- ENTREE de SECOURS -



mardi 28 juin 2022

Alexandra Henrion Caude : Interview Sud radio du 23 juin 2022

 

60 commentaires:

  1. La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable


    Par Dre Nicole Delépine
    Mondialisation.ca,
    27 juin 2022


    L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

    - voir clip ci-dessus -

    https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

    Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

    On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

    Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

    D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.[1]

    « Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

    Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.[2]

    Extraits :

    « Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

    RépondreSupprimer
  2. Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

    Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

    De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

    L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

    L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

    Les alertes officielles cachées par les médias

    Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres[3]:

    - voir graph sur site -

    Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

    DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

    Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

    Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

    La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

    RépondreSupprimer
  3. Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

    La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

    Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

    Extrait :

    « Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

    « Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

    Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

    Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

    « Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

    La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

    Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

    « Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

    Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

    « Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

    RépondreSupprimer
  4. Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

    Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?[4]

    En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

    En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

    LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

    Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

    Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

    Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

    « L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

    ÉCRIT EN 1934 !

    On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

    Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

    C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

    Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

    Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

    Une offensive sur les fœtus proches de la naissance
    Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

    RépondreSupprimer
  5. On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

    ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

    Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

    Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

    Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

    Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

    L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

    C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

    — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
    — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
    — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
    — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.
    Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».[5]

    ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

    « Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

    DÉCLARAIT SIMONE VEIL EN PRÉSENTANT LA LOI RELATIVE À L’INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE.

    Poursuivant son discours, elle ajoutait :

    « Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

    RépondreSupprimer
  6. HTTPS://YOUTU.BE/45MOC6PYOY8

    L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

    Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

    NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

    Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

    Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

    NON À LA CULTURE DE LA MORT !

    Dre Nicole Delépine

    Notes :

    [1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.

    [2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al

    [3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
    Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

    [4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815

    [5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir

    La source originale de cet article est nouveau-monde.ca

    https://www.mondialisation.ca/la-baisse-de-la-fertilite-chez-les-vaccines-est-de-plus-en-plus-probable/5669300

    RépondreSupprimer
  7. Margarita Del Val, virologue espagnole : “la 4ème dose n’a aucun sens, rien ne dit que l’immunité a chuté”


    By Cheikh Dieng
    28 juin 2022


    Margarita Del Val, l’une des plus grandes virologues espagnoles, est en désaccord avec le gouvernement espagnol qui a annoncé, il y a 12 jours, que la quatrième dose du vaccin anti-Covid sera généralisée dans tout le pays. Pour Del Val, cette décision n’a, à l’heure actuelle, aucun sens

    La hausse des cas de Covid fait trembler les scientifiques du monde entier qui n’arrivent plus à accorder leurs violons. Si certains jurent bec et ongles que seule la vaccination permettrait de lutter contre le Covid. Pour d’autres, administrer une quatrième dose à des gens immunisés ne sert à rien.

    C’est en tout cas l’avis de Margarita Del Val, l’une des plus grandes virologues d’Espagne. Pour elle, il n’y aucune raison d’administrer une quatrième dose à la population étant donné l’absence de preuves confirmant que l’immunité diminue. “Nous n’avons aucun indice de chute de l’immunité. L’immunité est en train de durer”, martèle-t-elle.

    Et d’ajouter : “pour le moment, administrer une quatrième dose à des gens qui répondent bien au vaccin n’a aucun sens. Et pour celles et ceux qui ne répondent pas bien au vaccin, il faudra leur prescrire des antirétroviraux”. Pour la virologue espagnole, la 3ème dose est déjà très puissante pour les personnes âgées de 80 ans.

    La déclaration de l’une des plus importantes virologues d’Espagne est un coup dur pour le gouvernement espagnol actuel qui a annoncé, il y a plus d’une semaine, que la quatrième dose du vaccin sera généralisée. Pour l’instant, Madrid semble être le seul à avoir pris une telle décision au sein de l’Union Européenne.

    La científica Margarita del Val asegura que no hay “ningún indicio” de que haya caído la inmunidad y defiende administrar antirretrovirales en quienes no han tenido una buena respuesta tras la tercera vacuna https://t.co/nGmkcTZlNP

    — Diario de Ibiza (@Diario_de_ibiza) June 27, 2022

    https://lecourrier-du-soir.com/margarita-del-val-virologue-espagnole-la-4eme-dose-na-aucun-sens-rien-ne-dit-que-limmunite-a-chute/

    RépondreSupprimer
  8. "Des pilotes subissent des effets secondaires en plein vol !" - Diane Protat, avocate (15:43)

    https://www.youtube.com/watch?v=sy4hBJOTolo

    RépondreSupprimer
  9. Des scientifiques plongés dans la terreur par des charlatans


    Teresita Dussart, pour FranceSoir
    le 26 juin 2022 - 14:55


    TRIBUNE — L’Occident s’est longtemps cru à l’abri de mouvements talibans, ces gardiens de chèvres qui ont rendu la vie impossible, condamné à mort ou à la dégradation sociale les intellectuels d’Afghanistan. Nous avons les nôtres. Le wokisme, le covidisme, et l’Ukraine en ont fait des notables. Leur relation contractuelle avec les réseaux sociaux, en ont fait des prédateurs. Ils doivent veiller à la conservation de leurs petites entreprises de délation d’une part, leur respectabilité de l’autre.

    Comme leur influence est en perte de vitesse, pour maintenir le niveau de trafic d’influence auquel ils se sont habitués, ils doivent se radicaliser. Traquer les scientifiques avec plus de sévérité redevient une priorité, alors que l’hypocondrie collective semble en chute libre. L’Express s’en fait le relais : « Faut-il sanctionner les chercheurs qui dérapent ? » Comment un chercheur peut-il déraper, est la première question qui passe par l’esprit. L’histoire de la science en prend un coup. L’Express, comme la plupart des médias de masse tombés en disgrâce, à l’instar des déconspirateurs, débunkeur, vérificateurs, traqueurs de fake news, décrypteurs et autres barbarismes de charlatans, place la condition scientifique sur le même pied que celle d’un l’influenceur. La science serait de l’opinion.

    Lire aussi : À peine innocenté des accusations de Médiapart, l'IHU de Raoult attaqué à nouveau

    « Depuis de deux ans, scientifiques et chercheurs n’ont jamais eu autant d’influence. Ils ont guidé le gouvernement [NDLR : un peu de propagande façon vieille école, au passage pour le gouvernement d’Emmanuel Macron], défilé sur le plateau de télévision et accordé d’innombrables interviews afin de vulgariser la science auprès du grand public. » Ça ce seraient les scientifiques autorisés. Ceux qui ne sont pas dans la recherche, mais dans la communication politique. Mais « tout n’est pas rose pour autant », lâche l’Express. « Du Pr. Didier Raoult à Laurent Toubiana, en passant par Jean-François Toussaint, sans oublier, l’ancien Prix Nobel Luc Montagnier, de nombreux chercheurs se sont illustrés par leur dérapages. » « Les sanctions ont été rares », se lamente l’auteur. Ils ont été bloqués, ridiculisés, réduit au silence, ont parfois perdu leur travail, une carrière entière vouée à la science et à la médecine ruinée ; mais la mort sociale et professionnelle ne saurait être un sort suffisant.

    Voir aussi : "On ne peut plus accepter ces mensonges d'État" Christian Perronne

    L’auteur considère que le peu d’audience dont disposent encore ces personnalités qui, il y a encore deux ans étaient considérées comme des sommités, se doit au fait que les journalistes « sont nuls en science ». Comprendre : pas comme lui. Il y a chez les débunkers - qu’ils travaillent pour de grands médias ou disposent de leur petite boutique -, ce je ne sais quoi de pédant observé chez les talibans. Ce côté dogmatique de l’ignorant et des jugements définitifs qu’il émet de ses victimes. Ils se sentent omniscients.

    RépondreSupprimer
  10. Le trait typique du charlatan consiste à inventer des concepts pour habiller le ridicule de leur propos. Toute chose qui du temps de Molière se savait déjà. S’ils disposent de cette prérogative régalienne de décréter le bannissement médiatique, académique, social des scientifiques non oints c’est qu’ils entendent de tout et savent mieux que quiconque, de toutes les disciplines. Dotés de parcours académiques plutôt médiocres, sans pour autant être de brillants autodidactes, orphelins de toute reconnaissance intellectuelle avant de s’être créé leur kiosque de vérificateur, les grandes figures de la censurosphère, disposeraient à les en croire de savoirs comparables à ceux du CNRS ou du MIT réunis. En cinq minutes, ils peuvent décréter que l’apport d’un scientifique est de l’ordre du ni fait ni à faire, là où pour leurs pairs, il faudrait plusieurs semaines, voire des mois, pour évaluer la portée scientifique.

    Lire aussi : Un "Médecin malgré lui" réjouissant... et d'une actualité grinçante

    Lorsque Christian Vélot avait alerté, notamment dans les colonnes de FranceSoir, sur le risque de recombinaison virale du vaccin administré de manière indiscriminée sur des populations pouvant être en train de transiter une infection et du risque de la vaccination généralisée, il avait été qualifié de conspirationniste par les censeurs. Car Christian Vélot « n’est que » docteur en biologie et maître de conférences en génétique moléculaire. Il n’est « même pas » virologue. Selon les talibans, il n’aurait jamais dû s’exprimer sur un sujet n’entrant pas directement dans son champ de compétence. Néanmoins, les personnes qui ont orchestré son bannissement des réseaux sociaux et médias, non seulement ne sont pas virologues, mais pas même scientifiques.

    Le charlatanisme des débunkeurs a eu pour effet qu’à partir de 2020, informer sur des statistiques officielles est devenu une activité qui demande du courage. La semaine dernière, le professeur en biochimie Éric Chabrière, reprend dans un tweet les chiffres de la DRESS, démontrant qu’un vacciné avec rappel à deux fois plus de chances d’attraper le covid qu’un non vacciné.

    Un geste aussi innocent devient téméraire. Certes, depuis qu’Elon Musk a fait mine de racheter Twitter, ce type d’informations résiste aux orques de la censure. En février 2020, toute personne qui aurait publié les chiffres du ministère de la Santé démontrant qu’il n’y avait pas davantage d’occupations de chambres en soins intensifs que pour la même période en phase de grippe saisonnière aux cours des années antérieures, aurait été traité de « négationniste ». Cette meute de talibans, sans aucune légitimité scientifique, a la capacité de faire délister des sites, pourrir la vie d’esprits libres, réduire au silence des voix essentielles.

    « Vérifié et sourcé », disent-ils du matériel de propagande distribué. Sourcé à leur source et vérifié par eux-mêmes. Lorsqu'Emmanuel Macron annonce « 400 000 morts quoi que l’on fasse », ce terrorisme verbal complétement loufoque, heureusement sans relation avec les faits, n’est dénoncé à aucun moment, comme un sinistre fake, par les Obersturmführer de l’info. Car ce charlatanisme, qui ne trouve grâce qu’aux modélisations statistiques, est foncièrement partisan. Pas une fois, ne serait-ce que pour donner une illusion d’équidistance, il n’a pointé du doigt une des énormités imposées comme vérité, voire débusqué un des conflits d’intérêt des scientifiques de plateau. En revanche, il a impitoyablement fait taire un par un tous ceux qui ont eu le toupet de le signaler.

    RépondreSupprimer
  11. Le Canard Enchaîné vient de sortir un « dossier spécial » sur les fausses informations, reprenant un part un les poncifs de la censurosphère. Dans plusieurs articles, est cité le blogueur Rudy Reichstadt. Un sujet à la formation incertaine, expert du persiflage, délation, dont la boutique s’appelle Conspiracy Watch, pompeusement intronisée comme « Observatoire du conspirationnisme » et des théories du complot. Les citations de ce Savonarole imprègnent tout le dossier du Canard, lequel en ses heures de gloire aurait été une victime de choix. Dommage pour le Canard. Il nous a manqué, lorsque nous en avions le plus besoin.

    Une stratégie qui marche pour détruire un intellectuel ou scientifique qui « dérape » est d’en faire un antisémite, ipso facto. En charlatan, esprit critique se dit conspirationnisme et pour Reichstadt, l’antisémitisme est l’antichambre du complotisme. Ergo tout scientifique, journaliste, intellectuel, citoyen « dérapant », est de substrat antisémite.

    Peut-être un vieux reste de réflexe conditionné, dans son dossier spécial, le Canard consacre un article à la manière dont les boutiques de censure s’enrichissent au travers de leur stratégie de harcèlement. Un sujet pourtant tabou. Facebook a noué avec plusieurs médias dans le monde des contrats pour traquer les fake news. Et pour pouvoir participer à la chasse, il faut exécuter des critères homogénéisés globalement. Peut-il y avoir une mécanique plus précise pour atteindre la pensée unique ? Question que se serait posé la génération antérieure des journalistes du Canard Enchaîné. « Seul Libération, qui est sorti du partenariat avec Facebook en mars 2021, a donné des chiffres : officiellement 236 000 dollars en 2019. Chaque article débunké était payé entre 800 à 1000 euros […] Le Monde et l’AFP aux cellules de fact-checking beaucoup plus importantes, ne pipent mot, mais nul doute que pour l’agence de presse qui se targue d’être le "principal réseau de fact-cheking dans le monde", cela se chiffre en millions ».

    L’énormité du conflit d’intérêt est saisissante. Ces titres ont intérêt à diaboliser pour faire du chiffre. Et il est possible de facturer à double fenêtre, côté réseaux sociaux et côté pouvoir politique. Voire à triple fenêtre, lorsque des fondations étrangères mettent la main à la poche. Il s’agit d’un business model de censure et délation circulaire. Certes, il existe quelques illuminés qui se sentent investis d’une mission. Typiquement il s’agit de ce type de personnalité dont tout en eux, corps et âme, réclame l’embrigadement. Mais ils constituent une minorité. Pour la plupart, la censure est une histoire de gros sous. D’où l’intérêt de stigmatiser le libre arbitre et la pensée critique, afin de maintenir le cheptel de complotistes à un niveau de menace perçu comme suffisamment sérieux. Ils sont les prédateurs de la pensée, nous sommes les trophées.

    Mais au-delà du négoce misérable consistant à imposer cette asphyxie de la pensée et l’ostracisme des intellectuels, voire l’induction au suicide d’un certain nombre d’entre eux, comme aux Etats-Unis au travers de la cancel culture, il y a l’infiltration de l’éducation nationale. Car bien entendu, il faut former les esprits très tôt à considérer l’esprit critique comme néfaste.

    RépondreSupprimer
  12. Voir aussi : "Ce qui tue ce pays, c'est l'entre-soi des élites" Éric Verhaeghe

    Viendra peut-être un jour, où se lèvera un groupe de parlementaires qui se respecte pour faire de ce délit contre la pensée, dans lequel colligent la diffamation, le harcèlement, le trafic d’influence, un délit majeur contre le droit de presse, le droit des personnes. La représentation populaire devrait exiger des informations sur les ressources humaines de ces officines de sous-traitance de la propagande. Quelles sont les sources du « sourcé et vérifié », la méthode mise en place, les financements externes, la facturation à des tiers tels que les grands réseaux sociaux, l’usage d’algorithme et de mots clés, dédié exclusivement au harcèlement de dissidents, la responsabilité civile du fait de l’impact de la censure d’informations sanitaires cruciales, leur relation non déclarée avec le pouvoir ou des fondations défendant des agendas spécieux, les autorisations données par qui et pourquoi à l’exercice de ce rôle de police de la pensée. Ce qui est en jeu, ce n’est pas seulement notre modèle de société, la démocratie. C’est l’intelligence, la science elle-même.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/scientifiques-plonges-dans-la-terreur-par-des-charlatans

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il y a des cons qui sont tellement cons qu'on dirait des journalistes et des chefs d’États ministres !

