« Aujourd’hui, la Russie n’a jamais été aussi riche. Écoutez ce matin, Eric de Riedmatten (Ndlr : journaliste économique) qui rappelle les sommes absolument faramineuses que gagne la Russie depuis six mois :
« Depuis le mois de janvier, comme les prix du pétrole ont montée ; et bien la Russie a encore engrangé des bénéfices records. Je vous donne un chiffre : 97 milliards de dollars entre janvier et juillet. 97 milliards de dollars, grâce au pétrole. »,
« En plus ? »
« Grâce au pétrole et au gaz. Alors que le pétrole, ça représente 74 milliards, ça a pratiquement progressé de 50% sur la même période qu’avant […] ».
« Donc, elle croule sous le cash. »
« […] on se souvient des déclarations de Bruno Le Maire (Ndlr : Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique). Je n’ai rien contre Bruno Le Maire mais… manifestement son analyse n’était pas la bonne. C’est ennuyeux quand même. »
« Pas franchement un prophète. »
« Écoutez ce qu’il disait, il y a quelques jours. »
« Les sanctions économiques et financières sont même d’une efficacité redoutable. Et je ne veux laisser planer aucune ambiguïté sur la détermination européenne sur ce sujet. Nous allons livrer une guerre économique et financière totale à la Russie. Nous allons donc provoquer l’effondrement de l’économie russe. »
« […] personne n’en parle d’ailleurs. C’était dans le Wall Street Journal. Peu de gens parlent que la Russie n’a jamais été aussi riche ; parce que ça ne répond pas à la bonne idéologie du moment. »
« […] Nous, on a une vision très franco-française ou européenne et en fait, on n’imagine pas un instant que la Russie puisse avoir d’autres clients que nous. C’est ça qui est complétement dingue ! »
« L’Ukraine reste encore client de la Russie. »
« Pendant qu’on annonce ces excédents stratosphériques de la Russie ; en France, on parle rationnement, on parle guerre… Donc, qu’est-ce qu’ils vont nous faire […] »
« Alors, écoutez c’est drôle ce que vous dites, vous remplacez Covid […]. C’est les mêmes mots, c’est les mêmes éléments de langage […] »
« …l’opinion publique, on l’a vue avec le Covid, elle est anesthésiée. Elle est anesthésiée ! »
« […] non pas, malgré les sanctions ; mais à cause des sanctions, grâce aux sanctions… qui ont fait monter les prix en déchaînant la spéculation des marchés […] »
« Mais alors donc, on se serre la ceinture, on risque de connaître pénurie et rationnement pour rien, c’est ça ? Ecoutez, j’aimerais bien vous dire le contraire Yves mais oui ! Les sanctions que nous payons chers avec l’inflation […] »
« C’est ça, moi qui m’ai surpris depuis le début… c’est que, encore une fois, les chiffres étaient là. On sait très bien que la Russie est le premier exportateur mondial de gaz, premier exportateur mondial de blé, deuxième exportateur mondial de pétrole… donc ça on le savait avant ! Donc, c’est ça qui est un peu surprenant. Aujourd’hui, on le ‘découvre’. Bien ça, c’est embêtant ! C’est-à-dire qu’on va avoir des difficultés à s’équiper en énergies, etc… […] »
« Alors en revanche, on va recevoir du gaz d’Azerbaïdjan. Le problème, c’est que ce pays-là en produit assez peu ; du pétrole, oui certes ! Bakou est une des plaques tournantes pétrolière. En revanche, pour le gaz, l’essentiel vient par un… gazoduc russe. Oui, oui, oui ! Le gaz azéri vient de Russie. Et puis là où vous allez vous demander si ce n’est pas un véritable gag : les quantités que l’Azerbaïdjan s’apprête à livrer ; en fait, ces quantités ne seront disponibles qu’une fois modernisée, augmentée […], c’est-à-dire dans dix ans ! »
« Tiens, au fait le GNL (Ndlr : gaz naturel liquéfié) arrivé par bateaux… il vient de Chine mais… Oups, ce gaz liquéfié en chine… à l’origine, il vient de Russie. Mais oui et vous avez compris qu’on touche au sublime, puisque maintenant effectivement, on importe du gaz russe par pays interposés, auxquels on laisse une marge de 30 %. »
« […] Le problème, c’est que tout le peuple est entraîné dans cette maladie mentale via les médias mainstream, via cette propagande de fou qu’on nous inflige. Une propagande qu’on nous martel à longueur de journée sur ces médias d’information et les gens gobent et répètent ce qu’ils entendent. Ils ne réfléchissent plus. Il n’y a plus si vous voulez, cette épaisseur de réflexion qui leur permet de prendre de la distance par rapport à tous ces médias. […] »
« […] malgré tous ces éléments factuels, ces observations que les économistes sont obligées de faire, je ne suis pas sûr que les Français comprennent. On sait et on connaît leurs couches de conneries, leurs couches d’imbécillités. On le voit, on l’a vu avec les masques. Dernièrement, je voyais encore une personne avec son masque en pleine campagne… dans mon village, il n’y a personne […] »
« […] ça s’appelle, je ne sais pas : la schizophrénie, maladie mentale. […] prenant des décisions contre-productives sans arrêts […]. Fréquemment, toutes les décisions qui sont prises sont autodestructrices […]. La situation terrible de la manière dont nous sommes pilotés par ses élites. […] »
PÉTROLE : L'OPEP+ REFERME LES VANNES POUR GARDER DES PRIX ÉLEVÉS
par PAOLO GAROSCIO 06/09/2022
Le prix du baril de Brent est d'environ 95 dollars mardi 6 septembre 2022 avant l'ouverture de la Bourse de Paris.
Le prix élevé du pétrole en Bourse et donc des carburants est, certes, lié à la reprise de l’économie post-Covid-19 et à la guerre en Ukraine ayant créé des tensions internationales, mais aussi lié à une volonté unilatérale de l’OPEP+, le Cartel du Pétrole. Ce dernier a d’ailleurs décidé de réduire la production, jugeant que le prix du brut pourrait trop chuter…
L’OPEP+ retire 100.000 barils de pétrole par jour du marché
Lors de la réunion de l’OPEP+, soit les pays de l’OPEP et les dix pays alliés de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, qui s’est tenue le 5 septembre 2022, une décision a été prise : une réduction de la production de brut. Elle interviendra dès octobre 2022 et n’est autre que la première réduction depuis plus d’un an et, surtout, depuis les réductions drastiques liées aux confinements et à la crise sanitaire.
La production journalière de pétrole brut chutera ainsi de 100.000 barils par jour, retombant aux niveaux d’août 2022. Un virage à 180 degrés pour l’OPEP+ qui, au contraire, s’était engagée à augmenter la production régulièrement afin de retrouver les niveaux de production précédant la crise sanitaire, soit les niveaux de 2019.
Garder des prix élevés pour gagner de l’argent
L’objectif de l’OPEP+ est relativement simple : éviter que le prix du baril de pétrole ne chute trop, alors que les craintes sur la croissance économique mondiale font craindre une baisse de la demande. Or, le prix du baril est actuellement proche des 95 dollars pour le Brent, soit entre 20 et 30 dollars de plus que durant l’année 2019. Le Cartel de l'Or noir ne semble pas vouloir se priver de cette manne financière.
Sans surprise, les États-Unis ont fortement critiqué la décision prise par l’Arabie Saoudite et ses alliés : « l'offre d'énergie doit correspondre à la demande pour soutenir la croissance économique et réduire les prix pour les consommateurs américains et à travers le monde », a réagi la Maison Blanche dans un communiqué de presse.
En Bourse, néanmoins, l’annonce de l’OPEP n’a pas créé de panique : malgré une hausse d’un peu plus d'un dollar le baril durant la séance du 5 septembre 2022, le prix est retombé d’autant dans la nuit. Le baril de Brent s’échangeait, à 7 heures du matin le 6 septembre 2022, à 95,06 dollars, contre 88,67 dollars pour le pétrole américain, le WTI.
EXCLUSIF : LE PLAN DU GOUVERNEMENT POUR ÉVITER LES COUPURES D'ÉLECTRICITÉ CET HIVER
par JEAN-BAPTISTE GIRAUD 31/08/2022
Peu de gens le savent, mais Linky tolère jusqu'à 30 % de dépassement de consommation électrique ! Soit près de 9 kVA pour un contrat 6 kVA...
C'est désormais un fait avéré : la France risque de subir des coupures d'électricité cet hiver, car la somme des moyens de production d'électricité français est inférieure de 10 GW aux pics habituels des années précédentes... Pourtant, pour éviter les délestages, le gouvernement dispose d'un plan B quasi messianique, qui devrait être annoncé prochainement.
Et si cette crise était l'occasion d'accélérer le passage au "smart grid", alias "réseau électrique intelligent" ? Un "smart grid" est un réseau de distribution d'électricité communiquant, permettant de réguler au plus juste la production d'électricité en fonction de la demande. Mais avec la crise de l'énergie dans laquelle nous plongeons tête baissée, avec la fin des "temps de l'abondance et de l'insouciance", c'est tout l'inverse qui pourrait être demandé aux réseaux intelligents demain. A savoir, d'ajuster la consommation d'électricité, aux capacités de production !
Ne pensez pas que la différence est purement sémantique. C'est surtout une approche totalement différente. Jusqu'ici en effet, les capacités de production d'électricité progressaient plus vite que la consommation, ou tout au moins, proportionnellement. En fixant pour point haut, à cette capacité de production, les pics de consommation.
Mais aujourd'hui, avec la moitié des réacteurs à l'arrêt, des retenues d'eau mal remplies, et un gaz hors de prix, le "point haut" devient tout simplement impossible à atteindre, et pas seulement en France. Et les capacités d'ajustement, en achetant de l'électricité à nos voisins, frisent l'utopie, avec un MWh vendu 1000 euros, contre 85 euros l'an dernier. Sachant que si les centrales au gaz allemandes n'ont plus de gaz à brûler, même à 10 000 euros le MWh, elles ne pourront plus produire un seul électron.
Linky, le dernier rempart anti délestage ?
Conscient de cette situation, le gouvernement annonce donc que des délestages sont possibles cet hiver, tout en assurant que tout serait fait pour les éviter. C'est pour cela que les articles 33, 34 et 42 de la loi du 16 août 20202 portant mesures d'urgences pour la protection du pouvoir d'achat, prévoient des mesures d'effacement de consommation, mais aussi, la mise à disposition forcée des groupes électrogènes de secours des grosses industries, pour venir au secours d'un réseau électrique à genoux.
Parmi les autres mesures possibles connues, qui précèdent le délestage, prévues en dernier recours, Enedis peut réduire la tension de 5 % sur le réseau électrique national. Une solution technique sans impact sur les appareils électriques et leurs utilisateurs (les œufs au plat mettront plus de temps à cuire, et les téléphones à charger), mais qui permet d'économiser l'équivalent de deux ou trois tranches de réacteurs nucléaires.
En revanche, une mesure n'a pas été évoquée jusqu'ici, alors même que les conditions pour y avoir recours sont réunies pour la première fois : C'est Linky ! Le déploiement du compteur intelligent et communicant Linky, entamé en 2015 -avec sa cohorte de polémiques sur les rayonnements dont il se rendrait coupable, ou encore, sur les atteintes à la vie privée- est en effet quasiment achevé. Au 31 décembre 2021, plus de 9 foyers sur 10 étaient désormais équipés d'un compteur Linky. Et dans le lot des foyers "récalcitrants", une part non négligeable de petits consommateurs, notamment dans des résidences secondaires inaccessibles aux prestataires techniques. lors des campagnes d'installation. Des abonnés pour lesquels le rapport coûts / bénéfices de l'installation d'un compteur Linky, en déplaçant spécialement un technicien pour cela, est faible.
Linky permet d'ajuster la puissance de consommation électrique à distance Or, l'un des atouts du compteur Linky, outre de faire remonter en temps réel la consommation électrique de l'abonné qu'il dessert, c'est qu'il peut être "joint" par l'opérateur de réseau, en l'occurence, Enedis. Un opérateur qui peut, à la demande de l'énergéticien, moduler à distance la puissance maximale délivrée par le compteur ! Auparavant, il fallait déplacer un technicien, qui devait ouvrir le compteur, et déplacer un domino pour changer la puissance du compteur. Aujourd'hui, c'est une simple ligne de commande informatique, sur le contrat de l'abonné, qui module la puissance maximale délivrée par Linky !
Vous l'avez compris : Plutôt que de délester à tour de rôle pendant quelques minutes ou dizaines de minutes des centaines de milliers d'abonnés, il serait plus "simple", en tout cas, beaucoup plus acceptable socialement, de réduire la puissance appelable par tous les abonnés équipés d'un compteur Linky. Si la puissance appelable est garantie par contrat, il ne fait aucun doute qu'en situation d'urgence, celle-ci peut-être réduite unilatéralement par l'énergéticien, ou l'opérateur de transport. Un décret ou une loi devra sans doute l'autoriser expressément dans les semaines à venir, même si les contrats actuels prévoient déjà les situations d'urgence, et exonèrent de responsabilité énérgéticiens et transporteur, quand ils sont dans l'impossibilité de répondre à leurs obligations contractuelles (incendies, inondations, dégâts sur les lignes à la suite d'une tempête, etc).
La tolérance de 30 % des compteurs Linky supprimée ?
La seule part d'inconnue actuelle, c'est la possibilité de réduire plus "finement" les puissances appelables par les abonnés. Actuellement les abonnements proposés sont standardisés : 3, 6, 9, 12, 15 kVA, et plus, pour les grosses installations en triphasé. Des seuils héritiers du temps où la limitation de puissance était physique, et donc, déterminée par un circuit et un composant dédié. Aujourd'hui, c'est un logiciel qui mesure la puissance appelée à un instant T. D'ailleurs, peu de gens le savent, mais un compteur Linky paramétré en 6 kVA peut en réalité délivrer pendant plusieurs heures sans problème jusqu'à 8950 kVA sans disjoncter !
Pour éviter les délestages, Enedis pourrait donc déjà réduire, voire supprimer totalement la tolérance des compteurs Linky, sans déroger aucunement à ses obligations contractuelles. A l'inverse, réduire la puissance appelable des abonnés, en s'en tenant aux seuils 3, 6, 9, 12 kVA, etc, paraît plus compliqué : 7 abonnés français sur 10 ont en effet souscrit à un contrat 6 kVA ! Basculer sur un contrat 3 kVA serait vraiment contraignant, et sous-dimensionné, pour la plupart des usages. 3 kVA, sans tolérance de Linky, c'est en effet la garantie de faire sauter le compteur en allumant deux feux d'une plaque à induction, ou encore en lançant le sèche-linge et le lave-vaisselle en même temps. On ne parle même pas ici de convecteurs électriques...
Autre solution pour Enedis et les fournisseurs d'électricité : écrêter la consommation des gros clients. Ceux des contrats 9, 12, 15 kVA et plus. Des clients auxquels il pourrait être imposé de réduire la puissance maximale appelable de 30 % par exemple, sans que cela ne nuise (trop) à leur usage de la fée électricité. Un abonné titulaire d'un contrat 12 kVA, un classique pour quiconque se chauffe à l'électricité, serait alors contraint de se contenter de 9 kVA maximum. Il pourrait pourtant continuer à chauffer les pièces principales de son logement, et faire la cuisine à l'électricité en même temps. A charge pour lui de reporter ses consommations décalables (lave-linge, lave-vaisselle, sèche-linge) la nuit, sachant que le plus souvent, la production d'eau chaude sanitaire se fait déjà pendant les heures creuses pour ces clients gros consommateurs d'électricité.
On le voit, l'hypothèse "Linky" permettrait de gérer la crise énergétique qui est devant nous avec beaucoup plus de finesse, voire même de poser les bases d'un vrai futur réseau électrique intelligent. Car dans un vrai réseau électrique intelligent, les appareils gros consommateurs d'énergie se mettent en marche tout seuls, en fonction de la puissance disponible sur le réseau. Mais pour cela, c'est tout notre électroménager qu'il faudra remplacer (ou adapter), afin de le rendre compatible avec les "ordres" envoyés sur le réseau électrique... En 2022, les Français n'y sont sans doute pas prêts. Mais qui sait, l'an prochain ?
"Dites-nous de quoi vous avez besoin et nous vous dirons comment vous en passer !" (Coluche).
Rappelez-vous bien: Linky c'est UNE MERDE ! C'est la wifi qui peut être piratée par n'importe qui ! Recevez une facture de 10 000 euros ! Payez d'abord et contestez en suite !
La Russie admet la militarisation du gaz et interrompt les expéditions de NS1 "jusqu'à la levée des sanctions" alors que l'UE se prépare à répondre à la crise énergétique
PAR TYLER DURDEN MARDI 06 SEPTEMBRE 2022 - 11:45
Poutine a fini de jouer.
Deux jours après que la Russie ait interrompu indéfiniment l'approvisionnement en gaz naturel via le gazoduc Nord Stream 1 pour la raison amusante qu'il y avait une "fuite de pétrole".
... lundi, la Russie a finalement admis ce que tout le monde savait depuis février - à savoir qu'elle avait militarisé les matières premières en réponse à la militarisation des monnaies par l'Occident (comme Zoltan Pozsar l'a toujours dit), lorsque le Kremlin a déclaré que l'approvisionnement en gaz de la Russie vers l'Europe via le gazoduc Nord Stream 1 ne reprendra pas complètement tant que «l'ouest collectif» ne lèvera pas les sanctions contre Moscou pour son invasion de l'Ukraine.
Le porte-parole de Poutine, Dmitri Peskov, a blâmé les sanctions européennes, britanniques et canadiennes pour l'incapacité de la Russie à livrer du gaz via le pipeline clé, qui achemine du gaz vers l'Allemagne depuis Saint-Pétersbourg via la mer Baltique.
"Les problèmes de pompage de gaz sont survenus à cause des sanctions que les pays occidentaux ont introduites contre notre pays et plusieurs entreprises", a déclaré Peskov, selon l'agence de presse Interfax. "Il n'y a aucune autre raison qui aurait pu causer ce problème de pompage."
Les commentaires de Peskov étaient la demande la plus sévère à ce jour du Kremlin pour que l'UE annule ses sanctions en échange de la reprise par la Russie des livraisons de gaz sur le continent. Cela confirme également que la Russie n'a plus besoin de prétendre qu'elle a besoin d'exporter des matières premières vers l'Europe - après tout, elle a plus qu'assez de demande en Chine et en Inde - et est disposée à donner à l'Europe juste assez pour s'enchaîner... eh bien, vous connaissez le le repos.
Vendredi, Gazprom a annoncé qu'il interromprait l'approvisionnement en gaz via Nord Stream 1 en raison d'un défaut technique, qu'il a imputé aux difficultés de réparation des turbines de fabrication allemande au Canada. Nous savons maintenant que c'était un homme de paille; et dans la dernière confirmation de qui a le dessus dans la querelle en cours sur les produits de base, l'UE avait déjà annulé certaines sanctions contre la Russie explicitement pour permettre la réparation des turbines. Les dirigeants européens ont déclaré que rien n'empêchait Gazprom d'approvisionner le continent en gaz et avaient accusé la Russie de "militariser" ses exportations d'énergie.
Pendant ce temps, comme nous l'avons signalé ce week-end, la Russie fournit toujours du gaz à l'Europe via des gazoducs de l'ère soviétique via l'Ukraine qui sont restés ouverts malgré l'invasion, ainsi que le gazoduc South Stream via la Turquie. Et dans une tournure ironique, le chef de l'opérateur ukrainien de transit de gaz a déclaré à Reuters que l'Ukraine pourrait "techniquement" remplacer la pleine capacité de Nord Stream 1 via le point d'entrée ukrainien de Sudzha. En d'autres termes, l'Europe paierait des milliards à Poutine pour que le gaz russe transite par l'Ukraine, la Russie utilisant les bénéfices pour combattre l'Ukraine...
Bien sûr, rien dans les "nouvelles" d'aujourd'hui ne devrait surprendre : les responsables russes ont peu caché leur espoir que la crise énergétique croissante en Europe sapera le soutien du bloc à l'Ukraine. "De toute évidence, la vie s'aggrave pour les gens, les hommes d'affaires et les entreprises en Europe", a déclaré Peskov. "Bien sûr, les gens ordinaires de ces pays auront de plus en plus de questions à poser à leurs dirigeants."
Une personne pas si ordinaire était Matteo Salvini, le chef du parti d'extrême droite italien de la Ligue, qui a déclaré que les sanctions occidentales contre la Russie ne fonctionnaient pas et nuisaient en fait à l'Italie, et suggérant que les pays alliés devraient reconsidérer leur approche. S'exprimant lors d'une conférence de dirigeants politiques dimanche sur le lac de Côme, Salvini a affirmé que les sanctions destinées à punir Moscou pour son invasion de l'Ukraine avaient en fait aidé la Russie, entraînant un excédent d'exportation de 140 milliards de dollars, au cours de l'année se terminant en juillet 2022. défendre l'Ukraine ? Oui", a déclaré Salvini. "Mais je ne voudrais pas que les sanctions nuisent davantage à ceux qui les imposent qu'à ceux qui en sont frappés."
L'ancien président russe Dmitri Medvedev a été encore plus explicite que Peskov, et après que le chancelier allemand Olaf Scholz a annoncé dimanche un programme d'aide de 65 milliards d'euros pour atténuer le coup de la flambée des factures énergétiques, Medvedev, désormais vice-président du conseil de sécurité russe, a déclaré que l'Allemagne "agissait en tant qu'ennemi de la Russie » en soutenant les sanctions contre Moscou et en fournissant des armes à l'Ukraine. « Ils ont déclaré une guerre hybride contre la Russie », a écrit Medvedev sur Telegram. "Et ce vieil homme semble surpris que les Allemands aient quelques petits problèmes avec le gaz."
Bien sûr, aucune des deux parties n'étant disposée à revenir sur son approche, quelques instants après les commentaires de la Russie, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a twitté que "Poutine utilise l'énergie comme une arme en coupant l'approvisionnement et en manipulant nos marchés de l'énergie", ce qui bien sûr qu'il fait en réponse à la militarisation des monnaies et des flux de capitaux par l'Occident.
Ajoutant que "Il échouera. L'Europe l'emportera", Van Der Leyen a confirmé ce que nous avons rapporté hier, à savoir que "la @EU_Commission prépare des propositions pour aider les ménages et les entreprises vulnérables à faire face aux prix élevés de l'énergie" et vise à :
Réduire la demande d'électricité (pointes) Plafonnement des prix du gazoduc russe Aider les consommateurs et les entreprises vulnérables grâce aux revenus du secteur de l'énergie Permettre de soutenir les producteurs d'électricité confrontés à des problèmes de liquidité liés à la volatilité
Est-ce que ça marchera ? Bien sûr que non, car la Russie n'acceptera jamais de vendre à ces plafonds de prix imposants (d'autant plus que la Chine et l'Inde n'adhéreront jamais), tandis que les Européens ordinaires n'accepteront jamais de sacrifier volontairement leur propre confort sans savoir que tous les autres partagent également le charge. C'est pourquoi l'annonce du président français Macron, appelant à une réduction de 10 % de la consommation d'énergie du pays pour éviter le rationnement et les coupures cet hiver, n'aboutira à rien du tout et l'Europe n'aura d'autre choix que de se rationner dans quelques mois à l'arrivée du gel hivernal.
L'Allemagne annonce une autre relance énergétique de 65 milliards d'euros alors même que la BCE cherche à écraser la demande
PAR TYLER DURDEN MARDI 06 SEPTEMBRE 2022 - 11:45
À une époque où la BCE fait tout ce qui est en son pouvoir pour arrêter et inverser l'hyperinflation énergétique de l'Europe en écrasant la demande alors qu'elle augmente les taux si haut qu'elle conduira à un chômage généralisé et à des récessions, inconscients du contrecoup politique qu'une telle décision déclenchera, les politiciens européens font exactement le contraire et inondent à nouveau tranquillement le système de milliards de fiatscos, sachant trop bien qu'ils seront tous des cadavres politiques si des dizaines de millions d'Européens gèlent l'hiver prochain.
C'est pourquoi quelques jours à peine avant que la BCE ne devrait relever ses taux de 75 points de base, le gouvernement allemand a dévoilé dimanche son troisième (jusqu'à présent) et dernier plan de plusieurs milliards d'euros pour aider les ménages à faire face à la flambée des prix, et a déclaré il envisageait les bénéfices exceptionnels des sociétés énergétiques pour aider à financer l'aide. Avec cette dernière décision - qui garantira aux entreprises énergétiques de dépenser encore moins en capacités futures et en investissements de croissance - l'Allemagne vient d'éviter tous les efforts de resserrement de la BCE, à l'instar de ce que fait l'administrateur Biden aux États-Unis.
Ass France 24 rapporte, avec des entreprises et des consommateurs allemands sous le choc des prix de l'énergie exorbitants, alors que la plus grande économie d'Europe cherche à se sortir de la dépendance à l'égard des approvisionnements russes à la suite de l'invasion de l'Ukraine par Moscou, le chancelier Olaf Scholz a dévoilé un autre 65 € milliards de dollars de relance pour « lutter contre l'inflation » (oui, quand il s'agit d'imprimer de l'argent pour écraser l'inflation, l'Europe est tout aussi intelligente que les États-Unis), l'annonce de mesures rapides pour se préparer à la saison froide à venir garantira que l'Allemagne « passera cet hiver ."
Le dernier accord, qui apporte un allègement total à près de 100 milliards d'euros depuis le début de la guerre en Ukraine, a été conclu dans la nuit de dimanche par la coalition au pouvoir à trois en Allemagne, composée des sociaux-démocrates de Scholz, des Verts et du FDP libéral.
Parmi les principales mesures figurent des paiements uniques à des millions de retraités vulnérables et un plan visant à écrémer les bénéfices exceptionnels des entreprises énergétiques. Bref, une nationalisation rampante du secteur de l'énergie.
Le gouvernement a pris des "décisions opportunes" pour éviter une crise hivernale, a déclaré Scholz, notamment en remplissant les réservoirs de gaz et en redémarrant les centrales au charbon.
La dernière annonce fait suite à deux précédents plans de secours totalisant 30 milliards d'euros, qui comprenaient une réduction de la taxe sur l'essence et un ticket de transport public populaire fortement subventionné. Mais avec l'expiration de bon nombre de ces mesures à la fin du mois d'août et la flambée des prix à la consommation, le gouvernement a subi des pressions pour fournir un nouveau soutien.
L'inflation a de nouveau augmenté à 7,9% en août, après avoir chuté pendant deux mois consécutifs grâce aux précédentes mesures d'allégement du gouvernement. L'envolée des prix de l'énergie devrait pousser l'inflation en Allemagne à environ 10 % d'ici la fin de l'année, son taux le plus élevé depuis des décennies.
Scholz a cependant déclaré que tout le monde ne souffre pas des prix à la consommation élevés. Certaines sociétés énergétiques qui n'utilisent peut-être pas le gaz pour produire de l'électricité "utilisaient simplement le fait que le prix élevé du gaz détermine le prix de l'électricité et gagnent donc beaucoup d'argent", a-t-il déclaré, faisant écho au redistributeur de richesse américain en -chef lui-même, qui vise également les bénéfices des entreprises énergétiques.
"Nous avons donc résolu de modifier l'organisation du marché de manière à ce que ces profits aléatoires ne se produisent plus ou qu'ils soient écrémés."
La réduction des bénéfices exceptionnels créerait "une marge de manœuvre financière qui devrait être utilisée spécifiquement pour alléger le fardeau des consommateurs en Europe", a déclaré le gouvernement dans son document d'orientation. Cette décision pourrait apporter des "milliards d'euros à deux chiffres" en secours, a estimé le ministre des Finances Christian Lindner lors de la conférence de presse.
Il n'était pas immédiatement clair si l'Allemagne avait la moindre idée du message catastrophique qu'elle envoyait aux entreprises énergétiques avec cette dernière tactique socialiste, qui garantit pratiquement l'effondrement de l'approvisionnement énergétique européen - après tout, si le gouvernement peut prendre votre durement gagné de l'argent en un tour de main, pourquoi investir dans la croissance. Bien sûr, avec l'Europe elle-même au bord de l'effondrement, elle traversera ce pont si jamais elle y parvient.
Et comme l'Allemagne est consciente que de telles mesures socialistes ne sont peut-être pas très populaires en Allemagne, le gouvernement Scholz a déclaré qu'il ferait pression pour que la décision soit d'abord mise en œuvre dans l'ensemble de l'Union européenne, avant d'aller de l'avant avec la mesure par elle-même.
Comme nous l'avons signalé dimanche, Bruxelles a déclaré lundi qu'elle préparerait une action "d'urgence" pour réformer le marché de l'électricité et maîtriser les prix. Scholz a déclaré qu'il s'attendait à ce que l'UE "traite rapidement" la question, ajoutant qu'il était "très clair que nous avons besoin de changements rapides dans ce domaine".
Répétant son mantra selon lequel les Allemands "ne marcheront jamais seuls" à travers la crise énergétique, la chancelière a dévoilé une série de mesures, dont un paiement unique de 300 euros à des millions de retraités pour les aider à couvrir la hausse des factures d'électricité. Le gouvernement ciblera également les étudiants avec un petit transfert unique de 200 euros et une indemnité de chauffage pour les bénéficiaires d'allocations logement.
Berlin a également réservé 1,5 milliard d'euros pour les travaux d'un successeur au très populaire ticket mensuel à neuf euros sur les réseaux de transport locaux et régionaux.
Le programme de secours dans son ensemble devrait être financé sans prévoir de s'endetter davantage, a déclaré Lindner, ce qui bien sûr n'est qu'un autre mensonge.
"Ces mesures sont incluses dans les plans budgétaires existants du gouvernement", couvrant 2022 et 2023, a-t-il dit, le reste étant couvert par les mesures exceptionnelles de profit énergétique. Nous reviendrons sur cette déclaration particulière dans 6 mois... en supposant qu'il y a encore une Allemagne alors.
En ce qui concerne la situation dans son ensemble pour l'Europe, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander comment tout cela se termine lorsque la banque centrale se démène pour contenir l'hyperinflation énergétique en écrasant la demande (et en envoyant le coût de l'argent à travers la stratosphère) d'une part, tandis que de l'autre, chaque gouvernement européen envoie rapidement des incitations fiscales aux habitants, apparemment inconscients que c'est précisément ce que la BCE ne veut pas voir.
Comme l'avait annoncé années 70 la 'fin du pétrole' !! (d'où son élévation de prix), le président Poutine pourrait dire ''Y a plus gaz because plus pétrole !" HAHAHAHA !
Attention quand même si votre dictateur annonce demain "Y a plus air ni eau !" HAHAHAHAHAHAHAHAHA !
6 fabricants britanniques sur 10 risquent de fermer, avertit le groupe de pression alors que les prix de l'énergie montent en flèche
PAR TYLER DURDEN MARDI 06 SEPTEMBRE 2022 - 11:00 Écrit par Thomas Brooke via Remix News,
Selon une enquête récente, jusqu'à six entreprises manufacturières britanniques sur 10 risquent de fermer, car la flambée des factures d'énergie et la crise plus large du coût de la vie font que les propriétaires ressentent la pression.
MakeUK, une organisation de pression industrielle au Royaume-Uni, a annoncé samedi que 42 % des fabricants ont vu leurs factures d'électricité augmenter de 100 % au cours des 12 derniers mois, et 32 % ont également vu leur facture de gaz doubler.
La hausse des prix a déjà vu 13% des fabricants réduire leurs heures de fonctionnement et 12% ont été contraints de supprimer des emplois en conséquence directe de l'augmentation des factures énergétiques. La majorité des entreprises préviennent que si les factures continuent d'augmenter cette année et augmentent de plus de 50% comme prévu, les fermetures et les licenciements "deviendront inévitables".
Le groupe de pression a publié lundi une proposition de plan de 100 jours pour le nouveau Premier ministre, Liz Truss, qui a été annoncé lundi.
Il comprend un appel à un budget d'urgence ; une demande visant à charger le Comité consultatif sur la migration (MAC) d'examiner la liste des professions en pénurie (SOL), qui décrit les postes clés très demandés au Royaume-Uni afin de permettre aux entreprises de recruter plus facilement à l'étranger ; et une refonte de la taxe d'apprentissage "pour garantir que les Britanniques comptent parmi les travailleurs les plus productifs et les plus qualifiés au monde".
La semaine dernière, la banque d'investissement américaine Goldman Sachs a prédit que l'inflation pourrait atteindre 22% au Royaume-Uni l'année prochaine si la hausse actuelle des prix de gros de l'énergie se poursuit comme prévu.
Le plafond des prix de l'énergie, qui limite le montant que les sociétés énergétiques peuvent facturer aux consommateurs nationaux au Royaume-Uni, pourrait augmenter de plus de 80 % lors de sa prochaine révision en janvier, ce qui, selon la banque, « impliquerait une inflation globale culminant à 22,4 % ».
L'inflation en Grande-Bretagne a atteint deux chiffres pour la première fois depuis les années 1980 en juillet, et si les estimations de Goldman Sachs devaient se réaliser, le coût de la vie au Royaume-Uni serait proche d'atteindre le record d'après-guerre du pays de 24,5 % d'inflation établi en Août 1975.
Un examen de COVID-19: The Great Reset, l'un des livres les plus stupides, les plus fastidieux et les plus inutiles jamais écrits.
eugyppe 3 sept. 2022
Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : The Great Reset (Forum Press : Cologny/Genève, 2020). 280 p.
Comme beaucoup de mauvais livres, The Great Reset tombe dans une autobiographie occasionnelle par inadvertance. Dans les dernières pages en particulier, où Klaus Schwab écrit ses espoirs d'une "réinitialisation personnelle" par la répression de l'État, nous apercevons l'homme lors de la première vague de confinement chez lui à Cologny. Au début, il appréciait la rupture avec la routine et la possibilité de communier avec la nature, mais bientôt il commença à ressentir un malaise tenace. Il avait passé la plupart de ses années avant 2020 à flageller le «capitalisme des parties prenantes», son terme générique pour divers projets visant à désarmer les critiques du borg corporatif mondialiste et à coopter l'opposition de gauche. Schwab a réussi à transformer ses idées simplistes en un circuit de conférences internationales, connu aujourd'hui sous le nom de Forum économique mondial, où il pouvait côtoyer des célébrités d'entreprise et politiques et redorer sa réputation de méchant de Bond parmi les dissidents politiques. Mais la pandémie avait déséquilibré Schwab. Pour une fois, ses nostrums retraités sur les questions environnementales, sociales et de gouvernance d'entreprise n'étaient plus en demande; les virologues et les épidémiologistes et les courbes de croissance exponentielles ont rempli les nouvelles à la place. Ses puissants clients célèbres écoutaient soudainement d'autres personnes. L'obscurité planait.
