Les éoliennes, technologie obsolète et néfaste, ont détourné énergies et
3 OCTOBRE 2019
Par Gérard-Michel Thermeau.
Voici un livre sur les éoliennes qui vient à son heure. Dans cette triste époque de délire mystico-religieux et d’irrationalité satisfaite, Fabien Bouglé remet les pendules à l’heure. Il dénonce l’escroquerie environnementale, économique et politique que représentent les éoliennes.
On aura rarement aussi bien démonté le mythe des prétendues énergies renouvelables. Que le discours sur les éoliennes soit du vent, on le sentait bien, mais sans avoir toujours tous les éléments d’informations réunis de façon commode.
Fabien Bouglé démonte aussi, de façon précise, le business juteux des vertueuses ONG, si promptes par ailleurs à dénoncer les méchants lobbies du nucléaire, du pétrole ou des OGM. Pour paraphraser Voltaire, les prétendus défenseurs de l’environnement crachent dans la soupe pour mieux en dégoûter les autres. Mais ne comptons pas trop sur la presse pour trop se pencher sur certains conflits d’intérêt.
LES PARADOXES DE L’IDÉOLOGIE « PLANÉTOPHILE »
L’idéologie « planétophile », comme l’appelle l’auteur, enthousiasme les citadins et se fait aux dépens des ruraux.
L’idéologie écologiste repose sur des paradoxes continuels : les paysages naturels sont défigurés au nom du respect de la nature ! Les éoliennes gigantesques se substituent aux clochers, comme l’écologisme supplante le christianisme.
Bien sûr, derrière l’enthousiasme lyrique continuel propagé par les médias se révèlent des intérêts financiers bien juteux, dont certaines ONG, par le biais de prises d’intérêt, profitent largement. Fabien Bouglé dénonce dans l’industrie éolienne « une arme de destruction massive de l’environnement ».
UN BILAN ENVIRONNEMENTAL DÉSASTREUX
Bien que l’information, très biaisée, qui existe sur Internet essaie de faire croire au caractère recyclable des éléments constituant les éoliennes, seul le mât l’est réellement. La nacelle exige l’utilisation des fameuses terres rares que nous retrouvons dans les voitures électriques, les panneaux voltaïques et téléphones portables, si chers à la boboïtude conscientisée. Or rien de plus polluant, notamment sur le plan radioactif, que l’exploitation des terres rares.
Il est curieux que les adversaires acharnés du nucléaire prônent des éoliennes dont la construction entraine l’accumulation de déchets radioactifs et de graves problèmes de santé pour les ouvriers chargés de l’extraction et les populations environnantes.
La durée de vie des éoliennes étant brève, guère au-delà de 25 ans, que faire des stocks de pales à peu près impossibles à recycler et dont les composants se révèlent dangereux pour la santé ? Et en songeant aux 14 000 éoliennes qui rouillent sur place en Californie, on frémit à ce qui nous attend en France et en Europe.
Le « bilan carbone », si cher à notre époque, est absolument désastreux pour les éoliennes comme le montre l’auteur. Elles provoquent même un réchauffement local là où elles sont installées !
LE BON ÉLÈVE DOIT IMITER LE CANCRE
Le vent est certes inépuisable mais ce n’est pas le vent lui-même qui produit directement l’énergie. Et le vent souffle où et quand il veut, comme le savait la sagesse antique. Notre époque paraît avoir oublié cette vérité élémentaire. L’intermittence est un des nombreux talons d’Achille de notre symbole vert. Cette intermittence exige une régulation par l’utilisation de centrales thermiques. En d’autres termes, plus vous utilisez d’éoliennes plus vous devez recourir à des énergies fossiles. Le soi-disant « renouvelable » dépend totalement du non-renouvelable !
On en arrive à cette situation ubuesque où la France, élève modèle de l’Europe en terme d’émissions de gaz carbonique, se voit enjointe d’imiter le modèle allemand qui émet 10 fois plus de gaz carbonique par kw/h produit.
Divers chapitres sont consacrés aux problèmes subis par les riverains des éoliennes ou au massacre de grande ampleur des oiseaux et de chauves-souris, mais aussi, ce qui est moins connu, du monde marin.
DICTATURE VERTE ET CAPITALISME DE CONNIVENCE
Un chapitre porte un titre significatif, « La nouvelle dictature verte ». Visiblement les règles de la démocratie ne s’appliquent pas pour les installations d’éoliennes. Le chapitre suivant qui fait allusion à une certaine Greta se penche sur le « capitalisme vert ». Derrière les jeunes filles aux nattes se cachent toutes les tares du capitalisme de connivence : exonérations d’impôts, subventions, tarifs subventionnés. Bref, toutes les joies du profit sans risque assuré par le contribuable qui n’en peut mais. Une belle bulle artificielle qui n’aurait jamais existé si le marché avait pu jouer son rôle.
Et à l’horizon se profile un désastre économique, surtout pour notre pays qui bénéficie largement de la manne touristique : mais pour combien de temps ? Touristes et éoliennes ne font pas vraiment bon ménage.
En bref, les éoliennes, technologie obsolète et néfaste, ont détourné énergies et capitaux aux dépens de l’innovation et de la recherche, seuls à même de trouver une solution à une trop grande dépendance à l’égard des énergies fossiles.
Sans vouloir déflorer davantage le contenu d’un ouvrage très documenté, qui mérite la plus large diffusion, je ne peux que vous inviter à le lire au plus tôt !
Fabien Bouglé, Éoliennes, la face noire de la transition écologique, éditions du Rocher, 2019, 240 p.
Les éoliennes consomment plus d'électricité qu'elles ne puissent en produire !
RépondreSupprimerLorsqu'il n'y a pas de vent, les éoliennes tournent ! Pourquoi donc ? Pour éviter le grippage du moteur. Et, pour faire tourner des pales de 60 tonnes chacune... Il en faut beaucoup de l'électricité nucléaire ! Beaucoup !
Enfin ! 500 scientifiques publient une alerte pour le sommet ONU sur l'ABSENCE de souci climatique et d'urgence...
RépondreSupprimerCharles Dereeper
jeudi, 03 octobre 2019 06:43
Les manipulations grossières sur le climat dans le but de lever de nouveaux impôts commencent à agacer.
500 professionnels du climat et scientifiques publient une alerte ONU. Les infos sont ici https://www.technocracy.news/climate-scientists-write-to-un-there-is-no-climate-emergency/
Pour ceux qui n'ont toujours pas compris techniquement comment les socialistes arnaquent le bas peuple avec la peur du climat, des personnes se sont emparés des chiffres sur 600.000 ans. En fait, le principe est simple. Une corrélation imparfaite est calculée sur 600.000 ans et c'est la cata de la cata qu'il faut tout arrêter de vivre.
