20/09/2022
Le gouvernement table sur un plan de 250 millions d'euros en 2023 pour faire décoller la pratique du vélo.
La Première ministre Élizabeth Borne dévoile un plan vélo. Montant total : 250 millions d’euros. Pour promouvoir la pratique, l’État veut encourager les communes à créer des pistes cyclables et des parkings sécurisés. Les associations d’usagers semblent conquises.
D’importants moyens déployés
Le gouvernement entend accélérer sur la transition écologique. Après un été marqué par la canicule et les feux de forêt, l’exécutif passe la vitesse supérieure. La Première ministre Élizabeth Borne vient de dévoiler un plan vélo à 250 millions d’euros sur l’année 2023. D’après Le Parisien qui en révèle le contenu, ce montant équivaut à la moitié du budget mis sur le développement du vélo lors du précédent quinquennat. Pour accélérer, le gouvernement entend mettre les moyens sur la table.
Cet argent devra servir à plusieurs choses. La première, c’est accompagner les collectivités locales dans la mise en place et le développement des pistes cyclables. Même si elles n’ont pas attendu pour enclencher des réflexions ou des travaux, ces pistes sont essentiellement dans les grandes villes. L’idée c’est donc d’améliorer le maillage même dans les territoires ruraux.
Les associations d’usagers satisfaites
Le deuxième volet du plan, c’est la construction de parkings sécurisés dédiés au vélo pour encourager les Français à l’utiliser pour aller au travail. Autre aspect : une accélération sur l’émergence d’une filière de vélos fabriqués et conçus en France. Enfin, la promotion du vélo et la prévention auprès des scolaires seront encore intensifiés.
Ces différentes mesures annoncées par le gouvernement ravissent les associations d’utilisateurs de bicyclette. Nombreuses sont celles qui demandaient depuis longtemps un coup de boost de la part du gouvernement. Rouler en voiture thermique coûte de plus en plus cher. L’exécutif veut donc inciter un maximum de Français à utiliser les modes de déplacements doux comme le vélo.
https://www.economiematin.fr/news-gouvernement-plan-velo-250-millions
Après le plan 'rats-de-laboratoires' arrêté ce sont les humains qui ont été désignés pour les remplacer dans les expérimentations géniques d'essais ! Ainsi, vous ne découvrirez pas la joie du retour des charrettes à cheval, des fiacres et des carrosses ! Place aux pousses-pousses ! Faut bien que les humains (faute d'épouse) s'amusent à tirer quelque chose non ? L'âge doré de l'esclavage est de retour ! avec ses fouets, ses chaînes et surtout ces exécutions publiques !
RépondreSupprimerLES PRIX DES TRANSPORTS EN COMMUN POURRAIENT EXPLOSER EN 2023
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
20/09/2022
Il manque 950 millions d'euros dans les caisses d'Île-de-France Mobilités pour 2023.
En Île-de-France, en Provence-Alpes-Côte d'Azur, dans les grandes villes… Partout en France, les opérateurs des transports en commun se préparent à augmenter les prix des tickets.
Avec une facture d'électricité qui va augmenter de près de 1,7 milliard d'euros l'année prochaine, la SNCF pourrait ne pas avoir d'autre choix que d'augmenter le prix des billets. Clément Beaune, le ministre des Transports, a expliqué au Parisien que l'État ne pourra pas tout absorber. Il a ajouté : « On ne financera pas tout pour tout le monde ». Un message dirigé à la SNCF et à ses clients, mais aussi à tous les opérateurs des transports en commun qui cherchent actuellement les moyens pour compenser la flambée des coûts de l'énergie et de l'inflation. Les usagers risquent de passer à la caisse en 2023…
Coûts de l'énergie
Certaines collectivités n'ont pas attendu pour annoncer la hausse des prix. En Provence-Alpes-Côte d'Azur, le prix du ticket est ainsi passé de 1,50 à 2,30 euros. Mais cela n'a rien à voir avec la crise énergétique, a soutenu Renaud Muselier, le président de la région : il se trouve que l'offre de transports s'est améliorée et que le service est meilleur… Difficile pourtant de ne pas voir dans cette forte augmentation une conséquence de la situation actuelle. En Île-de-France, il manquerait 950 millions d'euros dans les caisses pour 2023, selon des chiffres donnés par Europe 1.
Toutes les collectivités concernées
Dans ces conditions, le pass Navigo pourrait bien à son tour augmenter fortement. Actuellement fixé à 75 euros, le sésame francilien pour les transports en commun pourrait coûter 100 euros ! Néanmoins, le niveau de la hausse n'a pas encore été décidé, tout dépendra en fait du soutien de l'État, des collectivités, de la SNCF et de la RATP. Mais tous ces acteurs font eux aussi face à la hausse des prix de l'énergie… Ailleurs en France, les tarifs des transports en commun pourraient aussi augmenter, à Nantes, Bordeaux, Lyon, ou encore à Toulouse.
https://www.economiematin.fr/news-prix-transports-commun-exploser-2023
Malgré l'entrée massive de faux 'réfugiés climatiques' destinés à tirer les charrettes voilà qu'aujourd'hui ils demanderaient à être... payés !! UNE HONTE pour un pays d'accueil !
SupprimerLA FRANCE EN RETARD SUR LES ÉNERGIES RENOUVELABLES TANT MIEUX
RépondreSupprimerpar JEAN-LOUIS BUTRÉ
21/09/2022
Au premier trimestre 2022, en Allemagne, la consommation de charbon a augmenté de 27 %.
Dans le droit fil de l’écologie punitive que nous subissons depuis 20 ans, les politiques, les médias et les groupes de réflexions, animés par la Commission Européenne, expliquent urbi et orbi que la France est en retard sur un programme d’installations de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables intermittentes, solaire et éolien.
L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie, ADEME, qui a été, depuis 2000, la référence des 22 ministres de l’Environnement, qui se sont succédés à ce poste, s’est surtout révélée l’agence de diffusion des analyses partisanes des industriels des énergies renouvelables, solaires et éoliens et rabâche cette « antienne » à l’envie.
Forts de cette caution d’état, des milliers de journalistes de bonne foi, de présentatrices et présentateurs pas toujours spécialistes des sujets de l’énergie, inondent la presse, les chaînes de télévision ou les radios, de publireportages qui débutent tous, par la même phrase « La France est en retard sur le développement des renouvelables… ».
Un article récent d’un grand quotidien du soir « Les raisons du retard français en matière de production et d’installation d’éoliennes » illustre à merveille la doxa ambiante.
Au nom de cette autoflagellation nationale, le Président de la République et la Première Ministre se sont lancés dans la bataille pour faire passer en force une loi d’accélération des énergies renouvelables, éolien et solaire, à l’aide de mesures d’exceptions.
Même si les mesures d’exception de ce projet de loi sont censées avoir une durée limitée (celle du mandat de l’actuel président), elles sont très régressives en matière environnementales et auront des impacts désastreux à long terme. Une éolienne a une durée de vie de 25 ans…
Et quand émergeront ces impacts sur l’environnement, sur l’indépendance énergétique du pays, sur la sécurité de nos fournitures électriques, sur notre compétitivité et surtout sur nos émissions de gaz à effet de serre, les principaux acteurs de cette politique, financiers en tête, les vrais bénéficiaires de cette politique d’exception, auront fait leur pelote, se seront distribués les dividendes et auront disparu du paysage.
Retard : de quoi parle-t-on ?
A l’occasion des négociations à Bruxelles sur la directive européenne « Paquet Climat- Energie » en 2009-2014 puis en 2020, les représentants français, sous la houlette allemande, se sont engagés sur un taux d’équipements en énergie renouvelable intermittente, éoliennes et panneaux solaires.
En termes d’émission de gaz carbonique, la France était et reste la plus vertueuse de tous ses voisins (Allemagne, Espagne, Belgique, Italie…) avec lesquels elle échange de l’électricité et, malgré cela, nos représentants à Bruxelles ont accepté au cours des négociations que les États membres n’aient pas à répondre de leurs émissions réelles de gaz carbonique mais s’engagent sur un taux d’équipement en production d’énergies renouvelables.
C’est une erreur fondamentale parce que cela n’a rien à voir !
RépondreSupprimerAlors oui, c’est vrai, nous sommes en retard en équipements d’énergies renouvelables intermittentes mais cela veut dire simplement que le droit français de l’environnement est bien fait et protège mieux la biodiversité qu’ailleurs.
Et si nous sommes très en avance s’agissant de la propreté de l’électricité que nous produisons, où est donc le problème ?
Il est vrai que les financiers et les importateurs de matériels n’y trouvent pas leurs comptes mais c’est tant pis pour eux et c’est tant mieux pour l’environnement.
Pour illustrer le propos, le contre-exemple du champion européen des énergies renouvelables intermittentes :
Au premier trimestre 2022, la production éolienne allemande a augmenté de 46% par rapport au premier trimestre 2021, passant de 35,7 TWh à 44,1 TWh ; il est regrettable que dans le même temps, l’énergie produite par les fossiles (houille, gaz, lignite) ait aussi augmenté (3,3%) mais surtout, à cause de la guerre d’Ukraine, ce sont les filières houille et lignite, qui ont le plus progressé. Sur la période, les émissions de gaz carbonique issues des filières fossiles sont passées de 48,8 millions de tonnes à 52 millions de tonnes.
Plus récemment, on a annoncé triomphalement une production solaire photovoltaïque européenne record, entre mai et août 2022 (+ 28 % par rapport à la même période en 2021). Le même communiqué dresse des lauriers à l’Allemagne et continue de fustiger le « retard français ».
Là non-plus, la réalité n’est pas rose. Oui, l’Allemagne a explosé ses compteurs « solaires » mais le communiqué a simplement oublié de préciser qu’en Allemagne, dans le même temps, la consommation de charbon avait augmenté de 27 %, le gaz de 23 % et le lignite de 21 %. Dans la période considérée, l’Allemagne a donc augmenté de 23 % ses émissions de gaz carbonique ; elles passent de 50,8 à 62,5 millions de tonnes. C’est dommage.
Finalement, quelle est la performance française la plus importante pour la planète ? Le nombre de panneaux solaires ou d’éoliennes que nous importons de Chine, du Danemark ou d’Allemagne, ou le gaz carbonique que nous émettons ?
L'union européenne s'est lourdement trompée
Lutter pour la réduction de la consommation d’énergies fossiles est un objectif louable qui devrait faire consensus, au niveau national ou européen.
En revanche, en retraduisant cet objectif par un objectif de taux d’utilisation d’Energies renouvelables, et en voulant en faire un objectif commun à tous les Etats-Membres, la Commission Européenne s’est lourdement trompée :
D’une part, elle cible uniquement le secteur de l’électricité ; c’est la première erreur parce que ce n’est pas -et de loin - le secteur le plus consommateur d’énergies fossiles.
RépondreSupprimerD’autre part, l’Europe quand elle prend le taux d’équipement de renouvelables de chacun des états membres, comme indicateur avancé de sa lutte contre le réchauffement climatique, oublie simplement que le seul paramètre qui devrait compter, est le taux d’émission de gaz carbonique effectif de chacun de ses Etats membres ; elle commet une deuxième erreur.
Avec cette confusion entre « taux d’équipement en énergies renouvelables » et « émission de gaz carbonique », la Commission s’est trompée de démarche et avec elle, tous ses Etats-membres ; l’Allemagne voyait, d’ailleurs, dans cette démarche la bonne occasion pour soutenir sa propre démarche de transition énergétique.
L’Europe se trompe donc de démarche depuis 20 ans.
Alors que la guerre d’Ukraine aurait dû servir de révélateur de cette erreur, la Commission persiste avec son projet de directive « RepowerEU » piloté par l’Allemagne qui acterait une notion floue « d’intérêt supérieur majeur » permettant une croissance sans débat des énergies renouvelables et qui aurait pour conséquence une phénoménale régression environnementale sur la biodiversité.
Parce que les politiques français ont placé pendant 15 ans le secteur de l’énergie sous la tutelle de l’écologie, ont laissé le champ libre aux intérêts privés des énergies renouvelables défendus par leurs lobbies , le Syndicat des Energie renouvelables (SER), France Energie Eolienne (FEE) et l’Office Franco-Allemand pour la Transition Energétique (OFATE) hébergé par le Ministère de l’Environnement, parce que ces lobbies ont irrigué tous les niveaux politiques et administratifs jusqu’à des entités publiques comme le réseau de Transport de l’électricité (RTE) ou l’ADEME qui en ont oublié même leur mission de base, parce que poussés par ces lobbies, les politiques ont perdu tout sens de la planification et ont suivi aveuglément des directives européennes mortifères pour notre pays, ils ont trahi les intérêts français.
Ils ont abandonné la filière électronucléaire qui faisait de notre pays, un modèle du genre pour la production d’électricité décarbonée et pour notre indépendance énergétique au profit des énergies renouvelables intermittentes.
Aujourd’hui Ils veulent pallier ce désastre industriel par une accélération du déploiement des énergies renouvelables, c’est absurde. L’erreur stratégique de nos politiques français a conduit au désastre de notre industrie électrique et maintenant, ils nous proposent de foncer dans le mur en accélérant.
Notre pays est désormais en situation de risque pour sa production électrique ; il pourrait connaitre des épisodes de black-out si l’hiver est rigoureux. Et si la pénurie générale d’électricité se confirme en Europe, les quotas d’électricité indispensables pour passer les pointes pourraient être introuvables même à des prix astronomiques, chaque pays privilégiant en premier sa sécurité d’approvisionnement.
RépondreSupprimerSI des mesures exceptionnelles ne sont prises en urgence par Mme la Ministre Elisabeth Borne pour que les toutes les centrales de production d’électricité à l’arrêt soient remises en fonctionnement dans les plus brefs délais en donnant les moyens techniques et financiers à EDF pour y parvenir, la France manquera de courant cet hiver et elle devra faire face à un problème de sécurité nationale, l’électricité en étant la clé du fonctionnement de la civilisation moderne actuelle.
https://www.economiematin.fr/news-retard-france-renouvelable-bonne-nouvelle-butre
Ces mesures visent à zéro émission de gaz carbonique ! Le premier qui expire sera fusillé ! (celui qui pète aussi !).
SupprimerVOITURE ÉLECTRIQUE : LA RECHARGE À DOMICILE, LA SOLUTION LA PLUS ÉCONOMIQUE
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
20/09/2022
Une voiture électrique dont les recharges ont été bien gérées revient à 180 € pour 10 000 kilomètres (ou 1,8 €/100)
On entend et lis tout et n'importe quoi sur les voitures électriques et leur recharge, en particulier avec la crise de l'énergie dans laquelle nous sommes plongés, à notre corps défendant. Première contre-vérité : les voitures électriques deviendraient plus cher à l'usage qu'une voiture à moteur thermique. C'est vrai, seulement si...
Seulement si la voiture électrique est rechargée exclusivement sur des bornes publiques, et encore, sur des bornes publiques ou le kWh est vendu à un prix proprement déraisonnable. Ne jetons pas la pierre aux entrepreneurs qui se sont lancés, de bonne foi, dans le business de la construction de recharges de voitures électriques. Ils ne pouvaient pas imaginer que l'électricité, encore il y a peu, quasiment gratuite, du moins en France, verrait ses prix flamber dans de telles proportions en quelques mois ! Des prix qui devraient encore augmenter, et augmenter durablement..
Mais reprenons depuis le début, en nous intéressant d'abord à l'électricité. Contrairement à l'essence ou au diesel, dont le prix fluctue d'une semaine sur l'autre, plus rarement, d'un jour sur l'autre, et seulement de quelques pourcents en plus ou en moins.... Le prix de l’électricité peut doubler, tripler, quadrupler, quintupler, et plus encore, en fonction du lieu et du moment où elle est consommée.
Le prix de la recharge pour voiture électrique dépend du lieu où l'on se branche
Contre-intuitif ? Mais aussi parfaitement logique. Sur une aire d'autoroute, le conducteur de véhicule électrique qui cherche à recharger la batterie de sa voiture souhaite d'abord que l'opération dure le moins longtemps possible. Certains véhicules promettent de récupérer 80 % de leur autonomie en une demie-heure, en partant de 10 ou 20 %. Ce service a un prix : celui de l'installation d'une borne puissante, dont le coût dépasse facilement les 100 000 euros. Une borne qui ne rapportera pas d'argent à celui qui l'a installée avant des années et des années, puisqu'il faut bien rembourser l'investissement.
Autrement dit, lorsque l'on charge sa voiture sur de telles bornes rapides, c'est moins l'énergie enfournée dans la voiture que l'on paye, que le service de la charge, et donc, le coût de la borne. Sans compter que le concessionnaire d'autoroute réclame aussi sa dîme au passage, comme sur les stations services d'ailleurs. Sauf que les volumes de vente ne sont absolument pas du tout les mêmes... Une borne peut escompter avoir une dizaine de clients dans une journée, les jours fastes, une vingtaine. Alors qu'une pompe à essence servira dix fois plus d'automobilistes, au bas mot !
C'est pour cette raison que le seul moyen rationnel et économiquement raisonnable de recharger la batterie de sa voiture électrique est de la recharger à domicile. Cela implique pour cela d'habiter en maison individuelle, ce qui est le cas d'une majorité de propriétaires de véhicules électriques aujourd'hui. Ou bien, à défaut, dans une résidence avec parking, dans laquelle l'installation d'une ou plusieurs bornes de recharge pour voitures électriques a été effectuée, ou est programmée pour bientôt.
L'electricité peut-être vendue dix fois plus cher sur autoroute, comparé au prix domestique
RépondreSupprimerPour comprendre le grand écart qu'il peut y avoir entre des électrons chargés dans la voiture électrique à domicile, et ceux chargés sur une borne publique rapide, il suffit de consulter les tarifs. Avec l'offre "Super Heures Creuses" de Total Energies, on peut accéder entre 2h et 6h du matin à des kWh sous la barre des 10 centimes (9,6 centimes exactement, TTC). Avec un tarif heures creuses "voiture électrique" de EDF, le kWh dépasse à peine la barre des 11 centimes.
De l'autre côté du spectre, les tarifs sur certaines bornes rapides proposent du kWh à plus de 80 centimes, et certains réseaux s'approchent même du seuil fatidique de 1 euro ! A ce prix là, une berline électrique consommant un respectable 25 kWh reviendra deux à trois fois plus cher en électricité que son homologue à essence ou diesel.. À l'inverse, la même berline, chargée à domicile de nuit, coûtera deux à trois fois moins cher en électricité que son homologue thermique !
Entre les deux, fort heureusement pour les urbains, on trouve les réseaux de bornes de charge installés à la demande des municipalités par des concessionnaires. Dans les grandes villes, la maison individuelle est évidemment un luxe, tout comme les parkings souterrains. Seule les bornes de recharge installées sur la voie publique offrent une solution aux propriétaires de voitures électriques.
Des réseaux de bornes de recharge électrique raisonnables, d'autres pas
Là encore, ce qui est le lot quotidien du propriétaire de voiture électrique, on peut trouver de tout, mais si l'on prend l'exemple de Paris, on découvre que les tarifs peuvent rester raisonnables. En charge lente (7kWh) ce qui permet tout de même de récupérer entre 30 et 50 km d'autonomie par heure, le tarif demandé par Total Energies qui opére le réseau Belib' 'est tout à fait raisonnable. Il oscille entre 31 et 33 centimes du kWh, sachant que l'on paye pour une durée de temps de stationnement, et non pour une quantité de kWh chargés. A l'inverse, le réseau Métropolis de la métropole du Grand Paris, déployé en banlieue, qui facture, lui, au kWh, fait payer la même charge lente... deux fois plus cher ! En province, on trouve un peu de tout, allant de la borne de recharge pour voiture électrique encore gratuite (mais pour deux heures seulement) à.. la quasi absence de bornes, en dehors de celles, hors de prix, déployées dans les parkings souterrains. Qui facturent et la charge, et le temps de stationnement !
En résumé, vous l'avez compris, charger sa voiture électrique est d'abord un sport, certains diront un jeu, d'autres, le ressentent comme un stress et une aberration. Mais en gérant bien ses charges, on peut réussir à parcourir 10 000 km en voiture électrique, pour à peine plus cher que deux gros pleins de carburant ! Quand une voiture thermique en aurait consommé, elle, entre 10 et 20...
https://www.economiematin.fr/news-voiture-electrique-recharge-domicile
ÂÂÂâah ! Vous l'attendiez depuis longtemps, non ? Enfin elle est arrivée ! Oui, les supermarchés sont autorisés à vendre des rallonges électrique pour brancher votre putain de caisse-à-piles à votre putain de vélo-d'appartement !
SupprimerHourra ! N'arrêtez plus de pédaler pour faire marcher la machine à laver, la cafetière, le sextoy ou la télé ! L'avenir est à la pédale ! Vous vous êtes déjà fait(e) inoculer profond et en redemandez ? Faites-vous maître ! (la recharge est gratuite !!).
Ce qu'ils ne disent pas aux gens sur les véhicules électriques
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 20 SEPTEMBRE 2022 - 23:25
Via EricPetersAutos.com,
Tout le monde sait - eh bien, tout le monde a entendu - que EeeeeeeeeeeVeeeeeeeeee sont les véhicules pour résoudre ce que l'on appelle la "crise climatique" - ce qui est une chose intéressante à dire, étant donné que les EeeeeeeeeeeVeeeeeeeees produits sont beaucoup plus puissants qu'ils ne doivent l'être pour amener les gens de A à B. Cela nécessite d'énormes batteries, pour stocker toute l'électricité nécessaire pour les faire aller très vite, très vite.
On pourrait penser que cela serait découragé - voire interdit - s'il y avait une "crise" imminente causée par "l'émission" de gaz carbonique. Après tout, plus de ce dernier est "émis" que nécessaire par les centrales électriques qui génèrent presque toute l'électricité qui alimente les EeeeeeeeeeeVeeeeeees suralimentés.
Quelqu'un a-t-il besoin d'obtenir 60 en 2,9 secondes ? Ou même six ? S'il y a une "crise", c'est ça. Pourtant, pratiquement tous les EeeeeeeVeeeeee sur le marché sont conçus spécifiquement pour consommer plus d'énergie que nécessaire pour les besoins de transport de base minimaux ou même équivalents à une voiture économique.
Cela vous dit quelque chose sur la vraie nature de la «crise» - et ceux qui disent que c'en est une. Si un navire en pleine mer a une fuite et coule, ouvrez-vous plus de trous sous la ligne de flottaison ?
Il y a d'autres choses à propos de EeeeeeeeeeeVeeeeeeeees dont ils ne vous parlent pas non plus.
Vous ne pouvez pas charger "rapidement" un Eeeeeeeeeeeeeee à la maison -
Pratiquement tous les articles jaillissant sur les EeeeeeeVeeeeeees rapporteront le fait qu'il est possible de charger "rapidement" un EeeeeeeeeeeVeeee en 30 minutes environ. Certains rapporteront que – bientôt ! – vous pourrez le faire en moins de 15 minutes. Ce qu'ils ne vous disent jamais, c'est que vous ne pouvez pas faire cela à la maison. Parce que les maisons privées n'ont pas la capacité de charger "rapidement" un EeeeeeVeeeee. Le plus "rapide" que vous puissiez charger un EeeeeeeeeeVeeee dans une maison privée est d'environ huit à neuf heures, sur une prise de 240 volts (de type sèche-linge).
Vous ne pourrez jamais recharger "rapidement" un Eeeeeeeeeeeeeee chez vous. Pas sans recâblage complet de la maison à une capacité de qualité commerciale. Cela signifie que vous devrez toujours vous rendre là où se trouve le chargeur "rapide" - et attendre là-bas. Cela signifie passer du temps à se rendre (et à partir) du chargeur "rapide". Ce qui signifie passer plus de temps à charger « rapidement ». Trente minutes pour une charge «rapide» finissent par être cela, plus le temps qu'il a fallu pour y conduire, plus l'attente là-bas.
Et ces « 15 minutes » – bientôt ! – ils jaillissent aussi ? Ils ne vous disent pas que même si cela peut être "plus rapide", c'est moins. Comme dans, pas une recharge complète. Juste assez pour repartir. Mais pas très loin – avant de devoir vous arrêter (et attendre) à nouveau.
En parlant de quoi. . .
Une charge "rapide" n'est jamais une charge complète -
Chaque fois que vous lisez un article jaillissant sur EeeeeeeeeVeeeeeees et le miracle de prendre au moins cinq fois plus de temps pour le charger "rapidement" par rapport aux cinq minutes qu'il faut pour faire le plein d'un non-EeeeeeeeeVeeeeeeee, vous ne rencontrerez jamais l'avertissement que le "rapide" la charge n'est chargée qu'à 80 %. En d'autres termes, vous vous retrouvez avec 20 % de charge en moins qu'une charge complète, ce qui signifie 20 % d'autonomie en moins . . . ce qui signifie devoir s'arrêter (encore) 20 % plus tôt.
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle vous ne pouvez pas – eh bien, ne devriez pas – charger « rapidement » un EeeeeeVeeeee complètement chargé est parce que c'est dur pour la batterie, qui est la partie la plus chère d'un EeeeeeeeeeeVeeeeee. Il existe également un risque d'incendie accru. Donc EeeeeeeeeeeeVeeeeeees (et les chargeurs "rapides") sont configurés pour fournir 80 % de charge "rapide" - et le reste, lent.
Cette perte de charge de 20 % - en supposant que vous n'avez pas le temps d'attendre une charge complète (lente) - n'est probablement pas un gros problème si vous n'allez pas loin ou si vous avez le temps de vous arrêter et d'attendre (encore ). Mais si vous faites un long voyage, vous vous arrêterez – et attendrez – plus que vous ne le pensez.
En parlant de ça. . .
Plus vous roulez loin, plus la durée de vie est courte -
Si vous conduisez un EeeeeeeVeeeeee jusqu'à la limite de son autonomie, vous aurez fortement déchargé sa batterie. Si vous voulez que la batterie dure, vous devez éviter de le faire, car la décharge régulière d'une batterie est susceptible de réduire la durée de vie de la batterie. C'est-à-dire sa capacité à tenir la charge (et donc à fournir la gamme) annoncée lorsqu'elle était neuve. C'est pourquoi les voitures hybrides sont conçues pour toujours garder la batterie partiellement chargée. Même ainsi, la batterie d'une voiture hybride finit par perdre sa capacité à maintenir la charge et doit être remplacée.
Mais EeeeeeeeeVeeeees n'ont pas de moteur à essence à bord pour éviter que la batterie ne se décharge fortement. Cela présente un paradoxe : si vous utilisez la gamme annoncée du Eeeeeeeeeeeeeee, vous réduisez la durée de vie de la batterie. Autrement dit : la gamme annoncée du EeeeeeeVeeeeee est fonctionnellement environ 30 % inférieure à celle annoncée, si vous voulez éviter d'avoir à dépenser 30 à 50 % autant que le EeeeeeeeeeeeeVeeeeee lui-même vous coûte une batterie de remplacement avant qu'il ne soit temps de le remplacer. le EeeeeeeeeeeVeeeeee, lui-même.
RépondreSupprimerVous n'en avez probablement pas entendu parler non plus. Mais vous devriez vraiment le savoir, si vous envisagez d'acheter un EeeeeeeVeeeee.
Il y a aussi d'autres choses à savoir sur EeeeeeeVeeeees.
Si vous n'avez pas de garage, où allez-vous brancher votre Eeeeeeeeeeeeeeeeee? Serez-vous capable de faire passer une rallonge de l'intérieur de votre maison - ou de votre appartement - à l'endroit où le EeeeeeeVeeeeee est garé ?
Saviez-vous que laisser un Eeeeeeeeeeeeeeeeee garé à l'extérieur - dans le froid - entraînera une diminution de l'autonomie du Eeeeeeeeeeeeeeeeeee lorsque vous le garez lorsque vous vous levez le lendemain pour le conduire ?
C'est parce que les EeeeeeeeeeeeeVeeeees consomment de l'énergie même lorsqu'elles ne sont pas utilisées - parce que les Eeeeeeeeeeeeeeeeeeees ont alimenté des systèmes de chauffage (et de refroidissement) qui sont toujours allumés - pour empêcher la batterie de devenir trop froide (ou trop chaude). Cela signifie qu'il faut garder le EeeeeeeeeeeVeeeeeeee branché, pour éviter la perte de charge pendant qu'il est juste assis - surtout s'il est assis à l'extérieur, dans le froid (ou la chaleur).
Enfin – pour ceux qui envisagent un Eeeeeeeeeeeeeeeeeeeee parce qu'ils pensent qu'ils réduisent ainsi leur « empreinte carbone » : Vous l'augmentez probablement. Pour deux raisons.
Premièrement, EeeeeeeeeeeeeeeVeeeees ne durent pas aussi longtemps que les non-EeeeeeeeeVeeeees - parce que les batteries EeeeeeeeeeeVeeeeeeee ne durent pas aussi longtemps que les non-EeeeeeeeeeeVeeeees et coûtent plus cher que leur remplacement lorsqu'ils ne peuvent plus alimenter le EeeeeeeeVeeeee. Cela signifie un nouveau Eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee plus tôt. Ce qui signifie de nouvelles matières premières (et des «émissions» de gaz carbonique) pour fabriquer le nouveau EeeeeeeeeVeeeeee - qui sera tout aussi prématurément jetable que l'ancien EeeeeeeeeeeVeeeeee.
Deux, parce que Eeeeeeeeeeeeeeeeeees sont des porcs énergétiques. Même les petites comme la Tesla 3 - qui est une voiture de taille compacte comparable à une berline Honda Civic - ont plus de 1 000 livres de batterie, qu'elle utilise pour fournir la vitesse 0-60 fois qu'elle vante. Mais cela implique un doublement probable de la taille de la batterie qui serait autrement nécessaire pour fournir une vitesse adéquate (plutôt que "ridicule") - et utilise également deux fois (ou plus) la puissance nécessaire pour la maintenir chargée. La quasi-totalité de cette énergie - en particulier l'énergie de qualité commerciale disponible sur les chargeurs «rapides» - est produite en brûlant beaucoup de gaz naturel, de pétrole et de charbon. Entraînant de nombreuses «émissions» de gaz carbonique.
Alors, pourquoi les gens qui vendent EeeeeeeeeeVeeeeeees ne disent-ils pas ces choses aux gens ? Eh bien, pour la même raison, les mêmes personnes n'ont pas parlé des "vaccins" aux gens - jusqu'à ce qu'ils leur aient été injectés.
https://www.zerohedge.com/technology/what-they-arent-telling-people-about-evs
"Venez chez moi mademoiselle ! on prendra une douche ensemble !"
SupprimerLa Moldavie lance un site Web de distribution de bois de chauffage dans un contexte de crise énergétique historique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 SEPTEMBRE 2022 - 10:15
Le rationnement de l'électricité à travers l'Europe cet hiver commence à sembler presque inévitable à ce stade, car un pays d'Europe de l'Est a lancé un site Web permettant aux citoyens de rechercher des vendeurs de bois de chauffage alors que les coûts de l'énergie deviennent inabordables.
