briques, de bouteilles et de débris, coûtent une grande partie de l’assistance aux manifestants. Dans le compromis entre liberté et ordre, les gens opteront finalement pour l'ordre.
Pourtant, on se demande: pourquoi ces explosions de manifestations violentes et d’émeutes ont-elles lieu dans des sociétés stables, libres et prospères ?
Le Chili est le pays le plus stable et le plus riche d’Amérique du Sud. La Catalogne est la partie la plus prospère de l'Espagne. Paris est à peine un enfer de répression. Et Hong Kong est la ville la plus libre de Chine.
Si les bénéficiaires des libertés et des droits démocratiques finissent par les considérer comme insuffisants pour produire les résultats politiques, économiques et sociaux qu’ils exigent, qu’est-ce que cela augure pour l’avenir de la démocratie ?
Car, malgré les pillages, les incendies criminels et les attaques contre les flics à Hong Kong, Xi Jinping ne va pas ordonner à ses satrapes de se plier aux revendications populaires d'autonomie ou d'indépendance. Madrid n'acceptera pas non plus la perte de Barcelone et la sécession de la Catalogne. Le gouvernement conservateur chilien ne va pas non plus céder aux rebelles et aux révolutionnaires de la rue. Paris ne va pas non plus se rabattre sur les «gilets jaunes».
Pourtant, on peut se demander: si la thèse de la «fin de l'histoire» et du triomphe mondial du capitalisme démocratique a été réfutée, comme la plupart des gens en conviennent, est-il possible que l'ère de la démocratie soit elle-même une phase passagère de l'histoire de l'Ouest et du monde ?
(...) Que se passe-t-il quand les gens abandonnent la démocratie ? (...)
Question qui NE S'EST JAMAIS POSÉE !
Le sieur 'Patrick Buchanan' n'est qu'un trou de cul de plus aux dictatures en place dans le monde.
A SAVOIR: La Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple. Il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie !! La Suisse. En Suisse, les suisses proposent LEURS lois et votent LEURS lois. Dans les dictatures ce sont leurs tuteurs qui votent eux-mêmes leurs lois de merde et votent eux-mêmes leurs lois de merde. Le Peuple doit fermer sa gueule.
Les manifestations pour la Démocratie sont spontanément réprimées par les forces de l'ordre jusqu'à tuer quiconque qui ose marcher dans la rue ! C'est VOLONTAIREMENT que des personnes se sont appelées 'gilets jaunes' et non comme à sa désignation: des 'gilets de sécurité', c'était donc une faute VOLONTAIRE de limiter le nombre de manifestants compatissants aux symboles de traitres, de juifs et de cocus. Cet échec ne doit pas être pris en compte comme étant la révolte des françaises & des français mais uniquement un barrage à la Démocratie demandée par les françaises & les français !
Ce sont des faux manifestants (comme le sont ces gosses attardés qui payés plus de 4OO € par semaine ! vont défiler pour ou contre le climat sans savoir ce que c'est !), des black-blocs, des terroristes, des excisés qui s'en prennent aux personnes qui ne veulent que la liberté de vivre pour chacun !
« La valeur nutritive des fruits et légumes a diminué depuis les années 50 / baliverne #22 », d'Agriculture et Environnement
RépondreSupprimer22 Octobre 2019
Seppi
Glané sur la toile 422
« En 2015, la revue écologiste Terra Eco défrayait la chronique en affirmant que "pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 50 il faudrait en manger aujourd’hui une demi-cagette". L’émission "Cash Investigation" a repris le même crédo en juin 2019, déclarant que "70% des fruits et légumes les plus consommés en France ont perdu en moyenne depuis 1960, 16% de leur calcium, 27% de leur vitamine C et 48% de leur fer". Toutefois ces chiffres ne sont pas fiables pour plusieurs raisons. »
En 2 minutes 33 secondes, l'excellent Agriculture et Environnement démonte ces balivernes. On peut visionner la séquence et lire le texte sur son site, et visionner sur Youtube ou ci-dessous.
Voilà qui s'ajoute, sous une forme plus ludique à
« 100 fois plus de vitamine C dans une pomme hier que dans celle d’aujourd’hui ? », émission « On n’est pas des pigeons ! », RTBF, 12 septembre 2017.
Tout n'est pas bon dans cette séquence.
« Perte de nutriments dans les fruits et légumes entre 1950 et 2000 ? Fack Checking de "Cash Investigation" », de M. Thibault Fiolet, quoi dans mon assiette.fr, 20 juin 2019.
« La valeur nutritionnelle des aliments a-t-elle diminué depuis 60 ans ? », Léon Guéguen, in La revue de l’Académie d’agriculture, n°12, mai 2017, ainsi que « Le prétendu déclin de la valeur nutritionnelle des aliments ».
Et d'autres. Même le Monde en réaction, à l'époque, à Rue89 et Terra Eco... Quant aux balivernes de Cash Investigation, le Monde pouvait difficilement les démonter : il avait fait l'article pour l'émission avant sa diffusion !
Mais gageons que la baliverne des fruits et légumes sans valeur nutritive (sauf pour les « bio » évidemment) aura plus de succès que la baliverne #22 et les autres rappels des faits, et qu'elle sera périodiquement ressuscitée... La fausse monnaie chasse la bonne, la fausse information, c'est quasiment pareil. Mais il fallait faire la baliverne #22.
http://seppi.over-blog.com/2019/10/la-valeur-nutritive-des-fruits-et-legumes-a-diminue-depuis-les-annees-50/baliverne-22-d-agriculture-et-environnement.html
Notons aussi que le Calcium a plusieurs pseudonymes: Il s'appelle aussi Tartre (sur les dents) ou Calcaire (dans les tuyaux). Et que les ruptures de la hanches sont généralement dues au manque de calcium cause à l'emploi... d'anti-calcaires !
SupprimerLes 3 inefficacités du marché des rencontres : pourquoi les premiers rendez-vous sont voués à l’échec
RépondreSupprimerAudrey Duperron
21 octobre
Le marché des rencontres est apparu pour la première fois dans la recherche économique en 1973, lorsque Gary Becker a proposé la première théorie du mariage.
Suite à Becker, Sarah Sharf a mené sa propre expérience de rencontre et décrit trois inefficacités spécifiques à ce marché sur Priceonomics.
Becker considérait la société comme une grande fête, avec des hommes et des femmes en tant qu’agents rationnels cherchant à optimiser la sélection de leurs partenaires. Il a conclu que les hommes choisissent des femmes ayant à peu près le même niveau de séduction, et vice-versa.
Des enquêtes ultérieures ont montré, entre autres, que les hommes attachent plus d’importance à une bonne apparence physique que les femmes. Les femmes, par contre, trouveraient l’intelligence presque deux fois plus importante que les hommes.
Mais le vrai marché des rencontres est complètement différent des expériences contrôlées des économistes et est en réalité extrêmement inefficace, commente Sharf.
