- ENTREE de SECOURS -



dimanche 27 octobre 2019

MEURTRE AVEC PRÉMÉDITATION COMA DÉPASSÉ - Bruno Cremer, Sylvie Granotier, Jacques Richard, Claude Giraud.

https://www.youtube.com/watch?v=dPscmyX76lQ

11 commentaires:

  1. Shift Satire Show teste le nouveau super soldat robotique de Boston Dynamics

    par Tyler Durden
    Samedi, 26/10/2019 - 22h30


    Satire, ou pas, le clip suivant offre une vision tragicomique du monde pas si lointain dans l’avenir, quand un robot super soldat "va se faire lécher et continuer à piquer", se débarrassant des attaques d’abeilles, des coups de marteau, assauts directs de kick-boxing à l’arrière et au front, et obéit toujours aux trois lois de la robotique (pour les humains comme pour les chiens) ...

    Beaucoup peur?

    Comme @CalebJHull a tweeté: "Le changement climatique ne va pas nous tuer. Ce sont des choses."

    Cinq choses dont vous avez besoin pour protéger votre travail des robots

    Nous nous demandons à quel point le complexe militaro-industriel fera volontiers passer des forces à ces «super-soldats» à l'avenir - pas de MRE, pas de latrines, pas de fatigue limitant la mission - juste des robots non contribuables qui paient pour leurs seigneurs.

    https://www.zerohedge.com/technology/shocking-footage-shows-boston-dynamics-testing-new-robotic-super-soldier

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    1. Vous êtes constipé(e) ? Allumez la télé ! Çà part tout seul !

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  2. DÉCÈS DE PASCALE ROBERTS, LA WANDA DE «PLUS BELLE LA VIE»

    La comédienne, ex-femme de Pierre Mondy, a tourné notamment dans «Compartiment tueurs» et «Dupont Lajoie». Elle avait 89 ans.


    27.10.2019, 12h06


    Pascale Roberts, second rôle prolifique vue notamment chez Robert Guédiguian au cinéma et dans «Plus belle la vie» à la télévision, est décédée samedi à l’âge de 89 ans, a indiqué dimanche à l’AFP son agent Babette Pouget. L’actrice est morte à Paris des suites «d’une longue maladie».

    Née le 21 octobre 1930 d'une mère créole et d'un père anglo-italien, elle est atteinte de poliomyélite à l'âge de 5 ans. Elle pratique alors la danse pour rééduquer ses muscles. En 1952, alors qu'elle demeure à Londres, elle est embauchée par la télévision américaine pour un contrat d'un an.

    Premier film en 1953

    Elle débute au cinéma en 1953 dans «Les femmes s'en balancent» de Bernard Borderie puis, en 1954 dans «Madame du Barry» de Christian-Jaque. Elle épouse l'acteur Pierre Mondy en 1957, dont elle divorcera en 1966. En 1964, elle interprète la victime dans «Compartiment tueurs» de Costa-Gavras.

    Parallèlement au cinéma. elle joue également au théâtre, notamment dirigée par Jean-louis Barrault, et à la télévision. Elle est ainsi la vedette aux côtés de Jean-Claude Pascal du feuilleton quotidien «Le temps de vivre... Le temps d'aimer» en 1973. Son rôle le plus célèbre, elle le décroche en 1975, dans «Dupont Lajoie» d'Yves Boisset, où elle joue la mère d'Isabelle Huppert. Dans les années 1980, elle est la partenaire d'Alain Delon dans plusieurs films comme «Trois hommes à abattre» et «Pour la peau d'un flic». On l'a également vue dans «Le Grand chemin» de Jean-Loup Hubert, ou encore «La fille de d’Artagnan» de Bertrand Tavernier, ainsi que dans plusieurs films de Robert Guédiguian depuis le milieu des années 1990.

