jeudi 09 juin 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) Pendant «l'état d'urgence» stratégiquement planifié du covid-19, les Nations Unies (ONU) ont autorisé le gouvernement espagnol à pulvériser des chemtrails mortels depuis le ciel. Le 16 avril 2020, le gouvernement espagnol a discrètement admis avoir autorisé l'armée à pulvériser des biocides sur l'ensemble de la population. Cette expérimentation médicale à l'échelle de la population a été menée sous le couvert d'un "état d'urgence pour la gestion de la situation de crise sanitaire provoquée par le Covid-19". Ce plan désespéré mais bien conçu viole plusieurs chefs d'accusation du Code de Nuremberg - un traité sur les droits de l'homme et l'éthique médicale qui n'est appliqué à aucun titre.
Le ministre espagnol de la Santé a été autorisé à utiliser des unités militaires pour pulvériser les citoyens en masse
Cette opération de chemtrails biocides a été rendue possible par le décret royal 463/2020 du 14 mars, qui a permis au ministre de la Santé de prendre « une série de mesures visant à protéger le bien-être, la santé et la sécurité des citoyens et à contenir la progression de la maladie ». et renforcer le système de santé publique.
Le décret royal 463/2020 permet au ministre de la Santé "de dicter les arrêtés, résolutions, dispositions et instructions interprétatives qui, dans le cadre de leur action en tant qu'autorité déléguée, sont nécessaires pour garantir la fourniture de tous les services, ordinaires ou extraordinaires, afin de protéger les personnes, les biens et les lieux, par l'adoption de l'une des mesures prévues à l'article onze de la loi organique 4/1981, du 1er juin, des états d'alerte, d'exception et de site.
En outre, l'ordonnance SND/351/2020 a donné au ministère espagnol de la Santé le pouvoir suprême et illimité d'activer les forces armées espagnoles et les unités militaires d'urgence pour déployer des produits chimiques biocides sur les citoyens. Le ministre de la Santé, Salvador Illa Roca, a utilisé ces nouveaux pouvoirs pour « dicter » des expériences médicales à toute la population, en utilisant l'armée comme un outil conformément à l'article 15.3 de la loi organique 5/2005, de la Défense nationale.
L'Espagne a l'habitude d'utiliser les "médias aériens" pour modifier le temps
L'Espagne avait précédemment adopté des procédures pour asperger l'ensemble de la population avec des produits chimiques. La norme UNE-EN 14476 autorise le Ministère de la Santé à établir une liste de produits chimiques virucides, antiseptiques et désinfectants. L'arrêté royal demande au ministère de la Santé d'activer les «médias aériens» et les «techniques de désinfection aérienne» à déployer en cas d'urgence. Les techniques comprennent la nébulisation, la nébulisation thermos et la micro nébulisation, avec l'objectif déclaré d'atteindre "toutes les surfaces" du pays. Les unités de défense CBRN au sein des forces armées et de l'unité militaire des urgences sont déjà équipées pour déployer ces matériels et effectuer des procédures de désinfection aérienne à l'échelle nationale.
Ces actions sont généralement appelées « théorie du complot », même si l'Espagne a déjà été utilisée comme terrain d'essai pour les chemtrails contenant du dioxyde de plomb, de l'iodure d'argent et de la diatomite. Ces opérations de chemtrails ont été utilisées en 2015 pour modifier le climat. Le cocktail augmente les températures locales et repousse l'humidité du ciel pour créer des conditions propices au tourisme. Le député européen Ramon Tremosa Balcells a témoigné devant le Parlement européen le 19 mai 2015 que des travailleurs de l'Agence météorologique nationale avaient signalé des avions répandant des produits chimiques toxiques à travers l'Espagne.
Des mondialistes tels que Bill Gates tentent également d'utiliser les pays comme terrains d'essai pour des projets de chemtrails à atténuation du soleil. Ces projets de géo-ingénierie ont été proposés comme solutions au « changement climatique ». Le projet de Bill Gate a été jugé contraire à l'éthique par des scientifiques internationaux. Ces programmes de géo-ingénierie ont un impact négatif sur les conditions météorologiques, l'agriculture, les écosystèmes, la qualité de l'air, la santé humaine et la sécurité alimentaire et hydrique, tout en remettant en question diverses violations des droits humains. À qui appartient le ciel et qui sera tenu pour responsable des expérimentations sur des populations humaines sans leur consentement ?
