17:54 19.12.2018
Jérôme Blanchet-Gravel
Le pacte de Marrakech a fait couler beaucoup d'encre, surtout depuis sa signature le 10 décembre. L'ancien avocat à l'Onu André Sirois fait partie des critiques qui ont élevé leur voix contre cet accord. André Sirois a travaillé 40 ans aux Nations unies et pense que ce pacte représente un piège. Sputnik a mené une entrevue avec lui.
Le pacte des migrations des Nations unies a été formellement approuvé le 10 décembre à Marrakech. Les représentants de 150 pays se sont donnés rendez-vous dans cette ville du Maroc pour renforcer «la coopération relative aux migrations internationales». Plusieurs pays ont toutefois refusé de signer le pacte: la Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie, la Bulgarie, l'Autriche, la Pologne, Israël et l'Australie. Le pacte se veut «non contraignant» sur le plan juridique, mais pose un certain nombre de problèmes, selon des experts et politiciens. Quels problèmes ?
Un texte «non contraignant», vraiment ?
Le Québécois André Sirois se méfie des conséquences que pourrait avoir cet accord pour les États signataires. M.Sirois a travaillé 40 ans pour l'Onu, ayant notamment pris part à la mise en place du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).
M.Sirois critique d'abord le manque de transparence des Nations unies dans ce dossier, une instance qui aurait laissé planer le mystère autour de cet accord avant son adoption. Sans parler de complot, André Sirois pense que l'Onu avait intérêt à ne pas donner trop d'informations, afin que le projet ne soit pas rejeté en cours de route. «Je suis convaincu que ce n'est pas un accident, on a préféré que les gens se lancent dans le projet sans trop poser de questions», a affirmé l'avocat.
«Je suis persuadé que certaines informations ont été laissées de côté intentionnellement. Moi, ça fait 40 ans que je consulte des documents des Nations unies, que j'utilise la bibliothèque et les services informatiques de l'Onu, et je n'arrivais pas à accéder au document durant le processus. Des recherchistes de la bibliothèque de l'Onu m'ont même dit qu'eux-mêmes avaient de la difficulté à trouver le texte. Des journalistes que je connais m'ont aussi dit la même chose», a affirmé André Sirois en entrevue avec Sputnik.
M.Sirois pense aussi que le pacte viendra limiter la souveraineté de certains États, les empêchant de maintenir leurs propres politiques en matière d'immigration. Ce sera notamment le cas du Canada, un État qui serait reconnu pour sa grande «naïveté» au sein des instances internationales. M.Sirois croit que le Canada sera l'un des premiers pays à souffrir du nouvel accord. Non seulement le Canada reçoit déjà beaucoup d'immigration, mais il aspire depuis longtemps à incarner le progrès sur la scène internationale.
«La naïveté des Canadiens aux Nations unies est reconnue. Tout le monde sait, aux Nations unies, que les Canadiens sont toujours les premiers à se lancer dans de bonnes opérations comme celles-là, et à en payer le prix ensuite», a affirmé M.Sirois.
André Sirois pense que certains États ne respecteront jamais le pacte alors que d'autres se feront un devoir de le faire. Un régime de deux poids deux mesures. D'un côté, des États comme le Canada pourraient y voir une grande «force morale» et vouloir devenir les leaders du nouvel ordre migratoire. Mais, de l'autre, les États qui ne reçoivent pas d'immigration pourraient s'y soustraire sans attirer l'attention. André Sirois donne l'exemple des Émirats arabes unis, un pays qui n'accepte même pas de réfugiés musulmans, mais qui a pourtant ratifié l'accord.
«Les pays qui vont être contraints, ce sont les pays qui reçoivent déjà des immigrants», a souligné M.Sirois.
Les migrations de masse encouragées par le pacte menaceront la sécurité des sociétés occidentales, qui verront rapidement leur capacité d'intégration dépassée. La conférence de Marrakech emmènerait l'idée d'un droit universel à la migration, qui légitimerait le départ de dizaines de millions de personnes à travers le monde. Avec la montée de l'islamisme, André Sirois craint également que des intégristes religieux ne profitent de l'hospitalité des sociétés d'accueil pour imposer leur agenda. «Les extrémistes auront le pouvoir», avertit l'ex-avocat à l'Onu.
«Au cours du XXe siècle, partout où il y a eu des déplacements de populations considérables, les migrants qui ont été accueillis ont fini par se retourner contre leur société d'accueil. Pourquoi en serait-il autrement aujourd'hui ? […] Le pacte de Marrakech encourage l'immigration de remplacement, c'est exactement comme ça que ce phénomène s'appelle», a mentionné M.Sirois au micro de Sputnik.
Non seulement le pacte se révélera néfaste pour les pays occidentaux, mais il le sera aussi pour les pays en voie de développement. Une réalité que l'Onu ne voudrait tout simplement pas voir. «Nous allons nous retrouver avec des pays qui seront seulement perçus comme des réservoirs de migrants», a souligné André Sirois, qui s'inquiète de la création d'une sorte de nomadisme planétaire.
Au lieu d'encourager le développement des pays du sud, le pacte alimenterait plutôt une vision défaitiste de leur avenir. Dans son essai La Ruée vers l'Europe (Grasset 2018), le journaliste Stephen Smith en arrive à des conclusions similaires. Selon Smith, le départ massif des jeunes Africains pour l'Europe pourrait avoir des conséquences désastreuses pour leurs pays d'origine. L'exil des cerveaux ne favorisera pas l'essor économique des pays défavorisés.
(...) Les migrations de masse encouragées par le pacte menaceront la sécurité des sociétés occidentales, qui verront rapidement leur capacité d'intégration dépassée. La conférence de Marrakech emmènerait l'idée d'un droit universel à la migration, qui légitimerait le départ de dizaines de millions de personnes à travers le monde. Avec la montée de l'islamisme, André Sirois craint également que des intégristes religieux ne profitent de l'hospitalité des sociétés d'accueil pour imposer leur agenda. «Les extrémistes auront le pouvoir», avertit l'ex-avocat à l'Onu. (...)
RépondreSupprimerIls n'ont AUCUNE culture et ne sont que des chômeurs-allocataires-à-vie à 100 %. Ils ne peuvent amener QUE le chaos.
Seuls les pays non-signataires verront une migration des cerveaux vers eux. (Autriche, Australie, Bulgarie, Chili, Estonie, États-Unis, Hongrie, Italie, République tchèque, République dominicaine, Lettonie, Pologne, Slovaquie, Slovénie et Suisse).
Il y a environ 258 millions de personnes en mobilité et migrants dans le monde, soit 3,4% de la population mondiale !
La page GoFundMe «Construis le mur» lève 1 million de dollars en deux jours
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 19/12/2018 - 21:25
Lorsque la Maison Blanche a déclaré qu'elle envisageait "d'autres moyens" de financer le mur-frontière promis par Trump après avoir cédé aux démocrates, c'est peut-être ce dont ils parlaient.
Peu de temps après que le président ait décidé qu'il ne souhaitait pas un gouvernement partiel et décidait de trouver un compromis avec les démocrates pour que le gouvernement continue à être financé, le vétéran de l'armée et triple amputé, Brian Kolfage, a lancé un GoFundMe pour tenter de collecter des fonds pour le mur. en privé.
Il s'est fixé un objectif d'un milliard de dollars il y a deux jours. En deux jours, il a déjà reçu des promesses de dons d’un million de dollars.
Atout
Dans la description de sa page, Kolfage, à qui le cœur pourpre a été récompensé pour son sacrifice sur le champ de bataille, a déclaré qu'il était inspiré de lancer cette initiative après qu'un donateur privé milliardaire ait donné plus de 7 millions de dollars pour restaurer le monument de Washington.
L'idée selon laquelle les partisans de Trump pourraient payer la masse salariale d'une grande partie du mur n'est pas si farfelue, a-t-il expliqué: si chaque personne qui votait pour Trump versait 83 dollars, le gouvernement pourrait utiliser cet argent pour construire l'ensemble mur.
Son objectif? Construire le mur pour empêcher les immigrants clandestins de siphonner les ressources des contribuables et d'assassiner des citoyens américains innocents.
Lire sa description complète ci-dessous:
Le gouvernement avait déjà accepté d'importants dons privés. Récemment, un milliardaire a versé 7,5 millions de dollars pour financer la moitié des réparations du Washington Monument en 2012; ce n'est pas différent.
Comme une majorité de ces citoyens américains qui ont voté pour l'élection du président Donald J Trump, nous avons voté pour lui: Make America Great Again. La principale promesse électorale du président Trump était de CONSTRUIRE LE MUR. Et comme il a respecté à peu près toutes les promesses jusqu’à présent, ce projet de mur doit encore être achevé.
En tant qu'ancien combattant qui a tant donné, 3 membres, je me sens profondément investi dans ce pays pour que les générations futures disposent de tout ce que nous avons aujourd'hui. Trop d'Américains ont été assassinés par des extraterrestres clandestins et trop d'illégaux profitent des contribuables américains sans aucun moyen de contribuer à notre société.
J’ai des grands-parents qui ont immigré légalement en Amérique, ils l’ont fait correctement et il est temps que nous respections nos lois et bâtissions ce mur ! C’est aux Américains d’aider et de contribuer au lancement de ce projet.
RépondreSupprimer"Si les 63 millions de personnes qui ont voté pour Trump promettent chacune 80 $, nous pouvons construire le mur." Cela équivaut à environ 5 milliards de dollars, même si nous obtenons la moitié, c'est la moitié du mur. Nous pouvons le faire.
Les démocrates vont retarder ce projet par tous les moyens et jouer à des jeux politiques pour que le président Trump n’obtienne pas son vainqueur. Ils préfèrent voir le président Trump échouer que voir l'Amérique réussir. Cependant, si nous pouvons financer une grande partie de ce mur, cela relancera les choses et sera moins d'argent que Trump doit obtenir de nos politiciens.
Ce ne sera pas facile, mais c’est notre devoir de citoyens. Ceci doit être partagé chaque jour par chacun de vous sur les médias sociaux. Nous pouvons le faire et aider le président Trump à rendre l'Amérique de nouveau sûre!
Les efforts de Kolfage seront exposés à un public plus large jeudi, lors de son apparition dans l'émission de la pandite Laura Ingraham.
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-19/build-wall-gofundme-page-raises-1-million-two-days
Aux regards effrayant de ce qui se passe en Europe avec l'invasion de terroristes ('réfugiés climatique' !) qui va représenter des centaines d'étrangers en burqa dans les rues de chaque ville...
SupprimerSont-ce les GI,s Américains ou les troupes russes qui sauveront l'Europe de la mort ?
Le "journaliste de l'année" de CNN commet une fraude journalistique "à grande échelle" au Der Spiegel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 19/12/2018 - 17:25
Le magazine d’information allemand Der Spiegel a admis que l’un de ses meilleurs reporters simulait des histoires depuis plusieurs années.
Le journaliste primé Claas Relotius avait "inventé des histoires et inventé des protagonistes" dans environ 14 articles sur 60 publiés dans des éditions imprimées et en ligne. Il travaillait pour Der Spiegel depuis sept ans et avait remporté de nombreux prix pour son journalisme d'investigation, notamment le prix du journaliste de l'année de CNN en 2014, selon The Guardian.
Relotius, 33 ans, a présenté sa démission après avoir admis sa fraude.
Plus tôt ce mois-ci, Relotius avait été nommé meilleur reporter de l'année en Allemagne pour son article sur un jeune garçon syrien. Depuis la rédaction du rapport, il est apparu que toutes les sources étaient au mieux floues et la plupart de ses écrits étaient complètement fabriqués.
La falsification a été révélée après qu'un collègue qui travaillait avec lui sur une histoire le long de la frontière américano-mexicaine avait émis des soupçons sur certains détails du reportage de Relotius, après l'avoir nourri de doutes depuis un certain temps.
Le collègue, Juan Moreno, a finalement retrouvé deux sources présumées, largement citées par Relotius dans l'article, publié en novembre. Les deux ont dit qu'ils n'avaient jamais rencontré Relotius. Relotius avait également menti en voyant une pancarte peinte à la main portant l'inscription «Les Mexicains restent à l'écart», a révélé une enquête.
Parmi les autres histoires frauduleuses, il y en a une sur un prisonnier yéménite à Guantanamo Bay et une autre sur la star du football américain Colin Kaepernick. -Gardien
Le Spiegel - qui a un lectorat en ligne de plus de 6,5 millions et vend environ 725 000 copies imprimées par mois, a admis la fraude dans un long article dans lequel ils se sont dits "choqués" par la découverte - s'excusant pour les personnes trompées par la "fraude" de Relotius citations, détails personnels inventés ou scènes inventées dans des lieux fictifs ".
Le magazine a ajouté que Relotius avait commis une fraude journalistique "à grande échelle" et avait décrit cet incident comme "un point bas des 70 années de Spiegel".
Relotius a travaillé pour plusieurs autres magasins, dont le taz allemand, le Welt et l'édition du dimanche du Frankfurter Allgemeine.
Relotius a confié à Spiegel qu'il avait profondément honte de ses fabrications, affirmant: "Je suis malade et j'ai besoin d'aide."
Moreno, qui travaille pour le magazine depuis 2007, a risqué son propre emploi en confrontant ses collègues avec ses soupçons, dont beaucoup ne voulaient pas le croire. "Pendant trois ou quatre semaines, Moreno a vécu des moments difficiles parce que ses collègues et ses supérieurs ne voulaient pas croire ses accusations au début", a écrit Der Spiegel dans des excuses à ses lecteurs. Pendant plusieurs semaines, le magazine a déclaré que Relotius était même considéré comme la victime d'un complot rusé de Moreno.
«Relotius a intelligemment repoussé toutes les attaques, toutes les preuves documentées de Moreno… jusqu'au moment où cela ne fonctionnait plus, jusqu'à ce qu'il ne puisse plus dormir, poursuivi par la peur d'être découvert, ”A écrit le magazine. -Gardien
RépondreSupprimerAprès avoir été confronté à un rédacteur en chef, Relotius a finalement cédé et a admis la fraude. Dans ses aveux, il a déclaré: "Ce n'était pas à cause de la prochaine grande chose. C'était la peur d'échouer. Ma pression pour ne pas pouvoir échouer devenait de plus en plus grande au fur et à mesure que je réussissais."
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-19/spiegel-journalist-who-faked-stories-committed-journalistic-fraud-grand-scale
Le changement climatique est accusé d'avoir doublé les décès liés à l'hiver au pays de Galles - Voici pourquoi les gens meurent vraiment
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 20/12/2018 - 02:00
Publié par Meadow Clark via le blog Organic Prepper de Daisy Luther,
Le nombre de décès liés à l’hiver au pays de Galles, appelé excès de décès en hiver, a presque doublé en un an seulement. La même chose pourrait-elle arriver aux États-Unis ?
Les experts blâment ce phénomène pour plusieurs raisons, mais ne font-ils que pousser un agenda ? Et quel est «l'éléphant dans la pièce» que les médias ignorent clairement ?
- voir graphique sur site -
Excès de mortalité hivernale au pays de Galles
Les «excès de mortalité hivernale» correspondent au ratio des décès de décembre à mars avec l'idée qu'ils sont attribués à l'hiver. C’est un terme que je vois plus dans les rapports européens qu’en Amérique du Nord.
La BBC a récemment rapporté:
Au Pays de Galles, les décès dus à l’excès d’hiver ont presque doublé en 2017-2018, passant de 1 850 à 3 400 l’année précédente.
Des experts en santé publique ont déclaré que les conditions météorologiques défavorables et la grippe étaient à l'origine de cette augmentation, touchant particulièrement les personnes âgées.
Les experts ont déclaré qu'il s'agissait du plus grand nombre de décès en excès depuis l'hiver 1975.
Mais les responsables ont déclaré que les pics de mortalité en hiver n'étaient pas rares - avec huit pics au cours des 40 dernières années.
En Angleterre et au pays de Galles, il y a eu 50 100 décès excédentaires l'hiver dernier.
Cependant, il s'agit de la moitié du nombre de décès en excès enregistré à l'hiver 1950 - avec 106 400 décès supplémentaires en hiver. (la source)
Gardez à l’esprit que les années 2010, 1970 et 1950 ont toutes quelque chose en commun en ce qui concerne les décès dus à l’hiver, mais ce n’est pas nécessairement le changement climatique ou la grippe.
L'éléphant dans la pièce - Pourquoi les gens meurent
Malheureusement, l’augmentation du nombre de décès pendant les mois d’hiver a été politisée et exploitée pour deux objectifs majeurs: la répression en faveur de la vaccination et les fanatiques du changement climatique.
Les cris de ces ordres du jour frénétiques et urgents étouffent les cris de ceux qui ont besoin d’aide en hiver.
La simple raison étant…
Les gens ne peuvent pas se permettre de se chauffer !
Le logement est une chose, mais il ne peut que réduire autant l'exposition aux éléments. Qu'une personne vulnérable décède des suites d'une maladie ou de températures extrêmes, ces décès peuvent avoir été causés indirectement par l'incapacité de payer des coûts énergétiques.
En fait, ce vieux rapport de The Guardian le prouve.
RépondreSupprimerIl a été publié lorsque le nombre excessif de décès dus à l'hiver au Royaume-Uni a augmenté d'un tiers en 2012-2013. L'accent était mis sur la pauvreté et l'incapacité de fournir de la chaleur.
Peut-être que ce rapport a été publié avant que l’intimidation liée au changement climatique n’ait atteint un niveau de fièvre élevé.
1950 était la pire année pour les excès de mortalité hivernale
Comme le rapport de la BBC l'a souligné, l'hiver 1950 a été l'un des pires en termes de décès par excès.
Selon Economics Help, la dette nationale, l'austérité et le rationnement ont atteint un sommet pendant cette période.
- voir graphique sur site -
Source: EconomicsHelp.org
Fait intéressant, les graphiques fournis par Economics Help montrent une corrélation entre la dette publique et la hausse des décès en hiver. La corrélation n'équivaut pas à un lien de causalité, pas plus qu'une dette nationale ne signifie nécessairement une pauvreté abjecte pour tous. C’est juste un casse-tête d’information pour obtenir un contexte pour ce qui se passait à l’époque.
L'année 2010 a été marquée par des changements économiques et une mortalité excessive en hiver
Et ici, nous observons le même schéma où les changements économiques correspondent à la hausse du nombre excessif de décès dus à l’hiver dans les années 2010.
- voir graphique sur site -
Source: EconomicsHelp.org
Je ne fais que spéculer, mais le graphique des années 50 pourrait indiquer que, dans le but de réduire la dette, de nombreux programmes gouvernementaux ont peut-être été réduits à néant ou que les impôts ont crû de façon spectaculaire, ce qui aurait pu être un hiver très difficile. Au Royaume-Uni, la dette nationale était à son plus haut niveau. L'emploi aurait commencé à remonter en 1950, mais il y avait d'autres raisons pour lesquelles les temps étaient encore difficiles.
1975 était aussi un temps record pour les décès excessifs dus à l'hiver.