Mais, si on sépare les périodes de réchauffement des périodes de refroidissement, à l'intérieur des 600.000 ans, très rapidement, on découvre que le carbone suit la température au lieu de précéder la hausse et ceux de manière statistiquement marquée... fallait y penser. Monsieur Michu qui gobe les yeux fermés sa mixture chaque jour afin d'avaler sa cuillière de merde chaque semaine sans trop gueuler, lui, il regarde pas le détail des chiffres. Efficace.
Je reste toujours respectueux du pouvoir socialisme mondial rôdé qui manipule peuples sur peuples avec efficacité.
Un français qui a voulu en avoir le coeur net a publié sur cette page ses recherches basiques statistiques https://cedric.ringenbach.com/2009/07/19/correlation-entre-co2-et-temperature/
Pour ceux qui veulent un peu plus que la soupe populaire scientifico climatologique, quelques infos sur les cycles solaires ici https://www.lunarplanner.com/SolarCycles.html
Vous comptez désormais comme moi. Le CLIMAT CHANGE affirme que 95% des scientifiques dans le monde ont confirmé le réchauffement climatique et l'urgence de lever des impôts pour lutter contre la vilaine action de l'homme coupable qui doit se racheter de ses fautes en sortant le carnet de cheque...(un vieux mécanisme utilisé avec succès depuis 2000 ans)
Donc si vous me suivez toujours... puisque nous avons désormais 500 scientifiques qui se lèvent contre le CLIMAT CHANGE, cela veut dire que la mafia socialo a 9.500 scientifiques en poche pour défendre leur projet sadique... une armée de neurones... qui peut être bien qu'elle n'existe pas en fait...
Et si on pétait tout simplement la gueule à ces connards... je veux dire, sans même réfléchir, sans même calculer de pourcentage, juste des gnons et des coups de genoux pour les finir quand ils sont au sol. Un salopard voleur collectif pervers, dans le fond, n'est ce pas le traitement social qu'il mérite ?
http://www.objectifeco.com/entreprendre/tendances-sectorielles/enfin-500-scientifiques-publient-une-alerte-pour-le-sommet-onu-sur-l-absence-de-souci-climatique-et-d-urgence.html
A vrai dire il ne faut pas confondre les scientifiques et les tas de merdes de 'climatologues, pluitologues ou ventologues' qui envahissent les merdias. Car, si un scientifique se permettait de dire des choses fausses (orales ou publiée) il serait rayé par le Conseil de l'Ordre, les pairs ne plaisantent pas avec ce type d'affaire.
SupprimerMais, mais il y a les 'écologistes' (personne trisomique qui s'oppose à l'école et se suppose au-dessus de tous les autres !) qui 'aujourd'hui' font la loi. Ce sont EUX qui gouvernent et interdisent l'accès aux merdias à TOUS les scientifiques.
Que le climat change: c'est normal, cela s'appelle des saisons ! Que des températures soient été repérées comme étant en hausse (de moins de 1 degré Celsius en 100 ans !) cela peut arriver tout naturellement car, hors saison existe la chaleur magmatique qui 24/24h chauffe les bassins maritimes & océaniques, mais, que cette hausse (ou cette baisse) des températures soit attribuée aux humains... ALORS LA, NON ! Non, car même si l'on y ajoute la présence de dizaines de milliards de bestioles et d'industries, cela ne représente même pas 1 milliardième de ce que dégazent les mers & océans tous les jours !
Mais, je vous rassure, TOUS les gaz se recyclent (depuis toujours et pour toujours) instantanément au contact de l'un et l'autre.
voir aussi:
http://www.petitionproject.org
Les émissions nettes de gaz carbonique d'ici 2050 nécessitent une nouvelle centrale nucléaire chaque jour
RépondreSupprimer2 octobre 2019
Roger Pielke
De Forbes
Je recherche et écris sur la science, la politique et la politique.
Il y a plus de dix ans, Gwyn Prins et Steve Rayner ont qualifié la politique climatique de «vente aux enchères de promesses» dans laquelle les politiciens «se disputaient avec des objectifs d'émissions proposés qui n'étaient tout simplement pas réalisables». Par exemple, parmi les démocrates en lice pour la présidence en 2020, plusieurs d'entre eux, dont Joe Biden, se sont engagés à réduire leurs émissions de gaz carbonique à zéro d'ici 2050. Les candidats, Andrew Yang, ont soumissionné pour 2049 et Cory Booker a surpassé ces attentes en proposant 2045. Bernie Sanders a proposé une réduction de 71% d'ici 2030.
L'une des raisons pour lesquelles nous voyons cette «vente aux enchères de promesses» est que les objectifs et les calendriers de réduction des émissions sont faciles à énoncer, mais difficiles à comprendre. Je présenterai ici ce que signifient réellement les émissions nettes de gaz carbonique pour 2050 en termes de taux de déploiement d’énergie sans carbone et de démantèlement concomitant de l’infrastructure à combustibles fossiles.
Pour mener cette analyse, j’utilise le BP Statistical Review of World Energy, qui présente des données sur la consommation mondiale et nationale de combustibles fossiles dans des unités appelées «millions de tonnes d’équivalent pétrole» ou mtoe. En 2018, le monde a consommé 11 743 Mtep sous forme de charbon, de gaz naturel et de pétrole. La combustion de ces combustibles fossiles a généré 33,7 milliards de tonnes d'émissions de gaz carbonique. Pour que ces émissions atteignent un net zéro, nous devrons remplacer environ 12 000 Mtep de consommation d'énergie prévue pour 2019. (J'ignore les technologies dites d'émissions négatives, qui n'existent pas encore à grande échelle.)
Un autre chiffre utile à savoir est qu'il reste 11 051 jours jusqu'au 1 er janvier 2050. Pour atteindre les émissions nettes de gaz carbonique au niveau mondial d'ici 2050, il faut donc déployer plus de 1 million de tep d'énergie sans émission de carbone (~ 12 000 mtoe / 11 051 jours). ) chaque jour, à compter de demain et pendant plus de 30 ans. L'atteinte du zéro net exige également le déclassement correspondant correspondant à plus de 1 Mtep d'énergie consommée par les combustibles fossiles chaque jour.
Un autre chiffre important à prendre en compte est l’augmentation attendue de la consommation d’énergie dans les décennies à venir. L’Agence internationale de l’énergie prévoit actuellement que la consommation mondiale d’énergie augmentera d’environ 1,25% par an d’ici 2040. Ce taux d’augmentation de la consommation d’énergie signifierait que le monde aura besoin d’environ 5 800 Mtep de consommation d’énergie d’ici 2050, soit environ 0,5% de plus. 1 Mtep par jour jusqu'en 2050. Cela porte à 2050 le niveau de déploiement total nécessaire pour atteindre des émissions nettes nettes d'environ 1,6 Mtep par jour.
