PAR TYLER DURDEN
JEUDI 30 JUIN 2022 - 05:20
Le corps humain est une machine miraculeuse, bien huilée et exceptionnellement complexe. Il faut qu'une multitude de parties fonctionnelles se réunissent pour qu'une personne vive une vie saine - et chaque détail biologique de notre corps, du banal au plus magique, est piloté par seulement 21 éléments chimiques.
Sur les 118 éléments présents sur Terre, seuls 21 d'entre eux se trouvent dans le corps humain. Comme Mark Belan et Anshool Deshmukh de Visual Capitalist le détaillent ci-dessous, ensemble, ils constituent le mélange de molécules divergentes qui se combinent pour former notre ADN, nos cellules, nos tissus et nos organes.
Sur la base des données présentées par la Commission internationale de protection radiologique (CIPR), dans l'infographie ci-dessus, nous avons décomposé un corps humain en sa composition élémentaire et les pourcentages dans lesquels ils existent.
Ces 21 éléments peuvent être classés en trois blocs principaux en fonction de la quantité trouvée dans un corps humain, le bloc de construction principal (4 éléments), les minéraux essentiels (8 éléments) et les oligo-éléments (9 éléments).
Les quatre éléments : ingrédients de la vie
Quatre éléments, à savoir l'oxygène, le carbone, l'hydrogène et l'azote, sont considérés comme les éléments les plus essentiels de notre corps.
L'oxygène est l'élément le plus abondant dans le corps humain, représentant environ 61% de la masse d'une personne. Étant donné qu'environ 60 à 70 % du corps est constitué d'eau, il n'est pas surprenant que l'oxygène et l'hydrogène soient deux des éléments chimiques les plus abondants dans le corps. Avec le carbone et l'azote, ces éléments se combinent pour 96 % de la masse corporelle.
Voici un aperçu de la composition des quatre éléments de la vie :
Les valeurs sont pour un corps humain moyen pesant 70 kg.
Voyons comment chacun de ces quatre éléments chimiques contribue à la fonctionnalité florissante de notre corps :
Oxygène
L'oxygène joue un rôle essentiel dans le métabolisme, la respiration et l'oxygénation cellulaire du corps. L'oxygène se trouve également dans toutes les molécules organiques importantes du corps, y compris les protéines, les glucides, les graisses et les acides nucléiques. C'est un élément important de tout, de nos cellules et de notre sang à notre liquide cérébral et rachidien.
Carbone
Le carbone est l'élément structurel le plus crucial et la raison pour laquelle nous sommes connus comme des formes de vie à base de carbone. C'est le bloc de construction de base requis pour former des protéines, des glucides et des graisses. La rupture des liaisons carbone dans les glucides et les protéines est notre principale source d'énergie.
Hydrogène
L'hydrogène, l'élément chimique le plus abondant dans l'univers, est présent dans tous les fluides corporels, permettant aux toxines et aux déchets d'être transportés et éliminés. Grâce à l'hydrogène, les articulations de notre corps restent lubrifiées et capables de remplir leurs fonctions. On dit également que l'hydrogène a des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, aidant à améliorer la fonction musculaire.
Azote
Un composant essentiel des acides aminés utilisés pour construire des peptides et des protéines est l'azote. Il fait également partie intégrante des acides nucléiques ADN et ARN, l'épine dorsale chimique de notre information génétique et de notre généalogie.
Minéraux essentiels et supplémentaires
Les minéraux essentiels sont importants pour que votre corps reste en bonne santé. Votre corps utilise des minéraux pour plusieurs processus, notamment le bon fonctionnement de vos os, de vos muscles, de votre cœur et de votre cerveau. Les minéraux contrôlent également la production d'enzymes et d'hormones bénéfiques.
Les minéraux comme le calcium sont une composante importante de nos os et sont nécessaires à la croissance et au développement des os, ainsi qu'aux contractions musculaires. Le phosphore contribue à la solidité des os et des dents et est vital pour métaboliser l'énergie.
Voici un aperçu de la composition élémentaire des minéraux essentiels :
Les valeurs sont pour un corps humain moyen pesant 70 kg.
D'autres macro-minéraux comme le magnésium, le potassium, le fer et le sodium sont essentiels pour les communications de cellule à cellule, comme les transmissions électriques qui génèrent des impulsions nerveuses ou des rythmes cardiaques, et sont nécessaires au maintien de la santé de la thyroïde et des os.
Une carence excessive de l'un de ces minéraux peut provoquer divers troubles dans votre corps. La plupart des humains reçoivent ces minéraux dans le cadre de leur alimentation quotidienne, y compris les légumes, la viande, les légumineuses et les fruits. En cas de carences, cependant, ces minéraux sont également prescrits comme suppléments.
Composition biologique des oligo-éléments
Les éléments traces ou métaux traces sont de petites quantités de minéraux présents dans les tissus vivants. Certains d'entre eux sont connus pour être essentiels sur le plan nutritionnel, tandis que d'autres peuvent être considérés comme non essentiels. Ils sont généralement en quantité minime dans notre corps et ne représentent que 1% de notre masse.
Parmi ceux-ci, les oligo-éléments tels que le zinc, le cuivre, le manganèse et le fluor sont primordiaux. Le zinc agit comme premier intervenant contre les infections et améliore ainsi la résistance aux infections, tout en équilibrant la réponse immunitaire.
Voici la répartition des oligo-éléments dans notre corps :
Les valeurs sont pour un corps humain moyen pesant 70 kg.
- voir liste sur site -
Même s'il ne se trouve qu'en quantités infimes, le cuivre joue un rôle déterminant dans la formation des globules rouges et dans le maintien de la santé des cellules nerveuses. Il aide également à former du collagène, une partie essentielle des os et du tissu conjonctif.
Même avec des recherches et des études constantes réalisées pour bien comprendre les utilisations et les avantages de ces oligo-éléments, les scientifiques et les chercheurs font constamment de nouvelles découvertes.
Par exemple, des recherches récentes montrent que certains de ces oligo-éléments pourraient être utilisés pour guérir et combattre des maladies chroniques et débilitantes allant de l'ischémie au cancer, en passant par les maladies cardiovasculaires et l'hypertension.
https://www.zerohedge.com/medical/visualizing-elemental-composition-human-body
L’intervention de l’État entretient les pénuries alimentaires
RépondreSupprimerNi la guerre en Ukraine ni les changements climatiques difficiles ne provoqueraient une pénurie alimentaire mondiale dans un environnement normal de libre-échange et de facilité à faire des affaires.
le 1 juillet 2022
Par Daniel Lacalle.
Mises Institute
Nombreux sont ceux qui ont lu qu’une crise alimentaire était imminente et que la pénurie de céréales suscitait de vives inquiétudes. La principale raison de cette éventuelle crise est l’invasion de l’Ukraine.
Cependant, ce n’est pas tout à fait le cas.
De nombreux pays dans le monde connaissent un important déficit en céréales, qui sont essentielles pour nourrir le bétail. Le principal coupable est l’intervention croissante des États, qui a fait grimper les coûts en flèche même en période de faibles prix de l’énergie avec un niveau insoutenable de restrictions ayant rendu impossible pour les agriculteurs de continuer à planter et à produire des céréales.
En 2020, l’Ukraine a produit 4 % de la production mondiale de blé et la Russie 10 %. Ensemble, ils produisent presque autant de blé que l’ensemble de l’UE, parce que celle-ci que a rendu impossible la production de blé de manière économique.
Selon le site web de l’Union européenne, les principaux coûts (catégories de dépenses) de la production céréalière sont les semences, les engrais, les produits phytosanitaires et les machines/infrastructures. Selon le rapport de l’UE sur les exploitations céréalières, le coût total moyen d’exploitation de l’UE pour les céréales était de 635 euros par hectare en 2020. En termes de cultures, l’UE admet que la production de maïs a des coûts plus élevés à tous les niveaux, sauf pour la protection des cultures, qui est plus élevée pour la production de blé tendre.
Typiquement, dans les économies avec des niveaux élevés d’intervention étatique les exploitations céréalières étaient déjà déficitaires en 2019, selon le Centre pour l’agriculture commerciale :
« Les pertes moyennes des exploitations typiques d’Argentine, d’Australie, de l’Indiana et du Kansas étaient respectivement de 46 dollars, 1 dollar, 94 dollars et 16 dollars par acre au cours de la période de cinq ans (114 dollars, 1 dollar, 231 dollars et 39 dollars par hectare, respectivement). Les coûts directs, les coûts d’exploitation et les frais généraux des exploitations allemandes étaient les plus élevés par hectare (535 dollars, 573 dollars et 506 dollars par hectare, respectivement). »
En conséquence, les fermes allemandes étaient également peu rentables.
Alors que la plupart des exploitations moyennes enregistraient des pertes, même en période prépandémique, le bénéfice économique le plus élevé était de 68 dollars par acre (167 dollars par hectare) pour l’exploitation russe typique.
La hausse du coût de production est due à l’augmentation des charges administratives, aux pressions environnementales et à l’augmentation des taxes pour les agriculteurs en pleine période de difficultés climatiques, comme nous l’avons constaté dans toute l’Europe. En Europe, les agriculteurs ont vu les salaires minimum et les taxes directes et indirectes augmenter, en plus de la flambée des coûts énergétiques due au coût multiplicateur des émissions de gaz carrbonique, avant même que le prix du pétrole et du gaz naturel n’augmente en raison de la guerre. Le coût moyen direct et indirect a augmenté même pendant les périodes où l’inflation des intrants énergétiques était faible. Les producteurs marginaux ont donc réagi moins rapidement aux changements de prix et de nombreuses exploitations ont tout simplement abandonné.
Dans toute autre circonstance, l’effondrement partiel de l’offre en provenance d’Ukraine et de Russie n’aurait pas eu d’impact significatif, comme le souligne l’analyste Aaron Smith :
RépondreSupprimer« Dans quelle mesure des chocs de marché de cette ampleur sont-ils courants ? Les exportations de blé russes et ukrainiennes représentaient 7,3 % de la production mondiale en 2020. La production de blé a diminué de 6,3 % en 2010, en partie à cause d’une sécheresse qui a réduit la production russe de 20 millions de tonnes métriques. Des baisses de même ampleur ont également eu lieu en 1991, 1994, 2003 et 2018. »
Cela pourrait empêcher une crise alimentaire mondiale, même si des pays comme l’Égypte, le Liban, le Soudan et d’autres pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord pourraient être en grande difficulté car entre 60 et 90 % de leur approvisionnement en blé proviennent d’Ukraine et de Russie.
Nous ne pouvons pas oublier que fin 2010 les manifestations du Printemps arabe sont survenues après la hausse insupportable des prix des denrées alimentaires. Le risque d’une situation similaire aujourd’hui n’est pas mince.
Les États du monde entier auraient dû tirer les leçons de ces expériences précédentes et alléger les charges administratives et fiscales pesant sur l’agriculture afin de permettre au marché d’offrir une certaine flexibilité en cas d’inquiétude concernant l’offre d’une ou deux nations. Au lieu de cela, nous avons vu davantage de rigidité, de taxes et de restrictions qui ont limité la possibilité d’alléger les problèmes de la chaîne d’approvisionnement.
La réglementation excessive et les pressions étatiques axées sur les coûts ont limité la capacité des agriculteurs à relever avec succès les défis externes. Le relèvement du mandat sur les biocarburants, qui exige qu’un minimum de 10 % de toute l’essence américaine provienne de l’éthanol de maïs, alors que des millions de personnes pourraient être confrontées à des pénuries alimentaires, est l’une de ces décisions illogiques.
Ni la guerre en Ukraine ni les changements climatiques difficiles ne provoqueraient une pénurie alimentaire mondiale dans un environnement normal de libre-échange et de facilité à faire des affaires. S’il existe un risque de pénurie alimentaire, il résulte d’années de limitation des possibilités des agriculteurs et d’augmentation continue de leurs coûts de production par des taxes directes et cachées inutiles.
Traduction Contrepoints
https://www.contrepoints.org/2022/07/01/433937-lintervention-de-letat-entretient-les-penuries-alimentaires
(...) L’intervention de l’État entretient les pénuries alimentaires (...)
Supprimeret pas que lui ! A savoir qu'existent les 'centrales d'achats' entretenues par des démarcheurs qui parcourent le monde, et donc, ce sont eux qui décident ce quoi qu'on mange et du quoi on s'habille !
Et donc: les prix montent, grimpent, se hissent au sommet sans qu'il n'y ait de concurrence !
De plus, le favoritisme de certains pays et certaines entreprises en empêchent d'autres d'évoluer, de progresser, bref, contraintes de mettre la clé sous la porte.
D'où effectivement les pénuries ou les abondances fabriquées par la mafia internationale.
L'usine de bœuf high-tech proposée à 1,1 milliard de dollars dans le Dakota du Sud serait la plus grande du pays
RépondreSupprimerMercredi 29 juin 2022
par : Cassie B.
(Natural News) Le pays du bétail est en effervescence depuis l'annonce le mois dernier qu'une nouvelle usine de transformation de bœuf de pointe a été proposée à Rapid City, dans le Dakota du Sud, qui traitera 8 000 têtes par jour. Maintenant, de nombreux habitants remettent en question la disponibilité d'un tel volume de bétail ainsi que s'il y a suffisamment de main-d'œuvre et de logements pour la main-d'œuvre nécessaire pour soutenir une telle opération.
S'exprimant sur la radio publique du Dakota du Sud, le conseiller municipal Ritchie Nordstrom a déclaré qu'il estimait que les personnes impliquées dans le projet avaient encore du travail à faire. «Où allons-nous trouver ces employés ? Si le nombre qui est récité est proche de l'exactitude, nous ne savons pas d'où ils vont venir et où nous allons les héberger.
Un autre conseiller municipal, Pat Jones, a fait écho à ces préoccupations, soulignant la pénurie de logements abordables constatée à Rapid City. Il a déclaré que la population y augmentait plus rapidement que le marché ne remplaçait les logements.
Le projet, connu sous le nom de Western Legacy Development Corporation, a été annoncé par Megan Kingsbury, dont la famille possède un ranch près de Kadoka. L'usine proposée serait la plus grande en Amérique du Nord et l'une des plus grandes au monde, créant 2 400 emplois et utilisant une technologie de pointe. Si le projet avance, Kingsbury espère voir la construction démarrer l'année prochaine et s'achever en 2026.
Un communiqué de presse a révélé que le nouveau centre industriel de Black Hills, situé à la périphérie sud-est de la ville, était un emplacement potentiel pour l'usine de bœuf.
Bien que Kingsbury ait affirmé que son entreprise détiendrait le projet en privé et obtiendrait le financement en interne, Nordstrom s'est demandé si le parc industriel pouvait accueillir l'installation d'un million de pieds carrés ou créer l'infrastructure nécessaire pour le soutenir sans nécessiter de frais supplémentaires. financement de la ville.
D'autres préoccupations concernant le projet comprennent l'utilisation de l'eau, les odeurs et le transport. Certains habitants s'inquiètent du potentiel de circulation de camions lourds et de trains à proximité de leur quartier, tandis que d'autres se souviennent des odeurs désagréables d'une autre usine de bœuf qui était autrefois située dans la ville.
Jones a noté: «Il y aurait des moments où ils effectuaient certains processus, et une odeur incroyable se dégageait et affectait de nombreuses parties de la ville.
"Les gens qui ont grandi dans cette région connaissent cette odeur et s'en souviennent très bien."
RépondreSupprimerL'impact sur l'environnement suscite également des inquiétudes. Le partenariat à l'origine du projet affirme qu'il serait limité car le bétail ne serait pas gardé à l'extérieur et la technologie de capture du méthane serait utilisée pour réduire les odeurs, tandis que l'eau utilisée par l'usine serait recyclée sur place. Les conseillers municipaux disent que même s'ils espèrent que cela s'avère être le cas, ils aimeraient en savoir plus sur le fonctionnement et l'efficacité de la technologie impliquée.
