Le futur robot « Mars 2020 », actuellement en construction, sera équipé d’un système énergétique nucléaire.
Par Michel Gay.
5 OCTOBRE 2019
Le nucléaire progresse dans le monde tandis que le gouvernement français souhaite à la fois réduire son parc de réacteurs, alors que cette production d’électricité n’émet que 4 g de gaz carbonique/ kWh (quatre) depuis 2013 en France, et devenir le champion du démantèlement…
NOUVELLES DU NUCLÉAIRE SUR TERRE
En Chine, le deuxième réacteur nucléaire EPR de conception française (Taishan-2) a été connecté au réseau le 23 juin 2019, et il a atteint sa pleine puissance de 1600 mégawatts (MW) le 7 août. Il est exploité par un consortium dont EDF détient 30 %.
Au Japon, un projet est en cours pour construire une nouvelle centrale nucléaire qui recevra un réacteur à eau bouillante (REB) de 1100 MW dans la préfecture d’Aomori. Le Japon compte actuellement neuf réacteurs remis en service, principalement dans le sud du pays. La construction de nouveaux réacteurs REB marquera un tournant important dans le redémarrage du parc nucléaire japonais.
La Bulgarie a clôturé le 19 août 2019 un appel à projets afin de relancer la construction d’une deuxième centrale nucléaire sur le Danube, au nord du pays, pour accueillir deux réacteurs de 1000 MW. Sept investisseurs ont été retenus, dont un russe (Rosatom), un coréen (KHNP), et un chinois (CNNC).
Les finalistes seront désignés à l’automne 2019. Cette centrale s’ajoutera à l’unique centrale nucléaire du pays (Kozloduy) qui, avec ses deux réacteurs de 1000 MW, produit 33 % de l’électricité bulgare.
Où est la France ?
En Ouzbékistan, le ministre de l’Énergie Alicher Soultanov a annoncé que la première centrale du pays sera construite dans l’optique d’accueillir non pas deux réacteurs, comme initialement prévu, mais quatre !
Ce projet de 13 milliards de dollars a été remporté par le groupe russe Rosatom.
En Slovénie, le Premier ministre Marjan Šarec soutient le projet de construction d’un second réacteur nucléaire afin de répondre aux besoins énergétiques croissants du pays. Le seul réacteur de 700 MW actuellement en service à Krško a été construit par Westinghouse entre 1975 et 1983. Il fournit 20 % des besoins en électricité de la Slovénie et 15 % de ceux de la Croatie.
À mi-chemin des capitales slovène et croate, la centrale est gérée par les deux pays qui se partagent sa production électrique.
D’un commun accord en 2016, la fermeture du réacteur a été reportée de… 20 ans, conduisant à une exploitation prévue de 60 ans jusqu’en 2043.
Rappel : la France a décidé d’arrêter les deux réacteurs nucléaires en parfait état de fonctionnement de Fessenheim après à peine 40 ans d’existence.
En Grande-Bretagne, alors que la construction de la centrale nucléaire Hinkley Point C a franchi le « jalon zéro » qui marque le début de la mise en place des installations hors-sol le 28 juin 2019, le Premier ministre Boris Johnson a déclaré le 25 juillet : « Il est temps de renouer avec le nucléaire et je crois passionnément que le nucléaire doit faire partie de notre bouquet énergétique ».
… ET DANS L’ESPACE
Curiosity, le robot de la Nasa, explore la planète Mars depuis sept ans grâce à un générateur thermoélectrique alimenté par 4,8 kilos de plutonium 238. Ses prédécesseurs, Spirit et Opportunity, fonctionnaient à l’énergie solaire, ce qui imposait de longues périodes d’inactivité.
Le futur robot Mars 2020, actuellement en construction, sera lui aussi équipé de ce système énergétique nucléaire.
Un réacteur nucléaire de 40 kW au plutonium (Kilopower) est en préparation pour être envoyé sur Mars afin de fournir de l’électricité en permanence aux éventuels explorateurs de cette planète d’ici 2030.
LA FRANCE À CONTRE-COURANT ?
Pendant ce temps, la France a fêté ses 20 ans de déconstruction de la centrale de Creys-Malville, arrêtée par décret en 1997, qui abritait le réacteur à neutrons rapides (RNR) Superphénix.
De 1985 à 1996, le réacteur a cumulé quatre ans et demi d’exploitation normale avec des périodes d’essais, de fonctionnement et de maintenance.
En période d’exploitation, 1200 personnes travaillaient sur ce site.
La France veut se positionner comme la championne du démantèlement.
Avec aujourd’hui 169 réacteurs à l’arrêt dans le monde, le marché du démantèlement est estimé à 200 milliards d’euros d’ici 2050. Pour offrir un service de démantèlement complet, les différents acteurs de la filière nucléaire française s’organisent afin de remporter des contrats dans le monde entier.
Certes, déconstruire un réacteur nucléaire nécessite des compétences et des savoir-faire, mais dix fois moins de personnel que pour le construire et l’exploiter et sans produire aucune richesse ni plus-value.
Et heureusement que d’autres pays en construisent dans le monde, sinon l’exercice de casse que semble vouloir choisir la France prendrait fin dans quelques dizaines d’années… Mais là aussi, des concurrents risquent d’émerger, notamment ceux qui auront construits ces réacteurs !
Il n’en reste pas moins qu’il faudra trouver le moyen de produire massivement une électricité qui réponde aux besoins de la France, sans pétrole, ni gaz, ni charbon, quand les éoliennes et autres panneaux solaires auront montré leurs limites…
Le nucléaire est un bon candidat pour fournir cette électricité sans produire de gaz carbonique.