Voir ChemtrailsNews.com pour plus d'informations sur les chemtrails.
Les sources comprennent :
Boe.es [PDF]
Comment se protéger de Davos Man
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 JUIN 2022 - 18:25
Écrit par Mark Jeftovic via BombThrower.com,
Lisez ceci si vous ne voulez pas que vos droits humains soient « recalibrés »
La pandémie est clairement dans le rétroviseur, même si nos élites souhaitent qu'il en soit autrement. La fenêtre sur l'« opportunité » autoproclamée du Forum économique mondial pour un changement transformateur se referme rapidement. Pourtant, des milliards de plèbes traînent encore leurs doigts, pensant par eux-mêmes.
Quiconque prête attention aux points de discussion issus de cette dernière réunion de Davos sait ce qu'ils ont prévu pour nous : tout, du suivi individualisé de l'empreinte carbone, l'exigence de « passeports » pour naviguer sur le Web, au « recalibrage de certains droits de l'homme… comme la gratuité parole"
Cet article en trois parties nous explique ce à quoi nous sommes confrontés, pourquoi il est en fait impossible qu'il réussisse et ce que vous pouvez faire personnellement pour assurer votre propre avenir malgré tout.
#1) Sachez à quoi vous avez affaire
Le club de Davos est composé en son sein de malthusiens et de marxistes. Par malthusien, je veux dire qu'ils pensent qu'il y a trop de mangeurs inutiles dans le monde qui prennent de la place et des ressources. Vous êtes l'un d'entre eux. Ils ne sont pas.
Par marxiste, j'entends le véritable aboutissement du socialisme : une société à deux vitesses. En apparence, le marxisme concerne la lutte des classes et l'égalité pour tous, mais en réalité, il s'agit d'éliminer la classe moyenne et de réduire la structure de classe à seulement deux :
eux, une mince tranche d'élites qui siègent au sommet de la table des sommets du monde, qui possèdent tout et établissent toutes les règles, et
tous les autres, qui ne possèdent rien et n'ont aucun droit humain ou civil.
- voir graph sur site -
Structure de classe, aujourd'hui et demain
Tout ce qui sort de Davos, aussi noble que cela puisse paraître, n'est en réalité qu'un placage pour obtenir suffisamment d'idiots utiles pour convaincre suffisamment de mangeurs inutiles d'accepter le récit selon lequel ce qui leur est fait est pour leur propre bien. Cette année, l'accent a été mis sur les empreintes carbone individuelles.
UK Fire, est un groupe de réflexion britannique avec une mission de cinq ans pour tracer une voie vers le zéro absolu d'ici 2050. Financé par le UK Research and Innovation du gouvernement britannique, avec « un consortium industriel actif et en pleine croissance », leur plan est d'éliminer toutes les émissions de carbone d'ici 2050.
Tous.
Ceci comprend:
Élimination des voyages en avion d'ici 2050
Élimination de la navigation (il n'y a pas de navires à propulsion électrique)
L'élimination progressive du bœuf et de l'agneau destinés à l'alimentation (remplacés par de la nourriture végétarienne)
Réduction radicale de la fabrication de l'acier et de tous les hauts fourneaux
Élimination du ciment (étendre l'utilisation de l'argile, "penser autre chose", littéralement)
60 % de voitures en moins ou 60 % de taille plus petite
C'est un rapport épique de 60 pages qui a tout compris, surtout comment tout le monde va vivre.
- voir cadre sur site -
La punchline étant l'élimination complète des combustibles fossiles d'ici 2050.
- voir cadre sur site -
Mais s'il y a une chose sur laquelle vous pouvez parier, c'est ceci :
En 2050, la famille royale, les membres du gouvernement, les milliardaires et les industriels voleront toujours dans des jets privés ou navigueront quelque part à bord de super-yachts, mangeront du bœuf, de l'agneau, du bison nourris à l'herbe et seront conduits dans des limousines de 25 pieds. entre leurs multiples résidences de 10 000 à 25 000 pieds carrés.