      Les écoles sont des parcs d'engraissement.
      et la télé un chiotte pour maigrir de la tête.

      Supprimer
  13. Le pédiatre Dr Larry Palevsky dit au Dr Bryan Ardis: le vaccin COVID-19 n'est pas un vaccin et il ne protégera pas les gens contre les maladies infectieuses – Brighteon.TV


    lundi 27 juin 2022
    par : Kevin Hughes


    (Natural News) Le pédiatre de renommée mondiale, le Dr Larry Palevsky, a déclaré au Dr Bryan Ardis que les injections de coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne sont pas un vaccin.

    «Je dis cela depuis plus d'un an et demi que ce vaccin COVID n'est pas un vaccin. Cela ne protégera personne contre les maladies infectieuses », a déclaré Palevsky lors de l'épisode du 22 juin de « The Dr. Ardis Show » sur Brighteon.TV.

    Palevsky a déclaré qu'il appartenait désormais aux parents de décider s'ils voulaient ou non risquer la vie de leurs enfants après que les conseillers de la Food and Drug Administration (FDA) aient approuvé à l'unanimité les vaccins Pfizer et Moderna COVID pour les nourrissons et les jeunes enfants le 15 juin dernier.

    Le médecin, qui utilise une approche holistique pour traiter les maladies des enfants, a mentionné que les États ont déjà ordonné la mise à disposition de millions de doses avant l'autorisation d'utilisation d'urgence accordée par la FDA aux injections d'ARNm pour les enfants.

    Le vaccin à trois doses de Pfizer couvrira les enfants de six mois à cinq ans tandis que le vaccin à deux doses de Moderna couvrira les enfants de six mois à six ans.

    Le médecin pédiatrique certifié par le conseil a déclaré que les parents allaient voir des enfants avec des caillots sanguins, des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. Il a également dit que dans cinq, 10 ou 15 ans, ces enfants seraient stériles.

    Selon Palevsky, il y a des parents qui se sont prononcés contre les vaccins qui ont mutilé, tué, endommagé et blessé des enfants au cours des 60 dernières années, mais personne ne les a entendus.

    Il a ajouté que ces injections d'ARNm, dont la sécurité n'a jamais été testée ou testées de manière appropriée, contiennent une énorme quantité de produits chimiques suspects qui font frire, blessent et détruisent directement le cerveau et tuent le système immunitaire.

    L'Amérique a un taux de mortalité COVID de presque zéro pour cent pour les enfants
    Palevsky a souligné que l'Amérique a un taux de mortalité de presque zéro pour cent et des résultats difficiles minimes ou presque nuls pour les enfants qui ont été infectés par COVID-19. (Connexe: le taux de mortalité COVID-19 chez les enfants en bonne santé est de ZÉRO… alors pourquoi se précipiter pour les masquer et les vacciner tous?)

    « Et pourtant, nous voulons toujours pouvoir l'obtenir dans le calendrier. Et ne vous y trompez pas, le but est de le faire éventuellement approuver par la FDA. Et tant qu'une injection qui s'appelle un vaccin est approuvée pour les enfants par la FDA, les fabricants de ces vaccins mortels auront une immunité totale à la responsabilité pour toujours. Et c'est le véritable objectif de tout cela », a déclaré Palevsky.

    Ardis a noté que ces fabricants s'en tirent avec des crimes après que feu le président Ronald Reagan a signé la loi PREP en 1986.

    Selon Palevsky, la technologie utilisée dans les injections d'ARNm COVID n'a jamais été utilisée auparavant dans la fabrication de vaccins et personne ne sait vraiment si elle fonctionne pour protéger contre l'infection.

    "Et si vous pensez même que cette maladie est une maladie infectieuse, il a été démontré que ces injections n'arrêtent pas la transmission de la soi-disant maladie d'une personne à l'autre. En fait, cela augmente vos chances de transmettre la maladie d'une personne à l'autre », a déclaré Palevsky.

    RépondreSupprimer

  14. "Ce tir n'a jamais été testé pour la sécurité. Il y a là-dedans des produits chimiques inconnus du public. Et les produits chimiques connus sont directement liés à l'inflammation cérébrale, à l'inflammation cardiaque, à l'inflammation pulmonaire, à l'inflammation rénale, à l'inflammation hépatique et à la réduction des systèmes reproducteurs masculins et féminins.

    Suivez VaccineInjuryNews.com pour plus d'informations sur les blessures causées par les injections de COVID-19.

    Regardez l'épisode complet du 22 juin de "The Dr. Ardis Show" ci-dessous. "The Dr. Ardis Show" est diffusé tous les mercredis de 10h à 11h et tous les samedis de 11h à 12h. sur Brighteon.TV.

    Plus d'histoires liées :

    Des preuves accablantes suggèrent que le fait de vacciner les enfants contre le COVID-19 ne fera que leur nuire.

    VAERS : Les vaccins COVID-19 ont blessé plus de 50 000 enfants.

    Les chercheurs montrent que les enfants sont beaucoup plus sûrs de développer une immunité naturelle contre le COVID-19 que de se faire vacciner.

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    NorthportWellnessCenter.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-27-covid-shot-not-vaccine-wont-protect-people.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) «Je dis cela depuis plus d'un an et demi que ce vaccin COVID n'est pas un vaccin. Cela ne protégera personne contre les maladies infectieuses », (...)

      Oui, jusque là c'est exact puisque la piqûre supprime toute immunité c'est-à-dire tous les vaccins antécédents. Mais là où çà dérape (vu qu'il n'est pas un scientifique mais un simple pédiatre) c'est quand il annonce une 'protection vaccinale' !!! :

      (...) Le vaccin à trois doses de Pfizer couvrira les enfants de six mois à cinq ans tandis que le vaccin à deux doses de Moderna couvrira les enfants de six mois à six ans. (...)

      C'est-à-dire il conseille quand même (pour pas perdre son boulot) d'envoyer vos enfants à l'abattoir !!

      A savoir que nous disposons toutes & tous d'une immunité naturelle (AVEC ou SANS masque nous respirons TOUTES & TOUS 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! ET NOUS NE SOMMES PAS MORTS !!). Par contre, en ce qui concerne un poison... là: IL N'Y A PAS d'immunité naturelle mais seulement des antidotes sortis de laboratoires.

      Notre organisme nous protège contre des milliards de microbes, mais ne nous protège PAS des virus puisque les virus sont des POUSSIÈRES. Poussières de terre, de sable, de ciment ou de talc, elles sont INOFFENSIVES. Sauf, sauf les poussières radioactives. Mais là encore ne vous attendez pas à ce que les poussières (appelées virus) fassent des petits, changent de sexe ou se déguisent en variants !!

      Actuellement nous parlons (depuis 2 ans) de l'arrivée de 'poussières intelligentes'. Ces poussières sont appelées virus (comme celui de l'ordinateur, le virus de la bonne bouffe, le virus de la chasse, de la pêche, bref, des conneries à qui faut donner du qualificatif). Ce virus va s'appeler (au départ) 'Corona', puis, nouveau disque sorti, il s'appellera 'cocovide19' dans un autre film, puis 'Colombo' ou inspecteur Harris avec son Magnum.44 jusqu'à jouer un petit rôle dans 'La planète des singes' sous le nom de Monkeypox. Mais, ce qui le distingue des autres poussières est que cette fois elle est habillée ! HOULALA ! Pull col roulé et grosses chaussettes et, et... quand elle se déshabille... aaaaalors là: TU MEURS ! Tu crèves parce que dessous ses soutifs et strings y a LE poison qui s'appelle 'Nano-particule d'oxyde de graphène'.

      Supprimer
  15. Pfizer et le CDC ont menti aux Américains, le vaccin COVID approuvé par la FDA n'existe que sur papier


    Sara Middleton, rédactrice
    24 juin 2022


    L'un des principaux sujets de discussion des médias grand public, des influenceurs MD et des responsables de la santé publique tout au long de la pandémie a été que le vaccin COVID de Pfizer est «entièrement approuvé», donc les gens ne devraient pas s'inquiéter et obtenez simplement leurs deux, trois ou quatre doses. Apparemment, toutes ces personnes ignorent complètement le fait que des dizaines et des dizaines de médicaments approuvés par la FDA ont été retirés du marché des années voire des décennies plus tard parce qu'ils se sont avérés nocifs.

    Le botteur ? De nouvelles informations mises à disposition par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis révèlent que personne ne peut même obtenir la version «approuvée» du vaccin de toute façon.

    Les injections COVID approuvées par la FDA n'existent que sur papier, Pfizer et le CDC admettent ouvertement que la version "approuvée" de l'injection ne sera "pas fabriquée ni mise à disposition"
    Il semble que nous ayons maintenant la preuve du CDC et de Pfizer que personne dans ce pays n'obtient ou n'obtiendra jamais la version "approuvée" par la FDA du vaccin ARNm COVID de Pfizer, nommé COMIRNATY. Au lieu de cela, le vaccin d'ARNm Pfizer distribué est celui disponible uniquement sous autorisation d'utilisation d'urgence (EUA).

    Si vous l'avez manqué, COMIRNATY a presque la même formulation que le vaccin COVID disponible sous EUA. Cependant, COMIRNATY est juridiquement distinct et a techniquement obtenu un tampon d'approbation de la FDA. Il n'existe, pour l'essentiel, que sur papier – mais pourquoi ?

    La FDA a-t-elle précipité l'approbation de ce médicament nouveau sur le marché juste pour maintenir l'élan de propagande vax ? Pour influencer les gens qui hésitaient à se faire vaxxer et les endormir avec le mensonge que le médicament qu'ils prennent est entièrement approuvé par la FDA ?

    Sur une page Web intitulée «COVID-19 Vaccine Related Codes», le CDC le dit clairement lorsqu'il déclare: «Les NDC de vaccins suivants et les noms commerciaux associés ont été soit soumis à l'autorisation de la FDA (pré-autorisation), soit autorisés ou approuvés par le FDA sous licence EUA ou BLA et peut être inclus dans les fichiers FDA NDC et Structured Product Labels (SPL). Ces vaccins sont répertoriés séparément car ils représentent des NDC qui ne seront pas fabriqués ou mis à disposition à court terme même s'ils sont autorisés ». Immédiatement en dessous de ce paragraphe se trouve un tableau avec une liste de vaxes. Le tout premier sur la liste : COMIRNATY.

    RépondreSupprimer
  16. N'ignorez PAS les dangers pour la santé liés à l'air intérieur toxique. Ces produits chimiques - le "dégazage" des peintures, matelas, tapis et autres matériaux de construction de maison/bureau - augmentent votre risque de congestion nasale, de fatigue, de mauvais sommeil, de problèmes de peau et de nombreux autres problèmes de santé.

    Obtenez le MEILLEUR système de purification de l'air intérieur - au prix le PLUS BAS, exclusivement pour les lecteurs de NaturalHealth365. Personnellement, j'utilise ce système à la maison ET au bureau. Cliquez ICI pour commander maintenant - avant la fin de la vente.

    Il est si curieux de savoir pourquoi il y a eu une telle précipitation à approuver ce produit, pour ensuite admettre que le produit "approuvé" n'est ni administré ni fabriqué. Quelle est l'échappatoire juridique ou le truc de propagande qui essaie d'être manipulé ici ?

    Combien de temps faut-il HABITUELLEMENT pour que les médicaments soient approuvés par la FDA, de toute façon ?
    La FDA et les responsables de la santé publique travaillent sans relâche pour pousser le récit selon lequel ces piqûres d'ARNm COVID n'ont pas été "précipitées" ou faites à la hâte - simplement qu'elles ont été accélérées et ont fait l'objet d'un "examen prioritaire" en raison de l'urgence de la situation pandémique. Mais même si nous considérons que cela est vrai - et, pour leur donner le bénéfice du doute, supposons qu'aucun raccourci n'a été coupé en cours de route - il est toujours vraiment ahurissant d'entendre à quelle vitesse ces médicaments nouveaux pour l'homme sont devenus dans le corps des hommes, des femmes et des enfants.

    Considérez juste ceci :

    Comme l'a noté Nationwide Children's, il faut en moyenne environ «dix ans et des centaines de millions de dollars pour obtenir un nouveau médicament approuvé par la FDA. En conséquence, seuls environ dix pour cent des médicaments potentiels passent par le processus rigoureux pour être approuvés par la FDA.

    Vous avez bien lu : la plupart des médicaments nécessitent au moins une DÉCENNIE entière avant de pouvoir enfin obtenir le sceau d'approbation de la FDA. Et nous sommes censés croire que le processus d'approbation des injections de Pfizer a été achevé aussi complètement que possible en quelques mois seulement ?

    Les sources de cet article incluent :

    Nationwidechildrens.org
    FDA.gov
    Greatgameindia.com
    CDC.gov

    https://www.naturalhealth365.com/pfizer-cdc-lied-to-americans-fda-approved-covid-shot-exists-on-paper-only.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il s'agit là d'une expérimentation génique d'essais, c-à-d qu'elle n'a même pas été administrée/testée sur des animaux. VOUS ÊTES LES COBAYES ! HAHAHAHA ! Et, de plus, l'escroquerie va jusqu'à imprimer le mot 'vaccin' sur les flacons mortels !! Prenez une merde et marquez dessus 'Or pur 99,99 %' !

      Supprimer
  17. Plandémie 3 - Formation de masse


    Par Alexandra Bruce
    La télé du savoir interdit
    28 juin 2022


    Mattias Desmet est professeur de psychologie clinique à l'Université de Gand en Belgique, psychothérapeute psychanalytique en exercice et auteur du nouveau livre "La psychologie du totalitarisme".

    La théorie de Desmet sur la psychose de formation de masse a explosé dans la prise de conscience générale plus tôt cette année, lorsque le Dr Robert Malone l'a décrite sur le podcast Joe Rogan.

    Dans cette interview exclusive "Plandemic 3", le cinéaste Mikki Willis explore ce sujet plus en profondeur pour découvrir des parallèles alarmants dans le récit de Covid-19 et les manuels totalitaires de l'Union soviétique et de l'Allemagne nazie, ainsi que des solutions éprouvées pour ce moment dans l'histoire.

    La psychose de formation de masse a été la principale arme utilisée pour manipuler la société dans le précipice où nous nous trouvons maintenant. Tout ce que nous pouvons apprendre à faire pour empêcher la société de continuer à être manipulée de la sorte augmentera nos chances de créer un monde futur digne de nos petits-enfants.

    Desmet dit que la résistance non violente est ce qui fonctionne toujours le mieux et la bonne nouvelle est que la formation de masse et le totalitarisme se détruisent en un laps de temps relativement court. Il dit que si les gens qui ne suivent pas le programme continuent de s'exprimer, ils réussiront

    "Plandemic 3" devrait sortir en septembre.

    Réimprimé avec la permission de l'auteur.

    https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Matthias-Desmet:1

    https://www.lewrockwell.com/2022/06/no_author/plandemic-3-mass-formation/

    RépondreSupprimer
  18. Un médecin dit que l’essai de tir COVID de Pfizer devrait être « nul et non avenu » après des données « tordues »

    La pathologiste Dr Clare Craig a découvert que les données d'essai de Pfizer pour les jabs COVID chez les bébés de 6 mois étaient «ignorées» et «tordues» pour satisfaire aux réglementations de la FDA.