La BBC a noté que 1975 était également un temps record pour les décès excessifs dus à l'hiver. Encore une fois, consultez ce graphique montrant l’inflation et l’instabilité économique à ce moment-là:
- voir graphique sur site -
Source: EconomicsHelp.org
- voir graphique sur site -
Source: EconomicsHelp.org
Peut-tu discerner une structure logique ??
Chers lecteurs du Royaume-Uni, n'hésitez pas à parler de ce sujet, car je le regarde de l'extérieur.
Je ne fais que souligner ces choses, cependant, pour montrer que le problème de la mortalité hivernale a plus de profondeur que la vaste portée de «le changement climatique l’a fait !».
Les médias rapportent que le changement climatique continuera à faire plus de victimes dans le futur, mais…
RépondreSupprimer“Climate Change” n'est pas un meurtrier errant…
Les temps changent, mais pas nécessairement à cause du climat…
Cela change radicalement le paysage des emplois, le chômage, les difficultés économiques, la disparition des pensions, les lois anti-poêle à bois et les coûts énergétiques exorbitants qui alimentent ces morts tragiques et inutiles. Je suppose que les impôts sont onéreux aussi.
C’est donc un peu frustrant quand je vois des rapports reprocher au changement climatique inanimé d’avoir causé la mort ou des «coups de grippes ratés» lorsque les lecteurs peuvent constater une tendance s’agissant de l’économie de l’après-guerre et du nombre croissant de morts en hiver.
Il est regrettable que de nombreuses personnes âgées frissonnent dans des maisons non chauffées et se retrouvent sans surprise avec une pneumonie.
La pneumonie, en passant, est la principale raison du nombre élevé de décès dus à la grippe aux États-Unis. Consultez notre rapport où nous avons complètement réfuté les affirmations selon lesquelles 80 000 Américains seraient morts de la grippe. Le gouvernement britannique note que la pneumonie est l’un des principaux facteurs de mortalité excessive en hiver.
Mais un système immunitaire sous-alimenté constitué de personnes qui ne peuvent même pas se réchauffer sous les couvertures est honnêtement une situation de survie urgente que de nombreuses personnes vivent au quotidien.
Il reste encore un long chemin à parcourir, rien que pour dire qu'il semblerait que le gouvernement soit pleinement conscient de l'augmentation du nombre de décès dus au froid, alors que les difficultés économiques et le coût de l'énergie sont obscurément élevés.
Prévenir les décès liés à l’hiver, à l’unisson
Tout d’abord, assurez-vous d’avoir à tout moment dans votre véhicule un sac anti-insectes pour l’hiver. Assurez-vous qu’il inclut des fournitures pour la possibilité de rester coincé dans votre véhicule. Ayez toujours des chaussettes de rechange et, si vous passez de longues périodes à l’extérieur, des chauffe-orteils.
De plus, prenez toutes les mesures possibles pour rester au chaud dans la maison. Comme au Royaume-Uni, les prix de l’énergie aux États-Unis et au Canada sont insupportables. Il est donc presque impossible de chauffer à un niveau confortable, mais il reste encore beaucoup à faire pour rester au chaud. Un jean doublé en flanelle, des vêtements thermiques, des leggings, des chaussettes doublées et des gants sans doigts sont autant d’options que j’ai fréquemment utilisées. Voici quelques idées pour rester au chaud avec moins de chaleur.
Je ne prends pas les mêmes chances que dans mes 20 ans. Cela peut sembler insignifiant, mais je sèche mes cheveux lavés en hiver, peu importe l’heure de la journée, et je change même de chaussettes pour empêcher l’humidité de s’installer. En fait, je me lave les cheveux seulement 1/2 ou 1/3 de plus que dans L'été. Mais je me lave les mains comme un démon et, par conséquent, je garde la grippe aux abois.
Assurez-vous de consulter ces Rockin ’Préventifs et remèdes contre la grippe et restez à l’écoute pour plus d’aide à la survie en hiver !
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-19/climate-change-blamed-doubling-winter-related-deaths-wales-heres-why-people-are
Supprimer(...) Les gens ne peuvent pas se permettre de se chauffer ! (...)
Et, cet hiver, les 600 millions de personnes en Europe (européens + 'réfugiés climatique' !) auront besoin de BEAUCOUP d'électricité pour se chauffer ! Et, ce ne sont PAS les éoliennes à la con et les putains de panneaux solaires qui vont fournir le chauffage ! HAHAHAHAHA !
Le pressent qu'il y a déjà des réfugiés climatique qui commencent à regretter de s'être prostitué et voudraient bien retourner chez eux ! HAHAHAHA !
L’or du Venezuela dans les limbes au milieu d’un bras de fer à la banque d’Angleterre
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 19/12/2018 - 22:05
Soumis par Ronan Manly de BullionStar.com
Début novembre, des informations ont été publiées dans les médias britanniques (Reuters et The Times), révélant que la Banque d'Angleterre à Londres, l'un des plus importants dépositaires de lingots d'or au monde pour le compte d'autres banques centrales, refusait d'autoriser le retrait et le rapatriement de 14 tonnes d'or appartenant à la banque centrale du Venezuela, la Banco Central de Venezuela (BCV).
Selon ces informations, les retards / refus de la Banque d’Angleterre d’autoriser le rapatriement de l’or au Venezuela allaient des excuses sur le coût prohibitif de l’assurance de transport aux craintes de blanchiment d’argent. Dans tous les cas, ces excuses étaient fausses, comme je l'expliquais dans l'article «La Banque d'Angleterre refuse de restituer 14 tonnes d'or au Venezuela» sur le site Internet de BullionStar, daté du 15 novembre, et que les véritables raisons du refus de la Banque d'Angleterre étaient: politique. Comme je l'ai dit à l'époque dans ma conclusion:
"Les raisons avancées par les sources officielles dans les articles de Reuters et Times pour expliquer pourquoi le Venezuela ne peut pas retirer son or de la Banque d'Angleterre sont clairement fausses. L’explication la plus logique et la plus probable est que les États-Unis, par le biais de la Maison Blanche, du Trésor et du Département d’État américains, ont noué des relations avec le ministère britannique des Affaires étrangères, le Trésor britannique, pour faire pression sur la Banque d’Angleterre afin qu’elle retarde et repousse la demande de retrait d’or du Venezuela. . "
Selon le rapport Reuters daté du 5 novembre, le plan de retrait de la banque centrale vénézuélienne «était suspendu pendant près de deux mois», ce qui aurait pour effet de reporter la demande de retrait initiale de la BCV à la Banque d'Angleterre à au moins septembre et probablement plus tôt. La BCV cherchait donc son or depuis un certain temps, et la Banque d’Angleterre ralentissait. Une des raisons pour lesquelles la Banque aurait dû rester bloquée était l’attente de l’introduction du décret exécutif américain 13850, signé le 1er novembre, qui imposait des sanctions économiques aux États-Unis à quiconque faisait affaire avec le secteur aurifère au Venezuela.
En ce qui concerne la demande de retrait d'or de la BCV et le refus de la Banque d'Angleterre, rien ne s'est passé dans le domaine public jusqu'au début du mois de décembre, lorsque de nombreuses nouvelles et activités ont montré que le problème vénézuélien en matière de conservation de l'or à la Banque d'Angleterre était loin d'être résolu, et en effet que la chaleur avait été augmentée de quelques encoches des deux côtés.
Julio Borges et Carlos Vecchio, représentants de l'opposition politique au Venezuela qui ont envoyé une lettre à la Banque d'Angleterre
Borges et Vecchio font appel à Mark Carney
En premier lieu, une lettre au gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney, datée du 30 novembre, a été envoyée par deux personnalités dissidentes de l'opposition politique vénézuélienne, Julio Borges et Carlos Vecchio. Borges est un ancien président de l'Assemblée nationale vénézuélienne (législature) et également fondateur du parti politique vénézuélien Primero Justicia (Justice d'abord). Vecchio est cofondateur et coordinateur d'un autre parti politique vénézuélien, Voluntad Popular (Volonté populaire).
Un résumé de cette lettre et de son contexte peut être lu dans un article de David Adams du 3 décembre par Univision News dans un lien ici. La lettre au format pdf peut être lue ici sur ce lien -> Borges-Vecchio-Letter-to-the-BoE.
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Introduction de la lettre de Borges-Vecchio au gouverneur de la Banque d'Angleterre, 30 novembre 2018
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Avant d’examiner brièvement les arguments de la lettre pour ne pas autoriser le retrait de l’or, il est intéressant de voir comment Borges / Vecchio explique comment les désormais tristement célèbres 14 tonnes d’or se retrouvent toujours dans les coffres de la Banque d’Angleterre à Londres. Ils écrivent:
«En 2011, il y avait plus de 99 tonnes d’or vénézuélien dans les coffres de la BoE, ce qui correspond à 4,5 milliards de dollars. L'or a été confié à la BoE en 1980 par la démocratie. En 2012, Hugo Chávez a retiré quarante pour cent de cet or dans le cadre de son plan visant à rapatrier la majorité de l'or vénézuélien depuis des banques américaines et européennes. En conséquence, en 2015, les coffres de la BoE contenaient environ cinquante tonnes d’or vénézuélien. Cependant, depuis 2015, le régime de Maduro a perdu la majeure partie de celle-ci en tant que garantie dans des transactions de swaps d’or, laissant quatorze tonnes d’une valeur de 550 millions de dollars. "
Ayant déjà effectué une analyse détaillée de l'or du Venezuela et de son rapatriement, y compris l'article intitulé «Les réserves d'or du Venezuela - Partie 1: El Oro, El BCV et Los Bancos de Lingotes», je peux dire que la plupart de ce que Borges et l'état de Vecchio semblent exacts .
«De 1980 à 2011, le Venezuela avait 99 tonnes d'or à la BoE.» C'est vrai. La BCV avait stocké 99,2 tonnes d’or à la Banque d’Angleterre depuis 1980. Voir le tableau ci-dessous concernant la répartition et la localisation des réserves d’or du Venezuela en août 2011.
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Répartition et localisation des réserves d’or du Venezuela, août 2011, source: BCV. Cliquez pour agrandir
«En 2012, Chavez a retiré 40% de cet or, laissant 50 tonnes d'ici 2015». Pas tout à fait exact. Le vénézuélien
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Répartition et localisation des réserves d’or du Venezuela, août 2011, source: BCV. Cliquez pour agrandir
«En 2012, Chavez a retiré 40% de cet or, laissant 50 tonnes d'ici 2015». Pas tout à fait exact. L'opération de rapatriement de l'or au Venezuela a commencé le 25 novembre 2011 et s'est achevée le 30 janvier 2012. En août 2011, la BCV détenait 16 908 lingots d'or Good Delivery à l'étranger (y compris les dépôts en or constitués de créances sur des banques). La BCV a ensuite rapatrié 12 819 bars Good Delivery à Caracas au Venezuela, laissant 4 089 lingots d’or Good Delivery dans les coffres de la Banque d’Angleterre (environ 50,8 tonnes). Je dirais donc que la BCV a rapatrié 50 % de son or détenu à la Banque d'Angleterre, et non 40 %, et que l'opération a été achevée en janvier 2012. Pourquoi Borges / Vecchio a-t-il déclaré que 40% n'est pas clair. La Banque d'Angleterre a peut-être utilisé des échanges d'or avec une autre banque centrale telle que la Banque de France dans le cadre des transferts d'or rapatriés au Venezuela entre fin 2011 et début 2012 (note: certains éléments de preuve suggèrent qu'une partie de l'or rapatrié au Venezuela provenait de Paris. ).
"Depuis 2015, le Venezuela a perdu la majeure partie de ces 50 tonnes d'or à titre de garantie dans des transactions d'échange d'or, laissant 14 tonnes à la Banque d'Angleterre." Fort probablement, et probablement vrai, mais le nombre exact d'échanges d'échange d'or n'est pas connu, car les détails Les transactions d’échange d’or entre banques centrales et banques sont hautement secrètes et protégées par la Banque d’Angleterre / FMI / LBMA.
RépondreSupprimerLa BCV a effectivement conclu divers swaps sur l'or ces dernières années, notamment avec Deutsche Bank, Citibank et la Banque des règlements internationaux (BRI). Les transactions d'échange d'or se produisent le plus souvent pour de l'or détenu à la Banque d'Angleterre. En 2017, la BCV a laissé échouer un échange d’or avec Deutsche Bank qui utilisait 1,7 milliard de dollars d’or de la BCV comme garantie. La Deutsche Bank a ensuite conservé l’or mis en gage. Cela aurait représenté entre 30 et 40 tonnes d'or.x
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Bonne livraison des lingots d'or entreposés dans les coffres de la Banque d'Angleterre, Londres
Puis, en avril 2018, la BCV a versé 172 millions de dollars à Citibank pour récupérer une partie de l’or qui avait été garantie par un autre échange d’échange d’or avec Citi. Si l’on tient compte de ce que la BCV a payé à Citi, cela équivaudrait à environ 5 tonnes d’or retournées par Citi à la BCV. Ainsi, le chiffre de 14 tonnes qui reste après que les banques aient atteint la plupart des 50 tonnes d’or du Venezuela à la Banque d’Angleterre (qui semble avoir été d’environ 36 tonnes) semble plausible. Après la liquidation de l’échange de Citi en avril, c’est peut-être à ce moment-là que la BCV a commencé à demander son retour en or. Si tel était le cas, la demande de retrait de la BCV auprès de la Banque d’Angleterre est en attente depuis un certain temps et pendant tout l’été.
Lettre des signatures de Vecchio et Borges à Mark Carney, Banque d'Angleterre, 30 novembre 2018
Si l’on calcule approximativement le nombre de lingots d’or Good Delivery que représentent les 14 tonnes restantes d’or du Venezuela à la Banque d’Angleterre, on estime environ 1125 lingots d’or (ou 27% des 4 089 lingots d’or originaux). C’est l’or actuellement gelé par la Banque d’Angleterre, environ 1125 lingots d’or. Si cet or est en détention, il sera mis de côté ou attribué et la BCV connaîtra les numéros de série individuels de chaque barre. Comme je l'ai écrit précédemment, la BCV devrait à tout le moins publier, pour que tout le monde le voie, la liste de poids / liste de numéros de série de tous ces lingots d'or afin qu'ils ne puissent pas être confisqués / utilisés par la Banque d'Angleterre ou des banques d'investissement à d'autres fins. comme être vendues à d’autres clients de la banque centrale ou à des ETF adossés à l’or.
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S’agissant de la lettre de Borges et de Vecchio, il n’est pas surprenant, car ils s’opposent au gouvernement du Venezuela dirigé par Maduro, utilisent une série d’arguments contre le «régime» du Maduro au Venezuela pour tenter de convaincre la Banque d’Angleterre de ne pas libérer l’or. Ces arguments incluent des références à la menace de blanchiment d’argent de «crimes futurs» avant même qu’il existe, des allégations de violation des droits de l’homme, des allégations de manque d’indépendance de la BCV, ainsi que du décret de Trump du 1 er novembre, etc.
Les lecteurs peuvent lire la lettre en entier au lien ci-dessus (3 pages et page de signature) pour avoir une idée des arguments de Borges / Vecchio.
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RépondreSupprimerSiège de la Banque d'Angleterre à Threadneedle Street à Londres
Une visite de la rue Threadneedle: Calixto Ortega et Simón Zerpa
Moins d'une semaine après que la lettre de Borges / Vecchio à la Banque d'Angleterre soit devenue publique, la banque centrale et le gouvernement vénézuéliens ont soulevé les enjeux du bras de fer, en annonçant que «deux hauts fonctionnaires vénézuéliens» se rendaient à Londres. se réunir à la Banque d'Angleterre pour tenter de récupérer les 14 tonnes d'or du Venezuela. Cette réunion était prévue pour le vendredi 7 décembre. Les deux hauts responsables en question étaient le président de la banque centrale vénézuélienne, Calixto Ortega Sánchez, et le ministre vénézuélien des Finances, Simón Zerpa Delgado.
Calixto Ortega Sánchez, président de la BCV, et le ministre vénézuélien des Finances, Simón Zerpa Delgado
Alors que Reuters était la seule source d'information révélant initialement la venue d'Ortega et de Zerpa à la banque, la visite envisagée a également été confirmée par une lettre du député britannique Andrew Lewer, qui, le 6 décembre, a également écrit au gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney (demandant au chancelier de l'Échiquier britannique Philip Anthony au Trésor britannique) de demander que toute demande de réunion présentée par Ortega et Zerpa soit rejetée et que toute demande de transfert des 14 tonnes d'or au Venezuela soit rejetée. La lettre complète de Lewer en pdf peut être lue ici -> Lettre d’Andrew Lewer à Mark Carney.
Introduction de la lettre écrite par le député Andrew Lewer au gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney, datée du 5 décembre 2018
Pourquoi Andrew Lewer, un député conservateur d'arrière-ban qui n'a été élu que pour la première fois au Parlement britannique l'année dernière, devrait-il prendre l'initiative d'écrire à la Banque d'Angleterre pour tenter de faire échouer la réunion du Venezuela avec la Banque semble étrange. At-il été mis à la hauteur? Lewer affirme être le vice-président d'un groupe au Parlement de Westminster appelé le Groupe parlementaire multipartite du Venezuela (APPG), mais étrangement, son nom ne figure pas sur la liste la plus récente du Bureau de ce APPG du Venezuela datée du 21 novembre 2018: Graham Jones. , Mike Gapes, Mark Menzies et le vicomte Waverley.
Venezuela, liste des officiers de l'APPG, 21 novembre 2018, qui n'inclut pas le nom d'Andrew Lewer en tant que vice-président.
Dans sa lettre à Carney, de la Banque d'Angleterre, qui se lit comme une lettre d'écolier à Newsround de la BBC, le porte-parole Lewer fait référence au fait que Simón Zerpa a été placé sur une liste du Trésor américain sanctionnée en juin 2017 pour un rôle précédent. il a été détenu par la compagnie pétrolière publique PDVSA. Zerpa ne figurait que sur cette liste, car elle faisait partie d'une recommandation faite par une commission du Congrès américain sur le Venezuela, qui considérait PDVSA comme une entité gouvernementale corrompue. Fait intéressant, en avril dernier, la Citibank, dont le siège social est aux États-Unis, n'a pas eu de problème à restituer l'or à la BCV à la Banque d'Angleterre lorsqu'elle a dénoué le swap sur l'or Citi - BCV, et n'a pas eu de problème de sanctions puisque Zerpa était également ministre des Finances du Venezuela à ce moment-là, il est donc évident que cet argument de Lewer est faux.
Dans le cas d’Ortega qui a été nommé président de la BCV en juin 2018, Lewer affirme que la nomination d’Ortega n’a pas été ratifiée de manière appropriée par l’Assemblée nationale du Venezuela. Lewer inclut un lien vers une déclaration sur un site Web de la coalition politique de l'opposition politique vénézuélienne «Mesa de la Unidad Democrática» (Unidad) (table ronde en anglais sur l'unité démocratique), pour appuyer sa demande. S'il est vrai que l'Assemblée nationale est maintenant fortement dominée par Maduro, c'est principalement parce que la coalition Unidad a boycotté les élections à l'Assemblée nationale en 2017 et a laissé sa capacité de contribuer à l'Assemblée.
