FRANCE - LE PRÉSIDENT DE L'ASSEMBLÉE OFFENSE LA SUISSE
Le président de l'Assemblée nationale en France, Richard Ferrand, a tenu des propos insultants sur le système démocratique suisse.
PAR PASCAL SCHMUCK 18.12.2018, 11h16
Emoi et stupeur en Suisse: le président de l'Assemblée nationale en France, Richard Ferrand, une des plus hautes personnalités de la République française, insulte le système de démocratie semi-directe en Suisse, ainsi que le rapporte 24 Heures.
Dans une intervention à Paris, il a estimé que les thèmes de votations en Suisse «sont très souvent le fait de quelques cliques affairistes et de quelques lobbyistes qui, à la fin, sont d’ailleurs démasqués».
Il n'en fallait pas plus pour que Guillaume Barrazone, conseiller national et membre de l’Exécutif de la Ville de Genève, lui administre une volée de bois vert sur Twitter.
Le ton est monté lorsque Richard Ferrand a démenti et accusé le Genevois de propager des «fausses nouvelles». Problème: sa tirade a été enregistrée et Guillaume Barrazone ne s'est pas privé de la publier.
Le sujet du RIC ou référendum d'initiative citoyenne tel que réclamé par les «Gilets Jaunes» suscite des tensions des deux côtés du Jura. Le journaliste français et commentateur politique Alain Duhamel a estimé que le système de démocratie directe impliquait «un risque de tyrannie de la minorité sur la majorité». La réponse de son confrère de la RTS Romain Clivaz a au moins le mérite d'être clair.
Quand une dictature (république) veut donner des leçons à une Démocratie !!! En Suisse C'EST LE PEUPLE QUI DIRIGE !
Ce sont les Suisses qui proposent LEURS lois et votent LEURS lois (et non de FAUX représentants qui votent CONTRE le Peuple). Le ou la chef(fe) de l'État (élu(e) pour 1 an) est aux ordres du Peuple qui fait la loi et prouve sa majorité.
J’ai (re)regardé il y a quelques jour le film « Christophe Colomb » avec Depardieu dans le rôle de l’explorateur et en lisant un article paru sur le site Associated Press daté du 6 décembre 2018 je me suis demandé si je n’avais pas d’hallucinations. L’armateur Maersk a équipé un tanker de 245 mètres de long, le Maersk Pelican, de deux « voiles tournantes » de 35 mètres de haut et 6 mètres de diamètre pour économiser (estimation à vérifier) entre 7 et 10 % de fuel lourd chargé en soufre provenant des « queues » de raffinage et dont on ne sait que faire d’autre que de l’utiliser dans des moteurs diesel deux-temps équipant plus de 50000 gros navires dans le monde. Que l’on ne se méprenne pas il ne s’agit pas vraiment de voiles mais de cylindres tournants dont la rotation est assurée par des groupes électrogènes situés dans le local de la machinerie de propulsion classique. L’estimation précisée plus haut n’a pas encore été vérifiée dans les conditions réelles comme par exemple un voyage entre le Golfe Persique et le port de Rotterdam via le Cap.
Cette technologie qui vit le jour dans les années 1920 redevient aujourd’hui à la mode si on peut dire les choses ainsi en ces temps où les émissions de carbone sont devenues la bête noire des écologistes politiques de tout poil qui veulent absolument que le monde entier fasse un effort pour sauver Gaïa. Il s’agit de mettre à profit les turbulences crées dans un flux d’air – dans le cas d’un navire le vent – pour produire une force de propulsion appellée force de Magnus apparaîssant entre les deux surfaces opposées du cylindre de par la différence des vitesses d’écoulement du flux d’air (voir le lien Wikipedia).
