- ENTREE de SECOURS -



jeudi 17 octobre 2019

Insécurité en France : comment la politique a aggravé la situation

Tribune libre : ne nous ne trompons pas, l’insécurité a été organisée de longue date par les hommes politiques. Les Français en subissent aujourd’hui les conséquences.


Par Bertrand Lemennicier.
17 OCTOBRE 2019


Pour mémoire, nous pouvons remonter au regroupement familial, à la tolérance de la bigamie pour préserver les rites musulmans, à la prolongation de la scolarité obligatoire jusque 16 ans qui met à la rue 20 à 30 % des écoliers se spécialisant dans le commerce clandestin de la drogue.

À cela ajoutons le développement des logements de type HLM gérés à la manière collectiviste, et l’obligation pour les fonctions publique et hospitalière de recruter 6 % de handicapés ; ces politiques sont le produit d’une partie de l’opinion publique qui a imposé sa croyance aux Français par la force de la loi.

Conséquence : un policier handicapé a été converti à l’islam par un imam sous le coup d’une expulsion suspendue en 2015. Il continue à exercer son entreprise de conversion des musulmans infidèles et des mécréants à la cause qu’il soutient.

PROHIBITION ÉTATIQUE


La violence qui règne dans les banlieues parisiennes est le produit du commerce clandestin de la drogue : au lieu de légaliser cette activité commerciale l’État a raréfié l’offre et prohibé sa consommation.

Ce même État a ensuite laissé entrer en France quelque huit millions de migrants : il a empêché une grande partie d’entre eux de s’intégrer socialement par le travail. Le SMIC, les charges sociales, rendent inemployables ceux qui n’ont pas encore acquis, ou ne le peuvent, une productivité égale à leur coût pour un employeur. Cette législation prétendument sociale exclut les plus faibles du marché du travail, marginalise des groupes entiers tels que les jeunes, les vieux et les immigrants. Face à cette calamité, c’est toujours l’État qui a enfermé les immigrés chômeurs dans les ghettos des HLM et des banlieues où ils vivent dans la dépendance permanente aux aumônes publiques.

Cette tendance socialiste de l’opinion publique infuse dans tous les médias, et incite la police à ne pas accomplir sa mission. On ne peut pas y faire carrière sans le soutien de l’employeur, et en l’occurrence, dans le domaine de la sécurité, il s’agit de l’État. Ce monopole dans l’offre de protection accroît l’insécurité des citoyens. La composition de l’État étant déterminée par les élections, cette force politique a détenu le pouvoir assez longtemps pour transférer ses croyances dans la loi et les réglementations au détriment des autres Français.

LA VIOLENCE DES BANLIEUES, CRÉATION ÉTATIQUE

C’est l’État qui a créé la violence des banlieues qui commence à pénétrer nos villes. Il l’a créée en excluant des populations entières de toute intégration basée sur la division du travail dans un réseau d’échanges volontaires.

C’est l’État qui seul dispose des moyens d’éradication de la violence, et qui a refusé de les utiliser, aux dépens des individus paisibles, des passants qui doivent supporter l’augmentation de cette violence.

Tout cela pour conforter les mandarins de l’État dans leurs illusions, cette lâcheté des hommes politiques qui ne font pas le choix entre le communautarisme et l’intégration traditionnelle.

Nous rappelons au lecteur l’excellente conférence de Jorg Guido Hülsmann à Dax le 21 décembre 2002 sous le titre de Liberté et sécurité dont nous empruntons  quelques arguments. Depuis 1981, rien de nouveau sous le soleil, sauf l’aggravation du phénomène dans cette guerre non déclarée des djihadistes contre le reste de la population.

8 commentaires:

  1. Lettre à notre fils qui se bat « pour le climat »


    Charles ANDRÉ
    Nice Provence Info
    lun., 14 oct. 2019 20:11 UTC


    Mon chéri,

    Vendredi, plutôt que d'aller au lycée, tu as participé à la manifestation pour la défense du climat et le sauvetage de la planète. Tu n'imagines pas combien nous avons été fiers de te voir engagé dans une cause aussi essentielle. Profondément émus par tant de maturité et de noblesse d'âme, nous avons été totalement conquis par la pertinence de ton combat.

