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lundi 26 septembre 2022

Astrid Stuckelberger - Les traitements naturels anti-graphène

 

60 commentaires:

  1. COVID-19: RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité.


    Par Dr Pascal Sacré
    Mondialisation.ca,
    24 septembre 2022


    Cet article a été publié pour la première fois le 14 octobre 2020.

    Introduction : utilisation d’une technique pour verrouiller la société

    Toute la propagande actuelle sur la pandémie COVID-19 repose sur un postulat considéré comme évident, vrai et qui n’est plus remis en question :

    Test RT-PCR positif veut dire être malade du COVID. Ce postulat est trompeur.

    Très peu de gens, y compris chez les médecins, comprennent comment un test PCR fonctionne.

    RT-PCR signifie Real Time-Polymerase Chain Reaction.

    En français, cela veut dire : Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel.

    En médecine, nous utilisons cet outil principalement pour faire le diagnostic d’une infection virale.

    En partant d’une situation clinique avec présence ou non de symptômes particuliers chez un patient, nous envisageons différents diagnostics en nous basant sur des tests.

    Dans le cas de certaines infections, notamment virales, nous utilisons la technique RT-PCR pour confirmer une hypothèse diagnostique suggérée par un tableau clinique.

    Nous ne faisons pas d’office une RT-PCR à tout patient qui chauffe, qui tousse ou qui présente un syndrome inflammatoire !

    C’est une technique de laboratoire, de biologie moléculaire d’amplification génique car elle recherche des traces géniques (ADN ou ARN) en les amplifiant.

    En plus de la médecine, les autres champs d’applications sont la génétique, la recherche, l’industrie et l’expertise judiciaire.

    La technique est réalisée dans un laboratoire spécialisé, elle ne peut pas être faite dans n’importe quel laboratoire, même hospitalier. Cela entraîne un certain coût, et un délai parfois de plusieurs jours entre le prélèvement et le résultat.

    Aujourd’hui, depuis l’émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 (COrona VIrus Disease-2019), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir des cas positifs, confirmés au SRAS-CoV-2 (coronavirus responsable du nouveau syndrome de détresse respiratoire aigu appelé COVID-19).

    Ces cas positifs sont assimilés à des cas COVID-19, à des malades dont certains sont hospitalisés, voire admis en réanimation.

    Postulat officiel de nos dirigeants : cas RT-PCR positifs = malades COVID-19. [1]

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  2. C’est le postulat de départ, la prémisse de toute la propagande officielle qui justifie toutes les mesures gouvernementales contraignantes : isolement, confinement, quarantaine, port du masque obligatoire, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, tracking [traçage], distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, voire surtout, dans les écoles [2].

    Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction de l’économie avec la mise en faillite de pans entiers des secteurs actifs de la société, la dégradation des conditions de vie pour un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

    Aspects techniques : pour mieux comprendre et ne pas se laisser manipuler

    La technique PCR a été mise au point par le chimiste Kary B. Mullis, en 1986. Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993.

    Bien que cela soit contesté [3], Kary Mullis lui-même aurait critiqué l’intérêt de la PCR comme outil de diagnostic pour une infection, notamment virale.

    Il a affirmé que si la PCR était un bon outil pour la recherche, c’était un très mauvais outil en médecine, en clinique [4].

    Mullis faisait référence au virus du SIDA (rétrovirus VIH ou HIV) [5], avant la pandémie COVID-19, mais cette opinion sur la limite de la technique dans les infections virales [6], par son créateur, ne peut être balayée d’un revers de main ; elle doit être prise en compte !

    La PCR a été perfectionnée en 1992.

    L’analyse pouvant être réalisée en temps réel, en continu, elle devient la RT (Real-Time) – PCR, encore plus performante.

    Elle peut se faire à partir de n’importe quelle molécule, dont celles du vivant, les acides nucléiques qui composent les gènes :

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  3. ADN (acide désoxyribonucléique)
    ARN (Acide ribonucléique)
    Les virus ne sont pas considérés comme des êtres « vivants », ce sont des paquets d’informations (ADN ou ARN) formant un génome.

    C’est par une technique d’amplification (multiplication) que la molécule recherchée est mise en évidence et ce point est très important.

    La RT-PCR est une technique d’amplification [7].

    S’il y a de l’ADN ou de l’ARN de l’élément recherché dans un prélèvement, il n’est pas identifiable comme cela.

    Il faut amplifier (multiplier) cet ADN ou cet ARN un certain nombre de fois, parfois un très grand nombre de fois, avant de le mettre en évidence. On peut, à partir d’une trace infime, obtenir jusqu’à des milliards de copies d’un échantillon spécifique mais cela ne veut pas dire qu’il y a toute cette quantité dans l’organisme testé.

    Dans le cas du COVID-19, l’élément recherché par la RT-PCR est le SRAS-CoV-2, un virus ARN [8].

    Il y a des virus ADN comme les virus de l’Herpès et de la Varicelle.

    Les virus ARN les plus connus, en plus des coronavirus, sont les virus de la Grippe, de la Rougeole, de l’EBOLA, du ZIKA.

    Dans le cas du SRAS-CoV-2, virus ARN, il faut une étape supplémentaire spécifique, une transcription de l’ARN en ADN au moyen d’une enzyme, la transcriptase inverse ou Reverse Transcriptase.

    Cette étape précède la phase d’amplification.

    Ce n’est pas TOUT le virus qui est identifié, mais des séquences de son génome viral.

    Cela ne veut pas dire que cette séquence génique, fragment du virus, n’est pas spécifique du virus recherché, mais c’est une nuance importante quand même :

    La RT-PCR ne met pas en évidence de virus, mais seulement des parties, des séquences géniques spécifiques du virus.

    En début d’année, le génome du SRAS-CoV-2 a pu être séquencé.

    Il comporte environ 30 000 paires de bases. L’acide nucléique (ADN-ARN), le composant des gènes, est une suite de bases. Par comparaison, le génome humain comporte plus de 3 milliards de paires de bases.

    Des équipes suivent en continu l’évolution du génome viral du SRAS-CoV-2 au fur et à mesure de son évolution [9-10-11], au travers des mutations qu’il subit. Aujourd’hui, il existe de nombreux variants [12].

    En prenant quelques gènes spécifiques du génome du SRAS-CoV-2, il est possible d’amorcer la RT-PCR sur un prélèvement dans les voies respiratoires.

    Pour la maladie COVID-19, dont le point d’entrée est nasopharyngé (nez) et oropharyngé (bouche), le prélèvement doit être effectué dans les voies respiratoires supérieures le plus profondément possible afin d’éviter une contamination par la salive notamment.

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  4. Tous les gens testés disent que c’est très douloureux [13].

    Le Gold Standard (site de prédilection de prélèvement) est l’abord nasopharyngé (par le nez), la voie d’abord la plus douloureuse.

    En cas de contre-indication à l’abord nasal, ou de préférence de l’individu testé, selon les organes officiels, l’abord oropharyngé (par la bouche) est acceptable également. Le test peut déclencher un réflexe de nausée/vomissement chez l’individu testé.

    Normalement, pour que le résultat d’un test RT-PCR soit considéré comme fiable, il faut faire l’amplification au départ de 3 gènes différents (amorces) du virus étudié.

    « Les amorces sont des séquences d’ADN simple brin spécifiques du virus. Ce sont elles qui garantissent la spécificité de la réaction d’amplification. » [14]

    « Le premier test développé à La Charité à Berlin par le Dr Victor Corman et ses associés en janvier 2020 permet de mettre en évidence les séquences d’ARN présentes dans 3 gènes du virus appelés E, RdRp et N. Pour savoir si les séquences de ces gènes sont présentes dans les échantillons d’ARN prélevés, il est nécessaire d’amplifier les séquences de ces 3 gènes afin d’obtenir un signal suffisant à leur détection et à leur quantification. »[15].

    La notion essentielle du Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité Ct [16]

    Un test RT-PCR est négatif (pas de traces de l’élément recherché) ou positif (présence de traces de l’élément recherché).

    Toutefois, même si l’élément recherché est présent en quantité infime, négligeable, le principe même de la RT-PCR est de pouvoir finalement le mettre en évidence en poursuivant les cycles d’amplification autant que nécessaire.

    La RT-PCR peut pousser jusqu’à 60 cycles d’amplification, voire plus !

    Voici comment cela se passe :

    Cycle 1 : cible x 2 (2 copies)

    Cycle 2 : cible x 4 (4 copies)

    Cycle 3 : cible x 8 (8 copies)

    Cycle 4 : cible x 16 (16 copies)

    Cycle 5 ; cible x 32 (32 copies)

    Etc de manière exponentielle jusque 40 à 60 cycles !

    Quand on dit que le Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité du RT-PCR) est égal à 40, cela veut dire que le laboratoire a utilisé 40 cycles d’amplification, soit obtenu 240 copies.

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  5. C’est cela qui sous-tend la sensibilité du test RT-PCR.

    S’il est vrai qu’en médecine, on aime que la spécificité et la sensibilité des tests soient élevées afin d’éviter faux positifs et faux négatifs, dans le cas de la maladie COVID-19, cette hypersensibilité du test RT-PCR causée par le nombre de cycles d’amplifications utilisé se retourne contre nous.

    Cette trop grande sensibilité du test RT-PCR est délétère et nous induit en erreur !

    Elle nous détache de la réalité médicale qui doit rester basée sur l’état clinique réel de la personne : la personne est-elle malade, a-t-elle des symptômes ?

    C’est cela le plus important !

    Comme je l’ai précisé en début d’article, en médecine, nous partons toujours de la personne : nous l’examinons, nous collectons ses symptômes (plaintes-anamnèse) et ses signes cliniques objectifs (examen) et sur base d’une réflexion clinique dans laquelle interviennent les connaissances scientifiques et l’expérience, nous posons des hypothèses diagnostiques.

    Ce n’est qu’ensuite que nous prescrivons les tests les plus appropriés, en fonction de cette réflexion clinique.

    Nous comparons en permanence les résultats des tests à l’état clinique (symptômes et signes) du patient qui prime sur tout le reste quant à nos décisions et nos traitements.

    Aujourd’hui, nos gouvernements appuyés par leurs conseils scientifiques de sécurité nous font faire le contraire et mettent le test en premier, suivi d’une réflexion clinique forcément influencée par ce test préalable dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.

    Aucun de mes collègues médecins cliniciens ne peut me contredire.

    En-dehors de cas très particulier comme le dépistage génétique pour certaines catégories de populations (tranches d’âge, sexe) et certains cancers ou maladies génétiques familiales, nous travaillons toujours dans ce sens : de la personne (symptômes, signes) vers les tests appropriés, jamais dans l’autre sens.

    C’est la conclusion de l’article de la Revue Médicale Suisse (RMS) paru en 2007, écrit par les docteurs Katia Jaton et Gilbert Greub microbiologistes de l’Université de Lausanne :

    PCR en microbiologie : de l’amplification de l’ADN à l’interprétation du résultat :

    « Pour interpréter le résultat d’une PCR, il est essentiel que les cliniciens et les microbiologistes partagent leurs expériences, afin que les niveaux analytiques et cliniques d’interprétation puissent être combinés. «

    Il serait indéfendable de faire un électrocardiogramme à tout le monde pour dépister toutes les personnes qui pourraient faire un infarctus un jour.

    Par contre, dans certains contextes cliniques ou sur la base de symptômes précis évocateurs, là, oui, un électrocardiogramme peut devenir bénéfique.

    Revenons à la RT-PCR et au Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold).

    Dans le cas d’une maladie infectieuse surtout virale, la notion de contagiosité est un autre élément important.

    Étant donné que dans certains cercles scientifiques, on considère qu’une personne asymptomatique peut transmettre le virus, il est selon eux important de dépister la présence de virus, même si la personne est asymptomatique, donc d’élargir l’indication de la RT-PCR à tout le monde.

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  6. Les tests RT-PCR sont-ils de bons tests de contagiosité ? [17]

    Cette question nous ramène à la notion de charge virale et donc de Ct.

    La relation entre contagiosité et charge virale est contestée par certaines personnes [18] et aucune preuve formelle, à ce jour, ne permet de trancher.

    Toutefois, le bon sens donne un crédit évident à la notion que plus la personne a de virus en lui, surtout dans la partie supérieure de ses voies aériennes (oropharynx et nasopharynx), avec des symptômes tels que toux, éternuements, plus cette personne présente un risque de contagiosité élevé, proportionnel à sa charge virale et à l’importance de ses symptômes.

    Cela s’appelle du bon sens et même si la médecine moderne a bénéficié largement de l’apport des sciences au travers des statistiques et de l’Evidence-Based Medicine (EBM-médecine factuelle basée sur les preuves), elle reste avant tout basée sur le bon sens, l’expérience et l’empirisme.

    La médecine est l’art de guérir.

    Aucun test ne mesure la quantité de virus dans le prélèvement !

    La RT-PCR est qualitative : positif (présence du virus) ou négatif (absence du virus).

    Cette notion de quantité, donc de charge virale, peut être estimée indirectement par le nombre de cycles d’amplifications (Ct) utilisés pour mettre en évidence le virus recherché.

    Plus le Ct utilisé pour mettre en évidence le fragment de virus est bas, plus la charge virale est considérée comme élevée (haute).

    Plus le Ct utilisé pour mettre en évidence le fragment de virus est haut, plus la charge virale est considérée comme faible (basse).

    Ainsi, le Centre National de Référence français (CNR), en phase aigüe de la pandémie, a estimé que le pic de l’excrétion virale se produisait au début des symptômes, avec une quantité de virus correspondant à environ 108 (100 millions) copies d’ARN viral du SRAS-CoV-2 en moyenne (donnée cohorte French COVID-19) avec une durée d’excrétion dans les voies aériennes supérieures variable (de 5 jours à plus de 5 semaines) [19].

    Ce nombre de 108 (100 millions) de copies/μl correspond à un Ct très bas.

    Un Ct de 32 correspond à 10-15 copies/μl.

    Un Ct de 35 correspond à environ 1 copie/μl.

    Au-dessus de Ct 35, il devient impossible d’isoler une séquence complète du virus et de la mettre en culture !

    En France et dans la plupart des pays, on continue d’utiliser, même aujourd’hui, des Ct supérieurs à 35, voire 40 !

    La Société Française de Microbiologie (SFM) a émis un avis le 25 septembre 2020 dans lequel elle ne recommande pas de rendre les résultats en quantitatif, et elle recommande de rendre positif jusqu’à un Ct de 37 pour un seul gène [20] !

    Avec 1 copie/μl de prélèvement (Ct 35), sans toux, sans symptômes, on peut comprendre pourquoi tous ces médecins et scientifiques disent qu’un test RT-PCR positif ne veut plus rien dire, rien du tout en termes de médecine et de clinique !

    Les tests RT-PCR positifs, sans mention du Ct ou de sa relation avec la présence ou non de symptômes, sont utilisés tels quels par nos gouvernements comme l’argument exclusif pour appliquer et justifier leur politique de sévérité, d’austérité, d’isolement et d’agression de nos libertés, avec impossibilités de voyager, de se réunir, de revivre normalement !

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  7. Il n’y a aucune justification médicale à ces décisions, à ces choix gouvernementaux !

    Dans un article publié sur le site du New York Times (NYT) du samedi 29 août, des experts américains de l’Université de Harvard s’étonnent que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2 [21].

    Selon eux, le seuil (Ct) considéré aboutit à des diagnostics positifs chez des personnes qui ne représentent aucun risque de transmettre le virus !

    La réponse binaire « oui/non » ne suffit pas, selon cet épidémiologiste de l’école de santé publique de l’Université de Harvard.

    « C’est la quantité de virus qui devrait dicter la démarche à suivre pour chaque patient testé. »

    La quantité de virus (charge virale) ; mais aussi et surtout l’état clinique, symptomatique ou non de la personne !

    Cela remet en question l’utilisation du résultat binaire de ce test RT-PCR pour déterminer si une personne est contagieuse et doit suivre des mesures strictes d’isolement.

    Ces remises en question sont posées par de nombreux médecins de par le monde, pas seulement aux États-Unis mais aussi en France, en Belgique (Belgium Health Experts Demand Investigation Of WHO For Faking Coronavirus Pandemic) , en Allemagne, en Espagne…

    Selon eux : « Nous allons mettre des dizaines de milliers de personnes en confinement, en isolement, pour rien. » [22]. Et infliger des souffrances, des angoisses, des drames économiques et psychologiques par milliers !

    La plupart des tests RT-PCR fixent le Ct à 40, selon le NYT. Certains à 37.

    « Des tests avec des seuils (Ct) aussi élevés peuvent ne pas détecter uniquement du virus vivant mais aussi des fragments géniques, restes d’une infection ancienne qui ne représentent aucun danger particulier », précisent les experts interrogés.

    Une virologiste à l’Université de Californie admet qu’un test RT-PCR avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable serait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle.

    Presque aucun laboratoire ne précise le Ct (nombre de cycles d’amplification effectués) ou le nombre de copies d’ARN viral par μl de prélèvement.

    Voici un exemple de résultat de laboratoire (agréé par Sciensano, centre belge national de référence) chez un patient RT-PCR négatif :

    - voir cadre sur site -

    Pas de mention du Ct.

    Dans le NYT, les experts ont compilé avec des officiels des états du Massachussetts, de New-York et du Nevada, trois jeux de données qui les mentionnent.

    Conclusion ?

    « Jusqu’à 90% des personnes testées positives ne portaient pas de virus. »

    Le Centre Wadworth, laboratoire de l’état de New-York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40.

    « Avec un seuil Ct de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs », indique le NYT.

    « Et environ 70 % ne le seraient plus avec un Ct de 30 ! »

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  8. Dans le Massachussetts, entre 85 et 90 % des personnes testées positives en juillet avec un Ct de 40 auraient été considérées comme négatives avec un Ct de 30, ajoute le NYT. Pourtant, toutes ces personnes ont dû s’isoler, avec toutes les conséquences psychologiques et économiques dramatiques, alors qu’ils n’étaient pas malades et probablement plus du tout contagieux.

    En France, Le Centre National de Référence (CNR), la Société Française de Microbiologie (SFM) continuent de pousser les Ct à 37 et ne recommandent aux laboratoires de ne plus utiliser qu’un seul gène du virus comme amorce.