Les agriculteurs pensent qu'il sera difficile d'approvisionner l'usine avec suffisamment de bétail
Un éleveur de bétail de la région de Rapid City, Matt Kammerer, a déclaré que Kingsbury l'avait informé, ainsi que d'autres éleveurs, que le bétail proviendrait de six États, mais il pense qu'elle devra chercher plus loin pour atteindre l'objectif de transformer 8 000 bovins par jour. Si l'usine atteignait ce chiffre, elle produirait plus que des installations majeures telles que l'usine de Sioux City de Tyson. Actuellement la plus grande du pays, elle transforme environ 7 000 bovins par jour. Le nouveau projet espère dépasser celui en utilisant moins d'employés et de nouvelles technologies qui rendent la transformation du bétail plus sûre, plus efficace et plus respectueuse de l'environnement.
Kingsbury a déclaré : « Notre objectif est de rétablir la concurrence dans la transformation de la viande aux États-Unis. Nous voulons rivaliser avec les quatre grands géants de l'emballage de la viande et être ce « deuxième enchérisseur » très important sur le marché au comptant. Nous allons construire une marque qui est la première en Amérique en se concentrant sur l'achat de bétail américain et l'alimentation des citoyens américains en protéines abordables et de haute qualité comme notre première priorité.
À l'heure actuelle, quatre sociétés - Tyson, Cargill, JBS et National Beef - contrôlent plus des quatre cinquièmes du marché américain de la transformation du bœuf. Kammerer espère que la nouvelle usine créera une certaine concurrence sur les prix du bétail, mais la plupart des observateurs adoptent une vision prudente du projet jusqu'à ce que plus d'informations soient publiées.
Les sources de cet article incluent :
AGWeb.com
Écoutez.SDPB.org
https://www.naturalnews.com/2022-06-29-proposed-south-dakota-beef-plant-largest.html
Le géant allemand de l'énergie s'effondre sur la crise de l'approvisionnement en gaz naturel russe, déclenchant des pourparlers de sauvetage
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 30 JUIN 2022 - 18:00
Les actions du service public allemand de gaz et d'électricité Uniper se sont effondrées, plongeant jusqu'à un cinquième jeudi après que la société a réduit ses perspectives et demandé un éventuel renflouement du gouvernement allemand après que la Russie a réduit ses livraisons de gaz naturel à l'Europe, selon le Financial Times.
Uniper a déclaré que le bénéfice avant intérêts et impôts serait "nettement inférieur" aux années précédentes, considérant qu'il n'a reçu que 40% du NatGas du russe Gazprom PJSC.
La récente baisse des flux de NatGas vers l'Europe a contraint le plus gros client de Gazprom à couvrir ses achats sur les marchés au comptant avec une prime massive par rapport à ses contrats à long terme avec NatGas. Dans le même temps, Berlin a plafonné les prix qu'elle facture aux ménages et aux entreprises pour contrôler l'inflation, ce qui fait que le service public perd des dizaines de millions d'euros par jour (les analystes de RBC et de Citigroup estiment que le service public perd 30 millions d'euros par jour) -- et le risque d'implosion de la compagnie d'électricité.
Javier Blas de Bloomberg a déclaré que les pertes de NatGas d'Uniper pourraient atteindre 11 milliards d'euros par an si elle devait continuer à acheter sur le marché au comptant. Il a ensuite souligné que des risques de contagion pourraient émerger, car d'autres services publics font probablement de même.
"Uniper achète actuellement des volumes de substitution à des prix nettement plus élevés", a déclaré Uniper mercredi, ajoutant que puisqu'elle "ne peut pas encore répercuter ces coûts supplémentaires, cela entraîne des charges financières importantes".
Le ministère de l'Economie a confirmé que Berlin et Uniper discutaient de "mesures de stabilisation". Uniper a également déclaré que des pourparlers étaient en cours avec le gouvernement pour obtenir des liquidités qui pourraient inclure des "investissements en actions" et une augmentation d'une facilité de crédit de 2 milliards d'euros avec la banque publique KfW.
La nouvelle qu'Uniper est dans une situation désespérée a fait chuter les actions jusqu'à 23% pour atteindre des creux de cinq ans.
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Le ministre allemand de l'Économie, Robert Habeck, a récemment averti que la baisse du gaz naturel russe pourrait déclencher un moment semblable à celui de Lehman Brothers.
Depuis la mi-juin, Gazprom a réduit les livraisons de NatGas via Nord Stream vers l'Europe de 40 % et a imputé cette baisse aux sanctions canadiennes sur la guerre en Ukraine, empêchant le partenaire allemand Siemens Energy de livrer des équipements critiques révisés pour une station de compression sur le pipeline. La crise affecte également la France, l'Italie et l'Autriche, les prix du gaz naturel ayant bondi de plus de 40 % au cours des deux dernières semaines.
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John Musk, analyste chez RBC Europe Ltd., a déclaré que l'accent serait mis sur la contagion et si "d'autres services publics exposés à l'approvisionnement en gaz" seront affectés par la crise de l'approvisionnement.
La situation pourrait s'aggraver lorsque Nord Stream interrompt les flux de Nord Stream pendant dix jours en juillet pour une maintenance planifiée. On craint de plus en plus que la Russie ne reprenne le gazoduc à pleine capacité après la panne.
Habeck a déclaré la semaine dernière que l'Allemagne devrait se préparer à de nouvelles coupes. La plus grande économie d'Europe a déclaré la deuxième "étape d'alarme" de son plan d'urgence NatGas, permettant aux entreprises de services publics de répercuter la hausse des prix de l'électricité sur l'industrie et les ménages pour freiner la demande.
"L'Europe devrait être prête au cas où le gaz russe serait complètement coupé", a déclaré Fatih Birol, directeur de l'AIE, à FT News la semaine dernière.
https://www.zerohedge.com/commodities/uniper-crashes-russian-natgas-supply-crunch-bailout-talks-germany
Qui achète encore des combustibles fossiles en Russie ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 30 JUIN 2022 - 12:55
Malgré les sanctions imminentes et les interdictions d'importation, la Russie a exporté pour 97,7 milliards de dollars de combustibles fossiles au cours des 100 premiers jours depuis son invasion de l'Ukraine, à une moyenne de 977 millions de dollars par jour.
Alors, quels combustibles fossiles sont exportés par la Russie et qui importe ces combustibles ?
L'infographie ci-dessous, via Niccolo Conte et Govind Bhutada de Visual Capitalist, suit les plus grands importateurs d'exportations de combustibles fossiles de la Russie au cours des 100 premiers jours de la guerre sur la base des données du Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (CREA).
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En demande : l'or noir de la Russie
Le marché mondial de l'énergie a connu plusieurs chocs cycliques au cours des dernières années.
La baisse progressive des investissements pétroliers et gaziers en amont, suivie des réductions de production induites par la pandémie, a entraîné une baisse de l'offre, tandis que les gens consommaient plus d'énergie à mesure que les économies rouvraient et que les hivers se refroidissaient. Par conséquent, la demande de combustibles fossiles augmentait avant même l'invasion de l'Ukraine par la Russie, ce qui a exacerbé le choc du marché.
La Russie est le troisième producteur et le deuxième exportateur de pétrole brut. Au cours des 100 jours qui ont suivi l'invasion, le pétrole était de loin l'exportation de combustibles fossiles la plus précieuse de la Russie, représentant 48 milliards de dollars, soit environ la moitié du total des recettes d'exportation.
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Alors que le pétrole brut russe est expédié par pétroliers, un réseau de pipelines transporte le gaz russe vers l'Europe. En fait, la Russie représente 41 % de toutes les importations de gaz naturel vers l'UE, et certains pays dépendent presque exclusivement du gaz russe. Sur les 25 milliards de dollars exportés en gazoduc, 85 % sont allés vers l'UE.
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Les principaux importateurs de combustibles fossiles russes
RépondreSupprimerLe bloc de l'UE a représenté 61% des revenus d'exportation de combustibles fossiles de la Russie au cours de la période de 100 jours.
L'Allemagne, l'Italie et les Pays-Bas, membres à la fois de l'UE et de l'OTAN, figuraient parmi les plus gros importateurs, seule la Chine les dépassant.
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La Chine a dépassé l'Allemagne en tant que premier importateur, important près de 2 millions de barils de pétrole russe à prix réduit par jour en mai, soit une hausse de 55 % par rapport à il y a un an. De même, la Russie a dépassé l'Arabie saoudite en tant que premier fournisseur de pétrole de la Chine.
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La plus forte augmentation des importations est venue de l'Inde, achetant 18 % de toutes les exportations de pétrole russe au cours de la période de 100 jours. Une quantité importante de pétrole destinée à l'Inde est réexportée sous forme de produits raffinés vers les États-Unis et l'Europe, qui tentent de devenir indépendants des importations russes.
Réduire la dépendance à l'égard de la Russie
En réponse à l'invasion de l'Ukraine, plusieurs pays ont pris des mesures strictes contre la Russie par des sanctions sur les exportations, y compris les combustibles fossiles.
Les États-Unis et la Suède ont totalement interdit les importations russes de combustibles fossiles, avec des volumes d'importation mensuels en baisse de 100 % et 99 % en mai par rapport au début de l'invasion, respectivement.
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À l'échelle mondiale, les volumes mensuels d'importations de combustibles fossiles en provenance de Russie ont diminué de 15 % en mai, signe du sentiment politique négatif entourant le pays.
Il convient également de noter que plusieurs pays européens, dont certains des plus grands importateurs sur la période de 100 jours, ont réduit les combustibles fossiles russes. Outre la décision collective de l'UE de réduire sa dépendance vis-à-vis de la Russie, certains pays ont également refusé le système de paiement en roubles du pays, entraînant une baisse des importations.
La réduction des importations devrait se poursuivre. L'UE a récemment adopté un sixième paquet de sanctions contre la Russie, interdisant complètement tous les produits pétroliers russes transportés par voie maritime. L'interdiction, qui couvre 90 % des importations de pétrole de l'UE en provenance de Russie, atteindra probablement son plein impact après une période de six à huit mois permettant l'exécution des contrats existants.
RépondreSupprimerAlors que l'UE élimine progressivement le pétrole russe, plusieurs pays européens dépendent fortement du gaz russe. Un boycott à part entière des combustibles fossiles de la Russie nuirait également à l'économie européenne. Par conséquent, l'élimination sera probablement progressive et soumise à l'évolution de l'environnement géopolitique.
https://www.zerohedge.com/energy/whos-still-buying-fossil-fuels-russia
AIE : l'Europe devra réduire sa consommation de gaz de près d'un tiers
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 30 JUIN 2022 - 09:30
Écrit par Julianne Geiger via OilPrice.com,
Au premier trimestre de l'année prochaine, les pays de l'Union européenne devront réduire leur consommation de gaz naturel jusqu'à 30 % en vue d'un arrêt complet des flux de gaz russe, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
- voir graph sur site -
Le directeur de l'AIE, Fatih Birol, a déclaré mardi qu'"une coupure complète de l'approvisionnement en gaz russe de l'Europe pourrait entraîner des niveaux de remplissage du stockage bien inférieurs à la moyenne avant l'hiver, laissant l'UE dans une position très vulnérable".
"Dans le contexte actuel, je n'exclurais pas une coupure complète des exportations de gaz vers l'Europe depuis la Russie", a-t-il déclaré.
Citant des problèmes techniques liés au gazoduc Nord Stream, la Russie a réduit plus tôt en juin les flux de gaz vers l'Allemagne de 60 %.
Les plans visant à augmenter le remplissage du stockage de gaz naturel en Europe ne résisteraient pas à une coupure russe complète si cela devait se produire d'ici le quatrième trimestre de cette année.
D'ici le 1er novembre, l'Union européenne devrait avoir son stockage de gaz rempli à 90 % ; cependant, une coupure russe complète réduirait cela de manière significative, entraînant une nouvelle flambée des prix du gaz naturel, qui ont déjà triplé d'une année sur l'autre, selon Bloomberg, citant des chiffres de l'ICE Endex.
Les prix européens du gaz naturel sont restés stables de lundi à mardi, en partie en raison d'une reprise du flux de gaz russe via le gazoduc TurkStream, qui était en cours de maintenance. Le pipeline a une capacité de 31,5 milliards de mètres cubes, rapporte Bloomberg.
Mardi, les contrats à terme sur le gaz du premier mois néerlandais ont chuté de 0,2 % à la clôture.
Mardi, les prix du gaz naturel en Europe ont également été stabilisés grâce à de nouvelles estimations de la demande, qui pourraient connaître une baisse en raison d'un temps plus ensoleillé qui peut mieux soutenir l'énergie solaire.
[ZH : Mercredi, le gaz naturel européen a ré-accéléré alors que les craintes grandissaient après que la Suède et la Finlande aient été officiellement invitées à l'OTAN. EU NatGas se négocie désormais à une prime de 100 % par rapport à US NatGas (en équivalent baril de pétrole)...]
- voir graph sur site -
RépondreSupprimerCela ne suffit pas à calmer les nerfs en Allemagne. La semaine dernière, des responsables allemands ont averti que le pays risquait de devoir rationner l'utilisation du gaz, ce qui aurait un effet dévastateur sur l'économie. Le ministre allemand des Affaires économiques, Robert Habeck, a déclaré que le pays était entré dans le "deuxième niveau d'alerte" de son plan d'urgence pour le gaz.
« Même si nous ne le sentons pas encore, nous sommes en pleine crise du gaz. Désormais, le gaz est un bien rare », a déclaré Habeck dans un communiqué, a rapporté Fortune.
https://www.zerohedge.com/energy/iea-europe-will-have-cut-gas-usage-nearly-one-third
LES PARADOXES DU TOUT ÉLECTRIQUE...
RépondreSupprimerpar ANTHONY DAL MORO ET JULIEN MALGRAS
01/07/2022
En 2020, les voitures électriques représentaient 2 % du marché.
Le monde de l’énergie est bouleversé par les événements découlant du conflit entre la Russie et l’Ukraine. La France et d’autres pays ont décidé de se passer de l’approvisionnement d’hydrocarbures en provenance de Russie. Pour palier ce manque, le Gouvernement français a décidé de prioriser l’électricité. Plusieurs raisons à cela : nous en produisons et les sources sont disponibles sur le territoire. Et cela permettrait aussi de décaborner notre industrie afin de respecter les objectifs des accords de Kyoto. Mais la conjoncture nous montre que ce changement ne se fera pas sans certaines difficultés…
Un besoin croissant d’électricité
Se passer du gaz est bien entendu une bonne idée. Mais logiquement la production d’électricité doit être à la hauteur de nos besoins toujours croissants. Fabrication industrielle, mobilité, fonctionnement et confort de l’habitat nécessitent une grande disponibilité électrique. La souveraineté énergétique nous est sans doute accessible. Mais lorsque nos centrales nucléaires sont à l’arrêt comme actuellement, il devient difficile de couvrir tous nos besoins. Malgré la mutualisation complexe de nos achats d’énergies au niveau européen et les énergies renouvelables en plein essor, la forte demande actuelle met à mal cet équilibre entre l’offre et la demande.
Des sources pas toujours vertes
C’est donc contraints et forcés que nous devrons parfois nous retourner vers des sources d’énergie grise pour combler cette demande frénétique d’électricité. En effet, sorti des EnR et des centrales nucléaires (même s’il y a débat à ce sujet…), les matières premières utilisées pour créer de l’électricité sont des sources polluantes comme le charbon, le gaz ou le pétrole.
Alors comment diminuer ce recours parfois inévitable aux énergies fossiles ? Cela passe inévitablement par la modération et une baisse généralisée de nos consommations. Pour ce faire, le gouvernement met en place de nouvelles obligations et décrets qui encouragent les professionnels à consommer raisonnablement et plus efficacement dans le but de limiter les rejets de gaz à effet de serre et la consommation générale d’électricité.
Quelles sont les solutions disponibles pour les professionnels ?
