A savoir qu'en toute absence de Démocratie dans un pays, seule la dictature parle, tue et rigole.
Du '3 Pouvoirs (Dictature, Merdia et Religion)' l'on passe à Dictature, Immigration, Français. Premier: Plan d'attaque, second: action guerre civile. Le pouvoir n'est pas une question d'argent puisqu'il est fabriqué avec un doigt posé sur l'ordinateur et n'a donc aucune valeur, mais seulement une question d'arme. C'est pourquoi face aux revendications pacifiques des citoyens se dresse la mort armée de blindée, de rayons paralysants, de lances à eau, de taser et des coups de matraques pour handicaper à vie toute personne approchée ! Le nombre de morts étant caché est remplacé aussitôt par un immigré ('réfugié climatique' !! Hahaha !) ravi d'avoir des sous sans travailler et qui soutiendra bien-sûr la dictature en place. C'est pourquoi, comme la Démocratie est obligatoire dans les temps à venir, les dictatures se protègent en faisant appel à coups de milliards aux étrangers (uniquement musulmans) qu'ils vont jusqu'à chercher chez eux en leurs demeures.
Un nouvel article explique comment la politique « post-vérité » met la science en péril
15 Décembre 2018 par Seppi Mark Lynas*
Un nouvel article publié dans le journal de haut niveau PNAS décrit les défis que pose à la connaissance scientifique la prolifération d'informations erronées en ligne sur des questions telles que le changement climatique, les vaccins et les plantes génétiquement modifiées.
Il décrit comment « de profonds changements structurels dans l'environnement médiatique » ont « permis à des acteurs peu scrupuleux, aux motifs cachés, de faire circuler de plus en plus d'infox, de fausses informations et de désinformation à l'aide de trolls, de robots et d'algorithmes pilotés par les répondants ».
En raison de ces changements structurels, « les points de vue des scientifiques et du public sont maintenant très éloignés les uns des autres » sur des questions telles que le climat, les vaccins et les OGM et seulement 21 % des adultes américains déclarent avoir « une grande confiance » dans le fait que les scientifiques agissent dans le meilleur intérêt du public.
En conséquence, l'article a averti que « chaque fois que des conclusions scientifiques contrediront l'agenda politique d'une personne ou d'un groupe, qu'ils soient conservateurs (comme pour la science du climat et l'immigration) ou de gauche (comme pour les aliments génétiquement modifiés et les risques de la vaccination), les scientifiques peuvent s'attendre à une campagne ciblée de fausses nouvelles, d'informations erronées et de désinformation en réponse, quelle que soit la clarté avec laquelle l'information est présentée ou le soin et la force de conviction mis dans sa formulation. »
L'article a été rédigé par Shanto Iyengar de l’Université de Stanford et Douglas S. Massey de Princeton, qui ont tous deux participé au colloque organisé par l’Académie Nationale des Sciences des États-Unis sur la science et la communication. Il est disponible en texte intégral en ligne.
Les auteurs soulignent que s’il peut être utile d’améliorer la capacité des scientifiques à communiquer avec le public, « nous soupçonnons que la méfiance à l’égard des activités scientifiques et les idées fausses sur les connaissances qu’elles produisent ont de moins en moins à voir avec les problèmes de communication et de plus en plus avec la disponibilité d'informations trompeuses et biaisées d'accès facile dans les médias. »
L'article analyse les profonds changements structurels intervenus dans le paysage médiatique depuis 1970, notamment « la déréglementation de la radiodiffusion, l'abrogation de la doctrine de l'équité [Fairness Doctrine], l'essor de la télévision par câble, l'avènement de l'Internet et le développement des réseaux sociaux », qui ont contribué à une polarisation politique et une animosité partisane croissantes.
Bien que les deux bords politiques puissent être des sources de la désinformation, les auteurs de l'article de PNAS ont déclaré très clairement que « les efforts délibérés pour saper la confiance dans la science proviennent malheureusement principalement de la droite du spectre politique » [aux États-Unis d'Amérique].
Alors que la confiance des libéraux [au sens états-unien] dans la communauté scientifique n’a guère changé au cours des dernières décennies, le pourcentage de conservateurs exprimant une grande confiance dans la communauté scientifique est tombé de 56 % à 36 % entre 1974 et 2016.
La polarisation partisane signifie que de plus en plus de citoyens sont coincés dans des « chambres de résonance », écrivent les auteurs, et que les gens sont devenus « plus enclins à rejeter les informations et les arguments qui s'opposent à leur vision du monde ». Quand les preuves scientifiques s'opposent aux allégeances partisanes, « elles sont soit rejetées, soit déformées, empêchant ainsi la diffusion des résultats scientifiques. »
Iyengar et Massey écrivent : « La prévisibilité des croyances et des attitudes partisanes représente un cas classique de raisonnement motivé dans lequel l'affirmation de l'identité partisane prime sur l'examen sans parti pris des preuves. »
L'article donne l'exemple d'une étude de l'Académie Nationale des Sciences sur l'immigration qui – bien qu'elle ait principalement montré que les impacts économiques de l'immigration sont principalement positifs – a été déformée par les médias conservateurs et la blogosphère pour lui faire dire le contraire.
L'article ne va pas jusqu'à proposer des solutions à la situation de plus en plus difficile en matière de communication qui touche la communauté scientifique. Les auteurs suggèrent qu'une réfutation rapide et organisée de la désinformation pourrait être utile, mais « étant donné ce que la recherche a révélé sur la façon dont la tribalisation de la société américaine a fermé les esprits américains, elle pourrait ne pas être très efficace ».
(...) seulement 21 % des adultes américains déclarent avoir « une grande confiance » dans le fait que les scientifiques agissent dans le meilleur intérêt du public. (...)
Les USA sont infestés de FAUX scientifiques qui prêchent la mort à tous ceux qui ne paient le prix pour respirer !! Certains étaient des scientifiques mais qui, privés de ressources pour les recherches ont cédé à la pression de se prostituer. C'est ainsi que des EX scientifiques ont pu parler aux merdias et dire le contraire de la vérité scientifique.
Ils ont été rayés du Conseil de l'Ordre pour avoir piétiner le Serment d'Hippocrate et traité la science comme un vulgaire excrément. Mais ils continuent à être écoutés par ceux qui ne savent pas, ne réfléchissent pas et détiennent un QI d'un enfant de 5 ans.
Gilets jaunes: Angela Merkel parle de «démocratie»
10:03 15.12.2018
En France, les quatre mobilisations des Gilets jaunes ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes. Pour Angela Merkel, ces manifestations sont une expression de la démocratie, mais la chancelière allemande appelle néanmoins à s’abstenir de violence, un «monopole de l’État» selon elle.
Pour Angela Merkel, les manifestations des Gilets jaunes, qui prévoient ce samedi un nouvel acte de mobilisation, sont une expression de la démocratie
«La possibilité d'exprimer sa protestation fait partie de la démocratie», a estimé devant les journalistes la chancelière allemande lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet de l'UE.
Mais elle a tout de suite averti contre la violence. «Le recours à la violence est un monopole de l'État», a-t-elle souligné.
La chancelière s'attend à ce que tous les manifestants partagent cette approche aussi bien en Allemagne qu'en France.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit toujours et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
A savoir que la dictature en place ne va pas glorifier/soutenir la Démocratie et donc parle d'elle comme étant une liberté d'actes de violence, de briser des vitrine, voler et d'incendier des voitures !!! Elle confond sa dictature avec la Démocratie qu'elle ne connait pas malgré que la Suisse soit frontalière à son pays !!
14 blindés et 8.000 policiers mobilisés: l'acte 5 des Gilets jaunes à Paris en direct
11:25 15.12.2018
Malgré les appels de nombreuses personnalités à ne pas descendre dans les rues ce samedi suite à la fusillade meurtrière de Strasbourg, les Gilets jaunes ont néanmoins annoncé leur mobilisation pour jouer leur acte 5. Les rassemblements se dérouleront sous haute surveillance avec le même effectif de sécurité que pour l’acte 4.
Quelques jours après l'attaque de Strasbourg, des incertitudes persistent sur l'ampleur de l'acte 5. Une mobilisation nationale des Gilets jaunes est prévue ce samedi 15 décembre malgré les multiples appels du gouvernement à ne pas descendre dans les rues après la fusillade sanglante de Strasbourg.
Pour assurer la sécurité, quelque 8.000 forces de l'ordre et 14 véhicules blindés seront mobilisés à Paris, ce qui revient au même dispositif que la semaine dernière.
«On s'adapte à la situation qui pourrait être la pire», a déclaré le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, sur RTL.
Des contrôles ont été menés dès vendredi soir pour détecter des individus armés qui viennent à Paris pour en découdre. La préfecture de police de Paris, la mairie, les enseignes de luxe et les directions d'établissements culturels ont pris des mesures préventives. Dans le même temps, Paris ne devrait pas être un camp retranché comme la semaine dernière. Michel Delpuech a annoncé que cette fois-ci beaucoup de musées, dont le Louvre, seront ouverts ce samedi.
Emmanuel Macron a annoncé lundi soir une exonération d'impôt et de cotisations sociales en ce qui concerne les heures supplémentaires, reprenant une mesure phare de Nicolas Sarkozy en 2007, laquelle avait ensuite été abrogée en 2012 par son successeur, François Hollande.
Juste après le discours, de nombreux Gilets jaunes ont annoncé leur détermination à poursuivre les blocages, notamment de ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Nouveaux messages 13:08 Vers 12h30 la préfecture de Paris a fait état de 85 interpellations dans la région parisienne.
12:36 En revanche, la Marseillaise a été entonnée par des Gilets jaunes près de l’Opéra Garnier à Paris. Souhaitant sortir de la zone dans laquelle les forces de l'ordre les contraignent à rester, ils scandent : «Macron démission!».
12:34 Le calme est revenu dans les différents points de manifestation à Paris, indiquent les médias.
12:30 À la mi-journée, la préfecture de police évoque déjà 72 interpellations à Paris et en petite couronne, contre plus de 500, enregistrées à la même heure la semaine dernière. La préfecture fait également état d’une «mobilisation plus faible» avec «quelques milliers de manifestants» à Paris, sans apporter plus de précisions, a relaté la BFMTV.
12:17 Les motards de la police équipés de Flash-balls se rendent sur les Champs-Élysées à Paris.
12:15 Quelque 64 personnes ont pour le moment été interpellées en région parisienne. Bien en-dessous des chiffres de la semaine dernière où 1.028 interpellations avaient été enregistrées à la mi-journée.
Manifestation des Gilets jaunes le 8 décembre 2018 Acte 5 des Gilets jaunes: la police fait usage de gaz lacrymogènes (vidéo) 11:40 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:48 Des femmes vêtues d'un sweat à capuche rouge ouvert ont été vues se tenant debout en silence face à une dizaine de gendarmes avenue des Champs-Élysées. Elles étaient recouvertes de peinture argentée.
11:40 Premières tensions avec les forces de l'ordre sur les Champs-Élysées.
Manifestation des Gilets jaunes le 8 décembre 2018 Acte 5 des Gilets jaunes: la police fait usage de gaz lacrymogènes (vidéo)
11:40 15.12.2018 Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:36 Après une poussée de certains manifestants, contenus par des gendarmes mobiles, quelques centaines de manifestants ont repris possession de la chaussée sur les Champs-Élysées. D'autres sont toujours bloqués par les forces de l'ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogènes.
11:32 Des manifestants se sont mis à scander «Macron démission».
11:19 Les Champs-Élysées ont été partiellement rouverts à la circulation, a informé un journaliste de l’AFP.
11:16 D'après les informations de la gendarmerie, il y avait quelque 2.000 manifestants sur les zones de France qu’elle était chargée de sécuriser ce matin. La préfecture de police de Paris fait état d’un millier de manifestants.
11:04 Selon la préfecture de police de Paris, 52 personnes ont été interpellées en Île-de-France depuis le début de la journée. Quinze personnes ont été arrêtées lors de contrôles préventifs à des péages ou dans des gares.
10:41
Pour manifester leur soutien aux lycéens de Mantes-la-Jolie, des dizaines des Gilets jaunes se sont mis à genoux Place de l'Opéra à Paris, mains derrière la tête.
10:40 Des policiers à cheval viennent d’arriver à Paris. Ils ont été hués par des manifestants.
10:21 Selon la préfecture de police de Paris, le nombre d’interpellations s’est élevé à 37 personnes. 22 autres personnes ont été placées en gardes à vue ce samedi dans la capitale.
10:21 Sur Twitter, Marine Le Pen a dénoncé «les casseurs ultras et les pilleurs de banlieue» qui «sont les complices objectifs du pouvoir».
10:14 Des manifestants ont entamé leur descente des Champs-Élysées en chantant la Marseillaise. Ils devraient être rapidement bloqués, les accès aux sites institutionnels étant fermés.
10:01 Peu avant 9h30, une trentaine de personnes avaient déjà été interpellées en Île-de-France, dont 17 dans l’agglomération parisienne, ont rapporté les médias. Par comparaison, à la même heure la semaine dernière, les forces de l'ordre avaient déjà procédé à 278 interpellations.
09:56 Peu de monde sur les Champs-Élysées, un autre rassemblement sur la Place de l'Opéra
09:51 En raison de la mobilisation des Gilets jaunes, la circulation est perturbée à Paris. Certaines stations de métro seront fermées. La RATP indique que des modifications d’itinéraires pour certaines lignes auront lieu suivant l’évolution de la situation. D’autres pourraient même ne pas être exploitées du tout.
09:51 Christophe Castaner est arrivé place de la Concorde pour saluer les forces de l’ordre
Cagoule, uniforme, gilet jaune: une policière exige «un acte 5 des Gilets jaunes» (photos)
12:35 15.12.2018
Invitée sur le plateau de Balance ton post sur C8, une femme cagoulée se présentant comme policière et portant un gilet jaune, a affirmé devant tout le pays son soutien au mouvement et a même averti que si l’occasion se présente, elle refusera de serrer la main à Emmanuel Macron.
Une jeune femme se faisant appeler Camille et affirmant faire partie de la police municipale a participé à l'émission Balance ton post diffusée vendredi sur C8.
Ainsi, vêtue d'un uniforme et portant en même temps un gilet jaune, la Française a évoqué son soutien au mouvement des Gilets jaunes, son visage étant toutefois caché sous une cagoule.
Mécontente de la ligne politique de l'Élysée, elle a également fait part de sa colère à l'égard d'Emmanuel Macron.
Cette intervention a été largement soutenue sur les réseaux sociaux, les internautes la félicitant pour son courage et son honnêteté.
Cependant, d'autres twittos ont dit ne pas être convaincus par le discours de la femme et ont ironisé sur son apparition dans le talk-show.
Des individus se tiennent face aux gendarmes sur une route de Caen le 18 novembre 2018.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit toujours et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Acte 5 des Gilets jaunes: la police fait usage de gaz lacrymogènes (vidéo)
12:32 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
Les forces de l'ordre ont fait usage de lacrymogènes pour répondre aux premiers incidents survenus sur les Champs-Élysées.
Après que les manifestants ont commencé à forcer le barrage des gendarmes, des gaz lacrymogènes ont été utilisés. De légères tensions ont été constatées entre les forces de l'ordre et des manifestants qui exprimaient leur mécontentement d'être restreints à un petit périmètre entre l'Arc de Triomphe et le premier quart des Champs-Élysées. Sur l'une des vidéos, publiées sur la Toile, les Gilets jaunes rompent un cordon policier:
La Marseillaise est entendue dans le centre-ville de Paris:
Alors qu'ils défilent pacifiquement, la police empêche les français de circuler en France ! Seuls les immigrés bénéficient de la protection de la police française !
Ce qui pousse les femmes à être en pointe des Gilets jaunes
16:36 15.12.2018 Mike Beuve
Le mouvement des Gilets jaunes en a surpris plus d’un par son ampleur et sa durée, mais ce n’est pas sa seule particularité. En effet, les femmes, habituellement moins mobilisées dans les mouvements sociaux, sont très présentes au sein des Gilets jaunes, lors des blocages, des manifestations et des prises de parole, un signe de leur paupérisation.
«Les hommes (54%) sont un peu plus nombreux que les femmes (45%) [lors des manifestations des gilets jaunes, ndlr]. Cependant, la forte proportion de femmes, appartenant souvent aux classes populaires, une catégorie sociale traditionnellement peu mobilisée politiquement, est un fait notable.»
C'est le résultat d'une enquête réalisée par un collectif de chercheurs visant à comprendre sociologiquement les Gilets jaunes. Les auteurs de l'étude (basée sur 166 questionnaires distribués sur les ronds-points et lors de manifestations), qui ont publié une tribune dans Le Monde, expliquent que «la forte dimension sociale du conflit et la centralité des revendications sur les conditions matérielles d'existence dans le mouvement social participent à la visibilité des femmes». En effet, après de longues semaines de mobilisation, on constate une très forte présence féminine sur les ronds-points, au niveau des péages, dans les rues de la capitale, mais également dans tous les JT et plateaux télévisés.
Alors pourquoi un tel engagement de la part des femmes, généralement moins présentes que les hommes dans les mouvements sociaux et politiques ? Au-delà du «ras-le-bol général» exprimé par les manifestants, l'une des raisons principales reste la baisse du pouvoir d'achat. Or, l'une des catégories qui ont vu sa situation se détériorer le plus au fil des années est celle des familles monoparentales. En 1990, elles représentaient une famille sur dix, puis une famille sur cinq en 2013. Selon les données du recensement de l'INSEE, on compte deux millions de familles de ce type qui, dans 82% des cas, sont constituées d'une mère avec ses enfants. Par ailleurs, lorsque l'on se focalise sur les familles monoparentales pauvres, on constate que 44% des femmes inactives sont pauvres (au-dessous du seuil de 50% du revenu médian). En outre, 15% des mères actives de ces familles vivent également sous le seuil de pauvreté.
«On a donc une situation très particulière et que l'on retrouve très probablement sur les ronds-points», explique l'économiste Xavier Timbeau sur le plateau de Russeurope Express, l'émission de Jacques Sapir sur Radio Sputnik.
?Pour Xavier Timbeau, directeur principal de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et co-auteur d'une étude sur l'évolution du revenu des ménages entre 2008 et 2016 publiée par l'Insee, malgré «le système socio-fiscal (allocations chômage, RSA, etc.) qui a beaucoup contribué à limiter l'explosion des inégalités en France, ce filet de protection sociale a des "trous". Et parmi ces trous, il y a la question des familles monoparentales.»
«On a un système qui a été construit après 1945 par le Conseil National de la Résistance qui est extrêmement familialiste, avec une vision de la famille qui est un homme qui travaille, une femme qui est au foyer et des enfants. On conçoit la protection sociale comme s'adressant à cet ensemble. Aujourd'hui, les familles monoparentales sont assez mal prises en compte par notre système», rappelle Xavier Timbeau.
Cette croissance continue du nombre de familles monoparentales pauvres fait apparaître un nouveau phénomène: celui de la pauvreté des enfants. En 15 ans, le taux d'enfants de moins de 18 ans vivant sous le seuil de pauvreté (1.015 euros) est passé de 16 à 20%, représentant 3 millions d'enfants en France. Pourtant, comme le souligne Xavier Timbeau, une modification du système de protection sociale prenant en compte ses nouvelles réalités pourrait réduire le nombre de familles monoparentales pauvres.
«Ces familles monoparentales sont souvent des couples qui n'ont pas vécu très longtemps ensemble avec au départ des femmes qui étaient inactives, qui se retrouvent avec des difficultés d'insertion sur le marché du travail, donc qui ont de faibles salaires pour des faibles qualifications et qui en plus n'ont pas trois enfants; donc elles n'ont pas accès aux allocations familiales.»
Et de poursuivre,
«Le système d'allocation familiale devrait être affecté et attribué non pas majoritairement quand vous avez deux enfants ou augmenter encore quand vous avez trois enfants, mais devrait être accordé au premier enfant.»
Une piste qui, pour l'heure, n'a pas encore été évoquée par le gouvernement.
Retrouvez l'émission en intégralité sur la chaîne YouTube de Sputnik France:
Heurts entre Gilets jaunes et forces de l'ordre sur les Champs-Élysées, des blessés
16:30 15.12.2018
Samedi dans l’après-midi, l’ambiance s'est brusquement dégradée sur les Champs-Élysées où au moins une personne a été blessée lors d'affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
La tension est montée samedi après-midi sur les Champs-Elysées, l'un des théâtres de l'acte 5 de la manifestation des Gilets jaunes. Une personne a été blessée à la tête, apparemment par un flashball, comme l'ont pu filmer l'agence Ruptly et des témoins sur place.
Une correspondante de la chaîne RT a été blessée au visage, a fait savoir la rédactrice en chef de Sputnik et RT, Margarita Simonian. La jeune femme s'est rendue à l'hôpital, a précisé Mme Simonian sur Twitter. Selon la correspondante, elle a été blessée par une poignée de porte utilisée comme projectile.
Aux environs de 15h00, des tensions se sont fait sentir sur les Champs-Élysées. Des échauffourées sporadiques ont alterné avec des moments de calme au cours desquels des manifestants chantaient La Marseillaise. Les forces de l'ordre ont eu recours à plusieurs reprises à des gaz lacrymogènes, des grenades et de balles de défense pour disperser la foule, a indiqué un journaliste de l'AFP.
Des manifestants ont jeté des bouteilles et des pavés sur les forces de l'ordre, mais la situation est restée contenue comparativement aux journées de mobilisation précédentes dans le même quartier de Paris.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit toujours et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Selon le ministère de l'Intérieur, la mobilisation est en net recul ce samedi dans toute la France, avec quelque 33.500 manifestants à la mi-journée contre 77.000 comptabilisés à la même heure samedi dernier. Dans la capitale, 2.200 participants à l'acte V des Gilets jaunes étaient recensés contre 10.000 voici une semaine.