En réalité, les candidats ne choisissent pas parmi le total des célibataires d’une société, mais parmi ceux qu’ils rencontrent par hasard. Les recherches de Sharf repose donc sur une enquête auprès d’hommes en recherche de partenaires, plutôt que sur des expériences de laboratoire. Sa première observation majeure est que presque toutes les personnes qui cherchent à rencontrer un futur partenaire se obtiennent leurs premiers rendez-vous par l’intermédiaire d’un ami commun ou au travers des sites de rencontre en ligne.
En outre, elle déduit également de ses recherches trois inefficacités intéressantes lors de ces premières rencontres :
1. Les premières rencontres sont généralement ennuyeuses
La principale raison pour laquelle les personnes interrogées n’avaient pas apprécié un premier rendez-vous était l’ennui. Le problème est que les conversations d’introduction sont rarement intéressantes, surtout lorsque les deux protagonistes sont également nerveux. La stratégie dominante devient alors plutôt ennuyeuse que controversée, ce qui conduit à un équilibre sous-optimal.
2. Nous nous préparons à une déception
Les personnes qui se rencontrent pour la première fois – et en particulier celles qui ont obtenu ce rendez-vous en ligne – ont souvent des attentes déraisonnables quant à l’attrait physique ou à certains traits de personnalité de leur partenaire. La manière dont les hommes et les femmes établissent leurs profils conduit inévitablement à des malentendus. Parce que ‘je suis un amoureux de la nature’ signifie-t-il que vous aimez marcher dans les bois ou que vous vous attendez à ce que votre partenaire vous accompagne faire un trekking dans l’Himalaya quatre fois par an ? Tout cela peut conduire à une dissonance cognitive entre perception et réalité et, par la suite, à un sentiment de mal placé de désillusion.
3. Mauvais timing
RépondreSupprimerIl est frappant de constater que peu de personnes sur le marché des rencontres sont activement à la recherche d’une nouvelle relation. 84 % des répondants se sont décrits comme une personne « cherchant occasionnellement une rencontre » ou une personne sélective dans ses rencontres » et une majorité sont « trop occupées » pour se montrer assidu. De nombreuses premières rencontres conduisent donc à des déceptions entre les deux parties qui ont des attentes radicalement différentes.
Si vous souhaitez augmenter vos chances de réussite d’une première rencontre, cette étude offre donc trois leçons :
Ne pas éviter les sujets controversés
Ne pas avoir des attentes irréalistes.
Indiquez clairement dès le début l’objectif que vous souhaitez atteindre avec la rencontre.
https://fr.express.live/premieres-rencontres-3-causes-echec/
La rencontre est pour certaines personne considérée comme un tracas ! Un fardeau voire un boulet ! Un problème qui prend la tête au lieu de la satisfaire !
SupprimerLa personne du sexe opposé ne doit pas être considérée comme un soucis en plus mais comme un soucis en moins.
LES ESPÈCES SONNANTES ET TRÉBUCHANTES NE VONT PAS DISPARAITRE DE SI TÔT, SELON LA MONNAIE DE PARIS
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
21/10/2019
La Monnaie de Paris a enregistré un chiffre d'affaires de 137,6 millions d'euros en 2018.
Si la tentation est grande dans plusieurs pays de supprimer complètement la monnaie fiduciaire, le cash est là pour rester, selon la Monnaie de Paris.
Les espèces sonnantes et trébuchantes ont-elles encore un avenir ? La question se pose, alors que les systèmes de paiement dématérialisés se multiplient, que les cryptomonnaies ont toujours le vent en poupe, et que les cartes bancaires remplacement de plus en plus les billets dans les portefeuilles. Pour la Monnaie de Paris, pas de panique : le cash reste toujours un moyen de paiement « résilient, inclusif et gratuit », relève Marc Schwartz, le PDG de l'entreprise, auprès des Echos. « Certains pays qui ont annoncé vouloir se diriger vers une société sans espèces en reviennent », explique-t-il également. Quant à la tentative de Facebook de lancer sa propre cryptomonnaie, le Libra, celle-ci n'a « pas beaucoup de chances de prendre », assure-t-il encore.
Demande en baisse
Même si le cash n'est pas prêt de disparaitre, la production de monnaie fiduciaire est en baisse. L'État va ainsi baisser ses commandes de 10% par an pendant les trois prochaines années. Or, la fabrication d'euros représente près d'un tiers du chiffre d'affaires de La Monnaie de Paris (sur un total de 137,6 millions d'euros l'an dernier). La société doit donc trouver des débouchés pour continuer à prospérer. Pour cela, elle peut compter sur son savoir-faire et son ancienneté (l'entreprise a été fondée en 864 !), et aussi sur l'international.
Opportunités à l'international
Depuis 2016, la Monnaie de Paris fabrique de la monnaie pour l'Arabie saoudite. Les Jeux olympiques de 2024, qui se tiendront à Paris, vont permettre à l'entreprise de multiplier les produits dérivés. Et puis la société mise aussi sur la rénovation et la modernisation de son outil de production pour gagner en compétitivité. Et ainsi attirer de nouveaux clients pour un produit qui ne va disparaitre de si tôt.
http://www.economiematin.fr/news-especes-sonnantes-trebuchantes-pas-disparaitre--monnaie-paris
L'idée saugrenue de n'autoriser bientôt que les paiements électrique n'empêchera nullement les transactions pour ventes d'armes et de drogues car, elles se feront en monnaies étrangères !
SupprimerA savoir aussi que les banques (seules propriétaires de l'argent déposé !) peuvent donc vider en moins d'une seconde des millions de comptes pour 'faillites' constatées ! mais encore être victime de l'EMP ! Car, cette arme redoutable que possède désormais tous les pays du monde peut éteindre tout ce qui fonctionne à l'électricité ! Voitures (batteries) comme avions, trains, ordinateurs, téléphones, etc, etc. Cette Impulsion ElectroMagnétique rend tout-à-coup impossible la totalité des transactions par cartes bancaires. C'est aussi tout-à-coup le monde du silence !
Silence où seuls les piétons, les cyclistes et les personnes a cheval peuvent encore se déplacer !
Seuls les moteurs lancés à la manivelle (voitures anciennes, etc) ou à courroie de lancement (tronçonneuses, moto-bineuses, etc) pourront encore servir.
Petite histoire pas du tout fictive : un black-out généralisé en Europe occidentale ?
RépondreSupprimerle 22 octobre 2019
La ville de Caracas et ses environs ont connu il y a quelques mois un black-out pendant plusieurs jours créant un chaos indescriptible. La population était heureusement habituée aux coupures d’électricité récurrentes depuis plusieurs années mais jamais un tel black-out avait duré aussi longtemps. En Californie, l’Etat le plus riche des USA, la compagnie de gaz et d’électricité PG&E, en faillite, a organisé lors d’un épisode de vents violents des black-out partiels concernant tout de même parfois plus de 200000 foyers. La raison incroyable pour un Etat aussi riche est l’état de délabrement avancé du réseau de distribution électrique basse et moyenne tension pouvant provoquer des incendies comme ce fut le cas il y a un an au nord de l’agglomération de Los Angeles. Mais que se passerait-il si un black-out généralisé s’étendait à toute l’Europe occidentale ?
