La Fédération Environnement Durable demande au Président et au Gouvernement de prendre des mesures indispensables en matière d’éoliennes terrestres. OPINION
Par Jean-Louis Butré et Arnaud Casalis.
14 DÉCEMBRE 2018
La Fédération Environnement Durable, ONG apolitique représentant plus de 1.000 associations et centaines de milliers de membres et sympathisants, s’étonne ne pas avoir entendu Mr le Président de la république Emmanuel Macron reconnaître les erreurs d’une politique utilisant constamment l’écologie comme prétexte à une augmentation des impôts.
Le cas de la filière éolienne-gaz pour fabriquer de l’électricité est flagrant : 7 milliards d’euros d’investissements annuels sont prévus pendant 10 ans à la charge du contribuable et du consommateur ou 70 milliards en dix ans, dont le bilan désastreux, dénoncé par la Cour des comptes, conduit notamment à :
– la hausse des émissions de gaz à effet de serre avec l’accroissement de la production électrique gazière associée aux éoliennes dont il faut réguler l’intermittence.
– l’augmentation de 10 % par an du prix de l’électricité des ménages entraînant la baisse du pouvoir d’achat dissimulée sous le thème de la transition énergétique.
– l’importation de 17 000 éoliennes industrielles représentant 51 milliards d’euros subventionnant l’emploi étranger et pesant sur la balance commerciale de la France.
– la destruction de la biodiversité. Pour fixer ces machines, 2 millions de camions toupies, qui mis bout à bout feraient le tour de la Terre, déverseront dans le sol français 42 millions de tonnes de béton.
– le massacre du patrimoine paysager, monumental et touristique du pays.
– l’atteinte aux conditions de vie des populations rurales déjà menacées.
TRIPLER L’ÉOLIEN TERRESTRE, C’EST RUINER LES FRANÇAIS
À ces fins destructrices et anti-écologiques, et pour implanter de force ces éoliennes, Monsieur le ministre de l’Environnement François de Rugy vient de promulguer le décret Lecornu qui supprime la possibilité de recours gratuit par les citoyens en première instance devant les tribunaux administratifs.
Cette mesure judiciaire d’exception marque un recul historique de l’État de droit. Elle est d’autant plus choquante qu’elle a été décidée sous l’emprise exclusive de groupes financiers dont les seules patries sont les paradis fiscaux, et en leur donnant les moyens de faire taire brutalement les opposants qui les dérangent.
Les Français ont entendu le discours du président de la République et son appel au dialogue avec l’ensemble des citoyens, mais ce discours passe sous silence le « tout éolien », c’est-à-dire le triplement de l’éolien terrestre, un des sujets pourtant les plus fondamentaux et les plus sensibles pour les populations françaises. Ce faisant, le président n’a apporté aucune réponse aux centaines de milliers de personnes qui souffrent sur le territoire de ces décisions politiques asociales et contreproductives.
Pour que la France retrouve son équilibre et sa sérénité, la Fédération Environnement Durable demande :
– l’abolition immédiate du décret Lecornu,
– la suppression des programmes d’investissements éoliens faussement écologiques qui ruinent les Français.
– la naissance d’un vrai droit protecteur des citoyens contre les nuisances des éoliennes et leur nocivité, prévoyant notamment avec pour application immédiate, l’éloignement des éoliennes à 1 500 mètres des habitations ou à 10 fois la hauteur de leurs mâts.
– la suppression du soutien financier (tarifs de rachat ou de référence) à la vente de l’électricité renouvelable ce qui permettrait d’absorber l’annulation de l’augmentation de la taxe climat et de retrouver de la marge pour financer une vraie transition énergétique acceptable pour les citoyens.
– l’obligation pour les promoteurs d’éoliennes d’être totalement fiscalisés en France.
La Fédération Environnement Durable demande au président et au gouvernement de prendre ces mesures indispensables en matière d’éoliennes terrestres, car sans prise de conscience de la gravité de cette situation, elle exprime ses profonds doutes sur la possibilité pour le pays de renouer avec la paix et la sérénité.
Gilets Jaunes, ne vous laissez pas voler votre révolte !
RépondreSupprimerL’abandon de la transition énergétique et des « politiques climatiques » qui vont avec est la seule issue raisonnable en ligne avec les aspirations des Gilets Jaunes. OPINION
Par Benoît Rittaud.
13 DÉCEMBRE 2018
Gilets jaunes, votre mobilisation a été deux fois grande.
Elle a été grande lorsque vous vous êtes dressés avec succès contre la taxe « écologique » sur le carburant. Vous vous êtes ainsi faits les auteurs de la première révolte d’ampleur contre l’ordre « écologique » qui progresse à pas de moins en moins petits et de moins en moins démocratiques.
Il faut condamner la violence, bien sûr, et sans aucune équivoque. Votre mouvement mérite néanmoins l’admiration car vous avez montré à la face du monde ce que peut notre pays lorsqu’il se met en colère. Nous perdrons bien un dixième ou deux de PIB, mais si c’est là le prix pour retrouver un peu de fierté, alors on peut penser que cela en valait la peine. À l’étranger, un peu partout l’on se demande si, après 1789, la France se fera à nouveau éclaireuse du chemin de la liberté.
Vous pouvez être nos nouveaux bonnets phrygiens, nos nouveaux sans-culottes, mais pour cela il faut un vrai projet. Pas une accumulation hétéroclite de revendications. C’est malheureusement ce à quoi les légitimes demandes initiales sont en train de faire place : des exigences revanchardes dictées par le ressentiment, la jalousie ou l’envie.
UN PROJET ÉCONOMIQUEMENT CRÉDIBLE
Un vrai projet, c’est d’abord un projet économiquement crédible, c’est-à-dire qui ne fasse pas que distribuer des milliards à tout le monde sans dire où l’on prend cet argent — point que s’est bien gardé d’aborder le président de la République lors de son allocution-distribution de lundi soir. (Sur le sujet, voir cet article de Nathalie MP, et bien sûr celui de Rémy Prud’homme.) Dès le lendemain de cette intervention, d’ailleurs, les explications du Gouvernement ont été une succession de tours de passe-passe comptables destinés notamment à nous faire croire que « les grandes entreprises paieront », sans bien entendu s’intéresser à la manière dont ces dernières répercuteront inévitablement ces coûts (réponses plus que probables : sur leurs clients, sur leurs salariés, sur la qualité du service, sur leurs investissements…).
Les mesures annoncées par Emmanuel Macron ont un coût évalué entre 8 et 10 milliards d’euros. Il y a un moyen très simple de disposer d’une telle somme : abandonner la transition énergétique, qui coûte plus de 7 milliards par an rien que pour le ministère de la Transition écologique et solidaire (plus précisément : 7 184 317 223 euros), sans compter les multiples dépenses annexes et coûts non financiers induits un peu partout. (Par exemple, les nouveaux programmes scientifiques enseignés à vos enfants devraient contenir pas mal de sensibilisation aux méfaits du céhodeux, qui seront autant d’heures de moins pour le travail scientifique ringard — celui où l’on apprend en profondeur le contenu d’une théorie plutôt que de se contenter de répéter des éléments de langage.)
Alors rejoignez-nous et signez la pétition pour l’abandon de cette « transition » coûteuse, nuisible et injuste !
DEVENIR ADULTE
RépondreSupprimerGilets jaunes, si vous voulez être pris au sérieux, c’est-à-dire autrement que comme le « bon peuple » à qui l’on donne quelques miettes de temps en temps pour qu’il se tienne tranquille, une méthode consiste à vous montrer plus adultes que l’infantile « en même temps » macronien qui réclame tout et le contraire de tout. C’est le propre d’un vrai acte de gouvernement que d’avoir la lucidité de reconnaître que tout n’est pas possible. Comme le disait Pierre Mendès-France, « gouverner c’est choisir » .