"Le site fournit des informations sur la forêt la plus proche, facilitant ainsi le processus de fourniture à la population de bois de chauffage pour le chauffage", a écrit le Cabinet des ministres moldave dans un communiqué.
Le bois de chauffage en Moldavie est devenu la prochaine grande denrée rare (en plus de NatGas) alors que les ménages avec des cheminées et des poêles paniquent achètent du bois fendu dur et mou avant le temps plus frais pour compenser les coûts de l'électricité et du NatGas.
Les médias locaux ont rapporté que des restrictions d'achat avaient été imposées sur le bois de chauffage en raison de la demande croissante.
Les Moldaves peuvent rechercher des vendeurs de bois de chauffage par emplacement en utilisant le site Web du gouvernement. Voici un exemple d'un vendeur :
- voir cadre sur site où Vasile Bobea propose 529,31 m² de bois ! 06 94 81 626 -
La Moldavie reste le pays le plus pauvre d'Europe en termes économiques, car elle lutte contre une inflation annuelle record de plus de 30 % en raison de l'hyperinflation énergétique alors que les sanctions occidentales contre la Russie se retournent contre elle.
Le gouvernement a demandé aux ménages moldaves de réduire leur consommation d'électricité.
Ensuite, il y a le risque que le fournisseur russe Gazprom coupe complètement l'approvisionnement en gaz naturel du pays si la date limite du 1er octobre pour négocier le remboursement de la dette n'est pas respectée. La Roumanie a déclaré aux responsables moldaves qu'elle leur fournirait du NatGas si les Russes les coupaient, mais seulement s'ils payaient le carburant.
La Moldavie n'est pas le seul pays à recourir au bois de chauffage pour chauffer les maisons et les bâtiments au milieu de la crise énergétique historique. Les recherches Google de "bois de chauffage" en Allemagne ont éclaté en août alors que les débits du gazoduc russe Nord Stream 1 NatGas sont tombés à zéro.
RépondreSupprimerL'économiste principal de la Deutsche Bank, Eric Heymann, a récemment écrit une note à ses clients disant que la "substitution parfaite au gaz" est, vous l'avez deviné... le bois. Il a prédit que "le bois sera utilisé à des fins de chauffage dans la mesure du possible", tandis que les industries passeront aux dérivés du pétrole, ce qui contribuera à réduire la demande de NatGas.
Et cela vient de la plus grande banque européenne qui prévoit maintenant qu'un nombre croissant de ménages allemands utiliseront du bois de chauffage pour se chauffer.
Et ça s'améliore parce que les ménages polonais paniquent en achetant du charbon pour chauffer leur maison.
La course de l'Europe pour sécuriser rapidement de nouvelles sources d'énergie semble vouée à l'échec. Les ménages à travers le continent en panne d'énergie paniquent en achetant du bois de chauffage (et dans certains cas, du charbon) pour chauffer leurs maisons, car cet hiver pourrait être l'un des records.
https://www.zerohedge.com/commodities/moldova-launches-firewood-distribution-website-amid-historic-energy-crisis
Siiii vous avez un poêle à fioul ou à gaz...
SupprimerEffondrement de l'énergie : la première simulation de panne d'électricité dans un district allemand prévoit 400 morts en 96 heures
RépondreSupprimerMardi 20 septembre 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Une simulation de panne d'électricité menée dans un district allemand a montré que 400 décès pourraient survenir en l'espace de trois jours seulement. La simulation a mis en évidence les dangers d'un effondrement énergétique qui s'aggrave, dont l'Allemagne a fait face à la première salve.
Le district occidental de Rheingau-Taunus est devenu le premier des 401 districts et districts urbains allemands à subir une simulation, qui est menée par une entreprise spécialisée de la capitale Berlin. Outre la simulation, une enquête sur les menaces qui pourraient survenir en cas de panne d'électricité est également menée afin que les gouvernements locaux se préparent à l'éventuelle éventualité.
Sur la base de la simulation, Rheingau-Taunus devait signaler environ 400 décès en 96 heures. Les réservoirs d'eau s'épuiseraient, les sous-stations tomberaient en panne et le bétail mourrait après 24 heures. Des pillages, des incendies et des pertes économiques se chiffrant par centaines de millions suivraient bientôt.
Christian Rossel, inspecteur des incendies du district, a déclaré qu'il pensait que le risque d'une panne de courant était beaucoup plus probable qu'un manque de gaz. Même si les gens n'étaient pas préparés au manque de flux de gaz naturel, cela n'aurait pas de résultats frappants, a-t-il ajouté.
Selon Rossel, Rheingau-Taunus assurera que l'administration et la protection civile travaillent afin que l'aide d'urgence puisse être organisée. Cependant, cela nécessitera de l'électricité que les serveurs et les systèmes de communication par satellite pour les équipes de gestion de crise pourront utiliser. À l'heure actuelle, le groupe électrogène de secours du district peut fonctionner en continu pendant 16 heures.
En fin de compte, Rossel a averti que le district ne pouvait pas garantir l'approvisionnement en électricité. Il a conseillé aux habitants de Rheingau-Taunus de stocker de la nourriture et de l'eau potable pendant deux semaines.
Faisant écho aux sentiments de Rossel, l'Association allemande des villes et municipalités (DStGB) a sonné l'alarme et mis en garde contre une surcharge probable du réseau électrique allemand. (Connexe : l'Allemagne se prépare au rationnement de l'électricité pour stabiliser le réseau électrique vert.)
"Il y a un risque de panne d'électricité", a déclaré le directeur général du DStGB, Gerd Landsberg, qui a également déclaré à l'hebdomadaire allemand Welt am Sonntag que les scénarios logiques sont à la fois des attaques de pirates et "une surcharge du réseau électrique".
Le chef du DStGB a également déclaré que le gouvernement fédéral a reconnu la situation, mais ne réagit pas comme il le devrait.
"Ensuite, il n'y a pas d'eau, vous ne pouvez pas faire le plein, après deux jours, vous ne pouvez pas recharger votre téléphone portable. Nous ne sommes en aucun cas préparés à un tel scénario », a déploré Landsberg. Le chef du DStGB a ajouté que chaque citoyen doit être conscient de ce qui se passe lorsqu'il n'y a pas d'électricité.
RépondreSupprimerD'abord vient l'énergie, puis l'économie
La panne d'électricité n'est plus une histoire de terreur de théoriciens du complot menaçants. Les autorités reconnaissent maintenant que la crise est réelle, bien qu'elles cachent le fait qu'elle est d'origine locale et qu'elle est le résultat de leurs propres politiques désastreuses. En fin de compte, l'effondrement énergétique de l'Allemagne peut être attribué à une politique fondée sur la croyance et à des décennies de négligence des infrastructures cruciales.
Une fois le réseau électrique effondré, l'économie suivra à coup sûr car le manque d'approvisionnement énergétique disponible entrave les opérations des entreprises.
Le géant financier JP Morgan a déjà prévu de retourner au Royaume-Uni au milieu de l'effondrement énergétique de l'Allemagne. La société a quitté Londres plus tôt pour opérer à Francfort en raison du Brexit. En dehors de cela, le Daily Mail a déclaré que JP Morgan envisageait des plans d'urgence pour garantir le bon déroulement des opérations commerciales.
Une option consiste à dire aux employés de travailler à domicile, dans le but de réduire la consommation d'énergie de l'entreprise. Cela pourrait être la première option sur la table si les pénuries d'énergie paralysaient l'Europe. Une autre option serait d'alimenter ses générateurs diesel à Francfort, qui peuvent alimenter les bureaux de JP Morgan pendant des jours en cas de panne du réseau.
Cependant, une source interne a fait remarquer que ces options n'étaient pas encore déployées.
"Il faudrait une tempête parfaite d'un arrêt complet de l'approvisionnement en gaz russe, aucune réduction de la consommation de gaz et peu d'approvisionnement alternatif en gaz avant que cela n'ait un impact réel sur nos activités", a déclaré la source.
Suivez Power.news pour plus d'informations sur les pannes d'électricité imminentes en Europe.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi l'Europe se dirige vers une panne totale d'hiver.
Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com.
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Sources include:
FreeWestMedia.com
DailyMail.co.uk
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-german-blackout-simulation-400-deaths-96-hours.html
Un astrophysicien britannique dénonce le canular du "changement climatique", affirme que les scientifiques ne sont là que pour l'argent
RépondreSupprimermardi 20 septembre 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Les médias grand public et la majorité des climatologues suggèrent que le réchauffement climatique d'origine humaine est réel. Cependant, malgré le bavardage qu'il a provoqué au cours des dernières décennies, seulement 0,3 % des articles affirment que l'homme a causé la majeure partie du réchauffement climatique post-1950.
Selon l'histoire de "Climate Emergency", le gaz carbonique est l'un des plus grands contributeurs au réchauffement climatique, et la contribution de l'homme est un facteur dangereux à cet égard. Cependant, le gaz carbonique n'est présent que dans 0,04 % de l'air et les émissions de carbone d'origine humaine ne contribuent qu'à 4 % de ce total. Mis en perspective, le gaz carbonique équivaudrait à de petites fientes de pigeon de deux millimètres au sommet de Big Ben.
Piers Corbyn, un astrophysicien de haut niveau et directeur des prévisions à long terme de WeatherAction, soutient que le réchauffement climatique d'origine humaine causé par le gaz carbonique est un non-sens. Selon lui, les niveaux de gaz carbonique sont un effet et non une cause du changement climatique ou des températures.
Dans une récente interview, le frère de l'ancien chef du parti travailliste britannique Jeremy Corbyn a expliqué que le climat "a toujours changé, mais cela n'a rien à voir avec l'homme".
Il a expliqué que les changements climatiques et météorologiques de la Terre sont principalement dictés par l'activité cyclique à la surface du soleil et n'ont rien à voir avec les émissions de carbone d'origine humaine. Il a également dit que les "scientifiques" du changement climatique qui ne sont pas d'accord avec lui essaient seulement de gagner de l'argent.
La discussion a été suscitée par les vagues de chaleur record de cette année et les sécheresses qui ont suivi qui ont entraîné l'été le plus chaud enregistré dans l'histoire européenne, selon un rapport du Copernicus Climate Change Service (C3S).
Freja Vambog, scientifique principale à l'agence, a déclaré qu'il n'y avait pas seulement eu des températures record en août pour l'Europe, mais pour l'été dans son ensemble. Le précédent record de l'été n'a qu'un an.
Ce « record » a incité les militants à répéter les mêmes vieux tropes selon lesquels le changement de temps « confirme le changement climatique ».
À une époque de crise énergétique en Europe, les politiques vertes sont également suspendues en faveur des gouvernements qui ne laissent pas leurs citoyens geler ou mourir de faim.
Le discours sur le gaz carbonique n'a pas de sens
Dans une discussion pour la Debate Society de l'Université de Reading, Corbyn a postulé que pour que le récit du gaz carbonique soit vrai, le gaz carbonique artificiel doit être capable de contrôler le reste des traces de gaz carbonique. De plus, le gaz carbonique doit être le principal régulateur de la température et du climat.
Mais selon la société, de telles affirmations échouent lorsqu'elles sont soumises à un examen scientifique. Il a ajouté que ces affirmations ne seront pas rendues moins fausses par le nombre de célébrités nouvelles ou anciennes et de «scientifiques» générant des empreintes carbone en participant à des rassemblements «sauvons la planète» et en répétant des prévisions alarmistes.
Malgré ce que prétendent les alarmistes climatiques, le gaz carbonique n'a cessé d'augmenter tandis que les températures ont évolué avec le temps - la moitié du temps se déplaçant avec le gaz carbonique, l'autre moitié contre lui.
RépondreSupprimerLes données des carottes de glace sur une période plus longue ont également montré que les niveaux de gaz carbonique, qui se sont lissés au fil des siècles, suivent les températures climatiques mondiales d'environ 500 à 800 ans. (Connexe : Le crash cosmique il y a 12 800 ans a provoqué des changements climatiques, prouvant que le « changement climatique » peut se produire à tout moment, bien au-delà de notre contrôle.)
L'augmentation actuelle des niveaux de gaz carbonique au cours du siècle dernier est une séquelle de la période chaude médiévale, qui a eu lieu il y a environ 500 à 800 ans, et était plus chaude que le climat actuel malgré le fait qu'il y avait moins de personnes et brûlait moins de combustibles fossiles.
Les extrêmes météorologiques actuels que le monde connaît correspondent tout simplement à une ère glaciaire en développement. Selon WeatherAction de Corbyn, ils proviennent des balançoires sauvages du jet stream décalées vers le sud. Les souffles de chaleur extrêmes occasionnels et les périodes de froid sont courants dans les petites circulations de la période glaciaire.
De plus, le canular du réchauffement climatique d'origine humaine est simplement poussé pour des politiques fiscales et de contrôle qui nuisent aux gens ordinaires. Ces politiques «vertes» tyranniques affectent les populations les plus pauvres, des millions de personnes mourant chaque année de causes liées à la pauvreté énergétique en raison des politiques climatiques.
ClimateAlarmism.news a plus sur le canular du changement climatique et les gens derrière.
Regardez la vidéo ci-dessous pour voir la courte interview de Piers Corbyn sur le changement climatique.
Cette vidéo provient de la chaîne LifeSiteNews sur Brighteon.com.
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Sources include:
ReadingUniDebating.Wordpress.com
Brighteon.com
NewsPunch.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-astrophyisicist-piers-corbyn-slams-climate-change-hoax.html
Le groupe parlementaire UDC propose au comité du parti le lancement d’un référendum contre le contre-projet à l’initiative sur les glaciers
RépondreSupprimerle 21.09.2022
La Stratégie énergétique 2050 a été acceptée par le peuple en 2017 grâce à de fausses promesses. L’UDC avait déjà averti à l’époque que cette stratégie idéologique de la gauche rose-verte entraînerait une hausse massive des coûts et une pénurie d’électricité et c’est ce qui s’est produit aujourd’hui : Aujourd’hui, les prix explosent et nous sommes confrontés au premier hiver où nous risquons de manquer d’électricité. Les sources d’électricité alternatives et les capacités de stockage ne sont pas disponibles en suffisance.
Ce qui semble bienveillant en apparence est en vérité une catastrophe pour la population suisse
L’initiative sur les glaciers et le contre-projet indirect prétendent que nous, en Suisse, pouvons sauver les glaciers, les ours polaires et même le monde. En réalité, le contre-projet donne au Conseil fédéral les pleins pouvoirs pour atteindre l’objectif zéro net d’ici 2050 par le biais d’ordonnances. De facto, cela revient à interdire les énergies fossiles et ce sans savoir préalablement comment remplacer le pétrole et le gaz, nous menant droit vers une nouvelle pénurie et donc à un renchérissement de l’électricité et de l’énergie.
De même, des centaines de milliards de coûts, de prescriptions, d’interdictions, de contraintes et de nouvelles taxes s’imposeront à nous tous. Muni de ce pouvoir, le Conseil fédéral pourra décréter des prescriptions contraignantes pour l’isolation des façades et des toits des vieilles maisons, l’interdiction des moteurs diesel et essence et bien d’autres choses encore.
Les raisons suivantes plaident en faveur du lancement d’un référendum contre le contre-projet à l’initiative sur les glaciers :
Investir dans l’abandon des énergies fossiles plutôt que dans la production d’électricité
On met la charrue avant les bœufs. Avec le contre-projet indirect à l’initiative sur les glaciers, c’est la consommation d’électricité qui est stimulée et non la production. Au lieu d’investir les fonds publics avant tout dans les nouvelles installations de production d’électricité, dont notre pays a urgemment besoin, les fonds seront utilisés pour abandonner la production fossile. Parallèlement, la gauche rose-verte s’en tient à ses interdictions technologiques sur le nucléaire et empêchent le développement de projets hydroélectriques. Ce cocktail empoisonné aggrave encore la pénurie d’électricité et, ironiquement, retarde l’abandon des énergies fossiles.
L’échec de la Stratégie énergétique se répète
Au lieu d’admettre enfin l’échec de la Stratégie énergétique 2050, on réitère la même politique fatale avec « l’initiative sur les glaciers ».
Les pleins pouvoirs au Conseil fédéral
Le contre-projet indirect ouvre la porte à l’administration pour des réglementations toujours plus strictes sous forme d’ordonnances. La participation démocratique du peuple et du Parlement est supprimée puisqu’aucun référendum ne peut être lancé contre les ordonnances.
Interdiction suicidaire des énergies fossiles alors que l’on manque d’électricité
Le véritable objectif de l’initiative, « zéro net » d’ici 2050, figure également dans le contre-projet et ce sans que nous sachions aujourd’hui s’il y aura un jour suffisamment d’électricité disponible. Derrière cette initiative se cachent les mêmes fausses promesses que celles de la Stratégie énergétique 2050. 5 ans seulement après cette votation, les prix explosent en raison des risques de pénurie d’électricité que nous avons nous-mêmes créés. Ces risques de pénurie, cet hiver déjà, amènent aussi des risques de troubles sociaux.
Se les geler à la lumière d’une bougie, renoncer à la voiture et payer des centaines de milliards de francs supplémentaires
RépondreSupprimerSi l’on ne parvient pas à l’objectif « zéro net » grâce aux nouvelles technologies, des mesures de rééducation drastiques suivront : moins de conduite automobile, interdiction des moteurs à combustion et des voyages en avion, moins de consommation de viande, moins de chauffage, mesures coûteuses de rénovation des bâtiments (isolation obligatoire des façades, isolation du toit, conversion des systèmes de chauffage au mazout en systèmes fonctionnant à l’électricité et bien d’autres choses encore).
„zéro net“ = pauvreté
Ni le développement économique, ni l’immigration démesurée ne sont pris en compte dans la réalisation de l’objectif « net zéro ». Ce sont nous, les contribuables, qui payons la facture (estimée au moins à 347 milliards de francs). Les propriétaires et les locataires, les commerçants et l’industrie et, une fois de plus, les automobilistes et les motocyclistes. Le « zéro net » doit sera imposé à tout prix, même si cela doit appauvrir les habitants de la Suisse.
Suppression de places de travail
Toutes les entreprises devront afficher un « zéro net » d’ici 2050 en tenant compte des émissions directes et indirectes, ce qui ouvre la porte à un renforcement de la réglementation. Les entreprises devront cesser leur production et des emplois seront perdus.
Appauvrissement des propriétaires et des locataires
Les partisans veulent financer l’abandon des chauffages au mazout avec des fonds fédéraux pour ensuite alimenter les pompes à chaleur avec de l’électricité produite par les chauffages au gaz. Qui devra payer l’isolation des 1.8 million de bâtiments d’habitations ? En moyenne, une telle rénovation coûte 250’000 francs. Même si seulement 50 % des bâtiments étaient rénovés, les coûts s’élèveraient à 225 milliards de francs. Les propriétaires de maisons chauffées au mazout n’obtiendront plus d’hypothèques de la part des banques.
Interdiction des véhicules à moteur à combustion
Une fois de plus, on ment à la population. Comme on sait qu’elle n’acceptera jamais une interdiction des moteurs à combustion, on travaille sur des valeurs indicatives. Dans le domaine des transports, cela revient à interdire les moteurs à combustion.
Extrait de: Source et auteur
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https://lesobservateurs.ch/2022/09/21/le-groupe-parlementaire-udc-propose-au-comite-du-parti-le-lancement-dun-referendum-contre-le-contre-projet-a-linitiative-sur-les-glaciers/
La réalité mord : l'UE commence à perdre le combat contre la Russie au sujet des sanctions
RépondreSupprimerMardi 20 septembre 2022
par : Belle Carter
(Natural News) L'Union européenne (UE) commence lentement à perdre pied maintenant que la Russie semble avoir le dessus à l'approche de l'hiver et qu'une crise énergétique majeure se profile.
L'UE et ses alliés occidentaux ont imposé diverses sanctions à Moscou en réponse à l'invasion de l'Ukraine par ce dernier. En guise de contre-mesure, Moscou a décidé de suspendre et de couper l'approvisionnement en carburant de l'UE, qui dépend largement du gaz naturel russe.
À cet égard, le secrétaire d'État hongrois aux Affaires étrangères et au Commerce, Tamas Menczer, a révélé que le bloc pourrait revoir les sanctions contre la Russie et pourrait en lever certaines dès l'automne. "La réalité frappe à la porte de tous les pays", a déclaré Menczer
Lors d'une récente apparition sur M1 TV, Menczer a déclaré que les restrictions imposées au commerce russe pour le punir d'avoir attaqué l'Ukraine n'ont pas réussi à changer le comportement de Moscou. En fait, le pays a été récompensé par une augmentation des revenus après avoir déclenché une flambée des prix de l'énergie. Moscou récolte toujours des milliards de dollars en canalisant les exportations de pétrole vers les marchés asiatiques.
Pendant ce temps, les pays européens qui ont imposé les sanctions sont confrontés à des pénuries d'énergie.
Le média RT a rapporté que le député hongrois a confirmé que son pays, qui critiquait la volonté de l'UE de découpler l'économie du bloc de l'énergie russe, s'opposait à l'idée d'introduire un plafond de prix sur le gaz acheté à des pays étrangers.
Le vice-Premier ministre russe Alexander Novak a déclaré qu'il interdirait les exportations de pétrole et d'autres produits pétroliers vers les pays qui imposeraient un plafond sur le prix du brut russe.
De plus, le président du Parlement hongrois, Laszlo Kover, a souligné que l'UE était le véritable "perdant" du conflit ukrainien en raison des dommages économiques causés par les sanctions et de la réponse de la Russie à celles-ci.
Un responsable d'un parti politique italien exhorte l'UE à mettre fin aux sanctions contre la Russie
Certains membres du bloc commencent à voir comment la guerre russo-ukrainienne plonge en fait l'Europe dans un effondrement économique. (Connexe: les conservateurs italiens exigent la fin immédiate des sanctions économiques contre la Russie.)
Matteo Salvini, secrétaire fédéral du parti d'extrême droite italien Lega Nord (Ligue du Nord), a déjà rompu les rangs avec d'autres dirigeants européens qui ont récemment semblé faire écho à une forme de politique "L'Ukraine d'abord".
Salvini a exhorté l'UE à mettre fin aux sanctions énergétiques de la Russie, car celles-ci ne font que laisser les Européens "à genoux" au milieu de la flambée des factures énergétiques et de la pénurie d'approvisionnement. Il a ajouté que couper l'énergie russe ne fait que nuire à l'Italie et à son peuple, qui doivent payer le double, le triple ou même le quadruple du prix du peu d'énergie restante.
"Et après sept mois, la guerre continue et les coffres de la Fédération de Russie se remplissent d'argent", a déclaré Salvini à la radio RTL.
RépondreSupprimerLors d'un caucus pour les élections générales du 25 septembre dans la ville septentrionale de Bolzano, Salvini a déclaré : « Au lieu de sanctions, qui étaient censées blesser les Russes, il vaudrait mieux protéger les Italiens et les Européens avec un bouclier, un parachute. ”
Il a souligné que la seule urgence en ce moment était les factures d'électricité et de gaz. "C'est grave qu'un côté de la politique ne comprenne pas cela. C'est un problème continental et national », a-t-il ajouté.
Pendant ce temps, le ministre italien des Affaires étrangères Luigi Di Maio du parti Ensemble pour l'avenir a dénoncé les propos de Salvini et l'a accusé de vouloir finalement rendre service au président russe Vladimir Poutine. Di Maio a déclaré: "La question des sanctions est très claire dans la droite italienne: ils n'ont pas de ligne."
Visitez Collapse.news pour plus d'informations sur l'aggravation de la crise énergétique de l'UE.
Regardez cette vidéo sur la Hongrie qui n'obéit plus aux sanctions russes de l'UE.
Cette vidéo provient de la chaîne Pursuit of Truth de Cynthia sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
70 000 manifestants envahissent Prague pour protester contre la crise énergétique : "L'Europe au bord du gouffre".
Le géant gazier allemand demande à Berlin un BAILOUT alors que le pays fait face à une crise énergétique.
Le chef de la sécurité autrichienne met en garde contre de possibles émeutes cet automne en raison de la crise énergétique imminente.
Le président tchèque attribue la « folie verte » à la crise énergétique.
Les sources comprennent :
SHTFplan.com
RT.com
ZeroHedge.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-eu-starting-lose-fight-russia-over-sanctions.html
Les technologies qui révolutionnent le monde du casino en ligne Canadien
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
19 septembre 2022
Le secteur du casino canadien est un domaine qui est en pleine croissance. Cet essor a pour cause l’avènement de quelques technologies à impact révolutionnaire. Celles-ci ont permis d’effectuer des opérations en toute sécurité et anonymat. Les voici !
La Blockchain, la transparence des données et la décentralisation
La blockchain est une technologie en pleine expansion qui, grâce à son intégration transparente, révolutionne l’industrie Internet. L’environnement de jeu s’adapte à ces changements, car les crypto-monnaies qui fonctionnent sur cette technologie continuent de modifier les habitudes des consommateurs. Vous pouvez également recevoir des bonus Betwinner avec la crypto-monnaie.
L’argent numérique permet aux établissements de jeu et aux clients d’explorer des jeux de hasard à enjeux élevés qui seraient autrement limités par des systèmes centralisés. Si vous souhaitez jouer sur un casino en ligne canadien, vous pouvez vous y inscrire.
La blockchain est parfaitement adaptée aux casinos en ligne, et d’ici 2022, leur dépendance augmentera. Chaque utilisateur de la blockchain a la possibilité de suivre un transfert vers une adresse publique associée : une fonctionnalité utile pour vérifier la légitimité des transactions. Dans les casinos, on peut noter aussi d’autres systèmes monétaires autres que la blockchain. Celle-ci n’est d’ailleurs réglementée par aucune autorité ou gouvernement.
La réalité virtuelle et les contrôles de sécurité
Éviter les tiers tels que les banques permet aux utilisateurs de crypto-monnaie de réduire considérablement les coûts. La majorité des transactions blockchain nécessitent une petite somme d’argent pour être complétées. Le montant versé peut varier et la préférence est donnée aux donateurs les plus généreux. Cela diffère des transactions classiques, qui sont soumises à des frais normaux fixés par les autorités.
Les développeurs de jeux ont introduit plusieurs nouveaux accessoires de jeu, notamment des consoles, des contrôleurs et des claviers, avec l’utilisation de la technologie. Toutefois, grâce à un contrôle gestuel avancé, vous pouvez désormais échapper à ces observateurs. Afin de contrôler facilement vos jeux, vous pouvez utiliser des gestes de la main.
Personne ne peut accéder à un portefeuille BTC sans clé. Pour plus de difficulté pour les visiteurs, le portefeuille peut même se mettre en panne.
L’anonymat et le jeu en cloud
Les informations personnelles sont cryptées à des niveaux inimaginables pour assurer leur sécurité. Les joueurs n’ont accès qu’aux données sensibles telles que leur nom, le montant du dépôt et le mot de passe de leur portefeuille. Bien que les transactions puissent être suivies à l’aide d’adresses publiques, le système limite les informations telles que le titulaire du compte ou le montant détenu. Le tracker n’est plus en mesure de les utiliser pour effectuer des transactions.
Une autre technologie émergente qui influencera l’avenir du jeu est le “jeu dans le noir”. La technologie du cloud computing est à la base des divertissements. Le cloud gaming consiste à déplacer la charge de calcul d’un appareil local vers une machine distante : un serveur ou un ordinateur plus puissant. Cela permet aux joueurs de profiter de leurs jeux en ligne sans les télécharger. La seule chose que le joueur doit faire est de se connecter à Internet.
Les jeux deviennent plus rapides et plus fluides avec une connexion Internet stable. De plus, vous économisez de l’argent, car le cloud gaming élimine le besoin d’acheter l’équipement de jeu le plus récent pour jouer aux jeux les plus récents.
La technologie OCR (reconnaissance, optique de caractères), les payements sans numéraires et les jeux en ligne
La technologie OCR est intégrée directement dans le casino pour enregistrer chaque détail de la zone de jeu. Il convertit mécaniquement ou électroniquement des images textuelles manuscrites, dactylographiées ou imprimées en données textuelles.
L’OCR permet la diffusion directe d’un casino aux joueurs, via un lien vidéo. Ce système convertit chaque élément de données dans un format électrique pour enregistrer chaque activité : comme tourner une roue de roulette, mélanger ou distribuer des cartes. Un casino accessible en ligne est assez similaire à un casino traditionnel grâce à la technologie.
RépondreSupprimerL’industrie financière des casinos en ligne a également progressé grâce à la modernisation. Les casinos offrent désormais une large gamme d’alternatives de paiement et plusieurs types de transactions financières. L’un d’eux est le paiement non-monétaire via une carte de crédit ou des services tiers.
L’industrie moderne du jeu vidéo est portée par les jeux multijoueurs et les jeux en ligne ne font pas exception. La connexion avec d’autres joueurs améliore l’immersion des casinos en ligne et montre que les joueurs peuvent travailler ensemble pour des avantages potentiellement plus importants. Une petite quantité d’équipement est nécessaire pour participer à un jeu en réseau, ce qui en fait l’une des avancées technologiques les plus utilisées dans le secteur.
En dehors de cela, plusieurs casinos en ligne ont déjà pris la décision d’utiliser des crypto-monnaies, qui garantissent l’anonymat complet des transactions financières. Sans compter que lorsque les joueurs utilisent des méthodes de paiement alternatives, ils sont souvent récompensés par des bonus de cashback supplémentaires. Lorsque vous jouez dans des casinos en ligne, il est logique de profiter d’offres alléchantes, mais uniquement de sites Web réputés.
https://lecourrier-du-soir.com/les-technologies-qui-revolutionnent-le-monde-du-casino-en-ligne-canadien/
Les exportations russes de pétrole et de charbon vers la Chine montent en flèche en août
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 SEPTEMBRE 2022 - 05:05
Les importations chinoises de pétrole brut et de charbon en provenance de Russie ont explosé en août, selon des données publiées mardi, mais malgré l'augmentation de l'offre, la Russie a rendu son premier classement de fournisseur de pétrole à l'Arabie saoudite pour la première fois en quatre mois, alors même que les exportations de charbon ont atteint un record.
Selon les données de l'Administration générale des douanes chinoises, les importations de pétrole russe, y compris les approvisionnements pompés via l'oléoduc East Siberia Pacific Ocean (ESPO) et les expéditions maritimes depuis les ports russes d'Europe et d'Extrême-Orient, ont totalisé 8,342 millions de tonnes, en hausse de 28 % Y/ Y, l'équivalent de 1,96 million de barils par jour (bpj), et juste légèrement en dessous du record de mai de près de 2 millions de bpj. La Chine est le plus grand acheteur de pétrole de la Russie, surtout maintenant que la majeure partie du monde occidental a sanctionné l'énergie russe.
- voir graph sur site -
Les achats de pétrole russe par la Chine se sont envolés afin de récolter les bénéfices d'une chute des achats européens et de la chute des prix du pétrole russe...
- voir graph sur site -
... juste au moment où Pékin en a le plus besoin alors que la crise ukrainienne pousse Moscou à la recherche de marchés alternatifs
Les importations russes ont augmenté alors que les raffineurs indépendants chinois ont étendu leurs achats de fournitures russes à prix réduit, ce qui a évincé les cargaisons rivales d'Afrique de l'Ouest et du Brésil.