RépondreSupprimerCertaines personnes sont déclenchées par ces machinations de nos parieurs autoproclamés. L'idée que les personnes qui proposent ces programmes conserveront tous les attributs d'un style de vie moderne et luxueux tout en les éloignant du reste d'entre nous au nom de la «justice climatique» ou de «l'équité» semble, en quelque sorte… injuste.
Pour le dire à la légère.
Mais lorsque vous tombez dans le piège d'être déclenché par ces plans, ces "feuilles de route" élevées et tous les agendas englobants, vous tombez en fait dans un type de piège mental qui compromettra votre propre capacité à atténuer ces machinations.
Il est donc important de :
#2) Comprenez que cela n'arrivera jamais
L'un des outils mentaux les plus préservant la santé mentale que j'ai jamais découvert est ce que j'appelle "Embrasser l'exclusion des destinataires".
Le terme a été inventé par Douglas Adams dans son documentaire satirique à peine voilé "Hitchhikers Guide To the Galaxy". Cela signifie : un nombre dont la valeur peut être autre chose que lui-même.
Son exemple était que l'heure indiquée d'un dîner est le seul moment où il est impossible pour l'un des invités d'arriver.
Dans ce monde de gestion par des technocrates et des autorités expertes, nous sommes plongés dans des exclusions récipiendaires :
Si les technocrates les plus ratatinés disent que "les subprimes sont contenus", ce n'est pas le cas.
Les futures cibles d'inflation sont la seule valeur que l'inflation ne pourra jamais avoir
Les estimations du PIB, l'IPC, le PPI, la vitesse de l'argent, tout cela, ne sont pas des prédictions, ce sont des exclusions
Il y a une sorte de structure ontologique expliquant pourquoi c'est le cas : la connaissance de l'avenir (les prédictions) ne se produit jamais dans le vide. Mettre la prédiction dans le monde (la planification) par cet acte même crée un renforcement et une opposition. Cependant, les deux forces réduisent les chances que le résultat corresponde à la prédiction.
La raison en est liée à quelque chose appelé le problème des trois corps, qui décrit comment il est impossible de créer un algorithme décrivant le mouvement de trois objets disparates dans l'espace.
RépondreSupprimerLes ramifications de cela sont stupéfiantes.
Sans être trop long à ce sujet, je vais le résumer à ceci:
- voir cadre sur site -
Le Forum économique mondial n'a pas pu exécuter avec succès un plan de domination mondiale totale, même si le monde entier se composait de seulement trois objets inanimés.
Je simplifie à l'excès. Mais le concept illustre à quel point la planification centrale est futile. Qu'il s'agisse des plans quinquennaux de l'ère soviétique ou des modèles du FOMC pour l'inflation transitoire, il y a tout simplement trop de pièces mobiles dans le monde, dont beaucoup ont leur propre esprit, pour savoir où elles vont toutes être en 5 millisecondes. Peu importe d'essayer de contrôler les résultats de l'ensemble de l'économie mondiale (ou du climat de la planète) au-delà de 2050.
Ce qui peut arriver cependant, et c'est souvent le cas, c'est que vous pouvez causer beaucoup de dégâts via la planification centralisée. Vous pouvez bousiller les plans de tout le monde, même ceux qui auraient autrement atterri dans le stade. Ainsi, pendant des périodes intermédiaires, la planification centrale peut sembler omnipotente, mais si vous regardez de plus près, aucun de ces plans n'a réussi à faire autre chose que de faire dérailler la vie de tout le monde (COVID, confinements, vaccins, etc.).
Chaque fois que la planification centrale ou les impulsions technocratiques semblent contrôler quoi que ce soit, ce n'est, en règle générale, jamais ce qui était prévu. Le plus souvent, il s'agit d'un accident de train aux conséquences imprévues. Si ce n'était pas le cas, nous n'aurions pas d'inflation galopante, nous aurions eu un atterrissage en douceur des hausses de taux, une conformité à 100 % des vaccins, la Russie ne serait pas l'Ukraine, la chaîne d'approvisionnement bourdonnerait , le pétrole ne dépasserait pas 100 $/baril et le bitcoin serait nul,
#3) Qu'est-ce que vous faites réellement à ce sujet
Il y a une grande différence entre résister au mal et y renoncer. Lorsque vous résistez au mal, vous lui accordez votre attention ; vous continuez à le rendre réel.