Ainsi, Schwab a enrôlé son acolyte assistant de recherche Thierry Malleret, a démarré son ordinateur portable et a passé quelques mois à décanter le nuage de mots à la mode, de points de discussion et de présentations PowerPoint à moitié oubliées qui tourmentaient son cerveau en un document sinueux et complètement inutile. Quand il eut fini, il envoya le tout à la femme de Malleret pour une relecture, puis il ordonna à son propre Forum Press d'imprimer quelques milliers d'exemplaires. C'est ainsi qu'un autre lamentable exercice d'auto-édition se produisit.
The Great Reset n'est pas un livre qui commence par un argument tout formé, qu'il cherche à articuler à travers des preuves successives. Ce n'est pas non plus un livre qui trouve son but en cours de route. C'est de cette variété encore plus misérable, qui est toujours sur le point de découvrir ce que signifie dire, mais qui n'y arrive jamais tout à fait. J'ai une vision de Schwab dans son étude, tapant furieusement avec les index étendus comme un poulet bicéphale, rassemblant tous ses maigres pouvoirs pour reconstituer la pandémie très inattendue dans laquelle il s'est retrouvé, de sorte qu'elle pourrait mieux ressembler au genre d'acteur ESG mondial le capitalisme courtise la crise sur laquelle Schwab préférerait vraiment se prononcer. "Nous devons revenir à mes thèmes favoris", c'est ce que Schwab essaie de nous dire dans The Great Reset. C'est avant tout un livre d'enfant.
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L'idée centrale de Schwab est que la pandémie va soit refaire, soit réinitialiser notre monde, et ainsi les dirigeants politiques et d'entreprise ont devant eux une occasion unique de reconstruire en mieux et de tout rendre plus conforme à l'ESG. Tout cela est assez clair, mais pour un homme qui a mis le mot "réinitialiser" dans son titre, il semble étrangement indécis sur la nature de cette réinitialisation et sur le rôle que le virus a joué dans sa réalisation.
Dans l'introduction, par exemple, on retrouve cette suite d'absurdités :
Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais. Rien ne reviendra jamais au sentiment de normalité « brisé » qui prévalait avant la crise car la pandémie de coronavirus marque un point d'inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale…. Des changements radicaux d'une telle conséquence se produisent que certains experts ont fait référence à une ère "avant le coronavirus" (BC) et "après le coronavirus" (AC). … (page 12)
Mais plus bas sur la même page, la confiance de Schwab semble faiblir, et il concède soudain que « par elle-même, la pandémie ne transformera peut-être pas complètement le monde », mais pourrait simplement « accélérer bon nombre des changements qui se produisaient déjà avant elle ». a éclaté. Six pages plus tard, il insiste à nouveau sur le fait que « à tout le moins… la pandémie accélérera les changements systémiques qui étaient déjà apparents avant la crise », mais dans le souffle suivant, il parle à nouveau d'une rupture nette, s'extasiant sur « les possibilités de changement et le nouvel ordre qui en résulte » qui « sont désormais illimités et uniquement liés par notre imagination » (p. 18). Puis dans sa conclusion, Schwab décide bizarrement que le virus n'est même pas si dangereux ; « la crise du coronavirus est (jusqu'à présent) l'une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues[d] » et « à moins que la pandémie n'évolue de manière imprévue, les conséquences… en termes de santé et de mortalité seront modérées » (p. 264f.) en comparaison. La véritable source de réinitialisation est en fait « le monde interdépendant d'aujourd'hui » où « les risques se confondent » (p. 247).
Le problème est que Schwab ne peut pas décider de se cacher dans la motte ou de saisir la basse-cour. Parfois, il veut que la pandémie soit un moment fondamentalement nouveau ; d'autres fois, il préfère faire dépendre Corona de toutes les mauvaises inégalités sociales, des déséquilibres climatiques et des non-soutenabilités en carbone qui sont plus son métier. La première position est plus cohérente et défendable en interne, mais elle risque de céder trop de place à un concept au-delà des préoccupations de Schwab ; ce dernier est profondément irrationnel mais permet à Schwab de faire de ses thèmes favoris l'explication de tout.
C'est plus que tout cette indiscipline de pensée qui fait de The Great Reset une expérience de lecture aussi odieuse. Schwab essaie toujours d'avoir les deux sens, il oublie toujours ce qu'il vient de dire il y a quelques paragraphes, il vous fait toujours perdre votre temps avec des listes, des détails et des descriptions non pertinents qui ne vont nulle part. Trop souvent, il perd tout contact avec les idées concrètes et disparaît dans un nuage de terminologie abstraite sans signification.
Pourquoi, par exemple, ces phrases devaient-elles être écrites ?
Une pandémie est un système adaptatif complexe comprenant de nombreuses composantes ou informations différentes (aussi diverses que la biologie ou la psychologie), dont le comportement est influencé par des variables telles que le rôle des entreprises, les politiques économiques, l'intervention gouvernementale, la politique de santé ou la gouvernance nationale... la gestion … d'un système adaptatif complexe nécessite une collaboration continue en temps réel mais en constante évolution entre un vaste éventail de disciplines et entre différents domaines au sein de ces disciplines. (p. 32f.)
Ou celui-ci ?
Les gouvernements … ont des outils à leur disposition pour passer à une prospérité plus inclusive et durable, en combinant l'orientation et les incitations du secteur public avec la capacité d'innovation commerciale grâce à une refonte fondamentale des marchés et de leur rôle dans notre économie et notre société. (p. 62)
Ces moments d'inutilité exceptionnelle sont partout dans The Great Reset, et j'ai une petite mais croissante collection de ce que je propose d'appeler Schwabisms. Ce sont là de brèves déclarations tellement tautologiques, banales ou bizarres qu'elles devraient embarrasser n'importe quel auteur. Des déclarations comme « Tout fonctionne désormais en accéléré » (p. 7) ; ou : « La complexité peut être définie comme ce que nous ne comprenons pas ou avons du mal à comprendre » (p.31) ; ou : « Si un observateur ne peut donner un sens à la « réalité » qu'à travers différentes lentilles idiosyncrasiques, cela nous oblige à repenser notre notion d'objectivité » (p. 121) ; ou : « La prédiction est un jeu de devinettes pour les imbéciles » (p. 126) ; ou : « De nombreux États présentant des caractéristiques de fragilité risquent d'échouer » (p. 127) ; ou : « Les scénarios dystopiques ne sont pas une fatalité » (p. 170) ; ou : « En période d'adversité, l'innovation prospère souvent – la nécessité est depuis longtemps reconnue comme la mère de l'invention » (p. 232).
Vous avez le sentiment non seulement d'un petit homme triste, luttant pour jouer le rôle de gourou de la gouvernance mondiale, mais aussi de son public tout aussi pathétique composé d'Hillary Clinton, d'Olaf Scholzes et d'Emmanuel Macron, qui entendent ces ordures et parviennent d'une manière ou d'une autre à les trouver perspicaces. et souhaitent y être associés. Quelle vie intellectuelle assombrie tous ces gens doivent mener.
Dans ses moments les plus audacieux, Schwab soutient que Corona ne s'est produit en premier lieu que parce que le monde n'a pas suffisamment adopté le changement climatique, la durabilité et le capitalisme des parties prenantes. Schwab veut vous faire croire que nous sommes au bord d'un "déficit de l'ordre mondial", auquel nous aurons besoin d'une "réinitialisation géopolitique" pour y remédier :
Dans ce nouveau monde désordonné défini par un changement vers la multipolarité et une concurrence intense pour l'influence, les conflits ou les tensions ne seront plus motivés par l'idéologie… mais stimulés par le nationalisme et la compétition pour les ressources. Si aucune puissance ne peut faire respecter l'ordre, notre monde souffrira d'un "déficit d'ordre mondial". (p. 104)
Un point intéressant est le pessimisme de Schwab quant aux perspectives futures de la mondialisation. Il écrit que « l'hypermondialisation » (quelle qu'elle soit) « a perdu tout son capital politique et social et la défendre n'est plus politiquement tenable » (p. 112 sq.), et que même la mondialisation normale est en déclin. Ainsi, les politiciens doivent s'efforcer de "gérer" sa "retraite" en la rendant "plus inclusive et équitable", ainsi que "durable, tant sur le plan social qu'environnemental" (p. 112). Ce sont de curieux aveux, et si vous les prenez au pied de la lettre, vous commencerez à penser que l'ensemble de Davos se sent vraiment menacé, en particulier de la gauche, et qu'aucune petite partie de leur programme politique ne représente une sorte d'effort confus pour apaiser les adversaires imaginaires.
Schwab écrit que la pandémie s'est produite à cause « d'un vide dans la gouvernance mondiale » et parce que « la coopération internationale était inexistante ou limitée » (p. 115). Il révèle une véritable aspiration enfantine à la « gouvernance mondiale » (p. 118), de peur de se retrouver « dans un monde où personne n'est aux commandes » (p. 114). Le courant sous-jacent de la peur revient et la pandémie s'éloigne de la vue comme un simple exemple des types de catastrophes qui nous arriveront si les institutions mondialistes échouent :
Il n'y a pas de temps a perdre. Si nous n'améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance… Plus le nationalisme et l'isolationnisme envahissent la politique mondiale, plus grandes sont les chances que la gouvernance mondiale perde de sa pertinence. (p.113)
Ailleurs, Schwab tente de construire Corona en fonction de ses thèmes favoris en suggérant que la mortalité du virus est exacerbée par la pollution, ce qui, à son avis, augmente le « risque de pandémie » :
Nous savons maintenant que la pollution de l'air aggrave l'impact de tout coronavirus particulier (pas seulement l'actuel SRAS-CoV-2) sur notre santé… Aux États-Unis, un article médical récent a conclu que les régions où l'air est le plus pollué connaîtront des risques de décès plus élevés de COVID-19, montrant que les comtés américains avec des niveaux de pollution plus élevés subiront un nombre plus élevé d'hospitalisations et de décès. Un consensus s'est formé… qu'il existe un effet synergique entre l'exposition à la pollution de l'air et l'apparition possible de COVID-19, et un résultat pire lorsque le virus frappe. (p.139)
Schwab est vraiment, vraiment tendu ici. Premièrement, il y a l'étude en question, qui est absolument sans valeur car, comme l'admettent ses auteurs, leurs "analyses de régression écologique sont incapables de s'ajuster aux facteurs de risque au niveau individuel" et sont donc "incapables de tirer des conclusions concernant les associations au niveau individuel". ” Ces associations incluent des choses comme "l'âge" et la "race". À ce stade, vous mettez l'étude à la poubelle, d'accord ? Mais la situation s'aggrave, car Schwab semble penser que l'article est une sorte de projection future, alors qu'il s'agit en fait d'une étude observationnelle rétrospective. La dernière suggestion aventureuse de Schwab, selon laquelle, via un "effet synergique" hocus-pocus, la pollution pourrait en quelque sorte provoquer des infections virales n'est absolument pas étayée. Beaucoup, beaucoup de moments de The Great Reset sont comme ça - dès que vous commencez à vous en prendre à eux, tout s'effondre.
Une dernière lutte délicate pour placer Corona en aval des échecs de durabilité survient lorsque Schwab déclare que, selon Science, c'est la destruction de l'environnement qui est la véritable cause des pandémies :
Aujourd'hui, un nombre croissant de scientifiques ont montré que c'est en fait la destruction de la biodiversité causée par l'homme qui est à l'origine de nouveaux virus comme le COVID-19. Ces chercheurs se sont regroupés autour de la nouvelle discipline de la « santé planétaire » qui étudie les liens subtils et complexes qui existent entre le bien-être des humains, d'autres espèces vivantes et des écosystèmes entiers, et leurs découvertes ont clairement montré que la destruction de la biodiversité augmenter le nombre de pandémies. (page 137)
Mis à part le génie récurrent de Schwab pour se tromper, ce n'est pas la "destruction de la biodiversité" qui est proposée comme "la source de nouveaux virus", mais la proximité croissante des populations humaines et des réservoirs animaux. Non, le point le plus intéressant ici, c'est à quel point Schwab se révèle mal informé, dans sa négligence totale de la fausse thèse du pangolin d'origine Corona. À la mi-2020, le sujet avait fait la une des journaux, et pourtant, Schwab a en quelque sorte échappé à Schwab, qui, par conséquent, manque tout un argument sur mesure pour son fastidieux récit de moralité. Il aurait pu nous régaler de paragraphes après paragraphes sur la façon dont seule la gouvernance mondiale peut supprimer le commerce des espèces menacées et nous sauver des virus mortels du pangolin, mais à la place, il a opté pour ce thé faible, car il n'a aucune idée de ce dont il parle.
Au fond, Schwab ne s'attend pas à ce que ses lecteurs croient que la pandémie s'est produite parce que nous n'avons pas fait les sacrifices appropriés aux idoles de l'ESG. Il propose donc la position alternative, que Corona ne dépend pas tant de la catastrophe environnementale et de la durabilité, car c'est le même type de catastrophe, ou du moins si étroitement interconnecté avec ces autres catastrophes potentielles que cela pourrait aussi bien être la même chose :
[E]n termes de risque mondial, c'est avec le changement climatique et l'effondrement des écosystèmes… que la pandémie correspond le plus facilement. Les trois représentent, par nature et à des degrés divers, des menaces existentielles pour l'humanité, et nous pourrions affirmer que COVID-19 nous a déjà donné un aperçu, ou un avant-goût, de ce qu'une crise climatique à part entière et l'effondrement des écosystèmes pourraient entraîner d'un point de vue économique. perspective … Les cinq principaux attributs partagés sont : 1) ils sont connus … des risques systémiques qui se propagent très rapidement dans notre monde interconnecté et, ce faisant, amplifient d'autres risques de différentes catégories ; 2) ils sont non linéaires, c'est-à-dire qu'au-delà d'un certain seuil, ou point de basculement, ils peuvent exercer des effets catastrophiques ; 3) les probabilités et la distribution de leurs impacts sont très difficiles, voire impossibles, à mesurer… ; 4) ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que d'une manière coordonnée à l'échelle mondiale ; et 5) ils affectent déjà de manière disproportionnée les pays et les segments de la population les plus vulnérables. (p. 133f.)
Schwab inclut même un graphique totalement dénué de sens pour illustrer sa thèse bien-aimée sur l'hyperconnectivité, via laquelle tout devient automatiquement sur tout le reste :
De toute évidence, très peu de réflexions réelles ont été consacrées à ce graphique. Vous pouvez le dire en cherchant des choses qui ne sont pas liées mais qui devraient l'être - par exemple, il n'y a pas de ligne reliant les «armes de destruction massive» aux «catastrophes environnementales d'origine humaine», bien qu'aucune «catastrophe environnementale d'origine humaine» n'ait probablement été plus ardemment envisagé que l'hiver nucléaire. Schwab est principalement intéressé à fournir à ses lecteurs une esthétique académique et le sentiment qu'ils lisent quelque chose de sophistiqué et appris, même s'ils ne le sont pas.
Au moins, nous n'obtiendrons pas de blocages climatiques. Schwab est déçu par les projections selon lesquelles les restrictions du printemps 2020 ne réduiraient les émissions de carbone que de 8 % :
Compte tenu de la sévérité des confinements, [ce] chiffre semble plutôt décevant. Cela semble suggérer que les petites actions individuelles… sont de peu d'importance par rapport à la taille des émissions générées par l'électricité, l'agriculture et l'industrie… Même des verrouillages sans précédent et draconiens avec un tiers de la population mondiale confinée chez elle pendant plus d'un mois sont venus loin d'être une stratégie de décarbonisation viable car, même ainsi, l'économie mondiale a continué à émettre de grandes quantités de gaz carbonique… (p. 140f.)
Encore une fois, on est frappé encore et encore par l'ignorance et la naïveté apparentes de Schwab, même sur des sujets au centre de son expertise. Les gens ont depuis longtemps démontré que les restrictions à la consommation individuelle, en particulier en Occident, auront des effets très limités sur les résultats environnementaux. La plupart des émissions proviennent de la fabrication à l'étranger.
Jusqu'à présent, j'ai essayé de me concentrer sur les idées fondamentales de Schwab, pour montrer pourquoi elles sont absurdes, même selon leurs propres termes. Schwab se trompe sur beaucoup d'autres choses, et il y a de vrais hurleurs dans ces pages. Il y a sa croyance apparemment sincère que «l'ère post-pandémique inaugurera une période de redistribution massive des richesses, des riches vers les pauvres et du capital vers le travail» (p. 77). Lorsque vous aurez fini de rire, vous verrez que la déclaration repose sur des comparaisons historiques superficielles avec des choses comme la peste noire, qui a fait grimper le coût du travail en tuant des millions et des millions de paysans et d'artisans. Schwab ne voit pas qu'il n'y a pas d'équivalence entre une peste qui tue 40 % de la population européenne et un virus avec au mieux un IFR de 0,4%, avec des décès concentrés presque entièrement chez les personnes âgées à la retraite. C'est comme ça qu'il est stupide.
Ensuite, il y a ses étranges tentatives pour rendre la pandémie responsable des émeutes de Floyd, et son affirmation récurrente selon laquelle "la plus grande cause sous-jacente des troubles sociaux est l'inégalité" (p. 88) - ignorant le schéma historique clair selon lequel il libéralise les réformes et augmente les attentes qui déclenchent des soulèvements sociaux. Et il y a son insistance répétée sur le fait que les nations qui sont "perçues comme fournissant une réponse médiocre à la pandémie" (p. 98) peuvent faire face à une crise de légitimité, et "que de nombreux gouvernements seront pris à partie, avec beaucoup de colère dirigée contre les décideurs politiques et les personnalités politiques qui ont semblé inadéquats ou mal préparés en termes de réponse face à la COVID-19 » (p. 76). Tout ce qui s'est passé depuis que Schwab a écrit, bien sûr, c'est le rejet constant du confinement de masse, qui devient chaque jour plus ouvert.
Schwab n'a pas seulement tort ; c'est aussi un fluage, mais je suis loin d'être le premier à le remarquer, et il ne sert à rien d'aller très loin dans cet aspect de The Great Reset. Il envisage avec impatience les possibilités de surveillance de masse et a une érection évidente pour les applications de recherche de contacts, peut-être la mesure de confinement la plus ouvertement discréditée de toutes. Il écrit avec joie que la pandémie a donné aux gouvernements « le dessus » et espère que « tout ce qui se passe dans l'ère post-pandémique nous amènera à repenser le rôle des gouvernements » (p. 91). Il cite également avec approbation les théories de l'économiste Dani Rodrik, selon lesquelles « la mondialisation économique, la démocratie politique et l'État-nation sont mutuellement inconciliables » (p. 107) - embrassant les implications inconfortables que son programme se fait au détriment du gouvernement national et de notre institutions parlementaires.
C'est moi qui souligne. Schwab veut désespérément que Corona soit le même type de crise que le changement climatique, car par profession, il ne s'intéresse qu'aux problèmes qui nécessitent des niveaux de coordination supranationaux. Dommage pour lui, ce n'est pas ainsi que la pandémie a fonctionné. Les institutions mondiales n'ont qu'un rôle mineur à jouer dans la riposte à la pandémie ; les premiers moteurs étaient dans tous les cas les bureaucraties nationales. Schwab et compagnie ont passé toute leur vie à essayer de mettre tout le monde dans les bras du réchauffement climatique, mais ils n'ont jamais été près de réaliser l'enthousiasme et l'adhésion bureaucratique que le confinement de masse a obtenus en l'espace de quelques semaines. The Great Reset n'est rien d'autre qu'une tentative de 300 pages pour faire face à cette réalité maladroite.
La foule de Davos se considère comme des résolveurs de problèmes post-idéologiques et technocratiques, mais il est impossible de nier qu'une sorte de système idéologique abstrus et malformé imprègne le travail de Schwab. C'est peut-être trop disgracieux et cassé pour être reconnu ou défendu, et c'est remarquablement difficile à décrire, mais c'est là. L'optimisme d'après-guerre et les générations de progrès technologique ininterrompu qui ont suivi ont encouragé certaines personnes à croire que nous étions au bord d'un nouveau monde, un monde où un ordre mondial utopique supplanterait à la fois les États-nations et les entreprises, inaugurant un monde post-capitaliste, post -ère nationaliste, où tous nos problèmes les plus urgents seraient résolus. Pourtant, les États-nations sont restés, les entreprises à but lucratif sont toujours là et le progrès technologique est au point mort. Ce qui reste est beaucoup de jargon et de vacuité, ne signifiant rien.
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 5 septembre 2022
Dans le film de 1973, Soylent Green, un détective de la police de New York découvre que la population extrêmement surpeuplée et pauvre de la ville - qui se nourrit de nourriture gouvernementale transformée, appelée Soylent - mange maintenant sans le savoir des humains décédés. C'est de cela que Soylent Green est fait. C'est le terrible secret. Quel est le secret maintenant ? Tout est là dans la littérature open source…
par Jon Rappoport 2 septembre 2022
Remarque : Je republie cet article pour garder la vérité dans le dossier. Il peut facilement glisser.
Nous y voilà:
Le virus SARS-CoV-2 n'existe pas.
Les tests de diagnostic supposés n'ont aucun sens.
Les numéros de cas n'ont aucun sens.
Les personnes décédées sont décédées pour de multiples raisons, dont aucune n'a rien à voir avec le SRAS-CoV-2.
J'ai passé l'année dernière à écrire plus de 300 articles, fournissant des preuves convaincantes des affirmations ci-dessus.
Il y a «des personnes décédées qui sont des décès ÉTIQUETÉS COVID». AKA "réalité officielle". AKA "mensonges officiels".
Qui sont ces gens ? En gros, qui sont-ils ?
Voici deux déclarations.
The Kaiser Family Foundation, 24 juillet 2020 : « Les adultes de 65 ans et plus représentent 16 % de la population américaine, mais 80 % des décès dus au COVID-19 aux États-Unis… »
AARP, 1er avril 2021 : « 95 % des décès dus au COVID-19 aux États-Unis sont survenus chez des personnes de 50 ans ou plus.
Un membre du groupe de travail sur les coronavirus de Biden, le Dr Zeke Emanuel, a déclaré un jour qu'il n'y avait aucune raison pour que les gens veuillent vivre au-delà de 75 ans. Entrez simplement doucement dans cette bonne nuit.
Eh bien, ce qu'on appelle COVID, ce sont les personnes âgées.
Mon premier indice sur les personnes âgées est venu d'un rapport publié par l'Institut national italien de la santé au début de la «pandémie». Il a déclaré que l'âge moyen des personnes mourant du COVID dans le pays était de 79,5 ans. Cet indice était de la taille d'un porte-avions stationné devant votre maison.
Peu de temps après le rapport italien, l'Institut de la santé s'est éteint. Aucune autre recherche n'a été publiée. Aucune mise à jour. Ils avaient parlé hors de l'école et quelqu'un les avait giflés à la tête.
Des articles de presse open source ont révélé que la «surmortalité» de 2020 était en grande partie le résultat du décès de personnes âgées dans des maisons de retraite.
Cela n'a rien à voir avec un virus.
Cela a à voir avec des patients qui sont DÉJÀ sur une longue pente de santé vers le bas. Ils ont DÉJÀ de multiples problèmes de santé. Pendant des années, voire des décennies, ils ont été pilonnés avec des médicaments toxiques, affaiblissant leur corps et détruisant leur système immunitaire...
Et PUIS ils sont frappés par la TERREUR d'un diagnostic arbitraire et faux de COVID-19—
Et ALORS, ils sont isolés et coupés de leur famille et de leurs amis, dans des établissements où la négligence et l'indifférence flagrantes sont trop souvent la « norme de soins ». ALORS, ils sont traités avec des médicaments toxiques et destructeurs comme le Remdesivir et le Midazolam.
Les gestionnaires de l'information sur la pandémie racontent le gros mensonge. Ils racontent des histoires sur le « virus » ayant un impact plus important sur les personnes âgées.
Non, l'HISTOIRE d'un virus a de l'impact. La terreur a l'impact mortel. L'isolement a un impact mortel. La terreur et l'isolement portent le coup de grâce.
Dans une mesure étonnante, COVID-19 est une CATASTROPHE DE MAISON DE SOINS INFIRMIERS.
Meurtre de masse par cruauté.
Note aux enquêteurs financiers : Calculez combien d'argent le gouvernement et les assureurs privés économisent, car ils n'ont pas à continuer à payer pour les soins de longue durée de toutes les personnes âgées qui meurent prématurément dans des maisons de retraite. Le nombre d'argent sera stupéfiant.
Tony Fauci connaît l'escroquerie. Il sait que COVID-19 concerne les personnes âgées. Les gens meurent de la peur qu'il promeut. Fauci n'a aucune honte. C'est un porte-parole de Bill Gates et David Rockefeller.
Le mal imprègne l'opération COVID. Les personnes âgées en EHPAD sont la première cible. Les faire mourir plus tôt est la tactique, afin d'augmenter les faux chiffres de mortalité COVID.
Sans ces faux numéros, toute la « pandémie » serait exposée en une heure.
J'ai dit qu'il y avait deux événements clés dans l'imposition de toute la fiction vicieuse du COVID - le régime chinois enfermant 50 millions de citoyens du jour au lendemain sans raison médicale valable, donnant le feu vert à l'Organisation mondiale de la santé et au CDC pour "suivre le nouveau modèle"; et la projection informatique des décès financée par Bill Gates, élaborée par Neil Ferguson, qui a menti entre ses dents lorsqu'il a affirmé qu'un demi-million de personnes pourraient mourir au Royaume-Uni et deux millions aux États-Unis d'ici l'été 2020 - fournissant ainsi la finale "justification" des confinements.
Le troisième événement clé a été et reste l'attaque soutenue contre les personnes âgées.
Tuez ces personnes avec terreur et isolement, et faites grimper le nombre de morts.
Au 22 mai 2020, Forbes a rapporté que « … dans les 43 États qui rapportent actuellement de tels chiffres, 42 % de tous les décès dus au COVID-19 ont eu lieu dans des maisons de soins infirmiers et des résidences-services.
Washington Post, 18 mai 2020 : "L'Organisation mondiale de la santé a déclaré que la moitié des décès dus au Covid-19 en Europe sont survenus dans de tels établissements."
Titre du même article du Post : « La crise des foyers de soins infirmiers au Canada : 81 % des décès dus au coronavirus [dans le pays] surviennent dans des établissements de soins de longue durée.
The Guardian, 16 mai 2020 : "Environ 90 % des 3 700 personnes décédées du coronavirus en Suède avaient plus de 70 ans, et la moitié vivaient dans des maisons de soins, selon une étude du Conseil national suédois de la santé et du bien-être à la fin D'avril."
"Le pays [l'Espagne] a été choqué fin mars lorsque le ministre de la Défense a révélé que des soldats mobilisés pour désinfecter des résidences avaient trouvé des personnes âgées abandonnées et mortes dans leur lit."
"... les gouvernements régionaux de Madrid et de Catalogne ont publié leurs propres chiffres sur les personnes décédées dans des maisons de retraite..."
« À Madrid, le total des décès dus au Covid, ou au Covid présumé, depuis le 8 mars s'élevait à 5 886 jeudi. En Catalogne, c'était 3 375. Entre eux, les décès dans les foyers de soins dans les deux régions représentent plus d'un tiers de tous les décès par coronavirus dans le pays.
Et il y avait beaucoup d'alertes précoces sur le sujet, si quelqu'un des agences de santé publique voulait y prêter attention - The Guardian, 13 avril 2020 : "Environ la moitié de tous les décès de Covid-19 semblent se produire dans des maisons de soins dans certains Pays européens… Des données instantanées provenant de diverses sources officielles montrent qu'en Italie, en Espagne, en France, en Irlande et en Belgique, entre 42% et 57% des décès dus au virus se sont produits à domicile, selon le rapport d'universitaires basés à la London School of économie (LSE).
Ces chiffres des maisons de retraite ne donnent qu'une image partielle. Considérez le NOMBRE ÉNORME de personnes âgées déjà malades qui sont fondamentalement dans la même situation À LA MAISON - terrifiées par la propagande COVID, enfermées, isolées ; puis meurent - et aussi ceux qui parviennent à se rendre à l'hôpital, où ils sont mis sous respirateur artificiel, fortement sédatés et tués.
The Hill, non daté (fin avril 2020), a rendu compte de « données… recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l'État de New York. L'étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) examine 5 700 patients hospitalisés pour des infections à coronavirus dans la région de New York, avec des résultats finaux enregistrés pour 2 634 patients. L'âge moyen des patients était de 63 ans... Pour le groupe d'âge suivant, celui des 66 ans et plus, les patients sous ventilation mécanique ont enregistré un taux de mortalité de 97,2 %.
Et pourtant, le traitement de la mort par ventilateur continue. Tout comme le traitement au remdesivir, un médicament hautement toxique.
Le New York Times (27 juin 2020) a rapporté que 43% de tous les décès dus au COVID aux États-Unis se produisaient dans des maisons de soins infirmiers et d'autres établissements de soins de longue durée pour personnes âgées. Dans au moins 24 États, plus de 50 % de tous les décès par COVID se produisaient dans ces établissements. Le Times a omis de mentionner les décès de personnes âgées dans les hôpitaux ou, à la maison, coupées de leur famille et de leurs amis. La situation est bien pire que ne le prétendait le Times.
COVID, ce sont les personnes âgées. Poussé à la mort.
C'est un meurtre de masse.
Derrière les directives, les demandes, les déclarations et les déclarations oh si bienveillantes des politiciens et des responsables de la santé publique, c'est un meurtre de masse.
Imaginez que VOUS ayez 80 ans. Depuis des années, vous souffrez de plusieurs problèmes de santé graves. Pendant des années, les médecins vous ont donné de nombreux médicaments toxiques, détruisant votre système immunitaire, affaiblissant votre corps, affectant votre jugement. Arrive une fausse histoire sur un virus mortel. Chaque fois que vous allumez le poste de télévision, c'est là, cette histoire effrayante. Vous êtes terrifié. Peut-être que le virus vous rendra visite. Et puis un jour, votre médecin vous fait passer un test, ou regarde simplement vos symptômes cliniques et dit oui, vous l'avez. Le virus. Vous êtes infecté. Votre terreur s'intensifie. Votre pire cauchemar est devenu réalité. Et du coup, tu es isolé chez toi, seul, ou tu es enfermé dans ta chambre en EHPAD, coupé de ta famille et de tes amis. Jour après jour, semaine après semaine. Qu'est-ce que tu ferais ?
Il y a de fortes chances que vous ne voyiez aucun intérêt à vivre. Tu abandonnerais et mourrais.
L'opération appelée COVID concerne les personnes âgées. Tuer des personnes âgées.
Finance ‘Guru’ révèle l’effondrement financier et les données des piqûres de COVID
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 5 septembre 2022
Dans cette vidéo, j'interviewe Edward Dowd, un « gourou »1 des fonds spéculatifs et ancien gestionnaire de portefeuille d'actions pour BlackRock, l'un des deux plus grands gestionnaires d'actifs au monde, Vanguard étant l'autre. Au cours des deux dernières années, Dowd s'est courageusement avancé pour sensibiliser les gens aux dommages collatéraux de la pandémie de COVID.
- voir clip sur site -
Par exemple, début mars 2022, Dowd a partagé des statistiques de mortalité sur Steve Bannon's War Room2, montrant que les milléniaux âgés de 25 à 44 ans avaient une augmentation de 84 % de la surmortalité à l'automne 2021.
Une éducation dans les hauts et les bas
Dowd s'est intéressé à la finance dès sa sortie de l'université. Il a obtenu un emploi chez HSBC Holdings, la plus grande banque d'Europe, en tant que vendeur institutionnel de titres à revenu fixe, vendant des obligations.
"C'était une éducation de cinq ans sur ce qui se passe réellement sur les marchés des capitaux", dit-il, "et tout ce que vous apprenez dans les manuels est de la foutaise... J'ai appris sur Wall Street, comment cela fonctionnait et comment cela était incité.
À l'époque où j'étais vendeur d'obligations de 1990 à 1995, il y a eu un tas de scandales. Wall Street est essentiellement une opération d'expansion et de récession. Il y a généralement un boom créé par la Réserve fédérale qui injecte de l'argent dans le système. Ils ne contrôlent pas où va leur argent et Wall Street en profite. Et généralement, cela se termine par une fraude.
Le scandale du début des années 90 était la fraude avec les titres adossés à des créances hypothécaires. Il y avait une grande entreprise de Wall Street qui a fait faillite parce qu'elle avait des métiers dans le tiroir. Les systèmes informatiques n'étaient pas aussi robustes, donc certains commerçants cachaient des pertes et cette entreprise a fait faillite.
Chose intéressante, BlackRock à l'époque a aidé à résoudre ce problème. Ils avaient des systèmes informatiques [le système Aladdin] qui aidaient à analyser les titres adossés à des créances hypothécaires… c'est essentiellement un logiciel de gestion des risques.
Donc, j'ai appris les moteurs de Wall Street, mais je voulais me lancer dans les affaires boursières. Je suis retourné à l'école de commerce de l'Université de l'Indiana, j'ai obtenu mon diplôme en 1997 et je suis allé à Wall Street chez Donaldson, Lufkin & Jenrette, où j'étais un analyste des services publics d'électricité au bout du couloir des gens d'Internet qui faisaient toutes les introductions en bourse [offres publiques initiales ].
Fondamentalement, la fraude sur les introductions en bourse était dans toutes les maisons d'investissement, et ce n'était pas une fraude dure, c'était une fraude douce. Ils ne faisaient tout simplement pas preuve de la diligence raisonnable que les institutions avaient l'habitude de faire. Avant d'introduire une société en bourse, ils s'assuraient que la société avait des revenus, et à la fin des années 90, cela a été abandonné.
Donc, beaucoup d'entreprises sans revenus et juste des idées ont été introduites en bourse… Finalement, la Fed [Réserve fédérale] a fait ce qu'elle a fait. Ils ont resserré les taux d'intérêt, la bulle a éclaté et toute une série de fraudes d'entreprise ont été révélées : WorldCom, Enron, Lucent Technologies, Nortel Networks.
Après cet effondrement, la Réserve fédérale a recommencé à imprimer de l'argent et, en 2008, la bulle immobilière a éclaté, entraînant une récession massive. Je décris les forces à l'œuvre - alors et maintenant - dans "Qui est derrière l'effondrement économique?" Au moment de cet effondrement économique, Dowd travaillait pour State Street Investment Research, qui a été racheté par BlackRock.
Les gestionnaires d'actifs et la cabale mondiale
Pour beaucoup, BlackRock semble jouer un rôle important dans les efforts de la cabale mondialiste pour inaugurer The Great Reset. Dowd, ayant signé un accord de non-dénigrement, n'est pas libre de discuter de son point de vue sur BlackRock, mais il peut parler d'acteurs similaires, tels que Blackstone et Vanguard, ce dernier étant une institution de taille similaire.
"Je ne crois pas qu'ils contrôlent ces sociétés [les sociétés dans lesquelles ils détiennent des actions], mais ils ont une influence négative, sur laquelle Charlie Munger de Berkshire Hathaway a écrit", déclare Dowd.
« Fondamentalement, en raison de la croissance des FNB passifs [fonds négociés en bourse], le vote de ces actions revient aux cadres supérieurs de l'entreprise. Et donc, il y a une certaine influence chez Vanguard sur certains votes du conseil d'administration.