    Je rappelle qu’à partir de Ct 32, il devient très difficile de cultiver le virus ou d’en extraire une séquence complète, ce qui témoigne du caractère tout à fait artificiel de cette positivité du test, avec des Ct aussi élevés, au-delà de 30.

    Des résultats similaires ont été rapportés par des chercheurs de l’Agence de santé publique anglaise dans un article paru le 13 août dans Eurosurveillance : « La probabilité de cultiver du virus chute à 8 % dans des échantillons pour lesquels le Ct est supérieur à 35. » [23]

    De plus, actuellement, le Centre National de Référence en France n’évalue que la sensibilité des kits réactifs mis sur le marché, non la spécificité : des doutes sérieux persistent sur la possibilité de réactivité croisée avec d’autres virus que le SRAS-CoV-2, comme les autres coronavirus bénins du rhume. [20]

    C’est potentiellement la même situation dans d’autres pays, dont la Belgique.

    De même, les mutations du virus pourraient avoir invalidé certaines amorces (gènes) utilisées pour repérer le SRAS-CoV-2 : les fabricants ne donnent aucune garantie là-dessus et si les journalistes du fast-checking de l’AFP vous disent le contraire, testez leur bonne foi en demandant ces garanties, ces preuves.

    S’ils n’ont rien à cacher et si ce que je dis est faux, cette garantie vous sera fournie et prouvera leur bonne foi.

    Nous devons exiger que les résultats RT-PCR soient rendus en mentionnant le Ct utilisé car au-delà de Ct 30, le test RT-PCR positif ne veut rien dire.
    Nous devons écouter les scientifiques et médecins, spécialistes, virologues qui préconisent d’utiliser des Ct adaptés, plus bas, à 30. Une alternative est d’obtenir le nombre de copies d’ARN viral/μl ou /ml de prélèvement. [23]
    Nous devons revenir au patient, à la personne, à son état clinique (présence ou non de symptômes) et partir de là pour juger de la pertinence de faire un test et de la meilleure façon d’interpréter son résultat.
    Tant qu’on ne raisonne pas mieux le dépistage PCR, avec un seuil Ct connu et adapté, une personne asymptomatique ne devrait en aucune façon se faire tester.

    Même une personne symptomatique ne devrait pas automatiquement se faire tester, pour autant qu’elle puisse se mettre d’elle-même en isolement 7 jours.

    Arrêtons cette débauche de tests RT-PCR aux Ct trop élevés, et revenons à une médecine clinique, de qualité.

    Une fois que nous avons compris comment le test RT-PCR fonctionne, il devient impossible de laisser se poursuive la stratégie de dépistage systématique gouvernementale actuelle, pourtant appuyée, de manière inexplicable, par les virologues des conseils de sécurité.

    Mon espoir est, qu’enfin correctement informés, de plus en plus de gens exigent l’arrêt de cette stratégie, car c’est nous tous, éclairés, guidés par la bienveillance réelle et le bon sens, qui devons décider de nos destins collectifs et individuels.

    Personne d’autre ne doit le faire à notre place, surtout lorsque nous constatons que ceux qui décident ne sont plus ni raisonnables, ni rationnels.

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  9. Synthèse des points importants :

    Le test RT-PCR est une technique diagnostique de laboratoire peu adaptée à la médecine clinique.
    C’est une technique diagnostique binaire, qualitative, qui confirme (test positif) ou non (test négatif) la présence d’un élément dans le milieu analysé. Dans le cas du SRAS-CoV-2, l’élément est un fragment du génome viral, pas le virus lui-même.
    En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité.
    La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30.
    Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles.
    Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner.
    Conclusion générale

    L’obstination des gouvernants à utiliser la stratégie désastreuse actuelle, dépistage systématique par RT-PCR, est-elle due à l’ignorance ?

    À la stupidité ?

    À une espèce de piège cognitif emprisonnant leur égo ?

    Il faudrait en tout cas pouvoir les interpeler et si dans les lecteurs de cet article se trouvent des journalistes encore honnêtes, ou des politiciens naïfs, ou des personnes qui ont la possibilité de questionner nos gouvernants, alors, faites-le, en usant de ces arguments clairs et scientifiques.

    C’est d’autant plus incompréhensible que nos gouvernants se sont entourés des personnes parmi les spécialistes les plus chevronnés de ces questions.

    Si j’ai pu réunir moi-même ces informations, partagées, je le rappelle, par des personnes compétentes et au-dessus de tout soupçon complotiste telles qu’Hélène Banoun, Pierre Sonigo, Jean-François Toussaint, Christophe De Brouwer, dont l’intelligence, l’honnêteté intellectuelle, la légitimité ne peuvent être mises en doute, alors, les conseillers scientifiques belges, français, québécois, etc, savent tout cela également.

    Alors ?

    Que se passe-t-il ?

    Pourquoi continuer dans cette direction faussée, s’obstiner dans l’erreur ?

    Ce n’est quand même pas rien de réimposer des confinements, des couvre-feux, des quarantaines, des bulles sociales réduites, de secouer à nouveau nos économies chancelantes, de plonger des familles entières dans la précarité, de semer autant de peur et d’anxiété génératrices d’un véritable état de stress post-traumatique à l’échelle mondiale, de diminuer l’accès aux soins pour les autres pathologies qui pourtant réduisent l’espérance de vie bien plus que le COVID-19 ! [24]

    Y a-t-il une intention de nuire ?

    Une intention d’utiliser l’alibi d’une pandémie pour faire évoluer l’humanité vers une issue qu’elle n’aurait jamais accepté autrement ? En tout cas, pas comme cela !

    Cette hypothèse, que les censeurs modernes s’empresseront d’étiqueter « complotiste », serait-elle l’explication la plus valable à tout cela ?

    En effet, si on trace une droite à partir des événements présents, dans le cas où ils sont maintenus, on pourrait se retrouver à nouveau confinés avec des centaines, des milliers d’êtres humains obligés de rester inactifs, ce qui, pour les métiers de la restauration, du spectacle, de la vente, pour les forains, itinérants, démarcheurs, risque d’être catastrophique avec faillites, chômages, dépressions, suicides par centaines de milliers. [25-26-27-28]

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  10. L’impact sur l’éducation, sur nos enfants, sur l’enseignement, sur la médecine avec des soins, des opérations, des prises en charge prévues de longue date devant être annulées, postposées, sera profond et destructeur.

    « Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement. » [29].

    Il serait temps que tout le monde sorte de cette transe négative, cette hystérie collective, car la famine, la pauvreté, le chômage massif vont tuer, faucher bien plus de gens que le SRAS-CoV-2 !

    Tout cela a-t-il un sens, face à une maladie qui décroît, qui est surdiagnostiquée et mal interprétée par ce mésusage de tests PCR calibrés de manière trop sensible ?

    Le port continu du masque semble devenu, pour beaucoup, une nouvelle normalité.

    Même si c’est constamment minimisé par certains professionnels de la santé et les journalistes vérificateurs de faits, d’autres médecins alertent sur les conséquences néfastes, médicales et psychologiques, de cette obsession hygiénique qui, maintenue en permanence, est en réalité une anormalité !

    Quel frein aux relations sociales, qui sont le véritable socle d’une humanité en bonne santé physique et psychologique !

    Certains osent trouver tout cela normal, ou un moindre prix à payer face à la pandémie de tests PCR positifs.

    L’isolement, la distanciation, le masquage du visage, l’appauvrissement de la communication émotionnelle, la peur de se toucher, de s’embrasser même au sein de familles, de communautés, entre proches…

    Des gestes spontanés de la vie quotidienne entravés et remplacés par des gestes mécaniques et contrôlés…

    Des enfants terrorisés, maintenus dans la peur et la culpabilité permanentes…

    Tout cela va impacter profondément, durablement et négativement les organismes humains, dans leur physique, leur mental, leurs émotions et leur représentation du monde et de la société.

    Ce n’est pas normal !

    Nous ne pouvons pas laisser nos gouvernants, quelle qu’en soit la raison, organiser plus longtemps notre suicide collectif.

    Dr Pascal Sacré

    Professionnels dont les références et commentaires sont à la base de cet article dans son aspect scientifique (notamment et principalement sur la RT-PCR) :

    1) Hélène Banoun

    https://www.researchgate.net/profile/Helene_Banoun

    PhD, Pharmacien biologiste

    Ancien Chargé de Recherches INSERM

    Ancien Interne des Hôpitaux de Paris

    2) Pierre Sonigo

    Virologiste

    Directeur de recherche INSERM, a travaillé à l’Institut Pasteur

    Dirige le Laboratoire « Génétique des Virus », à Cochin, Paris

    A participé en 1985 au séquençage du virus du SIDA

    3) Christophe De Brouwer

    Docteur PhD en Science de la Santé Publique

    Professeur honoraire à l’École de Santé Publique à l’ULB, Belgique

    4) Jean-François Toussaint

    Médecin, Professeur de physiologie à l’Université Paris-Descartes

    Directeur de l’IRMES, Institut de Recherche bioMédicale et d’Épidémiologie du Sport

    Ancien membre du Haut Conseil de la Santé Publique

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  11. Notes (Sources) :

    [1] “Une nette augmentation du nombre de cas dans toutes les provinces et toutes les tranches d’âge”, 7sur7 ACTU Belgique, 5-10-2020

    [2] Le gouvernement belge renforce des mesures anti-Covid, VRT.be ; 6 octobre 2020.

    [3] Non, l’inventeur du test PCR n’a pas dit que sa méthode était inefficace pour détecter les virus, dans Le Monde, 7 octobre 2020

    [4] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade », vidéo accessible sur YouTube, 9 octobre 2020.

    [5] https://www.weblyf.com/2020/05/coronavirus-the-truth-about-pcr-test-kit-from-the-inventor-and-other-experts/

    [6] « The Truth about PCR Test Kit from the Inventor and Other Experts »

    [7] PCR en microbiologie : de l’amplification de l’ADN à l’interprétation du résultat

    [8] COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ?, Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020.

    [9] https://www.youtube.com/watch?v=CaAcSJI0oMs&feature=youtu.be, 8 octobre 2020. Évolution génomique des virus ARN à l’Institut Pasteur, environ la moitié des nucléotides sont susceptibles d’avoir muté sur les 30 000 nucléotides de l’ARN viral. « Pour l’instant aucune mutation ou délétion n’a été associée à une perte de sévérité de la maladie sur une grande échelle géographique mais de nombreuses publications devraient bientôt préciser ces points. »

    [10] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/FD_Raoult_SARS-CoV-2_EID_Sep2020_vL2.pdf, Article IHU-Méditerranée, Professeur D. Raoult, Dramatic increase in the SARS-CoV-2 mutation rate and low mortality rate during the second epidemic in summer in Marseille, 7 septembre 2020

    Conclusions :

    Dans l’ensemble, comme l’ont récemment souligné Tomaszewski et al. (7) qui ont décrit pour les génomes viraux disponibles jusqu’en mai 2020 un déplacement mutationnel sur la spike et le complexe de réplication vers des gènes codant pour d’autres protéines non structurelles qui interagissent avec les voies de défense de l’hôte, il semble que le taux de mutation du SARS-CoV-2 s’accélère depuis mai, impliquant principalement des mutations C vers U. L’augmentation du taux de mutation du SRAS-CoV-2 génère des génotypes viraux plus éloignés de la souche Wuhan initiale que ceux observés de mars à avril. Cela semble entraîner des épidémies de durée limitée, du moins pour le premier nouveau génotype que nous avons identifié, et est associé à une gravité globalement moindre à ce stade du développement de cette nouvelle épidémie.

    Mutations observed in these seven different viral genotypes are located in most SARS- CoV-2 genes including structural and non-structural genes among which nsp2, nsp3 (predicted phosphoesterase), nsp5 (membrane glycoprotein), nsp12 (RNA-dependent RNA polymerase), S (Spike glycoprotein), ORF3a, E (membrane glycoprotein), M (membrane glycoprotein), ORF8 and N (Nucleocapsid phosphoprotein).

    [11] https://www.researchgate.net/profile/Helene_Banoun Evolution of SARS-CoV-2: Review of mutations, role of the host immune system, octobre 2020, mise à jour par Hélène Banoun,

    PhD, Pharmacien biologiste, ancien Chargé de Recherches INSERM, ancien Interne des Hôpitaux de Paris.

    [12] https://nextstrain.org/, We are incorporating SARS-CoV-2 genomes as soon as they are shared and providing analyses and situation reports. In addition we have developed a number of resources and tools, and are facilitating independent groups to run their own analysis. Please see the main SARS-CoV-2 page for more.

    [13] Tutoriel prélèvement nasopharyngé : Un geste technique, essentiel à la fiabilité du test COVID-19

    [14] Covid-19 : comment fonctionnent les tests et quelles sont leurs utilités ?

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  12. [15] COMMENT FONCTIONNENT LES TESTS DE DÉPISTAGE DU COVID-19 ? 7 avril 2020, Laboratoire de biologie et pharmacologie appliquée (LBPA), Clémence Richetta, maître de conférences au département biologie de l’ENS Paris-Saclay et chercheuse en virologie au LBPA : https://www.youtube.com/watch?v=hNVDHCf8bGA

    Independent researcher, PhD 9

    Former research fellow at INSERM (French Institute for Health and Medical Research)

    [16] Par Pierre Sonigo, virologiste (un des découvreurs du VIH), MD PhD, CSO at Sebia, clinical diagnostics

    https://www.linkedin.com/pulse/diagnostic-du-covid19-comprendre-les-tests-pcr-leur-et-pierre-sonigo/?trackingId=pTYxDkpvRzKHWZwCzxSIag%3D%3D

    Diagnostic du COVID19 : comprendre les tests PCR, leur interprétation et leurs limites, publié le 16 septembre 2020

    La PCR utilise un principe très particulier : la cible du test, un fragment d’ARN viral, est massivement amplifiée afin de permettre sa détection. Au cours de l’analyse, une réaction enzymatique associée à des « cycles » de variation de température permet une série de « réplications » successives de l’acide nucléique cible. Chaque cycle correspond à une multiplication théorique de la cible par 2. On multiplie donc par 2 en un cycle, par 4 en 2 cycles, par 8 en 3 cycles, par 16 en 4 cycles, et ainsi de suite de manière exponentielle. A l’heure actuelle, l’amplification est généralement pratiquée sur 40 cycles, soit une amplification théorique de 2^40, environ mille milliards de fois ! En réalité, la réplication n’est pas efficace à 100%, mais la cible est amplifiée environ un million de fois, ce qui permet de détecter moins d’une dizaine de fragments d’ARN dans le volume analysé.

    Lorsque l’acide nucléique viral est détectable après un petit nombre de cycles, cela signifie que la quantité de virus dans l’échantillon de départ est grande. Au contraire, lorsqu’il faut un grand nombre de cycles de réplication pour détecter l’ARN viral, cela signifie que l’échantillon de départ contient une quantité de virus très faible. On parle alors en nombre de cycles, ou Ct, qui signifie « cycle time », pour définir, au moins de façon semi quantitative, la quantité d’ARN présent dans l’échantillon de départ. Ainsi, un petit Ct correspond à un grand nombre de copies, un grand Ct à un petit nombre de copies.

    Cette spectaculaire sensibilité n’est pas sans inconvénient et nécessite des précautions particulières. En effet, un échantillon positif amplifié un million de fois contient une très haute concentration de cible et le risque qu’il contamine (carry over) d’autres échantillons est particulièrement élevé. La saturation des laboratoires peut encore accroître ce risque et générer des faux positifs accidentels. Dans ces conditions, il est important que les résultats positifs soient confirmés par un second test, à plus forte raison lorsqu’un test positif présente des conséquences significatives, qu’elles soient médicales, professionnelles ou liées à l’obligation d’isolement.

    La deuxième question importante concernant la PCR, une fois encore conséquence de sa spectaculaire sensibilité, est celle de sa signification clinique. Un sujet parfaitement asymptomatique présentant une PCR positive ne peut être qualifié de « malade », comme on le lit dans les médias qui rapportent la progression de l’épidémie ! Peut-on même parler de « cas » ? C’est pourtant le terme utilisé dans les dénombrements officiels. Ne sommes-nous pas en train d’oublier le patient pour se focaliser sur la technologie ? Est-ce une épidémie d’ARN dans des tubes que nous surveillons ou une maladie grave et potentiellement mortelle ?

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  13. Des publications récentes soulignent que la dose détectable par PCR est inférieure à la dose infectieuse ou contagieuse : aucun virus infectieux n’a pu être retrouvé chez les patients asymptomatiques présentant des tests PCR positifs avec un Ct élevé. Suite à ces résultats, la question du seuil de Ct qui permet de déclarer un échantillon positif est débattue. Peut-on rendre un résultat négatif chez un sujet asymptomatique dont la positivité apparaît au-delà de 35 cycles ? A défaut, est-il utile de retester ces échantillons ? Comme souvent en matière de diagnostic médical, lorsqu’un seuil de positivité est déterminé, faut-il privilégier la sensibilité ou la spécificité du test ?

    De plus, un échantillon confirmé positif d’un point de vue analytique reste un faux positif du point de vue de la clinique, si la personne testée est en parfaite santé, parfois même prêt à affronter une compétition de tennis ou de football professionnels ! La question devient uniquement celle de sa potentielle contagiosité. C’est la question de la transmission éventuelle par des sujets asymptomatiques, qui sans être eux-mêmes en danger, pourraient en représenter un pour les autres.

    Par rapport à cette question, il est important de raisonner quantitativement. La virologie, ce n’est pas du tout ou rien. De manière générale, au cours des infections virales aiguës, le risque de contagion et la gravité de l’infection varient en fonction de la quantité de virus présents dans l’organisme et de leur excrétion dans le milieu extérieur. Quelques copies de virus tapis dans les sinus n’ont pas la dangerosité d’un million projetés par la toux. Un sujet asymptomatique produit moins de virus qu’un sujet symptomatique et les sécrète moins vers l’extérieur. La quantité de virus produite et donc le risque de contagion sont corrélés à la gravité des symptômes. Même si elle n’est pas de zéro, le risque de transmission est donc vraisemblablement faible pour un sujet asymptomatique. Malheureusement, répéter sans cesse que la contagion venant d’un sujet parfaitement asymptomatique est possible sans aucune précision sur le niveau de risque pousse à prendre des mesures disproportionnées avec le risque.