Lorsque vous renoncez au mal, vous en détournez votre attention et vous vous concentrez sur ce que vous voulez.
Il est maintenant temps de contrôler votre imagination et de donner votre énergie à ce que vous voulez.
—Neville Godard
Cette citation résume bien la révolution décentralisée et l'émergence de Bitcoin. Ce mouvement n'est pas un assaut frontal complet contre le mondialisme, ni une réaction fondée sur la peur à toute tentative imminente de tyrannie.
RépondreSupprimerIl s'agit d'un opt-out mondial et imparable. Les gens mettent littéralement leur énergie dans ce qu'ils veulent. Instruments au porteur non étatiques, neutres et numériques, droits de propriété absolus et autonomie souveraine.
C'est ce que je veux. C'est ce que beaucoup d'entre vous souhaitent. Je m'en fous vraiment de ce que Klaus Schwab, Justin Trudeau ou l'un des têtes d'œufs collectivistes qui ont écrit Absolute Zero 2050 veulent.
La réalité est que personne n'a le contrôle, et pour les élites et les PNJ qui aiment avoir leur vie commandée par eux, c'est terrifiant.
Nous vivons dans un monde incontrôlable, et pourtant chacun de nous est doté de quelques super-pouvoirs qui nous permettent de nous élever au-dessus de toute adversité ou circonstance indésirable.
Ces super-pouvoirs sont la capacité d'adaptation, d'apprentissage et notre capacité à penser de manière créative. Individuellement, toute personne peut s'élever au-dessus de sa situation. En parallèle, nous pouvons renverser des empires entiers.
Brisez votre grande barrière
Afin de pouvoir vivre votre vie indépendamment de la façon dont Davos Man pense que vous devriez, vous devez être riche de manière indépendante. Ce n'est peut-être pas idéal ou juste, mais c'est comme ça. Si vous n'êtes pas riche de manière indépendante alors que nous traversons ce quatrième tournant de l'histoire, il y a de fortes chances que vous soyez un serf néo-féodal, piégé dans un système de crédit social, vivant sur des stimmies (CDBC) et faisant ce que vous ' re dit.
Par riche indépendant, je veux dire ne pas dépendre d'entités externes uniques, et surtout pas des droits du gouvernement. Si vous vivez dans une roulotte sur un terrain que vous possédez librement et que vous avez un créneau viable dans votre communauté, vous êtes indépendant. Vous êtes en meilleure forme que le banquier d'investissement de niveau intermédiaire dont le bonus est de 750 000 $, mais il a plusieurs millions de dettes en plus de ses actifs.
Si vous n'êtes pas là où vous voudriez être financièrement maintenant (et ce n'est pas parce que vous êtes encore à l'école ou que vous jetez les bases de votre avenir), alors il y a une étape que vous devez d'abord faire, qui ouvre la voie vers l'indépendance financière .
Vous devez identifier votre seul obstacle paralysant pour être qui vous voulez être et vous débarrasser de cet obstacle. Vous savez probablement déjà ce qu'est la Grande Barrière dans votre vie, car vous dépensez une grande partie de votre énergie mentale à prétendre qu'elle n'existe pas ou qu'elle n'est pas un problème. Peut-être que c'est la drogue, l'alcool, les pensées négatives, le sexe, le porno, la co-dépendance, la télévision, Youtube, qui diable sait de nos jours. Être une Karen. Quoi qu'il en soit, arrêtez-le (pendant des années, j'ai essayé de comprendre qui a écrit ce livre, mais si vous êtes à ce stade où vous devez vous occuper de votre Grande Barrière, alors prenez-le et lisez-le, c'est sous 3 $ pour le Chrissake).
RépondreSupprimerÀ l'âge de 30 ans, j'étais fauché, endetté, alcoolique, seul et souffrant de dépression et d'anxiété invalidante. Maintenant je ne le suis plus. Ma grande barrière était l'alcool. Alors j'ai arrêté de boire.
Il est difficile de croire que c'était il y a seulement 22 ans, car j'ai parcouru un long chemin depuis et atteint des sommets relativement vertigineux. Je ne suis pas particulièrement doué ni talentueux. Si je peux le faire, vous le pouvez aussi.