L’installation d’équipements performants et l’amélioration thermique des bâtiments donnent de bons résultats pour diminuer sa consommation d’électricité. En effet, une grande surface bien isolée est logiquement moins énergivore et nécessite des besoins en électricité moindres. L’efficacité énergétique est sans doute le concept à développer sans modération. En consommant plus intelligemment, nos besoins en énergie diminueront. Il faut aussi adopter un changement de comportement, changer certaines mentalités et utiliser les outils et les ressources humaines disponibles pour réussir cette transition énergétique qui est aussi écologique. C’est l’affaire de toutes et tous…
Les infrastructures pour le développement de l’électrique ne sont pas encore au rendez-vous. Et les matières premières comme les nombreux métaux permettant la construction des batteries ne sont pas non plus inépuisables et leur extraction n’est pas sans conséquences sur l’environnement.
Il n’y a sans doute pas de solution miracle. Pour remplir les objectifs il faudra s’adapter et trouver les moyens de rester compétitif malgré des hausses de coût de production. Et ce à tous les niveaux : emploi, reconversion professionnelle des travailleurs de l’industrie automobile, consommation, etc. Pour réussir cette transition, l’effort doit être collectif et comme demain se construit aujourd’hui, c’est maintenant qu’il faut agir.
http://www.economiematin.fr/news-electrique-paradoxe-analyse-energie-guerre-moro-magras
Après les bicyclettes les voitures à pédales ? Le bon temps des charrettes tirées par des bœufs ou des chevaux n'est pas si loin !
SupprimerLes agriculteurs néerlandais sont livides face à la frontière «verte» de l'UE sur l'azote entre les Pays-Bas et l'Allemagne
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 01 JUILLET 2022 - 05:30
Des milliers de manifestants néerlandais au volant de tracteurs sont sortis cette semaine pour poursuivre les manifestations contre le plan radical du gouvernement visant à réduire les émissions d'azote de 30 à 70 % dans le cadre de leur programme "vert".
Les agriculteurs du 5e exportateur mondial de produits alimentaires exigent que La Haye change immédiatement de cap et ont bloqué la frontière entre la Hollande et l'Allemagne au sujet de la règle qui conduirait à la fermeture de dizaines de fermes et d'élevages de bétail.
Mercredi, des dizaines de tracteurs ont bloqué une autoroute près de la frontière allemande, selon les autorités de la circulation.
Des manifestations encore plus importantes sont prévues pour le 4 juillet, les organisateurs s'adressant à Telegram pour appeler les gens à agir contre les règles qui, selon eux, "aplaniront" l'industrie agricole du pays.
Selon Epoch Times, le message appelle les agriculteurs et les citoyens concernés à organiser leurs propres actions régionales dans le but de fermer tous les « centres de distribution de denrées alimentaires et tous les principaux pollueurs » jusqu'à ce que « le gouvernement modifie ses plans ».
Un appel viral à une manifestation le 4 juillet est venu d'un grand groupe de camionneurs Telegram, suggérant que certains camionneurs aux Pays-Bas pourraient se trouver solidaires des agriculteurs du pays.
Les agriculteurs, qui prévoient de manifester dans de nombreux aéroports du pays, ont spécifiquement mentionné Schiphol et Eindhoven. NLTimes.nl a rapporté que les porte-parole des deux aéroports disent surveiller la situation mais disposent actuellement de peu d'informations.
En 2021, le gouvernement de coalition des Pays-Bas a proposé de réduire de 30 % le nombre de têtes de bétail dans le pays pour atteindre les objectifs d'émissions d'azote.
Le pays a déjà mis en place des restrictions strictes sur les nouvelles constructions dans le but de réduire les émissions d'azote.
Rabobank a fait valoir que ces nouveaux obstacles ont ralenti la construction de maisons aux Pays-Bas, intensifiant la pénurie de logements dans la nation côtière densément peuplée.
Le 10 juin, le gouvernement a publié un plan national et régional pour réduire les émissions d'azote. Ces émissions sont fortement liées à l'ammoniac provenant du fumier de bétail.
RépondreSupprimerCertaines régions du pays devraient réduire ces émissions de 70, voire 95 %.
Il a ouvertement reconnu qu '«il n'y a pas d'avenir pour tous les agriculteurs [néerlandais] dans [cette] approche», comme l'a rapporté le service de l'agriculture étrangère du département américain de l'Agriculture.
"Le ministre de la Nature et de la Politique de l'azote s'attend à ce qu'environ un tiers des 50 000 fermes néerlandaises" disparaissent "d'ici 2030", a rapporté le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères et du Commerce dans un rapport d'analyse du marché du 23 juin.
Les Pays-Bas sont le cinquième exportateur mondial de produits alimentaires, dépassés uniquement par les États-Unis, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Chine, selon les statistiques de la Banque mondiale.
Le gouvernement néerlandais propose un accord de rachat de plusieurs milliards de dollars aux agriculteurs.
Christianne van der Wal, ministre de la nature et de la politique de l'azote, a laissé ouverte la possibilité que le gouvernement exproprie les terres des agriculteurs qui ne se conforment pas, comme le rapporte NOS Nieuws.
Les propositions et les protestations qui en résultent surviennent au milieu de pénuries mondiales d'engrais et de nourriture.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a averti le 24 juin qu'"il existe un risque réel que de multiples famines soient déclarées en 2022", ajoutant que "2023 pourrait être encore pire".
Dans un récent épisode de "Facts Matter" sur EpochTV, l'agriculteur américain John Boyd, Jr. a mis en garde contre les pénuries alimentaires potentielles en raison de la forte augmentation des coûts des intrants.
Il a déclaré que les dépenses de fonctionnement de sa propre exploitation avaient triplé, en grande partie en raison de l'augmentation significative des coûts des engrais.
Au Sri Lanka, l'interdiction des engrais chimiques a contribué à une crise économique qui a déstabilisé le gouvernement.
RépondreSupprimerLe pays a récemment annoncé une interdiction temporaire des ventes de carburant aux véhicules privés, en vigueur du 27 juin au 10 juillet.
La dernière série de manifestations d'agriculteurs néerlandais survient après une vague de protestations similaires en 2019 après que le législateur Tjeerd de Groot a appelé à une réduction de 50 % du nombre de têtes de bétail aux Pays-Bas.
Les manifestants ont brûlé des balles de foin le long des autoroutes, bloqué des routes avec des tracteurs et répandu du fumier pour faire connaître leur colère.
Ces derniers jours, des manifestants ont pris pour cible les domiciles de responsables du gouvernement néerlandais, dont le Premier ministre Mark Rutte et le ministre de l'azote van der Wal.
Des images circulant sur les réseaux sociaux prétendent montrer des manifestants pulvérisant du fumier sur les forces de l'ordre néerlandaises.
Rutte a critiqué les manifestants en disant : « Vous pouvez manifester, mais de manière civilisée », comme le rapporte l'Associated Press.
AP rapporte également que la police néerlandaise a déclaré avoir arrêté 10 personnes le 28 juin en lien avec les manifestations.
https://www.zerohedge.com/commodities/dutch-farmers-livid-over-eus-green-nitrogen-rule-block-border-between-holland-and
La bouffe ? N'Y PENSEZ PLUS ! Il est INTERDIT de semer, de planter, d'arroser, d'amender, de labourer, de traiter, de récolter, de vendre et de manger des fruits, des légumes et de la viande !!
SupprimerLes pays occidentaux orchestrent une crise alimentaire mondiale tout en en accusant la Russie
RépondreSupprimerJeudi 30 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le média Telegraph basé au Royaume-Uni rapporte que l'escalade de la crise alimentaire mondiale est un travail interne perpétré non pas par la Russie mais par des puissances occidentales corrompues.
Le Royaume-Uni est essentiellement le chef de file, affirme le Telegraph, avec les États-Unis. Ces deux pays contrôlés par les mondialistes veulent que le monde croie que Vladimir Poutine tient en otage le commerce alimentaire mondial alors que rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
Les organes de propagande occidentaux nous disent constamment que la Russie a placé des mines dans les ports de la mer Noire pour empêcher la nourriture d'entrer et de sortir. La Russie dit que c'est un mensonge et que l'Ukraine a posé ces mines elle-même lors de son retrait de la région.
Le Premier ministre britannique et clown de cirque Boris Johnson a déclaré aux Britanniques que la Russie était responsable de l'approvisionnement alimentaire de l'Ukraine – l'Ukraine est l'un des principaux exportateurs de céréales et d'autres produits clés – ne pouvant pas quitter les ports de la mer Noire. Ces marchandises doivent être exportées par voie maritime, a allégué Johnson, affirmant en outre que la Russie détient la «rançon» mondiale.
BoJo, comme beaucoup l'appellent maintenant, affirme également que la marine russe a « reçu l'ordre de poser des mines » à Odessa et Ochakov, et qu'elle a « miné » le fleuve Dniepr ». C'est selon "les renseignements américains récemment déclassifiés", a ajouté BoJo, alléguant que le Royaume-Uni essaie maintenant d'aider l'Ukraine "à un niveau technique pour aider à déminer Odessa".
La Russie tente de créer un passage sûr pour les navires céréaliers dans les eaux de la mer Noire tandis que l'Ukraine plante des mines et refuse de coopérer
La Russie, quant à elle, tente en fait de déminer la zone avec l'aide de la Turquie. L'objectif de la Russie, dit-il, est d'assurer la sécurité de tous les navires quittant les eaux territoriales du pays.
RépondreSupprimerLe 2 juin, Vasily Nebenzya, représentant permanent de la Russie auprès des Nations Unies, a déclaré que si Kiev déminait les eaux entourant ses ports, Moscou assurerait le passage en toute sécurité de tous les navires ukrainiens, qui transportent actuellement 20 millions de tonnes de céréales.
Fin mai, le ministère russe de la Défense a indiqué que la marine russe avait établi des zones de sécurité dans les mers Noire et d'Azov pour les navires quittant les ports ukrainiens par des voies humanitaires.
"Les corridors de la mer Noire, longs de 139 milles et larges de 3 milles, sont ouverts tous les jours de 8h00 à 19h00 (GMT + 3) pour les navires basés dans les ports de Kherson, Nikolaev, Chernomorsk, Ochakov, Odessa et Yuzhny. », a rapporté Great Game India.
Le ministère russe de la Défense a déclaré qu'en dépit de tous ces efforts de la part de la Russie pour maintenir le commerce et nourrir le monde, les autorités de Kiev "continuent de faire tout leur possible pour éviter toute interaction avec des représentants d'États étrangers et des compagnies armatrices afin de résoudre le problème de la garantie la sortie en toute sécurité des navires bloqués.
La Turquie partage des préoccupations similaires, car son ministre des Affaires étrangères, Ahmet Cavusoglu, a déclaré à l'agence Anadolu que les sanctions occidentales imposées aux navires russes et aux mines posées par l'armée ukrainienne dans le territoire maritime d'Odessa sont les deux principaux facteurs qui entravent les exportations de céréales hors d'Ukraine.
Il s'avère que la cause numéro un de l'inflation alimentaire dans le monde en ce moment est les sanctions anti-russes imposées par l'OTAN et l'Occident. Ces représailles contre « l'opération spéciale » de la Russie en Ukraine détruisent le commerce mondial, y compris les populations occidentales dont les dirigeants les affament essentiellement pour se venger de la Russie.
"Les sanctions contre la Russie ont aggravé la situation avec l'approvisionnement en céréales et en engrais des pays africains", a annoncé le président sénégalais et chef de l'Union africaine Macky Sall dans un communiqué au début du mois lors d'une visite officielle en Russie.
RépondreSupprimer"Nous n'y avons plus accès, et cela constitue une menace sérieuse pour la sécurité alimentaire sur le continent."
Plus d'informations sur le conflit russo-ukrainien sont disponibles sur WWIII.news.
Les sources de cet article incluent :
GreatGameIndia.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-30-west-orchestrating-global-food-crisis-blaming-russia.html
Enfer sur Terre : l'ONU avertit que la pire famine de l'histoire est en train d'émerger
RépondreSupprimerJeudi 30 juin 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Les perturbations importantes dans le mouvement des aliments et une famine mondiale massive n'étaient qu'une théorie il y a dix ans. Aujourd'hui, l'impensable se déroule lentement et met en danger les plus pauvres et les plus vulnérables.
Lors d'une réunion des Nations Unies (ONU) sur la sécurité alimentaire le 24 juin, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a mis en garde contre une « crise mondiale de la faim ». Il a également mentionné le "risque réel" de "famines multiples" déclarées en 2022, avec des famines encore pires à prévoir en 2023.
« Nous sommes confrontés à une crise mondiale de la faim sans précédent. La guerre en Ukraine a aggravé les problèmes qui couvaient depuis des années – les perturbations climatiques, la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) [et] la reprise profondément inégale », a déclaré António Guterres dans un message vidéo.
Il a exhorté les ministres à commencer à agir pour stabiliser les marchés alimentaires et la volatilité des prix alimentaires. (Connexe: Une "catastrophe" de pénurie alimentaire mondiale se déroule, prévient le chef de l'ONU.)
David Beasley, directeur du Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, a fait remarquer que la guerre russo-ukrainienne avait causé des répercussions « dévastatrices » sur la pénurie alimentaire actuelle dans le monde. Cela, a-t-il ajouté, pourrait provoquer «l'enfer sur Terre».
« Même avant la crise ukrainienne, nous étions confrontés à une crise alimentaire mondiale sans précédent à cause du COVID et de la hausse des prix du carburant. Ensuite, nous pensions que cela ne pouvait pas empirer, mais cette guerre a été dévastatrice », a-t-il déclaré.
Beasley a noté qu'il y aurait «famine, déstabilisation des nations et migration de masse» si la crise n'était pas résolue. Selon le chef du PAM, « la meilleure chose que nous puissions faire [est] de mettre fin à cette guerre en Russie et en Ukraine et d'ouvrir le port ».
Kyiv était responsable d'un blocus naval dans les ports ukrainiens, attribué à tort à la Russie.
RépondreSupprimerL'Ukraine est un important exportateur de céréales, représentant 12 % des exportations de blé et 17 % des exportations de maïs dans le monde. Cependant, la guerre russo-ukrainienne, qui a débuté en février 2022, a paralysé les exportations alimentaires du pays assiégé.
Dans la Corne de l'Afrique, des centaines de morts de faim
La péninsule somalienne, également connue sous le nom de Corne de l'Afrique, souffre d'une grande famine depuis près de quatre décennies maintenant. La pénurie alimentaire actuelle pourrait aggraver les choses dans cette partie du monde.
Quatre saisons successives de pluies insuffisantes en Afrique de l'Est, qui n'avaient pas été vues depuis quatre décennies, ont laissé 386 000 enfants somaliens nécessitant un traitement vital pour la malnutrition sévère. Des données précédemment non déclarées partagées avec l'Associated Press ont révélé qu'au moins 448 décès ont été signalés dans des centres de traitement de la malnutrition en Somalie.
Owliyo Hassan Salaad, une mère vivant à Mogadiscio, la capitale somalienne, avait vu quatre de ses enfants mourir rien qu'en 2022. Auparavant, elle avait porté son frêle fils de trois ans, Ali Osman, alors qu'elle parcourait 80 km de son village à la capitale en désespoir de cause.
Salaad a déclaré qu'elle avait laissé quatre autres enfants avec son mari dans son village, ajoutant qu'ils étaient trop faibles pour rejoindre la capitale.
Mais ses enfants restants ont de la chance d'être restés. De nombreux enfants africains de moins de 10 ans, tout comme la progéniture tardive de Salaad, sont morts sans que les autorités ne s'en aperçoivent. Certains sont morts lors d'une randonnée à la recherche d'aide tandis que d'autres sont morts après avoir atteint des camps de déplacés.
Adam Abdelmoula, le coordinateur humanitaire de l'ONU pour la Somalie, a confirmé la sombre situation sur le terrain. Il a déclaré aux journalistes que "certainement des milliers" sont morts de malnutrition dans ce pays d'Afrique de l'Est.
Visitez Famine.news pour plus d'informations sur la diminution de l'approvisionnement alimentaire dans le monde.
Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment se préparer lorsque la plus grande crise de la faim frappe.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne What is happening sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Ambassadeur américain à l'ONU : La crise alimentaire mondiale a atteint « le niveau d'alarme le plus élevé » à cause de la Russie.