Mais malgré le prix total, les importations en provenance d'Arabie saoudite ont rebondi le mois dernier à 8,475 millions de tonnes, soit 1,99 million de bpj, 5 % au-dessus des niveaux de l'année précédente, et devancent de peu la Russie pour la première place. L'Arabie saoudite reste également le plus grand fournisseur depuis le début de l'année, expédiant 58,31 millions de tonnes de pétrole de janvier à août, en baisse de 0,3 % sur l'année, contre 55,79 millions de tonnes en provenance de Russie, en hausse de 7,3 % par rapport à l'année précédente. période.
Au total, les importations chinoises de pétrole brut en août ont chuté de 9,4 % par rapport à l'année précédente, les pannes dans les raffineries publiques et la baisse des opérations dans les usines indépendantes causées par la faiblesse des marges ayant plafonné les achats.
Le tableau ci-dessous montre les importations par pays, avec les volumes en tonnes métriques et la variation en pourcentage calculée par Reuters.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Les importants achats de pétrole russe ont continué de peser sur les approvisionnements concurrents de l'Angola et du Brésil, qui ont chuté en août de 34 % et 47 % en glissement annuel, respectivement. Les douanes n'ont signalé aucune importation en provenance du Venezuela ou de l'Iran le mois dernier. Les entreprises pétrolières d'État ont évité les achats depuis la fin de 2019 par crainte de tomber sous le coup des sanctions américaines secondaires, bien que beaucoup se livrent encore à un commerce illicite qui n'est pas divulgué dans les livres. L'une de ces sociétés est China Aerospace Science and Industry Corp (CASIC), axée sur la défense, qui a transporté 25 millions de barils de brut vénézuélien en Chine depuis fin 2020, ce que les douanes chinoises ne signalent pas.
Les données douanières de mardi ont également montré que les importations en provenance de Malaisie, souvent utilisées comme point de transfert au cours des deux dernières années pour le pétrole en provenance d'Iran, du Venezuela et plus récemment de Russie, ont presque doublé par rapport à l'année précédente, pour atteindre 3,37 millions de tonnes, soit 794 000 bpj.
La Chine n'a importé aucun brut des États-Unis, selon les données.
Mais ce n'était pas seulement le pétrole russe que Pékin agitait : les importations chinoises de charbon en provenance de Russie ont également explosé en août, dépassant le niveau du mois dernier et atteignant le plus haut depuis au moins cinq ans, alors que les services publics d'électricité du plus grand consommateur de charbon au monde cherchaient à s'approvisionner à l'étranger. pour répondre à la demande croissante par temps extrêmement chaud.
Les arrivées de charbon russe le mois dernier ont atteint 8,54 millions de tonnes, en hausse par rapport au précédent pic de 7,42 millions de tonnes en juillet et 57 % de plus qu'à la même période l'an dernier, ont montré mardi les données des douanes chinoises. En fait, le chiffre mensuel était le plus élevé jamais enregistré, puisque des statistiques comparables ont commencé en 2017.
Les prix du charbon russe ont grimpé alors que la Chine et l'Inde ont intensifié leurs achats, ont déclaré les commerçants, mais ils étaient toujours moins chers que le charbon domestique de même qualité. Le charbon thermique russe à 5 500 kcal à la livraison en Chine était évalué à environ 155 dollars la tonne fin août, contre environ 150 dollars la tonne un mois plus tôt.
Comme le note Reuters, après qu'une grave sécheresse et une vague de chaleur ont frappé l'ouest et le sud de la Chine à partir de fin juillet, les centrales électriques au charbon ont accéléré leur production pour répondre à la demande croissante de climatisation et au déficit d'approvisionnement des centrales hydroélectriques. Ils ont également augmenté leurs achats de charbon thermique de meilleure qualité, comme le charbon russe, pour améliorer l'efficacité de la production d'électricité.
La Chine a importé 15,82 millions de tonnes de carburant sale de son principal fournisseur, l'Indonésie, en août, soit 35 % de plus qu'en juillet, selon les données. Mais cela reste inférieur aux 17,3 millions de tonnes importées en août de l'année dernière.
RépondreSupprimerL'augmentation des achats de charbon indonésien est survenue alors que les prix lucratifs encourageaient les services publics à passer davantage de commandes. En août, le charbon thermique indonésien de 3 800 kcal coûtait environ 170 yuans (24,26 dollars) la tonne moins cher que le charbon chinois de même qualité, et le charbon de 4 700 kcal était inférieur de 140 yuans.
Les services publics d'électricité devraient augmenter leurs importations en octobre pour reconstituer les stocks avant le coup d'envoi de la saison de chauffage dans la majeure partie du nord de la Chine à la mi-novembre.
Cependant, à mesure que la dépréciation du renminbi se poursuivra, le charbon importé deviendra plus cher pour les acheteurs chinois et pourrait faire baisser la demande.
https://www.zerohedge.com/commodities/russian-oil-coal-exports-china-soar-august
"Explosion" secoue la raffinerie BP dans l'Ohio
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 SEPTEMBRE 2022 - 04:03
La raffinerie BP-Husky Toledo dans l'Oregon, dans l'Ohio, a été secouée par une "explosion" vers 18h30, heure locale, selon les informations locales WTOL, citant des témoins.
Des vidéos postées sur les réseaux sociaux montrent l'incendie de la raffinerie BP.
Par BP : La raffinerie peut traiter jusqu'à 160 000 barils de pétrole brut chaque jour, fournissant au Midwest de l'essence, du diesel, du carburéacteur, du propane, de l'asphalte et d'autres produits. https://t.co/dmX2Gg3Ens
– Josh Croup 13abc (@JoshCroup) 20 septembre 2022
La vidéo d'un téléspectateur montre une raffinerie BP de l'Oregon en flammes lundi soir.
Par BP : La raffinerie peut traiter jusqu'à 160 000 barils de pétrole brut chaque jour, fournissant au Midwest de l'essence, du diesel, du carburéacteur, du propane, de l'asphalte et d'autres produits. V
- voir sur site -
Crédit vidéo : Ryan Rohm pic.twitter.com/jf98uAa93N
– Nouvelles 5 Cleveland (@WEWS) 21 septembre 2022
WTOL a appris qu'au moins deux personnes avaient été gravement brûlées. La cause de l'incendie reste à déterminer.
Chris Howard attendait des nouvelles de son père qui travaille à l'usine mardi soir. Il a reçu un appel téléphonique vers 19 heures. d'un ami qui travaille à la sécurité à la raffinerie.
"Il a dit que c'était comme une sorte d'explosion", a déclaré Howard. "Il m'a dit qu'il y avait juste un gros grondement à la raffinerie, beaucoup d'incendies partout. Il a dit que c'était le pire qu'il ait vu. Beaucoup de blessés." --OMCL
Le site Web de BP a expliqué que la raffinerie "traitait jusqu'à 160 000 barils de pétrole brut chaque jour, fournissant au Midwest de l'essence, du diesel, du carburéacteur, du propane, de l'asphalte et d'autres produits".
Il a ajouté: "La raffinerie peut produire quotidiennement 3,8 millions de gallons d'essence, 1,3 million de gallons de carburant diesel et 600 000 gallons de carburéacteur."
*Développement...
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/commodities/explosion-rocks-bp-refinery-ohio
Les sanctions occidentales contre la Russie provoquent un chaos dans le transport maritime alors qu'une nouvelle menace émerge
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 21 SEPTEMBRE 2022 - 12:55
Les sanctions unilatérales que les pays occidentaux ont imposées à la Russie ont provoqué des perturbations de l'approvisionnement énergétique et une hyperinflation énergétique dans le monde entier. L'Europe réorganise sa chaîne d'approvisionnement énergétique loin de la Russie alors qu'elle s'approvisionne ailleurs en produits énergétiques. Les pays de l'UE se bousculent pour que les pétroliers importent des produits énergétiques de l'étranger, ce qui a entraîné une augmentation des taux d'expédition mondiaux des pétroliers.
Depuis qu'il a imposé des sanctions à la Russie, l'Occident a réalisé que les chaînes d'approvisionnement mondiales étaient fragiles. Même avant la guerre en Ukraine, les chaînes d'approvisionnement connaissaient des difficultés en raison de la reprise économique inégale de Covid, des conflits de guerre commerciale et des risques géopolitiques croissants.
En tant que telle, la décision de réorganiser toute la chaîne d'approvisionnement énergétique de l'Europe loin de la Russie au milieu de tout le chaos dans le monde a créé une pénurie de navires pour transporter les carburants essentiels vers les régions frappées par l'énergie cet hiver.
Bloomberg a rapporté que l'Europe importait du gaz naturel liquéfié, du diesel et du brut de régions lointaines qui maintiennent les pétroliers en transit pendant de longues périodes et retardent la remise en service d'autres voies de navigation critiques. Les experts en transport maritime préviennent que cela déclenche la dernière flambée des taux de fret mondiaux des pétroliers.
Les taux de fret du GNL sont à des niveaux élevés pour cette période de l'année et menacent de dépasser le pic hivernal de l'an dernier. Le coût d'expédition d'une cargaison de pétrole américain vers la Chine est au plus haut depuis 2020, tandis que le transport d'une cargaison de matières premières pétrochimiques à base de naphta du Moyen-Orient vers le Japon coûte plus du double de ce qu'il était en mars, selon les données du Baltic Exchange. .
- voir graph sur site -
La pénurie de navires menace d'avoir un impact sur les économies asiatiques qui importent du pétrole et du gaz des États-Unis, car elles pourraient avoir du mal à obtenir des cargaisons de rechange à court terme si le temps devient extrêmement froid cet hiver, ont déclaré des commerçants et des armateurs. Même les expéditions de matières premières pétrochimiques deviennent de plus en plus coûteuses à transporter, ce qui pèse davantage sur les acheteurs aux prises avec une demande atone de produits chimiques à mesure que le rythme de fabrication ralentit.
On craint de plus en plus que la disponibilité limitée des méthaniers cet hiver ne provoque des perturbations du fret.
RépondreSupprimerLes armateurs exigent que les méthaniers retournent à l'installation de Freeport au Texas avant le redémarrage des opérations en novembre après qu'un incendie a fermé l'usine début juin.
"Ce que nous avons vu dans le transport maritime cette année a été remarquable à la suite de la guerre en Ukraine", a déclaré Peter Sand, analyste en chef chez Xeneta, une plateforme d'analyse du marché du fret.
Les sanctions occidentales contre la Russie sont à l'origine du chaos énergétique mondial et de la flambée des tarifs des pétroliers, et risquent d'augmenter la disponibilité limitée des navires à louer cet hiver. Quel gâchis cela est devenu.
https://www.zerohedge.com/commodities/western-sanctions-against-russia-spark-mayhem-shipping-new-threat-emerges
Le Brésil, premier producteur mondial de café arabica, annonce des stocks record
RépondreSupprimermardi 20 septembre 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le Brésil, le plus grand producteur mondial de café arabica, fait état d'un stock record, ce qui met en évidence la détérioration de l'état de l'approvisionnement mondial en café.
Les stocks de café au Brésil pourraient chuter à seulement sept millions de sacs pesant 60 kilogrammes (132 livres) chacun d'ici mars 2023, selon Silas Brasileiro, président du Conseil national du café. Selon les experts du secteur, une récolte plus confortable rapporterait entre 9 et 12 millions de sacs de grains de café arabica. (Connexe : Maintenant, le Brésil est confronté à des mauvaises récoltes potentielles en raison du gel de la Russie sur les exportations d'engrais.)
Nelson Carvalhaes, membre du conseil d'administration de l'association des exportateurs de café Cecafe, a noté que les stocks sont si faibles que "même si nous avons une bonne récolte l'année prochaine, le Brésil pourrait à peine en avoir assez pour répondre à la demande".
Carvalhaes a ajouté que la vague de chaleur qui touche le Brésil rend difficile pour les producteurs de café de générer une production suffisante. "Nous avons juste besoin d'avoir la pluie", a-t-il déclaré.
Les conditions météorologiques causées par La Niña, un phénomène météorologique pouvant entraîner une hausse des températures au Brésil, devraient prolonger les conditions sèches au cours des prochains mois. Cela entraînera une sécheresse prolongée au Brésil et trop de pluie en Colombie, le deuxième producteur mondial de café.
Les conditions météorologiques défavorables devraient également nuire aux rendements du café dans d'autres grands pays producteurs de café comme le Guatemala, le Honduras, le Nicaragua et même le Vietnam en Asie du Sud-Est.
Les caféiculteurs incapables de produire suffisamment cette année
Au fur et à mesure que la récolte au Brésil avançait, la frustration des agriculteurs face à l'approvisionnement de cette année n'a fait qu'augmenter. Lorsque les producteurs ont commencé à transformer les fèves, ils ont remarqué un excès d'enveloppes extérieures. Cela signifie que les producteurs ont dû transformer plus de grains que d'habitude pour remplir des sacs de 60 kg.
Cooxupe, la plus grande coopérative de culture d'arabica du Brésil, prévoit une baisse de 11 % de la production par rapport à la saison de récolte précédente.
Regis Ricco, consultant pour l'État du sud-est de Minas Gerais, qui produit environ la moitié de tout l'arabica du Brésil, a noté que les coopératives de café de tout l'État réduisent le nombre de voyages qu'elles demandent aux camionneurs d'effectuer pour ramasser les sacs de grains de café. .
"C'est comme si nous étions dans une saison morte", a noté Ricco.
"C'est une grande crise pour nous", a déclaré Jose Marcos Magalhaes, producteur de café et président de la coopérative de café Minasul dans le Minas Gerais. Selon les accords originaux, les 9 000 membres de l'entreprise s'engagent à fournir une certaine quantité de café chaque saison. Mais cette année, les dirigeants de la coopérative ont permis aux membres de ne remettre que la moitié de ce qu'ils avaient initialement promis.
En 2020, les membres de Minasul ont produit 2,2 millions de sacs de café. Il s'attend à recevoir moins d'un million de sacs cette année.
"Certains producteurs n'ont même pas la moitié que nous demandons", a déclaré Magalhaes.
RépondreSupprimerAdemar Laitano, 57 ans, un autre caféiculteur du Minas Gerais, a déclaré que les bonnes années, il peut produire suffisamment de café pour remplir 4 000 sacs de 60 kg. Cette année, il a dit qu'il aurait de la chance d'augmenter la moitié de ce nombre.
Les prix du café continueront d'augmenter en raison de la diminution de l'offre
La diminution de l'offre de café au Brésil fait écho aux préoccupations de pénurie mondiale et menace de faire grimper les prix bien plus haut qu'ils ne le sont déjà.
L'année dernière, la demande de café a augmenté de 2 %. Cette année, la société de recherche hEDGEpoint Global Markets prévoit que la consommation augmentera encore de 1,5 %. Ce serait la deuxième année consécutive que la consommation de café est supérieure à l'offre.
Guilherme Morya, analyste économique senior pour la banque néerlandaise Rabobank, a averti que les prix mondiaux continueront d'augmenter en raison de l'incertitude des approvisionnements brésiliens.
Les prix à terme du café Arabica à New York ont déjà augmenté d'environ 11 % d'une année sur l'autre en raison de l'offre mondiale restreinte. Sur le marché intérieur brésilien, le coût d'un sac d'arabica livré à Sao Paulo, l'une des principales zones de consommation, a déjà augmenté de 19 % par rapport à il y a un an.
Conab, la société d'approvisionnement nationale du Brésil, devrait publier de nouvelles estimations pour la récolte de cette année d'ici la fin septembre. Les prix de l'arabica dans les cafés qui dépendent des grains brésiliens devraient augmenter peu après.
En savoir plus sur l'état de l'agriculture mondiale sur Harvest.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, tire la sonnette d'alarme face à l'augmentation des mauvaises récoltes
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
Articles plus connexes :
La simulation de pénurie alimentaire prédit une AUGMENTATION de 400 % des prix des denrées alimentaires d'ici 2030.
Responsable de l'agriculture brésilienne : Aucune exportation de maïs vers la Chine jusqu'à l'année prochaine.
Le Brésil prévoit de réduire sa dépendance à l'égard des engrais russes d'ici 2050, mais qu'est-ce que les gens sont censés manger pendant les 30 prochaines années ?
Les récoltes de café du Brésil diminuent en raison des sécheresses et des gelées, entraînant des pénuries.
PLUS DE DÉFAILLANCES DES CULTURES : Les cultures de maïs du Brésil ont été compromises par le gel lors de la deuxième vague de températures inhabituellement froides cette année.
Sources include:
ZeroHedge.com
Bloomberg.com
OceanService.NOAA.gov
WSJ.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-largest-coffee-producer-brazil-record-low-inventory.html
Siiii vous habitez à Nice, Cannes ou Monaco, vous pourrez faire pousser votre café ! (en hlm entre le 300 et 1000 ème étage soit entre 600 et 2000 m d'altitude), la maturation des grains entre 2 et 4 mois. (récolte après 1 an).
SupprimerIl existe de nombreuses variétés (ou cultivars) de la famille coffea Arabica.
Le Moka est la plus ancienne : elle n’a subi aucune transformation depuis sa découverte en Ethiopie.
Le Bourbon se retrouve essentiellement au Brésil, en Inde, Indonésie et au Moyen-Orient. Il se décline aujourd’hui en bourbon rouge, jaune, orange ou rose. Le Bourbon pointu (ou café Leroy) de l’île de la Réunion produit des cerises pointues, il fait partie des cafés les plus chers au monde !
Le Typica provient d’Indonésie. Il aurait été popularisé par les Hollandais pour contrer le monopole du Moka. On lui donne le nom de Typica « typique » pour le définir comme la première variété de café. On le trouve aujourd’hui majoritairement en Amérique du Sud
Le Blue Mountain pousse dans les montagnes de Jamaïque. Il permet la réalisation de café haut de gamme ; et les prix s’envolent vite !
D’autres noms de l’Arabica : le Mundo Novo, le Caturra, le San Ramon, le Huehuetenango, le Harar, le Tarrazu…
UN NOUVEL ORDRE MONDIAL : Clinton Global Initiative, l'Assemblée générale des Nations Unies et le sommet du WEF sur la « crise climatique » démarrent simultanément à New York
RépondreSupprimermardi 20 septembre 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Un collectif de confabs globalistes démarre à New York cette semaine, mettant en vedette le who's who des dirigeants mondialistes, des décideurs, des défenseurs et des alliés.
(Article de Jamie White republié depuis InfoWars.com)
Le plus médiatisé et le plus visible de ces événements est la 77e Assemblée générale des Nations Unies du 19 au 27 septembre, qui n'avait pas convoqué de session en personne depuis deux ans.
Joe Biden, le président ukrainien Voldoymyr Zelensky, le président français Emmnauel Macron, le Premier ministre britannique Liz Truss et le président iranien Ebrahim Raisi font partie des chefs d'État qui devraient prononcer des allocutions tout au long de la semaine.
115 organisations financières, gouvernementales, de plaidoyer et non gouvernementales seront également présentes en tant qu'observateurs.
Pendant ce temps, la Clinton Global Initiative organise également un sommet à New York organisé par Bill, Hillary et Chelsea Clinton du 19 au 20 septembre, pour la première fois en 6 ans.
L'événement affirme qu'il "convoque, connecte et catalyse les leaders mondiaux et émergents pour créer et mettre en œuvre des solutions aux défis les plus urgents du monde".
«Grâce à son modèle unique, CGI aide ses partenaires à développer des engagements à l'action - des actions nouvelles, spécifiques et mesurables dans le domaine de la résilience climatique, de l'équité en santé et de la reprise et de la croissance économiques inclusives», indique le site Web de CGI.
« En septembre prochain, CGI se réunira aux côtés de l'Assemblée générale des Nations Unies pour la première fois depuis 2016. Au cours de cette réunion, plus de 1 000 participants se réuniront pour stimuler l'action et proposer des solutions.
Les orateurs notables de l'événement Clinton incluent des noms familiers comme Melinda Gates, l'acteur Matt Damon, le PDG de BlackRock Larry Fink, le maire de New York Eric Adams, le gouverneur de NY Kathy Hochul, le gouverneur de Californie Gavin Newsom, le gouverneur du Massachusetts Charlie Baker, le directeur de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Cindy McCain et l'animateur de CNN Fareed Zakaria.
Des responsables du régime de Biden devraient également prendre la parole, notamment le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux Xavier Becerra, le conseiller économique WH Brian Deese, la secrétaire à l'Énergie Jennifer Granholm, le chirurgien général Vivek Murthy, la secrétaire au Commerce Gina Raimondo et la secrétaire au Travail Marty Walsh.
Enfin, le Forum économique mondial (WEF) organise des réunions sur l'impact du développement durable du 19 au 22 septembre et sera animée par l'ancre de MSNBC Stephanie Ruhle et la vice-présidente de CNN Rachel Smolkin.
RépondreSupprimerLes deux panels du WEF comprendront des conférenciers comme l'ancien vice-président Al Gore et la vice-présidente de BlackRock Pamela Chan pour vendre l'idée du programme Great Reset et Biden "Build Back Better".
Sur le site Web du FEM :
Convoquées en même temps que l'Assemblée générale des Nations Unies, les réunions sur l'impact du développement durable réuniront des communautés d'objectifs qui intègrent des chefs d'entreprise, des décideurs, des organisations internationales et de la société civile, des innovateurs et des entrepreneurs.
Dans une série de dialogues soigneusement organisés et axés sur l'impact, ces alliances utiliseront les réunions pour faire avancer leur travail et faire des progrès concrets sur les objectifs de développement durable (ODD) et pour donner de l'élan à d'autres étapes clés dans les mois à venir, y compris la prochaine réunion des Nations Unies. Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP27) et la réunion annuelle du Forum en janvier 2023.
Quel groupe diversifié de conférenciers et de participants! Ils partageront sûrement des points de vue différents sur des sujets comme l'Ukraine, le changement climatique, la désinformation, le COVID, et bien plus encore.
Tant que ces opinions ne sont pas partagées par les républicains.
Regardez le premier jour du SDIM du WEF :
En savoir plus sur : InfoWars.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-cgi-un-wef-climate-crisis-summit-begin.html
Guerre de l'information – L'ONU et le FEM misent sur l'armée numérique sur Internet
RépondreSupprimer18.09.2022
www.kla.tv/23647
Afin de supprimer les publications indésirables et de garder le contrôle sur les informations et la formation de l'opinion publique, la liberté sur Internet n'est limitée dans aucun autre pays autant qu'en Chine. Ainsi, le gouvernement central chinois ne dispose pas seulement de l'appareil de censure le plus sophistiqué au monde sur le plan technique, mais le gouvernement emploie également une « armée numérique » qui scrute l'Internet à la recherche de contenus critiques à l'égard du gouvernement. Ces soi-disant « commentateurs Internet » ont également pour mission de détourner l'attention des sujets politiquement controversés et de manipuler de manière ciblée l'opinion publique sur les réseaux sociaux, par exemple en faisant dérailler des discussions indésirables ou en diffamant les adversaires et les critiques politiques par des commentaires désobligeants.
Une telle approche dans la lutte pour la souveraineté de l'information ne s'observe toutefois pas uniquement dans des pays au régime totalitaire comme la Chine. Depuis quelque temps, les Nations unies et le Forum économique mondial mènent une guerre de l'information acharnée, qui ressemble beaucoup à celle que connaît la Chine.
Ainsi, Melissa Fleming, responsable de la communication mondiale aux Nations unies, a annoncé dans un podcast du FEM que 110 000 bénévoles de l'information avaient été recrutés pour vérifier la présence de contenus conspirationnistes sur Internet. Selon le FEM, la désinformation sur le web est une « infodémie » qui nécessite un « remède », d'où les efforts de censure systématique. Les « secouristes numériques » doivent également cibler les prétendus « forums de conspiration » de même que des commentaires sur les principales plates-formes en ligne.
La directrice de la communication de l'ONU, Mme Fleming, a déclaré à ce sujet, je cite : « Le milieu est pollué ; nous devons le nettoyer.. »
Il n'est pas surprenant que la politique de censure du FEM et de l'ONU se déroule de la même manière qu'en Chine. Depuis des décennies, le Forum économique mondial, sous la direction de Klaus Schwab, entretient des relations étroites avec le parti communiste, qu'il considère comme un modèle. Schwab n'a cessé de faire l'éloge du gouvernement chinois, dont la forme de pouvoir représente une combinaison de socialisme, de capitalisme, de contrôle social et de surveillance.
L'instauration d'un régime de censure à l'instar de celui de la Chine dans les pays démocratiques est toutefois plus que problématique, car la liberté d'expression est une pierre angulaire de toute démocratie et est ancrée aussi bien dans les droits fondamentaux que dans la Convention européenne des droits de l'homme.
Si les voix dissidentes n'ont plus le droit de s'exprimer, la « vérité » ne sera déterminée plus que par une seule source.
Les efforts du FEM et de l'ONU pour un contrôle total de l'information sont donc contraires à la démocratie, aux droits fondamentaux et aux droits de l'homme. Ils constituent en outre des mesures profondément communistes et dictatoriales qui n'ont rien à faire dans une société pluraliste et démocratique où des opinions divergentes sont la base.
« Défendez la liberté d'information et d'opinion en soutenant des médias libres et indépendants comme Kla.TV par la diffusion de nos émissions ! »
RépondreSupprimerde Nicol / nm.
Sources / Liens :
Zensur in China
https://www.n-tv.de/ticker/Zensur-in-China-am-staerksten-article16229361.html
www.tagesspiegel.de/politik/zensur-wie-kontrolliert-china-das-netz/1539628.html
https://de.wikipedia.org/wiki/50_Cent_Party
UN/WEF rekrutieren Informationhelfer
https://www.weforum.org/agenda/2020/11/misinformation-infodemic-world-vs-virus-podcast
https://report24.news/un-und-wef-schwab-setzten-110-000-informationskrieger-fuer-regulierung-des-internets-ein/
China als Vorbild des WEF
https://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/514550/China-will-zivilisiertes-Internet-im-Sinne-der-Kommunistischen-Partei-durchsetzen
https://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/507780/Great-Reset-Wie-das-Weltwirtschaftsforum-China-seit-Jahren-hofiert-und-lobt
Meinungsfreiheit – Grundrecht, Menschenrecht
www.menschenrechtskonvention.eu/freie-meinungsaeusserung-9295/
https://www.kla.tv/fr
Voir:
SupprimerTouchez pas c'est collector !
samedi 22 juin 2013
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/06/touchez-pas-cest-collector.html
LA RICHESSE CUMULÉE DES 1 % 40 FOIS SUPÉRIEURE À CELLE DES 50 % LES PLUS PAUVRES
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
21/09/2022
La moitié de la population mondiale n'a que 1,1% de la richesse globale.
La publication, par Crédit Suisse, de son rapport annuel « Global Wealth Report 2022 » dévoile qu’entre 2020 et 2022 rien n’a changé ou très peu. Les ultra-riches, parfois connus sous le terme des « 1% », cumulent toujours autant de richesse. Près de la moitié des richesses du globe, selon le rapport de la banque qui montre une nouvelle fois les inégalités éclatantes qui existent.
Les 1% détiennent 50% de la richesse, les 50% 1% de la richesse
La pyramide de la richesse 2021 de Crédit Suisse dévoile très simplement la répartition de la richesse dans le monde. Selon la banque, seulement 62,5 millions de personnes sur Terre, soit 1,2% de la population, détiendraient un patrimoine de 1 million de dollars ou plus.
Néanmoins, étant donné que parmi elles se trouvent les milliers de milliardaires que compte la planète, leur richesse cumulée atteindrait les 221.000 milliards de dollars. Ce qui représente tout simplement 47,8% de la richesse totale du monde. Encore une fois, les « 1% » sont confirmés comme les détenteurs de la moitié des richesses du globe.
À l’autre bout de la pyramide, les plus pauvres : ils sont définis comme ayant un patrimoine de 10.000 dollars ou moins. Or, ils sont nombreux : 2,818 milliards de personnes, selon Crédit Suisse, soit 53,2 % de la population mondiale. Cumulée, toutefois, leur richesse n’atteint que 5.000 milliards de dollars, soit 1,1 % de l'ensemble de la richesse de la planète... et donc 44 fois moins que celle des 1 %.
5 millions de millionnaires en plus dans le monde en 2021
Les plus riches sont, par ailleurs, de plus en plus nombreux : selon Crédit Suisse, 5,168 millions de millionnaires de plus ont fait leur apparition en 2021. On en comptait en effet « que » 57,316 millions en 2020, contre 62,483 millions en 2021.
Ce sont les États-Unis qui ont connu la plus forte croissance de millionnaires avec 2,491 millions de plus, suivis par la Chine (1,032 million de millionnaires de plus) et le Canada (430.000 de plus). Inversement, le Japon, l’Italie et l’Allemagne enregistrent les plus fortes pertes : respectivement 395.000, 135.000 et 58.000 millionnaires de moins en 2021 par rapport à 2020.
De plus en plus d’ultra-riches dans le monde
Du côté des 1 % aussi, la répartition de la richesse est loin d’être égalitaire. La majorité d’entre eux, 54 millions selon Crédit Suisse, ne détenait « que » entre 1 et 5 millions de dollars tandis qu’on ne compte que 264,200 personnes dans le monde dont la fortune dépasse les 50 millions de dollars. Or, cette part d’ultra-riche est en constante augmentation depuis 2019, ayant largement profité de la pandémie de Covid-19.
Entre 2019 et 2020, la hausse était de 46.000 ultra-millionnaires (détenant plus de 50 millions de dollars), et elle a atteint 43.400 entre 2020 et 2021. Soit près de 90.000 ultra-millionnaires de plus en deux ans, une hausse de plus de 50 % sur la période.
Crédit Suisse dénombre en outre seulement 7.070 personnes dont la fortune dépasse les 500 millions de dollars dans le monde.
https://www.economiematin.fr/news-richesse-inegalite-rapport-2021-hausse-millionnaires-argent
Le monde a besoin de gens riches, de millionnaires et de milliardaires, parce que ce sont eux qui font les entreprises pas les gouvernements qui les détruisent par l'impôt d'avoir osé gagner de l'argent en travaillant !
SupprimerMais dans ces milliardaires il y a des moutons noirs, des merdes. Ces excréments font généralement la une des merdias, prônent la fin du monde grâce aux piqûres létales contre des poussières qu'aucun analyste de l'air dans le monde n'a encore vu depuis bientôt 3 ans !!!
Bien sûr ce n'est pas 'AirParis' ou 'AirBerlin' comme 'AirNew-York' qui vont en parler !!
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En tant que publiciste je recevais - il y a plus de un an - des invités à qui j'ai parlé que j'avais du mal à boire une canette de bière (ou de sodas) car, il y a un anneau que l'on tire pour ouvrir un tout petit trou ! Là, l'assemblée m'a répondu qu'il en était de même pour eux. Pourtant, pourtant il existe des boites de pâtés, de thon ou de maïs où l'anneau tiré au-dessus de la boite découvre la totalité de l'intérieur.
Pourquoi ne pas faire de même pour les boites de bières ?
On aurait enfin l'impression de boire avec un verre !