    Dr Clare Craig

    - voir clip sur site -

    Mc Loone
    ven. 24 juin 2022 - 09 h 57 HAE
    Écoutez cet article
    0:00 / 7:45

    Au delà des mots

    (LifeSiteNews) – Un pathologiste et chercheur britannique a déclaré que l’essai clinique de Pfizer pour ses vaccins COVID chez des bébés aussi jeunes que six mois contient tellement de défauts flagrants et de fausses déclarations que « l’essai devrait être considéré comme nul et non avenu ».

    Pathologiste diagnostique et coprésidente du groupe Health Advisory and Recovery Team (HART), le Dr Clare Craig a enregistré une vidéo de six minutes analysant les données de l'essai COVID de Pfizer chez les enfants âgés de six mois à quatre ans.

    En rassemblant les informations de la demande d'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de Pfizer du 15 juin auprès de la Food and Drug Administration (FDA) pour l'utilisation du médicament chez les jeunes enfants, Craig a découvert que la cohorte vaccinée avait contracté le virus en plus grand nombre que le groupe placebo, mais que le géant pharmaceutique a déformé les données pour montrer à la place que le "vaccin" était légèrement plus efficace pour prévenir l'infection que de renoncer au vaccin.

    La vie gagne !

    Avec le renversement de Roe v. Wade, le mouvement pro-vie a plus que jamais besoin d'une voix véridique dans les médias. Faites un don aujourd'hui pour aider notre couverture à atteindre des millions de personnes dans le monde. Les pro-vie du monde entier et les enfants innocents à naître comptent sur vous pour leur donner une voix.
    $35,00
    Faire un don maintenant

    "Il y a énormément de choses dans ce procès qui m'ont choqué, et je pense que cela vous choquera aussi", a déclaré Craig en ouverture.

    L'ancien consultant du NHS a noté que l'essai avait "recruté 4526 enfants âgés de six mois à quatre ans" mais que "3000 de ces enfants n'ont pas atteint la fin de l'essai".

    "C'est un nombre énorme, les deux tiers d'entre eux", a souligné Craig. « Pourquoi y a-t-il eu cette baisse ? Il faut répondre à cela et sans réponse à cela sur cette seule base, ce procès devrait être considéré comme nul et non avenu.

    LIS: Le risque de blessures graves causées par les piqûres COVID l'emporte sur la protection contre le virus: étude

    Craig a expliqué – et l'annexe B de la demande d'EUA a confirmé – que l'essai Pfizer semble avoir abaissé la barre pour ce qui était considéré comme un cas de "COVID grave" chez les enfants, qualifiant les cas comme tels si les participants exprimaient "une légère augmentation fréquence cardiaque ou quelques respirations de plus par minute. Avant l'essai du vaccin, cependant, un enfant était considéré comme atteint de COVID grave s'il nécessitait une ventilation mécanique, une dialyse ou d'autres traitements invasifs.

    RépondreSupprimer
  19. "Ce qu'ils ont fait, c'est complètement déformer les données", a déclaré Craig.
    2022-06-28T00:00:00.000Z

    «Il y avait six enfants âgés de 2 à 4 ans qui avaient un« COVID sévère »dans le groupe vacciné mais un seul dans le groupe placebo. Ainsi, sur cette base, la probabilité que ce vaccin cause réellement un « COVID sévère » est plus élevée que la probabilité qu'il ne le soit pas », a-t-elle déclaré, soulignant qu'« il y avait en fait un enfant qui a été hospitalisé dans cet essai. Ils ont eu de la fièvre et des convulsions. Ils avaient été vaccinés.

    Le schéma thérapeutique proposé pour les enfants prenant le jab COVID de Pfizer était de trois doses, les deux premières prises à trois semaines d'intervalle tandis que la dose finale de la «série primaire» serait administrée après huit semaines supplémentaires.

    Au cours de la période initiale de trois semaines, "34 des enfants vaccinés ont contracté le COVID et seulement 13 dans le groupe placebo, ce qui équivalait à une augmentation de 30% des chances d'attraper le COVID au cours de cette période de trois semaines si vous étiez vacciné", a déclaré Craig. . « Ils ont donc ignoré ces données, puis il y a eu un écart de huit semaines entre la deuxième dose et la troisième dose, où encore une fois, les enfants recevaient beaucoup de COVID dans le bras vacciné [groupe]. Ils ont ignoré ces données.

    Craig a affirmé que les scientifiques de l'essai Pfizer ont ignoré des semaines supplémentaires de données sur les cas viraux après la troisième dose, au total sans tenir compte de "97% du COVID qui s'est produit pendant l'essai", préférant inclure les plus petits échantillons de cas de COVID.

    État...
    Tenez-moi au courant par e-mail de cette pétition et des problèmes connexes. Signez cette pétition
    Sept jours après la deuxième série de vaccins, l'efficacité du vaccin était en moyenne d'environ 24 % chez 3 954 enfants. "[I] n la fin, ils comparaient trois enfants du bras vaccin qui avaient le COVID avec sept dans le bras placebo" qui n'avaient pas le virus après le troisième coup. Pfizer a ainsi revendiqué une efficacité moyenne de 78,9% sur seulement dix enfants "et ils ont dit que cela montrait que le vaccin était efficace", a déclaré Craig.

    L'essai a également pris en compte les enfants qui ont contracté le nouveau coronavirus deux fois au cours de la période de suivi de deux mois, a expliqué le médecin, notant qu '«il y avait 12 enfants qui ont eu le COVID deux fois et tous sauf un ont été vaccinés, principalement avec trois doses .”

    "Vous devez vous demander à quoi ils pensent alors que l'allégation de réduction du COVID n'a touché que quatre enfants et ici, nous avons douze enfants qui ont reçu le COVID deux fois, dont onze vaccinés", a-t-elle déclaré.

    Récapitulant, Craig a souligné que l'essai avait perdu les deux tiers de ses participants avant de conclure que la piqûre COVID ne s'était avéré efficace contre le virus que sur la base de trois cas de COVID contre sept - une différence marginale - "et tout cela sur le contexte d'une maladie qui n'affecte pas les enfants et sans données de sécurité à long terme.

    RépondreSupprimer
  20. "Les bébés ne sont pas à risque de COVID, et maintenant nous avons Pfizer qui présente cela comme preuve à la FDA afin de demander une EUA", a-t-elle poursuivi avant de demander "comment un comité d'éthique aurait pu approuver cet essai chez les bébés".

    "EUA est destiné à une situation où il y a un risque de blessure grave ou de mort. Désormais, les enfants de moins de cinq ans ne courent aucun risque de blessure grave ou de décès par COVID. En fait, dans leur propre procès, ils ont dû inventer d'autres façons de mesurer le problème car il n'y a eu ni blessure grave ni décès », a fait remarquer Craig.

    LIS: Les législateurs républicains demandent au gouverneur du Tennessee. pour arrêter les piqûres COVID pour les enfants de moins de cinq ans

    Craig a trouvé le soutien du Dr Michael Yeadon, un ancien vice-président de Pfizer qui a été un opposant déclaré aux «mensonges» de la société pharmaceutique et des médias grand public concernant la sécurité apparente des piqûres.

    Écrivant sur sa chaîne populaire Telegram, Yeadon a déclaré que Craig "expose la corruption totale au sein de l'essai clinique Pfizer chez les jeunes et très jeunes enfants" dans son analyse vidéo de six minutes. "Vous aurez du mal à croire qu'ils ont été autorisés à mener un essai de la conception que le Dr Craig résume."

    "Vous aurez également du mal à croire", a-t-il poursuivi, "que sur la base de cette épave de train d'un paquet de données, le comité de la FDA a voté à l'unanimité pour que cet agent soit administré aux très jeunes enfants à partir de six mois. C'est monstrueux que n'importe qui puisse envisager d'injecter de jeunes enfants parce qu'ils ne courent aucun risque de conséquences graves et de décès dus au COVID-19 "

    Yeadon a déploré que "on ait menti aux parents de manière si constante que, malheureusement, je m'attends à ce que beaucoup d'enfants soient empoisonnés et certains soient même tués".

    Craig a souligné le retour en arrière déjà effectué de la part de Pfizer et même de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui ont tous deux commercialisé prématurément les piqûres COVID comme réduisant la transmission du virus avant que les données ne confirment bientôt que les « vaccins » n'arrêtent pas l'infection ou la transmission.

    Ils ne prétendent même pas réduire les hospitalisations, mais la mesure du succès consiste à prévenir les symptômes graves de la maladie COVID-19. De plus, il existe des preuves solides que les «vaccinés» sont tout aussi susceptibles de porter et de transmettre le virus que les «non vaccinés».

    "Si nous nous tournons vers la sécurité", a poursuivi Craig, "ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont suivi les patients pendant six semaines avant de les lever et de les vacciner", ce qui a donné aux enfants qui avaient reçu le placebo, agissant ainsi comme groupe témoin, recevoir la piqûre, "c'est donc votre contrôle de sécurité qui a disparu pour toujours."

    Selon les propres données d'essai de Pfizer, la société a reconnu un taux accru de cas graves d'inflammation cardiaque, de péricardite et de myocardite avec les injections expérimentales d'ARNm.

    RépondreSupprimer
  21. "Les rapports de surveillance de la sécurité post-EUA reçus par la FDA et le CDC [Centers for Disease Control and Prevention] ont identifié des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier dans les 7 jours suivant l'administration de la deuxième dose de la série primaire à 2 doses... Le rapport le plus élevé les taux ont été chez les hommes de 12 à 17 ans », lit-on dans l'application EUA.

    En conclusion, Craig a déclaré qu '"il y a d'autres problèmes" dans le procès et la demande d'EUA qu'elle n'a pas abordés, mais "le fait que ce procès ait existé est incroyable".

    "Les parents devraient exiger que les décideurs s'expliquent", a-t-elle déclaré.

    https://www.lifesitenews.com/news/what-they-did-was-to-utterly-twist-the-data-doctor-rips-pfizers-child-covid-shot-trial/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Yeadon a déploré que "on ait menti aux parents de manière si constante que, malheureusement, je m'attends à ce que beaucoup d'enfants soient empoisonnés et certains soient même tués". (...)

      Depuis 2 ans a été analysé l'expérimentation génique d'essais (CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin') et, a été révélé qu'il s'agissait bien d'un poison dans la seringue ! (et non pas dans l'air). Il s'agit de nano-particules d'oxyde de graphène !!! qui composent à 95 ou 99 % des flacons injectables !!

      Supprimer
  22. L'excrétion de vaccins enfin prouvée !

    Excrétion de vaccins statistiquement significative des parents aux enfants


    Igor Chudov
    3 mai 2022


    Les personnes vaccinées nous rejettent-elles leurs sous-produits vaccinaux ? Nous savions certainement, à coup sûr, que l'excrétion de vaccins n'était pas une chose, parce que «les experts de la santé et les vérificateurs des faits» nous l'ont dit. Et nous « croyons la science » et nos « experts de la santé ». Ok ?

    Sauf que c'est FAUX et que l'excrétion du vaccin vient d'être prouvée par la science !

    Même moi, je croyais qu'il n'y avait pas de mécanisme plausible pour l'excrétion du vaccin. Je pensais que c'était une théorie du complot sans fondement. Stupide que je suis. Il s'est avéré que J'AVAIS TORT et que l'excrétion de vaccins est réelle et peut être mesurée.

    Une étude "Evidence for Aerosol Transfer of SARS-CoV2-specific Humoral Immunity" vient d'être publiée.

    L'évaluation des échantillons de cette manière a révélé qu'un taux élevé d'IgG intranasales chez les parents vaccinés était significativement associé (valeur de p = 0, 01) à une augmentation de 0, 38 des IgG gMFI intranasales log transformées chez un enfant du même ménage (Fig 1F).

    Laissez-moi essayer de l'expliquer. Tout d'abord, ces scientifiques de l'Université du Colorado se sont penchés sur les masques faciaux portés par les travailleurs de la santé vaccinés. Ils ont découvert que ces travailleurs éliminaient les anticorps générés par la vaccination et que certains anticorps étaient piégés dans les masques et pouvaient être détectés. Cela signifie que les personnes vaccinées « excrètent » littéralement les anticorps causés par le vaccin.

    Intéressés par cela, les scientifiques ont regardé plus loin : ils ont comparé des enfants non vaccinés vivant avec des parents non vaccinés, à des enfants non vaccinés de la même manière, mais vivant avec des parents vaccinés.

    Il s'est avéré que les parents vaxxés répandaient activement des particules produites par le vaccin sur leurs enfants afin que les enfants acquièrent une « immunité humorale » suite à l'excrétion de leurs parents ! Non seulement ce résultat était évident dans les données, mais il était en fait FORTEMENT statistiquement significatif avec une valeur de p de 0,01 ! Cela signifie que ce n'était pas une découverte fortuite.

    RépondreSupprimer
  23. Il reste à expliquer POURQUOI les enfants ont des IgG intranasales. Les auteurs semblent penser que c'est à cause de l'excrétion d'anticorps via des gouttelettes. En d'autres termes, ils semblent proposer que ce qui est transféré est l'IgG elle-même dans les gouttelettes de salive. Ils ont peut-être raison. Cela dit, il est possible que les enfants DÉVELOPPENT des IgG intranasales parce que d'autres sous-produits vaccinaux ou exosomes sont excrétés.

    Cela pourrait même être dû aux nanoparticules d'ARNm lipidiques elles-mêmes libérées et transférées via la salive, comme un virus. En fait, compte tenu de deux réponses à cet article que j'ai citées en bas, la perte de nanoparticules lipidiques d'ARNm est très probable. Pourquoi ? Parce que les intervenants rapportent avoir subi de FORTES RÉACTIONS IMMUNITAIRES.

    De tels sous-produits CAUSERONT des IgG intranasales chez les enfants en tant que réaction immunitaire chez les enfants, plutôt que ces IgG étant essentiellement crachés mécaniquement des parents sur leurs enfants.

    L'article, bien que très intéressant, n'est que la première étape de la recherche sur l'excrétion de vaccins et j'espère que davantage de lumière sera apportée (jeu de mots) sur ce phénomène !

    Les auteurs, peut-être dans l'espoir de faire approuver leur article par les censeurs scientifiques, disent que c'est une bonne chose :

    Nos résultats suggèrent que la transmission d'anticorps par aérosol peut également contribuer à la protection de l'hôte et représente un mécanisme entièrement méconnu par lequel la protection immunitaire passive peut être communiquée. La question de savoir si le transfert d'anticorps médie la protection de l'hôte dépendra de l'exposition, mais il semble raisonnable de suggérer, toutes choses étant égales par ailleurs, que toute quantité de transfert d'anticorps s'avérerait utile à l'hôte receveur.

    Je ne sais pas si je peux appeler cela une bonne chose moi-même. Des anticorps ou des nanoparticules d'ARNm provenant de vaccins NON approuvés par la FDA pour les enfants sont transmis de parents à enfants, sans le consentement ou la connaissance des parents ou des enfants. Tout cela est suivi de démentis par les autorités.

    Pensez-vous que c'est une bonne chose ?

    Merci de partager largement cet article !

    https://igorchudov.substack.com/p/vaccine-shedding-finally-proven

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Laissez-moi essayer de l'expliquer. Tout d'abord, ces scientifiques de l'Université du Colorado se sont penchés sur les masques faciaux portés par les travailleurs de la santé vaccinés. Ils ont découvert que ces travailleurs éliminaient les anticorps générés par la vaccination et que certains anticorps étaient piégés dans les masques et pouvaient être détectés. Cela signifie que les personnes vaccinées « excrètent » littéralement les anticorps causés par le vaccin. (...)