Crise alimentaire imminente : les sanctions contre la Russie menacent la sécurité alimentaire mondiale.
Crise mondiale de la faim à l'horizon alors que les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Australie et d'autres démolissent délibérément leur propre production alimentaire.
« Nous sommes au bord du précipice » (d'une crise alimentaire mondiale).
Les sources comprennent :
SHTFPlan.com
ONU.org
BusinessInsider.com
ABCNews.go.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-30-hell-on-earth-worst-famine-emerging.html
La sécheresse au Texas pourrait éclipser la sécheresse de 2011, la pire jamais enregistrée dans l'État
RépondreSupprimerJeudi 30 juin 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) La sécheresse en cours dans l'État du Texas approche des niveaux jamais vus depuis la sécheresse historique de 2011.
Plus de 45 % des États-Unis contigus connaissent actuellement une sécheresse, y compris la majeure partie du sud-ouest des États-Unis, qui fait face à des niveaux de sécheresse graves, extrêmes ou exceptionnels.
La sécheresse de 2011 a été l'année la plus sèche jamais enregistrée au Texas. Il a causé environ 7,62 milliards de dollars de pertes de récoltes et de bétail. Les responsables du Texas avertissent que la sécheresse en cours approche du niveau record de dommages subis par l'État il y a dix ans, avec plus de 80% de l'État déjà aux prises avec des conditions de sécheresse. (Connexe: 5 comtés du Texas ont désigné des zones de catastrophe naturelle alors que la sécheresse continue de ravager l'État.)
Des villes comme Midland et Lubbock dans l'ouest du Texas ont déjà dépassé les conditions de sécheresse qu'elles ont connues en 2011.
Fin juin, environ 17 % de toutes les terres du Texas connaissaient des conditions de sécheresse « exceptionnelles ». Il s'agit du chiffre le plus élevé enregistré depuis la sécheresse de 2011, lorsque plus de 70 % des terres de l'État ont dû faire face à des conditions de sécheresse exceptionnelles. Les données météorologiques de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) montrent que mai 2022 est à égalité pour le mois de mai le plus chaud jamais enregistré dans l'État, avec mai 2018.
Des conditions météorologiques anormales causant des problèmes agricoles
Le manque de pluie entraîne une baisse de la production agricole et une diminution des niveaux d'humidité dans le sol.
"Nous ne pouvons pas tromper ce que Mère Nature nous envoie", a déclaré Lloyd Arthur, qui possède une ferme de coton à environ 30 miles à l'extérieur de Lubbock. « 2022 en a été une pour le livre des records. Nous avons toujours comparé les années à 2011, en ce qui concerne les sécheresses et autres, mais 2022 est pire. Nous n'avons pas d'humidité souterraine.
Les conditions de sécheresse ont affecté l'ouest du Texas depuis août 2021. La région a reçu quelques précipitations au cours des dernières semaines, mais cela ne suffit pas pour sortir la région de ses conditions de sécheresse extrêmes. En mai, la région n'a reçu qu'environ trois pouces de pluie.
"Le moment de la plantation est venu et nous avons eu quelques pluies, mais ce furent des épisodes de pluie de courte durée", a déclaré Arthur. «Cela nous a en quelque sorte donné un petit faux espoir. Nous étions si secs, sans humidité en dessous, qu'une grande partie de la pluie s'est écoulée. Il espère toujours avoir une bonne récolte cette année. Certaines parties de sa ferme ont pu faire pousser des cultures.
Victor Murphy, responsable du programme des services climatiques pour la NOAA, a noté qu'il est valable pour des agriculteurs comme Arthur de craindre que la sécheresse en cours soit pire que la sécheresse de 2011.
RépondreSupprimer"J'ai attendu un moment pour dire cela parce que certaines parties de l'État ont eu de bonnes précipitations en mai. Mais vu que juin est aussi sec qu'il l'a été, nous sommes en fait en avance sur 2011 en ce moment », a déclaré Murphy. Sa préoccupation actuelle est que la sécheresse actuelle pourrait durer trop longtemps et créer un cycle de rétroaction dont il serait difficile de sortir.
Ce cycle peut faire en sorte que toute précipitation dans la région puisse s'évaporer avant qu'elle n'atteigne le sol, ce qui a un impact critique sur l'agriculture. Même les cultures qui peuvent pousser dans des conditions exceptionnellement sèches pourraient ne pas pouvoir survivre sans irrigation.
"Si vous restez assez longtemps sans aucune pluie, le sol devient très sec", a déclaré Murphy. "Donc, quelle que soit la chaleur qui descend, elle ne fait que remonter. Je pense que l'état du Texas dans son ensemble est actuellement très sensible à cela, et c'est ce qui s'est passé en 2011 aussi.
Regardez cette vidéo sur la sécheresse et ses effets sur le lac Mead.
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Red Pill sur Brighteon.com.
Articles plus connexes :
Le lac Mead est à moins de 150 pieds de devenir une « piscine morte », rendant une grande partie du sud-ouest des États-Unis inhabitable.
La demande incontrôlée d'eau du système du fleuve Colorado menace les moyens de subsistance des habitants près de Green River.
La consommation d'électricité au Texas dépasse le record de tous les temps au milieu d'une chaleur torride… mais le réseau tient bon pour l'instant.
Le Texas frappé par la sécheresse reçoit enfin de la pluie, mais cela ne suffira peut-être pas à sauver les récoltes et le bétail.
Le gouvernement approuve une opération « d'ensemencement de nuages » de contrôle météorologique au Nouveau-Mexique dans une tentative désespérée de créer des précipitations.
Les sources comprennent :
AgWeb.com
HoustonPublicMedia.org
TexasTribune.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-30-texas-drought-could-eclipse-drought-of-2011.html
HAARP n'est pas là que pour localiser les nappes de pétrole à 5 ou 6000 m sous la mer (longueur, largeur, profondeur, hauteur, pression, qualité, température, etc) mais aussi (suivant le principe de Nikola Tesla) faire pleuvoir là où il ne pleut pas, empêcher la pluie de tomber là où il y en a déjà trop, etc, etc.Donc: puisque existe la technologie scalaire s'il y a une zone de sécheresse c'est la moindre des choses qu d'intervenir sauf, sauf bien sûr si c'est fait exprès !
SupprimerLes prix du gaz naturel devraient TRIPLER en Allemagne alors que l'Europe de l'Ouest coupe son propre approvisionnement en énergie depuis la Russie
RépondreSupprimerJeudi 30 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) D'ici 2023, les prix du gaz naturel dans certains pays européens pourraient doubler, voire tripler, car ils refusent de l'acheter à la Russie en roubles.
Marcell Göttert d'Agenda Austria, un institut de recherche basé à Vienne, a déclaré que l'Autriche, qui dépend fortement des exportations énergétiques russes, verra plus que probablement un doublement des coûts avant la fin de l'année. L'Allemagne voisine est dans le même bateau, même si ses coûts pourraient tripler.
Il faudra au moins jusqu'en 2024 avant que les prix ne se stabilisent, et encore moins ne diminuent. Et c'est le meilleur scénario, ce qui signifie que cela pourrait prendre beaucoup plus de temps pour voir tout type de soulagement.
Les consommateurs autrichiens paient déjà environ 60 % de plus pour le gaz naturel que l'année dernière. L'Allemagne est dans un état encore pire, ce qui a incité le ministre de l'Action pour le climat, Robert Habeck, à annoncer que le pays est désormais dans une situation d'urgence de niveau deux.
"Nous sommes dans une crise du gaz", a déclaré Habeck. « Le gaz est désormais une denrée rare. Les prix sont déjà élevés et nous devons nous préparer à de nouvelles augmentations.
Habeck a ensuite blâmé le président russe Vladimir Poutine. C'est la faute de Poutine si l'Allemagne refuse d'acheter de l'énergie en roubles, a affirmé Habeck.
"Nous ne devons pas nous faire d'illusions : couper l'approvisionnement en gaz est une attaque économique contre nous de la part de Poutine", a déclaré Habeck. "C'est clairement la stratégie de Poutine de créer de l'insécurité, de faire grimper les prix et de nous diviser en tant que société."
Si l'Europe de l'Ouest veut maintenir le chauffage cet hiver, elle devra revenir à un modèle d'énergie non verte
Une grande partie de l'Europe de l'Ouest, fièrement passée au « vert », doit maintenant revenir au charbon pour répondre à la demande d'électricité. Cela aussi est le résultat de son refus de jouer le jeu avec la Russie.
Au lieu d'abandonner les sanctions et d'accepter de coopérer avec la Russie, l'Europe occidentale redouble d'efforts pour priver ses citoyens d'une énergie bon marché et abondante. En conséquence, le continent fait face à un effondrement potentiel dans les prochains jours.
RépondreSupprimer"Pour réduire la consommation de gaz, moins de gaz doit être utilisé pour produire de l'électricité", a ajouté Habeck. « Les centrales électriques au charbon devront être davantage utilisées à la place. C'est amer, mais il est simplement nécessaire dans cette situation de réduire la consommation de gaz.
L'Allemagne avait précédemment annoncé son intention d'éliminer complètement toutes ses centrales électriques au charbon afin de créer une utopie verte. Ces plans devront désormais rester en attente jusqu'à ce que le pays puisse trouver un autre moyen d'importer de l'énergie non verte d'un endroit autre que la Russie et continuer à faire semblant de rendre service à la planète.
Soit cela, soit l'Allemagne devra rallumer toutes ses propres centrales énergétiques non vertes. Si ce n'est pas le cas, il y aura certainement une crise d'extinction des feux une fois que les mois d'hiver froids arriveront plus tard cette année.
"Il n'y a pas seulement une crise énergétique qui se déroule, mais aussi une crise de pénurie alimentaire", a écrit un lecteur de Breitbart News. "Les "élites" ne laisseront pas se perdre une guerre commode qu'elles ont planifiée puisqu'elles ont intégré la famine dans leur feuille de route pour un nouvel ordre mondial."
Un autre a souligné qu'il existe également un modèle de déclin démographique à long terme et de réductionnisme. En d'autres termes, toutes ces pénuries et famines imminentes sont délibérées.
"Le changement climatique, la prétendue crise climatique et les réparations climatiques sont collectivement le plus grand canular jamais perpétré contre les masses", a ajouté un autre. "C'est tout artificiel de détruire le monde occidental libre."
Les dernières nouvelles sur la crise de l'énergie peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources comprennent :
Breitbart.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-30-natural-gas-prices-triple-germany-collapse-energy.html
Il suffit de jeter de l'argent : AEMO demande un don de 12 milliards de dollars pour construire 10 000 km de nouvelles lignes de transmission pour les énergies renouvelables
RépondreSupprimerJuly 1st, 2022
En effet, l'AEMO (l'opérateur australien du marché de l'énergie) est l'agence de publicité financée par les contribuables pour l'industrie des énergies renouvelables. Le but du dernier super-rapport de l'AEMO, apparemment, est d'amener les contribuables ou les consommateurs australiens à payer la facture des lignes à haute tension dont l'industrie peu fiable a désespérément besoin mais ne peut pas se payer elle-même.
L'AEMO a déclaré que nous devions nous précipiter pour débourser 12,7 milliards de dollars pour construire de nouvelles interconnexions en Australie. C'est 500 $ de chaque homme, femme et enfant et appelons-le ce que c'est, une carte-cadeau pour l'industrie des énergies renouvelables. Le bénéfice net de tout cet argent sera de permettre aux installations industrielles éoliennes et solaires de connecter leur produit peu fiable au réseau que nous avons déjà, et aux produits de stockage que nous devons encore payer, et tout cela pour que leurs électrons verts fassent le temps 0,0 degrés plus frais en cent ans. Les Australiens vivants aujourd'hui paieront maintenant et n'obtiendront essentiellement rien d'autre que des vues sur plus de fils et de flèches en acier entrecroisés, et plus de tours à vent aussi. Chantez Alléluia.
Le Blueprint de 104 pages imagine toutes sortes de scénarios, à l'exception d'un véritable marché libre, d'une véritable concurrence, du choix du consommateur ou de la pertinence d'utiliser notre réseau national comme contrôleur climatique mondial. Il s'agit d'un document fantastique qui comprend quatre saveurs de glaces électriques du futur : "Slow", "Progressive", "Step" ou "Hydrogen Superpower". Est-ce que ce sera une double boule avec une garniture Spiderman? Oui, en effet - et avec 28 milliards de dollars d'économies imaginaires à faire. Le mot blackout n'apparaît pas de fois. Il n'y a pas non plus de scénario pour un réseau électrique « rentable ». (Souvenir?)
- voir graph sur site -
Le fantasme Hydrogen Superpower vient tout droit de la bande dessinée Marvel. Attendez de voir Figure 12 - Hulk frappe la grille australienne, ou au moins griffonne des lignes sauvages sur un graphique. Est-ce un réseau de 500 gigawatts 100% renouvelable d'ici 2050 ou juste Hopium je vois…
Superpuissance hydrogène
Il est rare de voir autant d'absurdités abjectes dans une seule histoire. Perry Williams de The Australian vient de prendre le prospectus indésirable et de le publier :
Mettez les énergies renouvelables sur la voie rapide, déclare l'AEMO
RépondreSupprimerL'Australie doit accélérer le passage du charbon aux énergies renouvelables et au stockage et sanctionner d'urgence plus de 10 milliards de dollars de projets de transmission pour échapper à la menace persistante de pannes d'électricité et de prix élevés de l'électricité dans un contexte de crise énergétique nationale.
Suivez la logique : si le fait d'avoir un peu moins de charbon provoque une crise, alors comment exactement, l'absence de charbon la résoudra-t-elle ?
L'opérateur australien du marché de l'énergie, qui gère le réseau électrique national, a déclaré que le pays subissait un changement "complexe, rapide et irréversible" de son système énergétique...
Est-ce le même « changement irréversible » qui s'inverse actuellement dans toute l'Europe ? Celui où l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni, l'Autriche et la Pologne utilisent tous plus de charbon.
Et le suivi n'est-il pas juste un peu effrayant ?
un irréversible »… qui nécessiterait une multiplication par neuf de la capacité éolienne et solaire d'ici 2050 pour atteindre les objectifs nationaux de zéro émission nette.
Apparemment, ce genre de transition irréversible «rapide» n'est qu'à 11% de la porte de départ, mais tombe déjà, coûte une bombe, et nous devons le faire neuf fois plus.
Mais attendez. Les énergies renouvelables rendront non seulement les inondations plus agréables et les poissons plus heureux, mais cela nous rendra plus sûrs des ennemis ?
"Une source d'énergie qu'aucune situation géopolitique ne peut interrompre par rapport à nos chaînes d'approvisionnement et c'est le soleil sur nos terres et le vent sur et au large de nos côtes. C'est une bonne sécurité énergétique et le stockage est une question de sécurité nationale », a déclaré M. Bowen au National Press Club.
Et si l'ennemi attaquait juste la nuit et quand il n'y avait pas de vent ? Sauf qu'ils n'auront probablement pas à attaquer du tout. Alors que nous faisons faillite, ils peuvent simplement acheter la nation sous nos ordres.
C'est reparti : l'AEMO appelle le charbon et le gaz volatils, et les énergies renouvelables bon marché
La crise de l'approvisionnement énergétique qui a forcé la suspension du marché de l'électricité du pays pour la première fois ce mois-ci a souligné la nécessité pour le réseau électrique australien de réduire son exposition aux matières premières volatiles du charbon et du gaz et d'accélérer les énergies renouvelables bon marché soutenues par le stockage, dit l'AEMO.
Le prix du charbon et du gaz n'est pas volatil, il ne monte pas et ne baisse pas, il a augmenté et est resté élevé - parce que c'est tellement essentiel, tout le monde doit l'avoir et ils veulent plus que ce qu'ils peuvent obtenir. Et le vrai prix des énergies renouvelables n'est pas bon marché, il est juste caché - comme ce rapport géant prétend cacher que douze milliards de dollars d'interconnexions sont des parties entièrement frivoles d'un bon réseau alimenté par une alimentation centralisée fiable. Nous n'en avons pas besoin : l'industrie des énergies renouvelables en a besoin.