Mais, malgré l'audience les choses n'ont pas évoluées !!!!
C'est çà l'industrie d'aujourd'hui où des cons passent leur temps derrière un ordinateur à construire des trucs en 3D qui ne marchent pas !
Par exemple une cafetière électrique. Joli modèle, noir, parallélépipédique, où 'la touche perso-distingo' était qu'en relevant le couvercle (carré) un petit bras de plastique intérieur relevait en même temps un couvercle sur le porte-filtre. C'est très bien. Très bien oui mais !... Quand on relève le couvercle carré pour remplir le réservoir d'eau, le couvercle du porte-filtre empêche cette action !!
Ââh les cons !
Faut virer couvercle carré et couvercle porte-filtre pour mettre de l'eau dans la cafetière !
Et ils en ont tiré combien de milliers d'exemplaires avant de balancer le container de cafetières à la poubelle ?
L'OMS et le WEF sont-ils des organisations terroristes et des menaces à la sécurité nationale ?
RépondreSupprimerDr Joseph Sansone
21 septembre 2022
En 1946, CS Lewis a écrit le livre intitulé That Hideous Strength où des transhumanistes tordus essayaient de vivre éternellement et de fusionner les gens avec des machines et de changer à jamais ce que signifie être humain. Cela semble un peu familier. Dans cette histoire, les transhumanistes avaient une tête coupée qu'ils maintenaient artificiellement en vie. Lorsqu'ils communiquaient avec la tête, ils pensaient parler à l'intelligence artificielle alors qu'ils étaient en fait guidés par ce que l'on pourrait mieux décrire comme des anges déchus ou des entités démoniaques. Il n'est pas clair si nos antagonistes mondialistes sont guidés par des entités sombres ou sont simplement mauvais pour le plaisir d'être mauvais.
J'ai récemment présenté une résolution au comité exécutif du Parti républicain de mon comté local déclarant les organisations terroristes de l'OMS et du WEF et les menaces à la sécurité nationale. Malheureusement, la réunion était sur le point de se terminer et j'ai accepté un amendement édulcoré qui maintenait au moins qu'il s'agissait de menaces à la sécurité nationale. C'était soit ça, soit laisser le temps s'écouler. Je présenterai à nouveau la résolution en janvier lorsque nous aurons un nouveau conseil d'administration. Nous avons également adopté une résolution demandant à l'État d'expulser les agents fédéraux opérant en Floride. Je posterai peut-être un article sur cette réunion et les manigances à une date ultérieure. Retour au sujet en question.
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Jetons un coup d'œil à cette proposition selon laquelle l'OMS et le WEF sont des organisations terroristes et des menaces à la sécurité nationale. Je pense qu'une menace à la sécurité nationale est explicite, mais examinons une définition fournie dans un livre blanc de The Heritage Foundation.
Sécurité nationale : la possession par une nation du contrôle de sa souveraineté et
destin
Cette définition semble prudente. L'essence de la sécurité nationale implique l'autonomie, l'autonomie gouvernementale. En dehors de la stricte préservation de la vie, l'armée est apparemment là pour empêcher une force extérieure de prendre le contrôle des mécanismes du gouvernement. Bien que je ne sois pas si certain que l'armée soit équipée pour arrêter les bureaucrates et les agents de l'État profond.
Maintenant, jetons un coup d'œil à quelques définitions du dictionnaire du terrorisme.
Terrorisme:
1- l'usage illégal de la violence ou des menaces pour intimider ou contraindre une population civile ou un gouvernement, dans le but de promouvoir des objectifs politiques, sociaux ou idéologiques.
2 - l'état de peur et de soumission produit par le terrorisme.
3- une méthode terroriste de gouverner ou de résister à un gouvernement.
intimidation ou coercition en instillant la peur :
Oui, je sais, les médias et le gouvernement semblent également correspondre à cette définition, ainsi que plusieurs agences gouvernementales. Nous allons déposer cela pour l'instant. Tout d'abord, nous traiterons de l'OMS.
RépondreSupprimerEn mai, l'administration Biden poussait des amendements au traité actuel de l'OMS qui auraient apparemment donné à l'organisation le droit dans une future pandémie à la loi martiale mondiale, et la capacité de forcer des masques, des verrouillages et des vaccins ou des injections de thérapie génique Covid. Ces mesures ont été rejetées pour le moment, mais l'OMS a un projet de traité pour 2024. Certains pourraient considérer les tentatives de l'administration Biden de céder la souveraineté nationale à une organisation mondiale de haute trahison, mais nous laisserons cela pour une autre discussion.
Une organisation telle que l'OMS cherchant à prendre le contrôle de notre gouvernement semble répondre à notre définition de base d'une menace à la sécurité nationale. Je dirais également que la recherche du pouvoir d'enfermer les gens chez eux et de les forcer à porter une couche faciale ou à prendre une dangereuse injection de thérapie génique Covid place cette organisation dans la définition d'une organisation terroriste. L'OMS a promu une campagne constante de terreur. La terreur a été une grande composante du récit de Covid. Je pense qu'il est juste de qualifier cette organisation d'organisation terroriste également.
Le WEF est un tout autre animal. Klaus Schwab apparaît une version réelle du Dr Evil des parodies de films d'espionnage d'Austin Powers. Schwab parle de fusion des identités numériques, biologiques et physiques et est un transhumaniste. Schwab se vante également de placer les diplômés de son école à la tête de l'État, de la Nouvelle-Zélande, du Canada et de la France, par exemple. Klaus se vante également d'avoir placé des membres au parlement, au congrès et dans les cabinets du monde entier.
Une organisation externe cherchant à prendre le contrôle des mécanismes d'un gouvernement semble correspondre clairement à la définition d'une menace à la sécurité nationale. Comme on le voit dans la définition ci-dessus, l'utilisation de la force militaire n'est pas nécessaire pour constituer une menace à la sécurité nationale. L'infiltration de gouvernements pour un programme spécifique par une organisation étrangère, même guidée par des milliardaires, répond aux critères de menace à la sécurité nationale.
L'organisation a des objectifs audacieux pour l'avenir. Ceux-ci incluent le dépeuplement. Alors que certains orateurs du WEF ont promu jusqu'à 95 % de réduction de la population, les vidéos officielles du WEF indiquent que si les objectifs de développement durable sont atteints, la population pourrait diminuer de 2 milliards d'ici la fin du siècle. Processus que, si leurs objectifs sont atteints, nous serons moins nombreux. Comme écrit précédemment, cela semble avoir les caractéristiques d'un culte séculier de la fin des temps. D'autres objectifs semblent être l'élimination de la propriété privée, le rassemblement des êtres humains dans des villes intelligentes et l'asservissement général de la race humaine. Il s'est également plongé dans la géo-ingénierie et veut mettre des bulles dans l'espace pour bloquer le soleil afin d'arrêter le réchauffement climatique. Tout en faisant la promotion de la consommation d'insectes pour sauver la planète, les experts affirment que le WEF est également à l'origine de la guerre contre l'agriculture. L'attaque du WEF contre l'énergie et l'agriculture est certainement quelque chose qui crée la terreur, tout comme les passeports pour les vaccins, les injections de thérapie génique Covid obligatoires et d'autres idées brillantes. Eh bien, ne sous-estimons pas celui-là. Oncle Klaus veut fusionner votre identité physique, numérique et biologique. C'est vrai, taguez-vous comme un animal et réduisez-vous en esclavage.
La quatrième révolution industrielle de Klaus Schwab appelle ouvertement à des partenariats public-privé, certains appellent cela du fascisme, et appelle également à changer ce que signifie être humain. Le Dr Harari, le gourou transhumaniste préféré du WEF, qualifie l'ONU de personnes améliorées par l'IA et inutiles. C'est vrai, la quatrième révolution industrielle implique le fascisme et l'eugénisme. Je suppose que c'est vrai, si vous attendez assez longtemps, les choses ont tendance à revenir à la mode.
RépondreSupprimerLe WEF semble chercher à influencer ou à contrôler les gouvernements et à contraindre des populations entières à suivre leur programme. Via les médias et le gouvernement, le WEF semble induire un état de peur et de soumission. Le WEF utilise également de manière sophistiquée des menaces de violence pour intimider et contraindre les populations. Cela se fait par l'intermédiaire des gouvernements qu'ils influencent. Je pense qu'il est juste de dire que le WEF répond aux critères du dictionnaire pour une organisation terroriste.
Suis-je en train de dire cela ? Qu'est-ce que tu penses? L'OMS et le WEF répondent-ils aux critères des menaces à la sécurité nationale et des organisations terroristes ?
https://josephsansone.substack.com/p/are-who-and-wef-terrorist-organizations
Le basculement de démondialisation est en marche et le résultat de votations partisanes n’y changera plus rien
RépondreSupprimerDominique Baettig
Médecin, Ancien Conseiller national
le 20.09.2022
Le basculement de démondialisation est en marche et le résultat de votations partisanes n’y changera plus rien.
Les thèmes des votations du 25 septembre le démontrent amplement. Les options décisionnelles n’appartiennent plus à la cuisine partisane des partis politiques. Imaginer un seul instant qu’un Non à la réforme de l’AVS qui veut prolonger d’une année l’âge de la retraite pour les femmes et en augmentant la TVA de 0,4% débouchera sur une plus grande justice sociale est un leurre. L’AVS était un compromis politique forgé dans une société qui a évolué sur le plan démographique et l’espérance de vie. Il n’y a plus assez, malgré une immigration de peuplement massive, d’actifs pour supporter de plus en plus de retraités qui vivent plus longtemps, et coûtent un bras en soins et en placements institutionnels, allant jusqu’à faire disparaître leurs économies et leur biens immobiliers. La réforme proposée permet de gagner du temps, en remettant à plus tard une refonte complète du modèle, plus proche du réel. Il faut qu’il y ait assez de cotisants pour permettre aux retraités d’avoir un socle de moyens suffisants pour vivre bien. On s’en éloigne progressivement mais inéluctablement et les assurances sont sous l’influence de plus en plus déterminante des variations de la bourse. Il faut donc s’adapter, compenser, permettre des lissages des rentes (anticipées ou insuffisantes en fonction de ce qui a été cotisé, en temps et en quantité). Le modèle proposé est technique et ne vise qu’à gagner quelques années. Politiser là-dessus au nom de l’égalité virtuelle est vain en laissant penser qu’il y a de l’argent et que les riches doivent et peuvent payer. Une réforme vraie pour être acceptable pour tous doit tenir compte du réel de la démographie, de l’économie financiarisée et mondialisée, de la déconstruction des solidarités familiales, générationnelles, de l’inflation et du poison du surendettement. Le OUI est un compromis médiocre mais réaliste techniquement. Ne jouons pas avec les risques et le feu pour faire progresser de quelques sièges seulement la gauche rose/verte aux prochaines élections.
Même problème avec l’initiative sur l’élevage intensif. Il est évident que l’image d’écuries et de poulaillers surpeuplés, d’animaux immobilisés et agressifs les uns envers les autres, sous antibiotiques de manière systématique fait horreur. Mais en fait c’est l’image de l’évolution de notre société, en croissance, surpeuplée, concentrée, vaccinée massivement et préventivement, empoisonnée par des hormones présentes dans l’eau et le sol, la pollution, la raréfaction des ressources. S’en prendre à l’agriculture qui seule empoisonnerait et polluerait n’est pas correct puisque presque tout dorénavant sera industriel et massif (la médecine, l’industrie, le tourisme, l’agriculture). C’est tout le fonctionnement de la société, sa croissance qu’il faudra revoir, en démondialisant, en relocalisant, en organisant des solidarités locales, le bon sens commun, la démocratie de proximité, à dimension humaine. Consommer moins de viande est un choix individuel, l’Etat ne doit pas permettre des changements autoritaires « religieux » sur ce sujet. L’idéal d’une agriculture décroissante est certes émotionnellement attractif. Mis la réalité sera la dépendance extérieure, l’augmentation du coût des produits agricoles, le risque de voir les agriculteurs petits et moyens disparaître au détriment des grandes surfaces et des compagnies multinationales. Les pratiques changent, donnons-nous du temps, reportons les exigences extrémistes idéalistes et faisons confiance au bon sens commun, à l’intérêt général.
RépondreSupprimerDominique Baettig 2800 Delémont
https://lesobservateurs.ch/2022/09/20/le-basculement-de-demondialisation-est-en-marche-et-le-resultat-de-votations-partisanes-ny-changera-plus-rien/
Les mondialistes construisent "l'arche de Noé technologique" pour se sauver d'un événement d'extinction de masse
RépondreSupprimerMardi 20 septembre 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) La grande majorité du monde périra, mais les élites mondialistes sont prêtes à échapper à la Grande Réinitialisation via une « Arche de Noé technologique ».
Yuval Noah Harari, auteur et conseiller principal de Klaus Schwab et du Forum économique mondial (WEF), a noté lors d'une discussion au Warwick Economics Summit que la grande majorité du monde périra tandis que les élites survivront à un événement mondial d'extinction de masse.
Harari a déclaré que les élites pourront se protéger des catastrophes planétaires. Il a ajouté que le changement climatique est "la menace la plus pressante à laquelle l'humanité est confrontée".
Selon le conseiller du WEF, la technologie est la clé de ce problème car c'est elle qui a créé le problème en premier lieu. La technologie est également la clé de la solution, mais pas la solution en soi, car chaque technologie peut être utilisée pour le meilleur ou pour le pire.
Il a également déclaré que les gens doivent travailler sur les aspects technologiques, mais ont besoin que les politiciens l'orientent dans le bon sens pour le bénéfice du plus grand nombre et de l'ensemble de l'écosystème.
"L'un des plus grands dangers de l'utopisme technologique - [la croyance] que, 'Oh, la technologie va le résoudre' - est une sorte de syndrome de l'arche de Noé, comme dans la Bible avec le déluge, que oui, finalement ils ont construit une arche , mais juste pour cinq personnes ou quelque chose comme ça. Presque tout le monde s'est noyé.
En 2018, Harari a également écrit sur la «classe inutile», où l'attrait philosophique de la démocratie libérale a gagné en force en raison d'avantages pratiques. Le libéralisme en politique et en économie a permis aux démocraties de surpasser les autres États et d'offrir une richesse croissante à leur population.
S'il a déclaré que la croissance économique ne résoudrait peut-être pas les problèmes sociaux qui sont actuellement créés par les perturbations technologiques, la croissance repose toujours de plus en plus sur l'invention de technologies de plus en plus perturbatrices. (Connexe: Poutine déclare la victoire sur le Nouvel Ordre Mondial: "Changement d'élites" à venir parce que l'humanité s'est "réveillée".)
Avec l'automatisation, les anciens emplois disparaîtraient et les gens finiraient par ne plus pouvoir faire face, créant ce qu'il a appelé une classe inutile - une classe que les élites jugent inutile dans leur programme de grande réinitialisation.
Harari : L'humanité sera divisée en deux
Harari a en outre expliqué qu'il existe un très grand danger lorsque les gens parlent de ce que sera l'avenir avec le changement climatique.
Il a affirmé que l'humanité serait divisée en deux : une majorité de personnes qui souffriraient et une minorité dirigée par des élites mondialistes qui ont les ressources, la richesse et la technologie pour se protéger et même s'épanouir dans une sorte d'"arche de Noé technologique".
RépondreSupprimerL'animateur de CNN, Bill Weir, qui a animé la discussion, a poursuivi en suggérant la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) comme une «répétition générale» de la crise climatique.
"Je reviens sans cesse à l'idée que la pandémie de COVID est vraiment une répétition générale - à un niveau beaucoup plus petit - pour la crise climatique", a déclaré Weir, ajoutant que c'est aussi un rappel de la façon dont les communautés ont confiance et foi dans la science et l'un l'autre.
Il a également déclaré que le contrôle des entreprises sous la forme d'un "capitalisme bienveillant" pourrait donner lieu à des protocoles de sauvegarde de la planète : "Ceux qui attendent que ces citoyens commencent à mourir, souffrent le plus. Mais en même temps, nous sommes toujours tellement divisés au sein des pays à propos de ce genre de choses, et il y a beaucoup d'espoir que si les gouvernements ne peuvent pas se ressaisir, alors ce seront peut-être des entreprises, comme le capitalisme bienveillant.
Visitez GreatReset.news pour en savoir plus sur le programme « Great Reset » du WEF.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les véritables ennemis du public, notamment Klaus Schwab et le WEF.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Le Forum économique mondial veut que tous ceux qui résistent à la grande réinitialisation soient contraints de se rendre dans des «camps de rééducation» à la chinoise.
Le Forum économique mondial et Soros se rallient à l'Ukraine : supprimer la connexion avec Poutine (vidéo).
Bill Gates, l'OMS, le Forum économique mondial font partie d'un réseau criminel de conspirateurs COVID,
Les sources comprennent :
NewsPunch.com
L'Atlantique.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-technological-noahs-ark-to-save-globalists-from-extinction.html
La monnaie, partie 2 : qu’est-ce la monnaie ?
RépondreSupprimerCharles de Mercy,
pour FranceSoir
le 20 septembre 2022 - 18:15
La monnaie
"Le bon argent sonnant et trébuchant ne suffit vraiment pas. "
TRIBUNE - En réalité, les choses sont simples, ce n’était qu’une affaire de prise de conscience :
La monnaie est une contrepartie.
Et la contrepartie de quoi ? D’un territoire !
La monnaie est la contrepartie d’un territoire : voilà la définition exacte de l’argent (1).
Le fait que l’État en soit maintenant l’émetteur, le dépositaire, et le garant, n’y change absolument rien : l’État n’est que le gestionnaire-délégué de la monnaie, qui ne lui appartient pas. Pas plus que la Langue d’un territoire ne lui appartient aussi. Celle-ci appartient à tous ses habitants, comme la monnaie, au-delà même de la génération existante d’une population de locuteurs. Il se trouve simplement que la Langue s’occupe des échanges et de la répartition des savoirs - dialoguer, normer ces échanges, capitaliser une culture. Quand la monnaie, elle, s’y occupe des échanges et des répartitions des valeurs : commercer, définir les prix, épargner. Mais ces deux réalités relèvent fondamentalement de faits sociaux, diffusés et partagés au sein et par toute une Société donnée et, nous en reparlerons, qui lui appartiennent dans leurs ensembles pour cette raison-même.
Signalons d’ailleurs que pour vraiment bien définir la monnaie, il est impératif de parler de territoire, plutôt que de Pays et de Nation. Mine de rien en effet, ces notions de pays ou de nation injectent sans le dire plein d’autres aspects historiques, culturels, affectifs, etc., qu’on trouve sur un territoire. Et autant de dimensions qui sont beaucoup plus vastes, diverses, ou même subjectives. Parler de territoire est par conséquent plus factuel : il existe un espace géographique constitué par une société humaine, avec ses résidents habituels ; dès que ceux-ci n’y sont plus des chasseurs-cueilleurs, ils y travaillent en exploitant des ressources locales ; cette activité produit des richesses, que la monnaie de leur territoire permet de valoriser, d’échanger, de stocker, et finalement d’incarner dans leur ensemble par la valeur de la monnaie elle-même.
Une fois, bien entendu, que le territoire en question est sorti de l’âge du troc.
C’est juste, simple, clair - net et précis.
Mais voici pourquoi en détail, où énormément de choses se comprennent :
On a su de longue date que la monnaie était une contrepartie : c’est ce qui permet d’acheter et de vendre (de l’argent contre un bien ou un service) ; d’établir par les prix qu’elle fixe l’équivalence-contrepartie de tout avec tout (si une baguette vaut 1 euro, alors un litre d’huile d’olive vaut huit baguettes, etc.) ; et puis de stocker de l’épargne-valeur, votre tas d’argent-cagnotte qui se conserve sagement en attendant qu’il soit plus tard lui-même transformé en autre chose - voyage, voiture, appartement, etc.
RépondreSupprimerÀ l’origine d’ailleurs, mais ce n’est plus possible, la monnaie fiduciaire était tellement une contrepartie que vous pouviez vous présenter dans n’importe laquelle des banques, aligner vos billets sur le comptoir d’un guichet et obtenir, en contrepartie, leur équivalent en or et en argent-métal. Maintenant, donc, c’est interdit, mais l’esprit en a été conservé : juridiquement parlant, un billet de banque est en effet une créance, - une dette -, et que par ce bout de papier vous détenez sur la Banque Centrale du territoire, de France en l’espèce. Puisque l’euro n’y a rien changé : vos euros sont français, et non pas européens ou d’une autre nationalité, beaucoup l’ignorent et c’est dommage (2).
Par conséquent quoi qu’il en soit, la monnaie reste encore et toujours en elle-même la contrepartie de quelque chose, aujourd’hui une créance. Alors lorsque vous traficotez avec vos billets, et bien vous faites sans le savoir un genre de commerce de dettes en circuit fermé, - la Banque pilote le tout -, et tout est ok.
Et avec les cartes bleues, rien n’a changé, tout a simplement été dématérialisé.
La monnaie comme contrepartie est donc une chose bien connue, partout établie.
En revanche, ce qu’on ne voyait pas et qu’on ne disait pas, c’est qu’en tout bout de chaîne et dans son ensemble, la monnaie n’est ni plus, ni moins que la contrepartie d’un territoire. Autrement dit aussi, la valeur de ce territoire-là, et ce qui est détaillé quelques lignes plus bas par le menu : la relation monnaie-territoire est radicale au sens propre.
Toute l’histoire du monde ne fait qu’en parler, sans cesse.
Ce qui d’ailleurs permet de comprendre ce premier fait élémentaire : il ne peut pas exister de monnaie sans territoire constitué. Cela ne s’est jamais vu, nulle part, en 3000 ans d’Histoire monétaire (nous reparlerons ensuite des cas de l’Euro et des cryptomonnaies). Alors même que les puissances Étatiques des temps anciens pouvaient être d’une emprise relativement limitée en pratique, et de fondement familial assez fragile.
Oui, il a pu en revanche exister (Argentine), et il existe (Zimbabwe), des pays qui travaillent dans la monnaie d’un territoire étranger, le dollar en l’occurrence. Mais c’était et c’est pour des motifs de gestion monétaire, qui ne remettent pas en cause le principe fondamental : un territoire = une monnaie.
Une précision essentielle : si l’on peut justement écrire la monnaie est la contrepartie d’un territoire, on ne pas exactement écrire la réciproque : un territoire est la contrepartie de sa monnaie. L’énoncé n’est pas commutatif au fond des choses, si on doit le dire en termes de Logique (3). Et cela, nous y reviendrons en détails, c’est l’une des énormes erreurs des théories monétaires actuelles, dont les conséquences ultimes s’annoncent dramatiques.
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle les termes de cet énoncé ne peuvent pas être complètement inversés est la suivante : on ne peut pas inverser la cause (le territoire) et l’effet (la monnaie) ; ou bien, on ne peut pas inverser l’outil de production (le territoire) et sa production finale (la monnaie). À la fin comme au départ, c’est toujours le territoire qui est à la source et au fondement de la monnaie dont il est aussi la garantie de valeur, plutôt que le contraire.
Même si, c’est évident, un effet et une production du genre de la monnaie peuvent avoir, en retour, des conséquences sur la qualité de sa cause et de son outil de production, le territoire : y investir, le développer, l’embellir, améliorer le bien-être de ses habitants, et tout ce qu’on veut.
Mais, cette circularité des effets de la monnaie relève d’une autre question, la gestion monétaire de l’argent. Sur laquelle on fait toujours mieux d’être prudent à moins d’engager des catastrophes de premier ordre.
En attendant de l’illustrer, c’est justement sous ce rapport, la monnaie est la contrepartie d’un territoire, que vous pouvez immédiatement comprendre ce fait intéressant : ce qui détermine une monnaie et sa valeur, ce sont 5 facteurs fondamentaux qui décrivent en fin de compte la valeur concrète d’un territoire donné et surtout de ce qui s’y passe :
La population et la qualité de la population d’un territoire, c’est sa puissance démographique,
Le rapport au travail de cette population, qui a des causes culturelles,
Son Éducation, en miroir de son rapport au travail,
Et en fait secondairement, toutes les ressources naturelles d’un territoire,
Et puis enfin les autres ressources habituelles de l’économie, mais qui ne sont pas si déterminantes au départ, car il s’agit de conséquences des facteurs (1), (2), (3) : épargne disponible (pour investir) ; commerce et commerce international (les flux de marchandises et d’argent) ; industrialisation (= création de valeur élevée) ; droit, fiscalité ; jusqu’à la gestion correcte d’un pays. Ce qui engage alors le rôle de l’État du territoire, qu’il faudra examiner en détail.
Dans cette liste, vous pouvez rajouter les savoir-faire acquis, les procédés, les technologies, etc. Mais là aussi, sauf trouvaille extraordinaire, il s’agit toujours de conséquences élaborées par les facteurs (1), (2), (3) et-ou (4) et (5).
L’énoncé de ces facteurs de 1 à 5, par ordre croissant d’importance, est donc fondamental.
RépondreSupprimerPuisque cet ordre-là correspond à la réalité du processus civilisationnel et socioéconomique, aussi bien en termes historiques qu’actuels. Et dans cette petite liste ordonnée, vous pouvez déjà comprendre que, pour la valeur d’une monnaie, c’est en principe le type de population et son rapport au Travail qui sont les plus déterminants.
Tout cela est en fait aussi évident que logique.
Si vous avez un territoire doté d’une population abondante et-ou qualifiée, vous aurez tôt ou tard, - cf. la Chine actuelle, immense, mais… la toute petite Taïwan -, un espace géographique très prospère, muni d’une monnaie forte et stable. Même chose pour le rapport au Travail de cette population : plus il est sérieux, intense, plus sa prospérité et sa monnaie seront également fortes et stables.
En sens inverse, vous pourriez très bien avoir un pays possédant une monnaie d’or en barre, et bien sans les facteurs qui ont été listés, il ne s’y passera rien ou plus grand-chose. Il est même arrivé qu’un pays, l’Espagne du 16ème-17ème siècle, ayant d’un coup croulé sous l’or ou l’argent venu du Nouveau Monde (1492, Christophe Colomb), finisse en quasi-friches après cent ans de cette opulence aurifère, famines à la clé.
Oui, après la montagne d’or, du crève-la-faim dans toute l’Espagne.
Et cette mésaventure n’a rien d’une singularité antique.
En 1990, l’île de Nauru, dans le pacifique, était pratiquement devenue l’économie la plus prospère au monde en l’espace de deux petites décennies. C’était en raison de son merveilleux phosphate, - une forme d’or comme une autre -, que l’agriculture du monde entier demandait alors toujours plus, et surtout toujours plus cher. Une chance. Sauf qu’avec cette pluie de dollars déversés sur Nauru, les 21 km² de cette micro-société agricole insulaire, - à peine 1/5ème de Paris intra-muros -, s’est aussi vite transformée en banlieue de Los Angeles. L’État se chargeant de gaver ses 10 000 habitants de tout sur tout, alors qu’il transformait aussi son territoire en véritable parc d’attraction.
Après vingt ans de ce régime et l’épuisement du phosphate, tout ça s’est terminé dans l’obésité morbide de 95% de la population, 90% de chômeurs, le pillage, la corruption et la ruine intégrale. Sur fond d’investissements foutraques et puis, pour finir en beauté, de mafias internationales attirées en rescousse pour mieux passer, sans transition aussi, de la vague miraculeuse au mur de la criminalité plein fouet (4).
Depuis, l’ambiance locale est à contempler l’océan.
RépondreSupprimerLa dévastation en prime.
Voilà : le bon argent sonnant et trébuchant ne suffit vraiment pas.
La monnaie étant la contrepartie d’un territoire, c’est en réalité ce qui s’y passe qui détermine sa prospérité, sa monnaie ne faisant qu’y contribuer ensuite si tout est bien géré.
Il se trouve aussi que, historiquement parlant, le rapport au Travail a d’abord été partout déterminé par des motifs religieux ou culturels-nationalistes. C’est-à-dire par les qualités des cultures des populations. Par exemple en Occident, lorsque le sociologue Max Weber a dit, « un Catholique préfère bien dormir que bien manger ; un Protestant bien manger que bien dormir », il a résumé d’une phrase un peu expéditive (5) tout ce qui sépare les cultures de l’Europe du Nord de celles de l’Europe du Sud, le monde Saxon (USA et Allemagne compris) de notre monde latin.
Au Sud, le Pape ; au Nord et aux USA, des Patriarches ou des Archevêques.
Ce qu’il énonçait ainsi, c’est qu’un Protestant est par sa religion seul responsable de son destin sur Terre : partant de là, s’activer et travailler intensément lui est comme spontané. Pour un Catholique en revanche, Dieu veillant en détail au destin de tout, un peu de fatalité peut s’insinuer dans sa vision du monde : pas forcément, mais assez fréquemment. Si bien que l’activisme déchaîné peut lui être aussi moins spontané (5), et une douce forme d’indolence, plus naturelle.
(Le rapport au propre et au sale est pareillement déterminé… Paris ; vous comprenez mieux ?)
Aujourd’hui encore, l’ensemble du monde occidental reste marqué par ce déterminisme culturel multiséculaire du rapport à la rigueur du Travail, donc à la prospérité, finalement à la génération de monnaies plus ou moins sérieuses.
Ailleurs, il n’en est pas autrement, mais différemment.
Sur un autre registre en effet, et dans le même esprit d’un déterminisme culturel de la relation au Travail, à la monnaie en tout bout de chaîne, on ne peut pas comprendre le formidable développement du Japon après Hiroshima et 1945, si on ne considère pas l’intense nationalisme des japonais. Un chauvinisme qui avait des racines millénaires et une blessure aussi profonde : celle d’anciens esclaves chinois qui furent rejetés-déportés du continent pour fabriquer le Japon, un territoire devenu très nationaliste par le goût obligé de la revanche (6).
Même chose à peu près avec la renaissance de la Corée du Sud après 1953 et le rôle fondamental qu’y a joué… et oui, l’invention du Taekwondo. Un art martial composite créé pour forger dans l’aguerrissement organisé de tous les Coréens le redressement moral de leur pays, quasi anéanti après la guerre américano-coréenne (7). Aujourd’hui, c’est la 15em économie du monde : la stratégie du tatami a très, très bien fonctionné.
Voyez ; religions ; nationalisme ; taekwondo ; il y en a pour tous les goûts.
Mais à chaque fois, le rapport au travail et par conséquent à la prospérité, et finalement la valeur d’une monnaie sont culturellement prédéterminés de diverses manières.
D’où l’on déduit que, au fond dans cette affaire de prospérité d’un territoire, ce sont toujours les gens qui sont plus importants que la monnaie, le pognon. Ainsi, l’Extrême-gauche sera ravie, comme je le suis de la satisfaire à peu de frais, honnêtement. D’ailleurs, à mes nouveaux amis, il faut néanmoins préciser que pour bien comprendre les sources de la prospérité et d’une monnaie forte, on doit, cf. plus haut, toujours et forcément prendre en considération leurs causes religieuses et-ou morales : toujours.
Le point fondamental de ces facteurs déterminant la valeur d’un territoire et sa monnaie est de comprendre que, dans cette affaire, les ressources naturelles jouent en fait un rôle peut-être pas mineur, mais en tout cas toujours secondaire.
