Les États-Unis doivent au monde presque 3 fois plus d’or qu’il n’en existe mondialement
04.01.2018 www.kla.tv/10400
« Les Etats-Unis se trouvent plus ou moins à l’aube d’une guerre civile » dit l’écrivain et expert financier Ernst Wolff. D’après lui la raison en serait la grande inégalité sociale aux Etats-Unis et aussi la charge énorme des dettes du pays. Nous en avons parlé dans notre émission du 26 mars 2017 en allemand USA : Qu’est-ce qui viendra d’abord, un krach ou une guerre ? (www.kla.tv/10207) Egon von Greyerz, expert financier et fondateur de « Matterhorn Asset Management AG » et de « GoldSwitzerland », domicilié à Zurich, décrit dans son article du 27 mars 2017 combien les Etats-Unis sont endettés et comment c’est arrivé :
« Pendant que des analystes du marché se soucient de ce que la FED (banque d’émission des Etats-Unis) va faire par la suite [...], personne ne voit que les Etats-Unis se trouvent sur le chemin de la ruine totale, parce qu’ils ont fait des déficits depuis plus d’un demi-siècle et qu’ils présentent un déficit commercial depuis plus de 40 ans. [...]
Par exemple ce n’est sûrement pas la preuve d’une économie forte, que les Américains achètent des quantités énormes de nouvelles voitures [...], en particulier parce qu’ils le font au moyen de dettes subventionnées [...] qui ne seront jamais remboursées. La même chose se passe pour [...] les salaires en baisse, pour le chômage réel de 23 % et pour le Real-PIB en baisse (c’est-à-dire le produit intérieur brut, qui représente la valeur ajoutée de tous les biens et services produits). Une seule raison a permis aux Etats-Unis de vivre au-dessus de leurs moyens pendant plus que 50 ans, c’est parce que le dollar est la monnaie de réserve mondiale. Mais comment le monde peut-il faire confiance à une monnaie de réserve qui repose sur la création de dettes et de monnaie illimitées ? [...]
La seule raison pour laquelle le dollar existe encore est qu’il est pris comme monnaie commerciale, en particulier pour le pétrole. Au début des années 1970 les Etats-Unis ont conclu un accord avec l’Arabie Saoudite, qui était de loin le plus grand producteur de pétrole du monde à l’époque. Contre des armes américaines et la protection l’Arabie Saoudite vendrait son pétrole en dollars, ce qui signifierait que le monde entier ferait le commerce en dollars. C’était le début du Pétrodollar. [...]
Jusqu’en 1970 les États-Unis avaient un excédent sain de leur balance commerciale annuelle. Puis à cause du ralentissement de l’économie et de l’importance des dépenses pour la guerre du Vietnam, le dollar a commencé à chuter. Le Président français Charles de Gaulle avait perçu les problèmes économiques des Etats-Unis et en conséquence avait réclamé que les dettes des Etats-Unis soient payées en or.
La couverture en or du dollar signifiait que chaque Etat souverain pouvait revendiquer le paiement en or, mais le Président Richard Nixon a compris que l’or des Etats-Unis s’en irait rapidement et il a résilié le Bretton Woods-System (le système de la couverture par l’or) qui était valable depuis 1944. En conséquence les Etats-Unis ne paient plus leurs dettes nationales en or mais avec des dollars qui se dévalorisent. Depuis ce jour fatidique d’août 1971 les Etats-Unis se trouvent dans un état de détérioration continu. Les dettes ont dégénéré et la monnaie s’est effondrée, accompagnées d’un train de vie qui ne se basait plus depuis longtemps sur la productivité mais sur des crédits. [...] Entre 1999 et 2017 le déficit commercial cumulé était de près de 12 billions de dollars.
Seulement peu de personnes comprennent ce que « 12 billions de dollars » signifie effectivement. [...] On peut peut-être mieux comprendre le déficit commercial de 12 billions de dollars entre 1999 et aujourd’hui, si on le mesure avec l’or [...].Tout l’or qui a jamais été exploité dans l’histoire est évalué à 170 000 tonnes. Si les Etats-Unis devaient équilibrer vis-à-vis du reste du monde leurs dépenses et leurs achats inconsidérés avec de l’or, il leur faudrait 2,7 fois tout l’or qui a jamais été exploité. Au lieu de cela le gouvernement des Etats-Unis a trouvé une méthode beaucoup plus commode. Il imprime des morceaux de papier sans valeur en forme de billets de dollars […]. Les conséquences sont que celui qui tient des dollars […] n’a finalement rien du tout dans sa main […]. C’est le résultat absolument garanti de ce prétendu « système monétaire » actuel. Des gouvernements, des banques centrales et des banquiers ont détruit l’économie mondiale par leurs actions de ces cent dernières années. Les masses ne s’en rendent absolument pas compte. […] »
Ce sont les mots de l’expert financier Egon von Greyerz. De son côté, Konrad Hausener de la plateforme sur Internet « The Intelligence » poursuit ainsi cette pensée : « La situation mondiale est tendue. « Krach ou guerre ? » – qu’est-ce que l’avenir (proche) va apporter ? La Deuxième Guerre mondiale n’est-elle pas sortie d’une crise similaire, du moins sous l’angle des Etats-Unis ? Des mesures d’économie ne sont-elles pas vite oubliées, si une guerre oblige à remilitariser ? Une destruction n’est-elle pas toujours suivie d’une reconstruction – donc d’un redressement de l’économie ? » Dans son interview avec « Sputnik » l’expert financier Ernst Wolff a également mis en garde dans ce contexte contre l’énorme danger d’une grande guerre à la suite de la crise. Ernst Wolff dit littéralement : « Je suppose que les Etats-Unis saisissent le moyen de la guerre, à savoir au Proche-Orient, pour conjurer la très grande crise. » Et il ajoute : « Je suppose que la guerre au Proche-Orient sera énormément étendue […]. Je pense, dit-il, que les perspectives d’un danger sont réelles en ce moment. » (www.kla.tv/10207)
"La fin des jours" approche alors que l'Illinois s'apprête à éliminer la caution en espèces pour les délinquants violents
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 23:20
Les procureurs et les politiciens progressistes ont appliqué des politiques radicales de justice pénale dans tout le pays, souvent sans se soucier des effets réels sur la communauté. La dernière en date est une politique "sans caution en espèces" qui entrera en vigueur au cours de la nouvelle année pour les personnes accusées de meurtre au deuxième degré, de voies de fait graves et d'incendie criminel dans l'État de l'Illinois.
Le Counter Signal a rapporté que la loi SAFE-T met fin à la caution en espèces et comprend 12 infractions non détentrices, le meurtre au deuxième degré, les coups et blessures aggravés et l'incendie criminel sans caution, ainsi que l'homicide induit par la drogue, l'enlèvement, le cambriolage, le vol qualifié, l'intimidation, DUI aggravé , fuite et évasion aggravées, délits liés à la drogue et menaces envers un agent public.
Après le 1er janvier, les personnes accusées des crimes ci-dessus seront libres de se promener dans les rues sans caution.
Le procureur de l'État du comté de Will, James Glasgow, a averti que la "fin des jours" arriverait dans la nouvelle année lorsque le projet de loi entrerait en vigueur. Le comté de Will est situé dans la partie nord-est de l'État et est le deuxième plus grand comté de la région métropolitaine de Chicago.
Glasgow a poursuivi: SAFE-T Act "détruira la ville et l'état de l'Illinois … et je ne comprends même pas (comment) les gens qui le soutiennent ne peuvent pas s'en rendre compte."
La nouvelle loi précise également qui peut être arrêté : par exemple, quelqu'un qui s'introduit dans une propriété privée peut être condamné à une amende par la police mais pas expulsé. Glasgow a déclaré que la police et les juges auraient les "mains liées" dans le dos. Cela transformera sans aucun doute le comté en un paradis criminel.
Il a déclaré que les crimes violents et le chaos observés dans la région métropolitaine avaleraient le comté vivant (et même l'État) :
"Ce que vous voyez à Chicago, nous l'aurons ici."
Même si la loi SAFE-T vise à remanier le système de justice pénale de l'État et est conçue pour mettre fin à «l'incarcération de masse» ... les critiques de la nouvelle législation sont extrêmement alarmés qu'un fléau de crimes violents se propage dans tout l'État.
Le mois dernier, le Manhattan Institute a rapporté que la réforme de la justice pénale à New York avait échoué. Le rapport précise que la réforme de la caution a augmenté la criminalité et que les personnes victimes de violence étaient des minorités.
Une caution sans espèces pour les 12 infractions est une autre raison pour laquelle les résidents devraient quitter l'État. Ce qui pourrait arriver après l'entrée en vigueur de la loi nous rappelle des scènes du film d'horreur d'action dystopique "The Purge".
Les politiques progressistes en matière de justice pénale ont déçu les citoyens respectueux des lois. Pas étonnant que les gens s'arment alors que les crimes violents augmentent dans les centres urbains américains.
Près d'un démocrate sur quatre pense que les hommes peuvent tomber enceintes ; Nouvelles découvertes de sondage
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 19:05 Écrit par Steve Watson via Summit News,
Un sondage mené par WPA Intelligence a révélé que près d'un quart des électeurs démocrates pensent que "certains hommes peuvent tomber enceintes".
Vingt-deux pour cent des démocrates dans l'ensemble étaient d'accord avec la déclaration.
Le sondage a également révélé que plus de femmes étaient d'accord avec la déclaration, et un incroyable 36 % de femmes démocrates blanches diplômées d'université étaient d'accord.
Le directeur général de WPAi, Conor Maguire, a déclaré qu '"avec 36 % d'une circonscription démocrate centrale (femmes démocrates blanches diplômées d'université) et un électeur démocrate sur cinq croyant cela, on peut voir pourquoi les dirigeants démocrates dorlotent le mouvement radical de la théorie du genre".
Les conclusions surviennent après des semaines de témoins démocrates témoignant lors d'audiences du comité judiciaire à la Chambre qu'ils croient que les hommes peuvent tomber enceintes et se faire avorter.
La professeure de droit de l'UC Berkley, Khiara Bridges, a refusé d'utiliser le mot «femme» et a accusé le sénateur du Missouri GOP Josh Hawley d'être «transphobe» et «d'inciter à la violence» pour avoir déclaré que les hommes ne pouvaient pas avoir de bébés.
Beaucoup d'entre eux ont également refusé de définir ce qu'est une femme, la présidente du National Women's Law Center, Fatima Goss-Graves, déclarant aux républicains que "vous essayez de suggérer que les personnes qui ne s'identifient pas comme des femmes ne peuvent pas tomber enceintes".
Le mois dernier, les 50 démocrates du Sénat ont voté contre un amendement visant à définir la grossesse comme un processus uniquement biologiquement féminin.
Cette folie ne se limite pas seulement aux universitaires éveillés qui font une scène au Congrès, mais se traduit dans la vie réelle avec des termes tels que «femmes» ou «mères» remplacés par des médecins dans les hôpitaux avec des «personnes qui accouchent» ou des «personnes enceintes». apaiser les personnes atteintes de dysphorie de genre ou tout simplement de maladie mentale.
L'Académie de médecine de l'allaitement aux États-Unis a publié un nouveau guide, conseillant aux hôpitaux et aux soignants de changer leur langage pour être plus « inclusif au genre ».
Le guide répertorie les «termes traditionnels» tels que «lait maternel», puis suggère des alternatives éveillées, notamment «lait humain», «lait des parents» et, plus ridiculement, «lait du père».
Comme nous l'avons souligné en juin, le NHS au Royaume-Uni a suscité la controverse en effaçant toutes les références aux femmes d'une section de conseils en ligne sur la ménopause, une condition exclusivement féminine.
Au cours du même mois, qui, sans coïncidence, était également le «mois de la fierté», le site Web du NHS a modifié ses pages de conseils sur le cancer de l'ovaire, supprimant les occurrences du mot «femmes» dans un mouvement qui, selon des sources, était destiné à être plus «inclusif» envers personnes trans, non binaires et intersexuées.
Cette tendance est arrivée jusqu'à ce que les dictionnaires changent littéralement la définition du mot "femme" pour inclure toute personne qui s'identifie comme telle.
Nous sommes également confrontés à un avenir où si vous tapez le « mauvais » mot, Google corrigera votre langage pour vous aider à devenir plus « inclusif ».
Transition énergétique Un « délire dangereux » : rapport
PAR TYLER DURDEN JEUDI 08 SEPTEMBRE 2022 - 23:00 Écrit par Nathan Worcester via The Epoch Times,
Un rapport du 30 août affirme que l'idée d'une transition totale des combustibles fossiles est une « illusion dangereuse ».
"Les leçons de la dernière décennie montrent clairement que les technologies SWB [solaire, éolienne et batterie] ne peuvent pas être augmentées en cas de besoin, ne sont ni intrinsèquement" propres "ni même indépendantes des hydrocarbures, et ne sont pas bon marché", déclare-t-il.
Rédigé par Mark Mills du conservateur Manhattan Institute, le rapport intervient alors que la guerre russo-ukrainienne fait des ravages sur les marchés mondiaux de l'énergie, en particulier en Europe.
Dans un discours prononcé le 7 septembre, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis d'essayer d'"aplatir la courbe" de consommation d'électricité pendant les heures de pointe grâce au rationnement.
Face à la hausse des prix de l'énergie, certains politiciens repensent leurs positions sur les énergies fossiles.
La première ministre britannique nouvellement élue, Liz Truss, mettra fin au moratoire sur la fracturation hydraulique de son pays le 8 septembre, comme l'a rapporté The Telegraph.
Tout en notant que les véhicules électriques, les panneaux solaires et les éoliennes se sont tous considérablement améliorés ces dernières années, Mills a souligné les obstacles qui empêchent une sortie complète des hydrocarbures.
Les matières premières posent un défi fondamental. Citant une analyse de mai 2021 de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Mills a fait valoir que toute transition énergétique radicale nécessiterait une augmentation massive des approvisionnements en divers minéraux.
L'offre de lithium, par exemple, devrait augmenter de 4 200 %.
Les projections de l'AIE citées dans le rapport suggèrent que la hausse des prix des matières premières pourrait faire grimper les prix des batteries, des éoliennes et des panneaux solaires. Les prix des véhicules électriques augmentent déjà grâce à l'augmentation des coûts des matières premières.
Stephen Haner, chercheur principal au Thomas Jefferson Institute for Public Policy en Virginie, est d'accord avec l'analyse de Mills.
Il a déclaré à Epoch Times dans une interview du 7 août que l'Américain moyen peut avoir du mal à suivre le problème de la transition énergétique « jusqu'à ce qu'il ouvre soudainement sa facture Dominion [Energy] et qu'il constate que sa facture d'électricité a augmenté de 40 %. ”
"Je ne vois pas qu'il soit jamais 100% sans fossiles. Cela ne fonctionnera tout simplement pas. Peut-il y avoir un pourcentage plus élevé d'énergie éolienne et solaire ? Oui », a-t-il dit, ajoutant que le monde pourrait bientôt faire face à un « hiver très intéressant ».
Un autre expert, Daniel Kish de l'American Energy Alliance, a déclaré à Epoch Times qu'il est trompeur de comparer directement les coûts actualisés de l'éolien et du solaire aux coûts du charbon, du nucléaire ou d'autres sources d'électricité dispatchables.
De telles comparaisons servent souvent à étayer l'affirmation selon laquelle les énergies renouvelables sont moins chères que l'énergie conventionnelle.
Il a souligné que l'Energy Information Administration des États-Unis distingue les technologies dispatchables, comme le charbon et le nucléaire, des technologies à ressources limitées comme l'éolien et le solaire.
"Vous ne pouvez pas comparer les coûts de l'énergie à temps partiel lorsque vous avez une demande à temps plein à une énergie à temps plein qui est là quand vous en avez besoin", a déclaré Kish dans une interview le 7 août.
Comme Mills, il craint que les États-Unis ne deviennent beaucoup plus dépendants des minéraux et des chaînes d'approvisionnement chinois qu'ils ne l'ont jamais été du pétrole de l'OPEP.
"Pour ma vie, c'est comme si vous étiez poussé directement dans les bras ouverts de la Chine, et vous le faites exprès", a-t-il déclaré.
Interdiction des véhicules thermiques neufs : un suicide
En abandonnant la construction du moteur thermique à l’horizon 2035, l’Europe se privera implicitement de l’autre alternative sous forme de véhicules hybrides associant bio-éthanol et électricité.
le 10 septembre 2022 Philippe Charlez
Le Parlement européen a adopté le 8 juin 2022 la directive visant à interdire la commercialisation de véhicules thermiques (voitures et petits utilitaires) à partir du 1er janvier 2035. La décision est lourde de conséquences pour le citoyen sur le plan de l’usage, la faisabilité « universelle » du VE (Véhicule Électrique) étant loin d’être démontrée. Elle est aussi lourde de conséquences pour l’industrie automobile européenne obligée de se restructurer totalement en moins de 15 ans. La filière produit 7% du PIB et emploie 10 % de de la main-d’œuvre manufacturière.
Véhicule électrique pour quels usages ?
Comparés aux véhicules thermiques, les VE se caractérisent par une faible autonomie et des longs temps de charge. Ces caractéristiques convergent vers la même conclusion : la voiture électrique est un véhicule urbain et périurbain et non un véhicule routier. Son application doit se restreindre à des petits véhicules de faible autonomie (batteries de 20 à 30 kWh), des parcours journaliers n’excédant pas 150 km et des longs temps de charge sur des prises de faible puissance (<10 kW) utilisées la nuit au domicile et le jour au bureau. Sur l’ensemble des kilomètres parcourus, 75 % sont dédiés à des trajets quotidiens de moins de 100 km contre seulement 25 % pour les trajets longues distances. Malgré ses inconvénients, l’électromobilité jouera donc un rôle déterminant dans la mobilité du futur.
Bilan énergétique et bilan carbone d’un véhicule électrique
Ne brûlant aucun combustible, la voiture électrique a un rendement de près de 100 % (contre 20 % à 30 % pour une voiture thermique). Mais, à ces consommations d’utilisation viennent se greffer des consommations grises liées à l’importante consommation énergétique requise pour extraire, conditionner et assembler les métaux (cobalt, lithium, graphite) nécessaires à la fabrication de la batterie. Sur 100 000 km (kilométrage de garantie de la batterie), l’énergie de fabrication de la batterie va accroître de 36 % la consommation d’une urbaine (petite batterie de 30 kWh) et plus que doubler celle d’une routière (grosse batterie de 90 kWh). Le rendement de 100 % doit donc être largement modulé.
S’il n’émet aucun gaz carbonique durant son utilisation, un VE est responsable d’abondantes émissions grises durant son cycle de vie. Suivant la source électrique (charbon, gaz, fioul) l’électricité peut être fortement carbonée : en moyenne le kWh Européen émet 250 ggaz carbonique. Fortement énergétivore la fabrication d’une batterie est un processus fortement émetteur de gaz carbonique. Selon le Swedish Environmental Research Institute la fabrication d’une batterie de 1kWh émet entre 60 kggaz carbonique et 100 kggaz carbonique.
Si un petit VE urbain émet 62 % de gaz carbonique en moins que son équivalent thermique, en revanche la routière électrique émet 8 % de plus. Comme pour l’usage et la consommation, la mobilité électrique longue distance se révèle donc désastreuse en termes d’émissions de dioxyde de carbone.
- voir cadre sur site -
Surconsommation et surpuissance électrique
Une électrification totale du parc français actuel augmenterait la consommation annuelle d’électricité de 100 TWh soit un excédent de 25 % par rapport à la consommation actuelle. Tout en étant significatif, cet accroissement ne constitue pas un point de blocage. En revanche, la sur-demande en puissance électrique (de l’ordre de 30 GW) représente jusqu’à 40 % de la puissance nominale consommée aux heures de pointe l’hiver. La généralisation de la mobilité électrique devra donc s’accompagner de la mise œuvre d’unités supplémentaires.
Enfin, la gestion de la mobilité électrique longue distance peut être catastrophique les jours de « grande transhumance ». Ainsi, la gestion du flux critique de véhicules un premier août nécessiterait 42 000 bornes haute puissance de 240 kW. Un goulot supplémentaire montrant combien la mobilité électrique s’avère très mal adaptée aux longues distances.
Batteries et métaux rares : une affaire d’indépendance européenne
Elément clé de la mobilité électrique, les batteries ion-lithium sont aujourd’hui fabriquées en grande majorité (80 %) dans le sud-est asiatique.
Mais la construction des batteries n’est pas le seul élément d’indépendance nationale à considérer. Les métaux rares et semi rares (cobalt, graphite et lithium) sont très mal répartis à la surface du globe. Ainsi, la RDC recèle plus de la moitié des réserves de cobalt, le Brésil, la Chine et la Turquie possèdent les deux tiers des réserves de graphite tandis que l’Argentine et le Chili possèdent les trois quarts des réserves de lithium.
Le passage de la mobilité thermique à la mobilité électrique transformera notre dépendance pétrolière en dépendance minière.
Conclusion : équilibrer la mobilité verte entre électricité, hydrogène et biocarburants
La mobilité électrique n’est pas, comme semble le supposer l’UE, une « thérapeutique » universelle pour remplacer la mobilité thermique. Si elle représente la solution la plus pertinente en déplacement urbain, son utilisation sur les longues distances est très contestable à la fois en termes d’usage, de consommation et d’émission de gaz carbonique. Sur longues distances, les alternatives décarbonées sont les biocarburants et l’hydrogène.
Couvrir 25 % des trajets par l’hydrogène nécessiterait de produire annuellement 1,3 million de tonnes de H2 vert ce qui réclamerait environ 70 TWh d’électricité et la construction d’un réseau coûteux de distribution d’H2.
En abandonnant la construction du moteur thermique à l’horizon 2035, l’Europe se privera implicitement de l’autre alternative (les biocarburants peuvent être utilisés tels quels dans les moteurs thermiques actuels) sous forme de véhicules hybrides associant bio-éthanol et électricité.
L’arrêt de la production des voitures thermiques en 2035 comme le propose la Directive européenne associée à la vision lointaine de la filière hydrogène encouragera inexorablement les motoristes à construire des routières électriques et les fournisseurs d’énergie à équiper les stations autoroutières de bornes haute puissance. À l’encontre de toute logique, cette stratégie peut se révéler à terme suicidaire pour le Vieux Continent.
La transition énergétique pourrait être déraillée par une pénurie imminente de cuivre
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 12:30 Par Haley Zaremba de OilPrice.com
« Considérez le cuivre comme un vecteur commun, pour ainsi dire, de décarbonisation. C'est littéralement le câblage qui relie le présent au futur », écrit Nathaniel Bullard, Chief Content Officer de BloombergNEF. Alors que beaucoup d'entre nous imaginent que les énergies renouvelables ne sont que cela - infiniment renouvelables, sans utilisation de ressources limitées - la réalité est que les avions solaires, les éoliennes, les infrastructures de transmission d'énergie, les batteries pour le stockage de l'énergie et les moteurs de vos voitures électriques et vélos électriques tous dépendent de métaux dont la source n'est pas infinie. On a beaucoup parlé de l'extraction et de l'exploitation du lithium pour alimenter les batteries des véhicules électriques, mais on pourrait affirmer que le cuivre est encore plus central - et donc potentiellement menacé par - une transition énergétique verte à grande échelle.
L'inverse est également vrai - une pénurie imminente de cuivre menace de faire dérailler complètement la transition vers une énergie propre et, par extension, les engagements climatiques à travers le monde. Selon un récent rapport de S&P Platts, si les pénuries de cuivre suivent les tendances prévues, les objectifs climatiques seront « court-circuités et resteront hors de portée ».
Le cuivre est particulièrement efficace dans un large éventail d'alternatives à faible émission de carbone en raison de sa conductivité électrique relativement élevée et de sa faible réactivité. Ce n'est pas que la production et la transmission d'énergie traditionnelles et les véhicules à essence n'utilisent pas de cuivre dans leur fabrication - c'est juste que les énergies renouvelables et les véhicules électriques en nécessitent beaucoup plus. "Un véhicule électrique nécessite 2,5 fois plus de cuivre qu'un véhicule à moteur à combustion interne", rapporte CNBC. "Pendant ce temps, le solaire et l'éolien offshore ont besoin respectivement de deux fois et cinq fois plus de cuivre par mégawatt de capacité installée que d'électricité produite à partir de gaz naturel ou de charbon."
La production de cuivre a déjà du mal à répondre à la demande en plein essor, et S&P prévoit que les niveaux actuels de la demande doubleront presque d'ici 2035, atteignant 50 millions de tonnes métriques. Ce chiffre grimpera à plus de 53 millions de tonnes métriques d'ici 2050, ce qui représente "plus que tout le cuivre consommé dans le monde entre 1900 et 2021". Les projections de BloombergNEF sont un peu plus conservatrices, mais toujours frappantes, constatant que la demande de cuivre augmentera de plus de 50 % d'ici 2040. Fait inquiétant, le même rapport prévoit que la production de cuivre primaire pourrait augmenter de seulement 16 % au cours de la même période.
Ce différentiel accablant ne signifie cependant pas nécessairement que le monde sera « structurellement à court de cuivre » pour les 18 prochaines années. Il est probable que l'économie du déficit en cuivre supprimera la demande en raison de prix prohibitifs, ce qui contribuera en fin de compte à équilibrer le déficit d'approvisionnement. "Cela se produirait, cependant, au détriment de l'expansion de l'énergie propre et des transports électrifiés", rapporte Bloomberg.