    De même, la stratégie « dépister-isoler » n’est pas réaliste lorsque le dépistage n’est pas suffisamment fiable et surtout lorsque le virus est déjà largement répandu dans la population. Il est bien trop tard pour appliquer une méthode conçue pour bloquer une épidémie à sa naissance. Comme pour une invasion de coccinelles ou de frelons, on ne peut stopper un virus qui est déjà partout avec une passoire trouée à 25% et bouchée par endroits. L’échec de la stratégie actuelle est plutôt lié à sa conception naïve et inapplicable qu’aux mauvais comportements des citoyens.

    Si, comme on l’observe en ce moment, la diffusion virale reprend, faut-il dépister plus massivement ou revoir la stratégie de protection de la population ?

    Cette question ne relève pas de la science. Elle dépend des risques acceptables par un individu ou par un groupe. Si on est dans la recherche du risque minimal, proche de zéro, parce que le risque n’a pas été quantifié, ou pour des raisons de responsabilité juridique, on doit prendre les précautions maximales. Si on accepte un risque même faible, on peut reprendre certaines libertés et protéger ceux qui en ont réellement besoin.

    Le scientifique doit mesurer la grandeur des risques et ne pas se contenter d’affirmer qu’un événement adverse est « possible ». Mais ce n’est pas son rôle de décider si ces risques peuvent être pris par autrui.

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  14. Les tests PCR permettent une détection extrêmement sensible de l’ARN viral. Ils sont indispensables mais ne sont pas la solution ultime et unique qui permettra de contrôler l’épidémie et de gérer efficacement les risques de contagion. Appliquée lorsque le virus est largement disséminé dans la population, la stratégie « dépister isoler » est vouée à l’échec. Du fait de la sensibilité très élevée et des limites de leur spécificité, les tests PCR doivent être pratiqués et interprétés avec précaution, et comme toujours en lien avec le contexte clinique et épidémiologique. N’oublions pas qu’un sujet asymptomatique doit plutôt être considéré comme immunisé que comme malade.

    [17] Les tests RT-PCR du Covid-19 se révèlent être de très mauvais tests de contagiosité, Xavier Boisinet, mis à jour le 3/9/2020.

    [18] De nombreuses publications partagées des milliers de fois sur les réseaux sociaux en quelques jours affirment que « 90% » des personnes déclarées positives au Covid-19 ont en fait des charges virales trop basses pour être « malades » ou « contagieuses ». C’est faux.

    [19] Mise au point du CNR sur la réalisation des prélèvements et la sensibilité des tests RT-PCR pour la détection du SARS-CoV-2, 9 mai 2020

    [20] Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage, 25 septembre 2020

    [21] Coronavirus – Les tests PCR inadaptés contre l’épidémie? « Jusqu’à 90% de personnes testées ne seraient pas contagieuses », basé sur une étude d’une équipe de Harvard ( Harvard TH Chan School of Public Health) de Michael Mina, département d’épidémiologie, je vous mets en fichier joint le PDF correspondant, une étude, reprise par le NY Times :

    « Pour eux, la limite du test PCR (prélèvement par voie nasale ou salivaire) réside dans la brutalité et la simplicité du résultat qu’il donne. La personne est soit positive, soit négative. Pas plus de renseignement, notamment sur la contagiosité du malade.

    Or, les scientifiques d’Harvard soulèvent le problème de la quantité de virus que ce test PCR ne donne pas et qui pourrait, selon eux, permettre de donner des clés supplémentaires pour contrer l’épidémie.

    « Les tests standards diagnostiquent un grand nombre de personnes qui peuvent être porteuses de quantités relativement insignifiantes du virus », explique ainsi le Dr. Michael Mina, épidémiologiste à la Harvard TH Chan School of Public Health. »

    [22] « Au rythme actuel avec nos tests RT-PCR, nous allons confiner des dizaines de milliers de gens pour rien », alerte le Dr. Yvon Le Flohic, manuel Moragues, 3 septembre 2020.

    [23] Tests de diagnostic ultra sensibles, les tests RT-PCR sortent positifs même pour des individus qui portent trop peu de virus pour être encore contagieux. Pour en faire de meilleurs tests de contagiosité, certains appellent à baisser leur seuil de détection. Est-ce une bonne idée ? Quelles sont les limites de cette solution ? Décryptage. Xavier Boinivet, 15 septembre 2020

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  15. [24] Jean-Luc Gala (UCL) estime que les futures mesures de la Celeval, tel le lockdown, vont tuer l’économie, provoquer des suicides et déstabiliser l’État. Le Celeval, ou Cellule d’évaluation, est le groupe d’experts qui conseillent le gouvernement belge dans la gestion du COVID.

    [25] L’OMS plaide pour éviter à tout prix les confinements : ‘Cela ne rend que les pauvres plus pauvres’

    [26] Voici comment la pandémie risque de faire exploser la pauvreté mondiale, une première en 22 ans

    [27] ‘Le coronavirus menace 500 millions de personnes de pauvreté’, prévient l’Oxfam. Ce n’est pas le coronavirus, la menace, mais l’attitude de nos gouvernants face au coronavirus !

    [28] Le chômage de masse est désormais mondial

    [29] ‘Nous risquons une crise alimentaire imminente si des mesures ne sont pas prises rapidement’. Encore une fois, ce n’est pas à cause du coronavirus, mais à cause de notre attitude face à cette crise.

    https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143

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    1. Dès que t'es piqué: tu l'as. Dès que tu l'as: ce n'est plus toi qui dirige mais le pédo-en-chef qui te recommandera la deuxième dose que t'iras te faire inoculer profond !
      Et celle-là, tu l'as vu ?
      https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/
      C'est elle qui te dirige.

      (...) ADN (acide désoxyribonucléique)
      ARN (Acide ribonucléique)
      Les virus ne sont pas considérés comme des êtres « vivants », ce sont des paquets d’informations (ADN ou ARN) formant un génome. (...)

      Effectivement c'est juste mais ce n'est pas exactement entré dans la tête des gens ! Le 'virus' est une poussière (voir dictionnaire si vous en avez un). Nous respirons toutes et tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOORT(E)S ! Çà alors !!

      Or là se présente le cas d'une poussière empoisonnée QUI N'EST PAS dans l'air ! Mais où est-elle ??! Elle est UNIQUEMENT disponible en seringues.

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  16. "Les effets secondaires du port du masque chez les enfants sont catastrophiques" Sabine Bauvaux, directrice de TIO-NT


    le 24 septembre 2022 - 18:05


    Sabine Sauvaux, directrice de l'entreprise "Textile industriel de l'Ouest - Non tissé", sur notre plateau le 21 septembre 2022.
    F. Froger / Z9, pour FranceSoir

    Pour cet "Entretien essentiel", sur notre plateau, Sabine Sauvaux, directrice de TIO-NT, Textile industriel de l'Ouest - non tissé, qui fabrique des masques chirurgicaux anti-Covid de qualité premium à Saint-Saviol dans la Vienne. Dans cette interview, Mme Sauvaux développe les différences existantes entre divers types de masque, le contexte dans lequel ce dispositif doit être adopté, les péripéties de sa boite au cours de la crise du Covid-19 avec le gouvernement d’Emmanuel Macron, ou encore les effets secondaires psychologiques "catastrophiques" du port du masque en continu chez les enfants, pourtant peu sujet à risque face au virus. L’occasion pour elle de souligner toutes les contradictions de l’État français aussi bien dans son discours fluctuant au cours de la crise Covid que de sa gestion des masques : après avoir nié leur utilité, celui-ci les imposera en passant des commandes de masques chinois, qui ne sont pourtant pas aux normes européennes et qui présentent des problèmes de particules indésirables à l’usure. Bien que son entreprise fabrique des masques de qualité et s’inscrit dans un projet de réindustrialisation de la France, TIO-NT se verra refuser toute commande de la part de l’État. Aussi, pour Sabine Bauvaux qui se base sur son expérience, le discours d’Emmanuel Macron sur la réindustrialisation ne correspond rien de moins qu’à une "farce".

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/les-effets-secondaires-port-du-masque-enfants-catastrophiques-sabine-bauvaux

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    1. (...) Sabine Sauvaux, directrice de TIO-NT, Textile industriel de l'Ouest - non tissé, qui fabrique des masques chirurgicaux anti-Covid (...)

      HAHAHAHA ! Masques anti-poussières !! HAHAHAHA ! La poussière (appelée 'virus') ne mesure que 0,1 à 0,5 micron tandis que l'écart entre les mailles des masques est de 150 microns ! HAHAHAHA !

      Mais je vous rassure ! le 'virus cocovide19' n'EST PAS DANS L'AIR !!
      Il est UNIQUEMENT disponible en seringues. 'Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort !'

      Rappel: AVEC ou SANS Masque nous respirons toutes et tous 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE, soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! Et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!

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  17. Des « masques de protection Covid-19 » remplis de produits chimiques ...


    24.09.2022
    www.kla.tv/23694


    L'été approche de sa fin et depuis des mois, les médias et les politiques nous préparent à un automne prétendument dangereux. C'est avec une grande unité que l'on mise à nouveau, entre autres, sur la protection par des masques respiratoires qui, en plus de leur inefficacité prouvée et de l'énorme problème des déchets, causent de réels problèmes de santé.

    Le professeur Michael Braungart, directeur de l'Institut de l'environnement de Hambourg, met en garde contre les substances nocives que contiennent les masques médicaux et les masques FFP2. Selon Braungart, les masques sont composés de fibres synthétiques qui contiennent des hydrocarbures organiques. Le bronopol, une substance désinfectante, est également présent, tout comme le formaldéhyde, ce que les fabricants indiquent également. A cela viennent s'ajouter, selon Braungart, des composés aromatiques polycycliques, c'est-à-dire des substances que l'on ingère normalement avec la fumée de cigarette ou avec des aliments fortement brûlés. Ni l'Office fédéral de l'environnement ni les associations de consommateurs ne disposent pour l'instant de données ou d'études qui permettraient de lever l'alerte à ce sujet.

    Le formaldéhyde, à lui seul, est connu pour provoquer des problèmes de peau et augmenter le risque de cancer. Selon un rapport de cas belge, en 2019, une employée de laboratoire de 38 ans a souffert d'éruptions cutanées et d'autres effets secondaires parce qu'elle avait utilisé du formaldéhyde dans son travail de laboratoire. Lorsqu'elle a changé de travail, ces réactions physiques ont disparu, puis sont revenues soudainement lorsqu'elle a dû porter à nouveau un masque de protection lors de la crise du Covid19.

    Compte tenu du fait que le gouvernement fédéral allemand mise une fois de plus sur l'obligation de porter un masque dans l'actuelle loi sur la protection contre les infections, en ignorant toute voix discordante, il est permis de se demander quel est son objectif réel.

    de me.
    Sources / Liens :
    Bericht: „Corona-Masken mit Chemikalien"
    https://www.zentrum-der-gesundheit.de/news/gesundheit/covid-19/corona-masken

    https://www.kla.tv/fr

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    1. Bêh là je te dirais que ton truc il va pas loin ! Pas loin parce que t'as pas fouillé au microscope pour révéler la présence de nano-particules d'oxyde de graphène (comme dans les gels hydroalcooliques, les cotons de faux tests 'RT-PCR' et les expérimentations géniques d'essais). Puis te faudrait voir ton écart de mailles face aux poussières ('virus' !) de 0,1 à 0,5 micron !!
      Faut dire qu'il N'EXISTE PAS AU MONDE de masque dits 'anti-virus' ou anti-microbes' !

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  18. DÉBAT : Nos autorités sanitaires ont-elles réellement pris des injections de COVID ?
    Sont-ils TROP INTELLIGENTS pour tomber amoureux de leur propre BS ? Ou assez bête ?


    Igor Chudov
    26 Septembre 2022


    J'ai publié un article hier, postulant que le PDG de Pfizer, Albert Bourla, est atteint du VAIDS en raison de ses multiples rappels, ce qui lui a causé deux infections au COVID, séparées d'un mois seulement :

    Lettre d'information d'Igor

    Bourla de Pfizer est atteint du syndrome d'immunodéficience acquise par le vaccin (VAIDS)
    Des nouvelles étonnantes d'Albert Bourla de Pfizer…

    Beaucoup de mes lecteurs ont fait remarquer que l'annonce de Bourla devait être un mensonge et qu'Albert était trop intelligent et trop bien informé pour tenter sa chance. Ces lecteurs ont suggéré que Bourla n'a peut-être PAS de COVID pour la deuxième fois en deux mois, mais qu'il invente simplement des trucs à des fins de marketing de rappel bivalent ou pour faire semblant d'être vacciné ou quelque chose du genre.

    Les mêmes types de commentaires ont été faits lorsque j'ai écrit sur le rebond Paxlovid de Fauci ou le rebond Paxlovid de Biden. Veuillez lire l'article de Fauci car il explique pourquoi ces personnes quadruplement boostées ont des rebonds COVID sans fin :

    Lettre d'information d'Igor

    Le rebond Paxlovid de Joe Biden causé par la "tolérance immunitaire"
    Mon chien a un compte Twitter (je n'en ai plus). Et il y a trois jours, il a fait une prédiction…

    Se pourrait-il que ces personnes de l'autorité simulent leurs vaccinations Covid ?

    Arguments à l'appui de la « théorie du trucage »

    Les partisans de la «faking theory» disent que ces charlatans de haut niveau et charlatans médicaux comme le Dr Fauci, ou des dirigeants nationaux comme Joe Biden, qui ont promu des traitements à l'huile de serpent manifestement non prouvés, expérimentaux et dangereux, étaient intelligents, comprenaient ce qui se passait allumé, et ne pouvait donc pas prendre de vaccins Covid. Ainsi, disent les partisans de cette théorie, ces dirigeants simulent maintenant délibérément des réinfections et Covid rebondit pour sembler vacciné et ainsi éviter un examen minutieux.

    Beaucoup de mes lecteurs sont des personnes en bonne santé non vaccinées, qui ont eu Covid une fois, ou jamais, ne sont pas mortes de Covid, et qui ont de nombreux amis et parents dans la même situation. Cela colore leur pensée. Ils ont instinctivement compris, sur la base de diverses théories, les dangers des solutions non éprouvées et promues de manière agressive basées sur des technologies défaillantes. Ainsi, ils se demandent comment d'autres personnes occupant des postes de connaissance et d'autorité seraient assez imprudentes pour prendre la mauvaise décision et prendre personnellement le vaccin.

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  19. Étant donné que la plupart d'entre nous ne sommes pas des descendants de la médecine ou des experts en prise de décision, et pourtant nous l'avons compris, disent ces gens, les esprits les plus aiguisés qui font la promotion de cette merde savent sûrement qu'ils mentent sur le fait que les vaccins Covid sont "sûrs et efficaces", et donc éviteraient de s'injecter ces produits, qu'ils doivent mentir pour promouvoir.

    Ils pointent du doigt des vidéos de fausses vaccinations par des responsables de la santé.

    Un fondateur et président d'une société pharmaceutique espagnole PharmaMar a été surpris en train d'acheter un faux passeport vaccinal :

    Albert Bourla de Pfizer n'a pas non plus été autorisé à se rendre en Israël car il n'était pas complètement vacciné. Il a peut-être été vacciné plus tard.

    L'Allemand Karl Lauterbach a également été surpris en train de mentir au sujet de son statut de rappel.

    Lettre d'information d'Igor

    Karl Lauterbach est MAL et PAS juste stupide
    Une nouvelle très excitante vient d'être publiée. Apparemment, le ministre allemand de la Santé prétendument quadruple vacciné, Karl Lauterbach, a été surpris en train de mentir et il n'a été vacciné que trois fois, sa dernière dose datant de 271 jours. Cela a également été couvert par Eugyppius…

    Arguments contre la « théorie du faux »

    Les opposants à la "faking theory" pensent que nos dirigeants en matière de santé, dirigés par la presse hystérique (sponsorisée par Bill Gates - I.C.), avec des objecteurs censurés par Google et Facebook, sont devenus fous et ont suspendu toute pensée critique et ont été captivés par une mauvaise pensée de groupe.

    Ces opposants utilisent les circonstances personnelles des « rebonds de Paxlovid » et des réinfections fréquentes comme preuve prima facie du statut vaccinal de ces personnes. Ils disent que ces individus spécifiques ont vraiment pris leur propre poison.

    Un opposant de premier plan à la « théorie de la simulation » est notre ami de la sous-pile eugyppius, qui a suggéré que les vaccinateurs étaient devenus fous (lien payant), et aussi ceci :

    eugyppius : une chronique de la peste

    Pourquoi Fauci est probablement entièrement vacciné et aussi sûrement mauvais
    Il est allégué qu'Anthony Fauci a reçu sa première dose de vaccin Corona le 22 décembre 2020, dans le cadre d'une cérémonie médiatique destinée à cimenter la confiance du public dans les injections et à annoncer le début de la fin de la pandémie. Beaucoup imaginent que Fauci et d'autres astrologues de Corona ont eux-mêmes évité les coups, et nous sommes donc obligés de nous demander si et comment cet événement aurait pu être organisé…

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  20. Les arguments d'Eugyppius sont éloquents, bien raisonnés et méritent d'être explorés.

    Il y a une vidéo du Dr Fauci faisant rebondir Paxlovid et il a l'air malade :

    CanadianPatriot1974
    @CPatriot1974
    Le Fauci quadruple vacciné a déclaré qu'il vivait un rebond Covid "bien pire" après avoir été traité avec le médicament antiviral Paxlovid de Pfizer. 🤡
    30 juin 2022

    Gavin Newsom était visiblement malade après sa piqûre de rappel l'automne dernier et a disparu de la vue du public pendant 10 jours !

    Sam Parker🇺🇲
    @SamParkerSénat
    Gavin Newsom a reçu le rappel du vaccin et n'a pas été vu ni entendu depuis plus d'une semaine. Scuttlebutt est qu'il a eu une réaction indésirable. Il s'est même retiré de la conférence sur le climat.

    Il veut voir nos dossiers médicaux ? J'exige de voir le sien.
    8 novembre 2021

    Voici un article remarquable de Steve Kirsch, qui a trouvé un INSIDER au CDC qui lui donne des informations (et j'espère que ce n'est pas pour tenter de divulguer de mauvaises informations exprès). L'initié dit que l'ensemble du CDC est pro-vax et que tous les sceptiques ont été expulsés.

