- ENTREE de SECOURS -



jeudi 15 septembre 2022

L’arnaque des énergies renouvelables

L’énergie est le cœur du développement des sociétés. Elle est le moteur de l’économie comme le montre l’accroissement du PIB en parallèle de la consommation d’énergie.


 le 15 septembre 2022

Par Michel Lebrun et Michel Gay.


Une désastreuse arnaque scientifique a eu lieu dans l’ex-URSS quand l’agronome Lyssenko a réussi à convaincre le Comité central du parti communiste, Staline en tête, que ses méthodes permettraient de multiplier par trois, voire quatre la production agricole. Les scientifiques soviétiques qui osèrent critiquer Lyssenko eurent le choix entre se rétracter ou aller au goulag !

Bilan : des famines abominables eurent lieu en URSS et Lyssenko mourût de sa belle mort en 1964 !

Aujourd’hui, la société française s’est engagée sur la voie des énergies dites renouvelables, mais surtout fatales et intermittentes (EnRI), notamment éoliennes et panneaux photovoltaïques, conduisant à des scandales encore plus monstrueux.

Le soutien inconditionnel des dirigeants politiques à ces « nouvelles énergies » (en réalité anciennes et déjà abandonnées) relève du type de fraude scientifique à la Lyssenko qui cache une spoliation des peuples.

Certes, il n’y a plus de goulag mais l’effacement médiatique et la suppression des crédits de recherche freinent les critiques et étouffent la contestation des scientifiques s’opposant à la nouvelle religion écologiste.

Une abondante littérature sur ce sujet (Marc Halévy dans Énergie et écologie, Fabien Bouglé La face noire de la transition écologique, Michel Gay Au diable les énergies renouvelables,…) met en évidence cette fraude monstrueuse trop peu soulignée par les grands médias.

L’énergie et l’écologie

L’énergie est le cœur du développement des sociétés. Elle est le moteur de l’économie comme le montre l’accroissement du PIB en parallèle de la consommation d’énergie.

L’énergie ne se crée pas (elle ne se décrète pas non plus), elle se transforme.

Mais sa présence dans la nature est rarement sous une forme directement utile. Il faut donc trouver des techniques pour assurer ces transformations elles-mêmes consommatrices d’énergie.

Il existe un ratio intitulé Taux de Retour Energétique (TRE) ou Energy Returned On Energy Invested  (EROI) qui exprime simplement l’idée : « Combien vais-je récupérer d’énergie utile par rapport à l’énergie que je vais dépenser pour l’obtenir ? »

Le TRE (toujours supérieur à un, sinon ce n’est pas une source d’énergie, mais un puits) tient compte de toute l’énergie dépensée lors du cycle de vie d’un produit (production, extraction, transformation de fabrication, transport, mise en œuvre, recyclage etc.).

Un TRE égale à un exprime que la quantité d’énergie utile au cours de la durée de vie d’une installation sera égale à la quantité d’énergie dépensée pour construire exploiter et démanteler cette installation.

En réalité le TRE ne tient compte que d’une partie de l’énergie dépensée car il est trop difficile d’établir tout le bilan énergétique nécessaire à l’élaboration de l’énergie grise.

Ainsi, l’Agence Internationale de l’Énergie considère qu’une transformation énergétique n’est rentable que si son TRE est supérieur à 6, ce qui n’est pas le cas ni de l’éolien, ni du photovoltaïque comme le montre le tableau ci-dessous extrait de l’ouvrage de Marc Halévy :

Transformer des énergies peu denses, comme le vent, nécessite des installations colossales elles-mêmes consommatrices d’énergie, réduisant drastiquement leur TRE. Il y a certes plus de vent en altitude ou en mer, mais aller chercher ce vent nécessite encore plus d’énergie, rendant le système global inacceptable.

Le vent est « gratuit » (comme d’ailleurs le pétrole qui jaillit de terre…), mais pas sa transformation en électricité !

La désinformation d’une population mal préparée à comprendre la vaste problématique de l’énergie ouvre une autoroute pour imposer l’idée que le vent et le soleil sont gratuits.

Les technologies aléatoirement variables et mêmes intermittentes du vent et du soleil sont rédhibitoires, surtout en y ajoutant en parallèle les moyens de stockage (batteries, hydrogène…) et de production (gaz, charbon…) pour s’accommoder de leurs productions ne correspondant pas nécessairement au besoin. Vouloir imposer cette technologie est fondamentalement anti-écologique car trop énergivore par rapport à sa production sur son cycle de vie.

Comment un tel sophisme a-t-il pu s’imposer ?

Dans l’histoire de l’humanité, l’Homme a évolué vers l’utilisation d’énergies de plus en plus denses : l’énergie animale, l’utilisation du vent pour les moulins ou les bateaux, la puissance motrice de l’eau puis de la chaleur (machines thermiques), ensuite l’utilisation de l’énergie de l’atome.

Ce retour en arrière vers le vent et le soleil que constituent les EnRI interroge sur les réelles motivations.

Les écologistes se sont engagés dans une nouvelle religion niant les lois de la physique. Beaucoup d’entre eux portent une haine du monde décrite par la philosophe Chantal Delsol (La haine du monde). Pour cette catégorie d’individus, l’homme est mauvais pour la nature. Il doit se présenter devant le rédempteur (Mère nature ?) que ces « écologistes » radicaux pensent représenter.

Par ailleurs, des opportunistes politiciens et financiers ont deviné tout le bénéfice qu’ils pourraient tirer de cette nouvelle religion imposée aux peuples par la peur, l’effroi et la terreur.

Enfin, la conquête du pouvoir mondial est toujours d’actualité. Le mouvement pour la paix et la mondialisation sert de prétexte à l’élimination des nations, considérées par certains idéalistes comme une source de conflit.

Même à l’intérieur de l’Europe, la conquête du pouvoir fait apparaitre des conflits que nos politiciens nationaux ont sous-estimés.

L’imposition des éoliennes par l’Allemagne et la destruction du parc nucléaire français s’inscrit dans le cadre d’une guerre économique qui sera perdue par la France sans un sursaut rapide.

Une éolienne est une technologie pour l’essentiel importée d’Allemagne, du Danemark et d’Espagne. Elle ne constitue pas seulement une perte de souveraineté, elle nuit aussi à l’excellence française dans l’énergie nucléaire dépassant encore toutes les nations européennes dans ce domaine.

Quand la France perd un point, nos « amis », et néanmoins adversaires commerciaux, en gagnent un !

https://www.contrepoints.org/2022/09/15/438761-larnaque-des-energies-renouvelables 

60 commentaires:

  1. Le vent n'est pas toujours là où trop faible pour faire bouger des feuilles, et pourtant... des éoliennes tournent ! Çà alors !!

    Si une éolienne est arrêtée elle se grippe. Donc, le moteur de l'éolienne a besoin d'électricité pour tourner. Oui mais... c'est pas un Moulinex ! Les pales pèsent 60 tonnes ! et multiplier par 3 = 180 tonnes à faire tourner !!!
    C'est pourquoi depuis la première installation elles dépensent plus d'électricité qu'elles n'en peuvent produire !

    Mais alors pour quoi ?

    Pour ruiner le Peuple. Au fil du temps, de plus en plus de machines, de robots, d'ordinateurs facilitent la tâche ou exonèrent l'employé. Donc: l'ouvrier ne fait rien et gagne quand même de l'argent sur le dos des machines ! Et, s'il s'enrichit... il devient intelligent ! Et, s'il s'instruit... c'est mauvais pour la dictature.
    Donc: faut imaginer un moyen pour ruiner le Peuple ! Le gaz, le pétrole, l'électricité, le virus, les radars, les péages, les taxes, les impôts, etc, etc, etc !

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  2. Les importations américaines de métaux ferreux russes sont tombées à près de zéro en juillet


    mercredi 14 septembre 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les exportations russes de métaux ferreux vers les États-Unis ont chuté en juillet à près de zéro – 0,6 million de dollars.

    La chute massive des importations américaines de métaux survient après que Washington, D.C. a publié sa dernière liste de produits russes visés par des tarifs d'importation massifs fin juin. Celles-ci font partie des sanctions économiques américaines contre la Russie pour l'opération militaire spéciale en Ukraine. La liste des articles soumis à des droits de douane élevés comprend l'acier et plusieurs types de produits sidérurgiques. (Connexe : l'Amérique a importé pour plus de 6 milliards de dollars de marchandises de Russie depuis le début de l'invasion de l'Ukraine.)

    Les tarifs ont été adoptés à la suite de la révocation par le Groupe des sept nations du statut commercial de la Russie en tant que « nation la plus favorisée » en réponse au conflit en Ukraine. Le statut garantissait des tarifs bas sur les produits russes vendus dans le monde depuis 2012, lorsque le pays a obtenu le statut.

    Des rapports antérieurs suggéraient même que l'Amérique ne voulait pas simplement imposer des droits de douane sur l'acier russe, mais interdire purement et simplement son exportation vers les États-Unis.

    L'année dernière, les importations américaines de métaux ferreux russes - qui comprennent la fonte, le fer, l'acier et le métal laminé - se sont élevées à 2,77 milliards de dollars, pour une moyenne de 230 millions de dollars par mois. Les États-Unis étaient à l'époque la destination de près de 9 % de toutes les exportations russes de métaux ferreux.

    Depuis lors, les exportations de métaux ferreux de la Russie sont en baisse. Au cours du premier semestre 2022, la Russie a exporté pour plus d'un milliard de dollars de métaux ferreux vers les États-Unis. Rien qu'en juin, l'Amérique a reçu pour environ 201 millions de dollars d'exportations, dont environ la moitié - 112,5 millions de dollars - était en ferroalliages.

    Perte du marché américain bénéfique à l'Europe et à l'Asie
    Le coût prohibitif de continuer à exporter de l'acier vers les États-Unis a incité les fabricants russes à se réorienter vers des marchés alternatifs en Europe et en Asie.

    En juin, la Turquie a acheté pour 546 millions de dollars de métaux ferreux à la Russie, une augmentation significative par rapport aux mois précédents.

    La Chine a également augmenté ses achats de fer et d'acier russes. En juin, la nation communiste a acheté pour 163,5 millions de dollars de métaux et en juillet, la Chine a plus que doublé pour atteindre 337,4 millions de dollars. C'est près de quatre fois la quantité de métaux ferreux que la Chine a importés de Russie en juillet 2021, lorsqu'elle a acheté pour 84,5 millions de dollars de fer et d'acier.

    Selon l'agence de tarification Fastmarkets, le Mexique et Taïwan deviennent des marchés de vente majeurs pour l'acier russe suite à la disparition de la plupart des échanges occidentaux. De plus en plus de produits russes en fer, en acier et en acier laminé se dirigent vers l'Inde et le Moyen-Orient.

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  3. Selon les douanes indiennes, les importations de métaux ferreux russes en juillet ont atteint près de 30 000 tonnes, soit plus de cinq fois les importations précédentes de métaux ferreux de l'Inde en provenance de Russie.

    Le ministère de l'Industrie et du Commerce de la Fédération de Russie (MITRF) a indiqué que la part des États asiatiques qui ont reçu des exportations de métaux a dépassé 50 % en août, contre seulement 10 à 20 % lors des enregistrements précédents. Les entreprises russes vendent également des métaux avec des remises importantes de 25 % ou plus pour attirer de nouveaux acheteurs.

    Au rythme actuel des nouvelles exportations, le MITRF prévoit qu'il ne faudra qu'environ huit ans pour rétablir les niveaux d'exportation de métaux à ceux observés en 2019 et 2020. Le volume des ventes de biens à la fois vers les pays étrangers et vers les marchés intérieurs pourra également atteindre les valeurs observées avant 2020 en huit ans environ.

    Pour rétablir plus rapidement les niveaux d'exportation antérieurs, le MITRF a noté que les entreprises devront rediriger leur attention vers les marchés en plein essor d'Asie de l'Est et du Moyen-Orient.

    En savoir plus sur l'effondrement du commerce de l'acier sur MarketCrash.news.

    Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, discute de l'arrêt mondial massif des opérations de fusion des métaux, y compris l'acier.

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    La demande des consommateurs s'effondre alors que l'économie mondiale IMPLOSE, les usines ferment leurs portes, la demande de fret s'effondre.

    Retour à l'âge des ténèbres : les industries européennes de l'acier et des métaux implorent l'UE d'arrêter de désindustrialiser le continent avec ses sanctions contre la Russie.

    FORCE MAJEURE : Des fermetures massives à l'échelle mondiale sont actuellement en cours pour les activités de FUSION DES MÉTAUX couvrant le fer, le cuivre, le nickel, l'aluminium, le zinc et l'ACIER.

    Les meilleures usines sidérurgiques d'Europe FERMENT en raison de "la hausse exorbitante des prix de l'énergie".

    DARK TIMES : L'industrie et les infrastructures s'effondrent chaque jour en Europe et aux États-Unis.

    Sources include:

    RT.com
    GamingDeputy.com
    Oreanda.ru
    TrendingNewsBuzzer.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-american-imports-russian-ferrous-metals-dropped.html

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  4. Les CFF dévoilent leur plan pour faire face à la pénurie d’énergie


    15 septembre 2022, 11:50


    Lors d’une conférence de presse, les CFF ont présenté leurs résultats semestriels. L’occasion d’évoquer leur stratégie pour maintenir leur offre au maximum, malgré la crise.

    Pour faire face au risque de pénurie d’électricité, les CFF ont déjà pris des mesures préventives concrètes. Ils ont «réduit le chauffage et l’éclairage dans leurs bâtiments, coupé l’eau chaude dans les bureaux et commencé à privilégier l’utilisation du mazout au gaz pour leurs installations», annoncent-ils jeudi. De plus, les CFF ont déjà décidé qu’ils renonceront aux illuminations de Noël, ainsi qu’à l’éclairage de leurs façades et enseignes.

    Quant aux trains, les CFF rappellent qu’ils «sont alimentés à 90% par de l’énergie hydraulique» issue, principalement, de propres centrales électriques des CFF. Problème: ces dernières produisent actuellement moins d’énergie à cause de la sécheresse et du faible niveau d’eau dans les lacs de retenue.

    En plus, pour garder de l’eau en réserve pour les centrales en hiver et maintenir l’offre au maximum, les CFF «veillent dès aujourd’hui à ce que les lacs de retenue restent autant que possible à leur niveau maximal». Conséquence, en attendant, ils doivent acheter l’énergie de substitution sur le marché «à des prix en constante augmentation». Une situation qui a logiquement déjà des impacts financiers et qui plombent les résultats (lire ci-dessous).

    À noter que rien ne garantit que les trains pourront circuler tout l’hiver. «En cas de limitation du courant imposée par la Confédération, l’offre ferroviaire devrait être fortement réduite, alors qu’une coupure de réseau touchant les CFF entraînerait une interruption de l’exploitation», lit-on sur le site des CFF.

    Un déficit de 142 millions de francs

    Les CFF ont présenté leurs résultats semestriels 2022. Ils enregistrent une perte de 142 millions de francs. Si elle est inférieure à celle du premier semestre 2021 (389 millions de francs), «la situation financière reste tendue: les comptes du trafic grandes lignes affichent toujours un déficit de 123 millions de francs», révèlent les CFF. Du côté de l’unité Infrastructures Énergie, une perte de 24,2 millions a été enregistrée alors qu’en 2021 un bénéfice de 17,5 millions était ressorti. «Les CFF mettent en place, comme prévu, des mesures d’économies d’environ 6 milliards de francs d’ici 2030, par exemple en réduisant les dépenses dans le secteur administratif», ajoute la compagnie.

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  5. Plus d’un million de passagers par jour

    Dans leur communiqué, les CFF annoncent qu’«au premier semestre 2022, un total de 1,1 million de personnes par jour a emprunté les lignes régionales et les grandes lignes». C’est 43,9% de plus qu’en 2021 mais toujours 15,1% de moins qu’en 2019. Les CFF notent que «de plus en plus de personnes prennent le train pour leurs loisirs». Cet été, ils ont d’ailleurs affrété 600 trains spéciaux pour des manifestations – comme la fête fédérale de la lutte et le camp fédéral scout – et des festivals en Suisse. En revanche, «le trafic pendulaire recule».

    Autre bonne nouvelle, le nombre d’AG en circulation est reparti à la hausse. Fin juin 2022, il y en avait 413’000, contre 395’000 l’année passée. «Les abonnements demi-tarif ont, quant à eux, atteint des chiffres record, avec 2,9 millions en cours de validité», disent les CFF.

    https://www.lematin.ch/story/les-cff-devoilent-leur-plan-pour-faire-face-a-la-penurie-denergie-182675355094

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  6. L’électricité, un bien public aussi précieux que l’eau

    En Europe, comme en Suisse, le marché de l’électricité a besoin d’une profonde réforme. Les collectivités publiques doivent reprendre en main ce secteur qui a peu à peu échappé à leur contrôle.


    par Eric Felley
    15 septembre 2022, 09:55


    Après des années pléthoriques, la crise actuelle du marché de l’électricité a ouvert un vaste débat à Berne autour de l’aide à accorder aux grandes sociétés. La question sous-jacente est: mais comment en est-on arrivé là? Les réponses ont été pour beaucoup idéologiques. Cependant, une d’entre elles paraissait l’emporter sur les autres: le marché de l’électricité dysfonctionne totalement. Comme l’a déclaré mercredi la présidente de la commission européen, Ursula von der Leyen, ce marché, auquel est connectée la Suisse, a besoin «d’une réforme en profondeur».

    Beau temps, mauvais temps

    Les grosses entreprises, qui voient décupler leur facture d’électricité l’année prochaine, ont profité pendant des années d’une offre abondante sur le marché libre. Mais le réveil est brutal, trop brutal. La bourse de l’électricité a montré qu’elle fonctionnait surtout par beau temps, quand l’offre et la demande étaient équilibrées. Par mauvais temps, lorsque l’offre s’est mise à diminuer, la loi du marché a provoqué un emballement potentiellement fatal pour des entreprises saines jusqu’ici.