RépondreSupprimerSinon, on ne pourra jamais comprendre la puissance allemande. L’Allemagne dispose en effet de relativement peu de richesses naturelles. En tout cas de profonds déficits selon les ressources considérées. Et elle n’a jamais eu de vrai Empire colonial… Par contre, les Allemands sont des protestants bosseurs, de style rigoureux et, à l’image de leur langue, toujours un peu psychorigide d’un point de vue latin. Mais de quoi travailler avec autant d’acharnement que d’excellence, achevés par la deuxième économie du monde par tête d’habitant.
La même considération vaut pour le Japon, un territoire de 80 millions d’âmes vers 1950 pour à peine 15% de terres cultivables. Le double et la moitié de la France à la même époque : Heureux comme Dieu en France, selon l’expression germanique, n’a jamais été une légende.
Pourtant, sans voir que les ressources naturelles sont en fait secondaires, on ne peut pas davantage comprendre la Suisse. Au départ, un pays de montagnes pelées, - les Alpes y font 2/3 du territoire -, peuplé de trois pelés ; ou bien Taïwan à l’autre bout de la planète, une île marécage pour Bob Morane.
Même chose pour les pays d’Europe du grand nord : la Suède, la Finlande, la Norvège (avant son pétrole en mer…). D’immenses territoires à dormir avec les loups. Des populations de tailles limitées. Un climat à se cailler près d’un feu toute l’année. Et un éventail de ressources naturelles du même ordre contraint au départ : bois, poissons, fer ; et la neige en plus pour ne rien arranger la plupart du temps. Mais des gens terre-à-terre, excessivement déterminés (les Vikings ! (9)), qui ont été ensuite très éduqués, rigueur Protestante oblige.
Aujourd’hui, cela a permis, à leurs dimensions, des sociétés prospères, puissantes, munies de monnaies fortes, et pour la Norvège en particulier.
En sens inverse, vous pouvez comprendre le drame actuel du Cambodge, embourbé dans sa misère depuis l’époque des Khmers rouges, en 1979. C’est aussi qu’à massacrer un tiers de leur population et souvent la plus qualifiée, il a été ensuite très difficile de s’en relever.
De rebâtir une économie forte et par conséquent une monnaie puissante.
Dans le même ordre de catastrophe, vous pouvez voir pourquoi des territoires comme l’Arabie Saoudite et le Qatar sont comme condamnés à retourner d’où ils viennent, le sable et le vent. Une fois que leur pétrole et gaz auront été épuisés d'ici à 2040-2050.
Dans les deux cas, - et les régimes en place en sont entièrement responsables -, presque rien n’a été fait pour développer la qualité des populations et leur rapport au Travail. Tout importer, et des foules de quasi-esclaves pour bien commencer, par contre, ils ont su le faire à foison. En même temps qu’ils sur-fonctionnarisaient leurs pays de manière démentielle, et s’assurer ainsi que les locaux y auraient un mode de vie jouissif – et politiquement aussi sage que possible. Bien entendu : il n’y a pas de repas gratuit, disent justement les Anglais.
Alors aujourd’hui, un compte à rebours étant engagé, changer la donne de ces territoires relève presque de la mission impossible. Oui, ce ne sont pas quelques dizaines de milliardaires en dollars qui pourront en changer la trajectoire. Pas à l’échelle de 35-40 millions de personnes et de territoires si patraques. Avec parfois pour conseil en développement, c’est à peine croyable, des Jacques Attali et compagnie, tous spécialistes patentés de l’organisation de catastrophes (10).
RépondreSupprimerÀ l’heure du dépôt de bilan, pour ces milliardaires, la chose est comme garantie, ce sera direction Paris-Londres-Genève-New-York en jets privés, pour s’y ruiner en deux-trois générations dans des palaces, en compagnie de jeunes femmes affriolantes et d’autres choses plus stupéfiantes. Quant à leurs territoires, on peut déjà y prévoir le surgissement d’Ayatollahs fanatisés qui attendent leur heure depuis, oui, trois longs siècles (11) : quand l’heure est à rebouffer des racines, la philosophie de cette gastronomie-là est souvent du même ordre brutale.
(Et oui, c’est résumé très abrupt, mais ça permet de dire les choses à l’essentiel).
Au fond, pour que les gens du désert échappent à leur cataclysme prévisible, il y faudrait une révolution culturelle et morale du même ordre d’intensité phénoménale que celle qu’a connue la Corée du Sud sur deux générations. Mais une transformation qui ne peut certainement pas commencer par le découpage en petits morceaux d’un journaliste, M. Jamal Khashoggi, sur la table à manger d’un Consulat.
Non, ça, ce n’est vraiment pas de l’ordre des choses possibles.
Pas plus que la décapitation au sabre de Saoudiens aux mœurs rebelles en pleine rue.
C’était un conseil avisé au Prince Mohamed Ben Salmane et moi, c’est gratuit.
Ici, nous n’aborderons pas les cas détaillés de l’Afrique et du Maghreb, qui sont en France des sources infinies d’incompréhensions, de peurs ou de préjugés conflictuels.
Cela ne sert à rien. Cela n’ira surtout pas résoudre les questions liées, cf. plus haut, aux 5 facteurs déterminant la possibilité d’une prospérité comme celle d’une monnaie forte. Il suffit de relire, on comprendra vite le cœur des difficultés de ce continent. Et qu’on peut résumer par : quand l’heure est encore et toujours à gérer les chamailleries tribales de populations, - dont le clientélisme corrupteur généralisé n’est que la version moderne -, eh bien le temps de se mettre au travail et d’apprendre des choses utiles n’est pas près de survenir.
Quoi qu’il y existe un peu partout, c’est l’évidence et je connais l’Afrique, des gens à la peau noire qui s’acharnent comme ils le peuvent à faire tout le contraire de l’ignominie organisée depuis deux générations par leurs dirigeants.
RépondreSupprimerÀ ce stade aussi, vous pouvez comprendre pourquoi la définition exacte de la monnaie comme contrepartie d’un territoire soulève ici des questions très sensibles. Et relève en fait d’un tabou. Que vous avez pourtant sous les yeux tous les jours ! Puisque, vous l’avez remarqué, tous vos billets en euros ne représentent jamais des objets relatifs à l’histoire de ce pays ou de l’Europe. Tout n’y est que dessins de ponts, portes, et autres constructions abstraites, liés à aucune des cultures ou des territoires de l’Europe : dans le monde entier, cette chose ne s’était jamais produite en 27 siècles d’Histoire monétaire…C’est dire si ce tabou de la négation du territoire au cœur même de la monnaie a été ici bien, bien caché dans la lumière.
Mais plus fort encore, ce tabou est devenu au fil du temps de plus en plus intense.
Pour le comprendre, au moins trois choses doivent être considérées. Elles parlent toutes d’une négation de plus en plus marquée du rôle du territoire dans la monnaie :
Depuis la plus haute Antiquité jusqu’au 19 août 1971, - Richard Nixon, arrêt de la convertibilité dollar-or etc. -, presque tous les systèmes monétaires du monde ont été fondés ou reliés au bimétallisme or-argent.
Autrement dit, en pratique, l’or et l’argent incarnaient dans leurs matières mêmes les trois fonctions de la monnaie : échanger ; fixer les prix ; stocker de la valeur. Dans ce contexte, que l’invention du papier-monnaie adossé à ces métaux précieux n’avait pas fondamentalement transformé, la nécessité d’une définition de la monnaie relevait plutôt d’une importance théorique. Puisque, de toutes les manières, pourrait-on dire, sa caractérisation était établie, en fait, par la contrainte de disponibilité matérielle de l’or et de l’argent. En eux-mêmes, ces métaux et leurs volumes utilisables énonçaient ce qui était monnaie, de ce qui ne l’était pas.
Mais après le 19 août 1971, ça n’a plus été le cas.
Et encore moins après les années 95, 2000, 2008 et 2020 (covid) où cet objet, la monnaie, en conséquence d’impressions monétaires et de dettes toujours plus massives, s’est complètement affranchie de ses bases matérielles d’origine.
C’est à cette époque décisive, 1995-2020, qu’il aurait fallu réinterroger la question.
S’attacher à définir exactement ce qu’était la monnaie.
Ce qui ne s’est pas produit, et loin de là : on a agi comme si rien ou presque n’avait changé.
Alors même que la monnaie se transformait toujours plus en simple signe monétaire.
Ensuite, il faut considérer que par sa nature même, la monnaie est un objet fongible.
C’est-à-dire qu’en principe, il s’agit d’un équivalent général, qui permet d’échanger tout contre tout, partout : l’argent n’a pas d’odeur, la musique est connue depuis 2000 ans et Vespasien. L’Empereur romain qui, pour renflouer l’État, taxa l’urine qui servait alors à la fixation des couleurs (12).
RépondreSupprimerLa conséquence de cette fongibilité de la monnaie est que, spontanément, celle-ci a la faculté de flouter, pourrait-on dire, les frontières des territoires. Et partant de là, la spécificité d’un territoire donné, qui constitue pourtant le fondement intrinsèque de sa monnaie : une monnaie de là-bas vaut, en effet, à peu près la même chose ici, c’est le mécanisme du taux de change des devises.
Alors plus les échanges entre territoires s’accroissent, plus leur floutage augmente.
Ce qui est bien entendu l’effet direct de la croissance des échanges internationaux.
D’ailleurs, vous le constaterez vous-même, au niveau microscopique.
Il est très banal qu’aux frontières immédiates de tous les pays, les gens du cru vivent et commercent dans plusieurs monnaies. Il y a vingt encore en France, c’était de la pesetas à Bayonne, de la lire à Nice, du deutsch mark à Strasbourg, et un peu de franc-belge au Nord.
(La frontière Suisse, c’était plutôt des mallettes de billets depuis Roissy-Charles de Gaulle).
Mais tout ceci signifie qu’à la fin, localement, on ne peut plus vraiment dire dans quelle monnaie on joue et finalement, dans quel territoire on vit précisément. D’autant que le bilinguisme y est pareillement banal. D’ailleurs, tout cela est en fait passé dans les mœurs : les administrations de tous les pays ont pris l’habitude de désigner ces zones singulières comme étant des « territoires frontaliers ».
Une manière de dire qu’il s’y passe des choses un peu bizarres, qu’il s’y produit autant d’exceptions de tous genres, et qu’on laisse faire puisqu’elles y sont gérées de manière assez pragmatique pour éviter d’y énerver leurs habitants. En passant toujours sous silence la question qui fâche très vite : en pratique quotidienne, où commence et finit le territoire ?!
Parce qu’enfin, les voyez-vous venir les motifs d’un tabou de plus en plus intense ?
La raison pour laquelle définir correctement la monnaie comme la contrepartie d’un territoire a été historiquement de plus en plus difficile ?
Oui, avec la globalisation progressive du monde (13) et puis son idéologie (« La mondialisation heureuse », merci à Monsieur Minc), très fermement développées après la fin du monde communiste en 1991, et puis l’expansion de l’Union européenne en 1992 (traité de Maastricht) et 2005 (l’embrouille référendaire), il est, en Occident, partout devenu de plus en plus difficile de seulement parler et-ou d’être attaché à, au choix, la typicité d’un territoire, celle de son Histoire, de sa Culture, de sa Langue et finalement de ses traditions.
Tout ça, ça devait finir mixé-broyé dans l’United Colors of Benetton et tant pis pour les tâches.
RépondreSupprimerChacun le sait. En France en particulier :
Allez donc passer la joie d’une soirée à parler de ce monde merveilleux qui court encore du vin rosé de Miraval aux langoustes de Camaret-sur-mer ; du piment des Basques jusqu’au Munster à l’Est, en passant par les vins de Bordeaux, les châteaux de la Loire et par-dessus les plaines de la Beauce, et il est à peu près certain qu’au lendemain, on vous trouvera l’air d’un régionaliste aggravé. Bientôt celui d’un conservateur réactionnaire. Et puisqu’enfin la chance vous sourira presque toujours, Heil Hitler !, d’un adorateur du IIIe Reich. Plus vivants que jamais, semble-t-il, on doit bien le constater…, depuis qu’ils ont été réduits en cendres trois générations en arrière, et le tout très, très loin d’ici : à Berlin !
Mais soyez sans crainte, pour beaucoup des promoteurs de votre calomnie chauviniste, les vins hors de prix du bordelais, le munster authentique, le bon piment d’Espelette, et les langoustes arrosées au Miraval, c’est pour eux presque tous les jours à leurs tables !
C’est que, voyez-vous, ces gens-là sont aussi souvent ceux qui gagnent le gros argent de la globalisation déchaînée. Ce qui leur donne autant les moyens de nos mets délicats en privé, que le goût, en public, d’en faire oublier… l’existence de la nationalité.
Et n’y voyez pas trop de complot, c’est surtout l’effet de la loi du pognon. Quand on en gagne vraiment beaucoup, il est plus facile de se vanter de la manière générale qu’on a de le gagner, que de s’étendre en détails sur les objets luxueux où on va le gaspiller.
Rien qui ne soit humain et qui ne puisse se comprendre.
Pourtant la Terre est ronde et elle est tourne : pour parler et gérer correctement la monnaie comme contrepartie d’un territoire, on est nécessairement forcé de parler et de se préoccuper de ce qui s’y passe en détails.
À l’intérieur ; à l’extérieur ; de l’intérieur vers l’extérieur ; de l’extérieur vers l’intérieur : épargne ; industrialisation ; Commerce Extérieur ; Importations ; Balance des paiements ; Taux de change ; Fiscalité ; Droits de douanes, etc., etc.
Avec, au centre, la question obligée de l’État, de sa gestion et de son organisation.
Oui, la qualité de l’État.
Si en effet la Suisse est par exemple devenue, à sa dimension, une puissance industrielle de premier ordre, et non pas un paradis fiscal ainsi qu’on l’a trop dit (la banque n’y fait que 10% du Pib), c’est principalement que ce territoire-là, à l’origine bien pauvre, a été presque anormalement très, très bien géré par sa population et leurs institutions. Des corporations qui commencent par des cantons autonomes, se poursuivent par des référendums permanents, tout ça engendrant finalement l’ancrage populaire et terre-à-terre d’une démocratie dont les dirigeants ne peuvent pas vraiment s’affranchir du réel, du territoire, on y revient toujours…, en particulier dans le domaine de la monnaie.
Et le Franc suisse, c’est comme de l’or en papier.
RépondreSupprimerNotes :
(1) À propos de monnaie et de territoire, on peut, aujourd’hui aussi, considérer qu’un territoire donné est en réalité une somme et une articulation multidimensionnelle de réseaux d’échanges, de productions et de stocks de monnaie (s) : d’un marché dominical, à une place de marché sur internet, à un réseau bancaire offrant du crédit, en passant par une Banque Centrale émettant des obligations souveraines.
Oui, c’est tout à fait exact.
Néanmoins, cette autre complexité du système monétaire ne change rien au fait que, globalement, dans son ensemble, c’est la totalité de la monnaie qu’on trouve dans tous ces réseaux qui fait en somme la contrepartie du territoire où justement… ces réseaux se trouvent.
Et à partir duquel ils peuvent tout aussi bien se projeter vers l’extérieur du territoire considéré.
Le concept de territoire est ici employé comme étant un espace géographique constitué, avec sa population, sa langue, son histoire, etc. En d’autres termes, un pays. Néanmoins, les termes « pays » ou « nation » ne sont pas employés pour les raisons déjà énoncées.
Mais celui d’espace géographique constitué n’est pas plus employé, pour éviter de verser dans une abstraction formaliste qui rebute, et légitimement, le plus grand-nombre.
(2) Depuis 2002, L’Euro a été promu comme « la monnaie européenne ». Il est le plus souvent compris ainsi par le public. En réalité, il y a autant d’euros que de pays européens, avec chacun leurs Banques Centrales, qui n’ont jamais cessé d’exister depuis 2002.
En termes réels, l’Euro s’analyse comme une monnaie commune, dont les écarts internes de pays à pays du fait de leurs commerces européens sont, discrètement, compensés en temps réel au sein du mécanisme Target II : Voir Système de transferts express automatisés transeuropéens à règlement brut en temps réel
Target II gère quotidiennement 1850 milliards d’euros, soit le PIB de l’Italie – dans la journée…
La conséquence de cette situation est que si/lorsque l’Euro disparaîtra, nous nous retrouverons avec un euro français, aggravé, entre autres déficits généralisés, de ses déficits Target.
Même effet mais en sens inverse pour l’Allemagne qui, à cette date, détient une créance de l’ordre de 1000 milliards d’euros sur tous les pays européens, car l’essentiel de son commerce extérieur et de ses marges est réalisé nulle part ailleurs qu’en Europe.
Depuis 2007-2008, les écarts/soldes négatifs de Target II ne font que s’aggraver pour atteindre aujourd’hui 1500 milliards d’euros et une série de raisons trop longues à évoquer ici.
L’Italie et l’Espagne y représentent un déficit de 1100 milliards.
Voir aussi : Target 2 : la hausse continue des soldes menace la zone euro de dislocation
Dans l’ensemble, cette situation ne signifie qu’une chose : il n’existe pas d’unité européenne.
(3) On remarquera que la définition exacte de la monnaie, - la monnaie est la contrepartie d’un territoire, n’est que le passage et la généralisation à un niveau logique supérieur de ses sources territoriales, situées un cran plus bas dans le réel : commercer, définir les prix, stocker de la valeur.
RépondreSupprimerSur le plan logique encore, la non commutativité de la définition de la monnaie est fondamentale : c’est elle qui interdit la possibilité de sectionner le lien monnaie/territoire, et jouer de la monnaie comme on le veut.
(4) L’île de Nauru.
Sur la fin de son âge d’or, l’ile ayant été dévastée, ses dirigeants ont tenté de se refaire une santé en transformant leur État en paradis fiscal, ou bien par le commerce de passeports, de pavillons et de nationalités de complaisance, etc.
Ce qui a bien entendu attiré toute la faune de la criminalité sur la planète.
La Communauté Internationale a fini par couper court à cette dérive mafieuse moyennant x pressions : avec 10 000 habitants sur 21 km2 en pleine mer, Nauru ruinée n’avait pas les moyens de jouer très longtemps au repère des pirates.
(5) Max Weber, L’Éthique Protestante et l’Esprit du Capitalisme, 1904-1905. C’est un ouvrage fondamental de la Sociologie moderne. Lorsqu’il écrit « un Catholique préfère bien dormir que bien manger ; un Protestant bien manger que bien dormir », il est exact en étant un peu expéditif.
En réalité, un Protestant est, oui, tourné vers l’activisme et porté sur la prise de risques, mais sur la Dette par conséquent car il anticipe ainsi le résultat positif de son action.
Sous ce rapport, un catholique peut être moins actif, plus prudent, mais parce qu’il est aussi originellement plus porté sur l’épargne silencieuse : ce n’est pas pour rien que la France, l’Italie, et l’Espagne ont longtemps capitalisé des épargnes et des richesses faramineuses de tous genres, sans comparaison possible avec celles de l’Europe du Nord.
En fait, entre Catholiques et Protestants, on a surtout deux visions alternatives de la vie où, soit on fait et on progresse avec le temps (catholiques), soit on court contre lui (protestants).
(6) Japon. L’origine du peuplement massif du Japon est longtemps restée un mystère.
Au tournant des années 2000, la famille Royale du Japon a incidemment révélé ce qu’elle savait depuis 1 000 ans mais qu’elle dissimulait : au départ, beaucoup de Japonais furent des esclaves chinois que le continent avait rejetés à la mer.
De quoi jeter les bases, en retour et ensuite, d’un puissant sentiment de revanche à prendre.
Le Japon se distingue ainsi par un sentiment identitaire et un nationalisme profond, qui n’ont pas presque pas le besoin de se crier haut et fort pour être sans cesse très présents.
On l’a vu avec le rejet des occidentaux le 22 juin 1636, qui refermera le pays sur lui-même et sa féodalité sur plus de deux siècles. Ensuite, entre faiblesse intérieure et pressions extérieures (USA, Commodore Perry, 8 juillet 1853), le pays se rouvrira sur le monde, assez contraint et forcé par les armadas occidentales. Mais dix ans ensuite, ayant pris conscience de son retard technologique, cela conduira le Japon à l’ère Meiji (« Gouvernement éclairé », 1868). C’est-à-dire à l’expansion industrielle autoritaire et finalement militaire et impérialiste du pays. Terminée dans les horreurs asiatiques de la période 1931-1945 - 31 millions de morts estimés. Oui, 31…
Ce qui, en Asie, a laissé des stigmates analogues à celles des horreurs nazies en Europe.
Aujourd’hui encore, le sentiment identitaire du Japon est si puissant que la population étrangère n’y représente pas beaucoup plus qu’1%. Alors que sa démographie vieillit et régresse très rapidement.
(7) Le Taekwondo est un art martial composite Coréen (Sud), condensé et promu par le Général Choi Hong-Chi (1918-2002), à partir d’arts martiaux asiatiques (Karaté, Kung-fu, etc.), mais également occidentaux (boxe anglaise, française), qui lui ont apporté des techniques de poing – on le sait moins.
RépondreSupprimerEn Corée, le statut du Taekwondo voisine maintenant celui d’une religion.
On le sait également peut, mais nombre de réseaux d’affaires internationaux de la Corée du Sud s’organisent à partir de pratiquants de cette discipline…et on parle de la 15ème économie du monde.
(8) Des découvertes inexploitées des millénaires durant : Héron d’Alexandrie (Grec, 1er siècle après J-C) a ainsi inventé des premières machines à vapeur connues. Mais sous forme de jouets qui n’ont pas alors retenu l’attention au sujet de ce qu’on pouvait en faire en grand. Cela signifie tout de même que la Révolution Industrielle occidentale, qui lui a donné sa toute-puissance, aurait pu avoir lieu… 1700 ans plus tôt et ailleurs – c’est l’anglais James Watt qui en redécouvre le principe après 1760. (Voir Héron d'Alexandrie)
Des exemples de ce genre, on en compte des dizaines dans tous les domaines.
(9) Les Vikings : il faut rappeler qu’entre le 8ème et le 11ème siècle, partant des froideurs de la Scandinavie, les Vikings ont aussi bien commercé que dévasté l’Europe entière, jusqu’à la Sicile et la Tunisie actuelles. Les données les plus récentes indiquent également qu’ils ont abordé l’Amérique du Nord quatre siècles avant Christophe Colomb (1492).
Bref : des gens aussi déterminés qu’aventureux.
(10) M. Attali en Conseil avisé des Princes des sables ; Le Figaro (2016) Twitter, etc. Jacques Attali a fait partie de ces personnages intéressants de la deuxième moitié du XXème en France, qui ont eu raison sur tout : c’est-à-dire sur eux-mêmes, à titre principal.
(11) À l’origine de la monarchie saoudienne (1744), il existe une alliance entre les Séoud et le fondateur du Wahhabisme (Ben Abdelwahhab), une branche conquérante et très rigoriste de l’Islam.
Depuis, entre La Mecque et Marbella-la-cocaïne, chacune des parties vit sa vie et fait ses affaires en évitant de trop marcher sur les plates-bandes de l’autre. Motif pour lequel aujourd’hui, l’Arabie Saoudite peut être en même temps l’un des pays les plus modernes du monde, que le plus rétrograde : en pratique, ça dépend pour qui. Puisque le vrai Roi y est le dollar, tant que ça dure.
(12) L’Empereur Vespasien (9-79) taxa donc l’urine, dont l’ammoniac naturelle servait alors à la fixation des teintures des couleurs. Son fils le lui reprocha. Le père fit remarquer que cet argent-là ne sentait rien. Le tout nous est resté sous forme du proverbe, l’argent n’a pas d’odeur. Les vespasiennes, les pissotières de Paris en 1834 et 1980, furent baptisées ainsi en souvenir de l’affaire.
(13) L’habitude a été prise de dater la Globalisation du monde du milieu des années 1980-90.
En réalité, et sans revenir à l’Antiquité et ses très, très vastes Empires…, la globalisation occidentale a commencé après 1830 et son expansion coloniale. Mais on peut en remonter les fils trois siècles plus tôt avec la « (re)découverte » des Amériques (1492), et toutes les grandes expéditions maritimes de ce temps-là ; Marco Polo, Magellan, etc.
Cf. aussi note (9).
De même qu’après la fin de l’Empire romain d’Occident (410), dès le 8ème et le 9ème, on trouve partout les traces et les manifestations d’intenses commerces internationaux, jusqu’en Chine.
Bref, le monde et sa Globalisation, c’est un peu l’histoire incessante des marées et des mers.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/qu-est-ce-la-monnaie
Avortement : un tiers des jeunes Autrichiens manque à l'appel
RépondreSupprimer20.09.2022
www.kla.tv/23663
Revenons en 1935. Le parlement islandais est le premier pays occidental qui légalise l'interruption de grossesse sous certaines conditions. Jusqu'à cette date, la population en général considérait comme allant de soi que la vie commençait avec la conception et qu'elle méritait donc d'être protégée dès ce moment-là.
Pourtant, de puissants lobbies pro-avortement avaient réussi, contre toute compréhension naturelle, à donner à la population mondiale une nouvelle définition de la grossesse. Parallèlement, un État après l'autre a adopté l'avortement comme un droit à travers la politique. En 1975, l'Autriche a adopté le régime du délai, qui permet depuis lors d'avorter légalement jusqu'à la fin du troisième mois de grossesse.
Avortement : la guerre invisible
Le temps a passé depuis. Un rapport de l'ONU datant de 2022 indique que 50 millions d'avortements sont pratiqués chaque année dans le monde. Si on fait le calcul sur une période de 10 ans, cela représente 500 millions [!] d'avortements. Et cela sans compter les cas non déclarés ! Un chiffre qui éclipse n'importe quelle guerre mondiale - à la différence qu'on ne voit pas de morts et que la population ne se doute pas de cette dimension.
Christian Fiala, directeur d'une clinique d'avortement viennoise, estimait en 2010 que l'Autriche, avec 30 000 à 40 000 interruptions de grossesse par an, faisait partie des pays européens les plus performants. D'autres statistiques confirment également ce chiffre. Ce comportement des dernières décennies a pour conséquence qu'il manque un tiers des jeunes adultes en Autriche.
L'avortement : un énorme modèle commercial
Dans quelle mesure le fait que les avortements rapportent beaucoup d’argent est-il justifiable ? En Autriche, un avortement coûte entre 400 et 800 euros. Rien que pour l'Autriche, il en résulte une somme d'environ 25 millions d'euros qui sont gagnés chaque année par les cliniques et les médecins pratiquant l'avortement.
Dans le monde entier, les avortements représentent un marché de plusieurs milliards. De plus, dans de nombreux pays comme la Suisse, l'interruption de grossesse est même payée par l'assurance maladie, c'est-à-dire par la collectivité !
Avortement : un tiers des jeunes Autrichiens manque à l'appel
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www.kla.tv/23663
Revenons en 1935. Le parlement islandais est le premier pays occidental qui légalise l'interruption de grossesse sous certaines conditions. Jusqu'à cette date, la population en général considérait comme allant de soi que la vie commençait avec la conception et qu'elle méritait donc d'être protégée dès ce moment-là.
Pourtant, de puissants lobbies pro-avortement avaient réussi, contre toute compréhension naturelle, à donner à la population mondiale une nouvelle définition de la grossesse. Parallèlement, un État après l'autre a adopté l'avortement comme un droit à travers la politique. En 1975, l'Autriche a adopté le régime du délai, qui permet depuis lors d'avorter légalement jusqu'à la fin du troisième mois de grossesse.
Avortement : la guerre invisible
Le temps a passé depuis. Un rapport de l'ONU datant de 2022 indique que 50 millions d'avortements sont pratiqués chaque année dans le monde. Si on fait le calcul sur une période de 10 ans, cela représente 500 millions [!] d'avortements. Et cela sans compter les cas non déclarés ! Un chiffre qui éclipse n'importe quelle guerre mondiale - à la différence qu'on ne voit pas de morts et que la population ne se doute pas de cette dimension.
Christian Fiala, directeur d'une clinique d'avortement viennoise, estimait en 2010 que l'Autriche, avec 30 000 à 40 000 interruptions de grossesse par an, faisait partie des pays européens les plus performants. D'autres statistiques confirment également ce chiffre. Ce comportement des dernières décennies a pour conséquence qu'il manque un tiers des jeunes adultes en Autriche.
L'avortement : un énorme modèle commercial
Dans quelle mesure le fait que les avortements rapportent beaucoup d’argent est-il justifiable ? En Autriche, un avortement coûte entre 400 et 800 euros. Rien que pour l'Autriche, il en résulte une somme d'environ 25 millions d'euros qui sont gagnés chaque année par les cliniques et les médecins pratiquant l'avortement.
Dans le monde entier, les avortements représentent un marché de plusieurs milliards. De plus, dans de nombreux pays comme la Suisse, l'interruption de grossesse est même payée par l'assurance maladie, c'est-à-dire par la collectivité !
Mais ce n'est pas tout ! En 2015, une équipe de défenseurs de la vie a révélé, à l'aide de caméras cachées, que non seulement l'avortement, mais aussi les fœtus avortés faisaient l'objet d'un énorme commerce. Les vidéos montrent comment des hauts fonctionnaires de l'entreprise d'avortement Planned Parenthood négocient la vente de parties du corps et de tissus corporels d'embryons avortés. Après la publication de ces vidéos tournées en caméra cachée, le groupe a été fortement mis en difficulté en 2015. Non seulement les fonds publics ont été réduits, mais dans certains États américains, ils ont été complètement supprimés.
Culture de la vie
RépondreSupprimerLe médecin new-yorkais Bernard Nathanson a été l'un des pionniers de la libéralisation de l'avortement et en 1968, l'un des membres fondateurs de la Ligue nationale d'action pour les droits à l'avortement. À l'époque Il dirigeait la plus grande clinique d'avortement des États-Unis. Dans les années 1970, avec l'utilisation de la technologie des ultrasons, il a pu observer pour la première fois ce qui se passait réellement lors d'un avortement.
Peu de temps après, il est devenu le chef de file du mouvement pour le droit à la vie. Il a démasqué les mensonges du lobby de l'avortement qui, notamment sous sa direction, avait réussi à légaliser l'interruption de grossesse. Au milieu des années 80, il a produit le film mondialement connu « Le cri silencieux ».
Le film montre un fœtus de douze semaines dans le ventre de sa mère, qui tente en vain de se défendre contre le terrible instrument qui commence à le déchirer vivant. Bernard Nathanson est arrivé à la conclusion que la vie d'un être humain commence au moment de sa conception et que tout avortement est un meurtre (!) commis sur une créature extrêmement vulnérable.
Ainsi, des millions d'enfants avortés se voient refuser la vie parce qu'ils ne sont pas les bienvenus pour une raison ou une autre.
Chers spectateurs, donnez une voix à ces enfants à naître dans le monde et aidez-nous à faire prendre conscience que les droits de l'enfant doivent commencer dès le ventre de la mère !
de m.w.