Mais la France sera-t-elle encore compétitive pour construire des centrales nucléaires dans 10 ans ?
(Source : Revue générale nucléaire de la Société française d’énergie nucléaire)
Une action climatique drastique est nécessaire maintenant ... Interdisons les jets privés !
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 10/04/2019 - 11:10
Écrit par Mark Jeftovic via Guerilla-Capitalism.com,
Alors que le tumulte de l'hystérie climatique s'intensifie, les éco-pieux et les très riches demandent une action immédiate et radicale contre le changement climatique. Justin Trudeau, qui lèche toujours ses blessures après avoir été victime de ses multiples épisodes de blackface et de brownface, a pris plus de chaleur aujourd’hui alors qu’il sillonnait le pays en prévision des prochaines élections fédérales avec non pas un, mais deux jets privés.
Les appels à une action immédiate en faveur du climat s’accélèrent. En fait, de nombreux ballons d’essai ont été lancés par un média principal complice (ou comme les libéraux en titre du Canada le qualifient de «média approuvé»).
Ces ballons d’essai / réprimandes comprennent:
Manger moins de viande, ou pas de viande, ou peut-être manger des asticots ou manger des gens, pour réduire la production de carbone.
Conduire moins, moins de voitures sur les routes, interdiction des véhicules à essence, pour réduire la production de carbone.
Avoir moins d'enfants, ou pas d'enfants, pour réduire la production de carbone.
Et bien sur:
Voler moins. Moins d’avions dans les airs pour réduire les émissions de carbone.
Ces directives sont naturellement difficiles à vendre pour Joe Public, car beaucoup de gens ordinaires aiment manger de la viande ou ont besoin d’une voiture pour se rendre au travail, et les enfants, aussi exigeants que possible, grandissent et peuvent tondre nos pelouses. et faire des corvées autour de la maison.
Donc, si nous sommes sérieux en ce qui concerne les mesures climatiques radicales, pour le moment, avant que le monde ne se termine, nous devons faire quelque chose de rentable, tout en bouleversant le moins de vies possible. De cette façon, les masses de la populace verront que nos dirigeants et nos élites sont sérieux et ont la volonté de prendre les mesures nécessaires pour que cela se produise.
#BanPrivateJets
Les 50 premiers pays au monde en termes de propriété de jets privés disposent d’une flotte totale de près de 18 000 jets. Selon Statista, le nombre de propriétaires de jets privés augmente considérablement dans la plupart des pays (l'inégalité de la richesse s'accentuant grâce aux interventions de la banque centrale et aux effets de Cantillon sur 10 ans).
Selon The Independent, l'avion privé le plus populaire est le Cessna Citation XLS, que je pense que l'alarmoniste du climat Leonardo Di Caprio pourrait embarquer sur la photo ci-dessous, après avoir été dirigé vers la piste par un hélicoptère privé…
RépondreSupprimerUn Cessna Citation XLS brûle environ 6 030 kg de gaz carbonique par vol de trois heures.
C'est le dos de la serviette, mais disons qu'un jet typique fait 4 jambes par semaine, à 3 heures. On a:
17 947 jets X 6 030 kg gaz carbonique/ vol X 4 vols / semaine X 52 semaines = 22 509 845 280 kilogrammes de gaz carbonique.
Plus de 22 milliards de kilos de gaz carbonique. Par an.
Mais si nous interdisions les jets privés, avec effet immédiat, sans exception, très peu de gens de la classe ouvrière et de la classe moyenne seraient touchés. En fait, même les classes les plus riches et les plus nantis ne seraient pas affectés, cela ne concernerait que la minuscule tranche au sommet de la pyramide des richesses, les mêmes qui semblent plus catégoriquement catégoriques pour une action climatique radicale et qui pourraient se permettre de remplacer dispositions pour assister à des sommets sur le climat ou à d'autres événements importants. Davos pourrait être organisé via Skype, par exemple.
En prenant les mesures importantes maintenant, nous donnerons le ton pour la prochaine restructuration rapide et radicale de tous les aspects de notre vie. Ce sera une pilule plus facile à avaler lorsque les élitistes qui conduisent ce changement mènent la charge par l'exemple. Soyez le changement que vous espérez voir! #BanPrivateJets
https://www.zerohedge.com/energy/drastic-climate-action-needed-now-lets-ban-private-jets
1°) Supprimer les avions, les bateaux, les véhicules terrestres à pétrole pour avoir émis du gaz carbonique !
Supprimer2°) Abattre TOUS les animaux émetteurs de gaz carbonique (y compris l'être humain) !
Le gaz carbonique n'est ni un poison ni un 'gaz a effet de serre'.
CLIMAT - LA «HONTE DE VOLER» VA PLOMBER L’AVIATION, SELON UBS
RépondreSupprimerRenoncer à des trajets en avion pour préserver l’environnement pourrait avoir un fort impact en Europe et aux États-Unis.
Airbus et Boeing pourraient «perdre» 100 commandes de petits avions chaque année, selon UBS.
03.10.2019, 17h19
Conceptualisé en Suède, le «flygskam», soit littéralement la «honte de voler» liée à la culpabilité de peser sur l’environnement, peut-il réellement impacter l’aviation mondiale? Oui, répond UBS dans une étude. Et lourdement.
Pour parvenir à ces conclusions, 6000 personnes ont été sondées en mai dernier en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis. Résultat, résume la BBC, 21% des personnes interrogées ont déclaré avoir réduit le nombre de vols effectués durant l’année écoulée.
Prévisions trop optimistes
UBS rappelle que le nombre de trajets aériens mondiaux a augmenté chaque année de 4 à 5%. Et que les géants de l’aviation Airbus et Boeing prédisent que cette croissance va perdurer jusqu’en 2035.