Ce dont le monde a besoin - le monde d'aujourd'hui ainsi que le monde futur, de plus en plus menacé par le climat - c'est de mettre davantage l'accent et de plus grandes dépenses sur la découverte et l'exploration du cuivre. Compte tenu du rôle central du cuivre dans le projet public essentiel d'atténuation et d'adaptation au changement climatique, le secteur public devrait être aussi actif que le secteur privé pour faciliter une production de cuivre primaire plus importante, moins chère et durable. Cela devrait être associé à de solides programmes de recyclage et de récupération du cuivre.
La production secondaire de cuivre - essentiellement le recyclage du cuivre - est déjà un secteur économique fort et bien développé, comblant complètement "l'écart de 4,6 millions de tonnes par an entre la production primaire et la demande" avec des déchets de cuivre industriels. Mais il existe une énorme opportunité - et en fait, un impératif - d'améliorer la collecte des déchets de cuivre auprès des consommateurs. Actuellement, le taux de collecte du cuivre des biens de consommation et électroniques n'est que de 53 %. Alors que le cuivre devient de plus en plus rare et de plus en plus cher, l'économie d'une meilleure récupération du cuivre encouragera probablement une récupération beaucoup plus importante à cet égard, rendant le cuivre non seulement mieux adapté pour soutenir les énergies renouvelables, mais plus renouvelable lui-même.
« Sans énergie, aucune économie ne peut fonctionner » : les entreprises allemandes mettent en garde contre le désastre car l'électricité et les robinets de gaz sont fermés
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 08:00 Par John Cody de Remix News,
Les entreprises allemandes sont de plus en plus incapables d'accéder à l'approvisionnement énergétique sur le marché et, à mesure que l'énergie se tarira, l'économie allemande cessera tout simplement de fonctionner, selon l'Association des chambres allemandes de l'industrie et du commerce (DIHK).
« De plus en plus d'entreprises nous disent qu'elles n'ont plus du tout de contrat de fourniture d'électricité ou de gaz. Le robinet est fermé dans le vrai sens du terme », a déclaré le président du DIHK, Peter Adrian, à la salle de presse du RND.
"Mais sans énergie, aucune économie ne peut fonctionner."
De plus, les prix de l'énergie ont atteint un niveau qui menace l'existence de nombreuses entreprises. Pas plus tard que cette semaine, la société allemande de papier hygiénique Hakle a déposé son bilan, les propriétaires citant les coûts énergétiques et matériels non durables comme principal facteur. Pendant ce temps, le Wall Street Journal rapporte que l'industrie sidérurgique européenne, qui nécessite d'énormes quantités de gaz naturel bon marché pour fonctionner, réduit sa production et fait face à de graves vents contraires sur le plan financier. D'autres secteurs, tels que la production chimique, l'agriculture et l'automatisation, sont tous confrontés à des obstacles sans précédent alors que la crise énergétique continue de secouer l'Europe.
Les appels à l'aide de l'économie allemande autrefois en plein essor émanent désormais des chefs d'entreprise, des associations et des consommateurs, la Fédération des industries allemandes (BDI) mettant également en garde contre une vague de faillites en raison de l'inflation des coûts énergétiques. Une nouvelle analyse du BDI indique qu'il s'agit d'un défi majeur pour 58 % des entreprises, et 34 % pensent que la crise actuelle représente une question de survie. L'Allemagne ne fait pas exception non plus, l'avertissement du Royaume-Uni montrant que six entreprises manufacturières sur dix risquent de fermer en raison de la crise énergétique.
Certaines entreprises allemandes, qui tentent de survivre dans un environnement de plus en plus difficile, affirment qu'elles cherchent à délocaliser leur production à l'étranger.
Presque une entreprise sur dix a déjà réduit ou même interrompu sa production, tandis qu'une entreprise sur quatre envisage ou envisage déjà de délocaliser des actions ou des parties de la production et des emplois à l'étranger, où les coûts sont souvent moins chers qu'en Allemagne.
La situation s'aggrave aussi dans les métiers spécialisés.
"Dans les métiers, une vague de faillites déferle sur nous à cause de la crise énergétique", a déclaré le président de l'Association centrale de l'artisanat allemand, Hans Peter Wollseifer, au Rheinische Post.
"Chaque jour, nous recevons des appels d'urgence d'entreprises qui sont sur le point d'arrêter la production parce qu'elles ne peuvent plus payer les factures énergétiques énormément augmentées."
Même si la pandémie de coronavirus représentait une grave menace pour de nombreuses entreprises allemandes, le ralentissement dû à la crise énergétique devrait être bien pire. Les gouvernements et les banquiers centraux sont également limités dans leurs choix politiques. Contrairement à la crise des coronavirus, ils ne peuvent plus lancer des centaines de milliards de dollars de relance sur le problème, car cela exacerberait probablement considérablement une inflation déjà élevée.
Cependant, malgré les sonnettes d'alarme, certains signes indiquent que jusqu'à présent, l'économie allemande a résisté malgré diverses menaces économiques. Le nombre de faillites était encore stable en juin, selon le Halle Institute for Economic Research (IWH).
"Malgré la crise énergétique, les problèmes de chaîne d'approvisionnement et la suppression progressive de l'aide Corona, la situation d'insolvabilité est toujours agréablement robuste", a déclaré Steffen Müller, expert de l'IWH. En juin, 709 partenariats et sociétés ont déposé leur bilan, ce qui était légèrement inférieur aux mois précédents et en fait presque exactement le même nombre qu'en juin 2021. Müller a déclaré qu'il ne s'attendait pas non plus à une augmentation du nombre pour juillet ou août.
Cependant, de graves vents contraires se profilent à l'horizon, notamment la hausse des taux d'intérêt, des prix de l'énergie et une augmentation du salaire minimum en octobre à 12 €.
Un important fournisseur de GNL lance un avertissement sévère à l'UE
Nouvelles RT 10 septembre 2022
Le plus grand exportateur américain de gaz naturel liquéfié (GNL), Cheniere Energy, a averti que les approvisionnements limités dans le monde signifient que cet hiver pourrait être "vraiment, vraiment serré".
Selon Reuters, Cheniere, qui a envoyé 70 % de sa production en Europe cette année, a également déclaré qu'une résurgence de la demande chinoise de GNL aggraverait la crise énergétique.
"En fin de compte, ce qui décidera de la tension du marché, c'est à quel point il fait froid et comment fonctionnent les politiques gouvernementales et le rationnement de l'industrie", a déclaré le vice-président exécutif de Cheniere pour le commerce mondial, Corey Grindal, lors d'une conférence Gastech sur Jeudi.
Grindal a noté que pour l'instant l'environnement de prix actuel indique que les approvisionnements en GNL continueront d'être acheminés vers l'Europe. Les prix, qui étaient de 2 dollars par million d'unités thermiques britanniques (MMBtu) en 2020, ont grimpé de 2 750 % pour atteindre 57 dollars par MMBtu en août.
Les États-Unis ont intensifié leurs exportations de carburant vers l'UE cette année, profitant des prix élevés dans la région.
La Chine a également fourni des restes de GNL à l'UE, car ses politiques zéro Covid pèsent toujours sur la demande intérieure, selon Bloomberg. Les analystes avertissent cependant qu'une coupure totale du gaz russe enverrait l'UE dans une crise énergétique qui durerait plusieurs hivers.
Les livraisons de gaz naturel du gazoduc russe Nord Stream au bloc restent interrompues indéfiniment en raison de problèmes de maintenance. Selon le Kremlin, les problèmes techniques liés aux livraisons de gaz via le gazoduc persisteront jusqu'à ce que l'Occident lève ses sanctions contre la Russie.
Le suicide énergétique de l'Allemagne : une autopsie
Par Pepe Escobar Culture stratégique 10 septembre 2022
L'UE a militarisé l'approvisionnement en énergie européenne au nom d'un racket financier, contre les intérêts de l'industrie et des consommateurs européens.
Lorsque le fanatique vert Robert Habeck, se faisant passer pour le ministre allemand de l'Économie, a déclaré plus tôt cette semaine "nous devrions nous attendre au pire" en termes de sécurité énergétique, il a commodément oublié de préciser que toute la farce est une crise Made in Germany cum Made in Brussels.
Des scintillements d'intelligence au moins brillent encore sous de rares latitudes occidentales, comme l'indispensable analyste stratégique William Engdahl, auteur de A Century of Oil, a publié un résumé pointu et concis révélant les squelettes dans le placard glamour.
Tous ceux qui avaient un cerveau après les horribles machinations de l'eurocrate à Bruxelles étaient au courant du complot principal – mais presque personne parmi les citoyens européens moyens. Habeck, le chancelier "Liver Sausage" Scholz, le vice-président de la Commission européenne (CE) de l'énergie verte Timmermans, la dominatrice de la CE Ursula von der Leyen, ils sont tous impliqués.
En un mot : comme le décrit Engdahl, il s'agit « du plan de l'UE visant à désindustrialiser l'une des concentrations industrielles les plus économes en énergie de la planète ».
C'est une traduction pratique de l'Agenda vert des Nations Unies 2030 - qui se trouve être métastasé en Great Reset du méchant crypto Bond Klaus Schwab - maintenant renommé "Great Narrative".
Toute l'arnaque a commencé au début des années 2000 : je m'en souviens très bien, car Bruxelles était ma base européenne au début de la « guerre contre le terrorisme ».
A l'époque, on parlait de la « politique énergétique européenne ». Le sale secret d'une telle politique est que la CE, « conseillée » par JP MorganChase ainsi que les méga fonds spéculatifs habituels, a tout mis en œuvre dans ce qu'Engdahl décrit comme « une déréglementation complète du marché européen du gaz naturel ».
Cela a été vendu à la Lugenpresse ("média menteur") comme une "libéralisation". En pratique, c'est un capitalisme de casino sauvage et non réglementé, avec le marché "libre" fixant les prix tout en se débarrassant des contrats à long terme - comme ceux conclus avec Gazprom.
Le processus a été accéléré en 2016, lorsque le dernier souffle de l'administration Obama a encouragé l'exportation massive de GNL à partir de l'énorme production de gaz de schiste des États-Unis.
Pour cela, il faut construire des terminaux méthaniers. Chaque terminal prend jusqu'à 5 ans pour être construit. Au sein de l'UE, la Pologne et la Hollande l'ont fait dès le départ.
Autant Wall Street dans le passé a inventé un marché spéculatif « pétrole papier », autant cette fois ils ont opté pour un marché spéculatif « gaz papier ».
Engdahl détaille comment "la Commission européenne et son programme Green Deal visant à" décarboniser "l'économie d'ici 2050, en éliminant le pétrole, le gaz et le charbon, ont fourni le piège idéal qui a conduit à la flambée explosive des prix du gaz dans l'UE depuis 2021".
La création de ce contrôle du marché « unique » impliquait d'imposer des changements de règles illégaux à Gazprom. En pratique, Big Finance et Big Energy – qui contrôlent totalement tout ce qui passe pour la « politique de l'UE » à Bruxelles – ont inventé un nouveau système de tarification parallèle aux prix stables à long terme du gazoduc russe.
En 2019, une avalanche de « directives » eurocrates sur l'énergie de la CE - la seule chose que ces gens font - avait établi un marché du gaz totalement déréglementé, fixant les prix du gaz naturel dans l'UE alors même que Gazprom restait le plus grand fournisseur.
Alors que de nombreux centres de négociation virtuels de contrats à terme sur le gaz ont commencé à apparaître dans toute l'UE, entrez dans le TTF néerlandais (Title Transfer Facility). En 2020, le TTF a été établi comme la véritable référence du gaz de l'UE.
Comme le souligne Engdahl, « TTF est une plate-forme virtuelle d'échanges de contrats à terme sur le gaz entre les banques et d'autres investisseurs financiers. En dehors, bien sûr, de toute bourse réglementée.
Ainsi, les prix du GNL ont rapidement commencé à être fixés par des transactions à terme dans le hub TTF, qui se trouve être la propriété du gouvernement néerlandais - "le même gouvernement détruisant ses fermes pour une allégation frauduleuse de pollution à l'azote".
Par tous les moyens nécessaires, la Big Finance devait se débarrasser de Gazprom en tant que source fiable pour permettre aux puissants intérêts financiers derrière le racket du Green Deal de dominer le marché du GNL.
Engdahl évoque un cas très peu connu à travers l'Europe : « Le 12 mai 2022, bien que les livraisons de Gazprom au gazoduc Soyouz à travers l'Ukraine aient été ininterrompues pendant près de trois mois de conflit, malgré les opérations militaires russes en Ukraine, le régime Zelensky contrôlé par l'OTAN en Kiev a fermé un important gazoduc russe passant par Lougansk, qui acheminait du gaz russe à la fois vers son Ukraine et vers les États de l'UE, déclarant qu'il resterait fermé jusqu'à ce que Kiev obtienne le contrôle total de son réseau de gazoducs qui traverse les deux républiques du Donbass. Cette section de la ligne ukrainienne Soyouz a coupé un tiers du gaz via Soyouz vers l'UE. Cela n'a certainement pas aidé l'économie de l'UE à un moment où Kiev demandait plus d'armes à ces mêmes pays de l'OTAN. Soyouz a ouvert ses portes en 1980 sous l'Union soviétique, apportant du gaz du champ gazier d'Orenbourg.
Hybrid War, le chapitre énergétique
Sur l'interminable feuilleton impliquant la turbine Nord Stream 1, le fait crucial est que le Canada a délibérément refusé de livrer la turbine réparée à Gazprom – son propriétaire – mais l'a plutôt envoyée à Siemens Allemagne, où elle se trouve maintenant. Siemens Allemagne est essentiellement sous contrôle américain. Les gouvernements allemand et canadien refusent d'accorder une exemption de sanction juridiquement contraignante pour le transfert vers la Russie.
C'est la goutte qui a fait déborder le vase (Gazprom). Gazprom et le Kremlin ont conclu que si le sabotage était le nom du jeu, ils se moquaient bien de savoir si l'Allemagne recevait zéro gaz via Nord Stream 1 (avec le tout nouveau Nord Stream 2, prêt à fonctionner, bloqué pour des raisons strictement politiques).
Le porte-parole du Kremlin, Dmity Peskov, a tenu à souligner que "les problèmes de livraison [de gaz] sont survenus en raison des sanctions imposées à notre pays et à un certain nombre d'entreprises par les pays occidentaux (...) Il n'y a pas d'autres raisons derrière les problèmes d'approvisionnement".
Peskov devait rappeler à quiconque a un cerveau que ce n'est pas la faute de Gazprom si "les Européens (…) prennent la décision de refuser d'entretenir leur équipement" ce qu'ils sont contractuellement obligés de faire. Le fait est que toute l'opération Nord Stream 1 repose sur "un équipement qui nécessite un entretien sérieux".
Le vice-Premier ministre Alexander Novak, qui connaît une ou deux choses sur le secteur de l'énergie, a clarifié les détails techniques :
"Tout le problème se situe précisément du côté [de l'UE], car toutes les conditions du contrat de réparation ont été complètement violées, ainsi que les conditions d'expédition de l'équipement."
Tout cela s'inscrit dans ce que le vice-ministre des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov décrit comme "une guerre totale déclarée contre nous", qui "est menée sous des formes hybrides, dans tous les domaines", avec "le degré d'animosité de nos adversaires - de nos ennemis" être « énorme, extraordinaire ».
Un responsable de l'alimentation de l'ONU prévient que la crise de l'accessibilité des engrais pourrait réduire de 40 % la production mondiale de céréales
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 08:45
Plus de six mois après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, la crise mondiale des engrais menace d'affamer la planète car les prix sont trop élevés pour certains agriculteurs avant la prochaine saison de plantation.
C'est le point de vue de Maximo Torero, économiste en chef de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), qui a déclaré à Bloomberg TV que les prix élevés des engrais pourraient faire baisser la production mondiale de céréales de plus de 40 % au cours de la prochaine saison de plantation.
Combinez les perturbations de la chaîne d'approvisionnement alimentaire dues à la guerre en Ukraine et les mauvaises récoltes dans le monde en raison des conditions météorologiques extrêmes - l'augmentation de la production alimentaire avec une réduction des engrais lors de la prochaine saison de plantation via les principaux pays exportateurs pourrait être difficile.
Les prix élevés des engrais devraient réduire la production mondiale de riz. Le grain nourrit la moitié de l'humanité et est vital pour la stabilité politique et économique en Asie et en Afrique subsaharienne. Les ruptures d'approvisionnement pourraient déclencher des instabilités sociales dans ces régions du monde. Nous avons souligné que le risque de troubles est élevé au cours des six prochains mois.
Au cours des dernières semaines, d'autres responsables de l'ONU ont multiplié les avertissements concernant la crise de l'accessibilité financière des engrais. Les prix en Amérique du Nord ont quitté les sommets mais restent 220 % au-dessus des niveaux du début de 2020.
- voir graph sur site -
La Banque africaine de développement a averti que le continent manque de 2 millions de tonnes métriques d'engrais.
"Nous commençons vraiment à crier de chaque tour qu'il y a une crise des engrais … et la crise des engrais est énorme", a déclaré à Politico un responsable de l'ONU sous couvert d'anonymat.
Les engrais artificiels contiennent trois ingrédients principaux : l'azote, le phosphore et le potassium. Les agriculteurs utilisent le produit final pour augmenter les rendements des cultures - si les prix restent élevés en raison des pénuries, moins d'engrais seront utilisés et les récoltes de la saison prochaine diminueront, poursuivant une crise alimentaire pluriannuelle qui ne pourrait que s'aggraver.
Mais qu'en est-il du moment où il est logique de "suivre le leader ?"
Il y a une grande différence entre l'autorité de position et l'autorité de meilleures connaissances et informations. Nous suivrons temporairement un leader qui a de meilleures connaissances et informations tant que cela nous convient. Ces jours-ci, nous espérons que les deux coïncident, mais bien trop souvent, ce n'est pas le cas. Et en raison de notre exposition à 13 ans de «programme caché» de l'école publique - et des avantages des dirigeants potentiels qui font semblant - nous ne pouvons souvent pas les distinguer.
Et peut-être exposant O.D.D. lui-même, c'est pourquoi Ben Franklin a suggéré "C'est la première responsabilité de chaque citoyen de remettre en question l'autorité", pourquoi Hitler a dû "duper" le peuple allemand afin de le diriger - et pourquoi le chef tribal savait: "Si je leur ordonne de faire des choses qu'ils ne veulent pas faire, je ne serai plus chef.
Si vous n'êtes toujours pas convaincu que nous avons de tels instincts de liberté, vous pouvez trouver une présentation solide des preuves ethnographiques solides ICI.
À quoi ressembleraient nos sociétés si nous abandonnions la démocratie coercitive et engagions pleinement nos instincts de liberté ? Bien qu'il ne soit pas parfait, il y a CET analogue provocateur - - -
Ainsi, un petit pourcentage d'humains sont des retours génétiques à nos parents hiérarchiques (babouins, gorilles, chimpanzés, etc.) - et leurs gènes poussent souvent certains d'entre eux à mentir, tricher, voler, intimider et parfois assassiner leur chemin vers le pouvoir hiérarchique postes. Cela s'applique particulièrement dans le cas des « gouvernements ». Certains d'entre nous sont conscients que cela est caractéristique des sociétés modernes, mais en sont venus à penser que c'est normal. Ce n'est pas le cas. ICI pour les mises à jour, les ajouts, les commentaires et les corrections.
(...) nous avons un "instinct de liberté", le professeur Chomsky affirme que cela n'a pas été prouvé. (...)
Un cheval qui naît est sauvage et refuse sa capture.
(...) "Nous trouverons plus de gibier à l'ouest, dans la forêt." "Non, nous trouverons plus de gibier plus facile à l'est dans les prés." (...)
Il y a le 'nous'. Discussions. Preuves. Probabilités. "J'ai vu un animal" (nourriture). "J'ai vu des piades !" Lorsqu'il y a le 'nous', la question ne se pose pas. On admet. Parfois il faut être nombreux pour. Mais se pose la question du partage. Plus on est nombreux plus la part est petite.
Plus on est nombreux, plus il y a d'opinions différentes. Mais il n'y a jamais de 'leader', car le 'chef' ne connaît pas tout !
En ces temps premiers la religion n'existait pas. Pas d'imbécilité d'être humain habitant les nuages ni de celui qui faisait surgir les volcans ou les vagues de l'océan.
Si la chasse au lapin demande à être seul la chasse au mammouth exige le nombre.
Une liste de 33 choses que nous savons sur les pénuries alimentaires à venir
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 10 SEPTEMBRE 2022 - 16:30 Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Les choses sont bien pires qu'on ne vous le dit. Au cours des derniers mois, j'ai soigneusement documenté des faits qui montrent que la production alimentaire mondiale va chuter en 2022. Malheureusement, la plupart des gens ne semblent pas comprendre que la nourriture qui n'est pas cultivée en 2022 ne seront pas dans les rayons de nos magasins en 2023. Nous sommes potentiellement confrontés à une crise alimentaire mondiale absolument sans précédent l'année prochaine, mais la grande majorité de la population ne semble pas très alarmée à ce sujet. Je vous encourage donc à m'aider à diffuser cet avertissement en partageant cette liste avec autant de personnes que possible. Comme vous le verrez ci-dessous, nous avons maintenant tellement de points de données qu'il est impossible de nier ce qui s'en vient.
Voici une liste de 33 choses que nous savons sur les pénuries alimentaires à venir…
#1 La récolte de blé dur rouge d'hiver aux États-Unis cette année « a été la plus faible depuis 1963 ». Mais en 1963, il n'y avait que 182 millions de personnes vivant dans ce pays. Aujourd'hui, notre population est passée à 329 millions.
#2 Il est prévu que la récolte de riz en Californie sera "la moitié de ce qu'elle serait dans une année normale".
#3 La récolte de tomates aux États-Unis n'atteindra que 10,5 millions de tonnes en 2022. C'est plus d'un million de tonnes de moins qu'une année normale.
#4 Ce sera la pire récolte de maïs aux États-Unis depuis au moins une décennie.
#5 Depuis le début de l'année, les expéditions de carottes aux États-Unis ont diminué de 45 %.
#6 Depuis le début de l'année, les expéditions de maïs sucré aux États-Unis sont en baisse de 20 %.
#7 Depuis le début de l'année, les expéditions de patates douces aux États-Unis sont en baisse de 13 %.
#8 Depuis le début de l'année, les expéditions de céleri aux États-Unis sont en baisse de 11 %.
#9 La production totale de pêches aux États-Unis est en baisse de 15 % par rapport à l'année dernière.
#10 Près des trois quarts de tous les agriculteurs américains disent que la sécheresse de cette année nuit à leurs récoltes.
# 11 Grâce à la sécheresse sans fin, le nombre total de bovins dans l'Oregon a diminué de 41 %.
# 12 Grâce à la sécheresse sans fin, le nombre total de bovins au Nouveau-Mexique a diminué de 43 %.
# 13 Grâce à la sécheresse sans fin, le nombre total de bovins au Texas a diminué de 50 %.
# 14 Un producteur de bœuf de l'Oklahoma prédit maintenant que le bœuf haché "pourrait éventuellement dépasser 50 $ la livre".
#15 Au moins 40 % des États-Unis souffrent de sécheresse depuis 101 semaines consécutives.
# 16 Dans l'ensemble, il s'agit de la pire méga-sécheresse pluriannuelle aux États-Unis en 1 200 ans.
#17 L'Europe connaît actuellement la pire sécheresse qu'elle ait connue depuis 500 ans. Dans certaines régions d'Europe centrale, le niveau des rivières est tombé si bas que des « pierres de la faim » sont révélées pour la première fois depuis des siècles.
#18 La production de maïs pour l'ensemble de l'UE pourrait baisser d'un cinquième en 2022.
#19 Nous sommes prévenus qu'il y aura des pertes de récoltes en France allant jusqu'à 35 pour cent.
# 20 Il est prévu que les pertes de récoltes dans certaines régions du Royaume-Uni pourraient atteindre 50 %.
#21 Il est rapporté qu'il y aura des pertes de récoltes "jusqu'à 50 %" dans certaines parties de l'Allemagne.
#22 Certains agriculteurs en Italie ont déjà perdu « jusqu'à 80 % de leur récolte ».
#23 La production agricole en Somalie chutera d'environ 80 % cette année.
#24 En Afrique de l'Est, la sécheresse sans fin a déjà entraîné la mort d'au moins sept millions d'animaux.
#25 En Chine, ils font face à la pire sécheresse qu'ils aient jamais connue dans l'histoire.
# 26 L'Inde représente normalement 40 % du commerce mondial du riz, mais nous sommes prévenus que la production de ce pays sera en forte baisse en 2022 en raison de "déficits pluviométriques considérables dans les principaux États producteurs de riz".
# 27 Un tiers de la nation entière du Pakistan était sous l'eau après que les récentes inondations aient complètement dévasté cette nation, et les zones agricoles ont été particulièrement touchées. En conséquence, la grande majorité des cultures du pays ont été « emportées »…
Il a également été estimé qu'environ 65 % du panier alimentaire du pays - en particulier des cultures comme le riz, le coton, le blé et l'oignon - ont été emportés.