Pneus brûlés, pique-nique sur la route: la France vit l'acte 5 des Gilets jaunes
15:27 15.12.2018
Des Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 15 décembre pour jouer l’acte 5 de leur mobilisation qui se poursuit dans toute la France. Ces manifestations ont été marquées par de nombreux incidents, les Gilets jaunes mettant notamment le feu à des pneus sur les routes, ce qui a perturbé, voire entravé, la circulation.
La France vit ce samedi un nouvel acte des Gilets jaunes qui se sont rassemblés pour le cinquième samedi consécutif, même si de nombreuses personnalités ont appelé à ne pas descendre dans les rues après le drame qui s'est joué cette semaine à Strasbourg. Ainsi, dès ce matin, la police a fait usage de lacrymogènes pour répondre aux premiers incidents survenus sur les Champs-Élysées. Quelque 8.000 forces de l'ordre et 14 véhicules blindés sont mobilisés rien qu'à Paris, le même dispositif que la semaine dernière.
Le mouvement a rassemblé près de 33.500 manifestants dans toute la France et est recul, selon le ministère de l'Intérieur. La situation reste tendue dans de nombreuses régions du pays, d'après la Toile.
Dans le nord de la France, l'autoroute A16 est bloquée dans le sens Calais-Dunkerque depuis ce matin par un feu de pneus et de palettes. Un Gilet jaune a été interpellé par la police.
À Nîmes, les Gilets jaunes ont allumé un feu sur l'autoroute A54, perturbant sérieusement le trafic et entraînant un bouchon de 5 km en direction de l'Espagne.
À Orange, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, un feu a été allumé par des Gilets jaunes sur l'A7.
Le mouvement des Gilets jaunes a également perturbé le trafic sur l'autoroute A9, de Nîmes à Perpignan.
À Nice, des Gilets jaunes ont bloqué l'accès au centre commercial de Nice Lingostière en mettant le feu à des palettes.
En outre, le mouvement a été rejoint dès vendredi soir par des agriculteurs d'Occitanie.
Mais les Gilets jaunes ne font pas obligatoirement preuve d'agressivité.
Ainsi, à Nogent-le-Rotrou, dans le département de l'Eure-et-Loir, ils discutent paisiblement autour d'un feu.
Et à Toulouse, ils ont décidé d'organiser… un pique-nique.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Les manifestations à Paris redeviennent violentes alors que la police utilise des mesures anti-émeute sur des vestes jaunes
par Tyler Durden Samedi, 12/15/2018 - 10:35
La cinquième semaine des manifestations de Yellow Vest est devenue violente après que les manifestants parisiens eurent commencé à se bagarrer avec la police.
Près de 70 000 policiers ont été mobilisés en France pour contenir quelque 33 500 manifestants, soit un taux de participation bien inférieur à celui des semaines précédentes, alors que le mouvement Yellow Vest s’est propagé dans plusieurs pays européens, ainsi qu’en Irak, en Israël et même dans le monde. Canada.
Moins de 3 000 manifestants se sont déjà rendus à Paris samedi, contre 8 000 environ la semaine dernière. Parmi ceux-ci, 114 personnes avaient été arrêtées dans la capitale - environ 20% du chiffre de la semaine dernière.
La police a utilisé des gaz lacrymogènes et du gaz poivré sur les manifestants dans le centre de Paris samedi. Une personne aurait été blessée à la tête lors d'affrontements aux Champs-Élysées. Un correspondant du média appartenant à l'Etat russe, RT, a été grièvement blessé au visage et a été conduit à l'hôpital.
- voir sur site photo de femme défigurée par les coups de matraques -
Au total, sept personnes sont décédées lors des manifestations de Yellow Vest, qui sont passées d'une manifestation contre la taxe sur l'essence à un mouvement anti-gouvernemental.
"La dernière fois, nous étions ici pour des impôts", a déclaré Jeremy, 28 ans, à l'agence de presse AFP.
"C’est pour les institutions. Nous voulons plus de démocratie directe", a-t-il déclaré, ajoutant que les gens devaient "crier pour se faire entendre".
Certains musées sont fermés, mais le Louvre et la Tour Eiffel restent ouverts.
À Calais, un groupe de "gilets jaunes" a bloqué la route d'accès au port. -BBC
Pendant ce temps, une veste jaune anonyme Sith apportait son double sabre laser:
En Démocratie directe (comme en Suisse), les citoyens qui proposent leurs propres lois et votent leurs propres lois ont tellement de pouvoir que plus de 50 % des Suisses ignorent le nom du chef de l'État Suisse ! (il change chaque année).
par Tyler Durden Ven., 14/12/2018 - 23:45 Écrit par Philip Giraldi via la Fondation pour la culture stratégique,
Nous sommes le petit peuple - nous! Trop peu pour aimer ou détester. Laissez-nous tranquilles et vous verrez Comment pouvons-nous traîner l'Etat! Une chanson chantée, Rudyard Kipling
La Belgique a rejoint la liste des pays qui se rebellent contre leurs dirigeants élus. Au cours du week-end, le gouvernement belge s’est laissé emporter par la visite au Maroc du Premier ministre Charles Michel, qui a signé l’accord des Nations Unies sur la migration. L'accord ne faisait aucune distinction entre les migrants légaux et illégaux et considérait l'immigration comme un phénomène positif. Les Belges, apparemment, n'étaient pas d'accord. Facebook a enregistré 1 200 Belges, reconnaissant que le Premier ministre était un traître. Certains utilisateurs se sont inquiétés de l’avenir de leurs enfants, notant que la démocratie belge est morte. D'autres ont dit qu'ils obtiendraient des gilets jaunes et participeraient aux manifestations.
Les troubles observés dans un certain nombre d'endroits sont axés sur des demandes spécifiques, mais ils représentent une colère beaucoup plus large. Les gilets jaunes français ont d'abord protesté contre les augmentations proposées de la taxe sur les carburants qui auraient affecté de manière disproportionnée les travailleurs qui dépendent des transports. Mais lorsque cette demande a été satisfaite par le gouvernement du président Emmanuel Macron, les manifestations se sont poursuivies et même se sont intensifiées, suggérant que les griefs auprès du gouvernement étaient bien plus vastes que la question d’un seul nouvel impôt. Sans surprise, le gouvernement français cherche un bouc émissaire et enquête sur «l'ingérence russe». Le Département d'Etat américain est inévitablement d'accord, affirmant que les sites Web et les médias sociaux du Kremlin «amplifient le conflit».
Certains commentateurs, qui se sont penchés un peu plus sur les émeutes en France, ont même suggéré que le véritable problème était peut-être un changement de régime, que le gouvernement Macron était devenu si déconnecté de nombreux électeurs, tant par sa politique que par la rhétorique qui le justifiait. sa légitimité et il n'y avait aucune possibilité de rachat. Tout changement devrait être une amélioration, en particulier dans la mesure où un nouveau régime serait particulièrement sensible aux sentiments des gouvernés, du moins au début. On pourrait penser que le sentiment dominant qu'un changement radical de gouvernement est nécessaire, quoi qu'il en soit, pour secouer le système pourrait fort bien s'appeler le «phénomène Trump», car il s'agit plus ou moins de ce qui s'est passé aux États-Unis.
L'idée qu'un gouvernement républicain ou démocratique finira par se transformer en une forme de tyrannie n'est pas exactement nouvelle. Thomas Jefferson a préconisé une nouvelle révolution chaque génération pour que l'esprit du gouvernement reste responsable devant le peuple.
Appelez ça comme vous voulez - néolibéralisme, néoconservatisme ou mondialisme - le nouvel ordre mondial, comme l'a récemment décédé le président George H.W. Bush l’appelait autrefois et embrasse de manière caractéristique une communauté mondiale dans laquelle règnent le libre-échange, la libre circulation des travailleurs et la démocratie. Elles semblent toutes bonnes, mais elles ont un caractère autoritaire, détruisent les communautés et les systèmes sociaux existants tout en enrichissant ceux qui promeuvent les changements. Ils ont également été à l'origine de la plupart des guerres menées depuis la Seconde Guerre mondiale, des guerres visant à «libérer» des personnes qui n'avaient jamais demandé à être envahies ou bombardées dans le cadre du processus.
Et, bien sûr, il existe des différences majeures entre néolibéraux et néoconservateurs en ce qui concerne la manière dont on crée le nirvana universel, les libéraux englobant une sorte de processus par lequel la transformation a lieu parce qu'elle représente ce qu'ils voient, peut-être cyniquement, comme la morale élevé et est reconnu comme étant la bonne chose à faire. Les néo-conservateurs cherchent toutefois à appliquer ce qu'ils définissent comme des normes internationales, car les États-Unis ont le pouvoir de le faire dans un processus qui le rend impossible à contester, ainsi que leurs alliés. Ce dernier point de vue est promu sous le faux slogan «Les démocraties ne combattent pas les autres démocraties».
Le fait que les mondialistes de tous les types considèrent le nationalisme comme une menace pour leurs ambitions plus larges signifie que les intérêts locaux ou nationaux sont souvent ignorés, voire rejetés. Dans cet esprit, et en se concentrant sur deux problèmes - une immigration généralisée et un gouvernement corrompu dirigé par des oligarques - on pourrait raisonnablement affirmer qu'un grand nombre de citoyens ordinaires se croient désormais à la fois véritablement privés de leurs droits et manifestement plus pauvres, car il devient plus difficile de trouver les communautés sont détruites par des vagues d'immigration légale et illégale.
Aux États-Unis, par exemple, la plupart des citoyens croient maintenant que le système politique ne fonctionne pas du tout alors que presque aucun ne pense que même s'il fonctionne, il fonctionne pour le bien-être de tous les citoyens. Pour la première fois depuis la Grande Dépression, les Américains ne pensent plus à la mobilité ascendante. Les projections de sociologues et d'économistes suggèrent que la génération actuelle grandissant aux États-Unis sera probablement beaucoup plus pauvre que leurs parents. Cette angoisse et cette volonté de "faire quelque chose" pour que le gouvernement soit plus attentif aux intérêts des électeurs sont la raison pour laquelle Donald Trump a été élu président.
Ce qui s'est passé en Belgique, en France, avec le Brexit en Grande-Bretagne, lors des récentes élections en Italie, ainsi que dans les avertissements de l'Europe de l'Est sur l'immigration et les politiques économiques communautaires de l'Union européenne sont motivés par les mêmes préoccupations que celles qui prévalaient en Amérique. Le gouvernement lui-même devient l'ennemi. Et n'oublions pas les pays qui ont déjà ressenti les coups et qui ont été soumis à l'ingénierie sociale d'Angela Merkel - l'Irlande, l'Espagne, le Portugal et la Grèce. Toutes sont des économies plus faibles écrasées par la taille unique de l’euro, ce qui a empêché certains gouvernements de gérer leurs propres économies. Ils et tous leurs citoyens sont plus pauvres pour cela.
Il y a eu des périodes dans l'histoire où les gens ont eu assez d'abus et se sont révoltés. On pense aux révolutions américaine et française comme à celle de 1848. Peut-être vivons-nous à l'heure actuelle une révolte contre la pression de se conformer aux valeurs mondialistes qui ont été adoptées à leur avantage par les élites et par l'établissement le monde. Cela pourrait bien devenir un conflit dur et parfois sanglant, mais son issue façonnera le prochain siècle. Le peuple aura-t-il vraiment du pouvoir dans le monde de plus en plus mondialisé ou bien ce sera le 1 % avec le soutien de son gouvernement et de ses médias qui ressortira triomphant
(...) Appelez ça comme vous voulez - néolibéralisme, néoconservatisme ou mondialisme - le nouvel ordre mondial, comme l'a récemment décédé le président George H.W. Bush l’appelait autrefois et embrasse de manière caractéristique une communauté mondiale dans laquelle règnent le libre-échange, la libre circulation des travailleurs et la démocratie. (...)
Le 'mondialisme' n'est PAS la Démocratie. Primo, la Démocratie c'est Par le Peuple, Pour le Peuple. C'est Le Peuple qui gouverne ! et personne d'autre. Donc, le Peuple aime les touristes (parce qu'ils aiment le pays qu'ils visitent), pas les immigrés (qui viennent pour changer le pays comme pour introduire la dictature qu'ils ont fui ! la religion qu'ils ont fui ! les femmes qu'ils haïssent !
Des scientifiques créent un vaccin contre les abeilles pour combattre «l'apocalypse d'insectes»
14 décembre 2018 par Sam Kingsley
Les abeilles sont vitales pour la production d'aliments dans le monde, car elles contribuent à la fertilisation de trois cultures sur quatre dans le monde.
Les abeilles sont vitales pour la production d'aliments dans le monde, car elles contribuent à la fertilisation de trois cultures sur quatre dans le monde.
Les scientifiques finlandais ont mis au point ce qu'ils pensent être le premier vaccin au monde à protéger les abeilles contre les maladies, ce qui laisse espérer une réduction du nombre d'insectes qui pourrait provoquer une crise alimentaire mondiale.
Les abeilles jouent un rôle essentiel dans la production d'aliments dans le monde, car elles contribuent à la fertilisation de trois des quatre cultures du monde en transférant le pollen des fleurs mâles aux fleurs femelles.
Mais ces dernières années, les populations d'abeilles du monde entier sont en train de mourir de "trouble d'effondrement des colonies", un mystérieux fléau imputé aux acariens, aux pesticides, aux virus, aux champignons, ou à une combinaison de ces facteurs.
Une étude menée par l'ONU en 2016 a révélé que plus de 40% des pollinisateurs invertébrés, en particulier des abeilles et des papillons, sont en voie d'extinction.
L'étude a également révélé que 16,5% des pollinisateurs vertébrés, tels que les oiseaux et les chauves-souris, sont menacés.
Les scientifiques préviennent que cette mort entraînera une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénurie.
Percée médicale
Le vaccin, mis au point par une équipe de l’Université d’Helsinki en Finlande, agit en offrant aux abeilles une résistance à la lutte contre les maladies microbiennes graves pouvant être fatales pour les communautés de pollinisateurs. "Si nous pouvons sauver même une petite partie de la population d'abeilles avec cette invention, je pense que nous avons accompli notre bonne action et sauvé le monde un peu", a déclaré le chercheur en chef Dalial Freitak.
"Même une augmentation de deux à trois pour cent de la population d'abeilles serait énorme", a-t-elle déclaré à l'AFP. La vaccination contre les insectes était auparavant considérée comme impossible car les créatures n'avaient pas d'anticorps, un des mécanismes clés utilisés par les humains et les autres animaux pour lutter contre les maladies.
Toutefois, une avancée est survenue en 2014 lorsque Freitak, spécialiste des insectes et de l'immunologie, a remarqué que les papillons nourris avec certaines bactéries pouvaient en fait transmettre l'immunité à leur progéniture. "Ils pourraient en fait transmettre quelque chose en mangeant. Je ne savais tout simplement pas quel était le mécanisme", a déclaré Freitak.
Les scientifiques avertissent qu'une mortalité massive prédite par les pollinisateurs, tels que les abeilles, entraînera une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénurie.
Les scientifiques avertissent qu'une mortalité massive prédite par les pollinisateurs, tels que les abeilles, entraînera une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénurie.
"J'ai rencontré Heli Salmela, qui travaillait sur les abeilles et une protéine appelée vitellogénine. Je l'ai entendue parler et je me suis dit: 'OK, je pourrais faire le pari que c'est ta protéine qui transmet mon signal d'une génération à l'autre '. "
La paire a commencé à collaborer et a créé un vaccin contre la loque américaine, la maladie bactérienne des abeilles la plus répandue et la plus destructrice au monde.
Le traitement est administré à la reine des abeilles via un morceau de sucre, de la même manière que de nombreux enfants reçoivent le vaccin antipoliomyélitique. La reine transmet ensuite l'immunité à sa progéniture, en la propageant à travers la communauté des abeilles.
En plus de travailler sur des vaccins contre d'autres maladies, l'équipe a également commencé à essayer de lever des fonds pour rendre le vaccin disponible dans le commerce, avec des retours "très positifs" jusqu'à présent, selon Freitak.
"Les obstacles réglementaires sont nombreux. Quatre à cinq ans avant d'arriver sur le marché, c'est une estimation optimiste", a-t-elle déclaré.
La croissance des cultures affectée
On pense que les maladies ne sont qu’une des nombreuses causes de la perte de pollinisateurs, aux côtés des pesticides et de l’agriculture intensive, ce qui réduit la diversité de la nutrition des insectes.
Mais l’équipe estime que la protection des populations d’abeilles contre les maladies les rendra plus fortes et donc plus à même de résister aux autres menaces.
L'Union européenne et le Canada ont voté en faveur de l'interdiction des insecticides à base de néonicotinoïdes après que des études ont montré que les produits chimiques nuisaient à la capacité de reproduction des abeilles.
Une étude soutenue par les Nations Unies en 2016 a estimé que les aliments produits chaque année à hauteur de 577 milliards de dollars (511 milliards d'euros) dépendent directement des pollinisateurs.
L’étude a révélé que le volume d’aliments produits dépendant des pollinisateurs avait augmenté de 300% au cours des cinquante dernières années.
Alors que le nombre de pollinisateurs a diminué, certains agriculteurs se sont tournés vers la location d'abeilles ou la pollinisation manuelle - comme dans le cas des arbres fruitiers dans certaines régions de la Chine - afin de remplacer les processus que la nature fournissait auparavant gratuitement.
À Helsinki, le projet reposait sur un financement externe, mais l’équipe a maintenant acquis un poste plus sûr à l’Université de Graz en Autriche, où de nouvelles recherches sur les vaccinations commenceront au début de l’année prochaine.
Graz est également le siège précédent du zoologiste renommé Karl von Frisch, qui a découvert le prix Nobel de médecine en 1973, découvrant que les abeilles mellifères communiquaient en exécutant la «danse du mouvement waggle» en forme de huit.
Il s'agit là d'un FAUX vaccin car, les abeilles butinent et s'imprègnent des nano-particules (de la géoingénièrie) répandues par chemtrails (aluminium entr'autres) qui sont responsables de la maladie d'Alzheimer. Deuxièmement, leur mortalité est semblable à celle des (milliards) oiseaux qui périssent dans les pales d'éoliennes.
Quant à produire un vaccin contre le rhume ou la grippe des abeilles... hum, hum !
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
14 décembre 2018 par Frank Jordans et Monika Scislowska
Les fonctionnaires épuisés de près de 200 pays ont fait face à une nouvelle journée de négociations lors du débat sur le climat américain afin de combler leurs dernières divergences alors que les petites nations insulaires ont réclamé vendredi une position ambitieuse contre le réchauffement climatique.
Les pourparlers en Pologne étaient censés se terminer vendredi, mais Michal Kurtyka, un haut responsable polonais présidant les négociations, a demandé aux délégués de reprendre les discussions sur un projet de texte révisé à 16 heures samedi (03h00 GMT).
L’effort portait ses fruits sous la forme de textes préliminaires pour une mise au point précise, selon la déclaration de Kurtyka vendredi soir.
"La présidence polonaise a annoncé qu'une version préliminaire du paquet mettant en œuvre l'accord de Paris avait été mise au point. Plusieurs jours de travail intensif ont donné des résultats sous la forme de la fermeture de zones particulières", indique le communiqué.
Le texte faisait actuellement l'objet de consultations avec divers groupes de négociation, a ajouté le communiqué.
Après deux semaines de pourparlers dans la ville du sud de la Pologne, les diplomates étaient sur le point de se mettre d'accord sur les règles qui régissent l'accord de Paris sur le climat de 2015. Celles-ci incluent la manière dont les pays doivent déclarer de manière transparente leurs émissions de gaz à effet de serre et leurs efforts pour les réduire.
Les scientifiques disent que les émissions mondiales doivent chuter de manière spectaculaire d'ici 2030 et atteindre un niveau proche de zéro d'ici 2050 afin de prévenir les conséquences potentiellement catastrophiques pour la vie sur Terre.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Un rapport récent du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat a conclu qu’il était possible de limiter le réchauffement de la planète à un degré plus élevé de 1,5 degrés Celsius (2,7 degrés Fahrenheit) d’ici la fin du siècle par rapport à la période préindustrielle. Il s’agit de l’extrémité inférieure de l’échelle de 1,5 à 2 ° C mentionnée dans l’accord de Paris.
Mais cela nécessiterait une refonte radicale de l'économie mondiale, notamment en mettant fin à l'utilisation de presque tous les combustibles fossiles.
Les États-Unis, la Russie, l'Arabie saoudite et le Koweït ont refusé d'accueillir le rapport du GIEC, suscitant la colère des autres pays et des écologistes.
L'ancien président des Maldives, Mohamed Nasheed, a averti que des pays tels que le sien, qui se considèrent en première ligne du réchauffement climatique, opposeraient leur veto au projet actuel en raison d'un manque d'engagement clair en faveur de la cible de 1,5 C.
"Si nécessaire, nous nous rebellerons contre les négociations", a déclaré Nasheed à la presse.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Les règles d'un marché international des crédits de carbone qui hantent les négociateurs sont une autre question qui hante les négociateurs.
L'affrontement oppose des économies émergentes telles que le Brésil - qui a amassé d'importantes piles de crédits de carbone en vertu des règles du traité de Kyoto de 1997 - contre des pays industrialisés tels que ceux de l'Union européenne, qui estiment que les anciens crédits ne valent pas le papier sur lequel ils ont été imprimés.
Les économistes estiment qu'un système d'échange de droits d'émission de carbone efficace pourrait constituer un moyen efficace de réduire les émissions et de mobiliser d'importantes sommes d'argent pour les mesures visant à lutter contre le réchauffement de la planète.