De la lucidité, les Gilets jaunes ont commencé à en avoir lors de leur second moment de grandeur que fut le lancement d’un formidable slogan programmatique : l’élite a peur de la fin du monde, nous avons peur de la fin du mois. Voilà l’ébauche d’un vrai projet ! Voilà l’occasion de revenir au réel, en cessant de s’affoler pour une apocalypse imaginaire auquel personne ne croit vraiment (y compris chez les décideurs, d’ailleurs).
Cette devise est votre boussole. Ne la perdez pas de vue, car c’est elle qui vous donne le cap. Un cap qu’il ne tient qu’à vous de garder en ciblant vos revendications, sans entrer dans le jeu de ceux qui veulent vous faire dire que vous êtes « aussi » écologistes et que vos revendications concernent « également » l’avenir de la planète. Vous n’aurez pas les fins de mois si vous regardez « en même temps » la fin du monde.
Votre slogan est une merveilleuse devise pour en appeler au courage de s’attaquer aux difficultés banales. Celles dont tant de gens souffrent mais qu’on ne regarde plus, par habitude mais aussi parce que, pour une certaine élite dirigeante, « changer les choses » consiste désormais à prendre l’avion pour des destinations exotiques où, de COP en One Planet Summit, l’on se raconte encore et encore qu’on va sauver la planète. La force du slogan tient tout entière dans son humilité, une attitude qui manque tant et que devraient pourtant s’appliquer tous ceux qui prétendent nous diriger.
Évidemment, toutes les souris qui grignotent le fromage climatique ne seront pas contentes qu’on le leur ôte de la bouche. Pas sûr que cela doive vous empêcher de dormir, quand on voit la manière dont elles dépensent sans compter les deniers publics.
Pour cette fois, il n’est pas démagogique de dire qu’il y a de l’argent à prendre : selon les comptes de l’IFRAP publiés le 22 novembre 2018, la France prélèvera en 2019 la bagatelle de 62 milliards d’euros pour « le climat ». Si le caractère sérieux d’un projet de société se mesure à sa capacité à dire comment il financera ses promesses, voilà donc une piste pour les Gilets jaunes : moins pour le climat, plus pour les fins de mois. (L’IFRAP précise, mais on s’en serait douté, que ces 62 milliards servent à « financer des projets contre le réchauffement climatique, généralement économiquement non rentables.« )
Songeons, en comparaison, combien le rétablissement de l’ISF n’aurait qu’un effet dérisoire, presque marginal : les montants collectés seraient au mieux de 5 milliards d’euros, auxquels il faudrait soustraire au moins 1 milliard (ce que rapporte l’IFI qui a remplacé l’ISF), sans parler des multiples effets négatifs induits par la fuite des capitaux (des arguments toujours discutés, mais suffisamment sérieux pour avoir conduit la plupart des pays à abandonner ce type d’impôt). On peut vouloir faire de l’ISF un symbole, mais les symboles ne peuvent tenir lieu de projet à eux seuls.
Gilets jaunes, un financement possible pour le pouvoir d’achat existe. Alors la prochaine fois que vous serez reçus à l’Élysée, plutôt que de simplement demander à ce qu’on vous donne de l’argent, montrez du doigt vous-mêmes l’endroit où vous voulez qu’il soit pris. C’est tout simple : c’est là !
RépondreSupprimerhttps://www.contrepoints.org/2018/12/13/332390-gilets-jaunes-ne-vous-laissez-pas-voler-votre-revolte
L’allocution de Macron vue de Suisse
RépondreSupprimerCertains accusaient Macron d’être un Hollande bis… On peut difficilement leur donner tort aujourd’hui.
Par Frédéric Duval, depuis la Suisse.
14 DÉCEMBRE 2018
Comme beaucoup de Français, j’étais devant mon écran à 20 h lundi soir pour écouter le président de la République répondre aux manifestations populaires des Gilets Jaunes.
Macron a parlé avec un ton empathique et ferme.
J’ai pensé qu’il s’adressait aux Français comme on parle à une classe d’élèves chahuteurs.
Cependant, je ne vais pas m’attarder sur la forme. Les politiciens passent leur temps à soigner leur apparence et à travailler leur charisme.
Macron est sans aucun doute un bon orateur.
Mais ça ne l’intéresse pas quand il s’agit de réformer l’État.
C’est là que le bât blesse : son discours est plus un exercice de style pour préserver la paix sociale qu’un projet de réforme profonde pour sauver un pays à la dérive.
L’ÉTAT D’URGENCE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE
C’est la première annonce : nous passons en « urgence économique et sociale ».
Certains accusaient Macron d’être un Hollande bis… On peut difficilement leur donner tort aujourd’hui.
Décréter cet état d’urgence ne sert strictement à rien. Nous ne sommes pas davantage dans l’urgence qu’il y a quatre ans : la France doit se réformer depuis un moment !
Décréter des mesures ineptes aux noms ronflants pour se donner l’air grave ne marche qu’avec les crédules.
LA LISTE DU PÈRE NOËL
Passons en revue les cadeaux de notre Jupiter Noël en cette fin d’année 2018 :
Suppression de la taxe carbone (ça on le savait déjà)
Augmentation du SMIC de 100 euros
Défiscalisation des heures supplémentaires
Défiscalisation des primes de fin d’année
Annulation de la hausse de la CSG
Mettre fin aux évasions fiscales des grandes entreprises, Amazon en tête
Une chose me choque : l’appareil d’État ne fait AUCUN effort !
Il va certes percevoir moins d’entrées fiscales, surtout en annulant les hausses prévues ou en revenant de quelques années sur des taxes nouvellement créées, mais il ne dit pas où il va couper pour compenser le manque à gagner.
En gros, ce n’est pas une réforme : c’est du maquillage superficiel pour acheter l’ordre public.
La perte de rentrée fiscale sera compensée par un déficit public supplémentaire.
L’Union Européenne s’interroge déjà sur le dépassement budgétaire de la France.
Cette dernière suivra-t-elle l’Italie dans le clan des mauvais élèves ?
LE CASSE-TÊTE DE L’EXIL FISCAL
RépondreSupprimerLe problème de l’exil fiscal revient sans arrêt. Ce n’est pas nouveau. C’est un problème complexe et, à moins de fermer les frontières et de construire des murs hérissés de pics, on n’aura jamais de solution parfaite à ce problème.
Les solutions « d’harmonisation fiscale » européenne ou mondiale me font doucement rigoler : autant demander la création d’un État mondial.
Ça ne se fera pas… bien heureusement.
Ce qu’on peut faire c’est avoir une fiscalité simple et égalitaire plutôt qu’un monstrueux labyrinthe administratif dont les puissants peuvent en exploiter les failles.
Mais là aussi c’est le cul-de-sac… malheureusement.
Au final, la seule mesure proposée par Emmanuel Macron pour renflouer les caisses de l’État est de poursuivre les multinationales qui jouent avec les règles.
Soyons réaliste : c’est une déclaration d’intention, rien de plus ! On a de la peine à voir ce qu’il y a de nouveau dans ce dossier qui revient perpétuellement sur la table depuis des décennies.
C’est d’autant plus comique quand UNE heure avant son allocution, le Sénat votait pour abaisser « l’exit taxe ».
Dans les faits, il n’y aura strictement rien à attendre de ce côté-là.
NOUVELLE AUGMENTATION DES DÉPENSES
Macron cache que nous avons ici des propositions qui alourdiront le budget de l’État de 8 à 10 milliards.
Alors que c’est précisément un des principaux problèmes de la France comme je l’avais présenté précédemment.
Son équipe s’est mise en marche… pour ne rien changer.
On lance un os au peuple pour qu’il arrête de manifester.
Mais il est hors de question de baisser les dépenses somptuaires de l’État.
RÉFORME INSTITUTIONNELLE ? QUE NENNI !
Dans son discours, il y a quelques mots sur le problème de la centralisation du pouvoir. Je dois dire que j’étais content de l’entendre.