Sources / Liens :
Erste Staaten legalisieren die Abtreibung
https://www.diepresse.com/4647266/vor-80-jahren-erster-westlicher-staat-erlaubt-abtreibung
https://de.wikipedia.org/wiki/Schwangerschaftsabbruch
https://jugendfuerdasleben.at/fakten-infos/das-leben-vor-der-geburt/mensch-von-anfang-an
Abtreibung – der unsichtbare Krieg
https://orf.at/stories/3252097
https://jugendfuerdasleben.at/fakten-infos/abtreibung/abtreibungszahlen
Abtreibung als riesiges Geschäftsmodell
https://abtreibung.at/fur-ungewollt-schwangere/methoden/kosten/
https://www.oesterreich.gv.at/themen/frauen/schwangerschaftsabbruch.html
https://www.welt.de/politik/ausland/article144822825/Abtreibungsfirma-bietet-Embryogewebe-zum-Kauf-an.html
https://www.die-tagespost.de/politik/die-abtreibungslobby-woelfe-im-schafspelz-art-211184
https://www.lilli.ch/schwangerschaftsabbruch_schweiz
https://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/1995/1328_1328_1328/de
Kultur des Lebens
https://www.planet-wissen.de/natur/anatomie_des_menschen/schwangerschaft/pwieultraschall100.html
https://www.truechristianity.info/de/articles/article0002.php
- voir clip sur site -
https://www.kla.tv/fr
CRISE MÉDICALE INTERNATIONALE : Plus de 400 médecins et scientifiques en Inde déclarent que les programmes de vaccination contre le COVID doivent prendre fin
RépondreSupprimermardi 20 septembre 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) Plus de 400 médecins, scientifiques et responsables de la santé de l'Inde étaient représentés lors d'une conférence de presse du 10 septembre 2022 qui a DÉNONCÉ le programme de vaccination contre le covid-19. Ces scientifiques et professionnels de la santé ont déclaré une «crise médicale internationale» parce que les vaccins covid-19 ont échoué et sont associés à une surmortalité qui n'est pas correctement étudiée par les autorités sanitaires à l'échelle mondiale.
La déclaration officielle stipule : "Nous assistons actuellement à une surmortalité dans les pays où la majorité de la population a reçu les soi-disant" vaccins COVID-19 ". À ce jour, cette surmortalité n'a été ni suffisamment étudiée ni étudiée par institutions de santé nationales et internationales.
La surmortalité dans les populations fortement vaccinées appelle une enquête internationale
Les plus de 400 professionnels de la santé exigent une enquête sur chaque décès lié au vaccin survenu chez des personnes auparavant en bonne santé. Ils mettent également en garde contre une «incidence élevée de fausses couches et de décès périnataux qui n'ont pas fait l'objet d'enquêtes.
Le terme « syndrome de la mort subite de l'adulte » a été utilisé pour décrire la surmortalité chez les adultes jeunes et d'âge moyen. La myocardite s'est normalisée au cours de la dernière année, car des enfants et des adultes auparavant en bonne santé sont devenus la proie de cette science toxique. Alors que la dissimulation se poursuit, les pompes funèbres trouvent de longs caillots fibreux à l'intérieur des corps de personnes décédées et vaccinées. De plus, les systèmes de pharmacovigilance du monde entier ont enregistré le plus grand nombre d'événements indésirables, d'hospitalisations, d'incapacités permanentes et de décès dans l'histoire de tous les vaccins.
Le système de carte jaune du Royaume-Uni, le système australien de surveillance des événements indésirables, le système européen EudraVigilance, le système VAERS du CDC et la base de données VigiAccess de l'OMS explosent tous avec les événements indésirables du vaccin COVID. Ensemble, ces rapports médicaux incluent 11 millions d'événements indésirables graves et 70 000 décès associés aux vaccins COVID. Selon l'examen médical, ces chiffres ne pourraient représenter qu'environ 1 à 10 % du nombre total de blessures et de décès à la suite des injections de COVID.
Plus de 400 médecins et scientifiques demandent la fin des programmes de vaccination contre le COVID et des enquêtes sur les décès
RépondreSupprimerLa déclaration appelle les agences de réglementation pharmaceutique susmentionnées à tenir compte de ce qui suit :
Toutes les campagnes nationales d'inoculation avec des produits connus sous le nom de «vaccins COVID-19» doivent être vaincues.
Des enquêtes et des autopsies doivent être menées pour toutes les morts subites de personnes qui étaient en bonne santé avant l'inoculation.
Pour chaque personne inoculée avec les produits connus sous le nom de «vaccins COVID-19», mettre en œuvre des programmes de détection précoce des événements cardiovasculaires pouvant entraîner des morts subites. Effectuez également un dépistage à l'aide de D-dimères et de troponine et détectez les tumeurs graves dès le début.
Mettre en œuvre des programmes de recherche et de formation pour les victimes qui ont subi des événements indésirables après avoir reçu le soi-disant «vaccin COVID-19».
Effectuez une analyse complète de la composition des flacons de Pfizer, Moderna, Astra Zeneca, Janssen, Sinovac, Spoutnik V et de tout autre produit connu sous le nom de «vaccins COVID-19», en utilisant des groupes de recherche indépendants qui n'ont aucune affiliation avec les sociétés pharmaceutiques, ni aucun conflit d'intérêt.
Mener des études sur les interactions entre les différents composants des vaccins dits « COVID-19 » et étudier leurs effets moléculaires, cellulaires et biologiques.
Mettre en place des programmes d'assistance psychologique et d'indemnisation pour toute personne ayant développé une maladie ou un handicap à la suite des soi-disant «vaccins COVID-19».
Promouvoir des programmes d'aide psychologique et d'indemnisation pour les membres de la famille de toute personne tuée après avoir été inoculée avec le produit connu sous le nom de "vaccins COVID-19".
Le groupe appelle davantage de professionnels de la santé et de particuliers à signer la déclaration de crise médicale pour mettre fin une fois pour toutes à cette expérience mortelle.
Les sources comprennent :
LifeSiteNews.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
Digital.AHRQ.gov [PDF]
MedicalCrisisDeclaration.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-400-doctors-scientists-declare-international-medical-crisis-covid-vaccine.html
La «commission Covid-19» du Lancet décide que le covid peut provenir d'un laboratoire biologique géré par les États-Unis après tout
RépondreSupprimerMardi 20 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) L'une des principales revues scientifiques au monde dit maintenant que le covid est peut-être vraiment venu d'un bio-laboratoire dirigé par les États-Unis.
Le Lancet, qui l'année dernière disait exactement le contraire, a soudainement décidé que la grippe Fauci pourrait provenir "de laboratoires américains engagés dans la manipulation en laboratoire de virus de type SRAS-CoV", entre autres possibilités. (Connexe: un dénonciateur du Pentagone prétend également avoir des preuves que le covid a été concocté exprès et pas seulement un coup de chance de la nature.)
"Aucune enquête indépendante, transparente et scientifique n'a été menée concernant la bio-ingénierie des virus de type SRAS qui était en cours avant l'épidémie de COVID-19", déclare la commission Covid-19 du Lancet à la suite d'une enquête pluriannuelle. effort.
"Des chercheurs indépendants n'ont pas encore enquêté sur les laboratoires américains engagés dans la manipulation en laboratoire de virus de type SRAS-CoV, ni sur les détails de la recherche en laboratoire qui était en cours à Wuhan."
"De plus, les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis ont résisté à la divulgation des détails de la recherche sur les virus liés au SRAS-CoV qu'ils avaient soutenus, fournissant des informations largement expurgées uniquement comme l'exigent les poursuites en vertu de la Freedom of Information Act."
Connaîtrons-nous un jour toute l'histoire derrière le covid ?
Ceux qui ont suivi cette saga de près se souviendront peut-être que quatre mois avant que l'administration Obama n'interdise la recherche sur le « gain de fonction » sur le sol américain, la tristement célèbre EcoHealth Alliance a conclu un contrat lucratif avec le NIH pour délocaliser ladite recherche sur le gain de fonction. .
Cette recherche s'est terminée à Wuhan, en Chine, le site présumé de la libération de la grippe Fauci, selon certains spéculateurs. C'est là, nous dit-on, que le chef d'EcoHealth Peter Daszak et son équipe d'alliés ont été chargés de manipuler les coronavirus de chauve-souris pour les rendre plus transmissibles aux humains.
Daszak était obsédé par la tentative de créer des «virus chimériques» génétiquement modifiés (OGM) qui peuvent passer des animaux aux humains. Il a fait pression pour un contrat de 14 millions de dollars avec la DARPA pour financer davantage ses efforts, mais cet argent a été refusé.
RépondreSupprimerAu moment où la plandémie covid a été lancée et que Daszak a commencé à voir son nom dans les gros titres comme un possible coupable, il a immédiatement écrit une chape publiée dans The Lancet niant tout acte répréhensible.
Selon Daszak, le virus chinois ne pouvait provenir que de la nature, comme sur un marché humide à Wuhan où les chauves-souris sont vendues pour la nourriture – même s'il n'y avait pas de marchés humides en activité à l'époque.
Appelant l'idée que le covid provenait d'un laboratoire de "théories du complot", Daszak a appelé le monde à condamner quiconque oserait suggérer que les germes chinois sont fabriqués en laboratoire plutôt que fabriqués par la nature.
Maintenant, The Lancet a changé son air de nulle part avec la publication de nouvelles théories suggérant que le covid a été conçu exprès. Le NIH, selon cette nouvelle étude, "a résisté à divulguer les détails de son travail" car cela laisserait le chat sortir du sac.
« Au moment de la publication de ce rapport, les trois hypothèses associées à la recherche sont toujours plausibles : infection sur le terrain, infection par un virus naturel en laboratoire et infection par un virus manipulé en laboratoire », indique la nouvelle étude. .
L'étude poursuit en affirmant qu'aucun cahier de laboratoire, base de données, enregistrement de courrier électronique ou échantillon n'a jamais été mis à la disposition de chercheurs indépendants, ce qui est hautement suspect s'il n'y a rien à cacher.
"En bref, il existe de nombreuses origines proximales potentielles du SRAS-CoV-2, mais il y a encore un manque de travaux indépendants, scientifiques et collaboratifs sur la question."
Les dernières nouvelles sur covid peuvent être trouvées sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
Newspunch.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-20-lancet-covid-commission-covid-us-biolab.html
SANTÉ : LA « PILULE DU LENDEMAIN » GRATUITE POUR TOUTES ET TOUS
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
21/09/2022
Une pilule du lendemain peut coûter jusqu'à 20 euros en pharmacie.
Le ministre de la Santé, François Braun, a annoncé la bonne nouvelle dans un entretien accordé au journal 20 Minutes le 20 septembre 2022 : la contraception d’urgence, appelée plus communément « pilule du lendemain », sera désormais plus facile d’accès. Avec, notamment, la fin de la nécessité pour une grande partie des concernés de devoir demander une ordonnance au médecin ce qui était par ailleurs une contradiction avec le principe même du médicament.
La pilule du lendemain : gratuite et sans ordonnance pour toutes et tous
La règle concernant la pilule du lendemain en France était simple : les personnes mineures pouvaient l’obtenir sans ordonnance directement en pharmacie et totalement gratuitement, tandis que la gratuité s’appliquait entre 18 et 26 ans sous réserve d’avoir une ordonnance d’un médecin. Sans ordonnance ou au-delà de 26 ans, la pilule du lendemain était payante, et coûtait entre 5 et 20 euros selon les pharmacies.
François Braun veut donc aller plus loin : « je vous annonce le renforcement de la protection des femmes en facilitant leur accès à la contraception d’urgence en pharmacie, de manière gratuite et sans ordonnance, à tout âge », a-t-il déclaré à 20 Minutes.
Aucune date d’entrée en vigueur de la mesure n’est annoncée, mais il est difficile de croire qu’une telle annonce ne soit pas suivie rapidement d’un texte adapté, notamment puisqu’il s’agit uniquement d’en améliorer le remboursement. La mesure devrait être intégrée dans le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2023 (PLFSS 2023).
La fin de l’ordonnance : une bonne nouvelle
Le changement est majeur puisqu’il va permettre de répondre à une vraie problématique, surtout chez les populations les plus fragiles. La nécessité d’avoir une ordonnance pour obtenir la gratuité entrait en conflit avec l’urgence de la situation et, surtout, l’efficacité de la contraception d’urgence.
Cette dernière est particulièrement efficace pour éviter une grossesse non désirée si elle est prise dans les 24 heures suivant le rapport. Or, et alors qu’obtenir un rendez-vous chez un médecin est de plus en plus compliqué, passer par la case « médecin » risquait de tarder la prise, voire de la rendre caduque. Une situation qui concernait tout particulièrement les plus fragiles qui se retrouvaient dans l’impossibilité de payer la pilule.
RépondreSupprimerhttps://www.economiematin.fr/news-pilule-lendemain-gratuite-annonce-sante-sexe
Après la 'chaise-électrique du lendemain', les pelotons d'exécution-du-lendemain, les faux-vaccins de l'aujourd'hui du Plan Dépopulation21 où la piqûre létale était administrée au plus cons, voici encore une affaire de cons où la pilule (même recette que pour la piqûre létale) stoppe NET toute possibilité d'avoir des enfants.
SupprimerPolio, Monkeypox, nouvelles zones chaudes de virus et vaccins sans fin
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Blog de Jon Rappoport
21 septembre 2022
Ce n'est pas fini
PAYSAGE PERMANENT DE L'OPÉRATION : Comment les planificateurs installent un présent et un futur de faux virus, d'injections mortelles d'ARN, de peur et d'esclavage médical pour la planète Terre
Dans le sillage de COVID, nous voyons déjà les technocrates pousser la variole du singe et la poliomyélite comme les prochaines épidémies.
Ils ont mis en place une bureaucratie nationale de TEST, également connue sous le nom de prophétie auto-réalisatrice, qui prétendra trouver des virus partout. À l'heure actuelle, leur cible NATIONALE est les EAUX D'ÉGOUT. Parfait pour verrouiller soudainement des communautés entières, des villes et même des États : « nous avons trouvé le virus dans le système d'évacuation des eaux usées ». Pan.
Ils sont comme des rats, ratissant les eaux usées pour ce qu'ils prétendent maintenant être une preuve du virus de la polio - et ils ne font que commencer. Ils vont explorer la terre, la mer, l'air et même l'espace extra-atmosphérique pour découvrir plus de virus.
Faux virus.
C'est pourquoi je refuse absolument d'arrêter de montrer que la virologie est une fausse science, un piège, un dispositif de contrôle de l'esprit et une machine de propagande sophistiquée. J'en parlerai dans le podcast.
Je discuterai également de la manière dont les mouvements sociaux d'élite qui semblent sans rapport alimentent en fait l'opération virus/ARN/vaccin. Le changement climatique, le racisme systémique, le transgenre, l'ouverture des frontières - ils fertilisent et élargissent le CONTRÔLE DES CARTELS MÉDICAUX. Il est essentiel de comprendre comment cela fonctionne.
Le vieil adage, TOUS LES CHEMINS MÈNENT À ROME ? Eh bien, aujourd'hui tous les chemins mènent à la ROME MÉDICALE.
J'ai mis en garde contre cela dès 1988. J'ai écrit et parlé abondamment à ce sujet : À long terme, le cartel médical est le cartel le plus dangereusement trompeur au monde.
Cette déclaration n'a jamais été aussi vraie qu'elle ne l'est en ce moment.
Les planificateurs se délectent de leurs opérations - pour bien plus que de l'argent et des profits pharmaceutiques. Ils sont après un stimulus-réponse pavlovien universel – dans lequel la majeure partie de la population humaine suit une route sombre de canulars de maladies virales et le traitement de ces canulars avec des «vaccins» génétiques toxiques, déchirants et mentalement invalidants. Je vais certainement en discuter dans le podcast.
Anthony Fauci n'était qu'un dictateur médical en fer blanc dans une longue lignée de dictateurs planifiés, mis en place pour utiliser «la religion de la science» pour imposer la tyrannie médicale et effacer la santé, la vitalité, l'énergie humaine et le bien-être.
Le handicap est la nouvelle norme. Je décrirai comment cette CONSTRUCTION SOCIALE ET CULTURELLE est la pointe de la lance visant au cœur de la liberté et du pouvoir individuels. Son but caché est la destruction par des traitements médicaux ciblés.
La technologie ARN, qui est à la base des principaux vaccins COVID, a été forcée de passer par le portail d'approbation réglementaire pour de très bonnes raisons. Je vais discuter de ces raisons.
Et enfin, je décrirai la vaste opération de propagande pour diffamer, discréditer, éradiquer de la mémoire et tuer le POUVOIR INDIVIDUEL. Cette opération est tissée dans la civilisation hyper-médicalisée dans laquelle nous vivons.
RépondreSupprimerReproduit avec la permission du blog de Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2022/09/jon-rappoport/polio-monkeypox-new-hot-zones-of-viruses-and-endless-vaccines/
Les groupes blessés par les vaccins sont réduits à parler en « carottes » 🥕. La BBC les attrape pour WrongSpeak, afin que Facebook puisse les fermer
RépondreSupprimerpar Jo Nova
September 21st, 2022
Will Jones, du Daily Skeptic, a remarqué que la BBC était très satisfaite d'avoir dobé sur les victimes du vaccin qui utilisaient des émojis carottes 🥕 comme code pour « vaccin » sur Facebook. Ressentez la puissance ! Quelque 250 000 personnes s'étaient réunies pour discuter de leurs blessures ou de la mort d'êtres chers sur Facebook, mais après que la BBC les a signalés, Facebook les a fermés. Bravo BBC. Nous ne voudrions pas que le riff raff ait une conversation non autorisée.
S'il y avait jamais un excellent exemple de la façon dont les médias financés par l'État deviendraient inévitablement une vérole communiste pour la nation, ce serait celui-là. Un quart de million de personnes trouvaient un certain réconfort à discuter de leurs souffrances et de leurs pertes sur Facebook. La BBC, bien sûr, devrait leur donner une voix – raconter leurs histoires – et faire savoir au monde que ces victimes sont tellement opprimées qu'elles doivent utiliser des codes de dessins animés au lieu de mots comme «vaccin» pour même avoir une conversation.
Si les victimes sont britanniques, elles paient probablement les frais de licence de la BBC et non seulement elles n'en ont pas pour leur argent, mais elles paient le salaire d'ignorants suffisants de la BBC pour les faire taire. Est-ce que Zoe Kleinman, anciennement "commissaire de la langue autorisée" de la BBC, se rend compte qu'elle vient de créer au moins 250 000 manifestants supplémentaires pour mettre fin aux frais de licence" ?
Les groupes anti-vax utilisent des émojis carottes 🥕🥕🥕🥕🥕pour masquer les publications Facebook
Par Zoe Kleinman, BBC
La BBC a vu plusieurs groupes, dont un avec des centaines de milliers de membres, dans lesquels l'emoji apparaît à la place du mot « vaccin ».
Les algorithmes de Facebook ont tendance à se concentrer sur les mots plutôt que sur les images.
Les groupes sont utilisés pour partager des allégations non vérifiées de personnes blessées ou tuées par des vaccins.
Une fois que la BBC a alerté la société mère de Facebook, Meta, les groupes ont été supprimés
85% DES AUTOMOBILISTES SE DÉPLACENT SEULS DANS LEUR VOITURE
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
21/09/2022
Paradoxalement, c'est lors des heures de pointe, en semaine, que le taux d'autosolisme atteint son maximum, à 87,2 %.
Malgré la flambée des prix des carburants, l’immense majorité des automobilistes français font le choix de se déplacer seuls dans leur voiture. Étonnement, cette pratique s’est même renforcée en 2022, apprend-on du 2e Baromètre de l’autosolisme réalisé par Vinci.
Le matin, seuls 14,8 % des voitures sur les autoroutes de France transportent plus d’un passager
On aurait pu croire que le covoiturage au quotidien se développait. Ces dernières années, les applications permettant la mise en relation entre automobilistes qui font à peu près le même trajet pour se rendre sur un même lieu de travail (ou bien à proximité) ont connu un essor spectaculaire. Certaines grandes entreprises ont même mis en place des solutions « maison » pour faciliter le covoiturage entre collègues.
Malgré cela, « l’autosolisme » (autrement dit le fait de se déplacer seul en voiture) reste très fort en France. En 2022, le concessionnaire autoroutier Vinci s’est encore employé à comptabiliser la proportion de voitures transportant une seule personne : elle était de 85,2 %.
L’autosolisme apparaît particulièrement répandu dans le sud de la France
En 2021 déjà, la première édition de cette étude montrait que les Français se déplacent très largement seuls dans leur voiture entre 8h00 et 9h00, pour les déplacements domicile-travail. Cette habitude s’est maintenue en 2022, la plage horaire 7h00-8h00 accueillant désormais encore plus d’automobilistes seuls dans leur voiture. « Le taux d’autosolisme est de 87 % entre 7h00 et 8h30, puis commence à décroître à partir de 8h30 pour atteindre 79 % à 10h00 », fait savoir Vinci.
S’agissant de la prépondérance régionale de l’autosolisme, le champion absolu est l’autoroute A11 à Nantes (98,6% des voitures transportent une seule personne). Viennent ensuite l’A10 à Tours (88,1%), l’A64 à Toulouse (88%), l’A709 à Montpellier (87,8%), l’A62 à Toulouse (86,8%), l’A63 à Biarritz (86,3%) et l’A10 à Bordeaux (85,4%).
https://www.economiematin.fr/news-autosolisme-covoiturage-seul-dans-voiture-automobilistes
Après quoi ils passeront au covéloage, puis au comarchapiedage, puis (si ce n'est déjà fait pour les inoculés) le cocerveauage.
SupprimerPasser de l'américaine 6 places à l'Isetta ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Isetta
LES DÉRIVES DU MARCHÉ DE L'ÉLECTRICITÉ
RépondreSupprimerpar JEAN-PIERRE RIOU
22/09/2022
Le prix de l'électricité va augmenter de 15 % le 1er février 2023.
La réindustrialisation de la France, dont la nécessité vient d’être mise en évidence par la crise sanitaire, se trouve significativement compromise par l’extrême vulnérabilité de son système électrique. En effet, notre pays se trouve particulièrement exposée à l’extrême volatilité d’un cours exponentiel du marché de gros du MWh. Et le prix devra en être payé, d’une manière ou d’une autre, par l’ensemble de la population, parallèlement à la perte d’un facteur de compétitivité essentiel pour notre industrie.
Il importe d’en comprendre les raisons, et principalement celles pour lesquelles ce cours n’a strictement rien à voir avec une quelconque dépendance française aux énergies fossiles, notamment au gaz russe, et encore moins avec le coût de notre production nucléaire.
Un marché du MWh volatile et strictement décorrélé du coût moyen de sa production.
Selon le gestionnaire du réseau (RTE)[1], en effet, : « Le marché de gros de l’électricité fonctionne de manière particulière car non seulement il s’agit d’un marché européen, mais on n’y raisonne pas en « prix moyen », mais en « prix marginal ». En clair : c’est le coût de la dernière centrale retenue pour satisfaire la consommation qui fait le prix pour toutes les autres. Qu’il soit issu d’un panneau solaire, d’un barrage hydraulique, d’une centrale nucléaire à gaz importe peu : tous les kilowattheures sont vendus selon la valeur du coût marginal. »
Les acteurs
Ainsi que le rappelle la Commission de régulation de l’énergie (CRE) [2]
Les acteurs qui interviennent sur ce marché de gros sont :
les producteurs d’électricité qui négocient et vendent la production de leurs centrales électriques ;
les fournisseurs d’électricité qui négocient et s’approvisionnent en électricité et la vendent ensuite aux clients finals pour leur consommation ;
les négociants qui achètent pour revendre (ou inversement) et favorisent ainsi la liquidité du marché ;
les opérateurs d’effacement qui valorisent la consommation évitée de leurs clients;
Ce marché fonctionne pour des livraisons à terme sur une période lointaine négociées en amont, ainsi que la veille pour le lendemain et jusqu’à une heure à l’avance sur la plateforme européenne. Puis le marché français permet des échanges jusqu’à 5 minutes avant la livraison.
La mission de RTE
RépondreSupprimerPour ajuster en temps réel l’offre à la demande, RTE dispose également de 1000MW de réserve rapide (RR) mobilisable en moins de 15 minutes et de 500MW de réserve complémentaire (RC) mobilisables en moins de 30 minutes, afin de faire face à la perte fortuite d’un gros groupe de production (1500MW).
Cette réserve d’ajustement peut consister en une réserve de puissance de production, ou d’effacement de consommation, notamment via des agrégateurs d’effacement.
Les acteurs de ce mécanisme d’ajustement doivent préalablement avoir répondu aux appels d’offre correspondant (AO RRRC).
En cas de défaillance de l’équilibre offre/demande, la loi permet enfin à RTE de recourir aux moyens exceptionnels que sont [3] : « le recours aux capacités interruptibles mentionnées à l'article L. 321-19 du code de l'énergie, l'appel aux gestes citoyens, la sollicitation des gestionnaires de réseaux de transport frontaliers hors mécanismes de marché, la dégradation des marges d'exploitation, la baisse de tension sur les réseaux, et en dernier recours le délestage de consommateurs ».
La loi sur la sécurité d’approvisionnement lui impose une durée moyenne de défaillance annuelle inférieure à trois heures [3].
Le couplage des marchés
Depuis 2006, le marché français a successivement été couplé avec celui de ses voisins européens. Vint quatre pays participent aujourd’hui à ce couplage, c'est-à-dire au calcul simultané des prix du marché et de leurs flux sur les interconnexions [4] via un seul algorithme partagé, appelé EUPHEMIA.
Auparavant, les capacités d’importation disponibles devaient être négociées en amont de l’achat d’électricité.
Le développement des interconnexions permet ainsi la convergence des prix dans les différents pays qui participent à ce marché, toute divergence révèlant l’engorgement de ces interconnexions. Dans son rapport de juillet 2018 [5] sur les interconnexions, la CRE explique en effet « Une interconnexion est gérée efficacement si elle est utilisée tant qu’il existe un différentiel de prix entre les deux pays qu’elle connecte. Une faible occurrence de la saturation d’une interconnexion implique alors un taux de convergence des prix important entre les deux places de marché. »
L’événement du 4 avril 2022
RépondreSupprimerLe 4 avril 2022, un concours exceptionnel de circonstances stigmatisait durablement la fragilité du système électrique français en portant le cours du MWh à 2987,78€/MWh à 8 heures du matin.
- voir graph sur site -
(Source RTE)
La CRE a publié un rapport [6] qui en analyse les causes :
Au froid exceptionnel en cette saison (nuit la plus froide pour un mois d’avril depuis 1947) et à la disponibilité dégradée du parc nucléaire, se sont notamment greffés une mauvaise anticipation des productions renouvelables et un engorgement fortuit de nos capacités d’importation depuis l’Allemagne en raison de la saturation du réseau par les flux d’une forte production éolienne en Allemagne du Nord, en direction du sud industriel allemand, dont des flux de boucles, ou « loop flows » [7], empruntent alors régulièrement le réseau des pays voisins en les fragilisant. Le rapport précise en effet : « Dès lors les capacités d’imports de la France dans la région CWE sont plus limitées en cas de forte production éolienne en Allemagne ». C’est-à-dire seulement 33597 MW de capacité d’import disponible depuis la Belgique et l’Allemagne, le 4 avril à 8 heures, contre une capacité moyenne disponible de 8364 MW. »
Entre 8 heures et 8 heures 30, RTE activait notamment des offres de réserve rapide à un tarif compris entre 2987,78 €/MWh et 3512 €/MWh [8].
Notons que le cours européen du MWh, alors plafonné à 3000€ a alors automatiquement été relevé à 4000€/MWh[9] dans l’ensemble des pays européens participant à ce marché, comme chaque fois que 60% du plafond est dépassé pendant 1 heure dans l’un d’eux.
Une production renouvelable supérieure à la prévision
Selon la CRE, « La faiblesse anticipée de la production éolienne a constitué un des éléments majeurs poussant les acteurs et RTE à mettre la journée du 4 avril 2022 sous alerte. En effet, environ 3,5 GW d’éolien était anticipé pour la pointe du matin contre 9 GW le vendredi précédent ».
Avec un surplus entre + 900MW à 8 heures et + 2000MW à 18 heures, le déséquilibre de la région France s’est alors révélé positif ce jour là, et la CRE précise « La baisse de production nucléaire au cours de la journée s’explique par l’ajustement à la baisse demandé par RTE de plusieurs groupes (Blayais 4, Tricastin 4, Saint Alban 1, Paluel 1, Penly 2, Nogent 2 et Cruas 2) ».
Le rapport ajoute que les difficultés auraient été plus importantes dans le cas d’une surestimation de la production.
RépondreSupprimerLa fébrilité des marchés
Dans son rapport sur les prix à terme pour l’année 2023 [10], la CRE considère que « Les prix à terme de l’électricité pour l’hiver 2022-2023 pour livraison en France sont extrêmement élevés et ne correspondent plus à une anticipation moyenne des prix spot telle que modélisée historiquement. Ils reflètent soit des anticipations de forte pénurie, soit une prime de risque élevée sur le marché de l’électricité français, et vraisemblablement la conjonction des deux. »
En première approche, les prix à terme sur les heures de pointe peuvent être modélisés avec les TAC (turbines à combustion) toujours marginales (et donc le prix horaire égal au coût variable d’une TAC gaz) ainsi qu’un certain nombre d’heures d’atteinte de plafond de prix (c’est-à-dire d’heures où la demande totale sur le marché journalier ne peut pas être satisfaite par les offres de vente, en France ou depuis l’étranger au travers des interconnexions) valorisées au prix plafond sur l’enchère journalière, actuellement à 4000 €/MWh … le nombre d’heures d’atteinte de plafond de prix anticipé par le marché en France est très important, de l’ordre de 200 heures sur chacun des trimestres Q4 2022 et Q1 2023»
Ce plafond de 4000 euros vient d’être atteint dans les pays baltes, faisant déjà annoncer son relèvement automatique à 5000 euros [11] au 20 septembre 2022.
Mais cette « spirale infernale, dénoncée par la CRE, pourrait prendre fin, selon les Echos [12], à la suite d’un accord entre le régulateur du marché (ACER) et la Commission européenne, permettant de maintenir le plafond à 4000€/MWh.
La dérogation ibérique
Le 8 juin 2022, la Commission européenne autorisait l’Espagne et le Portugal [13] à octroyer des aides d’État à leur production d’électricité, notamment en plafonnant le prix du gaz, en raison de la crise énergétique et compte tenu de « la capacité d'interconnexion limitée de la péninsule ibérique ». Cette mesure est supposée prendre fin le 31 mai 2023.
La capture d’écran ci-dessous des cours du MWh de septembre est édifiante à plus d’un titre.
- voir graph sur site -
(Source RTE)
En effet, elle montre, d’une part, la stricte convergence des cours un dimanche à une heure de faible consommation, lors de laquelle les interconnexions ont peu de raisons d’être saturées, et d’autre part, le fait que ces cours semblent compatibles avec le coût marginal de la dernière centrale appelée (TAC à gaz). L’ampleur du décrochement permanent de l’Espagne et du Portugal semblant également compatible avec l’aide d’État sur le gaz qui en a évité le triplement du prix en 1 an [14].