Presque tous les pays européens sont interconnectés et un défaut sur une partie du réseau provoqué par une trop forte demande en énergie ou au contraire une trop forte charge sur ce réseau provoquerait très rapidement un black-out général par un enchainement incontrôlable de défauts. Un défaut peut aussi être provoqué par des conditions météorologiques extrêmes comme par exemple de très fortes chutes de neige. La neige peut en effet s’agglomérer sur les conducteurs électriques aériens et provoquer par son poids une chute ou une rupture de ces derniers. Enfin une forte tempête magnétique solaire peut provoquer un black-out total sans oublier naturellement une ou plusieurs attaques terroristes ciblées sur des centres de dispatching stratégiquement importants.
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La première conséquence du black-out est une déconnection de toutes les usines productrices d’électricité du réseau car elles ne peuvent plus « évacuer » l’énergie produite puisque ce réseau est devenu soudainement inopérant. Les centrales électriques utilisant du gaz naturel présentent les inconvénients les moins critiques car elles peuvent être mises à l’arrêt en quelques minutes et il est possible de rétablir leur fonctionnement tout aussi rapidement. Pour les usines utilisant du charbon et du fuel lourd la situation n’est pas critique car les chaudières produisant de la vapeur ont une inertie thermique relativement peu élevée. Ce n’est pas le cas des centrales nucléaires. Les barres de contrôle et l’injection de borate dans le circuit de refroidissement primaire vont stopper la fission mais l’inertie thermique de l’ensemble du combustible et de la cuve du réacteur est grande. Une mise à l’arrêt va nécessiter un refroidissement rapide et continu du coeur du réacteur tant que le réseau électrique sera incapable d’accepter de l’énergie.
La reconstruction du réseau est progressive car il est impératif de rétablir les capacités de stabilité du réseau électrique. En effet, afin d’éviter tout risque de nouvelle instabilité il faut adapter la demande à la production électrique et le rétablissement du réseau ne peut en aucun cas être atteint en quelques heures. Or compte tenu des capacités de réserve de production, dans le cas présent les petits systèmes de production en particulier hydroélectriques, au delà de trois jours de black-out la situation devient de plus en plus critique et la reconstruction du réseau de plus en plus longue et difficile. C’est la raison pour laquelle un black-out généralisé sur l’Europe occidentale aurait des conséquences incalculables sur l’ensemble des populations et de l’économie.
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RépondreSupprimerLes centrales nucléaires ne peuvent redevenir capable de produire de l’électricité rapidement que, et uniquement, si le black-out n’a pas été trop long. Au delà de 5 jours d’arrêt il faudra autant de jours pour produire à nouveau de la vapeur de qualité suffisante pour que les turbines puissent fonctionner et ainsi de suite. Seules les usines fonctionnant avec du gaz naturel pourront rapidement être reconnectées au réseau en reconstruction progressive. Compte tenu de la taille du réseau électrique européen le rétablissement intégral de ce dernier pourrait nécessiter plusieurs jours en étant optimiste. Les spécialistes dans ce domaine sont très diserts car il ne faut pas affoler les populations. Certains ingénieurs de l’armée suisse ont levé un coin du voile et c’est tout simplement terrifiant.
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Quelles peuvent être les conséquences d’un black-out ?
Immédiatement la population est confrontée à une totale impossibilité d’effectuer toute une série d’opérations de base comme par exemple se nourrir : ni les fours à micro-ondes ni les réfrigérateurs ne fonctionnent. Les distributeurs de billets et les lecteurs de carte de paiement sont inopérants, les feux de signalisation dans les villes sont éteints et il devient rapidement très difficile de se déplacer dans les villes. Il n’y a plus d’eau puisque les pompes ne fonctionnent plus, plus de gaz naturel puisqu’il n’y a plus de pompes et de compresseurs opérationnels, plus de téléphones fixes ou portables, plus d’informations. La nuit les villes sont plongées dans l’obscurité totale et par mesure de sécurité les forces de police et les militaires imposent très rapidement un couvre-feu strict afin de prévenir tout vandalisme ou pillage puisque les systèmes d’alarme ne fonctionnent plus. La plupart des entreprises industrielles sont à l’arrêt, les hôpitaux ne fonctionnent plus qu’à petite vitesse pour éviter au maximum d’épuiser leurs réserves de carburant pour l’alimentation des groupes électrogènes. En effet, la distribution de carburants est devenue également totalement arrêtée. La situation ne peut qu’empirer au point de devenir dangereuse socio-économiquement parlant au fur et à mesure que le black-out se prolonge.
Toute la société se paralyse progressivement et c’est inévitable. Personne, aucun pays, aucun gouvernement, aucun politicien n’a pris une quelconque mesure à l’échelle d’une population en cas de black-out durant plus de trois jours, ce qui est un minimum dans le cas de l’ensemble du réseau européen. Très rapidement, en quelques jours seulement, s’installera dans la population un autre aspect terrifiant : le stress alimentaire combiné à la pénurie de carburant et à la totale absence des réseaux de distribution des denrées alimentaires. En quelques jours seulement la plupart des produits de première nécessité disparaissent. Par exemple en Suisse les ménages disposent de trois jours de nourriture, à Bordeaux un jour seulement et à Paris moins d’une journée.
- voir panneau sur site -
Une autre conséquence inattendue mais jamais abordée est la perte totale de la mémoire des banques de données dépendant d’une alimentation électrique fiable pour rester fonctionnelles autant dire que le jour où il redevient possible d’accéder à internet on s’aperçoit que tout a disparu ! Tous les utilisateurs du « cloud », que ce soit des particuliers ou des entreprises seront vraiment désappointés. Je laisse à mes lecteurs le soin d’imaginer ce qui se passerait en cas de prolongement au delà d’une semaine. Je ne suis pas collapsologue mais un « simple » black-out de quelques jours en Europe occidentale aurait des conséquences tout simplement terribles que personne n’ose aborder.
Au sujet de possibles « cyber-attaques » pouvant perturber une centrale nucléaire, je rassure tout de suite mes lecteurs car l’ensemble des système informatiques de pilotage des centrales nucléaires – je parle ici de la France – sont totalement indépendants du réseau internet. Pour EDF en France il existe un réseau « intranet » hautement sécurisé par lequel sont acheminés les ordres de pilotage de puissance des installations hydroélectriques et de certains réacteurs nucléaires dont la puissance est pilotable à +5/-5 % de leur puissance opérationnelle réglée à 95 % de la puissance nominale. Ce réseau intranet propre à EDF est lui-même isolé du réseau internet transnational. Juste une dernière remarque à ce sujet : la privatisation programmée des ouvrages hydroélectriques français ressemble à une haute trahison permettant à des acteurs privés d’interférer avec le fonctionnement de l’électricien national (EDF), la seule entreprise française encore en bonne santé … mais pour combien de temps.