    Aussi, je t'informe que ta mère et moi avons décidé d'être indéfectiblement solidaires et, dès aujourd'hui, de tout faire pour réduire l'empreinte carbone de notre famille.

    Alors pour commencer, nous nous débarrassons tous les smartphones de la maison. Et puis aussi de la télévision. Tu ne verras aucune objection, naturellement, à ce que ta console subisse le même sort : on dit qu'ils contiennent des métaux rares que des enfants, comme toi, extraient sous la terre dans des conditions honteuses.

    Évidemment, nous avons entrepris de résilier aussi tous les abonnements téléphoniques et la box d'accès à l'internet. Nous avons pris conscience que tous ces gigantesques data-centers qui stockent les données des réseaux sociaux et des films en « steaming » sont des gouffres énergétiques. J'ai aussi contacté un plombier pour faire retirer le système de climatisation particulièrement énergivore. Nous nous le remplacerons par des ventilateurs basse consommation dont nous nous efforcerons de ne pas faire une utilisation abusive.

    Nous pensons également qu'il est nécessaire de corriger nos modes de vie : nous cesserons donc de partir en vacances au ski ou à l'étranger. Ni même sur la Côte d'Azur avec le camping-car que, d'ailleurs, nous avons la ferme intention de revendre. Et bien sûr, fini l'avion ! Pour l'été prochain, ta mère et moi avons programmé de remonter le canal du Midi par les berges, à vélo. Comme tu iras désormais au collège avec ton VTT, cela te fera un excellent entraînement. Oui, parce que la batterie de ta trottinette électrique n'étant pas recyclable, il te faudra oublier ce mode de locomotion. Mais c'est déjà fait, j'imagine.

    Ah ! pour tes vêtements, nous avons décidé de ne plus acheter de marques (ces vêtements sont fabriquées par des mains d'enfants dans les pays du tiers-monde comme tu le sais). Tu nous approuveras, nous en sommes persuadés. Nous envisageons par conséquent de t'acheter des vêtements en matières éco-responsables, comme le lin ou la laine, que nous choisirons de préférence écrus (les teintures sont parmi les plus grands polluants).

    Dans la foulée, nous nous mettrons à l'alimentation bio et privilégierons les circuits courts. Et pour aller au plus court, nous songeons même à acheter des poules afin d'avoir des œufs frais à portée de main : tu vas adorer ! Ta mère a même pensé à un mouton pour tondre le gazon. Et puis, j'ai adressé une candidature en bonne et due forme à la mairie pour obtenir l'affectation d'une parcelle dans les jardins familiaux partagés. Nous comptons sur toi pour nous aider à cultiver nos légumes. Il va sans dire que, dans cette démarche, nous bannirons les aliments industriels. Désolé pour le Coca et le Nutella dont tu faisais grande consommation et dont tu devras te priver à présent. Mais nous ne doutons pas un instant de ton approbation.

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  2. Enfin, pour palier le manque de distractions par écrans interposés, le soir, nous nous remettrons à la lecture (dans des livres en papier recyclé, cela va de soi) ou nous jouerons aux échecs et pourquoi pas aux petits chevaux : il y a une éternité que nous n'avons pas fait une partie de ce jeu désopilant. Nous achèterons un plateau et des pièces en bois du Jura, comme il se doit. Et nous veillerons à nous coucher plus tôt pour économiser la lumière.

    Voilà, nous sommes certains que tu adhèreras pleinement à ce sympathique programme qui s'inscrit en ligne directe dans ton combat pour sauver la planète. Et nous te remercions encore de nous avoir ouvert les yeux.

    Tes parents qui t'admirent et qui t'aiment.