Le concept de mtoe est assez difficile à comprendre pour quiconque. C’est pourquoi nous allons placer la machine dans une unité plus compréhensible, une centrale nucléaire et plus particulièrement la centrale nucléaire de Turkey Point à Homestead, en Floride. La quantité d'énergie reflétée dans 1 mtep est approximée par celle produite par la centrale nucléaire de Turkey Point sur un an.
Donc, le calcul est simple: pour atteindre des émissions nettes de gaz carbonique d'ici 2050, le monde devrait déployer 3 centrales nucléaires à Turkey Point d'une énergie sans émissions de gaz carbonique tous les deux jours, à compter de demain et jusqu'à 2050. En même temps, une centrale nucléaire à Turkey Point nécessitant des combustibles fossiles devrait être mise hors service chaque jour, à partir de demain et jusqu’en 2050.
RépondreSupprimerJ’ai constaté que certaines personnes n’apprécient pas l’utilisation d’une centrale nucléaire comme mesure. Nous pouvons donc substituer l’énergie éolienne à la mesure. Le taux de gaz carbonique zéro net d'ici 2050 nécessiterait le déploiement d'environ 1 500 éoliennes (2,5 MW) sur environ 300 miles carrés, chaque jour à partir de demain et jusqu'en 2050. Le graphique ci-dessous illustre le défi.
- voir sur site -
https://www.forbes.com/sites/rogerpielke/2019/09/30/net-zero-carbon-dioxide-emissions-by-2050-requires-a-new-nuclear-power-plant-every-day/#b97702935f7e
SupprimerMême si sur Terre il n'y avait ni humains, ni animaux ni industrie, il n'y aurait pas un gramme de gaz en moins ! Tout simplement que comme TOUS les gaz se recyclent, l'équilibre est toujours présent.
La « transition énergétique » en quelques chiffres, et pas seulement en France
RépondreSupprimerle 3 octobre 2019
Je ne sais pas quel clown, dans le gouvernement français actuel, est en charge du dossier épineux de la transition énergétique, ça n’a d’ailleurs aucune importance. Cette transition est motivée par les recommandations incantatoires des organismes onusiens en charge du climat car, paraît-il, le gaz carbonique résultant de la combustion du pétrole, du gaz et du charbon pour se déplacer, se chauffer (ou se refroidir), s’éclairer, se connecter à internet et faire fonctionner l’industrie, est mauvais pour le climat. Les écologistes se sont emparé de cette immense opportunité pour faire parler d’eux, Greenpeace en tête. Le lobbying incessant de ces organisations auprès des politiciens, IPCC en premier lieu, a donc conduit ces décideurs à prendre des décisions absurdes afin de parvenir à une « décarbonation » totale du monde – occidental au moins – dès les années 2050. L’horizon 2050, c’est dans 30 ans et je serai mort depuis longtemps, donc je n’assisterai pas à ce désastre généralisé, ouf !
Dans un article écrit pour le magazine Forbes paru le 30 septembre 2019 le Docteur Roger Pielke Jr (voir note) expose en chiffres la réalité de cette transition énergétique. Ses conclusions explicitent l’incompétence des politiciens décideurs et l’ignorance totale des écologistes comme n’importe qui pourra le constater à la lecture de ce billet. Pielke expose la dure réalité arithmétique qui dérange. Même si chaque individu dans le monde pensait que l’abandon total des combustibles fossiles avait du sens, même si tous les gouvernements s’attachaient à cet objectif, même si cette tâche se réalisait collectivement, elle resterait cependant immense et irréalisable car cet objectif est « énorme » selon les mots de Pielke.
En une année une centrale nucléaire est capable de produire l’équivalent en énergie de ce que produit un million de tonnes équivalant de pétrole soit 1 million de tep. Pielke écrit dans cet article :
« En 2018, le monde a consommé 11865 millions de tep (Mtep) sous forme de charbon, de pétrole et de gaz. Il reste 11051 jours jusqu’au Premier janvier 2050. Pour atteindre une suppression nette des émissions de carbone au niveau mondial d’ici 2050, il faut donc déployer dès aujourd’hui l’équivalent de 1 Mtep d’énergie décarbonée chaque jour et pendant 30 ans tout en déclassant dans le même temps et chaque jour la production d’énergie consommant des combustibles fossiles à hauteur de 1 Mtep ».
- voir graphique sur site -
Reston honnêtes et réalistes, la tête sur les épaules et adultes : les enfantillages écologistes doivent cesser ! Les chances d’atteindre un tel scénario sont très faibles sinon nulles. De plus, sous la pression des écologistes et en particulier de Greenpeace, les décideurs politiques, hormis en Russie, en Chine et en Inde, ont dans la grande majorité considéré que développer l’énergie nucléaire était hors de propos. Alors que nous sommes supposés en pleine crise climatique à cause des émissions de gaz carbonique, développer l’énergie nucléaire qui n’émet que très peu de carbone (sinon pour sa construction et la production du combustible) reste pratiquement tabou. Il faudra en effet réduire à zéro carbone pas seulement l’électricité mais également les transports donc électrifier intégralement ces derniers ainsi que le chauffage domestique mais aussi l’industrie, je pense ici à la production d’acier et aux laminoirs, deux process industriels consommateurs extrêmes d’énergie. Les personnes qui tiennent ce discours préfèrent développer l’énergie éolienne … Pielke, d’après ses calculs, considère qu’il faudrait construire jusqu’en 2050 et chaque jour 1500 éoliennes dans le monde. Rien qu’aux USA, pays qui consomme 20 % de l’énergie fossile du monde entier, il faudrait construire 300 éoliennes par jour et ce jusqu’en 2050.