Ces mêmes écologistes mettent la pression sur les affrêteurs et les compagnies aériennes pour qu’ils réduisent leurs émissions de carbone chaque fois que l’IPCC se manifeste publiquement comme ce fut le cas la semaine dernière en Pologne. Ce type d’appoint à la propulsion maritime me fait furieusement penser aux moulins à vent dans le cadre de la production d’électricité, une sorte de rêve coûteux et tout simplement inefficace en arrière plan dans l’illustration (photo de Maersk). Il faut rappeler que les transports commerciaux aériens et maritimes sont exclus du système de taxation mis en place pour sauvegarder le climat pour une raison simple : qui taxer ? l’affrêteur, l’armateur, le client, la compagnie aérienne, le pavillon comme par exemple le Panama ou le Liberia, le loueur d’avion, nul ne le sait et il s’agit d’un problème juridique international défiant l’intelligence des meilleurs juristes. À ce propos on peut se demander à juste titre si la taxe carbone appliquée par le gouvernement français aux billets d’avion de la seule compagnie Air France et instituée par l’administration Hollande est juridiquement valable au niveau international (merci Fabius, du coup je ne voyage plus avec Air France).
Bref, ces « voiles » tournantes ne remplaceront jamais les bons vieux moteurs diesel mais il est raisonnable de songer que dans peut-être moins de 20 ans les gros navires marchands se verront peut-être équipés progressivement de propulsion nucléaire si les militaires abandonnent leur droit de contrôle sur l’uranium hautement enrichi dit de qualité militaire ou bien si la créativité humaine met au point des petits réacteurs nucléaires modulaires à haute température pouvant être rechargés en un temps record lorsqu’un navire est en mouillage au port. Il ne faut pas baisser les bras, le génie créatif des humains est sans limite mais ces gros tubes qui doivent pouvoir être rétractés dans la coque pour un porte-container par exemple me semblent une vue de l’esprit …
Source : Maersk et https://en.wikipedia.org/wiki/Magnus_effect
Quand on voit seulement tout le mal que peuvent avoir des tri ou catamarans pour traverser l'Atlantique avec une voile de 60 m², l'on ne peut que rigoler quand on voit des porte-container de plus de 210 000 tonnes... ou pétroliers de 564 000 tonnes équipés de voiles (de combien de km² ?) et qui seraient de gagner jusqu'à 10 % d'économie en carburant !!! HAHAHAHAHA !
La police métropolitaine teste une technologie de reconnaissance faciale dans le centre de Londres
par Tyler Durden Mar., 18/12/2018 - 02:45
La Chine est de loin le chef de file mondial en matière de déploiement de la technologie de reconnaissance faciale pour maintenir l'ordre public (et, bien entendu, de l'emprise de fer du Parti communiste sur les leviers du pouvoir). Mais il semble que le Royaume-Uni fait des progrès importants dans cette direction.
Selon la BBC, quiconque se déplaçant dans le centre de Londres cette semaine pourrait se faire scanner le visage par le département de la police métropolitaine dans le cadre d'un procès public visant à déterminer l'efficacité de l'utilisation de cette technologie à des fins répressives. Pour tenter de maintenir la «transparence», la police a déclaré qu'elle demanderait la permission aux passants avant de scanner. Et quiconque refuse "ne sera pas traité comme suspect", ce qui semble si ... rassurant.
Les tests auront lieu près de Soho, Piccadilly Circus et Leicester Square lundi et mardi.
Sans surprise, les groupes britanniques favorables à la protection de la vie privée ne sont pas ravis des projets du Met: un groupe appelé Big Brother Watch a décrié la technologie de reconnaissance faciale comme étant "autoritaire, dangereuse et sans loi".
"Surveiller des personnes innocentes en public constitue une violation des droits fondamentaux à la vie privée et à la liberté de parole et de réunion", a déclaré le groupe.
La police espère que la technologie pourra identifier les suspects.
De peur que quelqu'un craigne d'être enregistré, identifié et étiqueté subrepticement, la BBC a déclaré que des policiers clairement identifiés et en uniforme distribueraient des pamphlets informatifs pour "informer" le public du procès.