Alex Hanafi, conseil principal de l'Environmental Defence Fund, basé à New York, a déclaré que le Brésil tentait d'affaiblir les règles de manière à permettre aux pays de comptabiliser à deux reprises leurs réductions d'émissions, minant ainsi les marchés du carbone.
"Cette échappatoire doit être comblée de sorte que les crédits zombies de l'ancien mécanisme de développement propre (de Kyoto) ne puissent pas infecter l'intégrité climatique de l'Accord de Paris", a-t-il déclaré.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
La délégation du Brésil a rejeté l'allégation.
"Le Brésil travaille actuellement avec d'autres parties sur une proposition de pontage", a déclaré le négociateur en chef du pays, Antonio Marcondes.
L'aide aux pays pauvres et la possibilité de bénéficier d'un prélèvement sur le marché du carbone constituent un autre sujet clé des négociations.
Les pays pauvres insistent sur le fait qu'ils devraient obtenir un soutien financier non seulement pour réduire les émissions et s'adapter au changement climatique, mais également pour compenser les dégâts déjà causés par le réchauffement planétaire, principalement à cause des émissions des pays industrialisés.
Le président américain Donald Trump a plongé jeudi dans le débat sur les coûts de la lutte contre le changement climatique, déclarant à Fox News que s'il restait dans l'accord de Paris sur le climat, les Etats-Unis "paieraient des milliards de dollars, des milliards de dollars pour rien, et faites pas ça. "
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Trump a annoncé l’année dernière que les États-Unis se retiraient de l’accord de Paris sur le climat à moins de parvenir à un meilleur accord - une possibilité que d’autres, telles que l’UE et la Chine, ont écartée.
Le ministre allemand de l'Environnement a déclaré que l'échec de la lutte contre le changement climatique coûterait beaucoup plus cher au monde que les milliards de milliards que Trump affirme économiser.
"Si nous laissons toute une partie de la planète devenir inhabitable, cela engendrera des coûts gigantesques", a déclaré M. Schulze, ajoutant que le développement de technologies permettant de réduire les émissions donnerait à l'Allemagne un avantage économique concurrentiel.
Les délégués climatiques espérant parvenir à un accord samedi, ils ont pu se mettre d'accord vendredi sur un point: l'organisation des négociations sur le climat de l'année prochaine au Chili.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
(...) Les scientifiques disent que les émissions mondiales doivent chuter de manière spectaculaire d'ici 2030 et atteindre un niveau proche de zéro d'ici 2050 afin de prévenir les conséquences potentiellement catastrophiques pour la vie sur Terre. (...)
les conséquences potentiellement catastrophiques pour la vie sur Terre !!!! HAHAHAHAHAHA !
Ces ordures de FAUX SCIENTIFIQUES et politiques de merde cherchent à effrayer le monde avec des températures en hausses alors que le matin il fait (par exemple:) + 10°C et l'après-midi +20°C ! et personne n'est mort !!! Çà alors ! L'hiver il fait (par exemple:) - 10°C et l'été + 30°C !!! ET PERSONNE N'EST MORT !!! Çà alors !! Il arrive même que des scandinaves aillent en vacances... en Afrique !!! Combien y a t-il de millions de norvégiens, suédois, finlandais de morts ??
(...) Le président américain Donald Trump a plongé jeudi dans le débat sur les coûts de la lutte contre le changement climatique, déclarant à Fox News que s'il restait dans l'accord de Paris sur le climat, les États-Unis "paieraient des milliards de dollars, des milliards de dollars pour rien, et faites pas ça. "(...)
Le président Trump écoute les scientifiques pas les escrocs qui inventent une nouvelle science !
Fausses nouvelles vs faits dans la bataille en ligne pour la vérité
15 décembre 2018 par Guillaume Daudin
Le président des États-Unis, Donald Trump, a popularisé le terme "fausses informations" et l'a utilisé pour attaquer les médias
Depuis que le président des États-Unis, Donald Trump, a créé le terme "fausses informations" lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2016, cette expression est devenue virale.
Les politiciens du monde entier s'en servent de plus en plus pour dénoncer ou rejeter des reportages ne correspondant pas à leur version de la vérité.
Mais alors que les médias défendent leur travail, de fausses informations saturent le débat politique mondial et sapent un niveau de confiance déjà faible envers les médias et les institutions.
Le terme est venu pour signifier n'importe quoi d'une erreur à une parodie ou une mauvaise interprétation délibérée des faits.
Dans le même temps, la désinformation en ligne est de plus en plus visible dans les tentatives de manipulation des élections.
Désinformation
La préparation de la victoire de Trump en 2016, par exemple, a vu de nombreux exemples de canulars et de fausses nouvelles: des liens présumés d'Hillary Clinton à un réseau de relations sexuelles enfantines à un faux rapport que le pape avait approuvé Trump.
La désinformation a eu "un impact significatif" sur les décisions de vote, selon des chercheurs de l'Ohio State University, qui ont interrogé les électeurs. Mais il était impossible de prouver que de fausses informations balançaient l'élection de Trump.
En tant que président, Trump dénonce toujours toute information qui le contrarie comme une "fausse nouvelle". Les experts affirment que ses collaborateurs, quant à eux, ont proposé un mélange de vérité et de distorsions, parfois qualifié de "faits alternatifs".
Les chercheurs ont découvert que de faux rapports avaient influencé la perception de plusieurs mouvements sociaux, y compris une grève des camionneurs à Brazi
Les chercheurs ont découvert que de faux rapports avaient influencé la perception de plusieurs mouvements sociaux, y compris une grève des camionneurs au Brésil l'année dernière.
"Les mensonges et la fabrication semblent même renforcer la réputation et les prouesses politiques de leurs partisans centraux", a déclaré John Huxford de l'Université de l'Illinois, à la recherche d'informations fausses.
Certaines études suggèrent même que, à mesure que la partisanerie a augmenté, de plus en plus de gens sont prêts à croire des mensonges. Un sondage mené en 2017, par exemple, montrait que 51 % des républicains pensaient encore que Barack Obama était né au Kenya, malgré le fait que le canular avait été démystifié.
En 2018, le niveau moyen de confiance dans les nouvelles, dans 37 pays, est resté relativement stable à 44 %, selon un sondage de YouGov réalisé pour le Reuters Institute for the Study of Journalism.
Mais les fausses informations diffusées par les autorités n'ont pas aidé.
En Ukraine, par exemple, les autorités ont organisé la mort du journaliste russe Arkady Babchenko à la fin du mois de mai afin de déjouer un véritable complot d'assassinat.
Les reportages sur la fausse mort faite de bonne foi par les médias traditionnels étaient "une aubaine pour les paranoïaques et les théoriciens du complot", a déclaré Christophe Deloire, secrétaire général de la surveillance des droits des médias, Reporters sans frontières.
La mort mise en scène du journaliste anti-Kremlin Arkady Babchenko, en mai, a été décrite par un chien de garde de la presse comme "une aubaine pour tous"
La mort mise en scène du journaliste anti-Kremlin Arkady Babchenko, en mai, a été décrite par un chien de garde de la presse comme "une aubaine pour les paranoïaques et les théoriciens du complot"
La confiance dans les médias traditionnels reste plus grande que pour les réseaux sociaux, selon le sondage YouGov. Seulement 23% des personnes interrogées ont déclaré faire confiance aux informations trouvées sur les réseaux sociaux. Mais une étude publiée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) en mars a révélé que les fausses nouvelles se propagent plus rapidement sur Twitter que les vraies nouvelles.
Réseaux sociaux en crise
Beaucoup pensent que Facebook est le principal vecteur de fausses informations.
Il a été forcé d'admettre que Cambridge Analytica, une entreprise politique travaillant pour Donald Trump en 2016, avait détourné les données de dizaines de millions d'utilisateurs. Certains critiques du référendum sur le Brexit accusent Cambridge Analytica d'avoir utilisé ces données pour faire basculer les électeurs vers le vote "Leave".
Aux États-Unis, l'enquête de l'avocat spécial Robert Mueller sur les liens de campagne de Trump avec la Russie a ciblé les comptes Facebook et les pages privées gérées par Internet Research Agency, une "ferme aux trolls" basée en Russie.
Telle était l'inquiétude que le président de Facebook et le Congrès américain se soient interrogés sur le patron de Facebook, Mark Zuckerberg.
Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, a été grillé au Congrès américain après le scandale de Cambridge Analytica qui avait entraîné de nombreuses atteintes à la sécurité des données.
Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, a été grillé au Congrès américain après le scandale de Cambridge Analytica qui avait entraîné de nombreuses atteintes à la sécurité des données.
En 2018, le géant américain a annoncé de nouvelles mesures pour améliorer la technologie permettant de lutter contre les fausses informations dans le monde.
Un autre pays où Facebook a été critiqué pour avoir diffusé de fausses informations est le Brésil, lieu de la grève géante des camionneurs en mai dernier.
De fausses informations audio sur des personnes supposément liées à la grève ont été largement diffusées, a déclaré Cristina Tardaguila, fondatrice de l'organisation brésilienne de vérification des faits Agencia Lupa.
Pendant la grève, la plupart des messages ont été diffusés sur WhatsApp, un service de messagerie regroupant plus d'un milliard d'utilisateurs dans le monde et appartenant à Facebook.
Sous pression
WhatsApp a également été accusé de diffuser de fausses informations. Il a subi une immense pression après le lynchage de plus de 20 personnes accusées d'enlèvement d'enfant ces derniers mois en Inde, son plus grand marché. Ils ont été déclenchés par de fausses nouvelles.
WhatsApp a publié des annonces d'une page dans des journaux indiens offrant des "conseils faciles" pour identifier les faits à partir de fictions. Mais la société maintient sa politique de protection de la vie privée de ses utilisateurs grâce à la technologie de cryptage.
Communications, WhatsApp a été obligée de publier des annonces d'une page entière à la suite d'une série de lynchages en Inde déclenchés par le sha
L'application de communication WhatsApp a été contrainte de supprimer des annonces d'une page entière à la suite d'une série de lynchages en Inde déclenchés par le partage de fausses informations
Google, également sous pression pour avoir répandu des informations erronées, a annoncé en mars qu'il investissait 300 millions de dollars sur trois ans pour soutenir une série de projets visant à lutter contre les fausses informations et à soutenir des organisations de médias "crédibles".
Son moteur de recherche favorise les vérifications effectuées par les organisations qui vérifient les faits.
Malgré la création de dizaines d’initiatives de vérification des faits au cours des dernières années, les journalistes doivent se présenter pour suivre le rythme des techniques de désinformation.
Un développement relativement nouveau est la fausse technologie: des vidéos manipulées semblent authentiques mais décrivent des événements ou des discours qui ne se sont jamais produits.
Pour l’instant, les contrefaçons profondes sont techniquement difficiles à créer et n’ont pas encore eu un impact considérable. Toutefois, si elles progressent, elles risquent de brouiller davantage la frontière entre vrai et faux.
(...) Depuis que le président des États-Unis, Donald Trump, a créé le terme "fausses informations" lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2016, cette expression est devenue virale (...)
HAHAHAHAHA ! Le président Trump aurait créé les fausses informations !!! car avant... ELLES N'EXISTAIENT PAS !!! HAHAHAHAHAHAHAHA !
Des avions en aluminium ont réussi à couper des UPN de 80 cm (poutres verticales) dans des tours en béton armé le 11 Septembre 2001 !!! HAHAHAHA !
Il y a même un tour (tower 7) qui s'est effondré toute seule de rire !!!!
Un avion s'est écrasé tellement fort en forêt que tout est devenu poussières nanométriques !!!
L'argent (monnaie) est apparue après le troc du donnant-donnant. "Tu travailles, je te donne à manger". Mais, comme il y avait beaucoup de personnes sur tel ou tel chantier, l'on ne pouvait savoir si un tel ou un tel avait travaillé et donc avait droit ou pas à manger. L'on remettait donc un 'bon pour manger'. Mais comme l'on ne pouvait savoir exactement s'il avait travaillé pour avoir ce bon, l'on nomma des 'inspecteurs' des travaux finis. Ces 'inspecteurs' (qui ne travaillaient pas physiquement) devaient aussi être payés pour bouffer. D'où, des retenues sur salaires sur chacun des travailleurs qui devaient travailler toujours autant pour toucher moins et manger moins.
Donc, arriva la corruption. Marché actif qui permettait à l'inspecteur de dire qu'un autre travaillait moins ou pas pour donner plus à celui qui payait pour se partager la galette. D'où, l'arrivée de l'inspecteur des inspecteurs qui flairait la corruption. Donc, comme cet inspecteur des inspecteurs voulait lui aussi bouffer sans travailler physiquement, encore donc une diminution des salaires. Ainsi naquit l'Administration (payée à rien foutre physiquement, mais à faire des calculs de rendements, élaborer des perspectives, mais qui s'éloignaient de la manière dont les travailleurs accomplissent leurs tâches). Leur rôle n'étant pas de s'abaisser à recevoir tel ou tel travailleur pour lui demander son avis sur le ce qu'il lui faudrait pour mieux travailler.
Ainsi, les chantiers prirent du retard et au progrès de répondre par encore plus de surveillants-calculeurs qui diminuaient d'autant la part de tarte de chacun. Ainsi, naquirent au fil du temps, la 'cerise sur le gâteau' récompensant comme une fève quelqu'un au hasard, et l'arrêt hebdomadaire partagé par tous. Or, si un jour par semaine l'on ne travaille pas, l'on veut néanmoins pouvoir manger. D'où encore une baisse sur salaire (donc sur la grosseur de la portion) tout au long de la semaine pour resservir cette épargne le jour de congé.
Donc, les privilégiés faisant légion à n'avoir mal aux reins en fin de journée, l'on considéra cette suprématie du rien-foutre comme étant la fonction nécessaire à surtout ne voir disparaître. D'où, l'émergeance de 'représentants du personnel' (ou 'porte-parole des esclaves') qui furent bien payés pour accomplir cette tâche ingrate et supplémentaire à leur journée de travail et qui, au fil du temps, travaillaient moins physiquement et étaient tout autant payés + bonus et soupe chaude améliorée partagée lors d'un diner avec les chefs ! Cette corruption à la corruption perdura sans donc que les hauts-salaires y trouvent à redire, tandis que les parts touchées par les travailleurs se réduisaient encore au fil du temps. C'est aussi ce qui fut appelé le 'partage de l'effort' ! où chacun devait s'initier à penser pour les autres face à ceux qui travaillaient pour les autres.
Mais après avoir peut-être par accident d'un dimanche inventé la roue, des idées nouvelles chez les travailleurs permirent d'y ajouter un chassis et de partager l'effort de chacun avec la roue qui tournait. La brouette était née, permettant de travailler plus et mieux sans augmenter son salaire. D'où l'arrivée du travail du dimanche où chacun pouvait gagner quelques parts de plus et aussi se vêtir. A cette amélioration du travail vinrent d'autres avancées qui permirent même de domestiquer des animaux qui n'avaient besoin de salaires et donc de prendre leurs parts pour mieux vivre. D'où la venue de nouvelles réglementations concernant les voies de circulation, les positions sur les routes et les devoirs de s'arrêter aux stops voire d'avoir et de présenter papiers aux encore nouveaux fonctionnaires qui seraient de veiller 'aux biens de chacun' ! (Hahaha !). L'invention du moteur, permis à chacun de ne plus dépendre de la grandeur du prés pour nourrir ses bêtes mais de la profondeur de son puits de pétrole. D'où l'arrivée de l'impôt sur le liquide qui sort comme l'eau des sources et, de faire payer l'eau qui sort seule comme le pétrole. D'où sans cesse à chaque invention un encadrement créé afin qu'il n'échappe à l'Etat de façon à ce que l'inventeur ne devienne riche et qu'il ne puisse rivaliser un jour avec les bons-à-rien.
Donc, l'augmentation du nombre de fonctionnaires ne dépend pas de la croissance de la population mais du nombre d'inventions conçues pour gagner plus d'argent. Donc, sitôt qu'une amélioration est mise sur pied, l'Etat s'abat pour y soustraire 'sa' part afin que les travailleurs demeurent pauvres sans qu'ils ne s'aperçoivent du coût du confort qu'ils ont eux-mêmes créé et qui les entoure. D'où la notion de tirer les marrons du feu dépassée par le régal de savourer les chataignes !
La mobilisation du samedi 15 décembre aura démontré que le mouvement des Gilets jaunes n’est pas prêt de s’arrêter. Pourtant, après l’allocution du Président de la République du 10 décembre, après surtout l’odieux attentat de Strasbourg, la question pouvait être posée.
L'insuffisance des propositions d'Emmanuel Macron
Les appels à cesser le mouvement s’étaient multipliés sur les ondes des différents médias. Le fait que dans toute la France des manifestations aient eu lieu, et pas seulement à Paris ou dans les grandes villes, est une nouvelle preuve de la vitalité du mouvement.
Il faut alors s'interroger pour comprendre pourquoi l'allocution d'Emmanuel Macron n'a pas eu l'effet escompté. Son intervention, venant après celle prononcée le 14 novembre sur le Porte-Avions Charles de Gaulle ainsi que celle, calamiteuse, qui lui avait succédée le 27 novembre, avait certes semblé plus conforme à ce que l'on pouvait attendre d'un Président de la République. Mais, cette intervention n'a pas répondu aux revendications du mouvement.
Rappelons ici les principales revendications des Gilets jaunes. Parti d'un rejet des nouvelles augmentations des taxes pesant sur les carburants, ils demandaient une plus grande justice fiscale, une augmentation substantielle du Smic et des petites retraites, avec le retour à l'indexation sur le chiffre de l'inflation pour ces dernières, enfin des mesures politiques allant de l'introduction du vote à la proportionnelle à l'instauration d'un référendum d'initiative citoyenne. Face à ces revendications, l'allocution d'Emmanuel Macron a été décevante.
Il en va ainsi de la soi-disant augmentation du Smic. Emmanuel Macron n'a pas promis une augmentation du Smic, mais une augmentation de certains revenus qui étaient au niveau du Smic. Il obtient d'ailleurs cette augmentation en combinant toute une série de mesures déjà envisagées par le gouvernement comme les hausses déjà prévues de la prime d'activité (30 euros en avril 2019, 20 euros en octobre 2020 et 20 euros en octobre 2021)[1]. Nous sommes ici loin, très loin, d'une augmentation de 150 à 200 euros du montant net du Smic qui était demandé par le mouvement des Gilets jaunes, une augmentation qui n'aurait fait que compenser le décrochage du Smic avec les gains de productivité depuis 1982. Les français peuvent y voir, à juste titre, une tentative de les «embrouiller».
Emmanuel Macron a aussi promis une défiscalisation des heures supplémentaires, une mesure indiscutablement populaire. Mais, d'une part elle ne s'applique qu'aux salariés (ce qui est aussi le cas pour la précédente mesure) et d'autre part elle ne peut concerner QUE les salariés faisant des heures supplémentaires. C'est un peu la même chose avec la prime de fin d'année, prime qui reste au bon vouloir des entreprises.
Pour les retraités, il a promis l'annulation de la hausse de la CSG pour les retraites de moins de 2000 euros par mois. Ceci constitue un geste. Mais, il ne n'a rien dit quant à la désindexation des retraites par rapport à l'inflation. Or, ceci représentait un enjeu bien plus important pour les retraités que l'annulation de la hausse de la CSG. On sait que l'inflation en 2018 sera autour de 2% alors que la hausse des retraites ne sera que de 0,3 %. Les retraités perdront donc en montant réel de leurs pensions 1,7 %.
On doit aussi relever d'autres choses dans l'intervention d'Emmanuel Macron du lundi 10 décembre: «Les événements de ces dernières semaines dans l'Hexagone et outremer ont profondément troublé la Nation. Ils ont mêlé des revendications légitimes et un enchaînement de violences inadmissibles et je veux vous le dire d'emblée: ces violences ne bénéficieront d'aucune indulgence»[2]. Que le Président dénonce des violences est normal. Mais, qu'il ne comprenne pas que c'est l'inaction, voire l'arrogance du gouvernement, et donc en définitive la sienne, qui a contribué à ces violences est très significatif. Car, si dès le 27 novembre nous avions eu les réponses, même insuffisantes, qui ont été depuis apportées il est très probable que ces violences eurent été moindres, voire n'auraient pas eu lieu.
Un autre passage est aussi très contestable: «Nous avons tous vu le jeu des opportunistes qui ont essayé de profiter des colères sincères pour les dévoyer. Nous avons tous vu les irresponsables politiques dont le seul projet était de bousculer la République, cherchant le désordre et l'anarchie». Il y a tout d'abord des affirmations qui sont fausses, bref ce que l'on appelle, dans le langage du pouvoir des «fake news». Ainsi, les différents dirigeants politiques qui ont repris les revendications des Gilets jaunes, et justement parce qu'ils les ont reprises ne les ont nullement dévoyées. L'image implicite à laquelle se réfère alors Emmanuel Macron est celle d'un mouvement «naïf» que des «opportunistes » auraient cherchés à pervertir. Cette image est profondément anti-démocratique. Elle nous renvoie directement à l'imaginaire de l'Ancien Régime, le bon peuple égaré par des démagogues. Elle insulte la maturité remarquable du mouvement des Gilets jaunes.
Ensuite, ce passage démontre une méconnaissance, assurément voulue, des principes de la démocratie. Le rôle des partis est fixé dans la Constitution[3]. On ne voit pas ce qui dans le demande d'une dissolution de l'Assemblée Nationale ou même dans celle de la démission du gouvernement, il pouvait y avoir, pour reprendre les termes d'Emmanuel Macron «seul projet était de bousculer la République, cherchant le désordre et l'anarchie».