RépondreSupprimerCe MWh à 295 euros correspond également à l’envolée du prix du carbone [15], multiplié par 6 en 2 ans, qui grève d’autant le coût de cette dernière centrale appelée.
Mais ce cours est sans le moindre rapport avec le coût du MWh nucléaire dont EDF a l’obligation de céder 120 TWh à ses concurrents au tarif (ARENH) de 46,2€/MWh [16] et, par conséquent, aucun rapport avec la compétitivité de son parc de production. La dernière centrale appelée, qui établit le cours du marché, ne se situant d’ailleurs généralement même pas sur le territoire français.
Selon Le Monde [17], le MWh s’échangerait déjà à plus de 1600 euros pour une livraison en France en décembre prochain.
Soit une augmentation bien supérieure à 1000% en un an.
Conclusion
Misant sur la pensée dominante, qui prônait à la fois la sortie du nucléaire et du charbon, parallèlement à une réduction de la consommation d’énergie, la France a réduit sa capacité de production pilotable de presque 10% en 10 ans, passant de 117,716 MW installés en 2012 à 107,232 MW aujourd’hui [18], selon les bilans annuels de RTE, tandis que cette puissance pilotable européenne restait quasi stable [18], avec 1467 MW (fossile, hydraulique, géothermie et nucléaire) en 2012 et 1508 MW en 2020.
C’est cette absence de marge qui entraîne aujourd’hui le cours du MWh français dans la spirale infernale des achats « à tout prix », c'est-à-dire au prix plafond, lui-même chaque fois repoussé.
La politique énergétique demande une vision de long terme.
Et il n’est pas acceptable qu’au nom de l’urgence climatique on tente aujourd’hui de se dédouaner des erreurs passées en reportant la faute sur une insuffisance d’énergies renouvelables, encore dans l’air du temps mais ô combien aléatoires, afin de minimiser l’importance de l’effort à fournir dans le renouveau de notre parc pilotable.
Car c’est en fonction des tensions sur le réseau que la France a besoin de pouvoir programmer son parc de production, et non en fonction des aléas de production renouvelable qu’elle devrait moduler sa puissance pilotable.
En 2007 déjà, l’ASN avertissait [19] de la nécessité de marges de production suffisantes pour pouvoir « décider sereinement de la mise à l’arrêt de réacteurs dont le niveau de sûreté ne serait pas jugé acceptable par l’ASN, que ce soit à l’occasion d’une réexamen de sûreté ou de tout autre motif, (…) afin d’éviter l’apparition d’une situation où les impératifs de sûreté nucléaire et d’approvisionnement énergétique seraient en concurrence. »
Les dogmes ne sont plus de mise. Un audit indépendant est indispensable pour éclairer toute vision de long terme sur la réalité des limites technico-financières du renouveau de notre parc de production d’électricité.
RépondreSupprimer1 https://www.rte-france.com/actualites/prix-electricite-fait-fluctuer-marche-facture
2 https://www.cre.fr/Electricite/Marche-de-gros-de-l-electricite/presentation-du-marche-de-gros-de-l-electricite
3 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046180401
4 https://www.epexspot.com/en/couplage-des-marches
5 https://www.cre.fr/Documents/Publications/Rapports-thematiques/Rapport-interconnexions-2018
6 https://www.cre.fr/Documents/Publications/Rapports-thematiques/analyse-et-enseignements-sur-le-pic-de-prix-sur-l-enchere-journaliere-pour-le-4-avril-2022
7 https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/leurope-sous-tension/
8 https://www.services-rte.com/fr/visualisez-les-donnees-publiees-par-rte/equilibrage.html
9 https://www.cre.fr/Actualites/preparation-de-l-hiver-prochain-la-cre-appelle-a-reviser-l-automaticite-du-relevement-du-plafond-de-prix-du-marche-de-gros-de-l-electricite
10 https://www.cre.fr/Documents/Publications/Rapports-thematiques/les-prix-a-terme-de-l-electricite-pour-l-hiver-2022-2023-et-l-annee-2023
11 https://www.montelnews.com/fr/news/1345067/%C3%A9lectricit--le-plafond-passe-%C3%A0-eur-5-000-le-20-septembre
12 https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/leurope-plafonne-le-prix-du-marche-de-lelectricite-pour-enrayer-une-spirale-infernale-1787710
13 https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/IP_22_3550
14 https://www.boursorama.com/bourse/matieres-premieres/cours/_NG/
15 https://energiesdev.fr/prix-carbone-co2/
16 https://www.cre.fr/Actualites/volumes-d-arenh-supplementaires-pour-limiter-la-hausse-des-prix-de-l-electricite
17 https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/08/26/le-prix-de-gros-de-l-electricite-en-france-depasse-1-000-euros-le-megawattheure-contre-85-euros-il-y-a-un-an_6139111_3244.html
18 http://lemontchampot.blogspot.com/2020/05/intermittence-et-charbon.html
19 http://lemontchampot.blogspot.com/2021/12/la-prophetie-de-monsieur-lacoste.html
https://www.economiematin.fr/news-marche-electricite-derive-monde-prix-analyse-riou
LE TRAVAIL DES ENFANTS ET DES ADULTES... SELON VICTOR HUGO, MIEUX QUE ROUSSEAU !!
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
21/09/2022
Le taux de chômage du deuxième trimestre en France atteint 7,4 % de la population active.
Il y a Sandrine Rousseau, et il y a Victor Hugo. N’imaginez pas qu’en disant cela je critique Sandrine Rousseau. Loin de là. Je dis juste qu’il y a des géants de la littérature, des géants de la réflexion, des géants de l’intelligence, et lorsque nous débattons, lorsque nous voulons penser, ou lorsque nous nous croyons « très forts » il est important de se pencher sur certains textes de nos ainés afin de mettre les choses en perspectives.
Melancholia est un poème de Victor Hugo, écrit en juillet 1838 à Paris et paru en 1856 dans le recueil Les Contemplations.
Dans ce poème en alexandrins, Victor Hugo dénonce le travail dur et pénible des enfants. On compare souvent ce poème aux Misérables, car Victor Hugo y dénonce les conditions de travail et de vie de son époque.
Bien loin du privilège « blanc » tant dénoncé par Sandrine Rousseau, le travail dans certaines dérives peut évidemment non seulement se discuter mais même se combattre, et pourtant, il fait aussi grandir l’homme et l’élève.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?
Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules ;
Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d’une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer.
Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,
Notre Père, voyez ce que nous font les hommes ! »
Ô servitude infâme imposée à l’enfant !
Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant
Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, œuvre insensée,
La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée,
Et qui ferait — c’est là son fruit le plus certain —
D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin !
Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre,
Qui produit la richesse en créant la misère,
Qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil !
Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? Que veut-il ? »
Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme,
Une âme à la machine et la retire à l’homme !
Que ce travail, haï des mères, soit maudit !
Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit,
Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème !
Ô Dieu ! qu’il soit maudit au nom du travail même,
Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux,
Qui fait le peuple libre et qui rend l’homme heureux !
Le travail c’est le fait de participer à la société, à la création et à l’évolution. Le travail, n’est pas uniquement « marchand », et tous nos bénévoles qui font tourner tant d’associations « travaillent ». Ils travaillent d’ailleurs souvent à aider leurs prochains. Le travail fait grandir, rend utile, donne du sens, et l’oisiveté est un vice. L’oisiveté ne procure aucun bonheur, aucune réalisation, aucun épanouissement. On aime les vacances qu’en miroir d’une année de travail, et les mets délicats parce que nous les mangeons rarement. La paresse n’est pas un droit. C’est au mieux un défaut, au pire un vice.
RépondreSupprimerIl est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/news-travail-enfant-adultes-analyse-politique-sannat
Nous ne sommes pas en Afrique ou en Asie mais de partout dans l'agriculture un enfant travaille dès qu'il sait marcher. Il va couper de l'herbe pour les lapins, puis va ramasser des tomates et faire x travaux sans forcer. Il va s'épanouir alors qu'à l'école il rencontrera des élèves de la ville qui ne savent rien faire. Rien faire à 8 ans, rien faire à 10 ans, comme à 14 ou à 20 !
SupprimerSoylent Green : la Californie légalise le compostage des HUMAINS
RépondreSupprimerMercredi 21 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le gouverneur Gavin Newsom de Californie vient de promulguer une nouvelle législation permettant aux cadavres dans tout l'État d'être compostés au lieu d'être enterrés ou incinérés.
Jusqu'à présent, le Golden State, comme la plupart des États et le reste du monde, n'autorisait que l'inhumation ou l'incinération des restes humains décédés. Maintenant, il y a la possibilité de transformer les morts en engrais pour le sol. (Connexe: L'État de Washington a légalisé le compostage humain en 2019.)
Le projet de loi 351 de l'Assemblée autorise explicitement la "réduction organique naturelle" (NOR), comme ils l'appellent, à partir de 2027. Jusque-là, les cadavres en Californie devront toujours être enterrés ou incinérés.
Le processus NOR consiste à placer les restes humains dans un récipient réutilisable et à l'entourer de copeaux de bois, ce qui lui permet de s'aérer pour la croissance microbienne et bactérienne. Après environ un mois, tout ce qui reste est de la « terre ».
Comme d'habitude, l'excuse pour avoir besoin de transformer des humains décédés en Soylent Green est que la planète, en proie au «réchauffement», nous dit-on, est lésée par l'enterrement et la crémation.
"Contrairement à la crémation, le processus évite la combustion de combustibles fossiles et l'émission de monoxyde de carbone", affirme la porte de San Francisco. "National Geographic estime que les crémations aux États-Unis émettent à elles seules environ 360 000 tonnes métriques de dioxyde de carbone par an."
La membre corrompue de l'Assemblée Cristina Garcia derrière la législation sur le compostage humain (parmi de nombreux autres projets de loi controversés)
Une autre excuse est que la pandémie de Covid-19 a révélé des problèmes avec les lois existantes, car les salons funéraires ont été submergés de cadavres nécessitant l'une des deux autres options d'élimination.
"AB 351 fournira une option supplémentaire pour les résidents de Californie qui est plus respectueuse de l'environnement et leur donne un autre choix pour l'inhumation", a déclaré la membre de l'Assemblée Cristina Garcia, qui soutient l'idée que la crémation et l'inhumation nuisent au climat.
"Le changement climatique et l'élévation du niveau de la mer étant des menaces très réelles pour notre environnement, il s'agit d'une méthode alternative d'élimination finale qui ne contribuera pas aux émissions dans notre atmosphère."
Dans un tweet, Garcia a suggéré que l'incinération ou l'enterrement d'humains contribuait aux "feux de forêt, à la sécheresse extrême, (et) aux vagues de chaleur record".
"... le changement climatique est réel et nous devons faire tout notre possible pour réduire les émissions de méthane et de CO2", a-t-elle ajouté, prétendant savoir de quoi elle parle.
Garcia a la réputation en Californie de pousser toutes les saveurs de la législation bizarre, anti-science, anti-blanche et anti-décence sur la société. Elle était derrière la tristement célèbre "allée non binaire" de Target ; elle a au moins partiellement inventé l'expression «pauvreté d'époque»; et elle est bien connue pour être l'un des membres les plus corrompus de l'Assemblée de Californie.
"Après avoir prétendument défendu l'ensemble de #MeToo à l'Assemblée de Californie en 2018, elle a été accusée de harcèlement sexuel, ainsi que de commentaires racistes", rapporte Red State.
"Tout à fait le package, et totalement sur la marque pour le visage de la supermajorité démocrate."
Garcia est originaire du 58e district de Californie, situé entre South Gate et Santa Fe Springs dans la région de Los Angeles en Californie du Sud. Jennifer Oliver O'Connell de Red State décrit ce domaine particulier comme étant :
"... une partie du couloir infâme de la corruption - les élus et les bureaucrates au sein des services publics en font une forme d'art de violer les contribuables tout en plumant leurs nids."
RépondreSupprimer"Alors, pariez vos dollars sur des beignets que si nous fouillons dans les dossiers financiers de Recompense, ou de toute autre entreprise qui s'occupera de ce nouveau gâchis, nous trouverons probablement les mains sales de Garcia partout", ajoute O'Connell.
Au Colorado, la « terre » compostée par l'homme ne peut légalement être utilisée pour cultiver des aliments destinés à la consommation humaine – bien qu'elle puisse toujours être utilisée pour les animaux. En Californie, l'AB 351 n'interdit pas explicitement la vente de terre compostée humaine destinée à la culture d'aliments destinés à la consommation humaine.
Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur Twisted.news.
Les sources de cet article incluent :
RedState.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-21-soylent-green-california-legalizes-composting-humans.html
Après les poubelles bleues, vertes, jaunes, rouges voici les noires pour les cadavres !
SupprimerLa crise alimentaire se poursuit : la prochaine récolte américaine devrait être la plus décevante depuis des années
RépondreSupprimermercredi 21 septembre 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) La récolte à venir aux États-Unis devrait être la plus décevante du pays depuis des années, ce qui fait craindre que l'approvisionnement alimentaire américain reste tendu et que les prix alimentaires continuent d'augmenter.
Les cadres supérieurs de certaines des plus grandes entreprises agroalimentaires et agro-alimentaires américaines telles que Bayer, Corteva, Archer Daniels Midland et Bunge ont averti que les approvisionnements mondiaux en récoltes restent limités en raison des conditions de sécheresse persistantes aux États-Unis et d'autres poids lourds agricoles comme les pays d'Amérique du Sud. Les incertitudes concernant la production agricole dans l'Ukraine touchée par le conflit rendent également la situation précaire.
Les températures élevées et les conditions de sécheresse ont affecté la qualité des cultures dans tout l'ouest des États-Unis et les grandes plaines. Dans des endroits comme le Kansas, le Nebraska et l'Oklahoma, les vagues de chaleur ont frappé à un moment où les cultures de maïs nécessitaient le plus d'eau, entraînant de nombreuses pertes de rendement.
"Il semble qu'une grande partie de la ceinture de maïs, à mon avis, va faire face à des précipitations inférieures à la normale, nous envisageons donc une récolte plus sèche", a déclaré Ryan Martin, météorologue agricole de l'Indiana. "De la mi-septembre à la fin octobre, je pense que nous allons envisager des précipitations inférieures à la normale."
Martin a ajouté que certaines parties du Minnesota, du Wisconsin, du Michigan et du nord des Grands Lacs pourraient connaître davantage de précipitations. Mais pour les régions des plaines du centre et du sud, les conditions de sécheresse persisteront probablement et elles recevront des "précipitations bien inférieures à la normale".
«Nous avons déjà vu du blé saupoudré dans certaines parties du Kansas et de l'Oklahoma. Pour l'instant, rien ne peut changer cela », a déclaré Martin. "Et quand les pluies arrivent, les systèmes ne sont pas trop chargés d'humidité, donc nous voyons un peu d'humidité, mais si vous obtenez un demi-pouce et si vous avez besoin d'un pouce et demi [de précipitations] ou plus pour retrouver le profil du sol, cela ne se produira tout simplement pas et ne fonctionnera pas.
RépondreSupprimerL'Amérique a besoin d'au moins deux ans de bonnes récoltes pour revenir à la normale
Les experts en agriculture avertissent qu'il faudra au moins deux ans de bonnes récoltes en Amérique du Nord et du Sud pour atténuer les fortes pressions sur les approvisionnements alimentaires mondiaux et les prix des denrées alimentaires. (En relation: l'inflation alimentaire en août a bondi de 11,4%, mais les experts préviennent que le pire reste à venir.)
"En ce qui concerne la situation de l'approvisionnement alimentaire mondial, je pense que les choses vont continuer à être tendues pour le moment", a averti Werner Baumann, PDG de Bayer.
Le 12 septembre, le département américain de l'Agriculture a publié une déclaration abaissant son estimation de la production nationale de maïs à seulement 13,9 milliards de boisseaux, soit 3 % de moins que sa projection du mois dernier et 8 % de moins que le total de la récolte de 2021. Les estimations de la production de soja sont également en baisse de 3 % par rapport à une projection record en août. L'estimation actuelle est également inférieure à la récolte totale de l'an dernier.
La société de conseil en agriculture Professional Farmers of America a également réduit ses perspectives de rendements de maïs de 13 % au Nebraska et de 22 % dans le Dakota du Sud.
Chuck Magro, directeur général du producteur de semences et de pesticides Corteva, a noté que la récolte de maïs de cette année devrait actuellement être bien inférieure aux rendements récents en Amérique du Nord et en Europe, ce qui entrave la capacité du monde à réapprovisionner les réserves mondiales de maïs.
« L'attente actuelle du marché est que les marchés mondiaux des céréales et des oléagineux ont besoin de deux années de récolte normales consécutives pour stabiliser les approvisionnements mondiaux », a déclaré Magro.
Les marchés ont déjà réagi à la possibilité que les approvisionnements alimentaires restent limités. Les prix à terme du blé au Chicago Board of Trade ont déjà augmenté de 17 % en glissement annuel, et les prix du maïs ont déjà augmenté de 28 % et le soja d'environ 14 % par rapport à l'année dernière.
En savoir plus sur l'état de l'approvisionnement alimentaire américain sur FoodSupply.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, tire la sonnette d'alarme face au nombre croissant de mauvaises récoltes dans le monde.
Ceci provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
Articles plus connexes :
RépondreSupprimerFAMINE À VENIR : Les prix élevés des engrais pourraient faire chuter la production mondiale de céréales de 40 %.
EFFONDREMENT ALIMENTAIRE : La sécheresse continue de la Californie a laissé plus d'un demi-million d'acres de terres agricoles non plantées.
Approvisionnement alimentaire en danger : La qualité des cultures de maïs et de soja dans le Dakota du Sud et l'Ohio se détériore en raison de l'aggravation de la sécheresse.
Effondrement du maïs : seulement 57 % de la récolte de maïs aux États-Unis est en bon ou en excellent état.
Les prix des pommes de terre augmentent alors que les rendements des cultures de l'Idaho chutent en raison de la canicule.
Sources include:
WSJ.com
KMALand.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-21-food-supply-crisis-us-harvest-most-disappointing.html
Les prix des engrais azotés devraient augmenter - et le coût du gaz naturel n'est plus le seul facteur
RépondreSupprimermercredi 21 septembre 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le prix des engrais azotés devrait continuer à augmenter cet automne. Les analystes ont noté que le coût du gaz naturel, un élément clé dans la production d'engrais azotés, n'est plus le seul moteur des prix élevés.
L'engrais azoté est un ingrédient nécessaire pour de nombreux agriculteurs dans le monde pour obtenir des rendements élevés. Depuis le début de la flambée des prix des engrais au début de cette année, les agriculteurs du monde entier ont du mal à en acheter suffisamment pour maintenir les rendements des cultures à un niveau élevé. (Connexe: FAMINE AHEAD: Les prix élevés des engrais pourraient faire chuter la production mondiale de céréales de 40%.)
Dans la ceinture de maïs américaine, le prix de l'ammoniac des engrais azotés courants a augmenté de près de 24% depuis septembre 2020. Le coût moyen dans la région est actuellement d'environ 1 300 dollars la tonne. Contre environ 330 $ la tonne en septembre 2020 et 670 $ la tonne en septembre 2021.
Les prix ont culminé au printemps plus tôt cette année à environ 1 550 dollars la tonne avant de tomber à 950 dollars la tonne en juillet. Depuis, les prix n'ont fait qu'augmenter.
Dans le Missouri, un détaillant a noté qu'il en coûte actuellement environ 1 325 $ pour acheter une tonne d'engrais à base d'ammoniac anhydre. Dans l'Iowa, un détaillant a déclaré qu'il en coûtait 1 400 $ la tonne pour acheter le même type d'engrais.
En Europe, le coût des engrais à base de carbamide ou d'urée a déjà grimpé à près de 1 000 dollars la tonne métrique (1,1 tonne) et pourrait dépasser les 2 000 dollars, voire 3 000 dollars d'ici la fin de l'année.
"Dans le contexte du coût élevé du gaz naturel, il ne faut pas s'attendre à une baisse des prix du carbamide et d'autres types d'engrais azotés en Europe", a noté Leonid Khazanov, un analyste russe indépendant.
La hausse du coût du maïs affectera probablement le prix de l'engrais azoté
RépondreSupprimerMais malgré ce que croit Khazanov, d'autres analystes ont noté que les prix du gaz naturel ne sont plus le seul moteur des coûts des engrais azotés.
"Historiquement, nous aurions pu penser que les engrais étaient principalement un intrant énergétique", a déclaré Brad Lubben, expert en économie agricole à l'Université du Nebraska-Lincoln (UNL). « L'énergie détermine le coût des engrais, mais la production aussi, tout comme le prix du maïs. Il en va de même pour les chocs d'approvisionnement à l'étranger en termes de fournisseurs étrangers. Il en va de même pour les chocs énergétiques actuels en Europe, qui soulèvent toutes sortes de questions sur l'approvisionnement et la disponibilité du gaz naturel en hiver, ainsi que sur les transports et tout ce que nous voyons se passer ici avec les défis que nous voyons aujourd'hui.
"La volatilité est quelque chose que les producteurs vont devoir gérer", a-t-il conclu.
D'autres analystes ont convenu que le prix du maïs pourrait être considéré comme un moteur majeur du prix des engrais azotés. Cory Walters, un autre économiste agricole de l'UNL, a convenu que le prix du maïs est l'un des facteurs en jeu.
« Les prix du maïs remontent. Vous avez des problèmes en Europe. Vous avez des tarifs. Vous avez des frais de transport », a-t-il déclaré. "Tout dans tous les domaines conduit à ce niveau de prix et à ce niveau de volatilité, et je m'attends à plus de cela à l'avenir alors que nous entrons dans l'automne et l'hiver."
Le coût moyen de la culture de denrées alimentaires aux États-Unis est en passe de bondir de 18 %, la plus forte augmentation jamais enregistrée, une grande partie de la hausse étant attribuée au prix des engrais. Malheureusement, cette augmentation crée une boucle de rétroaction en raison du lien entre le prix du maïs et le prix des engrais azotés, et les agriculteurs du monde entier pourraient voir les prix continuer à augmenter jusqu'à ce que quelque chose change.
En savoir plus sur la crise des engrais sur FertilizerWatch.com.
Regardez ce court clip du président russe Vladimir Poutine expliquant comment l'Occident bloque les efforts de son pays pour donner des engrais aux pays à faible revenu qui en ont vraiment besoin.
Cette vidéo provient de la chaîne Contrarian sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
RépondreSupprimerÉnergie verte GÉNOCIDE : Sans combustible fossile, il n'y aura plus d'engrais pour faire pousser de la nourriture.
Les Nations Unies SUPPRIMENT la Russie d'exporter des engrais afin que les pays occidentaux ne subissent pas une aggravation de l'effondrement alimentaire.
Préparez-vous à de graves pénuries alimentaires alors que la plupart des productions d'engrais en Europe sont déconnectées.
Deux autres usines d'engrais en Europe ont fermé en raison des prix élevés du gaz - pas d'énergie, pas de nourriture.
L'un des plus grands producteurs d'engrais au monde, Yara (en Norvège), réduit sa production en raison de la flambée des prix du gaz naturel.
Sources include:
AgWeb.com
Bloomberg.com
World-Grain.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-21-nitrogen-fertilizer-price-increase-natural-gas.html
Plum Island refait surface: des programmes de recherche secrets dirigés par l'USDA, le DoD et le DHS conçoivent des armes biologiques agricoles pour affamer les nations jusqu'à l'effondrement
RépondreSupprimermercredi 21 septembre 2022
par : Mike Adams
(Natural News) Le département américain de l'agriculture (USDA) est activement impliqué dans la conception d'armes biologiques depuis des décennies. Bien avant que Fauci et le NIH ne financent le développement d'armes biologiques à gain de fonction avec l'Armée populaire de libération à Wuhan, en Chine, l'USDA dirigeait une installation d'armes biologiques sur Plum Island chargée de rechercher des armes agricoles pouvant être utilisées pour attaquer et détruire le l'approvisionnement alimentaire des nations ennemies. (Cuba et l'ex-Union soviétique étaient considérés comme des cibles probables.)
Dans un article explosif publié par l'agence de presse Xinhua en 2021, l'auteur, chercheur et professeur de journalisme Karl Grossman allègue que la maladie de Lyme était l'une des nombreuses armes biologiques produites dans ce laboratoire financé par le gouvernement américain, à l'origine composé de scientifiques nazis qui ont été amenés aux États-Unis sous Operation Paperclip, un programme qui a vu le gouvernement américain recruter d'anciens scientifiques nazis pour travailler dans des domaines comme la fusée (NASA), la médecine et l'informatique. De cette histoire:
Le « parrain » du laboratoire de Plum Island était un expert nazi en armes biologiques, Erich Traub, qui a été amené aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale.
"Pendant la Seconde Guerre mondiale, Traub dirigeait un laboratoire secret de guerre biologique nazi dans la Baltique sur une île appelée Riems, avec pour mission d'empoisonner le bétail en Union soviétique. De plus, Traub avait une certaine familiarité avec la région de New York avant la Seconde Guerre mondiale. Il a également été impliqué dans les activités nazies sur Long Island », a noté Grossman.
"Il y avait une base militaire sur l'île à cette époque pendant plus de 50 ans, qui s'appelait Fort Terry. Ainsi, cette idée était de faire en sorte que ce laboratoire fasse de la guerre biologique », a-t-il déclaré, notant que le laboratoire a ensuite été repris par le département américain de l'agriculture (USDA).
Cette installation de laboratoire d'armes biologiques, lancée par des scientifiques nazis et remise plus tard à l'USDA, était impliquée dans des armes biologiques agricoles qui pourraient être utilisées pour attaquer l'Union soviétique et d'autres nations :
"En 1993, un journaliste d'investigation pour Newsday, John McDonald, a pu obtenir des documents, dont un document qui a été réimprimé en première page de Newsday", a-t-il déclaré.
"Ce document indiquait que la mission de Plum Island serait en fait de développer des armes de guerre biologique qui seraient utilisées pour empoisonner le bétail et d'autres animaux d'élevage dans l'ex-Union soviétique", a-t-il ajouté.
Grossman poursuit en révélant qu'un guide touristique de l'USDA lui a admis que l'installation de Plum Island était effectivement impliquée dans la recherche sur la guerre biologique, mais l'agence a affirmé qu'il s'agissait d'une recherche "défensive". C'est la même excuse actuellement utilisée par Fauci et le NIH lorsqu'il s'agit de financer la recherche sur le gain de fonction du SRAS-CoV-2 à Wuhan
Un rapport du GAO de 2005 confirme la collusion entre le DHS et l'USDA sur les agents pathogènes pouvant être transformés en armes biologiques agricoles
RépondreSupprimerDans son interview, Grossman cite un rapport du GAO de 2005 qui, explique-t-il, fait référence à des agents pathogènes qui peuvent être transformés en armes biologiques agricoles. Nous avons confirmé l'existence de ce rapport sur le site Web GAO.gov (remarquablement, il n'a pas encore été effacé).
Le rapport est intitulé "Plum Island Animal Disease Center : le DHS et l'USDA coordonnent avec succès les travaux actuels, mais les plans à long terme sont en cours d'évaluation".
Le document est indexé « GAO-06-132 » et peut être trouvé à ce lien :
https://www.gao.gov/products/gao-06-132
Le texte intégral de ce document de recherche, disponible à ce lien sur les serveurs du GAO, confirme tout ce qui suit :
L'USDA a dirigé le centre de recherche sur les armes biologiques de Plum Island jusqu'en juin 2003.
À cette époque, les opérations ont été transférées au Département de la sécurité intérieure (DHS), confirmant que ses recherches avaient des implications sur la sécurité nationale.
Actuellement, l'USDA et le DHS collaborent à la recherche sur les armes biologiques dans l'établissement, sous le prétexte d'étudier les «maladies animales étrangères».
Le DHS y finance toutes les opérations. D'après le rapport du GAO : "Le DHS est désormais responsable de tous les coûts associés à l'exploitation et à l'entretien de Plum Island."
Le DHS travaillait au début des années 2000 pour agrandir l'installation afin de gérer les menaces de "biosécurité plus élevée". Plus précisément, ils ont cherché à agrandir l'installation de Plum Island pour "permettre l'étude d'autres virus hautement contagieux chez les grands animaux, tels que le virus Nipah, qui affecte les porcs et peut également être mortel pour les humains".
La fièvre de la vallée du Rift faisait également l'objet de recherches dans les installations de Plum Island. D'après le rapport : "Les recherches menées en dehors de Plum Island sur le virus Nipah et la fièvre de la vallée du Rift sont très limitées."
L'USDA, le DHS et le GAO savaient tous que le virus Nipah et la fièvre de la vallée du Rift pouvaient être déployés contre les populations humaines et les économies modernes pour provoquer des perturbations économiques et alimentaires importantes. D'après le rapport : « Le virus Nipah et la fièvre de la vallée du Rift… qui affectent à la fois les humains et le bétail, comme justifiant une plus grande attention car une épidémie pourrait entraîner une perturbation économique ou interférer avec le commerce.
Tout comme Fauci a utilisé le NIAID et la «recherche défensive» comme couverture pour le développement à gain de fonction d'une arme biologique covid qui a été déchaînée sur l'Amérique (suivie par l'arme biologique vaccinale qui est une attaque beaucoup plus agressive contre l'infertilité et le dépeuplement), nous croyons que l'USDA a utilisé le scénario des « maladies animales étrangères » comme couverture pour sa poursuite d'armes biologiques agricoles mortelles qui pourraient être utilisées pour dévaster l'approvisionnement alimentaire d'une nation. Dans le cas de la maladie de Lyme, une telle arme pourrait même attaquer les humains et leur injecter des agents pathogènes toxiques.
RépondreSupprimerL'USDA semble maintenant lâcher des armes biologiques sur l'Amérique
Alors que vous réfléchissez à cette véritable histoire de l'USDA, rappelez-vous que la même agence utilise actuellement une flotte d'hélicoptères pour bombarder 13 États américains avec des appâts alimentaires toxiques "vaccin contre la rage". Il est fabriqué avec un vaccin répertorié comme "dangereux pour la santé" s'il est "ingéré", ce qui indique qu'il s'agit en fait d'une arme biologique promue par l'USDA déployée contre les États-Unis plutôt que contre l'ancienne Union soviétique.
Plus probablement, l'USDA répand actuellement des armes biologiques de type rage à travers les États-Unis, en utilisant une flotte d'hélicoptères et de véhicules pour lancer ces "vaccins" sur les routes, y compris celles des zones urbaines (ce qui n'a aucun sens puisqu'il n'y a pratiquement pas d'animaux sauvages dans zones urbaines).
Dans notre couverture d'hier, nous avons documenté comment ce soi-disant « vaccins oraux contre la rage » est répertorié comme « Potentiellement dangereux pour la santé en cas d'ingestion ». Vous pouvez le voir directement sur la feuille à ce lien du site Web du fabricant.