    Pouvoir politique perdu

    C’est le moment d’envisager l’avenir avec des mécanismes qui stabilisent le prix de cette électricité, qui est aussi vitale que l’eau du robinet dans la vie de tous les jours. Essayez de passer une journée sans utiliser la moindre électricité… C’est d’ailleurs pourquoi, historiquement, la très grande majorité des installations de production, de transport ou de distribution appartiennent à des collectivités publiques. Cependant, le pouvoir de décision des propriétaires – le pouvoir du politique donc – s’est amenuisé avec la construction des holdings comme Alpiq ou Axpo, qui sont les gros acteurs du marché aujourd’hui fragilisés.

    Collectivités publiques impuissantes

    Dans le domaine de l’électricité, une chatte n’y retrouverait pas ses petits. Actuellement, par exemple, la Ville de Lausanne est actionnaire d’EOS Holding SA, elle-même actionnaire d’Alpiq Holding SA, dont le siège est à Lausanne. Le fournisseur Romande Energie Holding SA, dont le principal actionnaire est l’État de Vaud, est aussi actionnaire d’EOS Holding SA. La ville de Lausanne est aussi actionnaire de Romande Energie Holding SA. Malgré les importantes participations des collectivités publiques dans ces sociétés, elles restent impuissantes face à la facture des Vaudois, qui va grimper d’environ 50% l’année prochaine.

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  7. De 15 centimes à 1 franc

    Comme le constate le PS dans une série de questions déposées mercredi: une partie des KWh en Suisse seront vendus en 2023 aux alentours de 1 franc, alors que la quasi-totalité du parc électrique suisse produit à moins de 15 centimes le KWh. À l’autre bout, il se trouvera forcément quelqu’un pour encaisser, des intermédiaires divers, mais aussi les collectivités publiques à travers leurs dividendes. Elles devront ainsi essayer d’atténuer la hausse des prix en diminuant les taxes qu’elles prélèvent sur le kWh.

    Au Parlement, d’aucuns ont comparé le marché de l’électricité à un casino, où les joueurs se sont laissés emporter par une spirale spéculative incontrôlable. Dans le processus de réforme qui s’engage, l’intérêt, la sécurité du client final et la stabilité des prix devront être à la base de toutes les réflexions et décisions.

    https://www.lematin.ch/story/lelectricite-un-bien-public-aussi-precieux-que-leau-635127087808

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  8. La prochaine crise du marché de l'énergie : les pénuries de pétroliers


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 15 SEPTEMBRE 2022 - 12:55
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Alors que l'interdiction européenne du pétrole et des carburants russes se profile, la demande de pétroliers - en particulier de navires-citernes à glace - a augmenté.

    Début août, le profit moyen d'un transporteur de produits pétroliers a atteint son plus haut niveau depuis 1997, et il est probable que les profits aient augmenté depuis.

    Les marchés du carburant dans le monde sont également tendus, ce qui, combiné à la flambée des prix des pétroliers, ne fera qu'ajouter aux craintes d'inflation.

    Dans la nouvelle ère de pénurie énergétique, un aspect de la situation a tendance à être négligé : le transport de l'énergie.

    La demande de pétroliers est en hausse depuis que l'Union européenne a imposé des sanctions à la Russie au printemps, et cette tendance ne fera que s'intensifier dans les mois à venir avec l'entrée en vigueur de l'embargo de l'UE sur le pétrole et les carburants russes.

    Bloomberg a rapporté cette semaine que les compagnies maritimes s'efforçaient de mettre la main sur autant de pétroliers de classe glace que possible avant l'embargo, qui entrera en vigueur début décembre pour le pétrole brut et deux mois plus tard pour les carburants.

    Les navires seront nécessaires pour continuer à transporter du pétrole et des carburants russes dans des directions non européennes, note le rapport, car l'UE ne serait plus en mesure de les acheter, même si les acheteurs européens s'approvisionnent actuellement en pétrole et carburants russes en prévision de l'embargo.

    La guerre en Ukraine et la réponse de l'UE à celle-ci ont déjà considérablement animé le marché mondial des pétroliers - et avec lui, les coûts de transport des hydrocarbures.

    Depuis l'invasion du 24 février, la demande de pétroliers a augmenté et devrait rester robuste dans un avenir observable, notamment parce que l'offre est assez limitée, a déclaré Tor Svelland de Svelland Capital à CNBC en août.

    Peu de pétroliers ont été construits au cours des dernières années, et comme ce n'est pas quelque chose que l'industrie peut inverser du jour au lendemain, l'offre restera probablement limitée, ce qui augmentera le coût du transport du pétrole et des carburants.

    En effet, début août, Bloomberg a de nouveau signalé que le marché mondial des pétroliers connaissait la plus forte demande depuis plus de deux décennies. Citant des données de Clarkson Research Services, le rapport indique que le bénéfice moyen d'un pétrolier au cours des deux semaines précédant le 8 août a bondi à 400 000 dollars, le plus élevé depuis 1997.

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  9. À l'heure actuelle, ce chiffre est probablement encore plus élevé et il continuera d'augmenter à mesure que la demande de carburants dépassera l'offre dans les mois à venir. Le marché du carburant est déjà tendu, mais avec l'entrée en vigueur de l'embargo sur le carburant de l'UE contre la Russie, il ne fera que se resserrer, intensifiant encore la concurrence pour une flotte limitée de pétroliers.

    "L'interdiction par l'UE des produits pétroliers russes à partir de février 2023 déclenchera un recalibrage de l'écosystème du commerce pétrolier", a déclaré la compagnie maritime danoise Torm dans un communiqué cité par Bloomberg.

    "Une partie de ce recalibrage commercial a déjà commencé."

    Le recalibrage impliquera non seulement plus de pétroliers pour transporter du carburant et du brut russes vers des destinations non européennes, mais également plus de pétroliers pour approvisionner l'Europe en pétrole et en carburant provenant de sites non russes, y compris, très probablement, des endroits comme la Chine et l'Inde qui traitent du brut russe. en carburants qu'ils exportent ensuite vers, entre autres, l'Europe.

    En plus de ce resserrement attendu du marché des pétroliers, qui aura un effet palpable sur les prix du carburant, le marché mondial du carburant est également tendu et devrait le rester dans les années à venir.

    Selon un rapport de Reuters citant des recherches de S&P, la raison en est une chute record de la capacité mondiale de raffinage, de 3,8 millions de barils par jour entre mars 2020 et juillet 2022, selon un rapport de Reuters citant des recherches de S&P.

    Alors que la capacité de raffinage a diminué, la demande de carburant a augmenté de 5,6 millions de bpj, créant un écart important avec l'offre basée sur la capacité de raffinage. Une nouvelle capacité de raffinage d'environ 2 millions de bpj devrait entrer en service d'ici la fin de l'année prochaine, à moins que des retards ne surviennent, ce qui est tout à fait probable, selon l'étude S&P.

    De nouvelles augmentations de capacité sont beaucoup moins probables car les raffineurs soupçonnent que la poussée de la transition énergétique transformera de nouvelles raffineries potentielles en actifs bloqués avant trop longtemps.

    Dans cette situation, l'avenir ne semble pas bon pour l'abordabilité du carburant ou sa large disponibilité. Avec l'entrée en vigueur de l'embargo européen sur le pétrole et le carburant, la Russie se tournera vers de nouveaux clients en Asie, en Afrique et, selon Bloomberg, en Amérique latine. L'UE elle-même devra s'approvisionner en carburant dans des endroits comme le Moyen-Orient, les États-Unis et, comme indiqué, l'Inde et la Chine.

    En raison de la situation tendue de l'offre, qui ajouterait certainement une prime aux prix du carburant, il n'est pas inconcevable que des pays importateurs de carburants de Russie, tels que les deux géants asiatiques et l'Arabie saoudite, choisissent de faire ce que la Chine fait avec le GNL russe : revendre l'envoyer en Europe à prix d'or.

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  10. Pendant ce temps, les États-Unis connaissent leurs propres contraintes avec les stocks de carburant, notamment les stocks de distillats moyens, de diesel et de carburéacteur. Cela signifie pour l'Europe que l'aide qu'elle peut attendre des États-Unis sous la forme d'une augmentation des exportations de carburant serait limitée : il n'y a tout simplement pas assez de carburant diesel à exporter. Cela pourrait ajouter une prime supplémentaire aux prix du carburant cet hiver.

    Les pétroliers et les carburants entre eux sont sur le point de rendre le carburant plus coûteux cet hiver alors que le monde tente de lutter contre l'inflation. Les pétroliers et les carburants n'aideront pas ce combat.

    https://www.zerohedge.com/energy/energy-markets-next-crisis-oil-tanker-shortages

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  11. La simulation de pénurie alimentaire prédit une AUGMENTATION de 400 % des prix des denrées alimentaires d'ici 2030


    mardi 13 septembre 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Une simulation de pénurie alimentaire de 2015 a prédit que les prix des denrées alimentaires pourraient augmenter jusqu'à 400 % entre 2020 et 2030.

    La simulation, intitulée "Réaction en chaîne alimentaire", a été menée au siège du Fonds mondial pour la nature à Washington, D.C.

    Selon un communiqué de presse de la société Big Ag Cargill, la simulation s'est déroulée sur deux jours et a impliqué 65 décideurs politiques, universitaires et chefs d'entreprise internationaux. (En relation: Les mondialistes prévoient d'affamer le monde avec la pénurie alimentaire depuis au moins 2015.)

    Les participants à la simulation ont été divisés en équipes pour l'Afrique, le Brésil, la Chine, l'Inde, l'Union européenne, les États-Unis et plusieurs autres groupes représentant des entreprises et des investisseurs internationaux et d'autres institutions multilatérales.

    Selon la simulation, une série de catastrophes mondiales conduirait à la dévastation de la capacité mondiale de production alimentaire. Ces catastrophes comprennent des événements météorologiques extrêmes; famines; les crises de réfugiés au Bangladesh, au Tchad, au Myanmar et au Soudan ; et la chute de plusieurs gouvernements, dont celui du Pakistan et de l'Ukraine.

    Dans le communiqué de presse détaillant les résultats de l'événement, Cargill a affirmé que la coopération mondiale "l'a emporté sur l'avantage individuel à court terme".

    "Les équipes se sont engagées à construire ensemble des réseaux d'information internationaux et des systèmes d'alerte précoce sur la faim et les cultures, à investir conjointement dans des technologies agricoles intelligentes et à constituer des stocks alimentaires mondiaux comme tampon contre les chocs climatiques", a déclaré Cargill.

    "La plupart des gens ont commencé avec une perspective à court terme, mais sont passés assez rapidement à une mesure à long terme - ils ont commencé à travailler pour renforcer la résilience au lieu de simplement éteindre les incendies", a déclaré l'économiste de Cargill, Tim Bodin, qui a aidé à concevoir la simulation.

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  12. Les pénuries alimentaires entraînent des taxes sur le carbone et la viande pendant la simulation
    À un moment de la simulation, l'équipe représentant l'UE a suspendu ses règles environnementales pour l'agriculture en introduisant une taxe sur la consommation de viande. Ces règles ont été rapidement renversées après plusieurs années avec le retour à la normale des récoltes.

    Le résultat le plus accrocheur a été un accord entre les États-Unis, l'UE, l'Inde et la Chine pour instituer une taxe mondiale sur le carbone et limiter les émissions de dioxyde de carbone en 2030.

    Le vice-président principal de Cargill Corporate, Joe Stone, a reconnu que les taxes sur le carbone sont une possibilité réelle dans les années à venir.

    «Mais avant de pouvoir envisager d'aller de l'avant avec une telle mesure, nous devons l'étudier et la comprendre beaucoup mieux. Nous devons éviter les distorsions soudaines du marché et les conséquences imprévues », a-t-il déclaré.

    « Prenez la taxe sur la viande que l'Europe voulait imposer et réfléchissez-y. Quelle viande allez-vous taxer ? Cela s'applique-t-il également à la volaille et au boeuf ou à l'aquaculture? Où percevez-vous la taxe, où va l'argent, quelles sont les conséquences imprévues ? »

    Ce que la simulation a montré, c'est que de nombreuses équipes s'appuient sur la crise alimentaire pour établir davantage de politiques de taxation du carbone et de la viande et utilisent ce type de simulations pour déterminer comment les instituer d'une manière où la plupart des gens ne protesteraient pas contre elles. .

    "La solution que les classes dirigeantes ont trouvée était plus de vol. Ils ont l'intention de voler davantage à tout le monde après avoir causé les pénuries alimentaires », a noté Mac Slavo, écrivant pour SHTF Plan. « Si vous avez prêté attention, vous savez que tout cela est intentionnel et nous l'avons reconnu en mars 2020 lorsque les dirigeants ont imputé les fermetures d'usines de transformation de la viande et des aliments au [coronavirus de Wuhan] COVID-19 "scamdemic". ”

    Robert Wheeler de The Organic Prepper a déclaré: «L'ordre du jour devient assez clair. Le fait est que nous savons qu'il existe un programme pour toutes ces choses - pénuries alimentaires, taxe sur la viande, taxe mondiale sur le carbone... Nous serons volés, contrôlés et asservis à un degré tel qu'il sera pratiquement impossible de se libérer si nous permettons à cela de se produire."

    En savoir plus sur la crise alimentaire mondiale sur FoodCollapse.com.

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  13. Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, discute du démantèlement technique de l'infrastructure de production alimentaire qui peut plonger des nations entières dans l'âge des ténèbres.

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

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    Mainstream media outlets FINALLY admit the world is on the brink of food collapse.

    Food collapse, labor shortages affecting restaurants all over the country.

    Global food collapse: 49 Million people at risk of experiencing famine or famine-like conditions, warns the FAO.

    Sources include:

    SHTFPlan.com
    ActivistPost.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-13-food-shortage-simulation-predicted-surge-food-prices.html

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  14. La pénurie de gaz naturel en Europe pourrait déclencher une crise alimentaire


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 14 SEPTEMBRE 2022 - 11:00
    Rédigé par Hale Yaremba via OilPrice.com,


    Les crises énergétiques ont un impact sur presque tous les aspects de nos vies, et cela est particulièrement vrai des marchés alimentaires, la production alimentaire de l'année prochaine devant être gravement menacée.

    Environ 70 % du coût de la production d'engrais est uniquement le prix du gaz naturel, et à mesure que le prix de l'énergie monte en flèche, le coût de fabrication et de transport des aliments augmente parallèlement.

    Dans le même temps, l'invasion de l'Ukraine par la Russie et les menaces de Poutine selon lesquelles la Russie pourrait modifier les routes d'exportation des céréales n'ont fait qu'ajouter à l'incertitude sur les marchés alimentaires.

    Le problème avec une crise énergétique, c'est qu'il s'agit en fait d'une crise de tout. Dans un monde où pratiquement toutes les industries dépendent de l'énergie sous une forme ou une autre, l'inflation galopante est inévitable. Ce phénomène n'est pas nouveau - vous le vivez depuis près de deux ans maintenant. Mais alors que les gouvernements mondiaux utilisent tous les outils de leur trousse pour freiner la hausse des taux d'inflation, ils ne peuvent pas faire grand-chose face à la pénurie alimentaire à venir.

    Depuis des mois, l'industrie agricole avertit le reste du monde que la production alimentaire de l'année prochaine est gravement menacée, car l'industrie des engrais est en ruine. Les engrais NPK industriels (ainsi nommés pour leur composition en azote, phosphore et oxyde de potassium) dépendent fortement des approvisionnements en gaz naturel. Environ 70 % du coût de la production d'engrais est uniquement le prix du gaz naturel, qui est utilisé en quantités généreuses pour fabriquer les boues de phosphate d'ammoniac qui se transforment en engrais. En effet, selon le groupe CRU, les producteurs européens d'engrais de la région perdent actuellement environ 2 000 dollars pour chaque tonne d'ammoniac produite. Ainsi, alors que la Russie a endigué puis arrêté indéfiniment le flux de gaz naturel vers l'Europe, faisant grimper les prix du gaz, le secteur des engrais du continent a stoppé jusqu'à 70 % de sa capacité de production.

    C'est un chiffre extrêmement effrayant. Les engrais commerciaux jouent un rôle essentiel dans 40 à 60 % de la production alimentaire mondiale. À moins que vous ne cultiviez votre propre nourriture ou que vous n'achetiez dans une coopérative parfumée au patchouli, il est probable que la plupart de vos aliments de base dépendent entièrement du NPK (Azote, Acide phosphorique, Potasse). Les experts en sécurité alimentaire ont mis en garde contre ce type de crise depuis des années, et contre cette crise spécifique depuis le début de cette année. Après tant de décennies d'utilisation libérale d'engrais chimiques, les sols agricoles mondiaux sont considérablement appauvris en nutriments. Sans une utilisation accrue d'engrais chaque année, ces terres dégradées ne pourraient produire qu'une fraction de leur capacité actuelle, et avec une teneur en éléments nutritifs inférieure.

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  15. Et tout cela s'ajoute à l'autre crise alimentaire qui se déroule. Ensemble, la Russie et l'Ukraine produisent tellement de céréales pour le marché mondial qu'elles sont souvent qualifiées de grenier à blé du monde. Le conflit dans la région a également mis en péril la livraison des céréales de la région sur le marché, créant une crise alimentaire en Afrique subsaharienne dépendante des importations au début de l'été. Un récent accord sur le commerce des céréales entre les Nations Unies, Moscou et Kyiv – qui tentait d'atténuer ce problème tout en fournissant des revenus à l'Ukraine occupée – a mis en colère le président russe Vladimir Poutine. Bien qu'il ait accepté de laisser l'accord "arnaque" aller de l'avant - pour l'instant - les allers-retours ont mis en évidence l'extrême volatilité des chaînes d'approvisionnement en céréales et en engrais impliquant la Russie.