Malgré des années de subventions étatiques massives conçues pour encourager les investissements dans l’énergie éolienne, moins de 10 turbines sont installées chaque jour aux USA. Même un enfant de 10 ans comprendrait que passer de 10 éoliennes par jour à 300 est un défi de taille qui ne pourra pas se produire du jour au lendemain y compris dans un pays riche comme les USA. Laissons de côté les contes de fées pour enfants : pour construire une éolienne moderne il faut 900 tonnes d’acier, 2500 tonnes de béton et 45 tonnes de matière plastique non recyclable et pour les panneaux solaires c’est pire. Tous ceux qui pensent que le monde pourra passer au zéro carbone en 2050 ne s’imaginent pas un seul instant qu’il faudra mettre en oeuvre dans le monde entier les plus grands programmes miniers jamais envisagés auparavant pour extraire du fer, des terres rares, du cuivre, du cobalt, au détriment de l’environnement … La seule et unique solution reste donc l’énergie nucléaire et pour atteindre cet objectif il faudra dès la semaine prochaine mettre une centrale nucléaire de 1000 MW-électriques en chantier chaque jour dans le monde. Et pendant ce temps-là les clowns français qui sont en charge de gérer la transition énergétique « à la française » ont décidé de fermer définitivement la centrale nucléaire de Fessenheim qui pourrait probablement continuer à fonctionner pendant 50 ans avec des opérations de maintenance infiniment moins coûteuse que n’importe quelle ferme d’éoliennes en mer. On croit rêver comme dans un mauvais conte de fée mais les écologistes n’ont jamais cessé de rêver de jours meilleurs …
RépondreSupprimerSource et illustrations : Forbes
Note. Roger A. Pielke Jr est Professeur à l’Université du Colorado à Boulder. spécialiste des interférences entre la politique et la science il a écrit de nombreux ouvrages dénonçant ces interférences.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/10/03/la-transition-energetique-en-quelques-chiffres-et-pas-seulement-en-france/
SupprimerCe n'est pas pour rien que le 'buste de Marianne' dans les mairies va être remplacé par le cul de 'Greta-moi-les-couilles' ! Une étergumène qui tousse à bout tout le monde !
Ne pas confondre aussi avec la gaze carbonique faite d'une étoffe légère composée de carbone.
Quel expert a mis un thermomètre sur un toit brûlant pendant 40 ans ?
RépondreSupprimerEst-ce la station météorologique la plus loufoque d'Australie ?
October 3rd, 2019
Publié par Ken Stewart
L'Australie du Sud place des thermomètres à côté des incinérateurs. Victoria les met derrière les murs de la prison. La Tasmanie en a un à côté des piles d'excréments humains. La Nouvelle-Galles du Sud les a à côté des autoroutes. Mais le Queensland va mieux - il en a une sur le toit. Et pas n'importe quel toit, mais sur le toit en acier brillant d'une chargeuse à sucre, au-dessus de l'océan et au bout d'une jetée à 5,6 kilomètres au large. C’est dans la mer de Corail, à Lucinda Point, dans l’Extrême Nord du Queensland.
Cette station ne peut éventuellement enregistrer des températures significativement représentatives. Mais ces températures sont dûment signalées sur les sites Web du Bureau, ainsi qu’à la télévision et à la radio. De plus, les températures à Lucinda sont utilisées pour ajuster les températures à Cairns. Ils contribuent ainsi au bilan climatique officiel de l’Australie, ainsi qu’aux analyses du climat mondial menées par le Goddard Institute of Space Studies (GISS) et l’Unité de recherche sur le climat de Hadley (HadCruT).
Poser une station météorologique sur un toit est une violation directe des propres directives du Bureau de météorologie, qui stipule:
3.6.7 «Les abris ne doivent pas être installés sur les toits des toits, ni à proximité des gaz d'échappement ou des échangeurs de chaleur d'équipements tels que les climatiseurs, les réfrigérateurs et autres.»
Voici une image satellite Google de la jetée de Lucinda Point et du quai de chargement du sucre. L’écran de Stevenson contenant le thermomètre électronique automatique est dans l’ovale rouge.
- voir photos sur site -
Lucinda Jetty et thermomètre
Cette image montre la longueur de la jetée.
- voir photos sur site -
Lucinda Bureau de météorologie
Étant sur le toit de la chargeuse à sucre, à 5,6 km au large, la station météorologique n’a pas eu de mise à jour du plan du site depuis 2002 (ce n’est pas surprenant).
- voir sur site -
Lucinda carte emplacement.
Je regarde depuis quelques semaines l'emplacement des stations météorologiques australiennes sur mon blog kenskingdom.wordpress.com. Certains sont pires que d'autres, mais j'en vois de temps en temps un qui me fait me casser la tête et me demande: comment le Bureau peut-il s'en tirer comme ça? C'est un tel.
Détails de Lucinda:
- Lucinda Point 32141
- Données de température ouvertes et quotidiennes de 1980
- Coordonnées: -18,5203 146,3861
- Métadonnées du site de
http://www.bom.gov.au/clim_data/cdio/metadata/pdf/siteinfo/IDCJMD0040.032141.SiteInfo.pdf
- Observation Spécification 2013.1 "LIGNES DIRECTRICES POUR LA SÉLECTION ET L'EXPOSITION DES INSTRUMENTS MÉTÉOROLOGIQUES ET DES INSTALLATIONS D'OBSERVATION" disponible à l'adresse
http://www.bom.gov.au/climate/cdo/about/observation_specification_2013.pdf
http://joannenova.com.au/2019/10/which-expert-put-a-thermometer-on-a-hot-tin-roof-for-40-years/#more-66643
INSOLITE - ELLE SE JETTE DANS LA GUEULE DU LION, LE ZOO DU BRONX ATTERRÉ
RépondreSupprimer02.10.2019, 14h37
Les responsables du parc new-yorkais affirment que l'inconsciente était en danger. «Cet acte constitue une violation grave et une intrusion illégale».
L'acte irresponsable d'une femme au zoo du Bronx filmé par un autre visiteur. Heureusement pour elle, le roi des animaux n'a pas répondu à ses sollicitations.
Au classement des actes stupides commis au zoo, une Américaine vient de faire une entrée fracassante dans les toutes premières places. Le week-end dernier, une femme qui visitait un parc animalier n'a en effet rien trouvé de mieux que de s'introduire dans l'enclos du lion, rapporte NBC New York. Des vidéos postées sur Instagram montrent cette personne se tenir à seulement quelques mètres du fauve, qui la regarde d'un air interloqué. Les images recueillies de la «performance», qui ne laisse qu'entrapercevoir le petit fossé qui sépare l'humaine de l'animal, rendent cependant la rencontre plus périlleuse qu'elle n'était.
Le lion et la visiteuse s'observent quelques instants. Prenant confiance, l'humaine semble ensuite narguer la bête, la saluant de la main et esquissant quelques pas de danse devant elle. Le roi des animaux, lui, reste impassible. Hernan Reynoso, l'auteur de la vidéo, visitait le zoo avec sa femme et son fils quand il a assisté à cette scène surréaliste. Il a d'abord cru qu'il s'agissait d'une employée du parc et que sa «performance» faisait partie d'un show.
Selon ce témoin, le lion a fini par s'agiter et à rugir. Il a choisi ce moment-là pour s'éloigner des lieux. Dans un communiqué, le zoo du Bronx a confirmé l'incident. «Cet acte constitue une violation grave et une intrusion illégale qui aurait pu entraîner des blessures graves ou la mort», a fait savoir le parc animalier. Pour l'heure, les sanctions prises contre la visiteuse inconsciente n'ont pas été communiquées. On sait toutefois qu'elle n'a pas été blessée.
joc
https://www.lematin.ch/faits-divers/penetre-antre-lion-zoo-bronx-atterre/story/17169756
La jeune trisomique Greta a déclaré ne rien avoir compris au danger invoqué par le public. C'est l'ébauche du doryphore dans toute sa tête !