RépondreSupprimerC'est comme un fourre-tout de platitudes énergétiques
«Je pense que les événements récents en Australie et à l'étranger viennent vraiment de souligner le besoin urgent d'investissements dans les énergies renouvelables, le raffermissement et la transmission afin que nous puissions nous dissocier de ces facteurs internationaux et fournir aux foyers et aux entreprises australiens les services les plus abordables, les plus sûrs et les plus fiables. l'énergie », a déclaré le directeur général d'AEMO, Daniel Westerman, à The Australian.
Depuis quand le charbon et le gaz étaient-ils un « facteur international » pour une nation qui est le premier exportateur mondial de charbon et le troisième pour le gaz ?
Les coûts de ces interconnexions renouvelables sont faramineux
Il suffit de jeter de l'argent :
- voir carte sur site -
Liste de souhaits de transmission d'AEMO
Le lien Marinus à travers le détroit de Bass coûtera au moins 3,8 milliards de dollars et ne générera aucun watt d'électricité. Théoriquement, cela permettra de faire passer 1,5 GW d'électricité, mais pour le même prix, nous pourrions construire une toute nouvelle centrale à charbon avancée à la place. Divers gouvernements ici ont déjà dépensé 200 millions de dollars rien que pour l'étude de faisabilité. Il y a dix ans, ils pouvaient presque construire une usine à gaz entière pour cela, une usine qui ne serait pratiquement pas inutile pendant cinq mois d'affilée si un requin la mâchait.
Le lien VNI coûtera entre 2 et 3 milliards de dollars et permettra à des groupes d'investisseurs dans les énergies renouvelables de réaliser des bénéfices qu'ils n'auraient pas pu réaliser autrement. Humelink sera une sorte de cauchemar de 3 à 5 milliards de dollars.
Les non fiables sont morts sans ces nouvelles lignes de transmission :
Pour mettre les choses en perspective, un grand patron très agacé de Snowy Hydro n'était pas satisfait de la version préliminaire de ce document il y a quelques mois et s'est plaint que l'AEMO ne poussait pas assez fort pour un «investissement» plus rapide dans la ligne VNI qui, ahem , se trouve juste être plus proche du Snowy Scheme, et dont ils voulaient bien plus que le lien avec leurs concurrents en Tasmanie. Dans cette plainte, il a tranquillement révélé que ces lignes de transmission sont essentielles dans une sorte de vie ou de mort pour les énergies renouvelables.
RépondreSupprimer[Snowy Hydro] a précédemment averti que le manque de transmission pourrait tuer la transition vers les énergies renouvelables – avec une série d'acteurs majeurs pesant dans le débat – et a désigné les préoccupations concernant les infrastructures comme un problème majeur auquel il faut faire face pour garantir que les approvisionnements peuvent être acheminés vers utilisateurs.
Les développeurs d'énergies renouvelables et les opérateurs de réseau craignent qu'un pipeline de production d'électricité et d'approvisionnement en énergie propre ne soit confronté à des retards ou à une impasse à moins que de grands projets de transmission d'électricité ne soient livrés dans le système électrique national.
–The Australian Feb 9th 2022
REFERENCE
AEMO 2022 Integrated System Plan (ISP), Press release
https://joannenova.com.au/2022/07/just-throw-money-aemo-demands-12b-gift-to-build-10000-km-of-new-transmission-lines-for-renewables/
VIDÉO. « War Plan Red »: Le plan des États-unis pour envahir le Canada (1930-39): Michel Chossudovsky
RépondreSupprimerPar Prof Michel Chossudovsky
Mondialisation.ca, 30 juin 2022
Fête du Canada 2022 : Nous devons réfléchir sur notre histoire. La plupart des Canadiens ne savent pas que les États-Unis d’Amérique avaient formulé en 1924 un plan soigneusement conçu pour envahir le Canada et bombarder Montréal, Québec, Halifax et Vancouver.
Ce qui a été délibérément omis de nos manuels d’histoire dans les écoles, les collèges et les universités, c’est que notre voisin du Sud avait envisagé un plan détaillé pour envahir le Canada. L’utilisation de « gaz toxique » faisait partie de ce projet.
Le plan de guerre rouge a été officiellement approuvé par le département américain de la guerre en mai 1930.
Le projet de 1928 stipulait qu’« il devrait être bien clair pour le Canada que, dans une guerre, il souffrirait gravement » .
Et devinez qui était chargé de planifier les bombardements de Vancouver, Montréal, Halifax et la Ville de Québec.
Le général Douglas MacArthur qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, a été chargé de mener la guerre du Pacifique et de coordonner les bombardements intensifs des villes japonaises (1941-1945).
War Plan Red (1930-39) visait explicitement la conquête du Canada.
« La mission de l’armée américaine, [écrite en majuscules], était « ENFIN, D’OBTENIR LE CONTRÔLE COMPLET DE CRIMSON [Canada] ».
- voir sur site -
Video Lux Media
Le plan de guerre dirigé contre le Canada initialement formulé en 1924 s’intitulait « Joint Army and Navy Basic War Plan — Red ». Il a été approuvé par le département américain de la guerre sous la présidence d’ Herbert Hoover en 1930.
Il a été mis à jour en 1934 et 1935 sous la présidence de Franklin D. Roosevelt. Il a été retiré en 1939 (mais pas aboli) après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.
Voir:
Fête du Canada 2022 : Le plan insidieux de Washington pour envahir le Canada et bombarder Montréal, Vancouver, Halifax et Québec (1930-39)
Par Prof Michel Chossudovsky, 30 juin 2022
https://www.mondialisation.ca/video-war-plan-red-le-plan-des-etats-unis-pour-envahir-le-canada-1930-39-michel-chossudovsky/5669400
Rand Corp : comment abattre la Russie
RépondreSupprimerL'art de la guerre
Par Manlio Dinucci
Mondialisation.ca, 30 juin 2022
Cet article de Manlio Dinucci publié initialement le 21 mai 2019 demeure d’actualités en expliquant ce qui se cache derrière le conflit OTAN-Russie 2022 (guerre en Ukraine).
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Contraindre l’adversaire à s’étendre excessivement pour le déséquilibrer et l’abattre : ce n’est pas une prise de judo mais le plan contre la Russie élaboré par la Rand Corporation, le plus influent think tank étasunien qui, avec un staff de milliers d’experts, se présente comme la plus fiable source mondiale de renseignement et d’analyse politique pour les gouvernants des États-Unis et leurs alliés.
La Rand Corp* se vante d’avoir contribué à élaborer la stratégie à long terme qui permit aux États-Unis de sortir vainqueurs de la guerre froide, en contraignant l’Union Soviétique à consommer ses propres ressources économiques dans la confrontation stratégique. C’est de ce modèle que s’inspire le nouveau plan, “Overextending and Unbalancing Russia”, publié par la Rand. Selon ses analystes, la Russie reste un puissant adversaire des États-Unis dans certains domaines fondamentaux. Pour cela les USA doivent poursuivre, avec leurs alliés, une stratégie d’ensemble à long terme qui exploite ses vulnérabilités. Ainsi va-t-on analyser divers moyens pour obliger la Russie à se déséquilibrer, en indiquant pour chacun les probabilités de succès, les bénéfices, les coûts et les risques pour les USA.
Les analystes de la Rand estiment que la plus grande vulnérabilité de la Russie est celle de son économie, due à sa forte dépendance par l’exportation de pétrole et de gaz, dont les recettes peuvent être réduites en alourdissant les sanctions et en augmentant l’exportation énergétique étasunienne. Il s’agit de faire e sorte que l’Europe diminue l’importation de gaz naturel russe, en le remplaçant par du gaz naturel liquéfié transporté par mer depuis d’autres pays.
Une autre façon de nuire dans le temps à l’économie de la Russie est d’encourager l’émigration de personnel qualifié, notamment des jeunes Russes avec un niveau élevé d’instruction. Dans le domaine idéologique et informatif, il faut encourager les contestations internes et en même temps miner l’image de la Russie à l’extérieur, en l’excluant de forums internationaux et en boycottant les événements sportifs internationaux qu’elle organise.
Dans le domaine géopolitique, armer l’Ukraine permet aux USA d’exploiter le point de plus grande vulnérabilité extérieure de la Russie, mais cela doit être calibré pour garder la Russie sous pression sans arriver à un grand conflit dans lequel elle aurait le dessus.
Dans le domaine militaire les USA peuvent avoir des bénéfices élevés, avec des coûts et des risques bas, par l’accroissement des forces terrestres des pays européens de l’OTAN dans une fonction anti-Russie. Les USA peuvent avoir de hautes probabilités de succès et de forts bénéfices, avec des risques modérés, surtout en investissant majoritairement dans des bombardiers stratégiques et missiles d’attaque à longue portée dirigés contre la Russie.
Sortir du Traité FNI et déployer en Europe de nouveaux missiles nucléaires à portée intermédiaire pointés sur la Russie leur assure de hautes probabilités de succès, mais comporte aussi de hauts risques.
RépondreSupprimerEn calibrant chaque option pour obtenir l’effet désiré -concluent les analystes de la Rand- la Russie finira par payer le prix le plus haut dans la confrontation avec les USA, mais ceux-ci aussi devront investir de grosses ressources en les soustrayant à d’autres objectifs. Ils pré-annoncent ainsi une forte augmentation ultérieure de la dépense militaire USA/OTAN aux dépens des dépenses sociales.
Voilà l’avenir que nous trace la Rand Corporation, le think tank le plus influent de l’État profond, c’est-à-dire du centre souterrain du pouvoir réel détenu par les oligarchies économiques, financières et militaires, celui qui détermine les choix stratégiques non seulement des USA mais de tout l’Occident.
Les “options” prévues par le plan ne sont en réalité que des variantes de la même stratégie de guerre, dont le prix en termes de sacrifices et de risques est payé par nous tous.
Manlio Dinucci
Article original en italien :
Rand Corp: come abbattere la Russia
Édition de mardi 21 mai 2019 de il manifesto
https://ilmanifesto.it/rand-corp-come-abbattere-la-russia/ plus
Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
*La RAND Corporation : Research ANd Development (recherche et développement)
https://www.mondialisation.ca/rand-corp-comment-abattre-la-russie/5633706
Non, l’OTAN n’est pas prête à faire la guerre
RépondreSupprimerle juillet 1, 2022
par Wayan
Par Moon of Alabama – Le 30 juin 2022
J’ai bien ri en lisant cette absurdité :
L’OTAN va porter le nombre de soldats en état d’alerte à plus de 300 000 selon Stoltenberg
BRUXELLES (Reuters) – L’OTAN va multiplier par plus de sept le nombre de ses soldats en état d’alerte pour le porter à plus de 300 000, a déclaré lundi son secrétaire général, alors que les alliés se préparent à adopter une nouvelle stratégie décrivant Moscou comme une menace directe, quatre mois après le début de la guerre en Ukraine. …
Stoltenberg a déclaré que l’OTAN disposerait à l’avenir de « bien plus de 300 000 » soldats en état d’alerte, bien au-delà des 40 000 soldats qui constituent actuellement la force de réaction rapide de l’alliance, la Force de réaction de l’OTAN (NRF).
Ce nouveau groupement de force est censé remplacer la NRF et « fournir un plus grand réservoir de forces à haut niveau de préparation dans tous les domaines, terrestre, maritime, aérien et cybernétique, qui seront préaffectées à des plans spécifiques pour la défense des alliés« , a déclaré un responsable de l’OTAN.
L’OTAN ne dispose pas de 300 000 soldats à mettre en état d’alerte. Les troupes sont contrôlées par les États membres et je ne vois aucune volonté de leur part d’assumer les coûts qu’entraînerait un véritable statut de haute alerte. Des unités en état d’alerte élevée signifient qu’elles sont dotées d’un effectif complet, sans personne en vacances, et qu’elles disposent de suffisamment de fournitures pour soutenir des semaines de combat. Tout cela coûte de l’argent. Les États membres désigneront plutôt les unités existantes comme des unités de « haute alerte » et ne changeront rien à leur équipement et à leurs entraînements habituels.
Cette déclaration n’est que du vent pour les relations publiques de l’OTAN. Stoltenberg n’a même pas demandé ou informé les États membres avant de faire cette annonce :
L’annonce de Stoltenberg a pris les hauts responsables de la défense de nombreux membres de l’OTAN au dépourvu, les amenant à se demander lesquelles de leurs forces, le cas échéant, étaient incluses dans le chiffre de 300 000.
« Peut-être s’agit-il d’un chiffre magique ? » a déclaré un haut responsable européen de la défense qui, comme d’autres, s’est exprimé sous couvert d’anonymat pour parler franchement de la confusion.
Plusieurs hauts responsables européens de la sécurité ont déclaré avoir été pris par surprise, sans avoir été informés à l’avance du projet d’élargir la force de réaction rapide de l’OTAN, qui compte actuellement 40 000 hommes, sous couvert de guerre en Ukraine et de menaces militaires permanentes de la Russie contre le territoire de l’OTAN.
C’est l’une des idées typiques des bureaucrates de l’OTAN qui vivent dans leur monde imaginaire. C’est pour eux que le président français Macron a qualifié l’état de l’OTAN de « mort cérébrale« . Et non, ce n’est vraiment rien de plus qu’une idée :
RépondreSupprimerUn responsable de l’OTAN, s’exprimant sous couvert d’anonymat, conformément aux règles de base de l’alliance, a déclaré que les chiffres spécifiques à chaque pays devaient encore être précisés. Même le total de 300 000 est théorique pour le moment : « Le concept n’a pas encore été entièrement élaboré« , a déclaré le responsable. « Nous devrons faire davantage pour construire le modèle avant de pouvoir déterminer quels peuvent être les engagements nationaux. »
Malgré cela, la ministre allemande de la Défense, Christine Lambrecht, a déjà déclaré que son pays offrirait 15 000 soldats, soit une division complète.
Lambrecht n’a rien offert. Elle va apposer la fausse étiquette « haute alerte » sur une division existante et ne changera rien d’autre. Le fait qu’elle ait fait cela est en fait assez révélateur. Si l’Allemagne, l’un des plus grands pays de l’OTAN, ne propose qu’un élément de la taille d’une division, d’où viendront les 19 autres éléments de la taille d’une division qui sont nécessaires pour constituer une force de 300 000 hommes ? Existent-ils seulement ?
L’OTAN n’est plus que l’ombre d’elle-même. Les États membres ne disposent plus que de quelques troupes pouvant être désignées pour travailler sous l’égide de l’OTAN. Même celles-ci manquent de munitions et d’armes en stock pour compenser les pertes éventuelles. Certains n’ont même plus les industries nécessaires pour fabriquer davantage de systèmes et de grenades. Ils sont également incapables d’en fabriquer de nouveaux qui soient adaptés à leurs besoins.
Aucune des armes « modernes », grandes ou petites, qui ont été données à l’Ukraine n’a fait la différence. Les javelins avaient des batteries vides, les armes antichars britanniques NLAW étaient trop faibles pour vaincre les blindés russes. Les drones suicide Switchblade ne sont pas contrôlables dans les conditions de guerre électronique russes. Les missiles Stinger ont des capteurs thermiques trop lents pour acquérir une cible en mouvement rapide. Les obusiers « légers » M-777 sont trop légers pour les conditions réelles de combat et ont tendance à se briser.
Les pays de l’OTAN ont investi trop d’argent dans leurs forces aériennes qui seront incapables de percer les excellentes défenses aériennes de la Russie. La défense aérienne de l’OTAN est en revanche trop faible. Il suffit de demander aux Saoudiens si leurs systèmes Patriot ont bien fonctionné contre les drones yéménites. Ces systèmes ne peuvent rien contre les missiles de moyenne portée de la Russie. Des systèmes comme Iskander et Kalibr, dont la Russie dispose en grand nombre, sont difficiles à trouver dans les armées de l’OTAN.
Quelle est la dernière fois que des unités de l’OTAN se sont entraînées dans des conditions de guerre électronique ?