    En juillet (lorsque les prix du gaz étaient beaucoup plus bas et que la situation de la sécurité alimentaire n'était pas aussi grave qu'elle ne l'est actuellement), l'Association internationale des engrais a estimé que si la guerre de la Russie en Ukraine se prolonge et que les prix élevés du gaz continuent de faire baisser l'utilisation des engrais, près de 2 % de la production mondiale de maïs, de blé, de riz et de soja pourraient être perdus. "Même de petites baisses de la production de céréales peuvent entraîner des augmentations de prix importantes", rapporte Newsweek. Comme toujours, les pays les plus pauvres paieront le prix le plus élevé ; Le resserrement des céréales de cet été en Afrique sera pâle par rapport aux crises alimentaires susceptibles de frapper les pays africains, le Mexique et d'autres pays en développement dotés d'importants secteurs agricoles tributaires des intrants.

    Alors pourquoi le monde ne dirige-t-il pas simplement plus de dollars et de gaz vers les engrais, compte tenu de l'enjeu ? "Les pays ne peuvent pas imposer la production d'engrais parce qu'ils sont tellement inquiets d'avoir suffisamment de gaz naturel pour chauffer les maisons des gens", a déclaré John Harpole, un courtier en gaz naturel pour le secteur des engrais à Newsweek. "Ils doivent choisir entre la production alimentaire future et la chaleur et ils vont choisir la chaleur."

    https://www.zerohedge.com/energy/europes-natural-gas-shortage-could-trigger-food-crisis

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  16. Crise de l'électricité et du gaz: la France se prépare à affronter un hiver sous tension


    le 14 septembre 2022 - 10:40


    Y aura-t-il de l’électricité à Noël ? La Première ministre Elisabeth Borne va dévoiler mercredi les scénarios possibles pour affronter les pics de consommation d'énergie cet hiver, mais aussi les factures qui flambent, au moment où la France est confrontée à sa pire crise énergétique depuis les années 1970.

    Mme Borne évoquera les scénarios d'approvisionnement en énergie du pays, dans la foulée des prévisions présentées le même jour par les gestionnaires des réseaux de transport d'électricité et de gaz (RTE et GRTgaz), ainsi que l'avenir du bouclier tarifaire qui protège les Français des hausses de tarif jusqu'au 31 décembre.

    La Première ministre tiendra une conférence de presse à 15 h 30, entourée des ministres de l'Économie Bruno Le Maire et de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.

    Le gouvernement, qui prépare son projet de budget pour 2023, a promis que la hausse des prix du gaz et de l'électricité resterait "contenue" après l'expiration de ce bouclier.

    En 2022, la hausse sur les tarifs d'électricité pour les particuliers avait été bloquée par le gouvernement à 4 %, et les tarifs du gaz gelés au niveau d'octobre 2021.

    Avec la crise énergétique, les prix de gros de l'électricité en Europe ont explosé, dépassant parfois 1 000 euros le mégawatt/heure contre moins de 50 euros avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie en février, au point que l'Union européenne envisage désormais sérieusement une réforme du marché.

    Sur le marché européen interconnecté, le prix de l'électricité est ajusté sur le prix de revient de la dernière source d'énergie mobilisée pour répondre à la demande, souvent une centrale au gaz.

    Or, le prix du gaz s'est envolé, dans le sillage de la guerre en Ukraine et du tarissement des flux par la Russie, entraînant avec lui celui de l'électricité.

    En France, cette crise est accentuée par une baisse de sa production électrique nucléaire, au plus bas en raison de l'arrêt de la moitié de ses réacteurs (28 sur 56), en travaux pour des maintenances ou des corrosions.

    À cela s'ajoute l'effondrement de la production hydraulique qui a pâti de la sécheresse estivale.

    "Plan de continuité"

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  17. À 10 h 00, RTE va dérouler sa vision de la sécurité énergétique de la France pour le passage de l'hiver 2022/2023, et notamment la période cruciale d'octobre à mars, en fonction de plusieurs scénarios, des plus optimistes au plus pessimistes.

    Seront abordés tous les efforts d'économies volontaires et éco-gestes qui pourront être demandés aux particuliers, collectivités et entreprises pour éviter la surchauffe du système.

    Par exemple en baissant la consommation à des moments clés, comme le matin et en fin de journée, pour alléger les "pics" de consommation.

    Le gestionnaire de réseau de transport de gaz GRTGaz présentera en début d'après-midi son scénario hivernal de prévisions d'approvisionnement en gaz.

    Après avoir appelé fin août les entreprises à agir pour éviter un "rationnement", à l'orée de l'automne, les autorités martèlent un message qui se veut un peu plus rassurant sur la capacité du réseau à tenir face aux pics de demande et épisodes de froid cet hiver, à condition que chacun fasse un effort de "sobriété".

    "Il n’y a pas de risque de black-out, c’est-à-dire de survenue d’un épisode qui ferait s’effondrer l'ensemble du système énergétique", a assuré la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, mardi devant la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale.

    "Nous avons une série de leviers" et en "ultime recours", "un plan de continuité est préparé en cas d'insuffisance d'alimentation en électricité, avec des mesures comme les délestages", a développé la ministre.

    Ces coupures d'électricité, ciblées et organisées à l'avance, font partie d'une panoplie de mesures destinées à éviter le black-out, c'est-à-dire la panne généralisée et incontrôlée.

    La crise énergétique mondiale est venue s'ajouter en France à une situation déjà tendue pour le réseau électrique.

    La sécurité d'approvisionnement avait été placée sous "vigilance" l'an passé pour les hivers 2021-2024, en raison notamment du retard pris dans le branchement de l'EPR de nouvelle génération de Flamanville et dans le développement des énergies renouvelables.

    https://www.francesoir.fr/politique-france/crise-de-l-electricite-et-du-gaz-la-france-se-prepare-un-hiver-sous-tension

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  18. Effondrement de l'approvisionnement: l'Amérique à quelques jours de la fermeture totale du rail alors qu'une grève nationale se profile


    Mercredi 14 septembre 2022
    par : Ethan Huff



    (Natural News) D'ici la fin de la semaine (vers le 18 septembre), plus de 100 000 cheminots à travers l'Amérique devraient quitter leur travail dans le cadre d'une grève nationale du fret ferroviaire qui se prépare depuis plusieurs mois maintenant.

    Des responsables du régime de Biden seraient en pourparlers en ce moment avec d'autres acteurs de l'industrie des transports, notamment des camionneurs, des expéditeurs et du fret aérien, pour élaborer des «plans d'urgence» lorsque la fermeture du rail se matérialisera inévitablement. La perte du service ferroviaire portera un coup dur à une chaîne d'approvisionnement déjà fragile et défaillante, nous dit-on, et les gens de Biden ont été chargés de développer une solution.

    Selon les dernières données, près de 30 % de l'ensemble du fret américain est acheminé par rail. Il s'agit pour moitié de produits en vrac tels que l'énergie, les aliments, les produits chimiques, les métaux et les produits du bois, tandis que l'autre moitié est constituée de conteneurs remplis de biens de consommation.

    Si la grève se déroule comme prévu, l'économie américaine perdra 2 milliards de dollars par jour en perturbations de la chaîne d'approvisionnement. Ce sera un désastre absolu pour Joe Biden et les autres démocrates qui se disputent le maintien de leur parti au pouvoir en novembre.

    Biden remplira-t-il sa promesse d'être le président le plus "pro-syndical" de l'histoire ?
    On nous dit que la plupart des syndicats de cheminots impliqués dans des différends contractuels ont déjà conclu des accords ou sont sur le point de le faire le 12 septembre. Deux syndicats représentant plus de 100 000 travailleurs, cependant, ne l'ont pas fait et sont prêts à faire grève dès que possible. que le vendredi 16 septembre à moins qu'un accord puisse être conclu avant la date limite.

    Au cœur du conflit se trouve la revendication des syndicats que les travailleurs soient autorisés à prendre des congés sans solde pour les rendez-vous chez le médecin sans être pénalisés. Les compagnies de chemin de fer ne veulent pas autoriser cela alors que les travailleurs disent que cela doit faire partie de leurs contrats s'ils veulent continuer à travailler vendredi dernier.

    C'est maintenant ou jamais pour Joe Biden de faire fonctionner les lignes ferroviaires, ce qu'il a promis de faire lorsqu'il s'est autoproclamé le président le plus pro-syndical de l'histoire américaine. Si les discussions tournent au vinaigre et que les travailleurs quittent le travail ce vendredi, alors Biden se sera encore plus ridiculisé qu'il ne l'a déjà fait.

    "La plupart des 12 syndicats de cheminots ont conclu ou finalisé des accords de principe avec BNSF Railway, CSX Corp., Kansas City Southern, Norfolk Southern Corp. et Union Pacific Corp. via la négociation collective", explique un rapport.

    «Deux syndicats, la Fraternité des ingénieurs et des ouvriers de locomotive et l'Association internationale des tôliers de l'air, des chemins de fer et des transports, qui représentent plus de 100 000 travailleurs, résistent toujours lors des négociations.»

    Amtrak a déjà averti les passagers que les interruptions de voyage ont déjà commencé car trois itinéraires longue distance ont été supprimés de son horaire de train.

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  19. "Pour éviter d'éventuelles perturbations des passagers en cours de route … ces ajustements sont nécessaires pour garantir que les trains puissent atteindre leurs terminaux avant l'interruption du service ferroviaire de fret si une résolution dans les négociations n'est pas trouvée", a déclaré Amtrak dans un communiqué.

    L'Association of American Railroads a également émis un avertissement selon lequel une fermeture du rail de fret pourrait "dévaster" les opérations d'Amtrak, entraînant l'impossibilité pour des dizaines de milliers - sinon plus - de navetteurs quotidiens de se rendre au travail.

    "Le charbon s'arrêterait", a ajouté Ernie Thrasher, PDG de Xcoal Energy & Resources LLC, le plus grand exportateur américain de charbon. "Aucun charbon ne bougera tant que ces gars-là ne retourneront pas au travail."

    Les autres produits qui ne circuleront plus comprennent le maïs, le blé, le soja et d'autres produits à base de soja, le bois, le sirop de maïs, l'alcool, les aliments pour animaux et divers autres grains et aliments.

    Alors que la chaîne d'approvisionnement mondiale se désintègre, nous vous tiendrons au courant des dernières nouveautés sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    NaturalNews.com
    ZeroHedge.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-america-days-away-nationwide-rail-strike-shutdown.html

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  20. Idiocratie : l'Allemagne admet enfin que « sans énergie, aucune économie ne peut fonctionner »


    mercredi 14 septembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Peter Adrian, chef de l'Association des chambres allemandes de l'industrie et du commerce (DIHK), serait en train de comprendre le fait que l'Allemagne s'effondrerait sans l'énergie russe.

    Ce n'était que du plaisir et des jeux à pousser l'ours russe pour des points politiques. Mais maintenant que le gazoduc Nord Stream 1 (NS1) a été fermé et que l'hyperinflation se profile, la seule chose à laquelle l'Allemagne doit s'attendre est de se précipiter vers le bas. (En relation: City dit que l'hyperinflation apocalyptique revient en Allemagne - un autre effondrement de style République de Weimar?)

    "De plus en plus d'entreprises nous disent qu'elles n'ont plus du tout de contrat de fourniture d'électricité ou de gaz", a déclaré Adrian à la salle de presse RND. « Le robinet est fermé dans le vrai sens du terme. Mais sans énergie, aucune économie ne peut fonctionner.

    L'une de ces entreprises est Hakle, une entreprise de papier hygiénique qui a récemment déposé son bilan en invoquant des coûts énergétiques et matériels insoutenables. Les industries de l'acier et des métaux non ferreux sont également au bord de l'effondrement, nécessitant du gaz naturel bon marché et abondant pour maintenir la production.

    "D'autres secteurs, tels que la production chimique, l'agriculture et l'automatisation sont tous confrontés à des obstacles sans précédent alors que la crise énergétique continue de saisir l'Europe", rapporte REMIX.

    L'inflation des coûts de l'énergie, un défi majeur pour plus de la moitié de l'économie allemande
    Ce qui était autrefois la puissance économique de l'Europe s'effondre rapidement alors que les chefs d'entreprise, les associations et les consommateurs réalisent enfin que l'Allemagne est en grave difficulté.

    Au cours des prochains mois, les approvisionnements en énergie diminueront au point que le rationnement s'ensuivra plus que probablement. Les pénuries d'énergie qui en résultent fausseront davantage les prix au-delà des niveaux inflationnistes actuels, conduisant finalement à un effondrement.

    La Fédération des industries allemandes (BDI) a récemment mené une analyse qui a révélé que l'inflation des coûts énergétiques est un défi majeur pour 58 % des entreprises allemandes, tandis que 34 % disent que ce qui se passera ensuite déterminera leur survie.

    Si les prix continuent de monter en flèche, ces 34 % seront en faillite en un rien de temps. L'effet domino de cette perte entraînera probablement également un pourcentage encore plus élevé avec elle.

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  21. Certaines entreprises sont en pourparlers pour déplacer leur production à l'étranger afin de survivre. Si cela se produit à une échelle suffisamment grande, l'Allemagne finira par perdre une grande partie de sa base manufacturière.

    Une entreprise allemande sur 10 a déjà réduit ou même arrêté toute production en raison de la crise énergétique. Une entreprise allemande sur quatre est actuellement en train de délocaliser des actions ou une partie de la production et des emplois à l'étranger vers des pays où l'énergie est plus abordable.

    "Dans les métiers, une vague de faillites déferle sur nous à cause de la crise énergétique", explique Hans Peter Wollseifer, président de l'Association centrale de l'artisanat allemand.

    "Chaque jour, nous recevons des appels d'urgence d'entreprises qui sont sur le point d'arrêter la production parce qu'elles ne peuvent plus payer les factures énergétiques énormément augmentées."

    Si l'Allemagne pensait que le covid était mauvais, attendez simplement que l'hiver s'installe et que plus d'énergie soit nécessaire pour chauffer le pays. À ce stade, la crise s'accélérera au-delà de ce que la plupart des Allemands ont vu de toute leur vie.

    "Les gouvernements et les banquiers centraux sont également limités dans leurs choix politiques", explique REMIX. "Contrairement à la crise des coronavirus, ils ne peuvent plus lancer des centaines de milliards de dollars de relance sur le problème, car cela exacerberait probablement considérablement une inflation déjà élevée."

    L'expert de l'Institut de recherche économique (IWH), Steffen Müller, affirme que, du moins jusqu'à récemment, l'économie allemande se maintenait plutôt bien et semblait prête à rebondir. Le temps nous dira comment le pays se comporte dans un scénario potentiellement le pire.

    Les choses ne vont pas bien pour l'Allemagne ou vraiment pour qui que ce soit dans les mois à venir. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RMX.news
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-idiocracy-germany-admits-without-energy-no-economy.html

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  22. 60 % du secteur manufacturier britannique risque de fermer en raison de la flambée des prix de l'énergie


    Mercredi 14 septembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Les résultats d'une nouvelle enquête sur l'état actuel de l'économie britannique sont désastreux, suggérant que jusqu'à six entreprises manufacturières sur 10 dans tout le pays risquent de fermer en raison de factures énergétiques qui montent en flèche.

    MakeUK, une organisation de pression manufacturière au Royaume-Uni, a annoncé ce week-end que 42% des entreprises manufacturières britanniques avaient déjà vu leurs factures d'électricité doubler au cours de l'année écoulée. Environ 32 % ont également vu leurs factures de gaz doubler.

    Déjà, quelque 13 % des fabricants britanniques ont dû réduire leurs heures de fonctionnement pour compenser l'inflation énergétique. Douze pour cent, nous dit-on, ont dû licencier des travailleurs en raison de l'augmentation constante des coûts de l'énergie.

    Si les choses continuent sur la trajectoire hyperinflationniste actuelle – et il n'y a aucune raison de croire le contraire – alors au moins 50 % des entreprises manufacturières britanniques devront fermer entièrement leurs portes dans les mois à venir.

    "Les factures énergétiques incontrôlables menacent désormais 60% des fabricants", a tweeté Make UK Campaigns sur la façon dont le chiffre est probablement encore plus élevé. "Nous appelons le gouvernement à envisager d'introduire un plafonnement des prix de l'industrie pour geler les factures d'énergie à un taux convenu."

    Goldman Sachs annonce que l'inflation au Royaume-Uni atteindra 22% l'année prochaine
    MakeUK a proposé un plan de 100 jours pour le nouveau Premier ministre entrant, Liz Truss, qui établit une feuille de route pour naviguer dans la crise. Il comprend:

    Un appel pour un budget d'urgence

    Une demande de commission du Comité consultatif sur la migration (MAC) pour examiner la liste des professions en pénurie (SOL), qui décrit les postes clés très demandés dans tout le Royaume-Uni qui pourraient être recrutés plus facilement à l'étranger
    Une refonte de la taxe d'apprentissage "pour garantir que les Britanniques comptent parmi les travailleurs les plus productifs et les plus qualifiés au monde"

    Alors que les prix de gros de l'énergie continuent de monter en flèche, le géant bancaire Goldman Sachs a émis une prévision selon laquelle l'inflation au Royaume-Uni pourrait atteindre 22 % l'année prochaine. C'est ce que MakeUK essaie de planifier en repoussant les plafonds des prix de l'énergie.

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  23. Gardez à l'esprit que l'un des principaux moteurs de la crise énergétique est la pression agressive du Royaume-Uni et de l'Europe en faveur de l'énergie «verte». Il s'avère que passer au vert signifie s'appuyer sur tout, y compris sur l'économie nationale.