RépondreSupprimerLewer déclare que "tout transfert au régime serait une erreur" et "demande instamment" le rejet de la réunion entre la Banque d'Angleterre, Ortega, de la BCV et le ministre vénézuélien des Finances, Zerpa. En tant que banque centrale supposée indépendante, il convient également de se poser la question suivante: quelles activités un membre du Parlement britannique s'immisce-t-il dans les opérations de la Banque d'Angleterre et dans ses accords de stockage d'or avec ses clients des banques centrales internationales ?
Conclusion de la lettre du député Andrew Lewer à Mark Carney, adressée au chancelier de l’Echiquier du Royaume-Uni
Réunion ou pas de réunion ?
La rencontre entre Carney de la Banque d’Angleterre (ou ses lieutenants) et Ortega et Zerpa du Venezuela a-t-elle eu lieu, soit le vendredi 7 décembre, soit à une date ultérieure? La réponse simple est que personne ne le sait. Depuis le compte-rendu de la réunion prévue le 6 décembre, il n’ya eu aucune nouvelle couverture médiatique de ce sujet. Le 6 décembre, le journal City AM du district financier londonien City AM indiquait que le gouverneur adjoint de la Banque d'Angleterre, Sir David Ramsden, assisterait à la réunion. On ne sait pas si Carney sera présent. "
Sir Ramsden a-t-il assisté à la réunion? Les hauts fonctionnaires du Trésor britannique, tels que le chancelier de l'Échiquier Philip Hammond, ont-ils assisté à la réunion? Y a-t-il même eu une réunion et Ortega et Zerpa sont-ils allés ou non à Londres? La réponse au moment de l'écriture est que personne ne semble savoir?
Outre l'intérêt public et l'intérêt général des médias, de nombreuses banques centrales du monde entier (plus de 70) stockent leur or dans les coffres de la Banque d'Angleterre dans le cadre d'accords de stockage, de sorte que ces banques seront probablement très intéressées à savoir l'issue de cette étrange saga de 14 tonnes d'or dans les limbes à Londres. Si la Banque d'Angleterre tenait compte des préoccupations de Borges / Vecchio / Lewer / Trésor américain et continuait à geler l'or vénézuélien, elle devrait alors appliquer un critère cohérent et examiner certaines des autres banques moins salubres que le gouvernement. clients du monde entier qui stocke des lingots d’or pour le compte de. Cela ne devrait-il pas ?
Dans son article du 3 décembre, David Adams soulève un point intéressant: Maduro entame un nouveau mandat le 10 janvier et, en reportant le transfert de l'or à une date ultérieure, il serait plus facile pour la Banque d'Angleterre de conserver les 14 tonnes d'or. sur la base de «l'illégitimité du gouvernement».
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Extrait de l'article d'Univision sur Borges et Vecchio, 3 décembre. Source ici.
Quoi qu’il advienne ensuite, ce drame vénézuélien à la Banque d’Angleterre est loin d’être terminé, et l’or pourrait encore devenir un symbole sur le front qui semble se former parmi les puissances influentes du monde, avec les États-Unis et le Royaume-Uni, et les nations qui accumulent de l'or en Chine, en Russie et en Turquie, de l'autre. City AM rapporte que "Carney a discuté du transfert d'or [vénézuélien] lors d'une réunion au sommet du G20 en Argentine".
RépondreSupprimerPoutine et Maduro se rencontrent à Moscou début décembre
Après le même sommet du G20, le président turc Erdogan s'est rendu à Caracas, la capitale vénézuélienne, et a «réprimé les sanctions contre le Venezuela», selon Reuters, affirmant que «les problèmes politiques ne peuvent pas être résolus en punissant une nation entière ... commerce international."
Récemment, la Chine a accepté de prêter 5 milliards de dollars au Venezuela lors d’une visite effectuée par le brésilien Maduro à Beijing en septembre. Après une visite de Maduro à Moscou plus tôt ce mois-ci, au cours de laquelle la Russie a conclu un accord d’investissement de 6 milliards de dollars avec Caracas, la Russie a envoyé un bombardier militaire au Venezuela pour une nouvelle manifestation de soutien à Maduro.
Maintenant que le personnel de la Banque d’Angleterre est en fête et que beaucoup d’entre eux sont sur le point de partir pour les fêtes de Noël et du Nouvel An, il semble que les 14 tonnes d’or du Venezuela resteront tranquillement à Londres jusqu’au moins au mois de janvier, si ce n’est indéfiniment. Mais si le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, passe des nuits blanches, c’est un bon pari de suggérer que l’or du Venezuela est l’un des sujets qui le garde éveillé la nuit.
Cet article a été publié à l'origine sur le site Web BullionStar.com sous le même titre "L'or du Venezuela dans les limbes au beau milieu d'une lutte acharnée à la Banque d'Angleterre".
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-19/venezuelas-gold-limbo-amid-tug-war-bank-england-0
SupprimerIl n'y a pas à passer 107 ans dans des simagrée ! Le R-U n'A PLUS D'OR (pas plus que les USA), tout est parti à l'Est.
Le volume total de l'or extrait depuis l'antiquité représente un cube de 20,50 m d'arête. Et, chaque pays se dit de le posséder !!! HAHAHAHA !
Mortel: un quart de tous les panneaux solaires présentent un risque élevé ou grave
RépondreSupprimerVous avez le PV solaire ? Ne laissez pas les enfants jouer sur le toit
Souhaitez-vous un choc de 240 volts avec ça ?
En Australie, les installateurs fastueux volent le câblage et ne vissent pas les panneaux correctement. Près du quart des panneaux solaires posent un risque élevé ou élevé de «sécurité électrique». Comme il y a deux millions de foyers équipés de panneaux solaires, un demi-million de personnes vivent un problème réel.
Par sa mauvaise gestion et ses programmes délirants de changement climatique, le gouvernement a entièrement et artificiellement créé la bulle solaire. Espérons que les gens ne mourront pas comme dans la bulle Pink Batts. À l'époque, afin de mettre un terme aux sécheresses et aux tempêtes et de sauver le pays de la crise financière mondiale, le gouvernement a décidé de se dépêcher d'isoler les maisons. La bulle artificielle a amené des travailleurs mal formés et quatre personnes sont décédées. Kevin Rudd (ancien Premier ministre) dit qu’il ne l’aurait pas fait s’il connaissait les risques. Mais bon, en 2010, personne n’aurait compris que les bulles artificielles de l’industrie gouvernementale ne se mélangeraient pas bien avec 240 Volts. Sûr.
L’avancée australienne semble consister à mettre un terme aux décès inutiles sous les toits et à commencer à les maîtriser.
Avertissement de décès sur des installations de panneaux solaires
Simon Benson, l'Australien
Le ministre de l'Énergie, Angus Taylor, a écrit à ses homologues de l'Etat pour l'informer que des installations de panneaux solaires non sécuritaires ou en deçà des normes pourraient mettre la vie en danger, un rapport d'audit national révélant que près du quart des unités de toits inspectées présentaient un risque grave ou élevé. .
L’audit national de l’objectif relatif aux énergies renouvelables a révélé qu’entre 21 et 26% des petites installations solaires sur les toits inspectées chaque année depuis 2011 présentaient un câblage défectueux et des panneaux non sécurisés. Certains présentaient un «risque grave» lorsque le câblage était exposé. Cela exigeait que les unités soient immédiatement arrêtées et réparées.
Au total, 35 installateurs agréés ont été prévenus qu'ils risquaient d'être suspendus…
Il y a tellement de requins précoces dans l'industrie des installations solaires que les panneaux défectueux qu'ils laissent derrière sont appelés «orphelins solaires».
Opérateurs aériens installant des panneaux solaires défectueux
Sam Buckingham-Jones, l'Australien
Rod Grono consacre environ la moitié de son temps à réparer des panneaux solaires bon marché et mal installés dans l’ouest de Sydney. Les «orphelins solaires», comme l’appelle le patron de Western Sydney Solar, âgé de 50 ans, sont installés rapidement par les entreprises qui se plient, changent de nom ou ne répondent tout simplement pas aux appels ou aux plaintes.
«Je reçois beaucoup d'appels. Beaucoup d'entre eux sont des orphelins solaires. Les requins sont entrés, ils l’ont écrasé. Pas de design, pas de soin, un travail médiocre », a déclaré M. Grono. «Il y a des milliers qui ont fermé. Ils changent de nom, ils ont un directeur différent. La moitié de mes clients sont des orphelins solaires. Les entreprises sont peut-être présentes, mais elles ne répondent pas. "
Je connais une équipe qui installe des panneaux depuis dix ans et qui ont l’intention de partir parce que les marges sont minces et qu’elles ne peuvent rivaliser avec des équipes moins chères qui ne survivront pas assez longtemps pour honorer leurs garanties. Plus de plaisir à venir en Australie.
Si le chat a disparu, vérifiez le toit (et éteignez-le).
h / t tardivement à Pat
http://joannenova.com.au/2018/12/deadly-a-quarter-of-all-solar-panels-pose-high-or-severe-risk/#more-61977
SupprimerDans les années 50 les 'cages à lapins' ont fait leur apparition dans l'urbanisme qui consistait à construire des cubes (appelés HLM) d'une laideur insoutenable. Mais, subsistaient encore des maisons couvertes de tuiles ou d'ardoises !!
C'est comme çà que les jolis toits qui faisaient la beauté d'un village ont disparu au profit de la politique nazional socialiste de les recouvrir en noir ! Les 'panneaux solaires' de merde étaient arrivés !
En toute discrétion, Toblerone est également devenu "halal"
RépondreSupprimer19 DÉCEMBRE 2018
Arnaud Lefebvre
La célèbre marque de chocolat suisse est récemment devenue "halal", rapporte le journal SonntagsBlick.
Propriété de l'entreprise américaine Mondelez, le Toblerone est fabriqué depuis avril 2018 conformément aux lois islamiques. Cela ne veut pas dire que la recette du produit a changé, mais bien que les ingrédients et le procédé de fabrication de l'usine située près de la ville suisse de Berne ont été ajustés.
"La recette originale du Toblerone est restée inchangée", a expliqué au quotidien un porte-parole de l'entreprise. Toutefois, le processus de production du Toblerone est maintenant contrôle régulièrement par des imams et tout contact avec du porc ou de l'alcool doit être évité. L'alcool est parfois utilisé pour nettoyer les couteaux et autres matériaux.
Halal et haram
Mondelez n'est pas la seule entreprise à fabriquer des produits “halal”. Halal est un terme islamique qui indique ce qui est autorisé pour les musulmans. A côté du terme halal qui désigne ce qui est prescrit par la loi islamique, il existe aussi le terme haram qui se réfère à ce qui est interdit, illégal, illicite, interdit, inviolable et sacré dans le monde musulman. Ce terme s'applique aux actions et aux produits.
L'année dernière, le célèbre chocolatier belge Godiva, racheté par le groupe truc Ülker , a cessé de produire des pralines à l'alcool. Le groupe Nestlé possède désormais dans le monde plus de 150 usines qui ne produisent que des produits “halal”.
Comment une minorité impose-t-elle sa volonté à la majorité ?
Le développement de produits halal, conformes à la législation islamique, est devenu une priorité ces dernières années. On l'observe particulièrement dans les restaurants et dans les fast-food. Ainsi, les minorités semblent pouvoir imposer leurs exigences à la majorité, à condition que ces dernières ne soient pas trop coûteuses. Par exemple, les non-végétariens mangeront facilement un repas végétarien, mais pas l'inverse.
En Belgique, un bon exemple de la hausse de la fabrication halal des produits est celui du sirop de Liège. En 2015, la certification halal du sirop de Liège produit par l'entreprise Meurens avait suscité une vaste polémique et une vague de propos haineux. Cette certification était nécessaire pour que Meurens puisse bénéficier d'une commande d'un client britannique souhaitant exporter le sirop de Liège en Malaisie. Toutefois, l'élaboration du sirop de Liège n'avait pas été modifiée car elle respectait déjà les exigences halal.
La domination des voitures automatiques aux Etats-Unis
De la même façon, le phénomène décrit antérieurement explique également la domination des voitures aux Etats-Unis. Celles-ci se sont imposées, non pas parce que la majorité préférait conduire une voiture avec une transmission automatique plutôt que manuelle, mais bien parce que quelqu'un pouvant conduire une voiture avec une transmission manuelle peut également conduire une voiture avec une transmission automatique, et non l'inverse.
https://fr.express.live/2018/12/19/en-toute-discretion-toblerone-est-egalement-devenu-halal
SupprimerPrimo, qu'est-ce que le 'halal' ? C'est tout simplement une phrase dite avant de tuer un animal ou d'assassiner une personne. Cette viande n'est donc ni meilleure ni plus mauvaise. Mais (heureusement) rien ne dit que la personne qui travaille en abattoir ou maintenant chocolaterie n'ait pas dit "T'es qu'un gros tas de merde !" HAHAHAHA !
"Il y a des corps sur chaque siège" - Des milliers de personnes bloquées à l'aéroport de Gatwick alors que les drones mystérieux imposent des annulations massives
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 20/12/2018 - 06:32
Dans un aperçu effrayant des perturbations qui pourraient bientôt devenir monnaie courante dans notre avenir imprégné de technologie, l'aéroport de Gatwick à Londres a été fermé pendant plus de 13 heures en raison de drones mystérieux survolant la clôture du périmètre et à l'endroit où la piste opère. Des centaines de vols ont été annulés, laissant des dizaines de milliers de voyageurs bloqués dans les terminaux de "congélation" de l'aéroport pendant la période des fêtes, selon les informations parvenues à la BBC et au Guardian.
Selon le Guardian, qui assure la couverture en direct de la perturbation en cours, Chris Woodroofe, le responsable de l'exploitation de l'aéroport, s'est excusé auprès des passagers et a expliqué lors d'une interview avec Sky News que les drones ne seraient pas abattus en raison des risques liés aux balles perdues. La police demande l'aide du public pour retrouver les opérateurs de drones.
La police a fouillé le périmètre de l'aéroport pour trouver les opérateurs des drones, qui pourraient être condamnés à cinq ans de prison s'ils sont appréhendés. L'incident a déclenché une conversation au Royaume-Uni sur l'imposition d'une réglementation plus stricte aux exploitants de drones (et de sanctions plus sévères pour toute personne utilisant des drones sans l'autorisation appropriée).
"Pendant que je parle, un drone se trouve sur mon aérodrome," a déclaré Woodroofe.
Tandis que deux drones avaient terrorisé la piste pendant la majeure partie de mercredi soir. La BBC a annoncé que 110 000 passagers devaient utiliser l'aéroport jeudi, empruntant 760 vols. Gatwick attendait un nombre record de passagers pendant la saison des vacances.
La piste a été brièvement rouverte vers 3 heures du matin, heure de Londres (22 heures HE), mais a été rapidement fermée lorsque les drones sont revenus. L'aéroport a déclaré, mais a été contraint de fermer à nouveau environ 45 minutes plus tard, après "une nouvelle observation de drones".
La fermeture - qui en est maintenant à sa 13e heure - a été prolongée jusqu'au moins à midi, heure de Londres (7h00 HE).
Le gouvernement a critiqué les opérateurs de drones comme étant "incroyablement irresponsables":
Gatwick, qui est le deuxième aéroport de Londres après Heathrow, recommande aux passagers de ne pas se rendre à l'aéroport sans s'être préalablement renseignés auprès de leur compagnie aérienne. Bien que les motivations des opérateurs de drones restent mystérieuses, la police de Sussex a déclaré: "Rien ne permet de penser qu'il s'agisse d'un acte terroriste."
Il est illégal de piloter un drone à moins d'un kilomètre d'un aéroport. De nouveaux avions sont redirigés vers d’autres aéroports britanniques, notamment Heathrow, et certains ont été déviés jusqu’à Amsterdam et Paris.
Les incidents impliquant des drones ont augmenté:
Un passager qui a parlé à la BBC et au Guardian a décrit une scène chaotique dans l'aérogare, où des femmes enceintes dormaient par terre.
Andri Kyprianou, de Chypre, en visite à Londres, a déclaré: "Il y avait des femmes enceintes dont une dormait par terre.
Il y avait des gens avec de petits bébés ici pendant la nuit, nous avons vu des personnes handicapées sur des chaises. Il y avait de jeunes enfants qui dormaient par terre. "
RépondreSupprimerLes annulations ont semé la confusion parmi les passagers, qui ont du mal à savoir si leurs vols ont été reprogrammés ou déplacés vers des aéroports différents.
Arthur Serbejs, 22 ans, et Domante Balciuniate, 21 ans, ouvriers d'usine de Hastings, étaient assis par terre près d'une salle de prière, approchant de leur 16e heure d'attente pour un vol à destination de Barcelone.
"Nous sommes arrivés vers 18 heures hier et nous allons être ici jusqu'à 19 heures", a déclaré Serbejs. "Hier à 21 heures, nous étions dans l'avion pendant quatre heures. Ils ont éteint les lumières et tout est sur le point de partir."
"Mais nous étions toujours assis là", a ajouté Balciunate. Serbejs a déclaré qu'il s'était endormi alors que l'avion était assis sur le tablier, dans l'espoir de se réveiller en Espagne, "et je me suis réveillé et nous n'avions pas bougé."
Finalement, ils ont été retirés du vol et se sont vu proposer un hôtel à Brighton, ce qu’ils ont refusé car ils habitaient à proximité. On leur a dit qu'ils recevraient un courrier électronique avec une coche pour un autre appartement, mais aucun n'est venu. "Nous avons fait la queue pendant trois heures pour une conversation de 30 secondes en disant" votre vol a déjà été transféré il y a de nombreuses heures ", mais nous ne le savions pas", a déclaré Serbejs.
"C’est fou, c’est ma pire expérience à l’aéroport."
Plusieurs techniques ont été mises au point pour les drones non sécurisants, y compris cette solution étonnamment basse, mise au point par la police néerlandaise:
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-20/there-are-bodies-every-seat-thousands-stranded-gatwick-airport-mysterious-drones
SupprimerNon le mur ne protégera pas les États-Unis des livraisons de drogues et d'armes, les drones ont pris le pouvoir !
La pouvoir d'empêcher le décollage de TOUT avion ou hélicoptère !
Et en plus (PARCE QUE CE N'EST PAS FINI !!), les drones (autorisés à voler PAR la la dictature en place, peuvent larguer des grenades à 1000 ou 1500 pieds de haut ! HAHAHAHAHA ! qui exploseront en l'air à 10 ou 15 m du sol !
Bêh ouais ! C'est comme les 'réfugiés climatique de mes deux' ! Quand çà va péter t'as plus intérêt à être là !!!
Le Royaume-Uni interdit les annonces mettant en vedette des femmes stéréotypées stupides et des hommes moroniques
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 20/12/2018 - 04:15
Le Royaume-Uni est sur le point d'interdire les publicités décrivant des stéréotypes sexuels négatifs, telles que les femmes qui ne peuvent pas garer une voiture ou les hommes qui ne savent pas comment changer une couche, selon Reuters.