Le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Bilawal Bhutto-Zardari, dans une interview à CGTN plus tôt cette semaine, a offert une perspective encore plus sombre en disant qu'"environ 80 à 90 %" des cultures du pays ont été endommagées par les inondations.
#28 Les prix de certains engrais ont triplé depuis 2021, tandis que les prix de certains autres engrais ont en fait quadruplé.
# 29 Une société de paiement rapporte que le nombre d'Américains utilisant leur application pour contracter des prêts à court terme pour l'épicerie a augmenté de 95 %.
#30 La demande dans les banques alimentaires américaines est maintenant encore pire qu'elle ne l'était au plus fort de la pandémie de COVID.
# 31 L'Organisation mondiale de la santé nous dit que des millions de personnes en Afrique sont désormais potentiellement confrontées à une possibilité très réelle de mourir de faim.
#32 Selon le Programme Alimentaire Mondial, 828 millions de personnes dans le monde se couchent le ventre vide chaque nuit. Inutile de dire que ce nombre sera bientôt beaucoup plus élevé.
# 33 Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a déclaré publiquement qu'il pensait qu'il y aurait probablement de "multiples famines" en 2023.
Alors que les approvisionnements alimentaires mondiaux se resserrent de plus en plus, le risque de troubles civils augmentera également.
En fait, cela s'est déjà produit...
Le risque de troubles civils a augmenté cette année dans plus de la moitié des pays du monde, signalant une prochaine période d'instabilité mondiale accrue alimentée par l'inflation, la guerre et les pénuries de produits essentiels, selon une nouvelle analyse.
Selon Verisk Maplecroft, une société britannique de conseil et de renseignement sur les risques, 101 des 198 pays suivis dans son indice des troubles civils ont vu leur risque de troubles civils augmenter entre les deuxième et troisième trimestres de cette année.
Ces dernières semaines, nous avons assisté à des manifestations absolument massives dans des villes de toute la planète.
Mais les conditions ne sont même pas encore si mauvaises.
Alors, à quoi ressembleront les choses en 2023, lorsqu'il deviendra enfin extrêmement clair qu'il n'y aura tout simplement pas assez de nourriture pour tout le monde ?
Les pays riches auront les ressources nécessaires pour acheter une grande partie de ce qui est disponible sur le marché, ce qui signifie que de nombreux pays pauvres souffriront profondément.
Si tout ce que vous avez lu dans cet article vous semble familier, c'est parce que nous avons été avertis pendant des années que de telles conditions arrivaient.
En 2023, il y aura des famines et des troubles civils partout dans le monde.
Ceci n'est pas un exercice. Une crise alimentaire mondiale extrêmement grave a déjà commencé, et je vous encourage à vous préparer à ce qui vous attend pendant que vous le pouvez encore.
Dans les années 1950, il y avait un film classique de science-fiction intitulé Le jour où la Terre s'arrêta. Dans le film, un être extraterrestre a fait atterrir son vaisseau spatial à Washington DC dans le but d'avertir la Terre que si elle ne changeait pas ses mauvaises voies, elle serait détruite. Dans ce cas, il s'agissait d'une histoire de violence et de propagation d'armes atomiques dans l'espace, posant ainsi une menace pour la communauté intergalactique largement pacifique. L'extraterrestre a éteint tous les appareils mécaniques pendant une période de 24 heures pour démontrer la véritable nature de la menace. L'équivalent d'une attaque EMP temporaire à travers le monde. Dans le récent remake avec Keanu Reeves, les humains devaient être détruits pour sauver la planète de leurs mauvaises voies, en particulier du changement climatique.
Le thème de chaque film était un fantasme dans lequel une force extérieure interviendrait pour empêcher l'humanité de se détruire. Dans le film original, c'était le rayonnement global après une guerre atomique, dans le remake, c'était du temps. Indice, il peut y avoir un degré élevé de sarcasme dirigé vers la prétendue menace pour l'humanité dans le remake. Dans les deux cas, il s'agissait d'un argument politique sous couvert de fantasme spatial. La différence entre les deux films, bien sûr, est que l'annihilation nucléaire est une menace légitime, alors que le changement climatique est un phénomène naturel.
J'ai entendu parler pour la première fois de la fausse invasion extraterrestre de 2024 il y a trois ou quatre ans. A l'époque j'étais extrêmement sceptique. Depuis lors, je suis passé d'extrêmement sceptique à, eh bien, ils peuvent essayer s'ils peuvent s'en tirer. Ce dernier point de vue est renforcé par l'accent mis sur les ovnis présumés dans les programmes médiatiques contrôlés par le gouvernement. La diffusion de vidéos militaires d'OVNIS présumés au cours des deux dernières années dans l'émission de Tucker Carlson sur Fox News semble amorcer un peu la pompe. Moins subtil était le récent programme de Tucker sur les mutilations de bétail où Tucker a dit à Laura Ingram que la cause la plus évidente est extraterrestre. Il est possible que Tucker soit sincère avec ses opinions, cependant, je me demande toujours pourquoi il reçoit cette information ?
Il semble un peu étrange que l'armée publie principalement ces images sur un seul réseau. Le docteur Carrie Madej, lanceuse d'alerte sur le transhumanisme et l'expérience mortelle de thérapie génique Covid, a affirmé que c'était saper la foi d'un public majoritairement chrétien. Il serait également encore plus étrange qu'au cours de la même période où le gouvernement ait menti sur tout ce qui est imaginable, qu'il ait une crise de conscience et ait décidé de révéler la vérité sur les ovnis. Pensez-y, la censure de toutes les informations médicales qui vous protègent des injections dangereuses de thérapie génique et la restriction de l'utilisation de médicaments génériques réutilisés qui sauvent des vies, qui sont sûrs et efficaces pour traiter Covid, mais la divulgation complète de la menace extraterrestre ?
Apparemment, même les ufologues prétendent qu'il y a un complot pour simuler une invasion extraterrestre. Certains ont qualifié ce projet de complot de faisceau bleu (blue beam). Quel serait le but de simuler une invasion extraterrestre ?
Le but de simuler une invasion extraterrestre, tout comme le film, serait de faire avancer un programme politique. L'ordre du jour évident est un gouvernement totalitaire technocratique mondial sous prétexte de sauver la planète d'une civilisation très avancée qui nous programme pour la fin. Théoriquement, cela pourrait être basé sur la prévention d'une guerre nucléaire ou même après la décharge d'une arme nucléaire alors que le conflit avec la Russie continue de s'aggraver. Ou cela pourrait être simplement pour sauver la planète du changement climatique comme c'était le cas dans le remake de The Day the Earth Stood Still. Rappelez-vous, nous avons affaire à un dangereux culte laïc de la fin des temps qui pense que la planète ne peut pas soutenir la population.
Comment la fausse invasion extraterrestre serait-elle réalisée ?
Imaginez des hologrammes projetés dans le ciel avec des navires de la taille de villes. Suivi de rapports de communications et de directives à suivre par les humains pour éviter la destruction. Est-ce que vous tenez aux chefs d'État de participer à une telle arnaque ? Les gens tomberaient-ils dedans ?
Étant donné que la plupart des politiciens élus et des chefs d'État ont participé à de graves crimes contre l'humanité et ont participé à des confinements, une expérience mortelle de thérapie génique, et ont censuré la liberté d'expression et les droits de réunion, il serait long de parier sur l'intégrité des politiciens. à tous les niveaux de gouvernement. Quant à savoir si l'humanité tomberait dans l'escroquerie, vous souvenez-vous des gens portant des masques et suivant les petites lignes sur le sol dans les magasins ? Être à six pieds l'un de l'autre ? Ne nous a-t-on pas dit que cinq milliards de personnes ont pris les injections de thérapie génique Covid ?
Hmmm….ils pourraient prendre l'appât.
Lorsque les conquistadors espagnols ont mis le pied en Amérique centrale, ils ont été accueillis comme des dieux. Émergeant de la mer, sur des embarcations semblant venues de nulle part, l'avancée technologique des marins ressemblait à de la magie. Cette réception, associée à une avancée technologique dans l'armement, aidée par l'introduction de maladies mortelles, a aidé les Espagnols à conquérir assez rapidement une population beaucoup plus importante.
Imaginez les mondialistes, utilisant des drones et la technologie des hologrammes, créant l'illusion d'êtres avancés venant de l'espace, offrant la destruction d'une part, et le salut sous la forme de conseils de tous les êtres sages, d'autre part. Cela semblerait plus facile à vendre que de porter une couche pour le visage, à six pieds de distance et en suivant les lignes sur le sol en marchant. L'appareil de lavage de cerveau est déjà en place et la technologie pour le retirer semble également exister.
Rien de tout cela n'exclut la probabilité que le cosmos fasse équipe avec la vie. Je ne néglige pas non plus la possibilité que des extraterrestres aient visité la planète à un moment donné de notre histoire. Ou s'ils visitent régulièrement. Tout cela appartient à une autre discussion et honnêtement, je ne connais pas la réponse. Je ne prétends pas non plus avoir des connaissances privilégiées sur ce sujet d'une fausse invasion extraterrestre. Honnêtement, je ne sais pas si une telle arnaque est réellement prévue. J'espère qu'au fur et à mesure que de plus en plus de gens prendront conscience de cette arnaque potentielle, si elle est réellement planifiée, ils ne tomberont pas dans le piège.
Permettez-moi de l'énoncer différemment. S'il y a une invasion extraterrestre ou un événement de contact massif de sitôt, répétez après moi. "Je n'achète pas !"
Âââah les 'Extraterrestres' ! Ces chers (que dis-je !)... CES TRÈS CHERS Extraterrestres ouais ! venus de NullePart en dehors des étoiles et qui auraient parcouru des milliards de kilomètres-lumières au travers des étoiles pour enfin découvrir une étoile que l'on ne voit pas ! Putaing ! Une étoile éteinte ! Une planète où l'on peut s'y poser sans cuire ! Et là, bien-sûr, ne cherchant nullement le dialogue dans la découverte d'autres extraplanétoïdes n'auraient qu'un objectif: TUER ! Massacrer jusqu'au dernier de ces êtres qui peuvent leur apporter un autre savoir ! HAHAHAHA ! Là, les 'extraterrestres' ont tout faux. Des êtres dits 'super-intelligents' qui effaceraient les connaissances ! (Voir: 'Mars Attacks')
Les coraux couvraient autrefois le désert australien - peut-être qu'ils repousseront si nous vissons les bons globes lumineux ?
September 11th, 2022
Les vestiges d'un récif corallien disparu depuis longtemps ne sont pas dans l'eau ici, mais au sommet de la falaise. Voici à quoi ressemble le vrai changement climatique :
- voir photo sur site -
Falaises de Bunda, Nullarbor, Great Australian Bight. Photo.
L'ensemble du récif corallien est maintenant à 100 m hors de l'eau | Bahnfrend |
- voir carte sur site -
Carte de la plaine de Nullabor. Australie
La plaine de Nullabor.
Il s'avère que le désert du haut plateau appelé Nullarbor était autrefois un récif corallien. C'est un tronçon de mille kilomètres sans arbre qui se trouve maintenant à environ 100 m au-dessus du niveau de la mer. De toute évidence, c'est une nature sauvage qui ne demande qu'à être restaurée pour retrouver sa véritable gloire miocène. La question est de savoir si nous pouvons installer suffisamment de panneaux solaires pour sauver ce récif, ou si nous pouvons faire fondre l'Antarctique et remonter les océans…
Des chercheurs examinant des images satellites ont repéré un dôme et un anneau suspects (ci-dessous). Ils ont compris que ce n'était pas un cratère météoritique mais probablement un ancien atoll corallien. Il fait environ un kilomètre de diamètre et les coraux l'ont construit il y a (probablement) 14 millions d'années. Des changements tectoniques ont soulevé la terre hors de l'océan. Si seulement les polypes avaient mis en place une taxe carbone ?
Le Nullarbor est un peu spécial car la surface est bien conservée. Il n'y a pas beaucoup de pluie, pas de rivières à proprement parler, l'humidité est faible, les ondes de tempête ne la submergent pas et les sédiments ne s'y déposent pas. De plus, les glaciers les plus proches se trouvent en Nouvelle-Zélande.
"" Donc, même s'il est exposé, c'est un peu comme une terre que le temps a oubliée... l'érosion est si lente, [ces caractéristiques] sont préservées pendant des millions et des millions d'années, en quelque sorte en capturant un instantané de la façon dont les environnements étaient à différents moments. ” —WA Aujourd'hui
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Coral Dome, vestige, Nullabor Australie
Une fois, les poissons gambadaient au soleil de l'après-midi parmi les anenomes ici. Maintenant, il y a Saltbush.
C'est le genre de changement climatique dont nous avons besoin pour enseigner aux enfants à l'école. Géologique, pas grétalogique.
Imaginez l'effet si les étudiants savaient que presque rien n'était permanent, que la vie était adaptable et que le climat changeait tout le temps.
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Récif corallien nulllabor
Les vestiges d'un récif vieux de 14 millions d'années
Alerte scientifique :
Un récif mystérieux d'il y a des millions d'années découvert dans un vaste désert australien La majeure partie de l'Australie est maintenant aride et sèche, avec de vastes déserts intérieurs. Il y a des millions d'années, cependant, pendant le Miocène, le continent grouillait de vie ; pas seulement des écosystèmes forestiers denses et prospères, mais d'immenses mers intérieures.
"Grâce à l'imagerie satellite haute résolution et au travail sur le terrain, nous avons identifié le vestige clair d'une structure de fond marin originale préservée pendant des millions d'années, qui est la première de ce type de relief découvert dans la plaine de Nullarbor", explique le géologue Milo Barham de Curtin. Université en Australie. L'océan qui recouvrait le Nullarbor a commencé à s'assécher il y a environ 14 millions d'années, exposant les calcaires peu profonds déposés au cours du Cénozoïque moyen.
Cela signifie que le Nullarbor est effectivement un enregistrement propre des processus et des caractéristiques géologiques remontant au Miocène.
"Les preuves des canaux de rivières disparues depuis longtemps, ainsi que les systèmes de dunes de sable imprimés directement dans le calcaire, préservent des archives de paysages anciens et même un enregistrement des vents dominants", a déclaré Barham.
« Et il n'y a pas que les paysages. Des puits de grotte isolés ponctuant la plaine de Nullarbor préservent les restes momifiés de tigres de Tasmanie et les squelettes complets de merveilles disparues depuis longtemps telles que Thylacoleo, le lion marsupial.
Ce n'est pas tout. "En surface", ajoute Barham, "en raison des conditions relativement stables, la plaine de Nullarbor a conservé de grandes quantités de météorites, nous permettant de remonter dans le temps jusqu'aux origines de notre système solaire".
RÉFÉRENCE Lipar et al (2022) Forme de relief annulaire énigmatique sur une surface karstique planaire du Miocène, plaine de Nullarbor, Australie, processus et reliefs de la surface de la Terre. https://doi.org/10.1002/esp.5459
Les tremblements de terre ont séparé les continents Europe-Asie et Afrique du continent Américain. Donc (si je suis bien éveillé), l'eau au niveau très élevé s'est engouffrée dans la faille, et donc: le niveau a descendu (çà alors !).
Les adultes âgés de 35 à 44 ans sont décédés deux fois plus que prévu l'été dernier, selon les données de l'assurance-vie
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 05:40 Écrit par Margaret Menge via The Epoch Times
Selon les données de 20 des 21 principales compagnies d'assurance-vie aux États-Unis, les demandes de décès d'adultes en âge de travailler dans le cadre de polices d'assurance-vie collective ont dépassé les niveaux prévus l'été et l'automne derniers.
Les réclamations de décès pour les adultes âgés de 35 à 44 ans étaient 100% plus élevées que prévu en juillet, août et septembre 2021, selon un rapport de la Society of Actuaries, qui a analysé 2,3 millions de réclamations de décès soumises aux compagnies d'assurance-vie.
Le rapport a examiné les demandes de décès déposées dans le cadre de polices d'assurance-vie collectives au cours des 24 mois de la pandémie de COVID-19, d'avril 2020 à mars 2022. Les chercheurs ont utilisé les données des trois années précédant la pandémie pour établir une base de référence pour les décès attendus.
Alors que le COVID-19 a joué un certain rôle dans la majorité des décès excessifs d'adultes de plus de 34 ans au cours des deux années de pandémie, l'inverse était vrai pour les plus jeunes. Pour les personnes de 34 ans et moins, le nombre de décès non liés au COVID en excès était plus élevé que ceux liés au COVID, selon les données.
Au cours du troisième trimestre de l'année dernière, les décès dans la tranche d'âge des 25 à 34 ans étaient de 78 % supérieurs au niveau attendu et, pour les personnes âgées de 45 à 54 ans, de 80 % supérieurs aux attentes. La surmortalité était de 53% supérieure au niveau de référence pour les adultes âgés de 55 à 64 ans.
La Society of Actuaries (SOA) a demandé aux 20 compagnies d'assurance-vie participantes comment elles déterminaient la cause du décès aux fins de l'enregistrement des sinistres. Sur les 18 qui ont répondu, 17 ont déclaré qu'ils inscrivaient le COVID-19 comme cause du décès s'il figurait n'importe où sur le certificat de décès, tandis que huit des 18 ont déclaré qu'ils allaient plus loin et communiquaient avec leurs proches et le médecin légiste et regardaient d'autres sources pour essayer de déterminer la véritable cause du décès.
Une compagnie d'assurance-vie a déclaré qu'elle n'enregistrait le COVID-19 comme cause du décès que lorsqu'il pouvait être déterminé qu'il était la cause principale du décès sur un certificat de décès.
Le rapport note également que les cols blancs ont enregistré le plus grand nombre de décès en excès au cours des deux années étudiées. Le groupe, qui comprend des comptables, des avocats, des programmeurs informatiques et la plupart des autres emplois effectués dans un bureau, a enregistré 23% de décès de plus que prévu.
La forte augmentation des décès parmi les personnes en âge de travailler a été mise en lumière pour la première fois par Scott Davison, PDG de la compagnie d'assurance-vie basée à Indianapolis OneAmerica, qui a déclaré lors d'une conférence de presse virtuelle le 30 décembre 2021, que son entreprise et la vie L'industrie de l'assurance dans son ensemble enregistrait une augmentation de 40 % des décès chez les personnes âgées de 18 à 64 ans.
Davison a déclaré à l'époque que cela représentait les taux de mortalité les plus élevés de l'histoire de l'assurance-vie et qu'une augmentation de la mortalité de seulement 10% constituerait un événement «trois sigma», une catastrophe qui se produit une fois tous les 200 ans. .
OneAmerica est l'une des 20 entreprises qui ont fourni des données pour le rapport SOA. Les autres incluent Aflac, Anthem, The Hartford, Lincoln Financial Group, MetLife, New York Life et Principal Financial.
Edward Dowd, un gestionnaire de fonds spéculatifs qui étudie la surmortalité depuis plusieurs mois et qui a un livre à paraître sur le sujet, Cause Unknown, affirme que le taux de décès chez les jeunes est alarmant. Il a souligné que les décès excessifs avaient culminé à peu près au moment où l'administration Biden a mandaté les vaccins COVID-19 et les entreprises se sont précipitées pour s'y conformer.
"Temporairement, au cours de cette période de trois mois, le changement a été tel que quelque chose s'est produit", a-t-il déclaré. « Eh bien, nous savons tous ce qui s'est passé en août, septembre et octobre. C'étaient les mandats de Biden le 9 septembre, et de nombreuses entreprises anticipaient ces mandats.
Le 9 septembre 2021, le président Joe Biden a rendu obligatoires les vaccins COVID-19 pour les employés fédéraux et les travailleurs de la santé dans les établissements certifiés par Medicare et Medicaid. Le même jour, le président a chargé l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) de mettre en œuvre un mandat national de vaccination pour les entreprises privées de 100 employés ou plus.
La Cour suprême des États-Unis a annulé le mandat de l'OSHA en janvier, mais a autorisé le maintien du mandat des travailleurs de la santé.
La campagne de vaccination de la majorité de la population contre le COVID-19 est la plus grande campagne de vaccination de l'histoire du monde.
Au 31 août, environ 90 % des Américains de 18 ans ou plus avaient reçu au moins la première dose de l'un des vaccins COVID-19, et 77 % avaient reçu à la fois une première et une deuxième dose.
Le Dr Robert Malone, médecin et chercheur à qui l'on attribue l'invention de la technologie de l'ARNm à utiliser dans les vaccins, affirme que la surmortalité doit toujours être étudiée pour déterminer si un vaccin ou un médicament est vraiment sûr.
« La surmortalité devrait être un signal, un déclencheur », a-t-il déclaré à Epoch Times. "Lorsque nous constatons une surmortalité comme celle-là, en gros, si vous menez un essai clinique et que vous constatez ce type de surmortalité, vous arrêtez l'essai. Et vous recherchez la cause avant de continuer. Et si vous commercialisez un médicament, généralement, avec ce genre de données, vous arrêtez la distribution du médicament jusqu'à ce que vous ayez réglé le problème.
Malone a mentionné ce qu'il appelle «l'exemple classique» de la thalidomide, un médicament contre les nausées matinales prescrit à un petit nombre de femmes enceintes aux États-Unis à la fin des années 1950 et au début des années 1960 qui était efficace pour traiter les nausées matinales, mais qui provoquait de graves difformités leurs enfants à naître.
Le fabricant de médicaments avait fait pression sur la Food and Drug Administration des États-Unis pour qu'elle approuve le médicament, mais la FDA a refusé, en raison des malformations signalées.
Le juge ordonne à Fauci et à ses co-conspirateurs de publier des enregistrements montrant une collusion plandémique entre le gouvernement et Big Tech
Vendredi 09 septembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le juge de district américain Terry Doughty, nommé par Donald Trump, a ordonné à Tony Fauci, à l'attachée de presse de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre et à d'autres responsables du régime de Joe Biden de publier immédiatement tous les documents relatifs à la collusion du gouvernement fédéral avec Big Tech sur la pandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Une action en justice intentée par les procureurs généraux de la Louisiane et du Missouri a conduit à la publication initiale le 31 août de ce que The Epoch Times décrit comme une «tranche de découverte» impliquant plus de 50 responsables gouvernementaux dans une douzaine d'agences fédérales. Certains responsables ont cependant refusé de coopérer.
Parmi eux se trouvent Fauci, qui est actuellement directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) - Fauci est sur le point de démissionner de son poste après des décennies de "service" fédéral. Un autre est Jean-Pierre, qui doit encore se conformer à l'ordonnance du tribunal. (En relation: l'épouse de Fauci, Christine Grady, a également joué un rôle dans le déclenchement d'un génocide plandémique de masse, spécifiquement sur les enfants.)
"Premièrement, les informations demandées sont évidemment très pertinentes pour les réclamations des demandeurs", a déclaré Doughty. "Dr. Les communications de Fauci seraient pertinentes pour les allégations des plaignants en référence à la prétendue suppression de la parole relative à la théorie des fuites de laboratoire de l'origine du COVID-19, et à la prétendue suppression de la parole sur l'efficacité des masques et les verrouillages du COVID-19.
"Les communications de Jean-Pierre en tant qu'attaché de presse de la Maison Blanche pourraient être pertinentes pour tous les exemples des plaignants", a-t-il ajouté.
Les jours de Fauci (et de Jean-Pierre) sont comptés
Doughty a également évoqué la suppression de l'ordinateur portable de Hunter Biden juste avant l'élection présidentielle de 2020, ainsi que la frénésie de censure évidente de Big Tech qui visait à dissimuler toutes les spéculations sur le fait que le coronavirus de Wuhan (Covid-19) était un canular fabriqué.
Doughty a donné à Fauci et Jean-Pierre 21 jours pour se conformer à sa commande. Fauci doit également fournir des réponses complètes à une série de questions relatives à son rôle de directeur du NIAID, également dans les 21 jours.
"Nous savons d'après la précédente série de découvertes que les efforts pour censurer le discours de ceux qui ne sont pas d'accord avec le gouvernement sur la politique de covid sont venus d'en haut", a déclaré Jenin Younes, avocat plaidant pour la New Civil Liberties Alliance et avocat pour certains d'entre eux. les plaignants.
"Les Américains méritent de connaître la participation d'Anthony Fauci dans cette entreprise, d'autant plus qu'il a publiquement exigé que des individus spécifiques, dont deux de nos clients, Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, soient censurés sur les réseaux sociaux."
"Il est temps que le Dr Fauci réponde de son mépris flagrant pour les droits constitutionnels et les libertés civiles des Américains."
Une autre entité peu coopérative dans ce processus est le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), qui, nous le savons, a tenté de mettre en place une division entière de censure avant que cette division ne soit finalement jugée inconstitutionnelle.
Le HHS continue de bloquer le processus de découverte, refusant de révéler le rôle qu'il a joué dans «l'entreprise de censure» du gouvernement fédéral à travers toute la gamme des médias sociaux.
Le HHS indique que le NIAID, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le Bureau du Surgeon General sont tous des sous-organismes qui ont probablement et seront tenus de se procurer les dossiers demandés.
Le Département de la sécurité intérieure (DHS) est également complice, bien qu'il essaie de faire valoir que le fait de devoir se procurer les documents exigés par Doughty est "indûment contraignant et disproportionné par rapport aux besoins de l'affaire".