    Une manifestation contre les factures d'énergie est également en cours en octobre, lorsque des dizaines de milliers de Britanniques devraient simplement cesser de payer.

    Goldman Sachs affirme que le secteur de l'énergie pourrait voir une autre augmentation de prix de plus de 80 % avant la prochaine révision en janvier, ce qui, combiné à d'autres secteurs de l'économie, « implique une inflation globale culminant à 22,4 % ».

    "L'inflation en Grande-Bretagne a atteint les deux chiffres pour la première fois depuis les années 1980 en juillet, et si les estimations de Goldman Sachs devaient se réaliser, le coût de la vie au Royaume-Uni serait proche d'atteindre le record d'après-guerre du pays de 24,5 % d'inflation. en août 1975 », a rapporté Remix à propos de la situation.

    "Aux États-Unis, nous devrions refuser de payer des impôts jusqu'à ce que le gouvernement nettoie son acte", a ajouté un commentateur de Natural News à propos de la situation ici, où les prix du gaz restent artificiellement élevés tandis que les parties prenantes de l'industrie et les responsables gouvernementaux corrompus (c'est-à-dire 10% pour le "grand gars") engranger des profits records.

    "C'est bien plus que temps pour une révolte fiscale."

    Une autre personne a accepté, soulignant que les criminels responsables ne méritent pas un autre sou des contribuables qu'ils ont déjà violés et pillés avec leurs politiques perverses.

    "Il devrait y avoir des émeutes partout avec des gens partout faisant entendre leur voix haut et fort", a suggéré un autre.

    Les dernières nouvelles sur la crise énergétique européenne sont disponibles sur EnergySupply.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RMX.news
    NaturalNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-60percent-uk-manufacturing-risks-closure-inflation.html

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  24. Les Nations Unies SUPPRIMENT la Russie d'exporter des engrais afin que les pays occidentaux ne subissent pas une aggravation de l'effondrement alimentaire


    Mercredi 14 septembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Dans le but d'empêcher une crise alimentaire mondiale, les Nations Unies ont eu recours à la grâce de la Russie concernant son exportation d'engrais vers les pays occidentaux qui en ont besoin pour leurs cultures.

    À l'heure actuelle, un pipeline qui transportait autrefois de l'ammoniac de la Russie au port ukrainien de Yuzhny sur la mer Noire (rebaptisé « Pivdennyi ») est hors service en raison des sanctions occidentales contre la Russie. Par conséquent, les engrais indispensables ont cessé de couler.

    Avant la guerre, la Russie représentait environ 20 % de toutes les exportations mondiales d'ammoniac, un ingrédient clé dans la production d'engrais. Le pipeline d'ammoniac en question est fermé depuis le début de l'invasion de février. (En relation: L'ONU avertissait vers le début de la covid qu'une «famine aux proportions bibliques» allait bientôt arriver.)

    Le pipeline est capable de transférer 2,3 millions de tonnes d'ammoniac par an, ce qui serait vraiment bien en ce moment au milieu de la flambée des prix des engrais.

    "Les pourparlers vont dans la bonne direction et tous les efforts sont déployés par toutes les parties à tous les niveaux pour garantir un résultat positif", a annoncé Rebeca Grynspan, responsable du commerce à l'ONU.

    Poutine fustige l'ONU pour un accord sur les céréales antérieur, affirme que l'UE en a pris la majeure partie plutôt que les pays les plus pauvres auxquels il était destiné
    Si la proposition de l'ONU est un succès, quelque deux millions de tonnes d'engrais russes d'une valeur de 2,4 milliards de dollars partiront de l'ex-Union soviétique par le même corridor maritime qui a été récemment débloqué à la suite d'un accord sur les céréales conclu entre la Russie et l'Ukraine.

    Cet accord a été conclu en juillet dans le cadre d'un accord négocié par l'ONU similaire à celui actuellement en cours de négociation pour l'ammoniac. Une partie de cet accord comprenait une promesse de l'ONU d'aider à lever les sanctions internationales sur les exportations non seulement d'engrais, mais aussi de produits alimentaires.

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  25. Vladimir Poutine a accepté cet accord en vertu d'un accord selon lequel les céréales seraient envoyées aux pays en développement les plus pauvres qui en ont le plus besoin - des pays qui ont été pris dans la mêlée des sanctions occidentales. Une grande partie, cependant, a fini par être réacheminée directement vers l'Union européenne.

    "Presque tout le grain exporté d'Ukraine" a fini dans l'UE, a déclaré Poutine en condamnant cet accord et la manière dont il a été géré.

    Dans cet esprit, on se demande si Poutine envisagera même la nouvelle proposition de l'ONU sur les engrais, car cela aussi finira probablement par être envoyé à des pays comme l'Allemagne et la France, par opposition à l'Afrique et au Moyen-Orient.

    "Que diriez-vous que l'ONU exhorte les États-Unis d'une guerre sans fin à CESSER d'envoyer des armes aux nazis en Ukraine !" a écrit un commentateur sur RT.

    « A qui, ONU ?! Afrique ou UE ?! Comme vous l'avez fait avec les exportations de céréales », a écrit un autre sur l'endroit où tous les engrais en question seront acheminés une fois que tout sera dit et fait. «Sur 89 navires qui ont quitté l'Ukraine, 87 ont fini dans l'UE et seulement deux en Afrique. Sanglants menteurs, voleurs et hypocrites.

    Plusieurs autres ont souligné que l'UE est "détenue et contrôlée par l'ennemi", ajoutant que l'ONU est le "plus grand groupe terroriste au monde" et doit être immédiatement supprimée.

    "Méfiez-vous de l'ONU", a écrit un autre. "Ils veulent que l'Europe aide à voler l'engrais comme ils l'ont fait pour le grain."

    "Ne pas vendre d'engrais aux États de l'UE et de l'OTAN pourrait être une meilleure affaire que la Russie leur vendant des engrais", a ajouté quelqu'un d'autre. "Ils sont, après tout, engagés dans une guerre par procuration contre la Russie, et la Russie ne leur doit rien.”

    Une autre chose à considérer est que les intrants d'engrais peuvent également être utilisés pour fabriquer des explosifs, ce qui est une autre préoccupation que la Russie voudra prendre en compte avant de se conformer à la demande de l'ONU.

    Vous trouverez plus d'informations sur ce sujet sur FoodCollapse.com.

    Les sources de cet article incluent :

    RT.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-un-begging-russia-export-fertilizer-food-collapse.html

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  26. Bezos et Musk investissent des milliards pour transformer l'Amérique

    PAR L'ÉCONOMIE ROGUE
    Cher lecteur,

    C'est troublant.

    Avez-vous entendu parler de la COP26 ?

    Presque personne ne l'a fait.

    Au milieu des distractions causées par des problèmes de santé persistants, des conflits à l'étranger, des pénuries et l'inflation…

    La secrétaire au Trésor, Janet Yellen, a récemment pris la parole lors de la COP26 à Glasgow, en Écosse, pour s'adresser à certaines des personnes les plus puissantes du monde, notamment :

    Le président américain, Joe Biden…
    Le roi Charles III…
    Premier ministre canadien, Justin Trudeau…
    Le président français Emmanuel Macron…
    … et beaucoup plus…
    Depuis la scène, Yellen a appelé les dirigeants mondiaux à s'engager dans une "transition mondiale" de 150 000 milliards de dollars de notre économie.

    Depuis lors, Bank of America a signé cet accord, avec 131 pays, 234 villes et 695 des plus grandes entreprises du monde.

    Jeff Bezos et Elon Musk ont ​​également investi dans cette "transformation".

    À quoi poussent Yellen, Biden, Trudeau, Bezos et Musk ?

    Et qu'est-ce que cela signifie pour votre argent ?

    Journaliste d'investigation et économiste de renom, Nomi Prins a suivi l'argent...

    Et ce qu'elle a trouvé est surprenant.

    Elle dit:

    "Alors que la plupart des Américains sont distraits par les grands titres des médias appelant à un krach boursier, j'ai trouvé des preuves qui montrent où les élites dépensent 150 000 milliards de dollars pour "transformer" l'économie. La plupart des Américains seront choqués quand ils verront ce qui se passera ensuite.

    Je devais en savoir plus, alors j'ai programmé une interview pour Nomi afin d'approfondir les détails de cette "transformation".

    Elle a accepté de faire l'interview à une condition : elle voulait l'enregistrer pour pouvoir faire passer son message devant le plus d'Américains possible avant qu'il ne soit trop tard.

    Rendez-vous ici pour voir comment cette "transformation" se déroulera - et ce que cela signifie pour votre argent.

    Salutations,

    Maria Bonaventura
    Rédacteur en chef principal, Distortion Report

    https://www.zerohedge.com/sponsored-post/bezos-musk-investing-billions-transform-america

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  27. Voici pourquoi Toyota ne mise pas entièrement sur les véhicules électriques


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 15 SEPTEMBRE 2022 - 00:40


    Alors que de nombreux constructeurs automobiles ont engagé des milliards de dollars ces dernières années pour développer des véhicules tout électriques, Toyota a abordé la technologie avec beaucoup plus de prudence - optant plutôt pour continuer à investir dans un portefeuille de véhicules hybrides "électrifiés", comme la Prius.

    Et tandis que le constructeur automobile japonais était le chouchou des écologistes américains et des consommateurs « éco-conscients » lorsque la Prius est sortie il y a deux décennies, étant donné qu'elle figurait parmi les véhicules les plus propres et les plus économes en carburant jamais produits, Toyota est tombé en disgrâce avec la foule «verte» grâce à son hésitation à se lancer dans la mêlée avec des véhicules entièrement électriques.

    "Le fait est qu'un hybride aujourd'hui n'est pas une technologie verte. La Prius hybride fonctionne avec un moteur à combustion polluant que l'on trouve dans n'importe quelle voiture à essence", a déclaré Katherine García, directrice de la campagne Clean Transportation for All du Sierra Club, dans un article de blog récent.

    Comme le note CNBC, Greenpeace a maintenant classé Toyota au bas d'une liste des efforts de 10 constructeurs automobiles pour « décarboner », citant la lenteur des progrès de sa chaîne d'approvisionnement et des ventes de véhicules zéro émission, qui représentent moins de 1 % des ventes de Toyota.

    Alors que des constructeurs automobiles tels que General Motors, Volkswagen et d'autres se sont engagés à investir des milliards de dollars ces dernières années pour développer des véhicules tout électriques qui ne nécessitent pas de moteurs à essence comme la Prius, Toyota a pris du retard, annonçant seulement plus récemment des investissements similaires. Elle continue également d'investir dans un portefeuille de véhicules "électrifiés" - allant des hybrides traditionnels comme la Prius à son crossover électrique bZ4X récemment lancé, mais décevant. -CNBC

    Les dirigeants de Toyota affirment que la stratégie est appropriée compte tenu du manque d'infrastructures de soutien aux véhicules électriques dans le monde, ainsi que du coût élevé des véhicules.

    "Pour autant que les gens veulent parler de véhicules électriques, le marché n'est pas assez mature et assez prêt... au niveau où nous aurions besoin d'un mouvement de masse", a déclaré Jack Hollis, vice-président exécutif des ventes chez Toyota Motor North. Amérique, lors d'une réunion virtuelle en août.

    Cela dit, Toyota a annoncé en décembre un investissement de 28 milliards de dollars (4 billions de yens) dans une gamme de 30 véhicules électriques à batterie d'ici 2030, et continuera d'investir dans des hybrides tels que la Prius et d'autres modèles potentiels.

    « Nous voulons offrir à chacun la manière dont il peut contribuer le plus à la résolution du changement climatique. Et nous savons que cette réponse n'est pas de traiter tout le monde de la même manière », a déclaré Gill Pratt, scientifique en chef de Toyota et PDG de Toyota Research. Institute, lors d'un événement médiatique le mois dernier dans le Michigan.

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  28. Entre-temps, la société a annoncé il y a plusieurs semaines qu'elle allouerait 5,6 milliards de dollars à la production de batteries hybrides et tout électriques au Japon et aux États-Unis dans le cadre du plan 2030 susmentionné.

    Et bien que cela puisse sembler une somme d'argent importante, ce qui est le cas, il est éclipsé par les engagements de concurrents tels que GM et VW - dont le premier a annoncé qu'il proposera exclusivement des véhicules électriques "zéro émission" d'ici 2035. D'autres constructeurs automobiles ont s'est engagé à fixer des objectifs pour qu'au moins 50 % de ses véhicules vendus en Amérique du Nord soient entièrement électriques.

    Toyota, quant à lui, a pour objectif de vendre 3,5 millions de véhicules électriques par an d'ici 2030 - plus d'un tiers des ventes actuelles, qui comprennent environ 1 million d'unités de sa marque Lexus, qui proposera exclusivement des véhicules électriques en Europe, en Amérique du Nord et à Chiny d'ici alors.

    "Je pense qu'ils couvrent leurs paris", a déclaré Paul Waatti, responsable de l'analyse de l'industrie chez AutoPacific. "D'un point de vue mondial, de nombreux marchés évoluent à des rythmes différents. Les États-Unis sont plus lents que l'Europe et la Chine dans l'adoption des véhicules électriques, mais il existe d'autres marchés où il n'y a aucune infrastructure. Adopter une approche variée des groupes motopropulseurs est logique pour un monde constructeur automobile."

    Selon Toyota, les véhicules électriques sont une solution, et non la solution, pour les objectifs de neutralité carbone de l'entreprise.

    "Dans un avenir lointain, je n'investis pas en supposant que les batteries électriques représentent 100 % du marché. Je ne le vois tout simplement pas", a déclaré Jim Adler, directeur général fondateur de Toyota Ventures. "Ce sera vraiment un marché mixte."

    https://www.zerohedge.com/energy/heres-why-toyota-isnt-going-all-electric-vehicles

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  29. Le changement climatique rend les gens plus en colère, alors donnez-leur un panneau solaire à câliner (ça aidera dans 100 ans)


    September 15th, 2022 |


    Une nouvelle étude publiée dans le Lancet montre que les gens ne deviennent pas plus aimables lorsque les températures sont de 42 à 45°C. Apparemment, les tweets haineux étaient les plus bas entre 12 et 21 °C mais atteignaient une « prévalence de 22 % » aux températures les plus élevées. Lo, verily and ka-ching, il s'ensuit que le changement climatique provoquera des tweets plus méchants. Si nous tirons sur cette chaîne logique, votre échappement de voiture rend les gens méchants, votre steak de bœuf provoque une polarisation politique, et si tout le monde possédait un véhicule électrique, il n'y aurait plus de guerres.

    De toute évidence, les croyants diront que nous devrions résoudre notre angoisse des médias sociaux avec des subventions pour les panneaux solaires et les puces de cricket. Mais les sceptiques diront que nous avons juste besoin de beaucoup de pompes à chaleur à cycle inversé à 10 cents le kilowattheure. Brûlez du pétrole et calmez le monde…

    Les climatiseurs sauvent 20 000 vies aux États-Unis chaque année et réduisent également la pollution de l'air intérieur.

    Oh le dilemme - pour arrêter les tweets sarcastiques les jours chauds, nous pourrions dépenser 100 billions de dollars pour essayer de changer le climat et attendre le siècle prochain, ou nous pourrions simplement revenir à ce que nous avions il y a 20 ans - le miracle de la climatisation bon marché ?

    Le changement climatique (les saisons) met les gens en colère.

    Les mauvaises politiques climatiques engendrent la haine et le mécontentement. En Espagne, il est interdit aux gens de régler leur climatiseur en dessous de 27 degrés, et au Royaume-Uni et en Allemagne, de nombreuses personnes n'ont pas les moyens de les allumer. Cela mettrait n'importe qui en colère.

    En parlant d'Espagne, la climatisation a déjà sauvé des milliers d'Espagnols.

    Bloomberg News : « Le changement climatique (les saisons) nous rend plus en colère en ligne. Beaucoup plus en colère.
    Les commentaires haineux augmentent sur les réseaux sociaux lorsque les températures dépassent 30 degrés Celsius (86 Fahrenheit), ont découvert des chercheurs de l'Institut de recherche sur l'impact climatique de Potsdam. … "C'est un indicateur de la capacité des gens à s'adapter aux températures élevées", a déclaré Annika Stechemesser, auteur principal de l'étude publiée dans The Lancet Planetary Health au début du mois. "Si les températures deviennent trop chaudes ou trop froides, nous avons constaté une augmentation des discours de haine en ligne, quelles que soient les différences socio-économiques, la religion ou les convictions politiques."

    "Nos résultats montrent que si septembre est particulièrement chaud, nous pouvons nous attendre à voir plus de haine sur Twitter", a déclaré Stechemesser.

    Tweets haineux
    …. Le gardien

    Les données brutes consistaient en plus de 4 milliards de tweets, couvrant une période allant du 1er mai 2014 au 1er mai 2020. Les tweets ont été échantillonnés à partir du flux Twitter à 1 % à l'aide d'un cadre englobant autour des États-Unis pour extraire les tweets géolocalisés dans le pays.

    La vérité était que les gens n'étaient pas non plus beaucoup plus heureux à moins 3 - 6C, et ils auraient pu être aussi grincheux à moins 15 qu'à 45C, mais cela ne faisait pas partie de l'étude. L'énergie bon marché résout tous ces problèmes et les fantasmes climatiques n'en résolvent aucun.