Selon la Advertising Standards Authority (ASA) britannique, certains stéréotypes sont préjudiciables, en particulier ceux qui minimisent les hommes dans l’exécution de tâches traditionnellement féminines ou qui suggèrent que les jeunes mères doivent avant tout veiller à bien paraître par rapport à leur bien-être émotionnel.
"Notre nouvelle règle appelle le temps sur les stéréotypes qui retiennent les gens et la société", a déclaré Shahriar Coupal, directeur des comités de la publicité (CAP), l'organe qui définit les directives de publicité suivies par l'ASA.
A partir de juin prochain, les publicités présentant des rôles de genre susceptibles d’offenser ou de nuire seront supprimées, a-t-il ajouté.
L'interdiction s'appliquera aux médias audiovisuels et non audiovisuels, y compris la télévision, la radio, les journaux et les médias sociaux.
Il fait suite à une campagne pour des produits de perte de poids mettant en vedette un modèle en bikini portant le slogan "Êtes-vous prêt pour le corps à la plage ?" qui a attiré un barrage de plaintes.
En novembre, le détaillant Marks and Spencer a été pris pour cible par une vitrine juxtaposant des hommes en costume et des femmes en culottes, alors que deux mois plus tôt, un chien de garde de la publicité suédoise déclarait qu'un mème viral montrant un homme regardant une autre femme était sexiste. -Reuters
"Les stéréotypes de genre préjudiciables dans les publicités contribuent à la façon dont les gens se voient", a déclaré Ella Smillie, responsable du projet sur les stéréotypes de genre de CAP, qui a ajouté: "Ils peuvent empêcher certaines personnes de réaliser leur potentiel ou d'aspirer à certains emplois ou industries, et l'économie. "
"Nos dernières recherches sur la confiance du public ont montré que le public apprécie particulièrement la publicité lorsqu'elle adopte une position progressiste", a déclaré Stephen Woodford, responsable de la Advertising Association du Royaume-Uni.
Comme prévu, le mouvement a été applaudi par les groupes de défense des droits des femmes.
"Notre société et notre économie paient un lourd tribut aux contraintes que nous imposons aux garçons et aux filles dès nos premiers moments de la vie. Cela doit changer", a déclaré Sam Smethers, PDG de la Fawcett Society.
D'autres n'étaient pas si sûrs des nouvelles règles.
"Quelle est la suite, le politiquement correct pour nos émissions de comédie!", A tweeté le législateur conservateur Andrea Jenkyns.
Il y a deux semaines, un humoriste et défenseur de la liberté d'expression, Konstantin Kisin, s'est retiré d'un événement à l'Université de Londres après lui avoir envoyé un "accord de comportement" qui lui interdisait de discuter de tout sujet non "respectueux et gentil".
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-19/uk-bans-ads-featuring-stereotypically-stupid-women-and-moronic-men
La dictature monarchique d'outre-Manche se raidit d'une branlette à faire enflammer le premier manche à balai qui serait présenté vertical aux accessoires de ménage !!! HAHAHAHAHA !
SupprimerElle voudrait dire que les hommes ne sont plus des hommes et les femmes ne sont plus de femmes mais des merdes comme les autres !! Désexés ! Circoncis ! Excisés ! Bref, des merdes sur pattes qui ne demanderaient qu'à se faire maître !!
Le Président brésilien élu juge «insupportable de vivre dans certains endroits en France»
RépondreSupprimer12:16 20.12.2018
La vie dans certains endroits en France est «insupportable» à cause des migrants, estime Jair Bolsonaro, Président élu du Brésil. Afin d’éviter cette situation dans son pays, il entend révoquer le Pacte de Marrakech signé par le gouvernement actuel.
Il est «insupportable de vivre dans certains endroits en France» à cause des migrants, a déclaré le Président brésilien élu, Jair Bolsonaro, lors d'un direct mardi soir, sur le réseau social Facebook.
«Tout le monde sait ce qu'il se passe en France. C'est simplement insupportable de vivre dans certains endroits en France», a-t-il lancé.
Il a indiqué que de nombreux migrants n'abandonnaient pas «leurs racines et [voulaient] faire valoir leur culture, leurs droits acquis et leurs privilèges».
«La France souffre à cause de cela, une partie de la population, une partie de l'armée, une partie des institutions commencent à se plaindre de cela. Nous ne voulons pas de cela pour le Brésil», a-t-il déclaré.
Le Président élu a fait part de son intention de «dénoncer et révoquer» le Pacte mondial sur les migrations de l'Onu, signé la semaine dernière à Marrakech par près de 160 pays, dont le Brésil représenté par son gouvernement actuel.
«Malheureusement, le Brésil, avec le ministre actuel des Affaires étrangères [Aloysio Nunes, ndlr], a signé le pacte. Nous ne sommes pas contre les immigrants, mais nous devons avoir des critères très rigoureux pour entrer au Brésil. Nous allons dénoncer et révoquer ce pacte sur l'immigration», a-t-il conclu.
Le conservateur Jair Bolsonaro, souvent qualifié de «Trump des Tropiques» en raison de ses idées politiques, a été officiellement déclaré le 28 octobre élu à la présidence du Brésil par le Tribunal supérieur électoral, ayant totalisé 55.13% des voix. Il sera investi de ses nouvelles fonctions le 1er janvier 2019.
Le Pacte mondial pour les migrations a été ratifié mercredi à une très forte majorité par l'Assemblée générale de l'Onu. Ce document vise en premier lieu à renforcer «la coopération relative aux migrations internationales sous tous leurs aspects». Le pacte n'est juridiquement pas contraignant, mais les pays qui l'ont rejeté ont fait valoir qu'ils voulaient conserver une gestion nationale des flux migratoires et qu'ils redoutaient l'utilisation du Pacte lors de recours devant la justice.
https://fr.sputniknews.com/international/201812201039370370-president-bresilien-elu-bolsonaro-france-migrants/
SupprimerA savoir QU'AUCUN pays signataires n'a eu d'élu pour le faire mais seulement des 'représentants' des supposés pays signataires ! Cela veut bien dire que le texte n'étant PAS approuvé par les 7 milliards d'habitants n'est qu'un papier torche-cul affiché aux merdias !
Les populations locales sont-elles vraiment hostiles à l'immigration ?
RépondreSupprimerLes populations veulent globalement moins d'immigrés, selon une étude américaine menée sur plusieurs continents. Mais il y a des exceptions marquantes, à l'instar de l'Espagne ou des Etats-Unis.
Avec la montée des populistes en Europe, qui réclament des frontières plus hermétiques et des priorités aux nationaux en matière d'emplois, on pourrait penser qu'une vague d’hostilité à l’immigration déferle sur l'Europe et sur d'autres continents. Or, il y a des exceptions marquantes et des subtilités, selon une étude menée dans 27 pays, sur plusieurs continents, par le Pew Research Center de Washington.
Sur l'ensemble des personnes interrogées, 45 % disent vouloir moins d'immigration. Les pays qui manifestent le plus fort rejet sont la Grèce (82 %), la Hongrie (72 %), l'Italie (71 %), Israël (73 %) ou l'Argentine (61 %).
"Ce sont des pays qui ont été confrontés à des événements aigus, qui ont été très mal gouvernés… et qui en conséquence réagissent de façon très hostile aux migrations", analyse dans l'émission Tout un Monde Antoine Pecoud, professeur de sociologie et spécialiste des politiques internationales en matière de migration, à l'Université de Paris 13.
La Grèce, la Hongrie ou l'Argentine sont des pays qui ont été confrontés à des événements aigus, qui ont été très mal gouvernés… et qui en conséquence réagissent de façon très hostile aux migrations.
Antoine Pecoud, professeur de sociologie et spécialiste des politiques internationales en matière de migration, à l'Université de Paris 13.
L’explication de ce rejet de l'immigration peut aussi, dans certains cas, être plus spécifique à un pays, liée à l’histoire, par exemple en Israël. "C'est une société qui a été confrontée à toutes sortes de flux migratoires un peu complexes (…) et en même temps c’est un pays assez inégalitaire. Les pays inégalitaires sont ceux qui cherchent des boucs émissaires, dans l’immigration", selon Antoine Peccoud.
Aux Etats-Unis, l'image des migrants "s'améliore"
En revanche, la grande surprise de cette étude provient des Etats-Unis. A priori, l'Amérique de Donald Trump paraît plutôt hostile à l'immigration. Mais les Américains sont en réalité partagés: la moitié veut un statut quo, un quart veut moins d'immigration et le dernier quart en veut plus. Les Etats-Unis sont ainsi à la troisième place sur le podium des pays qui réclament davantage d'immigration.
Philip Connor, l'un des chercheurs du Pew Research Center, évoque "une tendance à l'amélioration de l'image des migrants" aux Etats-Unis "depuis les années 1990".
Aux Etats-Unis comme dans d'autres pays, il y aurait donc une forme de décalage entre les discours des partis politiques sur l'immigration, ou les analyses des médias, et les réelles préoccupations des gens, qui ne seraient pas autant fixées sur la migration qu'on pourrait le penser.
"Les sujets migratoires ne sont pas ceux qui remontent spontanément. Si on pense aux gilets jaunes en France, ces dernières semaines, la question migratoire était absente de leurs revendications, qui sont plutôt socio-économiques, alors qu'on aurait pu penser que c'était un électorat qui pouvait être sensible aux thèses de la droite populiste", précise encore Antoine Peccoud.
Il y a même des pays où une bonne partie de la population se prononce pour davantage d'immigration, par exemple l’Espagne. Un Espagnol sur trois souhaiterait accueillir davantage d’immigrés, une exception en Europe. La correspondante de la RTS en Espagne, Valérie Demon souligne toutefois qu'il faut "relativiser ce tableau", en raison de "l'irruption d'un parti d'extrême-droite en Espagne, pour la première fois, lors des dernières élections régionales en Andalousie".
RépondreSupprimer"La crise catalane y est pour beaucoup, mais l'immigration entre aussi en jeu. Ce parti a réalisé de très hauts scores dans des villes où l'immigration est élevée. (...) Il faudra voir si cette nouvelle formation continue son ascension, et si elle utilise l'immigration comme arme politique", souligne-t-elle.
Au Japon, 23 % de la population demande davantage de migrants, contre 13 % qui en voudrait moins, et 58 % qui se prononce pour le statu quo. Le pays est très homogène sur le plan culturel, avec une faible histoire de l'immigration... Mais c'est un pays qui vieillit et où les gens font peu d'enfants: l'opinion selon laquelle, tôt ou tard, il faudra avoir recours à l'immigration aurait donc le vent en poupe.
Blandine Levite/jvia
https://www.rts.ch/info/monde/10084829-les-populations-locales-sont-elles-vraiment-hostiles-a-l-immigration-.html
(...) "Ce sont des pays qui ont été confrontés à des événements aigus, qui ont été très mal gouvernés… et qui en conséquence réagissent de façon très hostile aux migrations", analyse dans l'émission Tout un Monde Antoine Pecoud, professeur de sociologie et spécialiste des politiques internationales en matière de migration, à l'Université de Paris 13. (...)
SupprimerCe sont des pays qui ont été confrontés à des événements aigus, qui ont été très mal gouvernés ...Y compris la Suisse !
Ce qui veut bien dire que ce 'professeur' ne connait rien à rien et est complètement con de ne vouloir s'imaginer avec 90 % d'immigrés dans sa ville où les 'réfugiès climatique' prendront le pouvoir et tueront TOUS les habitants qui n'ont pas leur religion !
Les propriétaires dotés de panneaux solaires «donnent gratuitement leur surplus d'électricité au réseau» après la fermeture du programme de paiement de l'énergie par le gouvernement
RépondreSupprimerLe département des affaires a annoncé la fermeture du «tarif d'exportation»
Actuellement, il paie les ménages pour l'excédent d'énergie qui est réinjecté dans le réseau
Les opposants ont averti que la suppression du tarif obligerait les propriétaires qui installent des panneaux à partir d'avril à céder gratuitement leur pouvoir aux entreprises énergétiques.
Par JOE MIDDLETON
le 19 décembre 2018
Le gouvernement est sur le point de fermer un programme de paiement de l'énergie qui permettra aux maisons équipées de panneaux solaires de donner gratuitement leur surplus d'énergie au réseau, provoquant l'indignation des militants.
Le département des affaires, de l'énergie et de la stratégie industrielle (Beis) a annoncé la clôture du régime des "tarifs d'exportation".
Il paie les ménages pour l'excédent d'énergie réinjecté dans le réseau, destiné aux nouveaux générateurs solaires, à partir d'avril prochain.
La fermeture du programme a suscité la fureur des militants du mouvement vert auprès du Dr Doug Parr, responsable scientifique de Greenpeace UK, le qualifiant de "tout simplement pervers".
Le département Business (Beis) a annoncé la fermeture du système de "tarif à l'exportation", qui permet de payer les ménages pour le surplus d'électricité réinjecté dans le réseau
Le gouvernement est également en train de fermer le système de "tarif de rachat", qui consiste à payer les énergies renouvelables à petite échelle telles que les panneaux solaires sur les maisons pour la production d'énergie propre qu'elles produisent, aux nouvelles installations dans le cadre d'un mouvement attendu par l'industrie.
La décision de fermer les tarifs d’exportation intervient malgré l’opposition de la majorité des répondants à une consultation.
Les opposants ont averti que la suppression du tarif laisserait aux propriétaires qui installent des panneaux d’avril l’obligation de céder gratuitement leur pouvoir aux entreprises énergétiques.
Le changement n'affectera pas les 800 000 foyers déjà équipés de panneaux solaires.
Un remplacement du tarif à l'exportation est prévu mais, avant de commencer à fonctionner, les maisons utilisant la technologie verte devront céder leur pouvoir.
Chris Hewett, directeur général de la Solar Trade Association, a déclaré: 'Beis a pris cette décision avant même qu'elle ne définisse comment elle va surmonter une défaillance fondamentale du marché, qui risque de voir de nouvelles maisons solaires relier gratuitement le réseau au réseau électrique. Avril.
"Au minimum, le gouvernement devrait conserver le tarif à l'exportation jusqu'à la mise en œuvre d'un autre moyen efficace de rémunérer équitablement l'énergie solaire."
Il a ajouté que cette mesure ne permettrait à personne d'économiser de l'argent, car le tarif d'exportation n'était pas une subvention, car l'électricité était revendue aux consommateurs.
Et il a averti que cette annonce pourrait nuire davantage à la confiance du marché dans le secteur de l'énergie solaire, qui est également touché par la fin des tarifs de rachat.
Frank Gordon, responsable de la politique à la Renewable Energy Association, a déclaré: 'La décision de supprimer complètement le tarif d'exportation et le tarif de production, sans surprise, crée un véritable hiatus sur le marché et l'absence d'un inquiétant.
RépondreSupprimerUn remplacement du tarif à l'exportation est prévu mais, avant de lancer l'installation dans les foyers, la technologie verte devra céder son pouvoir
«Le gouvernement doit travailler rapidement pour mener des consultations, établir et mettre en œuvre un nouveau programme afin d'éviter de retarder de manière significative le déploiement indispensable d'énergies renouvelables décentralisées susceptible de se produire après le 31 mars 2019, ce qui aura des répercussions sur l'emploi et la poursuite des investissements. '
Les écologistes ont également critiqué la décision de mettre fin aux droits d'exportation.
Le Dr Doug Parr, responsable scientifique de Greenpeace UK, a déclaré: «Les gens qui installent des panneaux solaires sur leurs toits font leur part pour nous sauver de l'effondrement du climat.
"Mais au lieu de les récompenser, les ministres veulent que les ménages remettent leur surplus d'électricité aux grandes entreprises énergétiques, qui peuvent ensuite nous le vendre."
Il a déclaré que les prix de l'énergie solaire avaient chuté et que l'industrie était sur le point de ne plus avoir de subventions.
"Les ministres devraient chercher des moyens d'aider cette technologie abordable à se développer au lieu de mettre les clés en main tout en signant des chèques en blanc pour l'industrie nucléaire", a-t-il déclaré.
La décision de fermer les tarifs d'exportation intervient malgré l'opposition de la majorité des répondants à une consultation
Un système d’énergie solaire coûtant environ 5 000 £ pour installer le tarif d’exportation sur une centrale solaire de 4 km pourrait rapporter environ 89 £ par an - soit 1 780 £ sur 20 ans.
Il était fixé à environ 5 pence par kilowatt d’heure, soit environ un tiers du prix de détail de l’électricité et à un prix de gros d’environ 6 pence.
Leonie Greene de la Solar Trade Association a déclaré: 'Pour un système solaire volumineux de 4 kW dans le sud de l'Angleterre exportant 50 % de son énergie vers le réseau, la fermeture du tarif d'exportation l'année prochaine représente la meilleure part de 100 £ économies d'énergie solaire par an.
«Il s'agit d'une précieuse énergie zéro carbone que les gens se sont donné la peine de produire et qui sera consommée par leurs voisins, qui paieront un fournisseur d'électricité autour de 15 pence / kWh pour leur électricité alors qu'il est peu probable qu'ils obtiennent un sou.
«C’est carrément faux et les nouveaux propriétaires de maisons solaires resteront les seuls à ne pas être payés pour alimenter le système électrique. En effet, ils vont subventionner de grandes entreprises énergétiques. »
Un porte-parole du ministère des Affaires, de l'Énergie et de la Stratégie industrielle a déclaré: "Il est juste de protéger les consommateurs et d'ajuster les incitations lorsque les coûts diminuent. L'énergie solaire a diminué de 80 % et nous nous consulterons prochainement sur un futur cadre pour la production d'énergie renouvelable à petite échelle. '
RépondreSupprimerLe ministère a également annoncé la fermeture du programme de «tarif de rachat» aux nouveaux ménages solaires, qui verse aux ménages l’énergie propre qu’ils produisent. Ce mouvement était attendu par l'industrie.
https://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-6508557/Solar-power-payments-SCRAPPED.html
Supprimer(...) Les opposants ont averti que la suppression du tarif obligerait les propriétaires qui installent des panneaux à partir d'avril à céder gratuitement leur pouvoir aux entreprises énergétiques. (...)
HAHAHAHAHAHA ! Enculés jusqu'au bout ! HAHAHAHAHA !
A savoir que ces 'exportations' sont des pics entre nuages qui doivent être aplatis aux voltages sur les fils et, coûtent plus cher que n'importe quel autre fournisseur d'énergie !! HAHAHAHAHAHA !
DICTATURE NAZIONAL SOCIALISTE SOUS OBAMASQUEÔHÉÔHÉ :
RépondreSupprimerUSA - BAMBI, PAIN SEC ET EAU, MESSE OBLIGATOIRE: LA JUSTICE EN PLEIN DÉLIRE
Très inspirée par le «œil pour œil, dent pour dent», la justice américaine inflige régulièrement des peines étranges ou louches. Notre best of.
20.12.2018, 11h30
La nouvelle a fait le tour de la planète en début de semaine: un braconnier du Missouri a écopé d’un an de prison. Peine assortie de l’obligation de regarder «Bambi» en intégralité une fois par mois...
Étrange mais loin d’être unique. Différents médias rappellent que la justice américaine se montre régulièrement très créative dans ses sanctions. Avec des punitions bizarres qui s’ajoutent à la sentence ou qui sont proposées pour qu’elle soit réduite. Exemples.