La détérioration de l'image d'Emmanuel Macron
Le point le plus important qui ressort donc de l'allocution du 10 décembre est bien que l'image du Président semble aujourd'hui être irrémédiablement abimée. Elle est abimée par l'ampleur de la répression qui a frappé le mouvement social, avec des centaines d'arrestations arbitraires lors des manifestations du 10 décembre mais aussi des violences policières qui, ne sont pas tolérables dans un Etat de droit. Des personnes sont mortes, ou ont été estropiées. Les responsabilités doivent être établies et les coupables punis.
Elle est abimée, aussi, par le temps qu'il a fallu à Emmanuel Macron pour prendre la mesure de la colère populaire. Eut-il fait les mêmes annonces lors de sa longue (53 minutes) allocution du 27 novembre, que la situation ne se serait probablement pas dégradée au point où elle en est. En dépit de ses dénégations le manque d'empathie, et tout simplement de compréhension, du Président pour les français qui travaillent et qui voient leur situation empirer de mois en mois restera dans les esprits. Président des riches il était devenu après les premiers mois de son mandat; Président des riches il restera.
Elle est abimée, enfin, sur la scène internationale. Le Président jeune et réformateur s'est mué en un autocrate brutal et fermé aux revendications des français. Mais, le Président français a vu aussi son image considérablement abimée au sein de l'Union européenne. Il se voulait le champion d'une réforme approfondissant les mécanismes conduisant vers le fédéralisme. Avec un déficit annoncé désormais à plus 3,5% pour 2019 Emmanuel Macron va se retrouver sur la sellette tout comme le gouvernement italien. Ironie de l'histoire: il devra user des mêmes arguments que ceux utilisés par ces dirigeants qu'il condamnait naguère pour leur «populisme» supposé. Il n'est pas sûr qu'il apprécie. Emmanuel Macron sera dans l'incapacité d'argumenter pour les réformes auxquelles il semble tant tenir. L'effondrement de sa politique européenne, un effondrement déjà annoncé par l'intransigeance allemande, est l'une des conséquences du mouvement des Gilets jaunes.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur
Alors que tous les jours sont licenciés/foutus à la porte des centaines d'employés (qui parfois ne portent en eux la responsabilité de la situation), on se demande tous pourquoi il est si difficile d'écarter un gueux de la gouvernance !
La honte est de voir la dictature perdurer dans un pays qui se veut propre.
Blindés, gaz lacrymogènes, jets de peinture: l'acte 5 des Gilets jaunes en direct (vidéos)
18:42 15.12.2018
Malgré les appels de nombreuses personnalités à ne pas descendre dans les rues ce samedi suite à la fusillade meurtrière de Strasbourg, les Gilets jaunes se sont mobilisés pour leur acte 5. Les rassemblements se déroulent sous haute surveillance avec le même effectif de sécurité que pour l’acte 4 le 8 décembre.
Quelques jours après l'attaque de Strasbourg, des incertitudes persistent sur l'ampleur de l'acte 5. Une mobilisation nationale des Gilets jaunes est prévue ce samedi 15 décembre malgré les multiples appels du gouvernement à ne pas descendre dans les rues après la fusillade sanglante de Strasbourg.
Pour assurer la sécurité, quelque 8.000 forces de l'ordre et 14 véhicules blindés ont été mobilisés à Paris, ce qui revient au même dispositif que le 8 décembre.
«On s'adapte à la situation qui pourrait être la pire», a déclaré le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, sur RTL.
Des contrôles ont été menés dès vendredi soir pour détecter des individus armés qui viennent à Paris pour en découdre. La préfecture de police de Paris, la mairie, les enseignes de luxe et les directions d'établissements culturels ont pris des mesures préventives. Dans le même temps, Paris ne devrait pas être un camp retranché comme la semaine dernière. Michel Delpuech a annoncé que cette fois-ci beaucoup de musées, dont le Louvre, seront ouverts ce samedi.
Emmanuel Macron a annoncé lundi soir une exonération d'impôt et de cotisations sociales en ce qui concerne les heures supplémentaires, reprenant une mesure phare de Nicolas Sarkozy en 2007, laquelle avait ensuite été abrogée en 2012 par son successeur, François Hollande.
Juste après le discours, de nombreux Gilets jaunes ont annoncé leur détermination à poursuivre les blocages, notamment de ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Nouveaux messages 20:45 Une centaine de manifestants ont participé à l'Acte 5 des Gilets jaunes à Strasbourg, théâtre d'une fusillade meurtrière le 11 décembre.
Selon une participante à la manifestation citée par le journal Dernières nouvelles d'Alsace, les événements de mardi ne peuvent pas arrêter le mouvement des Gilets jaunes. Les personnes réunies sur la place de la République à Strasbourg ont porté une banderole «Les Gilets jaunes en deuil». Un gilet jaune a même été déposé place Kléber, lieu de recueillement après la fusillade.
20:26 Parmi les points forts de cette journée, une vidéo publiée par une troupe de danseurs bloquée sur une autoroute, qui fait déjà le buzz sur internet
Publiée sur Facebook dans l'après-midi, la vidéo de la troupe de Diamond Dance The Musical a déjà été vue plus de 37.000 fois.
La vidéo a été filmée alors que les danseurs, qui devaient se rendre à Montélimar, se trouvaient sur l'autoroute A7, à hauteur d'Orange, d'après LCI.
19:25 D'après le ministère de l'Intérieur, 66.000 personnes ont manifesté ce samedi dans toute la France
Quelque 33.500 manifestants étaient comptabilisés en France à la mi-journée, selon des chiffres fournis précédemment par la place Beauvau.
19:05 Plus de 160 personnes ont été interpellées ce samedi à Paris et en petite couronne, d'après BFM TV qui se réfère à la préfecture
A 18h30, 168 personnes avaient été interpellées en marge du rassemblement des Gilets jaunes à Paris et en petite couronne. 115 personnes ont été placées en garde à vue, a annoncé la chaîne BFM TV citant la préfecture de police.
Selon la chaîne, sept personnes ont été blessées dans la capitale.
18:04 Un lycéen aurait été blessé à Montbéliard, d'après les réseaux sociaux
France Info avait précédemment annoncé qu'une cinquantaine de Gilets jaunes munis de pancartes avaient défilé à Belfort.
À Colmar, une cinquantaine de Gilets jaunes ont tenu une marche blanche qui était d'abord prévue pour les morts du mouvement, mais s'est ensuite élargie aux victimes de la fusillade du 11 octobre à Strasbourg.
17:52 A Saint-Etienne, un manifestant s'est vu blessé au visage, visiblement par un tir de Flashball, selon un journaliste du Figaro.
17:48 La préfecture de police de Paris fait état pour l'heure de 104 gardes à vue dans la capitale française
Le nombre des interpellations a atteint 157 à Paris, d'après la préfecture.
Cinq personnes ont été légèrement blessées, d'après l'AFP.
Le bilan précédent faisait état de 120 interpellations.
15:40 15.12.2018 La mobilisation du samedi 15 décembre aura démontré que le mouvement des Gilets jaunes n’est pas prêt de s’arrêter. Pourtant, après l’allocution du Président de la République du 10 décembre, après surtout l’odieux attentat de Strasbourg, la question pouvait être posée.
17:46 A Toulouse, des barricades construites dans la journée ont été incendiées dans la soirée.
17:40 Des heurts opposant des forces de l'ordre à des manifestants signalés dans le centre de Bordeaux.
Dès 16h00, les forces de l'ordre stationnées près de la cathédrale et de la mairie ont commencé à repousser des manifestants en actionnant à de multiples reprises un engin lanceur d'eau et en utilisant des gaz lacrymogènes. Les protestataires jetaient des projectiles divers, bouteilles ou feux d'artifice en tir tendu, a indiqué l'AFP.
16:55 Le nombre d'interpellations à Paris et sa petite couronne a atteint 136, dont 96 font l'objet d'une garde à vue, d'après les médias.
A Nantes, 1.200 personnes ont participé aux actions de protestation des Gilets jaunes cet après-midi, d'après la police citée par l'AFP. La police a interpellé cinq personnes et utilisé des gaz lacrymogènes.
16:20 La police a de nouveau eu recours aux gaz lacrymogènes sur les Champs-Élysées.
Pour dissiper les manifestants, les forces de l'ordre utilisent aussi des canons à eau et, d'après des internautes, des pulvérisateurs d'oléorésine de capsicum (OC), un extrait de poivre de Cayenne.
Des tensions sporadiques entre des Gilets jaunes et des forces de l'ordre ont lieu sur les Champs-Elysées.
16:03 A Lyon, plusieurs centaines de manifestants sont rassemblés au centre de la ville.
D'après des messages sur les réseaux sociaux, des heurts opposants des Gilets jaunes à la police ont eu lieu à Besançon.
15:37 La situation commence à chauffer à Toulouse où la police a recours aux gaz lacrymogènes tandis que les manifestants lancent des projectiles.
Les forces de l'ordre utilisent en outre un canon à eau et des grenades de désencerclement pour disperser les manifestants, d'après 20 Minutes Toulouse et des messages diffusées sur les réseaux sociaux.
Selon l'agence France Presse, les manifestants étaient entre 4.000 et 5.000 face à quelque 600 membres des forces de l'ordre à Toulouse.
Les manifestants ont aspergé de peinture jaune un véhicule blindé de la gendarmerie qui intervient à Toulouse.
15:30 Alors que la tension monte à Paris et dans certaines villes françaises, la situation reste plutôt calme à Grenoble, en contraste avec les CRS armés.
15:22 15.12.2018 Des Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 15 décembre pour jouer l’acte 5 de leur mobilisation qui se poursuit dans toute la France. Ces manifestations ont été marquées par de nombreux incidents, les Gilets jaunes mettant notamment le feu à des pneus sur les routes, ce qui a perturbé, voire entravé, la circulation.
15:23 La situation est tendue devant la mairie de Limoges où une trentaine de membres des forces de l’ordre font face à un millier de manifestants scandant «Macron démission».
15:19 À Nantes, les manifestants poursuivaient leur marche brandissant leurs banderoles où était écrit «On ne veut pas des miettes, on veut la boulangerie», faisant ainsi allusion aux réformes sociales du gouvernement.
D'après la direction départementale de la sécurité publique, quelque 500 personnes ont défilé à Nantes, cinq personnes ont été interpellées et un policier a été blessé.
15:17 En ce début d'après-midi, les forces de l'ordre ont eu recours aux gaz lacrymogènes, à des grenades et des balles de défense pour repousser des manifestants rassemblés à proximité des Champs-Élysées.
Sur les Champs-Élysées, on voit des personnes masquées et équipées de lunettes de protection qui s'attaquent aux policiers.
Selon l'AFP, des bouteilles ont été jetées sur les forces de l'ordre. La police a riposté par des grenades, balles de défense et gaz lacrymogènes.
15:19 15.12.2018 Samedi dans l’après-midi, l’ambiance s'est brusquement dégradée sur les Champs-Élysées où au moins une personne a été blessée lors d'affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
15:08 Les tensions sont fortes aux Champs-Élysées où les tirs de gaz lacrymogènes se poursuivent. Une personne a été blessée à la tête.
15:19 15.12.2018 Samedi dans l’après-midi, l’ambiance s'est brusquement dégradée sur les Champs-Élysées où au moins une personne a été blessée lors d'affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
Une correspondante de la chaîne RT a été blessée au visage à Paris, a annoncé la rédactrice en chef de RT, Margarita Simonian sur Telegram, publiant une photo de la jeune femme au visage couvert de sang.
Plus tôt, des internautes ont indiqué sur Twitter qu'une jeune femme avait été blessée à la tête.
14:45 La mobilisation est en recul dans toute la France avec 33.500 manifestants, d'après le ministère de l'Intérieur.
Selon le ministère, il y avait 33.500 manifestants dans toute la France à la mi-journée, deux fois moins que les 77.000 recensés le 8 décembre à la même heure. Seules 2.200 étaient recensées à Paris, contre 10.000 il y a une semaine.
14:34 L’ambiance est électrique place de l’Opéra.
Sur la place de l'Opéra à Paris, des manifestants ont lancé des jets de peinture sur les forces de l'ordre.
La police a bloqué les sorties près de la place de l’Opéra Garnier, a informé le correspondant de Sputnik se trouvant sur place.
14:29 De leur côté, les Gilets jaunes belges manifestent à Bruxelles, encadrés par une forte présence policière. Une cinquantaine d'interpellations a déjà eu lieu, selon les médias.
14:28 15.12.2018 Les forces de l'ordre ont interpellé une cinquantaine de personnes lors de la troisième manifestation des Gilets jaunes organisée dans la capitale européenne, selon des médias belges.
Alors que les Gilets jaunes manifestaient à Bruxelles, des membres du parti d'extrême droite Nation se sont joints à la mobilisation. Les Gilets jaunes ont dénoncé cette participation.
Les manifestants ont été bloqués par les policiers à Arts-Loi avant d'être évacués en début d'après-midi vers le quartier de la gare du Luxembourg. La place du Luxembourg a été fermée et la manifestation dissoute, d'après la police citée par les médias belges. Les Gilets jaunes ont plus tard repris leur marche, d'après Le Soir.
14:19 Moins de 3.000 manifestants à Paris vers 14h00, selon la police.
14:15 La situation dégénère à Paris où des heurts ont commencé.
14:08 Selon les internautes, des membres des forces de l'ordre ont été déployés à l'angle de la rue de la Fayette et de la rue de la Chaussée d'Antin
14:05 Près de l’Opéra la situation reste relativement calme.
Des manifestants ont chanté la Marseillaise, puis ont commencé à scander «Macron démission». La situation a soudainement dégénéré à Paris où des heurts ont commencé. D'autres ont commencé à crier «Castaner en prison» tandis que la police leur demandait de se disperser et de se calmer.
Les manifestants ont appelé la police à se joindre à eux.
14:02 Selon le dernier bilan, présenté par la préfecture de police de Paris, plus de de 90 personnes ont été interpellées ce samedi à 13h à Paris et en petite couronne, contre plus de 500 la semaine dernière à la même heure. 53 individus ont été placés en garde à vue.
13:54 Au cours de la journée plusieurs actions des Gilets jaunes ont été organisées à travers la France.
La tension est particulièrement forte en Bretagne.
À Toulouse, des Gilets jaunes tentent de prendre possession du périphérique, où certains veulent organiser un pique-nique.
Ce matin une barricade a été incendiée à la sortie ouest de Nîmes pour bloquer la circulation automobile.
Plusieurs manifestants sont sortis dans les rues à Nantes.
À Nantes, la police a eu recours aux gaz lacrymogènes.
À Bordeaux, environ 300 manifestants se sont rassemblés sous la pluie.
Plus tard, la préfecture a fait état de 4.500 manifestants - Gilets jaunes et étudiants. Quelques échauffourées ont eu lieu place Pey-Berland, près de la mairie. La police a procédé à 14 interpellations.
À Toulouse, un cortège de lycéens a rejoint les Gilets jaunes dans l’après-midi.
Selon la préfecture de la Dordogne, un manifestant a pris une bombe lacrymogène à la police, avant d'en asperger les forces de l'ordre devant le dépôt de bus de Périgueux. Les policiers ont dispersé le rassemblement avant d'arrêter cinq personnes qui tentaient de s’enfuir en voiture.
Un face à face très tendu a eu lieu à Perpignan entre des motards Gilets jaunes et les forces de l'ordre. Ces derniers ont fait usage de leurs matraques et de gaz lacrymogènes.
13:08 Vers 12h30 la préfecture de Paris a fait état de 85 interpellations dans la région parisienne.
12:36 En revanche, la Marseillaise a été entonnée par des Gilets jaunes près de l’Opéra Garnier à Paris. Souhaitant sortir de la zone dans laquelle les forces de l'ordre les contraignent à rester, ils scandent : «Macron démission!».
12:34 Le calme est revenu dans les différents points de manifestation à Paris, indiquent les médias.
12:30 À la mi-journée, la préfecture de police évoque déjà 72 interpellations à Paris et en petite couronne, contre plus de 500, enregistrées à la même heure la semaine dernière. La préfecture fait également état d’une «mobilisation plus faible» avec «quelques milliers de manifestants» à Paris, sans apporter plus de précisions, a relaté la BFMTV.
12:17 Les motards de la police équipés de Flash-balls se rendent sur les Champs-Élysées à Paris.
12:15 Quelque 64 personnes ont pour le moment été interpellées en région parisienne. Bien en-dessous des chiffres de la semaine dernière où 1.028 interpellations avaient été enregistrées à la mi-journée.
11:40 15.12.2018 Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:48 Des femmes vêtues d'un sweat à capuche rouge ouvert ont été vues se tenant debout en silence face à une dizaine de gendarmes avenue des Champs-Élysées. Elles étaient recouvertes de peinture argentée.
Selon les médias, le happening, un temps assimilé à une opération des Femen, était une performance intitulée Marianna regarde et organisée par une artiste franco-luxembourgeoise de 33 ans, Déborah de Robertis. Elle est connue pour ses perfomances nues dans des musées.
Ce qui pousse les femmes à être en pointe des Gilets jaunes 16:30 15.12.2018 Le mouvement des Gilets jaunes en a surpris plus d’un par son ampleur et sa durée, mais ce n’est pas sa seule particularité. En effet, les femmes, habituellement moins mobilisées dans les mouvements sociaux, sont très présentes au sein des Gilets jaunes, lors des blocages, des manifestations et des prises de parole, un signe de leur paupérisation.
11:40 Premières tensions avec les forces de l'ordre sur les Champs-Élysées.
11:40 15.12.2018 Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:36 Après une poussée de certains manifestants, contenus par des gendarmes mobiles, quelques centaines de manifestants ont repris possession de la chaussée sur les Champs-Élysées. D'autres sont toujours bloqués par les forces de l'ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogènes.
11:32 Des manifestants se sont mis à scander «Macron démission».
11:19 Les Champs-Élysées ont été partiellement rouverts à la circulation, a informé un journaliste de l’AFP.
11:16 D'après les informations de la gendarmerie, il y avait quelque 2.000 manifestants sur les zones de France qu’elle était chargée de sécuriser ce matin. La préfecture de police de Paris fait état d’un millier de manifestants.
11:04 Selon la préfecture de police de Paris, 52 personnes ont été interpellées en Île-de-France depuis le début de la journée. Quinze personnes ont été arrêtées lors de contrôles préventifs à des péages ou dans des gares.
10:41
Pour manifester leur soutien aux lycéens de Mantes-la-Jolie, des dizaines des Gilets jaunes se sont mis à genoux Place de l'Opéra à Paris, mains derrière la tête.
10:40 Des policiers à cheval viennent d’arriver à Paris. Ils ont été hués par des manifestants.
10:21 Selon la préfecture de police de Paris, le nombre d’interpellations s’est élevé à 37 personnes. 22 autres personnes ont été placées en gardes à vue ce samedi dans la capitale.
10:21 Sur Twitter, Marine Le Pen a dénoncé «les casseurs ultras et les pilleurs de banlieue» qui «sont les complices objectifs du pouvoir».
10:14 Des manifestants ont entamé leur descente des Champs-Élysées en chantant la Marseillaise. Ils devraient être rapidement bloqués, les accès aux sites institutionnels étant fermés.
10:01 Peu avant 9h30, une trentaine de personnes avaient déjà été interpellées en Île-de-France, dont 17 dans l’agglomération parisienne, ont rapporté les médias. Par comparaison, à la même heure la semaine dernière, les forces de l'ordre avaient déjà procédé à 278 interpellations.
09:56 Peu de monde sur les Champs-Élysées, un autre rassemblement sur la Place de l'Opéra
09:51 En raison de la mobilisation des Gilets jaunes, la circulation est perturbée à Paris. Certaines stations de métro seront fermées. La RATP indique que des modifications d’itinéraires pour certaines lignes auront lieu suivant l’évolution de la situation. D’autres pourraient même ne pas être exploitées du tout.
A savoir qu'en toute absence de Démocratie dans un pays, seule la dictature parle, tue et rigole.
RépondreSupprimerDu '3 Pouvoirs (Dictature, Merdia et Religion)' l'on passe à Dictature, Immigration, Français. Premier: Plan d'attaque, second: action guerre civile.
Le pouvoir n'est pas une question d'argent puisqu'il est fabriqué avec un doigt posé sur l'ordinateur et n'a donc aucune valeur, mais seulement une question d'arme. C'est pourquoi face aux revendications pacifiques des citoyens se dresse la mort armée de blindée, de rayons paralysants, de lances à eau, de taser et des coups de matraques pour handicaper à vie toute personne approchée !
Le nombre de morts étant caché est remplacé aussitôt par un immigré ('réfugié climatique' !! Hahaha !) ravi d'avoir des sous sans travailler et qui soutiendra bien-sûr la dictature en place.
C'est pourquoi, comme la Démocratie est obligatoire dans les temps à venir, les dictatures se protègent en faisant appel à coups de milliards aux étrangers (uniquement musulmans) qu'ils vont jusqu'à chercher chez eux en leurs demeures.
Un nouvel article explique comment la politique « post-vérité » met la science en péril
RépondreSupprimer15 Décembre 2018
par Seppi
Mark Lynas*
Un nouvel article publié dans le journal de haut niveau PNAS décrit les défis que pose à la connaissance scientifique la prolifération d'informations erronées en ligne sur des questions telles que le changement climatique, les vaccins et les plantes génétiquement modifiées.
Il décrit comment « de profonds changements structurels dans l'environnement médiatique » ont « permis à des acteurs peu scrupuleux, aux motifs cachés, de faire circuler de plus en plus d'infox, de fausses informations et de désinformation à l'aide de trolls, de robots et d'algorithmes pilotés par les répondants ».