Supprimer
RépondreSupprimerEncore un arrêté « pesticides », mais celui-ci vaut lecture
3 Octobre 2019
par Seppi
http://seppi.over-blog.com/2019/10/encore-un-arrete-pesticides-mais-celui-ci-vaut-lecture.html
Faute de produits de traitement pour la santé des plantes et des consommateurs:
RépondreSupprimerFort développement des punaises
« Très fréquente depuis deux ans en Alsace, la punaise verte se fait particulièrement remarquer cette année en se développant de manière exponentielle sur maïs, soja et tournesol, » indiquent Arvalis et Terres Inovia.
Dans la majorité des cas, il s’agit d’une espèce de punaise baptisée Nezara viridula, très commune et polyphage. Couramment appelée la « punaise verte du Sud », on la nomme aussi « punaise puante cosmopolite ».
En s’alimentant de végétaux, elle est susceptible de causer des dégâts mais ceux-ci restent peu quantifiables. Sur maïs, l’insecte ne semble pas particulièrement nuisible mais il est utile de suivre sa progression et son éventuelle nocivité. Sur soja, les attaques les plus destructrices se rencontrent dans le Sud au début de la floraison.
Selon Didier Guillaume, en France aujourd’hui il y a «un sentiment antipaysans»
RépondreSupprimer19:04 03.10.2019
Le ministre français de l'Agriculture a évoqué «un sentiment antipaysans» qui d’après lui a cours aujourd’hui dans la population française dans une interview accordée au Point. Il a souligné que les agriculteurs «se sentent insultés, traités d'empoisonneurs, de pollueurs» dernièrement.
Tandis que le Président français est attendu au Salon de l'élevage près de Clermont-Ferrand ce vendredi 4 octobre, Didier Guillaume a expliqué dans une interview accordée au magazine Le Point que les agriculteurs «se sentent insultés, traités d'empoisonneurs, de pollueurs» dernièrement ce qui est accompagné par une «méconnaissance des pratiques agricoles» qui l’inquiète.
«En 30 ans, je n'ai jamais vu une telle coupure entre les métropoles et la ruralité. Les Français aimaient leurs paysans, mais, aujourd'hui, ces derniers se sentent insultés, traités d'empoisonneurs, de pollueurs», a lancé le ministre français de l'Agriculture, cité par l’hebdomadaire.
Ensuite, Didier Guillaume a rappelé que le nombre d’intrusions dans des élevages avait doublé cette année. Il souligne que les agriculteurs sont souvent la cible d’associations militantes, ce qui est difficile pour ces professionnels qui «travaillent beaucoup, gagnent peu, et sont exaspérés d'être toujours la cible des uns et des autres».
«Nous sommes dans une coupure irrationnelle entre deux fractions de la population», regrette le ministre.
Toutefois, il ne déplore pas seulement, mais propose des mesures afin de changer la situation.
«J'ai mis en place, dans le département de la Drôme, un observatoire contre "l'agribashing". Je propose qu'on le généralise à l'ensemble du territoire, et qu'avec la profession agricole, les ONG, les parties prenantes des États généraux de l'alimentation, on essaie de bâtir une communication plus positive sur le métier d'agriculteur, sur les exemples de réussite dans nos territoires, il y en a, sans occulter les difficultés qui persistent», affirme-t-il.
Le 23 septembre, dans plusieurs villes de France, des agriculteurs avaient incendié des palettes et des bottes de paille pour protester contre les arrêtés anti-pesticides et le futur projet de zone de non-traitement.
https://fr.sputniknews.com/france/201910031042206233-selon-didier-guillaume-en-france-aujourdhui-il-y-a-un-sentiment-antipaysans/
SupprimerTraiter les plantes et les arbres c'est apporter des remèdes aux maladies. Ce sont TOUTES les pharmacies qui vendent TOUS LES JOURS DES PRODUITS CHIMIQUE appelés 'poisons' et SEULS les trisomiques ne le savent pas. Ils ou elles font parties de ces manifestants ignorants de tout mais qui sortent gueuler. Des arrières-mentaux sans connaissances et formés à cet handicap grâce aux merdias qu'ils ou elles lèchent et sucent tous les jours !
Ils ou elles bouffent du 'bio' !! C'est-à-dire des fruits & légumes malades et dangereux pour la santé mais leur télé, leur radio, leur journal leurs ont dit de bouffer leurs merdes ! "C'est bon, c'est bio !" (avec du sucre ?) alors ils ou elles avalent !
"Vous en mangeriez de la viande vache folle ? du lapin qui a la myxomatose ? du poulet avec la grippe aviaire ? Du porc qui a la diarrhée ? Des tomates qui ont le mildiou ? Non ? Alors, pourquoi acceptez vous de manger 'bio' ?
"C'est un risque majeur": la France déploie une nouvelle technologie de reconnaissance faciale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 10/03/2019 - 05:32
Est-ce ainsi que le président français Emmanuel Macron choisit de célébrer les 70 ans du régime communiste ?
Dans un plan qui ressemble étrangement au système de «cote de crédit social» chinois, Macron et le ministère français de l'Intérieur avancent le projet de lancement d'un programme national de reconnaissance faciale, affirmant qu'il "rendra l'État plus efficace".
Selon Bloomberg, le programme d'identification, connu sous le nom de "Alicem", devrait être mis en place en novembre, après le lancement du programme par rapport au calendrier de fin d'année.
Malgré les objections du reste de la communauté européenne, Macron semble impuissant à adopter le nouveau système, garantissant que tous les citoyens français seront intégrés au projet, qu'ils le soutiennent ou non.
Même au sein du gouvernement français, il y a une opposition au nouveau plan. L’organisme français de réglementation des données a fait valoir que le programme contrevenait à la règle européenne de consentement et un groupe français de la protection de la vie privée contestait le plan devant la plus haute juridiction administrative française.
Il y a aussi la question de la sécurité: il a fallu à un pirate informatique un peu plus d'une heure pour pénétrer dans une application de messagerie «sécurisée» du gouvernement plus tôt cette année. Si un pirate informatique pénétrait dans cette base de données, les conséquences seraient beaucoup plus graves.
Mais le gouvernement ne sera tout simplement pas influencé ... ce qui n’est pas si surprenant. Macron a montré de fortes tendances statistes depuis son assermentation.