RépondreSupprimerInspiré d’une conférence présentée à l’INRIA de Grenoble en France par Grégoire Chambaz, ingénieur membre de l’armée suisse. Illustrations tirées de cette conférence : youtube.com/watch?v=u9sau9f1FCM
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/10/22/petite-histoire-pas-du-tout-fictive-un-black-out-generalise-en-europe-occidentale/
Cette historiette de 'black-out' ne compte pas bizarrement sur une action émanant de l'EMP ! L'Impulsion ElectroMagnétique est une arme redoutable dont dispose aujourd'hui tous les pays du monde. C'est ce que les chinois (il y a qq années) ont appelé 'la bombe propre'. Elle est larguée depuis un avion ou ballon stratosphérique et explose en altitude. L'onde (suivant la puissance) est capable de couvrir en quelques secondes le tour de la Terre ! et donc de griller TOUT appareil qui utilise de l'électricité !
SupprimerC'est-à-dire: Satellites, avions, bateaux à moteur, véhicules terrestres à moteur en démarrage électrique, ordinateurs, téléphones, etc, etc. Seuls les véhicules au démarrage par manivelle ou courroie de lancement (moto-bineuses, tondeuses à gazon, tronçonneuses, etc) pourront fonctionner.
Or, pour les centrales nucléaire, l'usage de pompe d'approvisionnement en eaux des réacteurs est nécessaire et risquerait de créer des centaines de 'Fukushima' en qq heures par assèchement des réacteurs privés d'eaux !
Personnellement je ne sais pas s'il existe des moteurs pompes (assez puissants pour les centrales) à manivelle ou courroie de lancement.
Quelles en seraient les conséquences ? Dramatiques !
Primo, si toutes les voitures s'arrêtent en villes et qu'il n'y a plus de téléphones portables qui fonctionnent: c'est l'EMP.
Donc, dans la première demi-heure cherchez à vous cacher dans une cave ou sous un pont car, durant ces 30 minutes des avions vont forcément tomber et exploser. Passée demi-heure vous ressortez et gagnez la rivière, le fleuve qui va à la mer. Donc: nécessité d'avoir ou d'acheter un bateau (a rames ou a voile), construire un radeau pour gagner la mer. Après, vous vous laissez emporter par le courant ou le vent pour gagner le large car, s'il y a xxx Fukushima dans le monde (sans bruit, sans odeur, sans couleur d'air) des milliards de Becquerels seront transportés par les vents. Par contre, vous aurez plus de chances de vous sauver en gagnant une île du Pacifique qu'une des Antilles.
D'où la précaution d'avoir chez soi au moins un 'Bombard', gonfleur à pied, cannes à pêche, gilets de sauvetages, voiles ou ballons pouvant servir de force de traction, système de fabrication d'eau dessalée (boites, poêle, réchaud).
RépondreSupprimerPOUR L'ÉTAT, LE JACKPOT DES TAXES SUR LE TABAC
par OLIVIER SANCERRE
21/10/2019
La prochaine hausse de 50 centimes sur le prix des paquets sera imposée le 1er novembre.
Le tabac permet à l'État de gonfler ses caisses à moindre coût (mais pas pour le fumeur !). Les recettes fiscales tirées de la vente de cigarettes vont augmenter de manière conséquente cette année et l'année prochaine.
La Sécurité sociale, principal bénéficiaire des recettes fiscales tirées de la vente de tabac, peut se réjouir de la politique menée depuis 2018 par le gouvernement. Les gains fiscaux enregistrés sur les cigarettes ont permis à l'État d'encaisser 1,1 milliard d'euros supplémentaires en 2018. Pour 2019, cette somme devrait augmenter de 450 millions. Et en 2020, année qui verra le paquet de 20 cigarettes atteindre les 10 euros, les recettes fiscales seront de 2 milliards d'euros supplémentaires à celles de l'année 2017, d'après BFM Business. Dans le détail, les recettes fiscales sur le tabac atteindront 13,58 milliards d'euros l'année prochaine, un chiffre en hausse de 1,7 milliard par rapport à 2017. À cela s'ajoutent la TVA de 16,64% : on aboutit à 2 milliards de plus soit un total de 16 milliards d'euros pour les finances publiques.
Près de 16 milliards d'euros pour l'État
Le gouvernement a lancé début 2018 une stratégie visant à atteindre un prix de 10 euros le paquet d'ici la fin de l'année prochaine. Chaque année, les prix augmentent de 1 euro en moyenne, alors qu'ils tournaient autour de 7 euros en 2017. Ces hausses successives ont un impact sur la consommation, après tout c'est le but initial de cette politique : -9% en 2018. Mais cette baisse est compensée par la hausse des prix. Une opération très rentable pour les finances publiques !
10 euros le paquet
La prochaine augmentation du prix du tabac aura lieu le 1er novembre. Les fabricants de cigarettes devront appliquer une hausse de 50 centimes en moyenne sur leurs paquets (9,30 euros le paquet de Marlboro, au lieu de 8,80 euros actuellement). En 2020, ce sont deux autres augmentations ciblées qui seront imposées. Les fumeurs pourront-ils continuer à acheter des cigarettes alors que le paquet atteindra 10 euros ? Le seuil psychologique risque d'être difficile à dépasser.
http://www.economiematin.fr/news-etat-jackpot-taxes-tabac
TAXI MOTO À ORLY : REJOIGNEZ LA CAPITALE DÈS LA DESCENTE DE L'AVION !
RépondreSupprimer21/10/2019
Gain de temps, manque de taxis, trajets optimisés… Les services de taxi moto à Orly sont de plus en plus populaires afin de garantir aux usagers des trajets en toute sécurité et tranquillité. Un pilote se chargera d’assurer le transfert des clients entre Orly et toutes les destinations parisiennes. Votre chauffeur sera à votre disposition pour effectuer un trajet dans les meilleures conditions possible. Aussi, si vous en avez marre d’être coincé dans les embouteillages, cette solution est plus qu’avantageuse.
Un moyen de transport sûr
Vous vous plaignez souvent de l’état de la circulation dans la ville parisienne ? Alors il est temps d’opter pour un autre mode de transport qu’est le taxi moto à Orly. C’est un moyen de locomotion très avantageux et qui vous permettra d’être ponctuel. Vous vous éloignerez ainsi de tout stress néfaste provoqué par les déplacements en voiture. Si vous avez besoin de vous déplacer sur Paris, vous devez vite faire une réservation pour un taxi moto à Orly. Nul besoin d’annuler un rendez-vous important ou de gâcher votre séjour. Un pilote agréé se chargera de vous emmener à destination de jour comme de nuit.
Mais comment le pilote va-t-il assurer votre sécurité ?
- En vous proposant un casque ;
- En vous équipant d’une veste de protection ;
- En misant sur une paire de gants ;
- En vous proposant des vêtements de pluie en cas d’intempérie.
Comment faire pour un réserver un taxi moto ?