En raison de ces changements structurels, « les points de vue des scientifiques et du public sont maintenant très éloignés les uns des autres » sur des questions telles que le climat, les vaccins et les OGM et seulement 21 % des adultes américains déclarent avoir « une grande confiance » dans le fait que les scientifiques agissent dans le meilleur intérêt du public.
En conséquence, l'article a averti que « chaque fois que des conclusions scientifiques contrediront l'agenda politique d'une personne ou d'un groupe, qu'ils soient conservateurs (comme pour la science du climat et l'immigration) ou de gauche (comme pour les aliments génétiquement modifiés et les risques de la vaccination), les scientifiques peuvent s'attendre à une campagne ciblée de fausses nouvelles, d'informations erronées et de désinformation en réponse, quelle que soit la clarté avec laquelle l'information est présentée ou le soin et la force de conviction mis dans sa formulation. »
L'article a été rédigé par Shanto Iyengar de l’Université de Stanford et Douglas S. Massey de Princeton, qui ont tous deux participé au colloque organisé par l’Académie Nationale des Sciences des États-Unis sur la science et la communication. Il est disponible en texte intégral en ligne.
Les auteurs soulignent que s’il peut être utile d’améliorer la capacité des scientifiques à communiquer avec le public, « nous soupçonnons que la méfiance à l’égard des activités scientifiques et les idées fausses sur les connaissances qu’elles produisent ont de moins en moins à voir avec les problèmes de communication et de plus en plus avec la disponibilité d'informations trompeuses et biaisées d'accès facile dans les médias. »
L'article analyse les profonds changements structurels intervenus dans le paysage médiatique depuis 1970, notamment « la déréglementation de la radiodiffusion, l'abrogation de la doctrine de l'équité [Fairness Doctrine], l'essor de la télévision par câble, l'avènement de l'Internet et le développement des réseaux sociaux », qui ont contribué à une polarisation politique et une animosité partisane croissantes.
Bien que les deux bords politiques puissent être des sources de la désinformation, les auteurs de l'article de PNAS ont déclaré très clairement que « les efforts délibérés pour saper la confiance dans la science proviennent malheureusement principalement de la droite du spectre politique » [aux États-Unis d'Amérique].
Alors que la confiance des libéraux [au sens états-unien] dans la communauté scientifique n’a guère changé au cours des dernières décennies, le pourcentage de conservateurs exprimant une grande confiance dans la communauté scientifique est tombé de 56 % à 36 % entre 1974 et 2016.
RépondreSupprimerLa polarisation partisane signifie que de plus en plus de citoyens sont coincés dans des « chambres de résonance », écrivent les auteurs, et que les gens sont devenus « plus enclins à rejeter les informations et les arguments qui s'opposent à leur vision du monde ». Quand les preuves scientifiques s'opposent aux allégeances partisanes, « elles sont soit rejetées, soit déformées, empêchant ainsi la diffusion des résultats scientifiques. »
Iyengar et Massey écrivent : « La prévisibilité des croyances et des attitudes partisanes représente un cas classique de raisonnement motivé dans lequel l'affirmation de l'identité partisane prime sur l'examen sans parti pris des preuves. »
L'article donne l'exemple d'une étude de l'Académie Nationale des Sciences sur l'immigration qui – bien qu'elle ait principalement montré que les impacts économiques de l'immigration sont principalement positifs – a été déformée par les médias conservateurs et la blogosphère pour lui faire dire le contraire.
L'article ne va pas jusqu'à proposer des solutions à la situation de plus en plus difficile en matière de communication qui touche la communauté scientifique. Les auteurs suggèrent qu'une réfutation rapide et organisée de la désinformation pourrait être utile, mais « étant donné ce que la recherche a révélé sur la façon dont la tribalisation de la société américaine a fermé les esprits américains, elle pourrait ne pas être très efficace ».
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* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2018/12/new-paper-outlines-science-imperiled-post-truth-politics/
http://seppi.over-blog.com/2018/12/un-nouvel-article-explique-comment-la-politique-post-verite-met-la-science-en-peril.html
Supprimer(...) seulement 21 % des adultes américains déclarent avoir « une grande confiance » dans le fait que les scientifiques agissent dans le meilleur intérêt du public. (...)
Les USA sont infestés de FAUX scientifiques qui prêchent la mort à tous ceux qui ne paient le prix pour respirer !!
Certains étaient des scientifiques mais qui, privés de ressources pour les recherches ont cédé à la pression de se prostituer. C'est ainsi que des EX scientifiques ont pu parler aux merdias et dire le contraire de la vérité scientifique.
Ils ont été rayés du Conseil de l'Ordre pour avoir piétiner le Serment d'Hippocrate et traité la science comme un vulgaire excrément. Mais ils continuent à être écoutés par ceux qui ne savent pas, ne réfléchissent pas et détiennent un QI d'un enfant de 5 ans.
Gilets jaunes: Angela Merkel parle de «démocratie»
RépondreSupprimer10:03 15.12.2018
En France, les quatre mobilisations des Gilets jaunes ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes. Pour Angela Merkel, ces manifestations sont une expression de la démocratie, mais la chancelière allemande appelle néanmoins à s’abstenir de violence, un «monopole de l’État» selon elle.
Pour Angela Merkel, les manifestations des Gilets jaunes, qui prévoient ce samedi un nouvel acte de mobilisation, sont une expression de la démocratie
«La possibilité d'exprimer sa protestation fait partie de la démocratie», a estimé devant les journalistes la chancelière allemande lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet de l'UE.
Mais elle a tout de suite averti contre la violence. «Le recours à la violence est un monopole de l'État», a-t-elle souligné.
La chancelière s'attend à ce que tous les manifestants partagent cette approche aussi bien en Allemagne qu'en France.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit toujours et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
https://fr.sputniknews.com/international/201812151039315380-merkel-gilets-jaunes-democratie/
SupprimerA savoir que la dictature en place ne va pas glorifier/soutenir la Démocratie et donc parle d'elle comme étant une liberté d'actes de violence, de briser des vitrine, voler et d'incendier des voitures !!!
Elle confond sa dictature avec la Démocratie qu'elle ne connait pas malgré que la Suisse soit frontalière à son pays !!
14 blindés et 8.000 policiers mobilisés: l'acte 5 des Gilets jaunes à Paris en direct
RépondreSupprimer11:25 15.12.2018
Malgré les appels de nombreuses personnalités à ne pas descendre dans les rues ce samedi suite à la fusillade meurtrière de Strasbourg, les Gilets jaunes ont néanmoins annoncé leur mobilisation pour jouer leur acte 5. Les rassemblements se dérouleront sous haute surveillance avec le même effectif de sécurité que pour l’acte 4.
Quelques jours après l'attaque de Strasbourg, des incertitudes persistent sur l'ampleur de l'acte 5. Une mobilisation nationale des Gilets jaunes est prévue ce samedi 15 décembre malgré les multiples appels du gouvernement à ne pas descendre dans les rues après la fusillade sanglante de Strasbourg.
Pour assurer la sécurité, quelque 8.000 forces de l'ordre et 14 véhicules blindés seront mobilisés à Paris, ce qui revient au même dispositif que la semaine dernière.
«On s'adapte à la situation qui pourrait être la pire», a déclaré le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, sur RTL.
Des contrôles ont été menés dès vendredi soir pour détecter des individus armés qui viennent à Paris pour en découdre. La préfecture de police de Paris, la mairie, les enseignes de luxe et les directions d'établissements culturels ont pris des mesures préventives. Dans le même temps, Paris ne devrait pas être un camp retranché comme la semaine dernière. Michel Delpuech a annoncé que cette fois-ci beaucoup de musées, dont le Louvre, seront ouverts ce samedi.
Emmanuel Macron a annoncé lundi soir une exonération d'impôt et de cotisations sociales en ce qui concerne les heures supplémentaires, reprenant une mesure phare de Nicolas Sarkozy en 2007, laquelle avait ensuite été abrogée en 2012 par son successeur, François Hollande.
Juste après le discours, de nombreux Gilets jaunes ont annoncé leur détermination à poursuivre les blocages, notamment de ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Nouveaux messages
13:08
Vers 12h30 la préfecture de Paris a fait état de 85 interpellations dans la région parisienne.
12:36
En revanche, la Marseillaise a été entonnée par des Gilets jaunes près de l’Opéra Garnier à Paris. Souhaitant sortir de la zone dans laquelle les forces de l'ordre les contraignent à rester, ils scandent : «Macron démission!».
12:34
Le calme est revenu dans les différents points de manifestation à Paris, indiquent les médias.
12:30
À la mi-journée, la préfecture de police évoque déjà 72 interpellations à Paris et en petite couronne, contre plus de 500, enregistrées à la même heure la semaine dernière. La préfecture fait également état d’une «mobilisation plus faible» avec «quelques milliers de manifestants» à Paris, sans apporter plus de précisions, a relaté la BFMTV.
12:17
Les motards de la police équipés de Flash-balls se rendent sur les Champs-Élysées à Paris.
12:15
Quelque 64 personnes ont pour le moment été interpellées en région parisienne. Bien en-dessous des chiffres de la semaine dernière où 1.028 interpellations avaient été enregistrées à la mi-journée.
Manifestation des Gilets jaunes le 8 décembre 2018
RépondreSupprimerActe 5 des Gilets jaunes: la police fait usage de gaz lacrymogènes (vidéo)
11:40 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:48
Des femmes vêtues d'un sweat à capuche rouge ouvert ont été vues se tenant debout en silence face à une dizaine de gendarmes avenue des Champs-Élysées. Elles étaient recouvertes de peinture argentée.
11:40
Premières tensions avec les forces de l'ordre sur les Champs-Élysées.
Manifestation des Gilets jaunes le 8 décembre 2018
Acte 5 des Gilets jaunes: la police fait usage de gaz lacrymogènes (vidéo)
11:40 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:36
Après une poussée de certains manifestants, contenus par des gendarmes mobiles, quelques centaines de manifestants ont repris possession de la chaussée sur les Champs-Élysées. D'autres sont toujours bloqués par les forces de l'ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogènes.
11:32
Des manifestants se sont mis à scander «Macron démission».
11:19
Les Champs-Élysées ont été partiellement rouverts à la circulation, a informé un journaliste de l’AFP.
11:16
D'après les informations de la gendarmerie, il y avait quelque 2.000 manifestants sur les zones de France qu’elle était chargée de sécuriser ce matin. La préfecture de police de Paris fait état d’un millier de manifestants.
11:04
Selon la préfecture de police de Paris, 52 personnes ont été interpellées en Île-de-France depuis le début de la journée. Quinze personnes ont été arrêtées lors de contrôles préventifs à des péages ou dans des gares.
10:41
Pour manifester leur soutien aux lycéens de Mantes-la-Jolie, des dizaines des Gilets jaunes se sont mis à genoux Place de l'Opéra à Paris, mains derrière la tête.
10:40
Des policiers à cheval viennent d’arriver à Paris. Ils ont été hués par des manifestants.
10:21
Selon la préfecture de police de Paris, le nombre d’interpellations s’est élevé à 37 personnes. 22 autres personnes ont été placées en gardes à vue ce samedi dans la capitale.
10:21
Sur Twitter, Marine Le Pen a dénoncé «les casseurs ultras et les pilleurs de banlieue» qui «sont les complices objectifs du pouvoir».
10:14
Des manifestants ont entamé leur descente des Champs-Élysées en chantant la Marseillaise. Ils devraient être rapidement bloqués, les accès aux sites institutionnels étant fermés.
10:01
RépondreSupprimerPeu avant 9h30, une trentaine de personnes avaient déjà été interpellées en Île-de-France, dont 17 dans l’agglomération parisienne, ont rapporté les médias. Par comparaison, à la même heure la semaine dernière, les forces de l'ordre avaient déjà procédé à 278 interpellations.
09:56
Peu de monde sur les Champs-Élysées, un autre rassemblement sur la Place de l'Opéra
09:51
En raison de la mobilisation des Gilets jaunes, la circulation est perturbée à Paris. Certaines stations de métro seront fermées. La RATP indique que des modifications d’itinéraires pour certaines lignes auront lieu suivant l’évolution de la situation. D’autres pourraient même ne pas être exploitées du tout.
09:51
Christophe Castaner est arrivé place de la Concorde pour saluer les forces de l’ordre
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039314436-france-paris-gilets-jaunes-manifetsation/
Cagoule, uniforme, gilet jaune: une policière exige «un acte 5 des Gilets jaunes» (photos)
RépondreSupprimer12:35 15.12.2018
Invitée sur le plateau de Balance ton post sur C8, une femme cagoulée se présentant comme policière et portant un gilet jaune, a affirmé devant tout le pays son soutien au mouvement et a même averti que si l’occasion se présente, elle refusera de serrer la main à Emmanuel Macron.
Une jeune femme se faisant appeler Camille et affirmant faire partie de la police municipale a participé à l'émission Balance ton post diffusée vendredi sur C8.
Ainsi, vêtue d'un uniforme et portant en même temps un gilet jaune, la Française a évoqué son soutien au mouvement des Gilets jaunes, son visage étant toutefois caché sous une cagoule.
Mécontente de la ligne politique de l'Élysée, elle a également fait part de sa colère à l'égard d'Emmanuel Macron.
Cette intervention a été largement soutenue sur les réseaux sociaux, les internautes la félicitant pour son courage et son honnêteté.
Cependant, d'autres twittos ont dit ne pas être convaincus par le discours de la femme et ont ironisé sur son apparition dans le talk-show.
Des individus se tiennent face aux gendarmes sur une route de Caen le 18 novembre 2018.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit toujours et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039317187-gilets-jaunes-policiere-balance-ton-post/
Acte 5 des Gilets jaunes: la police fait usage de gaz lacrymogènes (vidéo)
RépondreSupprimer12:32 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
Les forces de l'ordre ont fait usage de lacrymogènes pour répondre aux premiers incidents survenus sur les Champs-Élysées.
Après que les manifestants ont commencé à forcer le barrage des gendarmes, des gaz lacrymogènes ont été utilisés. De légères tensions ont été constatées entre les forces de l'ordre et des manifestants qui exprimaient leur mécontentement d'être restreints à un petit périmètre entre l'Arc de Triomphe et le premier quart des Champs-Élysées. Sur l'une des vidéos, publiées sur la Toile, les Gilets jaunes rompent un cordon policier:
La Marseillaise est entendue dans le centre-ville de Paris:
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039316663-gilets-jaunes-gaz-lacrymogenes/
SupprimerAlors qu'ils défilent pacifiquement, la police empêche les français de circuler en France ! Seuls les immigrés bénéficient de la protection de la police française !
Ce qui pousse les femmes à être en pointe des Gilets jaunes
RépondreSupprimer16:36 15.12.2018
Mike Beuve
Le mouvement des Gilets jaunes en a surpris plus d’un par son ampleur et sa durée, mais ce n’est pas sa seule particularité. En effet, les femmes, habituellement moins mobilisées dans les mouvements sociaux, sont très présentes au sein des Gilets jaunes, lors des blocages, des manifestations et des prises de parole, un signe de leur paupérisation.
«Les hommes (54%) sont un peu plus nombreux que les femmes (45%) [lors des manifestations des gilets jaunes, ndlr]. Cependant, la forte proportion de femmes, appartenant souvent aux classes populaires, une catégorie sociale traditionnellement peu mobilisée politiquement, est un fait notable.»
C'est le résultat d'une enquête réalisée par un collectif de chercheurs visant à comprendre sociologiquement les Gilets jaunes. Les auteurs de l'étude (basée sur 166 questionnaires distribués sur les ronds-points et lors de manifestations), qui ont publié une tribune dans Le Monde, expliquent que «la forte dimension sociale du conflit et la centralité des revendications sur les conditions matérielles d'existence dans le mouvement social participent à la visibilité des femmes». En effet, après de longues semaines de mobilisation, on constate une très forte présence féminine sur les ronds-points, au niveau des péages, dans les rues de la capitale, mais également dans tous les JT et plateaux télévisés.
Alors pourquoi un tel engagement de la part des femmes, généralement moins présentes que les hommes dans les mouvements sociaux et politiques ? Au-delà du «ras-le-bol général» exprimé par les manifestants, l'une des raisons principales reste la baisse du pouvoir d'achat. Or, l'une des catégories qui ont vu sa situation se détériorer le plus au fil des années est celle des familles monoparentales. En 1990, elles représentaient une famille sur dix, puis une famille sur cinq en 2013. Selon les données du recensement de l'INSEE, on compte deux millions de familles de ce type qui, dans 82% des cas, sont constituées d'une mère avec ses enfants. Par ailleurs, lorsque l'on se focalise sur les familles monoparentales pauvres, on constate que 44% des femmes inactives sont pauvres (au-dessous du seuil de 50% du revenu médian). En outre, 15% des mères actives de ces familles vivent également sous le seuil de pauvreté.
«On a donc une situation très particulière et que l'on retrouve très probablement sur les ronds-points», explique l'économiste Xavier Timbeau sur le plateau de Russeurope Express, l'émission de Jacques Sapir sur Radio Sputnik.
?Pour Xavier Timbeau, directeur principal de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et co-auteur d'une étude sur l'évolution du revenu des ménages entre 2008 et 2016 publiée par l'Insee, malgré «le système socio-fiscal (allocations chômage, RSA, etc.) qui a beaucoup contribué à limiter l'explosion des inégalités en France, ce filet de protection sociale a des "trous". Et parmi ces trous, il y a la question des familles monoparentales.»
«On a un système qui a été construit après 1945 par le Conseil National de la Résistance qui est extrêmement familialiste, avec une vision de la famille qui est un homme qui travaille, une femme qui est au foyer et des enfants. On conçoit la protection sociale comme s'adressant à cet ensemble. Aujourd'hui, les familles monoparentales sont assez mal prises en compte par notre système», rappelle Xavier Timbeau.
Cette croissance continue du nombre de familles monoparentales pauvres fait apparaître un nouveau phénomène: celui de la pauvreté des enfants. En 15 ans, le taux d'enfants de moins de 18 ans vivant sous le seuil de pauvreté (1.015 euros) est passé de 16 à 20%, représentant 3 millions d'enfants en France. Pourtant, comme le souligne Xavier Timbeau, une modification du système de protection sociale prenant en compte ses nouvelles réalités pourrait réduire le nombre de familles monoparentales pauvres.
RépondreSupprimer«Ces familles monoparentales sont souvent des couples qui n'ont pas vécu très longtemps ensemble avec au départ des femmes qui étaient inactives, qui se retrouvent avec des difficultés d'insertion sur le marché du travail, donc qui ont de faibles salaires pour des faibles qualifications et qui en plus n'ont pas trois enfants; donc elles n'ont pas accès aux allocations familiales.»
Et de poursuivre,
«Le système d'allocation familiale devrait être affecté et attribué non pas majoritairement quand vous avez deux enfants ou augmenter encore quand vous avez trois enfants, mais devrait être accordé au premier enfant.»
Une piste qui, pour l'heure, n'a pas encore été évoquée par le gouvernement.
Retrouvez l'émission en intégralité sur la chaîne YouTube de Sputnik France:
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039311377-ce-qui-pousse-femmes-etre-en-pointe-gilets-jaunes/
Heurts entre Gilets jaunes et forces de l'ordre sur les Champs-Élysées, des blessés
RépondreSupprimer16:30 15.12.2018
Samedi dans l’après-midi, l’ambiance s'est brusquement dégradée sur les Champs-Élysées où au moins une personne a été blessée lors d'affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
La tension est montée samedi après-midi sur les Champs-Elysées, l'un des théâtres de l'acte 5 de la manifestation des Gilets jaunes. Une personne a été blessée à la tête, apparemment par un flashball, comme l'ont pu filmer l'agence Ruptly et des témoins sur place.
Une correspondante de la chaîne RT a été blessée au visage, a fait savoir la rédactrice en chef de Sputnik et RT, Margarita Simonian. La jeune femme s'est rendue à l'hôpital, a précisé Mme Simonian sur Twitter. Selon la correspondante, elle a été blessée par une poignée de porte utilisée comme projectile.
Aux environs de 15h00, des tensions se sont fait sentir sur les Champs-Élysées. Des échauffourées sporadiques ont alterné avec des moments de calme au cours desquels des manifestants chantaient La Marseillaise. Les forces de l'ordre ont eu recours à plusieurs reprises à des gaz lacrymogènes, des grenades et de balles de défense pour disperser la foule, a indiqué un journaliste de l'AFP.
Des manifestants ont jeté des bouteilles et des pavés sur les forces de l'ordre, mais la situation est restée contenue comparativement aux journées de mobilisation précédentes dans le même quartier de Paris.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit toujours et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Selon le ministère de l'Intérieur, la mobilisation est en net recul ce samedi dans toute la France, avec quelque 33.500 manifestants à la mi-journée contre 77.000 comptabilisés à la même heure samedi dernier. Dans la capitale, 2.200 participants à l'acte V des Gilets jaunes étaient recensés contre 10.000 voici une semaine.
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039318833-gilets-jaunes-blesses-champs-elysees/
Pneus brûlés, pique-nique sur la route: la France vit l'acte 5 des Gilets jaunes
RépondreSupprimer15:27 15.12.2018
Des Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 15 décembre pour jouer l’acte 5 de leur mobilisation qui se poursuit dans toute la France. Ces manifestations ont été marquées par de nombreux incidents, les Gilets jaunes mettant notamment le feu à des pneus sur les routes, ce qui a perturbé, voire entravé, la circulation.
La France vit ce samedi un nouvel acte des Gilets jaunes qui se sont rassemblés pour le cinquième samedi consécutif, même si de nombreuses personnalités ont appelé à ne pas descendre dans les rues après le drame qui s'est joué cette semaine à Strasbourg. Ainsi, dès ce matin, la police a fait usage de lacrymogènes pour répondre aux premiers incidents survenus sur les Champs-Élysées. Quelque 8.000 forces de l'ordre et 14 véhicules blindés sont mobilisés rien qu'à Paris, le même dispositif que la semaine dernière.