À l'époque… la plupart des inégalités monétaires étaient gérées par des gestionnaires de portefeuille fondamentaux. J'avais l'habitude de voter pour le conseil d'administration, mais comme nous étions très occupés, nous avions environ 80 entreprises dans notre portefeuille, il y avait une société appelée Institutional Shareholder Services, ISS, qui nous aidait à déterminer les votes.
C'était un système logiciel qui analysait toutes les propositions et nous disait ensuite comment voter en conséquence. Et, si nous voulions retenir un vote ou modifier un vote, nous le ferions. Il semble donc y avoir une concentration du pouvoir dans les votes. Auparavant, le vote était plus réparti entre de très nombreuses personnes différentes.
Donc, ils ne contrôlent pas [les entreprises qu'ils possèdent]. Vanguard et BlackRock sont des agents. Ils gèrent l'argent des autres. Mais ils votent sur certaines des propositions du conseil d'administration. Donc, ils ne prennent pas le téléphone et n'appellent pas Bourla chez Pfizer et disent: "Faites ce que nous disons." C'est une influence plus douce.
Mais je crois qu'en tant que concentration de parts de marché, Vanguard et BlackRock sont les plus grandes sociétés de gestion d'actifs d'investissement passif. Charlie Munger avait un point que c'est trop de prise de décision entre trop peu de mains.
Encore une fois, je ne pense pas qu'ils dirigent les entreprises. Mais là où il y a une concentration de pouvoir, il y a certainement des choses qui peuvent mal tourner et qui ne sont pas exactement au-dessus de la planche, mais je n'ai aucune preuve de cela. C'est juste au moment où le pouvoir est concentré que de mauvaises choses se produisent généralement.
Donner un coup de pied à l'apocalypse financière peut sur la route
Dernièrement, j'ai écrit de nombreux articles sur l'effondrement financier à venir. Les signes mondains pointent tous dans cette direction, et selon Dowd, c'est une certitude mathématique.
Le système de la Réserve fédérale, qui est un système monétaire basé sur la dette, a été créé en 1913, la même année que l'IRS et le système fiscal ont été créés. Le système de création d'argent par la dette est intrinsèquement frauduleux. Au début, les banques prêtaient la dette et la dette se retrouvait dans différents domaines de croissance, qui s'échauffaient alors. La fraude s'est produite parce que l'argent était trop facile, mais c'était surtout une fraude du marché libre.
À la fin des années 90, la fraude d'entreprise a pris le dessus et nous avons eu une correction boursière de 50 %. La Réserve fédérale a réagi en ouvrant le robinet de l'argent : elle a abaissé les taux d'intérêt et l'argent s'est retrouvé sur le marché immobilier, qui s'est transformé en une bulle insoutenable.
Les biens immobiliers étaient hypothéqués au moyen de titres de créance collatéraux et de titres adossés à des hypothèques. Wall Street a augmenté ses bilans de 20 contre 1, 30 contre 1 pour gagner de l'argent et a pensé que la fête durerait éternellement. Mais inévitablement, la Fed a commencé à augmenter les taux d'intérêt et tout s'est effondré.
Selon Dowd, le problème de cette fraude bancaire était qu'elle était de nature systémique. Les banques centrales ont dû intervenir et acheter cette dette frauduleuse. Ainsi, cette fraude reste encore, aujourd'hui, sur le bilan de la Réserve fédérale et sur les bilans d'innombrables autres banques. En d'autres termes, la fraude n'a pas disparu. C'était juste cuit et caché.
L'effondrement financier est une certitude mathématique
"Ensuite, les gouvernements, parce que l'économie s'est effondrée à l'échelle mondiale, ont commencé à dépenser comme des marins ivres", explique Dowd. "Les 12 dernières années ont été un gonflement de ce que j'appelle la bulle banque centrale-gouvernement, la bulle des obligations souveraines."
Qui va sauver cette bulle ? Qui sera l'acheteur de toute cette dette lorsque cette bulle explosera enfin ? Réponse : Personne. Beaucoup de ceux qui sont au courant de la situation sont simplement surpris que le système ait duré aussi longtemps.
Il semblait qu'il était prêt à éclater en 2019, puis, commodément, COVID est apparu, qui a accordé des pouvoirs d'urgence à toutes les banques centrales. Les gouvernements se sont lancés dans une autre frénésie de dépenses, en imprimant de l'argent, ce qui leur a permis de lancer la proverbiale boîte sur la route pendant encore deux ans.
"Nous sommes ici en 2022 et ça se défait à nouveau", dit Dowd. «Et la raison pour laquelle COVID était important est que la Réserve fédérale a pu combler le trou dans ce qui commençait à devenir une crise de la dette de liquidité.
Ils ont imprimé 65% d'argent en plus. La masse monétaire a augmenté de 65% d'une année sur l'autre en 2020, et cela a pu la masquer. Ensuite, quand l'économie a été arrêtée, c'était un choc externe, pas un choc interne, donc quand ils ont rouvert avec tout l'argent dans le système, nous avons eu une reprise pendant un an et demi. Les marchés boursiers sont devenus fous, les marchés du crédit sont devenus fous et nous sommes remontés.
Mais nous voici deux ans plus tard, [with] l'inflation causée par les mauvaises politiques de l'administration Biden, l'UE, la croissance monétaire… aussi, COVID a cassé beaucoup de chaînes d'approvisionnement… Fondamentalement, nous n'avions pas eu d'inflation dans les biens et services depuis 12 ans. Nous avons eu de l'inflation dans les actifs, les actions et les obligations.
Ce qui se passe maintenant, c'est que l'économie réelle ressent les effets de l'inflation, des mauvaises politiques. Nous commençons à voir le dollar américain monter, et le dollar est une monnaie de réserve du monde. Au cours des 22 dernières années, il y a eu une croissance phénoménale de ce qu'on appelle la dette libellée en dollars... Nous avons environ 15 000 milliards de dollars de dette libellée en dollars.
Donc, quand vous voyez le dollar monter, cela indique une crise de la dette parce que l'argent devient rare. Il y a moins de dollars là-bas. Les gens se bousculent pour les dollars. Et la raison pour laquelle je pense que nous allons nous effondrer de manière imminente, c'est que nous n'avons jamais vu de cycle d'inflation des matières premières avec une hausse du dollar en même temps...
Vous pouvez faire valoir que c'est intentionnel parce que les politiques sont si mauvaises qu'elles arrêtent la production d'énergie. Avant la guerre d'Ukraine, le premier décret de Biden au premier jour de son administration consistait à fermer le pipeline Keystone. Donc nous en sommes là. Je pense que nous sommes à la fin.
Le COVID a fourni une couverture aux banques centrales et aux gouvernements, mais il a également permis un système de contrôle. Si tout va s'effondrer, ne serait-il pas agréable d'avoir un système de contrôle où les voyages sont limités, vous pouvez le blâmer sur un virus, vous créez des passeports de vaccins, qui sont ensuite liés aux identifiants numériques, puis à la monnaie numérique de la banque centrale. Donc, je pense que COVID était une excuse pratique.
Au fil du temps, je commence à penser que c'était un plan. Je n'ai pas de preuves, mais le fait que nous n'arrêtons pas ce qui se passe me suggère que c'est une conspiration d'intérêts, et ils ne veulent pas arrêter le déploiement de ces vaccins.
Et plus cela dure, plus je deviens convaincu que COVID était peut-être un plan. J'avais l'habitude de dire que c'était une excuse commode, mais plus cela dure, plus cela devient ridicule. Donc, je pense qu'il y avait une mauvaise intention.
Dowd pense que l'effondrement financier initial se produira dans les six à 18 prochains mois, ou au plus 24 mois. Si les marchés boursiers deviennent sérieusement déséquilibrés et que nous commençons à subir des baisses de plus de 40% des indices, la Réserve fédérale pourrait commencer à acheter des actions, ce qui entraînerait un système néo-féodal qui ne ferait qu'amplifier les écarts déjà existants entre les avoirs et les n'en ont pas. La raison en est, explique Dowd, que :
"Il n'y a pas de mécanisme de marché pour punir qui que ce soit pour avoir pris de mauvaises décisions. Leurs mauvaises décisions sont renflouées par les banques centrales. L'aléa moral est si élevé que si vous êtes juste un cadre supérieur dans une grande entreprise du Fortune 500, vous allez devenir incroyablement riche et ne pas avoir à être vraiment bon. Vous allez être l'un des seigneurs et des ouvriers et tout le monde va avoir du mal à joindre les deux bouts.
C'est ce qui se passe depuis 12 ans. L'économie a été en grande partie une économie de grands et de ceux qui sont proches de la machine à imprimer… Si vous essayez de créer une petite entreprise, si vous êtes un travailleur dans l'une de ces sociétés et que vous n'obtenez pas beaucoup d'options d'achat d'actions, vous n'avancez pas.
Pourquoi Dowd a commencé à parler du COVID Jab
Dowd, qui vit à Maui, s'est d'abord impliqué dans la lutte anti-jab lorsque les mandats ont été déployés. À Maui, vous deviez avoir un passeport vaccinal juste pour entrer dans un restaurant ou une salle de sport.
"Je me méfiais de ces piqûres dès le départ", dit-il, "parce que je savais deux choses : l'opération Warp - tout ressemble à un désastre. Sérieusement. Et n° 2, c'était expérimental, et je savais que la plupart des vaccins nécessitaient sept à 10 ans de données de sécurité pour être vérifiés avant d'être mis dans les bras des gens.
Donc, je pensais juste que tout le monde serait comme moi – rationnel – et ne le prendrait pas. Puis, quand j'ai vu la machine de propagande, la pression sociale, j'ai su que quelque chose d'autre se tramait, que quelque chose se passait, et c'est là que je me suis super impliqué. J'ai commencé à aller à des rassemblements à Maui. J'ai commencé à rencontrer des personnes partageant les mêmes idées et c'est ainsi que j'ai rencontré le Dr [Robert] Malone ici à Maui.
Maintenant, je fais partie de l'équipe qui essaie d'exposer ce crime. Quand j'ai rencontré [Malone] en octobre 2021, je lui ai dit que je soupçonnais qu'il se passait beaucoup de mauvaises choses avec les vaccins… J'ai dit que je surveillerais les compagnies d'assurance et les entreprises de pompes funèbres, et si ma thèse était correct, ils apparaîtraient dans ces résultats - et bien sûr, ils l'ont fait.
Le choix de se concentrer sur des bases de données non gouvernementales était prémonitoire, car le CDC a commencé ces derniers mois à compromettre les statistiques de mortalité. Ils sont censés mettre à niveau les serveurs et recharger les données de mortalité toutes causes confondues, et maintenant des dizaines de milliers de rapports de décès sont manquants.3
La mortalité toutes causes confondues est un paramètre crucial pour tout médicament
"J'utilisais le mot fraude assez généreusement à l'automne 2021 en ce qui concerne Pfizer", dit Dowd, et dès qu'il a vu que la FDA voulait cacher les données de Pfizer pendant 75 ans, il a été totalement convaincu. "C'est une preuve prima fascia de dissimulation", dit-il. Maintenant, alors que ces documents commencent à couler, à un rythme de 55 000 pages par mois, nous en venons à réaliser ce que la FDA et Pfizer étaient si désireux de cacher.
"Le paramètre de mortalité toutes causes confondues, c'est quelque chose dont nous devons parler. Normalement, si vous êtes une société de biotechnologie à produit unique et que vous effectuez un essai clinique qui échoue au critère de mortalité toutes causes confondues, le médicament n'est pas approuvé [par la FDA].
En fin de compte, si le risque est supérieur au bénéfice, cette chose n'est pas approuvée. Le paramètre de mortalité toutes causes confondues pour le vaccin Pfizer, lorsqu'ils ont vanté son efficacité, ils ont commodément caché ce point de données à tout le monde. Il est sorti dans la demande FOIA à l'automne et, encore une fois, le procès n'a duré que 28 jours.
C'est aussi tout simplement sans précédent. Ainsi, en 28 jours, il y a eu quelque chose comme 23 décès dans le groupe vaccin et 17 dans le groupe placebo, ce qui donne un excès de mortalité toutes causes de 23 %. Il n'aurait pas dû être approuvé uniquement pour cela. C'est de la fraude à mon humble avis."
Comme l'a noté Dowd, l'un des contre-arguments les plus remarquables à sortir d'un litige pour fraude contre Pfizer ces derniers mois est que les avocats de Pfizer affirment que même s'il y a fraude, Pfizer ne peut pas être poursuivi parce que le gouvernement le savait. "Pourquoi n'est-ce pas le plus gros titre dans les médias grand public ?" demande Dowd. "Seuls ceux d'entre nous dans la chambre d'écho qui sont au courant de ce problème semblent le savoir."
Dans le monde réel, la surmortalité toutes causes confondues démontrée dans le procès de Pfizer s'avère être rentable. Le Royaume-Uni, par exemple, a vu la surmortalité augmenter de 10 à 20 % depuis le déploiement des vaccins. Dans d'autres régions et/ou dans certaines catégories d'âge, la surmortalité est bien plus importante, mais la FDA et le CDC ne font que s'en accommoder, ne faisant absolument rien pour avertir qui que ce soit des risques.
Comme l'a noté Dowd, les compagnies d'assurance signalaient une augmentation de 40% de la surmortalité chez les adultes en âge de travailler à l'automne 2021. Une augmentation de 10% de la mortalité toutes causes confondues est une catastrophe unique en 200 ans, donc 40% est juste hors des charts.
Avant que le CDC ne commence à manipuler ses statistiques de décès, cela montrait également que la mortalité toutes causes confondues avait augmenté d'environ 40%, dit Dowd. Le pistolet fumant dans les données du CDC a été trouvé lorsque la surmortalité a été ventilée par groupe d'âge. Les milléniaux, ceux âgés de 25 à 44 ans, ont connu une augmentation énorme de 84% de la surmortalité à l'automne 2021.
«Ils essaient de l'expliquer en disant, eh bien, les confinements causent des décès par désespoir, des suicides, des drogues et de l'alcool, et des personnes qui manquent leurs dépistages du cancer. Eh bien, en trois mois, nous sommes passés de 40 % à 50 % de surmortalité en été, à 84 % de surmortalité en automne pour la tranche d'âge du millénaire, qui représentait environ 61 000 personnes entre mars 21 et février 2021. '22.
Soixante et un mille décès excessifs représentent une guerre du Vietnam en un an pour ce groupe d'âge. C'est ce qui s'est passé. Et regardez, ce sont des personnes âgées de 25 à 44 ans. Vous ne devriez pas mourir à cet âge, sauf si c'est accidentel ou provoqué par le suicide ou la toxicomanie. Et vous ne pouvez pas me dire que tout le monde a décidé, en l'espace de trois mois, de se suicider et de faire une overdose de drogue. Ça n'a aucun sens."
Il y a également eu un énorme changement dans les décès en 2021, des personnes âgées aux jeunes, les jeunes mourant désormais à un rythme alarmant.
"À ce stade, nous avons des preuves du crime", déclare Dowd. "Ce qui me choque, c'est le fait que les médias grand public occultent encore cela. La bonne nouvelle est qu'il semble y avoir du bouche à oreille, et de plus en plus de gens, parce que le vaccin ne fonctionne pas, ne reçoivent pas de rappel.
Augmentation massive des handicaps
Selon Dowd, les compagnies d'assurance signalent également des augmentations des prestations d'invalidité pour le premier trimestre de 2022, et les compagnies d'assurance et les salons funéraires constatent également une augmentation continue de la surmortalité.
"Au deuxième trimestre, les compagnies d'assurance jouent à des jeux en ce moment où elles libèrent des réserves, elles augmentent les prix, donc, ça n'a pas l'air aussi mauvais, mais ce n'est toujours pas bon.
Les entreprises de pompes funèbres connaissent toujours une croissance supérieure à ce qu'elles pensaient voir. Ils pensaient qu'ils reviendraient à la ligne de tendance et ils enregistrent toujours une croissance d'une année sur l'autre. Vous devez vous rappeler que leur croissance d'une année sur l'autre est par rapport à 2021.
Donc, ils ne devraient pas grandir. Et ce sont des ventes de magasins comparables, pas via des acquisitions. Il s'agit donc de comparaisons des ventes dans les magasins comparables d'une année sur l'autre. Et les deux sociétés de pompes funèbres que j'ai examinées pour le deuxième trimestre ont augmenté leurs ventes dans les magasins comparables entre 2 % et 3 %, ce qui est comparable au deuxième trimestre de 2021. Cela devrait s'effondrer de 20 %, 30 %, et ce n'est pas le cas.
Parlons des données sur le handicap. C'est super important. Je pense que nous allons découvrir – aussi tragique que soit le pire événement indésirable, la mort – qu'il y a des choses pires que la mort ; des handicaps qui changent la vie et qui rendent votre vie invivable, et ceux qui vivent avec vous doivent prendre soin de vous.
Et les impacts sur la société sont bien pires qu'une mort subite… Mon partenaire, qui était un ancien analyste d'assurance de Wall Street, a découvert une base de données fédérale, le Bureau of Labor Statistics des États-Unis, et la bonne nouvelle à leur sujet est qu'ils n'ont pas n'importe quelle peau dans ce jeu.
Ils font une enquête auprès des ménages tous les mois. Chaque mois, nous obtenons les chiffres de l'emploi qui en découlent, et ils posent un tas de questions différentes, dont certaines concernent le handicap, qui se résument essentiellement à "Êtes-vous handicapé et/ou quelqu'un dans votre foyer est-il incapable de travailler âge?'
Pour les cinq années précédant 2021, ce nombre se situait entre 29 et 30 millions. Il est maintenant de 33 millions et augmente considérablement depuis 2021. Et cela a vraiment commencé à décoller en mai, juin 2021. J'avais un doctorat. des physiciens qui ont fait des analyses statistiques, et ils disent que c'est presque un écart-type de quatre au-dessus de la norme, et la pente de celui-ci, le taux de changement, est alarmant.
Nous avons augmenté les personnes handicapées de 10 %. Maintenant, cela n'a rien à voir avec les demandes d'invalidité. C'est l'auto-identification. Cela n'est pas lié à une note du médecin ou à une invalidité. C'est juste quelqu'un qui dit, volontairement, qu'il est handicapé...
Ainsi, le nombre de personnes handicapées pourrait être bien plus élevé. Nous ne faisons qu'effleurer la surface ici. Mais le signal est le changement, le taux de changement, l'écart-type au-dessus de la norme, qui est de quatre. Trois écarts-types, c'est fou. Quatre, c'est comme, "WOW!" Donc, c'est ce qui se passe. Si vous vous demandez pourquoi y a-t-il une pénurie de main-d'œuvre? Je pense que cela explique beaucoup de choses.
Et vous multipliez cela à l'échelle mondiale, et ils parlent de chaînes d'approvisionnement et d'incapacité à embaucher des gens - c'est définitivement en train de se produire. Je pense aussi qu'une grande partie de l'inflation que nous constatons est due aux personnes qui ne peuvent pas travailler.
S'il y a un côté positif à ce gâchis, c'est que les parents prennent conscience des dangers non seulement du vaccin COVID, mais aussi du calendrier de vaccination des enfants dans son ensemble. Début août 2022, seuls 3 % des enfants de moins de 5 ans avaient reçu le vaccin contre la COVID.4 Beaucoup examinent également d'autres vaccins, y compris les vaccins pour adultes.
Cela se fait attendre depuis longtemps, car aucun des vaccins du calendrier de vaccination des enfants n'a jamais été comparé à un véritable placebo pour confirmer l'innocuité et l'efficacité, et aucune étude n'a été réalisée pour confirmer que l'administration simultanée de plusieurs vaccins est réellement sûre.
"Je pense qu'à mesure que ce scandale s'effondre et se déroule, il va refaire beaucoup de nos institutions", dit Dowd, "et je pense que c'est une bonne chose. Je pense que des gens comme vous et d'autres qui sont allés dans le désert vont être justifiés. Je ne prendrai plus jamais un autre vaccin, ni un vaccin contre la grippe. J'ai fini. Je suis dehors."
Es-tu prêt?
En ce qui concerne ce que vous pouvez faire pour vous préparer à l'inévitable krach financier, Dowd déclare :
« Les gens me demandent des conseils en placement. Je déteste le dire, mais je dirai ceci : si les actifs financiers vont s'effondrer, ne vous inquiétez pas de l'inflation. C'est probablement une bonne idée d'avoir une partie de votre portefeuille… en espèces, pour profiter du scénario du sang dans les rues qui s'en vient. Ainsi, lorsque tout le monde vend, vous faites ce que faisait autrefois JP Morgan - vous achetez. Ce n'est pas une mauvaise idée.
En plus de protéger vos actifs financiers, vous feriez mieux de vous préparer également à d'autres scénarios connexes, tels que les pénuries de nourriture, d'eau et d'énergie. Consolidez les approvisionnements et découvrez comment vivre dans un scénario «hors réseau», au cas où les commodités quotidiennes disparaîtraient soudainement.
Préparez-vous également mentalement, émotionnellement et spirituellement à ce qui pourrait être une période stressante et difficile alors que la cabale mondialiste continue de faire avancer la Grande Réinitialisation, ce qui nécessitera davantage d'"urgences".
«Nous avons les mi-parcours à venir. Les gens au pouvoir ont une peur mortelle parce que des crimes ont été commis, donc je soupçonne des manigances », dit Dowd. «Ils essaient de faire avancer la variole du singe. Cela ne semble pas capter l'imagination des gens. Ils peuvent essayer, je suppose, une bonne guerre à l'ancienne. La guerre règle généralement beaucoup de problèmes.
La chose dont nous devons nous préoccuper, c'est la Chine. La Chine a un problème démographique. Ils connaissent un déclin démographique qui a commencé en 2020… Dans les années 80 et 90, tout le monde disait que le Japon allait dépasser les États-Unis. Eh bien, le Japon a connu une crise démographique.
Ils se sont effondrés et ils ont perdu deux décennies. La Chine vient de frapper cela maintenant. Larry Fink est un bon homme d'affaires, mais il se rend en Chine exactement au mauvais moment. La Chine est faite à mon humble avis. C’est un point de vue à contre-courant, mais il est étayé par des données…
Ils sont surendettés et ils sont littéralement en train d'imploser en ce moment même. Beaucoup de ces verrouillages COVID que vous voyez au cours des deux derniers mois ne sont rien de plus que de couvrir les ruées bancaires. L'une de leurs plus grandes craintes… est leur propre population.
Tant qu'ils gardaient les gens nourris et obtenaient des emplois, ils n'avaient pas à s'inquiéter. S'il y a un effondrement économique, ce que font traditionnellement la plupart des pays, c'est qu'ils créent un démon extérieur qui unit tout le monde. Si je suis la Chine, que je dirige le spectacle et que je suis une personne perverse, je commencerais quelque chose avec Taiwan juste pour que tout le monde se concentre en dehors des problèmes internes en Chine.
Sources and References
1 Totality of Evidence Ed Dowd 2 Lew Rockwell March 22, 2022 3 The Ethical Skeptic August 20, 2022 Part 1 4 Healthline August 2, 2022
Coronavirus : le coup d’État du nouvel ordre mondial
Par Jean-Yves Jézéquel Mondialisation.ca, 05 septembre 2022
Le montage minutieux qui a été organisé autour du CORONAVIRUS est désormais parfaitement analysé. Nous savons que le SARS-Cov-2 n’existe pas (les preuves de cette première affirmation vont venir plus loin); nous savons que la maladie COVID-19 qu’il provoquerait n’existe donc pas non plus, logiquement ; nous savons qu’il n’y a jamais eu de « pandémie » de COVID-19 ; nous savons qu’il n’y a jamais eu « d’irrégularités de gestion de la crise » ; nous savons qu’il n’y a jamais eu de fatalité ; nous savons qu’il y a de vrais coupables et beaucoup de collaborateurs soit « en conflits d’intérêt », soit pervers, soit imbéciles, soit inconscients ou naïfs débonnaires…
Un ancien des services de la DGSI, Patrick Jaulent, spécialisé dans la cybersécurité, nous a expliqué tout l’envers du décor en mettant des noms clairement identifiés pour chacun des acteurs de cette mise en scène macabre basée sur le mensonge à grande échelle.
Il faut d’emblée savoir pour de bon que le projet du Nouvel Ordre Mondial est la seule raison de ce monumental coup d’Etat organisé à travers la fausse pandémie pour provoquer la peur et un passage à l’acte de cette volonté totalitaire d’une élite parfaitement identifiée, comme nous allons le voir !
Il était prévisible que la médecine allopathique, passablement marquée par ses tendances sectaires, le monde mafieux de l’industrie pharmaceutique, l’organisation sanitaire globales des pays, allaient devenir le vecteur privilégié de cet attentat organisé, avec une violence inouïe, contre la souveraineté des peuples.
La bonne raison fallacieuse de « protéger les populations vulnérables », d’une « menace invisible capable d’éradiquer l’espèce humaine », était sans aucun doute la meilleure de toutes les raisons, pour imposer par la peur une « dictature mondiale ». Seule la peur peut expliquer la soumission d’un grand nombre à un tel projet de contrôle : masques, confinement, interdictions sur tous les plans, « vaccins », passe sanitaire, destruction méthodique de tout le système économique et bancaire, pour donner à cet ensemble une nouvelle direction permettant un contrôle absolu des personnes via « le tout numérique » mis en place à cette occasion …
Le 13 novembre 2021, Robert F. Kennedy Milan, nous expliquait dans un discours au Congrès américain, qu’un certain EVENT 2-01 avait été organisé par le Johns Hopkins Center for Health Security, le FEM (Forum économique mondial) et la Fondation Bill & Melinda Gates, à New York le 18 octobre 2019, dans le but de simuler une mise sous contrôle du monde. L’événement se posait la question : « Comment utiliser une pandémie comme prétexte pour installer une surveillance totalitaire et déconstruire efficacement les démocraties ?! »
Pour atteindre un tel objectif, il fallait tout bonnement modifier le Génome humain. La stratégie était simple : faire peur !
Il suffisait de dire qu’on avait « accidentellement lâché dans la nature, un virus respiratoire que personne n’avait encore isolé et qui n’avait encore touché que peu de gens. »
Dans un second temps, grâce à la peur semée dans le monde, avec l’aide des médias inféodés, comme une traînée de poudre qui allait s’enflammer d’un seul coup, on allait entendre la voix des sauveurs de l’humanité qui avaient déjà prévu les « vaccins » bienfaiteurs, anti-Covid-19, qu’il suffirait de rendre obligatoires, en les imposant à l’échelle mondiale, de telle sorte que le transhumanisme, visé par cette opération mensongère, soit obtenu comme l’avait si bien prophétisé Julian Huxley, en 1957.
Ray Kurzweil, directeur de l’ingénierie pour Google, disait que pour 2029, l’Intelligence Artificielle atteindrait le niveau de l’intelligence humaine et rendrait celle-ci obsolète vers 2045 par l’avènement de la « Singularité » qui sera le moment où l’intelligence transhumaine sera devenue un milliard de fois plus puissante qu’elle ne l’est actuellement par la fusion avec l’IA.
Bill Joy écrivait un article « Pourquoi l’avenir n’a pas besoin de nous », en nous expliquant qu’il était inévitable que les humains se retrouvent très bientôt à la merci des machines !
Dans une interview de 2014, Stephen Hawking disait que « le développement d’une l’intelligence artificielle complète signifiait la fin de la race humaine… »
Les humains, tributaires d’une évolution biologique lente, ne pourront pas rivaliser avec les machines et seront remplacés par elles !
La technologie qui sera de plus en plus utilisée pour guérir des maladies sera immanquablement utilisée pour la création d’armes biologiques de destruction massive, sur les populations qui ne se soumettront pas ou qui auront des revendications contraires à la volonté des « élites » contrôlant le tout.
Le domaine de la bio-ingénierie se développe à grande vitesse et se diversifie. Les généticiens et les biohackers sont déjà capables d’éditer des gènes bricolés dans leurs propres laboratoires de transition !
Nous ne savons que très peu de choses sur les effets des mutations involontaires en bio-ingénierie. Il est certain que quelqu’un finira par se blesser et la porte sera ouverte à l’inconnu…
CRISPR/Cas-9 propose déjà des choses surprenantes et inquiétantes ; Humanity+ également ; le Groupe Genome Project-write avance dans son projet transhumaniste … etc…
Ce qui est déjà certain, c’est que les mutations potentiellement désastreuses pénètrent dans le patrimoine génétique humain mondial par modification génétique héréditaire !
Dans très peu de temps, des humains génétiquement modifiés devront cohabiter avec des humains non modifiés ! Vivre ensemble sera forcément impossible et entraînera une réaction de survie du groupe menacé : celui des humains sapiens sapiens.
Il est vrai que le Neanderthalensis a cohabité au moins 5000 ans avec Sapiens Sapiens, avant de disparaître complétement sans doute à cause de son trop grand isolement génétique et l’impact des maladies…
Le Sapiens Sapiens pourrait à son tour disparaître avec l’arrivée des « transhumains » !
Ainsi, le montage du coup d’Etat par la déclaration de la fausse pandémie de Covid-19, a été le signal de départ pour le changement du génome humain. Le moyen idéal pour y arriver était de provoquer la terreur du « virus invisible menaçant », peur qui allait convaincre les masses de se laisser injecter le « vaccin » dit anti-covid, salvateur. Le projet sur les modifications du Génome humain datait de 1990.
Au final, nous savons donc aujourd’hui que ce ne sera pas l’injection d’une puce RFID qui sera chargée de cette opération mondiale sur l’espèce humaine, mais une simple injection contenant la nanotechnologie (l’oxyde de graphène) qui transportera avec elle tous les éléments permettant le changement du génome humain (ADN et ARN). Le programme a prévu 10 injections graphénisées pour atteindre son objectif !
On peut déjà comprendre pourquoi les « élites » sont soudain devenues menaçantes lorsqu’elles ont constaté que 150 millions d’Européens refusaient soit catégoriquement d’entrer dans ce plan, soit décidaient d’arrêter les injections après la deuxième inoculation considérée, par ceux qui l’avaient acceptée, comme un « rappel » d’un « vaccin », présenté comme tel !
La « fenêtre d’opportunité » qu’était cette crise inventée de toute pièce, allait permettre aux dirigeants politiques qui collaboraient au projet du Nouvel Ordre Mondial, comme certains dirigeants d’entreprises, de détruire les économies nationales et les économies locales contraires au plan totalitaire du NOM, afin d’introduire par ce désastre volontaire, une monnaie numérique mondiale.
Voilà l’instrument parfait de contrôle sur la totalité du monde.
Klaus Schwab, créateur du Forum Economique Mondial, avait aussi fondé en 1992, l’école « Global Leaders for Tomorrow » devenue en 2004 l’école des « Young Global Leaders ».
Dans cette école on retrouve des gens bien connus : Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Emmanuel Macron, Trudeau au Canada, Jens Spahn en Allemagne, Philipp Rösler, Jacinda Ardern en Nouvelle-Zélande, Sebastian Kurz en Autriche, Pedro Sanchez en Espagne, Jean-Claude Juncker au Luxembourg et ancien Président de la Commission Européenne, Gavin Newsom dans l’Etat de Californie, Bill Gates bien entendu, Jeff Bezos d’Amazon, Richard Branson de Virgin, Chelsea Clinton de la Fondation Clinton…
Klaus Schwab a créé une autre institution en 2012 : la « Global Shapers Community », qui rassemble ceux qui sont identifiés comme étant potentiellement les futurs dirigeants politiques du monde, ayant moins de 30 ans ! Ces gens seront placés aux postes de commandement grâce à des systèmes de falsifications des votes qui se moquent éperdument des élections dites « démocratiques », en attendant que le programme d’injection arrive à son terme, terme qui sera celui d’une dictature totalitaire pure et dure, n’hésitant pas à éliminer physiquement tous ceux qui s’opposeront à elle au nom de la « démocratie » défunte.
Lorsque vous examinez cette liste des Young Global Leaders, que nous venons d’énoncer, vous constatez immédiatement qu’elle est faite de ces dirigeants du monde politique qui ont été précisément les plus zélés promoteurs des mesures scandaleuses « coronavirus », défiant toutes les règles de la vraie médecine, de la vraie science, du bon sens, de la vérité, des intérêts des peuples. Précisément, tous ces dirigeants ont été exclusivement au service des intérêts du Nouvel Ordre Mondial en imposant cette exceptionnelle maltraitance à tous les peuples qu’ils conduisent vers leur esclavage définitif…
Le premier objectif du FEM était en effet de renforcer, en les facilitant, les liens de coopération de haut niveau entre les grandes entreprises multinationales, les milliardaires qui les dirigent, et les gouvernements constitués de Young Global Leaders placés à la tête des pays occidentaux par la volonté des « élites » du Nouvel Ordre Mondial…
Ce n’est pas un hasard, si Bill Gates est devenu l’un des principaux représentants du confinement et des « vaccins » anti Covid-19. Le Wall Street Journal faisait savoir que la Fondation Bill & Melinda Gates avait réalisé environ 200 milliards de dollars en « avantages sociaux » pour avoir distribué des « vaccins » avant même le commencement de la théorique « pandémie » !
Les gouvernements qui travaillent au service du Nouvel Ordre Mondial ont pour objectif de détruire les entreprises des petits et moyens entrepreneurs pour que les multinationales toutes basées aux USA et en Chine puissent monopoliser les affaires sur le monde entier.
Le second objectif de la destruction en règle par le coup monté du bluff « coronavirus » était celui d’introduire la monnaie bancaire numérique.
De nombreux pays sont aujourd’hui au bord de la faillite, comme la France, l’Espagne et tous ceux qui ont subi de plein fouet ce plan de destruction volontaire.
Pour théoriquement « éviter une catastrophe économique » injustifiable, les gouvernements aux ordres du Nouvel Ordre Mondial, ont eu recours à 650 milliards de DTS (Droits de Tirage Spéciaux) gérés par le Fonds Monétaire International. Ce qui doit se passer, c’est qu’avec les droits, arrivés à échéance, ces mêmes gouvernements seront « théoriquement » désespérés ; ils auront donc recours à l’introduction de la monnaie numérique devenue une priorité absolue et le tour sera joué !
La Suède et la Suisse n’avaient pas besoin de jouer le jeu du confinement pour faire s’effondrer leurs économies, car ils étaient tous les deux déjà prêts à utiliser la monnaie numérique…
Etant donné que les économies nationales et locales n’ont pas toutes été laminées et ruinées, il est certain que nous reverrons les confinements, les masques et toutes les autres mesures Moyenâgeuses contre tout bon sens, dans les mois qui viennent…
Déjà on nous annonce avec « cris et chuchotements » une 8ème vague qui va déferler sur le monde et qu’il est grand temps de se faire injecter la dose suivante, si l’on fait partie du monde appelé « responsable » !