Mais là encore… aucune solution annoncée !
Alors que les Gilets jaunes insistent pour créer un referendum d’initiative citoyenne (RIC), le sommet de la nation n’a pas daigné réagir.
C’est bien simple : le gouvernement n’a pas la capacité de faire quoi que ce soit de décisif. Il est pris dans une structure rigide et il ne jouera que sur la minuscule marge de manoeuvre qui ne froissera personne.
Cette fois, c’est certain.
L’homme providentiel qui réformera la France n’est pas Emmanuel Macron.
https://www.contrepoints.org/2018/12/14/332416-lallocution-de-macron-vue-de-suisse
Ne parlons pas 'd'exil fiscal' car le premier est celui de payer des fonctionnaires à rien foutre et qui complotent pour voler/escroquer encore plus !
SupprimerLa solution (LA SEULE !) vient du Peuple qui n'est JAMAIS écouté. Cette solution s'appelle Démocratie. Cela veut bien dire qu'il faut supprimer la république (dictature) pour mettre son contraire: la Démocratie.
Il n'y a qu'UN SEUL PAYS au monde en Démocratie !!! La Suisse.
La Démocratie c'est Par le Peuple, Pour le Peuple.
C'est-à-dire (comme en Suisse), c'est le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois !
Et non des 'représentants du Peuple' qui (en républiques) votent - sans demander l'opinion de quiconque - contre les intérêts du Peuple.
France: comprendre le soulèvement des Gilets Jaunes
RépondreSupprimerPar Rex
QuodVerum
14 décembre 2018
La grande majorité n’a pas été informée de la vie des citoyens ordinaires en France. En conséquence, ils ne comprennent pas l’importance des violentes manifestations «gilets jaunes» à travers le pays. Après avoir vécu en France pendant des années, REX explique pourquoi ce sont les manifestations les plus importantes en France depuis 1968 - et probablement un phare pour les citoyens de toute l’Europe.
Des millions de citoyens français ont manifesté violemment à travers la France au cours du dernier mois.
Ils sont connus comme les gilets jaunes. Les manifestants portent la veste jaune à haute visibilité, qui est courante sur les chantiers de construction et les aéroports.
C’est un totem puissant pour les déplorables français, un symbole unificateur des gens ordinaires de la classe ouvrière à travers le pays.
La France n’est pas étrangère aux manifestations organisées, ou comme on les appelle, aux manifestations. Ce sont des dizaines de dollars en France. Il s’agit généralement de grèves organisées par les syndicats, utilisées comme une arme dans les négociations sans fin entre les syndicats et l’État français.
Oubliez ce que FakeNews vous dit. Ce n'est pas une manifestation ordinaire.
Il s’agit d’un véritable soulèvement de la part de millions de citadins et de paysans, jeunes et vieux, traversant différentes lignes ethniques et culturelles.
La hausse des taxes sur le diesel de Macron n’est pas la cause du mouvement gilets jaunes. C’est l’étincelle qui a fait exploser une bombe, qu’elle construit depuis des décennies.
C'est la première fois depuis 1968 que la France assiste à un soulèvement populaire aussi authentique et soulèvement contre l'État français.
Cette manifestation est différente. Et il a des raisons historiques très spécifiques, comme le révélera cet article.
La vraie France
Vous pensez connaître la vraie France ? Voici quelques faits qui pourraient vous choquer:
• L’État français est en faillite depuis 2004. Un ministre l’a finalement admise en 2013.
• Le PIB français n’a pas dépassé 2 % en 50 ans. Oui - CINQUANTE. Le taux de croissance annuel moyen du PIB entre 1949-2018 ? 0,78 %.
• En 2018, 14 % de la population française vit en dessous du seuil de pauvreté (ils gagnent moins de 60 % du revenu médian).
• Pire, plus de 50 % des Français ont un revenu annuel inférieur à 20 150 € par an (environ 1 900 US $ par mois).
• Le taux de chômage «officiel» est de 10 % - environ 3,5 millions de citoyens (en réalité, il est beaucoup plus élevé).
• Le taux de chômage des jeunes est de 22 %. Oui, vous avez bien lu.
• Etonnant mais vrai: le gouvernement français emploie 25 % de l’ensemble de la main-d’œuvre française… et il est impossible de les licencier.
• Parce que les citoyens gagnent si peu d’argent, ils ne paient aucun impôt. Moins de 50 % des Français paient un impôt sur le revenu; environ 14 % seulement paient au taux de 30 % et moins de 1 % paient au taux de 45 %.
• Le gouvernement ne peut pas fournir de services sans taxes, il emprunte donc de l’argent. Le ratio dette / PIB de la France est maintenant de 100 %.
RépondreSupprimerUne autre statistique révélatrice: le «chômage structurel» se situe maintenant entre 9 et 10 %. Cette statistique mesure quand il est impossible de trouver des personnes qui ont les compétences et les qualifications nécessaires pour pourvoir les postes disponibles. Pourquoi ? Les enfants français ne sont pas éduqués pour participer au marché du travail. Donc, même si la France connaît une poussée de croissance (elle ne le fera pas), elle n’aura pas la main-d’œuvre pour occuper les nouveaux emplois.
Alors, comment cette catastrophe épique s'est-elle produite? Et si le blâme doit être attribué, qui en porte le plus ?
En d'autres termes, pourquoi des millions de citoyens français sont-ils déchaînés en ce moment ?
Parce qu’il y a une vraie France que peu de gens voient.
La France des gilets jaunes. Ou comme on pourrait les étiqueter, les déplorables.
Et ils sont furieux contre une classe dirigeante qui non seulement laisse la population souffrir tout en jouissant d'une vie de luxe et de richesse, mais qui blâme également les citoyens pour leurs propres souffrances.
https://www.lewrockwell.com/2018/12/no_author/france-understanding-the-gilets-jaunes-uprising/
Quand une famille est ruinée elle n'invite personne à partager son repas, mais, la différence entre la réalité de la pauvreté en France et les milliards jetés par la fenêtre est la politique de l'escroquerie. Invitations lancées à plus de 300 millions de personnes dans le monde à venir (tous frais payés) en Europe et s'y installer pour toucher des allocations ad vitam éternuam !
SupprimerQui va payer ces anti-européens à instaurer la charia pour éliminer 300 millions d'européens non musulmans ?
Tennessee frappé par le plus grand tremblement de terre en 45 ans
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 13/12/2018 - 22:20
Ces derniers mois, des tremblements de terre massifs ont eu lieu au Venezuela, à Fidji, en Italie et ailleurs. Ici en Amérique du Nord, des tremblements de terre importants ont secoué l'Oregon, l'Alaska et la côte ouest du Mexique.
Alors que la côte ouest est connue pour ses tremblements de terre, d’autres parties des États-Unis sont également sujettes aux tremblements de terre.
Deux tremblements de terre rapportés mercredi matin dans l'est du Tennessee ont choqué le Middle Tennesseans et ont été ressentis en Géorgie, au Kentucky, en Caroline du Nord et en Caroline du Sud.
Les tremblements de terre de magnitude 4,4 et 3,3 avaient eu un épicentre près de Decatur, dans le Tennessee, dans le comté de Meigs. Ils n’ont causé aucun dommage significatif, mais la crainte est de savoir quand le prochain séisme de grande ampleur se produira.
"Un séisme de magnitude 4,4 est un rappel pour que les gens soient préparés", a déclaré John Bobel, agent d'information du public pour la division de la gestion des urgences au sein du gouvernement du comté urbain de Lexington-Fayette, dans le Kentucky.
Le Middle Tennessee est situé entre deux zones sismiques différentes, la zone sismique New Madrid et la zone sismique East Tennessee. La zone sismique de New Madrid s'étend du nord-est de l'Arkansas à l'ouest du Tennessee, au sud-est du Missouri, à l'ouest du Kentucky et au sud de l'Illinois. La zone sismique de l'est du Tennessee s'étend du nord-est de l'Alabama au sud-ouest de la Virginie.