    Huit ans sur France 3

    En 2008, elle gagne une nouvelle popularité en jouant Wanda Legendre dans le feuilleton quotidien de France 3 «Plus Belle La Vie». Elle a dû renoncer à tourner en 2016 pour des raisons de santé. Elle fut également l'épouse de l'acteur Michel Le Royer et de l'écrivain Pierre Rey.

    Michel Pralong avec AFP (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/loisirs/cinema/deces-pascale-roberts-wanda-belle-vie/story/28034037

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  3. Vous voulez être branché ? Soyez inclusif dans votre guerre pour sauver le climat !

    On mélange allègrement météo, climat, pollution, catastrophes naturelles, inégalités dans une bouillie intellectuelle qui a perdu tout sens commun.


    Par Michel Negynas.
    26 OCTOBRE 2019


    UNE ADDICTION FRANÇAISE AUX MOTS

    Notre époque aime propulser des mots au rang de concepts politico­­-sociologiques. Cette détestable habitude a culminé chez les philosophes et sociologues français des années 1950. Ils inventaient des mots et passaient le reste de leur vie à essayer d’expliquer ce qu’ils avaient voulu dire. C’était pratique : cela leur fournissait un travail à vie. Le summum du génie était d’écrire des textes incompréhensibles en détournant mots et concepts de leur sens initial.

    Alain Sokal et Jean Bricmont, deux physiciens, ont combattu par l’humour, dans un pastiche absurde cette propension au verbiage flou, et en particulier le détournement de concepts issus des sciences dures. Ils ont réussi à faire publier par une revue on ne peut plus sérieuse une étude complètement vide de sens : Transgresser les frontières : vers une herméneutique transformative de la gravitation quantique. La communauté des sociologues a d’abord salué unanimement la pertinence du texte avant d’apprendre, penaude, que c’était une blague. Inventer ou pervertir des mots permet de tout englober, tout relativiser. Ces courants de pensée ont d’ailleurs été qualifiés de « post-modernes », les « modernes », c’est-à-dire ceux qui sont attachés aux acquis du siècle des Lumières, devenant des ringards… Comprenne qui pourra.

    Une bonne partie des chercheurs et universitaires français en sciences humaines perpétue cette tradition, le plus souvent à nos frais, contribuables que nous sommes. Toutes les semaines, les débats télévisés font apparaître de nouvelles têtes politico ou socio quelque chose, tous directeurs d’instituts unipersonnels : le gisement paraît infini. Le vétéran Bruno Latour, un des derniers membres de cette lignée de savants inventeurs de mots, est l’archétype de ces gourous qui font la pluie et le beau temps à Sciences Po, et plus généralement auprès de nos jeunes élites politiques, droite et gauche confondues.

    SOYEZ INCLUSIFS

    C’est ainsi que le mot inclusif est devenu un mot-valise. Nous l’avons vu apparaître au grand public il y a quelques années dans la sphère écologique.

    Auparavant, il avait une définition générale.

    Inclusif : qui contient en soi quelque chose d’autre. (Dictionnaire Larousse).

    Il avait aussi un usage très technique, grammaticalement.

    Personne inclusive : première personne du pluriel affectée dans certaines langues d’une forme propre, telle que dans le collectif du type « nous » on comprend, avec la ou les personnes qui parlent, celle ou celles à qui on s’adresse. (Mar. Lex. 1951)

    L’usage en écologie en est venu d’une constatation inavouée des militants de la cause : la plupart des projets et solutions écologistes renforce les inégalités et rend les pauvres plus vulnérables : arrêter les énergies fossiles (électricité et transport plus chers), bio (baisses des rendements, moins de nourriture), figeage des territoires (augmentation du prix du foncier…). La liste est longue, et la « sobriété heureuse » ne serait pas vraiment heureuse pour tout le monde.