En 2011, dans l’Oklahoma, un jeune homme de 17 ans avait provoqué un accident de la route qui avait entraîné le décès de son ami de 16 ans. Il a écopé de multiples peines dont l’obligation de fréquenter la messe durant… dix ans.
Une peine au poil
Dans l’Utah, une ado de 13 ans s’est retrouvée devant la justice en 2012 pour s’en être pris à une fillette de 3 ans et lui avoir coupé les cheveux de force. Durant l’audience, le juge a ordonné à la mère de la jeune accusée de se saisir de ciseaux et de lui couper sa queue-de-cheval.
En 2001, dans l’Ohio, deux hommes ont lancé des bouteilles sur la voiture d’une conductrice en l’insultant. Le juge leur a laissé le choix: 60 jours en taule ou déambuler une heure durant en ville habillés en femme, perruque et maquillage compris. Ils ont choisi de ne pas aller en prison.
L'affameuse affamée
Au Texas, en 2005, une femme a été condamnée pour avoir affamé des chevaux. Elle a écopé de 30 jours de prison dont trois… au pain et à l’eau. «C’est déjà plus que les chevaux», avait déclaré le juge.
Au Texas toujours, mais en 2010, un couple était jugé pour avoir détourné plus de 250 000 dollars d’un fond destiné à des victimes de crime. Le juge a ordonné qu’ils portent une pancarte indiquant «Je suis un voleur» dans un quartier très fréquenté de Houston. Et pas qu’une fois: le couple a dû subir cette humiliation pendant cinq heures de suite, une fois par semaine, durant six ans!
Seule dans la forêt
Dans l’Ohio, en 2005, une femme avait abandonné 35 chatons dans un parc public. Pour réfléchir à son acte, elle a été condamnée à passer une nuit seule en forêt, sans tente ni nourriture. Il s’agissait d’une décision du juge Michael Cicconetti, célèbre aux États-Unis pour ses peines pleines de créativités.
Le même, il y a deux ans, avait affaire à une femme qui, après 48 kilomètres en taxi, avait filé sans payer. Il lui a ordonné de marcher 48 kilomètres.
Quatre heures en poulet
En 2007 Cicconetti, toujours lui, a condamné trois hommes en délicatesse avec la loi sur la prostitution à passer quatre heures déguisés en poulets jaunes vifs. Avec une pancarte indiquant «No Chicken Ranch» dans notre ville. Il s’agit d’une allusion à une célèbre maison close du Nevada nommée «World Famous Chicken Ranch». Et surtout d’une belle humiliation publique. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/monde/bambi-pain-sec-eau-messe-obligatoire-justice-plein-delire/story/23961260
La croisade contre le maïs Mon810 : tout simplement ridicule
RépondreSupprimerle 20 décembre 2018
Je voudrais faire ici un commentaire au sujet de l’article de Nathalie MP paru sur le site Contrepoints relatif aux OGMs (lien en fin de billet). Il y a maintenant plus de 25 ans une collègue du Laboratoire de Transgénèse végétale du centre de recherches de Rhône-Poulenc Agro me sollicita pour purifier des quantités importantes d’une nitrilase, un enzyme dont la surexpression avait été induite dans des plantes, je crois me souvenir qu’il s’agissait d’épinards. Cet enzyme était reconnu pour couper un groupement chimique nitrile d’un herbicide nouvellement découvert dans le Centre et donc s’il était surexprimé dans une plante il allait rendre la plante insensible à l’herbicide. Cette cadre de recherche de haut niveau connaissait parfaitement son domaine de haute coûture sur l’ADN avec les moyens expérimentaux de l’époque mais purifier une protéine lui semblait relever de l’alchimie sinon de la sorcellerie. En effet, il faut avoir acquis une expérience particulièrement diversifiée pour purifier une protéine et à plus forte raison un enzyme qui doit présenter aussi une activité spécifique satisfaisante en fin de processus de purification, ce qui constitue parfois un véritable défi. Pour les curieux je ne citerai qu’un seul exemple : pourquoi m’a-t-il fallu réussir à purifier un enzyme particulier dans la seule condition qu’il fallait incorporer au moins 30 % de glycérol en volume dans toutes les solutions que j’utilisais ? Il n’y avait rien d’intuitif pour en arriver à ce choix.
Mais revenons à nos moutons, compte tenu du taux de surexpression de cet enzyme dans la plante le protocole devait pouvoir permettre l’obtention de plusieurs grammes de protéine homogène et si possible active. Le but final était de supplémenter la nourriture de rats et de souris avec celle-ci pour atteindre l’équivalent d’environ 1 kg d’épinards par jour et par rat (ou par souris mais un peu moins tout de même) en termes de nitrilase. Cette expérimentation faisait partie du protocole complexe pour constituer le dossier de demande d’autorisation de mise sur le marché de la molécule herbicide.
J’ignore si Monsanto, tant décrié par des écologistes politiques qui n’y connaissent strictement rien, a mené à bien de tels protocoles pour son maïs transgénique résistant au glyphosate – le glyphosate étant également la bête noire de ces mêmes écologistes – mais il est hautement probable qu’ils ont suivi ce type d’approche exigé par les régulateurs tant aux USA, qu’au Japon ou en Europe. Pour rappel, le maïs Mon810 est génétiquement modifié pour devenir résistant au glyphosate par surexpression de l’enzyme cible, l’EPSP-synthase. Cet enzyme existe dans toutes les plantes, y compris la laitue, et n’est qu’une vulgaire protéine comme tant d’autres et pour moi qui suis un buveur de lait compulsif elle n’est pas très différente de la lactalbumine. Bref, le débat contre le maïs Mon810 est, à ce niveau je dirai constitutif, un faux débat qui fait ressortir, pour un scientifique au fait du problème, l’incroyable mauvaise foi de ces écologistes qui prétendent, droits dans leurs bottes, être en possession d’un savoir suprême relatif à des sujets extrêmement pointus les autorisant à exiger l’interdiction par les politiciens de ces plantes génétiquement modifiées.
Il y a cependant un petit souci qui n’en est d’ailleurs plus un et que ces mêmes écologistes éludent soigneusement quand ils incriminent faussement des semenciers comme Monsanto ou Pioneer mais il y en a d’autres en France comme Limagrain et en Europe également. Ils font un amalgame intolérable entre la modification génétique et les semences. ces deux thématiques n’ont strictement aucun lien entre elles. L’une des activités les plus lucratives des semenciers, dont Monsanto, est de produire des hybrides dits F1 à haut rendement dans des parcelles dédiées et le Mon810 n’est pas commercialisé en tant que tel mais seulement comme hybride F1. Si l’agriculteur met de côté des semences pour les semer l’année suivante, croyant qu’il aura économisé quelque argent il sera douloureusement déçu car les graines de ces hybrides dans la génération suivante dite F2 conduisent à des rendements amputés parfois de plus de 50 %. Autant dire que l’agriculteur qui croyait faire une économie se retrouve lourdement pénalisé financièrement. Ce que reprochent ces ignorants d’écologistes tient du délire idéologique. Tous les agriculteurs du monde entier ne peuvent plus se passer d’hybrides F1 et ils doivent acheter leurs semences tous les ans !
RépondreSupprimerMonsanto n’a jamais interdit aux agriculteurs de replanter du Mon810 – déjà commercialisé par ses soins dès le début sous forme d’hybride F1 – car cette société sait très bien que les agriculteurs ont autre chose à faire que de produire des hybrides sur une parcelle dédiée à cet effet qui représente un travail loin d’être négligeable. J’imagine difficilement un agriculteur de l’Arkansas perdre du temps à produire ses propres hybrides d’autant plus qu’il lui faut aussi disposer des « parents » dits homozygotes. Comme tous les semenciers aujourd’hui je ne pense pas que Monsanto réalise de gigantesques profits avec le glyphosate lui-même, par contre son centre d’activité est la production d’hybrides F1 entre un homozygote soigneusement sélectionné et un Mon810 également homozygote (qui est effectivement leur propriété jalousement protégée et c’est bien normal) pour produire un F1 pleinement satisfaisant pour l’agriculteur en termes de rendement et de qualité par hybridation avec une autre souche induisant des rendements satisfaisants.
Allez expliquer cela à un écologiste militant comme par exemple en France ce clown par ailleurs ministre opportuniste caricatural, de Rugy je crois. Cet individu totalement ignare croira que vous lui parlez en tagalog ancien …
Illustrations : fleurs mâle et femelle du maïs. La production d’hybrides F1 consiste à polliniser l’un des parents dont les fleurs mâles ont été soigneusement coupées avec le pollen de l’autre parent provenant de ses fleurs mâles. Le semencier ne récolte ensuite que les graines du rang produisant effectivement des F1, en général un rang sur trois, le pollen se dispersant avec le vent dans le cas du maïs. Pour d’autres productions d’hybrides F1 la situation peut être beaucoup plus compliquée. La plupart des grandes cultures vivrières font appel aujourd’hui à ces hybrides F1 qui ont largement contribué à améliorer les rendements outre le fait que les rendements sont assurés pour l’agriculteur et également outre le fait qu’en ce qui concerne le Mon810 le dit agriculteur ne se préoccupera plus dès les semis des herbes adventices qui contribuent aux chutes de rendement ou encore le maïs dit Bt (j’ai oublié le numéro) pour lequel les traitements insecticides sont devenus inutiles. Quand je pense que la France a interdit ces maïs du paysage agricole français, je suis tout simplement consterné. Lien Contrepoints :
https://www.contrepoints.org/2018/12/19/332847-ogm-et-3-hourras-pour-le-mais-transgenique-de-monsanto
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/12/20/la-croisade-contre-le-mais-mon810-tout-simplement-ridicule/
La technologie améliorera l'accès à l'alimentation et la santé pour tous les nigérians
RépondreSupprimer19 Décembre 2018
par Seppi
Onyaole Patience Koku*
L'agriculture nigériane est enfin entrée dans le 21e siècle. Cette année, nous aurons enfin la possibilité de planter des OGM – et je suis prête à rejoindre la révolution agricole mondiale.
Il y a dix ans, je ne connaissais presque rien des OGM. Nous ne les cultivions pas au Nigeria et je n’étais même pas agricultrice. J'achetais et vendais des vêtements, des chaussures et des sacs. J'étais dans l'industrie de la mode.
Ensuite, j'ai fait ce qui peut sembler être un choix démodé : j'ai décidé de me lancer dans l'agriculture. Je ne peux pas expliquer pourquoi. L'idée nous est venue – je crois divinement. Je suis un entrepreneur, tout comme mon mari, et cela semblait être une opportunité économique prometteuse.
Nous avons d'abord élevé des poulets. Plus tard, nous sommes passés aux cultures. C’est ce que nous faisons aujourd’hui : nous produisons des céréales et du maïs semence sur plus de 500 hectares, juste au nord d’Abuja, la capitale du Nigeria.
En tant que nouveau venu dans l'agriculture, j'avais beaucoup à apprendre. Mais j'ai aussi bénéficié d'un avantage important : j'ai pu jeter un regard nouveau sur une entreprise ancienne. Je n’allais pas faire les choses comme elles avaient toujours été faites. J'étais déterminée à essayer de nouvelles choses et à trouver de nouveaux moyens.
Cependant, il est rapidement devenu évident que les nigérians n’ont guère eu la chance d’avancer vers l’avenir. Nous n'avons pas accès aux technologies de base, à commencer par la mécanisation. Le travail manuel domine notre agriculture. Cela nous maintient coincés dans le passé et contribue à expliquer pourquoi l'agriculture africaine est en retard sur le reste du monde en termes de productivité.
Pire encore, le Nigeria s’est refusé de manière aveugle à adopter des OGM. Pendant des années, nous avons importé des OGM, ce qui signifie que nous les avons autorisés dans notre chaîne alimentaire. Et pourtant, nous ne laissions pas nos propres agriculteurs les cultiver. Nous avons interdit à nos agriculteurs de produire des aliments achetés dans d'autres pays.
Cela n'avait aucun sens – et cela bloquait tout le pays. Vous pourriez même dire que cela a retenu toute l'Afrique parce que le Nigeria est un leader continental. Nous accueillons la plus grande population de l’Afrique, près de 200 millions d’habitants. Beaucoup de nos voisins comptent sur nous pour faire preuve de leadership.
Pourtant, sur les OGM, nous n’avons pas été à la hauteur. C'était une grosse erreur.
C’est que les OGM sont sans danger. Les scientifiques les ont étudiés de manière approfondie. Les agriculteurs d'autres pays les cultivent depuis une génération. Ils les vendent depuis aussi longtemps – et ils nous les ont même vendus. Mais nous ne pouvions pas les planter ici parce que notre gouvernement n’a pas approuvé les OGM à des fins d'utilisation commerciales.
Si nous voulons réussir à nourrir notre grand pays en pleine croissance, nous devons donner à nos agriculteurs tous les outils possibles, y compris un accès aux principales technologies utilisées par les agriculteurs des États-Unis, d'Amérique du Sud et même de quelques pays africains, des technologies qu'ils tiennent pour acquises.
Maintenant cela a changé. Le Nigeria a adopté une réglementation en matière de biosécurité et nos agriculteurs se rendront bientôt dans les champs avec du cotonnier GM. D'autres types d'OGM sont en vue.
RépondreSupprimerIls ne peuvent pas arriver assez tôt. Chaque année, les mauvaises herbes et les parasites attaquent mes cultures. La légionnaire d'automne est une menace particulière. Nous passons énormément de temps et consacrons beaucoup de ressources à essayer de maîtriser ces problèmes, principalement à l'aide de traitements.
Les OGM sont la solution évidente. Ils offrent une résistance naturelle, repoussant les mauvaises herbes et les parasites qui réduisent nos rendements et font de l’agriculture un défi ininterrompu. Si nous pouvons les utiliser au Nigeria, ils nous permettront de réduire notre recours aux herbicides et pesticides. Nous produirons plus de nourriture avec moins de ressources.
Les OGM apporteront également un avantage important pour la santé. De nombreux petits producteurs dépendent beaucoup des pulvérisateurs, mais ils ne suivent pas toujours les instructions d’application. Je le vois tout le temps : les agriculteurs font de leur mieux pour protéger leurs cultures mais ne parviennent pas à se protéger eux-mêmes ; ils doivent certes porter des vêtements de protection (que la plupart d'entre eux ne peuvent se permettre), mais ils les enlèvent quand ils travaillent avec ces outils, car il fait si chaud.
Parce qu'ils permettent aux agriculteurs de réduire leur dépendance aux pesticides, les OGM vont également améliorer la santé de notre population.
Dès l’année prochaine, j’espère avoir la possibilité de cultiver des OGM pour la première fois – et j’ai hâte de voir les avantages pour ma ferme, mon pays et mon continent.
http://seppi.over-blog.com/2018/12/la-technologie-ameliorera-l-acces-a-l-alimentation-et-la-sante-pour-tous-les-nigerians.html
L'avenir du blé tolérant à la sécheresse est proche
RépondreSupprimer19 Décembre 2018
par Seppi
Heather Baldock*
J’ai vu l’avenir du blé, et ce fut en Argentine.
Ou au moins celui d'une version qui pourrait être très bénéfique pour des agriculteurs australiens comme moi.
Laissez-moi vous expliquer. Il y a deux ans, j'ai eu la chance de visiter l'Argentine, une région peu pluvieuse très semblable à celle de mon État d'Australie-Méridionale. C'était le début du printemps, ce qui signifie pour nous, dans l'hémisphère sud, que les blés n'étaient qu'à trois ou quatre mois de la récolte.
Notre groupe d'agriculteurs australiens était en tournée d'étude dans des fermes d'Amérique du Sud, désireux d'apprendre de nouvelles méthodes, technologies et idées que nous pourrions ramener dans nos propres fermes.
En dehors de Buenos Aires, nous avons examiné les essais de blé. Ils ressemblaient à peu près à tous les autres essais de blé avec des précipitations faibles, mais dans ce cas, les cultures m'intéressaient beaucoup parce qu'elles étaient génétiquement modifiées.
Heather Baldock dans un champ de blé en Argentine.
Des années auparavant, les scientifiques avaient appris que le gène HB4 conférait une tolérance à la sécheresse chez le tournesol. Ils ont transféré ce caractère dans d'autres cultures, telles que le maïs et le soja, ainsi que dans le blé, ce qui les rend tolérantes à la sécheresse et permet aux cultures de pousser de manière plus productive pendant les périodes sèches sans pénaliser la production pendant les meilleures campagnes.
Avais-je une envie de fermier ? Tu paries !!
Ces essais de blé HB4 sont florissants ; ils ont produit 25 pour cent de plus que les variétés non génétiquement modifiées dans des conditions de sécheresse et donné le même résultat ou un résultat légèrement supérieur à celui des variétés conventionnelles dans de bonnes conditions d'humidité. Ils ont illustré un avenir possible pour ceux d'entre nous qui produisons de la nourriture dans des environnements difficiles.
J'aimerais cultiver du blé GM tolérant à la sécheresse sur ma ferme de Buckleboo, où nous recevons en moyenne 300 millimètres de pluie par an. Dans cette région, l'eau est une denrée précieuse. Notre approche sans labour nous aide à conserver l'humidité du sol et nous sélectionnons des cultures adaptées à cet environnement aux saisons de croissance courtes.
Pourtant, même les meilleures variétés disponibles ne réussissent pas bien en période de sécheresse.
Ce blé rustique HB4 est tellement prometteur que l’Argentine est sur le point de le commercialiser. Bientôt, le blé GM pourrait devenir aussi courant que le maïs et le soja GM. En Argentine, ainsi qu'au Brésil, au Canada, aux États-Unis et dans d'autres pays, le maïs et le soja génétiquement modifiés sont si répandus que les variétés non génétiquement modifiées sont tout simplement non conventionnelles.
L’Australie travaille actuellement en étroite collaboration avec l’Argentine et d’autres pays d’Amérique du Sud pour renforcer la collaboration dans le secteur de l’agriculture. Ceci – conjugué aux relations étroites qui existent déjà entre des organisations telles que le CSIRO, l’organisme australien de recherche et de développement, et Bioceres en Argentine – signifie que nous sommes bien placés pour progresser de manière significative vers l’introduction de blés tolérants à la sécheresse en Australie.
RépondreSupprimerMalheureusement, mon État d’Australie-Méridionale interdit les cultures génétiquement modifiées uniquement pour des raisons de marché. Cela empêche les agriculteurs d'avoir accès à des technologies sûres et éprouvées qui soutiennent une agriculture durable. Les agriculteurs qui cherchent à produire plus avec moins d'intrants – et à produire plus de nourriture sur moins de terres – doivent avoir le choix d'accéder à des outils innovants et éprouvés tels que la technologie GM, en fonction de nos besoins agronomiques et climatiques, pour atteindre ces objectifs.
Pourtant, nous n’avons pas d'OGM ici, même si les agriculteurs d’autres États australiens et d’autres pays les tiennent pour acquis. Peut-être plus inquiétant encore est l’impact considérable sur la communauté scientifique, avec la perte de brillants scientifiques de l'agronomie qui quittent l'Australie-Méridionale au fil des années pour travailler dans des lieux plus propices à l’innovation. C’est une perte d’expertise et d’opportunités pour notre État et notre secteur économique, regrettable et irréparable.