RépondreSupprimerLe New York Times a interrogé près de deux douzaines de soldats ukrainiens au cours des dernières semaines, qui ont tous fait état de problèmes similaires : Les Russes brouillaient constamment leurs radios, ils n’avaient pas assez de matériel de communication et ils avaient souvent du mal à joindre un commandant pour demander un soutien d’artillerie. La communication avec les unités stationnées à proximité était également un problème, ont-ils dit, ce qui a conduit les forces ukrainiennes à tirer occasionnellement les unes sur les autres. …
Le général a déclaré que ses deux radios disponibles dans le commerce étaient constamment brouillées. « Ils utilisaient un signal plus fort sur la même fréquence« , a-t-il dit.
Les troupes des unités plus spécialisées ont reçu des radios cryptées fournies par les États-Unis et peuvent se parler sans entrave, a déclaré un soldat, mais la puissance élevée de la radio signifie que les Russes peuvent trouver les endroits d’où ils émettent.
« C’est pourquoi nous avons cessé de communiquer et n’avons communiqué que le minimum nécessaire, par exemple si une évacuation était nécessaire ou une aide urgente« , a ajouté le soldat, qui se fait appeler Raccoon.
Matériellement, l’OTAN n’est pas prête à combattre. Politiquement, elle n’est pas non plus prête.
John Helmer cite des extraits d’une interview de l’ancien chef d’état-major de l’armée polonaise, Miecyslaw Gocul :
Vous vous plaignez, et [le secrétaire général de l’OTAN] Jens Stoltenberg a annoncé : « Le sommet de l’OTAN à Madrid sera révolutionnaire. Avec un nouveau concept stratégique, nous apporterons un changement fondamental à la dissuasion et à la défense de l’OTAN. »
Avant le sommet de l’OTAN à Varsovie [en 2016]), pendant le comité militaire du Pacte, j’ai demandé à Stoltenberg : « quelles seront les garanties pour le flanc oriental ? Il a répondu par une question : qu’est-ce que la Pologne attend d’autre ? J’ai répondu sans détour : la sécurité et la prospérité, c’est-à-dire ce que veulent les autres pays assis à la table. »
Tout comme à l’époque, j’entends aujourd’hui les mêmes slogans, tels que « faire plus avec moins ». Il y a aussi d’autres appels qui sonnent bien, mais ce ne sont que des slogans politiques calculés pour obtenir une réaction positive de l’opinion publique et minimiser les coûts. Ils n’apportent pas vraiment de solutions politiques et militaires. …
RépondreSupprimerAujourd’hui, la tension entre la Russie et la Lituanie augmente, car les sanctions bloquent de plus en plus l’Oblast de Kaliningrad. Pourrait-il s’agir d’un point chaud ?
Si Poutine voulait déclencher une guerre plus grande et décidait de couper un couloir à travers les Baltes vers le district de Kaliningrad, au niveau du couloir de Suwałki, quelles forces pourraient l’arrêter ? Les forces de la Lituanie, de la Lettonie, de l’Estonie et de la Pologne pourraient-elles arrêter Poutine ? Pas du tout. Poutine ne sera pas arrêté par les Américains, qui ne sont présents sur le flanc Est qu’en petit nombre. Je le répète, la Russie ne parle et ne calcule qu’avec des pays et des organisations forts. Et l’OTAN dans notre région est faible.
Elle l’est en effet. Et à l’exception de quelques têtes brûlées d’Europe de l’Est, tout le monde espère qu’elle le restera. Aucun des grands pays membres de l’OTAN ne veut d’une grande guerre contre la Russie. Dont les États-Unis. Alors pourquoi s’y préparer ? Pourquoi acheter des armes qui ne seront jamais utilisées ?
De l’autre côté, la Russie ne veut rien de l’Europe. Elle n’a pas une idéologie expansionniste. Elle veut qu’on la laisse tranquille.
L’OTAN est une relique de la guerre froide qui a été maintenue en vie pour donner aux États-Unis certains avantages politiques. Son véritable objectif n’a jamais changé : maintenir l’Allemagne à terre, la Russie en dehors et les États-Unis en Europe [ Et aussi maintenir de hauts profits pour les industries de l’armement, NdT]. Cela ne changera que lorsque l’Europe occidentale commencera à se rebeller contre elle.
Malheureusement, les chances que cela se produise sont faibles.
Moon of Alabama
Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone
https://lesakerfrancophone.fr/non-lotan-nest-pas-prete-a-faire-la-guerre
Les contribuables français vont aimer …
RépondreSupprimerle 1 juillet 2022
La Russie a récupéré deux canons automoteurs français Caesar revendus par l’Ukraine, par Christelle Néant.
Confirmant des rumeurs qui circulaient depuis plusieurs jours, la chaîne Telegram Rybar et des sources militaires françaises ont confirmé que deux canons automoteurs Caesar français fournis par Paris à l’Ukraine avaient été revendus par cette dernière, et qu’ils ont fini en Russie où ils sont actuellement décortiqués.
Le 20 juin 2022, l’avocat français Régis de Castelnau publiait sur Twitter un post annonçant que la Russie avait mis la main sur deux canons automoteurs Caesar que la France avait fournis à l’Ukraine.
Sur le coup l’information semblait trop énorme, et il n’y avait pas de confirmation, jusqu’au 23 juin, lorsque la compagnie Ouralvagonzavod citée dans le tweet de Régis de Castelnau a répondu avec son compte officiel sur la chaîne Telegram de l’avocat français.
« Bonjour, Monsieur Régis.
Veuillez transmettre nos remerciements au Président Macron pour le don des canons automoteurs.
Ce matériel n’est bien sûr pas tip top… pas comme notre MSTA-S !
Mais néanmoins, il sera utile. Envoyez-en plus – nous les démonterons ».
Le ton ironique du post laissait planer un doute, d’où le fait que je n’avais pas relayé cette information. Jusqu’au 29 juin, lorsque j’ai reçu conjointement confirmation des faits à la fois par Rybar (qui est toujours bien informé), et de sources militaires françaises.
Ainsi on apprend par Rybar comment la Russie a mis la main sur les deux canons automoteurs français Caesar qui avaient été fournis à l’Ukraine. Sur l’ensemble des canons Caesar qui ont été fournis à Kiev, il s’avère que trois ont été détruits lors de frappes aériennes sur Kourakhovo, un a été détruit sur l’île Koubanski dans la région d’Odessa et deux ont été vendus pour le prix ridicule de 120 000 dollars pièce !
Pour information un canon automoteur Caesar vaut environ 7 millions d’euros ! Donc la France a fourni pour 14 millions d’euros deux canons automoteurs Caesar qui ont été revendus pour 240 000 dollars. Les contribuables français apprécieront de savoir que leurs impôts servent à payer une telle gabegie !
Il y a fort à parier que les canons ont été revendus à un intermédiaire (groupe armé ou marchand d’armes) qui a lui même revendu les canons automoteurs à la Russie, qui peut maintenant les démonter, et les analyser. Ce qui présente un intérêt pour Moscou c’est le système de guidage et de coordination des tirs du canon automoteur Caesar.
Voilà à quoi a mené la bêtise des autorités françaises couplée à la corruption endémique en Ukraine : la Russie va pouvoir analyser et potentiellement copier les systèmes de guidage et de coordination du canon automoteur Caesar. Bravo !!!
RépondreSupprimerEt cerise sur le gâteau non seulement cette fourniture de canons automoteurs a dépouillé plusieurs unités françaises de leur artillerie (certaines n’ont plus qu’un Caesar en leur possession), mais en prime, une partie de ces pièces d’artillerie étaient destinées au Maroc dans le cadre de contrats gouvernementaux, et le reste avait été retiré du service.
Voilà le niveau d’incompétence d’Emmanuel Macron ! Non seulement il a achevé de détruire les relations franco-russes en disant d’un ton méprisant à Vladimir Poutine quatre jours avant le lancement de l’opération militaire russe qu’il s’en foutait des propositions des séparatistes (violant ainsi les accords de Minsk) et qu’il ne savait pas où son juriste a appris le droit – alors que je rappelle que le président russe est titulaire d’un diplôme en droit de l’université de Leningrad (!!!) – mais en plus il a dépouillé l’armée française pour permettre à quelques Ukrainiens de se remplir les poches et à la Russie de pouvoir faire de la rétro-ingénierie sur les canons automoteurs Caesar !!!
Eh bien heureusement que le surnom d’Emmanuel Macron c’est le « Mozart de la finance », parce que sinon je ne vous raconte pas ce qui se serait passé ! Je rappelle que la France s’est déjà rendue complice des crimes de guerre de l’Ukraine en fournissant à Kiev des canons automoteurs Caesar utilisés contre les zones résidentielles du Donbass, et maintenant grâce à son incompétence crasse, le président français vient d’offrir sur un plateau d’argent ces mêmes canons à un pays désigné par l’OTAN comme une menace ! Bravissimo !
Ce n’est pourtant pas faute d’avoir averti depuis des années, et encore plus depuis le lancement de l’opération militaire spéciale russe, sur le niveau de corruption stratosphérique en Ukraine et le fait que les armes occidentales fournies à Kiev finissent souvent revendues ! Là où les Américains avaient eu l’intelligence de mettre en place un système d’audit régulier des armes qu’ils fournissaient à l’Ukraine avant l’opération militaire spéciale russe, la France a donné ces canons automoteurs Caesar sans aucune mesure de surveillance ! Et encore heureux que c’est la Russie qui les a acquis et pas je ne sais quel groupe terroriste ! Sans cela je vous laisse imaginer ce que ça aurait pu donner ! Voilà le gouvernement d’incompétents pour lequel les Français ont voté pour cinq ans de plus…
Christelle Néant
source : Donbass Insider
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/07/01/les-contribuables-francais-vont-aimer/
C'est le Bilkonomy, stupide
RépondreSupprimerPar Tim Hartnett
1 juillet 2022
"Si un homme a un dollar pour lequel il n'a pas travaillé, un autre homme a travaillé pour un dollar qu'il n'a pas gagné."
Un criminel hébergé par Josef Staline lui-même a diagnostiqué la maladie qui sévit dans l'économie américaine de 2022 en 20 mots il y a 100 ans. Qu'est-ce que cela vous dit sur ce que sont devenus les États-Unis d'Amérique ?
William Dudley "Big Bill" Haywood était un commie né aux États-Unis qui est décédé d'une cirrhose du foie induite par un accident vasculaire cérébral à Moscou le 18 mai 1928. Il a été nommé co-conspirateur pour le meurtre de l'ancien gouverneur de l'Idaho Frank Steunenberg lorsque Harry Orchard a renversé ses tripes dans une confession de 64 pages. Clarence Darrow a obtenu Big Bill, qui était presque certainement coupable, avec l'une de ces sommations généralement venteuses. Le dossier de l'accusation a été affaibli par le bilan d'Orchard en matière de double croisement et de passé sanglant. Quelqu'un payait l'assassin qui cherchait désespérément à esquiver le nœud coulant. Nommer les mauvais noms n'aurait pas été utile pour l'avenir du cou d'Orchard. Haywood l'a reproché à la Russie lorsqu'il a été libéré sous caution face à d'autres accusations des années plus tard.
Adam Smith, Ludwig Mises et Friedrich Hayek n'auraient pas pu s'associer pour le dire plus clairement que Haywood. L'ironie est accentuée par le fait que la plupart des parasites qui s'accrochent à nous maintenant ne sont même pas conscients qu'ils sucent le sang. L'axiome du poker, "Si vous ne savez pas qui est le pigeon, vous êtes le pigeon", a été inversé. Les coupables, qui jaillissent professionnellement à haute voix des démunis, passent juste devant les affamés en se dirigeant vers les pots de chair les plus chers qu'ils peuvent trouver. Ceux qui renoncent à la chair, une fois là-bas, sont les rouleaux les plus sacrés de tous.
Nous vivons à un endroit et à une époque où les gens qui dénoncent publiquement un «salaire décent» et une sous-classe défavorisée sont les mêmes que ceux qui mangent le déjeuner de l'autre moitié. Lorsque les gens ne peuvent pas distinguer le véritable « travail » de la conformité à un système auquel ils sont censés s'opposer, quelqu'un d'autre peine à maintenir leur angoisse idéologique. Informer ces escrocs de ce statu quo est un bon moyen d'être qualifié de "fasciste".
Maintenant, regardons quelques détails. En 1970, le salaire minimum était de 1,60 $ de l'heure. Au cours de la même année, selon le NYT – le troisième succès de Google disant à peu près la même chose BTW – le loyer moyen était de 108 $ par mois. En utilisant ce taux comme norme, un salarié au salaire minimum travaillerait 67,5 heures pour satisfaire le propriétaire en 1970. Aujourd'hui, le salaire minimum est de 7,25 $ l'heure. Les rapports généraux, qui oscillent énormément, placent le loyer moyen à environ 1600 $. Nous traitons ici d'un calcul grossier - toutes choses ne sont pas égales dans cette période de 52 ans. Pourtant, il faudrait 220 heures pour faire un loyer en utilisant le même calcul aujourd'hui.
RépondreSupprimerIl y avait plus de travailleurs au salaire minimum en 1970. Mais il faudrait une augmentation de 75 % pour ramener le loyer à 40 heures. Cette augmentation doit dépasser 400 % pour égaler cinq journées de 8 heures en 2022. Les gars qui posent des briques, encadrent des murs et font passer des tuyaux n'ont pas élargi leur arc sur le diagramme circulaire.
Est-il possible qu'il y ait plus de participants dans l'équation du logement qu'en 1970 ? Si oui, que proposent-ils ? Quels que soient les chiffres que nous trouvons plausibles couvrant cette période, une chose n'est pas discutable. Les disparités en matière de logement sont pires que jamais et les exigences de qualification des locataires sont plus strictes. Nous retrouvons-nous dans un nouvel environnement amélioré compliquant de telles transactions ? Sommes-nous pour ou contre l'itinérance ?
Pourquoi devrait-il être tellement plus difficile maintenant qu'il y a 40 ans de garder un toit au-dessus de la tête ? Un exemple parfait de ce à quoi les producteurs réels sont confrontés se passe à L.A. Une action "caritative" de la municipalité, au profit de ceux qui ne contribuent en rien à l'économie locale, s'est transformée en une autre opportunité juteuse pour les intrigants déjà riches qui ne contribuent en rien à l'économie locale. Un plan pour loger les sans-abri a atteint un coût de 837 000 $ par unité. Pas étonnant que les autorités du Golden State ferment les yeux sur le vol à l'étalage. Ceux qui sauvent les démunis volent d'honnêtes citoyens en usant d'angles parfaitement légaux.
Lorsque le gouvernement et d'autres organisations soi-disant «à but non lucratif» s'affairent à inventer des postes inutiles qui paient dans les six chiffres, tous les autres qui ont un pouvoir de négociation doivent augmenter les enjeux pour suivre le rythme. Quiconque consacre une semaine complète à produire des biens et des services dont nous avons tous besoin fera une offre sur le marché du logement contre ceux qui ont des sinécures.
Ces jours-ci, vous voyez un médecin spécialiste pendant cinq minutes pour être informé "ça guérit naturellement, revenez dans deux semaines" à 300 $ le crack. Le doc ne fait que maintenir le rythme. D'autres ont obtenu une licence pour imprimer de l'argent avec beaucoup moins d'efforts et sont aujourd'hui la force inflationniste numéro un. Les partisans du relèvement perpétuel du plafond de la dette ne veulent pas que quiconque s'en aperçoive. Lorsque les pouvoirs en place déclarent qu'un autre billion existe soudainement, cet argent est dépensé exactement comme le vôtre - généralement par des personnes qui ne pointent pas sur une horloge ou qui ne font pas évaluer leurs performances.
RépondreSupprimerNous sommes censés croire qu'il y a des failles dans la "chaîne d'approvisionnement". Peut-être qu'il y en a, mais lorsque vous soustrayez de l'offre, sans y ajouter, ceux qui le font se font arnaquer. La principale cause d'un rayon de magasin vide est une pénurie de production et un excès de consommation. Comment les êtres humains qui cultivent, fabriquent des biens et les transportent sur l'autoroute peuvent-ils répondre aux exigences des maîtres d'ouvrage qui décrètent simplement « il y en aura plus » ? Le maïs mûrit dans le même nombre de jours, une voiture doit encore être assemblée et un teamster volontaire doit continuer à se méfier des smokies.