Or ils se trompent, selon les projections proposées par les spécialistes de la banque. Qui avancent que si les tendances actuelles se confirment et la honte de voler s’installe, cette croissance pourrait être coupée en deux.
Dans le détail, selon ces prévisions d’UBS, l’augmentation du nombre de vols dans l’Union européenne pourrait ne croître ces prochaines années «que» de 1,5%, alors que les avionneurs tablent sur le double. Et de seulement 1,3% aux États-Unis alors que les constructeurs prédisent 2,1%.
Déjà le cas en Suède
Logiquement, ceux qui volent moins pour préserver la planète renoncent d’abord aux vols courts. Un effet qui a déjà été mesuré en Suède, pays du flygskam. Là, le nombre de passagers a baissé de 2,8% lors des sept premiers mois de l’année. Mais cette baisse est de 8,7% dans le trafic intérieur!
UBS estime donc dans ses prévisions que la «honte de voler» pourrait entraîner 110 commandes en moins chaque année de petits avions. Et donc un lourd manque à gagner.
Certains sites spécialisés notent cependant que ces projections ne disent rien des croissances à venir par exemple en Asie ou en Afrique, qui pourraient compenser au moins en partie la honte de voler qui frappe l’Europe et l’Amérique du Nord.
R.M.
https://www.lematin.ch/economie/honte-voler-plomber-aviation-ubs/story/30678142
Vous pouvez maintenant recevoir une amende de 250 000 USD pour avoir prononcé cette phrase à New York
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 10/04/2019 - 14:10
Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Êtes-vous prêt pour l’absurdité de cette semaine? Voici notre résumé du vendredi des histoires les plus ridicules du monde entier qui menacent votre liberté et vos finances.
New York City commence à interdire les mots
Vous pouvez maintenant recevoir une amende de 250 000 dollars à New York pour avoir utilisé le terme «étranger illégal» de manière négative, conformément aux nouvelles directives de la Commission des droits de l’homme de la ville.
Cela s'applique aux propriétaires, aux employeurs et dans les lieux publics.
Donc, si un propriétaire dit: «Je ne peux pas louer pour louer à des étrangers en situation irrégulière» ou un employeur potentiel pour dire «Je ne peux pas vous engager parce que vous êtes un étranger en situation irrégulière», vous pourriez être confronté à un quart de million amende dollar.
Cliquez ici pour l'histoire entière:
https://reason.com/2019/09/30/new-york-city-illegal-aliens-fine-free-speech/?fbclid=IwAR30uLFxG2GbTgoRWvSYLdSVtBW3cNonuR9yi72VHlRyK2u0qPSpt6sb8oQ
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Une infirmière emmène son nouveau-né après que ses parents ont refusé le vaccin contre la vitamine K
Les douze premières heures de la vie d’un nouveau-né ont été passées sans ses parents après avoir dit à une infirmière de ne pas lui administrer une injection de vitamine k.
L'infirmière a annoncé qu'elle signalait la famille aux services de garde et a quitté la pièce avec l'enfant.
Une ancienne politique du département des services à l'enfance et à la famille de l'Illinois (DCFS) a classé les parents qui avaient refusé le vaccin à la vitamine K comme négligents. La politique avait été annulée, mais le personnel de l'hôpital l'utilisait toujours régulièrement pour menacer les parents.
Le bébé a été rendu sans explication. Le lendemain, un employé de DCFS a rendu visite aux parents et leur a annoncé qu'aucune mesure ne serait prise, mais que quelqu'un devrait quand même se rendre à leur domicile pour vérifier si les autres enfants étaient sains.
C’est ce que vous obtenez pour avoir le courage de choisir les traitements médicaux électifs qui vous semblent les meilleurs pour votre enfant.
Cliquez ici pour l'histoire entière:
https://www.tribpub.com/gdpr/chicagotribune.com/?fbclid=IwAR2K2Czc7zJ8Aa5uH2el48Fk_t_gdb0EGTujJ8BC15T0IQ3wU3otLkcJkSY
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L'Allemagne propose trois ans de prison pour avoir insulté le drapeau de l'UE
RépondreSupprimerIl est déjà illégal en Allemagne d’insulter des drapeaux étrangers et des emblèmes nationaux allemands.
Nous avons mis en évidence un cas dans lequel un Allemand vivant en Allemagne avait été accusé d'avoir lu un poème offensant sur le dictateur turc.
À présent, une chambre de la législature allemande a adopté une loi qui appliquera également ces règles à l'Union européenne.
Les Allemands pourraient être condamnés à trois ans de prison pour avoir dénigré les «valeurs» de l’Union européenne.
(Nous sommes curieux de savoir si ces valeurs de l’UE incluent des taux d’intérêt négatifs ?)
Si le projet de loi est adopté par la deuxième chambre, il deviendra un discours de haine pour dénoncer l'Union européenne, insulter son drapeau ou critiquer son hymne.
Cliquez ici pour l'histoire entière:
https://www.breitbart.com/europe/2019/09/27/german-regions-pass-prison-eu-flag-denigration-legislation/?fbclid=IwAR05wUpRsHJ2dbt0mbMtYYC1O9VKjvKOBvfTWh3w5Y88_lZ6mZqAERRFgF4
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Drapeau de la Chine communiste élevé au-dessus de l'hôtel de ville de Boston
Jusqu'où est tombé Boston depuis 1776 ?
Pour célébrer le 70e anniversaire de la prise de pouvoir par la Chine par les communistes, l’association chinoise progressiste de Boston a organisé une cérémonie et a hissé le drapeau communiste chinois au-dessus de la mairie.