    - voir graph sur site -

    h/t à Marc Morano chez Climate Depot

    Photo : Ildar Sagdejev (spécieux)

    RÉFÉRENCE

    Impacts de la température sur le discours de haine en ligne : preuves de 4 milliards de tweets géolocalisés des États-Unis, The Lancet, | VOLUME 6, NUMÉRO 9, E714-E725, 01 SEPTEMBRE 2022

    https://joannenova.com.au/2022/09/climate-change-makes-people-angrier-so-give-them-a-solar-panel-to-hug-itll-help-in-100-years/

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  30. Terrible nouvelle pour l’UE : la Norvège, son plus grand fournisseur de gaz, rejette le plafonnement des prix du gaz


    By Cheikh Dieng
    15 septembre 2022


    Devenue le plus exportateur de gaz vers l’UE (après la Russie), la Norvège dit être prête à livrer son gaz à l’Union Européenne mais refuse catégoriquement toute idée de plafonner les prix tel qu’annoncé il y a une semaine par la Commission Européenne

    Une mesure qui risque de diviser profondément l’Europe. Il y a moins d’un moins, les 27 se sont crêpé les chignons sur la question de savoir s’il fallait ou non autoriser les ressortissants russes à entrer en Europe. Pour beaucoup de pays membres de l’UE, cette mesure, voulue par Zelensky, n’avait aucun sens.

    Désormais, c’est le gaz qui risque de mettre les uns contre les autres. En effet, ces derniers jours, l’Union Européenne a annoncé un plafonnement des prix du gaz, déclenchant ainsi la colère de Vladimir Poutine qui, depuis Moscou, a menacé de couper le gaz à tout pays qui l’applique.

    Apparemment, Poutine ne serait le seul à s’indigner. En Occident, la mesure est loin de faire l’unanimité. En effet, d’après plusieurs sources dont l’agence de presse Reuters, la Norvège rejette catégoriquement tout plafonnement des prix du gaz, jugeant que cette décision ne résoudra pas les problèmes liés à la pénurie.

    En effet, d’après Reuters, le premier ministre norvégien, Jonas Gahr Stoere, a publié un communiqué dans lequel il affirme, noir sur blanc, que son pays est prêt à un échange avec les autorités européennes, tout en se disant sceptique à l’idée de plafonner les prix du gaz. Pour lui, cela ne sera pas une solution.

    Mais, sur ce sujet, c’est le média britannique TheSpectator.co.uk qui nous apporte les meilleurs éléments de réponse. En effet, d’après cette source, le refus de la Norvège s’explique par le fait que ce pays est devenu le seul fournisseur en gaz de l’Union Européenne et compte sur ce sésame pour se remplir les poches.

    Et ce pays, dont l’exportation du gaz lui a rapporté plus de 17 milliards de dollars cette année, veut bien aider ses partenaires européens mais pas à titre gracieux.

    En attendant la suite de cette affaire, les réactions ont été nombreuses sur les réseaux sociaux.

    https://lecourrier-du-soir.com/terrible-nouvelle-pour-lue-la-norvege-son-plus-grand-fournisseur-de-gaz-rejette-le-plafonnement-des-prix-du-gaz/

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  31. Scandale en France : en 2021, l’Assemblée Nationale a dépensé 3,5 millions d’euros en chauffage et électricité


    By Cheikh Dieng
    15 septembre 2022


    Après l’Elysée, l’Assemblée nationale et le Sénat ont été épinglés pour manque de sobriété en matière de consommation d’énergie. Les deux bâtiments ont payé des millions d’euros en gaz et électricité l’année dernière, d’après une révélation faite par RTL ce 14 septembre

    Une autre information qui risque de susciter un vif tollé en France. Et ce, au moment où l’Etat demande aux citoyens de faire preuve de plus de sobriété dans leur consommation d’énergie. Apparemment, les institutions publiques ne sont pas des exemples à suivre, comme le confirment plusieurs sources fiables.

    En effet, il y a moins d’un an, Lecourrier-du-soir.com, en se basant sur des sources crédibles, avait révélé la facture de gaz de l’Elysée qui s’élevait en 2020 à 345 149 euros. Une facture salée qui avait provoqué une vive indignation. Mais, l’Elysée ne serait pas le seul lieu de pouvoir à avoir payé autant d’argent pour consommation excessive d’énergie en une seule année. D’autres institutions ont également été épinglées.

    Ainsi, d’après une information de la chaîne RTL rendue publique ce 14 septembre, l’Assemblée Nationale, où siègent les représentants du peuple, ne fait pas non plus figure de bon élève en matière de sobriété énergétique. Et preuve à l’appui, la facture d’électricité, de chauffage et d’eau (de ce bâtiment) a été estimée à 3,5 millions d’euros l’année dernière.

    “Quant à l’Assemblée nationale et le Sénat, les chiffres donnent le vertige. À l’Assemblée, 3,5 millions d’euros ont été dépensés l’an dernier pour le chauffage, l’électricité et l’eau. Nous avons parfois assisté à des aberrations : la climatisation à fond, avec les portes et les fenêtres ouvertes en plein été”, révèle la source.

    Concernant le Sénat, RTL poursuit : “au Sénat aussi, la climatisation et le chauffage fonctionnent bien, près de 1,5 million dépensés en électricité et en gaz, ajoutez à cela 150.000 euros pour l’eau, notamment pour l’arrosage des jardins du Luxembourg. Le président du Sénat Gérard Larcher a promis des mesures de sobriété énergétique dès le mois prochain”.

    Cette révélation est faite au moment où les Etats européens, notamment la France, anticipent une véritable crise énergétique qui risque de provoquer de vives tensions sociales en raison de la cherté des prix du gaz. Face à cette situation, le mot d’ordre reste la sobriété. Autrement dit, dépenser le moins d’énergie possible.

    Ainsi, des bâtiments publics ont été sommés de réduire leur consommation en énergie en éteignant les lumières à certaines heures de la journée. La Tour Eiffel, les locaux du ministère de l’Energie (situés à La Défense) et les publicités lumineuses ont été pointés du doigt.

    https://lecourrier-du-soir.com/scandale-en-france-en-2021-lassemblee-nationale-a-depense-35-millions-deuros-en-chauffage-et-electricite/

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  32. L'USDA ouvre l'initiative People's Garden aux jardins à l'échelle nationale


    WASHINGTON,
    le 9 septembre 2022


    – Le département américain de l'Agriculture (USDA) étend son initiative People's Garden pour inclure les jardins éligibles à l'échelle nationale. Les jardins scolaires, les jardins communautaires, les fermes urbaines et les projets d'agriculture à petite échelle dans les zones rurales, suburbaines et urbaines peuvent être reconnus comme un «jardin du peuple» s'ils s'inscrivent sur le site Web de l'USDA et répondent à des critères tels que bénéficier à la communauté, travailler en collaboration, intégrer les pratiques de conservation et l'éducation du public. Les emplacements des jardins du peuple affiliés seront indiqués sur une carte sur le site Web de l'USDA, présentés dans les communications de l'USDA et munis d'un panneau People's Garden.

    "Nous invitons les jardins du pays à se joindre à nous dans l'effort de People's Garden et tout ce qu'il représente", a déclaré le secrétaire à l'Agriculture Tom Vilsack, "Les jardins locaux à travers le pays partagent les objectifs de l'USDA de construire des systèmes alimentaires locaux plus diversifiés et résilients, permettant aux communautés de se rassembler. autour de l'élargissement de l'accès à des aliments sains, de la lutte contre le changement climatique et de la promotion de l'équité.

    À propos des jardins

    L'USDA a initialement lancé la People's Garden Initiative en 2009. Elle porte le nom du "People's Department", le surnom de l'ancien président Abraham Lincoln pour l'USDA, qui a été créé pendant sa présidence en 1862.

    People’s Gardens cultive des aliments frais et sains et soutient des systèmes alimentaires locaux résilients ; enseigner aux gens comment jardiner en utilisant des pratiques de conservation; entretenir l'habitat des pollinisateurs et de la faune et créer des espaces verts pour les voisins.

    Le secrétaire Vilsack a ajouté : « Nous encourageons les jardins existants et les nouveaux jardins à rejoindre le mouvement. La culture d'aliments locaux profite aux communautés locales à bien des égards, et nous proposons des ressources techniques pour vous aider. De plus, c'est un excellent moyen de communiquer avec les membres de votre équipe locale de l'USDA. »

    Comment s'inscrire

    Pour en savoir plus sur People’s Garden ou pour en enregistrer un, visitez la page Web People’s Garden à l’adresse usda.gov/Peoples-Garden. L'emplacement et les informations sur chaque jardin seront affichés sur une carte. L'USDA enverra un panneau "People's Garden" à chaque jardin et invitera à un engagement continu par le biais de photos et de partage d'informations. Les jardins sur la propriété fédérale, tels que les bureaux de l'USDA, sont tenus de faire don de leurs produits. Nous invitons ces jardins à signaler le montant des dons.

    Pour être éligibles, les jardins :

    Bénéficiez à la communauté en fournissant de la nourriture, des espaces verts, un habitat faunique, un espace éducatif.
    Sont un effort de collaboration. Cela peut inclure des groupes travaillant avec des agences de l'USDA, des banques alimentaires, des programmes parascolaires, des éclaireuses, des maîtres jardiniers, des districts de conservation, etc.
    Incorporer des pratiques de gestion de la conservation, telles que l'utilisation d'espèces végétales indigènes, des barils de pluie, la lutte antiparasitaire intégrée, le xeriscaping.
    Sensibiliser le public aux pratiques de jardinage durable et à l'importance de systèmes alimentaires locaux, diversifiés et résilients fournissant des aliments sains à la communauté.
    De nouveaux jardins rejoindront le People’s Garden au siège de l’USDA à Washington, D.C. et 17 autres jardins phares créés plus tôt cette année.

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  33. Plus d'information

    L'initiative People's Garden fait partie des efforts plus larges de l'USDA pour faire progresser l'équité, soutenir les systèmes alimentaires locaux et régionaux et l'accès à la nourriture, et encourager l'utilisation de pratiques de conservation et intelligentes face au climat.

    L'USDA touche la vie de tous les Américains chaque jour de tant de manières positives. Sous l'administration Biden-Harris, l'USDA transforme le système alimentaire américain en mettant davantage l'accent sur une production alimentaire locale et régionale plus résiliente, des marchés plus équitables pour tous les producteurs, garantissant l'accès à des aliments sûrs, sains et nutritifs dans toutes les communautés, créant de nouveaux marchés et flux de revenus pour les agriculteurs et les producteurs utilisant des pratiques alimentaires et forestières intelligentes face au climat, réalisant des investissements historiques dans les infrastructures et les capacités d'énergie propre dans l'Amérique rurale, et s'engageant à l'équité dans tout le département en supprimant les obstacles systémiques et en créant une main-d'œuvre plus représentative de l'Amérique. Pour en savoir plus, visitez usda.gov.

    https://www.nrcs.usda.gov/wps/portal/nrcs/detail/national/newsroom/releases/?cid=NRCSEPRD1952625

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    Réponses
    1. Voir:
      'Apprendre le Paysan en 5 minutes !'
      OUI ! C'est possible ! (si vous êtes cons)

      Voir pour complémentarité des vidéos sur YT !
      Des milliers de 'nouveaux jardiniers' (depuis moins d'une heure) donnent des conseils ! Whôaw ! Offrent des solutions pour tout rater ! et être enfin 'Le Roi Des Cons' !

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  34. Des documents divulgués montrent que la police britannique se prépare à "de plus grands troubles civils" cet hiver


    mercredi 14 septembre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Elle n'est en poste que depuis quelques jours, mais la nouvelle Première ministre britannique Liz Truss a peut-être encore quelques semaines pour déployer un plan solide et inspirant la confiance pour redresser l'économie britannique - ou bien faire face à une généralisation troubles cet automne et cet hiver.

    Les chefs de police du Royaume-Uni affirment que "les turbulences économiques et l'instabilité financière" ont le "potentiel d'entraîner une augmentation de certains types de crimes", notamment le vol à l'étalage, le cambriolage, le vol de véhicules, la fraude en ligne et le chantage.

    « Une pression économique prolongée et douloureuse » pourrait bientôt déclencher « de plus grands troubles civils » similaires aux émeutes de Londres en 2011, a rapporté un média britannique populaire sur ce qui est attendu.

    Alors que les prix de l'énergie montent en flèche, que les approvisionnements en énergie diminuent et que les gens deviennent de plus en plus agités, le Royaume-Uni est sur le point de s'effondrer, contrairement à tout ce que le pays a connu depuis très longtemps. (Connexe: des dizaines de milliers de Britanniques prévoient de cesser de payer leurs factures de services publics pour protester contre les prix élevés de l'énergie à partir du 1er octobre.)

    "Une plus grande vulnérabilité financière peut exposer certains membres du personnel à un risque plus élevé de corruption, en particulier parmi ceux qui s'endettent ou rencontrent des difficultés financières", a ajouté le média.

    Les crimes violents augmentent déjà en Grande-Bretagne en raison de l'inflation
    À compter du 1er octobre, le nouveau plafond de prix de la facture d'énergie fixé par Ofgem, le régulateur de l'énergie du Royaume-Uni, sera de 3 549 £ (4 189 $), contre 1 971 £ (2 330 $). En janvier, ce plafond augmentera à nouveau à 5 439 £ (6 427 $), puis plus tard au printemps à 7 272 £ (8 594 $).

    D'ici l'été prochain, le plafond des prix aura augmenté de près de 400 %, ce qui est stupéfiant. Même maintenant, de nombreux Britanniques sont incapables de payer leurs factures - combien d'autres seront démunis au printemps prochain ?

    La perspective d'être entièrement privé de la vie fait déjà grimper les taux de criminalité, selon les forces de l'ordre. Et la fête ne fait que commencer, disent-ils.

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  35. Verisk Maplecroft, une société de conseil et de renseignement sur les risques basée au Royaume-Uni, a publié la semaine dernière un rapport avertissant que le risque de troubles sociaux non seulement en Grande-Bretagne mais dans l'ensemble de l'Europe cet automne et cet hiver est très élevé - à moins, bien sûr, que l'énergie recommence à couler et les prix redescendent à des niveaux normaux.

    Il est peu probable que cela se produise car les puissances occidentales semblent déterminées à détruire leur propre peuple afin de "donner une leçon à Poutine". Ils mettent collectivement fin à leurs propres économies en boycottant le gaz et le pétrole russes, ce qui ne fait que nuire à l'Occident.

    "Les Européens se rendent enfin compte à quel point les sanctions occidentales contre la Russie se sont retournées contre eux, alors que leurs gouvernements ont sacrifié des gens ordinaires pour la lutte par procuration de l'OTAN contre la Russie en Ukraine", a rapporté Zero Hedge.

    "Ces manifestations pourraient se propager comme une traînée de poudre à travers l'Europe, et il semble que le Royaume-Uni se prépare au pire des cas."

    Dans la section des commentaires, plusieurs personnes ont suggéré que les pouvoirs en place, c'est-à-dire Klaus Schwab et ses sbires mondialistes, veulent que les gens se révoltent. Cela expliquerait pourquoi ils poussent l'Occident au bord de l'effondrement.

    "Sous le mantra de" ne jamais laisser une bonne crise se perdre ", ils utilisent les bouleversements pour faire avancer leurs objectifs de contrôle accru des masses", a écrit l'un d'eux.

    "Les masses marchent toutes aveuglément dans un" état de surveillance "catastrophique avec littéralement des millions de caméras à reconnaissance faciale. De plus, une nouvelle monnaie basée sur les pièces numériques de la Banque centrale sera utilisée pour surveiller les dépenses de chaque personne (et qui peut être désactivée par l'État à tout moment). Mais les masses ne semblent pas s'en soucier.

    "La guerre résout beaucoup de problèmes sociaux", a ajouté un autre à propos de la prochaine page probable du livre de jeu.

    Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur Rioting.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-leaked-documents-british-police-greater-civil-unrest.html

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  36. Le deuxième plus grand fabricant d'appareils électroménagers au monde signale une baisse massive de la demande - un autre signe inquiétant indiquant une RÉCESSION MONDIALE


    mercredi 14 septembre 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) La société suédoise Electrolux AB, deuxième fabricant mondial d'appareils électroménagers, a récemment annoncé un programme de réduction des coûts après avoir signalé une forte baisse de la demande pour les produits de la société au cours du troisième trimestre de l'année.

    La demande de l'Europe et des États-Unis pour les appareils de base de l'entreprise a plongé au troisième trimestre et à un rythme nettement plus rapide que la baisse enregistrée au deuxième trimestre. La société a imputé la baisse de la demande à la forte inflation, à la faible confiance des consommateurs et aux niveaux élevés des stocks des détaillants. (En relation: Walmart annule des milliards afin d'aligner les stocks sur la chute de la demande des consommateurs.)

    "En combinaison avec des déséquilibres de la chaîne d'approvisionnement entraînant d'importantes inefficacités de production et une augmentation des coûts, les bénéfices du Groupe au troisième trimestre devraient baisser de manière significative par rapport au deuxième trimestre 2022, en excluant également le coût ponctuel pour quitter le marché russe", a écrit la société dans son rapport initial. "Cela a été tiré principalement par l'Europe et l'Amérique du Nord."

    La société a ajouté que les pertes subies par son secteur d'activité nord-américain devraient dépasser les pertes subies par Electrolux au cours du deuxième trimestre.

    Suite à l'annonce du triste troisième trimestre d'Electrolux AB, les actions de la société ont chuté de 7 % sur les marchés européens. La société a également annoncé qu'elle n'avait pas l'intention de lancer de programmes de rachat d'actions supplémentaires avant l'assemblée générale annuelle de la société en 2023.

    La confiance des consommateurs en Europe et en Amérique du Nord restera faible
    Electrolux AB a averti que la demande en 2023 en provenance d'Europe et d'Amérique du Nord devrait rester faible.

    "Je pense que les gens garderont leur portefeuille assez fort", a déclaré Jonas Samuelson, président et chef de la direction d'Electrolux AB, faisant référence à la confiance des consommateurs en Europe. "La même chose est probablement vraie aux États-Unis - les consommateurs ont renoncé à acheter des biens durables et se sont concentrés sur l'achat de produits de base, car l'inflation la plus élevée depuis des décennies a entraîné une croissance des salaires profondément négative pendant plus d'un an. Les ménages des deux côtés de l'Atlantique sont en difficulté.