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  4. Les écologistes, surtout politiques, ont donc compris le risque pour leurs dogmes. Il fallait ajouter un mot à l’écologie pour remédier à ça. Les Anglos-saxons en avaient un : inclusive. (traduction française : y compris, inclus, mais par extension ouvert, égalitaire…) Va donc pour « écologie inclusive ». Cela faisait in, et même un peu glamour, tout le monde voulait être inclusif. Les villes devaient être inclusives… l’habitat inclusif, tout mouvement social se doit maintenant d’être inclusif, féminisme inclusif, et d’ailleurs souvent en même temps solidaire. Le numérique d’ailleurs, doit aussi être inclusif…

    Le dernier épisode, c’est l’écriture : une écriture à égalité homme-femme, donc inclusive. Dans ce dernier cas, l’Académie s’étrangla. Les Sages, malgré leur haute Vertitude, se considèrent doublement violentés : non seulement la grammaire est attaquée, mais comble de l’ironie, par un mot qui n’existe pas dans le sens où il est utilisé !

    L’égalité homme-femme est d’ailleurs élargie, elle aussi, à un autre mot-valise, plus ou moins détourné de son sens initial car il recouvre maintenant un concept dépassant de loin son utilisation usuelle antérieure : le genre. C’est ainsi que le collectif des « Bombes atomiques », éco-féministes antinucléaires, a interdit la présence d’hommes « cisgenres » à leur manifestation de Bure. Un homme cisgenre est bêtement un gars qui est « en accord avec le genre qui lui a été assigné à la naissance ». Un beauf, quoi.

    DE PLUS EN PLUS FORT

    Bien entendu, le climat est entré dans la danse du vocabulaire qui ne veut rien dire. D’abord qu’est ce que LE climat, au sens générique ? Il existe bien une bonne dizaine de climats différents sur cette planète, et ils n’évoluent pas à l’échelle de décennies comme on veut nous le faire croire, mais plutôt à l’échelle multiséculaire, voire millénaire. Et qu’est ce qu’un climat « normal » ? D’où la difficulté de nommer la menace : réchauffement climatique ? Mais le climat se réchauffait déjà au XIXe siècle… Changement climatique ? Le climat à toujours changé… Dérèglement climatique ? Ah bon, le climat était réglé ? Mais dérèglement ça fait vieux jeu : on est maintenant dans la disruption climatique. On serait dans une « rupture » de l’ordre ? Nous serions « disruptifs », autre mot à la mode tiré de l’anglo-saxon et lui aussi très en vogue ? Donc on a créé un climat disruptif, c’est clair.

    Mais tout cela était encore trop rationnel, pas assez post moderne. Maintenant, on sauve le climat. Car le climat est en danger. On parle même de justice climatique. Tout se rejoint : la guerre climatique est en fait un combat pour la lutte contre les inégalités : elle est donc inclusive ! Et l’urgence climatique est là, ce sera même inscrit dans la future loi Énergie et Climat.

    Et c’est Bruno Latour qui se devait d’ajouter une touche ultime : l’invention non pas d’un mot-valise, mais d’un mot malle, que dis je, container ! Susceptible de contenir tout l’univers, bref, une boîte de Pandore à l’envers. C’est le mot Climat lui-même ! Dans un de ses billets, sur son site, comme exégèse à un de ses livres, il écrit d’emblée :

    « Climat » est pris ici au sens très général des rapports des humains à leurs conditions matérielles d’existence. Où atterrir ? Comment s’orienter en politique ?

    Voilà. Tout est dans tout, comme dirait le pape François dans son encyclique. Les guerres, Trump, les migrations, les inégalités, les colonisations passées, la perte de sens, le populisme, les tremblements de terre : le Climat je vous dis. LE CLIMAT ! Le poumon ?

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  5. L’affaire climatique s’affranchit ainsi pour toujours de ses origines plus ou moins scientifiques. En fait, le Climat remplace l’Écologie. On lui adjoint toutefois la biodiversité : autre concept récent, à connotation nettement politique, pour désigner ce qu’on nommait avant zoologie, botanique, bref, écologie. Suffisamment flou pour servir les causes les plus diverses.