      FAUX FAUX & ARCHI-FAUX ! Il prend les gens pour des cons !
      Non-seulement les nano-particules d'oxyde de graphène ne s'excrètent pas (c'est un poison qui se répand dans le sang) à moins de cracher du sang ou de faire un 'don du sang' pour tuer x personnes !
      Bref, il s'est arrêté au masque (çà alors ! et le gel hydroalcoolique ? et le coton en bout d'écouvillons pour faux tests 'RT-PCR' ? et le contenu des flacons injectables ?). Car, le masque est imprégné de fabrication avec des nano-particules d'oxyde de graphène. Donc, le con qui en porte un en respire et, le con qui en porte un en expire. Mais la différence entre inspirer = direct poumons et expirer = sortie d'air de la bouche est importante. Idem si le porteur de masque ou l'inoculé, ou le pomadé de l'épiderme ou l'écouvillonné de la fosse nasale vient à péter.
      Il n'existe pas de poison dans l'air sinon de gaz paralysant ou gaz de combat qui sont mortels. Et, le nombre de nano-particules (d'oxyde de graphène) étant infinitésimal, elles n'ont de danger.

      Supprimer
  24. Je vois des complots partout !


    le 28 juin 2022


    Comme je l’ai écrit à de nombreuses reprises les évidences s’accumulent pour maintenant affirmer que l’épidémie de SARS-CoV-2 était un coup monté de toute pièce pour divertir l’opinion publique, la terroriser et ainsi préparer le contrôle totalitaire de tous les peuples occidentaux à la mode chinoise. Les intérêts sous-jacents sont immenses car lorsque nous seront tous réduits à l’état de bétail avec un émetteur miniature sous la peau (et non pas comme les bovins avec des étiquettes jaunes fixées aux oreilles) pour être espionnés et suivis en permanence alors il sera trop tard et toutes nos libertés seront effacées. Un crédit « carbone » fera partie de la vie, la plus significative avancée dans le contrôle des peuples. « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (Klaus Schwab) et les élites veilleront sur vous. Le droit de propriété sera aboli et tout s’enchainera très vite. Le coronavirus a été clairement reconstruit en laboratoire pour obtenir un gain de fonction en introduisant un site de clivage dit « site furine » dont les deux arginines sont codées par des triplets de bases jamais rencontrés dans les coronavirus connus dont les ARNs ont été séquencés. Cette séquence de nucléotides avait fait l’objet d’un brevet déposé par la firme Moderna. Je n’invente rien, cette étude a été publiée.

    - voir graph sur site -

    Les deux molécules ultra connues et utilisées dans le monde entier capables de traiter l’infection par ce virus modifié artificiellement ont été interdites … C’est suffisant pour affirmer qu’il y a eu un complot. Mais il y a plus grave encore. Les injections d’ARNm appelées abusivement vaccins provoquent des morts, des invalidités permanentes, des troubles variés très bien répertoriés. Pour tout autre vaccin de tels constats auraient immédiatement entrainé l’interdiction de son utilisation. Pourquoi une telle décision n’a pas été prise ? Parce ces mixtures d’ARN auront potentiellement des effets, dans dix ans peut-être, sur la fertilité, le but ultime recherché par l’élite. Le coronavirus a bon dos, il y a bien complot.

    Le cas du réchauffement ou perturbation du climat est emblématique. Il s’agit bien d’un autre complot à l’échelle planétaire sauf pour tous les peuples qui vivent dans les régions tropicales, ceux-là même qui utilisent quotidiennement les deux molécules dont il est fait mention plus haut. Les variations du climat ne dépendent en rien des activités humaines comme le montre la figure ci-dessous.

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  25. Aucune activité humaine ne peut expliquer l’optimum climatique médiéval, certainement pas les hydrocarbures fossiles puisqu’ils n’étaient pas connus à l’exception du charbon lorsque les dépôts étaient facilement accessibles. L’histoire du gaz carbonique est un coup monté et l’effet de serre qui lui est attribué repose sur des arguments fallacieux utilisés par les adeptes de la décroissance : trop de monde, trop de consommation, trop de déchets, trop de gaz carbonique … C’est très facile de faire des amalgames dont le but ultime, comme dans le cas de l’épidémie coronavirale, permettra à l’élite mondiale apatride de dominer le petit peuple, réduit au silence, surveillé, traqué s’il ose contester la nouvelle loi, emprisonné et éliminé en cas de récidive. Les scientifiques osant critiquer la théorie du réchauffement du climat vont bientôt être jetés en prison. S’il n’y a pas un complot alors je n’ai rien compris. Et enfin si les choses ne se déroulent comme le désirent Klaus Schwab et ses affidés alors un nouveau virus apparaîtra comme le virus Hendra, par exemple, qui tue 95 % des personnes infectées tandis qu’elles ont tout le loisir de contaminer leur entourage avant que les premiers symptômes apparaissent, c’est nettement plus efficace que ce SARS-CoV-2 qui semble s’être évanoui et les populations seront complètement terrorisées. Une petite manipulation génétique des protéines d’attachement de ce virus aux cellules humaines et le tour sera joué. Les élites auront sous la main des anticorps monoclonaux pour se protéger, c’est déjà au point, comme elles se sont protégées avec de l’HCQ ou de l’Ivermectine, mais ça elles ne l’avoueront jamais. Comme l’a si bien écrit H16 dans son dernier billet, lorsqu’il faudra choisir cet hiver prochain entre se chauffer et se nourrir avec des aliments de plus en plus rares dans les supermarchés alors la situation sociale dans toute l’Europe explosera : virus ou pas, « vaccins », masques, et autres fantaisies des politiciens à l’imagination fertile … ne pas manger à sa faim effacera toute cette mascarade scandaleuse.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/28/je-vois-des-complots-partout/

    RépondreSupprimer
  26. La Hongrie déclare la guerre à l’Union Européenne : “personne ne nous imposera un embargo sur le gaz russe”


    By Cheikh Dieng
    28 juin 2022


    Plus de trois mois après le début de la guerre en Ukraine et les sanctions prononcées par l’Occident contre la Russie, la Hongrie maintient son bras de fer avec l’Union Européenne et refuse catégoriquement tout embargo sur le gaz russe

    Plus de trois mois après les lourdes sanctions économiques infligées à la Russie, la Hongrie ne décolère pas. Ce pays dont l’économie est très dépendante du gaz russe avait déjà fait savoir qu’elle n’avait aucunement l’intention de se passer du gaz russe. Et trois mois plus tard, Budapest maintient son bras de fer avec l’UE.

    En effet, d’après le média hongrois BudapestTimes.hu, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a fait savoir que l’Etat hongrois, dirigé par Viktor Orban, n’envisage même pas de discuter de l’embargo sur le gaz russe avec les autorités européennes. Pour le chef de la Diplomatie hongroise, il est hors de question que l’UE impose cet embargo à tous les Etats membres.

    “Nous n’avons pas de problème à l’idée que l’Union Européenne cherche de nouvelles sources d’approvisionnement en gaz, mais la participation doit être volontaire. Aucune obligation relative au ravitaillement (en gaz, ndlr) ne peut être imposée aux Etats membres”, prévient-il.

    Il convient de rappeler que ce n’est pas la première fois que le gouvernement de Viktor Orban affiche publiquement son désaccord d’imposer un embargo sur le gaz russe. En effet, d’après le média américain Bloomberg qui citait un haut responsable du gouvernement hongrois, Budapest est totalement opposé à cette mesure, allant jusqu’à évoquer l’hypothèse de mettre son véto.

    “De telles décisions exigent l’unanimité, cela n’a aucun sens que la Commission impose des sanctions affectant le gaz et le pétrole russe et qui mettraient en danger l’approvisionnement de la Hongrie”, avait dénoncé le ministre Gergely Gulyas lors de son passage sur la chaîne HirTV.

    Face à une éventuelle coupure du gaz russe en Occident, ce qui aurait des conséquences désastreuses pour la Hongrie, le premier ministre hongrois, Viktor Orban, n’avait pas manqué de tirer la sonnette d’alarme en mars dernier. “Nous devons prendre en compte le fait que la plupart de nos importations en pétrole et gaz proviennent de la Russie. 90 % des foyers en Hongrie se réchauffent avec du gaz russe”, avait-il alerté, ajoutant que sans ce précieux gaz russe, l’économie hongroise s’arrêterait du jour au lendemain.

    https://lecourrier-du-soir.com/la-hongrie-declare-la-guerre-a-lunion-europeenne-personne-ne-nous-imposera-un-embargo-sur-le-gaz-russe/

    RépondreSupprimer
  27. Du mythe du défaut de paiement de la Russie à l'écroulement du système financier globalisé


    mardi 28 juin 2022


    Alors que les États-Unis ont tout fait pour empêcher la Russie de payer sa dette, elle a envoyé les fonds ... seulement les institutions financières étrangères ont reçu l'interdiction américaine de les reverser aux créditeurs et se sont écrasées. Qui est en défaut, celui qui paie ou celui qui empêche le paiement ? Les Etats-Unis sont allés tellement loin, que même les médias français n'arrivent pas à le digérer. Car la question maintenant qui se pose, est celle de la fiabilité des Etats-Unis comme partenaire financier : vont-ils mettre en défaut de paiement tout pays, qui ne serait pas suffisamment vassalisé ? Ce sont des méthodes de mafieux. Et le système financier global actuel n'est qu'un instrument de cette mafia, comme il vient de le montrer.

    Pour provoquer le défaut de paiement de la Russie, les Etats-Unis ont interdit aux organismes financiers de traiter le paiement effectué par la Russie, dans les temps. Ainsi, l'argent est bloqué, n'est pas transféré aux créditeurs et les agences et médias américains peuvent enfin parler de l'efficacité de leurs sanctions, qui n'ont pas permis à la Russie de payer ses dettes.

    Bloomberg avait lancé le mouvement :

    Le discours est posé, je cite Bloomberg :
    "La Russie a fait défaut sur ses obligations souveraines extérieures pour la première fois en un siècle, point culminant de sanctions occidentales toujours plus sévères qui ont fermé les voies de paiement aux créanciers étrangers."
    Et le New York Times reprend la même ligne, la ligne officielle américaine :

    "La Russie a raté dimanche une date limite pour effectuer les paiements d'obligations, une décision signalant son premier défaut de paiement sur la dette internationale en plus d'un siècle, après que les sanctions occidentales ont contrecarré les efforts du gouvernement pour payer les investisseurs étrangers. Ce délai s'ajoute aux efforts visant à isoler Moscou des marchés mondiaux des capitaux pendant des années. Environ 100 millions de dollars de paiements d'intérêts libellés en dollars et en euros n'ont pas pu parvenir aux investisseurs dans un délai de grâce de 30 jours après le non-respect de la date limite du 27 mai. Le délai de grâce a expiré dimanche soir."

    De son côté, les médias français tiennent un discours plus en nuances, insistent plus sur le fait que la Russie a payé et que les paiements ont été bloqués, comme BFM qui contrairement à son habitude diffuse largement la position russe sur la question :

    "Les systèmes internationaux de paiements et de compensations ont obtenu les fonds dans les temps et en totalité et avaient les moyens légaux et financiers de transférer les fonds en question aux destinataires finales", a dénoncé le ministère russe des Finances.

    Le Figaro titre même que la Russie a été poussée à un défaut de paiement artificiel, reprenant la position du ministère russe des Finances :

    L'agence Moody's, la voix de son maître, insiste elle sur le défaut de paiement - peu importe les raisons, les créditeurs n'ont pas reçu les fonds, donc il y a défaut de paiement. Et comme la Russie prévoit de payer le reste en rouble, il y aura encore défaut de paiement. Derrière l'excès de formalisme, l'on sent la ligne idéologique : il ne peut y avoir de vie en dehors du monde global, la Russie étant sortie de la globalisation, ne peut exister, l'on doit donc la décréter en défaut.

    RépondreSupprimer
  28. De son côté, la position du ministère russe des Finances est très claire, elle s'appuie sur la notion de défaut de paiement :
    "Selon la documentation d'émission pour les émissions indiquées, le fait de défaut est le défaut de paiement du débiteur (failure to pay), cependant le paiement a été effectué en avance - le 20 mai 2022. Dans ce cas, la non-réception de l'argent par les investisseurs ne s'est pas produite par suite d'un défaut de paiement, mais du fait de tiers, ce qui n'est pas expressément prévu dans la documentation d'émission comme un cas de défaillance et doit être considérée dans le cadre des règles générales de droit régissant les termes de l'émission, compte tenu de toutes les circonstances et de la bonne foi des actes des parties"
    Autrement dit, la Russie ne peut être tenue responsable des actes commis par des structures financières ne se trouvant pas sous sa juridiction. Ainsi, la Russie n'est pas dans une situation comparable à celle de 1918 : elle a les moyens de payer, malgré les sanctions occidentales et elle a payé. C'est le système financier globalisé, qui vient de s'écrouler devant nos yeux, car il n'est plus à même de garantir les droits des créanciers.

    La question qui commence à se poser est finalement celle de la fiabilité des Américains et de leurs structures financières de poche, qui peuvent être lancées contre tout pays, à partir du moment où celui-ci n'est pas suffisamment soumis. Les "partenaires" occidentaux des Etats-Unis, à savoir leurs pays satellites (du point de vue américain), devraient sérieusement se poser la question : ont-ils réellement besoin de cela ? Ce qui arrive avec la Russie peut arriver avec chacun d'entre eux, si les circonstances l'exigent. C'est-à-dire si l'intérêt atlantiste global est en jeu.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2022/06/du-mythe-du-defaut-de-paiement-de-la.html

    RépondreSupprimer
  29. Le tsunami financier mondial planifié vient de commencer


    le juin 24, 2022 par Wayan
    Par F. William Engdahl – Le 21 juin 2022
    Source New Eastern Outlook


    L’effondrement a été délibérément déclenché pour des motifs politiques par la banque centrale. La situation n’est pas différente aujourd’hui, car il est clair que la Fed américaine agit avec l’arme des taux d’intérêt pour faire s’effondrer ce qui est la plus grande bulle financière spéculative de l’histoire humaine, une bulle qu’elle a elle-même créée. Les krachs mondiaux commencent toujours à la périphérie, comme le Creditanstalt autrichien de 1931 ou la faillite de Lehman Brother, en septembre 2008. La décision du 15 juin de la Fed d’imposer la plus forte hausse de taux en près de 30 ans, alors que les marchés financiers sont déjà en plein effondrement, garantit désormais une dépression mondiale, voire pire.

    L’ampleur de la bulle de « crédit bon marché » que la Fed, la BCE et la Banque du Japon ont créée en achetant des obligations et en maintenant des taux d’intérêt proches de zéro, voire négatifs, depuis 14 ans, dépasse l’imagination. Les médias financiers couvrent le tout avec des reportages quotidiens absurdes, alors que l’économie mondiale est préparée, mais pas à la soi-disant « stagflation » ou récession. Ce qui s’annonce dans les mois à venir, à moins d’un revirement spectaculaire de la politique, c’est la pire dépression économique de l’histoire à ce jour. Merci à la globalisation et à Davos.

    Globalisation

    Les pressions politiques à l’origine de la globalisation et de la création de l’Organisation mondiale du commerce à partir des règles commerciales du GATT de Bretton Woods, à la suite de l’accord de Marrakech de 1994, ont fait en sorte que la fabrication industrielle avancée de l’Occident, plus particulièrement des États-Unis, puisse fuir à l’étranger, « s’externaliser », pour créer une production dans des pays à très bas salaires. Aucun pays n’a offert plus d’avantages à la fin des années 1990 que la Chine. La Chine a rejoint l’OMS en 2001 et, depuis lors, les flux de capitaux en provenance de l’Occident vers le secteur manufacturier chinois ont été stupéfiants. Il en a été de même pour l’accumulation de la dette chinoise en dollars. Aujourd’hui, cette structure financière mondiale fondée sur une dette record commence à s’effondrer.