Doughty a exprimé son accord sur le fait que demander aux quelque 80 000 employés du HHS de rechercher des documents pertinents serait trop lourd. Cependant, il a identifié des personnes spécifiques déjà identifiées dans des documents obtenus par Meta, la société mère de Facebook, comme devant se conformer, sous peine de faire face à des accusations potentielles d'entrave à la justice.
Les dernières nouvelles sur la justice à venir pour les auteurs de la plandémie sont disponibles sur Pandemic.news.
OBÉIR OU ÊTRE VERROUILLÉ: Trudeau menace que la tyrannie covid revienne cet automne si 90 % de conformité aux injections de rappel n'est pas atteinte
Vendredi 09 septembre 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Nous sommes à quelques semaines de la fin de l'été, et le premier ministre canadien Justin Trudeau menace déjà de rétablir davantage de verrouillages, de mandats de masques et d'exigences de «vaccins» pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) s'il n'y a pas assez de Canadiens s'aligner volontairement pour la dernière piqûre "booster".
Dans une déclaration qu'il a fournie à la presse à l'intérieur de ce qui semblait être une chambre d'hôpital, Trudeau a fait valoir que le covid n'en avait «pas encore fini avec nous», même si la grande majorité du monde en a fini avec.
"Nous voudrions peut-être en finir, mais c'est toujours là", a déclaré Trudeau. «Et oui, nous avons beaucoup plus d'outils, beaucoup plus de compréhension, beaucoup plus de connaissances sur la façon de nous protéger et de protéger nos proches. Mais nous savons aussi qu'à mesure que l'hiver arrive, et que les gens sont repoussés à l'intérieur, il y a un risque réel d'une autre vague sérieuse de covid.
La seule solution à cette «vague» potentielle, selon Trudeau, est «de s'assurer que tout le monde est à jour de ses vaccinations», sinon les provinces devront «prendre des décisions sur les restrictions et les mandats».
"La recommandation est que vous devriez être à jour dans vos vaccinations si vous avez reçu une dose dans les six mois", a ajouté Trudeau. "Tous ceux qui n'ont pas été vaccinés depuis un certain temps devraient tenir compte du fait que nous avons de nouveaux vaccins qui sortent ce mois-ci et qui sont adaptés à Omicron qui offriront une meilleure protection, et tout le monde devrait sortir et se faire vacciner."
« Si nous parvenons à atteindre ces 80, 85, 90 % des Canadiens à jour dans leurs vaccinations, nous aurons un bien meilleur hiver avec beaucoup moins besoin des types de restrictions et de règles qui ont été si problématiques pour tout le monde au cours de la dernières années », a-t-il poursuivi en blab.
«Mais à chaque étape du processus, la responsabilité du gouvernement est d'assurer la sécurité des personnes, d'empêcher que nos systèmes de santé ne soient submergés, et c'est là que les personnes qui choisissent de s'assurer qu'elles sont à jour dans leurs vaccinations avec ces nouveaux vaccins vont aidez-nous tous.
Vous pouvez regarder Trudeau dire ces choses dans la vidéo ci-dessous :
JT est un fou. pic.twitter.com/P9Qcc3gYx2 — Templier Maçon ?? (@TheTemplarMason) 5 septembre 2022
Trudeau est un candidat mandchou avec un complexe de dictateur
Trudeau a été sur une tyrannie extrême ces dernières années et semble vraiment s'amuser et sa capacité à imposer le scénario cauchemardesque qu'il souhaite avec un recul apparemment minime de la part des Canadiens.
Sa réponse à la manifestation des camionneurs du Freedom Convoy a été d'essayer d'invoquer la loi sur les urgences et de fermer les comptes bancaires des gens. Trudeau a également été récemment surpris en train d'essayer de comploter comment transformer le Canada en un État policier massif sur le «changement climatique», avec des «laboratoires biologiques», des «salles d'interrogatoire» de chambre de torture et des armées itinérantes d'agents du climat armés d'armes à feu.
«Le candidat PM canadien de Mandchourie, dont la formation scientifique commence et se termine avec sa profession précédente de professeur de théâtre suppléant, menace maintenant les verrouillages PSYOP-22», écrit «2nd Smartest Guy in the World» sur son Substack, exhortant les Canadiens à ne pas se conformer aux toutes circonstances.
"Ce psychopathe qui a commandé des millions de boosters DEATHVAX ™ qu'il doit injecter dans autant de bras de Canadiens dupés que possible pour le programme de dépopulation et de contrôle en déclin de la Grande Réinitialisation doit être arrêté à tout prix."
Dans la section des commentaires, beaucoup ont écrit que Trudeau était clairement fou s'il pensait qu'une autre série de théâtres pandémiques allait voler.
"Dans la vidéo, ses gestes sauvages de la main, ses yeux d'insectes fréquents et ses inflexions verbales spastiques montrent que ce psychopathe devient déséquilibré", a écrit l'un d'eux.
«Peut-être qu'à un certain niveau, il sait que les masses arrivent. Bientôt, il va rejoindre son collègue dictateur communiste corrompu, le président du Sri Lanka, en fuyant le pays dans la terreur juste avant que le peuple n'incendie le palais présidentiel.
En dehors d'une révolution, des pays comme le Canada qui sont contrôlés par des mondialistes peuvent s'attendre à ce que le cadran de la tyrannie médicale soit tourné au maximum cet automne et cet hiver. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Fascism.news.
Pandémie de profit : Pfizer gagnera 54 milliards de dollars d'ici la fin de l'année, grâce au COVID-19
vendredi 09 septembre 2022 par : Belle Carter
(Natural News) Les autorités sanitaires mondiales ont approuvé en collaboration les vaccins Big Pharma et d'autres traitements - malgré des événements indésirables et des essais insuffisants - pour «guérir» le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Près de deux ans après le déploiement initial du vaccin, le nombre de cas est toujours important et le solde des comptes bancaires de Big Pharma est encore plus important.
Pfizer devrait à lui seul récolter un chiffre d'affaires étonnant de 54 milliards de dollars d'ici la fin de l'année.
La société pharmaceutique doit tirer 32 milliards de dollars de bénéfices des injections de COVID-19 et 22 milliards de dollars supplémentaires de Paxlovid, la pilule utilisée pour traiter le COVID-19 mais qui peut faire «rebondir» le virus.
"Ironiquement, une partie de ce qui rend les traitements si rentables est le fait qu'ils ne font pas ce qu'ils sont censés faire, c'est-à-dire prévenir et traiter efficacement le COVID-19", a déclaré le promoteur américain de la médecine alternative, le Dr Joseph Mercola.
Les personnes vaccinées sont toujours infectées malgré l'injection et le rappel, et peuvent toujours transmettre la maladie à d'autres.
"Bien qu'on espère que ce sera le cas, la communauté scientifique ne sait pas encore si le vaccin COVID-19 de Pfizer réduira une telle transmission", a déclaré la Food and Drug Administration lorsqu'on lui a demandé si les vaccins COVID-19 de Pfizer protégeraient contre la transmission de le virus.
Mercola a en outre souligné que Pfizer profite du vaccin et que, lorsque les injections ne fonctionnent pas, l'industrie pharmaceutique gagne davantage en vendant le Paxlovid pour «traiter» davantage l'infection. Le président Joe Biden aurait eu une infection "de rebond" due à ladite pilule et il n'est pas le seul.
Certains patients qui ont pris la pilule après avoir été testés positifs pour le coronavirus ont signalé le même phénomène : des jours après avoir terminé un cours de cinq jours de médicament oral et se sont sentis mieux, leurs symptômes COVID ou un résultat de test positif sont revenus.
"Cela signifie que plusieurs traitements du médicament sont souvent nécessaires - ce qui est une mauvaise nouvelle pour le public, mais une excellente nouvelle pour Pfizer et ses actionnaires", a déclaré Mercola.
Pendant ce temps, Pfizer ne va pas cesser de se prélasser dans la gloire de l'industrie lucrative. Il a exprimé son intention d'étendre de manière agressive l'utilisation de la technologie de l'ARNm par le vaccin COVID pour traiter les maladies génétiques rares du foie, des muscles et du système nerveux central grâce à une collaboration avec Beam Therapeutics, une société de biotechnologie menant des recherches sur les thérapies géniques et l'édition du génome.
Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré qu'ils espéraient réduire le temps de production de nouveaux vaccins de trois mois à deux mois en explorant des solutions automatisées pour produire de l'ARNm en collaboration avec Codex DNA. Pfizer développe également un vaccin contre le zona avec BioNTech.
Le HHS achète 105 millions de doses supplémentaires du vaccin COVID-19 de Pfizer Selon Mercola, les vaccins Pfizer dominent 70% des marchés américain et européen, tandis que Paxlovid est devenu un choix de traitement standard dans les hôpitaux.
Le gouvernement américain a éliminé 82,2 millions de doses de COVID-19 périmées à la mi-mai. Mais cela n'a pas dissuadé le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) d'acheter 105 millions de doses supplémentaires du vaccin COVID-19 de Pfizer pour 3,2 milliards de dollars, grâce à l'argent des contribuables.
Mercola a souligné que les contrats sont presque exclusivement en faveur de Pfizer et qu'ils n'ont aucune responsabilité financière pour les blessures et les décès, et il semble que cette indemnisation s'applique même s'ils devaient être reconnus coupables de fraude. (Connexe: Comment Pfizer a profité de la pandémie.)
"C'est le public qui risque de perdre dans cet accord, car il est inondé d'une nouvelle poussée pour se faire injecter un autre vaccin COVID-19, malgré ses échecs continus", a déclaré Mercola.
Pfizer affirme que ses nouveaux coups de rappel fonctionneront mieux que ses versions précédentes, une option étant envisagée pour cibler uniquement la variante omicron, tandis que l'autre option cible la souche dans le coup d'origine avec la variante omicron.
Les analystes disent que la perspective de rappels répétés est exactement ce que les investisseurs de Big Pharma attendent avec impatience.
"J'espère que nous pourrions le donner chaque année et peut-être plus souvent pour certains groupes à haut risque", a déclaré Bourla aux investisseurs cette année. "Ensuite, vous avez le traitement [Paxlovid] qui, disons, résoudra les problèmes de ceux qui contractent la maladie."
Visitez BigPharmaNews.com pour plus d'histoires sur Big Pharma profitant de la « pandémie ».
Regardez cette vidéo sur l'alliance médicale corrompue qui a profité de cette catastrophe orchestrée du COVID-19.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Prisoner sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
COVID JAB WARS: Moderna intente une action en justice contre Pfizer, BioNTech affirmant qu'ils ont enfreint ses brevets d'ARNm.
Des centaines de milliers de personnes seraient mortes CHAQUE SEMAINE des injections covid de Pfizer – PfizerGate continue.
Pfizer et Moderna ont-ils sauté les essais sur les animaux ? Vérification des faits par les vérificateurs des faits.
PHARMA RACE WARS : Alors que Pfizer met toutes les races en danger avec leurs vaccins COVID, les BLANCS et les ASIATIQUES ne sont PAS autorisés à postuler au programme de bourses de recherche de Pfizer.
11 septembre : le moment où nos sociétés ont sombré
Le 11 septembre a créé un précédent. Depuis lors, n’importe quel apprenti politicien se croit en droit d’appeler à l’état d’urgence.
le 11 septembre 2022 Par Olivier Maurice.
Elles ne sont plus très nombreuses, les personnes qui ont connu la guerre. La guerre, la vraie, celle de 1914-1918, celle de 1939-1945, celle de Corée, d’Indochine, du Vietnam, d’Algérie ou d’ailleurs. Celle qui dévore, brûle, détruit, ravage. Celle où des gens tuent des gens parce qu’ils en ont à la fois le droit et le devoir. Celle où la mort est partout.
Cette guerre, nous ne la voyons plus que dans les jeux-vidéo, les images d’archive et des fictions cinématographiques. Parfois aussi dans quelques images lointaines provenant de pays exotiques. La guerre, c’est sale, très sale. Et la saleté n’a plus de place dans notre monde aseptisé de marques, de paraître, de superficialité et de conventions. Elle n’a plus sa place dans notre représentation positive du monde. La guerre ce n’est pas quelque chose que notre société peut comprendre.
Nous voulons croire qu’elle a disparu, qu’elle n’est plus qu’un souvenir du passé qui ne survit que dans la saleté des gens sales ou dans sa version romanesque, aseptisée et virtuelle. Mais quand les soldats d’une cause que personne n’a envie d’essayer de comprendre sont venus le 11 septembre 2001 faire exploser les deux plus hautes tours de la plus grande ville du plus grand pays du monde, le miroir s’est brisé.
Le lendemain du 11 septembre, les dirigeants américains ne sachant pas comment réagir, n’arrivant pas à prendre la dimension de l’événement et ne voyant pas comment y répondre, ont alors essayé de décrire la sidération qui les avait envahis avec le seul mot qui leur venait à l’esprit : la guerre.
Le 11 septembre 2001, le monde occidental est entré en guerre, en guerre contre le terrorisme. Certains diront que ce sont les terroristes qui ont déclenché la guerre. Mais non, les terroristes ont déclenché les hostilités, les puissances occidentales, confiantes dans leur toute-puissance, y ont répondu par la guerre.
De la guerre contre le terrorisme à la guerre contre tout
Depuis ce jour, la guerre a tout envahi. Le rêve d’un monde sans guerre s’est soudainement transformé dans le cauchemar d’un monde où la guerre serait partout : guerre contre les inégalités, guerre contre la maltraitance animale, guerre contre le racisme et l’antisémitisme, guerre contre les violences faites aux femmes, guerre contre la pandémie, guerre contre le réchauffement climatique, guerre contre les injustices sociales…
Le monde est entré en guerre, et il n’est pas près d’en sortir : on ne peut ni perdre ni gagner des guerres qui n’en sont pas. En vingt ans, le mot guerre a envahi chaque discours politique et s’est invité à chaque journal télévisé. Et avec lui, il a fait entrer la peur.
Cette question revient systématiquement dans chaque reportage, dans chaque micro-trottoir : « avez-vous peur ? ». Comme s’il fallait avoir peur. Comme si la peur était normale. Normale en temps de guerre. Un citoyen a peur ? Un politicien lance une nouvelle guerre. Les terroristes n’ont pas déclenché la guerre, ils ont déclenché la peur. Et cette peur a plongé l’Occident dans un monde en guerre où la peur est partout et où la guerre est censée répondre à chaque nouvelle peur, alors qu’elle ne fait que l’accroître.
L’État de guerre post-11 septembre
Avec la guerre vient son cortège de décisions brutales et radicales. On ne sait pas du tout si elles vont être utiles, efficaces, applicables, sensées, mais il faut les appliquer. Sans étudier vraiment la question… juste « parce qu’il faut faire quelque chose ». Le 11 septembre, la chanson Chop Suey du groupe américano-arménien System Of A Down était en tête des hits aux USA. La chanson abordait la vacuité de la vie moderne, tout en apparence, en faux-semblants et en course poursuite et qui nous entrainait dans le nihilisme d’un « suicide conventionnel ». Le mot était de trop. La chanson a été interdite à la radio.
La guerre se joue d’abord dans les mots et depuis le 11 septembre, la liberté d’expression a été progressivement supprimée et remplacée par la police de la pensée, condamnant à l’exil et à la clandestinité ceux qui ne suivraient pas ses exigences.
Le 26 février 2020, l’équipe de foot de Lyon rencontrait celle de Turin en Ligue des Champions. Chaque jour des milliers de véhicules, des dizaines de milliers de personnes traversent les Alpes. Il est loin le temps où la montagne était infranchissable. Mais l’événement était de trop. Les rassemblements, les déplacements, les interactions sociales ont été interdits, les gestes règlementés. En temps de guerre, on construit des murs, des tranchées, des tours et des mâchicoulis.
La guerre des uns contre les autres
Mais en temps de guerre, il faut aussi des victoires. Il faut des ennemis vaincus dont on pourra fièrement exhiber la tête et célébrer la défaite. Faute de les affronter dans un champ de bataille, on les a désignés. Tous ceux qui sont contre ces guerres justes sont forcément des traitres à la patrie.
Alors on ressort les costumes des ennemis d’antan et les monstres imaginaires. Vous remettez en question la justesse des décisions, vous questionnez leur efficacité, vous appelez à d’autres solutions, vous osez comparer les atteintes au droit, dénoncer les coups de sabre donnés dans les libertés ?
Vous êtes Darth Vader, vous êtes envahi par le côté obscur de la force. Vous êtes Adolf Hitler, Néron et le comte Dracula. Vous êtes dans le camp du mal. A minima, on vous accusera de complot. Couramment, on vous traitera d’assassin, de criminel. Vulgairement, on vous trouvera tout une liste de sobriquets pour vous décrédibiliser et vous avilir.
On vous attrape, on vous épinglera et on vous raillera. Tout comme on exhibait les criminels au pilori. Tout comme on crucifiait les ennemis vaincus. Tout comme on faisait des rangées de têtes coupées posées sur des piques.
Faute de victoires contre des ennemis introuvables, on a multiplié les batailles des uns contre les autres. Parce qu’en temps de guerre, il faut qu’il y ait deux camps. Il faut qu’il ait des ennemis que l’on puisse voir, haïr, insulter, railler, moquer, détester…
Avant le 11 septembre, les étudiants américains partaient abuser de la fête à Cancún et étaient tout fiers de passer à la télé dans MTV Spring Break. Aujourd’hui, transformés en soldats de la justice sociale, ils sont prêts à vous mordre au moindre indice de désaccord.
Quels résultats pour le post-11 septembre ?
Cette guerre, on ne la gagnera jamais car ce n’en est pas une. Pas plus que l’on ne gagnera les autres guerres qui ont fleuri depuis que la mobilisation générale est devenue la solution à tout.
La guerre contre le terrorisme et toutes les autres guerres contre des ennemis que l’on ne peut pas voir sont le reflet de l’incapacité totale des États à assurer leur mandat. Elles ne sont que la conséquence de la violation de leur seule et unique justification : celle de détenir le monopole légal de la violence.
Les instigateurs des attentats du 11 septembre auraient dû être localisés, interpellés ou éliminés dans la semaine, dans le mois qui a suivi l’événement ! Il a fallu 10 ans pour trouver Ben Laden.
On a préféré envahir des pays, déplacer des populations, détruire des infrastructures, créer des milliers de victimes collatérales… des milliers d’enfants, de femmes, de vieillards et de combattants qui sont instantanément devenus des martyrs dans la bouche des agitateurs.
On a préféré la guerre à la justice. Le 11 septembre a clairement marqué un profond changement dans nos sociétés. L’effondrement des tours a été le révélateur de l’effondrement de l’État, de l’effondrement des États occidentaux qui, dans les années d’euphorie de la fin du XXe siècle, ont totalement perdu de vue leur raison d’être, pour se transformer en immenses méduses administratives et politiciennes, impotentes, pleurnicheuses et prêtes à tout pour essayer de cacher leurs innombrables incompétences.
Le 11 septembre a créé un précédent. Depuis lors, n’importe quel apprenti politicien se croit en droit d’appeler à l’état d’urgence et de s’attribuer les pleins pouvoirs au moindre prétexte.
Dommage que la machine à remonter le temps n’existe pas. Cela aurait été intéressant de demander à Gengis Khan, à Attila ou à Jules César ce qu’ils pensaient de lever des armées et d’entamer une campagne pour mener une guerre contre la peur ou contre la chaleur en été.
Alors qu'au 11 Septembre 2001 nous pensions tous qu'il s'agissait d'hologrammes d'avions projetés dans le ciel (aux vues des virages de cons presque en angles droits !! un amateur était aux manettes !), appuyés par tous les pilotes d'avions et avionneurs qui se sont exprimés sur l'impossibilité pour des avions de faire exploser des tours mêmes s'ils étaient bourrés d'explosifs, à quoi faut ajouter aussi tous les architectes du monde qui se sont élevés contre cette idiotie hollywoodienne projetées sur les télés du monde entier !!! et arrivés la banale vérité qu'à vrai dire sur les 8 millions de new-yorkais aucun n'avaient vu les 'avions' dans le ciel !!! (mais l'ont découvert à la télé !!). Hahahaha !
Il s'agissait de présenter sur 3 plans des avions ajoutés sur des écrans et diffusés à l'international ! Des calques ajoutés !! LA supercherie que l'on attendait pas ! Comment ont-ils osé ? Tout çà pour... pour mettre en scène l'explosion de 3 tours (minées par des artificiers). 3 tours vides ! Les bureaux ne pouvaient être loués à cause de l'amiante. Et l'amiante coûtait le prix de la tour pour être enlevée !! Donc, le proprio du WTC (Sylverstein) a premièrement pris une très forte assurance (en Juillet 2001) pour ses tours contre l'attaque d'avions !! et, le 11 Septembre... patatras ! Les avions, les tours, le spectacle, bref: le pognon remboursé au proprio par la compagnie d'assurance !! Chapeau ! Puis, comme il fallait une raison à cet attentat, le choix s'est porté sur un arabe (Ben Laden), puis la guerre qui s'en est suivie.
HAUSSES DE PRIX : 46 % DES FRANÇAIS ONT ROGNÉ SUR LEURS COURSES ALIMENTAIRES
par ANTON KUNIN 09/09/2022
Face aux hausses de prix, 33 % des Français déclarent privilégier l'achat de produits d'occasion.
Face aux hausses de prix, quasiment 1 Français sur 2 (46 %) fait le choix de se priver de certaines choses en faisant ses courses, et 40 % essaient de dépenser moins d’électricité, apprend-on d’un sondage Opinionway pour Younited.
Même parmi les plus aisés, 1 personne sur 2 modère ses dépenses
La hausse actuelle des prix est un fardeau pour quasiment tous les Français. Selon un sondage Opinionway pour Younited, 9 de nos compatriotes sur 10 se disent impactés. De plus, 86 % estiment que cette inflation sera durable, et 84% estiment que la hausse actuelle des prix concernera la majorité des postes de dépenses. Les Français prévoient notamment une augmentation des prix des courses alimentaires (89 %), de l’énergie (88 %) et des déplacements (83 %). À noter que 80 % de nos compatriotes redoutent également une potentielle explosion du coût des assurances.
Pour faire face à ces hausses des prix, la majorité des Français modèrent leurs dépenses. Cela vaut tant pour les foyers les plus modestes (75 %) que pour les plus aisés (50 %). Nos compatriotes sont nombreux à rogner sur leurs courses alimentaires (46 %), principalement en optant pour des produits premier prix ou des marques distributeurs, et à réduire leur consommation d’électricité (40 %). Sans surprise, les loisirs sont fortement impactés : 20% des Français déclarent avoir renoncé aux sorties au restaurant et aux sorties culturelles (24 %). 1 Français sur 4 a même annulé voyages et vacances.
Les Français sont nombreux à privilégier la réparation et l’achat de produits d’occasion Les gestes éco-responsables sont également envisagés comme des solutions efficaces pour faire face à la hausse des prix, qu’il s’agisse de privilégier la réparation au rachat (42 %) et les produits d’occasion aux produits neufs (33 %). Fait intéressant, ce recours à l’économie circulaire est particulièrement plébiscité par les femmes (64 %, contre 43 % des hommes).
À noter aussi que les 24-35 ans sont ceux qui ont le plus adapté leurs dépenses, notamment leurs courses alimentaires (69 %, contre 58 % des Français tous âges confondus).
- "Vous ne voulez qu'une tomate ??!! - "Oui, une seule. C'est pour les graines. Je les sèmerai !"
Bientôt les tomates sans graines ? Après les oranges sans pépins (sauf pour les maltaises de Tunisie) arriveront les fruits et légumes sans graine, pépin ou noyau pour éviter que des personnes malines ne les sèment !
Les États-Unis doivent au monde presque 3 fois plus d’or qu’il n’en existe mondialement
RépondreSupprimer04.01.2018
www.kla.tv/10400
« Les Etats-Unis se trouvent plus ou moins à l’aube d’une guerre civile » dit l’écrivain et expert financier Ernst Wolff. D’après lui la raison en serait la grande inégalité sociale aux Etats-Unis et aussi la charge énorme des dettes du pays. Nous en avons parlé dans notre émission du 26 mars 2017 en allemand USA : Qu’est-ce qui viendra d’abord, un krach ou une guerre ? (www.kla.tv/10207)
Egon von Greyerz, expert financier et fondateur de « Matterhorn Asset Management AG » et de « GoldSwitzerland », domicilié à Zurich, décrit dans son article du 27 mars 2017 combien les Etats-Unis sont endettés et comment c’est arrivé :
« Pendant que des analystes du marché se soucient de ce que la FED (banque d’émission des Etats-Unis) va faire par la suite [...], personne ne voit que les Etats-Unis se trouvent sur le chemin de la ruine totale, parce qu’ils ont fait des déficits depuis plus d’un demi-siècle et qu’ils présentent un déficit commercial depuis plus de 40 ans. [...]
Par exemple ce n’est sûrement pas la preuve d’une économie forte, que les Américains achètent des quantités énormes de nouvelles voitures [...], en particulier parce qu’ils le font au moyen de dettes subventionnées [...] qui ne seront jamais remboursées. La même chose se passe pour [...] les salaires en baisse, pour le chômage réel de 23 % et pour le Real-PIB en baisse (c’est-à-dire le produit intérieur brut, qui représente la valeur ajoutée de tous les biens et services produits). Une seule raison a permis aux Etats-Unis de vivre au-dessus de leurs moyens pendant plus que 50 ans, c’est parce que le dollar est la monnaie de réserve mondiale.