Avec un bilan de morts d'au moins 45 millions, le communisme en Chine n'a rien à célébrer… ce qui montre clairement à quel point la fièvre socialiste s'empare puissamment du pays de la liberté.
Cliquez ici pour l'histoire entière:
https://www.theblaze.com/news/protesters-object-to-chinese-flag-being-raised-at-boston-city-hall-plaza
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La police SWAT répond au meme
Une «unité d’évaluation de la menace» en tenue tactique SWAT complète a pris d'assaut le domicile d'un homme de la Floride après qu'il eut publié un message.
L’homme a partagé une photo de l’ancien président de la National Rife Association, Charlton Heston, tenant un fusil, avec une légende du slogan de Heston - «de mes mains froides et mortes».
Dans le poste, l'homme a nommé trois hommes politiques locaux anti-armes à feu et a déclaré qu'il espérait que ce seraient eux qui viendraient confisquer ses armes.
L’une des femmes politiques a rapporté le mème, affirmant qu’elle se sentait menacée.
Et c’était plus que suffisant pour que la police entre (sans mandat) dans la maison de cet homme pour l’interroger.
Cliquez ici pour l'histoire entière:
https://www.ammoland.com/2019/09/democrat-send-police-in-tactical-gear-to-mans-house-over-a-meme/?fbclid=IwAR0uLbgDTYYh6yYwY5CIMwgnbg8Y16JnTDpg9oIAecr5bSvgVdu09Dk6NH8#axzz61ShJCHgV
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Une femme de l'Utah arrêtée et accusée d'être topless chez elle
RépondreSupprimerSi vous avez déjà installé un isolant, vous savez à quel point les petites particules de fibre de verre peuvent être irritantes pour votre peau.
Ainsi, une femme de l’Utah et son mari ont enlevé leur chemise pour qu’ils ne puissent pas avoir de fibre de verre partout dans la maison avant de se rendre à la douche.
Les beaux-enfants de la femme ont vu son torse nu. Cela, a-t-elle dit, était un peu embarrassant. Mais elle s'en servit comme d'un moment d'enseignement pour demander pourquoi les hommes et les femmes aux seins nus devraient être traités différemment.
Un an ou deux passèrent et la femme fut soudainement arrêtée et accusée de lubricité devant un enfant.
Cliquez ici pour l'histoire entière:
https://www.dailymail.co.uk/news/article-7522189/Utah-woman-charged-lewdness-taking-stepchildren-home.html
https://www.zerohedge.com/political/you-can-now-be-fined-250000-saying-phrase-new-york-city
L’hébergement d’urgence des migrants se pérennise… et séduit les investisseurs
RépondreSupprimer13:28 05.10.2019
Par Maxime Perrotin
L’hébergement d’urgence se transforme en bonne affaire pour les investisseurs institutionnels. En effet, l’État garantit un juteux rendement sur les logements d’urgence de la Caisse des Dépôts et consignations. 6.000 logements, majoritairement destinés aux demandeurs d’asile, qui trahissent la pérennisation de la crise migratoire.
«Transformer la détresse humaine en dividendes, comble du cynisme ?»
S’interrogent nos confrères de Marianne. Ces derniers révèlent le 4 octobre une pratique qui pourrait en surprendre plus d’un: la capitalisation sur le logement d’urgence pour migrants et personnes en situation de grande précarité. L’hebdomadaire se penche ainsi sur la prospérité du fonds d’investissement Hémisphère. Lancé en 2017 par Ampère Gestion et Adoma, deux filiales de CDC Habitat, elle-même filiale immobilière (d’intérêt général) de la Caisse des Dépôts et consignations (CDC), ce fonds s’est porté acquéreur de pas moins de 59 hôtels low-cost F1 pour les reconvertir en centres d’hébergement d’urgence, majoritairement pour demandeurs d’asile. Une opération qui a permis de structurer un parc de 6.000 places, géré par Adoma.
Une opération qui rapporte gros aux investisseurs. En effet, si chaque nuitée est facturée à l’État 16€, le fonds promet à ses souscripteurs un rendement de 3,5% par an. Cerise sur le gâteau, ce retour sur investissement est… garanti par l’État. 3,5% de rendement annuel, cela représente «deux fois celui de l’assurance vie en 2018 (1,8% en moyenne)», fait remarquer l’auteur de l’article. Pour donner un autre ordre d’idée, une telle rentabilité dans l’immobilier n’est égalable - pour un particulier - que par le biais de la location de parkings à Paris.
«Pour ceux qui en douteraient encore, voilà qui confirme l’évidence: la “crise” des migrants est structurelle et l’hébergement “en urgence” correspond en réalité à un besoin pérenne», estime notre confrère.
Notons en effet que ce fonds, qui a levé pas moins de 100 millions d’euros pour ses opérations immobilières, a été souscrit par un groupe d’acteurs institutionnels. Parmi ces derniers, on retrouve notamment Aviva France, BNP Paribas Cardif, CNP Assurances et Pro Cardif, selon la documentation disponible sur le site de CDC Habitat. Le projet aurait été lancé à l’initiative de l’État en 2016.
Du côté de l’institution financière publique, on joue la transparence. Au-delà de l’audit effectué par l’un des «Big Four», les plus gros cabinets d’audit financier au niveau mondial, on souligne d’une part que l’État est assuré de la décence des conditions d’hébergement des demandeurs d’asile et d’autre part que cette solution coûterait bien moins cher aux contribuables. En effet, le coût de l’hébergement d’urgence dans l’un de ces ex-F1 serait de 40% inférieur à la moyenne du marché, selon Vincent Mahé, secrétaire général de CDC Habitat, interrogé par Marianne.