    (courrier écrit sur du papier recyclé)

    https://fr.sott.net/article/34505-Lettre-a-notre-fils-qui-se-bat-pour-le-climat

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  3. Le refroidissement du climat est arrivé (aux USA) !


    le 17 octobre 2019


    L’Europe occidentale n’est pas encore atteinte par le froid car elle bénéficie de l’effet protecteur du Gulf Stream. Ce n’est pas le cas du nord du Middle-West américain qui pour la quatrième année consécutive endure des vagues de froid, de blizzard et de neige de plus en plus précoces. Ce début d’automne 2019 a été particulièrement froid dans les Etats du Minnesota, du Dakota (nord et sud) et du Wisconsin. La vague de froid et de neige – par endroits 40 cm – a affecté plus de 10 Etats alors qu’à peine 15 % des récoltes avaient été effectuées et le reste était toujours sur pied ou en terre. Les pertes sont encore difficiles à évaluer tant pour le soja, le maïs, la pomme de terre, et même dans certaines régions pour le blé. En effet, après un printemps très pluvieux les labours et les semis ont été retardés de près d’un mois et ce retard n’a pas été comblé par un été relativement clément. Les récoltes ont donc débuté avec retard.

    Dans certains comtés les pertes sont « totales » et une multitude d’exploitants agricoles vont se retrouver dans une situation financière délicate pour ne pas dire catastrophique. Pire encore le prix des denrées alimentaires va atteindre des sommets dans les prochaines semaines. Encore une fois ce seront les dizaines de millions de ménages ayant des difficultés pour « boucler » leurs fins de mois qui seront les premiers pénalisés. En effet une multitude de denrées alimentaires contiennent des ingrédients provenant de l’une ou l’autre des cultures affectées par cette vague de froid. Enfin la flambée des prix des matières premières agricoles est prévisible à la bourse de Chicago et les répercussions seront mondiales.

    Voilà la préfiguration exacte de ce qui attend le monde occidental quand le refroidissement du climat s’installera. Sommes-nous préparés ? Certainement pas ! Et les dégâts prévisibles seront immenses. Illustration : Minnesota fin septembre 2019

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/10/17/le-refroidissement-du-climat-est-arrive-aux-usa/

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    1. Il se trouve que le vortex (vent polaire) n'arrive pas par hasard. Depuis quelques années s'est ouverte une source chaude Atlantique au large de N-Y et, cette colonne montante de chaleur issue d'éruption volcanique sous océanique appelle donc l'air ambiant a s'y concentrer dessus. C'est aussi ce qui se passe dans le Golfe du Mexique vers lequel se dirige le vent du Nord.

      Pour l'instant, les sources chaudes méditerranéennes et Est de l'Atlantique n'ont pas beaucoup montré de réchauffement climatique mis a part le mistral qui lui est attiré vers les côtes maritimes.

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  4. Quatre articles « agricoles » dans l'Opinion


    17 Octobre 2019
    par Seppi
    Glané sur la toile 420


    À la une de l'édition du mardi, 15 octobre 2019 de l'Opinion : « Esther Duflo et le prix Nobel, une leçon d'économie, pas de politique ». On a peut-être voulu jouer sur une homonymie. Mais on aurait probablement pu poursuivre, pour Cécile, par : « et une leçon pour l'aide au développement ».

    « Paysans: cette jacquerie qui couve »

    En-dessous, en gros titre : « Paysans: cette jacquerie qui couve » de Mmes Emmanuelle Ducros et Nathalie Segaunes.

    Le sous-titre me déplaît ! Un peu !

    « Le pacte social est-il rompu entre la France et ses agriculteurs ? La question se pose alors que les manifestations de violence sont plus fréquentes de la part du monde paysan à l’égard de responsables politiques qui semblent ne plus les comprendre. »

    Il me semble en effet que c'est plutôt le monde paysan qui fait l'objet de manifestations de violence, physiques, verbales, médiatiques et activistes, et que la réaction du monde agricole est – encore – plutôt modérée. Les deux auteures écrivent :

    « Perte de sang-froid de la part de "petits joueurs", comme dirait François Fillon ? On pourrait le croire, si l’analyse sur le climat qui règne dans le monde agricole n’était partagée par des responsables syndicaux ou des présidents d’interprofessions. Les sujets de crispation se sont multipliés ces derniers mois. »

    Parmi eux, le CETA (et l'accord avec le MERCOSUR qui semble maintenant enterré), les promesses non tenues des États Généraux de l’Alimentation et les attentes non satisfaites issues de la loi « Egalim », les zones non traitées...