    La newsletter de Steve Kirsch

    J'ai maintenant un informateur au plus profond du CDC
    Mon e-mail à près de 300 employés du CDC a porté ses fruits. L'un d'eux a répondu sur un canal sécurisé et je peux maintenant poser des questions et obtenir des réponses. Voici deux choses que j'ai apprises : Il pense que tout le monde au CDC boit du Kool-Aid. En d'autres termes, pour autant qu'il le sache, ils croient tous vraiment que les vaccins sont s…

    De plus, c'est une chose pour les gens ordinaires d'acheter de faux passeports de vaccination (ce que j'ai toujours soutenu), et une autre chose pour les personnes célèbres de faire la même chose sans se faire prendre. John Smith peut sûrement trouver quelqu'un qui accepterait de prendre 500 $ en espèces et d'entrer John « dans le système » sans rien injecter. Il est beaucoup plus difficile pour Tony Fauci de faire sans que cela soit découvert !

    Ma propre position

    Ma propre position est une neutralité retenue, teintée de méfiance. Je leur colle leurs propres mots. Je ne suis pas un télépathe et je n'ai pas de vision aux rayons X. Je ne peux donc pas lire dans les pensées du Dr Fauci ou d'Albert Bourla ou de Karl Lauterbach et je n'ai pas la vision pénétrante rétroactive pour voir s'ils ont été injectés avec une solution saline, au lieu du vaccin, devant la caméra. Je suis agnostique.

    Et, pour être honnête, même si j'aimerais savoir ce qu'ils se sont fait, je m'en fiche un peu. Ce sont des malfaiteurs de toute façon. Comme l'Australien Michael Gunner l'a dit à propos d'autre chose, leur "statut vaccinal personnel est totalement hors de propos".

    Avatar Twitter pour @SquizzSTK
    Squizz
    @SquizzSTK
    Michael Gunner du NT aux personnes soutenant les anti-vaxxers "(vous pouvez) le pousser"

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  21. #auspol (merci @pinkytweets)
    22 novembre 2021

    210 Retweets952 J'aime
    Ce qui compte, c'est ce qu'ils nous ont fait, pas ce qui leur est tombé dans les bras.

    Veuillez également considérer la possibilité que certains de nos "leaders de la réponse à la pandémie" aient simulé leurs vaccinations (comme les responsables de la santé du Karnataka), tandis que d'autres (comme Tony Fauci ou Joe Biden) ne l'ont pas fait.

    DÉBAT
    La question mérite un débat. J'invite les partisans et les opposants à la théorie du trucage à présenter des arguments cohérents et bien écrits dans des RÉPONSES DE HAUT NIVEAU.

    Commencer les réponses avec

    “FAKED — … … … “ — si vous pensez qu'ils ont truqué leurs piqûres

    « PAS FAUX - … … … » si vous pensez qu'ils ont pris leur propre médicament de charlatan »

    « NUANCED - … … … » si vous adoptez une position nuancée

    « SÛR ET EFFICACE –                                                                                                      » Oui, si vous croyez en de telles choses, vous êtes libre d'exprimer une telle opinion sur cette sous-pile. Vos messages ne seront PAS supprimés !

    S'IL VOUS PLAÎT SOYEZ CIVILS. Lors de notre dernier débat, j'ai promis de SUPPRIMER toutes les réponses désagréables et impolies. Tout le monde était très gentil et j'ai fini par ne supprimer aucun message. Alors s'il vous plaît, soyez amicaux les uns envers les autres cette fois aussi, tout en étant vigoureusement en désaccord et en ne retenant aucune bonne pensée. Nous sommes des alliés et nous n'avons pas besoin d'être impolis les uns envers les autres.

    Si votre argument n'obtient pas de traction ou de votes positifs, s'il vous plaît ne vous fâchez pas, d'accord ? C'est un débat ! Vous pourriez le perdre ! Et c'est bien !

    Les gagnants et les perdants ne seront PAS annoncés.

    Poursuivre!

    https://igorchudov.substack.com/p/debate-did-our-health-authorities?utm_source=post-email-title&isFreemail=true&utm_medium=email

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    1. (...) Beaucoup de mes lecteurs sont des personnes en bonne santé non vaccinées, qui ont eu Covid une fois, ou jamais, ne sont pas mortes de Covid, et qui ont de nombreux amis et parents dans la même situation. (...)

      'non vaccinées, qui ont eu Covid' ??!! S'ils ne se sont pas fait inoculer le poison et qu'ils sont tout-de-même empoisonnés c'est qu'il est entré par: les masques imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! Les gels hydroalcooliques contenant des nano-particules d'oxyde de graphène ! Des faux tests 'RT-PCR' aux cotons d'écouvillons imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène qui sont déposés en fosses nasales près du cerveau !

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  22. La FDA dit au vaccin blessé : "Merci pour le partage"

    20 vaccinés blessés se sont rendus à Washington DC pour rencontrer les législateurs et la FDA. Peter Marks était trop occupé pour les rencontrer en personne, alors ils se sont rencontrés lors d'un appel zoom d'une heure.


    Steve Kirsch
    24 sept. 2022


    Voici l'article sur Trial Site News décrivant ce qui s'est passé lorsque 20 blessés par le vaccin se sont rendus à Washington DC pour rencontrer la FDA et des membres du Congrès.

    En gros, ils ont remercié les 20 personnes d'avoir partagé leurs histoires. De l'article :

    "Les données ne sont pas suffisamment robustes", a déclaré à plusieurs reprises le Dr Peter Marks. "Avec ces taux bas, il est très difficile de savoir ce que vous regardez." Le mot "rare" a été utilisé et, bien sûr, l'expression "1 sur un million".

    Et puis il y avait ceci : "Cela ne veut pas dire que nous ne continuerons pas à chercher."

    J'ai des rapports de blessures par vaccin de plus de 1 000 personnes. Ils sont triés par nombre de symptômes à partir d'une liste de 145 symptômes que j'ai trouvés associés aux blessures causées par le vaccin COVID. Choses comme:

    Incapacité à parler

    Saigne derrière mes yeux



    Vous savez, des trucs comme ça que vous voyez rarement.

    Il y a clairement une cause à effet ici lorsque vous vous rendez compte que la plupart de ces personnes sont en parfaite santé avant le vaccin (peu ou pas de symptômes de ma liste) et qu'elles développent soudainement 40 à 86 symptômes de la liste. Cela arrive encore et encore aux personnes vaccinées avec le vaccin COVID.

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  23. Mon enquête n'est pas exhaustive; il y a des millions de vaccins blessés. Donc, pour chaque cas signalé ici, multipliez-le par au moins 1 000 autres présentant des symptômes similaires.

    Il y a donc environ 100 000 personnes en Amérique avec 30 symptômes vaccinaux courants ou plus.

    Je suis persona non grata à ces réunions de la FDA
    Malheureusement, je ne suis jamais invité à aucune de ces réunions avec la FDA.

    De plus, les énormes quantités de données que j'ai recueillies sur les vaccins blessés (cette enquête particulière n'est qu'un exemple) ne sont jamais partagées avec le Dr Marks par aucune des personnes qui le rencontrent.

    Et bien sûr, le Dr Marks ignore mes e-mails directs.

    Fréquence relative des 145 symptômes de mon enquête

    Cliquez sur l'image pour une vue plus lisible. Il s'agit du taux de déclaration pour chacun des 145 symptômes des 1 017 personnes qui ont répondu à mon enquête. J'ai les coordonnées complètes de toutes ces victimes.

    Dr Nath
    En plus du Dr Peter Marks de la FDA, le Dr Avindra Nath du NIH a passé beaucoup de temps à chercher une association entre les vaccins et les effets secondaires pendant plus d'un an. Il n'a toujours pas trouvé d'association.

    Plus précisément, le Dr Nath du NIH a enquêté sur les blessures causées par les vaccins chez plus de 500 personnes blessées par les vaccins pendant plus d'un an et il a récemment déclaré à la presse qu'il n'avait pas été en mesure de trouver un lien entre les vaccins et les blessures. J'ai contacté le Dr Nath pour son raisonnement, mais il refuse de me parler. Veuillez lire mon article sur le Dr Nath, un homme qui valorise sa position au NIH plus que la vie de millions d'Américains.

    Je lui ai proposé de partager toutes mes données avec lui, mais il n'était pas intéressé. C'est peut-être pour cela qu'il n'est pas capable de comprendre la cause et l'effet ici.

    Voici quelques articles sur le Dr Nath :

    Shining light on the vaccine blessed (1er février 2022) résume les travaux du Dr Nath.

    Le NIH sait désormais que les vaccins COVID peuvent entraîner la mort 1 an à compter de la date de vaccination (25 avril 2022). Le Dr Nath connaît cette personne décédée un an après son vax. Le décès a été causé par le vaccin. Le coroner l'a confirmé. Mais le Dr Nath ne considère pas la mort comme une blessure causée par le vaccin.

    Victime du vaccin COVID ? Rencontrez le Dr Avindra Nath du NIH (26 avril 2022)

    Mon e-mail au Dr Nath du NIH lui demandant combien de temps il pense qu'ils peuvent continuer à cacher les blessures (4 août 2022)

    Pour plus d'informations sur l'enquête, les données et les histoires des blessés dans l'enquête
    Rapports détaillés des blessés vaccinaux des 95 premières personnes (sur plus de 1 000) qui ont signalé à ma base de données (21 pages)

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  24. Les dossiers publics de plus de 1 000 personnes blessées par le vaccin, triés par nombre de symptômes. Cette base de données contient des informations détaillées sur chacun des vaccinés blessés, y compris pourquoi ils pensent que leurs blessures ont été causées par le vaccin.

    Le formulaire d'enquête qui a été utilisé pour recueillir les données, montrant les 146 symptômes sur lesquels j'ai posé des questions

    L'article sur l'enquête intitulé « Connaissez-vous quelqu'un qui a été blessé ou tué par les vaccins COVID ? Veuillez les enregistrer maintenant.

    Marsha Gee, l'une des personnes les plus blessées par le vaccin COVID au monde qui a répondu à l'enquête. Elle a développé 78 symptômes de ma liste. Je vous garantis que tous ses symptômes étaient préexistants dans le formulaire d'enquête au moment où elle l'a rempli. Quand j'ai vu son entrée pour la première fois, j'ai cru qu'on me faisait une blague. Je ne l'étais pas.

    Un jour, ils examineront les données que j'ai recueillies
    J'espère qu'un jour, l'un des blessés du vaccin partagera cet article avec le Dr Marks ou le Dr Nath et leur demandera comment ils peuvent expliquer ces données et pourquoi ils n'étaient pas intéressés à les voir.

    Je prétends que ces données sont impossibles à expliquer si les vaccins sont sûrs.

    Je suis heureux de partager les coordonnées complètes de chacun des plus de 1 000 blessés avec la FDA, mais personne en autorité ne semble intéressé à poursuivre cela.

    Peut-être un jour.

    https://stevekirsch.substack.com/p/fda-tells-the-vaccine-injured-thanks?utm_source=post-email-title&isFreemail=true&utm_medium=email

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  25. L'Europe est confrontée à un problème de démence


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 26 SEPTEMBRE 2022 - 10:15


    La démence touche plus de 55 millions de personnes dans le monde, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Ce nombre devrait atteindre 78 millions d'ici 2030 et 139 millions d'ici 2050, alors que nous connaissons le vieillissement de la population.

    Les symptômes liés à la démence sont causés par diverses maladies et traumatismes qui affectent le cerveau, comme la maladie d'Alzheimer ou un accident vasculaire cérébral. Il perturbe la mémoire et d'autres fonctions cognitives, ce qui a un impact sur la capacité d'accomplir des tâches quotidiennes.

    Comme le note Anna Fleck de Statista, les cas de démence sont en augmentation dans le monde, avec des chiffres qui devraient doubler dans de nombreux pays au cours des 30 prochaines années.

    - voir graph sur site -

    Infographie : L'Europe est confrontée à un problème de démence | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    L'OCDE prévoit qu'en Italie, on peut s'attendre à voir 43 cas de démence pour 1 000 habitants d'ici 2050, en hausse de 20 cas depuis 2021.

    L'Espagne verra également environ 41 cas pour 1 000, tandis que l'Allemagne et la France devraient connaître une forte augmentation à environ 35 personnes pour 1 000.

    Selon l'OMS, le risque de développer une démence peut être réduit en faisant régulièrement de l'exercice, en évitant l'usage nocif de l'alcool, en ne fumant pas, en maintenant un poids santé et en adoptant une alimentation équilibrée.

    https://www.zerohedge.com/markets/europe-facing-dementia-problem

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    1. Depuis DES milliers d'années les gens boivent et fument sans qu'il n'y ait de 'démence' ! Çà alors !
      Mais, depuis, sont arrivés des 'remèdes' appelés 'pilules' ou 'vaccins' et là... HOULALA ! HOULALA !

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  26. "Avant le vaccin, je n’avais rien": Patrick Sébastien s'interroge sur les effets indésirables du vaccin anti-Covid


    le 26 septembre 2022 - 14:00


    En pleine promotion de son nouveau livre Vivre et renaître chaque jour (éditions XO), l’artiste et ancien animateur vedette de France télévisions, Patrick Sébastien, a confié ses doutes sur les effets délétères de la vaccination anti-Covid, qu'il estime peut-être à l'origine de son cancer du rein et de son prédiabète.

    Interrogé sur le plateau du Figaro Live le 22 septembre, l'auteur est revenu sur le « tsunami » de problèmes auquel il a dû faire face ces derniers mois : sa rupture amoureuse, son cancer du rein récemment guéri, ou encore son éviction de France télévisions.

    Selon lui, si le stress aurait pu jouer sur le développement de son cancer du rein, il s'est aussi interrogé sur l'éventuel lien entre sa maladie et le vaccin contre le Covid-19 : « C’est un des sujets que j’aborde dans le livre. Je ne suis pas complotiste, mais je regarde. Et, je me suis aperçu qu’avant le vaccin, je n’avais rien. Je veux dire, j’ai des analyses que je vérifie régulièrement, nickel, je n’avais rien. Et, je me suis retrouvé avec un prédiabète, une prostatite, un cancer, des trucs que je ne connaissais pas. »

    Extrait de l'émission Le Figaro Live :

    Si Patrick Sébastien refuse d'être catégorique, il se questionne, car, de sa propre expérience, le problème pourrait dépasser son cas personnel : « Et, à un moment, je n’accuse pas, mais je me pose la question parce qu’autour de moi, je me suis retrouvé avec des gens qui avaient des pathologies qu’ils n’avaient pas avant. »

    - voir clip sur site :

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/avant-le-vaccin-je-n-avais-rien-patrick-sebastien

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  27. Oxyde de graphène dans les vaccins, anomalies sanguines, nanoparticules lipidiques: l'analyse de Jean-Marc Sabatier


    le 25 septembre 2022 - 19:55


    ENTRETIEN — Que savons-nous des troubles de la coagulation sanguine qui peuvent se retrouver chez les personnes infectées par le Covid-19, mais également chez une personne non-infectée après une ou plusieurs injections vaccinales ? Comment expliquer les formations en rouleaux de globules rouges dans les échantillons de sang observés au microscope, notamment chez les personnes vaccinées ? Quelles seraient les conséquences de la présence d’oxyde de graphène si la présence de ce matériau dans les vaccins à ARNm venait à être confirmée ? Les injections vaccinales peuvent-elles provoquer des modifications durables dans la composition du sang des vaccinés ? Quel est le rôle de nanoparticules lipidiques (NPL) ? Que savons-nous des effets délétères associés à l’emploi des NPL dans les vaccins à ARNm ? Les effets délétères des NPL observés chez les souris, sont-ils susceptibles de s’appliquer à l’homme ? Qu’en est-il des adjuvants dans le Novavax ? Quelle est la balance bénéfices-risques des nouveaux vaccins contre la Covid-19 dit « bivalents », validés par les autorités sans aucun essai clinique ?

    Nous précisons que Jean-Marc Sabatier s'exprime ici en son nom.

    FranceSoir — Selon une étude, publiée par le British Medical Journal (BMJ), le SARS-CoV-2 pourrait accroître le risque de développer des caillots sanguins graves jusqu’à six mois après l’infection. Cela se traduit par des thromboses veineuses, des embolies pulmonaires et des saignements chez les personnes qui ont contracté le Covid.

    Ce problème, vous l’aviez identifié dès le début de l’épidémie en mars 2020. Un mois plus tard, vous avez fait paraître une étude dans laquelle vous aviez anticipé certaines maladies dont les coagulopathies et thromboses (qui sont normalement « opposées » car l’une correspond à une déficience de la coagulation, contrairement à la seconde qui correspond à une hyper-coagulation !). Depuis le début de la campagne de vaccination, parmi les multiples effets secondaires rapportés, des événements thrombotiques ont également été rapportés et consignés par les centres des pharmacovigilances suite à la vaccination.

    Quelles sont selon vous les causes de ces caillots sanguins ?

    Jean-Marc Sabatier — En effet, une infection au virus SARS-CoV-2 conduit à des anomalies de la coagulation du sang chez environ 15 % des personnes infectées. Ces problèmes de coagulation sanguine peuvent également se retrouver chez des personnes non-infectées (au SARS-CoV-2), après une ou plusieurs injections vaccinales. Environ 70 à 80 % des personnes atteintes de formes graves de la Covid-19 présentent des troubles de la coagulation. Nous avions anticipé ces anomalies de la coagulation lorsque nous avons identifié (dès mars 2020) le mode d’action du SARS-CoV-2 dans l’organisme, qui est un dysfonctionnement du système rénine-angiotensine (SRA) de l’hôte induit par la protéine Spike virale, et une suractivation de son récepteur « délétère » AT1R humain. Pour rappel, le SRA est un système hormonal et physiologique majeur de notre organisme, qui contrôle les fonctions autonomes rénale, pulmonaire, cardiovasculaire, ainsi que l’immunité innée, et les divers microbiotes (dont le microbiote intestinal). Le SRA est ubiquitaire et se retrouve au niveau des divers organes et tissus de notre organisme.

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  28. Lorsque le SARS-CoV-2 (via la protéine Spike virale), ou la protéine Spike vaccinale, fait dysfonctionner le SRA en suractivant le récepteur AT1R, il induit (entre-autres) un syndrome d’activation macrophagique (SAM) et/ou un syndrome d’activation mastocytaire (SAMA). Le SAM est responsable d’une hémo-phagocytose qui est l’attaque et la destruction partielle — par les macrophages activés — de globules rouges (hématies), de certaines cellules du système immunitaire (lymphocytes B et T, cellules NK), et des thrombocytes/plaquettes sanguines (il est notable que les précurseurs de ces divers types de cellules sanguines sont aussi attaqués).