Lorsque vous recherchez sur Google "le Département de la sécurité intérieure est une arnaque", le premier résultat que vous obtenez provient du centre de ressources sur le vol d'identité. C'est un département du Département avertissant les gens qu'ils pourraient recevoir un appel d'escrocs se faisant passer pour eux. Le vol d'identité et la grande crise d'identité américaine pourraient être liés.
Si vous avez traversé les points d'eau, les cafés et autres lieux de conversation courante à l'intérieur du périphérique, alors que l'imposition connue sous le nom de DHS nous était imposée, seuls les rubis les moins profonds ont été pris. "Ce sera un autre gâchis sans fond" était le mot de tous ceux qui connaissaient leur village de la capitale. Cela comprenait ceux qui avaient accès au-delà de la garde prétorienne. Les initiés ont commodément oublié ce qu'ils ont dit à la populace une fois que les contrôles ont commencé à arriver avec la force de la locomotive. Bientôt, les gros chats de la rivière Potomac maintiendraient que le racket était légitime et changeraient rapidement de sujet. Toute autre poursuite des détails dans un lieu public ferait de l'enquête un « harcèlement ». Ce mécanisme de défense est adopté par tous ceux qui participent aux programmes Madoff mandatés.
Pouvons-nous, s'il vous plaît, faire entendre la voix d'un public nombreux pour demander : "Quand le coût de la sécurité nationale devient-il une menace pour la sécurité nationale ?" C'était il y a 20 ans pour ceux qui ont besoin de demander. Notre pays a subi moins de pertes et a gardé d'autres armés et nourris pendant la Seconde Guerre mondiale, non seulement en raison de la géographie. Un moteur économique presque infatigable a également été un facteur important. Bon, la fatigue s'est installée.
La responsabilité ne commence presque jamais au sommet, où que ce soit. Nous serions plus en sécurité si les prétentieux à la cour se sentaient en sécurité dans leurs cercles étroits. Ils ne le font pas. L'élite continue de répandre le pelf autour des ondulations croissantes des «bonnes personnes». Il n'est jamais assez large pour améliorer le sort de quiconque n'obtient pas un traitement équitable. C'est toujours une nouvelle affaire qui donne droit à des personnes spéciales qui sont des experts en soins. Pendant que les êtres aimés restent là où ils sont à chaque fois.
RépondreSupprimerH. L. Mencken a dit : « Chaque fois que vous entendez un homme parler de son amour pour son pays, c'est un signe qu'il s'attend à être payé pour cela. Vous pouvez échanger « son pays » contre « la race humaine » de nos jours. Les administrateurs de l'éducation et les professeurs titulaires, qui tirent à six chiffres, pensent que les odes à l'humanité doivent imprégner chaque heure de cours universitaire. Les Ingrats, qui ne gagnent pas 1500 fois le salaire minimum avec les étés et un mois de congé de Noël, sont écœurés par la poésie. La plupart seraient satisfaits par une modeste fraction de la superficie en pieds carrés, des voyages sur le rivage et des nuits en ville que les Toweriens d'Ivoire considèrent comme de simples desserts.
Les intrusions du gouvernement dans le logement, l'éducation, la médecine et d'autres besoins humains n'allègent pas le fardeau des personnes non connectées. La principale insécurité de l'industrie de la sécurité nationale vient des personnes qu'elles sont censées protéger. Les meilleures tables sont toujours dressées pour les personnes qui ne sont jamais près de faire leur part. Jusqu'à ce que les grands médias se concentrent quotidiennement sur le shakedown, ils font partie du problème.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/tim-hartnett/its-the-bilkonomy-stupid/
Les BRICS annoncent une nouvelle monnaie de réserve mondiale alors que l'Amérique commet un suicide économique
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
1 juillet 2022
Le dernier de Greg Reese.
***
La Chine a récemment invité l'Indonésie, la Malaisie, l'Iran, l'Égypte et plusieurs autres pays à rejoindre les BRICS, une alliance grandissante, dirigée par le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud.
Alors que certains rapportent que les BRICS défient d'une manière ou d'une autre les mondialistes, c'est manifestement faux.
Le concept original des BRICS a été proposé par l'économiste en chef de Goldman-Sachs. La nouvelle banque de développement des BRICS est composée d'acteurs connus du FMI et de la Banque mondiale.
Et les BRICS ont affirmé à plusieurs reprises leur engagement envers l'Agenda 2030 des Nations Unies.
Hormis le président brésilien Bolsonaro, tous les États-nations des BRICS ont poussé les blocages et les tirs expérimentaux du COVID-19.
Et la Chine a récemment annoncé cinq années supplémentaires de ses blocages brutaux « Zéro-COVID ».
BRICS pousse également une monnaie numérique et a lancé un centre de recherche et de développement de vaccins pour les États membres.
Les BRICS ne sont clairement pas anti-mondialistes.
Même les médias d'État du PCC expliquent comment les BRICS dirigent désormais la mission de mondialisation.
Mais ils se retournent tous contre les États-Unis et leurs alliés.
Xi Jinping a accusé les États-Unis de militariser le système financier avec leurs sanctions contre la Russie, ce qui a fait souffrir la personne moyenne dans le monde entier.
RépondreSupprimerEt Vladimir Poutine a suggéré que les BRICS pourraient fournir une nouvelle monnaie de réserve mondiale.
Lors du récent Forum économique international de Saint-Pétersbourg, Poutine a accusé l'Occident de perturber l'économie internationale et a annoncé que l'ordre mondial unipolaire de l'OTAN était terminé.
En seulement trois mois, la Russie a réussi à inverser l'inflation et a augmenté son excédent financier à plus de quatre fois celui de l'année dernière.
La Russie est maintenant en plein essor et Poutine a annoncé que sa priorité internationale était d'augmenter les livraisons de nourriture aux pays qui en ont le plus besoin.
Ils injectent des milliards dans leurs communautés agricoles, ont augmenté le salaire minimum de 10 % et ont fourni plus d'argent aux retraités et aux familles avec enfants.
Il a également critiqué l'Occident pour avoir choisi une "voie suicidaire économique" et avoir des "intentions suicidaires", ce qui semble être la seule explication de ce que fait l'administration Biden.
Ils ont délibérément coupé notre carburant, ce qui coupera notre nourriture et ils poussent les coups mortels pour chaque enfant en bonne santé en Amérique.
Ils ont ouvert nos frontières. Ils font pression pour une guerre mondiale avec une puissance nucléaire florissante, tout en détruisant notre armée de l'intérieur.
Le plan de l'administration Biden est clair : détruire l'Amérique de l'intérieur.
Et ils ont amassé une armée de misérables à travers la psychose de masse.
Une armée de déviants laids, fous et obsédés sexuellement qui veulent l'avortement à la demande et l'acceptation des pédophiles ; des psychotiques qui castrent leurs propres enfants parce que c'est à la mode.
Et des drones stupides qui croient que la race humaine doit mourir.
À quel moment les Américains commenceront-ils à se soucier suffisamment de travailler ensemble et de faire quelque chose ?
Quand les bombes nucléaires commencent à tomber ?
L'Amérique est massacrée par notre propre gouvernement fédéral.
RépondreSupprimerEt la nouvelle économie mondialisée émergente laissera faire.
À moins que les Américains ne reprennent le contrôle de leur propre gouvernement, l'Amérique finira bientôt.
C'est le plan en cours d'exécution en ce moment.
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/no_author/brics-announces-new-world-reserve-currency-as-america-commits-economic-suicide/
Des «bébés pandémiques» sans immunité se retrouvent en soins intensifs à travers l'Australie avec des maladies respiratoires
RépondreSupprimerNombre croissant de «bébés pandémiques» sans immunité admis aux soins intensifs
Enfants présentant des «co-infections» avec Covid et d'autres maladies respiratoires
Le VRS - virus respiratoire syncytial - tue 120 000 jeunes enfants chaque année dans le monde
Les cas de NSW ont explosé de 355 par semaine il y a à peine trois semaines à 3775 par semaine
Il n'y a pas de vaccin contre le VRS mais il a des symptômes presque identiques à la grippe et au Covid
Par OLIVIA DAY et KEVIN AIRS POUR DAILY MAIL AUSTRALIA
07:23 BST, 28 juin 2022
Un nombre inquiétant de «bébés pandémiques» sans immunité contre les virus respiratoires se retrouvent gravement malades en soins intensifs.
Les médecins ont révélé que les enfants nés pendant la pandémie de Covid-19 nécessitent des soins intensifs "pour avoir rencontré des virus qu'ils n'ont jamais rencontrés auparavant", tels que la grippe, le VRS et le Covid.
Les enfants étaient nés et avaient grandi alors qu'il n'y avait pratiquement aucun autre virus circulant en Australie, autre que Covid-19.
Le pédiatre des maladies infectieuses de l'hôpital pour enfants de Westmead, le Dr Philip Britton, a déclaré qu'une analyse des admissions aux soins intensifs montre que les bébés sont testés positifs pour la grippe et Covid en même temps.
"Au cours du dernier mois environ, nous avons vu quatre fois plus d'admissions à l'hôpital pour la grippe chez les enfants que pour Covid", a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.
Le pédiatre des maladies infectieuses, le Dr Philip Britton, a déclaré qu'une analyse des admissions aux soins intensifs à travers les spectacles montre que les bébés sont testés positifs pour la grippe et Covid en même temps
Le Dr Britton a déclaré que 5% des enfants présentant des co-infections étaient admis aux soins intensifs, une statistique qu'il a qualifiée de "très préoccupante".
Environ la moitié des enfants n'avaient aucun problème de santé préexistant, le nombre élevé d'admissions exerçant une pression sur le système hospitalier.
RépondreSupprimerCertains des «bébés pandémiques» présentent une inflammation de la poitrine, du cerveau et du cœur causée par la grippe, le Covid et le VRS.
Le VRS - virus respiratoire syncytial - est une cause majeure d'infections pulmonaires chez l'enfant et peut entraîner une pneumonie ou une bronchiolite, particulièrement dangereuse chez le jeune nourrisson.
Les cas graves peuvent tuer les bébés et les tout-petits, dont les minuscules voies respiratoires ne sont pas encore complètement formées et qui ont du mal à faire face à l'infection.
"Parmi ce groupe qui allait bien auparavant … Ce n'est pas seulement une infection pulmonaire, certains de ces enfants peuvent être touchés par la grippe affectant le cœur et le cerveau", a déclaré le Dr Britton au Daily Telegraph.
Certains des «bébés pandémiques» présentent une inflammation de la poitrine, du cerveau et du cœur causée par la grippe, le Covid et le VRS.
Un avertissement a été lancé à propos du VRS il y a trois semaines alors qu'il n'y avait que 355 cas par semaine en Nouvelle-Galles du Sud, mais trois semaines plus tard, ce chiffre a grimpé à 3 775 en une semaine.
Environ un cinquième d'entre eux ont développé une bronchiolite potentiellement mortelle, dont 40% se sont retrouvés à l'hôpital.
Le haut responsable de la santé dit que nous devons "absolument" traiter les...
Le chercheur en maladies infectieuses, le Dr John-Sebastian Eden, a déclaré que le triple coup dur du VRS, de la grippe et de Covid emballait le service des urgences du Westmead Children's Hospital de Sydney.
"Il y a une épidémie généralisée à trois voies", a-t-il déclaré au Daily Mail Australia.
L'ouverture des frontières internationales a vu la grippe revenir et de nouvelles souches de VRS.
"Avec Covid superposé, ce sont trois virus principaux qui entraîneront une hospitalisation."
Le virus respiratoire syncytial potentiellement mortel qui attaque les enfants et n'a pas de vaccin a explosé en Nouvelle-Galles du Sud, les cas ayant décuplé en seulement trois semaines
Pendant Covid, le RSV a continué de se propager et de se diviser en deux souches distinctes dans l'est et l'ouest du pays à la suite de l'isolement prolongé de l'Australie-Occidentale.
RépondreSupprimerLe chercheur en maladies infectieuses, le Dr John-Sebastian Eden, a déclaré que le triple coup dur du VRS, de la grippe et de Covid emballait le service des urgences du Westmead Children's Hospital de Sydney
Les chercheurs ont été choqués par la montée soudaine de la maladie au cours de la première année de confinement, alimentée par le maintien des crèches ouvertes malgré les restrictions de Covid.
"C'était quelque chose que nous n'avions jamais vu auparavant", a déclaré le Dr Eden. «Même pendant le verrouillage, il y a eu beaucoup d'efforts pour garder la garde d'enfants ouverte.
"Vous n'avez besoin que d'une petite quantité de virus pour créer une chaîne de transmission."
La maladie s'est calmée en 2021, mais a maintenant rebondi avec l'épidémie actuelle.
Le Dr Eden pense que les cas en Nouvelle-Galles du Sud n'ont pas encore atteint leur apogée, mais se prépare maintenant à ce que l'épidémie se propage à l'échelle nationale.
Il s'attend à ce que la maladie se propage dans la moitié sud du pays à des niveaux similaires dans les semaines à venir.
"Ce qui se passe, c'est là où vous avez une épidémie en Nouvelle-Galles du Sud et nous avons toutes ces personnes qui voyagent vers d'autres États à partir de là, cela alimente ensuite des épidémies dans d'autres régions", a-t-il déclaré.
La maladie s'est calmée en 2021, mais a maintenant rebondi avec l'épidémie actuelle.
VOICI CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LE VRS
Le VRS est normalement une maladie hivernale, mais les blocages de Covid ont vu une énorme augmentation inattendue des cas d'été l'année dernière.
Les symptômes comprennent un nez qui coule, une toux, une alimentation réduite et de la fièvre. Les complications comprennent une respiration sifflante et des difficultés respiratoires, qui peuvent évoluer en pneumonie.
Le VRS - virus respiratoire syncytial - est une cause majeure d'infections pulmonaires chez l'enfant et peut entraîner une pneumonie ou une bronchiolite, particulièrement dangereuse chez le jeune nourrisson.
Comme le Covid, il peut être transmis par les éternuements et la toux, mais contrairement au Covid, les jeunes enfants en sont particulièrement touchés.
RépondreSupprimer"La plupart des enfants se rétablissent sans avoir besoin de soins spécialisés à l'hôpital, et les enfants atteints d'une infection bénigne peuvent être traités avec du repos à la maison", a écrit le pédiatre Daniel Yeoh dans The Conversation.
«C'est la principale cause d'infections pulmonaires chez les enfants, causant généralement une bronchiolite.
«Les cas graves entraînent parfois la mort, principalement chez les très jeunes nourrissons.
Presque tous les enfants ont eu une infection par le VRS avant l'âge de deux ans, mais les nourrissons au cours de leur première année de vie sont plus susceptibles de souffrir d'infections graves nécessitant une hospitalisation, car leurs voies respiratoires sont plus petites. Les bébés n'ont pas non plus développé d'immunité contre le VRS des années précédentes.
Le Dr Yeoh a ajouté: "Le traitement du VRS vise à aider les enfants à respirer (par exemple, leur donner de l'oxygène) et à se nourrir (par exemple, administrer des liquides au goutte-à-goutte)."
Il n'existe pas de vaccin contre le VRS mais plusieurs sont en cours de développement.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-10958689/Covid-19-Australia-Pandemic-babies-no-immunity-viruses-ending-ICU.html
L'avocat allemand Reiner Füllmich: les vaccins COVID-19 ont été conçus pour expérimenter sur la race humaine
RépondreSupprimerMercredi 29 juin 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) L'avocat allemand Reiner Füllmich et au moins 50 de ses collègues ont conclu que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont conçus pour être expérimentés sur la race humaine. Ils sont arrivés à cette conclusion après avoir entendu les déclarations de témoins au sein de la commission d'enquête allemande sur le coronavirus, en particulier celle de l'ancien dirigeant de Pfizer, le Dr Mike Yeadon.