    Lorsque Washington a délibérément permis l’effondrement financier de Lehman Brother en septembre 2008, les dirigeants chinois ont réagi par la panique et ont offert des crédits sans précédent aux gouvernements locaux pour construire des infrastructures. Certaines de ces infrastructures étaient partiellement utiles, comme un réseau de trains à grande vitesse. D’autres étaient carrément du gaspillage, comme la construction de « villes fantômes » vides. Pour le reste du monde, la demande sans précédent de la Chine en acier de construction, en charbon, en pétrole, en cuivre et autres était la bienvenue, car les craintes d’une dépression mondiale s’éloignaient. Mais les mesures prises par la Fed et la BCE après 2008, ainsi que par leurs gouvernements respectifs, n’ont rien fait pour remédier aux abus financiers systémiques des grandes banques privées de Wall Street et d’Europe, ainsi que de Hong Kong.

    RépondreSupprimer
  30. La décision prise par Nixon en août 1971 de découpler le dollar américain, la monnaie de réserve mondiale, de l’or, a ouvert les vannes des flux monétaires mondiaux. Des lois toujours plus permissives favorisant la spéculation financière incontrôlée aux États-Unis et à l’étranger ont été imposées à tout bout de champ, depuis l’abrogation de la loi Glass-Steagall par Clinton, à la demande de Wall Street, en novembre 1999. Cela a permis la création de mégabanques si grandes que le gouvernement les a déclarées « trop grosses pour faire faillite ». C’était un canular, mais la population y a cru et les a renflouées avec des centaines de milliards d’euros, tirés de l’argent des contribuables.

    Depuis la crise de 2008, la Fed et les autres grandes banques centrales mondiales ont créé un crédit sans précédent, appelé « helicopter money« , pour renflouer les grandes institutions financières. La santé de l’économie réelle n’était pas un objectif. Dans le cas de la Fed, de la Banque du Japon, de la BCE et de la Banque d’Angleterre, un total de 25 000 milliards de dollars a été injecté dans le système bancaire par le biais de l’achat d’obligations, ainsi que d’actifs douteux comme les titres adossés à des créances hypothécaires, au cours des 14 dernières années.

    La folie quantitative

    C’est là que les choses ont commencé à vraiment mal tourner. Les plus grandes banques de Wall Street, telles que JP MorganChase, Wells Fargo, Citigroup ou, à Londres, HSBC ou Barclays, ont prêté des milliards à leurs grandes entreprises clientes. À leur tour, les emprunteurs ont utilisé les liquidités, non pas pour investir dans de nouvelles technologies de fabrication ou d’exploitation minière, mais plutôt pour gonfler la valeur des actions de leurs sociétés, ce que l’on appelle des rachats d’actions, faites pour « maximiser la valeur pour les actionnaires ».

    BlackRock, Fidelity, les banques et d’autres investisseurs ont adoré ce tour de manège gratuit. Entre le début de l’assouplissement de la Fed en 2008 et juillet 2020, quelque 5 000 milliards de dollars ont été investis dans ces rachats d’actions, créant ainsi le plus grand rallye boursier de l’histoire. Tout s’est financiarisé dans le processus. Les entreprises ont versé 3 800 milliards de dollars de dividendes entre 2010 et 2019. Des entreprises comme Tesla, qui n’avaient jamais réalisé de bénéfices, ont pris plus de valeur que Ford et GM réunis. Les crypto-monnaies comme le bitcoin ont atteint une valorisation de la capitalisation boursière supérieure à 1 000 milliards de dollars, fin 2021. Avec l’argent de la Fed qui circule librement, les banques et les fonds d’investissement ont investi dans des domaines à haut risque et à haut profit comme les junk bonds ou la dette des marchés émergents dans des endroits comme la Turquie, l’Indonésie ou, oui, la Chine.

    L’ère d’assouplissement monétaire post-2008 et de taux d’intérêt zéro de la Fed a conduit à une expansion absurde de la dette du gouvernement américain. Depuis janvier 2020, la Fed, la Banque d’Angleterre, la Banque centrale européenne et la Banque du Japon ont injecté un total de 9 000 milliards de dollars de crédit à taux quasi nul dans le système bancaire mondial. Depuis un changement de politique de la Fed en septembre 2019, cela a permis à Washington d’augmenter la dette publique d’un montant stupéfiant de 10 000 milliards de dollars en moins de 3 ans. Puis la Fed a de nouveau secrètement renfloué Wall Street en achetant 120 milliards de dollars par mois d’obligations du Trésor américain et de titres adossés à des hypothèques, créant ainsi une énorme bulle obligataire.

    RépondreSupprimer
  31. Une administration Biden imprudente a commencé à distribuer des milliers de milliards de dollars de soi-disant fonds de relance pour combattre les blocages de l’économie. La dette fédérale américaine est passée d’un niveau raisonnable de 35 % du PIB en 1980 à plus de 129 % du PIB aujourd’hui. Seul l’assouplissement quantitatif de la Fed, l’achat de milliers de milliards de dollars de dette publique et hypothécaire américaine et les taux quasi nuls ont rendu cela possible. Aujourd’hui, la Fed a commencé à dénouer cette situation et à retirer des liquidités de l’économie par le biais d’un resserrement monétaire, ainsi que par des hausses de taux. C’est délibéré. Il ne s’agit pas d’une erreur d’appréciation de l’inflation par la Fed.

    L’énergie est le moteur de l’effondrement

    Malheureusement, la Fed et les autres banques centrales mentent. Le relèvement des taux d’intérêt n’a pas pour but de ralentir l’inflation. Il s’agit de forcer une réinitialisation globale du contrôle des actifs mondiaux, de la richesse, qu’il s’agisse de l’immobilier, des terres agricoles, de la production de matières premières, de l’industrie et même de l’eau. La Fed sait très bien que l’inflation ne fait que commencer à se propager dans l’économie mondiale. Ce qui est nouveau, c’est que ce sont les mandats d’énergie verte à travers le monde industriel qui sont à l’origine de cette crise de l’inflation pour la première fois, ce qui est délibérément ignoré par Washington, Bruxelles ou Berlin.

    Les pénuries mondiales d’engrais, la flambée des prix du gaz naturel et les pertes d’approvisionnement en céréales dues à la sécheresse mondiale, à l’explosion des coûts des engrais et du carburant ou à la guerre en Ukraine, garantissent qu’au plus tard au moment de la récolte de septembre-octobre, nous subirons une nouvelle explosion mondiale des prix de l’alimentation et de l’énergie. Toutes ces pénuries sont le résultat de politiques délibérées.

    De plus, une inflation bien pire est certaine, en raison de l’insistance pathologique des principales économies industrielles du monde, menées par l’agenda anti-hydrocarbures de l’administration Biden. Ce programme est illustré par la stupéfiante absurdité du secrétaire américain à l’énergie qui a déclaré « achetez donc des voitures électriques » en réponse à l’explosion des prix de l’essence.

    De même, l’Union européenne a décidé d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz russes, sans substitut viable, alors que sa principale économie, l’Allemagne, s’apprête à fermer son dernier réacteur nucléaire et à fermer davantage de centrales au charbon. En conséquence, l’Allemagne et d’autres économies de l’UE connaîtront des pannes d’électricité cet hiver et les prix du gaz naturel continueront de s’envoler. Au cours de la deuxième semaine de juin, en Allemagne, les prix du gaz ont encore augmenté de 60 %. Le gouvernement allemand, contrôlé par les Verts, et l’agenda vert « Fit for 55 » de la Commission européenne continuent de promouvoir l’énergie éolienne et solaire, peu fiable et coûteuse, au détriment des hydrocarbures, bien moins chers et fiables, assurant ainsi une inflation sans précédent liée à l’énergie.

    RépondreSupprimer
  32. La Fed a débranché l’imprimante

    Avec la hausse de 0,75 % des taux d’intérêt de la Fed, la plus importante depuis près de 30 ans, et la promesse d’autres hausses à venir, la banque centrale américaine a maintenant garanti l’effondrement non seulement de la bulle de la dette américaine, mais aussi d’une grande partie de la dette mondiale, d’une valeur de 303 000 milliards de dollars. La hausse des taux d’intérêt, après presque 15 ans à 0%, signifie l’effondrement de la valeur des obligations. Les obligations, et non les actions, sont le cœur du système financier mondial.

    Les taux hypothécaires américains ont doublé en cinq mois pour dépasser les 6 %, et les ventes de logements étaient déjà en chute libre avant la dernière hausse des taux. Les entreprises américaines ont contracté une dette record grâce aux années de taux ultra bas. Environ 70 % de cette dette est classée juste au-dessus du statut de « junk ». Cette dette des entreprises non financières s’élevait à 9 000 milliards de dollars en 2006. Aujourd’hui, elle dépasse 18 000 milliards de dollars. Désormais, un grand nombre de ces entreprises marginales ne seront pas en mesure de reconduire l’ancienne dette en empruntant la nouvelle, et des faillites suivront dans les mois à venir. Le géant des cosmétiques Revlon vient de déclarer faillite.

    Le marché hautement spéculatif et non réglementé des crypto-monnaies, mené par le bitcoin, s’effondre à mesure que les investisseurs réalisent qu’il n’y a pas de solution de sauvetage. En novembre dernier, le monde des crypto-monnaies était évalué à 3 000 milliards de dollars. Aujourd’hui, elle est inférieure à la moitié de cette somme, et l’effondrement se poursuit. Avant même la dernière hausse des taux de la Fed, la valeur des actions des mégabanques américaines avait perdu quelque 300 milliards de dollars. Maintenant que la poursuite de la vente panique en bourse est garantie à mesure que l’effondrement économique mondial s’amplifie, ces banques sont préprogrammées pour une nouvelle crise bancaire grave au cours des prochains mois.

    Comme l’a récemment noté l’économiste américain Doug Noland, « Aujourd’hui, il existe une « périphérie » massive chargée d’obligations de pacotille « subprime », de prêts à effet de levier, de prêts « buy-now-pay-later », de titrisations de voitures, de cartes de crédit, de logements et de panneaux solaires, de prêts de franchise, de crédits privés, de crédits cryptographiques, de DeFi, etc. Une infrastructure massive s’est développée au cours de ce long cycle pour stimuler la consommation de dizaines de millions de personnes, tout en finançant des milliers d’entreprises non rentables. La « périphérie » est devenue systémique comme jamais auparavant. Et les choses ont commencé à se briser ».

    Le gouvernement fédéral va maintenant trouver que le coût des intérêts de sa dette record de 30 000 milliards de dollars est beaucoup plus élevé. Contrairement à la Grande Dépression des années 1930 où la dette fédérale était presque nulle, aujourd’hui le gouvernement, surtout depuis les mesures budgétaires de Biden, est à la limite. Les États-Unis sont en train de devenir une économie du tiers monde. Si la Fed n’achète plus des milliers de milliards de dette américaine, qui le fera ? La Chine ? Le Japon ? Peu probable.

    RépondreSupprimer
  33. Dégonfler la bulle

    Avec la Fed qui impose désormais un resserrement quantitatif, retirant des dizaines de milliards d’obligations et d’autres actifs chaque mois, ainsi qu’en augmentant les taux d’intérêt directeurs, les marchés financiers ont commencé à se désendetter. Il sera probablement saccadé, car des acteurs clés comme BlackRock et Fidelity cherchent à contrôler l’effondrement à leurs fins. Mais la direction est claire.

    À la fin de l’année dernière, les investisseurs avaient emprunté près de 1 000 milliards de dollars en dette marginale pour acheter des actions. Et ce, dans un marché en hausse. Aujourd’hui, c’est l’inverse qui se produit, et les emprunteurs sur marge sont obligés de donner plus de garanties ou de vendre leurs actions pour éviter le défaut de paiement. Cela alimente l’effondrement à venir. Avec l’effondrement des actions et des obligations dans les mois à venir, c’est l’épargne-retraite privée de dizaines de millions d’Américains dans des programmes comme le 401-k qui s’envole. Les cartes de crédit, les prêts automobiles et autres dettes de consommation aux États-Unis ont explosé au cours de la dernière décennie pour atteindre le chiffre record de 4 300 milliards de dollars à la fin de 2021. Les taux d’intérêt sur ces dettes, en particulier les cartes de crédit, vont grimper au-delà du niveau déjà élevé de 16 %. Les défauts de paiement sur ces prêts vont monter en flèche.

    En dehors des États-Unis, ce que nous allons voir maintenant, alors que la Banque nationale suisse, la Banque d’Angleterre et même la BCE sont obligées de suivre la hausse des taux de la Fed, c’est la boule de neige mondiale des défauts de paiement, des faillites, dans un contexte d’inflation galopante que les taux d’intérêt des banques centrales ne pourront pas contrôler. Environ 27 % de la dette mondiale des entreprises non financières est détenue par des sociétés chinoises, pour un montant estimé à 23 000 milliards de dollars. Les entreprises américaines et européennes en détiennent 32 000 milliards de dollars supplémentaires. Aujourd’hui, la Chine est au cœur de sa pire crise économique depuis 30 ans et il y a peu de signes de reprise. Avec les États-Unis, le plus grand client de la Chine, qui entrent dans une dépression économique, la crise de la Chine ne peut que s’aggraver. Cela ne sera pas bon pour l’économie mondiale.

    L’Italie, dont la dette nationale s’élève à 3 200 milliards de dollars, a un ratio dette/PIB de 150 %. Seuls les taux d’intérêt négatifs de la BCE ont empêché l’explosion d’une nouvelle crise bancaire. Maintenant, cette explosion est préprogrammée malgré les paroles apaisantes de Lagarde, la patronne de la BCE. Le Japon, avec un niveau d’endettement de 260%, est la pire de toutes les nations industrielles, et se trouve bloqué dans le piège du taux zéro avec une dette publique de plus de 7 500 milliards de dollars. Le yen est en train de chuter sérieusement, ce qui déstabilise toute l’Asie.

    Le cœur du système financier mondial, contrairement à la croyance populaire, n’est pas les marchés boursiers. Ce sont les marchés obligataires ; obligations d’État, d’entreprises et d’agences. Ce marché obligataire a perdu de sa valeur en raison de l’inflation galopante et de la hausse des taux d’intérêt depuis 2021 aux États-Unis et dans l’Union européenne. Au niveau mondial, ce marché représente quelque 250 000 milliards de dollars d’actifs, une somme qui perd encore de la valeur à chaque hausse des taux d’intérêt. La dernière fois que nous avons connu un renversement aussi important de la valeur des obligations, c’était il y a quarante ans, à l’époque de Paul Volcker, avec des taux d’intérêt de 20 % pour « juguler l’inflation ».

    RépondreSupprimer
  34. À mesure que le prix des obligations baisse, la valeur du capital des banques chute. Les plus exposées à une telle perte de valeur sont les grandes banques françaises et la Deutsche Bank dans l’UE, ainsi que les plus grandes banques japonaises. Les banques américaines comme JP MorganChase seraient à peine moins exposées à un effondrement majeur des obligations. Une grande partie de leur risque est cachée dans des produits dérivés hors bilan et autres. Cependant, contrairement à ce qui s’est passé en 2008, les banques centrales ne pourront pas refaire une autre décennie de taux d’intérêt nuls et d’assouplissement quantitatif. Cette fois-ci, comme l’ont fait remarquer des initiés comme l’ancien directeur de la Banque d’Angleterre Mark Carney, il y déjà trois ans, la crise sera utilisée pour forcer le monde à accepter une nouvelle monnaie numérique de banque centrale, un monde où tout l’argent sera émis et contrôlé de manière centralisée. C’est aussi ce que les gens du WEF de Davos entendent par leur Grande Réinitialisation. Ce ne sera pas bon. Un tsunami financier planifié à l’échelle mondiale vient de commencer.