Les scientifiques ont déclaré que la zone sismique de New Madrid et la zone sismique de l'est du Tennessee avaient déclenché des tremblements de terre majeurs depuis des milliers d'années:
"Le 16 décembre 1811, le premier de trois grands séismes et de nombreuses répliques a frappé ce qui est maintenant connu comme la zone sismique de New Madrid, une série de failles qui s'étendent sur 150 milles du Caire, dans l'Illinois, à Marked Tree, dans l'Arkansas.
Aujourd'hui, la zone menace l'Alabama, l'Arkansas, l'Illinois, l'Indiana, le Kentucky, le Mississippi, le Missouri et le Tennessee. C'est un ensemble de failles différent du séisme de mercredi dans la zone sismique de l'est du Tennessee.
En 1811, New Madrid, dans le Missouri, n’avait que 400 personnes, Saint-Louis, au nord, environ 1 500 habitants et Memphis, au sud, n’était même pas un clin d’œil aux yeux de ses fondateurs, selon le Consortium du séisme aux États-Unis, au centre des États-Unis. . Des dommages ont été signalés aussi loin que Charleston, en Caroline du Sud et dans le district de Columbia; et les tremblements de terre, estimés entre 7,5 et 7,7 magnitude, ont été ressentis plus de 1000 km dans le Connecticut. "
Selon TransRe, une organisation internationale de réassurance, plus de 11 millions de personnes vivent dans la nouvelle zone sismique de Madrid.
"La grande chose à laquelle nous nous préparons est avec New Madrid", a déclaré Bobel.
"Selon l'importance d'un tremblement de terre, Memphis, Tennessee, serait parti; Saint-Louis serait détruit."
Le Courrier-Journal de Louisville a déclaré que les tremblements de terre à New Madrid de 1811 et 1812 étaient presque 2 000 fois plus puissants que les ondes de choc de 4,4 mercredi et qu'ils libéraient près de 90 000 fois plus d'énergie, selon le calculateur de tremblement de terre de la US Geological Survey.
RépondreSupprimerCe n'est pas une question de si, mais quand le grand séisme frappe. Les dégâts dans la zone de faille pourraient être dévastateurs: "Toute infrastructure à l'ouest de l'I-65 serait sérieusement endommagée", a déclaré Bobel au sujet de l'autoroute qui sépare le Kentucky et le Tennessee. "Le sol pourrait même se liquéfier et se transformer en boue", comme ce fut le cas en 1811 et 1812.
L'America Earth Tremblement Center de l'Université de l'Illinois a estimé qu'en 2008, un séisme de magnitude 7,7 le long de la faille de New Madrid pourrait provoquer des dégâts considérables:
"250 000 bâtiments modérément ou gravement endommagés, plus de 260 000 personnes déplacées, nettement plus de 60 000 blessés et morts, le total des pertes économiques directes dépassant 56 milliards de dollars, dont 64 milliards aujourd'hui corrigés de l'inflation. Le Kentucky subirait les dommages les plus importants, à savoir 45 milliards $ , 52 milliards de dollars aujourd'hui. "
Selon l'endroit où se trouve l'épicentre exact du séisme, "des zones de la ZSNM subiraient des dégâts physiques étendus et catastrophiques, des impacts sociaux négatifs et des pertes économiques", a annoncé l'Agence fédérale de gestion des urgences en 2008.
Les sismologues ont averti que la zone sismique de New Madrid avait 25% à 40% de chances de produire le prochain séisme dans les cinq prochaines décennies, selon le gouvernement du comté urbain de Lexington-Fayette.
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-13/move-over-california-next-big-earthquake-could-be-coming-midwest-south
Les extractions du gaz de shiste y sont pour quelque chose ! Il y en a partout !
SupprimerAvec le gaz de schiste, 300 fois plus de tremblements de terre !
Supprimerjeudi 25 août 2016
https://huemaurice5.blogspot.com/2016/08/avec-le-gaz-de-schiste-300-fois-plus-de.html
Cour européenne des droits de l'homme: lois sur le blasphème: un mot déplacé peut coûter la vie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven., 14/12/2018 - 03:30
Écrit par Denis MacEoin via le Gatestone Institute,
La Cour européenne des droits de l'homme a statué que la critique de Mahomet constituait une incitation à la haine, ce qui signifie qu'en Europe, critiquer Mahomet n'est plus protégé par la liberté d'expression.
Cependant, ce que la cour a réellement fait, c’est d’exclure la possibilité de tout débat auquel pourraient participer divers experts et membres du public. Il semble maintenant que les seuls points de vue qui seront respectés dans le forum public soient ceux des musulmans fervents.
Le mariage des mineurs est considéré par certains pays comme un abus sexuel ou un viol légal, mais il est acceptable en vertu de la charia; elles ont également lieu dans des communautés musulmanes de pays occidentaux tels que le Royaume-Uni. Cela seul est une des principales raisons pour lesquelles il faut trouver des plates-formes pour débattre de la question au lieu de la dissimuler de manière choquante. L'ignorer est offensant.
De plus, comme certains musulmans sont souvent offensés par de petites choses concernant leur religion, comme un ours en peluche nommé Mohammad ou un prisonnier condamné à mort déclaré innocent, de sorte que des foules descendent dans la rue pour condamner, voire tuer, ces individus. - Qu'est-ce qui ne sera pas censuré en Occident?
En vertu de la loi islamique sur la charia, des déclarations que même quelques personnes peuvent considérer comme blasphématoires, telles que de jeunes écoliers nommant un ours en peluche Mohammad, un nom assez commun au Soudan, pourraient être traitées comme des infractions pénales. (Source de l'image: Maxpixel)
Il y a bien sûr des contextes sociaux où il est avantageux de regarder ses mots. Dire que vous aimez l'apparence de la nouvelle petite amie d'un mafieux pourrait bien s'avérer fatal. Passer du temps avec un groupe de terroristes du Hamas tout en exprimant votre amour pour Israël pourrait ne pas conduire à votre décès prématuré. À Londres aujourd'hui, les jeunes hommes qui font des remarques ou jouent de la musique avec d'autres jeunes de la rue peuvent être poignardés à mort. Un récent commentaire sur le site Internet de The Independent affirme: "Dans ce pays [Royaume-Uni], certaines opinions, quelle que soit leur validité et leur logique, peuvent donner lieu à des actes allant de la réprimande publique à la perte d'un emploi, à la violence".
La plupart du temps, nous apprenons à éviter les mots ou les actions pouvant offenser quelqu'un ou un groupe, en particulier s'il est avéré que ce dernier est sujet à la violence. Pourtant, ces malheurs sont rares et nous vivons notre vie en partant du principe que dans les pays démocratiques, nous pouvons parler librement dans le respect des normes de la société civile. Nous reconnaissons que dans de nombreux pays, les propos haineux racistes, homophobes, antisémites ou "islamophobes" peuvent être signalés à la police et conduire à l'arrestation et au procès éventuel du locuteur. Le premier amendement à la Constitution des États-Unis protège leurs citoyens des poursuites pour liberté d'expression, sauf en cas de menace crédible d '"action imminente et illégale".
Si des échanges fâchés ont lieu, ils ne sont que la conséquence de la vie dans des pays où la liberté de parole et l’opinion libre sont chéries. Nous avons vu ce qui se passe dans des pays où il n'y a pas de liberté d'expression - comme l'Union soviétique ou le Pakistan actuel (ici, ici et ici); ce n'est souvent pas joli et dans la plupart des pays occidentaux, on considère qu'il vaut la peine de faire un compromis.