Je n’ai jamais soutenu la restriction des cultures GM par l’Australie-Méridionale, mais je conviens que, lorsqu’elle a été imposée il y a 15 ans, nous en savions moins sur les GM que nous le faisons maintenant. Aujourd'hui, presque une génération plus tard, des millions d'agriculteurs ont cultivé des milliards d'hectares de plantes génétiquement modifiées et celles-ci sont devenues les ingrédients de peut-être des milliers de milliards de repas.
La science nous a toujours dit qu'elles sont sûres. Maintenant, l'expérience dit la même chose.
La bonne nouvelle est qu’en Australie-Méridionale, de plus en plus de gens reconnaissent ces faits. Il est à espérer qu'un changement de gouvernement et des évaluations importantes mettront le moratoire à l'épreuve et donneront l'impulsion nécessaire au changement.
Le moment est opportun. Une grande partie de l'Australie souffre actuellement d'une grave sécheresse, certaines zones depuis plusieurs années. De plus, nous bénéficierions de cultures présentant d’autres caractéristiques essentielles telles que la tolérance au gel et la tolérance au sel, et constituant un outil d’aide à l’adaptation aux changements climatiques et à l’augmentation prévisible des températures.
La technologie peut nous aider de nombreuses façons. C’est déjà assez difficile lorsque les agriculteurs doivent faire face à la sécheresse et à d’autres catastrophes naturelles. C’est encore pire lorsque nous devons lutter contre les catastrophes issues de la main humaine.
L’accès aux variétés GM comme le blé HB4 tolérant à la sécheresse ne peut pas arriver assez tôt.
RépondreSupprimerHeather Baldock
Agricultrice, Eyre Peninsula, Australie
Heather Baldock et son époux Graeme produisent du blé, de l'orge, du canola, des pois et du lupin dans une exploitation agricole de troisième génération dans la péninsule d'Eyre, en Australie-Méridionale.
Source : https://globalfarmernetwork.org/2018/12/the-future-of-drought-tolerant-wheat-is-near/
Ma note : Les variétés de blé tolérantes à la sécheresse sont issues de la recherche de Trigall Genetics, une entreprise créée par Bioceres et Florimond Desprez. La fuite des cerveaux, du savoir-faire et des capitaux, ce n'est pas seulement en Australie-Méridionale...
http://seppi.over-blog.com/2018/12/l-avenir-du-ble-tolerant-a-la-secheresse-est-proche.html
Ammoniac : pollution atmosphérique... pollution médiatique...
RépondreSupprimer20 Décembre 2018
par Seppi
À propos d'un article publié dans le Monde Planète
C'est encore d'un article du Monde Planète qu'il s'agit ici, cette fois sous la plume de M. Stéphane Mandard, qui se présente ainsi sur sa page Twitter : « Journaliste @lemonde.fr. Après avoir traqué la duperie dans le sport, j'élargis à la #Planète. » Le militantisme est proclamé.
« ...duperie » ? C'est le cas de son « L’agriculture intensive est responsable d’une pollution "très largement sous-estimée" » du 5 décembre 2018 sur la toile, repris dans le journal papier daté du 7 décembre 2018 sous une forme modifiée et avec un titre plus prudent et moins propagandiste – « L'ammoniac, une pollution sous-estimée ». Mais ce qui n'est pas dans le titre est ici dans le sous-titre : « Une cartographie inédite met en lumière les émissions liées à l'agriculture intensive ».
L'occasion de cette mise en cause de l'agriculture « intensive » a été donnée par un article publié le... 5 décembre 2018 dans Nature, « Industrial and agricultural ammonia point sources exposed » (sources ponctuelles d'ammoniac industriel et agricole exposées) de Martin Van Damme, Lieven Clarisse et al., de l'Université libre de Bruxelles (ULB), Service de Chimie Quantique et Photophysique, Atmospheric Spectroscopy.
Citons du Monde Planète (version électronique) :
« Pour générer cette carte de la répartition (au kilomètre carré près) du NH3 dans l’air, les chercheurs ont exploité les données journalières relevées pendant près de dix ans par un sondeur atmosphérique infrarouge développé par le Centre national d’études spatiales, et embarqué dans un satellite. Ils ont ainsi repéré et catégorisé 248 sources localisées (de diamètre inférieur à 50 kilomètres) de NH3 dont les deux tiers étaient passées sous les radars jusqu’à présent. La plupart de ces « hotspots » – foyers – sont liés à l’agriculture : 83 correspondent à des fermes d’élevage intensif et 130 à des usines d’engrais. »
On notera que, selon la version papier,
« En analysant des mesures réalisées par satellite entre 2008 et 2016, des chercheurs du CNRS – ma note : il n'y en a qu'une avec une affiliation unique au CNRS, Mme Juliette Hadji-Lazaro – et de l'Université libre de Bruxelles ont élaboré la première cartographie mondiale de l'ammoniac atmosphérique (NH3). »
C'est faux ! Une duperie si vous voulez... Le monumental « Ammonia in the atmosphere: a review on emission sources, atmospheric chemistry and deposition on terrestrial bodies » (ammoniac dans l'atmosphère : une revue des sources d'émission, de la chimie atmosphérique et des dépôts sur les corps terrestres), de Sailesh N. Behera et al. (2013), nous en propose une autre. Elle est issue de travaux de, fondamentalement, la même équipe que celle qui vient de publier dans Nature.
- voir carte sur site -
La carte publiée dans Behera et al.
Mais ce n'est que péché véniel. Les usines d'engrais – plus de la moitié des « hotspots » identifiés (130 sur 248) – produisent des engrais (azotés) pour (presque) toutes les formes d'agriculture, « intensive » ou non – y compris la « vertueuse » agriculture biologique qui les utilise sous une forme « blanchie », passée par l'estomac des animaux élevés en « conventionnel ».
Et comment justifier la mise en cause de l'agriculture « intensive » quand le premier « hotspot » est la vallée du Gange ? De la version papier :
RépondreSupprimerLa région du monde la plus touchée est la vallée du Gange, avec des émissions de NH3 à 475 kilos par seconde. Cette zone, qui inclut le Pakistan et le nord de l’Inde, combine élevage et agriculture intensifs et usines de production d’engrais. Avec 0,81 kg/s, les méga-fermes de Bakersfield et Tulare (Californie) et leurs centaines de milliers de vaches sont la source agricole la plus importante. L’industrie la plus polluante se situe en Ouzbékistan, où le complexe de fabrication d’engrais de la vallée de Ferghana, une région d’agriculture intensive, rejette 0,75 kg/s.
De l'élevage intensif dans la vallée du Gange ? Première nouvelle !
Mais reprenons le problème à la base. Notre Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME) affirme :
« Les émissions d’ammoniac, qui contribuent à la formation de particules fines et à l’eutrophisation des milieux, sont à 94 % dues à l’agriculture.
[…]
L’ammoniac (NH3) est un composé chimique émis par les déjections des animaux et les engrais azotés utilisés pour la fertilisation des cultures. »
C'est toute l'agriculture, et pas seulement l'agriculture « intensive ». Tous les animaux (y compris les humains quand il ne font pas dans l'eau potable...), pas seulement les animaux des « méga-fermes ». Notons aussi que la majeure partie de cet ammoniac retombe sur le sol, où il devient un fertilisant pour la végétation (sauf, evidemment, sur les surfaces que nous avons « artificialisées ») et, pour Madame ADEME, un contributeur à l'eutrophisation, non pas des « milieux », mais des lacs et rivières.
L'un des auteurs est cité à l'appui d'un appel à une meilleure gestion des impacts de la pollution par l'ammoniac qui passerait par une « "révision complète" des émissions de ce gaz en y intégrant l'observation spatiale » – lire : son laboratoire. C'est bien fumeux comme raisonnement... Et le masochisme point :
« L'enjeu est pourtant de taille. Avec plus de 700 000 tonnes par an, la France est le premier émetteur d'ammoniac de l'Union européenne. »
La France est aussi (encore) le premier pays agricole européen, ceci expliquant en grande partie cela...
Nous avons donc une solution évidente pour gérer les impacts de la pollution : réduisons notre production agricole... et alimentaire... par une nouvelle taxe qui viendrait s'ajouter à tout ce qui pèse déjà sur elle. C'est en gros ce que suggère M. Stéphane Mandard, à l'insu de son plein gré, dans la version électronique de son article :
« Voilà une étude qui pourrait inspirer un nouveau slogan aux "gilets jaunes" : "Taxez le bétail, pas (seulement) les carburants !" Un article, publié mercredi 5 décembre dans la très sérieuse revue scientifique Nature, montre en effet que l’élevage intensif est à l’origine d’une pollution largement sous-estimée à l’échelle de la planète : l’ammoniac. »
Il faut croire que quelqu'un s'est rendu compte de l'imbécillité et de l'ignominie d'une telle saillie. Elle n'a pas été reprise dans la version papier... Tout n'est pas encore perdu au Monde Planète.
http://seppi.over-blog.com/2018/12/ammoniac-pollution-atmospherique.pollution-mediatique.html
Une nouvelle série sur CulturAgriculturE : « Les alternatives aux pesticides »
RépondreSupprimer20 Décembre 2018
par Seppi
Glané sur la toile 289
Cela fait un bout de temps que nous n'avons pas évoqué l'excellent CulturAgriculturE qui réussit la prouesse de communiquer en trois langues : français, anglais et espagnol.
Notre ami Christophe Bouchet a pourtant produit quelques billets fort intéressants.
Il annonce maintenant l'ouverture d'une nouvelle série : « Les alternatives aux pesticides », son numéro 1 étant consacré à « Pourquoi? ».
Un extrait, auquel nous adhérons sans retenue :
« Il me parait intéressant de faire un tour d’horizon de ce qui existe pour les substituer [les pesticides de synthèse].
Car on ne fera pas une agriculture suffisamment productive sans moyens de protection phytosanitaire. Même s’il est vrai que certaines cultures, dans certaines conditions, peuvent être produites sans aucun pesticide, la très grande majorité des productions agricoles ont un besoin indispensable de moyens de contrôle et de pesticides, quelle que soit leur origine, afin que la production soit suffisante, le revenu de l’agriculteur aussi, et que la sécurité des aliments soit garantie pour le consommateur.
Je vous rappelle que je m’oppose radicalement à une interdiction des pesticides de synthèse.
C’est une escroquerie intellectuelle de laisser penser à un public non informé, naïf et manipulé, que l’agriculture peut vivre sans pesticide.
C’est également une escroquerie intellectuelle de laisser penser à ce même public, que des solutions non synthétiques existent pour remplacer tous les pesticides de synthèse dans toutes les situations de culture.
C’est encore une escroquerie intellectuelle de laisser croire à ce même public, que tout ce qui est naturel est bon, et qu’un pesticide naturel est meilleur qu’un pesticide de synthèse. Vous pouvez le voir dans ma série “Naturel vs synthétique”.
C’est enfin une escroquerie intellectuelle de laisser croire, comme c’est encore le cas d’une large proportion de consommateurs, que l’agriculture biologique n’utilise pas de pesticides. Les communications sont systématiquement faites sur le même modèle, où on indique “sans pesticide” et on renvoie par un astérisque à une note écrite en tout petit caractère et en fin de texte “de synthèse”.
Et la suite, pour laquelle je serai plus dubitatif :
« Même si je suis certain de ce que je viens de vous expliquer, je suis aussi convaincu que le mouvement bio a le grand mérite d’obliger l’ensemble de la filière agricole à se poser des questions, à changer sa manière de regarder son activité, à chercher des alternatives aux aspects les plus négatifs, en particulier concernant l’impact sur l’environnement et les risques sanitaires. »
Oui, nous devons nous poser des questions en réaction à une formidable pression devenue mercantiliste. Mais sont-ce les bonnes questions ? Et ne sommes-nous pas contraints à retenir les mauvaises réponses ? Formulé autrement : faisons-nous tout ce qu'il faut pour échapper à ce dévoiement des réflexions ?
De quoi alimenter les prochains épisodes de la série.
Mais on peut penser que la réponse se trouve déjà dans « 139- Agroécologie -10- L'élevage pour sauver la planète ».
http://seppi.over-blog.com/2018/12/une-nouvelle-serie-sur-culturagriculture-les-alternatives-aux-pesticides.html
(...) Même s’il est vrai que certaines cultures, dans certaines conditions, peuvent être produites sans aucun pesticide, la très grande majorité des productions agricoles ont un besoin indispensable de moyens de contrôle et de pesticides, quelle que soit leur origine, afin que la production soit suffisante, le revenu de l’agriculteur aussi, et que la sécurité des aliments soit garantie pour le consommateur. (...)
Supprimer99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes
dimanche 2 décembre 2018
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html
Les malheurs juridiques du président continuent de croître
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 20 décembre 2018
Il semble que chaque fois que nous examinons les manoeuvres légales qui reflètent le président Donald Trump, les allégations de comportement illégal par lui s'additionnent. Nous savons que deux équipes de procureurs fédéraux examinent son comportement pré-présidentiel et son comportement dans l'exercice de ses fonctions.
L'avocat spécial Robert Mueller cherche à savoir si Trump et sa campagne ont conclu un accord avec des ressortissants étrangers - en particulier des Russes - pour recevoir des informations de valeur et s'il a entravé la justice en tentant de mettre fin à une enquête du FBI sur son premier conseiller à la sécurité nationale, le lieutenant à la retraite. Général Michael Flynn. Et les procureurs fédéraux de Manhattan étudient la fraude bancaire et financière.
La réception par une campagne à une charge fédérale de tout objet de valeur émanant d'un étranger est un acte criminel, au même titre qu'un accord en vue de recevoir l'objet de valeur d'un étranger, qu'il arrive ou non. Comme c'est le cas pour presque tous les crimes fédéraux, on peut être poursuivi pour avoir commis le crime lui-même ou, lorsque d'autres personnes sont impliquées, pour avoir conspiré pour commettre le crime ou pour avoir tenté de le commettre.
Les procureurs fédéraux de carrière à New York ont déclaré à un juge fédéral qu'ils avaient des preuves que Trump avait conspiré avec son ancien avocat, Michael Cohen, et David Pecker, son ancien ami propriétaire du National Enquirer, pour violer les lois sur le financement de campagnes électorales. Ils ont également dit au juge que Trump avait orchestré les crimes de Cohen et l'avait payé à Cohen pour les commettre. Les procureurs savent que celui qui paie pour des crimes peut être aussi pénalement responsable que celui qui accepte le paiement et commet les crimes.
Quels étaient les crimes ? Ils consistaient à dissimuler les recettes de campagne illégales et les dépenses des régulateurs fédéraux et à les tromper. Les reçus étaient des dons de sociétés, interdits par la loi fédérale. Les dépenses consistaient en des paiements versés à deux femmes qui affirmaient être des amants de Trump - affirmations qu'il a maintes fois démenties - en contrepartie de leur silence à l'automne 2016, tout étant fait pour profiter de la campagne présidentielle de Trump.
Si ces recettes et paiements avaient été des erreurs innocentes ou des erreurs d'écriture, ils auraient pu être condamnés à des amendes et restituer l'argent, environ 350 000 dollars, aux donateurs. Ils sont devenus criminels parce que les dons faisaient partie d’un ensemble complexe de livres cuits et de factures factices visant à tromper les autorités de réglementation fédérales, ce qui a conduit la campagne Trump à produire de faux rapports au gouvernement fédéral. Tout a été fait, selon les procureurs fédéraux, sciemment et intentionnellement à la suite d'un complot entre Trump, Cohen et Pecker.
Que sont devenus les conspirateurs ? Cohen a tristement plaidé coupable pour ce crime et d'autres crimes et a été condamné à trois ans de prison dans une prison fédérale. Lorsque Trump a appris que son ancien avocat avait été informé par le FBI pendant 70 heures, il l'avait traité de "rat". Pecker a reçu une forme d'immunité de poursuite en échange de son témoignage devant les procureurs fédéraux et devant un grand jury fédéral sur Trump et Cohen.
Il est tout à fait inhabituel que les procureurs fédéraux qualifient une personne qui n'est pas un accusé dans leur cause d'être l'orchestrateur et le payeur des crimes qu'ils poursuivent, à moins qu'ils n'entendent accuser cette personne. Une telle personne - ici le président - est souvent qualifiée de "co-conspirateur non accusé".
RépondreSupprimerEst-ce que Trump peut être accusé de ces crimes ? A t-il été, dans un acte d'accusation scellé ? Le ministère de la Justice a trois avis juridiques modernes au sujet de la mise en accusation d'un président. Deux d’entre eux disent qu’un président ne peut être accusé d’un crime tant qu’il est en poste et l’autre dit qu’un président peut être accusé.
Les trois opinions indiquent que si un délai de prescription - le délai après la commission du crime et celui au cours duquel une poursuite doit être intentée ou abandonnée - est sur le point d'expirer, le président peut devoir être inculpé en secret, de manière à préserver la capacité du gouvernement à le poursuivre pour ses crimes après qu'il a quitté ses fonctions, tout en préservant également la capacité du président de s'acquitter de ses fonctions sans être gêné par le fardeau des poursuites pénales.
Le délai de prescription dans ce cas est de cinq ans. Le complot a eu lieu en 2016. Le calcul pour Trump est décourageant.
Pourquoi devriez-vous vous soucier de cela ? Le président est le principal responsable de l'application de la loi fédérale au pays. Il a juré de faire respecter fidèlement toutes les lois. S'il est lui-même un délinquant, il enfreint son serment, ce qui empêche les instances judiciaires et judiciaires et les forces de l'ordre de prendre au sérieux ses décisions.
Cette semaine, Flynn devait être condamné pour avoir menti au FBI. (Sa condamnation a été remise à plus tard.) Bien qu'il puisse sembler au début qu'il s'agisse d'un petit mensonge blanc et que le FBI savait sans doute que c'était un mensonge au moment où Flynn l'a articulé, il s'avère que Flynn était également un agent étranger rémunéré. La Turquie - un espion, si vous voulez, pour un allié avec lequel nous avons actuellement une relation tendue - tout en travaillant dans la campagne Trump. Si le juge de district américain Emmet Sullivan n’avait pas abordé avec scepticisme la condamnation de Flynn, nous pourrions ne rien savoir de tout cela. Donald Trump était-il au courant de cela lorsqu'il a embauché Michael Flynn ?
La règle de droit en Amérique est ce qui nous maintient libre de la tyrannie. L’état de droit - que le président a prêté serment - signifie que personne n’est au-dessus des exigences de la loi ni en deçà de ses protections. Cela signifie également que ceux qui prennent des décisions en matière d'application de la loi ont un engagement public à respecter la loi.