    En réponse aux pertes massives subies par les activités nord-américaines de la société, Samuelson a déclaré: "Je suis évidemment très déçu de nos performances."

    Ricardo Cons, PDG de la branche Amérique latine d'Electrolux, a récemment été nommé à la tête de la région Amérique du Nord et dirigera les programmes de réduction des coûts et de redressement dans la région. Cons a été crédité d'avoir dirigé la transformation de la division latino-américaine d'Electrolux au cours des six dernières années.

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  37. Le programme de réduction des coûts de la société se concentrera sur ses opérations nord-américaines et européennes et ciblera à la fois les coûts variables et structurels. Electrolux a déclaré qu'une "attention particulière" sera accordée à l'élimination des inefficacités dans la chaîne d'approvisionnement et la production de l'entreprise.

    Electrolux commencera également à établir des priorités et à prendre des mesures d'efficacité en tirant parti des récents changements organisationnels. En outre, la société prévoit également de trouver des moyens d'augmenter la productivité des opérations, d'optimiser le portefeuille de R&D, de réduire les coûts et d'améliorer l'efficacité des activités d'administration, de vente et de marketing.

    La société devrait présenter le plan plus en détail, y compris un coût de restructuration potentiel, lorsque le rapport complet de la société sera publié fin octobre.

    Electrolux a ajouté que ses plans de réduction des coûts et d'autres plans d'optimisation pour les États-Unis "se traduiront par une contribution positive importante aux bénéfices" d'ici l'année prochaine.

    Les sombres prévisions financières de l'entreprise manufacturière sont intervenues quelques heures seulement après que le groupe Thule, une grande entreprise manufacturière suédoise, a déclaré que les détaillants avaient réduit leurs achats en raison de "l'incertitude des consommateurs" et des stocks excédentaires, comme le rapport d'Electrolux AB.

    Thule a déclaré que les ventes continueraient d'être touchées l'année prochaine. Comme Electrolux, suite au rapport de Thule, la valeur de ses actions sur les marchés boursiers européens a baissé de 11 %.

    En savoir plus sur la récession à venir sur MarketCrash.news.

    Regardez cet épisode du podcast "World Alternative Media" alors que l'animateur Josh Sigurdson explique comment l'inflation record conduit à un effondrement économique.

    This video is from the World Alternative Media channel on Brighteon.com.

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    GET WOKE, GO BROKE: Target sees nearly 90% reduction in profits as its support for transgenderism drives away loyal customers.

    Mass layoffs incoming: 50% of employers plan to cut jobs in the next 12 months.

    Sources include:

    ZeroHedge.com
    MarketWatch.com
    FT.com
    Investing.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-home-appliance-manufacturer-reports-drop-demand-recession.html

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  38. Opération Sentinelle : le coup de tonnerre de la Cour des comptes

    Ce lundi 12 septembre 2022, dans son rapport, la Cour des comptes propose de transférer l'Opération Sentinelle aux forces de sécurité intérieure.


    le 15 septembre 2022
    Laurent Sailly


    Décidément, Gérald Darmanin se souviendra longtemps de l’année 2022.

    Après le fiasco du Stade de France, les refus d’obtempérer, les rodéos, la fronde de la police judiciaire, la Cour des comptes estime que face à une menace terroriste qui a changé, il n’est « plus pertinent » de confier l’opération Sentinelle aux militaires. Ce lundi 12 septembre 2022, dans son rapport, les Sages de la rue Cambon proposent de transférer cette mission aux forces de sécurité intérieure…

    « Il n’est plus pertinent de poursuivre sans limite de temps une contribution à la tranquillité publique par un affichage de militaires dans les rues. »

    Le dernier rapport de la Cour de comptes sur la participation de l’armée à la lutte antiterroriste dynamite l’opération Sentinelle.

    La menace terroriste a changé
    Selon la Cour des comptes, la menace terroriste a changé depuis les attentats de 2015 et la mise en place de l’opération Sentinelle. Pour elle, la menace venait alors de l’extérieur (État islamique) ; elle vient maintenant de l’intérieur, par des individus isolés. Selon les magistrats :

    « Il en résulte que les forces militaires qui ne disposent ni du renseignement intérieur, ni de pouvoirs de police, ni des armements appropriés en zone urbaine, ne paraissent pas les mieux placées pour faire face à la nouvelle forme de menace. »

    La Cour dénonce « l’affichage de militaires dans les rues » à des fins de tranquillité publique et de perception plus que d’efficacité militaire. S’appuyant sur un rapport de l’inspection des Armées, la Cour note une banalisation et un amalgame des militaires avec les forces de l’ordre.

    Des missions éloignées du cœur de métier des militaires

    Les Sages pointent le fait que les militaires de l’opération Sentinelle sont largement employés pour « des missions éloignées de leur cœur de métier », en sécurisant par exemple 400 événements organisés pendant la présidence française du Conseil de l’Union européenne la première moitié de l’année 2022 ou, bientôt, la Coupe du monde de rugby en 2023 et les Jeux olympiques de Paris-2024.

    Entre 2015 et 2020, la force Sentinelle est intervenue plus de 18 400 fois, dont seulement six fois sur des actes de nature terroriste. Elle intervient en réalité principalement en appui des forces de l’ordre.

    Pendant ce temps, les militaires ne mettent pas à profit leurs compétences notamment en matière de planification, de dissuasion, de technique de combat etc.

    Les tensions internationales : la guerre en Ukraine
    Dans son rapport, la Cour estime que la force Sentinelle a compté, en moyenne, plus de 7000 hommes par jour entre 2015 et 2017 (et jusqu’à 10 000 par deux fois), puis a été réduite à moins de 4000 en 2020, pour un coût cumulé de trois milliards d’euros de 2015 à 2020.

    En outre, la Cour des comptes estime qu’une nouvelle répartition des missions entre militaires et forces de sécurité intérieure est « indispensable » dans le contexte de la guerre en Ukraine qui représente une « période d’incertitudes » pendant laquelle il est préférable que les forces miliaires ne soient ni détournées ni dispersées.

    Les magistrats censés veiller au bon emploi des deniers publics vont jusqu’à se faire grands stratèges de l’ordre public, en conseillant, ni plus ni moins, au ministre de l’Intérieur un « transfert progressif aux forces de sécurité intérieure » (police nationale, police municipale et gendarmerie) des missions de sécurisation assurées par l’armée de métier pour le compte des civils.

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  39. Et de conclure :

    « Il appartient donc aux forces de sécurité intérieure de reprendre des secteurs d’activité qui leur reviennent en priorité et pour lesquels elles sont mieux équipées qu’en 2015 dans la mesure où les moyens humains et matériels ont été significativement renforcés pour leur permettre de faire face à la menace terroriste.»

    Et cela à quelques mois d’échéances sécuritaires majeures, comme la Coupe du monde de rugby en 2023 ou les JO à Paris en 2024.

    La riposte de Darmanin
    Le ministre de l’Intérieur riposte :

    « Depuis 2015, la contribution de l’opération Sentinelle à la protection du territoire national et de nos concitoyens dans le cadre de la lutte antiterroriste est essentielle. Qu’il s’agisse des missions déployées dans nos villes, au cours de grands événements ou dans le cadre de l’appui au contrôle aux frontières, elle s’inscrit en pleine complémentarité avec les missions des forces de sécurité intérieure.»

    Le ministre assure même que « le dialogue civilo-militaire » a ainsi « atteint un niveau de maturité reconnu par l’ensemble des acteurs civils et militaires ».

    De fait, si les militaires reconnaissent que Sentinelle a grandement profité à leur image, aucune réponse du ministre des Armées ne figure formellement dans le rapport. Il faut reconnaître que le rapport de la rue Cambon est particulièrement favorable à la Grande Muette qui, à n’en pas douter, préférerait revenir à ses fondamentaux. Mais le locataire de la place Beauvau n’ignore pas qu’en temps de paix, c’est l’autorité civile qui a le dernier mot.

    Et celui-ci de rappeler :

    « La projection d’attaques depuis l’étranger reste toujours possible […] le développement des flux migratoires observé constitue un vecteur de menace évident. »

    Le ministre de l’Intérieur peut toujours gonfler les muscles, il n’empêche qu’il est en charge d’un ministère qui va d’échec en échec en matière de sécurité publique. Certes, il partage ces résultats avec le président de la République et ses prédécesseurs depuis au moins Manuel Valls. Plutôt que de réformer une police judiciaire qui fonctionne bien, et de transformer les policiers en chasseurs d’attestations sanitaires (et demain en contrôleurs des thermostats individuels), le gouvernement aurait intérêt à se saisir de ce domaine ô combien régalien.

    Il est urgent de simplifier le Code de procédure pénale, de moderniser les moyens d’action des forces de l’ordre, de remettre des uniformes dans les rues en confiant notamment les gardes statiques à des entreprises privées, et enfin de lever le malaise qui existe dans les commissariats. La France est un grand pays qui a besoin d’une grande armée et d’une police citoyenne reconnue.

    https://www.contrepoints.org/2022/09/15/438839-operation-sentinelle-le-coup-de-tonnerre-de-la-cour-des-comptes

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    1. C'est vrai que mettre un char d'assaut sur les Champs-Élysées çà a de la gueule ! 4 à l'Arc-de-Triomphe + un autre à la Bastille, Obélisque, Tuilerie, st Honoré, Montparnasse, et surtout des défilés de 4000 hommes aux quartiers arabes et périphériques ! Aux aéroports ! (Putaing ! Là si les touristes chient pas dans leurs froques...). Puis partout ! Dans toutes les villes, les ports, et des avions qui passent à 50 mètres de haut VROOOOOOOOOOUM ! 100 fois par jour !

      Des millions de terroristes (étiquetés 'réfugiés climatique' ! HAHAHAHA !) sont entrés et se sont 'mêler' à la population. Ils ont tué, volé, violé, mais çà c'est du 'petit-beurre', de la soupe au lait, de la chiasse de moineaux, même les attentats préparés pour faire croire que c'était ne sont que des eaux de chiottes ! Alors... alors arrive le 'gros des troupes', les 'vilains-méchants-armés et très très colériques !
      Whoaw ! Un '11 Septembre français' ! avec ses explosifs posés à la tour Eiffel, Arc-de-Triomphe et st Honoré ! Whoaw !

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  40. Les Américains ont dépensé plus en impôts qu'en nourriture, soins de santé, vêtements et éducation COMBINÉS en 2021


    Mercredi 14 septembre 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les Américains ont dépensé plus en impôts en 2021 qu'en nourriture, soins de santé, éducation et vêtements réunis. Dans l'ensemble, les impôts représentaient environ 25 % des dépenses moyennes des consommateurs. C'était selon les données sur les dépenses de consommation du Bureau of Labor Statistics (BLS) du ministère du Travail.

    Le rapport du BLS sur les dépenses de consommation en 2021 a été publié le jeudi 8 septembre. Il a révélé que les impôts imposent un fardeau excessif à la majorité des Américains qui connaissent déjà des difficultés financières en raison du président Joe Biden et de l'incapacité de son administration à faire face à l'inflation. (En relation: Biden dépense toujours des TRILLIONS de dollars des contribuables qui ont été mis de côté pour la relance du COVID-19.)

    "Les dépenses annuelles moyennes pour toutes les unités de consommation en 2021 étaient de 66 928 $, soit une augmentation de 9,1% par rapport à 2020", indique le rapport.

    Le BLS mesure les dépenses par «unité de consommation», que l'agence décrit comme soit les membres d'un même ménage qui sont liés par le sang, le mariage, l'adoption ou d'autres arrangements juridiques; les personnes vivant seules, partageant un ménage avec d'autres ou vivant en permanence dans une maison privée, une pension, un hôtel ou un motel mais qui sont financièrement indépendantes ; ou deux personnes ou plus vivant ensemble dans le même ménage qui mettent leurs revenus en commun pour prendre des décisions de dépenses communes.

    En moyenne, chaque unité de consommation a payé 16 729,73 $ d'impôts en 2021. Cela comprenait 8 561,46 $ d'impôt fédéral sur le revenu, 2 564,14 $ d'impôts étatiques et locaux sur le revenu, 5 565,45 $ de déductions de sécurité sociale, 2 475,18 $ d'impôts fonciers et 105,21 $ d'autres taxes. Certains de ces coûts ont été compensés par un paiement de relance moyen de 2 541,71 $.

    En revanche, le total moyen des dépenses par unité de consommation pour l'alimentation, les soins de santé, l'habillement et l'éducation était de 16 721,42 $. Cela comprend 8 289,28 $ en nourriture, 5 451,61 $ en soins de santé, 1 754,39 $ en vêtements et 1 226,14 $ en éducation.

    Les dépenses de consommation augmentent dans de nombreuses catégories par rapport à 2020
    Les dépenses de divertissement ont augmenté de près de 23 % par rapport à 2020 et de 15,5 % par rapport à 2019. Les dépenses en vêtements et services ont augmenté de 22,3 % par rapport à 2020. Les impôts sur le revenu annuels moyens ont également augmenté de 3,7 % en 2021 par rapport à l'année précédente.

    Les dépenses en alcool par unité de consommation étaient de 553,77 $ en 2021, en hausse de 15,9 % par rapport aux niveaux de 2020. Le rapport du BLS a montré que la plupart de ces dépenses supplémentaires étaient dues aux personnes qui achetaient et buvaient des boissons alcoolisées à l'extérieur de leur domicile, ce qui suggère que davantage de personnes ont profité des réglementations de verrouillage assouplies pour sortir et boire avec des amis dans des contextes sociaux comme les bars et les restaurants. En fait, le rapport du BLS a montré que les dépenses « d'alcool à domicile » avaient diminué de 7,9 % par rapport à 2020.

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  41. Le logement représentait toujours la part la plus élevée des dépenses annuelles à 33,8 %, soit 22 623,55 $. Viennent ensuite le transport à 16,4 % (10 961,18 $), la nourriture à 12,4 % et les dépenses d'assurance personnelle et de retraite à 11,8 % des dépenses des ménages.

    Pendant ce temps, les revenus personnels n'ont augmenté que de 3 à 4 % pour les trois groupes de revenu les plus élevés et de seulement 0,6 % pour le deuxième groupe de revenu le plus bas. Les revenus moyens du groupe de revenu le plus bas ont même diminué de 0,4 %.

    L'essentiel du rapport du BLS est que l'unité de consommation américaine moyenne n'a pas été en mesure de faire face à la flambée du coût de la vie, en particulier avec une inflation à son plus haut niveau en 40 ans. La situation est aggravée pour les Américains en raison d'une fiscalité exceptionnellement élevée.

    Apprenez-en plus sur la façon dont les Américains font face à la flambée de l'inflation sur Inflation.news.

    Regardez ce clip de Fox Business alors qu'un expert du marché explique à quel point l'inflation américaine est toujours "incroyablement élevée".

    Cette vidéo provient de la chaîne News Clips sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    La simulation de pénurie alimentaire prédit une AUGMENTATION de 400 % des prix des denrées alimentaires d'ici 2030.

    Les 15 produits et services les plus touchés par l'inflation d'une année sur l'autre, de février 2021 à février 2022.

    VOL DANS L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR : Les contribuables américains seront obligés de payer en moyenne 2 500 $ chacun si les prêts étudiants sont annulés.

    BOMBE D'INFLATION : les ménages américains dépensent plus de 700 $ de PLUS par mois en raison de l'inflation.

    L'Inflation Reduction Act ne combattra pas l'inflation mais obligera seulement les Américains à payer plus d'impôts.

    Les sources comprennent :

    TheNewAmerican.com
    Raison.com
    BLS.gov
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-14-americans-spent-more-on-taxes-than-necessities.html

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  42. Un jubilé de la dette aux proportions bibliques arrive bientôt… Ce que vous devez savoir


    Par Nick Giambruno
    Homme international
    14 septembre 2022


    Il y a quatre mille ans, les dirigeants de l'ancienne 'Babylone' ont découvert une technique pour conjurer les révoltes violentes.

    Dans les temps anciens, les gens avaient tendance à s'endetter désespérément envers leurs créanciers. Finalement, ils se soulèveraient et provoqueraient une instabilité qui pourrait menacer l'ensemble du système au pouvoir.

    Les dirigeants du monde antique ont reconnu cette dynamique.

    Leur solution consistait à décréter une annulation généralisée de la dette - un jubilé de la dette.

    Les jubilés de la dette ont agi comme une soupape de décharge de la pression sociale lorsqu'il n'y avait pas d'autres options.

    La pratique s'est répandue dans le monde antique et s'est codifiée dans différentes civilisations.

    Je pense que cette pratique ancienne fera un grand retour bientôt car la dette atteint des niveaux insupportables aujourd'hui.

    En fait, les jubilés de la dette ont déjà commencé… et les conséquences sur les investissements seront profondes.

    Il est important de noter que les jubilés de la dette ne créent pas comme par magie de nouvelles richesses. Ils le redistribuent simplement.

    Les jubilés de la dette sont des décrets gouvernementaux qui équivalent à un transfert de richesse massif avec de grands gagnants et de grands perdants.

    La récente remise de prêt étudiant du président Biden est la première étape d'un jubilé de la dette moderne.

    C'était sans précédent. Une action exécutive unilatérale de cette ampleur ne s'est jamais produite en temps de paix. De plus, le Congrès, et non le président, est censé prendre des décisions de dépenses de cette ampleur.

    On estime que les coûts immédiats et différés de l'annulation des prêts étudiants s'élèvent à au moins 590 milliards de dollars.

    Le jubilé de la dette de prêt étudiant de Biden est allé trop loin, même pour l'ancien conseiller économique en chef d'Obama, Jason Furman, qui l'a décrit comme suit :

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  43. "Verser environ un demi-billion de dollars d'essence sur le feu inflationniste qui brûle déjà est imprudent."