    Ce processus indésirable d’hémo-phagocytose conduit potentiellement à une anémie (déficit de globules rouges), une lymphocytopénie (déficit de lymphocytes) et à une thrombocytopénie (déficit de thrombocytes/plaquettes sanguines). Ceci s’accompagne d’une chute de la production des interférons de type I. Lors de la thrombocytopénie, la baisse du nombre de thrombocytes/plaquettes sanguines impliqués dans le processus (très complexe) de la coagulation entraîne une déficience de la coagulation (ou coagulopathie). C’est ce qui est observé avec les troubles de la menstruation chez certaines femmes suite à une infection au SARS-CoV-2 ou aux injections vaccinales. La coagulopathie peut dans certains cas être associée à la présence d’anticorps auto-immuns dirigés contre un ou plusieurs facteur(s) de la coagulation, comme dans le cas de l’hémophilie acquise (suite à la Covid-19) avec la présence d’anticorps dirigés contre le facteur VIII de la coagulation. De tels troubles auto-immuns sont aussi dus au dysfonctionnement du SRA qui pilote l’immunité innée, et donc la reconnaissance des molécules du « soi » et du « non soi » par le système immunitaire.

    Parallèlement, lors du SAM, les macrophages « activés » produisent des cytokines pro-inflammatoires, et permettent à la fois un recrutement de thrombocytes/plaquettes sanguines et une prolifération des granulocytes neutrophiles (phénomène de neutrophilie) ; ces derniers seraient impliqués dans la mobilisation de plaquettes sur le site du thrombus. Le SAM peut donc être associé à un état potentiel d’hyper-coagulation caractérisé principalement par une augmentation importante des D-dimères (les D-dimères — dont le taux est généralement inférieur à 250 ng/mL de sang — apparaissent dans la circulation sanguine lors de la dissolution des caillots suite à une dégradation de la fibrine) et à un risque significatif de décès par thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire, etc. en absence d’intervention thérapeutique (anti-thrombotique, prise d’aspirine). Il est notable que le taux sanguin « normal » en D-dimères peut varier suivant les personnes considérées (femmes enceintes, personnes âgées, individus présentant une pathologie inflammatoire ou une maladie hépatique, personnes ayant subi une opération chirurgicale récente ou présentant des hématomes, etc.).

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  29. En conclusion, les anomalies de la coagulation sanguine associées à la Covid-19 (résultant d’une infection au SARS-CoV-2 ou à des injections vaccinales anti-Covid-19) relèvent — sauf cas particuliers — d’un dysfonctionnement du SRA (via une suractivation de son récepteur AT1R induit par la fixation de la protéine Spike virale ou vaccinale sur le récepteur cellulaire cible ECA2).

    Lire aussi : Les effets délétères associés au virus SARS-CoV-2 ou induits par les vaccins: Jean-Marc Sabatier

    France Soir — Plusieurs documents ont mis en évidence des anomalies dans le sang des personnes vaccinées. Ces documents montrent des échantillons de sangs qui présentent au microscope des formations « en rouleaux ». Quelle crédibilité peut-on accorder à ces images ? Comment expliquez-vous ce phénomène ?

    Jean-Marc Sabatier — Ces anomalies sanguines m’apparaissent crédibles, voire probables. Les « rouleaux » que vous décrivez correspondent à des superpositions/empilements de globules rouges (aussi appelés hématies ou érythrocytes). De telles structures en « rouleaux » des globules rouges ont déjà été décrites. Les globules rouges (produits dans la moelle osseuse par des cellules souches hématopoïétiques) sont des cellules anucléées (chez les mammifères) chargées — entre autres — de transporter l’oxygène (dioxygène ou O2) des poumons aux autres tissus et cellules de notre organisme. Pour cette fonction vitale, ces cellules sanguines contiennent de l’hémoglobine capable de se lier à l’oxygène. Il est notable que le rôle des globules rouges ne se limite pas au transport d’oxygène : ils permettent de réguler le pH sanguin, de transporter les complexes immuns (grâce à une molécule de surface appelée CD20) et le gaz carbonique produit par les cellules.

    De façon inattendue, les globules rouges sont aussi directement impliqués dans la réponse de notre organisme contre les microbes. En effet, les globules rouges présentent une grande quantité de glycophorines-A à leur surface (un million de récepteurs par globule rouge), qui servent de « leurre » pour les protéines virales (telle que la protéine Spike du SARS-CoV-2 ou vaccinale). Ainsi, ces cellules sanguines sont des « pièges » permettant de neutraliser les agents pathogènes circulants (ou à en diminuer la charge circulante), via une interaction directe avec leurs protéines de surface. Il apparaît alors possible que la protéine Spike produite ou contenue dans les vaccins anti-Covid-19 interagisse avec les globules rouges modifiant leurs propriétés et comportement.

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  30. Parallèlement, nous savons que le SARS-CoV-2 affecte le transport et/ou la distribution de l’oxygène aux tissus et cellules de notre organisme (variation du taux de saturation en oxygène en fonction de la sévérité de la Covid-19). Des travaux expérimentaux suggèrent une potentielle interférence entre la protéine Spike et l’hémoglobine des globules rouges servant au transport de l’oxygène (l’hémoglobine est constituée de deux sous-unités d’alpha-globine et deux sous-unités de beta-globine, dont chacune est associée à un groupe hème qui contient un atome de fer capable de s’associer à l’oxygène).

    Le SARS-CoV-2 — via la protéine Spike — induit le dysfonctionnement du SRA via une suractivation de son récepteur « délétère » AT1R. Le récepteur AT1R suractivé (par la protéine Spike virale ou vaccinale) est pro-hypertenseur, pro-inflammatoire, pro-oxydant, pro-angiogénique, pro-thrombotique, pro-fibrosant, pro-hypertrophiant et fait chuter le monoxyde d’azote (NO). AT1R suractivé provoque une hypoxémie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypoxie (état de disponibilité réduite en oxygène dans les tissus). Rappelons que la suractivation de AT1R (du SRA) est responsable du syndrome d’activation macrophagique (SAM) et de l’hémo-phagocytose associée, qui détruit des globules rouges et ses précurseurs au sein de la moelle osseuse. L’ensemble de ces données suggère une atteinte possible à l’intégrité des globules rouges pouvant répondre de la formation en « rouleaux » déjà décrite et parfois observée/rapportée chez les personnes infectées par le SARS-CoV-2, ou vaccinées.

    Personnellement, je pense que dans le cas des effets observés après injections des vaccins anti-Covid-19, la protéine Spike vaccinale produite (vaccins à ARNm et à vecteurs viraux) ou existante (vaccins à virus inactivés et à protéine Spike recombinante) entrainerait la formation de « rouleaux » de globules rouges en s’adsorbant à la surface de ces cellules — via les glycophorines (glycophorine-A) — modifiant ainsi la charge électrique de surface et le potentiel Zêta membranaire (ce potentiel Zêta — correspondant à la différence entre les charges électriques situées à la surface des globules rouges et celles du nuage externe — permet normalement de repousser ces cellules les empêchant de s’agréger). Les glycophorines sont donc des molécules de surface des globules rouges servant de « leurres » aux microbes qui s’y fixent (via les nombreuses charges négatives des acides sialiques portés par les glycophorines) et qui ne peuvent s’y multiplier, car il s’agit de cellules sanguines « vides » dépourvues de noyau et du matériel cellulaire nécessaire à la multiplication des microbes. Il y a donc un rôle central des globules rouges dans le transport de l’oxygène aux cellules, mais également un rôle de soutien du système immunitaire en participant à la « clearance » (élimination) des microbes. De telles structures en « rouleaux » des globules rouges ont été décrites lors d’états inflammatoires (ici état inflammatoire résultant d’une infection au SARS-CoV-2), possiblement de grossesse (dues à l’augmentation du fibrinogène), ainsi que lors de dysglobulinémies (apparition et prolifération d’anticorps « anormaux » sanguins et tissulaires) chez l’hôte. Il est notable que cet empilement de cellules sanguines peut être parfois simplement lié aux solvants utilisés dans des médicaments injectables (tels que le miconazole, la cyclosporine ou l’huile de ricin). Les globules rouges peuvent aussi être regroupés en amas, notamment en présence d’anticorps assurant un pontage inter-cellulaire.

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  31. France Soir — On a beaucoup parlé de particules métalliques notamment d’oxyde de graphène, pensez-vous que cette piste soit sérieuse ?

    Jean-Marc Sabatier — Le graphène et ses dérivés, dont l’oxyde de graphène, ne sont pas décrits (par les fabricants et l’OMS) comme étant des constituants des vaccins actuellement utilisés contre le SARS-CoV-2 et la Covid-19. La présence de tels nanomatériaux est néanmoins mentionnée par de nombreux auteurs et expérimentateurs. Il serait très grave que la présence de tels composés soit réelle pour des raisons de transparence sanitaire et d’innocuité vaccinale (bien qu’il ne soit pas opportun de parler d’innocuité vaccinale dans le cadre des pseudo-vaccins anti-Covid-19).

    Le graphène est constitué de carbone (il s’agit d’un feuillet monocouche d’atomes de carbone organisés en nids d’abeilles). Avec ses dérivés, le graphène présente des potentialités et propriétés physico-chimiques exceptionnelles en termes de légèreté, transparence, flexibilité, résistance (résistance à la rupture 100 fois supérieure à celle de l’acier), stabilité, conduction électrique, magnétisme (seulement en conditions non-naturelles), source potentielle d’énergie (grâce aux mouvements vibratoires), et stockage énergétique propre (batterie au graphène). Les domaines d’application de ces matériaux sont actuellement en pleine expansion comme capteurs/biocapteurs ultra-sensibles, biocatalyseurs, micropuces et autres, ainsi qu’en nanomédecine (principalement comme vecteur de thérapie génique et plate-forme de vaccins).

    Est-il utilisé expérimentalement comme une plate-forme vaccinale dans les vaccins anti-Covid-19 à ARNm ? Nous devrions le savoir prochainement, notamment parce que la justice a été saisie dans plusieurs pays pour une étude approfondie de la composition de ces vaccins. Pour ma part, je n’ai à ce jour aucune certitude quant à la présence ou non de graphène ou d’oxyde de graphène (ou autre(s) dérivé(s) apparenté(s)) dans les vaccins à ARNm, mais je ne suis pas la personne la mieux informée dans le domaine… et il y a rarement de fumée sans feu. Les problèmes majeurs posés par une présence de nanomatériaux carbonés de type graphène ou dérivé seraient potentiellement une réaction inflammatoire « délétère » avec stress oxydant, une mort cellulaire (par apoptose, nécrose et/ou dérèglement autophagique), une toxicité directe sur des organes (notamment les poumons et le cerveau), une génotoxicité (altération de l’ADN qui est une source de cancers et/ou de déficiences transmissibles aux générations suivantes), ainsi que la biodégradabilité (catabolisme) et ses conséquences sur l’organisme. Il est notable qu’à ce jour, des effets indésirables de ces nanomatériaux (par exemple, l’oxyde de graphène) ont déjà été rapportés sur certains types cellulaires (dont des cellules nerveuses et épithéliales pulmonaires), et sur des organismes vivants incluant des plantes (via des terres enrichies en nanotubes de carbone). Il apparait que l’enzyme humaine myéloperoxydase (MPO) produite par des globules blancs (granulocytes neutrophiles appartenant à l’immunité innée) serait capable de dégrader l’oxyde de graphène ; ces cellules immunitaires — en charge de l’élimination de microbes et corps étrangers dans l’organisme — sont fortement représentées dans les poumons. Finalement, les nanoparticules de graphène (et ses dérivés) apparaissent d’autant plus toxiques que leur taille est importante. Dans le cas d’une présence effective d’oxyde de graphène, ou autre composé apparenté dans les vaccins à ARNm (ce qui reste à ma connaissance à démontrer formellement), une élimination rapide par un mécanisme de phagocytose de cellules immunitaires spécialisées est probable.

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  32. France Soir — Pensez-vous que ces vaccins puissent provoquer des modifications durables dans la composition du sang des vaccinés ?

    Jean-Marc Sabatier — Personnellement, je pense que ces injections vaccinales provoquent des modifications plus ou moins durables dans la composition du sang des personnes « vaccinées ». Le dysfonctionnement du système rénine-angiotensine (SRA) et la suractivation associée du récepteur AT1R sont potentiellement induits par la protéine Spike vaccinale, d’où les effets « délétères » parfois observés après les injections de vaccins. Ce dysfonctionnement du SRA conduit — entre autres — à un syndrome d’activation macrophagique (SAM) responsable du phénomène d’hémo-phagocytose. L’hémo-phagocytose conduit à une anémie (diminution du nombre de globules rouges), une lymphocytopénie (diminution du nombre de globules blancs, dont les lymphocytes T auxiliaires et cytotoxiques, les lymphocytes T « Natural Killer », et les lymphocytes B), ainsi qu’une thrombocytopénie (diminution du nombre de thrombocytes/plaquettes sanguines). Les macrophages « hyper-réactifs » s’attaquent aussi aux précurseurs myéloïde et lymphoïde de ces cellules sanguines dans la moelle osseuse. À l’opposé, on observe une neutrophilie, qui correspond à une prolifération des granulocytes neutrophiles impliqués dans l’immunité innée. Ces évènements affectent la composition du sang. Les effets des injections vaccinales devraient être plus ou moins « visibles » et durables en fonction du nombre d’injections vaccinales reçues et des personnes (âge, sexe, état de santé, patrimoine génétique, etc.). Selon moi, le vrai problème lié aux multiples injections de ces pseudo-vaccins va être le potentiel fonctionnel altéré du sang de l’hôte. En effet, ces injections vaccinales répétées vont inévitablement conduire à une déficience du système immunitaire inné (immunité immédiate non spécifique) et, par voie de conséquence, à une déficience du système immunitaire adaptatif/acquis (immunité plus tardive d’environ 4 jours et spécifique de l’agent infectieux, ou autre), c’est-à-dire à une déficience généralisée du système immunitaire. Ainsi, il m’apparait urgent et vital d’arrêter ces injections inefficaces et délétères, car elles vont inexorablement conduire à un dérèglement majeur du système immunitaire chez les personnes « vaccinées ». Le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) pourrait être une modification durable de l’immunité chez l’hôte « vacciné », à l’origine du déclenchement et/ou du développement de diverses pathologies (cancers, maladies auto-immunes, maladies neurodégénératives, etc.).

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  33. France Soir — On a beaucoup accusé la protéine de pointe Spike d’être à l’origine des effets secondaires très nombreux dans le cadre de la vaccination. Comme vous l’aviez déjà expliqué dans des entretiens précédents, le virus, en se fixant sur le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme conversion de l’angiotensine 2) par l’intermédiaire de sa protéine Spike, interfère avec un système hormonal complexe et ubiquitaire, appelé système rénine-angiotensine (SRA). Présent au niveau de tous les tissus, des organes (le cerveau, le cœur, les poumons, la rate, le pancréas, le système vasculaire, le système auditif, les yeux, la peau, les intestins, les organes reproducteurs, etc.) et des microbiotes intestinal, buccal et vaginal, le SRA pilote également l’immunité innée. En s’attaquant au SRA, le Sars-CoV-2 le rend dysfonctionnel, ce qui entraîne de possibles répercussions sur de très nombreux organes et tissus. Au niveau du SRA, le récepteur cellulaire AT1R qui contrôle diverses voies de signalisation au sein des cellules est le récepteur le plus impliqué dans les phénomènes immunitaires, inflammatoires et mnésiques. Lorsqu’il est suractivé, celui-ci devient délétère, car il possède des propriétés pro-hypertensives, pro-inflammatoires, pro-oxydante, pro-thrombotique, pro-hypoxique, pro-fibrosante, pro-hypertrophiante et pro-angiogénique. Ce dysfonctionnement entraîne également des pathologies qui peuvent également être induites par la protéine Spike vaccinale.

    Dernièrement, une étude en prépublication sur le site bioRxiv fait état des effets délétères induits par les nanoparticules lipidiques (NPL) sur la réponse immunitaire chez les souris.

    Pouvez-vous tout d’abord rappeler le rôle des NPL, de quoi ils sont constitués, leur durée de vie dans l’organisme d’après les données actuelles de la science ?

    Jean-Marc Sabatier — Pour rappel, les injections vaccinales répétées sont basées sur la protéine Spike (modifiée) du SARS-CoV-2. Dans le cas des vaccins Comirnaty (Pfizer-BioNTech) et Spikevax (Moderna) qui sont les plus utilisés en France, la protéine Spike vaccinale est directement produite par nos cellules suite à une injection d’ARN messager. Il existe plusieurs raisons (scientifiques) de ne pas procéder à des injections vaccinales multiples avec les pseudo-vaccins anti-Covid-19, le rapport bénéfices/risques étant très défavorable :

    (1) Ces pseudo-vaccins sont inefficaces : ils n’empêchent pas l’infection au SARS-CoV-2 et la transmission du virus (une protection actuelle contre les formes graves ou mortelles de la Covid-19 reste à prouver) ;

    (2) L’action néfaste de la protéine Spike vaccinale sur de nombreux organes et tissus, y compris le système vasculaire : la protéine Spike peut provoquer des maladies Covid-19, car elle peut potentiellement se fixer sur le récepteur ECA2 des cellules cibles et induire un dysfonctionnement du SRA et une suractivation de son récepteur délétère AT1R (par un excès d’angiotensine-2), comme le fait le virus SARS-CoV-2 ;

    (3) La répétition des injections vaccinales ciblant le même antigène (ici la protéine Spike) qui dérègle l’immunité innée de l’hôte. Ceci s’ajoute au dérèglement de l’immunité innée induit par le dysfonctionnement du SRA qui contrôle l’immunité innée ;

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  34. (4) L’existence chez l’hôte des phénomènes de facilitation de l’infection virale médiée par les anticorps anti-protéine Spike « facilitants » (ADE : Antibody-dependent enhancement) et de facilitation des maladies respiratoires (ERD : Enhanced respiratory diseases). Les phénomènes ADE/ERD s’observent avec les nouveaux variants et sous-variants émergents du SARS-CoV-2 ;

    (5) La toxicité potentielle directe des nanoparticules lipidiques (NPL) et autres adjuvants et excipients utilisés dans les pseudo-vaccins anti-Covid-19.