La BBC a également publié une infographie pratique:
- voir tableau sur site -
Le contrôleur britannique de l'information a commencé à explorer l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale par les forces de police en novembre, et l'étude dans certaines des zones les plus victimes de la traite à Londres constitue la prochaine étape logique vers sa mise en œuvre. La commissaire à l'information, Elizabeth Denham, a déclaré que la technologie pourrait apporter "d'importants avantages pour la sécurité publique". Elle a également admis que cela pourrait être "particulièrement intrusif" et représenterait "un réel pas en avant vers un changement dans la manière dont les personnes respectueuses de la loi sont surveillées".
Bien sûr, le gouvernement britannique n’est pas le seul organisme à avoir fait les gros titres récemment en raison de son utilisation controversée de la technologie de numérisation faciale: Taylor Swift a récemment suscité la controverse après que son équipe eut utilisé la technologie de reconnaissance faciale pour analyser le performance récente pour les harceleurs Swift connus (Swalkers?).
En revenant au Royaume-Uni, nous ne pouvons que nous demander: si l’étude sera aussi "non intrusive", la police autorisera-t-elle les suspects identifiés dans la présente étude?
Pourquoi cette course soudaine et effrénée envers la 'reconnaissance faciale' alors que ce sont elles-mêmes les 'autorités' qui ont formé et fait entrer les terroristes sur le territoire ? C'est l'arbre qui cache la forêt ! La vérité est que les besoins plus qu'urgent de Démocratie franchissent tous les jours toutes les frontières du monde et incitent les internautes à s'instruire sur leur condition réelle et non celle décrite par les dictatures !
Macron prêt à utiliser des armes chimiques sur les gilets jaunes ?
Revolution Permanente lun., 17 déc. 2018 22:25 UTC
Suite à la polémique ouverte par l'article de Marianne sur la possibilité que des blindés soient équipés de "gaz incapacitant", nous relayons ci-dessous un article de vu sur Paris-Luttes Infos.
Un article de Marianne qui revient sur le dispositif policier du 8 décembre à Paris fait froid dans le dos. En effet l'hebdomadaire écrit :
" Samedi 8 décembre, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris étaient secrètement équipés d'un dispositif radical, qui n'aurait été utilisé « qu'en dernier recours » : une réserve de liquide incapacitant. Selon nos sources, la pulvérisation de ce liquide sur une foule de gilets jaunes aurait été capable de « les arrêter net, mettant les gens à terre, même avec des masques ». Chaque engin aurait pu « neutraliser » une surface de plusieurs terrains de football... « Heureusement, que l'on n'en est pas arrivé là », ajoute cette source haut placée dans le dispositif policier. « L'autorité politique », comme le disent les fonctionnaires, aurait approuvé l'éventuel emploi d'un tel produit, qui n'aurait été utilisé qu'en cas de « débordement ultime ». "
Alors, info ou intox ? Certains sur le web évoquent le gaz CN qui était utilisé autrefois en France. On peut penser que la France dispose encore de certain de ces stocks. La préfecture a tout intérêt à se montrer puissante et bien armée et on pourrait aussi penser qu'il s'agit d'une opération de communication. Pourtant suite à la publication de l'article de Marianne, la Gendarmerie à voulu préciser le dispositif employé en parlant de "poudre" au lieu de "liquide" relançant par la même les spéculations.
A la suite de la parution de notre article, la gendarmerie nationale a souhaité préciser que le dispositif dont nous vous rapportons l'existence n'est pas un liquide mais une « poudre »... Certains blindés déployés à Paris samedi étaient bien équipés d'un dispositif de « pulvérisation » d'un produit « incapacitant », de type « lacrymogène à dose forte », qui n'aurait été utilisé que sur « ordre d'une autorité ». Chacun des blindés équipés de ce dispositif de pulvérisation (visible en haut à droite face à l'engin) contient trois bouteilles de plongée dont deux sont chargées de la fameuse poudre sous pression. « Cela n'a jamais été utilisé en métropole », confie à Marianne le Sirpa gendarmerie, qui reconnaît qu'en « configuration normale », un blindé peut « pulvériser » sous forme d'épandage sur l'équivalent d'une surface de « un à deux terrains de football ». Marianne maintient que lors des réunions de crise au plus haut niveau, préparatoires à la manifestation du 8 décembre, il a bien été question de ce dispositif comme d'un « dernier rempart »... et qu'il aurait été capable « d'arrêter net une foule, mettant les gens à terre, même avec des masques ».