Le but c’est d’achever les économies nationales du Monde entier, pour de bon : c’est pourquoi on allait donc nous annoncer la 8ème vague, l’arrivée soudaine d’un terrible « variant » qui fera des milliers de morts l’hiver prochain ! Le but c’est de provoquer un chômage de masse spectaculaire, de jeter dans la précarité des millions de gens devenus les « inutiles ». Le but c’est de pouvoir justifier un « revenu de base universel », par l’introduction d’une monnaie numérique, géré par la BCE. L’utilisation de cet argent numérique sera absolument contrôlée, de manière quasi infaillible : les personnes seront surveillées et contrôlées sur leurs dépenses et recevrons l’autorisation d’acheter telle ou telle chose si la Banque Centrale la juge « méritée » par un comportement de soumission exemplaire ! Les personnes devront attendre l’autorisation de pouvoir dépenser et elles devront aussi attendre de connaître le délai dans lequel elles pourront dépenser. Tel ou tel achat pourra être interdit par blocage numérique, puisque tout passera par le contrôle numérique ! Plus d’argent liquide, plus de liberté de s’acheter ceci ou cela… ou de vivre de telle ou de telle manière !
La propriété privée sera échangée contre un capital numérique contrôlé : vous ne serez plus propriétaire de rien et « vous serez heureux », dixit Klaus Schwab !
Le fait que les renflouements se soient adressés aux personnes privées a provoqué une montée vertigineuse des prix des produits de première nécessité, comme la nourriture, l’essence, les soins, pendant que ces pouvoirs, complices du plan de destruction des peuples, invoquent la guerre en Ukraine comme cause de ce délire monétaire…
La liberté a été confisquée. Une « élite » des riches, de la caste stato-financière, des ploutocraties, des mafias qui se sont emparées du pouvoir, contrôle désormais tout ce qui se passe en politique comme une réponse à la « pandémie » !
La Conclusion qui s’impose ici : « Quand un homme se voit refuser le droit de vivre la vie en laquelle il croit, il n’a pas d’autre choix que de devenir hors-la-loi. » (Nelson Mandela)
A quelle révolution humaine sommes-nous destinés ?
Par Marie-France de Meuron Mondialisation.ca, 05 septembre 2022
Chaque être humain suit le chemin de vie qui lui est propre, selon son étape en cours, sa constitution, son tempérament et tout ce qui le caractérise.
La situation covidémique a déclenché des mécanismes sur différents plans, lesquels incitent à réagir.
Au lieu de solliciter chacun à y répondre de façon la plus appropriée possible, les dirigeants ont imposé des mesures absolues auxquelles les individus se sont soumis à des degrés divers, dans des états d’esprit relevant souvent de la peur et d’une misère intérieure. Il en est ressorti et il en ressort encore des souffrances à divers degrés qui suscitent des réactions momentanées et superficielles ou alors beaucoup plus fondamentales. Ces réactions éveillent des intuitions et des impulsions qui appellent à des actions adéquates par des changements brusques et puissants sur divers plans, dans des dimensions variées, ce qui peut engendrer des révolutions de différents genres.
Nos dirigeants ont suscité voire imposé des bouleversements dans nos vies : avec une vaccination pour tous faisant fi du consentement éclairé, en masquant les individus de tout âge, en changeant les mœurs comme d’assister des aînés mourant et en confinant chacun, brimant ainsi de nombreux élans de vie. Qu’est-ce qui nous a animés pour nous laisser ainsi embarquer dans ces «politiques folles et tyranniques» . Effectivement, «une société rongée par la peur acquiescera à toute politique promettant la sécurité. Comment réduire le niveau de peur ambiant ?» D’abord en le reconnaissant, en acceptant la réalité des émotions ressenties, ce qui permet déjà de ne plus s’identifier uniquement au personnage peureux que nous avons l’impression d’être, puis de prendre conscience alors d’impulsions vitales inconnues. Ainsi peut surgir l’éveil de qualités enfouies qu’il s’agit de percevoir et de mettre en valeur car elles sont susceptibles de susciter la transmutation de différents paramètres de la situation globale que nous traversons.
Dans Voix et Contre-Voix 16/2022, une question est posée :
«Pouvez-vous constater qu’une guerre hybride contre l’humanité fait rage dans le monde entier ? Outre la destruction évidente de l’économie, de la prospérité ainsi que des vertus, des valeurs et des principes éducatifs traditionnels, de nombreux autres domaines de la vie sont sur la « liste des cibles ». Vous pouvez découvrir une Guerre contre le genre humain, avec quels moyens et de quelle manière cette guerre est menée.» Une révolution y est proposée : «En connaissant les « portes d’entrée » des assaillants, nous pouvons « repousser les prémices » et les dénoncer.»
En réalité, une révolution peut prendre diverses formes selon ce qui anime un être humain ou une communauté humaine. En ce temps de covidémie, chacun est stimulé selon les situations qu’il doit affronter mais aussi selon son état intérieur : soumission, excitation ou exécution. Nous avons l’impression que la société est divisée en deux : l’élite et la population. Toutefois chaque membre de l’élite doit aussi se confronter à des épreuves. Prenons le cas de Bill Gates : il est soumis à sa dynamique financière depuis des années. Sa révolution serait de cesser de jongler avec le fric et d’en calmer l’appétence. Il est étrange de constater que maintenant il doit assumer un divorce qui est une forme de révolution du couple…
Un philosophe et psychanalyste nous donne une vue d’ensemble de la dynamique de la population considérée comme du bétail humain à marqué :
«Plus que jamais, nous avons le devoir de nous battre en résistant, en refusant de nous soumettre à cette tyrannie déguisée de bons « prétextes sanitaires », de « responsabilité morale », de « devoir »… L’humanité a été conduite à l’échafaud, des vies ont été ruinées, les récalcitrants sont encore maltraités, les vieux ont été achevés à coups de Rivotril, les enfants sont muselés et piqués aux produits toxiques remplis d’oxyde de graphène et d’autres substances dangereuses pour la santé physique et mentale.»
Un anthropologue dénonce les mêmes dynamiques en les développant «autour de l’affichage des vraies données de pharmacovigilance à Toulouse ».
Il accuse vigoureusement ce qui appelle à la révolte : «Violenter les faits, nier l’évidence, châtier ceux qui se risquent à l’énoncer, aliéner la masse à cette ignominie sont les processus vitaux du totalitarisme. C’est dire si ce qui est jeu à Toulouse est tout en réalité sauf anecdotique !»
Un écrivain marxiste aborde le sujet avec densité et perspicacité. Il expose sa perception au niveau d’une révolution de l’idéologie : De l’inéluctabilité d’un Grand Reset… idéologique ou économique. Il la justifie ainsi :
«Et si c’étaient les peuples du Monde qui, demain, une fois éveillés de la torpeur dans laquelle « nos » élites aussi bienveillantes que philanthropes les ont si longtemps plongé, décidaient également de mettre en œuvre leur propre « Grand Reset » à leur égard ?…» (marxisme.fr)
«Les peuples occidentaux comprendront bientôt au plus profond de leur chair ce que signifient le déclassement économique et la compradorisation… D’autant que les deux années écoulées ont accéléré et approfondi à un degré inouï la décomposition économique, sociale, politique, morale et culturelle à l’œuvre depuis des décennies en Occident.»
Il suggère de quelle direction il s’agirait de détourner son regard : «L’impuissance idéologique de la petite bourgeoisie, son incapacité à regarder objectivement la globalité du processus économique, social et politique en cours, c’est-à-dire sous l’angle d’une analyse matérialiste dialectique avant tout économiquement déterminée de la crise actuelle, lui interdit de prendre conscience de son caractère inéluctable et de sa portée historique.» Il apporte sa conclusion :
«Les masses populaires gémissant quotidiennement sous le joug du Capital doivent assurément amorcer leur Grand Reset idéologique si elles ne veulent pas être victimes à brève échéance d’un Grand Reset économique, social et culturel en leur totale défaveur !» (Vincent Gouysse, Sur les rails du « Grand Reset » : le petit train de l’horreur.
Un éditorialiste, essayiste, cherche à éveiller les individus à leur souveraineté car «le covidisme substitue des droits conditionnels aux droits absolus. »
« Il faut en être conscient dès aujourd’hui, avant qu’il ne soit trop tard : quand on accepte d’aliéner son libre-arbitre, quand on accepte de confier son corps et de n’en être plus vraiment le maître, on prend le risque d’être traité comme une chose et d’être ravalé au rang d’objet.»
Ce qu’on peut aussi aliéner, c’est son identité humaine en la commutant en identité numérique. « Le Journal de Montréal signale que le gouvernement du Québec veut devenir le gardien des données confidentielles de tous les Québécois et fournir à chaque citoyen sa propre identité numérique. L’ambitieux projet coûtera des milliards de dollars et n’a encore jamais été réalisé ailleurs dans le monde même si le projet d’identité numérique universelle existe très officiellement sous le nom de programme ID2020 financé par la Fondation Bill & Melinda Gates. Il s’agit identifier chaque citoyen et chaque entreprise.
La révolution humaine concerne aussi la dimension juridique : Une docteure en droit l’exprime vigoureusement : « L’imposture doit cesser »
« Depuis la 1ère loi d’urgence sanitaire, nous sommes entrés dans un État de non-droit. Tout ce qui a été mis en place se situe en dehors des prescriptions constitutionnelles et en dehors des situations régies par les grands principes juridiques. »
Des avocats soutiennent des médecins : Dans cet interview, , un médecin questionne un avocat. (Il n’est pas anodin que l’association qui les soutient se dénomme : « Human for Human »). Ils évoquent le dilemme entre l’État et les médecins :
«L’OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique, en Suisse) a reconnu qu’on n’avait pas de connaissance des conséquences des vaccins (en fait des injections géniques) alors que les médecins doivent favoriser la vaccination pour les gens à risque. On a actuellement des conditions qui empêchent le médecin de remplir sa fonction. Entre autre son devoir d’informer. L’information est nécessaire au consentement qui n’est valable que si les informations sont scientifiquement prouvées. Et qu’il est totalement libre. Or dans le cas du covid, les patients étaient-ils totalement libres de se faire vacciner avec une telle pression sociale ? On a présenté les vaccinés comme de bons citoyens et les non vaccinés comme égoïstes et non responsables.»
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L’avocat exprime encore une réflexion de grande sagesse quant au libre-choix pour les médecins de réagir ou non :
«C’’est le choix personnel de chacun ; il n’est pas facile de réagir mais encore plus de ne pas réagir ! Surtout par rapport à soi !»
Il est fort regrettable qu’on confisque aux médecins leur droit de prescrire ! Dans ce cas aussi, les avocats apportent un précieux soutien :
Dans ce long article, il est mentionné aussi que «il semblerait que les ordres départementaux des médecins se soient appuyés sur les signalements que leur ont faits les directeurs des caisses d’assurance maladie, qui exercent aussi un contrôle mais d’ordre administratif sur les médecins. En d’autres termes, contrôle déontologique et contrôle administratif ont été savamment mêlés pour créer une confusion et laisser croire que les ordres pouvaient, soudain, contrôler le contenu des prescriptions des médecins ! Il y a de quoi se révolter : ce qui est désastreux, c’est que les caisses d’assurance maladie perdent le fil essentiel qu’est la santé de leurs affiliés.
De son côté, Doctothon nous invite à l’Université résistante d’été 2022. Elle réunit des médecins pour organiser un événement en présentiel sur trois jours en septembre qui traite des trois aspects de la crise : juridique, scientifique et sociale.
En Allemagne aussi, les soignants font leur révolution avec leurs moyens :
«Deux collectifs de médecins et de soignants allemands organisent une manifestation à Nuremberg. Ils commémorent le 75ème anniversaire du Code de Nuremberg, rédigé suite au procès de Nuremberg et qui interdit les traitements de force et souligne l’importance du consentement volontaire. Ceci leur a valu d’être traités par leurs détracteurs de corona-sceptiques et même d’être accusés de négationnisme. Reductio ad hitlerum. Ils ont adressé cette lettre ouverte au bourgmestre de la ville. (https://www.75jahre-nürnberger-kodex.de/lettre-ouverte/)
Ainsi, ils espèrent rappeler à la ville son héritage et son devoir envers la défense de l’humanité, qu’ils estiment être en péril depuis 2 ans.
Chaque corps de métier de la société est concerné par la politique sanitaire. Ainsi, des policiers ont aussi ressenti le besoin de retournement de la situation et ont créé le syndicat européen de policiers : « police pour la vérité ». Voici l’interview d’un officier de police exposant l’évolution de leur création: https://bam.news/interviews/interview-de-philippe-police-pour-la-verite-episode-2
«Il nous rappelle les valeurs qu’ils défendent : “servir et protéger le peuple“. Et nous confie qu’il y a des signes évidents que la vérité n’a pas été dite sur la crise sanitaire. Les policiers, formés pour rechercher la vérité dans les enquêtes, désirent se mettre au service du peuple pour rechercher ce qui nous a été caché.»
De leur côté, des mamans sont animées d’un élan «féroce», d’où leur appellation de mamans louves ! Ces mères qui veulent en finir définitivement avec le masque à l’école et la terreur sanitaire. (breizh.info)
Leur instinct est confirmé :
«Une étude allemande qui vient enfin d’être validée et publiée par une revue scientifique reconnue, indique que la teneur en dioxyde de carbone qu’inhalent les enfants avec le masque s’élève au-delà des niveaux de sécurités acceptables. Il s’agira donc désormais de se positionner fermement face à de telles dissonances, car il est simplement intolérable d’accepter d’être contraints d’appliquer des mesures que l’on sait destructrices pour nos enfants.
Une façon très adulte de se révolter est de se renseigner, par soi-même et à diverses sources, de la réalité des informations qui sont souvent fournies de façon rapide. Ainsi l’a fait un auteur quant au vaccin : A quoi sert-il réellement ? (over-blog.coml Il part d’éléments très basiques et concrets, contrairement à tous ceux qui se laissent influencer par la peur ou la propagande :
Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu’ils ne feront pas :
Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
Les vaccins n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
Les vaccins n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
Les vaccins n’empêcheront pas les décès dus au Covid.
Une révolution prend la forme d’une pétition quand il s’agit de la dégradation de l’Ordre des Médecins :
Entre la compétence des médecins qui n’est jamais réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, des détournements de fonds et l’impunité des médecins en cas de plainte (y compris pour abus sexuels), comment pouvons-nous encore faire confiance à cette institution ? Et c’est sans parler du musellement des médecins qui osent hausser la voix pour émettre de nouvelles idées.
La révolution se développe aussi au niveau cognitif.
«La science devient rapidement une religion politique plutôt qu’un bastion de la pensée critique. Les données contradictoires sont ignorées en tant que « non-science » ou même censurées comme étant « dangereuses ». Les études payées par les gouvernements et les entreprises sont considérées comme sacro-saintes. Faut-il s’étonner que tant de gens se méfient aujourd’hui de la science ? Toute personne raisonnable aurait des questions et des soupçons. Ceux qui ne le font pas ont été endoctrinés dans un culte dont ils ne savent même pas qu’ils font partie.»
Et, particulièrement, au sujet de la plus grande escroquerie mondiale, détricotée au Canada, concernant Pfizer. https://nouveau-monde.ca/pfizer-la-plus-grande-escroquerie-mondiale-detricotee/
Mais encore il s’agit de renverser ce qui, au niveau monétaire et économique, nous conduit dans la pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale : https://www.youtube.com/watch?v=ua7asEfBBcw
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Ceux qui aspirent à plus d’avantages sont convaincus que :
«Mais ça peut aller aussi dans une autre direction au lieu d’une grande remise à Zéro. On peut provoquer un Grand Réveil et créer un monde où pers n’aura à souffrir de la faim et où on pourra vivre d’une manière durable en harmonie avec les hommes et la nature . Il ne s’agit pas d’une rêverie idéaliste . Il y a toujours eu des forces qui ont permis de briser le pouvoir de l’élite mais jusqu’à récemment nos moyens de communication ont toujours été insuffisants pour mettre en mouvement un réseau de masse pour guérir car l’élite nous a maintenus dans l’ignorance de nombreux moyens.»
Deux économistes apportent leurs analyses selon leurs vastes expériences pratiques et dénoncent les causes de l’effondrement économique, monétaire, et civilisationnel. (breizh-info.com) Cette émission dure 3h, c’est dire que le sujet est dense et nécessite une analyse sur plusieurs plans et une réflexion complexe. Il s’agit donc d’une révolution en profondeur qui ne se contente pas de slogans !
Le prix des vaccins participe aussi de l’effondrement économique. Vu les millions de doses dont les médias nous informent, le montant résultant n’est pas toujours facile à connaître, alors que les contribuables sont mis à contribution et que tant d’autres besoins devraient être financés. (rts.ch)
Quels moyens avons-nous pour nous dresser face aux milliards dépensés ?
Des médecins agissent par différentes voies. Ici, un collectif de médecins, initialement favorables aux vaccins contre le Covid, retourne sa veste et adresse une : LETTRE À L’ATTENTION DE NOS CONFRÈRES MÉDECINS
De son côté, un médecin émet «Un appel à l’union mondiale».
Arrivés à ce tournant diabolique, pour survivre, nous devons UNIR nos forces, arrêter de stagner sur notre ego, NOTRE position, NOTRE visibilité, NOTRE réseau, mais UNIR (ce qui ne veut pas dire fondre ou fusionner) TOUTES les forces, être international, mondial et faire des émissions transversales systématiquement doublées en toutes les langues, mettre le paquet, monter en puissance.
Il s’agit aussi de résister dans la dimension cognitive comme l’exprime un auteur : «Peut-on parler d’une “guerre cognitive” menée contre les peuples ?»
Nous savons tous combien une révolution peut être brutale. Toutefois, il existe certains moyens qui n’utilisent pas la violence mais l’art, le ressenti et la sensibilité. Ainsi des films peuvent apporter des éléments qui permettent des prises de conscience percutantes .
*Bernard Crutzen propose « La loi, la liberté » Un documentaire (1h03) sur une crise devenue plus politique que sanitaire.
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*Ce réalisateur avait déjà produit : «Ceci n’est pas un complot».
Dans cette courte vidéo, le réalisateur explique pourquoi il tourne un documentaire sur la manière dont les medias « racontent » le Covid.
* Planet Lockdown est un documentaire sur la situation dans laquelle se trouve le monde. Les réalisateurs, James Patrick et Paul Daniel, se sont entretenus avec certains des esprits les plus brillants et les plus courageux de ce monde, notamment des épidémiologistes, des scientifiques, des médecins, des avocats, des manifestants, un homme d’État et un prince. Ces âmes courageuses ont eu le courage de dire la vérité et nous inspirent à faire de même. Nous devons avoir le courage de surmonter nos peurs.
* « Effets secondaires : la face cachée des vaccins » Il est nécessaire que la population prenne conscience que le produit injecté n’est pas anodin.
* «Vaccination covid 19, le crime parfait» . Il est temps de dévoiler la vérité.
* «Douze mois face au COVID» est un documentaire inédit qui retrace l’année 2020 au rythme des deux vagues épidémiques vécues aux HUG (Hôpitaux Universitaires de Genève)
* « Hold-up, retour sur un chaos». Deux auteurs apportent leur vaste réflexion: https://www.limpertinentmedia.com/post/le-hold-up-de-la-libert%C3%A9-d-expression-est-en-marche et https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/11/11/hold-up-regards-sur-un-coup-d-etat-et-une-casse-sanitaires-310579.html
En fait, cette vidéo a été supprimée de YouTube. Je vous la signale quand même car « elle seule promet un film remarquable. Réalisé par des journalistes professionnels autour de Barnérias, c’est un documentaire construit, destiné à éveiller les consciences, réveiller les gens, grâce à des témoignages forts, des images puissantes, des mensonges révélés, et des vérités que certains voudraient occulter.»
Cette vidéo a été supprimée de YouTube mais est visible sur https://www.dailymotion.com/video/x7xazvu
«La vidéo qui dénonce le mensonge et énonce toute la vérité. Une vidéo montrant des preuves incontestables!!! Vivre libre ou mourir esclave, quel est votre choix?
Manigance 19, le film qui démasque tous les projets criminels du gouvernement assujetti aux banquiers milliardaires mondialistes et psychopathes. Ils se moquent bien de votre santé! Alors, quel est leur but? La dictature « sanitaire » ou pas, le « contrôle social » (appelé « crédit social » en Chine) à l’aide de la 5G, voire encore bien pire…
* «Mal traités» https://www.maltraites-ledoc.com/
Dans ce film, de grands experts témoignent à visage découvert.
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On ne peut pas se révolter sans résister : «Résister c’est d’abord continuer à vivre» La résistance, c’est d’abord un choix, une philosophie de vie. Vous vous pensez seul(e) ou isolé(e) ? Détrompez-vous, nous sommes légion, peut-être que tous nous n’avons pas suivi le même chemin ni réalisé les mêmes choses, pourtant nous partageons largement le même idéal.
Une conclusion nous est proposée par Slobodan Despot : «RESTER HUMAIN» dans sa vidéo du 26.8.2022
https://www.youtube.com/watch?v=HdjPWLVNdNk
Et une autre par le Dr Louis Fouché : «RETROUVONS NOTRE SOUVERAINETE ET NOTRE POUVOIR !»
Le 'Grand reset' c'est quoi ? C'est 'Morts aux cons !' Et là, il y en a un paquet ! Donc: on circulera mieux sur les routes ! Puis, comme tous les cons qui se sont fait inoculer profond x fois et en redemandent ! HAHAHAHA ! quand ils meurent ils sont brûlés ! Pchitt ! Four crématoire = cendres = autopsies-mon-cul !
A quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
SEPTEMBRE 4, 2022 PAR LHK
Chute exceptionnelle de la natalité au premier trimestre 2022
- voir graph sur site -
Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du great reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE.
Devant une Tour de Babel, flanquée de 11 étoiles inversées, se trouvent des « humains ». A les regarder de plus près, on imagine que ce sont des personnages de Légo. or, ces gens seraient les « Nouveaux »européens. Autant de transhumains?
L’eugénisme est une étape importante du transhumanisme. Les concepteurs de cette sordide vision divise le monde en 2 catégories. D’un côté, vous avez les dieux milliardaires qui aspirent à devenir immortels et de l’autre vous avez les descendants du grand singe selon le non moins sinistre Charles Darwin et son cousin Galton. Deux eugénistes de référence que les grandes universités ont décidé d’ériger en gravant leurs délires dans le marbre.
Alors l’hypothèse de travail forte serait pour nous la suivante: vous avez d’un côté des dieux qui veulent défendre leur pré carré; et de l’autre une population qui se chiffre en milliards pour laquelle le groupe détenteur (capteur par ruse ou par semi-vérité) des ressources n’a d’autre considération que sa capacité à muter en robots humanoïdes et à les produire en quantité et en qualité pour satisfaire leurs besoins divins.
On peut supposer qu’il est tout à fait normal que l’ultra-minorité ultra-riche cherche à contrôler la population qu’elle considère envahissante avec un nombre trop élevé de bouches à nourrir en comparaison de ses propres besoins.
Le narratif de l’urgence climatique due à l’activité humaine telle que présentée par Greta est pourtant battue en brèche par un nombre important de scientifiques…
… en revanche, il y a urgence pour l’ultra-minorité de prendre le contrôle du processus de la procréation.
Elle essaye de le faire au travers d’au moins 3 étapes démontrables:
1.- Rendre l’humain infertile. Vous pouvez le constater dans ce film révoltant
Voici une vidéo émouvante sur la vaccination contre le tétanos qui a fait perdre à un nombre inconnu de femmes leur capacité de reproduction. Bref, elles souffrent depuis d’infertilité. https://infertilitymovie.org/infertilite-un-programme-diabolique-francais/ Les femmes éthiopiennes sont victimes de manigances contraceptives depuis un bout de temps. Elles sont les cobayes des laboratoires de la Haute finance:
Nous rappelons aussi que le vaccin anticovid a été dénoncé, et continue de l’être, en tant que source potentielle d’infertilité par nombre de scientifiques indépendants
Des commentaires qui contrastent sévèrement avec ceux de cette professeure (vidéo ci-dessous) qui a pu affirmer l’innocuité des injections bien avant les résultats des industriels! Principe de précaution jeté aux orties par les représentants de la faculté!
- voir clip sur site -
(Intrigant ce masque porté alors qu’elle est dans une pièce seule face à une caméra)
2.- Réduire la présence de personnes à faible apport productif Si la question de l’impact du vaccin sur la vie de la population est brûlante…
- voir graph sur site -
Et ces chiffres sont largement sous-estimés puisque peu de liens directs sont possibles. Imaginons une personne qui développe une maladie auto-immune violente qui aboutit au décès. On vous dira que c’est la maladie qui a causé le décès, et ne sera pas reporté ici. Prenez un autre exemple une personne de plus de 80 ou 90 ans qui décède subitement après le vaccin, on vous dira que c’est à cause de l’âge et ne figurera pas dans ce genre de relevé… https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/ … elle l’est encore plus sur la population vulnérable. On se souvient de l’augmentation de la mortalité à Monaco qui a suivi la vaccination des personnes « qui en avaient le plus besoin ». Evidemment, le décès de ces personnes n’était pas si inquiétant puisqu’elles n’étaient pas en grande forme.
3.- Mettre en place l’ingénierie de la procréation: Faire des bébés transhumains sur mesure Les pseudo-dieux ont besoin d’un certain quota de serviteurs qui assument les tâches de leur quotidien. Problème, ils ont besoin de certains profils d’individus obéissants, hautement productifs, corvéables à souhait. Mais pas seulement. Ces individus ne vont pas être destinés à accomplir tous les mêmes activités. Par conséquent, il faut qu’ils puissent les « bricoler » en fonction de la finalité de leur « création ».
Et là une entreprise comme Moderna est très fière d’avoir hacké le corps humain.
Or, celui qui hacke est capable de reprogrammer les individus en fonction de son rôle dans l’organisation visée par le Great Reset. Une organisation où la vie sociale et privée n’est pas à l’ordre du jour. L’individu sera connecté exclusivement via le numérique après qu’il ait fusionné avec la machine. On parle de transhumain. La spirale dynamique montre bien que l’homme idéal du Nouveau Monde est pris au milieu d’une myriade d’interactions. Il a perdu au cours de son « évolution » ces relations qui en faisait un être social. Les ordres auxquels il appartenait ont eux aussi explosé au passage, à savoir l’ordre politique, social, communautaire, ou familial.
Dans ce contexte où le couple lui-même est voué à disparaître, les bébés fabriqués naturellement par des parents très moyens n’intéressent pas. Ils seront autant de bouches inutiles à nourrir. Et dans ces cas, l’infanticide est souhaité derrière des arguments tendancieux.
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https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/ A quoi sert le vaccin anti covid?
Voici la grande question du jour: A quoi sert le vaccin anti-Covid ? A l’heure actuelle, même les grands fans de vaccination se posent des questions sur la finalité de ce dernier. Nombre d’entre eux ne sont plus très enclins à se déplacer pour recevoir leur pseudo booster.
Même Pfizer fait profil bas. Une honnêteté un peu tardive!
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Par la Dr Nicole Delépine https://nouveau-monde.ca/le-retropedalage-de-pfizer-en-vue-des-proces/ En attendant la santé des populations semblent dégringoler, et pourrait même inquiéter le plus placide des observateurs. La RTS parle du malaise en titrant Les Suisses se sentent en moins bonne santé que pendant la pandémie, mais sans aborder le sujet de la vaccination et de ses conséquences sur la santé publique. Une courageuse dame relaie des informations collectées auprès des secouristes et ambulanciers.
- voir clip sur site -
J’espère que le fait d e la relayer ne provoquera pas la censure de sa chaîne… J’espère qu’elle a un back up ailleurs. Dans ce lot de nouvelles peu réjouissantes, il y des bonnes. Dverses études sont publiées et montrent par a+b à quel point les « études » publiées en 2020 par les industriels étaient fausses. De plus, on nous confirme que ce vaccin est une source potentielle d’inflammation du système immunitaire et de maladies auto-immunes. Nous y reviendrons.
Bref, la science avance mais APRES avoir envoyé au casse-pipe des centaines de millions d’individus. Un crime contre l’humanité qui sera très probablement sanctionné dans le cadre d’une opération de séduction que ne manquerons pas de promouvoir les nouveaux dirigeants.
Un examen microscopique révèle que 94 % des personnes vaccinées contre le covid ayant des problèmes de santé ont un sang nettement anormal
Mardi 06 septembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Longtemps après qu'une personne a été "vaccinée" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), son sang reste constamment contaminé par des corps étrangers, selon une nouvelle étude réalisée en Italie.
Drs. Franco Giovannini, M.D., Riccardo Benzi Cipelli, M.D., et Giampaolo Pisano, M.D. - tous chirurgiens - ont effectué une analyse microscopique d'échantillons de sang prélevés sur des personnes "entièrement vaccinées" contre la grippe Fauci. Ils ont constaté que 94 % des échantillons étaient clairement malsains, ce qui suggère que les injections laissent derrière elles du sang impur en permanence.
Décrivant le sang contaminé comme "anormal", l'étude explique que des structures étrangères affligent le sang des personnes complètement piquées. Chez certaines personnes, ils forment des structures de type cristallin. Dans d'autres, ils créent des tubes et des fibres de longue durée qui endommagent le flux sanguin.
Ces substances mystérieuses finissent par coaguler, dans de nombreux cas, coupant la circulation et provoquant une crise cardiaque ou même la mort. (En relation: Les séquelles de la «vaccination» covid ont laissé des millions de personnes handicapées, selon des recherches.)
Les piqûres Covid semblent contenir du graphène, qui n'est pas étiqueté sur leurs listes d'ingrédients L'une des substances identifiées dans les échantillons de sang contaminé des personnes entièrement piquées semble être du graphène, dont les atomes s'organisent en hexagones, formant des feuilles de cristal plates.
Le graphène n'est pas techniquement un métal, mais il se comporte comme un composé métallique. Le graphène pourrait être l'un des mécanismes par lesquels des caillots non sanguins se forment à l'intérieur du corps des personnes complètement piquées.
« Les deux formes qu'ils ont remarquées dans la circulation sanguine étaient des morceaux cristallins et des longueurs semblables à des tubes », écrivent Jennifer Margulis et Joe Wang pour The Epoch Times.
"Bien que les chercheurs n'aient pas pu confirmer que ce qu'ils ont vu était du graphène, ils ont souligné que le graphène peut s'agréger en formes similaires à celles observées par les médecins."
Le graphène est une substance étrangère de choix pour de nombreux nouveaux médicaments pharmaceutiques et injections de vaccins. Il est utilisé dans les vaccins contre la grippe par pulvérisation nasale et est actuellement à l'étude pour d'autres applications.
Aucun des vaccins contre la grippe Fauci actuellement autorisés ou approuvés ne mentionne le graphène comme ingrédient. Cependant, cette dernière étude et plusieurs autres antérieures ont identifié ce qui semble être du graphène à l'intérieur des flacons.
Bien que cette étude la plus récente n'ait pas spécifiquement testé le graphène, les auteurs ont écrit que le graphène pourrait être ce qui s'auto-assemble dans des structures dans tout le corps des personnes entièrement piquées, permettant au sang et à d'autres substances de former des caillots mortels.
"Le graphène peut auto-assembler de minuscules nano-structures, ce qui le rend utile pour les nanotubes de carbone et la fibre de carbone", explique l'article du Times.
« Ces spéculations soulèvent plus de questions que de réponses, car ni le graphène ni d'autres composés métalliques n'étaient censés avoir été utilisés dans les vaccins. Alors pourquoi plus de 950 personnes ayant des problèmes de santé après la vaccination ont-elles présenté des corps étrangers dans leur sang ? »
Une étude antérieure réalisée en Corée a montré que le sang contaminé par l'ARNm (ARN messager) contient des objets métalliques qui, d'après les listes d'ingrédients, ne devraient pas être présents.
Cette équipe de médecins, après avoir analysé divers échantillons de sang, a déclaré que la «prépondérance des preuves» indique des «matériaux étrangers» à l'intérieur des piqûres de covid qui persistent dans le corps des gens longtemps après avoir été injectés.
« Parmi les 8 receveurs du vaccin COVID-19 : 6 échantillons de plasma contenaient un disque multicouche de composition non identifiée ; 3 échantillons contenaient des matériaux en forme de bobine perlée ; 1 échantillon de plasma contenait un faisceau fibreux de matériau étranger perlé d'apparence similaire ; et un groupe différent de 3 échantillons avait des formations cristallines de corps étrangers », explique l'étude coréenne à propos de ce que ces médecins ont trouvé.
"Les différentes formes et tailles de matières étrangères dans les plasmas centrifugés des individus vaccinés contre le COVID-19 ressemblaient étroitement aux formes et tailles des matières étrangères précédemment observées directement dans les vaccins eux-mêmes."
Les dernières nouvelles sur les effets mortels des injections de caillots covid peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Poutine se marre
RépondreSupprimerpar Aphadolie
05/09/2022
Time : 13 mn 32 / [1/1]
Extraits :
« Aujourd’hui, la Russie n’a jamais été aussi riche. Écoutez ce matin, Eric de Riedmatten (Ndlr : journaliste économique) qui rappelle les sommes absolument faramineuses que gagne la Russie depuis six mois :
« Depuis le mois de janvier, comme les prix du pétrole ont montée ; et bien la Russie a encore engrangé des bénéfices records. Je vous donne un chiffre : 97 milliards de dollars entre janvier et juillet. 97 milliards de dollars, grâce au pétrole. »,
« En plus ? »
« Grâce au pétrole et au gaz. Alors que le pétrole, ça représente 74 milliards, ça a pratiquement progressé de 50% sur la même période qu’avant […] ».