Un pilote de taxi se tient à votre entière disposition et vous certifiera un trajet en toute sérénité avec des équipements adaptés. Toutefois, vous devez organiser votre trajet à l’avance, en indiquant l’heure et le lieu de départ, afin de répondre efficacement à toutes vos attentes. Faire une réservation est donc une étape incontournable pour mieux préparer votre voyage à Paris.
Vous pouvez effectuer une réservation en ligne depuis Paris ou une autre ville. Vous recevrez par la même occasion des informations sur le tarif de la course. Avec Fury Road vous aurez de plus amples informations sur le tarif.
Découvrir Paris autrement grâce au taxi moto à Orly
Vous êtes de passage pour quelques jours ou le temps d’un weekend à Paris ? Vous avez peu de temps à passer en ville ? Sachez que Paris séduit toujours autant les voyageurs, malheureusement, en raison d’un emploi du temps assez serré, il n’est pas évident de découvrir tous les points de la capitale. En plus, se déplacer au centre même de la ville n’est pas une mince affaire avec les bouchons.
Opter pour un taxi moto à Orly, c’est partir à la découverte de la capitale de jour comme de nuit, c’est mieux anticiper ses déplacements, c’est profiter au mieux de son séjour et passer moins de temps dans les trafics.
Profiter des plaisirs d’une ballade à moto
Bien évidemment, lorsque vous réserverez un taxi moto à Orly pour vous rendre à l’aéroport ou pour aller retrouver un client, des amis, des collègues, la première chose que vous désirez, c’est de vous rendre d’un point à un autre sans contrainte. Le taxi moto est un mode de transport qui vous permettra de sillonner les routes en toute quiétude. Il est plus pratique de se déplacer en ville à moto qu’avec une voiture, car vous bénéficierez d’un confort inégalé sans oublier le fait que vous profiterez de services irréprochables.
http://www.economiematin.fr/news-taxi-moto-orly-aeroport-parisien-reservation-particulier-professionel
Bagages et famille nombreuse très limités !
SupprimerFigure: Andy Pitman dit «nous ne comprenons pas ce qui cause les sécheresses» mais «le lien indirect est clair»!
RépondreSupprimerEn août dernier, j'ai posté les premières citations extraordinaires du professeur Andy Pitman selon lesquelles il n'y avait pas de lien entre le changement climatique et la sécheresse.
October 21st, 2019
Les nouvelles sur les sécheresses étaient banales et évidentes, car plus d'eau s'évaporait dans un monde plus chaud et, par conséquent, plus de pluie tombait - comment pourrait-il en être autrement ? Ce qui monte doit redescendre. Mais cette citation était très importante car elle n’avait jamais été énoncée aussi clairement par un croyant et un modeleur de haut rang. (Merci à Jim Sternhill d’avoir repéré cette citation incendiaire et involontairement honnête.) Depuis leur publication ici, ces citations ont été reprises par Maurice Newman, Alan Jones, puis Chris Kenny (The Australian editor) et Andrew Bolt - ce qui signifie que le Pitman- La sécheresse est devenue un problème majeur pour la machine climatique. Par conséquent, ils ont dû trouver une excuse de brouillard pour brouiller la clarté, et la voici. Pitman a oublié un mot.
Prof Andy Pitman dit maintenant qu'il voulait dire qu'il n'y avait pas de lien direct:
Barry a déclaré que cette "clarification" disait que Pitman avait "laissé de côté un mot crucial": "il n'y a pas de lien direct entre le changement climatique et la sécheresse".
«Mais le réchauffement climatique entraîne-t-il des changements dans les régimes pluviométriques pouvant entraîner une sécheresse ? Oui. Ce lien indirect est clair… Dans certaines régions, cela augmente le risque de sécheresse, dans d’autres, il diminue. »
Au fur et à mesure que les recouvrements disparaissent, on note «Bon essai, mais pas de banane». Ajouter un seul mot laisse ouverte la possibilité vague de diseur de bonne aventure que les gaz d'échappement de nos voitures peuvent indirectement causer des sécheresses - mais aucun des modèles climatiques mondiaux ne permet de prédire les précipitations régionales de manière fiable, voire non fiable. Ils n'arrivent même pas à prédire le signe plus ou moins des tendances des précipitations. Les GCM sont officiellement au rendez-vous avec des lancers de pièces. Il est donc un peu (comme dans totalement) trompeur de Pitman de dire que le lien indirect est clair. Il n’existe aucune preuve définitive que la modification des niveaux de gaz carbonique ait un effet mesurable sur les régimes de précipitations - les modélisateurs auraient peut-être une idée des régions qui deviendraient plus humides et de celles qui ne le feraient pas, au lieu d’être totalement habiles en matière de précipitations. (voir Anagnostopolous, 2010 pour commencer).
N'oublions pas ce qu'Andy Pitman a également déclaré en juin:
"… Le problème fondamental que nous avons est que nous ne comprenons pas ce qui cause les sécheresses."
Oui, exactement. C’est plutôt une bombe sur l’idée que tout peut être «clair». Apparemment, même si les forces qui provoquent la sécheresse sont un mystère complet pour les climatologues, ils "savent" que le gaz carbonique a un lien, d'une manière ou d'une autre. Lo et Neptune voyagent à travers la constellation de Morceaux, ce qui provoque la carpe sur les GCM. Attendez-vous à ce qu'un homme mystérieux vous vole le coeur le mois prochain, ou peut-être juste une partie de votre portefeuille grâce à votre facture d'électricité.
Pendant ce temps pour les personnes nées sous le soleil, UNSW vole une partie de notre héritage, de notre impôt et de notre santé mentale avec de fausses données scientifiques. Trop c'est trop.
Depuis le flashback Pitman, rappelons-nous à quel point tous ces mots originaux ont été condamnés
RépondreSupprimerDu professeur Andy Pitman:
"Nous ne comprenons pas ce qui cause les sécheresses."
"Nous ne savons pas ce qui arrête une sécheresse".
"Il n'y a pas de lien entre le changement climatique et la sécheresse."
"Il n'y a aucune raison a priori pour que le changement climatique rende le paysage plus aride."
”Il n’y a pas de tendance dans les données…. Il n'y a pas de tendance au séchage. … «Pas de tendance au cours des cent dernières années»
Nous regardons une analyse de type lecture de palme:
Paul Barry sur ABC MediaWatch avait besoin de la vague allusion à un éventuel mécanisme indirect pour accuser Bolt d’omettre des informations essentielles:
Paul Barry:
Vous avez donc omis deux faits cruciaux. La première est qu'il y a une tendance à l'assèchement au cours des vingt dernières années. Deuxièmement, il y a une tendance à la sécheresse à long terme dans certaines régions et pas dans d'autres.
Andrew Bolt l'a qualifié de pathétique trompeur et évasif, soulignant qu'il avait mis les citations complètes sur son blog, et soulignant que la chute des précipitations au cours des vingt dernières années n'avait aucune pertinence si aucune tendance ne se dégageait au cours des 100 dernières années, et que même Andy Pitman a indiqué que ces changements de tendances montrent «à quel point les précipitations australiennes sont variables».
Aujourd'hui, Andrew Bolt présente une diapositive d'une présentation de Pitman.