De quoi parle-t-on vraiment ? Quel est la nature chimique de cette "poudre" ou de ce "liquide" ? Dans quel cadre les politiques ont-ils pensé utiliser cette arme ? Autant de questions légitimes auxquelles le ministre de l'intérieur devra répondre.
Commentaire : Sur le gaz CN : On l'a étudié durant les deux guerres mondiales, mais pas utilisé. Les forces américaines l'ont utilisé au Vietnam. Du fait de sa toxicité plus élevée, il a largement été supplanté par le 2-chlorobenzylidène malonitrile (CS).
Le CN est toujours utilisé par les forces de police ou paramilitaires, sous forme de petits aérosols pressurisés sous le nom de « Mace (en) » ou gaz lacrymogène. Son usage a aussi chuté par le développement de sprays à base de gaz poivre qui fonctionne plus rapidement, et dont l'effet disparait plus rapidement que le CN.
Le terme « Mace », à l'origine la marque de premier fabricant de spray aérosol au CN, est devenu une marque utilisée comme nom aux États-Unis, comme synonyme de gaz lacrymogène.
Comme le gaz CS, ce composé irrite les muqueuses (bouche, nez, yeux, ...). Parfois il peut avoir des effets plus généraux, comme une syncope, ou une perte temporaire de repères. Plus rarement, il peut provoquer des irritations cutanées, voire des dermatites de contact allergique.
Une haute concentration en CN peut causer des dommages aux épithéliums de la cornée voire un chémosis. Le CN serait à l'origine d'au moins cinq morts, par lésions pulmonaires et/ou asphyxie6.
FRANCE - LE PRÉSIDENT DE L'ASSEMBLÉE OFFENSE LA SUISSE
RépondreSupprimerLe président de l'Assemblée nationale en France, Richard Ferrand, a tenu des propos insultants sur le système démocratique suisse.
PAR PASCAL SCHMUCK
18.12.2018, 11h16
Emoi et stupeur en Suisse: le président de l'Assemblée nationale en France, Richard Ferrand, une des plus hautes personnalités de la République française, insulte le système de démocratie semi-directe en Suisse, ainsi que le rapporte 24 Heures.
Dans une intervention à Paris, il a estimé que les thèmes de votations en Suisse «sont très souvent le fait de quelques cliques affairistes et de quelques lobbyistes qui, à la fin, sont d’ailleurs démasqués».
Il n'en fallait pas plus pour que Guillaume Barrazone, conseiller national et membre de l’Exécutif de la Ville de Genève, lui administre une volée de bois vert sur Twitter.
Le ton est monté lorsque Richard Ferrand a démenti et accusé le Genevois de propager des «fausses nouvelles». Problème: sa tirade a été enregistrée et Guillaume Barrazone ne s'est pas privé de la publier.
Le sujet du RIC ou référendum d'initiative citoyenne tel que réclamé par les «Gilets Jaunes» suscite des tensions des deux côtés du Jura. Le journaliste français et commentateur politique Alain Duhamel a estimé que le système de démocratie directe impliquait «un risque de tyrannie de la minorité sur la majorité». La réponse de son confrère de la RTS Romain Clivaz a au moins le mérite d'être clair.
- voir clip sur site:
https://www.lematin.ch/suisse/president-assemblee-offense-suisse/story/21617857
Quand une dictature (république) veut donner des leçons à une Démocratie !!!
SupprimerEn Suisse C'EST LE PEUPLE QUI DIRIGE !
Ce sont les Suisses qui proposent LEURS lois et votent LEURS lois (et non de FAUX représentants qui votent CONTRE le Peuple).
Le ou la chef(fe) de l'État (élu(e) pour 1 an) est aux ordres du Peuple qui fait la loi et prouve sa majorité.
Un pétrolier à voiles : Retour vers le passé !