« Donc, elle croule sous le cash. »
« […] on se souvient des déclarations de Bruno Le Maire (Ndlr : Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique). Je n’ai rien contre Bruno Le Maire mais… manifestement son analyse n’était pas la bonne. C’est ennuyeux quand même. »
« Pas franchement un prophète. »
« Écoutez ce qu’il disait, il y a quelques jours. »
« Les sanctions économiques et financières sont même d’une efficacité redoutable. Et je ne veux laisser planer aucune ambiguïté sur la détermination européenne sur ce sujet. Nous allons livrer une guerre économique et financière totale à la Russie. Nous allons donc provoquer l’effondrement de l’économie russe. »
« […] personne n’en parle d’ailleurs. C’était dans le Wall Street Journal. Peu de gens parlent que la Russie n’a jamais été aussi riche ; parce que ça ne répond pas à la bonne idéologie du moment. »
« […] Nous, on a une vision très franco-française ou européenne et en fait, on n’imagine pas un instant que la Russie puisse avoir d’autres clients que nous. C’est ça qui est complétement dingue ! »
« L’Ukraine reste encore client de la Russie. »
« Pendant qu’on annonce ces excédents stratosphériques de la Russie ; en France, on parle rationnement, on parle guerre… Donc, qu’est-ce qu’ils vont nous faire […] »
« Alors, écoutez c’est drôle ce que vous dites, vous remplacez Covid […]. C’est les mêmes mots, c’est les mêmes éléments de langage […] »
« …l’opinion publique, on l’a vue avec le Covid, elle est anesthésiée. Elle est anesthésiée ! »
« […] non pas, malgré les sanctions ; mais à cause des sanctions, grâce aux sanctions… qui ont fait monter les prix en déchaînant la spéculation des marchés […] »
« Mais alors donc, on se serre la ceinture, on risque de connaître pénurie et rationnement pour rien, c’est ça ? Ecoutez, j’aimerais bien vous dire le contraire Yves mais oui ! Les sanctions que nous payons chers avec l’inflation […] »
« C’est ça, moi qui m’ai surpris depuis le début… c’est que, encore une fois, les chiffres étaient là. On sait très bien que la Russie est le premier exportateur mondial de gaz, premier exportateur mondial de blé, deuxième exportateur mondial de pétrole… donc ça on le savait avant ! Donc, c’est ça qui est un peu surprenant. Aujourd’hui, on le ‘découvre’. Bien ça, c’est embêtant ! C’est-à-dire qu’on va avoir des difficultés à s’équiper en énergies, etc… […] »
« Alors en revanche, on va recevoir du gaz d’Azerbaïdjan. Le problème, c’est que ce pays-là en produit assez peu ; du pétrole, oui certes ! Bakou est une des plaques tournantes pétrolière. En revanche, pour le gaz, l’essentiel vient par un… gazoduc russe. Oui, oui, oui ! Le gaz azéri vient de Russie. Et puis là où vous allez vous demander si ce n’est pas un véritable gag : les quantités que l’Azerbaïdjan s’apprête à livrer ; en fait, ces quantités ne seront disponibles qu’une fois modernisée, augmentée […], c’est-à-dire dans dix ans ! »
RépondreSupprimer« Tiens, au fait le GNL (Ndlr : gaz naturel liquéfié) arrivé par bateaux… il vient de Chine mais… Oups, ce gaz liquéfié en chine… à l’origine, il vient de Russie. Mais oui et vous avez compris qu’on touche au sublime, puisque maintenant effectivement, on importe du gaz russe par pays interposés, auxquels on laisse une marge de 30 %. »
« […] Le problème, c’est que tout le peuple est entraîné dans cette maladie mentale via les médias mainstream, via cette propagande de fou qu’on nous inflige. Une propagande qu’on nous martel à longueur de journée sur ces médias d’information et les gens gobent et répètent ce qu’ils entendent. Ils ne réfléchissent plus. Il n’y a plus si vous voulez, cette épaisseur de réflexion qui leur permet de prendre de la distance par rapport à tous ces médias. […] »
« […] malgré tous ces éléments factuels, ces observations que les économistes sont obligées de faire, je ne suis pas sûr que les Français comprennent. On sait et on connaît leurs couches de conneries, leurs couches d’imbécillités. On le voit, on l’a vu avec les masques. Dernièrement, je voyais encore une personne avec son masque en pleine campagne… dans mon village, il n’y a personne […] »
« […] ça s’appelle, je ne sais pas : la schizophrénie, maladie mentale. […] prenant des décisions contre-productives sans arrêts […]. Fréquemment, toutes les décisions qui sont prises sont autodestructrices […]. La situation terrible de la manière dont nous sommes pilotés par ses élites. […] »
Vidéo :
[1] Poutine se marre – François COTARD / YouTube
https://aphadolie.com/2022/09/05/poutine-se-marre/
PÉTROLE : L'OPEP+ REFERME LES VANNES POUR GARDER DES PRIX ÉLEVÉS
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
06/09/2022
Le prix du baril de Brent est d'environ 95 dollars mardi 6 septembre 2022 avant l'ouverture de la Bourse de Paris.
Le prix élevé du pétrole en Bourse et donc des carburants est, certes, lié à la reprise de l’économie post-Covid-19 et à la guerre en Ukraine ayant créé des tensions internationales, mais aussi lié à une volonté unilatérale de l’OPEP+, le Cartel du Pétrole. Ce dernier a d’ailleurs décidé de réduire la production, jugeant que le prix du brut pourrait trop chuter…
L’OPEP+ retire 100.000 barils de pétrole par jour du marché
Lors de la réunion de l’OPEP+, soit les pays de l’OPEP et les dix pays alliés de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, qui s’est tenue le 5 septembre 2022, une décision a été prise : une réduction de la production de brut. Elle interviendra dès octobre 2022 et n’est autre que la première réduction depuis plus d’un an et, surtout, depuis les réductions drastiques liées aux confinements et à la crise sanitaire.
La production journalière de pétrole brut chutera ainsi de 100.000 barils par jour, retombant aux niveaux d’août 2022. Un virage à 180 degrés pour l’OPEP+ qui, au contraire, s’était engagée à augmenter la production régulièrement afin de retrouver les niveaux de production précédant la crise sanitaire, soit les niveaux de 2019.
Garder des prix élevés pour gagner de l’argent
L’objectif de l’OPEP+ est relativement simple : éviter que le prix du baril de pétrole ne chute trop, alors que les craintes sur la croissance économique mondiale font craindre une baisse de la demande. Or, le prix du baril est actuellement proche des 95 dollars pour le Brent, soit entre 20 et 30 dollars de plus que durant l’année 2019. Le Cartel de l'Or noir ne semble pas vouloir se priver de cette manne financière.
Sans surprise, les États-Unis ont fortement critiqué la décision prise par l’Arabie Saoudite et ses alliés : « l'offre d'énergie doit correspondre à la demande pour soutenir la croissance économique et réduire les prix pour les consommateurs américains et à travers le monde », a réagi la Maison Blanche dans un communiqué de presse.
En Bourse, néanmoins, l’annonce de l’OPEP n’a pas créé de panique : malgré une hausse d’un peu plus d'un dollar le baril durant la séance du 5 septembre 2022, le prix est retombé d’autant dans la nuit. Le baril de Brent s’échangeait, à 7 heures du matin le 6 septembre 2022, à 95,06 dollars, contre 88,67 dollars pour le pétrole américain, le WTI.
https://www.economiematin.fr/news-prix-eleves-opep-baisse-production-petrole-septembre-2022
EXCLUSIF : LE PLAN DU GOUVERNEMENT POUR ÉVITER LES COUPURES D'ÉLECTRICITÉ CET HIVER
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
31/08/2022
Peu de gens le savent, mais Linky tolère jusqu'à 30 % de dépassement de consommation électrique ! Soit près de 9 kVA pour un contrat 6 kVA...
C'est désormais un fait avéré : la France risque de subir des coupures d'électricité cet hiver, car la somme des moyens de production d'électricité français est inférieure de 10 GW aux pics habituels des années précédentes... Pourtant, pour éviter les délestages, le gouvernement dispose d'un plan B quasi messianique, qui devrait être annoncé prochainement.
Et si cette crise était l'occasion d'accélérer le passage au "smart grid", alias "réseau électrique intelligent" ? Un "smart grid" est un réseau de distribution d'électricité communiquant, permettant de réguler au plus juste la production d'électricité en fonction de la demande. Mais avec la crise de l'énergie dans laquelle nous plongeons tête baissée, avec la fin des "temps de l'abondance et de l'insouciance", c'est tout l'inverse qui pourrait être demandé aux réseaux intelligents demain. A savoir, d'ajuster la consommation d'électricité, aux capacités de production !
Ne pensez pas que la différence est purement sémantique. C'est surtout une approche totalement différente. Jusqu'ici en effet, les capacités de production d'électricité progressaient plus vite que la consommation, ou tout au moins, proportionnellement. En fixant pour point haut, à cette capacité de production, les pics de consommation.
Mais aujourd'hui, avec la moitié des réacteurs à l'arrêt, des retenues d'eau mal remplies, et un gaz hors de prix, le "point haut" devient tout simplement impossible à atteindre, et pas seulement en France. Et les capacités d'ajustement, en achetant de l'électricité à nos voisins, frisent l'utopie, avec un MWh vendu 1000 euros, contre 85 euros l'an dernier. Sachant que si les centrales au gaz allemandes n'ont plus de gaz à brûler, même à 10 000 euros le MWh, elles ne pourront plus produire un seul électron.
Linky, le dernier rempart anti délestage ?
Conscient de cette situation, le gouvernement annonce donc que des délestages sont possibles cet hiver, tout en assurant que tout serait fait pour les éviter. C'est pour cela que les articles 33, 34 et 42 de la loi du 16 août 20202 portant mesures d'urgences pour la protection du pouvoir d'achat, prévoient des mesures d'effacement de consommation, mais aussi, la mise à disposition forcée des groupes électrogènes de secours des grosses industries, pour venir au secours d'un réseau électrique à genoux.
Parmi les autres mesures possibles connues, qui précèdent le délestage, prévues en dernier recours, Enedis peut réduire la tension de 5 % sur le réseau électrique national. Une solution technique sans impact sur les appareils électriques et leurs utilisateurs (les œufs au plat mettront plus de temps à cuire, et les téléphones à charger), mais qui permet d'économiser l'équivalent de deux ou trois tranches de réacteurs nucléaires.
En revanche, une mesure n'a pas été évoquée jusqu'ici, alors même que les conditions pour y avoir recours sont réunies pour la première fois : C'est Linky ! Le déploiement du compteur intelligent et communicant Linky, entamé en 2015 -avec sa cohorte de polémiques sur les rayonnements dont il se rendrait coupable, ou encore, sur les atteintes à la vie privée- est en effet quasiment achevé. Au 31 décembre 2021, plus de 9 foyers sur 10 étaient désormais équipés d'un compteur Linky. Et dans le lot des foyers "récalcitrants", une part non négligeable de petits consommateurs, notamment dans des résidences secondaires inaccessibles aux prestataires techniques. lors des campagnes d'installation. Des abonnés pour lesquels le rapport coûts / bénéfices de l'installation d'un compteur Linky, en déplaçant spécialement un technicien pour cela, est faible.
Linky permet d'ajuster la puissance de consommation électrique à distance
RépondreSupprimerOr, l'un des atouts du compteur Linky, outre de faire remonter en temps réel la consommation électrique de l'abonné qu'il dessert, c'est qu'il peut être "joint" par l'opérateur de réseau, en l'occurence, Enedis. Un opérateur qui peut, à la demande de l'énergéticien, moduler à distance la puissance maximale délivrée par le compteur ! Auparavant, il fallait déplacer un technicien, qui devait ouvrir le compteur, et déplacer un domino pour changer la puissance du compteur. Aujourd'hui, c'est une simple ligne de commande informatique, sur le contrat de l'abonné, qui module la puissance maximale délivrée par Linky !
Vous l'avez compris : Plutôt que de délester à tour de rôle pendant quelques minutes ou dizaines de minutes des centaines de milliers d'abonnés, il serait plus "simple", en tout cas, beaucoup plus acceptable socialement, de réduire la puissance appelable par tous les abonnés équipés d'un compteur Linky. Si la puissance appelable est garantie par contrat, il ne fait aucun doute qu'en situation d'urgence, celle-ci peut-être réduite unilatéralement par l'énergéticien, ou l'opérateur de transport. Un décret ou une loi devra sans doute l'autoriser expressément dans les semaines à venir, même si les contrats actuels prévoient déjà les situations d'urgence, et exonèrent de responsabilité énérgéticiens et transporteur, quand ils sont dans l'impossibilité de répondre à leurs obligations contractuelles (incendies, inondations, dégâts sur les lignes à la suite d'une tempête, etc).
La tolérance de 30 % des compteurs Linky supprimée ?
La seule part d'inconnue actuelle, c'est la possibilité de réduire plus "finement" les puissances appelables par les abonnés. Actuellement les abonnements proposés sont standardisés : 3, 6, 9, 12, 15 kVA, et plus, pour les grosses installations en triphasé. Des seuils héritiers du temps où la limitation de puissance était physique, et donc, déterminée par un circuit et un composant dédié. Aujourd'hui, c'est un logiciel qui mesure la puissance appelée à un instant T. D'ailleurs, peu de gens le savent, mais un compteur Linky paramétré en 6 kVA peut en réalité délivrer pendant plusieurs heures sans problème jusqu'à 8950 kVA sans disjoncter !
Pour éviter les délestages, Enedis pourrait donc déjà réduire, voire supprimer totalement la tolérance des compteurs Linky, sans déroger aucunement à ses obligations contractuelles. A l'inverse, réduire la puissance appelable des abonnés, en s'en tenant aux seuils 3, 6, 9, 12 kVA, etc, paraît plus compliqué : 7 abonnés français sur 10 ont en effet souscrit à un contrat 6 kVA ! Basculer sur un contrat 3 kVA serait vraiment contraignant, et sous-dimensionné, pour la plupart des usages. 3 kVA, sans tolérance de Linky, c'est en effet la garantie de faire sauter le compteur en allumant deux feux d'une plaque à induction, ou encore en lançant le sèche-linge et le lave-vaisselle en même temps. On ne parle même pas ici de convecteurs électriques...
Autre solution pour Enedis et les fournisseurs d'électricité : écrêter la consommation des gros clients. Ceux des contrats 9, 12, 15 kVA et plus. Des clients auxquels il pourrait être imposé de réduire la puissance maximale appelable de 30 % par exemple, sans que cela ne nuise (trop) à leur usage de la fée électricité. Un abonné titulaire d'un contrat 12 kVA, un classique pour quiconque se chauffe à l'électricité, serait alors contraint de se contenter de 9 kVA maximum. Il pourrait pourtant continuer à chauffer les pièces principales de son logement, et faire la cuisine à l'électricité en même temps. A charge pour lui de reporter ses consommations décalables (lave-linge, lave-vaisselle, sèche-linge) la nuit, sachant que le plus souvent, la production d'eau chaude sanitaire se fait déjà pendant les heures creuses pour ces clients gros consommateurs d'électricité.
RépondreSupprimerOn le voit, l'hypothèse "Linky" permettrait de gérer la crise énergétique qui est devant nous avec beaucoup plus de finesse, voire même de poser les bases d'un vrai futur réseau électrique intelligent. Car dans un vrai réseau électrique intelligent, les appareils gros consommateurs d'énergie se mettent en marche tout seuls, en fonction de la puissance disponible sur le réseau. Mais pour cela, c'est tout notre électroménager qu'il faudra remplacer (ou adapter), afin de le rendre compatible avec les "ordres" envoyés sur le réseau électrique... En 2022, les Français n'y sont sans doute pas prêts. Mais qui sait, l'an prochain ?
https://www.economiematin.fr/news-risque-coupure-electricite-delestage-compteur-linky
"Dites-nous de quoi vous avez besoin et nous vous dirons comment vous en passer !" (Coluche).
SupprimerRappelez-vous bien: Linky c'est UNE MERDE ! C'est la wifi qui peut être piratée par n'importe qui ! Recevez une facture de 10 000 euros ! Payez d'abord et contestez en suite !
La Russie admet la militarisation du gaz et interrompt les expéditions de NS1 "jusqu'à la levée des sanctions" alors que l'UE se prépare à répondre à la crise énergétique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 06 SEPTEMBRE 2022 - 11:45
Poutine a fini de jouer.
Deux jours après que la Russie ait interrompu indéfiniment l'approvisionnement en gaz naturel via le gazoduc Nord Stream 1 pour la raison amusante qu'il y avait une "fuite de pétrole".
... lundi, la Russie a finalement admis ce que tout le monde savait depuis février - à savoir qu'elle avait militarisé les matières premières en réponse à la militarisation des monnaies par l'Occident (comme Zoltan Pozsar l'a toujours dit), lorsque le Kremlin a déclaré que l'approvisionnement en gaz de la Russie vers l'Europe via le gazoduc Nord Stream 1 ne reprendra pas complètement tant que «l'ouest collectif» ne lèvera pas les sanctions contre Moscou pour son invasion de l'Ukraine.
Le porte-parole de Poutine, Dmitri Peskov, a blâmé les sanctions européennes, britanniques et canadiennes pour l'incapacité de la Russie à livrer du gaz via le pipeline clé, qui achemine du gaz vers l'Allemagne depuis Saint-Pétersbourg via la mer Baltique.
"Les problèmes de pompage de gaz sont survenus à cause des sanctions que les pays occidentaux ont introduites contre notre pays et plusieurs entreprises", a déclaré Peskov, selon l'agence de presse Interfax. "Il n'y a aucune autre raison qui aurait pu causer ce problème de pompage."
Les commentaires de Peskov étaient la demande la plus sévère à ce jour du Kremlin pour que l'UE annule ses sanctions en échange de la reprise par la Russie des livraisons de gaz sur le continent. Cela confirme également que la Russie n'a plus besoin de prétendre qu'elle a besoin d'exporter des matières premières vers l'Europe - après tout, elle a plus qu'assez de demande en Chine et en Inde - et est disposée à donner à l'Europe juste assez pour s'enchaîner... eh bien, vous connaissez le le repos.
Vendredi, Gazprom a annoncé qu'il interromprait l'approvisionnement en gaz via Nord Stream 1 en raison d'un défaut technique, qu'il a imputé aux difficultés de réparation des turbines de fabrication allemande au Canada. Nous savons maintenant que c'était un homme de paille; et dans la dernière confirmation de qui a le dessus dans la querelle en cours sur les produits de base, l'UE avait déjà annulé certaines sanctions contre la Russie explicitement pour permettre la réparation des turbines. Les dirigeants européens ont déclaré que rien n'empêchait Gazprom d'approvisionner le continent en gaz et avaient accusé la Russie de "militariser" ses exportations d'énergie.
RépondreSupprimerPendant ce temps, comme nous l'avons signalé ce week-end, la Russie fournit toujours du gaz à l'Europe via des gazoducs de l'ère soviétique via l'Ukraine qui sont restés ouverts malgré l'invasion, ainsi que le gazoduc South Stream via la Turquie. Et dans une tournure ironique, le chef de l'opérateur ukrainien de transit de gaz a déclaré à Reuters que l'Ukraine pourrait "techniquement" remplacer la pleine capacité de Nord Stream 1 via le point d'entrée ukrainien de Sudzha. En d'autres termes, l'Europe paierait des milliards à Poutine pour que le gaz russe transite par l'Ukraine, la Russie utilisant les bénéfices pour combattre l'Ukraine...
Bien sûr, rien dans les "nouvelles" d'aujourd'hui ne devrait surprendre : les responsables russes ont peu caché leur espoir que la crise énergétique croissante en Europe sapera le soutien du bloc à l'Ukraine. "De toute évidence, la vie s'aggrave pour les gens, les hommes d'affaires et les entreprises en Europe", a déclaré Peskov. "Bien sûr, les gens ordinaires de ces pays auront de plus en plus de questions à poser à leurs dirigeants."
Une personne pas si ordinaire était Matteo Salvini, le chef du parti d'extrême droite italien de la Ligue, qui a déclaré que les sanctions occidentales contre la Russie ne fonctionnaient pas et nuisaient en fait à l'Italie, et suggérant que les pays alliés devraient reconsidérer leur approche. S'exprimant lors d'une conférence de dirigeants politiques dimanche sur le lac de Côme, Salvini a affirmé que les sanctions destinées à punir Moscou pour son invasion de l'Ukraine avaient en fait aidé la Russie, entraînant un excédent d'exportation de 140 milliards de dollars, au cours de l'année se terminant en juillet 2022. défendre l'Ukraine ? Oui", a déclaré Salvini. "Mais je ne voudrais pas que les sanctions nuisent davantage à ceux qui les imposent qu'à ceux qui en sont frappés."
L'ancien président russe Dmitri Medvedev a été encore plus explicite que Peskov, et après que le chancelier allemand Olaf Scholz a annoncé dimanche un programme d'aide de 65 milliards d'euros pour atténuer le coup de la flambée des factures énergétiques, Medvedev, désormais vice-président du conseil de sécurité russe, a déclaré que l'Allemagne "agissait en tant qu'ennemi de la Russie » en soutenant les sanctions contre Moscou et en fournissant des armes à l'Ukraine. « Ils ont déclaré une guerre hybride contre la Russie », a écrit Medvedev sur Telegram. "Et ce vieil homme semble surpris que les Allemands aient quelques petits problèmes avec le gaz."
RépondreSupprimerBien sûr, aucune des deux parties n'étant disposée à revenir sur son approche, quelques instants après les commentaires de la Russie, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a twitté que "Poutine utilise l'énergie comme une arme en coupant l'approvisionnement et en manipulant nos marchés de l'énergie", ce qui bien sûr qu'il fait en réponse à la militarisation des monnaies et des flux de capitaux par l'Occident.
Ajoutant que "Il échouera. L'Europe l'emportera", Van Der Leyen a confirmé ce que nous avons rapporté hier, à savoir que "la @EU_Commission prépare des propositions pour aider les ménages et les entreprises vulnérables à faire face aux prix élevés de l'énergie" et vise à :
Réduire la demande d'électricité (pointes)
Plafonnement des prix du gazoduc russe
Aider les consommateurs et les entreprises vulnérables grâce aux revenus du secteur de l'énergie
Permettre de soutenir les producteurs d'électricité confrontés à des problèmes de liquidité liés à la volatilité
Est-ce que ça marchera ? Bien sûr que non, car la Russie n'acceptera jamais de vendre à ces plafonds de prix imposants (d'autant plus que la Chine et l'Inde n'adhéreront jamais), tandis que les Européens ordinaires n'accepteront jamais de sacrifier volontairement leur propre confort sans savoir que tous les autres partagent également le charge. C'est pourquoi l'annonce du président français Macron, appelant à une réduction de 10 % de la consommation d'énergie du pays pour éviter le rationnement et les coupures cet hiver, n'aboutira à rien du tout et l'Europe n'aura d'autre choix que de se rationner dans quelques mois à l'arrivée du gel hivernal.
https://www.zerohedge.com/markets/russia-admits-weaponization-gas-halts-ns1-shipments-until-sanctions-lifted-eu-prepares
L'Allemagne annonce une autre relance énergétique de 65 milliards d'euros alors même que la BCE cherche à écraser la demande
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 06 SEPTEMBRE 2022 - 11:45
À une époque où la BCE fait tout ce qui est en son pouvoir pour arrêter et inverser l'hyperinflation énergétique de l'Europe en écrasant la demande alors qu'elle augmente les taux si haut qu'elle conduira à un chômage généralisé et à des récessions, inconscients du contrecoup politique qu'une telle décision déclenchera, les politiciens européens font exactement le contraire et inondent à nouveau tranquillement le système de milliards de fiatscos, sachant trop bien qu'ils seront tous des cadavres politiques si des dizaines de millions d'Européens gèlent l'hiver prochain.
C'est pourquoi quelques jours à peine avant que la BCE ne devrait relever ses taux de 75 points de base, le gouvernement allemand a dévoilé dimanche son troisième (jusqu'à présent) et dernier plan de plusieurs milliards d'euros pour aider les ménages à faire face à la flambée des prix, et a déclaré il envisageait les bénéfices exceptionnels des sociétés énergétiques pour aider à financer l'aide. Avec cette dernière décision - qui garantira aux entreprises énergétiques de dépenser encore moins en capacités futures et en investissements de croissance - l'Allemagne vient d'éviter tous les efforts de resserrement de la BCE, à l'instar de ce que fait l'administrateur Biden aux États-Unis.
Ass France 24 rapporte, avec des entreprises et des consommateurs allemands sous le choc des prix de l'énergie exorbitants, alors que la plus grande économie d'Europe cherche à se sortir de la dépendance à l'égard des approvisionnements russes à la suite de l'invasion de l'Ukraine par Moscou, le chancelier Olaf Scholz a dévoilé un autre 65 € milliards de dollars de relance pour « lutter contre l'inflation » (oui, quand il s'agit d'imprimer de l'argent pour écraser l'inflation, l'Europe est tout aussi intelligente que les États-Unis), l'annonce de mesures rapides pour se préparer à la saison froide à venir garantira que l'Allemagne « passera cet hiver ."
Le dernier accord, qui apporte un allègement total à près de 100 milliards d'euros depuis le début de la guerre en Ukraine, a été conclu dans la nuit de dimanche par la coalition au pouvoir à trois en Allemagne, composée des sociaux-démocrates de Scholz, des Verts et du FDP libéral.
Parmi les principales mesures figurent des paiements uniques à des millions de retraités vulnérables et un plan visant à écrémer les bénéfices exceptionnels des entreprises énergétiques. Bref, une nationalisation rampante du secteur de l'énergie.
Le gouvernement a pris des "décisions opportunes" pour éviter une crise hivernale, a déclaré Scholz, notamment en remplissant les réservoirs de gaz et en redémarrant les centrales au charbon.
RépondreSupprimerLa dernière annonce fait suite à deux précédents plans de secours totalisant 30 milliards d'euros, qui comprenaient une réduction de la taxe sur l'essence et un ticket de transport public populaire fortement subventionné. Mais avec l'expiration de bon nombre de ces mesures à la fin du mois d'août et la flambée des prix à la consommation, le gouvernement a subi des pressions pour fournir un nouveau soutien.
L'inflation a de nouveau augmenté à 7,9% en août, après avoir chuté pendant deux mois consécutifs grâce aux précédentes mesures d'allégement du gouvernement. L'envolée des prix de l'énergie devrait pousser l'inflation en Allemagne à environ 10 % d'ici la fin de l'année, son taux le plus élevé depuis des décennies.
Scholz a cependant déclaré que tout le monde ne souffre pas des prix à la consommation élevés. Certaines sociétés énergétiques qui n'utilisent peut-être pas le gaz pour produire de l'électricité "utilisaient simplement le fait que le prix élevé du gaz détermine le prix de l'électricité et gagnent donc beaucoup d'argent", a-t-il déclaré, faisant écho au redistributeur de richesse américain en -chef lui-même, qui vise également les bénéfices des entreprises énergétiques.
"Nous avons donc résolu de modifier l'organisation du marché de manière à ce que ces profits aléatoires ne se produisent plus ou qu'ils soient écrémés."
La réduction des bénéfices exceptionnels créerait "une marge de manœuvre financière qui devrait être utilisée spécifiquement pour alléger le fardeau des consommateurs en Europe", a déclaré le gouvernement dans son document d'orientation. Cette décision pourrait apporter des "milliards d'euros à deux chiffres" en secours, a estimé le ministre des Finances Christian Lindner lors de la conférence de presse.
Il n'était pas immédiatement clair si l'Allemagne avait la moindre idée du message catastrophique qu'elle envoyait aux entreprises énergétiques avec cette dernière tactique socialiste, qui garantit pratiquement l'effondrement de l'approvisionnement énergétique européen - après tout, si le gouvernement peut prendre votre durement gagné de l'argent en un tour de main, pourquoi investir dans la croissance. Bien sûr, avec l'Europe elle-même au bord de l'effondrement, elle traversera ce pont si jamais elle y parvient.
Et comme l'Allemagne est consciente que de telles mesures socialistes ne sont peut-être pas très populaires en Allemagne, le gouvernement Scholz a déclaré qu'il ferait pression pour que la décision soit d'abord mise en œuvre dans l'ensemble de l'Union européenne, avant d'aller de l'avant avec la mesure par elle-même.
Comme nous l'avons signalé dimanche, Bruxelles a déclaré lundi qu'elle préparerait une action "d'urgence" pour réformer le marché de l'électricité et maîtriser les prix. Scholz a déclaré qu'il s'attendait à ce que l'UE "traite rapidement" la question, ajoutant qu'il était "très clair que nous avons besoin de changements rapides dans ce domaine".
RépondreSupprimerRépétant son mantra selon lequel les Allemands "ne marcheront jamais seuls" à travers la crise énergétique, la chancelière a dévoilé une série de mesures, dont un paiement unique de 300 euros à des millions de retraités pour les aider à couvrir la hausse des factures d'électricité. Le gouvernement ciblera également les étudiants avec un petit transfert unique de 200 euros et une indemnité de chauffage pour les bénéficiaires d'allocations logement.
Berlin a également réservé 1,5 milliard d'euros pour les travaux d'un successeur au très populaire ticket mensuel à neuf euros sur les réseaux de transport locaux et régionaux.
Le programme de secours dans son ensemble devrait être financé sans prévoir de s'endetter davantage, a déclaré Lindner, ce qui bien sûr n'est qu'un autre mensonge.
"Ces mesures sont incluses dans les plans budgétaires existants du gouvernement", couvrant 2022 et 2023, a-t-il dit, le reste étant couvert par les mesures exceptionnelles de profit énergétique. Nous reviendrons sur cette déclaration particulière dans 6 mois... en supposant qu'il y a encore une Allemagne alors.
En ce qui concerne la situation dans son ensemble pour l'Europe, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander comment tout cela se termine lorsque la banque centrale se démène pour contenir l'hyperinflation énergétique en écrasant la demande (et en envoyant le coût de l'argent à travers la stratosphère) d'une part, tandis que de l'autre, chaque gouvernement européen envoie rapidement des incitations fiscales aux habitants, apparemment inconscients que c'est précisément ce que la BCE ne veut pas voir.
https://www.zerohedge.com/markets/germany-announces-another-eu65bn-energy-stimulus-even-ecb-seeks-crush-demand
Comme l'avait annoncé années 70 la 'fin du pétrole' !! (d'où son élévation de prix), le président Poutine pourrait dire ''Y a plus gaz because plus pétrole !" HAHAHAHA !
SupprimerAttention quand même si votre dictateur annonce demain "Y a plus air ni eau !" HAHAHAHAHAHAHAHAHA !
6 fabricants britanniques sur 10 risquent de fermer, avertit le groupe de pression alors que les prix de l'énergie montent en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 06 SEPTEMBRE 2022 - 11:00
Écrit par Thomas Brooke via Remix News,
Selon une enquête récente, jusqu'à six entreprises manufacturières britanniques sur 10 risquent de fermer, car la flambée des factures d'énergie et la crise plus large du coût de la vie font que les propriétaires ressentent la pression.
MakeUK, une organisation de pression industrielle au Royaume-Uni, a annoncé samedi que 42 % des fabricants ont vu leurs factures d'électricité augmenter de 100 % au cours des 12 derniers mois, et 32 % ont également vu leur facture de gaz doubler.
La hausse des prix a déjà vu 13% des fabricants réduire leurs heures de fonctionnement et 12% ont été contraints de supprimer des emplois en conséquence directe de l'augmentation des factures énergétiques. La majorité des entreprises préviennent que si les factures continuent d'augmenter cette année et augmentent de plus de 50% comme prévu, les fermetures et les licenciements "deviendront inévitables".
Le groupe de pression a publié lundi une proposition de plan de 100 jours pour le nouveau Premier ministre, Liz Truss, qui a été annoncé lundi.
Il comprend un appel à un budget d'urgence ; une demande visant à charger le Comité consultatif sur la migration (MAC) d'examiner la liste des professions en pénurie (SOL), qui décrit les postes clés très demandés au Royaume-Uni afin de permettre aux entreprises de recruter plus facilement à l'étranger ; et une refonte de la taxe d'apprentissage "pour garantir que les Britanniques comptent parmi les travailleurs les plus productifs et les plus qualifiés au monde".
La semaine dernière, la banque d'investissement américaine Goldman Sachs a prédit que l'inflation pourrait atteindre 22% au Royaume-Uni l'année prochaine si la hausse actuelle des prix de gros de l'énergie se poursuit comme prévu.
Le plafond des prix de l'énergie, qui limite le montant que les sociétés énergétiques peuvent facturer aux consommateurs nationaux au Royaume-Uni, pourrait augmenter de plus de 80 % lors de sa prochaine révision en janvier, ce qui, selon la banque, « impliquerait une inflation globale culminant à 22,4 % ».
L'inflation en Grande-Bretagne a atteint deux chiffres pour la première fois depuis les années 1980 en juillet, et si les estimations de Goldman Sachs devaient se réaliser, le coût de la vie au Royaume-Uni serait proche d'atteindre le record d'après-guerre du pays de 24,5 % d'inflation établi en Août 1975.
https://www.zerohedge.com/economics/6-10-uk-manufacturers-risk-closure-lobby-group-warns-energy-prices-soar
Oui mais attention ! Existent les pédales-vertes pour produire de l'énergie ! HAHAHAHA !
SupprimerLa terrifiante vacuité de Klaus Schwab
RépondreSupprimerUn examen de COVID-19: The Great Reset, l'un des livres les plus stupides, les plus fastidieux et les plus inutiles jamais écrits.
eugyppe
3 sept. 2022
Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : The Great Reset (Forum Press : Cologny/Genève, 2020). 280 p.
Comme beaucoup de mauvais livres, The Great Reset tombe dans une autobiographie occasionnelle par inadvertance. Dans les dernières pages en particulier, où Klaus Schwab écrit ses espoirs d'une "réinitialisation personnelle" par la répression de l'État, nous apercevons l'homme lors de la première vague de confinement chez lui à Cologny. Au début, il appréciait la rupture avec la routine et la possibilité de communier avec la nature, mais bientôt il commença à ressentir un malaise tenace. Il avait passé la plupart de ses années avant 2020 à flageller le «capitalisme des parties prenantes», son terme générique pour divers projets visant à désarmer les critiques du borg corporatif mondialiste et à coopter l'opposition de gauche. Schwab a réussi à transformer ses idées simplistes en un circuit de conférences internationales, connu aujourd'hui sous le nom de Forum économique mondial, où il pouvait côtoyer des célébrités d'entreprise et politiques et redorer sa réputation de méchant de Bond parmi les dissidents politiques. Mais la pandémie avait déséquilibré Schwab. Pour une fois, ses nostrums retraités sur les questions environnementales, sociales et de gouvernance d'entreprise n'étaient plus en demande; les virologues et les épidémiologistes et les courbes de croissance exponentielles ont rempli les nouvelles à la place. Ses puissants clients célèbres écoutaient soudainement d'autres personnes. L'obscurité planait.
Ainsi, Schwab a enrôlé son acolyte assistant de recherche Thierry Malleret, a démarré son ordinateur portable et a passé quelques mois à décanter le nuage de mots à la mode, de points de discussion et de présentations PowerPoint à moitié oubliées qui tourmentaient son cerveau en un document sinueux et complètement inutile. Quand il eut fini, il envoya le tout à la femme de Malleret pour une relecture, puis il ordonna à son propre Forum Press d'imprimer quelques milliers d'exemplaires. C'est ainsi qu'un autre lamentable exercice d'auto-édition se produisit.
The Great Reset n'est pas un livre qui commence par un argument tout formé, qu'il cherche à articuler à travers des preuves successives. Ce n'est pas non plus un livre qui trouve son but en cours de route. C'est de cette variété encore plus misérable, qui est toujours sur le point de découvrir ce que signifie dire, mais qui n'y arrive jamais tout à fait. J'ai une vision de Schwab dans son étude, tapant furieusement avec les index étendus comme un poulet bicéphale, rassemblant tous ses maigres pouvoirs pour reconstituer la pandémie très inattendue dans laquelle il s'est retrouvé, de sorte qu'elle pourrait mieux ressembler au genre d'acteur ESG mondial le capitalisme courtise la crise sur laquelle Schwab préférerait vraiment se prononcer. "Nous devons revenir à mes thèmes favoris", c'est ce que Schwab essaie de nous dire dans The Great Reset. C'est avant tout un livre d'enfant.
eugyppius : une chronique de la peste est une publication prise en charge par les lecteurs. peut-être êtes-vous abonné ?