Le mouvement a rassemblé près de 33.500 manifestants dans toute la France et est recul, selon le ministère de l'Intérieur. La situation reste tendue dans de nombreuses régions du pays, d'après la Toile.
Dans le nord de la France, l'autoroute A16 est bloquée dans le sens Calais-Dunkerque depuis ce matin par un feu de pneus et de palettes. Un Gilet jaune a été interpellé par la police.
À Nîmes, les Gilets jaunes ont allumé un feu sur l'autoroute A54, perturbant sérieusement le trafic et entraînant un bouchon de 5 km en direction de l'Espagne.
À Orange, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, un feu a été allumé par des Gilets jaunes sur l'A7.
Le mouvement des Gilets jaunes a également perturbé le trafic sur l'autoroute A9, de Nîmes à Perpignan.
À Nice, des Gilets jaunes ont bloqué l'accès au centre commercial de Nice Lingostière en mettant le feu à des palettes.
En outre, le mouvement a été rejoint dès vendredi soir par des agriculteurs d'Occitanie.
Mais les Gilets jaunes ne font pas obligatoirement preuve d'agressivité.
Ainsi, à Nogent-le-Rotrou, dans le département de l'Eure-et-Loir, ils discutent paisiblement autour d'un feu.
Et à Toulouse, ils ont décidé d'organiser… un pique-nique.
Face à l'augmentation des prix du carburant qui frappe surtout le diesel, de nombreux Français sont descendus dans les rues le 17 novembre 2018. La vague de mécontentement se poursuit et est notamment suivie en Belgique. Les quatre mobilisations des Gilets jaunes en France ont régulièrement dégénéré en affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre et ont été marquées par de nombreux pillages, cassages, incendies, interpellations et violences extrêmes.
De nombreux Gilets jaunes ont assuré de leur détermination à poursuivre les blocages, notamment sur les ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039319070-france-gilets-jaunes-manifestations-regions/
Les manifestations à Paris redeviennent violentes alors que la police utilise des mesures anti-émeute sur des vestes jaunes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 12/15/2018 - 10:35
La cinquième semaine des manifestations de Yellow Vest est devenue violente après que les manifestants parisiens eurent commencé à se bagarrer avec la police.
Près de 70 000 policiers ont été mobilisés en France pour contenir quelque 33 500 manifestants, soit un taux de participation bien inférieur à celui des semaines précédentes, alors que le mouvement Yellow Vest s’est propagé dans plusieurs pays européens, ainsi qu’en Irak, en Israël et même dans le monde. Canada.
Moins de 3 000 manifestants se sont déjà rendus à Paris samedi, contre 8 000 environ la semaine dernière. Parmi ceux-ci, 114 personnes avaient été arrêtées dans la capitale - environ 20% du chiffre de la semaine dernière.
La police a utilisé des gaz lacrymogènes et du gaz poivré sur les manifestants dans le centre de Paris samedi. Une personne aurait été blessée à la tête lors d'affrontements aux Champs-Élysées. Un correspondant du média appartenant à l'Etat russe, RT, a été grièvement blessé au visage et a été conduit à l'hôpital.
- voir sur site photo de femme défigurée par les coups de matraques -
Au total, sept personnes sont décédées lors des manifestations de Yellow Vest, qui sont passées d'une manifestation contre la taxe sur l'essence à un mouvement anti-gouvernemental.
"La dernière fois, nous étions ici pour des impôts", a déclaré Jeremy, 28 ans, à l'agence de presse AFP.
"C’est pour les institutions. Nous voulons plus de démocratie directe", a-t-il déclaré, ajoutant que les gens devaient "crier pour se faire entendre".
Certains musées sont fermés, mais le Louvre et la Tour Eiffel restent ouverts.
À Calais, un groupe de "gilets jaunes" a bloqué la route d'accès au port. -BBC
Pendant ce temps, une veste jaune anonyme Sith apportait son double sabre laser:
- voir clip sur site:
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-15/paris-protests-turn-violent-again-police-use-riot-measures-yellow-vests
En Démocratie directe (comme en Suisse), les citoyens qui proposent leurs propres lois et votent leurs propres lois ont tellement de pouvoir que plus de 50 % des Suisses ignorent le nom du chef de l'État Suisse ! (il change chaque année).
SupprimerLa guerre contre le mondialisme
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven., 14/12/2018 - 23:45
Écrit par Philip Giraldi via la Fondation pour la culture stratégique,
Nous sommes le petit peuple - nous!
Trop peu pour aimer ou détester.
Laissez-nous tranquilles et vous verrez
Comment pouvons-nous traîner l'Etat!
Une chanson chantée, Rudyard Kipling
La Belgique a rejoint la liste des pays qui se rebellent contre leurs dirigeants élus. Au cours du week-end, le gouvernement belge s’est laissé emporter par la visite au Maroc du Premier ministre Charles Michel, qui a signé l’accord des Nations Unies sur la migration. L'accord ne faisait aucune distinction entre les migrants légaux et illégaux et considérait l'immigration comme un phénomène positif. Les Belges, apparemment, n'étaient pas d'accord. Facebook a enregistré 1 200 Belges, reconnaissant que le Premier ministre était un traître. Certains utilisateurs se sont inquiétés de l’avenir de leurs enfants, notant que la démocratie belge est morte. D'autres ont dit qu'ils obtiendraient des gilets jaunes et participeraient aux manifestations.
Les troubles observés dans un certain nombre d'endroits sont axés sur des demandes spécifiques, mais ils représentent une colère beaucoup plus large. Les gilets jaunes français ont d'abord protesté contre les augmentations proposées de la taxe sur les carburants qui auraient affecté de manière disproportionnée les travailleurs qui dépendent des transports. Mais lorsque cette demande a été satisfaite par le gouvernement du président Emmanuel Macron, les manifestations se sont poursuivies et même se sont intensifiées, suggérant que les griefs auprès du gouvernement étaient bien plus vastes que la question d’un seul nouvel impôt. Sans surprise, le gouvernement français cherche un bouc émissaire et enquête sur «l'ingérence russe». Le Département d'Etat américain est inévitablement d'accord, affirmant que les sites Web et les médias sociaux du Kremlin «amplifient le conflit».
Certains commentateurs, qui se sont penchés un peu plus sur les émeutes en France, ont même suggéré que le véritable problème était peut-être un changement de régime, que le gouvernement Macron était devenu si déconnecté de nombreux électeurs, tant par sa politique que par la rhétorique qui le justifiait. sa légitimité et il n'y avait aucune possibilité de rachat. Tout changement devrait être une amélioration, en particulier dans la mesure où un nouveau régime serait particulièrement sensible aux sentiments des gouvernés, du moins au début. On pourrait penser que le sentiment dominant qu'un changement radical de gouvernement est nécessaire, quoi qu'il en soit, pour secouer le système pourrait fort bien s'appeler le «phénomène Trump», car il s'agit plus ou moins de ce qui s'est passé aux États-Unis.
L'idée qu'un gouvernement républicain ou démocratique finira par se transformer en une forme de tyrannie n'est pas exactement nouvelle. Thomas Jefferson a préconisé une nouvelle révolution chaque génération pour que l'esprit du gouvernement reste responsable devant le peuple.
Appelez ça comme vous voulez - néolibéralisme, néoconservatisme ou mondialisme - le nouvel ordre mondial, comme l'a récemment décédé le président George H.W. Bush l’appelait autrefois et embrasse de manière caractéristique une communauté mondiale dans laquelle règnent le libre-échange, la libre circulation des travailleurs et la démocratie. Elles semblent toutes bonnes, mais elles ont un caractère autoritaire, détruisent les communautés et les systèmes sociaux existants tout en enrichissant ceux qui promeuvent les changements. Ils ont également été à l'origine de la plupart des guerres menées depuis la Seconde Guerre mondiale, des guerres visant à «libérer» des personnes qui n'avaient jamais demandé à être envahies ou bombardées dans le cadre du processus.
RépondreSupprimerEt, bien sûr, il existe des différences majeures entre néolibéraux et néoconservateurs en ce qui concerne la manière dont on crée le nirvana universel, les libéraux englobant une sorte de processus par lequel la transformation a lieu parce qu'elle représente ce qu'ils voient, peut-être cyniquement, comme la morale élevé et est reconnu comme étant la bonne chose à faire. Les néo-conservateurs cherchent toutefois à appliquer ce qu'ils définissent comme des normes internationales, car les États-Unis ont le pouvoir de le faire dans un processus qui le rend impossible à contester, ainsi que leurs alliés. Ce dernier point de vue est promu sous le faux slogan «Les démocraties ne combattent pas les autres démocraties».
Le fait que les mondialistes de tous les types considèrent le nationalisme comme une menace pour leurs ambitions plus larges signifie que les intérêts locaux ou nationaux sont souvent ignorés, voire rejetés. Dans cet esprit, et en se concentrant sur deux problèmes - une immigration généralisée et un gouvernement corrompu dirigé par des oligarques - on pourrait raisonnablement affirmer qu'un grand nombre de citoyens ordinaires se croient désormais à la fois véritablement privés de leurs droits et manifestement plus pauvres, car il devient plus difficile de trouver les communautés sont détruites par des vagues d'immigration légale et illégale.
Aux États-Unis, par exemple, la plupart des citoyens croient maintenant que le système politique ne fonctionne pas du tout alors que presque aucun ne pense que même s'il fonctionne, il fonctionne pour le bien-être de tous les citoyens. Pour la première fois depuis la Grande Dépression, les Américains ne pensent plus à la mobilité ascendante. Les projections de sociologues et d'économistes suggèrent que la génération actuelle grandissant aux États-Unis sera probablement beaucoup plus pauvre que leurs parents. Cette angoisse et cette volonté de "faire quelque chose" pour que le gouvernement soit plus attentif aux intérêts des électeurs sont la raison pour laquelle Donald Trump a été élu président.
Ce qui s'est passé en Belgique, en France, avec le Brexit en Grande-Bretagne, lors des récentes élections en Italie, ainsi que dans les avertissements de l'Europe de l'Est sur l'immigration et les politiques économiques communautaires de l'Union européenne sont motivés par les mêmes préoccupations que celles qui prévalaient en Amérique. Le gouvernement lui-même devient l'ennemi. Et n'oublions pas les pays qui ont déjà ressenti les coups et qui ont été soumis à l'ingénierie sociale d'Angela Merkel - l'Irlande, l'Espagne, le Portugal et la Grèce. Toutes sont des économies plus faibles écrasées par la taille unique de l’euro, ce qui a empêché certains gouvernements de gérer leurs propres économies. Ils et tous leurs citoyens sont plus pauvres pour cela.
Il y a eu des périodes dans l'histoire où les gens ont eu assez d'abus et se sont révoltés. On pense aux révolutions américaine et française comme à celle de 1848. Peut-être vivons-nous à l'heure actuelle une révolte contre la pression de se conformer aux valeurs mondialistes qui ont été adoptées à leur avantage par les élites et par l'établissement le monde. Cela pourrait bien devenir un conflit dur et parfois sanglant, mais son issue façonnera le prochain siècle. Le peuple aura-t-il vraiment du pouvoir dans le monde de plus en plus mondialisé ou bien ce sera le 1 % avec le soutien de son gouvernement et de ses médias qui ressortira triomphant
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2018-12-14/war-against-globalism
(...) Appelez ça comme vous voulez - néolibéralisme, néoconservatisme ou mondialisme - le nouvel ordre mondial, comme l'a récemment décédé le président George H.W. Bush l’appelait autrefois et embrasse de manière caractéristique une communauté mondiale dans laquelle règnent le libre-échange, la libre circulation des travailleurs et la démocratie. (...)
SupprimerLe 'mondialisme' n'est PAS la Démocratie.
Primo, la Démocratie c'est Par le Peuple, Pour le Peuple.
C'est Le Peuple qui gouverne ! et personne d'autre.
Donc, le Peuple aime les touristes (parce qu'ils aiment le pays qu'ils visitent), pas les immigrés (qui viennent pour changer le pays comme pour introduire la dictature qu'ils ont fui ! la religion qu'ils ont fui ! les femmes qu'ils haïssent !
Des scientifiques créent un vaccin contre les abeilles pour combattre «l'apocalypse d'insectes»
RépondreSupprimer14 décembre 2018
par Sam Kingsley
Les abeilles sont vitales pour la production d'aliments dans le monde, car elles contribuent à la fertilisation de trois cultures sur quatre dans le monde.
Les abeilles sont vitales pour la production d'aliments dans le monde, car elles contribuent à la fertilisation de trois cultures sur quatre dans le monde.
Les scientifiques finlandais ont mis au point ce qu'ils pensent être le premier vaccin au monde à protéger les abeilles contre les maladies, ce qui laisse espérer une réduction du nombre d'insectes qui pourrait provoquer une crise alimentaire mondiale.
Les abeilles jouent un rôle essentiel dans la production d'aliments dans le monde, car elles contribuent à la fertilisation de trois des quatre cultures du monde en transférant le pollen des fleurs mâles aux fleurs femelles.
Mais ces dernières années, les populations d'abeilles du monde entier sont en train de mourir de "trouble d'effondrement des colonies", un mystérieux fléau imputé aux acariens, aux pesticides, aux virus, aux champignons, ou à une combinaison de ces facteurs.
Une étude menée par l'ONU en 2016 a révélé que plus de 40% des pollinisateurs invertébrés, en particulier des abeilles et des papillons, sont en voie d'extinction.
L'étude a également révélé que 16,5% des pollinisateurs vertébrés, tels que les oiseaux et les chauves-souris, sont menacés.
Les scientifiques préviennent que cette mort entraînera une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénurie.
Percée médicale
Le vaccin, mis au point par une équipe de l’Université d’Helsinki en Finlande, agit en offrant aux abeilles une résistance à la lutte contre les maladies microbiennes graves pouvant être fatales pour les communautés de pollinisateurs.
"Si nous pouvons sauver même une petite partie de la population d'abeilles avec cette invention, je pense que nous avons accompli notre bonne action et sauvé le monde un peu", a déclaré le chercheur en chef Dalial Freitak.
"Même une augmentation de deux à trois pour cent de la population d'abeilles serait énorme", a-t-elle déclaré à l'AFP.
La vaccination contre les insectes était auparavant considérée comme impossible car les créatures n'avaient pas d'anticorps, un des mécanismes clés utilisés par les humains et les autres animaux pour lutter contre les maladies.
Toutefois, une avancée est survenue en 2014 lorsque Freitak, spécialiste des insectes et de l'immunologie, a remarqué que les papillons nourris avec certaines bactéries pouvaient en fait transmettre l'immunité à leur progéniture.
"Ils pourraient en fait transmettre quelque chose en mangeant. Je ne savais tout simplement pas quel était le mécanisme", a déclaré Freitak.
Les scientifiques avertissent qu'une mortalité massive prédite par les pollinisateurs, tels que les abeilles, entraînera une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénurie.
Les scientifiques avertissent qu'une mortalité massive prédite par les pollinisateurs, tels que les abeilles, entraînera une hausse des prix des denrées alimentaires et un risque de pénurie.
RépondreSupprimer"J'ai rencontré Heli Salmela, qui travaillait sur les abeilles et une protéine appelée vitellogénine. Je l'ai entendue parler et je me suis dit: 'OK, je pourrais faire le pari que c'est ta protéine qui transmet mon signal d'une génération à l'autre '. "
La paire a commencé à collaborer et a créé un vaccin contre la loque américaine, la maladie bactérienne des abeilles la plus répandue et la plus destructrice au monde.
Le traitement est administré à la reine des abeilles via un morceau de sucre, de la même manière que de nombreux enfants reçoivent le vaccin antipoliomyélitique. La reine transmet ensuite l'immunité à sa progéniture, en la propageant à travers la communauté des abeilles.
En plus de travailler sur des vaccins contre d'autres maladies, l'équipe a également commencé à essayer de lever des fonds pour rendre le vaccin disponible dans le commerce, avec des retours "très positifs" jusqu'à présent, selon Freitak.
"Les obstacles réglementaires sont nombreux. Quatre à cinq ans avant d'arriver sur le marché, c'est une estimation optimiste", a-t-elle déclaré.
La croissance des cultures affectée
On pense que les maladies ne sont qu’une des nombreuses causes de la perte de pollinisateurs, aux côtés des pesticides et de l’agriculture intensive, ce qui réduit la diversité de la nutrition des insectes.
Mais l’équipe estime que la protection des populations d’abeilles contre les maladies les rendra plus fortes et donc plus à même de résister aux autres menaces.
L'Union européenne et le Canada ont voté en faveur de l'interdiction des insecticides à base de néonicotinoïdes après que des études ont montré que les produits chimiques nuisaient à la capacité de reproduction des abeilles.
Une étude soutenue par les Nations Unies en 2016 a estimé que les aliments produits chaque année à hauteur de 577 milliards de dollars (511 milliards d'euros) dépendent directement des pollinisateurs.
L’étude a révélé que le volume d’aliments produits dépendant des pollinisateurs avait augmenté de 300% au cours des cinquante dernières années.
Alors que le nombre de pollinisateurs a diminué, certains agriculteurs se sont tournés vers la location d'abeilles ou la pollinisation manuelle - comme dans le cas des arbres fruitiers dans certaines régions de la Chine - afin de remplacer les processus que la nature fournissait auparavant gratuitement.
À Helsinki, le projet reposait sur un financement externe, mais l’équipe a maintenant acquis un poste plus sûr à l’Université de Graz en Autriche, où de nouvelles recherches sur les vaccinations commenceront au début de l’année prochaine.
Graz est également le siège précédent du zoologiste renommé Karl von Frisch, qui a découvert le prix Nobel de médecine en 1973, découvrant que les abeilles mellifères communiquaient en exécutant la «danse du mouvement waggle» en forme de huit.
https://phys.org/news/2018-12-scientists-bee-vaccine-insect-apocalypse.html#jCp
Il s'agit là d'un FAUX vaccin car, les abeilles butinent et s'imprègnent des nano-particules (de la géoingénièrie) répandues par chemtrails (aluminium entr'autres) qui sont responsables de la maladie d'Alzheimer.
SupprimerDeuxièmement, leur mortalité est semblable à celle des (milliards) oiseaux qui périssent dans les pales d'éoliennes.
Quant à produire un vaccin contre le rhume ou la grippe des abeilles... hum, hum !
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/analyses-deau-de-pluie-tres.html
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
RépondreSupprimer14 décembre 2018
par Frank Jordans et Monika Scislowska
Les fonctionnaires épuisés de près de 200 pays ont fait face à une nouvelle journée de négociations lors du débat sur le climat américain afin de combler leurs dernières divergences alors que les petites nations insulaires ont réclamé vendredi une position ambitieuse contre le réchauffement climatique.
Les pourparlers en Pologne étaient censés se terminer vendredi, mais Michal Kurtyka, un haut responsable polonais présidant les négociations, a demandé aux délégués de reprendre les discussions sur un projet de texte révisé à 16 heures samedi (03h00 GMT).
L’effort portait ses fruits sous la forme de textes préliminaires pour une mise au point précise, selon la déclaration de Kurtyka vendredi soir.
"La présidence polonaise a annoncé qu'une version préliminaire du paquet mettant en œuvre l'accord de Paris avait été mise au point. Plusieurs jours de travail intensif ont donné des résultats sous la forme de la fermeture de zones particulières", indique le communiqué.
Le texte faisait actuellement l'objet de consultations avec divers groupes de négociation, a ajouté le communiqué.
Après deux semaines de pourparlers dans la ville du sud de la Pologne, les diplomates étaient sur le point de se mettre d'accord sur les règles qui régissent l'accord de Paris sur le climat de 2015. Celles-ci incluent la manière dont les pays doivent déclarer de manière transparente leurs émissions de gaz à effet de serre et leurs efforts pour les réduire.
Les scientifiques disent que les émissions mondiales doivent chuter de manière spectaculaire d'ici 2030 et atteindre un niveau proche de zéro d'ici 2050 afin de prévenir les conséquences potentiellement catastrophiques pour la vie sur Terre.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Un rapport récent du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat a conclu qu’il était possible de limiter le réchauffement de la planète à un degré plus élevé de 1,5 degrés Celsius (2,7 degrés Fahrenheit) d’ici la fin du siècle par rapport à la période préindustrielle. Il s’agit de l’extrémité inférieure de l’échelle de 1,5 à 2 ° C mentionnée dans l’accord de Paris.
Mais cela nécessiterait une refonte radicale de l'économie mondiale, notamment en mettant fin à l'utilisation de presque tous les combustibles fossiles.
Les États-Unis, la Russie, l'Arabie saoudite et le Koweït ont refusé d'accueillir le rapport du GIEC, suscitant la colère des autres pays et des écologistes.
L'ancien président des Maldives, Mohamed Nasheed, a averti que des pays tels que le sien, qui se considèrent en première ligne du réchauffement climatique, opposeraient leur veto au projet actuel en raison d'un manque d'engagement clair en faveur de la cible de 1,5 C.
"Si nécessaire, nous nous rebellerons contre les négociations", a déclaré Nasheed à la presse.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Les règles d'un marché international des crédits de carbone qui hantent les négociateurs sont une autre question qui hante les négociateurs.
RépondreSupprimerL'affrontement oppose des économies émergentes telles que le Brésil - qui a amassé d'importantes piles de crédits de carbone en vertu des règles du traité de Kyoto de 1997 - contre des pays industrialisés tels que ceux de l'Union européenne, qui estiment que les anciens crédits ne valent pas le papier sur lequel ils ont été imprimés.
Les économistes estiment qu'un système d'échange de droits d'émission de carbone efficace pourrait constituer un moyen efficace de réduire les émissions et de mobiliser d'importantes sommes d'argent pour les mesures visant à lutter contre le réchauffement de la planète.