RépondreSupprimerle 18 décembre 2018
J’ai (re)regardé il y a quelques jour le film « Christophe Colomb » avec Depardieu dans le rôle de l’explorateur et en lisant un article paru sur le site Associated Press daté du 6 décembre 2018 je me suis demandé si je n’avais pas d’hallucinations. L’armateur Maersk a équipé un tanker de 245 mètres de long, le Maersk Pelican, de deux « voiles tournantes » de 35 mètres de haut et 6 mètres de diamètre pour économiser (estimation à vérifier) entre 7 et 10 % de fuel lourd chargé en soufre provenant des « queues » de raffinage et dont on ne sait que faire d’autre que de l’utiliser dans des moteurs diesel deux-temps équipant plus de 50000 gros navires dans le monde. Que l’on ne se méprenne pas il ne s’agit pas vraiment de voiles mais de cylindres tournants dont la rotation est assurée par des groupes électrogènes situés dans le local de la machinerie de propulsion classique. L’estimation précisée plus haut n’a pas encore été vérifiée dans les conditions réelles comme par exemple un voyage entre le Golfe Persique et le port de Rotterdam via le Cap.
Cette technologie qui vit le jour dans les années 1920 redevient aujourd’hui à la mode si on peut dire les choses ainsi en ces temps où les émissions de carbone sont devenues la bête noire des écologistes politiques de tout poil qui veulent absolument que le monde entier fasse un effort pour sauver Gaïa. Il s’agit de mettre à profit les turbulences crées dans un flux d’air – dans le cas d’un navire le vent – pour produire une force de propulsion appellée force de Magnus apparaîssant entre les deux surfaces opposées du cylindre de par la différence des vitesses d’écoulement du flux d’air (voir le lien Wikipedia).
Ces mêmes écologistes mettent la pression sur les affrêteurs et les compagnies aériennes pour qu’ils réduisent leurs émissions de carbone chaque fois que l’IPCC se manifeste publiquement comme ce fut le cas la semaine dernière en Pologne. Ce type d’appoint à la propulsion maritime me fait furieusement penser aux moulins à vent dans le cadre de la production d’électricité, une sorte de rêve coûteux et tout simplement inefficace en arrière plan dans l’illustration (photo de Maersk). Il faut rappeler que les transports commerciaux aériens et maritimes sont exclus du système de taxation mis en place pour sauvegarder le climat pour une raison simple : qui taxer ? l’affrêteur, l’armateur, le client, la compagnie aérienne, le pavillon comme par exemple le Panama ou le Liberia, le loueur d’avion, nul ne le sait et il s’agit d’un problème juridique international défiant l’intelligence des meilleurs juristes. À ce propos on peut se demander à juste titre si la taxe carbone appliquée par le gouvernement français aux billets d’avion de la seule compagnie Air France et instituée par l’administration Hollande est juridiquement valable au niveau international (merci Fabius, du coup je ne voyage plus avec Air France).
Bref, ces « voiles » tournantes ne remplaceront jamais les bons vieux moteurs diesel mais il est raisonnable de songer que dans peut-être moins de 20 ans les gros navires marchands se verront peut-être équipés progressivement de propulsion nucléaire si les militaires abandonnent leur droit de contrôle sur l’uranium hautement enrichi dit de qualité militaire ou bien si la créativité humaine met au point des petits réacteurs nucléaires modulaires à haute température pouvant être rechargés en un temps record lorsqu’un navire est en mouillage au port. Il ne faut pas baisser les bras, le génie créatif des humains est sans limite mais ces gros tubes qui doivent pouvoir être rétractés dans la coque pour un porte-container par exemple me semblent une vue de l’esprit …
RépondreSupprimerSource : Maersk et https://en.wikipedia.org/wiki/Magnus_effect
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/12/18/un-petrolier-a-voiles-retour-vers-le-passe/
Quand on voit seulement tout le mal que peuvent avoir des tri ou catamarans pour traverser l'Atlantique avec une voile de 60 m², l'on ne peut que rigoler quand on voit des porte-container de plus de 210 000 tonnes... ou pétroliers de 564 000 tonnes équipés de voiles (de combien de km² ?) et qui seraient de gagner jusqu'à 10 % d'économie en carburant !!! HAHAHAHAHA !