    On mélange allègrement météo, climat, pollution, catastrophes naturelles, inégalités dans une bouillie intellectuelle qui a perdu tout sens commun. Le climat devient le terme générique pour nommer les fléaux : c’est le KLIMA, que le stupre du développement active. Dans une optique plus shintoiste et universelle, seule Gaïa la déesse mère peut nous sauver de notre trahison envers Klima, et de sa vengeance, si nous la respectons, et même la vénérons.

    LE POUVOIR DES MOTS

    Le combat pour l’égalité homme-femme n’a pas besoin du mot inclusif. Et une écologie inclusive, n’est-ce pas la notion du développement durable, équilibre entre développement économique, social et protection de l’environnement ? Mais le présenter comme cela, c’est admettre le compromis, au contraire du flou de l’inclusivité, qui, elle, ne s’embarrasse pas de détails pratiques. Quant au Climat élevé au rang générique, il est mis à toutes les sauces. C’est bien commode, car ainsi, la contradiction est vaine, on ne peut combattre le Grand Tout.

    Les mots ont un sens et un pouvoir, ils peuvent expliquer, réjouir, manipuler, parfois même tuer. L’absence de vocabulaire pousse à s’exprimer par la violence. C’est pour cela qu’il faut que tout citoyen maîtrise la langue, la pratique et lise des textes littéraires et scientifiques. Mais a contrario, un trop-plein de mots creux, vagues ou dévoyés de leur sens premier permet toutes les manipulations. Les euphémismes sont utilisés pour éviter de nommer les choses comme la sobriété, même heureuse, ou, en d’autres temps, le démontage des Mac Do.

    En même temps, utiliser des termes outranciers devient banal : négationnistes du climat, enfance volée, extinction de masse, anthropocène, chimistes assassins. La floraison des expressions absurdes, voire grotesques, comme sauvons le climat, ou justice climatique, ou climato-sceptique, ou encore l’inclusivité ou le genre mises à toutes les sauces, parfois même institutionnalisées, qui naguère auraient été tournées en ridicule, en disent long sur la perte de sens de nos sociétés.

    Les mots sont politiques par nature.

    Seul.e.s la.e biodiversité.e. et le.a. genre universel.le, ensembles, pourront créer les conditions inclusives nécessaires pour sauver le.a. climat.e de s.a.on disruption.e. (Secrétaire des Nations Unies, Palavas-les-Flots, discours d’introduction à la COP 56)

    https://www.contrepoints.org/2019/10/26/356503-vous-voulez-etre-branche-soyez-inclusif-dans-votre-guerre-pour-sauver-le-climat

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  6. La majorité des Français opposée au changement d’heure

    La France passe à l’heure d’hiver dans la nuit de samedi à dimanche. Un changement d’heure qui ne convainc guère les Français.


    Par la rédaction de Contrepoints.
    27 OCTOBRE 2019


    Le changement d’heure a eu lieu ce week-end. Les Français dorment une heure de plus durant la nuit. Ils passent à l’heure d’hiver en retardant les aiguilles de leur montre d’une heure : à 3 heures du matin, il sera alors officiellement 2 heures. Les jours leur paraîtront plus courts puisque le Soleil se couchera plus tôt le soir.

    Selon un sondage BVA pour Orange et iTélé réalisé en mars 2015, encore 13 % des Français ne savaient pas la veille que le passage à l’heure d’été avait lieu le week-end, soit tout de même plus de 6 millions de personnes.

    LE CHANGEMENT D’HEURE NE RENCONTRE PAS L’ADHÉSION DES FRANÇAIS

    Presque 40 ans après avoir été mis en place pour la deuxième fois, sous le mandat de Valéry Giscard d’Estaing, une large majorité de 58 % de Français reste opposée au changement d’heure (contre 40 % y étant favorables), selon ce même sondage.