"Le gouvernement veut inciter les gens à utiliser Alicem et la reconnaissance faciale", a déclaré Martin Drago, avocat membre du groupe de défense de la vie privée La Quadrature du Net, qui a engagé une action en justice contre l'État. "Nous nous tournons vers l'utilisation massive de la reconnaissance faciale. L'importance du consentement et du choix suscite peu d'intérêt." L’affaire, déposée en juillet, ne suspendra pas Alicem.
Cependant, le groupe soulève un point positif: l’ère de la reconnaissance faciale de masse est malheureusement arrivée en Europe occidentale - et plus tôt que prévu. Bientôt, les Français ne seront pas simplement surveillés, ils seront activement suivis par un logiciel avancé qui enregistrera tous leurs mouvements.
Contrairement à la Chine et à Singapour, les Français n'utiliseront pas leur système de reconnaissance faciale pour la surveillance, a annoncé le gouvernement français dans un communiqué.
La France a déclaré que le système d’identité ne servirait pas à surveiller les résidents. Contrairement à la Chine et à Singapour, le pays n’intégrera pas la biométrie de reconnaissance faciale dans les bases de données d’identité des citoyens. En fait, le ministère de l'Intérieur, qui a développé l'application Alicem, a déclaré que les données de reconnaissance faciale collectées seraient supprimées une fois le processus d'inscription terminé. Cela n’a pas empêché les gens de s’inquiéter de son utilisation abusive potentielle.
"S'attaquer à la reconnaissance faciale à ce stade est un risque majeur" en raison des incertitudes sur son utilisation finale, a déclaré Didier Baichere, un législateur du parti gouvernemental qui siège à la commission "Technologies du futur" du Parlement et est l'auteur d'un rapport de juillet sur le matière. Permettre un usage en masse avant de mettre en place des freins et contrepoids adéquats est "ridicule", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLes utilisateurs peuvent choisir de «participer» au nouveau système en téléchargeant une application exclusivement Android qui téléchargera leur «passeport biométrique».
Un identifiant sera créé par le biais d’une inscription unique qui consiste à comparer la photo d’un utilisateur figurant dans son passeport biométrique à une vidéo selfie prise sur l’application qui capturera des expressions, des mouvements et des angles. Le téléphone et le passeport communiqueront via leurs puces intégrées.
Les opposants au système disent que les utilisateurs doivent choisir de participer, sinon le système violera les nouvelles règles européennes en matière de confidentialité des données, le GDPR.
Les opposants disent que l'application enfreint potentiellement le règlement général européen sur la protection des données, qui rend obligatoire le libre choix. Emilie Seruga-Cau, qui dirige l’unité chargée de l’application des lois à la CNIL, le régulateur indépendant du pays pour la protection de la vie privée, a déclaré que ses préoccupations étaient «très claires».
Bientôt, la France ne sera pas le seul pays européen à s'intéresser à cette technologie. Le Royaume-Uni - la maison de «Big Brother» - aurait passé un contrat avec Singapour pour en apprendre davantage sur la technologie de reconnaissance faciale et discuter de sa mise en œuvre. Singapour a toujours été considérée comme un État à parti unique relativement bénin et non corrompu. Et le fait que le Royaume-Uni suive les conseils de sécurité de Singapour n’est pas vraiment rassurant.
https://www.zerohedge.com/political/major-risk-france-rolls-out-new-facial-recognition-technology
Une caméra super-intelligente capable de lire la marque de la burqa mais trop conne pour trouver un couteau en céramique !
SupprimerLes Suédois fuient
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 10/03/2019 - 03:30
Écrit par Judith Bergman via le Gatestone Institute,
Les Suédois sont en mouvement. Les problèmes dans de nombreuses municipalités poussent les Suédois à partir dans d'autres régions moins touchées par les problèmes socio-économiques. La question a récemment attiré l'attention des principaux médias suédois.
Prenez par exemple la petite ville pittoresque de Filipstad (10 000 habitants). La télévision suédoise a récemment réalisé un documentaire sur la ville, qui traverse une crise financière et existentielle.
"Nous vivons un échange de population. Vous pouvez penser à ce que vous voulez ... Mais c'est simplement un constat, c'est ce que nous traversons et nous devons y faire face", Jim Frölander, responsable de l'intégration dans la municipalité de Filipstad, dit dans le documentaire.
Entre 2012 et 2018, 640 Suédois de souche ont quitté la ville et 963 personnes nées à l'étranger sont venues s'installer dans la ville. Ceux qui partent sont des personnes en âge de travailler (20 à 64 ans), ce qui signifie que les recettes fiscales de la municipalité diminuent, ce qui aggrave la crise financière de la ville.
L'afflux d'immigrants le plus important a eu lieu lors de la crise migratoire de 2015. Selon le documentaire, Filipstad est l'une des municipalités qui a accueilli le plus grand nombre d'immigrés en pourcentage de sa population. Claes Hultgren, chef de la municipalité, écrivait dans le dernier rapport financier de Filipstad:
"À Filipstad, il y a environ 750 adultes de Syrie, de Somalie, d'Erythrée, d'Afghanistan et d'Irak ... Dans ce groupe, le chômage et la dépendance sont très élevés, tandis que les niveaux d'éducation sont très bas. Ce groupe risque éternelle exclusion qui pèse déjà lourdement sur l’économie municipale ".
Hultgren a expliqué que beaucoup de nouveaux arrivants ne possèdent pas les qualifications nécessaires pour entrer sur le marché du travail.
"[Ils] sont peut-être trop vieux et illettrés, ou ont un très faible niveau d'éducation. Nous devons accepter qu'il y aura des gens qui auront besoin du soutien de la société pour leur subsistance."
Selon le documentaire, le taux de chômage est de 80% chez les habitants de la ville nés à l'étranger et non occidentaux, alors même que la ville souffre d'un grave manque d'enseignants et d'infirmières. En dix ans, les dépenses de Filipstad en matière de protection sociale ont augmenté de 200% - passant de 10 millions de couronnes (1 million de dollars) en 2009 à près de 30 millions (3,1 millions de dollars) en 2018. Les projections pour 2019 sont de 31 millions de couronnes suédoises (3,2 millions de dollars). Cette année, Filipstad n’a tout simplement pas les 30 millions de couronnes dans son budget.
Filipstad est loin d'être la seule commune suédoise à avoir connu ces problèmes.
En conséquence d'accueillir autant d'immigrés dans un laps de temps relativement court, non seulement pendant l'extraordinaire crise migratoire de 2015, mais globalement pour les années 2012-2017, les municipalités luttent contre un taux de chômage élevé, une augmentation de la pauvreté infantile et une augmentation des dépenses de protection sociale, selon Frölander.