«L’hébergement d’urgence a coûté 2,1 milliards d’euros à l’État en 2018. Sa progression rapide (+ 43% en cinq ans) s’explique largement par l’accueil de migrants, dont les flux ne vont pas se tarir tout de suite. Bref, un investissement… de long terme»,
conclut notre confrère de Marianne, évoquant le rapport parlementaire remis fin juin au Sénat sur le financement public de l’hébergement d’urgence. Il faut dire que le nombre de demandeurs d’asile a explosé ces dernières années en France, +22% rien qu’entre 2017 et 2018, selon les données de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA). Autre point qui invite le journaliste à une telle conclusion: Ampère Gestion étudierait «en ce moment le rachat d’autres structures d’hébergement», proposant un investissement sur dix ans.
https://fr.sputniknews.com/france/201910051042216600-hebergement-urgence-perennise-investisseurs/
BELGIQUE - 30 000 EUROS POUR DÉBUSQUER QUI A TUÉ LA LOUVE NAYA
RépondreSupprimerLa première louve sur le sol belge depuis un siècle a disparu. Les défenseurs des animaux sont certains que des braconniers l’ont abattue.
04.10.2019, 18h41
Qui a tué la louve Naya ? La Belgique se pose la question et de grands moyens sont désormais sur la table pour y répondre: une prime de 30 000 euros sera remise à qui permettra d’identifier le «tueur».
Le sujet suscite beaucoup d’émotion dans le Plat Pays. D’abord car l’animal était une sensation: arrivé en Flandre en janvier 2018, c’était le premier loup observé sur le sol belge depuis un siècle. Naya était donc devenue une star. Grâce à sa balise ou aux différents pièges photographiques, ses «fans» avaient régulièrement de ses nouvelles ou avaient pu suivre ses amours avec le mâle August. Naya, en outre, portait des petits quand elle a disparu.
Une «honte pour la Belgique»
La dernière fois qu’elle a été vue, c’était en mai. Alors quoi de neuf ? C’est une enquête de l’Agence flamande pour la nature et la forêt qui vient de mettre le feu aux poudres. Même si le cadavre de Naya n’a pas été retrouvé, les experts ont conclu à sa mort. Et ont même avancé que des «professionnels» auraient prémédité puis perpétré le coup, des braconniers capables de tuer un loup sans laisser de traces.
Face à ces conclusions, WWF Belgique avait fait part de sa tristesse et son indignation, parlant d’une «honte pour la Belgique».
Trois associations et un particulier
Depuis, trois associations se sont réunies: Animal Rights, le Nature Aid Centre et Bird Protection Flanders. Ensemble, elles ont proposé 20 000 euros pour débusquer ceux qui ont eu la peau de Naya. Puis ils ont été rapidement rejoints par un entrepreneur resté anonyme qui a ajouté 10 000 euros.
«Ce qui compte, c’est que la personne qui a fait cela ne s’en tire pas», a écrit Bird Protection Flanders. Beaucoup de Belges veulent désormais que le ou les tueurs de Naya répondent de leurs actes devant la justice. La chasse est ouverte.
R.M.
https://www.lematin.ch/monde/30-000-euros-debusquer-tue-louve-naya/story/25451830
Quelle est la vulnérabilité des réseaux électriques américains ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 10/04/2019 - 22:45
Le réseau électrique américain alimente nos vies, mais, comme le souligne Chris Chappell du journal Epoch Times, comme il n'a jamais été construit avec des attaques en tête, il comporte de nombreuses vulnérabilités.
Des cyberattaques par programmes malveillants aux tempêtes géomagnétiques, en passant par les détonations nucléaires dans l’atmosphère au-dessus des États-Unis, et même des armes électroniques sophistiquées en provenance de Russie et de Chine, tout cela menace de fermer notre réseau et de semer le chaos.
Alors que fait-on, le cas échéant, pour contrer cette menace ?
https://www.zerohedge.com/energy/how-vulnerable-are-americas-power-grids
SupprimerEffectivement, rien n'est fait pour contrer l'EMP. L'Impulsion ElectroMagnétique peut être amenée aujourd'hui par drone et porter une défaillance sur un réseau local, puis, passer à l'autre !
Seule la technologie scalaire pourrait s'opposer et détruire l'EMP.
Rencontrez les scientifiques fous effectuant des expériences révolutionnaires
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi 10/04/2019 - 19h45
Écrit par Haley Zaremba via OilPrice.com,
Il se passe de grandes choses au CERN, l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire. Cet organisme de recherche intergouvernemental à la pointe de la technologie héberge le plus grand laboratoire de physique des particules de la planète. L’infrastructure sans précédent du CERN et le financement provenant de 23 pays membres offrent à l’organisation une occasion sans précédent d’étudier scientifiquement certaines des questions les plus importantes et les plus difficiles à résoudre concernant l’univers, même jusqu’à la logistique du mystère global qu'est le Big Bang.
À tout moment, le CERN participe à plusieurs projets scientifiques, tous plus ambitieux et plus ambitieux les uns que les autres. À l’heure actuelle, le grand collisionneur d'adron - le plus grand au monde - est presque à mi-chemin d’un arrêt de deux ans, mais cela ne signifie pas que les chercheurs du CERN ont ralenti un peu.
La performance initiale du prosus
L'un des projets actuellement en cours concerne l'avenir de l'intelligence artificielle et son rôle dans l'avancement de la science. Le CERN a des projets ambitieux d’améliorer son célèbre accélérateur au cours des 20 prochaines années afin de porter nos capacités de recherche et notre compréhension de la physique à des niveaux sans précédent, mais pour ce faire, l’organisation de la recherche devra surmonter d’énormes obstacles en matière de calcul.
C'est là que l'IA entre en scène.