SupprimerLa police métropolitaine teste une technologie de reconnaissance faciale dans le centre de Londres
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 18/12/2018 - 02:45
La Chine est de loin le chef de file mondial en matière de déploiement de la technologie de reconnaissance faciale pour maintenir l'ordre public (et, bien entendu, de l'emprise de fer du Parti communiste sur les leviers du pouvoir). Mais il semble que le Royaume-Uni fait des progrès importants dans cette direction.
Selon la BBC, quiconque se déplaçant dans le centre de Londres cette semaine pourrait se faire scanner le visage par le département de la police métropolitaine dans le cadre d'un procès public visant à déterminer l'efficacité de l'utilisation de cette technologie à des fins répressives. Pour tenter de maintenir la «transparence», la police a déclaré qu'elle demanderait la permission aux passants avant de scanner. Et quiconque refuse "ne sera pas traité comme suspect", ce qui semble si ... rassurant.
Les tests auront lieu près de Soho, Piccadilly Circus et Leicester Square lundi et mardi.
Sans surprise, les groupes britanniques favorables à la protection de la vie privée ne sont pas ravis des projets du Met: un groupe appelé Big Brother Watch a décrié la technologie de reconnaissance faciale comme étant "autoritaire, dangereuse et sans loi".
"Surveiller des personnes innocentes en public constitue une violation des droits fondamentaux à la vie privée et à la liberté de parole et de réunion", a déclaré le groupe.
La police espère que la technologie pourra identifier les suspects.
De peur que quelqu'un craigne d'être enregistré, identifié et étiqueté subrepticement, la BBC a déclaré que des policiers clairement identifiés et en uniforme distribueraient des pamphlets informatifs pour "informer" le public du procès.
La BBC a également publié une infographie pratique:
- voir tableau sur site -
Le contrôleur britannique de l'information a commencé à explorer l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale par les forces de police en novembre, et l'étude dans certaines des zones les plus victimes de la traite à Londres constitue la prochaine étape logique vers sa mise en œuvre. La commissaire à l'information, Elizabeth Denham, a déclaré que la technologie pourrait apporter "d'importants avantages pour la sécurité publique". Elle a également admis que cela pourrait être "particulièrement intrusif" et représenterait "un réel pas en avant vers un changement dans la manière dont les personnes respectueuses de la loi sont surveillées".
Bien sûr, le gouvernement britannique n’est pas le seul organisme à avoir fait les gros titres récemment en raison de son utilisation controversée de la technologie de numérisation faciale: Taylor Swift a récemment suscité la controverse après que son équipe eut utilisé la technologie de reconnaissance faciale pour analyser le performance récente pour les harceleurs Swift connus (Swalkers?).
RépondreSupprimerEn revenant au Royaume-Uni, nous ne pouvons que nous demander: si l’étude sera aussi "non intrusive", la police autorisera-t-elle les suspects identifiés dans la présente étude?
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-17/metropolitan-police-testing-facial-recognition-technology-central-london
Pourquoi cette course soudaine et effrénée envers la 'reconnaissance faciale' alors que ce sont elles-mêmes les 'autorités' qui ont formé et fait entrer les terroristes sur le territoire ? C'est l'arbre qui cache la forêt ! La vérité est que les besoins plus qu'urgent de Démocratie franchissent tous les jours toutes les frontières du monde et incitent les internautes à s'instruire sur leur condition réelle et non celle décrite par les dictatures !
SupprimerMacron prêt à utiliser des armes chimiques sur les gilets jaunes ?
RépondreSupprimerRevolution Permanente
lun., 17 déc. 2018 22:25 UTC
Suite à la polémique ouverte par l'article de Marianne sur la possibilité que des blindés soient équipés de "gaz incapacitant", nous relayons ci-dessous un article de vu sur Paris-Luttes Infos.