RépondreSupprimerL'idée centrale de Schwab est que la pandémie va soit refaire, soit réinitialiser notre monde, et ainsi les dirigeants politiques et d'entreprise ont devant eux une occasion unique de reconstruire en mieux et de tout rendre plus conforme à l'ESG. Tout cela est assez clair, mais pour un homme qui a mis le mot "réinitialiser" dans son titre, il semble étrangement indécis sur la nature de cette réinitialisation et sur le rôle que le virus a joué dans sa réalisation.
Dans l'introduction, par exemple, on retrouve cette suite d'absurdités :
Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais. Rien ne reviendra jamais au sentiment de normalité « brisé » qui prévalait avant la crise car la pandémie de coronavirus marque un point d'inflexion fondamental dans notre trajectoire mondiale…. Des changements radicaux d'une telle conséquence se produisent que certains experts ont fait référence à une ère "avant le coronavirus" (BC) et "après le coronavirus" (AC). … (page 12)
Mais plus bas sur la même page, la confiance de Schwab semble faiblir, et il concède soudain que « par elle-même, la pandémie ne transformera peut-être pas complètement le monde », mais pourrait simplement « accélérer bon nombre des changements qui se produisaient déjà avant elle ». a éclaté. Six pages plus tard, il insiste à nouveau sur le fait que « à tout le moins… la pandémie accélérera les changements systémiques qui étaient déjà apparents avant la crise », mais dans le souffle suivant, il parle à nouveau d'une rupture nette, s'extasiant sur « les possibilités de changement et le nouvel ordre qui en résulte » qui « sont désormais illimités et uniquement liés par notre imagination » (p. 18). Puis dans sa conclusion, Schwab décide bizarrement que le virus n'est même pas si dangereux ; « la crise du coronavirus est (jusqu'à présent) l'une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues[d] » et « à moins que la pandémie n'évolue de manière imprévue, les conséquences… en termes de santé et de mortalité seront modérées » (p. 264f.) en comparaison. La véritable source de réinitialisation est en fait « le monde interdépendant d'aujourd'hui » où « les risques se confondent » (p. 247).
Le problème est que Schwab ne peut pas décider de se cacher dans la motte ou de saisir la basse-cour. Parfois, il veut que la pandémie soit un moment fondamentalement nouveau ; d'autres fois, il préfère faire dépendre Corona de toutes les mauvaises inégalités sociales, des déséquilibres climatiques et des non-soutenabilités en carbone qui sont plus son métier. La première position est plus cohérente et défendable en interne, mais elle risque de céder trop de place à un concept au-delà des préoccupations de Schwab ; ce dernier est profondément irrationnel mais permet à Schwab de faire de ses thèmes favoris l'explication de tout.
C'est plus que tout cette indiscipline de pensée qui fait de The Great Reset une expérience de lecture aussi odieuse. Schwab essaie toujours d'avoir les deux sens, il oublie toujours ce qu'il vient de dire il y a quelques paragraphes, il vous fait toujours perdre votre temps avec des listes, des détails et des descriptions non pertinents qui ne vont nulle part. Trop souvent, il perd tout contact avec les idées concrètes et disparaît dans un nuage de terminologie abstraite sans signification.
RépondreSupprimerPourquoi, par exemple, ces phrases devaient-elles être écrites ?
Une pandémie est un système adaptatif complexe comprenant de nombreuses composantes ou informations différentes (aussi diverses que la biologie ou la psychologie), dont le comportement est influencé par des variables telles que le rôle des entreprises, les politiques économiques, l'intervention gouvernementale, la politique de santé ou la gouvernance nationale... la gestion … d'un système adaptatif complexe nécessite une collaboration continue en temps réel mais en constante évolution entre un vaste éventail de disciplines et entre différents domaines au sein de ces disciplines. (p. 32f.)
Ou celui-ci ?
Les gouvernements … ont des outils à leur disposition pour passer à une prospérité plus inclusive et durable, en combinant l'orientation et les incitations du secteur public avec la capacité d'innovation commerciale grâce à une refonte fondamentale des marchés et de leur rôle dans notre économie et notre société. (p. 62)
Ces moments d'inutilité exceptionnelle sont partout dans The Great Reset, et j'ai une petite mais croissante collection de ce que je propose d'appeler Schwabisms. Ce sont là de brèves déclarations tellement tautologiques, banales ou bizarres qu'elles devraient embarrasser n'importe quel auteur. Des déclarations comme « Tout fonctionne désormais en accéléré » (p. 7) ; ou : « La complexité peut être définie comme ce que nous ne comprenons pas ou avons du mal à comprendre » (p.31) ; ou : « Si un observateur ne peut donner un sens à la « réalité » qu'à travers différentes lentilles idiosyncrasiques, cela nous oblige à repenser notre notion d'objectivité » (p. 121) ; ou : « La prédiction est un jeu de devinettes pour les imbéciles » (p. 126) ; ou : « De nombreux États présentant des caractéristiques de fragilité risquent d'échouer » (p. 127) ; ou : « Les scénarios dystopiques ne sont pas une fatalité » (p. 170) ; ou : « En période d'adversité, l'innovation prospère souvent – la nécessité est depuis longtemps reconnue comme la mère de l'invention » (p. 232).
Vous avez le sentiment non seulement d'un petit homme triste, luttant pour jouer le rôle de gourou de la gouvernance mondiale, mais aussi de son public tout aussi pathétique composé d'Hillary Clinton, d'Olaf Scholzes et d'Emmanuel Macron, qui entendent ces ordures et parviennent d'une manière ou d'une autre à les trouver perspicaces. et souhaitent y être associés. Quelle vie intellectuelle assombrie tous ces gens doivent mener.
Dans ses moments les plus audacieux, Schwab soutient que Corona ne s'est produit en premier lieu que parce que le monde n'a pas suffisamment adopté le changement climatique, la durabilité et le capitalisme des parties prenantes. Schwab veut vous faire croire que nous sommes au bord d'un "déficit de l'ordre mondial", auquel nous aurons besoin d'une "réinitialisation géopolitique" pour y remédier :
Dans ce nouveau monde désordonné défini par un changement vers la multipolarité et une concurrence intense pour l'influence, les conflits ou les tensions ne seront plus motivés par l'idéologie… mais stimulés par le nationalisme et la compétition pour les ressources. Si aucune puissance ne peut faire respecter l'ordre, notre monde souffrira d'un "déficit d'ordre mondial". (p. 104)
RépondreSupprimerUn point intéressant est le pessimisme de Schwab quant aux perspectives futures de la mondialisation. Il écrit que « l'hypermondialisation » (quelle qu'elle soit) « a perdu tout son capital politique et social et la défendre n'est plus politiquement tenable » (p. 112 sq.), et que même la mondialisation normale est en déclin. Ainsi, les politiciens doivent s'efforcer de "gérer" sa "retraite" en la rendant "plus inclusive et équitable", ainsi que "durable, tant sur le plan social qu'environnemental" (p. 112). Ce sont de curieux aveux, et si vous les prenez au pied de la lettre, vous commencerez à penser que l'ensemble de Davos se sent vraiment menacé, en particulier de la gauche, et qu'aucune petite partie de leur programme politique ne représente une sorte d'effort confus pour apaiser les adversaires imaginaires.
Schwab écrit que la pandémie s'est produite à cause « d'un vide dans la gouvernance mondiale » et parce que « la coopération internationale était inexistante ou limitée » (p. 115). Il révèle une véritable aspiration enfantine à la « gouvernance mondiale » (p. 118), de peur de se retrouver « dans un monde où personne n'est aux commandes » (p. 114). Le courant sous-jacent de la peur revient et la pandémie s'éloigne de la vue comme un simple exemple des types de catastrophes qui nous arriveront si les institutions mondialistes échouent :
Il n'y a pas de temps a perdre. Si nous n'améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance… Plus le nationalisme et l'isolationnisme envahissent la politique mondiale, plus grandes sont les chances que la gouvernance mondiale perde de sa pertinence. (p.113)
Ailleurs, Schwab tente de construire Corona en fonction de ses thèmes favoris en suggérant que la mortalité du virus est exacerbée par la pollution, ce qui, à son avis, augmente le « risque de pandémie » :
Nous savons maintenant que la pollution de l'air aggrave l'impact de tout coronavirus particulier (pas seulement l'actuel SRAS-CoV-2) sur notre santé… Aux États-Unis, un article médical récent a conclu que les régions où l'air est le plus pollué connaîtront des risques de décès plus élevés de COVID-19, montrant que les comtés américains avec des niveaux de pollution plus élevés subiront un nombre plus élevé d'hospitalisations et de décès. Un consensus s'est formé… qu'il existe un effet synergique entre l'exposition à la pollution de l'air et l'apparition possible de COVID-19, et un résultat pire lorsque le virus frappe. (p.139)
Schwab est vraiment, vraiment tendu ici. Premièrement, il y a l'étude en question, qui est absolument sans valeur car, comme l'admettent ses auteurs, leurs "analyses de régression écologique sont incapables de s'ajuster aux facteurs de risque au niveau individuel" et sont donc "incapables de tirer des conclusions concernant les associations au niveau individuel". ” Ces associations incluent des choses comme "l'âge" et la "race". À ce stade, vous mettez l'étude à la poubelle, d'accord ? Mais la situation s'aggrave, car Schwab semble penser que l'article est une sorte de projection future, alors qu'il s'agit en fait d'une étude observationnelle rétrospective. La dernière suggestion aventureuse de Schwab, selon laquelle, via un "effet synergique" hocus-pocus, la pollution pourrait en quelque sorte provoquer des infections virales n'est absolument pas étayée. Beaucoup, beaucoup de moments de The Great Reset sont comme ça - dès que vous commencez à vous en prendre à eux, tout s'effondre.
RépondreSupprimerUne dernière lutte délicate pour placer Corona en aval des échecs de durabilité survient lorsque Schwab déclare que, selon Science, c'est la destruction de l'environnement qui est la véritable cause des pandémies :
Aujourd'hui, un nombre croissant de scientifiques ont montré que c'est en fait la destruction de la biodiversité causée par l'homme qui est à l'origine de nouveaux virus comme le COVID-19. Ces chercheurs se sont regroupés autour de la nouvelle discipline de la « santé planétaire » qui étudie les liens subtils et complexes qui existent entre le bien-être des humains, d'autres espèces vivantes et des écosystèmes entiers, et leurs découvertes ont clairement montré que la destruction de la biodiversité augmenter le nombre de pandémies. (page 137)
Mis à part le génie récurrent de Schwab pour se tromper, ce n'est pas la "destruction de la biodiversité" qui est proposée comme "la source de nouveaux virus", mais la proximité croissante des populations humaines et des réservoirs animaux. Non, le point le plus intéressant ici, c'est à quel point Schwab se révèle mal informé, dans sa négligence totale de la fausse thèse du pangolin d'origine Corona. À la mi-2020, le sujet avait fait la une des journaux, et pourtant, Schwab a en quelque sorte échappé à Schwab, qui, par conséquent, manque tout un argument sur mesure pour son fastidieux récit de moralité. Il aurait pu nous régaler de paragraphes après paragraphes sur la façon dont seule la gouvernance mondiale peut supprimer le commerce des espèces menacées et nous sauver des virus mortels du pangolin, mais à la place, il a opté pour ce thé faible, car il n'a aucune idée de ce dont il parle.
Au fond, Schwab ne s'attend pas à ce que ses lecteurs croient que la pandémie s'est produite parce que nous n'avons pas fait les sacrifices appropriés aux idoles de l'ESG. Il propose donc la position alternative, que Corona ne dépend pas tant de la catastrophe environnementale et de la durabilité, car c'est le même type de catastrophe, ou du moins si étroitement interconnecté avec ces autres catastrophes potentielles que cela pourrait aussi bien être la même chose :
[E]n termes de risque mondial, c'est avec le changement climatique et l'effondrement des écosystèmes… que la pandémie correspond le plus facilement. Les trois représentent, par nature et à des degrés divers, des menaces existentielles pour l'humanité, et nous pourrions affirmer que COVID-19 nous a déjà donné un aperçu, ou un avant-goût, de ce qu'une crise climatique à part entière et l'effondrement des écosystèmes pourraient entraîner d'un point de vue économique. perspective … Les cinq principaux attributs partagés sont : 1) ils sont connus … des risques systémiques qui se propagent très rapidement dans notre monde interconnecté et, ce faisant, amplifient d'autres risques de différentes catégories ; 2) ils sont non linéaires, c'est-à-dire qu'au-delà d'un certain seuil, ou point de basculement, ils peuvent exercer des effets catastrophiques ; 3) les probabilités et la distribution de leurs impacts sont très difficiles, voire impossibles, à mesurer… ; 4) ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que d'une manière coordonnée à l'échelle mondiale ; et 5) ils affectent déjà de manière disproportionnée les pays et les segments de la population les plus vulnérables. (p. 133f.)
RépondreSupprimerSchwab inclut même un graphique totalement dénué de sens pour illustrer sa thèse bien-aimée sur l'hyperconnectivité, via laquelle tout devient automatiquement sur tout le reste :
De toute évidence, très peu de réflexions réelles ont été consacrées à ce graphique. Vous pouvez le dire en cherchant des choses qui ne sont pas liées mais qui devraient l'être - par exemple, il n'y a pas de ligne reliant les «armes de destruction massive» aux «catastrophes environnementales d'origine humaine», bien qu'aucune «catastrophe environnementale d'origine humaine» n'ait probablement été plus ardemment envisagé que l'hiver nucléaire. Schwab est principalement intéressé à fournir à ses lecteurs une esthétique académique et le sentiment qu'ils lisent quelque chose de sophistiqué et appris, même s'ils ne le sont pas.
Au moins, nous n'obtiendrons pas de blocages climatiques. Schwab est déçu par les projections selon lesquelles les restrictions du printemps 2020 ne réduiraient les émissions de carbone que de 8 % :
Compte tenu de la sévérité des confinements, [ce] chiffre semble plutôt décevant. Cela semble suggérer que les petites actions individuelles… sont de peu d'importance par rapport à la taille des émissions générées par l'électricité, l'agriculture et l'industrie… Même des verrouillages sans précédent et draconiens avec un tiers de la population mondiale confinée chez elle pendant plus d'un mois sont venus loin d'être une stratégie de décarbonisation viable car, même ainsi, l'économie mondiale a continué à émettre de grandes quantités de gaz carbonique… (p. 140f.)
Encore une fois, on est frappé encore et encore par l'ignorance et la naïveté apparentes de Schwab, même sur des sujets au centre de son expertise. Les gens ont depuis longtemps démontré que les restrictions à la consommation individuelle, en particulier en Occident, auront des effets très limités sur les résultats environnementaux. La plupart des émissions proviennent de la fabrication à l'étranger.
RépondreSupprimerJusqu'à présent, j'ai essayé de me concentrer sur les idées fondamentales de Schwab, pour montrer pourquoi elles sont absurdes, même selon leurs propres termes. Schwab se trompe sur beaucoup d'autres choses, et il y a de vrais hurleurs dans ces pages. Il y a sa croyance apparemment sincère que «l'ère post-pandémique inaugurera une période de redistribution massive des richesses, des riches vers les pauvres et du capital vers le travail» (p. 77). Lorsque vous aurez fini de rire, vous verrez que la déclaration repose sur des comparaisons historiques superficielles avec des choses comme la peste noire, qui a fait grimper le coût du travail en tuant des millions et des millions de paysans et d'artisans. Schwab ne voit pas qu'il n'y a pas d'équivalence entre une peste qui tue 40 % de la population européenne et un virus avec au mieux un IFR de 0,4%, avec des décès concentrés presque entièrement chez les personnes âgées à la retraite. C'est comme ça qu'il est stupide.
Ensuite, il y a ses étranges tentatives pour rendre la pandémie responsable des émeutes de Floyd, et son affirmation récurrente selon laquelle "la plus grande cause sous-jacente des troubles sociaux est l'inégalité" (p. 88) - ignorant le schéma historique clair selon lequel il libéralise les réformes et augmente les attentes qui déclenchent des soulèvements sociaux. Et il y a son insistance répétée sur le fait que les nations qui sont "perçues comme fournissant une réponse médiocre à la pandémie" (p. 98) peuvent faire face à une crise de légitimité, et "que de nombreux gouvernements seront pris à partie, avec beaucoup de colère dirigée contre les décideurs politiques et les personnalités politiques qui ont semblé inadéquats ou mal préparés en termes de réponse face à la COVID-19 » (p. 76). Tout ce qui s'est passé depuis que Schwab a écrit, bien sûr, c'est le rejet constant du confinement de masse, qui devient chaque jour plus ouvert.
Schwab n'a pas seulement tort ; c'est aussi un fluage, mais je suis loin d'être le premier à le remarquer, et il ne sert à rien d'aller très loin dans cet aspect de The Great Reset. Il envisage avec impatience les possibilités de surveillance de masse et a une érection évidente pour les applications de recherche de contacts, peut-être la mesure de confinement la plus ouvertement discréditée de toutes. Il écrit avec joie que la pandémie a donné aux gouvernements « le dessus » et espère que « tout ce qui se passe dans l'ère post-pandémique nous amènera à repenser le rôle des gouvernements » (p. 91). Il cite également avec approbation les théories de l'économiste Dani Rodrik, selon lesquelles « la mondialisation économique, la démocratie politique et l'État-nation sont mutuellement inconciliables » (p. 107) - embrassant les implications inconfortables que son programme se fait au détriment du gouvernement national et de notre institutions parlementaires.
C'est moi qui souligne. Schwab veut désespérément que Corona soit le même type de crise que le changement climatique, car par profession, il ne s'intéresse qu'aux problèmes qui nécessitent des niveaux de coordination supranationaux. Dommage pour lui, ce n'est pas ainsi que la pandémie a fonctionné. Les institutions mondiales n'ont qu'un rôle mineur à jouer dans la riposte à la pandémie ; les premiers moteurs étaient dans tous les cas les bureaucraties nationales. Schwab et compagnie ont passé toute leur vie à essayer de mettre tout le monde dans les bras du réchauffement climatique, mais ils n'ont jamais été près de réaliser l'enthousiasme et l'adhésion bureaucratique que le confinement de masse a obtenus en l'espace de quelques semaines. The Great Reset n'est rien d'autre qu'une tentative de 300 pages pour faire face à cette réalité maladroite.
RépondreSupprimerLa foule de Davos se considère comme des résolveurs de problèmes post-idéologiques et technocratiques, mais il est impossible de nier qu'une sorte de système idéologique abstrus et malformé imprègne le travail de Schwab. C'est peut-être trop disgracieux et cassé pour être reconnu ou défendu, et c'est remarquablement difficile à décrire, mais c'est là. L'optimisme d'après-guerre et les générations de progrès technologique ininterrompu qui ont suivi ont encouragé certaines personnes à croire que nous étions au bord d'un nouveau monde, un monde où un ordre mondial utopique supplanterait à la fois les États-nations et les entreprises, inaugurant un monde post-capitaliste, post -ère nationaliste, où tous nos problèmes les plus urgents seraient résolus. Pourtant, les États-nations sont restés, les entreprises à but lucratif sont toujours là et le progrès technologique est au point mort. Ce qui reste est beaucoup de jargon et de vacuité, ne signifiant rien.
https://www.eugyppius.com/p/the-terrifying-vacuity-of-klaus-schwab?utm_source=substack&utm_medium=email
Covid-19 est le meurtre des personnes âgées
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
5 septembre 2022
Dans le film de 1973, Soylent Green, un détective de la police de New York découvre que la population extrêmement surpeuplée et pauvre de la ville - qui se nourrit de nourriture gouvernementale transformée, appelée Soylent - mange maintenant sans le savoir des humains décédés. C'est de cela que Soylent Green est fait. C'est le terrible secret. Quel est le secret maintenant ? Tout est là dans la littérature open source…
par Jon Rappoport
2 septembre 2022
Remarque : Je republie cet article pour garder la vérité dans le dossier. Il peut facilement glisser.
Nous y voilà:
Le virus SARS-CoV-2 n'existe pas.
Les tests de diagnostic supposés n'ont aucun sens.
Les numéros de cas n'ont aucun sens.
Les personnes décédées sont décédées pour de multiples raisons, dont aucune n'a rien à voir avec le SRAS-CoV-2.
J'ai passé l'année dernière à écrire plus de 300 articles, fournissant des preuves convaincantes des affirmations ci-dessus.
Il y a «des personnes décédées qui sont des décès ÉTIQUETÉS COVID». AKA "réalité officielle". AKA "mensonges officiels".
Qui sont ces gens ? En gros, qui sont-ils ?
Voici deux déclarations.
The Kaiser Family Foundation, 24 juillet 2020 : « Les adultes de 65 ans et plus représentent 16 % de la population américaine, mais 80 % des décès dus au COVID-19 aux États-Unis… »
AARP, 1er avril 2021 : « 95 % des décès dus au COVID-19 aux États-Unis sont survenus chez des personnes de 50 ans ou plus.
Un membre du groupe de travail sur les coronavirus de Biden, le Dr Zeke Emanuel, a déclaré un jour qu'il n'y avait aucune raison pour que les gens veuillent vivre au-delà de 75 ans. Entrez simplement doucement dans cette bonne nuit.
Eh bien, ce qu'on appelle COVID, ce sont les personnes âgées.
Mon premier indice sur les personnes âgées est venu d'un rapport publié par l'Institut national italien de la santé au début de la «pandémie». Il a déclaré que l'âge moyen des personnes mourant du COVID dans le pays était de 79,5 ans. Cet indice était de la taille d'un porte-avions stationné devant votre maison.
Peu de temps après le rapport italien, l'Institut de la santé s'est éteint. Aucune autre recherche n'a été publiée. Aucune mise à jour. Ils avaient parlé hors de l'école et quelqu'un les avait giflés à la tête.
Des articles de presse open source ont révélé que la «surmortalité» de 2020 était en grande partie le résultat du décès de personnes âgées dans des maisons de retraite.
Cela n'a rien à voir avec un virus.
Cela a à voir avec des patients qui sont DÉJÀ sur une longue pente de santé vers le bas. Ils ont DÉJÀ de multiples problèmes de santé. Pendant des années, voire des décennies, ils ont été pilonnés avec des médicaments toxiques, affaiblissant leur corps et détruisant leur système immunitaire...
Et PUIS ils sont frappés par la TERREUR d'un diagnostic arbitraire et faux de COVID-19—
Et ALORS, ils sont isolés et coupés de leur famille et de leurs amis, dans des établissements où la négligence et l'indifférence flagrantes sont trop souvent la « norme de soins ». ALORS, ils sont traités avec des médicaments toxiques et destructeurs comme le Remdesivir et le Midazolam.
La mort est le résultat direct.
RépondreSupprimerMort prématurée forcée.
Ces patients se replient et meurent.
Les gestionnaires de l'information sur la pandémie racontent le gros mensonge. Ils racontent des histoires sur le « virus » ayant un impact plus important sur les personnes âgées.
Non, l'HISTOIRE d'un virus a de l'impact. La terreur a l'impact mortel. L'isolement a un impact mortel. La terreur et l'isolement portent le coup de grâce.
Dans une mesure étonnante, COVID-19 est une CATASTROPHE DE MAISON DE SOINS INFIRMIERS.
Meurtre de masse par cruauté.
Note aux enquêteurs financiers : Calculez combien d'argent le gouvernement et les assureurs privés économisent, car ils n'ont pas à continuer à payer pour les soins de longue durée de toutes les personnes âgées qui meurent prématurément dans des maisons de retraite. Le nombre d'argent sera stupéfiant.
Tony Fauci connaît l'escroquerie. Il sait que COVID-19 concerne les personnes âgées. Les gens meurent de la peur qu'il promeut. Fauci n'a aucune honte. C'est un porte-parole de Bill Gates et David Rockefeller.
Le mal imprègne l'opération COVID. Les personnes âgées en EHPAD sont la première cible. Les faire mourir plus tôt est la tactique, afin d'augmenter les faux chiffres de mortalité COVID.
Sans ces faux numéros, toute la « pandémie » serait exposée en une heure.
J'ai dit qu'il y avait deux événements clés dans l'imposition de toute la fiction vicieuse du COVID - le régime chinois enfermant 50 millions de citoyens du jour au lendemain sans raison médicale valable, donnant le feu vert à l'Organisation mondiale de la santé et au CDC pour "suivre le nouveau modèle"; et la projection informatique des décès financée par Bill Gates, élaborée par Neil Ferguson, qui a menti entre ses dents lorsqu'il a affirmé qu'un demi-million de personnes pourraient mourir au Royaume-Uni et deux millions aux États-Unis d'ici l'été 2020 - fournissant ainsi la finale "justification" des confinements.
Le troisième événement clé a été et reste l'attaque soutenue contre les personnes âgées.
Tuez ces personnes avec terreur et isolement, et faites grimper le nombre de morts.
Au 22 mai 2020, Forbes a rapporté que « … dans les 43 États qui rapportent actuellement de tels chiffres, 42 % de tous les décès dus au COVID-19 ont eu lieu dans des maisons de soins infirmiers et des résidences-services.
Washington Post, 18 mai 2020 : "L'Organisation mondiale de la santé a déclaré que la moitié des décès dus au Covid-19 en Europe sont survenus dans de tels établissements."
Titre du même article du Post : « La crise des foyers de soins infirmiers au Canada : 81 % des décès dus au coronavirus [dans le pays] surviennent dans des établissements de soins de longue durée.
The Guardian, 16 mai 2020 : "Environ 90 % des 3 700 personnes décédées du coronavirus en Suède avaient plus de 70 ans, et la moitié vivaient dans des maisons de soins, selon une étude du Conseil national suédois de la santé et du bien-être à la fin D'avril."
RépondreSupprimer"Le pays [l'Espagne] a été choqué fin mars lorsque le ministre de la Défense a révélé que des soldats mobilisés pour désinfecter des résidences avaient trouvé des personnes âgées abandonnées et mortes dans leur lit."
"... les gouvernements régionaux de Madrid et de Catalogne ont publié leurs propres chiffres sur les personnes décédées dans des maisons de retraite..."
« À Madrid, le total des décès dus au Covid, ou au Covid présumé, depuis le 8 mars s'élevait à 5 886 jeudi. En Catalogne, c'était 3 375. Entre eux, les décès dans les foyers de soins dans les deux régions représentent plus d'un tiers de tous les décès par coronavirus dans le pays.
Et il y avait beaucoup d'alertes précoces sur le sujet, si quelqu'un des agences de santé publique voulait y prêter attention - The Guardian, 13 avril 2020 : "Environ la moitié de tous les décès de Covid-19 semblent se produire dans des maisons de soins dans certains Pays européens… Des données instantanées provenant de diverses sources officielles montrent qu'en Italie, en Espagne, en France, en Irlande et en Belgique, entre 42% et 57% des décès dus au virus se sont produits à domicile, selon le rapport d'universitaires basés à la London School of économie (LSE).
Ces chiffres des maisons de retraite ne donnent qu'une image partielle. Considérez le NOMBRE ÉNORME de personnes âgées déjà malades qui sont fondamentalement dans la même situation À LA MAISON - terrifiées par la propagande COVID, enfermées, isolées ; puis meurent - et aussi ceux qui parviennent à se rendre à l'hôpital, où ils sont mis sous respirateur artificiel, fortement sédatés et tués.
The Hill, non daté (fin avril 2020), a rendu compte de « données… recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l'État de New York. L'étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) examine 5 700 patients hospitalisés pour des infections à coronavirus dans la région de New York, avec des résultats finaux enregistrés pour 2 634 patients. L'âge moyen des patients était de 63 ans... Pour le groupe d'âge suivant, celui des 66 ans et plus, les patients sous ventilation mécanique ont enregistré un taux de mortalité de 97,2 %.
Et pourtant, le traitement de la mort par ventilateur continue. Tout comme le traitement au remdesivir, un médicament hautement toxique.
Le New York Times (27 juin 2020) a rapporté que 43% de tous les décès dus au COVID aux États-Unis se produisaient dans des maisons de soins infirmiers et d'autres établissements de soins de longue durée pour personnes âgées. Dans au moins 24 États, plus de 50 % de tous les décès par COVID se produisaient dans ces établissements. Le Times a omis de mentionner les décès de personnes âgées dans les hôpitaux ou, à la maison, coupées de leur famille et de leurs amis. La situation est bien pire que ne le prétendait le Times.
RépondreSupprimerCOVID, ce sont les personnes âgées. Poussé à la mort.
C'est un meurtre de masse.
Derrière les directives, les demandes, les déclarations et les déclarations oh si bienveillantes des politiciens et des responsables de la santé publique, c'est un meurtre de masse.
Imaginez que VOUS ayez 80 ans. Depuis des années, vous souffrez de plusieurs problèmes de santé graves. Pendant des années, les médecins vous ont donné de nombreux médicaments toxiques, détruisant votre système immunitaire, affaiblissant votre corps, affectant votre jugement. Arrive une fausse histoire sur un virus mortel. Chaque fois que vous allumez le poste de télévision, c'est là, cette histoire effrayante. Vous êtes terrifié. Peut-être que le virus vous rendra visite. Et puis un jour, votre médecin vous fait passer un test, ou regarde simplement vos symptômes cliniques et dit oui, vous l'avez. Le virus. Vous êtes infecté. Votre terreur s'intensifie. Votre pire cauchemar est devenu réalité. Et du coup, tu es isolé chez toi, seul, ou tu es enfermé dans ta chambre en EHPAD, coupé de ta famille et de tes amis. Jour après jour, semaine après semaine. Qu'est-ce que tu ferais ?
Il y a de fortes chances que vous ne voyiez aucun intérêt à vivre. Tu abandonnerais et mourrais.
L'opération appelée COVID concerne les personnes âgées. Tuer des personnes âgées.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/09/jon-rappoport/covid-19-is-the-murder-of-old-people/
Finance ‘Guru’ révèle l’effondrement financier et les données des piqûres de COVID
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
5 septembre 2022
Dans cette vidéo, j'interviewe Edward Dowd, un « gourou »1 des fonds spéculatifs et ancien gestionnaire de portefeuille d'actions pour BlackRock, l'un des deux plus grands gestionnaires d'actifs au monde, Vanguard étant l'autre. Au cours des deux dernières années, Dowd s'est courageusement avancé pour sensibiliser les gens aux dommages collatéraux de la pandémie de COVID.
- voir clip sur site -
Par exemple, début mars 2022, Dowd a partagé des statistiques de mortalité sur Steve Bannon's War Room2, montrant que les milléniaux âgés de 25 à 44 ans avaient une augmentation de 84 % de la surmortalité à l'automne 2021.
Une éducation dans les hauts et les bas
Dowd s'est intéressé à la finance dès sa sortie de l'université. Il a obtenu un emploi chez HSBC Holdings, la plus grande banque d'Europe, en tant que vendeur institutionnel de titres à revenu fixe, vendant des obligations.
"C'était une éducation de cinq ans sur ce qui se passe réellement sur les marchés des capitaux", dit-il, "et tout ce que vous apprenez dans les manuels est de la foutaise... J'ai appris sur Wall Street, comment cela fonctionnait et comment cela était incité.
À l'époque où j'étais vendeur d'obligations de 1990 à 1995, il y a eu un tas de scandales. Wall Street est essentiellement une opération d'expansion et de récession. Il y a généralement un boom créé par la Réserve fédérale qui injecte de l'argent dans le système. Ils ne contrôlent pas où va leur argent et Wall Street en profite. Et généralement, cela se termine par une fraude.
Le scandale du début des années 90 était la fraude avec les titres adossés à des créances hypothécaires. Il y avait une grande entreprise de Wall Street qui a fait faillite parce qu'elle avait des métiers dans le tiroir. Les systèmes informatiques n'étaient pas aussi robustes, donc certains commerçants cachaient des pertes et cette entreprise a fait faillite.
Chose intéressante, BlackRock à l'époque a aidé à résoudre ce problème. Ils avaient des systèmes informatiques [le système Aladdin] qui aidaient à analyser les titres adossés à des créances hypothécaires… c'est essentiellement un logiciel de gestion des risques.
Donc, j'ai appris les moteurs de Wall Street, mais je voulais me lancer dans les affaires boursières. Je suis retourné à l'école de commerce de l'Université de l'Indiana, j'ai obtenu mon diplôme en 1997 et je suis allé à Wall Street chez Donaldson, Lufkin & Jenrette, où j'étais un analyste des services publics d'électricité au bout du couloir des gens d'Internet qui faisaient toutes les introductions en bourse [offres publiques initiales ].
Fondamentalement, la fraude sur les introductions en bourse était dans toutes les maisons d'investissement, et ce n'était pas une fraude dure, c'était une fraude douce. Ils ne faisaient tout simplement pas preuve de la diligence raisonnable que les institutions avaient l'habitude de faire. Avant d'introduire une société en bourse, ils s'assuraient que la société avait des revenus, et à la fin des années 90, cela a été abandonné.
RépondreSupprimerDonc, beaucoup d'entreprises sans revenus et juste des idées ont été introduites en bourse… Finalement, la Fed [Réserve fédérale] a fait ce qu'elle a fait. Ils ont resserré les taux d'intérêt, la bulle a éclaté et toute une série de fraudes d'entreprise ont été révélées : WorldCom, Enron, Lucent Technologies, Nortel Networks.
Après cet effondrement, la Réserve fédérale a recommencé à imprimer de l'argent et, en 2008, la bulle immobilière a éclaté, entraînant une récession massive. Je décris les forces à l'œuvre - alors et maintenant - dans "Qui est derrière l'effondrement économique?" Au moment de cet effondrement économique, Dowd travaillait pour State Street Investment Research, qui a été racheté par BlackRock.
Les gestionnaires d'actifs et la cabale mondiale
Pour beaucoup, BlackRock semble jouer un rôle important dans les efforts de la cabale mondialiste pour inaugurer The Great Reset. Dowd, ayant signé un accord de non-dénigrement, n'est pas libre de discuter de son point de vue sur BlackRock, mais il peut parler d'acteurs similaires, tels que Blackstone et Vanguard, ce dernier étant une institution de taille similaire.
"Je ne crois pas qu'ils contrôlent ces sociétés [les sociétés dans lesquelles ils détiennent des actions], mais ils ont une influence négative, sur laquelle Charlie Munger de Berkshire Hathaway a écrit", déclare Dowd.
« Fondamentalement, en raison de la croissance des FNB passifs [fonds négociés en bourse], le vote de ces actions revient aux cadres supérieurs de l'entreprise. Et donc, il y a une certaine influence chez Vanguard sur certains votes du conseil d'administration.
À l'époque… la plupart des inégalités monétaires étaient gérées par des gestionnaires de portefeuille fondamentaux. J'avais l'habitude de voter pour le conseil d'administration, mais comme nous étions très occupés, nous avions environ 80 entreprises dans notre portefeuille, il y avait une société appelée Institutional Shareholder Services, ISS, qui nous aidait à déterminer les votes.
C'était un système logiciel qui analysait toutes les propositions et nous disait ensuite comment voter en conséquence. Et, si nous voulions retenir un vote ou modifier un vote, nous le ferions. Il semble donc y avoir une concentration du pouvoir dans les votes. Auparavant, le vote était plus réparti entre de très nombreuses personnes différentes.