Cette même feuille dit très clairement : « Tout le monde devrait éviter tout contact » avec ce soi-disant vaccin contre la rage, mais il est jeté sans discernement sur les routes et les zones fauniques de 13 États américains. Cet article de DailyPress.com confirme que ces paquets d'appâts toxiques sont jetés depuis des véhicules dans les zones urbaines, ce qui signifie que l'USDA embauche littéralement des gens pour conduire dans les villes américaines et déverser du poison antirabique toxique dans les rues américaines. Cela ressemble à quelque chose qu'ils auraient pu faire autrefois à l'Union soviétique comme une attaque aux armes biologiques, mais maintenant ils le font en Amérique.
Pourtant, nous sommes censés croire que l'USDA se soucie tellement des ratons laveurs qu'elle louerait des flottes d'hélicoptères et de véhicules juste pour protéger ces ratons laveurs d'un agent pathogène.
C'est la même agence qui approuve les cultures génétiquement modifiées et les pesticides et herbicides chimiques mortels qui saturent maintenant l'approvisionnement alimentaire américain. Sur la base de son histoire et de ses actions, l'USDA devrait être appelée "l'Agence de la mort des États-Unis".
RépondreSupprimerGrâce à la fraude et à la tromperie du COVID, les institutions de la "science" et des maladies infectieuses ont prouvé qu'on ne peut pas leur faire confiance
L'énorme avantage de tout cela est que la pandémie de covid a démontré de manière exhaustive comment on ne peut jamais faire confiance aux soi-disant institutions scientifiques pour dire la vérité sur les véritables motivations derrière leur recherche sur les maladies infectieuses. Chaque fois qu'ils prétendent faire des recherches «défensives» sur des armes biologiques ou des agents pathogènes mortels, ils mènent en fait des recherches offensives en collaboration avec le DoD ou le DHS.
D'où toute l'existence d'installations d'armes biologiques financées par le Pentagone en Ukraine. Et l'Afrique aussi.
Rappelez-vous, chaque fois que Fauci nous a dit qu'il n'approuvait pas le financement de la recherche sur le gain de fonction sur le covid, il mentait. Lorsque l'USDA dit qu'ils recherchent des solutions défensives pour les menaces biologiques pour le bétail, ils mentent aussi.
L'USDA est la même agence qui a incinéré des chatons dans des fours après avoir mené des recherches cruelles sur eux. Nous avons couvert cette histoire en 2018, et l'USDA n'a jamais nié avoir mené ces activités. Faites-vous confiance à l'éthique et à la moralité d'une agence gouvernementale qui incinère les chatons dans des fours ?
L'USDA, tout comme le NIH, le NIAID, le CDC et la FDA, a pour mission de nuire à l'humanité en développant et en déployant des armes biologiques par le biais de multiples vecteurs, notamment la nourriture, la faune, le génie génétique et les vaccins. Aucune agence fédérale ne combine autant d'horreurs sous un même toit, et aucune autre agence ne s'aligne aussi parfaitement sur les programmes lucifériens de souffrance et de mort massives. Voir USDAwatch.com pour plus d'informations sur l'empoisonnement massif de l'Amérique par l'USDA.
Découvrez le reste de cette histoire vraie époustouflante dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui :
RépondreSupprimerBrighteon.com/a537a3a8-6cde-4547-aa65-81985d5e91fd
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En France depuis plusieurs années sont vendus des terreaux véreux, des terreaux où aucune graine ne peut germer et pousser ! Des terreaux qui font crever les plantes !
SupprimerSeule solution: Faire comme avant. Avant, les paysans qui voulaient faire des semis tamisaient la terre puis semaient dans cette terre fine. C'est tout !
Ne croyez pas le battage médiatique sur la fonte des glaciers de l'Antarctique
RépondreSupprimermercredi 21 septembre 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Des rapports alarmants selon lesquels la calotte glaciaire de l'Antarctique se rétrécit déforment la science en cours pour comprendre une situation très complexe. L'Antarctique est recouvert de glace depuis au moins 30 millions d'années. La calotte glaciaire contient environ 26,5 millions de gigatonnes d'eau (une gigatonne équivaut à un milliard de tonnes métriques, soit environ 2,2 billions de livres). S'il devait fondre complètement, le niveau de la mer monterait de 190 pieds. Un tel changement se produira plusieurs millénaires dans le futur, s'il se produit.
(Article de Steven Koonin republié de WSJ.com)
Une perte de glace beaucoup plus modeste est normale en Antarctique. Chaque année, quelque 2 200 gigatonnes (ou 0,01 %) de la glace sont rejetées sous forme de fonte et d'icebergs, tandis que les chutes de neige ajoutent presque la même quantité. La différence entre le débit et l'ajout chaque année est la perte annuelle de la calotte glaciaire. Ce chiffre a augmenté au cours des dernières décennies, passant de 40 gigatonnes par an dans les années 1980 à 250 gigatonnes par an dans les années 2010.
Mais l'augmentation est un petit changement dans un processus complexe et très variable. Par exemple, la perte annuelle du Groenland a considérablement fluctué au cours du siècle dernier. Et tandis que les pertes antarctiques semblent prodigieusement importantes, les pertes annuelles récentes s'élèvent à 0,001 % de la glace totale et, si elles continuaient à ce rythme, n'élèveraient le niveau de la mer que de 3 pouces en 100 ans.
Beaucoup craignent qu'un réchauffement du globe ne provoque un recul rapide des glaciers, augmentant le débit et provoquant une élévation plus rapide du niveau de la mer. Pour aller au-delà de cette image simpliste, il est important de comprendre comment les glaciers ont coulé dans le passé pour mieux prédire s'ils pourraient couler plus vite à l'avenir.
Deux études récentes rapportées dans les médias se concentrent sur l'extrémité des glaciers, c'est-à-dire là où la glace, l'océan et le sol se rejoignent. Une étude a utilisé un drone sous-marin pour cartographier le fond marin à une profondeur de 2 000 pieds, à environ 35 miles du terminus du glacier Thwaites en Antarctique. Des scans sonar détaillés ont montré un motif de crêtes en planche à laver, la plupart mesurant moins de 8 pouces de haut. Les crêtes sont causées par les marées quotidiennes et servent d'enregistrement de l'endroit où la glace a touché le fond marin dans le passé. Les chercheurs ont pu lire cet enregistrement pour en déduire qu'à un moment donné dans le passé, le glacier s'est retiré pendant six mois à plus du double du rythme le plus rapide observé entre 2011 et 2019.
La cause de l'événement spécifique au glacier Thwaites reste inconnue, en partie parce que l'heure de la retraite rapide n'a pas encore été déterminée. Cela s'est probablement produit il y a plus de 70 ans, voire plusieurs siècles. Mais les médias vont avec cet angle : « Un ‘glacier apocalyptique’ de la taille de la Floride se désintègre plus vite que prévu. Un titre correct se lirait : « Le glacier Thwaites recule moins de la moitié aussi rapidement aujourd'hui qu'il l'a fait dans le passé.
RépondreSupprimerUne deuxième étude a testé l'idée que l'eau douce provenant de la fonte d'un glacier pouvait être transportée par les courants le long du rivage pour accélérer la décharge des glaciers voisins. Parce que les modèles climatiques mondiaux ne sont pas suffisamment détaillés pour décrire l'océan près de la côte, les chercheurs ont construit un modèle spécial pour prouver leur idée. Si les courants océaniques pouvaient relier les décharges de glaciers éloignés, cela ajouterait à la complexité et à la variabilité des changements dans la calotte glaciaire de l'Antarctique.
Selon les scénarios jugés probables par the United Nations’ Intergovernmental Panel on Climate Change, une connexion entre les courants océaniques et le débit augmenterait le taux de débit global dans une région du continent d'environ 10 % d'ici la fin du siècle. Mais pour souligner l'idée testée, les modélisateurs ont utilisé des influences humaines presque trois fois plus importantes. Même si ce fait est indiqué dans le journal, les journalistes saisissent rarement une telle nuance, et les médias utilisent des titres tels que "La fonte des glaces de l'Antarctique pourrait être 40 pour cent plus rapide que prévu" avec l'affirmation absurde qu'"un tsunami massif submergerait la ville de New York". et au-delà, tuant des millions. Londres, Venise et Mumbai deviendraient aussi des aquariums. Un titre plus précis dirait : « Les courants océaniques reliant les glaciers de l'Antarctique pourraient accélérer leur fonte.
Ces deux études illustrent les progrès réalisés dans la compréhension d'un mélange extrêmement complexe de glace, d'océan, de terre et de météo, avec des méthodes intelligentes pour déduire les conditions passées et une modélisation informatique sophistiquée pour montrer des scénarios futurs potentiels. Ces articles décrivent la science avec une précision et des mises en garde appropriées, mais il est dommage que les médias déforment la recherche pour sonner l'alarme. Cela prive le public du droit de prendre des décisions éclairées sur «l'action climatique», ainsi que de la possibilité de s'émerveiller devant la science elle-même.
Read more at: WSJ.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-21-dont-believe-the-hype-about-melting-glaciers.html
(...) La calotte glaciaire contient environ 26,5 millions de gigatonnes d'eau (une gigatonne équivaut à un milliard de tonnes métriques, soit environ 2,2 billions de livres). S'il devait fondre complètement, le niveau de la mer monterait de 190 pieds. Un tel changement se produira plusieurs millénaires dans le futur, s'il se produit. (...)
SupprimerHAHAHAHAHA !
Primo un glacier à ses 9/10 ème sous l'eau et 1/10 ème qui émerge. Si la glace font son volume diminuera et donc le niveau des mers & océans est susceptible de baisser, oui mais de baisser que de peut-être 1/10 ème de millimètre car les mers & océans couvrent 78 % de la planète Terre.
Mais l'idiotie est entretenue pour les idiots, pareillement que les pôles ne peuvent fondre car ils ne se rapprocheront jamais du soleil ! Mais des idiots regardent encore la télévision !!
Les EAU accélèrent le développement d'un immense gisement de gaz alors que les prix élevés persistent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 SEPTEMBRE 2022 - 12:30
Par Simon Watkins de OilPrice.com
La persistance des prix élevés du gaz en Europe à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février a incité plusieurs grandes sociétés pétrolières et gazières européennes à accélérer le développement de projets gaziers au Moyen-Orient, la dernière annonce du major italien Eni concernant les Émirats arabes unis en étant le dernier exemple.
Selon des propos de la société, son directeur général, Claudio Descalzi, a rencontré la semaine dernière son homologue de la compagnie pétrolière nationale d'Abu Dhabi (ADNOC), Sultan al-Jaber, à Abu Dhabi, pour discuter de l'accélération du développement du Ghasha. projet de gaz corrosif et le projet Offshore Block 2. La concession de Ghasha est le plus grand développement de gaz sulfureux offshore au monde, comprenant non seulement le champ de Ghasha lui-même, mais également les champs de Hail, Hair Dalma, Satah, Bu Haseer, Nasr, SARB, Shuwaihat et Mubarraz. La première production devait commencer en 2025, l'objectif étant la production d'au moins 1,5 milliard de pieds cubes par jour (bcf/j) de gaz d'ici 2030. Eni est le détenteur de la plus grande part étrangère de l'ADNOC- projet dirigé, avec une participation de 25 %, suivi par l'allemand Wintershall Dea (10 %), l'autrichien OMV (5 %) et le russe Lukoil (5 %). al-Jaber d'ADNOC a récemment confirmé que : "ADNOC s'est engagé à libérer les abondantes réserves de gaz naturel des Émirats arabes unis pour permettre l'autosuffisance en gaz domestique, la croissance et la diversification industrielles, ainsi que pour répondre à la demande mondiale croissante de gaz".
La concession de Ghasha était l'un des projets clés faisant partie des 2 milliards de dollars américains de contrats de forage récemment accordés par l'ADNOC dans le cadre des plans des Émirats arabes unis pour aider le troisième plus grand producteur de l'OPEP à atteindre l'autosuffisance en gaz, et après cela, chercher à exporter le surplus. Devenir autosuffisant en gaz fait partie du plan plus large des EAU "Opération 300 milliards" qui vise à augmenter la contribution du secteur industriel du pays à 300 milliards d'AED (81 milliards de dollars) par rapport aux 133 milliards d'AED actuels au cours des 10 prochaines années. Cet objectif, à son tour, fait partie de la politique d'économie circulaire des Émirats arabes unis 2021-2031 et sera atteint en grande partie grâce à la création de 13 500 entreprises industrielles au cours de cette période, couvrant les secteurs de la fabrication, de la construction, de l'électricité, du gaz, des mines et des carrières. en premier lieu. Tout cela s'aligne sur les plans plus larges de l'ADNOC visant à développer ses activités d'hydrocarbures (et à faible émission de carbone), pour lesquelles il a annoncé des plans de dépenses de 127 milliards de dollars entre cette année et la fin de 2026.
RépondreSupprimerL'autosuffisance en gaz permettra également aux EAU de développer un secteur pétrochimique stratégique et d'éviter d'être dépendant du Qatar pour le gaz dont il a besoin pour son réseau électrique. Cette volonté d'autosuffisance dans le secteur du gaz a été dynamisée après la découverte d'un énorme gisement de gaz peu profond réalisé en 2020 à Jebel Ali, qui, selon les déclarations des sociétés développant le site - ADNOC et la Dubai Supply Authority - détient environ 80 000 milliards de dollars pieds cubes de gaz sur une zone de 5 000 kilomètres carrés entre Abu Dhabi et Dubaï. Par la suite, la chasse à d'autres gisements de gaz importants s'est accélérée, et pas seulement à proximité des découvertes précédentes. L'année dernière, l'ADNOC a annoncé une augmentation des réserves nationales de 16 billions de pieds cubes (tcf) de gaz, portant les réserves de gaz des EAU à 289 tcf.
Un autre des émirats constitutifs des Émirats arabes unis, Sharjah, a également récemment annoncé des propositions visant à lancer un appel d'offres offshore pour sa nouvelle découverte de gaz et de condensat dans le bloc B. Eni détient également 50 % dans ce domaine, l'autre moitié étant détenue par l'État. possédait la Sharjah National Oil Corp (SNOC), et c'est ici que la société italienne a découvert le réservoir de Mahani. Selon les premiers rapports d'Eni, le premier puits foré à Mahani a atteint des débits allant jusqu'à 50 millions de pieds cubes standard par jour (mmcf/j) de gaz pauvre et de condensat associé. La SNOC limite actuellement la production du puits de gaz Mahani-1 à moins de 50 mmcf/j afin de collecter des données et de délimiter le réservoir, selon le directeur général de la société publique, Hatem al-Mosa. Il a ajouté : "La sismique [de la perspective d'exploration] montre qu'elle est importante [et], si elle est conforme à la sismique, elle sera très économique à produire et à développer." Eni et SNOC sont également partenaires dans les zones de concession onshore A et C, où l'exploration est activement en cours, avec Eni comme opérateur.
Offshore Block 2, le deuxième des grands projets destinés à être accélérés la semaine dernière, comprend également Eni comme actionnaire principal, avec une participation de 70 % (le reste étant détenu par le thaïlandais PTTEP). La fin du mois de juillet a vu la découverte d'un nouveau réservoir plus profond qui indiquait 1,0 à 1,5 tcf de gaz brut, doublant presque le volume de champ découvert, selon un commentaire de l'ADNOC à l'époque. La découverte de juillet a suivi celle faite en février à partir d'une cible moins profonde et porte le potentiel total de gaz découvert du bloc 2 à 2,5-3,5 tcf. Eni opère également dans d'autres zones offshore d'Abu Dhabi et de Ras Al Khaimah, un autre émirat des Émirats arabes unis.
RépondreSupprimerLes efforts d'Eni aux Émirats arabes unis complèteront ceux d'autres grandes sociétés pétrolières et gazières européennes ces derniers mois, notamment le français TotalEnergies, qui a récemment signé un accord de partenariat avec ADNOC qui comprend une coopération dans le commerce, la fourniture de produits et la capture, l'utilisation et le stockage du carbone. Comme l'a souligné et analysé récemment OilPrice.com, TotalEnergies est à l'avant-garde de la politique française visant à réduire sa propre dépendance vis-à-vis des importations énergétiques russes en élargissant et en accélérant le développement d'approvisionnements énergétiques alternatifs, en particulier au Moyen-Orient. Comme l'a déclaré TotalEnergies lors de la signature de l'accord de partenariat avec ADNOC : "[L'accord comprend] le développement de projets pétroliers et gaziers aux EAU pour assurer un approvisionnement énergétique durable des marchés et contribuer à la sécurité énergétique mondiale".
Ceci, à son tour, fait suite à la signature du partenariat énergétique stratégique global entre les Émirats arabes unis et la France, qui se concentre également sur la sécurisation de l'approvisionnement énergétique de la France à l'avenir. De telles inquiétudes concernant les effets négatifs pour la France résultant des interdictions échelonnées sur l'énergie russe à venir ont été reprises plus tôt en juillet par le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, qui a déclaré : « Préparons-nous à une coupure totale du gaz russe ; aujourd'hui, c'est l'option la plus probable. Bien que la France reçoive un peu moins de 20 % de ses importations de gaz de Russie – bien moins que plusieurs autres États de l'Union européenne (UE) – ses importations de gaz naturel liquéfié (GNL) ont chuté de près de 60 % d'un mois sur l'autre (m-o-m) en juin, à environ 1,06 million de tonnes métriques, selon les données de l'industrie.
Outre les nouveaux éléments définis dans l'accord de partenariat, TotalEnergies a plusieurs grands projets gaziers en développement aux EAU. Sa participation de 40 % dans la concession de gaz non conventionnel de Ruwais Diyab a un objectif de production de 1 milliard de pieds cubes par jour d'ici 2030 et a vu sa première production en 2020. La société française détient également une participation de 15 % dans ADNOC Gas Processing, qui produit des liquides et des condensats de gaz naturel. du gaz associé produit par ADNOC Onshore, et une participation de 5 % dans ADNOC LNG (gaz naturel liquéfié).
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/markets/uae-accelerates-development-huge-gas-field-high-prices-persist
La France se prépare à nationaliser son industrie nucléaire en difficulté
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 SEPTEMBRE 2022 - 09:30
Par Haley Zaremba de OilPrice.com
La France s'apprête à nationaliser entièrement la société d'énergie nucléaire Électricité de France (EDF), actuellement détenue à 84 % par l'État, alors que la société anticipe une baisse massive de ses bénéfices.
EDF avait déjà averti les investisseurs que ses bénéfices de base seraient considérablement touchés cette année, mais vient d'augmenter fortement cette perte projetée à 29 milliards d'euros (normalement ici, nous dirions combien cela représente en dollars, mais l'économie européenne a pris une telle un ralentissement - en grande partie dû aux problèmes énergétiques - que les valeurs de l'euro et du dollar sont pratiquement identiques). Cette perte massive est due à une série d'événements malheureux qui ont conduit à la mise hors service de plus de la moitié des 56 réacteurs d'EDF - une pénurie record.
Le secteur nucléaire français a été frappé par de multiples problèmes au pire moment possible. L'industrie est confrontée à une accumulation de retards et d'arrêts en raison de la pandémie de Covid-19, à une "série de problèmes de maintenance, notamment la corrosion de certains des réacteurs vieillissants français, des problèmes au groupe énergétique contrôlé par l'État EDF et une absence de plusieurs années d'importants nouvel investissement nucléaire », selon un rapport du Financial Times cet été. Dans les quelques mois qui ont suivi ce rapport du FT, la situation s'est encore aggravée, car une grave sécheresse a asséché les rivières d'Europe, laissant certaines centrales nucléaires françaises et suisses sans assez d'eau pour refroidir leurs systèmes.
En conséquence, la production d'énergie nucléaire française est à un niveau historiquement bas. Il s'agit d'un enjeu majeur pour le pays, qui tire environ 70 % de son énergie du nucléaire. D'une manière générale, la France est un exportateur net d'énergie, grâce à son secteur nucléaire robuste et jusqu'ici fiable. Elle est maintenant obligée d'importer de l'énergie dans un marché historiquement tendu. Le continent européen connaît une crise de flambée des prix de l'énergie grâce à un jeu de poulet avec Moscou. À la suite de l'invasion russe de l'Ukraine, l'Union européenne s'est efforcée de se sevrer de sa forte dépendance aux combustibles fossiles russes avec l'intention d'instituer des sanctions énergétiques contre le Kremlin. En réponse, le russe Gazprom a coupé indéfiniment l'approvisionnement en gaz naturel du continent via le gazoduc Nord Stream 1, invoquant ses propres problèmes de maintenance suspects.
Le moment de l'effondrement nucléaire français est d'autant plus tragique en raison des querelles politiques avec la Russie. La France a longtemps été l'affiche mondiale de l'énergie nucléaire, avec les taux de production par habitant les plus élevés et un zèle évangélique pour le développement de l'énergie nucléaire afin de renforcer la sécurité énergétique à l'ère du changement climatique. La France n'était pas liée de manière substantielle à la dangereuse dépendance à l'égard des importations de gaz russe qui rendait la sécurité énergétique du continent si fragile. En fait, il s'est enorgueilli de l'indépendance énergétique que le nucléaire a construite. Mais maintenant, juste au moment où il était le plus nécessaire, le nucléaire français n'a pas réussi à sauver la situation.
RépondreSupprimerMaintenant, le gouvernement français va faire une offre pour racheter entièrement EDF afin de prendre le contrôle de l'entreprise alors qu'elle tente de redresser le navire. Dans les semaines à venir, le gouvernement français devrait lancer une offre publique d'achat pour les 16 % restants de l'entreprise qu'il ne détient pas déjà afin qu'il puisse unilatéralement (et discrètement) prendre des décisions concernant la construction de nouveaux réacteurs et résoudre la myriade de problèmes avec la flotte existante. "Des personnes proches de l'opération ont déclaré que les difficultés financières de l'entreprise avaient renforcé les incitations à la soustraire à l'éblouissement des marchés", rapporte le Financial Times.
EDF a déclaré qu'il prévoyait de remettre en service l'intégralité de son parc au début de l'année prochaine. Pour ce faire, l'entreprise déjà lourdement endettée devra s'endetter beaucoup plus à un moment où l'entreprise fait déjà l'objet d'un examen minutieux pour erreurs opérationnelles et oublis. En fin de compte, les problèmes en France ne sont pas du tout un problème avec l'énergie nucléaire - c'est un problème de mauvaise gestion.
https://www.zerohedge.com/commodities/france-prepares-nationalize-its-struggling-nuclear-industry
Devrions-nous nous inquiéter de la prochaine apocalypse (numérique) ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 22 SEPTEMBRE 2022 - 05:40
Écrit par Alexandra Marshall via The Epoch Times,
Tout le monde aime une bonne apocalypse, et en 2022, il y a une fin des temps pour tout le monde.
Certaines apocalypses sont fictives, idéales pour le lobbying des entreprises et l'ambition politique. D'autres sont surestimés comme un schéma "devenir riche rapidement" qui disparaît sans explication.
Mais les véritables apocalypses, celles qui représentent une véritable menace pour la civilisation, sont rarement imprimées. Après tout, il y a une différence entre la peur et la terreur, et aucun politicien sensé ne veut semer la panique.
Les sociétés fondées sur la technologie deviennent vulnérables à ses défauts de la même manière que les empires du désert craignent les cieux sans nuages.
Au rythme où la civilisation humaine évolue, une véritable catastrophe numérique provoquerait probablement un événement de l'année zéro, une époque définie par l'obscurité numérique.
Si des données importantes étaient perdues - des actifs effacés et des données d'identité détruites - il y aurait une réinitialisation de la civilisation. Cependant, il serait insensé d'imaginer que les êtres humains peuvent récupérer aussi rapidement qu'un système d'exploitation informatique.
L'humanité a déjà frôlé la calamité numérique, mais pas depuis qu'elle a rampé dans le ventre de la Silicon Valley.
La révolution numérique s'est produite en une seule vie, et nous nous retrouvons dans la position difficile de vouloir adopter la technologie sans en être emprisonnés.
Alors que nous nous efforçons d'éviter les pièges à souris virtuels tendus par le gouvernement, nous devons veiller à maintenir les licenciements au sein de la société pour nous protéger contre les inévitables périodes de panne numérique. Après tout, une semaine sans électricité suffit à envoyer des villes avancées en ruine.
La prochaine apocalypse numérique ne sera pas arrêtée par des équipes de programmeurs en sueur, les yeux rouges et tremblant dans le vacarme des salles de serveurs du monde.
Le bogue de l'an 2000
Certains d'entre nous sont assez vieux pour se rappeler quand une erreur innocente de l'âge naissant des ordinateurs a semé la panique en 1999.
Le "bogue Y2K" était une simple faille dans la gestion des dates lors des calculs lorsque les dates à quatre chiffres étaient tronquées en deux chiffres pour économiser de l'espace. C'était bien de 1960 à 1999, mais à l'approche de l'an 2000, les programmeurs ont dû arrêter de tergiverser et corriger l'erreur qui menaçait la sécurité de tout, des banques aux centrales nucléaires, en passant par les avions de ligne, les machines d'usine et le monde commercial, tandis que les systèmes satellites et le GPS posait un risque physique pour la sécurité.
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Les commandants de missiles, le lieutenant (L) et le lieutenant-colonel Ken Reed confirment un avertissement de lancement par téléphone lors d'un exercice d'entraînement au complexe de Cheyenne Mountain du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) à Colorado Springs, Colorado, le 9 novembre 1999 (Mark Leffingwell/AFP via Getty Images)
L'industrie technologique était en pleine mer pendant cette période, réparant des micro-fissures sur un paquebot de croisière. C'était une étrange apocalypse parce que si vous n'étiez pas programmeur, vous ne pouviez rien faire.
Contrairement au mantra «pliez le genou» du changement climatique, le mois de décembre 1999 s'est terminé par un fatalisme presque nordique culminant dans une fête massive sous le pont du port de Sydney (du moins en Australie).
La foule était couverte de paillettes, de bâtons lumineux au néon et de bandeaux scandaleux à antenne-cœur – trois feuilles au vent sur du champagne. La plupart s'attendaient à ce que leur ville devienne noire et que les ordinateurs du monde toussent et meurent.
Ils ne l'ont pas fait. Ces programmeurs ont travaillé jusqu'au dernier coup de minuit. Le pont a éclaté en panaches colorés de poudre à canon. L'apocalypse s'est déroulée si calmement que 22 ans plus tard, des articles écartent à tort le danger.
Personne n'avait rien à gagner du bogue Y2K. C'était un ravageur impitoyablement exterminé par tous les gouvernements. (Shhhh. Ne parlons pas du problème de l'année 2038).
La prochaine apocalypse numérique pourrait conduire à une « grande réinitialisation »
Si la prochaine apocalypse numérique longtemps prophétisée s'avère avantageuse pour ceux qui espèrent "réinitialiser" l'économie mondiale, nos données pourraient être sacrifiées pour servir "le plus grand bien".
Une perte catastrophique de données nécessiterait un "système équitable" de récupération - une "redistribution" des actifs, comme un bambin renversant un tableau Monopoly uniquement pour que les parents remettent "équitablement" les maisons sur toutes les cases, indépendamment de qui les a achetés. Ceux en litige sont doués à la banque. En fonction de la dette d'un pays, une remise de prêt en échange de l'acquisition d'une propriété est probable.
RépondreSupprimerUne apocalypse numérique de cette ampleur résulterait probablement de dommages physiques aux plus grandes fermes de serveurs du monde plutôt que d'une cyberguerre. Il est beaucoup plus efficace d'aplatir un bâtiment, de couper un câble ou même de supporter un événement naturel tel que l'événement Carrington de 1859.
Un réseau énergétique instable, même s'il n'est pas destructeur en permanence, induirait des périodes d'interférences numériques susceptibles de modifier notre dépendance aux solutions de haute technologie dans notre économie.
Dans le monde réel, les détaillants passent rapidement aux espèces après une heure de panne.
Si la communauté technologique est honnête avec le public, la prochaine apocalypse numérique ne sera pas des attaques malveillantes de nos amis en Corée du Nord. Ce ne sera pas un gremlin des années 70 mâchant les cordes ni un prince nigérian avec un parent récemment décédé.
Notre apocalypse se déroulera dans les couloirs du Parlement, conçus par des lobbyistes et des politiciens qui transforment rapidement le monde numérique en une prison immatérielle.
La perte du contrôle citoyen sur le domaine numérique, remplacé par les désirs de l'État, est une apocalypse dont l'humanité ne pourra jamais se remettre. Ce serait la fin de l'Eden du marché libre qui a forgé nos plus grandes réalisations technologiques.
À sa place, nous trouverons une course aux armements de contrôle qui s'étend dans nos pensées et sous notre peau.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/should-we-be-worried-about-next-digital-apocalypse
(...) Au rythme où la civilisation humaine évolue, une véritable catastrophe numérique provoquerait probablement un événement de l'année zéro, une époque définie par l'obscurité numérique. (...)
SupprimerDans la tournure des discours actuel le 'numérique' a aussi du soucis à se faire. Pensez donc qu'à l'heure 'Minuit moins une' pourrait être déclenchée LA 'bombe propre' (comme l'appelle depuis plus de 15 ans les chinois qui la possèdent). C'est l'EMP (Impulsion ElectroMagnétique). L'explosion d'une bombe à très haute altitude ferait qu'un onde de choc fasse le tour de la Terre et grille TOUS les satellites ainsi que TOUT ce qui est électrique sur Terre (piles, batteries et accus).
Tout-à-coup c'est LE silence ! Zéro téléphone, zéro voiture ne marche, zéro bateau à moteur et... zéro avion (ils tomberont dans les 30 minutes).
Donc, décoinçage des portes d'ascenseur au pied de biche.
Sevrage …
RépondreSupprimerle 22 septembre 2022
J’expérimente depuis plusieurs jours une absence totale de connexion au réseau internet. Cet outil m’était utile pour m’informer de la politique, de l’économie, de l’évolution des problèmes sociétaux, et des avancées (ou des reculs) de la science. Par exemple et pour revenir à mes sujets de prédilection, l’énergie, le coronavirus, le climat sont devenus en quelques heures des souvenirs. J’en suis surpris dans la mesure où je m’intéressais parfois avec passion à ces divers sujets quotidiennement. Certes je me sens allégé et je regarde des films, j’écoute de la musique et souvent je tente de terminer des mots croisés que j’avais abandonné croyant qu’il était plus utile d’écrire un billet sur mon blog.
Bref, tout a changé et si dans la minute j’enrage de ne pas pouvoir ne serait-ce envoyer un message à l’un de mes proches, cet énervement s’estompe et je me rends compte que ce formidable outil qu’est internet n’est pas aussi utile qu’on a tendance à le croire dans la vie quotidienne. Mais l’adaptation à cette absence n’est pas simple. Il faut occuper les moments du quotidien et surtout ne plus penser aux préoccupations qui en réalité étaient catalysées par cet outil.
Dans l’île reculée de Fatu-Hiva où je me trouvais encore pour quelques jours la vie quotidienne des habitants de ce minuscule village qu’est Omoa est, me semble-t-il également perturbée par un défaut temporaire sur le réseau 4G, excusez du peu, car tous disposent d’un téléphone portable et l’utilisent compulsivement comme n’importe quel parisien ou tokyoïte.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/09/22/sevrage-2/
BLOG ENCORE CENSURÉ (120 - 1 = 119 !)
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