    S’ils y sont opposés, c’est d’abord parce qu’ils sont 62 % à être perturbés par ce décalage horaire brutal, que les chronobiologistes qualifient de chrono-ruptures (qualité du sommeil, appétit). Ils sont même 19 % à l’être « beaucoup ». Sans surprise, l’opposition au changement d’heure est plus forte dans « la France qui se lève tôt » : les CSP- y sont nettement plus opposées que les CSP+ (61 %, contre 51 %). Par ailleurs, presque les trois-quarts des parents (73 %) considèrent que leurs enfants sont perturbés par ce changement d’heure. C’est même l’avis de 88 % des parents d’enfants de 5 à 10 ans.

    66 % NE CROIENT PAS AUX ÉCONOMIES D’ÉNERGIE

    Selon ses promoteurs, l’intérêt de l’heure d’été réside dans les économies d’énergie qu’elle est censée permettre afin de profiter plus tard de la lumière solaire pendant la période estivale. Que ce soit en 1917, quand ce système a été pour la première fois instauré en France, ou en 1976 quand il l’a été une deuxième fois, à chaque fois, la mise en place de ce système de changement d’heure a été justifiée par les économies d’énergie qu’il permettrait de réaliser.

    Mais 66 % des Français ne croient pas en cet argument, et peut-être moins encore en cette période de baisse du prix du pétrole. Seuls les sympathisants d’Europe-Écologie-Les Verts, plus sensibles à ces questions d’économies d’énergie, sont au contraire une majorité à penser que le changement d’heure permet de réaliser ce type d’économie (55 % contre 32 % de l’ensemble des Français).

    Au final, les Français continuent donc d’être largement opposés au changement d’heure, à la fois parce qu’il les perturbe souvent, eux et leurs enfants, mais aussi parce qu’il ne leur parait guère efficace pour réaliser des économies d’énergie. Cela ne devrait cependant pas perdurer puisque le dernier changement d’heure est programmé pour 2021.

    Article initialement publié en octobre 2018.

    https://www.contrepoints.org/2019/10/27/202562-une-majorite-de-francais-opposee-au-changement-dheure

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  7. ANGLETERRE - UN INSECTE NOMMÉ GRETA

    Un entomologiste a baptisé vendredi un minuscule coléoptère de la collection du Musée des sciences naturelles de Londres du nom de Greta Thunberg.
    «Nelloptodes gretae» mesure moins d'un millimètre de long et ne possède ni yeux, ni ailes.


    25.10.2019


    Un minuscule coléoptère couleur pisse a été baptisé vendredi du nom de l'activiste Greta Thunberg par l'entomologiste qui a découvert son existence, a annoncé le Musée des sciences naturelles de Londres.

    «J'ai choisi ce nom parce que je suis très impressionné par le travail de la jeune militante et je voulais rendre hommage à sa contribution exceptionnelle aux questions environnementales», a expliqué Michael Darby, qui a découvert le petit coléoptère de la sous-famille ptinidae parmi les 22 millions de spécimens de la collection du musée.

    «Nelloptodes gretae» mesure moins d'un millimètre de long et ne possède ni yeux, ni ailes. Il a été collecté dans le sol de Nairobi dans les années 1960, a précisé le musée dans un communiqué.

    Le responsable de la collection des coléoptères, Max Barclay, a expliqué que des centaines d'espèces restaient encore à découvrir dans la vaste collection du musée et dans le monde, dont certaines disparaîtraient avant même d'être répertoriées en raison de la perte de la biodiversité.

    «Il est donc parfaitement approprié que la découverte la plus récente soit baptisée du nom de quelqu'un qui s'est démené pour défendre le monde naturel et protéger les espèces vulnérables», a relevé Max Barclay. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/insecte-nomme-greta/story/31739066

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    1. C'est une sorte de blatte-mouche-à-merde responsable de la destruction de toutes les forêts et porteuses de toutes les maladies du monde.

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  8. Les vents dépassent les 150 mi / h (241 km/h) dans la zone d'incendie de Kincade, causant des ravages dans le comté de Sonoma

    Par ANITA CHABRIA, RONG-GONG LIN II
    OCT. 27 mars 2019


    SANTA ROSA, Californie - Les prévisionnistes ont prédit des vents historiques.
    Et ils n’ont pas exagéré.