    Outre les effets inflationnistes - sur lesquels j'aborderai dans un instant - le jubilé des prêts étudiants a également établi un précédent qui, je pense, sera impossible à inverser.

    Considérez ce que ressentent les personnes qui se sont comportées avec prudence.

    Ces personnes ont suivi des cheminements de carrière différents pour éviter les prêts étudiants, réduire leurs dépenses afin de pouvoir payer leurs études sans emprunter ou rembourser leur dette étudiante.

    Ces gens se sentent probablement comme des ventouses maintenant.

    Non seulement ils n'obtiendront aucun allégement de leur dette, mais ils devront payer la facture d'une manière ou d'une autre pour payer ceux qui ont vu leur prêt étudiant annulé.

    J'imagine que ces gens seront en colère et auront probablement des dettes considérables en matière de voiture, d'hypothèque et de carte de crédit, comme le font de nombreux Américains. Alors ils voudront aussi un allégement de la dette… et je parie qu'ils l'obtiendront.

    Au milieu de la hausse des prix, la dette des consommateurs monte en flèche. Il est à un niveau record de plus de 16 000 milliards de dollars, comme le montre le graphique ci-dessous.

    Avec la hausse des taux d'intérêt, le coût du service de cette dette record devient insupportable pour beaucoup. En conséquence, de nombreux Américains ont atteint leur saturation maximale de la dette et atteignent un point de rupture financière.

    - voir graph sur site -

    Comme Biden l'a démontré, il suffit d'un coup de crayon du président pour effacer des centaines de milliards de dettes. Je pense que la pression politique pour recommencer sera irrésistible, surtout avant les élections, comme moyen de courtiser les électeurs.

    Le jubilé du prêt étudiant a établi un précédent.

    Je ne pense pas qu'il faudra longtemps avant que nous voyions un jubilé de carte de crédit, un jubilé de prêt automobile ou un jubilé d'hypothèque.

    Comment le gouvernement va-t-il payer pour tous ces jubilés ?

    Il est peu probable qu'ils puissent augmenter suffisamment les impôts pour les payer.

    Cela n'aurait pas non plus de sens d'émettre plus de dette pour annuler d'autres dettes.

    Cela laisse l'impression d'argent comme le seul moyen de financer ces jubilés. Donc je suppose que c'est ce qu'ils vont faire.

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  44. C'est pourquoi les prochains jubilés de la dette seront pour "l'essence sur le feu inflationniste qui brûle déjà".

    Mais il n'y a pas que la dette des consommateurs qui est devenue insupportable. La grande enchilada est la dette fédérale du gouvernement américain.

    Le gouvernement fédéral américain a la plus grosse dette de l'histoire du monde. Et il continue de croître à un rythme rapide et imparable.

    En bref, le gouvernement américain approche à grands pas de la fin de la partie financière.

    Voici pourquoi...

    Aujourd'hui, la dette fédérale américaine est devenue parabolique et s'élève à près de 31 000 milliards de dollars.

    Si vous gagniez 1 $ par seconde, il faudrait plus de 992 956 ANS pour rembourser la dette fédérale américaine.

    Et c'est avec l'hypothèse irréaliste qu'il cesserait de croître.

    La vérité est que la dette continuera de s'accumuler à moins que le Congrès ne prenne des décisions politiquement impossibles pour réduire les dépenses. Mais ne comptez pas sur cela. En fait, ils courent dans la direction opposée maintenant qu'ils ont normalisé des déficits de plusieurs billions de dollars.

    Le montant de la dette est si extrême que même un retour des taux d'intérêt à leur moyenne historique signifierait que le paiement des intérêts débiteurs sur la dette consommerait plus de la moitié des recettes fiscales actuelles. Les intérêts débiteurs éclipseraient les dépenses de sécurité sociale et de défense et deviendraient le poste le plus important du budget fédéral.

    Deuxièmement, avec des hausses de prix atteignant des sommets en 40 ans, un retour au taux d'intérêt moyen historique ne suffira pas à réprimer l'inflation, même pas près. Une hausse drastique des taux d'intérêt est nécessaire, peut-être jusqu'à 10 % ou plus. Si cela se produisait, cela signifierait que le gouvernement américain paie plus pour les intérêts débiteurs qu'il ne retire des impôts.

    Bref, la Réserve fédérale est piégée.

    Augmenter les taux d'intérêt suffisamment haut pour freiner l'inflation entraînerait la faillite du gouvernement américain.

    En d'autres termes, c'est game over. Ils n'ont d'autre choix que de "réinitialiser" le système - c'est ce que font les gouvernements lorsqu'ils sont pris au piège.

    Comment vont-ils réinitialiser le système ?

    Personne ne sait avec certitude. Mais je parierais qu'un jubilé de la dette aux proportions bibliques en sera une grande partie.

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  45. Alors, comment le gouvernement américain va-t-il répudier son impossible fardeau de la dette fédérale ?

    Je suppose qu'ils ne seront pas explicites. Cela ressemblerait trop à un défaut. Cela détruirait le rôle des États-Unis en tant que centre du système financier mondial.

    S'il avait le choix, je ne pense pas que le gouvernement américain choisirait l'autodestruction immédiate. Étant donné que le pouvoir ne s'abandonne pas volontairement, nous devrions présumer qu'ils décideront de mettre en œuvre furtivement leur jubilé de la dette fédérale par l'inflation.

    L'inflation est un gros bonus pour les débiteurs. Il vous permet d'emprunter en dollars et de rembourser en dix sous.

    Et puisque le gouvernement américain est le plus gros débiteur de l'histoire du monde, il est le plus grand bénéficiaire de l'inflation.

    C'est pourquoi je pense que le jubilé de la dette fédérale se présentera sous la forme d'une vague massive d'inflation.

    Voici la ligne du bas.

    Les prochains jubilés de la dette pourraient avoir pour effet d'effacer plusieurs billions de passifs et de créer une inflation auparavant insondable.

    Cela pourrait déclencher le plus grand transfert de richesse de l'histoire.

    N'oubliez pas que la dette n'existe pas dans le vide. C'est un passif pour l'emprunteur et un actif pour le prêteur.

    Ceux qui stockent leur richesse dans les devises du gouvernement, les détenteurs d'obligations et les créanciers seront les grands perdants.

    Les débiteurs et ceux qui possèdent des actifs rares non grevés seront les grands gagnants.

    Ce n'est certainement pas un résultat juste.

    - voir graph sur site -

    Il ne faut pas faire payer aux épargnants prudents les excès des débiteurs.

    Mais les notions de ce qui est juste ou non n'ont pas empêché le jubilé du prêt étudiant de Biden - et elles ne le feront certainement pas pour les jubilés à venir.

    Bien que ce soit malheureux pour beaucoup de gens, personne ne peut tout simplement rien faire maintenant.

    Les niveaux d'endettement ont déjà atteint un point de saturation, et le gouvernement pourrait bientôt considérer les jubilés comme une option politiquement intéressante.

    C'est pourquoi il est préférable de reconnaître la réalité de cette vue d'ensemble et de se positionner en conséquence.

    Cela signifie posséder des actifs rares et précieux qui ne sont pas simultanément la responsabilité de quelqu'un d'autre.

    Surtout, cela exclut la monnaie fiduciaire dans les comptes bancaires.

    N'oubliez pas que la monnaie fiduciaire est la responsabilité non garantie d'un gouvernement en faillite.

    De plus, une fois que vous déposez des devises dans une banque, elles ne vous appartiennent plus. Techniquement et légalement, c'est la propriété de la banque, et ce que vous possédez à la place est une responsabilité non garantie de la banque.

    À une époque de jubilés où les dettes sont effacées, vous ne voudrez pas être à l'autre bout de dettes non garanties de quelque nature que ce soit.

    Je soupçonne que tout pourrait s'effondrer bientôt… et ce ne sera pas joli pour beaucoup.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2022/09/no_author/a-debt-jubilee-of-biblical-proportions-is-coming-soon-what-you-need-to-know/

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    1. Cette proposition hégémoniste vise en premier lieu à faire payer aux enfants et petits-enfants la 'dette' contractée par leurs parents ou grands-parents !

      C'est ainsi que le coût des machines pour faire tourner la Terre et les coûts d'énergie développées par le soleil deviennent des 'dettes' où la collaboration du 'mont dentier' est mis à contribution !

      😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html

      'Dette' envers... le 'propriétaire de la planète Terre' ??! 'Dette' parfaitement irremboursable vis-à-vis du 'prix de l'or' qui lui est fixé par... un 'bureau' qui ne tient compte des transactions !
      Ainsi, si demain ils affichent le prix de l'or (envers aucune monnaie du monde n'est adossée !!) à 1$/oz...
      Car, ils le savent bien: S'ils affichaient une valeur RÉELLE du prix de l'or, il seraient 100 fois ou 1000 fois plus haut qu'il ne l'est aujourd'hui ! Oui mais, dans ce cas... PERSONNE au monde n'oserait sortir dehors avec bracelet ou boucles d'oreilles en or ! (voire cuivre bien frotté !), et, il s'ensuivrait un massacre quotidien de la population susceptible d'en posséder voire moins de un gramme !

      C'est dans ce monde d'escroquerie millénale que l'on vit aujourd'hui !

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  46. Ukraine-Russie : le choix de la liberté ou de la servitude

    Les peuples peuvent choisir entre liberté et servitude. La guerre en Ukraine nous le rappelle.


    le 15 septembre 2022
    Patrick Aulnas


    Décidément, on n’en finira jamais avec la liberté. Le monde se partage entre ses partisans et ses adversaires. Nous autres Occidentaux avions cru un instant, après la chute de l’URSS, à la fin de l’Histoire (Francis Fukuyama). Finie la guerre froide, fini le conflit de plusieurs siècles entre la démocratie et l’autocratie. Les fascistes, les nazis, les communistes avaient été vaincus et la démocratie libérale allait conquérir le monde. Eh bien non ! Les ennemis de la liberté résistent par tous les moyens mais la guerre en Ukraine nous montre que les peuples peuvent choisir la liberté.

    Le choix des Ukrainiens et celui des Russes

    La guerre en Ukraine représente un évènement majeur de l’histoire de l’humanité. Elle oppose en effet une nation cherchant à sortir de la servitude ancestrale dans laquelle elle était plongée et une dictature ne connaissant que le mensonge et la violence.

    Cette guerre met en évidence le choix dont dispose les peuples : liberté ou servitude. Après avoir été soumise pendant des siècles aux tsars de Russie puis aux dictateurs communistes de l’URSS, les Ukrainiens ont opté pour la démocratie et la liberté. Le peuple russe, lui, ne s’est jamais vraiment soulevé contre l’oppression. En passant du tsarisme au communisme, par la supercherie idéologique qualifiée dictature du prolétariat dans la littérature marxiste-léniniste, la population russe a été trompée par des leaders assoiffés de pouvoir (Lénine, Staline et leurs successeurs) mais elle s’est en définitive soumise à la tyrannie communiste. Elle se soumet aujourd’hui à la dictature nationaliste de Poutine.

    La grande question européenne : se chauffer !

    Il faut donc impérativement que le camp du bien, celui de la liberté, l’emporte. Les Européens subissent les conséquences de cette guerre par l’augmentation du prix de l’énergie. La grande question, développée à foison dans les médias, est la suivante : faudra-t-il se chauffer à 19° l’hiver prochain ou faudra-t-il descendre plus bas ? 17°, c’est assurément la catastrophe.

    Le ridicule de notre débat sur la « précarité énergétique » repose en grande partie sur l’ignorance du passé. Avant la Seconde Guerre mondiale, il n’était pas question de chauffer les locaux pendant l’hiver à des températures supérieures à 20°. Le confort douillet, présenté comme un droit par la classe politique occidentale, ne vise qu’à tromper les peuples sur la réalité de la situation. Quand les Ukrainiens se battent et meurent pour notre liberté, j’ai honte d’entendre les jérémiades sur un degré de plus ou de moins. Mettez trois pulls et deux paires de chaussettes braves gens et ne pleurez pas pour si peu. Ce ne sont là que des détails sans importance. Nous pouvons vivre avec beaucoup moins d’énergie.

    Bien sûr, l’énergie est nécessaire à tous les niveaux, qu’il s’agisse de production ou de distribution, mais son abondance conduisait à des abus. L’énergie plus rare devient plus chère et suscite une inflation plus ou moins élevée. Là encore, le vocabulaire médiatique provoque une inutile dramatisation. Dans les cours universitaires d’économie des années 1960, le terme inflation galopante était parfois utilisé pour qualifier l’inflation allemande des années 1920 (1000 % par jour, soit disparition de la monnaie). On utilisait l’expression inflation rampante pour la petite inflation qui existait dans les décennies d’après-guerre en Occident (5 à 10 % par an). N’était-ce pas plus réaliste ?

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  47. Il n’existe absolument pas aujourd’hui d’inflation incontrôlée risquant d’aboutir à un effondrement de la monnaie mais une inflation par les coûts, plus ou moins forte selon les pays. Rien de dramatique.

    Nationalistes et néo-communistes occidentaux

    La prétendue « crise énergétique » n’existe donc que dans les esprits embrumés par l’addiction à la facilité. Ce qui compte vraiment, c’est de poursuivre le soutien militaire, économique et humanitaire à l’Ukraine car elle défend nos valeurs avec un courage qui semble bien nous faire défaut. Il ne faut pas s’étonner des réserves émises par les nationalistes et les néo-communistes occidentaux. Dans la première catégorie figurent les populistes de droite (RN en France, Ligue en Italie, AfD en Allemagne, etc.) qui observent la dictature russe avec bienveillance et pour les plus extrémistes avec admiration. Ce ne sont pas vraiment des démocrates.

    La seconde catégorie est constituée des gauches radicales qui ont succédé aux marxistes en conservant l’anticapitalisme comme cœur de doctrine (LFI en France, Parti du travail en Belgique, Podemos en Espagne, etc.). Tous ces mouvements se caractérisent par un tropisme pseudo-révolutionnaire mais se manifestent surtout par des propositions démagogiques sur le plan économique, visant une autre répartition des richesses. Férocement anti-américaine, cette extrême gauche ne peut pas soutenir avec conviction le peuple ukrainien, dont la victoire dépend principalement des États-Unis. Elle prétend donc être du côté de la paix. Voilà à nouveau une habileté rhétorique qui ressemble à un mensonge : « nous ne sommes pas pour Vladimir Poutine mais pour la paix ». Laquelle ? Celle de l’acceptation du fait accompli, c’est-à-dire l’annexion par la Russie de la Crimée et de l’Est de l’Ukraine. Ces Munichois du XXIe siècle ne sont pacifistes que par électoralisme. Leurs électeurs appartiennent en effet aux catégories sociales qui supportent le plus difficilement la hausse du prix de l’énergie.

    La défaite russe, si nous le voulons

    La guerre en Ukraine est emblématique du problème politique majeur depuis le XVIIIe siècle : liberté ou servitude. Ne faisons pas le choix de la servitude en abandonnant les Ukrainiens pour quelques degrés de plus dans nos demeures et bureaux ou quelques pourcents de moins sur les prix. Poutine et sa clique vont perdre car ils ne sont porteurs d’aucun espoir. Seuls les mensonges et la violence les maintiennent au pouvoir. Leur défaite, inéluctable si nous le voulons, sera un progrès historique de la liberté.

    https://www.contrepoints.org/2022/09/15/438802-ukraine-russie-le-choix-de-la-liberte-ou-de-la-servitude

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    1. Durant huit (8 !) ans l'armée ukrainienne a bombardé l'Est du pays qui n'avait pas voté pour le dictateur-pédale de Kiev ! sans que (durant huit ans !) la presse n'en parle et s'en émeuve !!
      Heureusement (Zorro est arrivé !) le président Poutine a défendu ces milliers d'ukrainiens en instance de mort. Oui mais là, les autres dictateurs-pédales (siège à Bruxelles et ONU) se sont révoltés ! et ont aidé le dictateur de merde en place à Kiev !

      (...) Les Européens subissent les conséquences de cette guerre par l’augmentation du prix de l’énergie. (...)

      Faux ! Ils n'ont pas la guerre chez eux mais des dictateurs de merde qui veulent les tuer tous (crématoire ou gel).
      Le plus grand pays du monde est aujourd'hui adoré, félicité par tout le monde (sauf par les dictateurs de merde au pouvoir), car c'est aussi le garde-manger du monde ! et celui qui a du gaz et du pétrole ! Alors, qu'en j'entends parler de dictature... HAHAHAHA ! faut voir tous ces putains de rois de France et d'empereurs et de présidents !! Rien a changé depuis toujours ! Ils sont des criminels-nés. Des criminels formés pour accepter les ordres 'venus d'en haut' ! HAHAHAHA !

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  48. Whitehead : toutes les façons dont nos droits ont été usurpés


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 15 SEPTEMBRE 2022 - 05:40
    Rédigé par John et Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,


    "Nous, le peuple, sommes les maîtres légitimes du Congrès et des tribunaux, non pas pour renverser la Constitution, mais pour renverser les hommes qui pervertissent la Constitution."
    - Abraham Lincoln

    Il est facile de se décourager face à l'état de notre nation.

    Nous ployons sous le poids de trop de dettes, trop de guerres, trop de pouvoir entre les mains d'un gouvernement centralisé, trop de police militarisée, trop de lois, trop de lobbyistes et généralement trop de mauvaises nouvelles.

    Il est plus difficile de croire que le changement est possible, que le système peut être réformé, que les politiciens peuvent avoir des principes, que les tribunaux peuvent être justes, que le bien peut vaincre le mal et que la liberté prévaudra.

    Alors, où en sommes-nous ?