Selon Yeadon, les fabricants de vaccins essaient toujours de savoir quelle dose une toxine inconnue est nécessaire pour tuer des gens. Il a ajouté que le taux de mortalité lié aux vaccins est traçable sur la base des numéros de lot des différents lots, certains semblant être plus létaux que d'autres.
Les avocats ont déclaré qu'en examinant les preuves disponibles, l'objectif principal des injections semble être la dépopulation mondiale. Füllmich a également déclaré que les avocats, qui préparent un procès international contre Pfizer, n'avaient plus aucun doute, car des empoisonnements et des meurtres de masse par les vaccins sont intentionnellement perpétrés sur des personnes.
Le journaliste Ulf Bittner et le podcasteur Sverige Granskas ont également déclaré dans leurs interviews qu'en Suède, les blessures et les décès liés à des numéros de lot connus sont considérés comme similaires dans les différentes régions sanitaires. Bittner est en contact avec un coordinateur des vaccins qui a pu fournir des documents permettant de suivre les personnes blessées ou décédées liées aux lots de vaccins. (En relation: les vaccins COVID tuent plus d'enfants que le virus, mais le gouvernement s'en moque.)
Certains lots sont extrêmement dangereux et mortels
Il semble que les codes-barres au bas des doses de vaccin indiquent lesquelles sont un placebo – la dose inoffensive étant injectée aux politiciens et aux personnalités.
Cependant, Füllmich et son équipe pensent que tous les lots sont dangereux.
"L'information beaucoup plus importante que nous avons obtenue de Mike Yeadon lorsque nous lui avons parlé lors de notre session du comité Corona est qu'il y a certains lots qui sont extrêmement dangereux et mortels", a expliqué Füllmich.
Plus tôt cette année, le Dr Jane Ruby a déclaré que ces sociétés pharmaceutiques ont non seulement créé des lots mortels, mais qu'elles disposaient également de codes leur permettant de vérifier quels lots sont toxiques et lesquels causent des handicaps, ou d'indiquer quels handicaps sont susceptibles d'apparaître.
Ruby a déclaré que pour Moderna, il s'agit du code de lot ou de lot 011 l 20., qui représente l'ordre temporel du lot, la concentration qui détermine la toxicité et le nombre d'effets indésirables. Le numéro 20 étant qualitatif, Ruby a déclaré qu'un ingrédient est considéré comme toxique dans ces lots de lots.
RépondreSupprimer"Ce qui revient à dire qu'il s'agit de réduction de la population", a déclaré Füllmich. Il a expliqué que si ces entreprises utilisent des doses mortelles dès le départ, elles vont effrayer tout le monde. C'est pourquoi ils expérimentent la bonne dose qui pourrait tuer 5 à 20 % de la population. Légalement, cela signifie qu'il n'y a pas de négligence et qu'ils ne commettent pas d'erreurs.
"C'est une preuve irréfutable d'un meurtre de masse prémédité. Les dommages-intérêts punitifs entrent en jeu chaque fois que vous avez affaire à un mauvais acteur qui fait intentionnellement quelque chose de nuisible, et c'est de cela que nous traitons ici », a-t-il ajouté. (Connexe: DEPOPULATION: Grâce en partie aux piqûres COVID, la plupart des comtés américains ont perdu de la population en 2021.)
Les fabricants des vaccins, les politiciens qui les ont poussés, les médias grand public qui en ont fait la publicité et les médecins qui ont administré les vaccins sont tous de la partie, et Füllmich a promis de les traduire en justice.
Visitez Vaccines.news pour plus de mises à jour sur la toxicité des injections de COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la guerre de Reiner Füllmich contre Big Pharma.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Rick Langley sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
The Ben Armstrong Show : Les vaccins plus dangereux que le COVID – Brighteon.com.
Dr Jane Ruby : Les grandes sociétés pharmaceutiques déploient intentionnellement des lots toxiques de vaccin COVID-19 – Brighteon.TV.
Le coordinateur du vaccin COVID qui a poussé de manière agressive les injections d'ARNm meurt "de manière inattendue" - était-ce le coup ?
Les victimes du vaccin Covid pourraient demander une compensation monétaire en vertu d'un nouveau projet de loi proposé par les républicains du Sénat.
Les sources comprennent :
Brighteon.com 1
LewRockwell.com
Brighteon.com 2
https://www.naturalnews.com/2022-06-29-covid-vaccine-experiment-on-human-race.html
Bientôt des « vaccins » à ARNm dans votre assiette ?
RépondreSupprimer2021-10-10
Brigitte
[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]
Aujourd’hui, les scientifiques qui poussent à la vaccination veulent transformer votre épicerie en vaccins à ARNm
Par Lance Johnson
L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette. Une équipe de scientifiques de l’Université de Californie à Riverside étudie des moyens de transformer vos ÉPICERIES en vaccins à ARNm. Afin de lutter contre « l’hésitation à la vaccination » chez la population, ces scientifiques veulent distribuer des protéines de pointe [protéine Spike] du coronavirus dans tous les aliments. Cette expérience pourrait donner naissance à un nouveau paradigme de vaccination qui donnerait à Big Pharma un contrôle total sur l’approvisionnement alimentaire, car ils tentent de modifier génétiquement les aliments pour inonder la population avec plus de protéines de pointe de coagulation sanguine.
Est-ce la raison pour laquelle Bill Gates, investisseur en OGM et en vaccins, achète des terres agricoles à travers les États-Unis ? Tous les vaccins actuels et les centaines de futures expériences vaccinales seront-ils réalisés par le biais de l’approvisionnement alimentaire ?
La modification génétique de l’approvisionnement alimentaire pourrait bientôt être utilisée pour vacciner la population
L’avenir de la guerre biologique et de l’expérimentation humaine sera probablement réalisé grâce à l’approvisionnement alimentaire et sera présenté comme sans danger. En modifiant le cytoplasme des plantes comestibles, les scientifiques espèrent introduire des toxines de protéine Spike, produite comme étrangère, dans vos aliments. Ces scientifiques qui cherchent à promouvoir les vaccins, font déjà des expériences sur les plants de laitue et d’épinards, afin de développer une nouvelle espèce de légumes verts qui peut vacciner les gens plus souvent et de manière moins invasive. Ces nouvelles variétés de légumes peuvent également être cultivées à la maison. Les scientifiques travaillent sur un moyen de quantifier le dosage exact de protéines de pointe dans une plante tout en démontrant que la plante peut reproduire suffisamment d’ARNm pour surpasser l’approvisionnement actuel en vaccins.
« Idéalement, une seule plante produirait suffisamment d’ARNm pour vacciner une seule personne », Juan Pablo Giraldo, chercheur principal et professeur agrégé au Département de botanique et des sciences végétales de l’UCR. « Nous testons cette approche avec des épinards et de la laitue et avons des objectifs à long terme de personnes qui la cultivent dans leurs propres jardins », a-t-il ajouté. « Les agriculteurs pourraient également éventuellement en faire pousser des champs entiers. »
Giraldo s’efforce de démontrer que les vaccins contenant de l’ADN mRNA peuvent être intégrés avec succès dans les cellules végétales. Pour ce faire, les chercheurs ont l’intention de modifier le chloroplaste de la cellule végétale. Le chloroplaste absorbe l’énergie du soleil et la convertit en sucre et en autres molécules dont la plante a besoin pour croître. Les scientifiques veulent interférer avec ce processus naturel et demander au cytoplasme de générer des protéines de pointe et d’autres molécules étrangères qui peuvent être introduites sous forme d’antigènes dans l’homme.
RépondreSupprimerGiraldo et son équipe ont déjà démontré que le chloroplaste est capable d’exprimer des gènes étrangers qui ne font pas partie de la conception naturelle de la plante. Cette modification génétique a été réalisée en enfermant du matériel génétique étranger dans un boîtier protecteur, puis en l’insérant dans les cellules de la plante. L’objectif est d’introduire ces OGM chez l’homme afin que leur système immunitaire puisse être programmé pour lutter contre les antigènes et les séquences virales que les scientifiques ont présélectionnés et conçus.
Un nouveau paradigme de vaccins à base alimentaire est-il sur nous ?
À l’UC San Diego, Nicole Steinmetz a déjà développé des nanotechnologies qui peuvent fournir du matériel génétique au chloroplaste des plantes. Steinmetz bricole des nanoparticules de virus végétal et les réutilise pour administrer des gènes étrangers dans les cellules de la plante.
Ce n’est pas la seule expérience de vaccin comestible actuellement en cours. Des scientifiques de l’Université d’Ottawa travaillent sur un vaccin comestible contre les coronavirus depuis plus d’un an.
L’Hôpital d’Ottawa teste déjà le premier prototype. Ce vaccin comestible exprime des antigènes viraux à l’intérieur des plants de laitue et d’épinards. Leur objectif est de délivrer les protéines de pointe au corps humain sans altérer la synthèse protéique des cellules humaines. L’approvisionnement actuel en vaccins doit être maintenu au réfrigérateur à des températures extrêmement basses. Si cet effort de recherche peut démontrer l’administration de protéines de pointe dans tout l’approvisionnement alimentaire, l’approvisionnement actuel en vaccins pourrait être supprimé au profit d’un nouveau paradigme de vaccination alimentaire. Cette expérience pourrait à jamais modifier l’approvisionnement alimentaire, transformant des aliments sains et curatifs en terrains de jeu de guerre biologique que les mondialistes peuvent utiliser pour exploiter la race humaine.
Lance Johnson
Les sources :
CTVNews.ca
NaturalNews.com
News.ecr.edu
*
L’image en vedette provient de Natural News
Lien vers l’article original:
Now Vaccine-pushing Scientists Want to Turn Your Groceries into mRNA Vaccines, le 24 septembre 2021.
Traduit pas Maya pour Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
https://nouveau-monde.ca/bientot-des-vaccins-a-arnm-dans-votre-assiette/
Coronavirus : on marche maintenant sur la tête !
RépondreSupprimerle 30 juin 2022
Il ne fait maintenant plus aucun doute que la « vaccination » à l’aide d’ARNm est toxique, qu’elle ne protège pas contre l’infection par le coronavirus, qu’elle tue et qu’elle fait apparaître une multitude de symptômes après lesquels certaines personnes deviennent infirmes à vie sans oublier les profondes perturbations du cycle menstruel des femmes et les fausses-couches en cours de grossesse. Tout cela est nié en bloc par les institutions étatiques, fédérales ou communautaires (en ce qui concerne l’Europe). Non ! Il n’y a pas de relation de cause à effet et il n’est pas prouvé que cet ARNm codant pour l’une des sous-unités de la protéine spike du SARS-CoV-2 puisse conduire à une telle multitude d’effets secondaires. On nage aujourd’hui dans le plus incroyable délire. En effet, comme je l’ai encore rappelé dans un tout récent billet sur ce blog les deux molécules génériques utilisées depuis des dizaines d’années pour traiter diverses infections et parasitoses, prescrites des milliards de fois dans le monde entier, ont été interdites d’utilisation par les autorités de santé sous la pression des laboratoires pharmaceutiques, véritables Etats de par leur puissance financière, pour les traitements précoces de l’infection par le SARS-CoV-2. Des molécules efficaces disponibles mais ne rapportant pas le moindre dollar à ces laboratoires pharmaceutiques devaient absolument être interdites. En France ce ne sont pas des clowns comme Buzin, Delfressy ou Véran, ni le chef de l’Etat, qui ont pris cette décision car l’ordre venait de beaucoup plus haut. Et c’est à ce point qu’il faut introduire le billet de Paul Craig Roberts, encore lui, à ce sujet, daté du 28 juin 2022. Cf. le commentaire en fin de billet.
Deux médecins ont trouvé un traitement pour les millions de patients victimes du « vaccin » contre le coronavirus
Officiellement, personne n’a été victime du vaccin. Les autorités corrompues dans la poche de Big Pharma disent que les effets secondaires du vaccin sont une « légende urbaine ». En fait, il y a des millions de victimes de ce vaccin. Comme le système médical corrompu ne reconnaîtra pas cette vérité, des médecins courageux que le système cherche désespérément à détruire développent des protocoles de traitement qui fonctionnent. L’ivermectine, le remède contre la COVID-19 qui a été officiellement interdit afin de faire place à des milliards de dollars de profits avec ces « vaccins », s’est avérée efficace également pour le traitement des effets secondaires provoqués par ce « vaccin ».
Les Américains doivent comprendre que les grandes sociétés pharmaceutiques, les officines médicales et les prétendues « agences de santé publique » des NIH, des CDC et de la FDA, qui sont en fait des agents de marketing corrompus pour les grandes sociétés pharmaceutiques, constituent une menace massive pour la santé publique. De plus, Big Pharma et ses subventions de « recherche » avec les assureurs de santé privés éliminent progressivement la pratique médicale privée, forçant les médecins à jouer le rôle d’employés qui doivent suivre les protocoles élaborés par Big Pharma et ses agents ou être congédiés. De plus en plus, les médecins sont des employés d’organismes de « soins de santé » motivés uniquement par le profit. Ces médecins ont perdu leur indépendance, et cette perte d’indépendance est la raison pour laquelle tant de gens ont été assassinés et meurtris gratuitement par les vaccins à ARNm.
Le fait est que les Américains ne peuvent faire confiance à leur système de santé ou aux organismes « publics » chargés de le réglementer. Le système de santé est entièrement pris en charge par les grandes sociétés pharmaceutiques. Cette vidéo d’un journaliste d’investigation interviewant deux des principaux médecins qui se battent depuis le début pour défendre les traitements dits précoces afin de sauver des vies (selon leurs dires 80 % des décès auraient pu être aisément évités). La prévention du décès par ces injections toxiques de soit-disant vaccin est l’une des sources d’information les plus importantes pour comprendre la corruption totale de la santé publique par l’argent.
RépondreSupprimerJ’ajouterai en conclusion un bref commentaire : selon les résultats thérapeutiques de ces médecins, Pierre Kory et Paul Marik, l’Ivermectine présente des effets curatifs incontestables contre les effets secondaires de la « vaccination » par ARN messager. L’Ivermectine ayant été interdite de prescription pour le traitement précoce de l’infection par le virus lui-même il est donc évident que les laboratoires pharmaceutiques feront tout pour nier l’existence même de ces effets secondaires. Enfin, pour rajouter un peu de beurre dans la soupe d’épinards de ce complot « coronavirus-vaccin ARN » une étude basée sur les statistiques des grandes compagnies d’assurance et extrapolée à la population américaine totale fait état d’au moins 600000 décès provoqués par la « vaccination ». Ce sont les actuaires de ces compagnies qui l’on indiqué. En quelques mois l’injection irraisonnée de cet ARN messager a dépassé le nombre de morts en dix ans provoqués par l’usage démesuré de l’oxycodone (Purdue Labs conseillés par McKinsey). On se trouve ainsi en plein surréalisme. Va-t-on devoir se soigner avec de l’Ivermectine pour ne pas risquer de mourir des effets secondaires du « vaccin » ? Ce sera une première mondiale. On marche sur la tête !https://www.redvoicemedia.com/video/2022/05/amazing-new-discoveries-for-treating-the-vaccine-injured-dr-kory-dr-marik-break-down-their-findings-video-interview/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/30/coronavirus-on-marche-maintenant-sur-la-tete/
Au pays (États-Unis) où le cachet d'aspirine fourni par un hôpital peut être facturé 1000 dollars, il est facile de voir à quel point est la corruption. Le monde n'a jamais enregistré autant de milliardaires !
SupprimerLes 'directeurs' d'hôpitaux & clinique comme la plupart des médecins ne sont PAS DES SCIENTIFIQUES, du moins pas plus que les journalistes, chefs d’États ou ministres qui se disent de conseiller.
D'où les dépenses (factures) qui crèvent le plafond (ne me parlez pas d'accouchement ou de décès car la note représente dix fois le salaire annuel de quelqu'un !).
La santé ? Vous avez dit 'santé' ? Qu'est-ce que c'est ? Il y a longtemps que ce mot ne veut plus rien dire, ici on parle d'argent, de fric, de pognon, d'oseille, de biftons, bref de la grosse qui rempli les poches. Vous avez dit 'santé' ?