    La Californie du Nord a été battue dimanche matin avec des vents violents de Diablo. Le Service météorologique national a enregistré une rafale de 150 mi / h près de Healdsburg, qui est maintenant menacée par l'incendie de Kincade. Les vents ont provoqué une explosion du feu dans le comté de Sonoma durant la nuit, ce qui a entraîné des évacuations à Santa Rosa et au sud de Bodega Bay.

    Les vents Diablo sont arrivés à Santa Rosa tôt dimanche. Les sifflements et les flottements qui annonçaient leur arrivée juste après minuit se transformèrent rapidement en longs hurlements de colère et en rafales qui secouèrent les bâtiments.

    À 4 heures du matin, de nouvelles ordonnances d'évacuation et de nouveaux avertissements ont été diffusés à Santa Rosa, menaçant de vastes zones de la ville. La zone située à l'ouest de l'aéroport Charles M Schulz du comté de Sonoma a été soumise à une évacuation obligatoire. L’hôpital Sutter à proximité a été évacué la nuit précédente. C’était maintenant au tour de Kaiser et les ambulances serraient le chargement des patients.

    La durée de l’événement de vent extrême, connu dans la région de la baie sous le nom de vent de Diablo, était d’environ 36 heures, à partir de samedi soir vers 20 heures. lundi matin, avec des rafales isolées de 65 mi / h à 80 mi / h dans les plus hauts sommets de la baie du Nord.

    Non seulement les vents seront mauvais, mais l'air sera assez sec - les taux d'humidité relative devraient tomber entre 15% et 30%; tout ce qui est chez 10 et les 20 est vraiment sec.

    Les températures devraient chuter par rapport aux niveaux de milieu de semaine, qui ont atteint les années 90 lorsque l’incendie de Kincade a pris le contrôle de la frontière nord du comté de Sonoma, détruisant des dizaines de structures; À North Bay, les hauts devraient tomber dans les années 80 samedi et dans les années 70 dimanche, a déclaré la météorologue du service météorologique Anna Schneider. Mais la chute des températures ne fera pas beaucoup de différence; le temps chaud de cette semaine vient de dessécher encore plus la végétation.

    Les vents Diablo qui arrivent dans le nord de la Californie ce week-end sont, sur le plan météorologique, identiques aux vents de Santa Ana du sud de la Californie. Tous deux viennent du nord-est et sont alimentés par de l'air à haute pression au-dessus du Nevada et de l'Utah, cherchant un chemin à travers la Sierra Nevada et les chaînes côtières ou transversales pour combler les vides de basse pression sur la côte.

    https://www.latimes.com/california/story/2019-10-27/winds-top-a-stunning-93-mph-in-kincade-fire-zone-causing-havoc-across-sonoma-county

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  9. Incendie en Californie: ordre d’évacuation pour 180.000 personnes – images


    17:07 27.10.2019


    Si le 26 octobre les autorités évoquaient l’évacuation de 50.000 personnes suite à l’incendie qui ravage la Californie, l’ordre a été révisé ce dimanche à 180.000 personnes.

    Le bureau du shérif du comté de Sonoma a annoncé l’évacuation de 180.000 Californiens en raison de l’incendie naturel ayant reçu le nom de Kincaid.

    «Environ 180.000 personnes doivent être évacuées en raison de l’incendie Kincaid. C’est l’évacuation la plus importante dont on se souvient dans le bureau du shérif», a-t-il été déclaré.

    Le compté est habité par quelque 500.000 personnes.

    Plus tôt, il a été annoncé que le gouverneur de l’État, Gavin Newsom, avait déclaré l’état d’urgence dans les comtés de Los Angeles et de Sonoma en raison des incendies qui ravagent le secteur.

    https://fr.sputniknews.com/international/201910271042330369-incendie-en-californie-ordre-devacuation-pour-180000-personnes--images/

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