«De telles technologies pourraient, par exemple, jouer un rôle dans le filtrage de centaines de millions d’événements de collision de particules chaque seconde afin de sélectionner des événements intéressants à étudier», explique le propre média du CERN.
«Ils pourraient également être utilisés pour repérer les tendances en matière de surveillance des données des systèmes de contrôle industriels et prévenir les pannes avant même qu’elles ne se produisent. Déjà aujourd'hui, des approches d'apprentissage automatique sont appliquées à ces domaines. "
Cependant, jouer avec l'IA ne doit pas être pris à la légère, et le CERN est bien conscient des pièges potentiels. C'est précisément la raison pour laquelle Vivek Nallur, professeur assistant à l'University College Dublin en Irlande, a été invité au CERN pour une conférence sur «l'éthique conséquentialiste, l'éthique de la vertu et l'éthique déontologique».
Mais l'IA devrait être le moindre des soucis du scepticisme du CERN. En fait, l'IA n'est que la pointe de l'iceberg éthique. AI n’est pas le seul projet auquel le CERN a consacré son attention depuis que l’accélérateur de particules est hors ligne. Et l'autre grand projet a des implications potentielles si dangereuses qu'il pourrait littéralement signifier la fin du monde.
Comme on l'a déjà mentionné, le CERN travaille actuellement sur un plan ambitieux visant à réorganiser son «complexe d'accélérateurs phares» au cours des deux prochaines décennies. Mais un accélérateur de particules plus puissant pourrait être la dernière chose dont le monde a besoin, selon le cosmologue britannique Martin Rees. Rees, un expert respecté dans son domaine, a lancé un grave avertissement à la communauté scientifique à propos des expériences d’accélérateurs de particules qui tournaient mal dans son livre "Sur le futur: perspectives pour l’humanité" publié à la fin de l’année dernière. Ces expériences visaient à repousser les limites de la nature et de la physique, écrit-il, "pourraient faire quelque chose de bien pire - détruire la Terre ou même l'univers entier".
RépondreSupprimerAussi alarmiste que cela puisse paraître, ce n’est pas une notion de crackpot. Rees écrit que
"Peut-être qu'un trou noir pourrait se former, puis aspirer tout ce qui l'entoure [...] La deuxième possibilité effrayante est que les quarks se réassemblent en objets compressés appelés strangelets. Cela en soi serait inoffensif. Cependant, sous certaines hypothèses strangelet pourrait, par contagion, convertir n'importe quoi d’autre qu’elle rencontre en une nouvelle forme de matière, transformant la Terre entière en une sphère hyperdense d’environ cent mètres de diamètre ".
Si l'idée qu'un trou noir soit créé par simple accident ici sur Terre, compresser presque instantanément la terre entière en un objet ultra-dense de la longueur d'un terrain de football ne fait pas suffisamment peur, ce n'est même pas le pire des cas. Le troisième moyen, et de loin le plus dérangeant, par lequel un accélérateur de particules pourrait potentiellement défaire le monde tel que nous le connaissons, consiste à détruire tout l’univers au moyen d’une "catastrophe qui engouffre l’espace lui-même".
Le livre poursuit en développant cette idée impossible à comprendre. L'espace vide - ce que les physiciens appellent le vide - est plus que juste un néant. C'est l'arène de tout ce qui se passe. Il contient toutes les forces et particules qui régissent le monde physique. Le vide actuel pourrait être fragile. et instable.
"Certains ont émis l'hypothèse que l'énergie concentrée créée par la collision de particules pourrait déclencher une" transition de phase "qui déchirerait le tissu de l'espace. Ce serait une calamité cosmique, et pas seulement terrestre."
Bien entendu, le CERN a écarté les idées avancées par Rees et maintenu que leurs expériences et le grand collisionneur de hadrons révolutionnaire ne constituent pas une telle menace pour le monde, ni même pour sa ville natale, Genève, en Suisse. Dans un communiqué publié sur son site Web, le CERN assure aux lecteurs que «le grand collisionneur de hadrons (LHC) peut produire une énergie qu'aucun autre accélérateur de particules n'a encore jamais atteinte, mais que Nature produit régulièrement des énergies plus élevées dans les collisions par rayons cosmiques», et qu'une nouvelle analyse de la sécurité Le rapport de 2003 confirme toutes les conclusions qui suivent: "Les collisions au LHC ne présentent aucun danger et il n'y a pas de raisons de s’inquiéter".
Cependant, selon les propres mots de Rees, même si les divers événements catastrophiques potentiels via un accélérateur de particules sont peu probables, "étant donné les enjeux, ils ne doivent pas être ignorés". La branche des nouvelles technologies et de l'innovation de NBC, MACH, souligne que l'appel à l'inquiétude de Rees a sa place dans un héritage long et historisé d '«experts nous avertissant que la technologie moderne pourrait nous mener au désastre», des tests à la bombe atomique enflammant l'atmosphère aux astronautes rapportant des maladies incurables de l'espace, de la Lune. Cela ne veut pas dire que de telles craintes doivent être écartées - en particulier celles d’un vétéran de l’industrie tel que Rees.