    William Engdahl

    Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

    https://lesakerfrancophone.fr/le-tsunami-financier-mondial-planifie-vient-de-commencer

    RépondreSupprimer
  35. L'oligarchie, qui nous prive du gaz russe, nous annonce qu'on va souffrir cet hiver


    lundi 27 juin 2022


    « La meilleure énergie reste celle que nous ne consommons pas », soulignent les trois dirigeants, qui appellent à « une prise de conscience et à une action collective et individuelle pour que chacun d'entre nous - chaque consommateur, chaque entreprise - change ses comportements et limite immédiatement ses consommations énergétiques, électriques, gazières et de produits pétroliers ». (Le JDD, cité par France Info)

    Tout est dit, ou presque. Quatre mois après l'invasion russe en Ukraine, et quelques jours à peine depuis la fin de la livraison de gaz russe qui alimentait l'Europe de l'Ouest, dont l'Allemagne et la France, les grands patrons de l'énergie nationale (ou plutôt multinationale), ceux d'Engie, EDF et TotaEnergies, nous demandent de réduire « immédiatement » notre consommation. C'est un ordre, un oukase, une injonction.

    Le capitalisme, pénurie et spéculation

    On vous la refait, en plus simple encore : les gouvernants non élus de l'Union européenne, inféodés à l'Empire, ont produit un clash calculé avec la Russie, ils ont sans nous demander notre avis coupé notre alimentation en énergie fossile rapide (par gazoduc) et pas chère, ils ont augmenté drastiquement les prix de l'alimentation sous prétexte de blocage des exportations de blé ukrainien, ils nous poussent vers la guerre et nous préparent un hiver 2022-2023 dystopique au possible.

    - voir clip sur site -

    Et tout ça, en France, après avoir à moitié abandonné la filière nucléaire, stratégique au possible. Soit, pour être encore plus concret, pour nous préparer à des temps (de guerre) très durs. Nous sommes la grenouille au fond de la casserole et la température augmente jour après jour.
    « Il faudra surveiller de très près la disponibilité en essence, en fioul diesel et fioul de chauffage, davantage même que la disponibilité en pétrole brut. »
    Jan Horst Keppler, économiste à franceinfo

    Entre les tyrans de l'UE, que tout le monde connaît désormais et que personne n'a élu, les Leyen les Lagarde, les Scholz, plus un cran au-dessus, les Soros, les Gates et les Schwab, et les patrons des multinationales françaises de l'énergie, il n'y a pas l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette : ils sont tous en guerre contre nous, sans même parler du président français, qui nous le serine avec un vice consommé. Tant pis pour le climat, qui était, avant la guerre en Ukraine, la grande peur mise en avant par les médias serviles. Le climat, il repassera. Adieu Greta.

    C'est dans le JDD, cet organe de l'oligarchie par excellence, que la tribune des trois patrons a été diffusée. MacGregor, Lévy et Pouyanné sont trop gentils : ils pensent à notre pouvoir d'achat. Après nous avoir assassinés sur factures, car l'intégration totale de la France dans l'UE leur a permis d'aligner les prix de notre électricité, pas chère et exportatrice, sur les standards européens.
    « Depuis maintenant des mois, le système énergétique européen subit de fortes tensions et le système énergétique français n'est pas épargné », exposent Catherine MacGregor, directrice générale d'Engie, Jean-Bernard Lévy, président-directeur général d'EDF, et Patrick Pouyanné, président-directeur général de TotalEnergies. Selon eux, « la flambée des prix de l'énergie qui découle de ces difficultés menace notre cohésion sociale et politique et impacte trop lourdement le pouvoir d'achat des familles. »
    Selon les trois dirigeants, la seule manière d'éviter une pénurie de gaz, d'électricité et de pétrole l'hiver prochain est de réduire « immédiatement » la consommation d'énergie. Ils appellent donc toute la population ainsi que les entreprises à un effort collectif.

    RépondreSupprimer
  36. Traduction : au lieu de baisser leurs prix, qui ont été gonflés à l'extrême bien avant la guerre en Ukraine, ils nous demandent de réduire notre consommation, c'est-à-dire de moins nous chauffer cet hiver. On reconnaît bien là nos tendres capitalistes, ces amis de l'humanité. Tout a été fait, au niveau politique, français et européen, pour nous couper de l'alimentation en gaz russe, ce qui était le désir profond du pouvoir profond américain. Qui peut désormais placer son gaz de schiste écologiquement dégueulasse et racketter encore plus l'UE, qui a déjà déboursé des dizaines de milliards d'euros pour de faux vaccins.

    Il n'y a pas à dire, l'UE est la bonne fille et la vache laitière de l'Amérique. Elle ne devait surtout pas s'allier avec l'ours russe et le divorce est entamé, entraînant l'Europe dans une récession sans précédent. Le consommateur français n'a pas encore pris conscience du drame qui se joue, il continue à s'adapter (en mangeant moins cher, en roulant moins souvent), alors que dans ce cas, l'adaptation n'est pas une vertu : elle est mortelle.

    Le Monde participe à la guerre contre la Russie

    - voir clip sur site -

    Un petit avant-goût de l'hiver nucléaire

    - voir clip sur site -

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/L-oligarchie-qui-nous-prive-du-gaz-russe-nous-annonce-qu-on-va-souffrir-cet-hiver-68723.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les chefs d’États entr'eux se créent des guerres, s'inondent d'injures, se critiquent ou s'embrassent. Ils n'en ont RIEN A FOUTRE du Peuple. Le Peuple lui, il n'a pas d'ennemis à 1000 ou 10 000 km. Ils ne se connaissent pas ou, juste un peu à l'occasion de vacances là-bas. Mais il sait que là-bas aussi le Peuple est dans la merde.
      Mais que voulez-vous une dictature c'est une dictature. Qu'elle soit monarchique, républicaine ou impériale c'est la même merde. Rien ne vaut la Démocratie. En Suisse c'est le Peuple suisse qui propose SES lois et vote SES lois !

      Supprimer
  37. "L'hiver" arrive pour l'Occident, et il va être apocalyptique


    Lundi 27 juin 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le chef de l'Agence fédérale allemande des réseaux a émis un avertissement sévère sur ce qui va bientôt arriver pour le pays – et ce n'est pas joli.

    Les pénuries de carburant associées à la flambée des prix enverront "des ondes de choc dans tout le pays", déclare Klaus Müller, dont le bureau réglemente les marchés allemands de l'électricité, du gaz, des télécommunications, des services postaux et des chemins de fer.

    S'adressant au journal allemand Rheinische Post, Müller a brossé un tableau exceptionnellement sombre de ce qui attend l'Allemagne, ce qui est tout simplement apocalyptique. Et à vrai dire, cela s'applique également aux alliés de l'Allemagne dans tout l'Ouest, qui est voué à la destruction.

    "Les banques vont développer leurs activités avec des prêts à tempérament et les entreprises en difficulté tomberont dans l'insolvabilité", prévient Müller.

    Les prix du gaz ne feront que continuer à grimper au-delà de ce que la personne moyenne est en mesure de se permettre. Il y aura également un manque de gaz en hiver, ce qui pourrait amener les propriétaires à couper le chauffage pour leurs locataires.

    "La loi sur le bail stipule que le propriétaire doit régler le système de chauffage pendant la période de chauffage afin que la température minimale se situe entre 20 et 22 degrés Celsius", explique Müller.

    «Le gouvernement pourrait temporairement réduire les besoins en chauffage des propriétaires. Nous en discutons avec les politiciens.

    L'Allemagne et l'Occident sont sur le point d'aller kaput

    Puisque l'Allemagne est en tête du peloton dans la destruction de son infrastructure énergétique afin de passer au « vert », il n'est pas étonnant que le pays soit maintenant en proie à une spirale de la mort, économiquement parlant.

    Soit dit en passant, ce même programme énergétique «vert» est poussé dans pratiquement tous les pays occidentaux. Et s'il réussit, ce qui semble être le cas, alors tous les pays occidentaux seront confrontés à la même crise que l'Allemagne - et tous continueront à en blâmer la Russie, bien sûr.

    L'Allemagne continue de faire pression pour interdire toutes les importations de pétrole russe, même si elle a besoin de ce pétrole pour survivre. C'est presque comme si ceux qui dirigent l'Allemagne et l'Occident en général voulaient son échec.

    RépondreSupprimer
  38. "Bien que l'Allemagne ait fait pression pour une interdiction générale des importations de pétrole russe, le pays dépend fortement du gaz naturel russe", a rapporté Remix.

    "Si la Russie devait couper le gaz pendant les mois d'hiver critiques ou même restreindre l'approvisionnement, cela pourrait entraîner des dommages critiques pour l'économie allemande, un scénario contre lequel les experts en énergie ont déjà mis en garde."

    La "solution" de l'Allemagne à ce problème est de supplier les consommateurs et les industries d'utiliser moins de gaz d'une manière ou d'une autre, ce qui n'est guère un plan viable. Et pourtant, c'est ce que Müller propose au lieu de vraies solutions comme l'expansion de l'infrastructure des combustibles fossiles de l'Allemagne et l'annulation de ses politiques anti-russes, qui nuisent au peuple allemand.

    "Nous voulons établir des mécanismes pour récompenser les entreprises qui renoncent volontairement aux quotas de gaz avec une prime", déclare Müller. "Il est toujours préférable que les ajustements se fassent via les prix plutôt que via l'intervention directe de l'État."

    Si l'intervention directe de l'État n'est pas idéale, alors pourquoi l'Allemagne interfère-t-elle directement avec les importations de pétrole russe bon marché et abondant, Müller ? Parlez d'hypocrisie - mais cela ne s'arrête pas là.

    Müller reconnaît que les prix du gaz sont trop élevés et ne cessent de grimper, mais il ne reconnaît pas que les propres politiques énergétiques de l'Allemagne sont à blâmer. Pourtant, il avertit les Allemands de ce qui va bientôt arriver et de ce qui est déjà en marche.

    "Les prix du gaz pour les ménages privés se sont déjà multipliés par rapport à la période d'avant-guerre", a-t-il ajouté. "Il peut y avoir une mauvaise surprise pour les locataires si des arriérés élevés sont dus."

    Dans les commentaires de Natural News, quelqu'un a écrit que l'Allemagne avait déjà préparé ses citoyens aux retombées inévitables de tout cela en distribuant des brochures contenant des informations et des conseils sur ce qu'il fallait faire en cas de panne de courant.

    Une couverture de nouvelles plus connexe peut être trouvée sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RMX.news
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-27-winter-is-coming-west-will-be-apocalyptic.html

    RépondreSupprimer
  39. Al Gore a fourré des millions de personnes dans son coffre-fort tout en sauvant le monde


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    28 juin 2022


    Étant donné que le changement climatique s'est à nouveau hissé au sommet des classements, en tant que problème de "profonde préoccupation", je republie mon article sur Al Gore datant d'il y a plusieurs années :

    Freeman Dyson, physicien et mathématicien, professeur émérite à l'Institute for Advanced Study de Princeton, membre de la Royal Society, lauréat de la médaille Lorentz, de la médaille Max Planck, du prix Fermi : « Ce qui s'est passé ces 10 dernières années, c'est que les écarts [dans les modèles de changement climatique] entre ce qui est observé et ce qui est prévu est devenu beaucoup plus fort. Il est clair maintenant que les modèles sont faux, mais ce n'était pas si clair il y a 10 ans... Je suis moi-même 100 % démocrate et j'aime Obama. Mais il a pris le mauvais côté sur cette question [du changement climatique], et les républicains ont pris le bon côté… » (The Register, 11 octobre 2015)

    Dr Ivar Giaever, lauréat du prix Nobel de physique (1973), rapporté par Climate Depot, 8 juillet 2015 : « Le réchauffement climatique n'est pas un problème… Je dis ceci à Obama : Excusez-moi, Monsieur le Président, mais vous ai tort. Tout à fait tort.

    Green Guru James Lovelock, qui avait prédit une fois la destruction imminente de la planète par le réchauffement climatique : « Les modèles informatiques n'étaient tout simplement pas fiables. En fait, je ne suis pas sûr que tout cela ne soit pas fou, ce changement climatique. (Le Gardien, 30 septembre 2016)

    Et ce ne sont qu'une infime partie des déclarations faites par des scientifiques dissidents qui rejettent le réchauffement climatique d'origine humaine.

    La science n'est installée que dans les cercles gouvernementaux où les dirigeants ont adhéré au plan mondialiste visant à saper les économies du monde entier en réduisant considérablement la production d'énergie, comme moyen de "réduire le réchauffement".

    L'un des principaux arnaqueurs au réchauffement est, bien sûr, Al Gore.

    Considérez les faits exposés dans un article non critique du Washington Post (10 octobre 2012, « Al Gore a prospéré en tant qu'investisseur dans les technologies vertes ») :

    En 2001, Al valait moins de 2 millions de dollars. En 2012, on estimait qu'il avait enfermé 100 millions de dollars.

    Comment a-t-il fait? Eh bien, il a investi dans 14 entreprises vertes, qui ont inhalé – via des prêts, des subventions et des allégements fiscaux – quelque part dans les environs de 2,5 milliards de dollars du gouvernement fédéral pour devenir plus vertes.

    Par conséquent, les investissements de Gore ont porté leurs fruits, car le gouvernement fédéral fournissait des liquidités massives à ces entreprises. C'est bien d'avoir des amis fédéraux haut placés.

    Par exemple, la société d'investissement de Gore détenait à un moment donné 4,2 millions d'actions d'une société appelée Iberdrola Renovables, qui construisait 20 parcs éoliens à travers les États-Unis.

    RépondreSupprimer
  40. Iberdrola a reçu 1,5 milliard de dollars du gouvernement fédéral pour le travail qui, de son propre aveu, a sauvé son bacon financier. Chaque petit geste compte.

    Ensuite, il y avait une société appelée Johnson Controls. Elle fabriquait des batteries, y compris celles des voitures électriques. La société d'investissement de Gore, Generation Investment Management (GIM), a doublé sa participation dans Johnson Controls en 2008, alors que les actions ne coûtaient que 9 dollars par action. GIM a vendu lorsque les actions coûtaient entre 21 $ et 26 $.

    Remarque : Johnson Controls avait été renforcé par 299 millions de dollars déposés à sa porte par l'administration du président Barack Obama.

    En parallèle, Gore avait prononcé des discours sur la fin de la vie telle que nous la connaissons sur la planète Terre, pour pas moins de 175 000 dollars chacun. (Ce n'était pas vraiment sur le côté. Gore se déplaçait constamment d'une conférence à l'autre, crachant des vapeurs de jet dans son sillage.) Ces frais de conférence peuvent s'additionner.

    Donc Gore, en 2012, avait 100 millions de dollars.

    L'homme a travaillé sous tous les angles pour transformer la peur des catastrophes du réchauffement climatique en une fortune personnelle. Et il n'a pas atteint son nouveau statut sur le marché libre. Le gouvernement fédéral a aidé avec de très gros dollars.

    Ce n'était pas un entrepreneur qui s'appuyait exclusivement sur sa propre intelligence et son travail acharné. Loin de là.

    — Combien de scientifiques et d'autres docteurs viennent de dire non à la théorie du réchauffement climatique d'origine humaine ?