À part cela, nous n’avons pas la primauté du droit. Nous avons la règle de quiconque est temporairement au sommet du tas.
http://www.judgenap.com/post/the-presidents-legal-woes-continue-to-grow
Cette fois, le krach est social
RépondreSupprimerMYRET ZAKI
19 décembre 2018
Les chiffres ne sont plus des indicateurs fiables de l’économie. Dès lors, la réalité s’invite brutalement et c’est regrettable
D’aucuns ont pu être surpris par la violence de l’éruption sociale en France: après tout, les statistiques économiques de l’Hexagone n’indiquaient nulle part que d’aussi nombreux ménages ne parvenaient plus à boucler les fins de mois. Donc, soit les chiffres mentent, soit les gilets jaunes mentent. En réalité, cela fait bien une vingtaine d’années que les chiffres économiques des grands pays ne livrent plus une image fiable des conditions de vie de la population, en raison de changements de méthodes statistiques effectués dès les années 1990 aux Etats-Unis et en Europe. Dès lors, le krach ne peut plus être que social. C’est pourquoi on assiste à des débordements collectifs, venus réinformer le monde, et qui sont désormais un indicateur plus fiable des véritables niveaux de vie.
En 2008, la bourse, bien que déjà largement régulée par la Fed américaine, fonctionnait encore comme un reflet de la vie économique. L’effondrement des marchés a signalé le dur retour à la réalité d’une économie immobilière alors hautement spéculative aux Etats-Unis. La bourse pouvait révéler en temps réel les dérives économiques. Le krach boursier était un indicateur avancé, qui se confirmait ensuite par des conséquences sociales tangibles et lourdes, à l’instar des plus de 40 millions d’Américains à la soupe populaire depuis la crise (42 millions à ce jour). Mais depuis lors, quelque chose a changé. L’intervention des banques centrales pour refinancer les marchés (assouplissements quantitatifs) a faussé les cours du marché obligataire et soutenu artificiellement les prix des actions. Par ailleurs, plusieurs scandales ont révélé que les taux d’intérêt, les taux Libor, les cours de l’or et ceux d’autres métaux précieux avaient été manipulés depuis de longues années par les principales banques opérant sur ces marchés. Or, ces prix étaient des indices de référence, des points de repère pour situer la valeur des monnaies, des matières premières, des valeurs mobilières et, in fine, de l’épargne. Leur brouillage est venu s’ajouter à l’opacité des statistiques nationales qui, depuis les années 1990, reflètent de moins en moins l’état réel de l’économie en adoptant des méthodes favorisant un marketing avantageux en comparaison aux pays concurrents. Nous avons par exemple contesté ici l’inflation et le chômage officiels aux Etats-Unis basés sur les méthodes des années 1990. On annonce un chômage américain tombé à 3,7 %, mais on oublie de préciser que ce taux est calculé sur moins de personnes actives, sachant que les chômeurs découragés de long terme ne sont plus inclus dans les statistiques depuis les années 1990. Si on les réintégrait, le taux actuel serait de 21 %, selon le site Shadow Government Statistics.
De même, nous avons questionné l’annonce de pourcentages élevés de croissance du PIB américain, quand chaque point de cette croissance nécessite le double ou le triple de dette nationale supplémentaire et les moyens réduits de l’Etat pour financer la sécurité sociale. En France aussi, les chiffres de l’inflation et donc du pouvoir d’achat ont leurs détracteurs. Avant que n’éclate le Mouvement des gilets jaunes, nous citions ici l’ouvrage Pouvoir d’achat, le grand mensonge de l’économiste français Philippe Herlin qui estime qu’on minimise fortement l’inflation en France, notamment en sous-estimant les coûts du logement, que l’Insee calcule à seulement 6 % du budget des ménages. Depuis que les chiffres économiques ne disent plus rien, ou si peu, des réalités économiques, le citoyen est son propre avocat; il ne reste que l’ultime témoignage du terrain pour nous faire part de la réalité. Peut-on dès lors s’étonner des conséquences ?
RépondreSupprimerhttps://www.bilan.ch/opinions/myret-zaki/cette-fois-le-krach-est-social
L’irrépressible envolée de la «taxe carbone »
RépondreSupprimer28 novembre 2018
Usbek
L’augmentation continue de la « taxe carbone » pèse sur le budget que les français consacrent à leur chauffage et leurs déplacements. Fixée à 7 € la tonne de gaz carbonique lors de sa création, son montant est aujourd’hui de 55 € la tonne et pourrait atteindre 100 € la tonne dès 2024. Le Commissariat Général au développement Durable a calculé l’incidence ce cette taxe sur le budget des ménages : 87 € par an et par ménage en 2016, une somme qui pourrait atteindre 245 € en 2020. Elle frappe plus durement les foyers ruraux et modestes.
incorporée aux taxes énergétiques existantes, cette « taxe carbone » est passée inaperçue lors de sa création
Créée en 2014 par Ségolène Royal, la « contribution climat énergie » est intégrée aux taxes existantes sur la consommation d’énergies fossiles (TICPE, TICGN, TICC [1]). Son montant est proportionnel aux émissions de CO2 desdites énergies et peut donc à ce titre être qualifiée de « taxe carbone ».
D’un montant initial de 7 € la tonne de gaz carbonique lors de sa création, la «contribution climat énergie» est réévaluée chaque année. La Loi de Finances de 2019 l’a fixée à 55 € la tonne pour l’année en cours et précisé sa trajectoire d’évolution : 65,40 € la tonne de gaz carbonique en 2020, 86,20 € en 2022. A ce rythme, indique un récent rapport du Sénat [2], la tonne de carbone devrait dépasser la valeur de 100 € dès 2024, soit six ans plus tôt que ce que prévoyait la Loi de 2015 relative à la transition énergétique.
Les automobilistes ne sont pas les seuls à régler l’addition car la « taxe carbone » frappe aussi le fioul domestique (via la TICPE) et le gaz naturel via la TICGN (Taxe Intérieure de Consommation sur le Gaz Naturel). Instituée en 1986 la TIGCN a été étendue aux particuliers en 2014. Fixée à 1,27 € par MWH en 2014 son montant a été porté à 10,34 € en 2019 et il est prévu qu’il atteigne 16,02 € par MWH en 2022, soit une multiplication par 12,6 depuis sa création. Il s’agit de montants hors taxes sur lesquels s’applique la TVA au taux de 20%. En 2017 cette taxe représentait environ le tiers du montant total des factures de gaz naturel.
Une taxe calculée par les représentants des partenaires sociaux et des ONG
En 2008, une valeur de référence du carbone (dite tutélaire ) avait été évaluée à la demande du gouvernement par l’économiste Alain Quinet. Tout récemment, le premier ministre a chargé une commission composée d’experts, de représentants des partenaires sociaux et d’ONG de calculer une nouvelle valeur tutélaire du carbone [3] « cohérente avec les ambitions climatiques de la France ». On rappelle que les émissions françaises représentent moins de 1% des rejets mondiaux.
Les foyers modestes vivant en zone rurale sont les plus pénalisés
Dans un document de mars 2016, le Commissariat Général au Développement Durable [4] estime le surcoût annuel pour les ménages de la taxe carbone » à 83 € par an en moyenne (87 € pour un ménage se chauffant au fioul).
Ce surcoût pèse davantage sur les ménages modestes que sur les ménages aisés [5]. De plus, comme le montre le diagramme ci-dessous, la « taxe carbone » frappe plus durement les ménages habitant en zone rurale (95 € par an) que les parisiens (70 € par an).
- voir tableau sur site -
RépondreSupprimerPour les ménages habitant en zone rurale et qui donc n’ont pas accès au gaz de ville et sont de plus contraints d’utiliser leur voiture pour leurs déplacements, c’est la double peine. C’est même la triple peine pour ceux qui roulent en Diesel comme le montre le diagramme ci-dessous :
- voir tableau sur site -
Ces données sont relatives à l’année 2016 ; en 2020 prévient le Commissariat Général au Développement Durable ce surcoût sera en moyenne de 245 € par ménage et par an.
Un rapport du Sénat [6] fait apparaître une fiscalité énergétique déjà très lourde en 2018, qui, si la trajectoire de la « taxe carbone » est maintenue, sera multipliée par 4 en 2022, ce que le tableau ci-dessous extrait de ce rapport fait clairement apparaître :
- voir tableau sur site -
Impact de la hausse de la fiscalité énergétique sur le budget des ménages, par rapport à 2017. Source : Direction générale de l’énergie et du climat) Extrait du rapport du Sénat
La hausse de la « taxe carbone » mise en œuvre dans une logique de rendement budgétaire
Selon Connaissance des énergies [7], la « taxe carbone » aurait rapporté à l’État près de 4 milliards d’Euros en 2016. Le rapport du Sénat déjà cité, indique que la nouvelle trajectoire de la « taxe carbone » et la poursuite du rattrapage de la fiscalité du diesel et de l’essence entraîneront une hausse sans précédent de la fiscalité énergétique (+ 15 Milliards d’Euros en 2022).
Le tableau ci-dessous issu du rapport du Sénat fournit le détail de cette hausse :
- voir tableau sur site -
Recettes fiscales de la révision des tarifs des taxes intérieures de consommation jusqu’en 2022 (en milliards d’euros) Source : Sénat, évaluation préalable annexée au projet de loi de finances pour 2018
Selon le Sénat, « le rendement supplémentaire de la TICPE consécutif à ces mesures s’élèverait à 3,3 milliards d’euros en 2018 et à 12,1 milliards d’euros en 2022. Pour la TICGN, ce rendement serait de 600 millions d’euros en 2018 et 3 milliards d’euros en 2022 ».
On s’attendrait à ce que le produit de cette taxe soit affectée à la transition écologique . Il n’en est rien : dans son rapport sur le projet de loi de finances pour 2018 [8], l’Assemblée nationale relève que la hausse de la « taxe carbone » est avant tout mise en œuvre dans une logique de rendement budgétaire, au profit du budget général de l’État. Entre 2014 et 2016, la hausse des produits de la fiscalité énergétique a principalement servi à compenser une partie du coût du CICE (Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi).
Le gouvernement prétend ainsi alléger la fiscalité sur le travail, censée avoir déjà été financée par la hausse de la CSG.
Coûteuse et arbitraire, la « taxe carbone » est de plus inefficace
La « taxe carbone » est censée détourner les français des énergies fossiles : selon la Chaire Economie du Climat (Paris Dauphine) [9], l’instauration de la « taxe carbone » devait permettre une baisse des émissions de gaz carbonique comprise entre 1,5 et 5 Mt gaz carbonique en 2015, puis entre de 3 à 9 Mt de gaz carbonique en 2016 attribuable notamment aux réductions de consommations de gazole, de gaz naturel et de fioul domestique.
Qu’ observe t-on en réalité ?
RépondreSupprimerLes émissions de gaz carbonique en France ont régulièrement diminué de 2008 (370,1 Mt ) à 2014 (304,2 Mt ). Depuis 2014, année de la création de cette taxe, elles augmentent à nouveau : 309,7 MT en 2015, 316 millions de tonnes en 2016 [10].
François de Rugy, nouveau Ministre de la Transition Écologique et Solidaire, déclarait récemment que la « taxe carbone » sera maintenue « parce que les Français, que ce soient des particuliers ou des entreprises, seraient les premiers à nous reprocher de changer de pied tous les ans ».
« Errare humanum est, perseverare diabolicum »
[1] TICPE (Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques), TICGN (Taxe Intérieure de Consommation sur le Gaz Naturel), TICC (Taxe intérieure de consommation sur le charbon)
[2] Projet de loi de finances pour 2018 : Fiscalité de la transition écologique (http://www.senat.fr/rap/a17-113-1/a17-113-14.html)
[3] Ses travaux s’appuieront sur les résultats de modèles macroéconomiques et technico-économiques de la transition énergétique. (https://www.strategie.gouv.fr/actualites/lancement-de-commission-tutelaire-carbone)
[4] Commissariat Général au Développement Durable : L’impact, pour les ménages, d’une composante carbone dans le prix des énergies fossiles – mars 2016 (https://www.connaissancedesenergies.org/sites/default/files/pdf-pt-vue/2016.03.impact_pour_les_menages_de_la_composante_carbone.pdf)
[5] « Commissariat Général au Développement Durable estime qu’en 2016, le surcoût représente 0,6 % du revenu disponible des ménages appartenant au 1er décile de revenu, contre 0,1 % pour les ménages du 10e décile, et 0,2 % pour l’ensemble des ménages.
[6] Projet de loi de finances pour 2018 : Fiscalité de la transition écologique (http://www.senat.fr/rap/a17-113-1/a17-113-14.html)
[7] Idées reçues : « Il n’y a pas de taxe carbone en France » (https://www.connaissancedesenergies.org/il-ny-pas-de-taxe-carbone-en-france-170601)
[8] IFRAP : l’envolée irrépressible de la TICPE (taxe carbone) http://www.ifrap.org/budget-et-fiscalite/lenvolee-irrepressible-de-la-ticpe-taxe-carbone
[9] La réforme de la fiscalité de l’énergie : une extension de la tarification du carbone en France (http://www.chaireeconomieduclimat.org/publications/policy-briefs/policy-brief-2014-06-reforme-de-la-fiscalite-energie-tarification-carbone-en-france/)
[10] https://www.planetoscope.com/co2/821-emissions-de-co2-en-france.html
https://www.climato-realistes.fr/taxe-carbone-fiscalite-energetique/
Deux pays maghrébins ont fourni le plus de naissances étrangères en France en 2015 et 2016
RépondreSupprimer15:40 20.12.2018
En 2015 et 2016, l’Algérie et le Maroc ont occupé la première place des pays de naissance des étrangers vivant en France, a indiqué l’Insee dans son rapport publié le 18 décembre sur son site officiel.
L'Algérie et le Maroc se sont disputés, deux années consécutives, le haut du podium du premier pays de naissance des étrangers vivant en France, ressort-il du rapport publié le 18 décembre par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), sur son site officiel.
En effet, en 2016, le Maroc est arrivé en tête avec 8,2% suivi par l'Algérie avec 7%. Alors qu'en 2015, c'est l'Algérie qui est arrivée première avec 12,8%, secondée par le Maroc avec 12%.
Cependant, le rapport note que 37 % des immigrés arrivés en France en 2016 sont nés en Europe et 35,7 % sont nés en Afrique. Alors qu'en 2015, 44,6 % des immigrés vivant en France sont nés en Afrique et 35,4 % sont nés en Europe.
Retraçant la dynamique de développement de la population immigrée en France, l'Insee a affirmé dans son étude que cette dernière progressait en effectif et en pourcentage de la population totale depuis 1946. Elle est estimée à 9,3 % de la population vivant en France en 2015, contre 7,4 % en 1975 et 5 % en 1946.
Jusqu'au milieu des années 1970, les flux d'immigration comblaient les besoins de main-d'œuvre nés de la reconstruction d'après-guerre, puis de la période des Trente Glorieuses, a souligné l'Insee.
https://fr.sputniknews.com/international/201812201039374969-algerie-maroc-naissances-etrangeres-france/
Les 'arrivés de 1946' n'étaient pas des réfugiés climatique obligés de partir de chez eux par la dictature monarchique africaine et payés pour immigrer en France ! Ils se sont adaptés, boivent de l'alcool et consomment du porc comme tous les français et s'habillent à la française.
SupprimerPrésident du Parti populaire belge: «de grandes choses sont à venir» pour l’UEC
RépondreSupprimer15:47 20.12.2018
Considérant que l'Alliance néo-flamande (N-VA) a eu raison de s’opposer au Pacte mondial sur les migrations, Mischaël Modrikamen, le président du Parti populaire et dirigeant du think thank Mouvement de Steve Bannon à Bruxelles, évoque à Sputnik les risques de ce document et les projets du Mouvement.
Alors que la Belgique traverse une crise politique engendrée par le Pacte dit de Marrakech qui a déjà fait imploser le gouvernement belge, Mischaël Modrikamen, président du Parti populaire et dirigeant du Mouvement de Steve Bannon à Bruxelles, a évoqué dans un commentaire à Sputnik les conséquences que risque d’entraîner ce document ratifié mercredi par l’Assemblée générale de l’Onu et a déclaré voir «de grandes choses venir» en Europe l’année prochaine.
«Le Pacte des Nations unies sur les migrations menace notre souveraineté. Il aura une influence sur nos lois et établira un droit à la migration tout en criminalisant les critiques», estime-t-il.
Commentant la décision de l'Alliance néo-flamande (N-VA) de quitter la coalition à la suite du désaccord sur ce Pacte de l’Onu, il estime que leur choix était correct.
«L'Alliance néo-flamande en a fait une question de principe et elle avait raison… La position forte de l'Alliance néo-flamande aidera certainement ce parti pour les prochaines élections mais je ne pense pas que sa décision soit simplement tactique», a déclaré l’interlocuteur de Sputnik, soulignant que son parti entretenait de bonnes relations avec la N-VA et qu’il avait soutenu par le passé certaines de ses décisions politiques.
Et d’évoquer le Mouvement, une organisation politique européenne créée en 2017 par l’ex-conseiller du Président américain Steve Bannon et dont il assume la direction en Belgique, Mischaël Modrikamen explique qu’il s’agit d’«un club informel qui vise à rassembler autour de la table des partis et mouvements politiques de droite et populistes, anciens et nouveaux».
Il explique que le Mouvement se concentrera initialement sur les élections européennes prévues en mai 2019, mais qu’ils regarderont «plus loin».
M.Modrikamen a souligné que «pour le moment», ils ne commentent pas leurs activités, «mais de grandes choses sont à venir». Sans entrer dans les détails, il s’est contenté de laisser entendre que son objectif était «de tenir un sommet début 2019 à Bruxelles, afin de rassembler nos membres et tous ceux qui s'intéressent à nos activités et de lancer officiellement le Mouvement».
Le Pacte mondial pour les migrations a été ratifié ce mercredi à une très forte majorité par l'Assemblée générale de l'Onu, a informé l'AFP. Lors du scrutin, 152 pays ont voté en faveur du Pacte, 12 se sont abstenus et 5 ont voté contre, dont les États-Unis et la Hongrie.
En Belgique, cette question a engendré une crise politique lors de laquelle la N-VA a quitté la coalition gouvernementale. Ensuite, le 18 novembre, le Premier ministre de ce pays a présenté sa démission au roi, que ce dernier a pour le moment suspendue.
https://fr.sputniknews.com/international/201812201039374937-pacte-migration-belgique-crise-politique/
NOTONS BIEN QUE CE NE SONT PAS 152 PAYS QUI ONT SIGNÉ MAIS SEULEMENT 152 PERSONNES QUI NE REPRÉSENTAIENT NI LEUR PAYS NI LES 7 MILLIARDS D'HABITANTS !!
SupprimerTrump jette le projet de loi «stopgap» dans le désarroi, ne signera rien sans une sécurité «parfaite» à la frontière
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 20/12/2018 - 09:50
Les soupirs de soulagement suite à la fermeture anticipée du gouvernement se sont transformés en chaos jeudi matin après que le président Trump eut annoncé via Twitter qu'il ne signerait aucune loi à moins que la sécurité à la frontière ne soit "parfaite".
"Les démocrates, qui savent que les lattes d'acier (le mur) sont nécessaires à la sécurité des frontières, mettent la politique sur le pays", a déclaré Trump. "Ce qu'ils commencent à peine à comprendre, c'est que je ne signerai aucune de leurs lois, y compris leurs infrastructures, à moins que la sécurité à la frontière soit parfaite. Les Etats-Unis gagnent !"