    « S’ajoutent à cela les accusations d’empoisonnement, sous-tendues par des glyphotests absurdes, des arrêtés antipesticides téléguidés par quelques ONG et les intrusions qui se multiplient dans les élevages… La coupe est pleine. L’agriculture se barricade. "Il y a d’abord eu le découragement, on en est à la révolte", résume Arnaud Rousseau.

    Voilà des sujets sociologiquement complexes qui méritent un examen attentif, bien plus que la faiblesse gouvernementale sur le dossier agricole, que l'on peut résumer par une phrase, sans toutefois cerner l'intégralité du problème, car le personnage ciblé n'est pas le seul en cause :

    « Pour couronner le tout, le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume est évanescent. »

    « A la FNSEA, des tensions dans une forteresse assiégée »

    Cette jacquerie semble se déployer aussi au sein du syndicat qui – avis aux complotistes et autres FNSEA-basheurs – n'est majoritaire dans le pays que parce que les agriculteurs y adhèrent en nombre et qui doit trouver un juste milieu entre les intérêts contradictoires de ses membres. L'affaire du CETA en est une illustration : face aux craintes des producteurs de viande, il y a les résultats positifs, avérés, pour les producteurs de vins et de fromages, qui bénéficient déjà de l'application provisoire de l'accord.

    « Christiane Lambert, la présidente de la FNSEA, tient-elle ses troupes ? » s'interroge Mme Emmanuelle Ducros. Plus sérieux est le propos d'un président départemental :

    « [Des agriculteurs d’ordinaire modérés…] Ils ont globalement soutenu Emmanuel Macron, pour sa vision ambitieuse de l’économie, mais ils vont de déception en humiliation. Je redoute que ça explose, qu’on ne tienne plus le truc. »

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  5. Ils ne sont pas les seuls à être déçus.

    « Le débat sur l’agriculture est entré dans une guerre idéologique »

    Cet entretien avec le politologue Eddy Fougier aborde ce que nous avons évoqué ci-dessus, les sujets sociologiquement complexes. Que retenir d'un petit texte dense, très juste ? Notre choix portera sur trois propos.

    Sur les pièges des sondages :

    « Il faut différencier l’agriculture et les agriculteurs. En fonction du terme que vous utilisez dans un sondage, vous pouvez avoir un écart de dix à vingt points. »

    Sur l'aveuglement – ou le cynisme le plus débridé – militant :

    « Certains leaders d’opinions sont dans une logique militante et nient qu’il puisse exister une diversité des attentes des consommateurs. Tous les Français ne veulent pas manger du bio ou acheter des produits en circuit court. »

    En fait, la majorité des Français ne peut pas, et il serait temps de factoriser ce fait dans les réflexions... et les décisions politiques.

    Sur un enjeu majeur, constamment occulté :

    « Un tiers des agriculteurs ont plus de 55 ans. Il y a un véritable problème démographique. »

    Et, bien sûr, nous n'oublierons pas l'extraordinaire pusillanimité gouvernementale/macronienne :

    « Le débat sur le glyphosate a montré qu’un gouvernement pouvait décider d’un jour sur l’autre d’en interdire l’usage sous la pression de la société civile, et ce de manière unilatérale. »

    Sauf que, dans ce cas précis, il ne s'agit pas de « pression de la société civile », mais de méconnaissance des réalités de l'agriculture, de bien-pensance bobo-écolo, et de petits calculs politiciens. C'est encore plus grave.

    « "Au Nom de la terre": le film sur le monde agricole au million de spectateurs, dont Emmanuel Macron »

    Le titre est incomplet, mais c'est dans l'original. Bon, bref... le Président Emmanuel Macron a visionné le film, pris des notes et posé des questions...