    France Soir — Qu’appelle-t-on nanoparticules lipidiques ?

    Jean-Marc Sabatier — Les nanoparticules de ces vaccins contiennent quatre types de composés, à savoir des lipides ionisables cationiques (les charges positives se lient aux charges négatives de l’ARNm), des lipides pégylés (qui stabilisent les nanoparticules), ainsi que des phospholipides et du cholestérol (qui participent à la structure des nanoparticules). Les lipides ionisables cationiques diffèrent selon les vaccins à ARNm : ALC-0315 (Pfizer-BioNTech) ou SM-102 (Moderna). Les lipides pégylés diffèrent également : ALC-0159 (Pfizer-BioNTech) ou PEG2000-DMG (Moderna). Ces vaccins ont en commun les phospholipides (DSPC) et le cholestérol. Tous ces composés encapsulent l’ARNm pour le protéger des enzymes de dégradation et permettent le transport de celui-ci à l’intérieur des cellules afin de produire la protéine Spike vaccinale. Dans les vaccins à ARNm, les NPL pourraient être fortement toxiques (lipides ionisables et pégylés), selon les données expérimentales.

    France Soir — Quels effets potentiellement délétères peuvent causer les nanoparticules lipidiques de certains vaccins ?

    Jean-Marc Sabatier — Les dommages (plus ou moins sévères) dus à la protéine Spike vaccinale sont de nos jours bien documentés. Il existe des risques supplémentaires d’effets délétères associés à l’emploi de NPL hautement inflammatoires dans les vaccins à ARNm. En effet, divers types de NPL sont capables de franchir des barrières biologiques et d’exercer des effets toxiques sur des organes tels que le cerveau, les reins, le foie, la rate, les ganglions lymphatiques, les muscles et les organes reproducteurs. Les NPL peuvent traverser les barrières hémato-testiculaire, placentaire et épithéliale pour s’accumuler dans les organes reproducteurs, et les endommager en détruisant les cellules de Sertoli et de Leydig, ainsi que les cellules germinales. Ceci affecte les organes reproducteurs masculins en modifiant la qualité, quantité, morphologie et motilité des spermatozoïdes, et féminins en réduisant le nombre d’ovocytes matures et en perturbant le développement folliculaire. Les NPL peuvent perturber les niveaux d’hormones sécrétées, affectant la libido. Les mécanismes impliqués dans la toxicité des NPL reposent sur l’inflammation, le stress oxydatif, l’apoptose, et/ou la génotoxicité. Il est notable que les NPL peuvent induire une réaction allergique chez certaines personnes souffrant d’allergies graves (environ un cas de choc anaphylactique par million d’injections du vaccin de Pfizer-BioNTech). De nombreux effets délétères des NPL sont (globalement) comparables à ceux induits par la protéine Spike vaccinale. En résumé, les NPL sont potentiellement dangereuses.

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  35. France Soir — Qu’en est-il des adjuvants, notamment pour le vaccin Novavax ?

    Jean-Marc Sabatier — D’autres adjuvants des vaccins peuvent également présenter une toxicité potentielle. Par exemple, le vaccin Novavax — utilisé en France — contient un dérivé de saponine extrait de l’écorce du bois de Panama. Les propriétés tensioactives, détergentes et émulsifiantes des saponines semblent bénéfiques ou toxiques, et font l’objet de controverses. Les saponines pourraient s’attaquer aux globules rouges (activité hémolytique) et à d’autres types cellulaires, en interagissant avec le cholestérol des membranes de ces cellules. À forte dose, les saponines peuvent provoquer des problèmes respiratoires, gastriques, une atteinte au foie, ainsi que des convulsions et diarrhées.

    France Soir — Quels sont les effets délétères des NPL observés chez les souris ?

    Jean-Marc Sabatier — Les travaux de Quin et collaborateurs (Université Thomas Jefferson aux États-Unis) visibles sur le site bioRxiv de pré-publication d’articles scientifiques (non encore évalués par les pairs) concernent les effets chez la souris des NPL seuls ou associés à des ARNm (ARNm-NPL). Ces travaux montrent que la pré-exposition des souris aux NPL ou ARNm-NPL affecte les réponses immunitaires innées et adaptatives. La pré-exposition aux ARNm-NPL a entraîné une inhibition à long terme des réponses immunitaires adaptatives des animaux. D'autre part, après une pré-exposition aux ARNm-NPL, la résistance des souris aux infections microbiennes hétérologues est modifiée. Les auteurs ont détecté une neutropénie (diminution du nombre de granulocytes neutrophiles) généralisée chez les souris exposées aux ARNm-NPL. De façon intéressante (et inquiétante), les souris pré-exposées aux ARNm-NPL ont été capables de transmettre les traits immunitaires acquis à leur progéniture. Ainsi, la plateforme vaccinale ARNm-NPL a induit des changements immunologiques à long terme qui peuvent affecter les réponses immunitaires adaptatives ainsi que la protection hétérologue contre les infections chez la souris, dont certaines peuvent être héritées par la progéniture. Il apparait ainsi que les NPL inflammatoires activent et « épuisent » le système immunitaire tant qu’elles restent dans l’organisme (de 20 à 30 jours).

    France Soir — Ces effets observés sont-ils susceptibles de s’appliquer à l’homme ?

    Jean-Marc Sabatier — Les effets indésirables observés chez la souris sont susceptibles de se retrouver chez d’autres mammifères, dont l’homme. Néanmoins, il ne s’agit ici que de données expérimentales préliminaires sur un modèle animal spécifique, ce qui mériterait des études plus approfondies. Il est regrettable — voire anormal — que de telles études ne soient pas encore disponibles et en accès public compte tenu de l’utilisation à grande échelle des NPL dans les vaccins à ARNm injectés chez les humains.

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  36. France Soir — D'ici à l'automne, les nouveaux vaccins contre le SARS-CoV-2 seront sur le marché. Fabriqués par les firmes Pfizer / BioNTech, pour deux d'entre eux, et par Moderna pour le troisième, tous ciblent le variant Omicron et ses sous-lignages. Deux nouveaux vaccins, l'un de la biotech Moderna, l'autre de l'entreprise pharmaceutique Pfizer / BioNTech, contiennent tous deux la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan à laquelle a été ajoutée la séquence ARN du variant BA.1. L'autre vaccin fabriqué par la firme Pfizer / BioNTech contient, lui aussi, la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan, à laquelle les chercheurs ont ajouté les séquences ARN de la protéine Spike des nouveaux sous-lignages BA.4 et BA.5.

    Que pensez-vous de l’idée d’assembler deux protéines Spike différentes alors que les multiples mutations observées sur le variant Omicron et le phénomène ADE (Antibody Dependent Enhancement traduit en français par facilitation par les anticorps) qui peut subvenir ultérieurement et se produire lorsqu’une personne est infectée par un autre sérotype viral pour lequel le phénomène ADE de facilitation par les anticorps existe, ce qui va favoriser l’infection, a été observé ? Cet assemblage n’est-il pas antinomique ?

    Jean-Marc Sabatier — Nos autorités sanitaires (Agence européenne du Médicament, et la Haute Autorité de Santé) viennent d’approuver les injections vaccinales avec les nouveaux vaccins anti-Covid-19 dits « bivalents », ainsi que leur couplage au vaccin contre la grippe. Il est notable que ces validations des autorités ne reposent — à ce jour — sur aucun essai clinique.

    Un vrai vaccin doit répondre à deux critères : l’efficacité et l’innocuité. En ce qui concerne l’efficacité, ces nouveaux pseudo-vaccins ne seront guère plus efficaces que les précédents, même avec l’ajout d’un ou deux ARN messager(s) codant pour les protéines Spike modifiées du variant Omicron (BA.1) et de ses sous-lignages BA.4, BA.5. Il est clair que les nouveaux vaccins à ARNm n’empêcheront ni l’infection, ni la transmission du SARS-CoV-2. Ces vaccins ne seront pas dénués d’effets secondaires, car les deux ou trois ARN messagers, injectés simultanément, devraient produire des protéines Spike toujours potentiellement capables de se fixer sur le récepteur ECA2 des cellules cibles, entraînant un dysfonctionnement du SRA et le déclenchement potentiel de maladies Covid-19. Les dangers associés aux nanoparticules lipidiques sont toujours présents dans ces nouveaux vaccins. En résumé, ces derniers ne vont rien apporter en termes de protection. Ces injections vaccinales supplémentaires ne feront qu’augmenter les risques de faire des formes plus graves de la maladie via les phénomènes de facilitation de l’infection ADE et ERD déjà décrits (en plus de la toxicité potentielle des nanoparticules lipidiques présentes dans les vaccins). La balance bénéfices-risques reste donc clairement défavorable avec les nouveaux vaccins toujours basés sur la protéine Spike virale. Idéalement, d’un point de vue sanitaire, il faudrait arrêter ces rappels pseudo-vaccinaux.

    https://www.francesoir.fr/opinions-entretien/jean-marc-sabatier-oxyde-graphene-vaccins-anomalies-sanguines-nanoparticules-lipidiques

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    1. (...) ENTRETIEN — Que savons-nous des troubles de la coagulation sanguine qui peuvent se retrouver chez les personnes infectées par le Covid-19, mais également chez une personne non-infectée après une ou plusieurs injections vaccinales ? (...)

      Le virus (poussière empoisonnée) n'est PAS dans l'air ! C'est TOUS LES JOURS que l'air est examiné dans le monde et, aucune poussière 'cocovide19, corona, Delta, Omicron ou Tango-Charlie' n'a été trouvée ! Si des personnes ne se sont pas faites inoculer le virus empoisonné et qu'elles l'ont malgré tout c'est que soit: les nano-particules d'oxyde de graphène ont été respirées dans les masques inutiles, soit qu'elles se sont fardées de gels hydroalcoolique, soit qu'elles se sont laissé fileter les fosses nasales avec des cotons (d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR') imprégnés qui les déposent là près du cerveau.

      (...) Quelles seraient les conséquences de la présence d’oxyde de graphène si la présence de ce matériau dans les vaccins à ARNm venait à être confirmée ? (...)

      Il se trouve qu'en Juillet 2021 les docteures Carrie Madej et Astrid Stückelberger ont examiné les flacons injectables. Leurs compositions révélaient la présence entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! soit 40 000 milliards par dose !! Il est donc impossible de dire le contraire.

      (...) Jean-Marc Sabatier — Personnellement, je pense que ces injections vaccinales provoquent des modifications plus ou moins durables dans la composition du sang des personnes « vaccinées ». (...)

      Jean-Marc Sabatier (Professeur et Directeur de recherche au CNRS en virologie) a t-il fait une sérologie avant et après injection ? NON ! Plusieurs examens du sang chaque semaine ? NON !

      Rappel: Il est formellement interdit de vacciner quiconque durant une épidémie ou pandémie.
      Il est obligatoire de faire une sérologie AVANT et APRÈS injection.

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  37. Le CDC sacrifie des enfants pour les grandes sociétés pharmaceutiques


    lundi 26 septembre 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Nouvelles naturelles) L'HISTOIRE EN UN COUP D'ŒIL

    Fin juin 2022, les États-Unis sont devenus le premier pays au monde à accorder une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour les jabs COVID de Pfizer et Moderna pour les tout-petits dès l'âge de 6 mois. La Food and Drug Administration a émis l'EUA le 17 juin et le lendemain, les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé à tous les tout-petits de se faire vacciner dès que possible.

    L'EUA pédiatrique était basée sur des preuves extrêmement faibles - et c'est après que la FDA a abaissé ses exigences d'efficacité pour la population pédiatrique, même s'ils ont le risque le plus faible de COVID et ont donc le moins besoin de vaccins

    Avec cette recommandation, la FDA et le CDC ont évaporé tous les derniers vestiges de confiance auxquels ils auraient pu s'accrocher. La raison pour laquelle ils ont autorisé les piqûres COVID pour les tout-petits est que l'industrie pharmaceutique a besoin que ce groupe d'âge soit inclus dans l'EUA à des fins d'indemnisation légale

    Une fois l'urgence passée, la prochaine phase de protection de la responsabilité exige que les vaccins reçoivent l'approbation du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC. Une fois que le vaccin COVID est inscrit au calendrier de vaccination des enfants, les fabricants de vaccins sont en permanence protégés de toute responsabilité pour les blessures et les décès survenant dans n'importe quel groupe d'âge, y compris les adultes.

    La FDA et le CDC ont vendu les enfants américains. Une fois qu'un nombre suffisant de personnes auront réalisé ce qu'elles ont fait, elles et l'ensemble du programme de vaccination infantile seront terminés, car personne ne fera confiance à aucun des vaccins prévus. Déjà, seuls 44 % des Américains croient ce que dit le CDC
    (Article du Dr Joseph Mercola republié de Articles.Mercola.com)

    « Pourquoi la ruée vers les vaccins pour les tout-petits ? » demande Allysia Finley, membre du comité de rédaction du Wall Street Journal, dans un éditorial du 4 juillet 20221. En effet, beaucoup posent la même question, et je suis heureux que le WSJ des médias traditionnels ait eu le courage de l'imprimer.

    Dans les derniers jours de juin 2022, les États-Unis sont devenus le premier pays au monde à accorder une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour les piqûres COVID de Pfizer et Moderna pour les tout-petits dès l'âge de 6 mois.

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  38. La Food and Drug Administration a émis l'EUA le 17 juin2 et dès le lendemain, les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé à tous les tout-petits de se faire vacciner dès que possible.3 Le président Biden l'a qualifié de « étape très historique, une étape monumentale vers l'avant. »4 Mais l'est-il ?

    "COVID était clairement une urgence sanitaire pour les adultes en 2020. En revanche, l'urgence semble maintenant politique", écrit Finley.5 "En fait, nous ne savons pas si les vaccins sont sûrs et efficaces. L'action précipitée de la FDA était basée sur des preuves extrêmement faibles.

    C'est une chose de faire preuve de souplesse réglementaire en cas d'urgence. Mais pour les enfants, le COVID n'est pas une urgence. La FDA a plié ses normes à un degré inhabituel et a écarté des preuves troublantes qui justifient une enquête plus approfondie.

    Une autre personne qui pense que l'EUA du COVID tourné pour les nourrissons fait partie du théâtre politique est Toby Rogers, Ph.D. Dans la vidéo ci-dessus, il discute du processus d'autorisation – qu'il a regardé en direct – avec l'animateur de "Against the Wind" Paul Thomas. Rogers révèle comment la FDA et le CDC "ont piétiné les normes scientifiques, ont bafoué les méthodes appropriées et abandonné la science". Il dit à Thomas :

    «Ce que vous attendez d'un processus comme celui-ci, c'est de la bonne science – avoir des conversations difficiles et passer au crible les preuves de signaux et de bruits afin de prendre de bonnes décisions au nom du pays. Ce que vous obtenez à la place, c'est de la politique - faire passer les produits sur toute la ligne, quoi qu'il arrive.

    COVID est sans conséquence pour les jeunes enfants

    Finley souligne que seuls 209 enfants âgés de 6 mois à 4 ans sont morts du COVID, selon les données du CDC.6 Elle utilise le mot « de », mais les preuves suggèrent que la plupart des enfants meurent « avec » le COVID et d'autres problèmes de santé graves. conditions telles que le cancer.7,8,9

    Cela dit, Finley note que les deux enfants de l'essai pédiatrique de Pfizer qui ont développé les infections les plus graves "ont également été testés positifs pour d'autres virus", donc "il est possible que de nombreuses hospitalisations attribuées au COVID cet hiver aient en fait été provoquées ou exacerbées par d'autres virus. ”

    Une autre statistique révélatrice est que le nombre de tout-petits hospitalisés pour COVID entre octobre 2020 et septembre 2021 représentait environ la moitié du nombre total de tout-petits hospitalisés pour la grippe l'hiver précédent.10 Ces données, encore une fois, proviennent du CDC, donc clairement, ils sont pleinement conscients de la façon dont le risque COVID se compare à d'autres infections courantes.

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  39. Les injections ne fonctionnent pas bien chez les jeunes enfants

    Finley poursuit ensuite en discutant de l'efficacité, notant que si les injections semblaient initialement offrir une protection solide aux adultes, on ne peut pas en dire autant des enfants. Le vaccin Moderna n'était efficace qu'à 51 % contre l'infection symptomatique à Omicron chez les enfants de 6 mois à 2 ans, et à seulement 37 % chez les enfants de 2 à 5 ans.

    C'est moins que ce que nous acceptons normalement pour les vaccins, ce qui rend l'autorisation encore plus irrationnelle. Pourquoi utiliser une injection aussi expérimentale avec une efficacité aussi médiocre chez les enfants qui ne courent pas un risque grave de décès par infection en premier lieu ? Pfizer, quant à lui, a affirmé que son injection était efficace à 80 %, « mais c'est trompeur », dit Finley, et poursuit en expliquant :

    « D'une part, Pfizer a enfreint de nombreuses conventions d'essais cliniques. Son protocole initial impliquait seulement deux doses, mais cela n'a pas réussi à générer les niveaux d'anticorps requis pour l'approbation de la FDA. Pfizer a donc ajouté une troisième dose, ce que la FDA a généreusement autorisé. Habituellement, l'agence ne laissera pas les fabricants de médicaments corriger leur trajectoire lorsqu'un essai se solde par un échec.

    Pfizer a ensuite prévu de suivre au moins 21 cas pour établir une mesure simple de l'efficacité. En comparaison, Moderna a suivi plus de 250 cas. Pourtant, Pfizer a tronqué sa collecte de données le 29 avril… même si seulement 10 cas avaient été enregistrés après la troisième dose.

    Il est difficile de ne pas conclure que Pfizer a pris des raccourcis pour éviter d'être battu par Moderna. Mais en conséquence, trop peu de cas ont été documentés pour mesurer avec un quelconque degré de confiance l'efficacité du vaccin de Pfizer...

    Plus troublant, les tout-petits vaccinés dans l'essai de Pfizer étaient plus susceptibles de tomber gravement malades avec COVID que ceux qui ont reçu un placebo. Pfizer a affirmé que les cas les plus graves n'étaient pas «cliniquement significatifs», quoi que cela signifie, mais c'était une raison de plus pour que la FDA aurait dû exiger un suivi plus long avant d'autoriser le vaccin.