Pendant ce temps, Jake Sherman de Politico a tweeté "AVERTISSEMENT ... J’ai parlé à plusieurs collaborateurs principaux de la Maison-Blanche ce matin, qui ne savent pas du tout quel est le plan du projet de loi de dépense provisoire. Il craint que son droit de veto ne soit au rendez-vous."
Mercredi soir, le Sénat a adopté un projet de loi de sept semaines prévoyant un financement provisoire pour empêcher la fermeture partielle du gouvernement par le gouvernement vendredi.
Les sénateurs ont adopté le projet de loi par vote à la voix, ce qui représentait le dernier point de la liste des tâches à accomplir du Sénat alors qu'ils terminaient leurs travaux pour l'année cette semaine; le projet de loi va maintenant à la Chambre - après quoi le président Trump décidera s'il l'approuvera ou non.
Les leaders républicains de la Chambre ont déclaré aux députés qu'ils voteront jeudi sur la mesure provisoire.
Entre-temps, plusieurs conservateurs renommés ont appelé Trump à opposer son veto au projet de loi de dépense en raison de son manque de financement.
Via Rush Limbaugh:
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-20/trump-throws-stopgap-bill-disarray-will-not-sign-anything-without-perfect-border
Voulez-vous blesser la concurrence ? Envoyez des manifestants du climat… 91 milliards de dollars de coûts
RépondreSupprimerDecember 21st, 2018
Les coûts d'opportunité sont les coûts les plus invisibles du monde.
De façon purement hypothétique, si vous vouliez affronter un pays concurrent, vous pourriez payer 350.org…
"Nous savons ce qu’il faut pour arrêter cette industrie", a déclaré May Boeve, de 350.org. «Ce n'est pas un mystère, ce n'est pas magique.
Valerie Richardson, le Washington Times
Une étude de chambre révèle que les manifestations pour le climat coûtent à 91 milliards de dollars de perte d'activité économique
Des activistes du climat luttant pour faire dérailler des canalisations et d’autres projets énergétiques ont bloqué une activité économique de 91,9 milliards de dollars US et des centaines de milliers d’emplois, selon un nouveau rapport.
Plus d'informations sur: https://www.globalenergyinstitute.org/infrastructure-lost
Il n'y a pas d'économie B. Une fois que nous avons détruit celui-ci….
Le rapport a analysé 15 projets ciblés, dont le pipeline très controversé Keystone XL, Constitution Pipeline et le terminal méthanier d’Oregon, ainsi que l’interdiction de fracturation imposée en 2014 par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo.
Outre la perte de 91,9 milliards de dollars d'activité économique, les manifestations ont coûté près de 730 000 emplois et généré des recettes fiscales de 20 milliards de dollars aux gouvernements fédéral, provinciaux et locaux.
…, Les États-Unis ont dépassé la Russie cette année pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut et sont en tête du secteur de la production de gaz naturel depuis 2009.
RÉFÉRENCES
Infrastructures perdues: Pourquoi les États-Unis ne peuvent pas se permettre de «les garder dans le sol»
http://joannenova.com.au/2018/12/want-to-hurt-the-competition-send-in-climate-protestors-91-billion-cost/
Tout est fait pour ruiner le monde qui gagne aujourd'hui trop bien sa vie grâce aux machines. C'est pourquoi sont mis en place des escroqueries les plus mortelles comme l'invasion de pays calmes par les immigrés connus chez eux pour leurs crimes quotidiens. Des taxes de partout. Des impasses énergétiques qui sont prouvées improductives. C'est la dictature qui se renforce, qui force à la violence et qui incite à la guerre.
SupprimerLes professions avec les taux de suicide les plus élevés (et les plus bas)
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 20/12/2018 - 21:43
Soumis par Priceonomics
De 1999 à 2016, le taux de suicide aux États-Unis a augmenté de 30 %, ce qui est inquiétant. De plus, il existe un fossé évident entre les sexes en ce qui concerne la prévalence du suicide aux États-Unis: les hommes se suicident à un taux plus de trois fois supérieur à celui des femmes.
La CDC a récemment publié un rapport montrant les taux de suicide de diverses professions en 2015. Etant donné que les problèmes d’emploi et d’argent figurent parmi les principales causes de suicide, avec le client de Priceonomics, RegisteredNursing.org, nous avons pensé approfondir les données et calculer. quelles professions ont les taux de suicide les plus élevés et les plus bas et comment cela varie selon le sexe.
Nous avons constaté que la profession ayant le taux de suicide le plus élevé est la construction et l'extraction, avec 52,1 décès par suicide pour 100 000 professionnels, soit un taux supérieur de plus de 200 % à la moyenne des professions. Le secteur de l’éducation, de la formation et de la bibliothéconomie, avec un taux de suicide de 5,3 pour 100 000 travailleurs, est près de 10 fois moins élevé que celui des professionnels de la construction / extraction.
De plus, dans cet ensemble de données, le taux de suicide chez les hommes est de 26,0 pour 100 000 professionnels, contre 7,1 pour les femmes. En fait, dans toutes les professions que nous avons examinées, le taux de suicide chez les hommes était plus élevé.
***
Avant de plonger dans les résultats, il est utile de passer un moment à décrire les données CDC que nous utilisons pour les calculs. Bien que le rapport du CDC ait été publié récemment en novembre 2018, la période la plus récente qu'il couvre est celle de 2015. Elle provient uniquement de 22 États.
Le point le plus important à noter est peut-être que les CDC fournissent des données sur le suicide au plus haut niveau du "groupe professionnel principal". Cela divise l’ensemble de la main-d’œuvre américaine en seulement 22 professions. En conséquence, de nombreuses sous-professions différentes sont regroupées dans une seule profession (par exemple, les infirmières, les médecins et les dentistes exercent tous la même profession).
Sur cet ensemble de données de 22 professions dans 22 États, le taux de suicide en 2015 était de 16,9 décès pour 100 000 habitants, une augmentation de 10% par rapport à 2012.
Le graphique suivant montre le taux de suicide en 2015, ventilé par grand groupe professionnel. Le taux de suicide moyen est de 16,9, mais ce taux varie considérablement selon l’occupation.
- voir tableau sur site -
L'occupation avec le taux de suicide le plus élevé est celui de la construction et de l'extraction avec 52,1 décès pour 100 000 habitants, soit près de 40% de plus que l'occupation avec le deuxième taux de suicide le plus élevé. L'éducation avec le plus bas taux de suicide est Éducation, Formation et Bibliothèque avec un taux de suicide de 5,3 comparé à 16,9 pour la moyenne nationale.
Les praticiens de la santé et les professions d’appui en soins de santé ont un taux de 11 à 12,5 pour 100 000; cela inclut les professionnels infirmiers.
RépondreSupprimerLes emplois moins rémunérés ont-ils tendance à avoir des taux de suicide plus élevés ? Nous avons ensuite juxtaposé les données salariales du BLS par groupe professionnel avec les taux de suicide de la CDC.
En général, il existe une faible tendance à ce que les emplois les mieux rémunérés aient tendance à avoir des taux de suicide plus bas, mais les données sont trop bruyantes pour permettre une conclusion. De plus, certaines des professions où les taux de suicide sont les plus élevés ont des salaires comparables à ceux où les taux de suicide sont beaucoup plus bas. Toutefois, aucune des professions les mieux rémunérées ne présente également un taux de suicide élevé, ce qui laisse à penser que la relation entre salaire et taux de suicide pourrait être intéressante à explorer avec davantage de données.
Les données sur le taux de suicide par profession publiées par la CDC pour la dernière fois datent de 2012. Comment les choses ont-elles changé entre 2015 et 2015? Le prochain graphique classe les professions en fonction de leur augmentation (ou diminution) du taux de suicide au cours de cette année:
- voir tableau sur site -
Étant donné que le taux de suicide global a augmenté de 10% entre 2012 et 2015, il n’est pas surprenant que la plupart de ces professions aient connu une augmentation du taux de suicide. Néanmoins, dans plusieurs professions, les taux de suicide ont augmenté beaucoup plus vite que la moyenne nationale. La préparation et le service des aliments ont augmenté de près de 50% et les arts, les divertissements, les sports et les médias de près de 40%.
Toute analyse des taux de suicide sans discuter des différences entre les sexes sera négligente en négligeant un point important: les industries à dominance masculine auront des taux de suicide plus élevés parce que les hommes ont des taux de suicide plus élevés que les femmes. Le graphique ci-dessous montre le taux de suicide par sexe en 2015 dans toutes les professions.
Les hommes dans toutes les professions ont un taux de suicide de 26,0 pour 100 000 personnes, soit trois fois plus que les femmes. Les professions où le taux de suicide est élevé sont-elles simplement une indication du pourcentage élevé d'hommes dans ce bassin de main-d'œuvre? Pas exactement.
Si nous ventilons le taux de suicide pour chaque profession par sexe, nous remarquons que même pour la même profession, le taux de suicide est beaucoup plus élevé chez les hommes que chez les femmes.
Pour chaque activité principale, les hommes ont un taux de suicide nettement supérieur à celui des femmes. Non seulement cela, mais pour la plupart des professions, les hommes se suicident à un taux de 3 à 5 fois supérieur à celui des femmes
Pour chaque activité principale, les hommes ont un taux de suicide nettement supérieur à celui des femmes. Non seulement cela, mais dans la plupart des professions, les hommes se suicident à un rythme 3 à 5 fois plus élevé que celui des femmes. Donc, oui, les industries à prédominance masculine auront des taux de suicide plus élevés que les plus équilibrées, mais il existe toujours des variations dans les taux de suicide par industrie qui ne s'expliquent pas par la répartition des sexes.
En raison de l’impact du genre, concluons en examinant quelles professions présentent les taux de suicide les plus élevés chez les hommes, puis chez les femmes.
RépondreSupprimerComme ce sont les hommes qui constituent la majorité des suicides, il n’est pas surprenant que la liste des professions ayant les taux de suicide les plus élevés chez les hommes ressemble à la liste globale des deux sexes confondus. En fait, les cinq professions ayant les taux de suicide les plus élevés chez les hommes sont presque identiques aux cinq professions présentant les taux de suicide les plus élevés dans l’ensemble (bien que dans un ordre légèrement différent).
- voir tableau sur site -
Pour les femmes, les professions présentant les taux de suicide les plus élevés diffèrent considérablement des hommes, mais en grande partie parce que la CDC n'a pas publié les taux féminins pour un certain nombre de professions présentant des taux de suicide élevés tels que la construction et l'extraction en raison de la faible taille de l'échantillon chez les femmes. . Le graphique ci-dessous présente les taux de suicide par profession chez les femmes, à l'exclusion de ces professions:
Les professions où le taux de suicide est le plus élevé chez les femmes sont les arts, le design, les divertissements, les sports et les médias (cette profession se classant au deuxième rang chez les hommes). La profession qui occupait le deuxième rang parmi les femmes (services de protection) occupait également un rang élevé parmi les hommes. Pour les femmes, les secteurs de l'éducation, de la formation, des bibliothèques et de la gestion ont les taux de suicide les plus bas (ces deux professions ont également des taux bas chez les hommes). Il est à noter que le nettoyage et l'entretien des bâtiments et des terrains ont un taux de suicide faible chez les femmes, mais cinq fois plus élevé chez les hommes.
***
En Amérique, le suicide est un problème croissant, en particulier chez les hommes. Dans la plupart des professions que nous avons examinées, le taux de suicide chez les hommes est de 3 à 5 fois supérieur à celui des femmes. Alors que la moyenne nationale est de 16,9 décès par suicide pour 100 000 habitants, le taux de suicide de certaines professions est près de trois fois supérieur à celui des hommes. Même chez un seul sexe, il existe un écart considérable entre les taux de suicide. Les emplois les mieux rémunérés ont tendance à avoir des taux de suicide plus bas, mais les bas salaires n'expliquent pas complètement les taux de suicide, car certaines professions ont à peu près la même rémunération mais des taux de suicide très différents.
Alors que les taux de mortalité en Amérique augmentent à cause des problèmes de santé mentale, du stress et de l'anxiété et de la crise des opioïdes, il est important de ne pas négliger le suicide qui se pose en Amérique et c'est un problème qu'il ne faudrait pas négliger.
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-20/professions-highest-and-lowest-suicide-rates
«GILETS JAUNES» - L'ASSEMBLÉE VOTE LES MESURES D'URGENCE
RépondreSupprimerLes députés français ont adopté dans la nuit de jeudi à vendredi les mesures d'urgence promises aux «gilets jaunes».
21.12.2018
Des séparatistes catalans et des «gilets jaunes» français ont menacé jeudi de bloquer à partir de vendredi de nombreux axes routiers entre la France et l'Espagne, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Né le 18 octobre 2018, le mouvement protestait contre la hausse des prix du carburant annoncé par le gouvernement qui, depuis, a reculé. Mais il représente une colère sociale plus large.
Prime exceptionnelle, heures sup défiscalisées, exonération élargie de hausse de CSG pour des retraités: l'Assemblée nationale a donné son feu vert dans la nuit de jeudi à vendredi aux mesures d'urgence du gouvernement pour répondre à la crise des «gilets jaunes».
Après plus de treize heures de vifs débats, le projet de loi portant «mesures d'urgence économiques et sociales» a été approuvé par 153 voix contre 9 et 58 abstentions. Le texte, examiné en procédure accélérée, passera dans la foulée ce vendredi par le Sénat.
Son président Gérard Larcher a souhaité un «vote conforme» de la chambre haute, à majorité de droite, ce qui permettrait l'adoption du texte avant les vacances parlementaires.
Ces mesures apportent «des réponses rapides, fortes et concrètes» à la crise des «gilets jaunes», «condition d'un apaisement» même si «cela ne suffira pas», a affirmé la ministre du Travail Muriel Pénicaud, présente aux côtés d'Agnès Buzyn (Santé).
«Trompe l'oeil»
C'est plutôt un «trompe l'oeil» a dénoncé la gauche de la gauche. «Vous pensez que vous allez régler le problème avec quatre mesures et un grand débat (...) il ne vous restera qu'à croiser les doigts pour que les gens s'en contentent», a répondu le chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, lançant: «Vous allez avoir Noël aux ronds-points».
«Votre projet de loi répond à la règle des trois E: embrouille, entourloupe et emberlificotage», a raillé le communiste Pierre Dharréville.
Défiscalisation
Communistes et Insoumis ont réclamé en vain le retrait de la mesure portant sur la défiscalisation des heures supplémentaires, «mesure sarkozyste dangereuse» selon eux. La demande des Républicains d'exonérer ces heures supplémentaires de cotisations patronales a été rejetée elle aussi. La majorité ne souhaite pas que les entreprises recourent à ce moyen au lieu d'embaucher de nouveaux salariés.
Les oppositions de gauche comme de droite ont jugé «injuste» la prime exceptionnelle de 1000 euros détaxée que les entreprises auront la possibilité de verser, d'ici le 31 mars, à des salariés rémunérés jusqu'à 3600 euros.
«GILETS JAUNES» - L'ASSEMBLÉE VOTE LES MESURES D'URGENCE
RépondreSupprimerLes députés français ont adopté dans la nuit de jeudi à vendredi les mesures d'urgence promises aux «gilets jaunes».
21.12.2018
Des séparatistes catalans et des «gilets jaunes» français ont menacé jeudi de bloquer à partir de vendredi de nombreux axes routiers entre la France et l'Espagne, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Né le 18 octobre 2018, le mouvement protestait contre la hausse des prix du carburant annoncé par le gouvernement qui, depuis, a reculé. Mais il représente une colère sociale plus large.
Prime exceptionnelle, heures sup défiscalisées, exonération élargie de hausse de CSG pour des retraités: l'Assemblée nationale a donné son feu vert dans la nuit de jeudi à vendredi aux mesures d'urgence du gouvernement pour répondre à la crise des «gilets jaunes».
Après plus de treize heures de vifs débats, le projet de loi portant «mesures d'urgence économiques et sociales» a été approuvé par 153 voix contre 9 et 58 abstentions. Le texte, examiné en procédure accélérée, passera dans la foulée ce vendredi par le Sénat.
Son président Gérard Larcher a souhaité un «vote conforme» de la chambre haute, à majorité de droite, ce qui permettrait l'adoption du texte avant les vacances parlementaires.
Ces mesures apportent «des réponses rapides, fortes et concrètes» à la crise des «gilets jaunes», «condition d'un apaisement» même si «cela ne suffira pas», a affirmé la ministre du Travail Muriel Pénicaud, présente aux côtés d'Agnès Buzyn (Santé).
«Trompe l'oeil»
C'est plutôt un «trompe l'oeil» a dénoncé la gauche de la gauche. «Vous pensez que vous allez régler le problème avec quatre mesures et un grand débat (...) il ne vous restera qu'à croiser les doigts pour que les gens s'en contentent», a répondu le chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, lançant: «Vous allez avoir Noël aux ronds-points».
«Votre projet de loi répond à la règle des trois E: embrouille, entourloupe et emberlificotage», a raillé le communiste Pierre Dharréville.
Défiscalisation
Communistes et Insoumis ont réclamé en vain le retrait de la mesure portant sur la défiscalisation des heures supplémentaires, «mesure sarkozyste dangereuse» selon eux. La demande des Républicains d'exonérer ces heures supplémentaires de cotisations patronales a été rejetée elle aussi. La majorité ne souhaite pas que les entreprises recourent à ce moyen au lieu d'embaucher de nouveaux salariés.
Les oppositions de gauche comme de droite ont jugé «injuste» la prime exceptionnelle de 1000 euros détaxée que les entreprises auront la possibilité de verser, d'ici le 31 mars, à des salariés rémunérés jusqu'à 3600 euros.
«De nombreuses petites et moyennes entreprises ne pourront néanmoins pas les verser», faute de trésorerie suffisante, a souligné Gilles Lurton (LR). Sur la CSG, les Républicains ont défendu sans succès des amendements pour que la mesure touche l'ensemble des retraités.
RépondreSupprimerRevalorisation
L'article 4 du projet de loi, qui prévoit un rapport du gouvernement sur «la revalorisation exceptionnelle de la prime d'activité au 1er janvier 2019» - la mesure de revalorisation elle-même ne passant pas par la loi mais le règlement - a donné lieu à des débats houleux sur la promesse d'Emmanuel Macron (hausse de revenu de 100 euros autour du Smic).
La tension est montée entre Agnès Buzyn et les socialistes Boris Vallaud et Valérie Rabault. Cette dernière a accusé le gouvernement d'avoir présenté un budget pour 2019 «insincère» avec des crédits insuffisants pour la prime d'activité. «Vous nous avez laissé une ardoise de 800 millions d'euros. Ça, c'est un budget insincère!» (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/assemblee-vote-mesures-durgence/story/12887795
Ils peuvent raconter n'importe quoi et promettre la lune pour tous RIEN NE REMPLACERA LA DÉMOCRATIE !
SupprimerC'est le Peuple qui doit pouvoir s'exprimer et non un nano-groupuscule de dictateurs marrons !