…
Dans les mots d'Andy Pitman:
"La science actuelle ne peut pas nous dire le signe du changement de la sécheresse future."
Paul Barry ne sait pas à quel point les prévisions de précipitations sont mauvaises: c’est un véritable agneau. Il accuse Bolt d'avoir raconté le discours de Pitman:
Paul Barry: Notez l’accent mis sur «admet», comme s’il le connaissait depuis le début et finissait par avouer.
Mais voici la chose, c’est absolument vrai. Les modeleurs ont toujours su. Un monde plus chaud signifie plus de pluie.
Et toutes les «preuves» citées par Paul Barry ne sont que des estimations approximatives qui proviennent d'une planète simulée dans une galaxie très éloignée:
En outre, si vous consultez la recherche publiée - comme Kenny, Jones et Bolt l’auraient facilement pu le faire -, vous constaterez que de nombreux climatologues concluent que le réchauffement de la planète a un effet.
La récente sécheresse en Afrique du Sud, par exemple, au cours de laquelle le Cap a failli manquer d’eau, a été rendue trois fois plus probable par le changement climatique, selon des chercheurs dirigés par l’Institut de changement de l’environnement de l’Université d’Oxford.
De plus, des études menées par différents chercheurs sur 45 sécheresses dans le monde, cartographiées ici par le site britannique Carbon Brief, ont montré que 30 changements étaient aggravés ou plus probables par les changements climatiques induits par l'homme.
Donc, de fausses preuves de fausses planètes. Et Paul Barry, maître journaliste des journalistes, aurait aussi pu "examiner" les recherches publiées, aussi facilement qu'il l'a dit, de Kenny, Bolt et Jones. De toute évidence, il ne l’a pas fait. Ou alors, il aurait pu simplement chercher sur Google et trouver joannenova.com.au et moi aurions expliqué gratuitement à quel point ces calculs modélisés de «pourcentage de probabilité» sont sans signification quand ils proviennent de modèles sans habilité que même les modélistes admettent «ne comprennent pas les causes sécheresses. "
RépondreSupprimerVous pourriez aussi bien demander à votre astrologue combien de sécheresses ont été causées par votre climatiseur. C’est une meilleure politique nationale que de demander à UNSW - elle aurait autant de chance de réussir mais serait beaucoup moins chère.
Je souligne depuis des années à quel point les modélisateurs du climat sont tristes avec les précipitations, probablement parce qu’ils n’incluent pas les variations spectrales, magnétiques ou éoliennes du soleil, et que les cycles solaires semblent être liés aux précipitations, au débit des cours d’eau, aux jets, aux inondations et aux sécheresses:
Une faible activité solaire signifie davantage d'inondations en Europe centrale
Mégadroughs des 2000 dernières années pire, plus longtemps que les sécheresses actuelles
Sun contrôle la moitié du taux de recharge des eaux souterraines en Chine depuis 700 ans
Les effets du soleil semblent modifier la structure des vents et des précipitations au cours des 3 000 dernières années au Chili
Modèles climatiques: 100% correct sauf pour la pluie, la sécheresse, les tempêtes, l'humidité et tout le reste
RÉFÉRENCE
[1] Anagnostopoulos, G. G., D. Koutsoyiannis, A. Christofides, A. Efstratiadis et N. Mamassis, (2010). Une comparaison des résultats des modèles climatiques locaux et agrégés avec les données observées », Hydrological Sciences Journal, 55: 7, 1094 - 1110 [PDF]
Professor Andy Pitman, (2019) Presentation — The SEI forum: Adapting Climate Science for Business, Wednesday 19 June, 2019, Sydney Environment Institute (SEI), University of Sydney.
http://joannenova.com.au/2019/10/figure-this-andy-pitman-says-we-dont-understand-what-causes-droughts-but-the-indirect-link-is-clear/
Libye - La Rivière de Kadhafi dans le Désert !
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=SuuuygYuvCQ
AusExit: Pétition pour retirer l'Australie de l'Accord de Paris sur le climat
RépondreSupprimerOctober 22nd, 2019
Pétition EN1116 - Arguments en faveur de l'abandon de l'accord de Paris sur le climat
https://www.aph.gov.au/petition_list?id=EN1116
Raison de la pétition
Les pétitionnaires soussignés demandons à la Chambre de revenir sur l’engagement de l’Australie vis-à-vis de l’ACCORD DE PARIS SUR LE CLIMAT ratifié le 9 novembre 2016 et déclaré «entrée en vigueur» le 9 décembre 2016. L’Australie respecte ses objectifs en matière d’émission. Nous contribuons environ 1,5% des émissions mondiales et de nombreux scientifiques éminents conseillent que les changements apportés par ce pays n’auront que peu ou pas d’effet sur le climat mondial. L’Amérique, deuxième émetteur de gaz à effet de serre du monde, a officiellement annoncé son intention de se retirer de l’Accord de Paris. La Chine, le plus grand émetteur de gaz à effet de serre du monde, augmentera considérablement leurs émissions d’ici 2030, et d’autres pays en développement ont obtenu un «laissez-passer gratuit» en vertu du même accord. Le coût estimé pour notre pays est de 52 milliards de dollars entre 2018 et 2030. Cela aura de graves conséquences économiques et sociales sur l’Australie, les contribuables finançant des «puissances économiques en développement, à la croissance rapide», comme la Chine et l’Inde. L’Accord de Paris ne fonctionne pas comme prévu et il existe plus de risque que de récompense pour le maintien de l’Australie. Nous devons considérer un AUSExit de Paris.
Demande de pétition
Nous demandons donc à la Chambre d’informer officiellement la CCNUCC de l’intention de l’Australie de se retirer de l’Accord de Paris sur le climat. La première date à laquelle la déclaration peut être faite est de 3 ans à compter de la date de «l’entrée en vigueur» de l’accord. Cette date est le 9 décembre 2019. La radiation officielle prend effet 12 mois plus tard.
Le signer. : -)
Veuillez lire et confirmer que vous acceptez les termes et conditions. Vous devez être un résident ou un citoyen australien pour signer une pétition. Les membres actuels de la Chambre des représentants ne peuvent pas signer de pétition.
Vérifiez votre email après la signature pour confirmer!
Jim Simpson, Delory, ColA.
http://joannenova.com.au/2019/10/petition-to-remove-australia-from-paris/
Petition NOT SCIENTIFIC because, if it were, it would have titled that ALL THE GAS RECYCLENT and that there is NO greenhouse gas and that the carbon gas is NOT a poison !
SupprimerDÉGÂTS DE GRAND GIBIER
RépondreSupprimerLes sangliers de la discorde
21.10.19
dégâts de gibiers FNSEA FNC (Fédération nationale de la chasse)
Des hivers plus doux, des glands et du maïs en abondance : les sangliers pullulent en France, au grand dam des agriculteurs dont ils ravagent les cultures et des chasseurs qui disent ne plus pouvoir assumer les dégâts.