Donc, ils ne contrôlent pas [les entreprises qu'ils possèdent]. Vanguard et BlackRock sont des agents. Ils gèrent l'argent des autres. Mais ils votent sur certaines des propositions du conseil d'administration. Donc, ils ne prennent pas le téléphone et n'appellent pas Bourla chez Pfizer et disent: "Faites ce que nous disons." C'est une influence plus douce.
Mais je crois qu'en tant que concentration de parts de marché, Vanguard et BlackRock sont les plus grandes sociétés de gestion d'actifs d'investissement passif. Charlie Munger avait un point que c'est trop de prise de décision entre trop peu de mains.
Encore une fois, je ne pense pas qu'ils dirigent les entreprises. Mais là où il y a une concentration de pouvoir, il y a certainement des choses qui peuvent mal tourner et qui ne sont pas exactement au-dessus de la planche, mais je n'ai aucune preuve de cela. C'est juste au moment où le pouvoir est concentré que de mauvaises choses se produisent généralement.
RépondreSupprimerDonner un coup de pied à l'apocalypse financière peut sur la route
Dernièrement, j'ai écrit de nombreux articles sur l'effondrement financier à venir. Les signes mondains pointent tous dans cette direction, et selon Dowd, c'est une certitude mathématique.
Le système de la Réserve fédérale, qui est un système monétaire basé sur la dette, a été créé en 1913, la même année que l'IRS et le système fiscal ont été créés. Le système de création d'argent par la dette est intrinsèquement frauduleux. Au début, les banques prêtaient la dette et la dette se retrouvait dans différents domaines de croissance, qui s'échauffaient alors. La fraude s'est produite parce que l'argent était trop facile, mais c'était surtout une fraude du marché libre.
À la fin des années 90, la fraude d'entreprise a pris le dessus et nous avons eu une correction boursière de 50 %. La Réserve fédérale a réagi en ouvrant le robinet de l'argent : elle a abaissé les taux d'intérêt et l'argent s'est retrouvé sur le marché immobilier, qui s'est transformé en une bulle insoutenable.
Les biens immobiliers étaient hypothéqués au moyen de titres de créance collatéraux et de titres adossés à des hypothèques. Wall Street a augmenté ses bilans de 20 contre 1, 30 contre 1 pour gagner de l'argent et a pensé que la fête durerait éternellement. Mais inévitablement, la Fed a commencé à augmenter les taux d'intérêt et tout s'est effondré.
Selon Dowd, le problème de cette fraude bancaire était qu'elle était de nature systémique. Les banques centrales ont dû intervenir et acheter cette dette frauduleuse. Ainsi, cette fraude reste encore, aujourd'hui, sur le bilan de la Réserve fédérale et sur les bilans d'innombrables autres banques. En d'autres termes, la fraude n'a pas disparu. C'était juste cuit et caché.
L'effondrement financier est une certitude mathématique
"Ensuite, les gouvernements, parce que l'économie s'est effondrée à l'échelle mondiale, ont commencé à dépenser comme des marins ivres", explique Dowd. "Les 12 dernières années ont été un gonflement de ce que j'appelle la bulle banque centrale-gouvernement, la bulle des obligations souveraines."
Qui va sauver cette bulle ? Qui sera l'acheteur de toute cette dette lorsque cette bulle explosera enfin ? Réponse : Personne. Beaucoup de ceux qui sont au courant de la situation sont simplement surpris que le système ait duré aussi longtemps.
Il semblait qu'il était prêt à éclater en 2019, puis, commodément, COVID est apparu, qui a accordé des pouvoirs d'urgence à toutes les banques centrales. Les gouvernements se sont lancés dans une autre frénésie de dépenses, en imprimant de l'argent, ce qui leur a permis de lancer la proverbiale boîte sur la route pendant encore deux ans.
"Nous sommes ici en 2022 et ça se défait à nouveau", dit Dowd. «Et la raison pour laquelle COVID était important est que la Réserve fédérale a pu combler le trou dans ce qui commençait à devenir une crise de la dette de liquidité.
RépondreSupprimerIls ont imprimé 65% d'argent en plus. La masse monétaire a augmenté de 65% d'une année sur l'autre en 2020, et cela a pu la masquer. Ensuite, quand l'économie a été arrêtée, c'était un choc externe, pas un choc interne, donc quand ils ont rouvert avec tout l'argent dans le système, nous avons eu une reprise pendant un an et demi. Les marchés boursiers sont devenus fous, les marchés du crédit sont devenus fous et nous sommes remontés.
Mais nous voici deux ans plus tard, [with] l'inflation causée par les mauvaises politiques de l'administration Biden, l'UE, la croissance monétaire… aussi, COVID a cassé beaucoup de chaînes d'approvisionnement… Fondamentalement, nous n'avions pas eu d'inflation dans les biens et services depuis 12 ans. Nous avons eu de l'inflation dans les actifs, les actions et les obligations.
Ce qui se passe maintenant, c'est que l'économie réelle ressent les effets de l'inflation, des mauvaises politiques. Nous commençons à voir le dollar américain monter, et le dollar est une monnaie de réserve du monde. Au cours des 22 dernières années, il y a eu une croissance phénoménale de ce qu'on appelle la dette libellée en dollars... Nous avons environ 15 000 milliards de dollars de dette libellée en dollars.
Donc, quand vous voyez le dollar monter, cela indique une crise de la dette parce que l'argent devient rare. Il y a moins de dollars là-bas. Les gens se bousculent pour les dollars. Et la raison pour laquelle je pense que nous allons nous effondrer de manière imminente, c'est que nous n'avons jamais vu de cycle d'inflation des matières premières avec une hausse du dollar en même temps...
Vous pouvez faire valoir que c'est intentionnel parce que les politiques sont si mauvaises qu'elles arrêtent la production d'énergie. Avant la guerre d'Ukraine, le premier décret de Biden au premier jour de son administration consistait à fermer le pipeline Keystone. Donc nous en sommes là. Je pense que nous sommes à la fin.
Le COVID a fourni une couverture aux banques centrales et aux gouvernements, mais il a également permis un système de contrôle. Si tout va s'effondrer, ne serait-il pas agréable d'avoir un système de contrôle où les voyages sont limités, vous pouvez le blâmer sur un virus, vous créez des passeports de vaccins, qui sont ensuite liés aux identifiants numériques, puis à la monnaie numérique de la banque centrale. Donc, je pense que COVID était une excuse pratique.
Au fil du temps, je commence à penser que c'était un plan. Je n'ai pas de preuves, mais le fait que nous n'arrêtons pas ce qui se passe me suggère que c'est une conspiration d'intérêts, et ils ne veulent pas arrêter le déploiement de ces vaccins.
Et plus cela dure, plus je deviens convaincu que COVID était peut-être un plan. J'avais l'habitude de dire que c'était une excuse commode, mais plus cela dure, plus cela devient ridicule. Donc, je pense qu'il y avait une mauvaise intention.
Une question de quand
RépondreSupprimerDowd pense que l'effondrement financier initial se produira dans les six à 18 prochains mois, ou au plus 24 mois. Si les marchés boursiers deviennent sérieusement déséquilibrés et que nous commençons à subir des baisses de plus de 40% des indices, la Réserve fédérale pourrait commencer à acheter des actions, ce qui entraînerait un système néo-féodal qui ne ferait qu'amplifier les écarts déjà existants entre les avoirs et les n'en ont pas. La raison en est, explique Dowd, que :
"Il n'y a pas de mécanisme de marché pour punir qui que ce soit pour avoir pris de mauvaises décisions. Leurs mauvaises décisions sont renflouées par les banques centrales. L'aléa moral est si élevé que si vous êtes juste un cadre supérieur dans une grande entreprise du Fortune 500, vous allez devenir incroyablement riche et ne pas avoir à être vraiment bon. Vous allez être l'un des seigneurs et des ouvriers et tout le monde va avoir du mal à joindre les deux bouts.
C'est ce qui se passe depuis 12 ans. L'économie a été en grande partie une économie de grands et de ceux qui sont proches de la machine à imprimer… Si vous essayez de créer une petite entreprise, si vous êtes un travailleur dans l'une de ces sociétés et que vous n'obtenez pas beaucoup d'options d'achat d'actions, vous n'avancez pas.
Pourquoi Dowd a commencé à parler du COVID Jab
Dowd, qui vit à Maui, s'est d'abord impliqué dans la lutte anti-jab lorsque les mandats ont été déployés. À Maui, vous deviez avoir un passeport vaccinal juste pour entrer dans un restaurant ou une salle de sport.
"Je me méfiais de ces piqûres dès le départ", dit-il, "parce que je savais deux choses : l'opération Warp - tout ressemble à un désastre. Sérieusement. Et n° 2, c'était expérimental, et je savais que la plupart des vaccins nécessitaient sept à 10 ans de données de sécurité pour être vérifiés avant d'être mis dans les bras des gens.
Donc, je pensais juste que tout le monde serait comme moi – rationnel – et ne le prendrait pas. Puis, quand j'ai vu la machine de propagande, la pression sociale, j'ai su que quelque chose d'autre se tramait, que quelque chose se passait, et c'est là que je me suis super impliqué. J'ai commencé à aller à des rassemblements à Maui. J'ai commencé à rencontrer des personnes partageant les mêmes idées et c'est ainsi que j'ai rencontré le Dr [Robert] Malone ici à Maui.
Maintenant, je fais partie de l'équipe qui essaie d'exposer ce crime. Quand j'ai rencontré [Malone] en octobre 2021, je lui ai dit que je soupçonnais qu'il se passait beaucoup de mauvaises choses avec les vaccins… J'ai dit que je surveillerais les compagnies d'assurance et les entreprises de pompes funèbres, et si ma thèse était correct, ils apparaîtraient dans ces résultats - et bien sûr, ils l'ont fait.
Le choix de se concentrer sur des bases de données non gouvernementales était prémonitoire, car le CDC a commencé ces derniers mois à compromettre les statistiques de mortalité. Ils sont censés mettre à niveau les serveurs et recharger les données de mortalité toutes causes confondues, et maintenant des dizaines de milliers de rapports de décès sont manquants.3
RépondreSupprimerLa mortalité toutes causes confondues est un paramètre crucial pour tout médicament
"J'utilisais le mot fraude assez généreusement à l'automne 2021 en ce qui concerne Pfizer", dit Dowd, et dès qu'il a vu que la FDA voulait cacher les données de Pfizer pendant 75 ans, il a été totalement convaincu. "C'est une preuve prima fascia de dissimulation", dit-il. Maintenant, alors que ces documents commencent à couler, à un rythme de 55 000 pages par mois, nous en venons à réaliser ce que la FDA et Pfizer étaient si désireux de cacher.
"Le paramètre de mortalité toutes causes confondues, c'est quelque chose dont nous devons parler. Normalement, si vous êtes une société de biotechnologie à produit unique et que vous effectuez un essai clinique qui échoue au critère de mortalité toutes causes confondues, le médicament n'est pas approuvé [par la FDA].
En fin de compte, si le risque est supérieur au bénéfice, cette chose n'est pas approuvée. Le paramètre de mortalité toutes causes confondues pour le vaccin Pfizer, lorsqu'ils ont vanté son efficacité, ils ont commodément caché ce point de données à tout le monde. Il est sorti dans la demande FOIA à l'automne et, encore une fois, le procès n'a duré que 28 jours.
C'est aussi tout simplement sans précédent. Ainsi, en 28 jours, il y a eu quelque chose comme 23 décès dans le groupe vaccin et 17 dans le groupe placebo, ce qui donne un excès de mortalité toutes causes de 23 %. Il n'aurait pas dû être approuvé uniquement pour cela. C'est de la fraude à mon humble avis."
Comme l'a noté Dowd, l'un des contre-arguments les plus remarquables à sortir d'un litige pour fraude contre Pfizer ces derniers mois est que les avocats de Pfizer affirment que même s'il y a fraude, Pfizer ne peut pas être poursuivi parce que le gouvernement le savait. "Pourquoi n'est-ce pas le plus gros titre dans les médias grand public ?" demande Dowd. "Seuls ceux d'entre nous dans la chambre d'écho qui sont au courant de ce problème semblent le savoir."
Dans le monde réel, la surmortalité toutes causes confondues démontrée dans le procès de Pfizer s'avère être rentable. Le Royaume-Uni, par exemple, a vu la surmortalité augmenter de 10 à 20 % depuis le déploiement des vaccins. Dans d'autres régions et/ou dans certaines catégories d'âge, la surmortalité est bien plus importante, mais la FDA et le CDC ne font que s'en accommoder, ne faisant absolument rien pour avertir qui que ce soit des risques.
Augmentations choquantes de la surmortalité
RépondreSupprimerComme l'a noté Dowd, les compagnies d'assurance signalaient une augmentation de 40% de la surmortalité chez les adultes en âge de travailler à l'automne 2021. Une augmentation de 10% de la mortalité toutes causes confondues est une catastrophe unique en 200 ans, donc 40% est juste hors des charts.
Avant que le CDC ne commence à manipuler ses statistiques de décès, cela montrait également que la mortalité toutes causes confondues avait augmenté d'environ 40%, dit Dowd. Le pistolet fumant dans les données du CDC a été trouvé lorsque la surmortalité a été ventilée par groupe d'âge. Les milléniaux, ceux âgés de 25 à 44 ans, ont connu une augmentation énorme de 84% de la surmortalité à l'automne 2021.
«Ils essaient de l'expliquer en disant, eh bien, les confinements causent des décès par désespoir, des suicides, des drogues et de l'alcool, et des personnes qui manquent leurs dépistages du cancer. Eh bien, en trois mois, nous sommes passés de 40 % à 50 % de surmortalité en été, à 84 % de surmortalité en automne pour la tranche d'âge du millénaire, qui représentait environ 61 000 personnes entre mars 21 et février 2021. '22.
Soixante et un mille décès excessifs représentent une guerre du Vietnam en un an pour ce groupe d'âge. C'est ce qui s'est passé. Et regardez, ce sont des personnes âgées de 25 à 44 ans. Vous ne devriez pas mourir à cet âge, sauf si c'est accidentel ou provoqué par le suicide ou la toxicomanie. Et vous ne pouvez pas me dire que tout le monde a décidé, en l'espace de trois mois, de se suicider et de faire une overdose de drogue. Ça n'a aucun sens."
Il y a également eu un énorme changement dans les décès en 2021, des personnes âgées aux jeunes, les jeunes mourant désormais à un rythme alarmant.
"À ce stade, nous avons des preuves du crime", déclare Dowd. "Ce qui me choque, c'est le fait que les médias grand public occultent encore cela. La bonne nouvelle est qu'il semble y avoir du bouche à oreille, et de plus en plus de gens, parce que le vaccin ne fonctionne pas, ne reçoivent pas de rappel.
Augmentation massive des handicaps
Selon Dowd, les compagnies d'assurance signalent également des augmentations des prestations d'invalidité pour le premier trimestre de 2022, et les compagnies d'assurance et les salons funéraires constatent également une augmentation continue de la surmortalité.
"Au deuxième trimestre, les compagnies d'assurance jouent à des jeux en ce moment où elles libèrent des réserves, elles augmentent les prix, donc, ça n'a pas l'air aussi mauvais, mais ce n'est toujours pas bon.
Les entreprises de pompes funèbres connaissent toujours une croissance supérieure à ce qu'elles pensaient voir. Ils pensaient qu'ils reviendraient à la ligne de tendance et ils enregistrent toujours une croissance d'une année sur l'autre. Vous devez vous rappeler que leur croissance d'une année sur l'autre est par rapport à 2021.
RépondreSupprimerDonc, ils ne devraient pas grandir. Et ce sont des ventes de magasins comparables, pas via des acquisitions. Il s'agit donc de comparaisons des ventes dans les magasins comparables d'une année sur l'autre. Et les deux sociétés de pompes funèbres que j'ai examinées pour le deuxième trimestre ont augmenté leurs ventes dans les magasins comparables entre 2 % et 3 %, ce qui est comparable au deuxième trimestre de 2021. Cela devrait s'effondrer de 20 %, 30 %, et ce n'est pas le cas.
Parlons des données sur le handicap. C'est super important. Je pense que nous allons découvrir – aussi tragique que soit le pire événement indésirable, la mort – qu'il y a des choses pires que la mort ; des handicaps qui changent la vie et qui rendent votre vie invivable, et ceux qui vivent avec vous doivent prendre soin de vous.
Et les impacts sur la société sont bien pires qu'une mort subite… Mon partenaire, qui était un ancien analyste d'assurance de Wall Street, a découvert une base de données fédérale, le Bureau of Labor Statistics des États-Unis, et la bonne nouvelle à leur sujet est qu'ils n'ont pas n'importe quelle peau dans ce jeu.
Ils font une enquête auprès des ménages tous les mois. Chaque mois, nous obtenons les chiffres de l'emploi qui en découlent, et ils posent un tas de questions différentes, dont certaines concernent le handicap, qui se résument essentiellement à "Êtes-vous handicapé et/ou quelqu'un dans votre foyer est-il incapable de travailler âge?'
Pour les cinq années précédant 2021, ce nombre se situait entre 29 et 30 millions. Il est maintenant de 33 millions et augmente considérablement depuis 2021. Et cela a vraiment commencé à décoller en mai, juin 2021. J'avais un doctorat. des physiciens qui ont fait des analyses statistiques, et ils disent que c'est presque un écart-type de quatre au-dessus de la norme, et la pente de celui-ci, le taux de changement, est alarmant.
Nous avons augmenté les personnes handicapées de 10 %. Maintenant, cela n'a rien à voir avec les demandes d'invalidité. C'est l'auto-identification. Cela n'est pas lié à une note du médecin ou à une invalidité. C'est juste quelqu'un qui dit, volontairement, qu'il est handicapé...
Ainsi, le nombre de personnes handicapées pourrait être bien plus élevé. Nous ne faisons qu'effleurer la surface ici. Mais le signal est le changement, le taux de changement, l'écart-type au-dessus de la norme, qui est de quatre. Trois écarts-types, c'est fou. Quatre, c'est comme, "WOW!" Donc, c'est ce qui se passe. Si vous vous demandez pourquoi y a-t-il une pénurie de main-d'œuvre? Je pense que cela explique beaucoup de choses.
Et vous multipliez cela à l'échelle mondiale, et ils parlent de chaînes d'approvisionnement et d'incapacité à embaucher des gens - c'est définitivement en train de se produire. Je pense aussi qu'une grande partie de l'inflation que nous constatons est due aux personnes qui ne peuvent pas travailler.
Doublures d'argent
RépondreSupprimerS'il y a un côté positif à ce gâchis, c'est que les parents prennent conscience des dangers non seulement du vaccin COVID, mais aussi du calendrier de vaccination des enfants dans son ensemble. Début août 2022, seuls 3 % des enfants de moins de 5 ans avaient reçu le vaccin contre la COVID.4 Beaucoup examinent également d'autres vaccins, y compris les vaccins pour adultes.
Cela se fait attendre depuis longtemps, car aucun des vaccins du calendrier de vaccination des enfants n'a jamais été comparé à un véritable placebo pour confirmer l'innocuité et l'efficacité, et aucune étude n'a été réalisée pour confirmer que l'administration simultanée de plusieurs vaccins est réellement sûre.
"Je pense qu'à mesure que ce scandale s'effondre et se déroule, il va refaire beaucoup de nos institutions", dit Dowd, "et je pense que c'est une bonne chose. Je pense que des gens comme vous et d'autres qui sont allés dans le désert vont être justifiés. Je ne prendrai plus jamais un autre vaccin, ni un vaccin contre la grippe. J'ai fini. Je suis dehors."
Es-tu prêt?
En ce qui concerne ce que vous pouvez faire pour vous préparer à l'inévitable krach financier, Dowd déclare :
« Les gens me demandent des conseils en placement. Je déteste le dire, mais je dirai ceci : si les actifs financiers vont s'effondrer, ne vous inquiétez pas de l'inflation. C'est probablement une bonne idée d'avoir une partie de votre portefeuille… en espèces, pour profiter du scénario du sang dans les rues qui s'en vient. Ainsi, lorsque tout le monde vend, vous faites ce que faisait autrefois JP Morgan - vous achetez. Ce n'est pas une mauvaise idée.
En plus de protéger vos actifs financiers, vous feriez mieux de vous préparer également à d'autres scénarios connexes, tels que les pénuries de nourriture, d'eau et d'énergie. Consolidez les approvisionnements et découvrez comment vivre dans un scénario «hors réseau», au cas où les commodités quotidiennes disparaîtraient soudainement.
Préparez-vous également mentalement, émotionnellement et spirituellement à ce qui pourrait être une période stressante et difficile alors que la cabale mondialiste continue de faire avancer la Grande Réinitialisation, ce qui nécessitera davantage d'"urgences".
«Nous avons les mi-parcours à venir. Les gens au pouvoir ont une peur mortelle parce que des crimes ont été commis, donc je soupçonne des manigances », dit Dowd. «Ils essaient de faire avancer la variole du singe. Cela ne semble pas capter l'imagination des gens. Ils peuvent essayer, je suppose, une bonne guerre à l'ancienne. La guerre règle généralement beaucoup de problèmes.
La chose dont nous devons nous préoccuper, c'est la Chine. La Chine a un problème démographique. Ils connaissent un déclin démographique qui a commencé en 2020… Dans les années 80 et 90, tout le monde disait que le Japon allait dépasser les États-Unis. Eh bien, le Japon a connu une crise démographique.
Ils se sont effondrés et ils ont perdu deux décennies. La Chine vient de frapper cela maintenant. Larry Fink est un bon homme d'affaires, mais il se rend en Chine exactement au mauvais moment. La Chine est faite à mon humble avis. C’est un point de vue à contre-courant, mais il est étayé par des données…
RépondreSupprimerIls sont surendettés et ils sont littéralement en train d'imploser en ce moment même. Beaucoup de ces verrouillages COVID que vous voyez au cours des deux derniers mois ne sont rien de plus que de couvrir les ruées bancaires. L'une de leurs plus grandes craintes… est leur propre population.
Tant qu'ils gardaient les gens nourris et obtenaient des emplois, ils n'avaient pas à s'inquiéter. S'il y a un effondrement économique, ce que font traditionnellement la plupart des pays, c'est qu'ils créent un démon extérieur qui unit tout le monde. Si je suis la Chine, que je dirige le spectacle et que je suis une personne perverse, je commencerais quelque chose avec Taiwan juste pour que tout le monde se concentre en dehors des problèmes internes en Chine.
Sources and References
1 Totality of Evidence Ed Dowd
2 Lew Rockwell March 22, 2022
3 The Ethical Skeptic August 20, 2022 Part 1
4 Healthline August 2, 2022
https://www.lewrockwell.com/2022/09/joseph-mercola/finance-guru-reveals-financial-collapse-and-covid-jab-data/
Coronavirus : le coup d’État du nouvel ordre mondial
RépondreSupprimerPar Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca,
05 septembre 2022
Le montage minutieux qui a été organisé autour du CORONAVIRUS est désormais parfaitement analysé. Nous savons que le SARS-Cov-2 n’existe pas (les preuves de cette première affirmation vont venir plus loin); nous savons que la maladie COVID-19 qu’il provoquerait n’existe donc pas non plus, logiquement ; nous savons qu’il n’y a jamais eu de « pandémie » de COVID-19 ; nous savons qu’il n’y a jamais eu « d’irrégularités de gestion de la crise » ; nous savons qu’il n’y a jamais eu de fatalité ; nous savons qu’il y a de vrais coupables et beaucoup de collaborateurs soit « en conflits d’intérêt », soit pervers, soit imbéciles, soit inconscients ou naïfs débonnaires…
Un ancien des services de la DGSI, Patrick Jaulent, spécialisé dans la cybersécurité, nous a expliqué tout l’envers du décor en mettant des noms clairement identifiés pour chacun des acteurs de cette mise en scène macabre basée sur le mensonge à grande échelle.
Il faut d’emblée savoir pour de bon que le projet du Nouvel Ordre Mondial est la seule raison de ce monumental coup d’Etat organisé à travers la fausse pandémie pour provoquer la peur et un passage à l’acte de cette volonté totalitaire d’une élite parfaitement identifiée, comme nous allons le voir !
Il était prévisible que la médecine allopathique, passablement marquée par ses tendances sectaires, le monde mafieux de l’industrie pharmaceutique, l’organisation sanitaire globales des pays, allaient devenir le vecteur privilégié de cet attentat organisé, avec une violence inouïe, contre la souveraineté des peuples.
La bonne raison fallacieuse de « protéger les populations vulnérables », d’une « menace invisible capable d’éradiquer l’espèce humaine », était sans aucun doute la meilleure de toutes les raisons, pour imposer par la peur une « dictature mondiale ». Seule la peur peut expliquer la soumission d’un grand nombre à un tel projet de contrôle : masques, confinement, interdictions sur tous les plans, « vaccins », passe sanitaire, destruction méthodique de tout le système économique et bancaire, pour donner à cet ensemble une nouvelle direction permettant un contrôle absolu des personnes via « le tout numérique » mis en place à cette occasion …
Le 13 novembre 2021, Robert F. Kennedy Milan, nous expliquait dans un discours au Congrès américain, qu’un certain EVENT 2-01 avait été organisé par le Johns Hopkins Center for Health Security, le FEM (Forum économique mondial) et la Fondation Bill & Melinda Gates, à New York le 18 octobre 2019, dans le but de simuler une mise sous contrôle du monde. L’événement se posait la question : « Comment utiliser une pandémie comme prétexte pour installer une surveillance totalitaire et déconstruire efficacement les démocraties ?! »
Pour atteindre un tel objectif, il fallait tout bonnement modifier le Génome humain. La stratégie était simple : faire peur !
RépondreSupprimerIl suffisait de dire qu’on avait « accidentellement lâché dans la nature, un virus respiratoire que personne n’avait encore isolé et qui n’avait encore touché que peu de gens. »
Dans un second temps, grâce à la peur semée dans le monde, avec l’aide des médias inféodés, comme une traînée de poudre qui allait s’enflammer d’un seul coup, on allait entendre la voix des sauveurs de l’humanité qui avaient déjà prévu les « vaccins » bienfaiteurs, anti-Covid-19, qu’il suffirait de rendre obligatoires, en les imposant à l’échelle mondiale, de telle sorte que le transhumanisme, visé par cette opération mensongère, soit obtenu comme l’avait si bien prophétisé Julian Huxley, en 1957.
Ray Kurzweil, directeur de l’ingénierie pour Google, disait que pour 2029, l’Intelligence Artificielle atteindrait le niveau de l’intelligence humaine et rendrait celle-ci obsolète vers 2045 par l’avènement de la « Singularité » qui sera le moment où l’intelligence transhumaine sera devenue un milliard de fois plus puissante qu’elle ne l’est actuellement par la fusion avec l’IA.
Bill Joy écrivait un article « Pourquoi l’avenir n’a pas besoin de nous », en nous expliquant qu’il était inévitable que les humains se retrouvent très bientôt à la merci des machines !
Dans une interview de 2014, Stephen Hawking disait que « le développement d’une l’intelligence artificielle complète signifiait la fin de la race humaine… »
Les humains, tributaires d’une évolution biologique lente, ne pourront pas rivaliser avec les machines et seront remplacés par elles !
La technologie qui sera de plus en plus utilisée pour guérir des maladies sera immanquablement utilisée pour la création d’armes biologiques de destruction massive, sur les populations qui ne se soumettront pas ou qui auront des revendications contraires à la volonté des « élites » contrôlant le tout.
Le domaine de la bio-ingénierie se développe à grande vitesse et se diversifie. Les généticiens et les biohackers sont déjà capables d’éditer des gènes bricolés dans leurs propres laboratoires de transition !
Nous ne savons que très peu de choses sur les effets des mutations involontaires en bio-ingénierie. Il est certain que quelqu’un finira par se blesser et la porte sera ouverte à l’inconnu…
CRISPR/Cas-9 propose déjà des choses surprenantes et inquiétantes ; Humanity+ également ; le Groupe Genome Project-write avance dans son projet transhumaniste … etc…
Ce qui est déjà certain, c’est que les mutations potentiellement désastreuses pénètrent dans le patrimoine génétique humain mondial par modification génétique héréditaire !
Dans très peu de temps, des humains génétiquement modifiés devront cohabiter avec des humains non modifiés ! Vivre ensemble sera forcément impossible et entraînera une réaction de survie du groupe menacé : celui des humains sapiens sapiens.
Il est vrai que le Neanderthalensis a cohabité au moins 5000 ans avec Sapiens Sapiens, avant de disparaître complétement sans doute à cause de son trop grand isolement génétique et l’impact des maladies…
RépondreSupprimerLe Sapiens Sapiens pourrait à son tour disparaître avec l’arrivée des « transhumains » !
Ainsi, le montage du coup d’Etat par la déclaration de la fausse pandémie de Covid-19, a été le signal de départ pour le changement du génome humain. Le moyen idéal pour y arriver était de provoquer la terreur du « virus invisible menaçant », peur qui allait convaincre les masses de se laisser injecter le « vaccin » dit anti-covid, salvateur. Le projet sur les modifications du Génome humain datait de 1990.
Au final, nous savons donc aujourd’hui que ce ne sera pas l’injection d’une puce RFID qui sera chargée de cette opération mondiale sur l’espèce humaine, mais une simple injection contenant la nanotechnologie (l’oxyde de graphène) qui transportera avec elle tous les éléments permettant le changement du génome humain (ADN et ARN). Le programme a prévu 10 injections graphénisées pour atteindre son objectif !
On peut déjà comprendre pourquoi les « élites » sont soudain devenues menaçantes lorsqu’elles ont constaté que 150 millions d’Européens refusaient soit catégoriquement d’entrer dans ce plan, soit décidaient d’arrêter les injections après la deuxième inoculation considérée, par ceux qui l’avaient acceptée, comme un « rappel » d’un « vaccin », présenté comme tel !
La « fenêtre d’opportunité » qu’était cette crise inventée de toute pièce, allait permettre aux dirigeants politiques qui collaboraient au projet du Nouvel Ordre Mondial, comme certains dirigeants d’entreprises, de détruire les économies nationales et les économies locales contraires au plan totalitaire du NOM, afin d’introduire par ce désastre volontaire, une monnaie numérique mondiale.
Voilà l’instrument parfait de contrôle sur la totalité du monde.
Klaus Schwab, créateur du Forum Economique Mondial, avait aussi fondé en 1992, l’école « Global Leaders for Tomorrow » devenue en 2004 l’école des « Young Global Leaders ».
Dans cette école on retrouve des gens bien connus : Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Emmanuel Macron, Trudeau au Canada, Jens Spahn en Allemagne, Philipp Rösler, Jacinda Ardern en Nouvelle-Zélande, Sebastian Kurz en Autriche, Pedro Sanchez en Espagne, Jean-Claude Juncker au Luxembourg et ancien Président de la Commission Européenne, Gavin Newsom dans l’Etat de Californie, Bill Gates bien entendu, Jeff Bezos d’Amazon, Richard Branson de Virgin, Chelsea Clinton de la Fondation Clinton…
Klaus Schwab a créé une autre institution en 2012 : la « Global Shapers Community », qui rassemble ceux qui sont identifiés comme étant potentiellement les futurs dirigeants politiques du monde, ayant moins de 30 ans ! Ces gens seront placés aux postes de commandement grâce à des systèmes de falsifications des votes qui se moquent éperdument des élections dites « démocratiques », en attendant que le programme d’injection arrive à son terme, terme qui sera celui d’une dictature totalitaire pure et dure, n’hésitant pas à éliminer physiquement tous ceux qui s’opposeront à elle au nom de la « démocratie » défunte.
Lorsque vous examinez cette liste des Young Global Leaders, que nous venons d’énoncer, vous constatez immédiatement qu’elle est faite de ces dirigeants du monde politique qui ont été précisément les plus zélés promoteurs des mesures scandaleuses « coronavirus », défiant toutes les règles de la vraie médecine, de la vraie science, du bon sens, de la vérité, des intérêts des peuples. Précisément, tous ces dirigeants ont été exclusivement au service des intérêts du Nouvel Ordre Mondial en imposant cette exceptionnelle maltraitance à tous les peuples qu’ils conduisent vers leur esclavage définitif…
RépondreSupprimerLe premier objectif du FEM était en effet de renforcer, en les facilitant, les liens de coopération de haut niveau entre les grandes entreprises multinationales, les milliardaires qui les dirigent, et les gouvernements constitués de Young Global Leaders placés à la tête des pays occidentaux par la volonté des « élites » du Nouvel Ordre Mondial…
Ce n’est pas un hasard, si Bill Gates est devenu l’un des principaux représentants du confinement et des « vaccins » anti Covid-19. Le Wall Street Journal faisait savoir que la Fondation Bill & Melinda Gates avait réalisé environ 200 milliards de dollars en « avantages sociaux » pour avoir distribué des « vaccins » avant même le commencement de la théorique « pandémie » !
Les gouvernements qui travaillent au service du Nouvel Ordre Mondial ont pour objectif de détruire les entreprises des petits et moyens entrepreneurs pour que les multinationales toutes basées aux USA et en Chine puissent monopoliser les affaires sur le monde entier.
Le second objectif de la destruction en règle par le coup monté du bluff « coronavirus » était celui d’introduire la monnaie bancaire numérique.
De nombreux pays sont aujourd’hui au bord de la faillite, comme la France, l’Espagne et tous ceux qui ont subi de plein fouet ce plan de destruction volontaire.
Pour théoriquement « éviter une catastrophe économique » injustifiable, les gouvernements aux ordres du Nouvel Ordre Mondial, ont eu recours à 650 milliards de DTS (Droits de Tirage Spéciaux) gérés par le Fonds Monétaire International. Ce qui doit se passer, c’est qu’avec les droits, arrivés à échéance, ces mêmes gouvernements seront « théoriquement » désespérés ; ils auront donc recours à l’introduction de la monnaie numérique devenue une priorité absolue et le tour sera joué !
La Suède et la Suisse n’avaient pas besoin de jouer le jeu du confinement pour faire s’effondrer leurs économies, car ils étaient tous les deux déjà prêts à utiliser la monnaie numérique…
Etant donné que les économies nationales et locales n’ont pas toutes été laminées et ruinées, il est certain que nous reverrons les confinements, les masques et toutes les autres mesures Moyenâgeuses contre tout bon sens, dans les mois qui viennent…
Déjà on nous annonce avec « cris et chuchotements » une 8ème vague qui va déferler sur le monde et qu’il est grand temps de se faire injecter la dose suivante, si l’on fait partie du monde appelé « responsable » !
Le but c’est d’achever les économies nationales du Monde entier, pour de bon : c’est pourquoi on allait donc nous annoncer la 8ème vague, l’arrivée soudaine d’un terrible « variant » qui fera des milliers de morts l’hiver prochain ! Le but c’est de provoquer un chômage de masse spectaculaire, de jeter dans la précarité des millions de gens devenus les « inutiles ». Le but c’est de pouvoir justifier un « revenu de base universel », par l’introduction d’une monnaie numérique, géré par la BCE. L’utilisation de cet argent numérique sera absolument contrôlée, de manière quasi infaillible : les personnes seront surveillées et contrôlées sur leurs dépenses et recevrons l’autorisation d’acheter telle ou telle chose si la Banque Centrale la juge « méritée » par un comportement de soumission exemplaire ! Les personnes devront attendre l’autorisation de pouvoir dépenser et elles devront aussi attendre de connaître le délai dans lequel elles pourront dépenser. Tel ou tel achat pourra être interdit par blocage numérique, puisque tout passera par le contrôle numérique ! Plus d’argent liquide, plus de liberté de s’acheter ceci ou cela… ou de vivre de telle ou de telle manière !