Mais comment le monde peut-il faire confiance à une monnaie de réserve qui repose sur la création de dettes et de monnaie illimitées ? [...]
La seule raison pour laquelle le dollar existe encore est qu’il est pris comme monnaie commerciale, en particulier pour le pétrole. Au début des années 1970 les Etats-Unis ont conclu un accord avec l’Arabie Saoudite, qui était de loin le plus grand producteur de pétrole du monde à l’époque. Contre des armes américaines et la protection l’Arabie Saoudite vendrait son pétrole en dollars, ce qui signifierait que le monde entier ferait le commerce en dollars. C’était le début du Pétrodollar. [...]
Jusqu’en 1970 les États-Unis avaient un excédent sain de leur balance commerciale annuelle. Puis à cause du ralentissement de l’économie et de l’importance des dépenses pour la guerre du Vietnam, le dollar a commencé à chuter. Le Président français Charles de Gaulle avait perçu les problèmes économiques des Etats-Unis et en conséquence avait réclamé que les dettes des Etats-Unis soient payées en or.
La couverture en or du dollar signifiait que chaque Etat souverain pouvait revendiquer le paiement en or, mais le Président Richard Nixon a compris que l’or des Etats-Unis s’en irait rapidement et il a résilié le Bretton Woods-System (le système de la couverture par l’or) qui était valable depuis 1944. En conséquence les Etats-Unis ne paient plus leurs dettes nationales en or mais avec des dollars qui se dévalorisent.
Depuis ce jour fatidique d’août 1971 les Etats-Unis se trouvent dans un état de détérioration continu. Les dettes ont dégénéré et la monnaie s’est effondrée, accompagnées d’un train de vie qui ne se basait plus depuis longtemps sur la productivité mais sur des crédits. [...]
Entre 1999 et 2017 le déficit commercial cumulé était de près de 12 billions de dollars.
Seulement peu de personnes comprennent ce que « 12 billions de dollars » signifie effectivement. [...]
RépondreSupprimerOn peut peut-être mieux comprendre le déficit commercial de 12 billions de dollars entre 1999 et aujourd’hui, si on le mesure avec l’or [...].Tout l’or qui a jamais été exploité dans l’histoire est évalué à 170 000 tonnes. Si les Etats-Unis devaient équilibrer vis-à-vis du reste du monde leurs dépenses et leurs achats inconsidérés avec de l’or, il leur faudrait 2,7 fois tout l’or qui a jamais été exploité. Au lieu de cela le gouvernement des Etats-Unis a trouvé une méthode beaucoup plus commode. Il imprime des morceaux de papier sans valeur en forme de billets de dollars […]. Les conséquences sont que celui qui tient des dollars […] n’a finalement rien du tout dans sa main […]. C’est le résultat absolument garanti de ce prétendu « système monétaire » actuel. Des gouvernements, des banques centrales et des banquiers ont détruit l’économie mondiale par leurs actions de ces cent dernières années. Les masses ne s’en rendent absolument pas compte. […] »
Ce sont les mots de l’expert financier Egon von Greyerz. De son côté, Konrad Hausener de la plateforme sur Internet « The Intelligence » poursuit ainsi cette pensée : « La situation mondiale est tendue. « Krach ou guerre ? » – qu’est-ce que l’avenir (proche) va apporter ? La Deuxième Guerre mondiale n’est-elle pas sortie d’une crise similaire, du moins sous l’angle des Etats-Unis ? Des mesures d’économie ne sont-elles pas vite oubliées, si une guerre oblige à remilitariser ? Une destruction n’est-elle pas toujours suivie d’une reconstruction – donc d’un redressement de l’économie ? » Dans son interview avec « Sputnik » l’expert financier Ernst Wolff a également mis en garde dans ce contexte contre l’énorme danger d’une grande guerre à la suite de la crise. Ernst Wolff dit littéralement : « Je suppose que les Etats-Unis saisissent le moyen de la guerre, à savoir au Proche-Orient, pour conjurer la très grande crise. » Et il ajoute : « Je suppose que la guerre au Proche-Orient sera énormément étendue […]. Je pense, dit-il, que les perspectives d’un danger sont réelles en ce moment. » (www.kla.tv/10207)
de hm.
Sources / Liens :
http://n8waechter.info/2017/03/egon-von-greyerz-die-usa-schulden-der-welt-fast-3-mal-mehr-gold-als-es-auf-der-welt-gibt/
http://www.theintelligence.de/index.php/politik/kommentare/4596-ist-krieg-ein-ausweg-aus-der-wirtschaftskrise.html
https://de.sputniknews.com/wirtschaft/20170316314914330-crash-krieg-krise-usa/
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=10400&date=2018-01-04
"La fin des jours" approche alors que l'Illinois s'apprête à éliminer la caution en espèces pour les délinquants violents
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 23:20
Les procureurs et les politiciens progressistes ont appliqué des politiques radicales de justice pénale dans tout le pays, souvent sans se soucier des effets réels sur la communauté. La dernière en date est une politique "sans caution en espèces" qui entrera en vigueur au cours de la nouvelle année pour les personnes accusées de meurtre au deuxième degré, de voies de fait graves et d'incendie criminel dans l'État de l'Illinois.
Le Counter Signal a rapporté que la loi SAFE-T met fin à la caution en espèces et comprend 12 infractions non détentrices, le meurtre au deuxième degré, les coups et blessures aggravés et l'incendie criminel sans caution, ainsi que l'homicide induit par la drogue, l'enlèvement, le cambriolage, le vol qualifié, l'intimidation, DUI aggravé , fuite et évasion aggravées, délits liés à la drogue et menaces envers un agent public.
Après le 1er janvier, les personnes accusées des crimes ci-dessus seront libres de se promener dans les rues sans caution.
Le procureur de l'État du comté de Will, James Glasgow, a averti que la "fin des jours" arriverait dans la nouvelle année lorsque le projet de loi entrerait en vigueur. Le comté de Will est situé dans la partie nord-est de l'État et est le deuxième plus grand comté de la région métropolitaine de Chicago.
Glasgow a poursuivi: SAFE-T Act "détruira la ville et l'état de l'Illinois … et je ne comprends même pas (comment) les gens qui le soutiennent ne peuvent pas s'en rendre compte."
La nouvelle loi précise également qui peut être arrêté : par exemple, quelqu'un qui s'introduit dans une propriété privée peut être condamné à une amende par la police mais pas expulsé. Glasgow a déclaré que la police et les juges auraient les "mains liées" dans le dos. Cela transformera sans aucun doute le comté en un paradis criminel.
Il a déclaré que les crimes violents et le chaos observés dans la région métropolitaine avaleraient le comté vivant (et même l'État) :
"Ce que vous voyez à Chicago, nous l'aurons ici."
Même si la loi SAFE-T vise à remanier le système de justice pénale de l'État et est conçue pour mettre fin à «l'incarcération de masse» ... les critiques de la nouvelle législation sont extrêmement alarmés qu'un fléau de crimes violents se propage dans tout l'État.
Le mois dernier, le Manhattan Institute a rapporté que la réforme de la justice pénale à New York avait échoué. Le rapport précise que la réforme de la caution a augmenté la criminalité et que les personnes victimes de violence étaient des minorités.
Une caution sans espèces pour les 12 infractions est une autre raison pour laquelle les résidents devraient quitter l'État. Ce qui pourrait arriver après l'entrée en vigueur de la loi nous rappelle des scènes du film d'horreur d'action dystopique "The Purge".
Les politiques progressistes en matière de justice pénale ont déçu les citoyens respectueux des lois. Pas étonnant que les gens s'arment alors que les crimes violents augmentent dans les centres urbains américains.
https://www.zerohedge.com/markets/end-days-near-illinois-set-eliminate-cash-bail-violent-offenders
Près d'un démocrate sur quatre pense que les hommes peuvent tomber enceintes ; Nouvelles découvertes de sondage
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 19:05
Écrit par Steve Watson via Summit News,
Un sondage mené par WPA Intelligence a révélé que près d'un quart des électeurs démocrates pensent que "certains hommes peuvent tomber enceintes".
Vingt-deux pour cent des démocrates dans l'ensemble étaient d'accord avec la déclaration.
Le sondage a également révélé que plus de femmes étaient d'accord avec la déclaration, et un incroyable 36 % de femmes démocrates blanches diplômées d'université étaient d'accord.
Le directeur général de WPAi, Conor Maguire, a déclaré qu '"avec 36 % d'une circonscription démocrate centrale (femmes démocrates blanches diplômées d'université) et un électeur démocrate sur cinq croyant cela, on peut voir pourquoi les dirigeants démocrates dorlotent le mouvement radical de la théorie du genre".
Les conclusions surviennent après des semaines de témoins démocrates témoignant lors d'audiences du comité judiciaire à la Chambre qu'ils croient que les hommes peuvent tomber enceintes et se faire avorter.
La professeure de droit de l'UC Berkley, Khiara Bridges, a refusé d'utiliser le mot «femme» et a accusé le sénateur du Missouri GOP Josh Hawley d'être «transphobe» et «d'inciter à la violence» pour avoir déclaré que les hommes ne pouvaient pas avoir de bébés.
Beaucoup d'entre eux ont également refusé de définir ce qu'est une femme, la présidente du National Women's Law Center, Fatima Goss-Graves, déclarant aux républicains que "vous essayez de suggérer que les personnes qui ne s'identifient pas comme des femmes ne peuvent pas tomber enceintes".
Le mois dernier, les 50 démocrates du Sénat ont voté contre un amendement visant à définir la grossesse comme un processus uniquement biologiquement féminin.
Cette folie ne se limite pas seulement aux universitaires éveillés qui font une scène au Congrès, mais se traduit dans la vie réelle avec des termes tels que «femmes» ou «mères» remplacés par des médecins dans les hôpitaux avec des «personnes qui accouchent» ou des «personnes enceintes». apaiser les personnes atteintes de dysphorie de genre ou tout simplement de maladie mentale.
L'Académie de médecine de l'allaitement aux États-Unis a publié un nouveau guide, conseillant aux hôpitaux et aux soignants de changer leur langage pour être plus « inclusif au genre ».
Le guide répertorie les «termes traditionnels» tels que «lait maternel», puis suggère des alternatives éveillées, notamment «lait humain», «lait des parents» et, plus ridiculement, «lait du père».
Comme nous l'avons souligné en juin, le NHS au Royaume-Uni a suscité la controverse en effaçant toutes les références aux femmes d'une section de conseils en ligne sur la ménopause, une condition exclusivement féminine.
Au cours du même mois, qui, sans coïncidence, était également le «mois de la fierté», le site Web du NHS a modifié ses pages de conseils sur le cancer de l'ovaire, supprimant les occurrences du mot «femmes» dans un mouvement qui, selon des sources, était destiné à être plus «inclusif» envers personnes trans, non binaires et intersexuées.
RépondreSupprimerCette tendance est arrivée jusqu'à ce que les dictionnaires changent littéralement la définition du mot "femme" pour inclure toute personne qui s'identifie comme telle.
Nous sommes également confrontés à un avenir où si vous tapez le « mauvais » mot, Google corrigera votre langage pour vous aider à devenir plus « inclusif ».
https://www.zerohedge.com/political/almost-1-4-democrats-believe-men-can-get-pregnant-new-poll-finds
Transition énergétique Un « délire dangereux » : rapport
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 08 SEPTEMBRE 2022 - 23:00
Écrit par Nathan Worcester via The Epoch Times,
Un rapport du 30 août affirme que l'idée d'une transition totale des combustibles fossiles est une « illusion dangereuse ».
"Les leçons de la dernière décennie montrent clairement que les technologies SWB [solaire, éolienne et batterie] ne peuvent pas être augmentées en cas de besoin, ne sont ni intrinsèquement" propres "ni même indépendantes des hydrocarbures, et ne sont pas bon marché", déclare-t-il.
Rédigé par Mark Mills du conservateur Manhattan Institute, le rapport intervient alors que la guerre russo-ukrainienne fait des ravages sur les marchés mondiaux de l'énergie, en particulier en Europe.
Dans un discours prononcé le 7 septembre, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a promis d'essayer d'"aplatir la courbe" de consommation d'électricité pendant les heures de pointe grâce au rationnement.
Face à la hausse des prix de l'énergie, certains politiciens repensent leurs positions sur les énergies fossiles.
La première ministre britannique nouvellement élue, Liz Truss, mettra fin au moratoire sur la fracturation hydraulique de son pays le 8 septembre, comme l'a rapporté The Telegraph.
Tout en notant que les véhicules électriques, les panneaux solaires et les éoliennes se sont tous considérablement améliorés ces dernières années, Mills a souligné les obstacles qui empêchent une sortie complète des hydrocarbures.
Les matières premières posent un défi fondamental. Citant une analyse de mai 2021 de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Mills a fait valoir que toute transition énergétique radicale nécessiterait une augmentation massive des approvisionnements en divers minéraux.
L'offre de lithium, par exemple, devrait augmenter de 4 200 %.
Les projections de l'AIE citées dans le rapport suggèrent que la hausse des prix des matières premières pourrait faire grimper les prix des batteries, des éoliennes et des panneaux solaires. Les prix des véhicules électriques augmentent déjà grâce à l'augmentation des coûts des matières premières.
"Hiver très intéressant"
Stephen Haner, chercheur principal au Thomas Jefferson Institute for Public Policy en Virginie, est d'accord avec l'analyse de Mills.
RépondreSupprimerIl a déclaré à Epoch Times dans une interview du 7 août que l'Américain moyen peut avoir du mal à suivre le problème de la transition énergétique « jusqu'à ce qu'il ouvre soudainement sa facture Dominion [Energy] et qu'il constate que sa facture d'électricité a augmenté de 40 %. ”
"Je ne vois pas qu'il soit jamais 100% sans fossiles. Cela ne fonctionnera tout simplement pas. Peut-il y avoir un pourcentage plus élevé d'énergie éolienne et solaire ? Oui », a-t-il dit, ajoutant que le monde pourrait bientôt faire face à un « hiver très intéressant ».
Un autre expert, Daniel Kish de l'American Energy Alliance, a déclaré à Epoch Times qu'il est trompeur de comparer directement les coûts actualisés de l'éolien et du solaire aux coûts du charbon, du nucléaire ou d'autres sources d'électricité dispatchables.
De telles comparaisons servent souvent à étayer l'affirmation selon laquelle les énergies renouvelables sont moins chères que l'énergie conventionnelle.
Il a souligné que l'Energy Information Administration des États-Unis distingue les technologies dispatchables, comme le charbon et le nucléaire, des technologies à ressources limitées comme l'éolien et le solaire.
"Vous ne pouvez pas comparer les coûts de l'énergie à temps partiel lorsque vous avez une demande à temps plein à une énergie à temps plein qui est là quand vous en avez besoin", a déclaré Kish dans une interview le 7 août.
Comme Mills, il craint que les États-Unis ne deviennent beaucoup plus dépendants des minéraux et des chaînes d'approvisionnement chinois qu'ils ne l'ont jamais été du pétrole de l'OPEP.
"Pour ma vie, c'est comme si vous étiez poussé directement dans les bras ouverts de la Chine, et vous le faites exprès", a-t-il déclaré.
https://www.zerohedge.com/energy/energy-transition-dangerous-delusion-report
Interdiction des véhicules thermiques neufs : un suicide
RépondreSupprimerEn abandonnant la construction du moteur thermique à l’horizon 2035, l’Europe se privera implicitement de l’autre alternative sous forme de véhicules hybrides associant bio-éthanol et électricité.
le 10 septembre 2022
Philippe Charlez
Le Parlement européen a adopté le 8 juin 2022 la directive visant à interdire la commercialisation de véhicules thermiques (voitures et petits utilitaires) à partir du 1er janvier 2035. La décision est lourde de conséquences pour le citoyen sur le plan de l’usage, la faisabilité « universelle » du VE (Véhicule Électrique) étant loin d’être démontrée. Elle est aussi lourde de conséquences pour l’industrie automobile européenne obligée de se restructurer totalement en moins de 15 ans. La filière produit 7% du PIB et emploie 10 % de de la main-d’œuvre manufacturière.
Véhicule électrique pour quels usages ?
Comparés aux véhicules thermiques, les VE se caractérisent par une faible autonomie et des longs temps de charge. Ces caractéristiques convergent vers la même conclusion : la voiture électrique est un véhicule urbain et périurbain et non un véhicule routier. Son application doit se restreindre à des petits véhicules de faible autonomie (batteries de 20 à 30 kWh), des parcours journaliers n’excédant pas 150 km et des longs temps de charge sur des prises de faible puissance (<10 kW) utilisées la nuit au domicile et le jour au bureau. Sur l’ensemble des kilomètres parcourus, 75 % sont dédiés à des trajets quotidiens de moins de 100 km contre seulement 25 % pour les trajets longues distances. Malgré ses inconvénients, l’électromobilité jouera donc un rôle déterminant dans la mobilité du futur.
Bilan énergétique et bilan carbone d’un véhicule électrique
Ne brûlant aucun combustible, la voiture électrique a un rendement de près de 100 % (contre 20 % à 30 % pour une voiture thermique). Mais, à ces consommations d’utilisation viennent se greffer des consommations grises liées à l’importante consommation énergétique requise pour extraire, conditionner et assembler les métaux (cobalt, lithium, graphite) nécessaires à la fabrication de la batterie. Sur 100 000 km (kilométrage de garantie de la batterie), l’énergie de fabrication de la batterie va accroître de 36 % la consommation d’une urbaine (petite batterie de 30 kWh) et plus que doubler celle d’une routière (grosse batterie de 90 kWh). Le rendement de 100 % doit donc être largement modulé.
S’il n’émet aucun gaz carbonique durant son utilisation, un VE est responsable d’abondantes émissions grises durant son cycle de vie. Suivant la source électrique (charbon, gaz, fioul) l’électricité peut être fortement carbonée : en moyenne le kWh Européen émet 250 ggaz carbonique. Fortement énergétivore la fabrication d’une batterie est un processus fortement émetteur de gaz carbonique. Selon le Swedish Environmental Research Institute la fabrication d’une batterie de 1kWh émet entre 60 kggaz carbonique et 100 kggaz carbonique.
RépondreSupprimerSi un petit VE urbain émet 62 % de gaz carbonique en moins que son équivalent thermique, en revanche la routière électrique émet 8 % de plus. Comme pour l’usage et la consommation, la mobilité électrique longue distance se révèle donc désastreuse en termes d’émissions de dioxyde de carbone.
- voir cadre sur site -
Surconsommation et surpuissance électrique
Une électrification totale du parc français actuel augmenterait la consommation annuelle d’électricité de 100 TWh soit un excédent de 25 % par rapport à la consommation actuelle. Tout en étant significatif, cet accroissement ne constitue pas un point de blocage. En revanche, la sur-demande en puissance électrique (de l’ordre de 30 GW) représente jusqu’à 40 % de la puissance nominale consommée aux heures de pointe l’hiver. La généralisation de la mobilité électrique devra donc s’accompagner de la mise œuvre d’unités supplémentaires.
Enfin, la gestion de la mobilité électrique longue distance peut être catastrophique les jours de « grande transhumance ». Ainsi, la gestion du flux critique de véhicules un premier août nécessiterait 42 000 bornes haute puissance de 240 kW. Un goulot supplémentaire montrant combien la mobilité électrique s’avère très mal adaptée aux longues distances.
Batteries et métaux rares : une affaire d’indépendance européenne
Elément clé de la mobilité électrique, les batteries ion-lithium sont aujourd’hui fabriquées en grande majorité (80 %) dans le sud-est asiatique.
Mais la construction des batteries n’est pas le seul élément d’indépendance nationale à considérer. Les métaux rares et semi rares (cobalt, graphite et lithium) sont très mal répartis à la surface du globe. Ainsi, la RDC recèle plus de la moitié des réserves de cobalt, le Brésil, la Chine et la Turquie possèdent les deux tiers des réserves de graphite tandis que l’Argentine et le Chili possèdent les trois quarts des réserves de lithium.
Le passage de la mobilité thermique à la mobilité électrique transformera notre dépendance pétrolière en dépendance minière.
Conclusion : équilibrer la mobilité verte entre électricité, hydrogène et biocarburants
La mobilité électrique n’est pas, comme semble le supposer l’UE, une « thérapeutique » universelle pour remplacer la mobilité thermique. Si elle représente la solution la plus pertinente en déplacement urbain, son utilisation sur les longues distances est très contestable à la fois en termes d’usage, de consommation et d’émission de gaz carbonique. Sur longues distances, les alternatives décarbonées sont les biocarburants et l’hydrogène.
Couvrir 25 % des trajets par l’hydrogène nécessiterait de produire annuellement 1,3 million de tonnes de H2 vert ce qui réclamerait environ 70 TWh d’électricité et la construction d’un réseau coûteux de distribution d’H2.
RépondreSupprimerEn abandonnant la construction du moteur thermique à l’horizon 2035, l’Europe se privera implicitement de l’autre alternative (les biocarburants peuvent être utilisés tels quels dans les moteurs thermiques actuels) sous forme de véhicules hybrides associant bio-éthanol et électricité.
L’arrêt de la production des voitures thermiques en 2035 comme le propose la Directive européenne associée à la vision lointaine de la filière hydrogène encouragera inexorablement les motoristes à construire des routières électriques et les fournisseurs d’énergie à équiper les stations autoroutières de bornes haute puissance. À l’encontre de toute logique, cette stratégie peut se révéler à terme suicidaire pour le Vieux Continent.
https://www.contrepoints.org/2022/09/10/433183-interdiction-des-vehicules-thermiques-neufs-un-suicide
voir: A propos d'énergie gratuite
Supprimermardi 28 octobre 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
La transition énergétique pourrait être déraillée par une pénurie imminente de cuivre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 12:30
Par Haley Zaremba de OilPrice.com
« Considérez le cuivre comme un vecteur commun, pour ainsi dire, de décarbonisation. C'est littéralement le câblage qui relie le présent au futur », écrit Nathaniel Bullard, Chief Content Officer de BloombergNEF. Alors que beaucoup d'entre nous imaginent que les énergies renouvelables ne sont que cela - infiniment renouvelables, sans utilisation de ressources limitées - la réalité est que les avions solaires, les éoliennes, les infrastructures de transmission d'énergie, les batteries pour le stockage de l'énergie et les moteurs de vos voitures électriques et vélos électriques tous dépendent de métaux dont la source n'est pas infinie. On a beaucoup parlé de l'extraction et de l'exploitation du lithium pour alimenter les batteries des véhicules électriques, mais on pourrait affirmer que le cuivre est encore plus central - et donc potentiellement menacé par - une transition énergétique verte à grande échelle.
L'inverse est également vrai - une pénurie imminente de cuivre menace de faire dérailler complètement la transition vers une énergie propre et, par extension, les engagements climatiques à travers le monde. Selon un récent rapport de S&P Platts, si les pénuries de cuivre suivent les tendances prévues, les objectifs climatiques seront « court-circuités et resteront hors de portée ».
Le cuivre est particulièrement efficace dans un large éventail d'alternatives à faible émission de carbone en raison de sa conductivité électrique relativement élevée et de sa faible réactivité. Ce n'est pas que la production et la transmission d'énergie traditionnelles et les véhicules à essence n'utilisent pas de cuivre dans leur fabrication - c'est juste que les énergies renouvelables et les véhicules électriques en nécessitent beaucoup plus. "Un véhicule électrique nécessite 2,5 fois plus de cuivre qu'un véhicule à moteur à combustion interne", rapporte CNBC. "Pendant ce temps, le solaire et l'éolien offshore ont besoin respectivement de deux fois et cinq fois plus de cuivre par mégawatt de capacité installée que d'électricité produite à partir de gaz naturel ou de charbon."
La production de cuivre a déjà du mal à répondre à la demande en plein essor, et S&P prévoit que les niveaux actuels de la demande doubleront presque d'ici 2035, atteignant 50 millions de tonnes métriques. Ce chiffre grimpera à plus de 53 millions de tonnes métriques d'ici 2050, ce qui représente "plus que tout le cuivre consommé dans le monde entre 1900 et 2021". Les projections de BloombergNEF sont un peu plus conservatrices, mais toujours frappantes, constatant que la demande de cuivre augmentera de plus de 50 % d'ici 2040. Fait inquiétant, le même rapport prévoit que la production de cuivre primaire pourrait augmenter de seulement 16 % au cours de la même période.
Ce différentiel accablant ne signifie cependant pas nécessairement que le monde sera « structurellement à court de cuivre » pour les 18 prochaines années. Il est probable que l'économie du déficit en cuivre supprimera la demande en raison de prix prohibitifs, ce qui contribuera en fin de compte à équilibrer le déficit d'approvisionnement. "Cela se produirait, cependant, au détriment de l'expansion de l'énergie propre et des transports électrifiés", rapporte Bloomberg.
RépondreSupprimerCe dont le monde a besoin - le monde d'aujourd'hui ainsi que le monde futur, de plus en plus menacé par le climat - c'est de mettre davantage l'accent et de plus grandes dépenses sur la découverte et l'exploration du cuivre. Compte tenu du rôle central du cuivre dans le projet public essentiel d'atténuation et d'adaptation au changement climatique, le secteur public devrait être aussi actif que le secteur privé pour faciliter une production de cuivre primaire plus importante, moins chère et durable. Cela devrait être associé à de solides programmes de recyclage et de récupération du cuivre.