RépondreSupprimerDes sensibilités particulières entourent des idées religieuses et des histoires. Nulle part cela n’est plus évident aujourd’hui que dans le cas de l’Islam, où rien n’est fâcheux, en particulier des affirmations que même quelques personnes peuvent considérer comme blasphématoires - par exemple de jeunes écoliers nommant un ours en peluche Mohammad, un nom assez courant au Soudan - pourrait être traité comme une infraction pénale. En Occident, dans les États démocratiques laïques, la plupart des églises ne paraissent heureusement plus intéressées au contrôle de questions telles que le blasphème. Quand j'habitais la République d'Irlande dans les années 1960 et au début des années 1970, l'Église catholique exerçait une emprise sur la société. Les livres ont été interdits, notamment par James Joyce, D.H. Lawrence et tous Sigmund Freud. Les films et les pièces de théâtre ont également été interdits ou censurés. L'interdiction intolérante des catholiques qui étudiaient au Trinity College de Dublin perpétuait l'injustice. Depuis les années 1960, cependant, nous avons maintenant le mariage homosexuel, le droit des femmes à l'avortement et un Taoiseach (Premier ministre) ouvertement gay. Cette année, le 6 octobre, une majorité d'Irlandais a voté par référendum en faveur de l'abolition de la loi sur le blasphème inscrite dans sa constitution depuis 1937. Le pays s'est remarquablement libéralisé.
Ironiquement, alors que la loi irlandaise de 2010 sur le blasphème était encore techniquement en vigueur (bien qu'elle n'ait jamais été appliquée), l'Organisation de coopération islamique (OCI) composée de 56 États, composée de 56 États essentiellement musulmans et "Palestine" - l'a citée en 2009 lors d'une tenter d'imposer une loi internationale sur le blasphème à l'ONU. En 2009 également, le gouvernement avait adopté une nouvelle loi irlandaise sur la diffamation, qui contenait une définition complète de la loi sur le blasphème (celle abolie cette année). Ce vote a eu lieu lors d'une réunion du comité pour la 13e session du Conseil des droits de l'homme des Nations unies. La proposition, faite par le Pakistan au nom de l'OCI, utilisait la définition irlandaise:
38.1 Les États parties interdisent légalement par la loi la formulation de tout propos extrêmement abusif ou insultant en rapport avec des sujets tenus sacrés par toute religion, ce qui indigne un nombre considérable d'adhérents parmi les adeptes de cette religion.
Nous ne savons pas si la principale motivation de l'OCI venait moins d'une préoccupation pour les religions que les musulmans pourraient considérer comme totalement fausse, abrogée et inférieure, comme le judaïsme ou le christianisme, ou davantage d'une préoccupation selon laquelle personne ne devrait être autorisé à critiquer l'islam.
En tout état de cause, l’Irlande a finalement pris conscience de l’injustice de sa loi sur le blasphème et des torts qu’elle portait à sa réputation grandissante en tant que pays prétendant respecter les droits de l’homme.
Le Centre de recherche Pew a récemment cité des chiffres sur les lois relatives au blasphème dans le monde dans son rapport de 2016 intitulé "Tendances des restrictions globales en matière de religion":
Nous avons constaté que les lois limitant l'apostasie et le blasphème sont plus courantes en Asie de l'Ouest et en Afrique du Nord, où 18 des 20 pays de la région (90 %) criminalisent le blasphème et 14 (70 %) criminalisent l'apostasie. Alors que les lois sur l'apostasie n'existent que dans deux autres régions du monde - l'Asie-Pacifique et l'Afrique subsaharienne - des lois sur le blasphème existent dans toutes les régions, y compris l'Europe (dans 16 % des pays) et les Amériques (29 %).
RépondreSupprimerPeut-être une meilleure façon d'exprimer ses inquiétudes au sujet des lois sur le blasphème est d'énumérer les 30 pays islamiques qui ont de telles réglementations, dont 13 imposent la peine de mort pour l'infraction. Les voici, par ordre alphabétique. Certains offrent la prison à vie. Ceux en caractères gras portent des phrases de mort: *
Afghanistan
Algérie
Bahrein
Brunei
Egypte
Indonésie
Iran
Irak
Jordan
Koweit
Liban
Libye
Mauritanie
Malaisie
Maldives
Maroc
Nigeria
Oman
Pakistan
Territoires palestiniens
Qatar
Arabie Saoudite
Sénégal
Somalie
Soudan
Tunisie
dinde
Emirats Arabes Unis (EAU)
Sahara occidental
Yémen
Avec cette liste troublante en tête, considérons au moins un développement dangereux en Europe. Plus d'un pays occidental a présenté un projet de loi qui autorisera les lois sur le blasphème islamique par la porte arrière. En 2017, le Canada a adopté la motion M-103, considérée comme une loi sur le blasphème de la charia interdisant la liberté d'expression à propos de l'islam. Bien qu’à ce stade, il soit "non contraignant, un de ses partisans, Samer Majzoub, président du Forum musulman canadien et affilié aux Frères musulmans, a écrit:" Maintenant que l’islamophobie a été condamnée, ce n’est pas la fin, mais le début."
La plus récente et la plus flagrante de ces initiatives ne concerne pas un pays, mais la Cour européenne des droits de l'homme, une organisation supranationale et irresponsable, qui rend des décisions exécutoires dans les 57 pays de l'OCI signataires de la Convention européenne des droits de l'homme. Quarante-sept des Etats signataires sont membres du Conseil de l'Europe, ce qui diffère de l'Union européenne des 28 Etats (bien que tous les Etats de l'UE appartiennent également au Conseil).
Il faut également prendre en compte d’autres instances - celles qui ouvrent une autre boîte de Pandore.
Bien que le Conseil de l'Europe se concentre principalement sur le vaste réseau de ses Etats membres, il entretient également des liens étroits avec un grand nombre d'institutions internationales et partage ses activités avec lui. Grâce à une variété de conventions et de traités, il aide à établir des normes juridiques pour ces États, membres et non membres. Ces États non membres comprennent de nombreux pays occidentaux connus, tels que les États-Unis, le Canada, Israël et l'Australie. Ce sont des États dans lesquels les valeurs dans des domaines tels que les droits de l'homme sont étroitement alignées sur celles des États membres européens. Bon nombre des conventions du Conseil concernent les droits de l'homme, la protection de la démocratie et la prévention de l'intolérance raciale et d'autres formes.
Le Conseil de l'Europe collabore également avec divers États musulmans, dont beaucoup figurent sur la liste ci-dessus des pays qui adoptent des lois sur le blasphème. Au minimum, ils incluent l'Algérie, le Liban, la Malaisie, la Mauritanie, le Maroc, le Sénégal et la Tunisie.
RépondreSupprimerLe Conseil a également plusieurs autres conventions sur les droits de l'homme, notamment
La Convention européenne des droits de l'homme
Le Comité européen pour la prévention de la torture
Commission européenne contre le racisme et l'intolérance
La Convention sur la lutte contre la traite des êtres humains
La Convention sur la protection des enfants contre l'exploitation et les abus sexuels (Convention de Lanzarote)
La Convention sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique
Ces positions, ainsi que d'autres, du Conseil de l'Europe s'alignent clairement sur la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 et la développent, et sont solidement fondées sur les valeurs démocratiques occidentales modernes.
Le Conseil a énoncé ses principes relatifs aux droits de l'homme dans sa Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales. L'article 9 de cette convention traite de "la liberté de pensée, de conscience et de religion":
"1. Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; elle inclut le droit de modifier sa religion ou sa conviction et la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, que ce soit seul ou en communauté avec d'autres personnes, en public ou en privé, culte, enseignement, pratique et observance.
"2. La liberté de manifester sa religion ou ses convictions n'est soumise qu'aux restrictions prévues par la loi et nécessaires dans une société démocratique, dans l'intérêt de la sécurité publique, de la protection de l'ordre public, de la santé ou de la morale, ou de la protection de la personne. protection des droits et libertés d'autrui ".
L'article suivant (10) traite de la liberté d'expression. Cela commence:
"Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion, de recevoir et de répandre des informations et des idées sans ingérence de la puissance publique et quelles que soient les frontières."