    Benjamin Franklin a fourni la réponse. Alors que les délégués à la Convention constitutionnelle quittaient l'Independence Hall le 17 septembre 1787, une femme anxieuse dans la foule qui attendait à l'entrée demanda à Franklin : « Eh bien, docteur, qu'avons-nous, une république ou une monarchie ? "Une république," répondit Franklin, "si vous pouvez la garder."

    Ce que Franklin voulait dire, bien sûr, c'est qu'en fin de compte, nous obtenons le gouvernement que nous méritons.

    Ceux qui nous ont donné la Constitution et la Déclaration des droits croyaient que le gouvernement existe à la demande de ses citoyens. Il est là pour protéger, défendre et même renforcer nos libertés, pas pour les violer.

    Malheureusement, bien que la Déclaration des droits ait été adoptée comme moyen de protéger le peuple contre la tyrannie gouvernementale, en Amérique aujourd'hui, le gouvernement fait ce qu'il veut, au diable la liberté.

    « Nous, le peuple » avons été terrorisés, traumatisés et entraînés dans un état semi-permanent de conformité par un gouvernement qui ne se soucie pas de nos vies ou de nos libertés.

    Les noms et les visages du croquemitaine ont changé au fil du temps (terrorisme, guerre contre la drogue, immigration clandestine, pandémie virale, etc.), mais le résultat final reste le même : au soi-disant nom de la sécurité nationale, la Constitution a été régulièrement ébréchée, minée, érodée, réduite et généralement rejetée avec le soutien du Congrès, de la Maison Blanche et des tribunaux.

    Une récitation de la Déclaration des droits - sur fond de surveillance gouvernementale, de police militarisée, de raids de l'équipe SWAT, de confiscation d'actifs, de domaine éminent, de surcriminalisation, de drones de surveillance armés, de scanners corporels, d'arrêts et de fouilles, de mandats de vaccination, de verrouillages et similaires (tous sanctionnés par le Congrès, la Maison Blanche et les tribunaux) - ressembleraient naturellement plus à un éloge funèbre des libertés perdues qu'à une affirmation des droits que nous possédons vraiment.

    Ce qui nous reste aujourd'hui n'est qu'une ombre du document robuste adopté il y a plus de deux siècles. Malheureusement, la plupart des dommages ont été infligés à la Déclaration des droits.

    Voici ce que cela signifie de vivre sous la Constitution, plus de vingt ans après le 11 septembre et avec la nation qui sort tout juste de deux ans de confinement et de mandats liés au COVID-19.

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  49. Le premier amendement est censé protéger la liberté de dire ce que vous pensez, de vous rassembler et de protester de manière non violente sans être bridé par le gouvernement. Elle protège également la liberté des médias, ainsi que le droit de pratiquer et de prier sans ingérence. En d'autres termes, les Américains ne devraient pas être réduits au silence par le gouvernement. Pour les fondateurs, toute l'Amérique était une zone de liberté d'expression.

    Malgré les protections claires trouvées dans le premier amendement, les libertés qui y sont décrites sont constamment attaquées. De plus en plus, les Américains sont persécutés pour avoir exercé leurs droits au premier amendement et dénoncé la corruption du gouvernement. Des militants sont arrêtés et inculpés pour avoir osé filmer des policiers se livrant à du harcèlement ou à des pratiques abusives. Des journalistes sont poursuivis pour avoir rendu compte de lanceurs d'alerte. Les États adoptent des lois pour museler les rapports sur les pratiques cruelles et abusives des entreprises. Les ministères religieux sont condamnés à une amende pour avoir tenté de nourrir et de loger les sans-abri. Les manifestants sont aspergés de gaz lacrymogène, battus, arrêtés et forcés à entrer dans des « zones de liberté d'expression ». Et sous couvert de «discours du gouvernement», les tribunaux ont estimé que le gouvernement peut discriminer librement toute activité du premier amendement qui se déroule au sein d'un soi-disant forum gouvernemental.


    Le deuxième amendement visait à garantir « le droit du peuple de détenir et de porter des armes ». Essentiellement, cet amendement visait à donner aux citoyens les moyens de résister à un gouvernement tyrannique. Pourtant, alors que la possession d'armes à feu a été reconnue par la Cour suprême des États-Unis comme un droit individuel des citoyens, les Américains restent impuissants à se défendre contre les lois sur les armes à drapeau rouge, la police militarisée, les raids de l'équipe SWAT et les agences gouvernementales armées jusqu'aux dents avec des armes militaires mieux adaptées à Le champ de bataille.


    Le troisième amendement renforce le principe selon lequel les élus civils sont supérieurs aux militaires en interdisant aux militaires d'entrer dans la maison de tout citoyen sans « le consentement du propriétaire ». La police s'entraînant de plus en plus comme l'armée, agissant comme l'armée et se faisant passer pour des forces militaires - avec des équipes SWAT lourdement armées, des armes militaires, des véhicules d'assaut, etc. - il est clair que nous avons maintenant ce que les fondateurs craignaient le plus - un armée permanente sur le sol américain.


    Le quatrième amendement interdit aux agents du gouvernement de vous surveiller, de vous toucher ou d'empiéter sur votre propriété privée à moins qu'ils n'aient la preuve que vous préparez quelque chose de criminel. En d'autres termes, le quatrième amendement garantit la confidentialité et l'intégrité physique. Malheureusement, le quatrième amendement a subi les plus grands dommages ces dernières années et a été pratiquement éviscéré par une expansion injustifiée des pouvoirs de la police gouvernementale qui comprend les fouilles à nu et même les fouilles anales et vaginales des citoyens, la surveillance (entreprise et autre) et les intrusions justifiées. au nom de la lutte contre le terrorisme, ainsi que l'externalisation d'activités par ailleurs illégales à des entrepreneurs privés.

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  50. Le cinquième amendement et le sixième amendement fonctionnent en tandem. Ces amendements sont censés garantir que vous êtes innocent jusqu'à preuve du contraire, et les autorités gouvernementales ne peuvent pas vous priver de votre vie, de votre liberté ou de vos biens sans le droit à un avocat et à un procès équitable devant un juge civil. Cependant, dans la nouvelle société suspecte dans laquelle nous vivons, où la surveillance est la norme, ces principes fondamentaux ont été bouleversés. Certes, si le gouvernement peut arbitrairement geler, saisir ou revendiquer vos biens (argent, terres ou possessions) dans le cadre des régimes de confiscation des avoirs du gouvernement, vous n'avez aucun véritable droit.


    Le septième amendement garantit aux citoyens le droit à un procès devant jury. Pourtant, lorsque la population n'a aucune idée de ce qu'il y a dans la Constitution - l'éducation civique a pratiquement disparu de la plupart des programmes scolaires - cela se traduit inévitablement par un jury ignorant incapable de distinguer la justice et la loi de ses propres idées préconçues et de ses peurs. Cependant, comme un nombre croissant de citoyens commencent à le réaliser, le pouvoir du jury d'annuler les actions du gouvernement - et ainsi d'aider à équilibrer la balance de la justice - ne doit pas être sous-estimé. L'annulation par le jury rappelle au gouvernement que "nous, le peuple", conservons le pouvoir de déterminer en fin de compte quelles lois sont justes.


    Le huitième amendement est similaire au sixième en ce sens qu'il est censé protéger les droits de l'accusé et interdire l'utilisation de peines cruelles et inhabituelles. Cependant, la décision de la Cour suprême selon laquelle ce qui constitue «cruel et inhabituel» devrait dépendre des «normes de décence en évolution qui marquent le progrès d'une société en pleine maturité» nous laisse peu de protection face à une société dépourvue de toute morale.


    Le neuvième amendement prévoit que d'autres droits non énumérés dans la Constitution sont néanmoins conservés par le peuple. La souveraineté populaire – la conviction que le pouvoir de gouverner vient du peuple vers le haut plutôt que vers le bas des gouvernants – est clairement évidente dans cet amendement. Cependant, il a depuis été renversé par un gouvernement fédéral centralisé qui se considère comme suprême et qui continue d'adopter de plus en plus de lois qui restreignent nos libertés sous prétexte qu'il a un «intérêt gouvernemental important» à le faire.


    Quant au rappel par le dixième amendement que le peuple et les États conservent toute autorité qui n'est pas autrement mentionnée dans la Constitution, l'assurance d'un système de gouvernement dans lequel le pouvoir est divisé entre les entités locales, étatiques et nationales a depuis longtemps été rendue sans objet par l'élite au pouvoir centralisée de Washington, DC - le président, le Congrès et les tribunaux.

    Ainsi, s'il y a un sens à tirer de cette récitation des libertés perdues, c'est simplement ceci : nos libertés individuelles ont été éviscérées afin que les pouvoirs du gouvernement puissent être étendus.

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  51. Ce n'est pas un hasard si la Constitution s'ouvre sur ces trois mots puissants : « Nous, le peuple ». Comme le proclame le préambule :

    Nous, le peuple des États-Unis, afin de former une union plus parfaite, d'établir la justice, d'assurer la tranquillité intérieure, de pourvoir à la défense commune, de promouvoir le bien-être général et d'assurer les bienfaits de la liberté pour nous-mêmes et notre postérité, ordonnons et établir cette CONSTITUTION pour les États-Unis d'Amérique.

    En d'autres termes, c'est notre travail de faire en sorte que le gouvernement respecte les règles de la Constitution.

    Nous sommes censés être les maîtres et eux, le gouvernement et ses agents, sont les serviteurs.

    Nous, le peuple américain - les citoyens - sommes censés être les arbitres et les gardiens ultimes du bien-être, de la défense, de la liberté, des lois et de la prospérité de l'Amérique.

    Pourtant, il est difficile d'être un bon citoyen si vous ne savez rien de vos droits ou de la façon dont le gouvernement est censé fonctionner.

    Comme le demande à juste titre la National Review : « Comment les Américains peuvent-ils faire des choix politiques intelligents et éclairés s'ils ne comprennent pas la structure fondamentale de leur gouvernement ? Les citoyens américains ont le droit à l'autonomie gouvernementale, mais il semble que nous manquons de plus en plus de capacité pour cela.

    Les Américains sont constitutionnellement analphabètes.

    La plupart des citoyens ont peu ou pas de connaissances sur leurs droits fondamentaux. Et notre système éducatif enseigne mal les libertés fondamentales garanties par la Constitution et la Déclaration des droits. Par exemple, une enquête du Annenberg Public Policy Center a révélé qu'un peu plus d'un tiers des personnes interrogées (36 %) pouvaient nommer les trois branches du gouvernement américain, tandis qu'un autre tiers (35 %) ne pouvait pas en nommer une seule.

    Une enquête du McCormick Tribune Freedom Museum a révélé que seul un adulte sur mille pouvait identifier les cinq droits protégés par le premier amendement. D'autre part, plus de la moitié (52 %) des répondants pouvaient nommer au moins deux des personnages de la famille télévisée d'animation Simpsons, et 20 % pouvaient nommer les cinq. Et bien que la moitié ne puisse nommer aucune des libertés du premier amendement, une majorité (54 %) pouvait nommer au moins un des trois juges de l'émission télévisée American Idol, 41 % pouvaient en nommer deux et un quart pouvait nommer les trois.

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  52. Ça s'empire.

    Beaucoup de ceux qui ont répondu à l'enquête avaient une étrange conception de ce qu'il y avait dans le premier amendement. Par exemple, un nombre surprenant de répondants pensaient que le « droit de posséder un animal de compagnie » et le « droit de conduire une voiture » ​​faisaient partie du premier amendement. 38% supplémentaires croyaient que «prendre le cinquième» faisait partie du premier amendement.

    Les enseignants et les administrateurs scolaires ne s'en sortent pas beaucoup mieux. Une étude menée par le Center for Survey Research and Analysis a révélé qu'un éducateur sur cinq était incapable de nommer aucune des libertés du premier amendement.

    Les chefs de gouvernement et les politiciens sont également mal informés. Bien qu'ils prêtent serment de respecter, de soutenir et de défendre la Constitution contre les «ennemis étrangers et nationaux», leur manque d'éducation sur nos droits fondamentaux les amène souvent à être des ennemis de la Déclaration des droits.

    Alors, quelle est la solution ?

    Thomas Jefferson a reconnu qu'une population éduquée sur « ses droits, ses intérêts et ses devoirs » est la seule garantie réelle que la liberté survivra.

    Comme l'écrivait Jefferson en 1820 : « Je ne connais d'autre dépositaire sûr des pouvoirs ultimes de notre société que les gens eux-mêmes ; et si nous les croyons pas assez éclairés pour exercer leur contrôle avec une saine discrétion, le remède n'est pas de le leur enlever, mais d'instruire leur discrétion par l'éducation. C'est le véritable correctif des abus du pouvoir constitutionnel.

    À partir du président, toute personne assumant une fonction publique devrait avoir une connaissance pratique de la Constitution et de la Déclaration des droits et devrait être tenue responsable du respect de leurs préceptes. Une façon d'y parvenir serait d'exiger que les chefs de gouvernement suivent un cours sur la Constitution et passent un examen approfondi de celle-ci avant d'être autorisés à prendre leurs fonctions.

    Certains critiques préconisent que les étudiants réussissent l'examen de citoyenneté des États-Unis afin d'obtenir leur diplôme d'études secondaires. D'autres recommandent que ce soit une condition préalable pour fréquenter l'université. J'irais jusqu'à dire que les étudiants devraient avoir réussi l'examen de citoyenneté avant d'obtenir leur diplôme d'études primaires.

    Voici une idée pour vous instruire et prendre position pour la liberté : toute personne qui s'inscrit pour devenir membre de l'Institut Rutherford reçoit une carte Bill of Rights de la taille d'un portefeuille et une carte Know Your Rights. Utilisez cette carte pour enseigner à vos enfants les libertés contenues dans la Déclaration des droits.

    Un gouvernement sain et représentatif est un travail difficile. Il faut des citoyens informés des problèmes, éduqués sur le fonctionnement du gouvernement et prêts à faire plus que râler et se plaindre.

    Comme je le souligne dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, « nous, le peuple », avons le pouvoir de faire et défaire le gouvernement.

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  53. Les pouvoirs en place veulent que nous restions divisés sur la politique, hostiles à ceux avec qui nous sommes en désaccord politiquement et intolérants envers quiconque ou quoi que ce soit dont les solutions aux maux de ce pays diffèrent des nôtres. Ils veulent également nous faire croire que notre travail en tant que citoyens commence et se termine le jour du scrutin.

    Pourtant, nous sommes 330 millions dans ce pays. Imaginez ce que nous pourrions accomplir si nous travaillions réellement ensemble, présentions un front uni et parlions d'une seule voix.

    La tyrannie n'aurait aucune chance.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/whitehead-all-ways-which-our-rights-have-been-usurped

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    1. Bon; retrouvons-nous un instant hors des cerveaux de merde (qui regardent 'télés' !)

      (...) Benjamin Franklin a fourni la réponse. Alors que les délégués à la Convention constitutionnelle quittaient l'Independence Hall le 17 septembre 1787, une femme anxieuse dans la foule qui attendait à l'entrée demanda à Franklin : « Eh bien, docteur, qu'avons-nous, une république ou une monarchie ? "Une république," répondit Franklin, "si vous pouvez la garder." (...)

      (...) Nous, le peuple américain - les citoyens - sommes censés être les arbitres et les gardiens ultimes du bien-être, de la défense, de la liberté, des lois et de la prospérité de l'Amérique. (...)

      - [Benjamin] Franklin: « Eh bien, docteur, qu'avons-nous, une république ou une monarchie ? "Une république," répondit Franklin, "si vous pouvez la garder." !!!

      Et la DÉMOCRATIE DU CON ?!

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  54. Biden prolonge l'urgence du 11 septembre


    Nouvelles RT
    14 septembre 2022


    Le président américain Joe Biden a reconduit pour une année supplémentaire l'état d'urgence national déclaré par l'ancien président George W. Bush dans les jours qui ont suivi les attentats terroristes du 11 septembre 2001.

    La "menace terroriste" derrière les attentats qui ont tué près de 3 000 personnes "continue", a écrit Biden dans une note de service publiée jeudi dans le Federal Register, ajoutant que les "pouvoirs et autorités adoptés pour faire face" aux attentats "doivent se poursuivre en vigueur au-delà de septembre". 14, 2022.”

    La déclaration d'urgence du 11 septembre n'est qu'une des nombreuses prolongations de Biden cette semaine seulement. Jeudi également, le président a prolongé l'état d'urgence national qu'il avait déclaré l'année précédente concernant les violences sectaires et les violations des droits de l'homme en Éthiopie, tandis que mardi, il a annoncé le renouvellement de l'état d'urgence déclaré par son prédécesseur Donald Trump en 2018 concernant la menace d'"étrangers". ingérence ou atteinte à la confiance du public dans les élections américaines.

    Biden a déclaré au moins six urgences nationales depuis son entrée en fonction en janvier 2021 et en a prolongé plusieurs autres, y compris l'urgence pandémique de Covid-19. La loi sur les urgences nationales confère au président plus de 136 pouvoirs, dont la plupart ne nécessitent pas l'approbation du Congrès pour être exercés. Depuis son adoption en 1976, plus de 60 urgences nationales ont été déclarées, dont seulement la moitié environ ont été officiellement conclues.

    Le président a largement abandonné l'attention de ses prédécesseurs sur les menaces terroristes extérieures comme les pirates de l'air d'Al-Qaïda tenus pour responsables du 11 septembre, choisissant plutôt de concentrer l'attention sur le terrorisme intérieur, que le FBI a déclaré être la principale menace à laquelle la nation est confrontée.

    Reprinted from RT News.

    https://www.lewrockwell.com/2022/09/no_author/biden-extends-9-11-emergency/

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    1. (...) La "menace terroriste" derrière les attentats qui ont tué près de 3 000 personnes (...)

      Les tours étaient vides.

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