Alex Hanafi, conseil principal de l'Environmental Defence Fund, basé à New York, a déclaré que le Brésil tentait d'affaiblir les règles de manière à permettre aux pays de comptabiliser à deux reprises leurs réductions d'émissions, minant ainsi les marchés du carbone.
"Cette échappatoire doit être comblée de sorte que les crédits zombies de l'ancien mécanisme de développement propre (de Kyoto) ne puissent pas infecter l'intégrité climatique de l'Accord de Paris", a-t-il déclaré.
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
La délégation du Brésil a rejeté l'allégation.
"Le Brésil travaille actuellement avec d'autres parties sur une proposition de pontage", a déclaré le négociateur en chef du pays, Antonio Marcondes.
L'aide aux pays pauvres et la possibilité de bénéficier d'un prélèvement sur le marché du carbone constituent un autre sujet clé des négociations.
Les pays pauvres insistent sur le fait qu'ils devraient obtenir un soutien financier non seulement pour réduire les émissions et s'adapter au changement climatique, mais également pour compenser les dégâts déjà causés par le réchauffement planétaire, principalement à cause des émissions des pays industrialisés.
Le président américain Donald Trump a plongé jeudi dans le débat sur les coûts de la lutte contre le changement climatique, déclarant à Fox News que s'il restait dans l'accord de Paris sur le climat, les Etats-Unis "paieraient des milliards de dollars, des milliards de dollars pour rien, et faites pas ça. "
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Trump a annoncé l’année dernière que les États-Unis se retiraient de l’accord de Paris sur le climat à moins de parvenir à un meilleur accord - une possibilité que d’autres, telles que l’UE et la Chine, ont écartée.
Le ministre allemand de l'Environnement a déclaré que l'échec de la lutte contre le changement climatique coûterait beaucoup plus cher au monde que les milliards de milliards que Trump affirme économiser.
"Si nous laissons toute une partie de la planète devenir inhabitable, cela engendrera des coûts gigantesques", a déclaré M. Schulze, ajoutant que le développement de technologies permettant de réduire les émissions donnerait à l'Allemagne un avantage économique concurrentiel.
Les délégués climatiques espérant parvenir à un accord samedi, ils ont pu se mettre d'accord vendredi sur un point: l'organisation des négociations sur le climat de l'année prochaine au Chili.
RépondreSupprimerLes pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
Les pourparlers sur le climat sont prolongés alors que les nations insulaires exigent une action
https://phys.org/news/2018-12-climate-island-nations-demand-action.html#jCp
(...) Les scientifiques disent que les émissions mondiales doivent chuter de manière spectaculaire d'ici 2030 et atteindre un niveau proche de zéro d'ici 2050 afin de prévenir les conséquences potentiellement catastrophiques pour la vie sur Terre. (...)
Supprimerles conséquences potentiellement catastrophiques pour la vie sur Terre !!!! HAHAHAHAHAHA !
Ces ordures de FAUX SCIENTIFIQUES et politiques de merde cherchent à effrayer le monde avec des températures en hausses alors que le matin il fait (par exemple:) + 10°C et l'après-midi +20°C ! et personne n'est mort !!! Çà alors !
L'hiver il fait (par exemple:) - 10°C et l'été + 30°C !!! ET PERSONNE N'EST MORT !!! Çà alors !! Il arrive même que des scandinaves aillent en vacances... en Afrique !!! Combien y a t-il de millions de norvégiens, suédois, finlandais de morts ??
(...) Le président américain Donald Trump a plongé jeudi dans le débat sur les coûts de la lutte contre le changement climatique, déclarant à Fox News que s'il restait dans l'accord de Paris sur le climat, les États-Unis "paieraient des milliards de dollars, des milliards de dollars pour rien, et faites pas ça. "(...)
Le président Trump écoute les scientifiques pas les escrocs qui inventent une nouvelle science !
Fausses nouvelles vs faits dans la bataille en ligne pour la vérité
RépondreSupprimer15 décembre 2018
par Guillaume Daudin
Le président des États-Unis, Donald Trump, a popularisé le terme "fausses informations" et l'a utilisé pour attaquer les médias
Depuis que le président des États-Unis, Donald Trump, a créé le terme "fausses informations" lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2016, cette expression est devenue virale.
Les politiciens du monde entier s'en servent de plus en plus pour dénoncer ou rejeter des reportages ne correspondant pas à leur version de la vérité.
Mais alors que les médias défendent leur travail, de fausses informations saturent le débat politique mondial et sapent un niveau de confiance déjà faible envers les médias et les institutions.
Le terme est venu pour signifier n'importe quoi d'une erreur à une parodie ou une mauvaise interprétation délibérée des faits.
Dans le même temps, la désinformation en ligne est de plus en plus visible dans les tentatives de manipulation des élections.
Désinformation
La préparation de la victoire de Trump en 2016, par exemple, a vu de nombreux exemples de canulars et de fausses nouvelles: des liens présumés d'Hillary Clinton à un réseau de relations sexuelles enfantines à un faux rapport que le pape avait approuvé Trump.
La désinformation a eu "un impact significatif" sur les décisions de vote, selon des chercheurs de l'Ohio State University, qui ont interrogé les électeurs. Mais il était impossible de prouver que de fausses informations balançaient l'élection de Trump.
En tant que président, Trump dénonce toujours toute information qui le contrarie comme une "fausse nouvelle". Les experts affirment que ses collaborateurs, quant à eux, ont proposé un mélange de vérité et de distorsions, parfois qualifié de "faits alternatifs".
Les chercheurs ont découvert que de faux rapports avaient influencé la perception de plusieurs mouvements sociaux, y compris une grève des camionneurs à Brazi
Les chercheurs ont découvert que de faux rapports avaient influencé la perception de plusieurs mouvements sociaux, y compris une grève des camionneurs au Brésil l'année dernière.
"Les mensonges et la fabrication semblent même renforcer la réputation et les prouesses politiques de leurs partisans centraux", a déclaré John Huxford de l'Université de l'Illinois, à la recherche d'informations fausses.
Certaines études suggèrent même que, à mesure que la partisanerie a augmenté, de plus en plus de gens sont prêts à croire des mensonges. Un sondage mené en 2017, par exemple, montrait que 51 % des républicains pensaient encore que Barack Obama était né au Kenya, malgré le fait que le canular avait été démystifié.
Érosion de la confiance
RépondreSupprimerEn 2018, le niveau moyen de confiance dans les nouvelles, dans 37 pays, est resté relativement stable à 44 %, selon un sondage de YouGov réalisé pour le Reuters Institute for the Study of Journalism.
Mais les fausses informations diffusées par les autorités n'ont pas aidé.
En Ukraine, par exemple, les autorités ont organisé la mort du journaliste russe Arkady Babchenko à la fin du mois de mai afin de déjouer un véritable complot d'assassinat.
Les reportages sur la fausse mort faite de bonne foi par les médias traditionnels étaient "une aubaine pour les paranoïaques et les théoriciens du complot", a déclaré Christophe Deloire, secrétaire général de la surveillance des droits des médias, Reporters sans frontières.
La mort mise en scène du journaliste anti-Kremlin Arkady Babchenko, en mai, a été décrite par un chien de garde de la presse comme "une aubaine pour tous"
La mort mise en scène du journaliste anti-Kremlin Arkady Babchenko, en mai, a été décrite par un chien de garde de la presse comme "une aubaine pour les paranoïaques et les théoriciens du complot"
La confiance dans les médias traditionnels reste plus grande que pour les réseaux sociaux, selon le sondage YouGov. Seulement 23% des personnes interrogées ont déclaré faire confiance aux informations trouvées sur les réseaux sociaux.
Mais une étude publiée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) en mars a révélé que les fausses nouvelles se propagent plus rapidement sur Twitter que les vraies nouvelles.
Réseaux sociaux en crise
Beaucoup pensent que Facebook est le principal vecteur de fausses informations.
Il a été forcé d'admettre que Cambridge Analytica, une entreprise politique travaillant pour Donald Trump en 2016, avait détourné les données de dizaines de millions d'utilisateurs. Certains critiques du référendum sur le Brexit accusent Cambridge Analytica d'avoir utilisé ces données pour faire basculer les électeurs vers le vote "Leave".
Aux États-Unis, l'enquête de l'avocat spécial Robert Mueller sur les liens de campagne de Trump avec la Russie a ciblé les comptes Facebook et les pages privées gérées par Internet Research Agency, une "ferme aux trolls" basée en Russie.
Telle était l'inquiétude que le président de Facebook et le Congrès américain se soient interrogés sur le patron de Facebook, Mark Zuckerberg.
Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, a été grillé au Congrès américain après le scandale de Cambridge Analytica qui avait entraîné de nombreuses atteintes à la sécurité des données.
Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, a été grillé au Congrès américain après le scandale de Cambridge Analytica qui avait entraîné de nombreuses atteintes à la sécurité des données.
En 2018, le géant américain a annoncé de nouvelles mesures pour améliorer la technologie permettant de lutter contre les fausses informations dans le monde.
Un autre pays où Facebook a été critiqué pour avoir diffusé de fausses informations est le Brésil, lieu de la grève géante des camionneurs en mai dernier.
RépondreSupprimerDe fausses informations audio sur des personnes supposément liées à la grève ont été largement diffusées, a déclaré Cristina Tardaguila, fondatrice de l'organisation brésilienne de vérification des faits Agencia Lupa.
Pendant la grève, la plupart des messages ont été diffusés sur WhatsApp, un service de messagerie regroupant plus d'un milliard d'utilisateurs dans le monde et appartenant à Facebook.
Sous pression
WhatsApp a également été accusé de diffuser de fausses informations. Il a subi une immense pression après le lynchage de plus de 20 personnes accusées d'enlèvement d'enfant ces derniers mois en Inde, son plus grand marché. Ils ont été déclenchés par de fausses nouvelles.
WhatsApp a publié des annonces d'une page dans des journaux indiens offrant des "conseils faciles" pour identifier les faits à partir de fictions. Mais la société maintient sa politique de protection de la vie privée de ses utilisateurs grâce à la technologie de cryptage.
Communications, WhatsApp a été obligée de publier des annonces d'une page entière à la suite d'une série de lynchages en Inde déclenchés par le sha
L'application de communication WhatsApp a été contrainte de supprimer des annonces d'une page entière à la suite d'une série de lynchages en Inde déclenchés par le partage de fausses informations
Google, également sous pression pour avoir répandu des informations erronées, a annoncé en mars qu'il investissait 300 millions de dollars sur trois ans pour soutenir une série de projets visant à lutter contre les fausses informations et à soutenir des organisations de médias "crédibles".
Son moteur de recherche favorise les vérifications effectuées par les organisations qui vérifient les faits.
Malgré la création de dizaines d’initiatives de vérification des faits au cours des dernières années, les journalistes doivent se présenter pour suivre le rythme des techniques de désinformation.
Un développement relativement nouveau est la fausse technologie: des vidéos manipulées semblent authentiques mais décrivent des événements ou des discours qui ne se sont jamais produits.
Pour l’instant, les contrefaçons profondes sont techniquement difficiles à créer et n’ont pas encore eu un impact considérable. Toutefois, si elles progressent, elles risquent de brouiller davantage la frontière entre vrai et faux.
https://phys.org/news/2018-12-fake-news-fact-online-truth.html#jCp
(...) Depuis que le président des États-Unis, Donald Trump, a créé le terme "fausses informations" lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2016, cette expression est devenue virale (...)
SupprimerHAHAHAHAHA ! Le président Trump aurait créé les fausses informations !!! car avant... ELLES N'EXISTAIENT PAS !!! HAHAHAHAHAHAHAHA !
Des avions en aluminium ont réussi à couper des UPN de 80 cm (poutres verticales) dans des tours en béton armé le 11 Septembre 2001 !!! HAHAHAHA !
Il y a même un tour (tower 7) qui s'est effondré toute seule de rire !!!!
Un avion s'est écrasé tellement fort en forêt que tout est devenu poussières nanométriques !!!
Tirer les marrons du feu
RépondreSupprimerdimanche 10 novembre 2013
L'argent (monnaie) est apparue après le troc du donnant-donnant. "Tu travailles, je te donne à manger". Mais, comme il y avait beaucoup de personnes sur tel ou tel chantier, l'on ne pouvait savoir si un tel ou un tel avait travaillé et donc avait droit ou pas à manger. L'on remettait donc un 'bon pour manger'. Mais comme l'on ne pouvait savoir exactement s'il avait travaillé pour avoir ce bon, l'on nomma des 'inspecteurs' des travaux finis. Ces 'inspecteurs' (qui ne travaillaient pas physiquement) devaient aussi être payés pour bouffer. D'où, des retenues sur salaires sur chacun des travailleurs qui devaient travailler toujours autant pour toucher moins et manger moins.
Donc, arriva la corruption. Marché actif qui permettait à l'inspecteur de dire qu'un autre travaillait moins ou pas pour donner plus à celui qui payait pour se partager la galette. D'où, l'arrivée de l'inspecteur des inspecteurs qui flairait la corruption. Donc, comme cet inspecteur des inspecteurs voulait lui aussi bouffer sans travailler physiquement, encore donc une diminution des salaires. Ainsi naquit l'Administration (payée à rien foutre physiquement, mais à faire des calculs de rendements, élaborer des perspectives, mais qui s'éloignaient de la manière dont les travailleurs accomplissent leurs tâches). Leur rôle n'étant pas de s'abaisser à recevoir tel ou tel travailleur pour lui demander son avis sur le ce qu'il lui faudrait pour mieux travailler.
Ainsi, les chantiers prirent du retard et au progrès de répondre par encore plus de surveillants-calculeurs qui diminuaient d'autant la part de tarte de chacun. Ainsi, naquirent au fil du temps, la 'cerise sur le gâteau' récompensant comme une fève quelqu'un au hasard, et l'arrêt hebdomadaire partagé par tous. Or, si un jour par semaine l'on ne travaille pas, l'on veut néanmoins pouvoir manger. D'où encore une baisse sur salaire (donc sur la grosseur de la portion) tout au long de la semaine pour resservir cette épargne le jour de congé.
Donc, les privilégiés faisant légion à n'avoir mal aux reins en fin de journée, l'on considéra cette suprématie du rien-foutre comme étant la fonction nécessaire à surtout ne voir disparaître. D'où, l'émergeance de 'représentants du personnel' (ou 'porte-parole des esclaves') qui furent bien payés pour accomplir cette tâche ingrate et supplémentaire à leur journée de travail et qui, au fil du temps, travaillaient moins physiquement et étaient tout autant payés + bonus et soupe chaude améliorée partagée lors d'un diner avec les chefs ! Cette corruption à la corruption perdura sans donc que les hauts-salaires y trouvent à redire, tandis que les parts touchées par les travailleurs se réduisaient encore au fil du temps. C'est aussi ce qui fut appelé le 'partage de l'effort' ! où chacun devait s'initier à penser pour les autres face à ceux qui travaillaient pour les autres.
Mais après avoir peut-être par accident d'un dimanche inventé la roue, des idées nouvelles chez les travailleurs permirent d'y ajouter un chassis et de partager l'effort de chacun avec la roue qui tournait. La brouette était née, permettant de travailler plus et mieux sans augmenter son salaire. D'où l'arrivée du travail du dimanche où chacun pouvait gagner quelques parts de plus et aussi se vêtir. A cette amélioration du travail vinrent d'autres avancées qui permirent même de domestiquer des animaux qui n'avaient besoin de salaires et donc de prendre leurs parts pour mieux vivre. D'où la venue de nouvelles réglementations concernant les voies de circulation, les positions sur les routes et les devoirs de s'arrêter aux stops voire d'avoir et de présenter papiers aux encore nouveaux fonctionnaires qui seraient de veiller 'aux biens de chacun' ! (Hahaha !). L'invention du moteur, permis à chacun de ne plus dépendre de la grandeur du prés pour nourrir ses bêtes mais de la profondeur de son puits de pétrole. D'où l'arrivée de l'impôt sur le liquide qui sort comme l'eau des sources et, de faire payer l'eau qui sort seule comme le pétrole. D'où sans cesse à chaque invention un encadrement créé afin qu'il n'échappe à l'Etat de façon à ce que l'inventeur ne devienne riche et qu'il ne puisse rivaliser un jour avec les bons-à-rien.
RépondreSupprimerDonc, l'augmentation du nombre de fonctionnaires ne dépend pas de la croissance de la population mais du nombre d'inventions conçues pour gagner plus d'argent. Donc, sitôt qu'une amélioration est mise sur pied, l'Etat s'abat pour y soustraire 'sa' part afin que les travailleurs demeurent pauvres sans qu'ils ne s'aperçoivent du coût du confort qu'ils ont eux-mêmes créé et qui les entoure. D'où la notion de tirer les marrons du feu dépassée par le régal de savourer les chataignes !
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/11/tirer-les-marrons-du-feu.html
Et le mouvement des Gilets jaunes continua…
RépondreSupprimer18:44 15.12.2018
Jacques Sapir
La mobilisation du samedi 15 décembre aura démontré que le mouvement des Gilets jaunes n’est pas prêt de s’arrêter. Pourtant, après l’allocution du Président de la République du 10 décembre, après surtout l’odieux attentat de Strasbourg, la question pouvait être posée.
L'insuffisance des propositions d'Emmanuel Macron
Les appels à cesser le mouvement s’étaient multipliés sur les ondes des différents médias. Le fait que dans toute la France des manifestations aient eu lieu, et pas seulement à Paris ou dans les grandes villes, est une nouvelle preuve de la vitalité du mouvement.
Il faut alors s'interroger pour comprendre pourquoi l'allocution d'Emmanuel Macron n'a pas eu l'effet escompté. Son intervention, venant après celle prononcée le 14 novembre sur le Porte-Avions Charles de Gaulle ainsi que celle, calamiteuse, qui lui avait succédée le 27 novembre, avait certes semblé plus conforme à ce que l'on pouvait attendre d'un Président de la République. Mais, cette intervention n'a pas répondu aux revendications du mouvement.
Rappelons ici les principales revendications des Gilets jaunes. Parti d'un rejet des nouvelles augmentations des taxes pesant sur les carburants, ils demandaient une plus grande justice fiscale, une augmentation substantielle du Smic et des petites retraites, avec le retour à l'indexation sur le chiffre de l'inflation pour ces dernières, enfin des mesures politiques allant de l'introduction du vote à la proportionnelle à l'instauration d'un référendum d'initiative citoyenne. Face à ces revendications, l'allocution d'Emmanuel Macron a été décevante.
Il en va ainsi de la soi-disant augmentation du Smic. Emmanuel Macron n'a pas promis une augmentation du Smic, mais une augmentation de certains revenus qui étaient au niveau du Smic. Il obtient d'ailleurs cette augmentation en combinant toute une série de mesures déjà envisagées par le gouvernement comme les hausses déjà prévues de la prime d'activité (30 euros en avril 2019, 20 euros en octobre 2020 et 20 euros en octobre 2021)[1]. Nous sommes ici loin, très loin, d'une augmentation de 150 à 200 euros du montant net du Smic qui était demandé par le mouvement des Gilets jaunes, une augmentation qui n'aurait fait que compenser le décrochage du Smic avec les gains de productivité depuis 1982. Les français peuvent y voir, à juste titre, une tentative de les «embrouiller».
Emmanuel Macron a aussi promis une défiscalisation des heures supplémentaires, une mesure indiscutablement populaire. Mais, d'une part elle ne s'applique qu'aux salariés (ce qui est aussi le cas pour la précédente mesure) et d'autre part elle ne peut concerner QUE les salariés faisant des heures supplémentaires. C'est un peu la même chose avec la prime de fin d'année, prime qui reste au bon vouloir des entreprises.
Pour les retraités, il a promis l'annulation de la hausse de la CSG pour les retraites de moins de 2000 euros par mois. Ceci constitue un geste. Mais, il ne n'a rien dit quant à la désindexation des retraites par rapport à l'inflation. Or, ceci représentait un enjeu bien plus important pour les retraités que l'annulation de la hausse de la CSG. On sait que l'inflation en 2018 sera autour de 2% alors que la hausse des retraites ne sera que de 0,3 %. Les retraités perdront donc en montant réel de leurs pensions 1,7 %.
L'imaginaire anti-démocratique d'Emmanuel Macron
RépondreSupprimerOn doit aussi relever d'autres choses dans l'intervention d'Emmanuel Macron du lundi 10 décembre: «Les événements de ces dernières semaines dans l'Hexagone et outremer ont profondément troublé la Nation. Ils ont mêlé des revendications légitimes et un enchaînement de violences inadmissibles et je veux vous le dire d'emblée: ces violences ne bénéficieront d'aucune indulgence»[2]. Que le Président dénonce des violences est normal. Mais, qu'il ne comprenne pas que c'est l'inaction, voire l'arrogance du gouvernement, et donc en définitive la sienne, qui a contribué à ces violences est très significatif. Car, si dès le 27 novembre nous avions eu les réponses, même insuffisantes, qui ont été depuis apportées il est très probable que ces violences eurent été moindres, voire n'auraient pas eu lieu.
Un autre passage est aussi très contestable: «Nous avons tous vu le jeu des opportunistes qui ont essayé de profiter des colères sincères pour les dévoyer. Nous avons tous vu les irresponsables politiques dont le seul projet était de bousculer la République, cherchant le désordre et l'anarchie». Il y a tout d'abord des affirmations qui sont fausses, bref ce que l'on appelle, dans le langage du pouvoir des «fake news». Ainsi, les différents dirigeants politiques qui ont repris les revendications des Gilets jaunes, et justement parce qu'ils les ont reprises ne les ont nullement dévoyées. L'image implicite à laquelle se réfère alors Emmanuel Macron est celle d'un mouvement «naïf» que des «opportunistes » auraient cherchés à pervertir. Cette image est profondément anti-démocratique. Elle nous renvoie directement à l'imaginaire de l'Ancien Régime, le bon peuple égaré par des démagogues. Elle insulte la maturité remarquable du mouvement des Gilets jaunes.