RépondreSupprimerLa propriété privée sera échangée contre un capital numérique contrôlé : vous ne serez plus propriétaire de rien et « vous serez heureux », dixit Klaus Schwab !
Le fait que les renflouements se soient adressés aux personnes privées a provoqué une montée vertigineuse des prix des produits de première nécessité, comme la nourriture, l’essence, les soins, pendant que ces pouvoirs, complices du plan de destruction des peuples, invoquent la guerre en Ukraine comme cause de ce délire monétaire…
La liberté a été confisquée. Une « élite » des riches, de la caste stato-financière, des ploutocraties, des mafias qui se sont emparées du pouvoir, contrôle désormais tout ce qui se passe en politique comme une réponse à la « pandémie » !
La Conclusion qui s’impose ici : « Quand un homme se voit refuser le droit de vivre la vie en laquelle il croit, il n’a pas d’autre choix que de devenir hors-la-loi. » (Nelson Mandela)
https://www.mondialisation.ca/coronavirus-le-coup-detat-du-nouvel-ordre-mondial/5670963
A quelle révolution humaine sommes-nous destinés ?
RépondreSupprimerPar Marie-France de Meuron
Mondialisation.ca,
05 septembre 2022
Chaque être humain suit le chemin de vie qui lui est propre, selon son étape en cours, sa constitution, son tempérament et tout ce qui le caractérise.
La situation covidémique a déclenché des mécanismes sur différents plans, lesquels incitent à réagir.
Au lieu de solliciter chacun à y répondre de façon la plus appropriée possible, les dirigeants ont imposé des mesures absolues auxquelles les individus se sont soumis à des degrés divers, dans des états d’esprit relevant souvent de la peur et d’une misère intérieure. Il en est ressorti et il en ressort encore des souffrances à divers degrés qui suscitent des réactions momentanées et superficielles ou alors beaucoup plus fondamentales. Ces réactions éveillent des intuitions et des impulsions qui appellent à des actions adéquates par des changements brusques et puissants sur divers plans, dans des dimensions variées, ce qui peut engendrer des révolutions de différents genres.
Nos dirigeants ont suscité voire imposé des bouleversements dans nos vies : avec une vaccination pour tous faisant fi du consentement éclairé, en masquant les individus de tout âge, en changeant les mœurs comme d’assister des aînés mourant et en confinant chacun, brimant ainsi de nombreux élans de vie. Qu’est-ce qui nous a animés pour nous laisser ainsi embarquer dans ces «politiques folles et tyranniques» . Effectivement, «une société rongée par la peur acquiescera à toute politique promettant la sécurité. Comment réduire le niveau de peur ambiant ?» D’abord en le reconnaissant, en acceptant la réalité des émotions ressenties, ce qui permet déjà de ne plus s’identifier uniquement au personnage peureux que nous avons l’impression d’être, puis de prendre conscience alors d’impulsions vitales inconnues. Ainsi peut surgir l’éveil de qualités enfouies qu’il s’agit de percevoir et de mettre en valeur car elles sont susceptibles de susciter la transmutation de différents paramètres de la situation globale que nous traversons.
Dans Voix et Contre-Voix 16/2022, une question est posée :
File:///C:/Users/admin/Downloads/2022_FR_VECV_16_Guerre_contre_le_genre_humain.pdf
«Pouvez-vous constater qu’une guerre hybride contre l’humanité fait rage dans le monde entier ? Outre la destruction évidente de l’économie, de la prospérité ainsi que des vertus, des valeurs et des principes éducatifs traditionnels, de nombreux autres domaines de la vie sont sur la « liste des cibles ». Vous pouvez découvrir une Guerre contre le genre humain, avec quels moyens et de quelle manière cette guerre est menée.» Une révolution y est proposée : «En connaissant les « portes d’entrée » des assaillants, nous pouvons « repousser les prémices » et les dénoncer.»
En réalité, une révolution peut prendre diverses formes selon ce qui anime un être humain ou une communauté humaine. En ce temps de covidémie, chacun est stimulé selon les situations qu’il doit affronter mais aussi selon son état intérieur : soumission, excitation ou exécution. Nous avons l’impression que la société est divisée en deux : l’élite et la population. Toutefois chaque membre de l’élite doit aussi se confronter à des épreuves. Prenons le cas de Bill Gates : il est soumis à sa dynamique financière depuis des années. Sa révolution serait de cesser de jongler avec le fric et d’en calmer l’appétence. Il est étrange de constater que maintenant il doit assumer un divorce qui est une forme de révolution du couple…
Un philosophe et psychanalyste nous donne une vue d’ensemble de la dynamique de la population considérée comme du bétail humain à marqué :
RépondreSupprimer«Plus que jamais, nous avons le devoir de nous battre en résistant, en refusant de nous soumettre à cette tyrannie déguisée de bons « prétextes sanitaires », de « responsabilité morale », de « devoir »… L’humanité a été conduite à l’échafaud, des vies ont été ruinées, les récalcitrants sont encore maltraités, les vieux ont été achevés à coups de Rivotril, les enfants sont muselés et piqués aux produits toxiques remplis d’oxyde de graphène et d’autres substances dangereuses pour la santé physique et mentale.»
Un anthropologue dénonce les mêmes dynamiques en les développant «autour de l’affichage des vraies données de pharmacovigilance à Toulouse ».
Il accuse vigoureusement ce qui appelle à la révolte : «Violenter les faits, nier l’évidence, châtier ceux qui se risquent à l’énoncer, aliéner la masse à cette ignominie sont les processus vitaux du totalitarisme. C’est dire si ce qui est jeu à Toulouse est tout en réalité sauf anecdotique !»
Un écrivain marxiste aborde le sujet avec densité et perspicacité. Il expose sa perception au niveau d’une révolution de l’idéologie : De l’inéluctabilité d’un Grand Reset… idéologique ou économique. Il la justifie ainsi :
«Et si c’étaient les peuples du Monde qui, demain, une fois éveillés de la torpeur dans laquelle « nos » élites aussi bienveillantes que philanthropes les ont si longtemps plongé, décidaient également de mettre en œuvre leur propre « Grand Reset » à leur égard ?…» (marxisme.fr)
«Les peuples occidentaux comprendront bientôt au plus profond de leur chair ce que signifient le déclassement économique et la compradorisation… D’autant que les deux années écoulées ont accéléré et approfondi à un degré inouï la décomposition économique, sociale, politique, morale et culturelle à l’œuvre depuis des décennies en Occident.»
Il suggère de quelle direction il s’agirait de détourner son regard : «L’impuissance idéologique de la petite bourgeoisie, son incapacité à regarder objectivement la globalité du processus économique, social et politique en cours, c’est-à-dire sous l’angle d’une analyse matérialiste dialectique avant tout économiquement déterminée de la crise actuelle, lui interdit de prendre conscience de son caractère inéluctable et de sa portée historique.» Il apporte sa conclusion :
«Les masses populaires gémissant quotidiennement sous le joug du Capital doivent assurément amorcer leur Grand Reset idéologique si elles ne veulent pas être victimes à brève échéance d’un Grand Reset économique, social et culturel en leur totale défaveur !» (Vincent Gouysse, Sur les rails du « Grand Reset » : le petit train de l’horreur.
Un éditorialiste, essayiste, cherche à éveiller les individus à leur souveraineté car «le covidisme substitue des droits conditionnels aux droits absolus. »
« Il faut en être conscient dès aujourd’hui, avant qu’il ne soit trop tard : quand on accepte d’aliéner son libre-arbitre, quand on accepte de confier son corps et de n’en être plus vraiment le maître, on prend le risque d’être traité comme une chose et d’être ravalé au rang d’objet.»
Ce qu’on peut aussi aliéner, c’est son identité humaine en la commutant en identité numérique. « Le Journal de Montréal signale que le gouvernement du Québec veut devenir le gardien des données confidentielles de tous les Québécois et fournir à chaque citoyen sa propre identité numérique. L’ambitieux projet coûtera des milliards de dollars et n’a encore jamais été réalisé ailleurs dans le monde même si le projet d’identité numérique universelle existe très officiellement sous le nom de programme ID2020 financé par la Fondation Bill & Melinda Gates. Il s’agit identifier chaque citoyen et chaque entreprise.
RépondreSupprimerLa révolution humaine concerne aussi la dimension juridique : Une docteure en droit l’exprime vigoureusement : « L’imposture doit cesser »
« Depuis la 1ère loi d’urgence sanitaire, nous sommes entrés dans un État de non-droit. Tout ce qui a été mis en place se situe en dehors des prescriptions constitutionnelles et en dehors des situations régies par les grands principes juridiques. »
Des avocats soutiennent des médecins : Dans cet interview, , un médecin questionne un avocat. (Il n’est pas anodin que l’association qui les soutient se dénomme : « Human for Human »). Ils évoquent le dilemme entre l’État et les médecins :
«L’OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique, en Suisse) a reconnu qu’on n’avait pas de connaissance des conséquences des vaccins (en fait des injections géniques) alors que les médecins doivent favoriser la vaccination pour les gens à risque. On a actuellement des conditions qui empêchent le médecin de remplir sa fonction. Entre autre son devoir d’informer. L’information est nécessaire au consentement qui n’est valable que si les informations sont scientifiquement prouvées. Et qu’il est totalement libre. Or dans le cas du covid, les patients étaient-ils totalement libres de se faire vacciner avec une telle pression sociale ? On a présenté les vaccinés comme de bons citoyens et les non vaccinés comme égoïstes et non responsables.»
- voir clip sur site -
L’avocat exprime encore une réflexion de grande sagesse quant au libre-choix pour les médecins de réagir ou non :
«C’’est le choix personnel de chacun ; il n’est pas facile de réagir mais encore plus de ne pas réagir ! Surtout par rapport à soi !»
Il est fort regrettable qu’on confisque aux médecins leur droit de prescrire ! Dans ce cas aussi, les avocats apportent un précieux soutien :
https://www.aimsib.org/2022/08/28/pas-touche-a-la-liberte-de-prescription-des-medecins/ .
Dans ce long article, il est mentionné aussi que «il semblerait que les ordres départementaux des médecins se soient appuyés sur les signalements que leur ont faits les directeurs des caisses d’assurance maladie, qui exercent aussi un contrôle mais d’ordre administratif sur les médecins. En d’autres termes, contrôle déontologique et contrôle administratif ont été savamment mêlés pour créer une confusion et laisser croire que les ordres pouvaient, soudain, contrôler le contenu des prescriptions des médecins ! Il y a de quoi se révolter : ce qui est désastreux, c’est que les caisses d’assurance maladie perdent le fil essentiel qu’est la santé de leurs affiliés.
De son côté, Doctothon nous invite à l’Université résistante d’été 2022. Elle réunit des médecins pour organiser un événement en présentiel sur trois jours en septembre qui traite des trois aspects de la crise : juridique, scientifique et sociale.
En Allemagne aussi, les soignants font leur révolution avec leurs moyens :
«Deux collectifs de médecins et de soignants allemands organisent une manifestation à Nuremberg. Ils commémorent le 75ème anniversaire du Code de Nuremberg, rédigé suite au procès de Nuremberg et qui interdit les traitements de force et souligne l’importance du consentement volontaire. Ceci leur a valu d’être traités par leurs détracteurs de corona-sceptiques et même d’être accusés de négationnisme. Reductio ad hitlerum. Ils ont adressé cette lettre ouverte au bourgmestre de la ville. (https://www.75jahre-nürnberger-kodex.de/lettre-ouverte/)
Ainsi, ils espèrent rappeler à la ville son héritage et son devoir envers la défense de l’humanité, qu’ils estiment être en péril depuis 2 ans.
RépondreSupprimerChaque corps de métier de la société est concerné par la politique sanitaire. Ainsi, des policiers ont aussi ressenti le besoin de retournement de la situation et ont créé le syndicat européen de policiers : « police pour la vérité ». Voici l’interview d’un officier de police exposant l’évolution de leur création: https://bam.news/interviews/interview-de-philippe-police-pour-la-verite-episode-2
«Il nous rappelle les valeurs qu’ils défendent : “servir et protéger le peuple“. Et nous confie qu’il y a des signes évidents que la vérité n’a pas été dite sur la crise sanitaire. Les policiers, formés pour rechercher la vérité dans les enquêtes, désirent se mettre au service du peuple pour rechercher ce qui nous a été caché.»
De leur côté, des mamans sont animées d’un élan «féroce», d’où leur appellation de mamans louves ! Ces mères qui veulent en finir définitivement avec le masque à l’école et la terreur sanitaire. (breizh.info)
Leur instinct est confirmé :
«Une étude allemande qui vient enfin d’être validée et publiée par une revue scientifique reconnue, indique que la teneur en dioxyde de carbone qu’inhalent les enfants avec le masque s’élève au-delà des niveaux de sécurités acceptables. Il s’agira donc désormais de se positionner fermement face à de telles dissonances, car il est simplement intolérable d’accepter d’être contraints d’appliquer des mesures que l’on sait destructrices pour nos enfants.
Une façon très adulte de se révolter est de se renseigner, par soi-même et à diverses sources, de la réalité des informations qui sont souvent fournies de façon rapide. Ainsi l’a fait un auteur quant au vaccin : A quoi sert-il réellement ? (over-blog.coml Il part d’éléments très basiques et concrets, contrairement à tous ceux qui se laissent influencer par la peur ou la propagande :
Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu’ils ne feront pas :
Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
Les vaccins n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
Les vaccins n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
Les vaccins n’empêcheront pas les décès dus au Covid.
Une révolution prend la forme d’une pétition quand il s’agit de la dégradation de l’Ordre des Médecins :
Entre la compétence des médecins qui n’est jamais réévaluée, des prescriptions dictées par les lobbys pharmaceutiques, des détournements de fonds et l’impunité des médecins en cas de plainte (y compris pour abus sexuels), comment pouvons-nous encore faire confiance à cette institution ? Et c’est sans parler du musellement des médecins qui osent hausser la voix pour émettre de nouvelles idées.
La révolution se développe aussi au niveau cognitif.
RépondreSupprimer«La science devient rapidement une religion politique plutôt qu’un bastion de la pensée critique. Les données contradictoires sont ignorées en tant que « non-science » ou même censurées comme étant « dangereuses ». Les études payées par les gouvernements et les entreprises sont considérées comme sacro-saintes. Faut-il s’étonner que tant de gens se méfient aujourd’hui de la science ? Toute personne raisonnable aurait des questions et des soupçons. Ceux qui ne le font pas ont été endoctrinés dans un culte dont ils ne savent même pas qu’ils font partie.»
Et, particulièrement, au sujet de la plus grande escroquerie mondiale, détricotée au Canada, concernant Pfizer. https://nouveau-monde.ca/pfizer-la-plus-grande-escroquerie-mondiale-detricotee/
Mais encore il s’agit de renverser ce qui, au niveau monétaire et économique, nous conduit dans la pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale : https://www.youtube.com/watch?v=ua7asEfBBcw
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Ceux qui aspirent à plus d’avantages sont convaincus que :
«Mais ça peut aller aussi dans une autre direction au lieu d’une grande remise à Zéro. On peut provoquer un Grand Réveil et créer un monde où pers n’aura à souffrir de la faim et où on pourra vivre d’une manière durable en harmonie avec les hommes et la nature . Il ne s’agit pas d’une rêverie idéaliste . Il y a toujours eu des forces qui ont permis de briser le pouvoir de l’élite mais jusqu’à récemment nos moyens de communication ont toujours été insuffisants pour mettre en mouvement un réseau de masse pour guérir car l’élite nous a maintenus dans l’ignorance de nombreux moyens.»
Deux économistes apportent leurs analyses selon leurs vastes expériences pratiques et dénoncent les causes de l’effondrement économique, monétaire, et civilisationnel. (breizh-info.com) Cette émission dure 3h, c’est dire que le sujet est dense et nécessite une analyse sur plusieurs plans et une réflexion complexe. Il s’agit donc d’une révolution en profondeur qui ne se contente pas de slogans !
Le prix des vaccins participe aussi de l’effondrement économique. Vu les millions de doses dont les médias nous informent, le montant résultant n’est pas toujours facile à connaître, alors que les contribuables sont mis à contribution et que tant d’autres besoins devraient être financés. (rts.ch)
Quels moyens avons-nous pour nous dresser face aux milliards dépensés ?
Des médecins agissent par différentes voies. Ici, un collectif de médecins, initialement favorables aux vaccins contre le Covid, retourne sa veste et adresse une : LETTRE À L’ATTENTION DE NOS CONFRÈRES MÉDECINS
https://soleilverseau.com/2022/08/19/lettre-a-lattention-de-nos-confreres-medecins/
RépondreSupprimerDe son côté, un médecin émet «Un appel à l’union mondiale».
Arrivés à ce tournant diabolique, pour survivre, nous devons UNIR nos forces, arrêter de stagner sur notre ego, NOTRE position, NOTRE visibilité, NOTRE réseau, mais UNIR (ce qui ne veut pas dire fondre ou fusionner) TOUTES les forces, être international, mondial et faire des émissions transversales systématiquement doublées en toutes les langues, mettre le paquet, monter en puissance.
Il s’agit aussi de résister dans la dimension cognitive comme l’exprime un auteur : «Peut-on parler d’une “guerre cognitive” menée contre les peuples ?»
Nous savons tous combien une révolution peut être brutale. Toutefois, il existe certains moyens qui n’utilisent pas la violence mais l’art, le ressenti et la sensibilité. Ainsi des films peuvent apporter des éléments qui permettent des prises de conscience percutantes .
*Bernard Crutzen propose « La loi, la liberté » Un documentaire (1h03) sur une crise devenue plus politique que sanitaire.
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*Ce réalisateur avait déjà produit : «Ceci n’est pas un complot».
Dans cette courte vidéo, le réalisateur explique pourquoi il tourne un documentaire sur la manière dont les medias « racontent » le Covid.
* Planet Lockdown est un documentaire sur la situation dans laquelle se trouve le monde. Les réalisateurs, James Patrick et Paul Daniel, se sont entretenus avec certains des esprits les plus brillants et les plus courageux de ce monde, notamment des épidémiologistes, des scientifiques, des médecins, des avocats, des manifestants, un homme d’État et un prince. Ces âmes courageuses ont eu le courage de dire la vérité et nous inspirent à faire de même. Nous devons avoir le courage de surmonter nos peurs.
* « Effets secondaires : la face cachée des vaccins » Il est nécessaire que la population prenne conscience que le produit injecté n’est pas anodin.
* «Vaccination covid 19, le crime parfait» . Il est temps de dévoiler la vérité.
* «Douze mois face au COVID» est un documentaire inédit qui retrace l’année 2020 au rythme des deux vagues épidémiques vécues aux HUG (Hôpitaux Universitaires de Genève)
* « Hold-up, retour sur un chaos». Deux auteurs apportent leur vaste réflexion: https://www.limpertinentmedia.com/post/le-hold-up-de-la-libert%C3%A9-d-expression-est-en-marche et https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/11/11/hold-up-regards-sur-un-coup-d-etat-et-une-casse-sanitaires-310579.html
* New HOLD-UP partie 2 https://hdstreaming.ch/movies/new-hold-up-partie-2/
RépondreSupprimer* HOLD-UP partie 2- la Finale https://odysee.com/@wakeup:71/hold-up-2-la-finale:ea
*Primum non nocere, la suite de Hold-up»
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https://www.medias-presse.info/primum-non-nocere-la-suite-de-hold-up/147563/
En fait, cette vidéo a été supprimée de YouTube. Je vous la signale quand même car « elle seule promet un film remarquable. Réalisé par des journalistes professionnels autour de Barnérias, c’est un documentaire construit, destiné à éveiller les consciences, réveiller les gens, grâce à des témoignages forts, des images puissantes, des mensonges révélés, et des vérités que certains voudraient occulter.»
* « Manigance 19» http://artdevivresain.over-blog.com/2020/11/manigance-19.html
Cette vidéo a été supprimée de YouTube mais est visible sur https://www.dailymotion.com/video/x7xazvu
«La vidéo qui dénonce le mensonge et énonce toute la vérité. Une vidéo montrant des preuves incontestables!!! Vivre libre ou mourir esclave, quel est votre choix?
Manigance 19, le film qui démasque tous les projets criminels du gouvernement assujetti aux banquiers milliardaires mondialistes et psychopathes. Ils se moquent bien de votre santé! Alors, quel est leur but? La dictature « sanitaire » ou pas, le « contrôle social » (appelé « crédit social » en Chine) à l’aide de la 5G, voire encore bien pire…
* «Mal traités» https://www.maltraites-ledoc.com/
Dans ce film, de grands experts témoignent à visage découvert.
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On ne peut pas se révolter sans résister : «Résister c’est d’abord continuer à vivre» La résistance, c’est d’abord un choix, une philosophie de vie. Vous vous pensez seul(e) ou isolé(e) ? Détrompez-vous, nous sommes légion, peut-être que tous nous n’avons pas suivi le même chemin ni réalisé les mêmes choses, pourtant nous partageons largement le même idéal.
Une conclusion nous est proposée par Slobodan Despot : «RESTER HUMAIN» dans sa vidéo du 26.8.2022
https://www.youtube.com/watch?v=HdjPWLVNdNk
Et une autre par le Dr Louis Fouché : «RETROUVONS NOTRE SOUVERAINETE ET NOTRE POUVOIR !»
https://www.mondialisation.ca/a-quelle-revolution-humaine-sommes-nous-destines/5670953
Le 'Grand reset' c'est quoi ?
SupprimerC'est 'Morts aux cons !' Et là, il y en a un paquet !
Donc: on circulera mieux sur les routes !
Puis, comme tous les cons qui se sont fait inoculer profond x fois et en redemandent ! HAHAHAHA ! quand ils meurent ils sont brûlés ! Pchitt ! Four crématoire = cendres = autopsies-mon-cul !
A quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
RépondreSupprimerSEPTEMBRE 4, 2022
PAR LHK
Chute exceptionnelle de la natalité au premier trimestre 2022
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Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du great reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE.
Devant une Tour de Babel, flanquée de 11 étoiles inversées, se trouvent des « humains ». A les regarder de plus près, on imagine que ce sont des personnages de Légo. or, ces gens seraient les « Nouveaux »européens. Autant de transhumains?
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https://neweuropeans.net/file/europe-many-tongues-one-voice-parliament-building-tower-babel-babylonjpg
L’eugénisme est une étape importante du transhumanisme. Les concepteurs de cette sordide vision divise le monde en 2 catégories. D’un côté, vous avez les dieux milliardaires qui aspirent à devenir immortels et de l’autre vous avez les descendants du grand singe selon le non moins sinistre Charles Darwin et son cousin Galton. Deux eugénistes de référence que les grandes universités ont décidé d’ériger en gravant leurs délires dans le marbre.
Alors l’hypothèse de travail forte serait pour nous la suivante: vous avez d’un côté des dieux qui veulent défendre leur pré carré; et de l’autre une population qui se chiffre en milliards pour laquelle le groupe détenteur (capteur par ruse ou par semi-vérité) des ressources n’a d’autre considération que sa capacité à muter en robots humanoïdes et à les produire en quantité et en qualité pour satisfaire leurs besoins divins.
On peut supposer qu’il est tout à fait normal que l’ultra-minorité ultra-riche cherche à contrôler la population qu’elle considère envahissante avec un nombre trop élevé de bouches à nourrir en comparaison de ses propres besoins.
Le narratif de l’urgence climatique due à l’activité humaine telle que présentée par Greta est pourtant battue en brèche par un nombre important de scientifiques…
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https://lilianeheldkhawam.com/2022/08/25/1200-scientifiques-disent-quil-ny-a-pas-durgence-climatique/
RépondreSupprimer… en revanche, il y a urgence pour l’ultra-minorité de prendre le contrôle du processus de la procréation.
Elle essaye de le faire au travers d’au moins 3 étapes démontrables:
1.- Rendre l’humain infertile. Vous pouvez le constater dans ce film révoltant
Voici une vidéo émouvante sur la vaccination contre le tétanos qui a fait perdre à un nombre inconnu de femmes leur capacité de reproduction. Bref, elles souffrent depuis d’infertilité. https://infertilitymovie.org/infertilite-un-programme-diabolique-francais/
Les femmes éthiopiennes sont victimes de manigances contraceptives depuis un bout de temps. Elles sont les cobayes des laboratoires de la Haute finance:
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https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/
L’Inde est aussi un terrain de prédilection pour les développeurs de vaccins. Ici une publication de 1989…
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https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2665354/
… avec une volonté de contrôler la population jamais très loin:
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https://lilianeheldkhawam.com/2020/12/27/comment-bill-gates-met-des-millions-dindiens-sous-surveillance-video/
Nous rappelons aussi que le vaccin anticovid a été dénoncé, et continue de l’être, en tant que source potentielle d’infertilité par nombre de scientifiques indépendants
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https://www.bitchute.com/video/8MoNTpHbGbVg/
RépondreSupprimerDes commentaires qui contrastent sévèrement avec ceux de cette professeure (vidéo ci-dessous) qui a pu affirmer l’innocuité des injections bien avant les résultats des industriels! Principe de précaution jeté aux orties par les représentants de la faculté!
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(Intrigant ce masque porté alors qu’elle est dans une pièce seule face à une caméra)
2.- Réduire la présence de personnes à faible apport productif
Si la question de l’impact du vaccin sur la vie de la population est brûlante…
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Et ces chiffres sont largement sous-estimés puisque peu de liens directs sont possibles. Imaginons une personne qui développe une maladie auto-immune violente qui aboutit au décès. On vous dira que c’est la maladie qui a causé le décès, et ne sera pas reporté ici. Prenez un autre exemple une personne de plus de 80 ou 90 ans qui décède subitement après le vaccin, on vous dira que c’est à cause de l’âge et ne figurera pas dans ce genre de relevé… https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/03/y-a-t-il-volonte-politique-de-reduction-de-la-population-et-des-libertes/comment-page-1/
… elle l’est encore plus sur la population vulnérable. On se souvient de l’augmentation de la mortalité à Monaco qui a suivi la vaccination des personnes « qui en avaient le plus besoin ». Evidemment, le décès de ces personnes n’était pas si inquiétant puisqu’elles n’étaient pas en grande forme.
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https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/03/les-personnes-vulnerables-semblent-penalisees-par-le-vaccin-pourquoi-persister-sont-ils-devenus-des-indesirables/
3.- Mettre en place l’ingénierie de la procréation: Faire des bébés transhumains sur mesure
Les pseudo-dieux ont besoin d’un certain quota de serviteurs qui assument les tâches de leur quotidien. Problème, ils ont besoin de certains profils d’individus obéissants, hautement productifs, corvéables à souhait. Mais pas seulement. Ces individus ne vont pas être destinés à accomplir tous les mêmes activités. Par conséquent, il faut qu’ils puissent les « bricoler » en fonction de la finalité de leur « création ».
Et là une entreprise comme Moderna est très fière d’avoir hacké le corps humain.
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https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/
Or, celui qui hacke est capable de reprogrammer les individus en fonction de son rôle dans l’organisation visée par le Great Reset. Une organisation où la vie sociale et privée n’est pas à l’ordre du jour. L’individu sera connecté exclusivement via le numérique après qu’il ait fusionné avec la machine. On parle de transhumain. La spirale dynamique montre bien que l’homme idéal du Nouveau Monde est pris au milieu d’une myriade d’interactions. Il a perdu au cours de son « évolution » ces relations qui en faisait un être social. Les ordres auxquels il appartenait ont eux aussi explosé au passage, à savoir l’ordre politique, social, communautaire, ou familial.
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RépondreSupprimerDans ce contexte où le couple lui-même est voué à disparaître, les bébés fabriqués naturellement par des parents très moyens n’intéressent pas. Ils seront autant de bouches inutiles à nourrir. Et dans ces cas, l’infanticide est souhaité derrière des arguments tendancieux.
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https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/31/linfanticide-au-coeur-de-leugenisme-de-la-nouvelle-societe/
A quoi sert le vaccin anti covid?
Voici la grande question du jour: A quoi sert le vaccin anti-Covid ? A l’heure actuelle, même les grands fans de vaccination se posent des questions sur la finalité de ce dernier. Nombre d’entre eux ne sont plus très enclins à se déplacer pour recevoir leur pseudo booster.
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https://twitter.com/JCPEREZCODEX/status/1563534738312564739/photo/1
Même Pfizer fait profil bas. Une honnêteté un peu tardive!
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Par la Dr Nicole Delépine https://nouveau-monde.ca/le-retropedalage-de-pfizer-en-vue-des-proces/
En attendant la santé des populations semblent dégringoler, et pourrait même inquiéter le plus placide des observateurs. La RTS parle du malaise en titrant Les Suisses se sentent en moins bonne santé que pendant la pandémie, mais sans aborder le sujet de la vaccination et de ses conséquences sur la santé publique. Une courageuse dame relaie des informations collectées auprès des secouristes et ambulanciers.
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J’espère que le fait d e la relayer ne provoquera pas la censure de sa chaîne… J’espère qu’elle a un back up ailleurs.
Dans ce lot de nouvelles peu réjouissantes, il y des bonnes. Dverses études sont publiées et montrent par a+b à quel point les « études » publiées en 2020 par les industriels étaient fausses. De plus, on nous confirme que ce vaccin est une source potentielle d’inflammation du système immunitaire et de maladies auto-immunes. Nous y reviendrons.
Bref, la science avance mais APRES avoir envoyé au casse-pipe des centaines de millions d’individus. Un crime contre l’humanité qui sera très probablement sanctionné dans le cadre d’une opération de séduction que ne manquerons pas de promouvoir les nouveaux dirigeants.
LHK
https://lilianeheldkhawam.com/2022/09/04/a-quoi-sert-la-vaccination-de-masse-de-linfertilite-au-transhumanisme/
Un examen microscopique révèle que 94 % des personnes vaccinées contre le covid ayant des problèmes de santé ont un sang nettement anormal
RépondreSupprimerMardi 06 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Longtemps après qu'une personne a été "vaccinée" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19), son sang reste constamment contaminé par des corps étrangers, selon une nouvelle étude réalisée en Italie.
Drs. Franco Giovannini, M.D., Riccardo Benzi Cipelli, M.D., et Giampaolo Pisano, M.D. - tous chirurgiens - ont effectué une analyse microscopique d'échantillons de sang prélevés sur des personnes "entièrement vaccinées" contre la grippe Fauci. Ils ont constaté que 94 % des échantillons étaient clairement malsains, ce qui suggère que les injections laissent derrière elles du sang impur en permanence.
Décrivant le sang contaminé comme "anormal", l'étude explique que des structures étrangères affligent le sang des personnes complètement piquées. Chez certaines personnes, ils forment des structures de type cristallin. Dans d'autres, ils créent des tubes et des fibres de longue durée qui endommagent le flux sanguin.
Ces substances mystérieuses finissent par coaguler, dans de nombreux cas, coupant la circulation et provoquant une crise cardiaque ou même la mort. (En relation: Les séquelles de la «vaccination» covid ont laissé des millions de personnes handicapées, selon des recherches.)
Les piqûres Covid semblent contenir du graphène, qui n'est pas étiqueté sur leurs listes d'ingrédients
L'une des substances identifiées dans les échantillons de sang contaminé des personnes entièrement piquées semble être du graphène, dont les atomes s'organisent en hexagones, formant des feuilles de cristal plates.
Le graphène n'est pas techniquement un métal, mais il se comporte comme un composé métallique. Le graphène pourrait être l'un des mécanismes par lesquels des caillots non sanguins se forment à l'intérieur du corps des personnes complètement piquées.
« Les deux formes qu'ils ont remarquées dans la circulation sanguine étaient des morceaux cristallins et des longueurs semblables à des tubes », écrivent Jennifer Margulis et Joe Wang pour The Epoch Times.
"Bien que les chercheurs n'aient pas pu confirmer que ce qu'ils ont vu était du graphène, ils ont souligné que le graphène peut s'agréger en formes similaires à celles observées par les médecins."
Le graphène est une substance étrangère de choix pour de nombreux nouveaux médicaments pharmaceutiques et injections de vaccins. Il est utilisé dans les vaccins contre la grippe par pulvérisation nasale et est actuellement à l'étude pour d'autres applications.
RépondreSupprimerAucun des vaccins contre la grippe Fauci actuellement autorisés ou approuvés ne mentionne le graphène comme ingrédient. Cependant, cette dernière étude et plusieurs autres antérieures ont identifié ce qui semble être du graphène à l'intérieur des flacons.
Bien que cette étude la plus récente n'ait pas spécifiquement testé le graphène, les auteurs ont écrit que le graphène pourrait être ce qui s'auto-assemble dans des structures dans tout le corps des personnes entièrement piquées, permettant au sang et à d'autres substances de former des caillots mortels.
"Le graphène peut auto-assembler de minuscules nano-structures, ce qui le rend utile pour les nanotubes de carbone et la fibre de carbone", explique l'article du Times.
« Ces spéculations soulèvent plus de questions que de réponses, car ni le graphène ni d'autres composés métalliques n'étaient censés avoir été utilisés dans les vaccins. Alors pourquoi plus de 950 personnes ayant des problèmes de santé après la vaccination ont-elles présenté des corps étrangers dans leur sang ? »
Une étude antérieure réalisée en Corée a montré que le sang contaminé par l'ARNm (ARN messager) contient des objets métalliques qui, d'après les listes d'ingrédients, ne devraient pas être présents.
Cette équipe de médecins, après avoir analysé divers échantillons de sang, a déclaré que la «prépondérance des preuves» indique des «matériaux étrangers» à l'intérieur des piqûres de covid qui persistent dans le corps des gens longtemps après avoir été injectés.
« Parmi les 8 receveurs du vaccin COVID-19 : 6 échantillons de plasma contenaient un disque multicouche de composition non identifiée ; 3 échantillons contenaient des matériaux en forme de bobine perlée ; 1 échantillon de plasma contenait un faisceau fibreux de matériau étranger perlé d'apparence similaire ; et un groupe différent de 3 échantillons avait des formations cristallines de corps étrangers », explique l'étude coréenne à propos de ce que ces médecins ont trouvé.
"Les différentes formes et tailles de matières étrangères dans les plasmas centrifugés des individus vaccinés contre le COVID-19 ressemblaient étroitement aux formes et tailles des matières étrangères précédemment observées directement dans les vaccins eux-mêmes."
Les dernières nouvelles sur les effets mortels des injections de caillots covid peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-06-microscopy-review-94-percent-covid-vaccinated-abnormal-blood.html
Découvertes réalisées par les docteures Carrie Madej (USA) et Astrid Stuckelberger (Suisse).
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