La production secondaire de cuivre - essentiellement le recyclage du cuivre - est déjà un secteur économique fort et bien développé, comblant complètement "l'écart de 4,6 millions de tonnes par an entre la production primaire et la demande" avec des déchets de cuivre industriels. Mais il existe une énorme opportunité - et en fait, un impératif - d'améliorer la collecte des déchets de cuivre auprès des consommateurs. Actuellement, le taux de collecte du cuivre des biens de consommation et électroniques n'est que de 53 %. Alors que le cuivre devient de plus en plus rare et de plus en plus cher, l'économie d'une meilleure récupération du cuivre encouragera probablement une récupération beaucoup plus importante à cet égard, rendant le cuivre non seulement mieux adapté pour soutenir les énergies renouvelables, mais plus renouvelable lui-même.
https://www.zerohedge.com/commodities/energy-transition-could-be-derailed-looming-copper-shortage
La chaise électrique c'est fini !
Supprimer3 petites piles enfoncées dans le cul.
« Sans énergie, aucune économie ne peut fonctionner » : les entreprises allemandes mettent en garde contre le désastre car l'électricité et les robinets de gaz sont fermés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 08:00
Par John Cody de Remix News,
Les entreprises allemandes sont de plus en plus incapables d'accéder à l'approvisionnement énergétique sur le marché et, à mesure que l'énergie se tarira, l'économie allemande cessera tout simplement de fonctionner, selon l'Association des chambres allemandes de l'industrie et du commerce (DIHK).
« De plus en plus d'entreprises nous disent qu'elles n'ont plus du tout de contrat de fourniture d'électricité ou de gaz. Le robinet est fermé dans le vrai sens du terme », a déclaré le président du DIHK, Peter Adrian, à la salle de presse du RND.
"Mais sans énergie, aucune économie ne peut fonctionner."
De plus, les prix de l'énergie ont atteint un niveau qui menace l'existence de nombreuses entreprises. Pas plus tard que cette semaine, la société allemande de papier hygiénique Hakle a déposé son bilan, les propriétaires citant les coûts énergétiques et matériels non durables comme principal facteur. Pendant ce temps, le Wall Street Journal rapporte que l'industrie sidérurgique européenne, qui nécessite d'énormes quantités de gaz naturel bon marché pour fonctionner, réduit sa production et fait face à de graves vents contraires sur le plan financier. D'autres secteurs, tels que la production chimique, l'agriculture et l'automatisation, sont tous confrontés à des obstacles sans précédent alors que la crise énergétique continue de secouer l'Europe.
Les appels à l'aide de l'économie allemande autrefois en plein essor émanent désormais des chefs d'entreprise, des associations et des consommateurs, la Fédération des industries allemandes (BDI) mettant également en garde contre une vague de faillites en raison de l'inflation des coûts énergétiques. Une nouvelle analyse du BDI indique qu'il s'agit d'un défi majeur pour 58 % des entreprises, et 34 % pensent que la crise actuelle représente une question de survie. L'Allemagne ne fait pas exception non plus, l'avertissement du Royaume-Uni montrant que six entreprises manufacturières sur dix risquent de fermer en raison de la crise énergétique.
Certaines entreprises allemandes, qui tentent de survivre dans un environnement de plus en plus difficile, affirment qu'elles cherchent à délocaliser leur production à l'étranger.
RépondreSupprimerPresque une entreprise sur dix a déjà réduit ou même interrompu sa production, tandis qu'une entreprise sur quatre envisage ou envisage déjà de délocaliser des actions ou des parties de la production et des emplois à l'étranger, où les coûts sont souvent moins chers qu'en Allemagne.
La situation s'aggrave aussi dans les métiers spécialisés.
"Dans les métiers, une vague de faillites déferle sur nous à cause de la crise énergétique", a déclaré le président de l'Association centrale de l'artisanat allemand, Hans Peter Wollseifer, au Rheinische Post.
"Chaque jour, nous recevons des appels d'urgence d'entreprises qui sont sur le point d'arrêter la production parce qu'elles ne peuvent plus payer les factures énergétiques énormément augmentées."
Même si la pandémie de coronavirus représentait une grave menace pour de nombreuses entreprises allemandes, le ralentissement dû à la crise énergétique devrait être bien pire. Les gouvernements et les banquiers centraux sont également limités dans leurs choix politiques. Contrairement à la crise des coronavirus, ils ne peuvent plus lancer des centaines de milliards de dollars de relance sur le problème, car cela exacerberait probablement considérablement une inflation déjà élevée.
Cependant, malgré les sonnettes d'alarme, certains signes indiquent que jusqu'à présent, l'économie allemande a résisté malgré diverses menaces économiques. Le nombre de faillites était encore stable en juin, selon le Halle Institute for Economic Research (IWH).
"Malgré la crise énergétique, les problèmes de chaîne d'approvisionnement et la suppression progressive de l'aide Corona, la situation d'insolvabilité est toujours agréablement robuste", a déclaré Steffen Müller, expert de l'IWH. En juin, 709 partenariats et sociétés ont déposé leur bilan, ce qui était légèrement inférieur aux mois précédents et en fait presque exactement le même nombre qu'en juin 2021. Müller a déclaré qu'il ne s'attendait pas non plus à une augmentation du nombre pour juillet ou août.
Cependant, de graves vents contraires se profilent à l'horizon, notamment la hausse des taux d'intérêt, des prix de l'énergie et une augmentation du salaire minimum en octobre à 12 €.
https://www.zerohedge.com/commodities/without-energy-no-economy-can-run-german-companies-warn-disaster-electricity-gas-taps
A quand la location de chaise à porteurs ?
SupprimerUn important fournisseur de GNL lance un avertissement sévère à l'UE
RépondreSupprimerNouvelles RT
10 septembre 2022
Le plus grand exportateur américain de gaz naturel liquéfié (GNL), Cheniere Energy, a averti que les approvisionnements limités dans le monde signifient que cet hiver pourrait être "vraiment, vraiment serré".
Selon Reuters, Cheniere, qui a envoyé 70 % de sa production en Europe cette année, a également déclaré qu'une résurgence de la demande chinoise de GNL aggraverait la crise énergétique.
"En fin de compte, ce qui décidera de la tension du marché, c'est à quel point il fait froid et comment fonctionnent les politiques gouvernementales et le rationnement de l'industrie", a déclaré le vice-président exécutif de Cheniere pour le commerce mondial, Corey Grindal, lors d'une conférence Gastech sur Jeudi.
Grindal a noté que pour l'instant l'environnement de prix actuel indique que les approvisionnements en GNL continueront d'être acheminés vers l'Europe. Les prix, qui étaient de 2 dollars par million d'unités thermiques britanniques (MMBtu) en 2020, ont grimpé de 2 750 % pour atteindre 57 dollars par MMBtu en août.
Les États-Unis ont intensifié leurs exportations de carburant vers l'UE cette année, profitant des prix élevés dans la région.
La Chine a également fourni des restes de GNL à l'UE, car ses politiques zéro Covid pèsent toujours sur la demande intérieure, selon Bloomberg. Les analystes avertissent cependant qu'une coupure totale du gaz russe enverrait l'UE dans une crise énergétique qui durerait plusieurs hivers.
Les livraisons de gaz naturel du gazoduc russe Nord Stream au bloc restent interrompues indéfiniment en raison de problèmes de maintenance. Selon le Kremlin, les problèmes techniques liés aux livraisons de gaz via le gazoduc persisteront jusqu'à ce que l'Occident lève ses sanctions contre la Russie.
Reprinted from RT News.
https://www.lewrockwell.com/2022/09/no_author/major-lng-supplier-issues-dire-warning-to-eu/
L'UE ne cherche pas la solution mais veut aggraver le problème.
SupprimerLe suicide énergétique de l'Allemagne : une autopsie
RépondreSupprimerPar Pepe Escobar
Culture stratégique
10 septembre 2022
L'UE a militarisé l'approvisionnement en énergie européenne au nom d'un racket financier, contre les intérêts de l'industrie et des consommateurs européens.
Lorsque le fanatique vert Robert Habeck, se faisant passer pour le ministre allemand de l'Économie, a déclaré plus tôt cette semaine "nous devrions nous attendre au pire" en termes de sécurité énergétique, il a commodément oublié de préciser que toute la farce est une crise Made in Germany cum Made in Brussels.
Des scintillements d'intelligence au moins brillent encore sous de rares latitudes occidentales, comme l'indispensable analyste stratégique William Engdahl, auteur de A Century of Oil, a publié un résumé pointu et concis révélant les squelettes dans le placard glamour.
Tous ceux qui avaient un cerveau après les horribles machinations de l'eurocrate à Bruxelles étaient au courant du complot principal – mais presque personne parmi les citoyens européens moyens. Habeck, le chancelier "Liver Sausage" Scholz, le vice-président de la Commission européenne (CE) de l'énergie verte Timmermans, la dominatrice de la CE Ursula von der Leyen, ils sont tous impliqués.
En un mot : comme le décrit Engdahl, il s'agit « du plan de l'UE visant à désindustrialiser l'une des concentrations industrielles les plus économes en énergie de la planète ».
C'est une traduction pratique de l'Agenda vert des Nations Unies 2030 - qui se trouve être métastasé en Great Reset du méchant crypto Bond Klaus Schwab - maintenant renommé "Great Narrative".
Toute l'arnaque a commencé au début des années 2000 : je m'en souviens très bien, car Bruxelles était ma base européenne au début de la « guerre contre le terrorisme ».
A l'époque, on parlait de la « politique énergétique européenne ». Le sale secret d'une telle politique est que la CE, « conseillée » par JP MorganChase ainsi que les méga fonds spéculatifs habituels, a tout mis en œuvre dans ce qu'Engdahl décrit comme « une déréglementation complète du marché européen du gaz naturel ».
Cela a été vendu à la Lugenpresse ("média menteur") comme une "libéralisation". En pratique, c'est un capitalisme de casino sauvage et non réglementé, avec le marché "libre" fixant les prix tout en se débarrassant des contrats à long terme - comme ceux conclus avec Gazprom.
Comment décarboner et déstabiliser
RépondreSupprimerLe processus a été accéléré en 2016, lorsque le dernier souffle de l'administration Obama a encouragé l'exportation massive de GNL à partir de l'énorme production de gaz de schiste des États-Unis.
Pour cela, il faut construire des terminaux méthaniers. Chaque terminal prend jusqu'à 5 ans pour être construit. Au sein de l'UE, la Pologne et la Hollande l'ont fait dès le départ.
Autant Wall Street dans le passé a inventé un marché spéculatif « pétrole papier », autant cette fois ils ont opté pour un marché spéculatif « gaz papier ».
Engdahl détaille comment "la Commission européenne et son programme Green Deal visant à" décarboniser "l'économie d'ici 2050, en éliminant le pétrole, le gaz et le charbon, ont fourni le piège idéal qui a conduit à la flambée explosive des prix du gaz dans l'UE depuis 2021".
La création de ce contrôle du marché « unique » impliquait d'imposer des changements de règles illégaux à Gazprom. En pratique, Big Finance et Big Energy – qui contrôlent totalement tout ce qui passe pour la « politique de l'UE » à Bruxelles – ont inventé un nouveau système de tarification parallèle aux prix stables à long terme du gazoduc russe.
En 2019, une avalanche de « directives » eurocrates sur l'énergie de la CE - la seule chose que ces gens font - avait établi un marché du gaz totalement déréglementé, fixant les prix du gaz naturel dans l'UE alors même que Gazprom restait le plus grand fournisseur.
Alors que de nombreux centres de négociation virtuels de contrats à terme sur le gaz ont commencé à apparaître dans toute l'UE, entrez dans le TTF néerlandais (Title Transfer Facility). En 2020, le TTF a été établi comme la véritable référence du gaz de l'UE.
Comme le souligne Engdahl, « TTF est une plate-forme virtuelle d'échanges de contrats à terme sur le gaz entre les banques et d'autres investisseurs financiers. En dehors, bien sûr, de toute bourse réglementée.
Ainsi, les prix du GNL ont rapidement commencé à être fixés par des transactions à terme dans le hub TTF, qui se trouve être la propriété du gouvernement néerlandais - "le même gouvernement détruisant ses fermes pour une allégation frauduleuse de pollution à l'azote".
Par tous les moyens nécessaires, la Big Finance devait se débarrasser de Gazprom en tant que source fiable pour permettre aux puissants intérêts financiers derrière le racket du Green Deal de dominer le marché du GNL.
Engdahl évoque un cas très peu connu à travers l'Europe : « Le 12 mai 2022, bien que les livraisons de Gazprom au gazoduc Soyouz à travers l'Ukraine aient été ininterrompues pendant près de trois mois de conflit, malgré les opérations militaires russes en Ukraine, le régime Zelensky contrôlé par l'OTAN en Kiev a fermé un important gazoduc russe passant par Lougansk, qui acheminait du gaz russe à la fois vers son Ukraine et vers les États de l'UE, déclarant qu'il resterait fermé jusqu'à ce que Kiev obtienne le contrôle total de son réseau de gazoducs qui traverse les deux républiques du Donbass. Cette section de la ligne ukrainienne Soyouz a coupé un tiers du gaz via Soyouz vers l'UE. Cela n'a certainement pas aidé l'économie de l'UE à un moment où Kiev demandait plus d'armes à ces mêmes pays de l'OTAN. Soyouz a ouvert ses portes en 1980 sous l'Union soviétique, apportant du gaz du champ gazier d'Orenbourg.
RépondreSupprimerHybrid War, le chapitre énergétique
Sur l'interminable feuilleton impliquant la turbine Nord Stream 1, le fait crucial est que le Canada a délibérément refusé de livrer la turbine réparée à Gazprom – son propriétaire – mais l'a plutôt envoyée à Siemens Allemagne, où elle se trouve maintenant. Siemens Allemagne est essentiellement sous contrôle américain. Les gouvernements allemand et canadien refusent d'accorder une exemption de sanction juridiquement contraignante pour le transfert vers la Russie.
C'est la goutte qui a fait déborder le vase (Gazprom). Gazprom et le Kremlin ont conclu que si le sabotage était le nom du jeu, ils se moquaient bien de savoir si l'Allemagne recevait zéro gaz via Nord Stream 1 (avec le tout nouveau Nord Stream 2, prêt à fonctionner, bloqué pour des raisons strictement politiques).
Le porte-parole du Kremlin, Dmity Peskov, a tenu à souligner que "les problèmes de livraison [de gaz] sont survenus en raison des sanctions imposées à notre pays et à un certain nombre d'entreprises par les pays occidentaux (...) Il n'y a pas d'autres raisons derrière les problèmes d'approvisionnement".
Peskov devait rappeler à quiconque a un cerveau que ce n'est pas la faute de Gazprom si "les Européens (…) prennent la décision de refuser d'entretenir leur équipement" ce qu'ils sont contractuellement obligés de faire. Le fait est que toute l'opération Nord Stream 1 repose sur "un équipement qui nécessite un entretien sérieux".
Le vice-Premier ministre Alexander Novak, qui connaît une ou deux choses sur le secteur de l'énergie, a clarifié les détails techniques :
"Tout le problème se situe précisément du côté [de l'UE], car toutes les conditions du contrat de réparation ont été complètement violées, ainsi que les conditions d'expédition de l'équipement."
Tout cela s'inscrit dans ce que le vice-ministre des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov décrit comme "une guerre totale déclarée contre nous", qui "est menée sous des formes hybrides, dans tous les domaines", avec "le degré d'animosité de nos adversaires - de nos ennemis" être « énorme, extraordinaire ».
Un responsable de l'alimentation de l'ONU prévient que la crise de l'accessibilité des engrais pourrait réduire de 40 % la production mondiale de céréales
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 08:45
Plus de six mois après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, la crise mondiale des engrais menace d'affamer la planète car les prix sont trop élevés pour certains agriculteurs avant la prochaine saison de plantation.
C'est le point de vue de Maximo Torero, économiste en chef de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), qui a déclaré à Bloomberg TV que les prix élevés des engrais pourraient faire baisser la production mondiale de céréales de plus de 40 % au cours de la prochaine saison de plantation.
Combinez les perturbations de la chaîne d'approvisionnement alimentaire dues à la guerre en Ukraine et les mauvaises récoltes dans le monde en raison des conditions météorologiques extrêmes - l'augmentation de la production alimentaire avec une réduction des engrais lors de la prochaine saison de plantation via les principaux pays exportateurs pourrait être difficile.
Les prix élevés des engrais devraient réduire la production mondiale de riz. Le grain nourrit la moitié de l'humanité et est vital pour la stabilité politique et économique en Asie et en Afrique subsaharienne. Les ruptures d'approvisionnement pourraient déclencher des instabilités sociales dans ces régions du monde. Nous avons souligné que le risque de troubles est élevé au cours des six prochains mois.
Au cours des dernières semaines, d'autres responsables de l'ONU ont multiplié les avertissements concernant la crise de l'accessibilité financière des engrais. Les prix en Amérique du Nord ont quitté les sommets mais restent 220 % au-dessus des niveaux du début de 2020.
- voir graph sur site -
La Banque africaine de développement a averti que le continent manque de 2 millions de tonnes métriques d'engrais.
"Nous commençons vraiment à crier de chaque tour qu'il y a une crise des engrais … et la crise des engrais est énorme", a déclaré à Politico un responsable de l'ONU sous couvert d'anonymat.
Les engrais artificiels contiennent trois ingrédients principaux : l'azote, le phosphore et le potassium. Les agriculteurs utilisent le produit final pour augmenter les rendements des cultures - si les prix restent élevés en raison des pénuries, moins d'engrais seront utilisés et les récoltes de la saison prochaine diminueront, poursuivant une crise alimentaire pluriannuelle qui ne pourrait que s'aggraver.
https://www.zerohedge.com/commodities/un-food-official-warns-fertilizer-affordability-crisis-could-slash-global-grain
Mais qu'en est-il du moment où il est logique de "suivre le leader ?"
RépondreSupprimerIl y a une grande différence entre l'autorité de position et l'autorité de meilleures connaissances et informations. Nous suivrons temporairement un leader qui a de meilleures connaissances et informations tant que cela nous convient. Ces jours-ci, nous espérons que les deux coïncident, mais bien trop souvent, ce n'est pas le cas. Et en raison de notre exposition à 13 ans de «programme caché» de l'école publique - et des avantages des dirigeants potentiels qui font semblant - nous ne pouvons souvent pas les distinguer.
Et peut-être exposant O.D.D. lui-même, c'est pourquoi Ben Franklin a suggéré "C'est la première responsabilité de chaque citoyen de remettre en question l'autorité", pourquoi Hitler a dû "duper" le peuple allemand afin de le diriger - et pourquoi le chef tribal savait: "Si je leur ordonne de faire des choses qu'ils ne veulent pas faire, je ne serai plus chef.
Si vous n'êtes toujours pas convaincu que nous avons de tels instincts de liberté, vous pouvez trouver une présentation solide des preuves ethnographiques solides ICI.
À quoi ressembleraient nos sociétés si nous abandonnions la démocratie coercitive et engagions pleinement nos instincts de liberté ? Bien qu'il ne soit pas parfait, il y a CET analogue provocateur - - -
Ainsi, un petit pourcentage d'humains sont des retours génétiques à nos parents hiérarchiques (babouins, gorilles, chimpanzés, etc.) - et leurs gènes poussent souvent certains d'entre eux à mentir, tricher, voler, intimider et parfois assassiner leur chemin vers le pouvoir hiérarchique postes. Cela s'applique particulièrement dans le cas des « gouvernements ». Certains d'entre nous sont conscients que cela est caractéristique des sociétés modernes, mais en sont venus à penser que c'est normal. Ce n'est pas le cas. ICI pour les mises à jour, les ajouts, les commentaires et les corrections.
https://www.lewrockwell.com/2022/09/l-reichard-white/fading-family-restaurants/
(...) nous avons un "instinct de liberté", le professeur Chomsky affirme que cela n'a pas été prouvé. (...)
SupprimerUn cheval qui naît est sauvage et refuse sa capture.
(...) "Nous trouverons plus de gibier à l'ouest, dans la forêt."
"Non, nous trouverons plus de gibier plus facile à l'est dans les prés." (...)
Il y a le 'nous'. Discussions. Preuves. Probabilités. "J'ai vu un animal" (nourriture). "J'ai vu des piades !"
Lorsqu'il y a le 'nous', la question ne se pose pas. On admet. Parfois il faut être nombreux pour. Mais se pose la question du partage. Plus on est nombreux plus la part est petite.
Plus on est nombreux, plus il y a d'opinions différentes. Mais il n'y a jamais de 'leader', car le 'chef' ne connaît pas tout !
En ces temps premiers la religion n'existait pas. Pas d'imbécilité d'être humain habitant les nuages ni de celui qui faisait surgir les volcans ou les vagues de l'océan.
Si la chasse au lapin demande à être seul la chasse au mammouth exige le nombre.
Une liste de 33 choses que nous savons sur les pénuries alimentaires à venir
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 10 SEPTEMBRE 2022 - 16:30
Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Les choses sont bien pires qu'on ne vous le dit. Au cours des derniers mois, j'ai soigneusement documenté des faits qui montrent que la production alimentaire mondiale va chuter en 2022. Malheureusement, la plupart des gens ne semblent pas comprendre que la nourriture qui n'est pas cultivée en 2022 ne seront pas dans les rayons de nos magasins en 2023. Nous sommes potentiellement confrontés à une crise alimentaire mondiale absolument sans précédent l'année prochaine, mais la grande majorité de la population ne semble pas très alarmée à ce sujet. Je vous encourage donc à m'aider à diffuser cet avertissement en partageant cette liste avec autant de personnes que possible. Comme vous le verrez ci-dessous, nous avons maintenant tellement de points de données qu'il est impossible de nier ce qui s'en vient.
Voici une liste de 33 choses que nous savons sur les pénuries alimentaires à venir…
#1 La récolte de blé dur rouge d'hiver aux États-Unis cette année « a été la plus faible depuis 1963 ». Mais en 1963, il n'y avait que 182 millions de personnes vivant dans ce pays. Aujourd'hui, notre population est passée à 329 millions.
#2 Il est prévu que la récolte de riz en Californie sera "la moitié de ce qu'elle serait dans une année normale".
#3 La récolte de tomates aux États-Unis n'atteindra que 10,5 millions de tonnes en 2022. C'est plus d'un million de tonnes de moins qu'une année normale.
#4 Ce sera la pire récolte de maïs aux États-Unis depuis au moins une décennie.
#5 Depuis le début de l'année, les expéditions de carottes aux États-Unis ont diminué de 45 %.
#6 Depuis le début de l'année, les expéditions de maïs sucré aux États-Unis sont en baisse de 20 %.
#7 Depuis le début de l'année, les expéditions de patates douces aux États-Unis sont en baisse de 13 %.
#8 Depuis le début de l'année, les expéditions de céleri aux États-Unis sont en baisse de 11 %.
#9 La production totale de pêches aux États-Unis est en baisse de 15 % par rapport à l'année dernière.
#10 Près des trois quarts de tous les agriculteurs américains disent que la sécheresse de cette année nuit à leurs récoltes.
# 11 Grâce à la sécheresse sans fin, le nombre total de bovins dans l'Oregon a diminué de 41 %.
# 12 Grâce à la sécheresse sans fin, le nombre total de bovins au Nouveau-Mexique a diminué de 43 %.
# 13 Grâce à la sécheresse sans fin, le nombre total de bovins au Texas a diminué de 50 %.
# 14 Un producteur de bœuf de l'Oklahoma prédit maintenant que le bœuf haché "pourrait éventuellement dépasser 50 $ la livre".
#15 Au moins 40 % des États-Unis souffrent de sécheresse depuis 101 semaines consécutives.
# 16 Dans l'ensemble, il s'agit de la pire méga-sécheresse pluriannuelle aux États-Unis en 1 200 ans.
RépondreSupprimer#17 L'Europe connaît actuellement la pire sécheresse qu'elle ait connue depuis 500 ans. Dans certaines régions d'Europe centrale, le niveau des rivières est tombé si bas que des « pierres de la faim » sont révélées pour la première fois depuis des siècles.
#18 La production de maïs pour l'ensemble de l'UE pourrait baisser d'un cinquième en 2022.
#19 Nous sommes prévenus qu'il y aura des pertes de récoltes en France allant jusqu'à 35 pour cent.
# 20 Il est prévu que les pertes de récoltes dans certaines régions du Royaume-Uni pourraient atteindre 50 %.
#21 Il est rapporté qu'il y aura des pertes de récoltes "jusqu'à 50 %" dans certaines parties de l'Allemagne.
#22 Certains agriculteurs en Italie ont déjà perdu « jusqu'à 80 % de leur récolte ».
#23 La production agricole en Somalie chutera d'environ 80 % cette année.
#24 En Afrique de l'Est, la sécheresse sans fin a déjà entraîné la mort d'au moins sept millions d'animaux.
#25 En Chine, ils font face à la pire sécheresse qu'ils aient jamais connue dans l'histoire.