Ensuite, ce passage démontre une méconnaissance, assurément voulue, des principes de la démocratie. Le rôle des partis est fixé dans la Constitution[3]. On ne voit pas ce qui dans le demande d'une dissolution de l'Assemblée Nationale ou même dans celle de la démission du gouvernement, il pouvait y avoir, pour reprendre les termes d'Emmanuel Macron «seul projet était de bousculer la République, cherchant le désordre et l'anarchie».
La détérioration de l'image d'Emmanuel Macron
Le point le plus important qui ressort donc de l'allocution du 10 décembre est bien que l'image du Président semble aujourd'hui être irrémédiablement abimée. Elle est abimée par l'ampleur de la répression qui a frappé le mouvement social, avec des centaines d'arrestations arbitraires lors des manifestations du 10 décembre mais aussi des violences policières qui, ne sont pas tolérables dans un Etat de droit. Des personnes sont mortes, ou ont été estropiées. Les responsabilités doivent être établies et les coupables punis.
Elle est abimée, aussi, par le temps qu'il a fallu à Emmanuel Macron pour prendre la mesure de la colère populaire. Eut-il fait les mêmes annonces lors de sa longue (53 minutes) allocution du 27 novembre, que la situation ne se serait probablement pas dégradée au point où elle en est. En dépit de ses dénégations le manque d'empathie, et tout simplement de compréhension, du Président pour les français qui travaillent et qui voient leur situation empirer de mois en mois restera dans les esprits. Président des riches il était devenu après les premiers mois de son mandat; Président des riches il restera.
Elle est abimée, enfin, sur la scène internationale. Le Président jeune et réformateur s'est mué en un autocrate brutal et fermé aux revendications des français. Mais, le Président français a vu aussi son image considérablement abimée au sein de l'Union européenne. Il se voulait le champion d'une réforme approfondissant les mécanismes conduisant vers le fédéralisme. Avec un déficit annoncé désormais à plus 3,5% pour 2019 Emmanuel Macron va se retrouver sur la sellette tout comme le gouvernement italien. Ironie de l'histoire: il devra user des mêmes arguments que ceux utilisés par ces dirigeants qu'il condamnait naguère pour leur «populisme» supposé. Il n'est pas sûr qu'il apprécie. Emmanuel Macron sera dans l'incapacité d'argumenter pour les réformes auxquelles il semble tant tenir. L'effondrement de sa politique européenne, un effondrement déjà annoncé par l'intransigeance allemande, est l'une des conséquences du mouvement des Gilets jaunes.
RépondreSupprimerLes opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur
[1] https://www.francetvinfo.fr/economie/transports/gilets-jaunes/gilets-jaunes-pourquoi-l-augmentation-du-smic-promise-par-macron-n-en-sera-pas-vraiment-une_3094307.html
[2] https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/12/10/le-verbatim-de-l-allocution-televisee-du-president-de-la-republique_5395523_823448.html
[3] Article 4. https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/texte-integral-de-la-constitution-du-4-octobre-1958-en-vigueur
https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201812151039319387-gilets-jaunes-mobilisation-allocution/
SupprimerAlors que tous les jours sont licenciés/foutus à la porte des centaines d'employés (qui parfois ne portent en eux la responsabilité de la situation), on se demande tous pourquoi il est si difficile d'écarter un gueux de la gouvernance !
La honte est de voir la dictature perdurer dans un pays qui se veut propre.
RépondreSupprimerBlindés, gaz lacrymogènes, jets de peinture: l'acte 5 des Gilets jaunes en direct (vidéos)
18:42 15.12.2018
Malgré les appels de nombreuses personnalités à ne pas descendre dans les rues ce samedi suite à la fusillade meurtrière de Strasbourg, les Gilets jaunes se sont mobilisés pour leur acte 5. Les rassemblements se déroulent sous haute surveillance avec le même effectif de sécurité que pour l’acte 4 le 8 décembre.
Quelques jours après l'attaque de Strasbourg, des incertitudes persistent sur l'ampleur de l'acte 5. Une mobilisation nationale des Gilets jaunes est prévue ce samedi 15 décembre malgré les multiples appels du gouvernement à ne pas descendre dans les rues après la fusillade sanglante de Strasbourg.
Pour assurer la sécurité, quelque 8.000 forces de l'ordre et 14 véhicules blindés ont été mobilisés à Paris, ce qui revient au même dispositif que le 8 décembre.
«On s'adapte à la situation qui pourrait être la pire», a déclaré le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, sur RTL.
Des contrôles ont été menés dès vendredi soir pour détecter des individus armés qui viennent à Paris pour en découdre. La préfecture de police de Paris, la mairie, les enseignes de luxe et les directions d'établissements culturels ont pris des mesures préventives. Dans le même temps, Paris ne devrait pas être un camp retranché comme la semaine dernière. Michel Delpuech a annoncé que cette fois-ci beaucoup de musées, dont le Louvre, seront ouverts ce samedi.
Emmanuel Macron a annoncé lundi soir une exonération d'impôt et de cotisations sociales en ce qui concerne les heures supplémentaires, reprenant une mesure phare de Nicolas Sarkozy en 2007, laquelle avait ensuite été abrogée en 2012 par son successeur, François Hollande.
Juste après le discours, de nombreux Gilets jaunes ont annoncé leur détermination à poursuivre les blocages, notamment de ronds-points, et ont appelé à un acte 5 de la mobilisation, samedi dans toute la France.
Nouveaux messages
20:45
Une centaine de manifestants ont participé à l'Acte 5 des Gilets jaunes à Strasbourg, théâtre d'une fusillade meurtrière le 11 décembre.
Selon une participante à la manifestation citée par le journal Dernières nouvelles d'Alsace, les événements de mardi ne peuvent pas arrêter le mouvement des Gilets jaunes. Les personnes réunies sur la place de la République à Strasbourg ont porté une banderole «Les Gilets jaunes en deuil». Un gilet jaune a même été déposé place Kléber, lieu de recueillement après la fusillade.
20:26
Parmi les points forts de cette journée, une vidéo publiée par une troupe de danseurs bloquée sur une autoroute, qui fait déjà le buzz sur internet
Publiée sur Facebook dans l'après-midi, la vidéo de la troupe de Diamond Dance The Musical a déjà été vue plus de 37.000 fois.
La vidéo a été filmée alors que les danseurs, qui devaient se rendre à Montélimar, se trouvaient sur l'autoroute A7, à hauteur d'Orange, d'après LCI.
19:25
D'après le ministère de l'Intérieur, 66.000 personnes ont manifesté ce samedi dans toute la France
Quelque 33.500 manifestants étaient comptabilisés en France à la mi-journée, selon des chiffres fournis précédemment par la place Beauvau.
RépondreSupprimer19:05
Plus de 160 personnes ont été interpellées ce samedi à Paris et en petite couronne, d'après BFM TV qui se réfère à la préfecture
A 18h30, 168 personnes avaient été interpellées en marge du rassemblement des Gilets jaunes à Paris et en petite couronne. 115 personnes ont été placées en garde à vue, a annoncé la chaîne BFM TV citant la préfecture de police.
Selon la chaîne, sept personnes ont été blessées dans la capitale.
18:04
Un lycéen aurait été blessé à Montbéliard, d'après les réseaux sociaux
France Info avait précédemment annoncé qu'une cinquantaine de Gilets jaunes munis de pancartes avaient défilé à Belfort.
À Colmar, une cinquantaine de Gilets jaunes ont tenu une marche blanche qui était d'abord prévue pour les morts du mouvement, mais s'est ensuite élargie aux victimes de la fusillade du 11 octobre à Strasbourg.
17:52
A Saint-Etienne, un manifestant s'est vu blessé au visage, visiblement par un tir de Flashball, selon un journaliste du Figaro.
17:48
La préfecture de police de Paris fait état pour l'heure de 104 gardes à vue dans la capitale française
Le nombre des interpellations a atteint 157 à Paris, d'après la préfecture.
Cinq personnes ont été légèrement blessées, d'après l'AFP.
Le bilan précédent faisait état de 120 interpellations.
15:40 15.12.2018
La mobilisation du samedi 15 décembre aura démontré que le mouvement des Gilets jaunes n’est pas prêt de s’arrêter. Pourtant, après l’allocution du Président de la République du 10 décembre, après surtout l’odieux attentat de Strasbourg, la question pouvait être posée.
17:46
A Toulouse, des barricades construites dans la journée ont été incendiées dans la soirée.
17:40
Des heurts opposant des forces de l'ordre à des manifestants signalés dans le centre de Bordeaux.
Dès 16h00, les forces de l'ordre stationnées près de la cathédrale et de la mairie ont commencé à repousser des manifestants en actionnant à de multiples reprises un engin lanceur d'eau et en utilisant des gaz lacrymogènes. Les protestataires jetaient des projectiles divers, bouteilles ou feux d'artifice en tir tendu, a indiqué l'AFP.
16:55
Le nombre d'interpellations à Paris et sa petite couronne a atteint 136, dont 96 font l'objet d'une garde à vue, d'après les médias.
A Nantes, 1.200 personnes ont participé aux actions de protestation des Gilets jaunes cet après-midi, d'après la police citée par l'AFP. La police a interpellé cinq personnes et utilisé des gaz lacrymogènes.
16:20
La police a de nouveau eu recours aux gaz lacrymogènes sur les Champs-Élysées.
Pour dissiper les manifestants, les forces de l'ordre utilisent aussi des canons à eau et, d'après des internautes, des pulvérisateurs d'oléorésine de capsicum (OC), un extrait de poivre de Cayenne.
Des tensions sporadiques entre des Gilets jaunes et des forces de l'ordre ont lieu sur les Champs-Elysées.
16:03
RépondreSupprimerA Lyon, plusieurs centaines de manifestants sont rassemblés au centre de la ville.
D'après des messages sur les réseaux sociaux, des heurts opposants des Gilets jaunes à la police ont eu lieu à Besançon.
15:37
La situation commence à chauffer à Toulouse où la police a recours aux gaz lacrymogènes tandis que les manifestants lancent des projectiles.
Les forces de l'ordre utilisent en outre un canon à eau et des grenades de désencerclement pour disperser les manifestants, d'après 20 Minutes Toulouse et des messages diffusées sur les réseaux sociaux.
Selon l'agence France Presse, les manifestants étaient entre 4.000 et 5.000 face à quelque 600 membres des forces de l'ordre à Toulouse.
Les manifestants ont aspergé de peinture jaune un véhicule blindé de la gendarmerie qui intervient à Toulouse.
15:30
Alors que la tension monte à Paris et dans certaines villes françaises, la situation reste plutôt calme à Grenoble, en contraste avec les CRS armés.
15:22 15.12.2018
Des Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi 15 décembre pour jouer l’acte 5 de leur mobilisation qui se poursuit dans toute la France. Ces manifestations ont été marquées par de nombreux incidents, les Gilets jaunes mettant notamment le feu à des pneus sur les routes, ce qui a perturbé, voire entravé, la circulation.
15:23
La situation est tendue devant la mairie de Limoges où une trentaine de membres des forces de l’ordre font face à un millier de manifestants scandant «Macron démission».
15:19
À Nantes, les manifestants poursuivaient leur marche brandissant leurs banderoles où était écrit «On ne veut pas des miettes, on veut la boulangerie», faisant ainsi allusion aux réformes sociales du gouvernement.
D'après la direction départementale de la sécurité publique, quelque 500 personnes ont défilé à Nantes, cinq personnes ont été interpellées et un policier a été blessé.
15:17
En ce début d'après-midi, les forces de l'ordre ont eu recours aux gaz lacrymogènes, à des grenades et des balles de défense pour repousser des manifestants rassemblés à proximité des Champs-Élysées.
Sur les Champs-Élysées, on voit des personnes masquées et équipées de lunettes de protection qui s'attaquent aux policiers.
Selon l'AFP, des bouteilles ont été jetées sur les forces de l'ordre. La police a riposté par des grenades, balles de défense et gaz lacrymogènes.
15:19 15.12.2018
Samedi dans l’après-midi, l’ambiance s'est brusquement dégradée sur les Champs-Élysées où au moins une personne a été blessée lors d'affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
15:08
Les tensions sont fortes aux Champs-Élysées où les tirs de gaz lacrymogènes se poursuivent. Une personne a été blessée à la tête.
15:19 15.12.2018
Samedi dans l’après-midi, l’ambiance s'est brusquement dégradée sur les Champs-Élysées où au moins une personne a été blessée lors d'affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
Une correspondante de la chaîne RT a été blessée au visage à Paris, a annoncé la rédactrice en chef de RT, Margarita Simonian sur Telegram, publiant une photo de la jeune femme au visage couvert de sang.
Plus tôt, des internautes ont indiqué sur Twitter qu'une jeune femme avait été blessée à la tête.
14:45
RépondreSupprimerLa mobilisation est en recul dans toute la France avec 33.500 manifestants, d'après le ministère de l'Intérieur.
Selon le ministère, il y avait 33.500 manifestants dans toute la France à la mi-journée, deux fois moins que les 77.000 recensés le 8 décembre à la même heure. Seules 2.200 étaient recensées à Paris, contre 10.000 il y a une semaine.
14:34
L’ambiance est électrique place de l’Opéra.
Sur la place de l'Opéra à Paris, des manifestants ont lancé des jets de peinture sur les forces de l'ordre.
La police a bloqué les sorties près de la place de l’Opéra Garnier, a informé le correspondant de Sputnik se trouvant sur place.
14:29
De leur côté, les Gilets jaunes belges manifestent à Bruxelles, encadrés par une forte présence policière. Une cinquantaine d'interpellations a déjà eu lieu, selon les médias.
14:28 15.12.2018
Les forces de l'ordre ont interpellé une cinquantaine de personnes lors de la troisième manifestation des Gilets jaunes organisée dans la capitale européenne, selon des médias belges.
Alors que les Gilets jaunes manifestaient à Bruxelles, des membres du parti d'extrême droite Nation se sont joints à la mobilisation. Les Gilets jaunes ont dénoncé cette participation.
Les manifestants ont été bloqués par les policiers à Arts-Loi avant d'être évacués en début d'après-midi vers le quartier de la gare du Luxembourg. La place du Luxembourg a été fermée et la manifestation dissoute, d'après la police citée par les médias belges. Les Gilets jaunes ont plus tard repris leur marche, d'après Le Soir.
14:19
Moins de 3.000 manifestants à Paris vers 14h00, selon la police.
14:15
La situation dégénère à Paris où des heurts ont commencé.
14:08
Selon les internautes, des membres des forces de l'ordre ont été déployés à l'angle de la rue de la Fayette et de la rue de la Chaussée d'Antin
14:05
Près de l’Opéra la situation reste relativement calme.
Des manifestants ont chanté la Marseillaise, puis ont commencé à scander «Macron démission». La situation a soudainement dégénéré à Paris où des heurts ont commencé. D'autres ont commencé à crier «Castaner en prison» tandis que la police leur demandait de se disperser et de se calmer.
Les manifestants ont appelé la police à se joindre à eux.
14:02
Selon le dernier bilan, présenté par la préfecture de police de Paris, plus de de 90 personnes ont été interpellées ce samedi à 13h à Paris et en petite couronne, contre plus de 500 la semaine dernière à la même heure. 53 individus ont été placés en garde à vue.
13:54
Au cours de la journée plusieurs actions des Gilets jaunes ont été organisées à travers la France.
La tension est particulièrement forte en Bretagne.
À Toulouse, des Gilets jaunes tentent de prendre possession du périphérique, où certains veulent organiser un pique-nique.
Ce matin une barricade a été incendiée à la sortie ouest de Nîmes pour bloquer la circulation automobile.
Plusieurs manifestants sont sortis dans les rues à Nantes.
À Nantes, la police a eu recours aux gaz lacrymogènes.
À Bordeaux, environ 300 manifestants se sont rassemblés sous la pluie.
RépondreSupprimerPlus tard, la préfecture a fait état de 4.500 manifestants - Gilets jaunes et étudiants. Quelques échauffourées ont eu lieu place Pey-Berland, près de la mairie. La police a procédé à 14 interpellations.
À Toulouse, un cortège de lycéens a rejoint les Gilets jaunes dans l’après-midi.
Selon la préfecture de la Dordogne, un manifestant a pris une bombe lacrymogène à la police, avant d'en asperger les forces de l'ordre devant le dépôt de bus de Périgueux. Les policiers ont dispersé le rassemblement avant d'arrêter cinq personnes qui tentaient de s’enfuir en voiture.
Un face à face très tendu a eu lieu à Perpignan entre des motards Gilets jaunes et les forces de l'ordre. Ces derniers ont fait usage de leurs matraques et de gaz lacrymogènes.
13:08
Vers 12h30 la préfecture de Paris a fait état de 85 interpellations dans la région parisienne.
12:36
En revanche, la Marseillaise a été entonnée par des Gilets jaunes près de l’Opéra Garnier à Paris. Souhaitant sortir de la zone dans laquelle les forces de l'ordre les contraignent à rester, ils scandent : «Macron démission!».
12:34
Le calme est revenu dans les différents points de manifestation à Paris, indiquent les médias.
12:30
À la mi-journée, la préfecture de police évoque déjà 72 interpellations à Paris et en petite couronne, contre plus de 500, enregistrées à la même heure la semaine dernière. La préfecture fait également état d’une «mobilisation plus faible» avec «quelques milliers de manifestants» à Paris, sans apporter plus de précisions, a relaté la BFMTV.
12:17
Les motards de la police équipés de Flash-balls se rendent sur les Champs-Élysées à Paris.
12:15
Quelque 64 personnes ont pour le moment été interpellées en région parisienne. Bien en-dessous des chiffres de la semaine dernière où 1.028 interpellations avaient été enregistrées à la mi-journée.
11:40 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:48
Des femmes vêtues d'un sweat à capuche rouge ouvert ont été vues se tenant debout en silence face à une dizaine de gendarmes avenue des Champs-Élysées. Elles étaient recouvertes de peinture argentée.
Selon les médias, le happening, un temps assimilé à une opération des Femen, était une performance intitulée Marianna regarde et organisée par une artiste franco-luxembourgeoise de 33 ans, Déborah de Robertis. Elle est connue pour ses perfomances nues dans des musées.
Ce qui pousse les femmes à être en pointe des Gilets jaunes
16:30 15.12.2018
Le mouvement des Gilets jaunes en a surpris plus d’un par son ampleur et sa durée, mais ce n’est pas sa seule particularité. En effet, les femmes, habituellement moins mobilisées dans les mouvements sociaux, sont très présentes au sein des Gilets jaunes, lors des blocages, des manifestations et des prises de parole, un signe de leur paupérisation.
11:40
RépondreSupprimerPremières tensions avec les forces de l'ordre sur les Champs-Élysées.
11:40 15.12.2018
Alors que des Gilets jaunes manifestent pour le 5e samedi d'affilée sur les Champs-Élysées, la police a fait usage de gaz lacrymogènes pour réprimer les premiers incidents.
11:36
Après une poussée de certains manifestants, contenus par des gendarmes mobiles, quelques centaines de manifestants ont repris possession de la chaussée sur les Champs-Élysées. D'autres sont toujours bloqués par les forces de l'ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogènes.
11:32
Des manifestants se sont mis à scander «Macron démission».
11:19
Les Champs-Élysées ont été partiellement rouverts à la circulation, a informé un journaliste de l’AFP.
11:16
D'après les informations de la gendarmerie, il y avait quelque 2.000 manifestants sur les zones de France qu’elle était chargée de sécuriser ce matin. La préfecture de police de Paris fait état d’un millier de manifestants.
11:04
Selon la préfecture de police de Paris, 52 personnes ont été interpellées en Île-de-France depuis le début de la journée. Quinze personnes ont été arrêtées lors de contrôles préventifs à des péages ou dans des gares.
10:41
Pour manifester leur soutien aux lycéens de Mantes-la-Jolie, des dizaines des Gilets jaunes se sont mis à genoux Place de l'Opéra à Paris, mains derrière la tête.
10:40
Des policiers à cheval viennent d’arriver à Paris. Ils ont été hués par des manifestants.
10:21
Selon la préfecture de police de Paris, le nombre d’interpellations s’est élevé à 37 personnes. 22 autres personnes ont été placées en gardes à vue ce samedi dans la capitale.
10:21
Sur Twitter, Marine Le Pen a dénoncé «les casseurs ultras et les pilleurs de banlieue» qui «sont les complices objectifs du pouvoir».
10:14
Des manifestants ont entamé leur descente des Champs-Élysées en chantant la Marseillaise. Ils devraient être rapidement bloqués, les accès aux sites institutionnels étant fermés.
10:01
Peu avant 9h30, une trentaine de personnes avaient déjà été interpellées en Île-de-France, dont 17 dans l’agglomération parisienne, ont rapporté les médias. Par comparaison, à la même heure la semaine dernière, les forces de l'ordre avaient déjà procédé à 278 interpellations.
09:56
Peu de monde sur les Champs-Élysées, un autre rassemblement sur la Place de l'Opéra
09:51
En raison de la mobilisation des Gilets jaunes, la circulation est perturbée à Paris. Certaines stations de métro seront fermées. La RATP indique que des modifications d’itinéraires pour certaines lignes auront lieu suivant l’évolution de la situation. D’autres pourraient même ne pas être exploitées du tout.
https://fr.sputniknews.com/france/201812151039314436-france-paris-gilets-jaunes-manifestation/
Les nuits de Varennes ?
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