RépondreSupprimerTous les progrès technologiques de l’histoire humaine ont été rendus possibles par la curiosité sans bornes et l’orgueil de l’homme. Une enquête scientifique et un refus catégorique d'expliquer ou simplement d'accepter le monde infiniment complexe et l'univers dans lequel nous vivons constituent très probablement le plus grand cadeau de notre espèce. Cependant, alors que nous continuons à repousser les limites de la physique, de la nature et de la science, nous devrions toujours nous efforcer d’attendre l’imprévu et envisager tous les résultats possibles pour pouvoir en atténuer au mieux les conséquences.
https://www.zerohedge.com/technology/meet-mad-scientists-performing-universe-breaking-experiments
La famille Sackler a réalisé des profits de 13 milliards de dollars grâce à la firme qui a déclenché la crise des opioïdes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Vendredi, 10/04/2019 - 18:25
La famille Sackler a profité de la crise des opioïdes qui a frappé la plupart des États-Unis au cours de la dernière décennie était bien plus vaste que même les tribunaux ne l'avaient réalisé. D'après des chiffres cités dans plusieurs documents légaux, le WSJ rapporte que Purdue Pharmaceuticals a probablement réalisé des profits de l'ordre de 12 à 13 milliards de dollars, sans toutefois préciser le calendrier.
Les Sacklers et Purdue ont brouillé les relations publiques avec les pratiques marketing agressives de la société "OxyContin", son médicament analgésique "révolutionnaire", largement blâmé pour avoir déclenché la crise des opioïdes. pool, qui comprenait principalement des patients cancéreux et des patients en phase terminale.
Ce chiffre est beaucoup plus élevé que l'estimation précédente des revenus de la famille: la Massachusetts AG avait calculé que la famille Sackler avait généré 4 milliards de dollars au total de Purdue entre 2008 et 2016.
Purdue et ses avocats ont convenu d'un règlement de 10 milliards de dollars destiné à mettre fin aux milliers de poursuites judiciaires engagées contre Purdue, mais il semble que bon nombre des procureurs des États qui poursuivent la société pharmaceutique basée dans le Connecticut ne souhaitent plus l'accepter. Au lieu de cela, les avocats des plaignants recherchent des moyens de porter atteinte à la protection de Purdue en matière de faillite (elle a déposé le Chapitre 11 dans l'État de New York plus tôt cette année pour tenter de se protéger de la myriade de réclamations découlant de la crise des opioïdes).
Les Sacklers ont été largement critiqués, car la preuve des efforts de la famille pour protéger son argent a été divulguée à la presse. Le mois dernier, le bureau du New York AG a découvert des virements électroniques d’un milliard de dollars liés aux Sacklers. Les plaignants ont accusé la famille d'essayer de détourner de l'argent de Purdue pour tenter de le protéger des colonies alors qu'il tentait d'étendre légalement les protections qui couvrent Purdue à la richesse de la famille. Même si aucun membre de la famille Sackler n’est employé chez Purdue, aucun de ses membres n’occupe de siège au conseil de la société.
La famille maintient toujours un family office privé qui gère son patrimoine. La société aurait au nord un actif de 10 milliards de dollars.
Sans surprise, la société et la famille ont refusé de discuter des paiements versés par la société à la famille au fil des ans (la famille a acheté Purdue en 1952). Mais les avocats de la société ont dit ceci: ils ont exhorté les plaignants à signer le règlement et à mettre fin aux poursuites intentées contre le cabinet. Les Sackler ne peuvent alors "que se concentrer sur la cession de la propriété de Purdue et la contribution financière vers un règlement plutôt que sur un litige qui gaspillerait des ressources et retarderait le déploiement de solutions pour les communautés dans le besoin". Un "besoin" qu'ils ont eux-mêmes créé.
https://www.zerohedge.com/markets/sackler-family-reaped-13-billion-profits-firm-kick-started-opioid-crisis
La NHTSA se penche enfin sur les problèmes d'incendie de batterie Tesla
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 10/05/2019 - 09:51
Quelques jours à peine après l'annonce de l'ouverture d'une enquête de la NHTSA sur Tesla en raison du fiasco précipité qu'est sa fonction "Smart Summon", la société est maintenant confrontée à un nouvel examen minutieux des "problèmes" liés aux batteries de longue date dans certains modèles S et X véhicules, selon CNBC.
Comme celui-ci:
- voir clip sur site -
Un avis publié mardi par la NHTSA indiquait qu'ils avaient reçu des informations sur un possible défaut des blocs-batteries Tesla pouvant provoquer des incendies. Les batteries concernées auraient reçu un nouveau logiciel de gestion dans le cadre des mises à jour en vol publiées par Tesla en mai. La pétition a été déposée par les cabinets d’avocats d’Edward C. Chen, un cabinet d’avocats californien représentant un certain nombre de conducteurs de Tesla aux États-Unis, d’après Bloomberg.
Chen a expliqué que Tesla utilisait des mises à jour logicielles pour dissimuler un problème potentiellement très répandu et dangereux:
Le record de livraison de Tesla montre que les États-Unis sont prêts pour les véhicules électriques, selon Loup's Munster
"Tesla utilise des mises à jour logicielles en direct pour masquer et dissimuler un problème potentiellement très répandu et dangereux lié aux batteries de ses véhicules."
Chen a également fait valoir que les propriétaires de Tesla "ont vu la portée de leur Teslas avec une charge réduite de 40 km ou plus après que Tesla ait publié deux mises à jour du logiciel de la batterie à partir de mai".
L’avis indique: «Le pétitionnaire affirme que les mises à jour logicielles répondaient à un éventuel défaut pouvant entraîner des incendies non liés au crash des batteries concernées et que Tesla aurait dû informer la NHTSA de l’existence de ce défaut potentiel et mener une enquête de sécurité. rappel. Le pétitionnaire affirme également que cette mise à jour logicielle réduit l'autonomie des véhicules affectés. "
Nous nous demandons depuis longtemps pourquoi la NHTSA n’a pas été plus impliquée dans Tesla, étant donné les nombreux cas de combustion spontanée de véhicules que nous avons documentés et les nombreux décès et accidents liés à la fonction de pilote automatique de la société.