# 26 L'Inde représente normalement 40 % du commerce mondial du riz, mais nous sommes prévenus que la production de ce pays sera en forte baisse en 2022 en raison de "déficits pluviométriques considérables dans les principaux États producteurs de riz".
# 27 Un tiers de la nation entière du Pakistan était sous l'eau après que les récentes inondations aient complètement dévasté cette nation, et les zones agricoles ont été particulièrement touchées. En conséquence, la grande majorité des cultures du pays ont été « emportées »…
Il a également été estimé qu'environ 65 % du panier alimentaire du pays - en particulier des cultures comme le riz, le coton, le blé et l'oignon - ont été emportés.
Le ministre pakistanais des Affaires étrangères, Bilawal Bhutto-Zardari, dans une interview à CGTN plus tôt cette semaine, a offert une perspective encore plus sombre en disant qu'"environ 80 à 90 %" des cultures du pays ont été endommagées par les inondations.
#28 Les prix de certains engrais ont triplé depuis 2021, tandis que les prix de certains autres engrais ont en fait quadruplé.
# 29 Une société de paiement rapporte que le nombre d'Américains utilisant leur application pour contracter des prêts à court terme pour l'épicerie a augmenté de 95 %.
#30 La demande dans les banques alimentaires américaines est maintenant encore pire qu'elle ne l'était au plus fort de la pandémie de COVID.
# 31 L'Organisation mondiale de la santé nous dit que des millions de personnes en Afrique sont désormais potentiellement confrontées à une possibilité très réelle de mourir de faim.
RépondreSupprimer#32 Selon le Programme Alimentaire Mondial, 828 millions de personnes dans le monde se couchent le ventre vide chaque nuit. Inutile de dire que ce nombre sera bientôt beaucoup plus élevé.
# 33 Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a déclaré publiquement qu'il pensait qu'il y aurait probablement de "multiples famines" en 2023.
Alors que les approvisionnements alimentaires mondiaux se resserrent de plus en plus, le risque de troubles civils augmentera également.
En fait, cela s'est déjà produit...
Le risque de troubles civils a augmenté cette année dans plus de la moitié des pays du monde, signalant une prochaine période d'instabilité mondiale accrue alimentée par l'inflation, la guerre et les pénuries de produits essentiels, selon une nouvelle analyse.
Selon Verisk Maplecroft, une société britannique de conseil et de renseignement sur les risques, 101 des 198 pays suivis dans son indice des troubles civils ont vu leur risque de troubles civils augmenter entre les deuxième et troisième trimestres de cette année.
Ces dernières semaines, nous avons assisté à des manifestations absolument massives dans des villes de toute la planète.
Mais les conditions ne sont même pas encore si mauvaises.
Alors, à quoi ressembleront les choses en 2023, lorsqu'il deviendra enfin extrêmement clair qu'il n'y aura tout simplement pas assez de nourriture pour tout le monde ?
Les pays riches auront les ressources nécessaires pour acheter une grande partie de ce qui est disponible sur le marché, ce qui signifie que de nombreux pays pauvres souffriront profondément.
Si tout ce que vous avez lu dans cet article vous semble familier, c'est parce que nous avons été avertis pendant des années que de telles conditions arrivaient.
En 2023, il y aura des famines et des troubles civils partout dans le monde.
Ceci n'est pas un exercice. Une crise alimentaire mondiale extrêmement grave a déjà commencé, et je vous encourage à vous préparer à ce qui vous attend pendant que vous le pouvez encore.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/list-33-things-we-know-about-coming-food-shortages
La fausse invasion extraterrestre de 2024
RépondreSupprimerDr Joseph Sansone
9 septembre 2022
Dans les années 1950, il y avait un film classique de science-fiction intitulé Le jour où la Terre s'arrêta. Dans le film, un être extraterrestre a fait atterrir son vaisseau spatial à Washington DC dans le but d'avertir la Terre que si elle ne changeait pas ses mauvaises voies, elle serait détruite. Dans ce cas, il s'agissait d'une histoire de violence et de propagation d'armes atomiques dans l'espace, posant ainsi une menace pour la communauté intergalactique largement pacifique. L'extraterrestre a éteint tous les appareils mécaniques pendant une période de 24 heures pour démontrer la véritable nature de la menace. L'équivalent d'une attaque EMP temporaire à travers le monde. Dans le récent remake avec Keanu Reeves, les humains devaient être détruits pour sauver la planète de leurs mauvaises voies, en particulier du changement climatique.
Le thème de chaque film était un fantasme dans lequel une force extérieure interviendrait pour empêcher l'humanité de se détruire. Dans le film original, c'était le rayonnement global après une guerre atomique, dans le remake, c'était du temps. Indice, il peut y avoir un degré élevé de sarcasme dirigé vers la prétendue menace pour l'humanité dans le remake. Dans les deux cas, il s'agissait d'un argument politique sous couvert de fantasme spatial. La différence entre les deux films, bien sûr, est que l'annihilation nucléaire est une menace légitime, alors que le changement climatique est un phénomène naturel.
J'ai entendu parler pour la première fois de la fausse invasion extraterrestre de 2024 il y a trois ou quatre ans. A l'époque j'étais extrêmement sceptique. Depuis lors, je suis passé d'extrêmement sceptique à, eh bien, ils peuvent essayer s'ils peuvent s'en tirer. Ce dernier point de vue est renforcé par l'accent mis sur les ovnis présumés dans les programmes médiatiques contrôlés par le gouvernement. La diffusion de vidéos militaires d'OVNIS présumés au cours des deux dernières années dans l'émission de Tucker Carlson sur Fox News semble amorcer un peu la pompe. Moins subtil était le récent programme de Tucker sur les mutilations de bétail où Tucker a dit à Laura Ingram que la cause la plus évidente est extraterrestre. Il est possible que Tucker soit sincère avec ses opinions, cependant, je me demande toujours pourquoi il reçoit cette information ?
Il semble un peu étrange que l'armée publie principalement ces images sur un seul réseau. Le docteur Carrie Madej, lanceuse d'alerte sur le transhumanisme et l'expérience mortelle de thérapie génique Covid, a affirmé que c'était saper la foi d'un public majoritairement chrétien. Il serait également encore plus étrange qu'au cours de la même période où le gouvernement ait menti sur tout ce qui est imaginable, qu'il ait une crise de conscience et ait décidé de révéler la vérité sur les ovnis. Pensez-y, la censure de toutes les informations médicales qui vous protègent des injections dangereuses de thérapie génique et la restriction de l'utilisation de médicaments génériques réutilisés qui sauvent des vies, qui sont sûrs et efficaces pour traiter Covid, mais la divulgation complète de la menace extraterrestre ?
Apparemment, même les ufologues prétendent qu'il y a un complot pour simuler une invasion extraterrestre. Certains ont qualifié ce projet de complot de faisceau bleu (blue beam). Quel serait le but de simuler une invasion extraterrestre ?
RépondreSupprimerLe but de simuler une invasion extraterrestre, tout comme le film, serait de faire avancer un programme politique. L'ordre du jour évident est un gouvernement totalitaire technocratique mondial sous prétexte de sauver la planète d'une civilisation très avancée qui nous programme pour la fin. Théoriquement, cela pourrait être basé sur la prévention d'une guerre nucléaire ou même après la décharge d'une arme nucléaire alors que le conflit avec la Russie continue de s'aggraver. Ou cela pourrait être simplement pour sauver la planète du changement climatique comme c'était le cas dans le remake de The Day the Earth Stood Still. Rappelez-vous, nous avons affaire à un dangereux culte laïc de la fin des temps qui pense que la planète ne peut pas soutenir la population.
Comment la fausse invasion extraterrestre serait-elle réalisée ?
Imaginez des hologrammes projetés dans le ciel avec des navires de la taille de villes. Suivi de rapports de communications et de directives à suivre par les humains pour éviter la destruction. Est-ce que vous tenez aux chefs d'État de participer à une telle arnaque ? Les gens tomberaient-ils dedans ?
Étant donné que la plupart des politiciens élus et des chefs d'État ont participé à de graves crimes contre l'humanité et ont participé à des confinements, une expérience mortelle de thérapie génique, et ont censuré la liberté d'expression et les droits de réunion, il serait long de parier sur l'intégrité des politiciens. à tous les niveaux de gouvernement. Quant à savoir si l'humanité tomberait dans l'escroquerie, vous souvenez-vous des gens portant des masques et suivant les petites lignes sur le sol dans les magasins ? Être à six pieds l'un de l'autre ? Ne nous a-t-on pas dit que cinq milliards de personnes ont pris les injections de thérapie génique Covid ?
Hmmm….ils pourraient prendre l'appât.
Lorsque les conquistadors espagnols ont mis le pied en Amérique centrale, ils ont été accueillis comme des dieux. Émergeant de la mer, sur des embarcations semblant venues de nulle part, l'avancée technologique des marins ressemblait à de la magie. Cette réception, associée à une avancée technologique dans l'armement, aidée par l'introduction de maladies mortelles, a aidé les Espagnols à conquérir assez rapidement une population beaucoup plus importante.
Imaginez les mondialistes, utilisant des drones et la technologie des hologrammes, créant l'illusion d'êtres avancés venant de l'espace, offrant la destruction d'une part, et le salut sous la forme de conseils de tous les êtres sages, d'autre part. Cela semblerait plus facile à vendre que de porter une couche pour le visage, à six pieds de distance et en suivant les lignes sur le sol en marchant. L'appareil de lavage de cerveau est déjà en place et la technologie pour le retirer semble également exister.
RépondreSupprimerRien de tout cela n'exclut la probabilité que le cosmos fasse équipe avec la vie. Je ne néglige pas non plus la possibilité que des extraterrestres aient visité la planète à un moment donné de notre histoire. Ou s'ils visitent régulièrement. Tout cela appartient à une autre discussion et honnêtement, je ne connais pas la réponse. Je ne prétends pas non plus avoir des connaissances privilégiées sur ce sujet d'une fausse invasion extraterrestre. Honnêtement, je ne sais pas si une telle arnaque est réellement prévue. J'espère qu'au fur et à mesure que de plus en plus de gens prendront conscience de cette arnaque potentielle, si elle est réellement planifiée, ils ne tomberont pas dans le piège.
Permettez-moi de l'énoncer différemment. S'il y a une invasion extraterrestre ou un événement de contact massif de sitôt, répétez après moi. "Je n'achète pas !"
https://josephsansone.substack.com/p/the-fake-alien-invasion-of-2024
Âââah les 'Extraterrestres' ! Ces chers (que dis-je !)... CES TRÈS CHERS Extraterrestres ouais ! venus de NullePart en dehors des étoiles et qui auraient parcouru des milliards de kilomètres-lumières au travers des étoiles pour enfin découvrir une étoile que l'on ne voit pas ! Putaing ! Une étoile éteinte !
SupprimerUne planète où l'on peut s'y poser sans cuire ! Et là, bien-sûr, ne cherchant nullement le dialogue dans la découverte d'autres extraplanétoïdes n'auraient qu'un objectif: TUER ! Massacrer jusqu'au dernier de ces êtres qui peuvent leur apporter un autre savoir !
HAHAHAHA !
Là, les 'extraterrestres' ont tout faux. Des êtres dits 'super-intelligents' qui effaceraient les connaissances ! (Voir: 'Mars Attacks')
Les coraux couvraient autrefois le désert australien - peut-être qu'ils repousseront si nous vissons les bons globes lumineux ?
RépondreSupprimerSeptember 11th, 2022
Les vestiges d'un récif corallien disparu depuis longtemps ne sont pas dans l'eau ici, mais au sommet de la falaise. Voici à quoi ressemble le vrai changement climatique :
- voir photo sur site -
Falaises de Bunda, Nullarbor, Great Australian Bight. Photo.
L'ensemble du récif corallien est maintenant à 100 m hors de l'eau | Bahnfrend |
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Carte de la plaine de Nullabor. Australie
La plaine de Nullabor.
Il s'avère que le désert du haut plateau appelé Nullarbor était autrefois un récif corallien. C'est un tronçon de mille kilomètres sans arbre qui se trouve maintenant à environ 100 m au-dessus du niveau de la mer. De toute évidence, c'est une nature sauvage qui ne demande qu'à être restaurée pour retrouver sa véritable gloire miocène. La question est de savoir si nous pouvons installer suffisamment de panneaux solaires pour sauver ce récif, ou si nous pouvons faire fondre l'Antarctique et remonter les océans…
Des chercheurs examinant des images satellites ont repéré un dôme et un anneau suspects (ci-dessous). Ils ont compris que ce n'était pas un cratère météoritique mais probablement un ancien atoll corallien. Il fait environ un kilomètre de diamètre et les coraux l'ont construit il y a (probablement) 14 millions d'années. Des changements tectoniques ont soulevé la terre hors de l'océan. Si seulement les polypes avaient mis en place une taxe carbone ?
Le Nullarbor est un peu spécial car la surface est bien conservée. Il n'y a pas beaucoup de pluie, pas de rivières à proprement parler, l'humidité est faible, les ondes de tempête ne la submergent pas et les sédiments ne s'y déposent pas. De plus, les glaciers les plus proches se trouvent en Nouvelle-Zélande.
"" Donc, même s'il est exposé, c'est un peu comme une terre que le temps a oubliée... l'érosion est si lente, [ces caractéristiques] sont préservées pendant des millions et des millions d'années, en quelque sorte en capturant un instantané de la façon dont les environnements étaient à différents moments. ” —WA Aujourd'hui
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Coral Dome, vestige, Nullabor Australie
Une fois, les poissons gambadaient au soleil de l'après-midi parmi les anenomes ici. Maintenant, il y a Saltbush.
C'est le genre de changement climatique dont nous avons besoin pour enseigner aux enfants à l'école. Géologique, pas grétalogique.
Imaginez l'effet si les étudiants savaient que presque rien n'était permanent, que la vie était adaptable et que le climat changeait tout le temps.
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Récif corallien nulllabor
Les vestiges d'un récif vieux de 14 millions d'années
Alerte scientifique :
Un récif mystérieux d'il y a des millions d'années découvert dans un vaste désert australien
La majeure partie de l'Australie est maintenant aride et sèche, avec de vastes déserts intérieurs. Il y a des millions d'années, cependant, pendant le Miocène, le continent grouillait de vie ; pas seulement des écosystèmes forestiers denses et prospères, mais d'immenses mers intérieures.
"Grâce à l'imagerie satellite haute résolution et au travail sur le terrain, nous avons identifié le vestige clair d'une structure de fond marin originale préservée pendant des millions d'années, qui est la première de ce type de relief découvert dans la plaine de Nullarbor", explique le géologue Milo Barham de Curtin. Université en Australie.
L'océan qui recouvrait le Nullarbor a commencé à s'assécher il y a environ 14 millions d'années, exposant les calcaires peu profonds déposés au cours du Cénozoïque moyen.
Cela signifie que le Nullarbor est effectivement un enregistrement propre des processus et des caractéristiques géologiques remontant au Miocène.
"Les preuves des canaux de rivières disparues depuis longtemps, ainsi que les systèmes de dunes de sable imprimés directement dans le calcaire, préservent des archives de paysages anciens et même un enregistrement des vents dominants", a déclaré Barham.
« Et il n'y a pas que les paysages. Des puits de grotte isolés ponctuant la plaine de Nullarbor préservent les restes momifiés de tigres de Tasmanie et les squelettes complets de merveilles disparues depuis longtemps telles que Thylacoleo, le lion marsupial.
RépondreSupprimerCe n'est pas tout. "En surface", ajoute Barham, "en raison des conditions relativement stables, la plaine de Nullarbor a conservé de grandes quantités de météorites, nous permettant de remonter dans le temps jusqu'aux origines de notre système solaire".
RÉFÉRENCE
Lipar et al (2022) Forme de relief annulaire énigmatique sur une surface karstique planaire du Miocène, plaine de Nullarbor, Australie, processus et reliefs de la surface de la Terre. https://doi.org/10.1002/esp.5459
https://joannenova.com.au/2022/09/corals-covered-australian-desert-maybe-they-will-grow-back-if-we-screw-in-the-right-light-globe/#more-86139
Bêh ouais, çà c'est passé 'y a quelques temps' !
SupprimerLes tremblements de terre ont séparé les continents Europe-Asie et Afrique du continent Américain.
Donc (si je suis bien éveillé), l'eau au niveau très élevé s'est engouffrée dans la faille, et donc: le niveau a descendu (çà alors !).
Les adultes âgés de 35 à 44 ans sont décédés deux fois plus que prévu l'été dernier, selon les données de l'assurance-vie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 SEPTEMBRE 2022 - 05:40
Écrit par Margaret Menge via The Epoch Times
Selon les données de 20 des 21 principales compagnies d'assurance-vie aux États-Unis, les demandes de décès d'adultes en âge de travailler dans le cadre de polices d'assurance-vie collective ont dépassé les niveaux prévus l'été et l'automne derniers.
Les réclamations de décès pour les adultes âgés de 35 à 44 ans étaient 100% plus élevées que prévu en juillet, août et septembre 2021, selon un rapport de la Society of Actuaries, qui a analysé 2,3 millions de réclamations de décès soumises aux compagnies d'assurance-vie.
Le rapport a examiné les demandes de décès déposées dans le cadre de polices d'assurance-vie collectives au cours des 24 mois de la pandémie de COVID-19, d'avril 2020 à mars 2022. Les chercheurs ont utilisé les données des trois années précédant la pandémie pour établir une base de référence pour les décès attendus.
Alors que le COVID-19 a joué un certain rôle dans la majorité des décès excessifs d'adultes de plus de 34 ans au cours des deux années de pandémie, l'inverse était vrai pour les plus jeunes. Pour les personnes de 34 ans et moins, le nombre de décès non liés au COVID en excès était plus élevé que ceux liés au COVID, selon les données.
Au cours du troisième trimestre de l'année dernière, les décès dans la tranche d'âge des 25 à 34 ans étaient de 78 % supérieurs au niveau attendu et, pour les personnes âgées de 45 à 54 ans, de 80 % supérieurs aux attentes. La surmortalité était de 53% supérieure au niveau de référence pour les adultes âgés de 55 à 64 ans.
La Society of Actuaries (SOA) a demandé aux 20 compagnies d'assurance-vie participantes comment elles déterminaient la cause du décès aux fins de l'enregistrement des sinistres. Sur les 18 qui ont répondu, 17 ont déclaré qu'ils inscrivaient le COVID-19 comme cause du décès s'il figurait n'importe où sur le certificat de décès, tandis que huit des 18 ont déclaré qu'ils allaient plus loin et communiquaient avec leurs proches et le médecin légiste et regardaient d'autres sources pour essayer de déterminer la véritable cause du décès.
Une compagnie d'assurance-vie a déclaré qu'elle n'enregistrait le COVID-19 comme cause du décès que lorsqu'il pouvait être déterminé qu'il était la cause principale du décès sur un certificat de décès.
RépondreSupprimerLe rapport note également que les cols blancs ont enregistré le plus grand nombre de décès en excès au cours des deux années étudiées. Le groupe, qui comprend des comptables, des avocats, des programmeurs informatiques et la plupart des autres emplois effectués dans un bureau, a enregistré 23% de décès de plus que prévu.
La forte augmentation des décès parmi les personnes en âge de travailler a été mise en lumière pour la première fois par Scott Davison, PDG de la compagnie d'assurance-vie basée à Indianapolis OneAmerica, qui a déclaré lors d'une conférence de presse virtuelle le 30 décembre 2021, que son entreprise et la vie L'industrie de l'assurance dans son ensemble enregistrait une augmentation de 40 % des décès chez les personnes âgées de 18 à 64 ans.
Davison a déclaré à l'époque que cela représentait les taux de mortalité les plus élevés de l'histoire de l'assurance-vie et qu'une augmentation de la mortalité de seulement 10% constituerait un événement «trois sigma», une catastrophe qui se produit une fois tous les 200 ans. .
OneAmerica est l'une des 20 entreprises qui ont fourni des données pour le rapport SOA. Les autres incluent Aflac, Anthem, The Hartford, Lincoln Financial Group, MetLife, New York Life et Principal Financial.
Edward Dowd, un gestionnaire de fonds spéculatifs qui étudie la surmortalité depuis plusieurs mois et qui a un livre à paraître sur le sujet, Cause Unknown, affirme que le taux de décès chez les jeunes est alarmant. Il a souligné que les décès excessifs avaient culminé à peu près au moment où l'administration Biden a mandaté les vaccins COVID-19 et les entreprises se sont précipitées pour s'y conformer.
"Temporairement, au cours de cette période de trois mois, le changement a été tel que quelque chose s'est produit", a-t-il déclaré. « Eh bien, nous savons tous ce qui s'est passé en août, septembre et octobre. C'étaient les mandats de Biden le 9 septembre, et de nombreuses entreprises anticipaient ces mandats.
RépondreSupprimerLe 9 septembre 2021, le président Joe Biden a rendu obligatoires les vaccins COVID-19 pour les employés fédéraux et les travailleurs de la santé dans les établissements certifiés par Medicare et Medicaid. Le même jour, le président a chargé l'Administration de la sécurité et de la santé au travail (OSHA) de mettre en œuvre un mandat national de vaccination pour les entreprises privées de 100 employés ou plus.
La Cour suprême des États-Unis a annulé le mandat de l'OSHA en janvier, mais a autorisé le maintien du mandat des travailleurs de la santé.
La campagne de vaccination de la majorité de la population contre le COVID-19 est la plus grande campagne de vaccination de l'histoire du monde.
Au 31 août, environ 90 % des Américains de 18 ans ou plus avaient reçu au moins la première dose de l'un des vaccins COVID-19, et 77 % avaient reçu à la fois une première et une deuxième dose.
Le Dr Robert Malone, médecin et chercheur à qui l'on attribue l'invention de la technologie de l'ARNm à utiliser dans les vaccins, affirme que la surmortalité doit toujours être étudiée pour déterminer si un vaccin ou un médicament est vraiment sûr.
« La surmortalité devrait être un signal, un déclencheur », a-t-il déclaré à Epoch Times. "Lorsque nous constatons une surmortalité comme celle-là, en gros, si vous menez un essai clinique et que vous constatez ce type de surmortalité, vous arrêtez l'essai. Et vous recherchez la cause avant de continuer. Et si vous commercialisez un médicament, généralement, avec ce genre de données, vous arrêtez la distribution du médicament jusqu'à ce que vous ayez réglé le problème.
Malone a mentionné ce qu'il appelle «l'exemple classique» de la thalidomide, un médicament contre les nausées matinales prescrit à un petit nombre de femmes enceintes aux États-Unis à la fin des années 1950 et au début des années 1960 qui était efficace pour traiter les nausées matinales, mais qui provoquait de graves difformités leurs enfants à naître.
Le fabricant de médicaments avait fait pression sur la Food and Drug Administration des États-Unis pour qu'elle approuve le médicament, mais la FDA a refusé, en raison des malformations signalées.
Read more here...
https://www.zerohedge.com/covid-19/adults-aged-35-44-died-twice-expected-rate-last-summer-life-insurance-data-suggests
On aurait du être 8 milliards le 15 Novembre 2022, nous ne serons que 6 !
SupprimerLe juge ordonne à Fauci et à ses co-conspirateurs de publier des enregistrements montrant une collusion plandémique entre le gouvernement et Big Tech
RépondreSupprimerVendredi 09 septembre 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le juge de district américain Terry Doughty, nommé par Donald Trump, a ordonné à Tony Fauci, à l'attachée de presse de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre et à d'autres responsables du régime de Joe Biden de publier immédiatement tous les documents relatifs à la collusion du gouvernement fédéral avec Big Tech sur la pandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Une action en justice intentée par les procureurs généraux de la Louisiane et du Missouri a conduit à la publication initiale le 31 août de ce que The Epoch Times décrit comme une «tranche de découverte» impliquant plus de 50 responsables gouvernementaux dans une douzaine d'agences fédérales. Certains responsables ont cependant refusé de coopérer.
Parmi eux se trouvent Fauci, qui est actuellement directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) - Fauci est sur le point de démissionner de son poste après des décennies de "service" fédéral. Un autre est Jean-Pierre, qui doit encore se conformer à l'ordonnance du tribunal. (En relation: l'épouse de Fauci, Christine Grady, a également joué un rôle dans le déclenchement d'un génocide plandémique de masse, spécifiquement sur les enfants.)
"Premièrement, les informations demandées sont évidemment très pertinentes pour les réclamations des demandeurs", a déclaré Doughty. "Dr. Les communications de Fauci seraient pertinentes pour les allégations des plaignants en référence à la prétendue suppression de la parole relative à la théorie des fuites de laboratoire de l'origine du COVID-19, et à la prétendue suppression de la parole sur l'efficacité des masques et les verrouillages du COVID-19.
"Les communications de Jean-Pierre en tant qu'attaché de presse de la Maison Blanche pourraient être pertinentes pour tous les exemples des plaignants", a-t-il ajouté.
Les jours de Fauci (et de Jean-Pierre) sont comptés
Doughty a également évoqué la suppression de l'ordinateur portable de Hunter Biden juste avant l'élection présidentielle de 2020, ainsi que la frénésie de censure évidente de Big Tech qui visait à dissimuler toutes les spéculations sur le fait que le coronavirus de Wuhan (Covid-19) était un canular fabriqué.