    Saluons tout de même ce film qui, malheureusement, ne touchera dans un premier temps que ceux qui sont prêts à aller au cinéma et qui ne pèsera pas lourd face à l'agribashing dont nous abreuvent les médias et notamment les chaînes de télévision... du service dit public, dévoyé et spécieux.

    Le réalisateur Edouard Bergeon explique :

    « Mon idée était de parler des agriculteurs sans les juger. Et de ne pas désigner de coupable parce que c’est tout un système qui est coupable. […] Ce n’est pas le bon sens paysan qui manque mais tout un modèle qui est à revoir : l’enseignement agricole qui n’est pas à jour, le poids des lobbys, le système de cogestion, les habitudes prises dans l’utilisation des produits phytosanitaires… »

    Recentrer la réflexion

    Nous voilà arrivé à un problème majeur : celui des lieux communs et de la bien-pensance qui débouchent rapidement sur le yakafokon, les incompréhensions, les blocages et peut-être un désastre.

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  6. « Revoir le modèle » ? On n'a que ces mots à la bouche – quand ce n'est pas, à la mode Didier Guillaume : « Il faut revenir à l'agriculture de grand-papa ». Comme s'il y avait « un modèle » et qu'il suffisait de poser quelques chiffres et formules dans une feuille de calcul.

    Posons trois questions simples :

    1. Il y a 67 millions de personnes en France, 513,5 millions dans l'Union Européenne, notre communauté de destin. Comment doit-on faire pour les nourrir ?

    2. Il y a, en France, une surface agricole utilisée (SAU) qui représente environ 29 millions d'hectares, 54 % du territoire national, répartis en terres arables pour 62 %, en surfaces toujours en herbe pour 34 % et en cultures pérennes pour 4 %. Comment doit-on faire pour les entretenir et, dans toute la mesure du possible, les améliorer ?

    3. Un tiers des agriculteurs ont plus de 55 ans et partiront bientôt en retraite. Comment doit-on assurer leur succession en tant que producteurs de notre nourriture, gestionnaires de plus de la moitié du territoire et éléments majeurs de la ruralité ?

    Évidemment, en ayant « changé de modèle ».

    Qu'on ne vienne pas nous tartiner les oreilles avec l'agro-écologie – cette tarte à la crème idéologique sans réelle consistance pratique (le mot « agronomie » suffit amplement) – le/la bio et, encore moins, la « permaculture » (un autre mot creux) !

    Mais qu'on s'interroge sur ce qu'il convient de faire pour rétablir la santé mentale au sujet de la production agricole et alimentaire dans les milieux politiques (y compris au plus haut niveau – par exemple celui d'un ministre de l'agriculture adepte de l'agriculture de grand-papa et des charlataneries biodynamiques, ou même d'un président qui fait un caprice sur le glyphosate...), syndicaux (une Conf' qui milite contre la majorité de ses adhérents potentiels, une FNSEA qui louvoie...), médiatiques (par exemple une France 2 qui fait dans l'agribashing de choc...), ainsi que sur les réseaux sociaux...

    Et, surtout, chez certains citoyens/consommateurs. Alors qu'ils ont le luxe inouï de pouvoir se demander ce qu'ils mangeront – ou ne mangeront pas – ce soir, bon nombre ne réalisent plus que s'ils mangent trois fois par jour, ils devraient remercier, trois fois par jour, un agriculteur.

    En tout cas, merci à l'Opinion de s'investir dans une œuvre de salubrité publique.

    http://seppi.over-blog.com/2019/10/quatre-articles-agricoles-dans-l-opinion.html

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    1. Après les "Y a des mots qui ne veulent pas dire ce qu'ils disent" !! Hahahaha (et pourquoi pas des sons qui se veulent silencieux ?! Hahahaha !), le pet de la semaine est attribué au ministre de l'imbécilité-de-chez-lui qui a préconisé de revenir à l'agriculture d'antan où même les paysans (98 % de la population d'alors) ne mangeaient pas à leur faim !

      Plus con que çà y a pas ! La tare est de n'avoir de culture.

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