Comme ailleurs en Europe, la population de sangliers a augmenté dans l’Hexagone au cours des dernières décennies : 36 000 étaient tués au début des années 1970, 750 000 en 2017. Les raisons de cette explosion démographique ? Les sangliers se reproduisent vite et les hivers plus doux favorisent la survie des marcassins.
Pas de prédateurs naturels
Leurs prédateurs naturels ont été éliminés. Ces omnivores bénéficient d’une nourriture en forêt (glands, châtaignes, faines), mais aussi dans les champs. Ils sont friands de maïs cultivé sur des surfaces étendues en France, peuvent facilement se cacher dans les grandes parcelles et s’adaptent également bien aux zones périurbaines.
Pendant longtemps, la chasse de cet animal rare dans l’après-guerre s’est faite « de façon à en assurer la préservation voire le développement », soulignait en mars un rapport parlementaire. C’est-à-dire en évitant de tuer les adultes reproducteurs, en particulier les laies, en relâchant des sangliers dans la nature ou en les nourrissant.
Davantage de dégâts
19départements concentrent la moitié des indemnisations versées pour des dégâts de grand gibier.
S’en est suivie une augmentation des dégâts agricoles, en particulier sur le maïs, le blé tendre et les prairies, au point que Christiane Lambert, présidente du premier syndicat agricole, la FNSEA, a reproché publiquement aux chasseurs, qui doivent prendre en charge les dégâts, de ne pas en faire assez.
Pour la saison de chasse de 2016-2017, les chasseurs ont ainsi payé 37 millions d’euros au titre de l’indemnisation « grand gibier », dont le sanglier est le principal responsable. En ajoutant les coûts d’estimations des dégâts, des gestions de dossier et d’actions de prévention, la facture grimperait à 60 millions, selon le rapport parlementaire.
« Ces problèmes ne sont pas répartis également sur le territoire », précise à l’AFP Éric Marboutin, de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Les dégâts se concentrent dans l’Est et le centre : « 19 départements concentrent 50 % des montants indemnisés », selon le rapport parlementaire.
Des chasseurs à cours de fonds
« Nous ne sommes plus en mesure financièrement de payer », s’alarme Willy Schraen, président de la FNC, Fédération nationale des chasseurs, qui abordera le sujet lors de l’assemblée générale de l’organisation ce mardi 22 et mercredi 23 ocotbre 2019.
Il existait un pot commun national pour ces indemnisations. Mais il vient d’être supprimé par le gouvernement au profit d’un système de dédommagements au niveau local, dans l’idée de responsabiliser davantage les fédérations de chasse départementales.
RépondreSupprimer« Il y a plein de territoires qu’on ne maîtrise plus », assure Willy Schraen, citant les zones périurbaines où il est impossible de chasser avec des armes à feu car trop dangereux, des espaces naturels protégés ou des forêts où les propriétaires refusent la chasse.
Changer la loi pour partager les frais
« On souhaite changer la loi », poursuit Willy Schraen, pour ne plus être les seuls à payer le montant des dégâts. Thierry Chalmin, qui suit le dossier à la FNSEA, réclame le « tir libre du sanglier », c’est-à-dire que les chasseurs n’épargnent plus les reproducteurs, ni les laies ayant des petits, et si besoin est le recours au piégeage en zone périurbaine.
Le rapport parlementaire va dans ce sens en recommandant de « bannir toute consigne restrictive pour la chasse », mais aussi de réduire la taille des parcelles agricoles pour limiter les possibilités de se cacher pour les sangliers.
Le spectre de la peste porcine africaine
Outre les dégâts dans les champs, la prolifération des sangliers inquiète aussi les agriculteurs à cause de la menace de la peste porcine africaine, présente en Belgique. « Ce serait une catastrophe pour les éleveurs de porcs », insiste Thierry Chalmin.
Le ministère de la Transition écologique, de son côté, met en avant des mesures prises récemment : interdiction de lâcher des sangliers dans la nature, limitation de l’agrainage, qui consiste à appâter le gibier avec du grain en forêt ou responsabilisation financière des fédérations départementales.
Il reste à régler l’épineuse question financière, selon les chasseurs qui attendent à leur assemblée générale le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume, la secrétaire d’État à la Transition écologique Emmanuelle Wargon et la présidente de la FNSEA.
SupprimerL'augmentation exponentielle du nombre de sangliers en 20 ans a été de les multiplier par 20 ! La cause est premièrement la diminution de paysans qui les chassaient, deuxièmement la surface des exploitations ne permet plus de savoir ce qui se passe à x kilomètres et, troisièmement la diminution du nombre de chasseurs en général.
Une banque sur trois dans le monde pourrait faire faillite dans les prochains mois
RépondreSupprimer15:52 22.10.2019
Un tiers des banques pourrait bientôt faire faillite, révèle un récent rapport du cabinet de conseil McKinsey. Cette étude recense 354 établissements menacés.
Une banque sur trois pourrait mettre la clé sous la porte au cours des prochains mois, indique une étude publiée ce mardi 22 octobre par le cabinet McKinsey. Au total, 354 banques sont concernées.
L’étude, menée sur 984 banques à travers le monde, révèle en effet que 354 d’entre elles sont menacées de disparition. Il s’agit pour la majorité d’établissements bancaires d’Europe de l’Ouest (37%) et de pays développés d’Asie (43%).
McKinsey indique notamment que les banques ont connu une rentabilité d’environ 3,6% entre 2010 et 2018, contre 16,8% entre 2002 et 2007. Par ailleurs, 35% des établissements affichent une rentabilité moyenne de 1,6% sur les trois dernières années, alors que les meilleurs d’entre eux ont généré une rentabilité de 17,1%.
Les banques les plus fragiles disposent d’une dernière chance pour «se construire une taille significative via des acquisitions ou en restructurant leurs modèles d'activité avant qu'il ne soit trop tard», souligne le rapport.
«Ce qui peut rendre particulièrement alarmiste, au-delà des enjeux industriels et stratégiques déjà connus pour les banques, c'est le ralentissement de la croissance. On pourrait arriver en bout de cycle», confie un senior partner chargé du secteur financier chez McKinsey et cité par Les Échos.
Le 15 octobre dernier, le Fonds monétaire international (FMI) avait de nouveau revu ses prévisions à la baisse, annonçant une croissance mondiale de 3%.
https://fr.sputniknews.com/economie/201910221042305285-une-banque-sur-trois-dans-le-monde-pourrait-faire-faillite-dans-les-prochains-mois/
Buchanan: La démocratie est-elle une espèce en voie de disparition ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 10/22/2019 - 11:10
Écrit par Patrick Buchanan via Buchanan.org,
Qu'advient-il lorsque la démocratie ne parvient pas à livrer ? Que se passe-t-il quand les gens abandonnent la démocratie ?
Que se passe-t-il lorsqu'une majorité ou une minorité militante décide que les droits constitutionnels de liberté d'expression, d'élections libres, de réunion pacifique et de pétition sont insuffisants et descend dans la rue pour forcer la démocratie à se soumettre à leurs revendications ?