Doughty a donné à Fauci et Jean-Pierre 21 jours pour se conformer à sa commande. Fauci doit également fournir des réponses complètes à une série de questions relatives à son rôle de directeur du NIAID, également dans les 21 jours.
"Nous savons d'après la précédente série de découvertes que les efforts pour censurer le discours de ceux qui ne sont pas d'accord avec le gouvernement sur la politique de covid sont venus d'en haut", a déclaré Jenin Younes, avocat plaidant pour la New Civil Liberties Alliance et avocat pour certains d'entre eux. les plaignants.
RépondreSupprimer"Les Américains méritent de connaître la participation d'Anthony Fauci dans cette entreprise, d'autant plus qu'il a publiquement exigé que des individus spécifiques, dont deux de nos clients, Jay Bhattacharya et Martin Kulldorff, soient censurés sur les réseaux sociaux."
"Il est temps que le Dr Fauci réponde de son mépris flagrant pour les droits constitutionnels et les libertés civiles des Américains."
Une autre entité peu coopérative dans ce processus est le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), qui, nous le savons, a tenté de mettre en place une division entière de censure avant que cette division ne soit finalement jugée inconstitutionnelle.
Le HHS continue de bloquer le processus de découverte, refusant de révéler le rôle qu'il a joué dans «l'entreprise de censure» du gouvernement fédéral à travers toute la gamme des médias sociaux.
Le HHS indique que le NIAID, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et le Bureau du Surgeon General sont tous des sous-organismes qui ont probablement et seront tenus de se procurer les dossiers demandés.
Le Département de la sécurité intérieure (DHS) est également complice, bien qu'il essaie de faire valoir que le fait de devoir se procurer les documents exigés par Doughty est "indûment contraignant et disproportionné par rapport aux besoins de l'affaire".
Doughty a exprimé son accord sur le fait que demander aux quelque 80 000 employés du HHS de rechercher des documents pertinents serait trop lourd. Cependant, il a identifié des personnes spécifiques déjà identifiées dans des documents obtenus par Meta, la société mère de Facebook, comme devant se conformer, sous peine de faire face à des accusations potentielles d'entrave à la justice.
Les dernières nouvelles sur la justice à venir pour les auteurs de la plandémie sont disponibles sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-09-judge-orders-fauci-release-records-plandemic-collusion.html
OBÉIR OU ÊTRE VERROUILLÉ: Trudeau menace que la tyrannie covid revienne cet automne si 90 % de conformité aux injections de rappel n'est pas atteinte
RépondreSupprimerVendredi 09 septembre
2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Nous sommes à quelques semaines de la fin de l'été, et le premier ministre canadien Justin Trudeau menace déjà de rétablir davantage de verrouillages, de mandats de masques et d'exigences de «vaccins» pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) s'il n'y a pas assez de Canadiens s'aligner volontairement pour la dernière piqûre "booster".
Dans une déclaration qu'il a fournie à la presse à l'intérieur de ce qui semblait être une chambre d'hôpital, Trudeau a fait valoir que le covid n'en avait «pas encore fini avec nous», même si la grande majorité du monde en a fini avec.
"Nous voudrions peut-être en finir, mais c'est toujours là", a déclaré Trudeau. «Et oui, nous avons beaucoup plus d'outils, beaucoup plus de compréhension, beaucoup plus de connaissances sur la façon de nous protéger et de protéger nos proches. Mais nous savons aussi qu'à mesure que l'hiver arrive, et que les gens sont repoussés à l'intérieur, il y a un risque réel d'une autre vague sérieuse de covid.
La seule solution à cette «vague» potentielle, selon Trudeau, est «de s'assurer que tout le monde est à jour de ses vaccinations», sinon les provinces devront «prendre des décisions sur les restrictions et les mandats».
"La recommandation est que vous devriez être à jour dans vos vaccinations si vous avez reçu une dose dans les six mois", a ajouté Trudeau. "Tous ceux qui n'ont pas été vaccinés depuis un certain temps devraient tenir compte du fait que nous avons de nouveaux vaccins qui sortent ce mois-ci et qui sont adaptés à Omicron qui offriront une meilleure protection, et tout le monde devrait sortir et se faire vacciner."
« Si nous parvenons à atteindre ces 80, 85, 90 % des Canadiens à jour dans leurs vaccinations, nous aurons un bien meilleur hiver avec beaucoup moins besoin des types de restrictions et de règles qui ont été si problématiques pour tout le monde au cours de la dernières années », a-t-il poursuivi en blab.
«Mais à chaque étape du processus, la responsabilité du gouvernement est d'assurer la sécurité des personnes, d'empêcher que nos systèmes de santé ne soient submergés, et c'est là que les personnes qui choisissent de s'assurer qu'elles sont à jour dans leurs vaccinations avec ces nouveaux vaccins vont aidez-nous tous.
RépondreSupprimerVous pouvez regarder Trudeau dire ces choses dans la vidéo ci-dessous :
JT est un fou. pic.twitter.com/P9Qcc3gYx2
— Templier Maçon ?? (@TheTemplarMason) 5 septembre 2022
Trudeau est un candidat mandchou avec un complexe de dictateur
Trudeau a été sur une tyrannie extrême ces dernières années et semble vraiment s'amuser et sa capacité à imposer le scénario cauchemardesque qu'il souhaite avec un recul apparemment minime de la part des Canadiens.
Sa réponse à la manifestation des camionneurs du Freedom Convoy a été d'essayer d'invoquer la loi sur les urgences et de fermer les comptes bancaires des gens. Trudeau a également été récemment surpris en train d'essayer de comploter comment transformer le Canada en un État policier massif sur le «changement climatique», avec des «laboratoires biologiques», des «salles d'interrogatoire» de chambre de torture et des armées itinérantes d'agents du climat armés d'armes à feu.
«Le candidat PM canadien de Mandchourie, dont la formation scientifique commence et se termine avec sa profession précédente de professeur de théâtre suppléant, menace maintenant les verrouillages PSYOP-22», écrit «2nd Smartest Guy in the World» sur son Substack, exhortant les Canadiens à ne pas se conformer aux toutes circonstances.
"Ce psychopathe qui a commandé des millions de boosters DEATHVAX ™ qu'il doit injecter dans autant de bras de Canadiens dupés que possible pour le programme de dépopulation et de contrôle en déclin de la Grande Réinitialisation doit être arrêté à tout prix."
Dans la section des commentaires, beaucoup ont écrit que Trudeau était clairement fou s'il pensait qu'une autre série de théâtres pandémiques allait voler.
"Dans la vidéo, ses gestes sauvages de la main, ses yeux d'insectes fréquents et ses inflexions verbales spastiques montrent que ce psychopathe devient déséquilibré", a écrit l'un d'eux.
«Peut-être qu'à un certain niveau, il sait que les masses arrivent. Bientôt, il va rejoindre son collègue dictateur communiste corrompu, le président du Sri Lanka, en fuyant le pays dans la terreur juste avant que le peuple n'incendie le palais présidentiel.
En dehors d'une révolution, des pays comme le Canada qui sont contrôlés par des mondialistes peuvent s'attendre à ce que le cadran de la tyrannie médicale soit tourné au maximum cet automne et cet hiver. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Fascism.news.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
2ndSmartestGuyInTheWorld.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-09-trudeau-threatens-covid-tyranny-booster-shot-compliance.html
Pandémie de profit : Pfizer gagnera 54 milliards de dollars d'ici la fin de l'année, grâce au COVID-19
RépondreSupprimervendredi 09 septembre 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Les autorités sanitaires mondiales ont approuvé en collaboration les vaccins Big Pharma et d'autres traitements - malgré des événements indésirables et des essais insuffisants - pour «guérir» le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Près de deux ans après le déploiement initial du vaccin, le nombre de cas est toujours important et le solde des comptes bancaires de Big Pharma est encore plus important.
Pfizer devrait à lui seul récolter un chiffre d'affaires étonnant de 54 milliards de dollars d'ici la fin de l'année.
La société pharmaceutique doit tirer 32 milliards de dollars de bénéfices des injections de COVID-19 et 22 milliards de dollars supplémentaires de Paxlovid, la pilule utilisée pour traiter le COVID-19 mais qui peut faire «rebondir» le virus.
"Ironiquement, une partie de ce qui rend les traitements si rentables est le fait qu'ils ne font pas ce qu'ils sont censés faire, c'est-à-dire prévenir et traiter efficacement le COVID-19", a déclaré le promoteur américain de la médecine alternative, le Dr Joseph Mercola.
Les personnes vaccinées sont toujours infectées malgré l'injection et le rappel, et peuvent toujours transmettre la maladie à d'autres.
"Bien qu'on espère que ce sera le cas, la communauté scientifique ne sait pas encore si le vaccin COVID-19 de Pfizer réduira une telle transmission", a déclaré la Food and Drug Administration lorsqu'on lui a demandé si les vaccins COVID-19 de Pfizer protégeraient contre la transmission de le virus.
Mercola a en outre souligné que Pfizer profite du vaccin et que, lorsque les injections ne fonctionnent pas, l'industrie pharmaceutique gagne davantage en vendant le Paxlovid pour «traiter» davantage l'infection. Le président Joe Biden aurait eu une infection "de rebond" due à ladite pilule et il n'est pas le seul.
Certains patients qui ont pris la pilule après avoir été testés positifs pour le coronavirus ont signalé le même phénomène : des jours après avoir terminé un cours de cinq jours de médicament oral et se sont sentis mieux, leurs symptômes COVID ou un résultat de test positif sont revenus.
"Cela signifie que plusieurs traitements du médicament sont souvent nécessaires - ce qui est une mauvaise nouvelle pour le public, mais une excellente nouvelle pour Pfizer et ses actionnaires", a déclaré Mercola.
Pendant ce temps, Pfizer ne va pas cesser de se prélasser dans la gloire de l'industrie lucrative. Il a exprimé son intention d'étendre de manière agressive l'utilisation de la technologie de l'ARNm par le vaccin COVID pour traiter les maladies génétiques rares du foie, des muscles et du système nerveux central grâce à une collaboration avec Beam Therapeutics, une société de biotechnologie menant des recherches sur les thérapies géniques et l'édition du génome.
RépondreSupprimerLe PDG de Pfizer, Albert Bourla, a déclaré qu'ils espéraient réduire le temps de production de nouveaux vaccins de trois mois à deux mois en explorant des solutions automatisées pour produire de l'ARNm en collaboration avec Codex DNA. Pfizer développe également un vaccin contre le zona avec BioNTech.
Le HHS achète 105 millions de doses supplémentaires du vaccin COVID-19 de Pfizer
Selon Mercola, les vaccins Pfizer dominent 70% des marchés américain et européen, tandis que Paxlovid est devenu un choix de traitement standard dans les hôpitaux.
Le gouvernement américain a éliminé 82,2 millions de doses de COVID-19 périmées à la mi-mai. Mais cela n'a pas dissuadé le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) d'acheter 105 millions de doses supplémentaires du vaccin COVID-19 de Pfizer pour 3,2 milliards de dollars, grâce à l'argent des contribuables.
Mercola a souligné que les contrats sont presque exclusivement en faveur de Pfizer et qu'ils n'ont aucune responsabilité financière pour les blessures et les décès, et il semble que cette indemnisation s'applique même s'ils devaient être reconnus coupables de fraude. (Connexe: Comment Pfizer a profité de la pandémie.)
"C'est le public qui risque de perdre dans cet accord, car il est inondé d'une nouvelle poussée pour se faire injecter un autre vaccin COVID-19, malgré ses échecs continus", a déclaré Mercola.
Pfizer affirme que ses nouveaux coups de rappel fonctionneront mieux que ses versions précédentes, une option étant envisagée pour cibler uniquement la variante omicron, tandis que l'autre option cible la souche dans le coup d'origine avec la variante omicron.
Les analystes disent que la perspective de rappels répétés est exactement ce que les investisseurs de Big Pharma attendent avec impatience.
"J'espère que nous pourrions le donner chaque année et peut-être plus souvent pour certains groupes à haut risque", a déclaré Bourla aux investisseurs cette année. "Ensuite, vous avez le traitement [Paxlovid] qui, disons, résoudra les problèmes de ceux qui contractent la maladie."
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Regardez cette vidéo sur l'alliance médicale corrompue qui a profité de cette catastrophe orchestrée du COVID-19.
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Cette vidéo provient de la chaîne Prisoner sur Brighteon.com.
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Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
CNBC.com
Articles.Mercola.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-09-09-pfizer-to-earn-whooping-54-billion-covid19.html
11 septembre : le moment où nos sociétés ont sombré
RépondreSupprimerLe 11 septembre a créé un précédent. Depuis lors, n’importe quel apprenti politicien se croit en droit d’appeler à l’état d’urgence.
le 11 septembre 2022
Par Olivier Maurice.
Elles ne sont plus très nombreuses, les personnes qui ont connu la guerre. La guerre, la vraie, celle de 1914-1918, celle de 1939-1945, celle de Corée, d’Indochine, du Vietnam, d’Algérie ou d’ailleurs. Celle qui dévore, brûle, détruit, ravage. Celle où des gens tuent des gens parce qu’ils en ont à la fois le droit et le devoir. Celle où la mort est partout.
Cette guerre, nous ne la voyons plus que dans les jeux-vidéo, les images d’archive et des fictions cinématographiques. Parfois aussi dans quelques images lointaines provenant de pays exotiques. La guerre, c’est sale, très sale. Et la saleté n’a plus de place dans notre monde aseptisé de marques, de paraître, de superficialité et de conventions. Elle n’a plus sa place dans notre représentation positive du monde. La guerre ce n’est pas quelque chose que notre société peut comprendre.
Nous voulons croire qu’elle a disparu, qu’elle n’est plus qu’un souvenir du passé qui ne survit que dans la saleté des gens sales ou dans sa version romanesque, aseptisée et virtuelle. Mais quand les soldats d’une cause que personne n’a envie d’essayer de comprendre sont venus le 11 septembre 2001 faire exploser les deux plus hautes tours de la plus grande ville du plus grand pays du monde, le miroir s’est brisé.
Le lendemain du 11 septembre, les dirigeants américains ne sachant pas comment réagir, n’arrivant pas à prendre la dimension de l’événement et ne voyant pas comment y répondre, ont alors essayé de décrire la sidération qui les avait envahis avec le seul mot qui leur venait à l’esprit : la guerre.
Le 11 septembre 2001, le monde occidental est entré en guerre, en guerre contre le terrorisme. Certains diront que ce sont les terroristes qui ont déclenché la guerre. Mais non, les terroristes ont déclenché les hostilités, les puissances occidentales, confiantes dans leur toute-puissance, y ont répondu par la guerre.
De la guerre contre le terrorisme à la guerre contre tout
Depuis ce jour, la guerre a tout envahi. Le rêve d’un monde sans guerre s’est soudainement transformé dans le cauchemar d’un monde où la guerre serait partout : guerre contre les inégalités, guerre contre la maltraitance animale, guerre contre le racisme et l’antisémitisme, guerre contre les violences faites aux femmes, guerre contre la pandémie, guerre contre le réchauffement climatique, guerre contre les injustices sociales…
Le monde est entré en guerre, et il n’est pas près d’en sortir : on ne peut ni perdre ni gagner des guerres qui n’en sont pas. En vingt ans, le mot guerre a envahi chaque discours politique et s’est invité à chaque journal télévisé. Et avec lui, il a fait entrer la peur.
Cette question revient systématiquement dans chaque reportage, dans chaque micro-trottoir : « avez-vous peur ? ». Comme s’il fallait avoir peur. Comme si la peur était normale. Normale en temps de guerre. Un citoyen a peur ? Un politicien lance une nouvelle guerre. Les terroristes n’ont pas déclenché la guerre, ils ont déclenché la peur. Et cette peur a plongé l’Occident dans un monde en guerre où la peur est partout et où la guerre est censée répondre à chaque nouvelle peur, alors qu’elle ne fait que l’accroître.
RépondreSupprimerL’État de guerre post-11 septembre
Avec la guerre vient son cortège de décisions brutales et radicales. On ne sait pas du tout si elles vont être utiles, efficaces, applicables, sensées, mais il faut les appliquer. Sans étudier vraiment la question… juste « parce qu’il faut faire quelque chose ». Le 11 septembre, la chanson Chop Suey du groupe américano-arménien System Of A Down était en tête des hits aux USA. La chanson abordait la vacuité de la vie moderne, tout en apparence, en faux-semblants et en course poursuite et qui nous entrainait dans le nihilisme d’un « suicide conventionnel ». Le mot était de trop. La chanson a été interdite à la radio.
La guerre se joue d’abord dans les mots et depuis le 11 septembre, la liberté d’expression a été progressivement supprimée et remplacée par la police de la pensée, condamnant à l’exil et à la clandestinité ceux qui ne suivraient pas ses exigences.
Le 26 février 2020, l’équipe de foot de Lyon rencontrait celle de Turin en Ligue des Champions. Chaque jour des milliers de véhicules, des dizaines de milliers de personnes traversent les Alpes. Il est loin le temps où la montagne était infranchissable. Mais l’événement était de trop. Les rassemblements, les déplacements, les interactions sociales ont été interdits, les gestes règlementés. En temps de guerre, on construit des murs, des tranchées, des tours et des mâchicoulis.
La guerre des uns contre les autres
Mais en temps de guerre, il faut aussi des victoires. Il faut des ennemis vaincus dont on pourra fièrement exhiber la tête et célébrer la défaite. Faute de les affronter dans un champ de bataille, on les a désignés. Tous ceux qui sont contre ces guerres justes sont forcément des traitres à la patrie.
Alors on ressort les costumes des ennemis d’antan et les monstres imaginaires. Vous remettez en question la justesse des décisions, vous questionnez leur efficacité, vous appelez à d’autres solutions, vous osez comparer les atteintes au droit, dénoncer les coups de sabre donnés dans les libertés ?
Vous êtes Darth Vader, vous êtes envahi par le côté obscur de la force. Vous êtes Adolf Hitler, Néron et le comte Dracula. Vous êtes dans le camp du mal. A minima, on vous accusera de complot. Couramment, on vous traitera d’assassin, de criminel. Vulgairement, on vous trouvera tout une liste de sobriquets pour vous décrédibiliser et vous avilir.
RépondreSupprimerOn vous attrape, on vous épinglera et on vous raillera. Tout comme on exhibait les criminels au pilori. Tout comme on crucifiait les ennemis vaincus. Tout comme on faisait des rangées de têtes coupées posées sur des piques.
Faute de victoires contre des ennemis introuvables, on a multiplié les batailles des uns contre les autres. Parce qu’en temps de guerre, il faut qu’il y ait deux camps. Il faut qu’il ait des ennemis que l’on puisse voir, haïr, insulter, railler, moquer, détester…
Avant le 11 septembre, les étudiants américains partaient abuser de la fête à Cancún et étaient tout fiers de passer à la télé dans MTV Spring Break. Aujourd’hui, transformés en soldats de la justice sociale, ils sont prêts à vous mordre au moindre indice de désaccord.
Quels résultats pour le post-11 septembre ?
Cette guerre, on ne la gagnera jamais car ce n’en est pas une. Pas plus que l’on ne gagnera les autres guerres qui ont fleuri depuis que la mobilisation générale est devenue la solution à tout.
La guerre contre le terrorisme et toutes les autres guerres contre des ennemis que l’on ne peut pas voir sont le reflet de l’incapacité totale des États à assurer leur mandat. Elles ne sont que la conséquence de la violation de leur seule et unique justification : celle de détenir le monopole légal de la violence.
Les instigateurs des attentats du 11 septembre auraient dû être localisés, interpellés ou éliminés dans la semaine, dans le mois qui a suivi l’événement ! Il a fallu 10 ans pour trouver Ben Laden.
On a préféré envahir des pays, déplacer des populations, détruire des infrastructures, créer des milliers de victimes collatérales… des milliers d’enfants, de femmes, de vieillards et de combattants qui sont instantanément devenus des martyrs dans la bouche des agitateurs.
On a préféré la guerre à la justice. Le 11 septembre a clairement marqué un profond changement dans nos sociétés. L’effondrement des tours a été le révélateur de l’effondrement de l’État, de l’effondrement des États occidentaux qui, dans les années d’euphorie de la fin du XXe siècle, ont totalement perdu de vue leur raison d’être, pour se transformer en immenses méduses administratives et politiciennes, impotentes, pleurnicheuses et prêtes à tout pour essayer de cacher leurs innombrables incompétences.
Le 11 septembre a créé un précédent. Depuis lors, n’importe quel apprenti politicien se croit en droit d’appeler à l’état d’urgence et de s’attribuer les pleins pouvoirs au moindre prétexte.
RépondreSupprimerDommage que la machine à remonter le temps n’existe pas. Cela aurait été intéressant de demander à Gengis Khan, à Attila ou à Jules César ce qu’ils pensaient de lever des armées et d’entamer une campagne pour mener une guerre contre la peur ou contre la chaleur en été.
https://www.contrepoints.org/2022/09/11/405298-11-septembre-le-moment-ou-nos-societes-ont-sombre
Alors qu'au 11 Septembre 2001 nous pensions tous qu'il s'agissait d'hologrammes d'avions projetés dans le ciel (aux vues des virages de cons presque en angles droits !! un amateur était aux manettes !), appuyés par tous les pilotes d'avions et avionneurs qui se sont exprimés sur l'impossibilité pour des avions de faire exploser des tours mêmes s'ils étaient bourrés d'explosifs, à quoi faut ajouter aussi tous les architectes du monde qui se sont élevés contre cette idiotie hollywoodienne projetées sur les télés du monde entier !!! et arrivés la banale vérité qu'à vrai dire sur les 8 millions de new-yorkais aucun n'avaient vu les 'avions' dans le ciel !!! (mais l'ont découvert à la télé !!). Hahahaha !
SupprimerIl s'agissait de présenter sur 3 plans des avions ajoutés sur des écrans et diffusés à l'international ! Des calques ajoutés !! LA supercherie que l'on attendait pas ! Comment ont-ils osé ? Tout çà pour... pour mettre en scène l'explosion de 3 tours (minées par des artificiers). 3 tours vides ! Les bureaux ne pouvaient être loués à cause de l'amiante. Et l'amiante coûtait le prix de la tour pour être enlevée !! Donc, le proprio du WTC (Sylverstein) a premièrement pris une très forte assurance (en Juillet 2001) pour ses tours contre l'attaque d'avions !! et, le 11 Septembre... patatras ! Les avions, les tours, le spectacle, bref: le pognon remboursé au proprio par la compagnie d'assurance !! Chapeau !
Puis, comme il fallait une raison à cet attentat, le choix s'est porté sur un arabe (Ben Laden), puis la guerre qui s'en est suivie.
HAUSSES DE PRIX : 46 % DES FRANÇAIS ONT ROGNÉ SUR LEURS COURSES ALIMENTAIRES
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
09/09/2022
Face aux hausses de prix, 33 % des Français déclarent privilégier l'achat de produits d'occasion.
Face aux hausses de prix, quasiment 1 Français sur 2 (46 %) fait le choix de se priver de certaines choses en faisant ses courses, et 40 % essaient de dépenser moins d’électricité, apprend-on d’un sondage Opinionway pour Younited.
Même parmi les plus aisés, 1 personne sur 2 modère ses dépenses
La hausse actuelle des prix est un fardeau pour quasiment tous les Français. Selon un sondage Opinionway pour Younited, 9 de nos compatriotes sur 10 se disent impactés. De plus, 86 % estiment que cette inflation sera durable, et 84% estiment que la hausse actuelle des prix concernera la majorité des postes de dépenses. Les Français prévoient notamment une augmentation des prix des courses alimentaires (89 %), de l’énergie (88 %) et des déplacements (83 %). À noter que 80 % de nos compatriotes redoutent également une potentielle explosion du coût des assurances.
Pour faire face à ces hausses des prix, la majorité des Français modèrent leurs dépenses. Cela vaut tant pour les foyers les plus modestes (75 %) que pour les plus aisés (50 %). Nos compatriotes sont nombreux à rogner sur leurs courses alimentaires (46 %), principalement en optant pour des produits premier prix ou des marques distributeurs, et à réduire leur consommation d’électricité (40 %). Sans surprise, les loisirs sont fortement impactés : 20% des Français déclarent avoir renoncé aux sorties au restaurant et aux sorties culturelles (24 %). 1 Français sur 4 a même annulé voyages et vacances.
Les Français sont nombreux à privilégier la réparation et l’achat de produits d’occasion
Les gestes éco-responsables sont également envisagés comme des solutions efficaces pour faire face à la hausse des prix, qu’il s’agisse de privilégier la réparation au rachat (42 %) et les produits d’occasion aux produits neufs (33 %). Fait intéressant, ce recours à l’économie circulaire est particulièrement plébiscité par les femmes (64 %, contre 43 % des hommes).
À noter aussi que les 24-35 ans sont ceux qui ont le plus adapté leurs dépenses, notamment leurs courses alimentaires (69 %, contre 58 % des Français tous âges confondus).
- "Vous ne voulez qu'une tomate ??!!
Supprimer- "Oui, une seule. C'est pour les graines. Je les sèmerai !"
Bientôt les tomates sans graines ? Après les oranges sans pépins (sauf pour les maltaises de Tunisie) arriveront les fruits et légumes sans graine, pépin ou noyau pour éviter que des personnes malines ne les sèment !
BLOG ENCORE CENSURÉ (60 - 3 = 57 !)
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