Un article de Marianne qui revient sur le dispositif policier du 8 décembre à Paris fait froid dans le dos. En effet l'hebdomadaire écrit :
" Samedi 8 décembre, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris étaient secrètement équipés d'un dispositif radical, qui n'aurait été utilisé « qu'en dernier recours » : une réserve de liquide incapacitant. Selon nos sources, la pulvérisation de ce liquide sur une foule de gilets jaunes aurait été capable de « les arrêter net, mettant les gens à terre, même avec des masques ». Chaque engin aurait pu « neutraliser » une surface de plusieurs terrains de football... « Heureusement, que l'on n'en est pas arrivé là », ajoute cette source haut placée dans le dispositif policier. « L'autorité politique », comme le disent les fonctionnaires, aurait approuvé l'éventuel emploi d'un tel produit, qui n'aurait été utilisé qu'en cas de « débordement ultime ». "
Alors, info ou intox ? Certains sur le web évoquent le gaz CN qui était utilisé autrefois en France. On peut penser que la France dispose encore de certain de ces stocks. La préfecture a tout intérêt à se montrer puissante et bien armée et on pourrait aussi penser qu'il s'agit d'une opération de communication. Pourtant suite à la publication de l'article de Marianne, la Gendarmerie à voulu préciser le dispositif employé en parlant de "poudre" au lieu de "liquide" relançant par la même les spéculations.
A la suite de la parution de notre article, la gendarmerie nationale a souhaité préciser que le dispositif dont nous vous rapportons l'existence n'est pas un liquide mais une « poudre »... Certains blindés déployés à Paris samedi étaient bien équipés d'un dispositif de « pulvérisation » d'un produit « incapacitant », de type « lacrymogène à dose forte », qui n'aurait été utilisé que sur « ordre d'une autorité ». Chacun des blindés équipés de ce dispositif de pulvérisation (visible en haut à droite face à l'engin) contient trois bouteilles de plongée dont deux sont chargées de la fameuse poudre sous pression. « Cela n'a jamais été utilisé en métropole », confie à Marianne le Sirpa gendarmerie, qui reconnaît qu'en « configuration normale », un blindé peut « pulvériser » sous forme d'épandage sur l'équivalent d'une surface de « un à deux terrains de football ». Marianne maintient que lors des réunions de crise au plus haut niveau, préparatoires à la manifestation du 8 décembre, il a bien été question de ce dispositif comme d'un « dernier rempart »... et qu'il aurait été capable « d'arrêter net une foule, mettant les gens à terre, même avec des masques ».
De quoi parle-t-on vraiment ? Quel est la nature chimique de cette "poudre" ou de ce "liquide" ? Dans quel cadre les politiques ont-ils pensé utiliser cette arme ? Autant de questions légitimes auxquelles le ministre de l'intérieur devra répondre.
Commentaire : Sur le gaz CN :
RépondreSupprimerOn l'a étudié durant les deux guerres mondiales, mais pas utilisé. Les forces américaines l'ont utilisé au Vietnam. Du fait de sa toxicité plus élevée, il a largement été supplanté par le 2-chlorobenzylidène malonitrile (CS).
Le CN est toujours utilisé par les forces de police ou paramilitaires, sous forme de petits aérosols pressurisés sous le nom de « Mace (en) » ou gaz lacrymogène. Son usage a aussi chuté par le développement de sprays à base de gaz poivre qui fonctionne plus rapidement, et dont l'effet disparait plus rapidement que le CN.
Le terme « Mace », à l'origine la marque de premier fabricant de spray aérosol au CN, est devenu une marque utilisée comme nom aux États-Unis, comme synonyme de gaz lacrymogène.
Comme le gaz CS, ce composé irrite les muqueuses (bouche, nez, yeux, ...). Parfois il peut avoir des effets plus généraux, comme une syncope, ou une perte temporaire de repères. Plus rarement, il peut provoquer des irritations cutanées, voire des dermatites de contact allergique.
Une haute concentration en CN peut causer des dommages aux épithéliums de la cornée voire un chémosis. Le CN serait à l'origine d'au moins cinq morts, par lésions pulmonaires et/ou asphyxie6.
https://fr.sott.net/article/33256-Macron-pret-a-utiliser-des-armes-chimiques-sur-les-gilets-jaunes