    Aussi inquiétant : la plupart des enfants qui ont développé plusieurs infections au cours de l'essai ont été vaccinés. Cela justifiait une enquête plus approfondie, car les vaccins expérimentaux pour d'autres maladies augmentent parfois la sensibilité à l'infection.

    Les scientifiques découvrent également que les adultes triplement vaccinés qui ont été précédemment infectés par la variante de Wuhan ont une réponse immunitaire plus faible à Omicron, ce qui les rend plus sensibles à la réinfection. Ce phénomène, appelé « empreinte immunologique », pourrait expliquer pourquoi les enfants qui ont reçu trois injections de Pfizer étaient plus susceptibles d'être réinfectés.

    Le CDC et la FDA jettent imprudemment la prudence au vent

    Fondamentalement, le CDC et la FDA parient que donner le coup COVID n'atténuera pas les réponses immunitaires des tout-petits à d'autres infections, que ce soit une variante du SRAS-CoV-2 ou autre chose. C'est imprudent à l'extrême, vu que le système immunitaire des jeunes enfants est encore immature et fait face quotidiennement à d'innombrables ennemis potentiels.

    Cette "formation" continue que subit le système immunitaire au cours des premières années de la vie d'un enfant est ce qui lui permet de développer un système immunitaire qui fonctionne bien au fil du temps. L'empreinte immunologique pourrait jeter un énorme coup dur dans les travaux, rendant les enfants moins capables de combattre les infections.

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  40. Les jeunes enfants sont exceptionnellement « résistants » et peuvent se remettre de la plupart des infections. Cependant, c'est à condition que quelque chose n'ait pas été fait qui empêche leur système immunitaire de fonctionner normalement. Bien sûr, nous savons également que les injections sont associées à des effets encore plus graves, notamment une inflammation cardiaque, des troubles neurologiques et le cancer.

    «La norme de la FDA pour l'approbation des vaccins chez les personnes par ailleurs en bonne santé, en particulier les enfants, est censée être plus élevée que pour les médicaments qui traitent les malades. Mais la FDA a visiblement abaissé ses normes pour approuver les vaccins COVID pour les tout-petits. Pourquoi ?" Finley demande.11 Pourquoi en effet ? A quoi pensent-ils ?

    Malheureusement, ils ne pensent probablement pas du tout à la santé des enfants, mais plutôt aux bénéfices de Big Pharma. L'autorisation EUA de la piqûre COVID pour les tout-petits élimine toutes les questions quant à savoir si la FDA et le CDC sont capturés par l'industrie pharmaceutique ou non. Elles sont.

    C'est maintenant au-delà de la clarté, et les conséquences de cette capture flagrante sont susceptibles d'être considérables. Cela pourrait même détruire le programme de vaccination des enfants dans son ensemble, car les parents comprennent maintenant que ces agences sont profondément corrompues et fonctionnent essentiellement comme des agences de promotion secrètes pour Big Pharma.

    Read more at: Articles.Mercola.com

    https://www.naturalnews.com/2022-09-26-cdc-is-sacrificing-kids-for-big-pharma.html

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  41. Stratégie du choc et ingénierie de la soumission : vers un « blackout » programmé au service du Reset ? Vincent Held


    SEPTEMBRE 25, 2022
    PAR LHK


    C’est comme on le sait à l’auteur canadien Naomi Klein que l’on doit la notion de « stratégie du choc », à laquelle elle a consacré un livre éponyme paru en 2007. Pour expliciter cette notion de « stratégie du choc », Naomi Klein commence par décrire la méthodologie des célèbres expériences de « contrôle mental » que la CIA avait élaborées à partir des années 1950 :

    « La torture, ou « l’interrogatoire coercitif » comme on l’appelle à la CIA, est un ensemble de techniques conçues pour plonger les prisonniers dans un état de choc et de désorientation grave et les forcer à faire des concessions contre leur gré. La logique de la méthode est exposée dans deux manuels de l’agence qui ont été déclassifiés à la fin des années 1990. On y explique que la façon de vaincre les résistances des « récalcitrants » consiste à provoquer une fracture violente entre le prisonnier et sa capacité à comprendre le monde qui l’entoure.«

    L’essentiel étant de faire en sorte que le prisonnier prenne « peur au point de perdre toute capacité à penser de façon rationnelle et à protéger [se]s intérêts ». Plongé dans un état « d’apathie » et de « paralysie psychologique », la personne concernée devient alors « une page blanche ouverte à toutes les suggestions ». C’est « le point de frappe idéal pour le bourreau, [le moment] où le sujet est le plus susceptible de coopérer ».

    Pour Naomi Klein, des techniques de « fabrication du consentement » basées sur cette approche n’ont depuis lors cessé d’être appliquées à grande échelle à des populations entières, aux quatre coins du monde. Les séances d’électrochocs infligées aux cobayes involontaires de la CIA deviennent ainsi une allégorie de la manière dont les maîtres du jeu politique imposent leurs choix à des populations entières, en exploitant délibérément des situations traumatisantes. Comme lors des attentats du 11 septembre :

    « Les attentats terroristes […] provoquèrent un choc différent de ceux qu’on imaginait dans les pages du manuel [d’interrogatoire de la CIA], mais leurs effets furent remarquablement similaires : profonde confusion, peur et angoisse extrêmes, régression collective. À l’image d’un interrogateur qui s’érige en « figure paternelle », l’administration Bush ne tarda pas à exploiter cette peur pour camper le rôle du parent protecteur, prêt à défendre par tous les moyens « la patrie » et ses « enfants » vulnérables. »

    Dans idéal, il faudra que le « choc psychologique » et « la peur » qui paralysent la volonté des populations et les renvoie à l’état « d’enfants dépendants » s’accompagnent de mesures « d’isolement » physique et social :

    « La privation de stimuli provoque une régression en empêchant le sujet d’avoir des contacts avec le monde extérieur, ce qui l’oblige à se replier sur lui-même. En même temps, la présence de stimuli bien dosés pendant l’interrogatoire fait en sorte que le sujet en régression tend à voir en l’interrogateur une figure paternelle. »

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  42. Il nous faut ici remarquer que cette « privation de stimuli » qui mène à la « régression » psychologique du sujet n’est pas sans évoquer l’effet des « mesures de confinement » (ou « lockdowns ») qui ont été imposées à des millions d’individus de par le monde ces deux dernières années.

    « A l’origine, au XIXème siècle, le terme « lock-down » désignait […] une cheville utilisée pour tenir ensemble les poutres d’un radeau […] Ce n’est que dans les années 1970 que le terme « lockdown » a commencé à être utilisé pour signifier un état de confinement prolongé dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques. » (The Guardian, « Les significations changeantes du terme lockdown », avril 2020)

    De fait, ces véritables mesures d’incarcération à domicile auront eu pour principal effet observable d’empêcher les personnes concernées « d’avoir des contacts avec le monde extérieur » – et ce parfois de nombreuses semaines durant (comme en France en 2020)… Couplées à la désorientation causée par la peur d’une épidémie aussi redoutable (en apparence) que mystérieuse (modes de transmission inconnus), cet isolement et cette claustration arbitrairement imposés ont ainsi causé des dégâts psychologiques fort bien documentés…

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    En novembre 2020, le ministre de la Santé français constatait une explosion des « syndromes dépressifs » et autres « états anxieux » parmi ses administrés. Une évolution causée en particulier, d’après ses propres dires, par « le confinement ». Or c’est bien lui qui avait présidé audit confinement (long de 7 semaines !) quelques mois auparavant…

    En résumé : c’est en apeurant et brutalisant les populations – puis en adoptant une attitude protectrice, qu’on les convainc de « coopérer » à des politiques qui vont directement à l’encontre de leurs propres intérêts – et même de leur simple bien-être physique et mental. En leur offrant ponctuellement des marques de compréhension – voire même de compassion – ainsi qu’une porte de sortie de crise (p.ex. un miraculeux vaccin « qui va permettre d’éviter un nouveau confinement »), la figure tutélaire qui préside aux sévices se transforme comme par enchantement en une « figure paternelle ». Si tout le monde « joue le jeu » tout se passera bien, nous prendrons bien soin de vous. Dans le cas contraire, on peut tout aussi bien retourner à la case torture. A vous de voir…

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    Les manuels d’interrogatoire de la CIA nous fournissent ainsi une clé de compréhension décoiffante pour expliquer le but véritable des « confinements sanitaires » qui auront été mis en œuvre avec tant de zèle sur tous les continents. Il est ainsi parfaitement envisageable que ces quarantaines généralisées, souvent imposées avec une brutalité impitoyable, aient en réalité participé d’une véritable ingénierie de la soumission. Les personnes traumatisées (à des degrés divers) par les rigueurs du « lockdown » se trouvant dès lors plus vulnérables aux « suggestions » du pouvoir politique, en particulier en matière vaccinale.

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  43. Mais comment revenir à la case « confinement », alors même que les tout nouveaux vaccins « omicron » seront prêts pour l’automne et qu’ils seront bien évidemment présentés comme efficaces (quoique sans avoir jamais été testés sur des humains) ? Quel « choc » suffisamment brutal pourrait-on alors bien administrer à un public qui manifestement se montre de plus en plus récalcitrant, afin de le convaincre de tendre à nouveau le bras pour une énième piqûre salvatrice ? D’autant plus que l’objectif affiché est aujourd’hui de passer à deux injections au cours de la saison froide !

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    L’enthousiasme de la population pour les piqûres semble connaître un petit coup de mou. Il est vrai que « le virus » s’avère moins létal qu’escompté. Et que la fréquence – et la sévérité – des « effets secondaires » liés aux injections précédentes commencent à être relativement bien connues…

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    En Allemagne, seules les personnes vaccinées au cours des trois derniers mois pourront désormais être considérées comme étant parfaitement « à jour » (frisch geimpft) en termes de statut vaccinal. Il s’agira donc de se faire vacciner deux fois au cours de la saison automne-hiver. Les critiques parlent de « vaccination-en-continu » (Dauerimpfen).

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    « Les ‘boosters’ [doses de rappel] sont recommandés au plus tard six mois après la vaccination complète – et le certificat covid demeurera valide pour un délai supplémentaire de trois mois après cela. » (Ursula von der Leyen, 16 décembre 2021)

    Face à ces ambitions vaccinales sans cesse croissantes, la solution qui permettra de « vaincre les résistances des récalcitrants » (elles aussi croissantes) pourrait bien venir d’un événement dont on tend à fortement sous-estimer la violence pour les populations appelées à le subir…

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    L’hypothèse du blackout se précise

    Dans un article intitulé « Un blackout coûterait de nombreuses vies », la Frankfurter Allgemeine Zeitung se penchait récemment sur le « scénario de crise » d’une petite région rurale du Sud de l’Allemagne, le district de Rheingau-Taunus. Prenant au sérieux un récent audit commandé par les autorités locales à des spécialistes de la sécurité énergétique, le quotidien de référence allemand nous détaillait les désagréments que causerait dans cette région « une panne de courant complète » :

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  44. « Que faire si les stations-service ne fournissent plus de carburant faute d’électricité, si les réseaux de téléphonie et de téléphonie mobile tombent en panne, si les groupes électrogènes de secours se vident faute de diesel et si les chauffages tombent en panne sur tout le territoire ? […] À peine deux heures après le début de la coupure, de nombreux systèmes d’incendie et d’alarme ne fonctionneront plus et le réseau mobile sera en panne. Après huit heures, la radio numérique des services d’urgence sera également hors service. Au plus tard lorsqu’après 24 heures, les premières stations d’épuration du district cesseront également de fonctionner. […]

    Des coupures de courant de courte durée, par exemple dans le cadre d’un rationnement, sont supportables. Mais un véritable blackout aurait des conséquences auxquelles le district ne pourrait que difficilement se préparer. Ce sera alors une autre vie, difficilement imaginable aujourd’hui. »

    L’analyse prédisant en outre « plus de 400 morts dans les 96 premières heures » de la panne, dont 300 patients d’hôpitaux et 140 « autres décès ». Or, on parle bien ici d’un territoire minuscule (de la superficie d’un petit canton suisse), et peuplé de moins de 200’000 habitants !

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    Parmi les facteurs qui contribuent à l’engorgement des hôpitaux au cours d’un blackout prolongé, l’on compte : les incendies (p.ex. liés à l’usage de réchauds de secours, bougies et autres matériels inflammables), les accidents (notamment de circulation – il n’y a plus de signalisation) et autres hypothermies (liée à l’arrêt du chauffage – et pas seulement des chauffages électriques !). Des phénomènes qui, conjugués à la baisse (éventuellement drastique) de la capacité de prise en charge hospitalière, ne peuvent que contribuer à accentuer le coût humain de ce qui, a priori, pourrait passer pour une bête panne d’éclairage et de réfrigérateur.

    On peut également se demander ce qu’il pourrait advenir dès la première nuit de coupure dans des villes déjà modérément sûres en temps normal telles que Paris, Londres, Berlin… Dans son célèbre « discours de Harvard » de 1976, Soljénitsyne relevait déjà la situation quelque peu bancale des États-Unis à cet égard :

    « Le centre de votre démocratie et de votre culture est-il privé de courant pendant quelques heures, voilà que soudainement des foules de citoyens américains s’y livrent au pillage et au grabuge. »

    Or il apparaît qu’aujourd’hui, même en Suisse :

    « Il faut se préparer à des scénarios extrêmes, prévient le directeur général de la police Fredy Fässler. En cas de coupure du réseau, il est ’envisageable que la population se rebelle ou qu’il y ait des pillages’. » (Interview du président de la Conférence des directeurs cantonaux de justice au quotidien au quotidien Blick, 20.08.22)

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    Gageons alors qu’en cas de panne d’électricité de plusieurs jours, les habitants de bien des grandes villes européennes n’oseraient plus même mettre le nez dehors, indépendamment des éventuelles coupures d’eau courante et des problématiques de chauffage (et de cuisson) auxquelles ils pourraient dès lors se retrouver très rapidement confrontés…

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  45. Quoiqu’il en soit, le « choc psychologique » lié à un blackout prolongé serait assurément considérable. L’engorgement des hôpitaux, en particulier, permettrait de justifier aisément (et sans doute avec l’assentiment de vastes pans de la population « en état de choc ») de nouveaux « durcissements des mesures » en matière de « lutte contre le covid ». Dans ce contexte, le « traçage numérique complet » de la population déjà acté en Suisse par exemple (et qui permettrait de détecter sans l’accord des intéressés les « contacts avec des personnes infectées »), ainsi que la surveillance automatisée du « respect des gestes barrières » dans les lieux publics (gares, trains, supermarchés…), pourraient subitement devenir acceptables pour nombre de citoyens désorientés.

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    Outre d’éventuelles restrictions dans l’accès à l’argent liquide (réputé vecteur de microbes), de nouvelles contraintes pourraient être appliquées en particulier aux non-vaccinés, p.ex. en termes d’accès aux stations-service (comme ce fut le cas en Slovénie à l’automne 2021), voire même de prélèvements fiscaux.

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    On notera par ailleurs que le récent appel à la « responsabilité citoyenne » d’Emmanuel Macron en matière de consommation d’énergie (assorti de la menace d’user de « contrainte » si les efforts consentis devaient être jugés insuffisants) pourrait subitement s’imposer comme une évidence. Et ce, indépendamment du caractère quelque peu infantilisant de cette approche supposément basée sur « la solidarité ».

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    Les appels d’Olivier Véran (encore lui !) à consentir un « effort citoyen » basé sur « de petits gestes » à réaliser « au quotidien » s’apparente fortement à une technique de manipulation bien connue des psychologues sociaux (et en outre très utilisée en marketing) : celle dite du « pied dans la porte ». On notera également qu’il n’est pas question ici d’encourager le public à réduire ses factures d’électricité (ce qui pourrait bien être la motivation réelle de nombre d’auditeurs), mais bien de soutenir la collectivité en faisant quelque chose de « bon pour nos réserves [énergétiques] » et de « bon pour la planète » (ce qui renvoie aux notions de « requête socialement valorisante » et « d’attribution d’une étiquette d’altruisme », cf. ci-dessous).

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    Dans son ouvrage de référence sur les techniques de manipulation, le Prof. Guéguen présente la technique du « pied-dans-la-porte », les « requêtes socialement valorisantes » et « l’attribution d’une étiquette d’altruisme » comme autant de méthodes visant à obtenir « la soumission librement consentie » d’une partie de la population-cible qui, en l’espèce, sera dès lors « engagée » en faveur de la logique de rationnement esquissée par le gouvernement. Le fait d’insister sur le caractère volontaire de la démarche et de montrer que l’on se satisfera de toute contribution (« Il n’y a pas de petit geste. Chaque énergie [sic] économisée aujourd’hui, c’est une énergie dont nous serons sûrs de pouvoir disposer à l’automne et l’hiver prochains […] ces gestes du quotidien ont un très fort impact ») participant quant à eux de ce que l’auteur appelle « la soumission par induction sémantique » (cf. en particulier la technique du « Même un sou nous suffira »). Il apparaît donc qu’Olivier Véran applique ici des techniques standard de manipulation prévues pour « impliquer » le public et l’engager dans un « engrenage ». Une approche qui, en l’occurrence, pourrait bien préparer le terrain pour la phase plus « coercitive » de l’exercice déjà évoquée par le président français…

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  46. Face « à la pénurie de gaz » qu’il anticipe pour l’hiver, le gouvernement suisse aura pour sa part d’ores et déjà officiellement annoncé une limite de chauffage à 19 degrés le cas échéant. Un chiffre a priori peu inquiétant, mais qui pourra toutefois très certainement être revu à la baisse en fonction des conditions météorologiques.

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    En Suisse, des coupures de courant forcées et ciblant spécifiquement « certains utilisateurs » ont déjà été pratiquées des mois durant par la société Romande Énergie « en vue d’atténuer les pics de consommation ». Sans que cela pose de problème juridique, manifestement. Et si l’on coupait purement et simplement le jus (pour quelques heures, par exemple) aux clients qui consomment trop ?

    Même des mesures aussi invasives que les « délestages » – soit des coupures de courant planifiées de plusieurs heures d’affilée – d’ores et déjà annoncées en Suisse ainsi qu’en France (cf. ci-dessous), ne manqueraient dès lors pas d’être accueillies de bonne grâce par bien des gens. Du moment qu’il s’agit d’éviter le blackout et son cortège de misères…

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    Se pourrait-il alors que les « confinements énergétiques » prennent le relais des « confinements sanitaires » ? On notera que cette hypothèse, qui n’était qu’une « rumeur de web » jusqu’à il y a peu, semble aujourd’hui en voie d’être adoptée par les médias officiels !