Cependant, sa deuxième partie autorise les restrictions:
"dans l'intérêt de la sécurité nationale, de l'intégrité territoriale ou de la sécurité publique, pour la prévention du désordre ou de la criminalité, pour la protection de la santé ou de la morale, pour la protection de la réputation ou des droits d'autrui."
Le Protocole 6 de la Convention concerne l'abolition de la peine de mort, qui concerne certains des États islamiques susmentionnés. Le protocole de l'article 1 stipule que: "La peine de mort sera abolie. Nul ne sera condamné à une telle peine ni exécuté."
Compte tenu de ces faits, il est important de regarder ce qui s’est passé le 25 octobre de cette année lorsque la Cour européenne des droits de l’homme a rendu son verdict dans une affaire impliquant une Autrichienne, Mme S., probablement Elisabeth Sabadtisch-Wolff, et Elle a interjeté appel devant la cour pour protéger son droit à la liberté de parole pour une question délicate mais factuellement exacte concernant le prophète Mahomet.
Il n’y a pas de place ici pour un récit complet de la femme en question, mais les lecteurs peuvent consulter les détails du Soeren Kern ici et ici. Cela revient à dire que Mme Sabaditsch-Wolff avait donné des séminaires sur l'islam au cours desquels elle avait attiré l'attention sur le fait bien établi que Muhammad avait épousé une de ses onze épouses officielles, A'isha, à l'âge de six ans, et consommé. le mariage quand elle avait neuf ans. Il aurait apparemment continué à avoir des relations sexuelles avec elle jusqu'à sa mort en 632, alors qu'elle aurait eu dix-huit ans.
RépondreSupprimerSabaditsch-Wolff aurait été rapporté aux autorités pour avoir prétendu que Mahomet "aimait le faire avec des enfants. A 56 ans et à 6 ans ? ... Comment appelons-nous cela, si ce n'est pas de la pédophilie ?" . Elle a été arrêtée et jugée de 2009 à 2011, condamnée pour "dénigrement de convictions religieuses d'une religion reconnue par la loi", condamnée à une amende de 480 € (625 $) et menacée de trois mois de prison. Elle a fait appel à la cour d'appel provinciale de Vienne, qui l'a rejetée. Elle a finalement interjeté appel devant la Cour européenne des droits de l'homme. Ce tribunal, qui a publié un rapport le 25 octobre 2018, a statué que la critique de Mahomet constituait une incitation à la haine - ce qui signifie qu'en critiquer Mahomet n'est plus protégé en Europe. Dans leur jugement, les juges ont écrit que la diffamation de Mahomet "va au-delà des limites permises d'un débat objectif" et "pourrait susciter des préjugés et mettre en péril la paix religieuse".
Le jugement aura un impact négatif permanent non seulement sur Sabaditsch-Wolff, qui conservera un casier judiciaire pour le reste de sa vie, ce qui entraînera de graves conséquences pour sa carrière et d’autres sujets, mais également pour tout l’Occident. Il a certainement interdit à elle et à d’autres d’exercer leur droit à la liberté d’expression revendiqué dans la Convention du Conseil de l’Europe.
À l'instar de la CEDH, on pourrait affirmer que Sabaditsch-Wolff a exprimé ses inquiétudes quant à la sexualité de Mahomet sans accorder toute l'attention requise au contexte historique et culturel dans lequel s'est déroulé son mariage avec A'isha. La CEDH a bel et bien argumenté cela. La CEDH a cité le jugement des tribunaux autrichiens:
"Les juridictions nationales ont conclu que Mme S. avait subjectivement qualifié Muhammad de pédophilie comme sa préférence sexuelle générale et qu'elle n'avait pas informé de manière neutre son auditoire du contexte historique, ce qui ne permettait par conséquent pas un débat sérieux sur cette question."
Cependant, ce que la cour a réellement fait, c’est d’exclure la possibilité de tout débat auquel pourraient participer divers experts et membres du public, afin d’échanger des vues sur un sujet clairement controversé et non résolu. Il semble maintenant que les seuls points de vue qui seront respectés dans le forum public soient ceux des musulmans fervents.
La décision de la CEDH aura aussi, malheureusement, un impact encore plus grand en Europe et dans le monde. L'auteur actuel, contrairement à Sabaditsch-Wolff, est titulaire d'un doctorat en études islamiques et en langues.
Si je devais me référer aux textes arabes originaux des traditions sacrées (ahadith) dans lesquels l'histoire du mariage de Muhammad et de ses relations sexuelles avec A'isha - des textes officiellement tenus pour exacts par tous les musulmans sunnites - pourrais-je aussi maintenant être mis en procès pour la même infraction ? Ou si je devais écrire un article donnant des détails sur la quarantaine de personnes assassinées pour avoir insulté le prophète sur les ordres directs de Mahomet ou dont les assassinats avaient été approuvés par lui ? Et si, dans l'article, j'ajoutais également des commentaires sur ce que cela pourrait indiquer, étayés par un chapitre et un vers des histoires et des traditions sacrées musulmanes qui les enregistrent, si je devais alors être traduit devant un tribunal, condamné à une amende ou envoyé en prison ?
RépondreSupprimerNul universitaire ou citoyen averti ne pourra-t-il rien dire à propos de Mohammed à l'avenir, ou est-ce que cela sera désormais légalement interdit ? De plus, comme certains musulmans sont souvent offensés par de petites choses concernant leur religion, comme un ours en peluche nommé Mohammad ou un prisonnier condamné à mort déclaré innocent, de sorte que des foules descendent dans la rue pour condamner, voire tuer, ces individus. - Qu'est-ce qui ne sera pas censuré en Occident ?
On pourrait penser que les préférences sexuelles de Mahomet sont d’intérêt purement historique, mais dans de nombreux pays musulmans, l’âge approprié du mariage est déterminé, non pas selon les normes de la CEDH ou d’autres instances internationales, mais bien sur la base de la volonté ferme. les traditions sacrées établies qui aident à former la base, aux côtés du Coran et des hadiths, de la loi de la Charia. Dans de nombreux pays, les enfants mariées sont encore monnaie courante, souvent dans les mariages forcés - comme par exemple ici, ici, ici et ici.
Dans certains pays musulmans, tels que le Yémen, les mariages précoces ne sont pas rares et peuvent être justifiés par les relations sexuelles de Mohammed avec A'isha à l'âge de 9 ans. Les mariages avant l'âge légal, considérés par certains pays comme des abus sexuels ou des viols légaux, en vertu de la charia, sont également acceptables dans les communautés musulmanes de pays occidentaux tels que le Royaume-Uni. Cela seul est une des principales raisons pour lesquelles il faut trouver des plates-formes pour débattre de la question au lieu de la dissimuler de manière choquante. L'ignorer est offensant.
Comme indiqué précédemment, l'Organisation de la coopération islamique tente depuis des années de persuader le Conseil des droits de l'homme des Nations unies d'adopter une loi générale sur le blasphème qui bloque tout ce qui est jugé par quelqu'un qui critique une seule religion, à savoir l'islam.
Il y a quelques semaines, la République islamique du Pakistan a informé les Nations unies d'une initiative en faveur d'une campagne internationale visant à criminaliser les critiques de l'islam.
Cette année, un tribunal occidental des droits de l'homme, important et influent, nous a montré un avenir potentiel. Il n’est pas difficile d’imaginer que l’OCI envisage déjà de faire de la CEDH un organisme de choix pour présenter officiellement la loi tant convoitée depuis longtemps: «diffamation de la religion», ce qui signifie une seule foi, l’islam. Il ne semble pas y avoir de plans pour arrêter de critiquer les chrétiens ou les juifs, le christianisme ou le judaïsme. Si la CEDH jette les bases de la censure universelle, combien de temps faudra-t-il avant que le Conseil des droits de l'homme des Nations unies, soumis aux pressions de ses États membres islamiques, ne soit accepté ?