"Cela devient beaucoup plus visible dans les petites municipalités. On ne peut pas l'isoler [du problème] dans une banlieue, puis [faire semblant]" comme si de rien n'était ", car cela touche tout le corps de la société et c'est ce qui va se passer dans toute la Suède aussi. "
RépondreSupprimerFrölander est clair qu'il n'est pas contre l'immigration et pense que les immigrés sont "de bonnes personnes".
Selon un rapport de l'Association suédoise des pouvoirs locaux et des régions (SKL), un déficit budgétaire en 2018 a été rapporté par la journaliste Lotta Gröning dans un éditorial publié récemment dans le journal suédois Expressen. Les municipalités sont censées recevoir 5 milliards de couronnes supplémentaires (517 millions de dollars) par an pendant trois ans, mais Gröning écrit que cette somme est loin d'être suffisante, car 22 milliards de couronnes (2,27 milliards de dollars) sont encore "manquants":
«Il n’y a tout simplement pas assez d’argent pour les écoles et les soins de santé - le noyau de l’État social social-démocrate. La vague de réfugiés a exercé une énorme pression, en particulier sur les municipalités pauvres, et les coûts de l’aide sociale augmentent. De plus, la population vieillit et ajoute à cela une récession prochaine ...
"La critique [du gouvernement] ne vient pas seulement des politiciens locaux, elle vient également de l'ancien dirigeant du parti [social-démocrate] Göran Persson, qui met en garde sur la vulnérabilité des municipalités. Le président de LO, Karl-Petter Thorwaldsson, également membre du Le comité exécutif du parti met en garde le [Premier ministre] Stefan Löfven contre la crise des municipalités et demande que des mesures soient prises ... "
Les Suédois quittent leurs villes pour d’autres raisons, telles que le manque de sécurité personnelle. La violence des gangs, les agressions, les tirs, les attentats à la bombe et les incendies de voitures qui ont été signalés ont fait des victimes. Le 31 août, Aftonbladet a publié un article sur Emma Zetterholm, qui a choisi de quitter Malmö avec sa famille après avoir vécu dans la ville pendant 18 ans. "J'aime toujours Malmö mais ma famille et moi ne pouvons pas vivre ici", a-t-elle déclaré au journal. "La violence s'est rapprochée de plus en plus de moi, de ma famille, de mes amis et de mes collègues."
Il y a six ans, Zetterholm a emménagé dans une zone idyllique avec de vieilles villas. Bientôt, cependant, des incendies de voiture, des tirs et des explosions ont rempli la nuit. Une boîte de nuit illégale fonctionnait à proximité et le bruit qui l'entourait - explosions et tirs - a duré toute la nuit. Les voisins qui se sont plaints ont reçu des menaces verbales et des pierres ont été jetées à travers leurs fenêtres. Un jour, un homme a été assassiné en plein jour, près d'un terrain de jeu rempli de monde. D'autres fois, les enfants étaient presque touchés par les balles qui avaient traversé les fenêtres.
Zetterholm explique qu'elle a estimé que la situation de sa famille était étrange, mais elle essayait toujours de se convaincre que ce n'était pas si dangereux. Elle dit que c'est "affreux" de faire partie d'une tendance où "la classe moyenne bien éduquée et blanche fuit les zones problématiques".
"J'ai essayé de défendre Malmö", a-t-elle déclaré, "mais plus le temps passe et vous remarquez qu'il n'y a pas d'amélioration, vous finissez par perdre votre résilience".
Au moins dix familles ont maintenant quitté la région, a-t-elle dit, souvent dans d'autres régions du sud de la Suède.
RépondreSupprimerDe nombreux Suédois quittent leurs villes, mais certains ont décidé de quitter le pays. Le 4 septembre, une explosion s'est produite devant un immeuble à Malmö. L'explosion a été entendue dans de nombreuses parties de la ville. Un Danois du quartier, Magne Juul, a déclaré à Kvällsposten qu'après ce dernier attentat, il envisageait maintenant de revenir au Danemark après avoir passé 15 ans à Malmö.
L'ancien ministre du Travail, Sven Otto Littorin, vit et travaille maintenant à Dubaï, a récemment écrit sur sa page Facebook:
"Je ne peux pas dire que je regrette la décision de partir à l'étranger. Nous sommes venus dans un pays où le taux de criminalité signalé est l'un des plus bas au monde ... La question est de savoir si l'on ose et veut retourner (en Suède)".
Littorin, qui a également occupé le poste de secrétaire du parti modéré, a été incité à écrire son post après avoir lu l'histoire d'un garçon suédois victime de sévices, de vols et menacé de mort par des gangs. Les autorités suédoises lui ont dit de ne pas le signaler. la police car cela aggraverait les choses pour lui. "C’est l’un des textes les plus vils que j’ai lus depuis longtemps", a raconté l’ancien ministre.
"En tant que parent, vous devenez fâché, désespéré ... Le résultat est que ceux qui peuvent et peuvent se le permettre, déménagent. D'Uppsala ou Saltsjö Boo. Vers une partie plus calme du pays ou de l'étranger. Ceux qui n'ont pas la les mêmes opportunités [de bouger] restent où ils sont. C'est dévastateur ... "
Statistique Suède a cependant documenté la Suède parmi les pays dans lesquels le pourcentage le plus élevé de résidents rencontrent des problèmes dans leur région. Selon Statistics Sweden, en 2017, "environ 13% de la population suédoise est aux prises avec des problèmes de criminalité, de violence ou de vandalisme dans leurs zones résidentielles. C'est l'une des proportions les plus élevées d'Europe".
En comparaison, les autres pays nordiques ont été classés parmi les pays ayant le pourcentage le plus faible de la population rencontrant de tels problèmes dans leur propre zone résidentielle. En Norvège, environ 4% ont des problèmes de violence, de criminalité et de vandalisme. Les proportions correspondantes pour le Danemark et la Finlande étaient respectivement de 8% et 6%.
Il n’est donc pas étonnant que beaucoup de Suédois choisissent de quitter leur domicile, soit pour chercher des villes suédoises qui fonctionnent mieux, soit pour d’autres pays.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/swedes-are-fleeing
Apprenez le finnois en 1 heure" ! (et l'arabe en 5 minutes)
SupprimerDe quelles compétences en matière de données avez-vous besoin pour aller de l'avant au cours des 10 prochaines années ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 10/02/2019 - 23:35
Soumis par Priceonomics,
En 2011, Marc Andreessen, entrepreneur et capital-risqueur, a déclaré que son logiciel dévorait le monde. Son point de vue était que les logiciels bouleversaient presque toutes les industries et que, par conséquent, les emplois apparemment sûrs des cadres supérieurs pourraient disparaître à moins qu'ils ne s'adaptent à l'époque.