Le Chili est le pays le plus stable et le plus prospère d'Amérique latine.
Pourtant, lorsque sa capitale, Santiago, a récemment augmenté ses tarifs de métro de 5%, des milliers de personnes se sont engouffrées dans les rues. Émeute, pillage, incendie criminel suivi. Le système de métro a été complètement détruit. La police a été agressée. Des personnes sont mortes. Les émeutes se sont propagées dans six autres villes. Des troupes ont été appelées.
Le président de la République, Sebastian Pinera, a annulé la hausse des tarifs et déclaré une urgence nationale en déclarant que «le Chili est en guerre contre un ennemi puissant et implacable qui ne respecte rien ni qui que ce soit et qui est prêt à utiliser la violence et le crime sans limite.»
Comment une démocratie qui a engendré en elle un ennemi puissant et implacable y fait face ?
La semaine dernière, des dizaines de milliers de Libanais de toutes confessions et associations politiques se sont révoltés à Beyrouth et à Tripoli pour demander le renversement du régime et l'éviction de son président, président du Parlement et premier ministre Saad Hariri. Tout doit partir, les masses exigent.
À Barcelone, vendredi, un demi-million de personnes ont envahi les rues en signe de protestation après la condamnation à Madrid des sécessionnistes qui cherchaient à obtenir l'indépendance de la Catalogne vis-à-vis de l'Espagne en 2017.
Dans toute la Chine, peu de gens jouissent des libertés des 7 millions de Hong Kong. Pourtant, pendant cinq mois, ces Chinois libres et chanceux ont protesté contre une proposition qui aurait permis d'extrader des habitants de Hong Kong vers la Chine. Ils ont fait irruption dans les rues pour défier le régime et dénoncer les conditions dans lesquelles ils vivent.
Ces manifestations ont été marquées par des émeutes, du vandalisme, des incendies criminels et des affrontements avec la police. «Les rues de Hong Kong sont plongées dans le chaos après un rassemblement dimanche non favorable à la démocratie», écrit l'Associated Press. Les manifestants “ont mis en place des barrages routiers et incendié des commerces, et la police a riposté avec des gaz lacrymogènes et un canon à eau. Les manifestants ont lancé des bombes incendiaires et ont pris la colère des magasins liés aux relations avec la Chine continentale. ”
Qu'est-ce que les habitants de Hong Kong dénoncent et exigent ?
Ils protestent contre les limitations actuelles et futures de leur liberté. L’apparition de drapeaux américains dans les manifestations suggère que c’est ce que recherchent les agitateurs du Boston Tea Party et les garçons et les hommes de Concord Bridge: l’indépendance, la liberté et la rupture des liens avec la mère patrie.
RépondreSupprimerCependant, comme le régime communiste de Xi Jinping n'a pas pu survivre à une telle amputation, la libération de Hong Kong n'est pas dans les cartons. La fin de ces mois de protestation sera probablement frustration, futilité et échec.
C'est peut-être cette prise de conscience qui explique la véhémence et la violence. Mais la rage est aussi ce qui tue le soutien qu'ils ont initialement reçu.
Dans les années 1960 en Amérique, les premières manifestations pour les droits civils ont suscité une sympathie généralisée. Mais les émeutes urbaines qui ont suivi à Harlem, Watts, Newark, Detroit et dans 100 villes après l’assassinat de Martin Luther King ont envoyé des millions de personnes sous les drapeaux du gouverneur George Wallace lors des campagnes de 1968 et 1972.
Lorsque les manifestations du "gilet jaune" ont éclaté en 2018 à Paris, à propos d'une taxe sur les carburants, les manifestants ont eu le soutien de millions de Français.
Mais ce soutien s'est dissipé lorsque les manifestants ont commencé à casser des vitrines de boutiques sur les Champs-Élysée, à attaquer la police et à profaner des monuments et des monuments commémoratifs.
Ce retour à la violence, le saccage des magasins et la pluie de policiers, de briques, de bouteilles et de débris, coûtent une grande partie de l’assistance aux manifestants. Dans le compromis entre liberté et ordre, les gens opteront finalement pour l'ordre.
Pourtant, on se demande: pourquoi ces explosions de manifestations violentes et d’émeutes ont-elles lieu dans des sociétés stables, libres et prospères ?
Le Chili est le pays le plus stable et le plus riche d’Amérique du Sud. La Catalogne est la partie la plus prospère de l'Espagne. Paris est à peine un enfer de répression. Et Hong Kong est la ville la plus libre de Chine.
Si les bénéficiaires des libertés et des droits démocratiques finissent par les considérer comme insuffisants pour produire les résultats politiques, économiques et sociaux qu’ils exigent, qu’est-ce que cela augure pour l’avenir de la démocratie ?
Car, malgré les pillages, les incendies criminels et les attaques contre les flics à Hong Kong, Xi Jinping ne va pas ordonner à ses satrapes de se plier aux revendications populaires d'autonomie ou d'indépendance. Madrid n'acceptera pas non plus la perte de Barcelone et la sécession de la Catalogne. Le gouvernement conservateur chilien ne va pas non plus céder aux rebelles et aux révolutionnaires de la rue. Paris ne va pas non plus se rabattre sur les «gilets jaunes».
Pourtant, on peut se demander: si la thèse de la «fin de l'histoire» et du triomphe mondial du capitalisme démocratique a été réfutée, comme la plupart des gens en conviennent, est-il possible que l'ère de la démocratie soit elle-même une phase passagère de l'histoire de l'Ouest et du monde ?
https://www.zerohedge.com/political/buchanan-democracy-dying-species
(...) Que se passe-t-il quand les gens abandonnent la démocratie ? (...)
SupprimerQuestion qui NE S'EST JAMAIS POSÉE !
Le sieur 'Patrick Buchanan' n'est qu'un trou de cul de plus aux dictatures en place dans le monde.
A SAVOIR: La Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple.
Il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie !! La Suisse.
En Suisse, les suisses proposent LEURS lois et votent LEURS lois.
Dans les dictatures ce sont leurs tuteurs qui votent eux-mêmes leurs lois de merde et votent eux-mêmes leurs lois de merde. Le Peuple doit fermer sa gueule.
Les manifestations pour la Démocratie sont spontanément réprimées par les forces de l'ordre jusqu'à tuer quiconque qui ose marcher dans la rue ! C'est VOLONTAIREMENT que des personnes se sont appelées 'gilets jaunes' et non comme à sa désignation: des 'gilets de sécurité', c'était donc une faute VOLONTAIRE de limiter le nombre de manifestants compatissants aux symboles de traitres, de juifs et de cocus.
Cet échec ne doit pas être pris en compte comme étant la révolte des françaises & des français mais uniquement un barrage à la Démocratie demandée par les françaises & les français !
Ce sont des faux manifestants (comme le sont ces gosses attardés qui payés plus de 4OO € par semaine ! vont défiler pour ou contre le climat sans savoir ce que c'est !), des black-blocs, des terroristes, des excisés qui s'en prennent aux personnes qui ne veulent que la liberté de vivre pour chacun !