J'ai déjà écrit sur cette menace possible pour nous tous:
RépondreSupprimerLa principale menace qui pèse aujourd'hui sur la liberté d'expression provient d'une combinaison de censure islamique radicale et de rectitude politique occidentale ... [N] ous sommes libres de demander des comptes pour toutes les religions, du christianisme à la scientologie, du judaïsme au culte de notre choix ....
Cela était également possible avec l'islam ... Mais de nombreux organismes musulmans - notamment l'Organisation de coopération islamique (OCI) composée de 57 États membres - travaillent d'arrache-pied depuis des années pour faire de l'islam la seule religion. , système politique et idéologie du monde qui ne peuvent pas être remis en question en toute impunité. Ils ont essayé - et réussissent à bien des égards - de cantonner l’islam en tant que credo au-delà de toute critique, tout en se réservant le droit de condamner des chrétiens, des juifs, des hindous, des démocrates, des libéraux, des femmes, des homosexuels ou toute autre personne. langage souvent vil, voire violent. Si quelqu'un dit quelque chose qui leur semble irrespectueux de sa foi, il sera immédiatement déclaré «islamophobe».
À peine deux ans et demi plus tard, cela pourrait bientôt se produire. Nous devons prendre des mesures collectives rapides pour lutter contre cette mort et contre la liberté d'expression que de telles initiatives posent aux libertés que nous respectons à l'Ouest et auxquelles aspirent tant de millions d'autres personnes.
https://www.zerohedge.com/news/2018-12-13/european-court-human-rights-blasphemy-laws-where-word-out-place-can-cost-your-life
Après l'interdiction de critiquer ce qui existe arrive... l'interdiction de critiquer ce qui n'existe pas !!!
Supprimer* Liste des pays invités à envahir l'Europe, de réduire toutes femmes à l'état de chiennes et d'hommes excisés ! Offre (tout frais payés de voyage et d'établissement en pays d'accueil) signée les 10 & 11 Décembre 2018 à Marrakech au Maroc par la France (entr'autres) !!!
Critiquer la politique d'accueil de Merkel devient punissable
RépondreSupprimer14 DÉCEMBRE 2018
Dominique Dewitte
Les médias qui critiquent la migration de masse risquent de perdre leurs subventions à l'avenir.
C'est ce que l'on peut lire dans le pacte de migration signé plus tôt cette semaine par 148 pays à Marrakech. Bien que les signataires - y compris la Belgique - insistent sur le fait que le pacte est non contraignant, rien n'empêche les mêmes pays de mettre en œuvre certaines parties de celui-ci dans un deuxième temps et de légiférer.
Plusieurs journalistes s'interrogent sur "l'objectif N°17" du pacte sur les migrations. L'objectif vise à promouvoir un "reporting indépendant et objectif" sur les migrations. Par exemple, il est menacé de «mettre fin aux subventions aux médias qui promeuvent systématiquement le racisme, la xénophobie, l'intolérance et d'autres formes de discrimination à l'égard des migrants». Mais qui déterminera quels «racisme systématique, xénophobie, intolérance et autres formes de discrimination» à l'égard des migrants sont corrects ?
Une clause du pacte sur les migrations signé à Marrakech, qui prévoit de sanctionner les médias critiques à l'égard des politiques d'accueil des migrants
Quiconque s'oppose à la migration clandestine doit être diabolisé
Selon le géopolitiste français Alexandre del Valle, cet objectif a pour objectif de diaboliser les intellectuels, journalistes et hommes politiques inquiets des migrations incontrôlées qui préconisent une réduction ou la cessation du soutien financier apporté aux migrants clandestins.
Selon le pacte sur les migrations, il est essentiel de "promouvoir une information indépendante, objective et de qualité, y compris sur Internet". Une proposition d'autant plus ironique, écrit del Valle, que c'est grâce à Internet que le débat sur le pacte a éclaté, ce qui a provoqué une polémique dans différents pays : la Belgique, mais aussi l'Italie, l'Autriche, la Suisse, la Viségrad, ... "Certains de ces pays se sont depuis retirés du pacte.
Les rédacteurs du pacte et leurs alliés politiques sont également déterminés à "sensibiliser les professionnels des médias aux questions de migration et à la terminologie afférente". "Une contradiction flagrante", écrit Del Valle, "car comment un débat sur la migration peut-il être conduit de manière objective si le corps journalistique doit d'abord être sensibilisé pour utiliser une "terminologie positive sur la migration" ?
Toute critique de la migration de masse devient impossible
Un point qui avait été précédemment cité par le député néerlandais Marcel de Graaff (PVV). "Un élément fondamental de cet accord est l'extension de la définition de la propagande haineuse. L'accord veut criminaliser la propagande haineuse. Les médias qui critiquent la migration peuvent être fermés. [...] Quiconque voudra critiquer la politique d'accueil de Mme Merkel risque d'être condamné à l'emprisonnement pour propagande haineuse. Toute critique de la migration de masse devient impossible."
https://fr.express.live/2018/12/14/critiquer-la-politique-daccueil-de-merkel-devient-punissable
La dictature en place prête à condamner (à mort ?) la Suisse et les États-Unis (entr'autres) pour avoir refusé d'accueillir des terroristes ('réfugiés climatique') sur leur sol !
SupprimerNoel rouge à venir.
#MeToo et Wall Street : Éloignez-vous des femmes à tout prix
RépondreSupprimer14 DÉCEMBRE 2018
Arnaud Lefebvre
Les bouleversements engendrés par le mouvement #MeToo suite aux nombreuses accusations de harcèlement sexuel dans le monde du cinéma, dans le secteur des technologies et dans le sport, touchent également Wall Street, expliquent Gillian Tan et Katia Porzecanski, spécialistes financiers à l'agence de presse Bloomberg. Toutefois, ce phénomène est susceptible de rendre plus difficile la vie des femmes dans ce secteur.
A Wall Street, sous l'influence du mouvement #MeToo, les hommes font dorénavant preuve de plus de prudence dans leurs relations avec les femmes. "Finis les dîners avec des collègues féminines. Ne vous asseyez plus à côté d'elles en avion. Réservez des chambres à différents étages et évitez les rencontres lorsqu'elles sont seules", expliquent Gillian Tan et Katia Porzecanski.
"Le simple fait d'embaucher une femme de nos jours comporte un risque inconnu car celles-ci pourraient mal interpréter quelque chose qu'un homme a dit. Ainsi, les discussions individuelles avec les femmes sont totalement évitées."
Allégations
Tous les secteurs de la société sont touchés par le mouvement #MeToo". Partout dans le monde, des hommes ont décidé d'agir avec plus de réticence à l'égard des femmes, de manière à ne pas être la cible d'allégations de comportement sexuel inapproprié. Les hommes contrôlent leur comportement au travail face à ce qu'ils considèrent comme une attitude politiquement correcte déraisonnable.
Toutefois, à Wall Street, ce phénomène peut avoir des conséquences plus graves. En effet, les femmes sont rares aux plus hauts niveaux et cela risque de s'aggraver sous l'influence du mouvement #MeToo.
Le monde de la finance adopte depuis longtemps une culture qui le protège des plaintes de harcèlement des tribunaux et de l'opinion publique. Jusqu'à présent, le secteur a également pu éviter les grands scandales qui ont touché plusieurs autres industries. Toutefois, sous l'influence du phénomène #MeToo , Wall Street risque de devenir encore plus un club d'hommes que par le passé.
Ces changements peuvent être subtils mais insidieux. Par exemple, une femme peut être exclue des rencontres informelles après le travail, laissant ainsi ses collègues masculins nouer des liens avec un patron.
"Ce phénomène peut finalement ralentir la carrière professionnelle des femmes", avertissent Tan et Porzecanski. Etant donné la prédominance masculine dans les principaux postes de Wall Street, l’une des conséquences les plus significatives pour les femmes est la perte de mentors masculins qui peuvent les aider à gravir les échelons.