Aujourd'hui, les données dévorent le monde. L'intelligence artificielle, l'apprentissage automatique, l'internet des objets et l'analyse des données font leur chemin dans les entreprises du monde entier. Maîtriser les technologies de l'information sera un enjeu de taille pour les dirigeants d'entreprise. Dans cet article, nous visons à documenter la conviction croissante parmi les dirigeants d'entreprise que l'acquisition de compétences en données est essentielle à leur emploi et à leur avancement professionnel futur.
- voir graphique sur site -
Plus tôt cette année, Splunk a commandé une enquête à plus de 1 300 dirigeants d’entreprises du monde entier pour déterminer l’importance des compétences en matière de données, les pays qui les apprécient le plus pour l’avancement professionnel et les compétences les plus recherchées.
L'enquête a révélé que plus de 80% des dirigeants ont déclaré que des compétences en matière de données sont nécessaires pour la promotion dans leurs entreprises. Les dirigeants chinois ont déclaré que, parmi tous les pays analysés, les compétences en données étaient les plus importantes. Cependant, alors que de nombreux cadres ont noté que la maîtrise des données était essentielle à l'avancement, le sondage a montré que de nombreux cadres sont en réalité réticents à apprendre de nouvelles compétences en matière de données. Pourquoi? Lorsqu'on leur a demandé, de nombreux chefs d'entreprise ont simplement déclaré qu'ils étaient «trop vieux» pour apprendre, ce qui était une autre façon de dire que les données sont difficiles
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La valeur des données dans l'entreprise est multiple. The Economist a déclaré que les données constituaient la ressource la plus précieuse au monde, tandis que Forrester affirmait qu’elle était «la nouvelle monnaie d’affaires». les données déterminent le succès organisationnel sur plusieurs vecteurs:
- voir graphique sur site -
Dans presque tous les aspects de la gestion, les données sont considérées comme extrêmement ou très précieuses. Alors que les données étaient traditionnellement utilisées pour améliorer l'efficacité, le tableau ci-dessus suggère ses nouveaux cas d'utilisation pour identifier la croissance et l'innovation, ainsi qu'une ligne de défense de la cybersécurité.
Il est potentiellement difficile d’obtenir l’accord de plus de 80% des dirigeants, mais le sondage révèle que les dirigeants d’entreprise pensent que les compétences en données sont désormais une nécessité pour devenir des dirigeants et que ces compétences ne feront que gagner en valeur avec le temps.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerL'enquête a également examiné la variation géographique de la manière dont les dirigeants d'entreprise perçoivent la valeur des compétences en matière de données. L’initiation aux données est-elle disproportionnellement essentielle au succès dans un pays par rapport à un autre ?
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Sur chaque question relative à la valeur des compétences en matière de données, les chefs d’entreprise chinois ont obtenu le meilleur score en soulignant son importance. Plus de 90% des personnes interrogées en Chine ont déclaré avoir besoin de compétences en données pour pouvoir être promues et que l'initiation aux données était une condition requise pour entrer dans la haute direction. Même pour le travail de bureau général, 88% des répondants en Chine ont indiqué que la connaissance des données était une exigence. Si les compétences en matière de données sont des enjeux de compétitivité pour la future économie mondiale, les entreprises chinoises reconnaissent avant tout ce besoin en matière d'éducation.
Qu'est-ce que cela signifie de savoir maîtriser les données dans l'entreprise moderne ? L’initiation aux données peut être divisée en deux composantes différentes: des compétences techniques telles que l’utilisation de programmes pour analyser les données et des compétences générales telles que l’utilisation du jugement pour visualiser et interpréter les données. Les compétences techniques impliquent de travailler avec des ensembles de données et d'utiliser des programmes pour produire des résultats. Les compétences douces se construisent souvent au fil du temps en pratiquant vos compétences techniques et en vous permettant de juger de la façon dont vous interprétez et dirigez avec confiance des équipes reposant sur des données.
Étant donné que presque tous les cadres interrogés ont reconnu la valeur des compétences en matière de données, il était surprenant que de nombreux chefs d'entreprise hésitent à acquérir de nouvelles compétences en matière de données plus tard dans leur carrière. 73% des cadres interrogés ont déclaré qu'il leur était plus difficile de maîtriser des compétences en matière de données que d'autres compétences en affaires. En outre, 53% des personnes interrogées ont déclaré qu’elles étaient «trop âgées» pour acquérir des compétences en données (une étude qualitative portant sur les mêmes dirigeants montre ce qu’ils disent vraiment: «les données sont trop difficiles»).
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Les dirigeants savent qu’ils doivent acquérir des compétences en informatique pour rester compétitifs sur le lieu de travail, mais ils résistent contre cette difficulté en raison de la difficulté perçue. Pour les entreprises, l’investissement dans des programmes de formation aux techniques de traitement des données est un moyen de perfectionner leurs effectifs avec des compétences que les cadres ne peuvent pas acquérir par eux-mêmes.
La demande de compétences en données continue d'augmenter
La demande de compétences en données dans l'entreprise continue de croître inexorablement. Si la main-d’œuvre d’une entreprise tarde à acquérir des compétences en matière de données, elle fait appel à des embauches externes pour combler les lacunes. Cette tendance est illustrée par les sites d’emploi où les postes liés aux données montent en flèche. Sur LinkedIn, les emplois liés aux données dominent les listes des «emplois dont la croissance est la plus rapide».
Sur le moteur de recherche d’emploi de Indeed, la croissance des offres d’emploi liées aux données se poursuit. L’un des indicateurs de cette consommation consiste à examiner le taux d’affichages d’emplois pour les scientifiques de données, qui a augmenté de plus de 50% ces deux dernières années:
RépondreSupprimerAlors que les emplois liés à la science des données font beaucoup de publicité en tant que «carrière prometteuse», la réalité est que la science des données n’est pas la seule carrière liée aux données avec une croissance et une demande élevées. Dataquest, une entreprise d’apprentissage de données, note que des emplois aussi divers que celui d’analyste des opérations de directeur du marketing numérique exigent tous un certain niveau de compétences en données avancées, sont très demandés par les employeurs et génèrent des salaires élevés.
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Lors d'une récente conférence, Morgan Stanley, CTO d'Infrastructure Tsvi Gal, a déclaré: «Nous sommes peut-être dans le secteur bancaire, mais nous vivons et mourons d'informations…. L’analyse des données est l’oxygène de Wall Street. »Alors que les industries plus traditionnelles se font concurrence sur la base des informations glanées à partir des données, la demande en cadres dotés de compétences en matière de données continuera d’augmenter. Les entreprises dominantes du XXIe siècle ne sont peut-être pas uniquement celles qui utilisent les données de la manière la plus efficace, mais également celles qui ont réussi à recycler leur main-d’œuvre existante pour être compétitives dans un monde où les données mangent tout.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/which-data-skills-do-you-need-get-ahead-next-10-years