    Une lettre au Wall Street Journal signée par 16 scientifiques vient de dire non. Parmi les sommités : William Happer, professeur de physique à l'université de Princeton ; Richard Lindzen, professeur de sciences atmosphériques au Massachusetts Institute of Technology ; William Kininmonth, ancien responsable de la recherche sur le climat au Bureau australien de météorologie.

    Et puis il y a eu le Global Warming Petition Project, ou la pétition de l'Oregon, qui a juste dit non. Selon Petitionproject.org, la pétition porte les signatures de "31 487 scientifiques américains", dont 9 029 ont déclaré avoir un doctorat.

    RépondreSupprimer
  41. Le réchauffement climatique est l'un des principaux problèmes des globalistes de Rockefeller. La manipuler implique de convaincre les populations qu'une intervention massive est nécessaire pour conjurer l'effondrement imminent de toute vie sur Terre. Par conséquent, les nations souveraines doivent être éradiquées. Le pouvoir politique et la prise de décision doivent venir d'en haut, de "ceux qui sont plus sages".

    Al Gore est l'un de leurs hommes de paille.

    Il vole ici et il vole là, transportant leurs messages. C'est leur livreur.

    Et pour son travail, il est payé 100 millions de dollars - une goutte d'eau dans l'océan.

    Les mondialistes veulent que tous les gouvernements nationaux de la planète s'engagent à réduire la production d'énergie d'un pourcentage significatif et destructeur au cours des 15 prochaines années - "pour nous sauver d'un destin horrible".

    Leur véritable programme est clair : la seule solution au changement climatique est un réseau mondial de gestion de l'énergie. Les dirigeants mondialistes sont les mieux placés pour gérer un tel système. Ils exigeront des niveaux de consommation d'énergie BEAUCOUP PLUS BAS sur toute la planète Terre, région par région, nation par nation et, éventuellement, citoyen par citoyen.

    Oui, citoyen par citoyen.

    C'est l'objectif à long terme. C'est le Saint Graal des mondialistes.

    Esclavage imposé par l'énergie.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2022/06/jon-rappoport/al-gore-stuffed-millions-into-his-lockbox-while-saving-the-world/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Al gore a inventé le ''RT-PCR' ! bien avant les autres. Il ne voit rien mais dit qu'il y est ! C'est çà qui compte. C'est comme les soutes de Fort Knox au Kentucky !

      Supprimer
  42. L'USDA ignore la science sur les régimes à faible teneur en glucides

    Depuis 2014, le département américain de l'agriculture a la réputation d'"enterrer" la science


    Nina Teicholz
    26 juin 2022


    "Je me demandais si nous devrions avoir une section distincte sur les régimes à faible teneur en glucides plutôt que de l'enterrer", a écrit Frank Hu, professeur de nutrition à Harvard, à propos du rapport d'expert officiel pour les 2015 U.S. Dietary Guidelines for Americans. Au cours de la dernière décennie, des milliers de scientifiques, de médecins et d'autres ont exhorté les responsables de la politique nutritionnelle de notre pays à prêter attention aux études sur les régimes à faible teneur en glucides, mais même si la science a progressé rapidement, les agences fédérales en charge des directives semblent toujours -plus déterminé à ignorer et oui, à enterrer la science.

    La littérature sur le low-carb est maintenant vaste. Une recherche rapide de « faible teneur en glucides » sur pubmed.gov, une base de données gouvernementale d'études scientifiques, donne aujourd'hui 7 821 publications, dont 858 essais cliniques (le type de preuve le plus rigoureux).12 Comparez cela aux 401 essais sur le « régime végétarien », ce qui est formellement recommandé par les directives américaines depuis 2015.

    Bien sûr, la quantité n'est pas la qualité, mais l'American Diabetes Association a jugé que la faible teneur en glucides avait "le plus de preuves pour améliorer la glycémie" [contrôle de la glycémie], le problème clé pour les personnes atteintes de diabète. Et le régime produit "plus de perte de poids" qu'une option riche en glucides, selon l'American Heart Association.

    Pourtant, voici l'histoire récente de la façon dont les départements américains de l'agriculture et de la santé et des services sociaux (USDA-HHS), les agences fédérales qui co-publient les directives tous les cinq ans, ont traité ce vaste corpus de littérature scientifique :

    Pour les lignes directrices de 2015, l'USDA3 a mené une revue formelle de cette littérature et a trouvé 40 études mais contrairement à ses autres revues, a gardé celle-ci cachée et n'a même pas révélé le fait qu'elle avait été menée. L'existence de l'examen n'a été découverte que dans des e-mails obtenus via la loi sur la liberté d'information (FOIA) ;

    Cinq ans plus tard, pour les lignes directrices de 2020, l'USDA a publiquement examiné le régime pauvre en glucides mais n'a trouvé aucune étude répondant à ses critères d'inclusion sur le sujet ;

    Pour les prochaines directives de 2025, l'USDA a proposé d'ignorer complètement les régimes à faible teneur en glucides.

    RépondreSupprimer
  43. Comment cela pourrait-il arriver ?

    Un nouveau cycle commence ; Toujours pas de reconnaissance de la faible teneur en glucides
    En mars, l'USDA a lancé son processus pour les lignes directrices de 2025 en publiant un projet de liste de questions scientifiques (qui n'est plus à son URL d'origine), qui n'incluait pas une seule requête sur les régimes à faible teneur en glucides. Si aucune question n'est posée, aucun examen n'est effectué, ce qui signifierait que les lignes directrices n'auraient aucune chance d'inclure une option à faible teneur en glucides avant les lignes directrices de 2030 ou plus tard.

    Le public, qui avait un mois pour commenter, était clairement bouleversé. Près de 80 % du total des commentaires, soit quelque 1 200 personnes, ont exhorté l'USDA-HHS à examiner la vaste littérature scientifique sur la faible teneur en glucides. La période de consultation publique s'est terminée à la mi-mai et les agences n'ont pas encore répondu.

    De nombreux commentateurs ont exprimé leur frustration d'avoir souffert d'obésité et d'autres conditions liées à l'alimentation pendant des années sans être informés de la disponibilité d'une approche à faible teneur en glucides, qui a ensuite résolu leurs problèmes de santé. Comme l'a écrit un commentateur :

    «Je suis un médecin à la retraite qui a personnellement lutté contre le surpoids ou l'obésité depuis l'enfance. J'ai conseillé des patients sur les mêmes problèmes, en utilisant les directives nutritionnelles et d'exercice du gouvernement et des experts médicaux. Ces lignes directrices n'ont pas fonctionné pour mes patients ou moi. Je perdrais du poids en comptant les calories et en faisant de l'exercice, mais je ne pouvais pas le maintenir en mangeant des glucides, y compris des grains entiers dits sains. Ce n'est que lorsque j'ai découvert des informations sur une alimentation faible en glucides / cétogène à 69 ans que mes difficultés ont pris fin. Depuis lors, j'ai suivi une alimentation faible en glucides, je me sens bien, j'ai une excellente endurance à l'exercice, j'ai vu mon HDL augmenter à 104 et je ne souffre plus de douleurs articulaires.

    Tout revient aux lignes directrices…

    L'incapacité d'obtenir des informations sur les faibles teneurs en glucides de la plupart des médecins, diététistes ou autres cliniciens peut être attribuée directement aux directives, qui sont considérées comme la « norme de référence » par les professionnels de la santé et sont enseignées à tous les niveaux de scolarité. Selon la loi, les directives déterminent également les aliments servis dans tous les programmes fédéraux de nutrition, tels que les repas scolaires, les programmes d'alimentation pour les personnes âgées, etc.

    RépondreSupprimer
  44. Les céréales, le pain et les autres féculents sont à la base de la « pyramide alimentaire » américaine depuis le début des directives en 1980. Dix portions de pain par jour étaient la recommandation initiale. Aujourd'hui, les directives recommandent six portions de céréales par jour (dont 3 raffinées), plus jusqu'à 10 % de calories sous forme de sucre. Au total, les directives de 2020 recommandent de manger 52 % à 56 % des calories sous forme de glucides, en hausse de quelques points de pourcentage par rapport aux dernières directives de 2015.

    - voir graph sur site -

    Comparez cela avec les <25 à 30 % de calories sous forme de glucides dans un régime pauvre en glucides, ce qui est clairement une idée très différente. Cette quantité de glucides peut sembler assez faible pour la personne moyenne, mais n'oubliez pas que la plupart des gens se tournent vers cette façon de manger parce qu'on leur a diagnostiqué un problème de santé grave, comme le diabète, ce qui signifie généralement qu'ils peuvent ne tolèrent plus des niveaux élevés de sucres ou d'amidons.

    Une approche à faible teneur en glucides diffère nettement des directives du gouvernement - et est probablement l'une des raisons pour lesquelles l'UDSA-HHS n'a pas répondu à la science pertinente.

    Le Congrès s'inquiète

    Le Congrès a d'abord fait part de sa prise de conscience des lacunes de l'USDA-HHS concernant la science sur les régimes à faible teneur en glucides lors d'une rare audience sur les directives, en octobre 2015. Un certain nombre de membres du Congrès ont exprimé leur inquiétude quant au fait que les directives étaient trop riches en glucides pour Beaucoup de gens.

    L'ancien membre du Congrès Dan Benishek, un médecin du Michigan, a commenté :

    "52 % des Américains sont pré-diabétiques ou diabétiques, et pourtant, les recommandations diététiques qui, si je comprends bien, ne sont pas vraiment appropriées pour cela... Ces personnes ont une intolérance aux glucides et - et il [y a] plus de glucides dans le régime que vous recommandez est vraiment approprié pour cela.

    Vicki Hartzler du Missouri a déclaré :

    "J'ai entendu des inquiétudes selon lesquelles [l'USDA] a ignoré un nombre important, crédible et croissant de données scientifiques évaluées par des pairs sur les régimes à faible teneur en glucides, car cela contredit les preuves des directives précédentes."

    Le rapport des académies nationales sur les directives diététiques

    De cette prise de conscience est né un mandat du Congrès - et un crédit d'un million de dollars - pour le tout premier examen par les pairs des lignes directrices, par les Académies nationales des sciences, de l'ingénierie et de la médecine (NASEM).4 Le rapport qui en a résulté, en 2017, a été publié en deux parties, avec un certain nombre de recommandations à adopter par l'USDA. Tout récemment, le NASEM a publié un autre rapport, pour évaluer comment l'USDA avait réussi à se conformer à ses recommandations de 2017 jusqu'à présent.

    RépondreSupprimer
  45. Le bilan 2022 n'est pas rose. Le processus des lignes directrices a encore du chemin à parcourir pour «recevoir la confiance de la communauté scientifique, des professionnels de la santé et du public», indique-t-il.

    Aucune des sept recommandations formulées par le NASEM en 2017 n'a été pleinement adoptée (ou, dans un cas, les preuves manquent pour faire une évaluation), indique le rapport.

    Pire encore, le processus des lignes directrices continue de soulever «de sérieuses inquiétudes concernant la transparence et les conflits d'intérêts». Entre autres choses, il ne fait pas l'objet d'un examen externe par des pairs (comme le recommande le rapport NASEM de 2017) et son processus de sélection des études fait défaut au point qu'il « compromet [s] l'intégrité, la transparence, le processus délibératif et laisse [ s] ouvrent la possibilité d'introduire un biais.

    Ce sont des problèmes méthodologiques assez fondamentaux et aident probablement à expliquer comment l'USDA a réussi à éviter toute la littérature scientifique sur les régimes à faible teneur en glucides depuis au moins 2014.

    Les lignes directrices de 2015 : l'examen formel de la faible teneur en glucides est caché
    La veille de Thanksgiving 2014, la nutritionniste de l'USDA, Eve Essery, a abordé le sujet5 des régimes à faible teneur en glucides avec les membres du groupe d'experts externes, appelé Dietary Guidelines Advisory Committee (DGAC), qui, en vertu de la loi, est destiné à diriger les examens scientifiques. Essy écrit :

    Comme vous le savez tous, il y a eu un intérêt continu, et peut-être croissant, pour les régimes à faible teneur en glucides, et on nous a demandé à de nombreuses reprises pourquoi les directives diététiques ne recommandent pas les régimes à faible teneur en glucides comme modèle alimentaire de choix pour le grand public. public.6

    Essery mentionne au passage que sa collègue de l'USDA, Julie Obbagy, avait mené une revue de cette science7, dont les résultats semblent avoir été partagés avec une seule membre de la DGAC, Anna Maria Siega-Riz, professeur de nutrition à Université du Massachusetts à Amherst. Essery dit que Siega-Riz avait rédigé une déclaration sur le sujet, à inclure dans la section méthodologie du rapport scientifique.

    Frank Hu, membre de la DGAC et professeur à Harvard, objecte :

    RépondreSupprimer
  46. Je souhaite que le comité ait plus de temps pour résumer et mettre à jour les… preuves sur les régimes à faible teneur en glucides [sic]… En tout état de cause, nous ne devrions pas simplement rejeter le rôle des régimes à faible teneur en glucides dans le contrôle du poids et l'amélioration de la santé globale. [emphases ajoutées ici et ci-dessous]8

    Reléguer la discussion sur la faible teneur en glucides à la section méthodologie ne permettrait pas de la considérer aux côtés d'autres régimes, dit Hu :

    "Étant donné la popularité d'un modèle [à faible teneur en glucides] et l'énorme quantité de recherches qui ont été générées au cours des dernières années, je me demandais si nous devrions avoir une section distincte sur les régimes à faible teneur en glucides plutôt que de l'enterrer dans la section Méthodologie. …”

    Il ajouta:

    "Les personnes qui connaissent le domaine peuvent se plaindre que nous glissons sur les preuves récentes et que nous n'accordons pas aux régimes à faible teneur en glucides... l'attention qu'ils méritent."

    Pendant plusieurs jours, Hu et d'autres membres de la DGAC continuent de comprendre à tort qu'un examen formel de l'USDA sur la faible teneur en glucides avait en fait été effectué - et qu'ils venaient d'être laissés pour compte.

    Siega-Riz finit par enfoncer le clou, affirmant clairement que l'USDA "a mené un examen pour nous...". Fin de conversation - et la critique était bourrée.

    Les lignes directrices 2020 : 40 études oubliées

    Les 40 études de cette revue ont sans aucun doute sous-estimé le nombre disponible à l'époque. Pourtant, 40 vaut la peine d'être comparé au nombre d'études sur la faible teneur en glucides jugées dignes d'être examinées par l'USDA cinq ans plus tard, qui était de zéro.9

    Encore une fois, il faut se demander, comment cela a-t-il été possible ? Eve Essery, maintenant Eve Essery Stoody, était toujours impliquée. En fait, elle était devenue «l'agent fédéral désigné» pour l'ensemble de l'USDA sur les directives (Stoody a refusé les demandes de commentaires pour cet article).

    Même si elle avait souffert d'un trou de mémoire, il est difficile de comprendre comment chacun des 18 membres de l'équipe d'examen systématique de l'USDA, ainsi que les 20 membres de la DGAC 2020, n'auraient pas pu trouver une seule étude acceptable sur les régimes pauvres en glucides.

    RépondreSupprimer
  47. D'ici là, au moins 100 revues systématiques sur la faible teneur en glucides pourraient être trouvées sur pubmed.gov, selon un groupe de défense, qui a également officiellement soumis une liste de 52 essais cliniques pertinents à la DGAC pour examen. L'American Diabetes Association avait adopté en 2018 un "régime très faible en glucides" comme "norme de soins" pour la gestion du diabète de type 2.

    Ne pas être au courant de l'une de ces publications impliquait que tous les experts impliqués dans le processus des lignes directrices 2020 avaient soit peur de s'exprimer, soit complètement déconnecté de la littérature évaluée par des pairs dans le domaine de leur expertise apparente.