Discrimination
"Il est difficile qu'une relation comme celle-là se développe si la personne âgée n’est pas disposée à passer du temps en tête-à-tête avec une personne plus jeune. En outre, il n’y a pas assez de femmes occupant des postes de responsabilité pour soutenir la prochaine génération de femmes évoluant seules", a déclaré Lisa Kaufman, directrice générale de LaSalle Securities.
Stephen Zweig, spécialiste du droit du travail au cabinet Ford Harris, affirme qu'il existe un danger pour les entreprises où l'on assiste à un rejet de la part des collègues masculins. En effet, si les hommes évitent de travailler ou de voyager seuls avec des femmes ou cessent de les encadrer de peur d'être accusés de harcèlement sexuel, ils hommes pourraient être accusés de discrimination sexuelle.
Cependant, pour d'autres, il ne s'agit pas vraiment d'un problème. "Cela revient simplement à adopter un comportement approprié. Ce n'est pas si difficile", explique Ron Biscardi, directeur général de Context Capital Partners.
https://fr.express.live/2018/12/14/metoo-et-wall-street-eloignez-vous-des-femmes-tout-prix
C'est vraiment une honte que de vouloir tout faire pour séparer les hommes des femmes, insérer la crainte et l'animosité comme il en est en islam où les femmes sont considérées comme moins que des chiennes et, de plus, d'accepter qu'il y ait des travelos (tapettes) déguisées en femmes !!! allant jusqu'à officialiser les mariages entre gouines comme entre pédés !!
SupprimerCollection des faits du 11 septembre
RépondreSupprimer9 / 11evidence.org
14 décembre 2018
Événements du 11 septembre 2001 - Faits fondés sur des preuves
Résumé des faits les plus crédibles
Mettre l'accent sur la recherche universitaire et scientifique
Beaucoup publiés dans des revues avec comité de lecture
DERNIÈRE: Le 10 avril 2018, le Lawyers Committee for 9/11 Enquête a adressé au procureur américain du district sud de New York une requête en justice tendant à ce qu'un grand jury examine les preuves de la destruction des bâtiments du World Trade Center le 9 / 11
La pétition de 52 pages, accompagnée de 57 pièces à conviction, indique: «Le Comité des avocats a examiné les preuves disponibles. . . et est parvenu à un consensus sur le fait qu’il n’existait pas uniquement des preuves substantielles ou convaincantes de crimes encore inexploités liés à l’utilisation d’explosifs et / ou d’incendiaires pré-plantés pour détruire les WTC1, WTC2 et WTC7 à New York le 9 / 11, mais il existe en fait des preuves concluantes de la perpétration de tels crimes fédéraux ... Le comité des avocats déclare sans équivoque que les preuves ne permettent aucune autre conclusion - sur le plan scientifique, sur le plan de la logique et du droit. "
«Grandes enquêtes du jury sur l’effondrement des tours jumelles du WTC et du bâtiment sept», Global Research, avril 2018
Pétition du grand jury - Résumé et document complet, Comité des juristes pour l'enquête du 11 septembre
-
introduction
Le 11 septembre 2001, un troisième immeuble du World Trade Center, le WTC 7 (47 étages) s'est également complètement effondré quelques heures après les WTC 1 et 2. Cet immeuble n'a pas été touché par un avion et des incendies se sont produits à certains étages.
L'effondrement était soudain, symétrique et à une accélération en chute libre (confirmée officiellement par le NIST). Cela signifie que le bâtiment s'est effondré sur le chemin de la plus grande résistance (lui-même) sans aucune résistance (chute libre).
Selon les lois de la physique, ceci est compatible avec une démolition contrôlée. La planification et la mise en place d'une démolition contrôlée prennent des semaines, voire des mois, et nécessitent un accès illimité grâce à la sécurité des bâtiments.
World Trade Center Building 7 (WTC 7) Collapse Vidéos (1:06) *
La troisième tour à s'effondrer le 9/11 et n'a pas été touchée par un avion
Parmi les autres faits de la journée, on peut citer
La découverte de l'explosif nanothermite dans la poussière du bâtiment du WTC
Des températures extrêmes pouvant atteindre 2 760 ° C (5 000 ° F) par rapport à une température maximale possible de 1 000 ° C (1 800 ° F) pour les incendies de bureaux allumés par du carburant
Diverses formes de métal en fusion
Nombreux témoignages d'explosifs de premiers répondants
Analyse sismique indiquant des événements explosifs avant l’impact de l’avion et avant l’effondrement des bâtiments et
Éjection horizontale de fragments d'os humain.
Ces faits sont en contradiction avec l'explication officielle et sont tous compatibles avec l'hypothèse de démolition contrôlée.
Le rapport de la Commission du 11/9 ne mentionnait pas le WTC 7. L'enquête du NIST déclara qu'un "nouveau phénomène" s'était produit lorsqu'un immeuble de grande hauteur s'était effondré sous l'effet d'un incendie - une première dans l'histoire des incendies d'immeubles de grande hauteur où aucun bâtiment n'a jamais été complètement construit. s'est effondré à cause d'un incendie, avec de nombreux exemples d'incendies beaucoup plus importants et plus durables.
RépondreSupprimerDe nombreux problèmes liés aux enquêtes officielles ont été rapportés, y compris les commissaires du 11/9 affirmant qu’ils n’ont pas découvert la vérité (voir Enquêtes officielles).
D'autres faits incluent:
Anomalies significatives de la défense aérienne
Un ordre de stand-down de la défense aérienne
Plusieurs jeux de guerre se déroulant simultanément et directement liés à l'événement
Comptes suspects des activités de plusieurs responsables
Preuve de la complicité des agences gouvernementales et
Délit d'initié confirmé au cours des jours précédents.
Ces faits proviennent de sources crédibles, notamment de nombreux articles scientifiques et universitaires publiés dans des revues à comité de lecture (voir Faits fondés sur des preuves).
Il existe également un contexte historique pertinent qui comprend:
«Opération Northwoods» - un plan américain antérieur visant à orchestrer de manière trompeuse le terrorisme violent dans les villes américaines et à en imputer la responsabilité à l'ennemi comme justification de la guerre - opération «sous faux drapeau»
Un plan américain pour envahir 7 pays en 5 ans
Le projet pour un nouveau siècle américain appelle à un «nouvel événement à Pearl Harbor» pour étendre la supériorité mondiale des États-Unis
La fabrication d'une menace externe pour un gain politique
La justification fabriquée de la guerre en Irak
Un modèle de fabrications pour l'engagement américain dans la guerre
Le terrorisme domestique créé par le gouvernement américain
Soutien américain au terrorisme international
Une histoire de terrorisme sous faux drapeau par les gouvernements
Une histoire des «crimes d’État contre la démocratie» des États-Unis et
Bush, Cheney et Rumsfeld reconnus coupables de crimes de guerre.
Voir le contexte historique.
Il existe des explications crédibles sur les raisons pour lesquelles nous, occidentaux, résistons à cette information, notamment un "tabou culturel" sur de possibles "théories du complot" (voir Psychologie).
Parmi les personnes crédibles qui ont pris la parole figurent:
Ferdinando Imposimato – Honorary President of the Supreme Court of Italy
RépondreSupprimerDr. Tun Mahathir Mohamad – former Prime Minister of Malaysia
Dr. Paul Craig Roberts – former Assistant Secretary of the US Treasury and former Associate Editor of the Wall Street Journal
Bill Christison – former senior CIA National Intelligence Officer and Director of the CIA’s Office of Regional and Political Analysis
Plus a catalog of more than 1000 public statements by credible people (see Credible Statements).
A selection of evidence-based resources for further information is provided (see Resource List).
Reprinted from 9/11Evidence.org.
https://www.lewrockwell.com/2018/12/no_author/9-11-facts-collection/