    Enfin, un tel événement pourrait également représenter l’opportunité rêvée (les banques étant fermées et les bancomats hors-service) de procéder à des confiscations de l’épargne similaires à celles déjà réalisées à Chypre en 2013 (et qui auront été débattues dans le cas de la Grèce en 2015). Une mesure d’expropriation parfaitement légale donc, et dont France Stratégie nous expliquait il y a quelques années de cela qu’elle représenterait « la solution la plus évidente » au problème de la dette européenne…[1]

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    Une « pandémie de cyberattaques » comme catalyseur de la nouvelle normalité énergétique ?

    « Il se peut que la Russie soit en train de planifier une cyberattaque contre nous. Et comme je l’ai dit, les capacités de la Russie en matière de cyberguerre sont tout-à-fait conséquentes – et ça va arriver. » (Joe Biden, 22/05/2022)

    Il est impressionnant de constater à quel point les préoccupations du président américain rejoignent aujourd’hui celles du président du World Economic Forum, qui s’intéresse tant depuis plusieurs années au danger « effrayant » que représenterait pour nos sociétés « une pandémie de cyberattaques » :

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    « Nous avons prêté une attention insuffisante au scénario effrayant d’une cyberattaque d’envergure, qui provoquerait l’arrêt complet des approvisionnements énergétiques, des transports, des services hospitaliers – de notre société tout entière ! L’épidémie de covid passerait pour une perturbation mineure en comparaison d’une cyberattaque d’envergure. » (Extrait de l’allocution de Klaus Schwab à l’occasion de l’événement « Cyberpolygon 2020 », le 8 juillet 2020)

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  47. Une sombre prophétie qui, aujourd’hui, semble justement à deux doigts de se concrétiser par le truchement de la confrontation avec la Russie dans l’affaire ukrainienne…

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    Les menaces transparentes du président du Conseil de sécurité russe de recourir à des cyberattaques pour mettre hors ligne les centrales nucléaires européennes s’insèrent parfaitement dans le « scénario effrayant » dépeint par Klaus Schwab en juillet 2020.

    Il n’est à cet égard pas anodin de constater que les exercices Cyberpolygon sont organisés par Sber Bank (le n°1 bancaire russe) et que les autorités du pays y sont également activement impliquées (le premier ministre Mikhail Mishushtin ayant notoirement participé à l’événement « Cyberpolygon 2021 », en compagnie de nombreux autres officiels russes – et de Klaus Schwab, bien évidemment). Or, si le « Cyberpolygon » vise à « renforcer la cybersécurité », il n’en inclut pas moins l’organisation de « cyberattaques à grande échelle » :

    « Le 9 juillet 2021, le Forum économique mondial et ses partenaires ont simulé une cyberattaque mondiale. L’exercice de formation, organisé pour la troisième fois cette année, impliquait une simulation de cyberattaque à grande échelle sur la chaîne d’approvisionnement d’une entreprise et la réponse en temps réel à celle-ci, le scénario étant qualifié de cyberpandémie. » (Extrait d’une question posé par le député de l’AfD Christine Anderson à la Commission européenne le 20.10.2021)

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    Un état de fait confirmé non seulement par le commissaire européen Thierry Breton dans sa réponse à l’interpellation de Christine Anderson que nous venons de citer – ainsi que par le quotidien autrichien Die Presse, mais encore par le World Economic Forum lui-même sur une page (désormais supprimée de son site, mais toujours visible dans les archives du web) consacrée à l’exercice « Cyberpolygon 2020 » :

    « Même les entreprises dont la cybersécurité repose sur des technologies de pointe ne sont pas à l’abri des cyberattaques. Dans de tels cas, les équipes d’intervention doivent être prêtes à réagir rapidement et efficacement. […] Cette année à Cyber Polygon, notre objectif est de simuler des situations très réalistes permettant à nos participants de traverser une crise sans dommage et de discuter avec des leaders mondiaux de la manière de prévenir et de gérer de telles situations dans la réalité. »

    En tout état de cause, force est de constater que le « scénario effrayant » auquel le Prof. Schwab consacre tant de soins – avec les coupures d’électricité prolongées et autres interruptions de services critiques qu’il comporte – se prêterait particulièrement bien au déploiement d’une « stratégie du choc » au sens où l’entend Naomi Klein. Le « traumatisme » général causé par la violence de l’événement permettant, le cas échéant, de projeter des populations entières dans un univers de surveillance, de pénuries, de rationnements et de taxation « éco-citoyenne » à la tête du client, auxquels il s’agirait dès lors de se soumettre sans faire de vagues. Entre deux piqûres, cela va de soi.

    Vincent Held

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  48. BONUS VIDÉO – BANQUES CENTRALES, CYBERATTAQUES & MONNAIES NUMÉRIQUES

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    Comme l’aura relevé le très fin Éric Verhaeghe, les banques centrales pourraient également mettre à profit un scénario de « cyberattaques » pour introduire leurs fameuses « monnaies numériques » (on notera à toutes fins utiles que la Banque de Russie participe activement aux exercices Cyberpolygon, avec comme objectif assumé d’introduire un rouble numérique intégralement traçable). Il est également de fait que la BCE présente son « euro numérique » comme « une solution de secours pour les paiements électroniques qui peut continuer de fonctionner même quand les services [bancaires] ne sont plus disponibles », en particulier du fait de « risques de cybersécurité »…[2]

    [1] « Comment assurer la résorption des dettes publiques en zone euro ? », France Stratégie, Note d’analyse d’octobre 2017

    [2] « Report on a digital euro », European Central Bank, October 2020

    https://lilianeheldkhawam.com/2022/09/25/strategie-du-choc-et-ingenierie-de-la-soumission-vers-un-blackout-programme-au-service-du-reset/

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    Réponses
    1. L'emprisonnement chez soi peut porter les victimes à plus d'indépendance, de ne regarder que des films à la télé sans s'arrêter aux 'infos' et à ne plus tolérer les débilités gouvernementales.
      Je crois que ceux qui sont en prison finissent très vite par ne voir que le centre pénitentiaire avec ses règles suivies ou non et se foutent de ce qui peut se passer hors des murs. La vie change d'endroit. Il n'y a plus de salaire mais des heures de repas fixes apportés et des heures de couché réglées par coupure d'éclairage.
      Maintenant, question éducation... oubliez çà ! Y a pas et à la sortie le voleur devient meurtrier. C'est comme çà et c'est réglé d'avance. La taule c'est fait pour çà.

      Il y a des jours où certains doivent regretter de ne pas être un chien.

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  49. L’utopie hydrogène, de Samuel Furfari


    Francis Richard
    Resp. Ressources humaines
    le 23.09.2022


    Ignorer les fondements de la chimie entraîne les gens dans l'utopie hydrogène, à leur faire croire que l'on invente de nouveaux procédés.

    Au premier rang des utopistes de l'époque figurent les écologistes et ceux qui les écoutent, tels que les gouvernants de l'UE.

    STOCKER L'ÉLECTRICITÉ

    Le problème avec l'électricité est qu'une fois produite, elle doit être immédiatement consommée.

    Sous l'influence des Verts allemands, produire une électricité verte ne pourrait se faire que par les éoliennes et les panneaux photovoltaïques. Or ces énergies dites renouvelables, produites par le vent et le soleil, sont intermittentes.

    Transformer en hydrogène l'électricité produite, non consommée tout de suite, serait théoriquement le moyen de la stocker. Il suffirait par électrolyse de l'eau de produire de l'hydrogène, puis de la recycler à la demande en produisant de l'électricité et du méthane.

    L'HYDROGÈNE POUR STOCKER L'ÉLECTRICITÉ

    Il y a un siècle, en 1923, cette solution avait été proposée pour une application à longue échéance (quatre cents ans) par le généticien et biologiste John Haldane.

    Lors des crises pétrolières des années 1970, cette solution avait été envisagée, sans suite, pour remplacer le pétrole, y compris dans le secteur domestique.

    Cette solution a même été étudiée en 1990 pour faire du Québec le grand producteur d'hydrogène à destination de l'UE en raison de son énorme richesse hydroélectrique.

    Aux États-Unis, dans les années 2000, cette solution a là aussi fait long feu après que les présidents successifs s'y sont intéressés.

    CARACTÉRISTIQUES DE L'HYDROGÈNE

    En théorie l'hydrogène est la panacée: il est abondant dans l'univers et possède une très grande densité d'énergie, mais sa densité volumique est très faible.

    De plus pour le stocker et le transporter, il faut soit le liquéfier à une température de - 252,7°C, soit le comprimer sous haute pression (200 à 700 bars). Et c'est une molécule dangereuse:

    L'hydrogène pur est dangereux au même degré que la dynamite.

    L'hydrogène est une molécule compliquée mais très utile pour obtenir, par exemple, quand elle est combinée:

    - avec l'oxygène: de l'eau;

    - avec le carbone: des hydrocarbures (qui, grâce à l'hydrogène, peuvent être exempts de soufre);

    - avec l'azote: de l'ammoniac (nécessaire pour la fabrication d'engrais qui permettent de relever le défi de la faim dans le monde);

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  50. - avec le chlore et le fluor: des acides forts;

    - avec le carbone et l'oxygène: des carbohydrates.

    Seulement, n'existant pas à l'état naturel, il faut le produire...

    L'HYDROGÈNE PRODUIT INDUSTRIEL

    Pour obtenir de l'hydrogène, on peut soit chauffer du charbon avec l'air (gaz de l'air), soit avec de la vapeur d'eau (gaz de l'eau), soit avec de la vapeur d'eau en présence d'un catalyseur (gaz de synthèse).

    Un autre mode de production est l'électrolyse, mais, en raison de son coût élevé, il n'est intéressant que pour produire de l'hydrogène ultra pur destiné à des usages particuliers.

    La production d'hydrogène à partir du bois (biomasse) ne se fait que dans un rayon limité depuis son lieu de production parce qu'il est lourd et a un faible pouvoir énergétique.

    Aussi la production d'hydrogène la plus importante est-elle obtenue par "le vaporeformage du méthane", car il est l'hydrocarbure qui contient le plus haut rapport atomique hydrogène:carbone.

    Le rapport énergétique entre l'électrolyse de l'eau liquide et le vaporeformage du méthane est de 6,9, ce qui explique que ce dernier est le moyen de production [de l'hydrogène] largement dominant dans le monde.

    Pour le moment, la dissociation de l'eau en hydrogène et oxygène, nécessitant de hautes températures, n'est pas possible avec les réacteurs nucléaires commercialisés.

    L'HYDROGÈNE POUR PRODUIRE DE L'ÉLECTRICITÉ

    Le rendement global du processus, à partir de l'électricité produite par énergie éolienne ou solaire, n'est que de 28 %:

    - le rendement de l'électrolyse est de 80 %;

    - celui de la compression-transport-stockage de l'hydrogène de 70 %;

    - celui de la pile à combustible (réaction électrochimique en présence d'un catalyseur avec introduction d'hydrogène d'un côté et d'air de l'autre) de 50%.

    Qui va investir dans ces machines onéreuses avec un rendement inférieur à 30 %? Qui va investir dans des électrolyseurs pour alimenter des piles à combustible qui ne vont fonctionner que quelques heures par jour, voire par an ?

    L'HYDROGÈNE ET LA MOBILITÉ

    L'hydrogène n'est pas la solution pour les véhicules, quels qu'ils soient:

    - comme les piles à combustible stationnaires, de tels véhicules sont chers;

    - le stockage de l'hydrogène à bord est problématique: il doit être fortement comprimé, d'où l'emploi de beaucoup d'énergie, et, comme il est fugace, pour éviter des risques d'explosion, de grandes précautions doivent être prises: elles sont maîtrisées au plan industriel, mais elles le seraient plus difficilement par des particuliers.

    De toute façon, se pose le problème de la distribution de l'hydrogène, d'autant que l'autonomie d'une automobile par exemple est limitée puisqu'un réservoir de 60 litres d'hydrogène possède une énergie équivalente à 13 litres d'essence...

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  51. Enfin si le rendement, depuis la production d'électricité jusqu'à la puissance disponible à la sortie du moteur électrique, est de 69% pour une voiture électrique à batterie, il n'est que de 26% pour une voiture à hydrogène.

    CONCLUSION

    La transition énergétique promise n'aura pas lieu. Mais ce n'est pas grave:

    On ne répétera jamais assez que nous avons toutes les énergies fossiles (et en particulier le gaz naturel) et l'uranium que l'on veut dans le monde, pour ce siècle et le suivant.

    L'hydrogène a son rôle à jouer, dans la chimie. Mais il est aberrant de vouloir en faire le carburant de nos moteurs... pour éviter de consommer - par pudibonderie écologiste, mais aussi hypocritement - le gaz naturel qui sert justement à le produire...

    Francis Richard

    L'utopie hydrogène, Samuel Furfari, 194 pages, Amazon

    https://lesobservateurs.ch/2022/09/23/lutopie-hydrogene-de-samuel-furfari/

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  52. Clarté surprenante sur la liberté d'expression


    dimanche 25 septembre 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Nouvelles naturelles) Vous ne pouvez pas parler, car vous êtes une personne du type et de la catégorie dont la parole n'est pas permise. Et c'est un échec d'entreprise si vous arrivez à dire quelque chose.

    (Article de Chris Bay republié de ChrisBay.Substack.com)

    Jay Bhattacharya attire l'attention sur cet échange important cette semaine entre le sénateur Josh Hawley et le dirigeant de Facebook Chris Cox :

    Le sénateur @HawleyMO grille le directeur de Facebook et lui fait admettre qu'ils se sont coordonnés avec l'administration Biden pour censurer les discours protégés par la Constitution pic.twitter.com/fKluq9z7FG

    — Le Columbia Bugle ?? (@ColumbiaBugle) 15 septembre 2022

    Alors oui : les représentants du gouvernement ont indiqué aux entreprises de médias sociaux quel contenu supprimer de leurs plateformes, et les entreprises de médias sociaux ont fait ce que les représentants du gouvernement leur ont dit de faire. Et ils se sentent tous très bien de le faire.

    Mais il est extrêmement important de remarquer ce qui s'est passé tout autour de cet échange. PBS fournit une vidéo de l'intégralité de l'audience, et elle s'ouvre avec le président de la commission sénatoriale de la sécurité intérieure et des affaires gouvernementales exigeant que les entreprises de médias sociaux fassent plus pour supprimer «les contenus extrémistes, dangereux et radicalisants».

    "Ce contenu nuit considérablement à notre société et attise la violence dans le monde réel."

    Les reportages sur cette audience disent avec approbation que les sénateurs ont poursuivi les dirigeants des médias sociaux avec des questions difficiles sur la façon dont ils permettent aux gens de dire des choses sans les faire s'arrêter :

    Notamment, le président et sénateur Gary Peters du Michigan a apporté les reçus - il a commencé la partie "cadres actuels" de l'audience avec des exemples récents de "Boogaloo Bois" et de la capacité d'autres groupes extrémistes à contourner Facebook, YouTube, TikTok et le contenu de Twitter -pratiques de modération. Les organisations qu'il a présentées avaient des milliers de vues, d'adeptes et d'impressions liées à des groupes extrémistes, dont certains ont potentiellement joué un rôle dans l'insurrection du 6 janvier 2021. Alors que le comité restreint du 6 janvier effectue l'essentiel du travail d'enquête, Peters a précédemment allégué que les plateformes avaient joué un rôle dans la facilitation de la violence ce jour-là.

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  53. Peters a souligné que chaque entreprise sait que l'engagement est une mesure clé pour garder les gens sur la plate-forme. Il a défié Chris Cox, directeur des produits de Facebook, avec les propres mots de Mark Zuckerberg : En 2018, le PDG a déclaré : « Si rien n'est fait, les gens s'engageront de manière disproportionnée avec un contenu plus sensationnaliste et provocateur.

    "Ce contenu [sensationnaliste et provocateur] est en fait bon pour votre entreprise!" Peters a fait remarquer. "N'est-ce pas inévitable", a ajouté Peters, "que plus de gens s'engageront avec du contenu provocateur?"

    Les entreprises privées permettent aux gens de lire et d'écrire du contenu provocateur. Pourquoi ne l'arrêtent-ils pas ?

    Josh Hawley a donc demandé à un responsable des médias sociaux si les entreprises de médias sociaux supprimaient du contenu parce que le gouvernement le leur demandait, et il a eu cet échange au milieu d'une longue discussion au cours de laquelle des responsables gouvernementaux ont dit aux responsables des médias sociaux quel contenu ils trouvaient répréhensible et souhaitaient supprimer. à partir des plateformes de médias sociaux. Gary Peters a fait valoir le point de vue de Josh Hawley et l'a fait avec la plus grande clarté possible.

    L'absence frustrante dans l'échange entre Hawley et Cox concerne la présomption dans la catégorie de la "désinformation". Cox reconnaît que Facebook a supprimé la désinformation sur Covid-19 en coordination avec le gouvernement, mais aucune discussion ne suit sur la fréquence à laquelle ils ont correctement catégorisé. Chaque élément de « désinformation » supprimé de Facebook a-t-il été réellement de la désinformation, ou une partie s'est-elle avérée être de l'information ? Est-il exact de dire que chaque affirmation retirée des médias sociaux en tant que désinformation était manifestement incorrecte ?

    Si vous avez été expulsé de Facebook en 2021 pour avoir déclaré que les injections d'ARNm n'empêcheraient pas la transmission et l'infection de Covid-19, avez-vous en fait été pénalisé pour désinformation ?

    Mais ne manquez pas de remarquer avec quelle simplicité les élus américains déclarent que des catégories de personnes ne devraient pas être autorisées à parler, dans une discussion qui se fonde sur l'hypothèse incontestée que le gouvernement peut choisir le bon et le mauvais côté dans les concours d'information.

    MISE À JOUR POUR AJOUTER :

    .@mirandadevine : Facebook a signalé des messages privés qui remettaient en cause l'élection de 2020 au FBI. pic.twitter.com/AWTFoke9mr

    – La sale vérité (Josh) (@AKA_RealDirty) 16 septembre 2022

    https://www.naturalnews.com/2022-09-25-startling-clarity-on-free-speech.html

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