    Même si cela pouvait être cru, c'est un fait inévitable que chaque membre de la DGAC et tous les membres supérieurs du personnel des directives de l'USDA ont vu au moins 15 médecins et autres praticiens présenter un témoignage oral - trois minutes chacun, debout devant un microphone - à deux audiences publiques. réunions au cours du processus 2020. Ces cliniciens ont parlé de l'abondance de la science sur les régimes à faible teneur en glucides et ont raconté leurs propres percées personnelles en recommandant ce régime à leurs patients.

    Parmi les témoins figurait la regrettée Dr Sarah Hallberg, l'investigatrice principale du plus grand et du plus long essai clinique utilisant une approche à faible teneur en glucides pour inverser avec succès un diagnostic de diabète de type 2. Étant donné que le diabète coûte 350 milliards de dollars par an à traiter, la possibilité de faire reculer cette épidémie aurait dû être alléchante pour les experts chargés de la santé du pays, mais personne de l'USDA-HHS n'a suivi Hallberg pour en savoir plus.

    Un membre de la DGAC écoutant de la scène était Lydia Bazzano, une professeure de l'Université de Tulane qui avait été l'investigatrice principale d'un essai clinique d'un an sur l'alimentation, financé par les National Institutes of Health (NIH), avec trois publications, qui a trouvé un faible - un régime riche en glucides supérieur à un régime pauvre en graisses pour la perte de poids, le contrôle de l'appétit et le risque cardiovasculaire. Cependant, l'USDA a exclu même les publications de Bazzano de ses revues de 2020 sur l'obésité et les maladies cardiovasculaires. Bazzano n'a rien dit à ce sujet publiquement et, par coïncidence, a reçu 7 102 897 $ de subventions du NIH (qui fait partie du HHS, co-émetteur des directives), au cours de ses deux années au service de la DGAC, dont deux subventions de financement supplémentaires totalisant 679 525 $ en 2020.

    Il est temps de revoir la science à faible teneur en glucides

    Le public attend actuellement de savoir si l'USDA-HHS fera marche arrière et décidera d'aborder le corpus scientifique substantiel sur la faible teneur en glucides pour les directives de 2025.

    RépondreSupprimer
  48. Pendant ce temps, les résultats des essais cliniques sur 5 ans de l'essai supervisé par Hallberg viennent d'être publiés. Ces données montrent qu'un régime pauvre en glucides, associé à une assistance via une application mobile, peut mettre un diagnostic de diabète de type 2 en rémission, de manière sûre et durable, tout en éliminant le besoin de la plupart des médicaments. Une seule autre approche nutritionnelle, le régime méditerranéen, est étayée par des données d'essais cliniques de 5 ans, et ce régime, bien qu'il réduise modérément le risque cardiovasculaire, n'a jamais été démontré comme mettant le diabète de type 2 en rémission ou entraînant une perte de poids significative. (En outre, le régime alimentaire de cet essai de 5 ans, mené en Espagne, contenait 40 % de calories sous forme de graisse, et non les 32 % de la version « de style méditerranéen » de l'USDA.)

    La restriction en glucides est actuellement la seule approche d'aliments complets qui peut inverser un diagnostic de diabète de type 2. Il améliore également la grande majorité des facteurs de risque cardiovasculaire. Dans un pays où au moins 88% de la population présente les caractéristiques d'une maladie métabolique, il semble évident que la littérature scientifique sur cette option nutritionnelle devrait au moins être prise en compte. Les populations défavorisées ont particulièrement besoin de plus de choix, car elles souffrent de manière disproportionnée de maladies liées à l'alimentation et dépendent également plus fortement des aliments provenant de programmes financés par le gouvernement fédéral. Mais la seule façon de créer un changement est si les directives diététiques considèrent la faible teneur en glucides comme une option. Pas une prescription, juste une option.

    L'USDA est à la croisée des chemins. Nul doute que beaucoup d'entre nous aimeraient avoir une plus grande confiance dans les agences fédérales qui fournissent de la nourriture, des soins de santé et des conseils diététiques à tant de personnes dans le besoin. Pour instaurer la confiance, le public doit voir que les décideurs politiques sont à l'écoute des gens et de la science.

    1
    Les termes de recherche utilisés étaient « faible en glucides » ou « cétogène ». Notez que les résultats incluent probablement un double comptage des essais, car nombre d'entre eux donnent lieu à plusieurs publications. Certains résultats peuvent également être des protocoles d'essai plutôt que des essais terminés. Recherches effectuées le 24/06/22.

    2
    Aux fins du présent article, le terme « régime(s) pauvre(s) en glucides » inclut le régime cétogène. La faible teneur en glucides est généralement définie par les chercheurs dans le domaine comme permettant un maximum de 25 à 30 % de calories sous forme de glucides, bien que la limite soit souvent plutôt définie en grammes (<130 grammes) de glucides par jour, alors qu'un régime cétogène est inférieur. , environ <50 grammes. Voir : https://www.mdpi.com/2072-6643/13/10/3299/htm

    RépondreSupprimer
  49. 3
    L'USDA administre les lignes directrices. Enterré à l'intérieur de l'USDA se trouve un bureau, appelé Nutrition Evidence Systematic Review, ou NESR (anciennement Nutrition Evidence Library, ou NEL), qui mène toutes les revues scientifiques.

    4
    La Nutrition Coalition, un groupe à but non lucratif que j'ai fondé en 2015, a contribué à susciter l'intérêt du Congrès pour le rapport NASEM. L'objectif n'était pas de promouvoir un régime alimentaire particulier, mais simplement d'avoir un examen externe par des pairs du processus des lignes directrices.

    5
    La discussion se trouve aux pages 206-216.

    6
    Essery n'écrit pas au comité DGAC au complet, mais à l'un de ses sous-comités, "SC2", qui était chargé d'examiner la science sur les régimes recommandés, ou "Modes alimentaires", comme on les appelait.

    7
    Pour cette revue, une faible teneur en glucides a été définie comme <45 % des calories sous forme de glucides ; les personnes diagnostiquées avec des maladies ont été exclues; le terme "cétogène" n'était pas inclus dans la chaîne de recherche. La revue répertorie 43 articles, mais un article est répertorié 4 fois, ce qui donne 40 articles distincts.

    8
    Cette information a été publiée pour la première fois dans un éditorial que j'ai écrit pour le Wall Street Journal, le 30 mai 2020. Disponible sur : https://www.nutritioncoalition.us/news/low-carb-strategy-for-fighting-the- le bilan des pandémies

    9
    Lors d'une réunion publique le 12 mars 2020, Carol Boushey, membre de la DGAC, rapporte qu'aucune étude sur les régimes alimentaires contenant moins de 25,3 % de glucides n'a pu être trouvée sur les maladies cardiovasculaires (p. 159), l'obésité (p.165) ou le diabète (p.169). ). Disponible sur : https://www.dietaryguidelines.gov/sites/default/files/2020-06/2020DGACMtg5TranscriptDay1FINAL.pdf

    https://unsettledscience.substack.com/p/usda-ignoring-the-science-on-low

    RépondreSupprimer
  50. L'énergie, c'est le pouvoir, mais l'Occident s'affame lui-même


    June 28th, 2022


    Dites aux enfants : l'énergie, c'est le pouvoir
    Et montrez-leur ce graphique. Depuis vingt ans, l'Occident abandonne le pouvoir.

    - voir graph sur site -

    Consommation d'énergie primaire

    Un avertissement de John Constable et Debra Lieberman, spécial au Financial Post

    L'énergie des nations et la création de richesses

    Les pays où la consommation d'énergie s'effondre ne souffrent pas beaucoup… pour le moment. Et il y a une bonne raison à cela. Un pays augmente sa consommation d'énergie, soutenant la consommation occidentale avec les exportations et nous donnant un faux sentiment de bien-être. Ce pays est, bien sûr, la Chine.

    Depuis que l'Occident a commencé son régime de famine énergétique, la consommation d'énergie chinoise a augmenté de plus de 50 % et sa consommation d'électricité a augmenté de 200 %, dépassant largement les États-Unis. La Chine, contrairement à l'UE, au Royaume-Uni et aux États-Unis, dépend toujours à 90 % des combustibles fossiles et du nucléaire. De plus, seule une partie de l'immense richesse générée par ces carburants est exportée. Que fait la Chine du reste ? Le temps nous le dira.

    Mais en ce moment, nous devons de toute urgence inverser le déclin de la qualité et de la consommation énergétiques occidentales en mettant fin à l'appauvrissement des subventions aux énergies renouvelables et en ouvrant la voie aux combustibles fossiles et au nucléaire. Jouer avec des énergies renouvelables à faible densité et thermodynamiquement incompétentes est une indulgence que nous ne pouvons pas nous permettre. Avec l'économie chinoise sur des bases énergétiquement saines et celles de l'Occident non, le monde a basculé. Les conséquences économiques de ce renversement sont graves, les implications sécuritaires terrifiantes. Notre cécité énergétique est à la fois coûteuse et dangereuse.

    RépondreSupprimer
  51. La famine énergétique coûte cher

    La demande d'énergie diminue en raison des politiques environnementales, y compris les subventions aux énergies renouvelables modernes telles que l'éolien et le solaire. Aussi désagréable que cela puisse paraître, cela n'en reste pas moins vrai. Jusqu'à présent, les États-Unis et le Canada sont des acteurs relativement mineurs, les États-Unis n'ayant dépensé que 125 milliards de dollars américains entre 2008 et 2018, et bien que les totaux nationaux canadiens soient inférieurs, la province de l'Ontario à elle seule aurait dépensé environ 30 milliards de dollars américains en la période de 2006 à 2014. Mais l'UE, où l'on observe le plus grand effondrement énergétique, a dépensé la somme stupéfiante de 800 milliards de dollars depuis 2008, un total qui a augmenté de 70 milliards de dollars par an. Et le Royaume-Uni, un pays de 65 millions d'habitants, débourse bien plus de 10 milliards de dollars américains chaque année.

    L'intention de ces subventions était de réduire les coûts, mais le pari n'a pas été payant – et il ne le sera pas non plus tant que Mère Nature et ses lois de la physique seront à la table. L'éolien et le solaire restent obstinément chers pour les consommateurs malgré un blizzard de désinformation et de propagande prétendant le contraire.

    Certaines sources d'énergie sont désordonnées dès le départ — condamnées par l'entropie
    De plus, l'énergie varie en qualité, pas seulement en quantité. Pour soutenir une société complexe, un carburant doit être de haute qualité, c'est-à-dire structuré de manière à avoir le potentiel de faire beaucoup de travail. En thermodynamique, on parle de degré de « désordre » ou « d'entropie » d'un carburant. Un plus grand désordre équivaut à une plus grande entropie équivaut à moins de travail. Mais notre "cécité énergétique", l'incapacité à saisir facilement les principes thermodynamiques, signifie que nous devons nous fier à la physique pour voir - et ce qu'elle révèle, c'est que les combustibles fossiles et l'uranium sont hautement ordonnés et riches dans leur potentiel de travail, ce qui les rend bon marché, tandis que l'éolien et le solaire sont l'inverse.

    Lisez tout au Financial Post

    John Constable est directeur de l'énergie de la Global Warming Policy Foundation à Londres et auteur de son étude à paraître Europe's Green Experiment: A costly failure in unilateral climate policy. Debra Lieberman est professeur de psychologie à l'Université de Miami et auteur de Objection: Disgust, Morality, and the Law (OUP, 2018).

    https://joannenova.com.au/2022/06/energy-is-power-but-the-wests-is-starving-itself/

    RépondreSupprimer
  52. COVID-19 : « REMETTEZ LE MASQUE ! » DEMANDE LE GOUVERNEMENT


    par PAOLO GAROSCIO
    28/06/2022


    Les taux d'incidence en France a grimpé de 50% en une semaine au 24 juin 2022.

    Mauvaise nouvelle : comme prévu, puisque le virus n’a jamais disparu malgré ce qu’en disaient certains, la pandémie de Covid-19 est de retour. Les contaminations sont en hausse en France depuis le début du mois de juin 2022, tout juste en amont de la période des vacances d’été et du brassage de populations. Le gouvernement commence sérieusement à s’inquiéter.

    Forte hausse des contaminations quotidiennes par le Sars-CoV-2

    La fin du Pass sanitaire et du Pass vaccinal, ainsi que la fin du masque, ont été bien accueillies par les Français qui ont rapidement retrouvé leurs habitudes d’avant-pandémie. Et ce fut pareil partout dans le monde, sauf en Chine où, au contraire, le gouvernement a continué de confiner la population, avec des résultats somme toute très mitigés.

    Sauf qu’avec ce retour à « la vie d’avant », le risque d’une septième vague pandémique a augmenté… et la France est désormais dedans. Les contaminations sont en forte hausse, atteignant 55.000 par jour en moyenne la semaine du 20 juin 2022. Pour preuve, les données de Santé Publique France du 27 juin 2022, relatives au dimanche 26 juin 2022 : 17.601 nouveaux cas, en hausse de 52,2 % par rapport à la semaine précédente. Tous les autres indicateurs sont également en hausse.

    Le masque dans les transports ? « un devoir citoyen » pour la ministre de la Santé
    Face à cette septième vague qui frappe l’Europe, et donc la France, la question du retour des restrictions sanitaires se pose. Mais avec la période touristique qui commence, le gouvernement doit faire la part des choses : prendre des mesures de protection sans risquer une nouvelle année noire pour le tourisme, qui serait catastrophique pour le secteur fortement touché par la pandémie en 2020 et 2021.

    Brigitte Bourguignon, nouvelle ministre de la Santé, a néanmoins donné le ton, lundi 27 juin 2022 sur RTL. Concernant le masque dans les transports en commun, qui n’est plus obligatoire, elle a jugé qu’il s’agit « quasiment d’un devoir citoyen ». Elle a toutefois exclu, à ce jour, la possibilité de le rendre de nouveau obligatoire, mesure qui reste pourtant en vigueur chez certains voisins européens, notamment l’Allemagne et l’Italie.

    De son côté, Elisabeth Borne, Première ministre, semble préparer la suite des événements : une réunion au sujet de la reprise pandémique est prévue mardi 28 juin 2022 entre le gouvernement, les Préfets et les directeurs des Agences Régionales de Santé (ARS).

    http://www.economiematin.fr/news-covid-masque-protection-reprise-pandemique-ete-2022

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Premièrement, le virus 'cocovide19DeltaOmicron&etc' N'EXISTE PAS DANS L'AIR ! Parce qu'il n'est présent QUE dans les seringues !

      Deuxièmement, le port du masque est INUTILE car: IL N'EXISTE PAS de masques dits anti virus ou anti microbes

      😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

      * * * * *

      😎 LE DANGER DES MASQUES

      vendredi 6 novembre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/11/blog-post.html

      * * * * *

      😎 Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

      vendredi 9 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html

      Troisièmement, il n'existe AUCUN test 'RT-PCR' valable ! Ils ne voient rien mais imaginent afin de remplir les quotas !!

      Nota:

      Les expérimentations géniques d'essais (CRIMINELLEMENT appelées 'vaccins') SUPPRIMENT TOUTES immunité !

      Vous n'avez plus aucun vaccin depuis votre naissance !

      S'il passe la rage, diphtérie, tétanos, poliomyélite, fièvre jaune, vache folle, grippe aviaire, myxomatose, mildiou, etc VOUS L'AVEZ !

      Le poison EST UNIQUEMENT dans la seringue. Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort !

      Vous n'aurez plus rien et serez heureux !

      Supprimer