Comme nous l'avons déclaré il y a quelques jours, nous sommes heureux que la NHTSA soit enfin attentive, du moins. En ce qui concerne la fonctionnalité "Smart Summon" de la société, l'agence a déclaré qu'elle "n'hésiterait pas à agir" si elle découvrait la preuve d'un défaut lié à la sécurité, selon Bloomberg.
La NHTSA s’est surtout laissée aller aux systèmes de conduite automatisés en choisissant de ne pas édicter de nouvelles règles pour la technologie - ce dont Tesla a tiré pleinement parti en convaincant les sycophants qui croient qu’Elon Musk est la seconde venue de Christ que ses voitures ont super pouvoirs, alors qu’en réalité la plupart d’entre eux ont du mal à sortir du parking Burger King.
Peut-être que les régulateurs comprennent enfin cette charade: s'ils le sont, faites attention ci-dessous.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/nhtsa-finally-looking-tesla-battery-fire-issues
INFORMATIQUE - MICROSOFT REVIENT AVEC UNE TABLETTE À DEUX ÉCRANS
RépondreSupprimerLe géant américain a présenté son «Surface Duo», une tablette aux allures de smartphone qui comporte deux écrans et qui «tient dans la poche».
03.10.2019, 16h10
Microsoft le présente avant tout comme une tablette qui «tient dans la poche», mais le «Surface Duo» dévoilé mercredi par le groupe informatique relève bien du smartphone, marquant le retour du groupe sur ce marché qu'il avait déserté.
Le «Surface Duo» comporte deux écrans de 14,2 cm (5,6 pouces) qui se replient comme un livre, et est opéré par Android, le système d'exploitation de Google, et non par Windows Phone, dont Microsoft a arrêté le développement en 2017.
Commercialisé en 2020
Il sera commercialisé l'année prochaine. «Vous allez en parler comme d'un téléphone, je le comprends bien», a déclaré Panos Panay, directeur produit chez Microsoft, lors de la présentation à New York des dernières nouveautés du groupe. «Vous pouvez envoyer des textos, vous pouvez écrire, vous pouvez faire ce que vous voulez, mais ce produit est un Surface», a-t-il insisté.
De 2010 à 2017, la firme américaine a tenté de convaincre les consommateurs d'acheter des téléphones sous Windows, mais elle avait fini par abandonner ce marché, acceptant son échec dans ce domaine face à ses rivaux Apple (iOS) et Google (Android).
Le système d'exploitation Windows, toujours largement dominant sur ordinateur, représente encore des revenus considérables pour la société. Mais Azure, son offre de services aux entreprises dans l'informatique à distance et le stockage dématérialisé (cloud), fait désormais office de moteur pour la croissance de Microsoft, qui peut aussi compter sur les jeux vidéo avec Xbox, sa gamme d'appareils Surface et le réseau social professionnel LinkedIn, acquis en 2016.
«Jamais 2 sans 3»
Le groupe cultive le mystère, non seulement sur la nature de son nouvel appareil, mais aussi sur ses caractéristiques, comme le type d'appareil photo ou le prix, deux facteurs essentiels dans un marché saturé de combinés ultraperformants.
Les ventes mondiales de smartphones ont baissé de 2,6% au deuxième trimestre 2019, et sont largement dominées par le géant sud-coréen Samsung (22% de parts de marché), suivi par les chinois Huawei et Oppo, d'après des études d'analystes publiées en août.
Le «Surface Duo» rassemble «la productivité Microsoft, les applis d'Android et le design de la gamme Surface dans un seul appareil que vous pouvez emmener partout. Et, oui, il peut passer des coups de fil», décrit brièvement le communiqué du groupe. «L'histoire de Microsoft dans les smartphones, avec Kin et Nokia, n'a pas été exactement brillante», rappelle l'analyste Patrick Moorhead de Moor Insights & Strategy.
En 2010, le géant du logiciel avait supprimé la gamme de téléphones Kin au bout de quelques semaines seulement. Quatre ans plus tard, il rachetait la branche de téléphones mobiles du finlandais Nokia pour plus de 7 milliards de dollars. La marque perdait alors de l'argent, et Microsoft n'a pas réussi à la sauver face à la concurrence. Cet échec a constitué un facteur déterminant dans la décision de sortir de ce marché et de transformer l'entreprise fondée par Bill Gates.
«Jamais 2 sans 3, et je pense que cette fois-ci sera la bonne parce que les conditions pour le succès d'un smartphone Surface semblent être réunies», estime Patrick Moorhead.
RépondreSupprimerL'analyste prend en compte la bonne croissance de l'écosystème d'appareils Surface, les possibilités offertes par le système d'exploitation Android et ses 2,8 millions d'applications (dont celles de Microsoft) et un design suffisamment original et différent. «Si le prix est bien calibré par rapport aux fleurons des concurrents, les consommateurs pourraient avoir envie de l'adopter», commente-t-il.
Microsoft a aussi présenté les nouveaux cousins de son smartphone dans la gamme Surface: une tablette à double écran, des ordinateurs portables et des écouteurs. Tous doivent être commercialisés avant la fin de l'année, mais le groupe n'a pas dit à quels prix. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/high-tech/microsoft-revient-tablette-deux-ecrans/story/20382546
L'avenir n'est 'pas' dans l'écran géant...
SupprimerIl y a plus de 20 ans j'ai inventé 'la télé de demain'. Il n'y avait plus un écran mais deux. Deux côte-à-côte où pourrait être suivi des courses de voitures passant d'un écran à l'autre ou, pour des débats, deux personnes face à face avec une sur chaque écran. Et donc, pour la première fois, un son en stéréo. Il s'agit simplement de deux chaînes de télé qui diffusent le même programme sous angles différent.