Devenir indépendant financièrement
Après avoir franchi votre Grande Barrière, la première tâche si vous n'êtes pas financièrement indépendant est de le faire. Devenez cela. Oui, c'est aussi simple que ça. Vous prenez la décision, puis vous sortez et faites-le. Si votre Grande Barrière était une dépendance, vous aurez en fait tellement de temps et d'argent supplémentaires que vous vous sentirez comme un nuage rose. Utilisez cet ascenseur pour vous familiariser avec la littératie financière, puis vous y arriverez en démarrant ou en possédant une entreprise. Même un sur le côté.
Pense pour toi même
Commencez à supprimer les entrées à faible signal :
Télévision
Tous les médias grand public/d'entreprise
Médias sociaux - une conservation massive sera nécessaire ici
Tous les politiciens
Autorités expertes
Vous devez commencer à prêter attention à ce qui se passe dans votre tête la plupart du temps, puis vous demander si c'est quelque chose qui y est mis par une influence externe ou si vous dépensez réellement votre cerveau sur vos propres plans, objectifs et relations.
Les gens peuvent perdre leur journée entière sur tout ce que Twitter met dans la barre "What's Trending". Ils peuvent se laisser prendre à ruminer sur des événements extérieurs, des personnes et des comportements sur lesquels ils n'ont aucun contrôle et qui n'auront presque jamais d'impact sur eux.
- voir cadre sur site -
RépondreSupprimerAyez un objectif. Venez avec un plan. Dépensez autant de votre énergie mentale en pensant à vos objectifs et à votre propre plan.
Pensez Napoléon : .
« Je ne vois que le but. L'obstacle doit céder"
- Napoléon
Ou l'autre Napoléon :
« Choisissez vos objectifs.
Travaillez vers eux.
Dirigez vos pensées.
Contrôlez vos émotions.
Passez à l'action…
et tu ordonnes ton destin"
- Napoléon Hill, W. Clement Stone
Cultiver l'optionnalité
Une fois que vous serez le capitaine de votre propre navire, vous devrez toujours naviguer dans les machinations d'innombrables autorités externes qui pensent avoir un droit moral sur votre vie.
Vous faites cela en cultivant l'optionnalité. Un avocat ratatiné m'a dit un jour : "Celui qui a le plus d'options gagne généralement".
Lorsque vous n'avez qu'un seul chèque de paie, que vous êtes endetté ou que vous dépendez des subventions du gouvernement, vous n'avez pas le choix. Fondamentalement, vous vivez au gré de votre situation.
Comme nous le disons dans The Crypto Capitalist Letter (notre chaîne premium) "Nous adorons l'autel de l'optionnalité".
Multiples flux de revenus
Intérêts commerciaux multiples
Divers actifs (c'est-à-dire l'or et le Bitcoin)
Plan B (deuxièmes passeports, immobilier hors du pays)
Remarquez que je n'ai pas dit "Acheter Bitcoin" dans la section sur la réalisation d'une richesse indépendante. C'est parce qu'il appartient le plus correctement à cette section.
Le bitcoin est l'option ultime, car il s'agit d'une configuration tellement asymétrique. Si vous êtes 100 % non-monnayeur, soutenu par rien, ponzi, tulipes, dirigé vers zéro, alors quel type de prime paieriez-vous pour Dead Wrong Insurance ?
Imaginez une police d'assurance qui vous protège contre une erreur absolue sur quelque chose d'aussi important que l'avenir du système monétaire mondial. Qu'est-ce que ça vaudrait pour toi ?
5 $ ? 10 $ ? Si c'est tout ce que vous seriez prêt à admettre que vous pourriez avoir tort à propos de Bitcoin, apportez ce billet de cinq ou dix dollars au guichet automatique Bitcoin le plus proche et achetez quelques sats de Bitcoin. Puis recommencez la semaine prochaine. Faites-le chaque fois que vous êtes au magasin en train de pisser le reste de votre argent sur des billets de loto et des cigarettes et en temps voulu, vous aurez un coussin qui pourrait faire toute la différence dans le monde si la thèse Bitcoin se concrétise.
Si vous êtes plus haut dans le spectre, comme un HNW ou un family office, pensez à allouer 0,5 % ou 1 % à Bitcoin. C'est ça. Alors oubliez-le.
Être prêt
Être un Individu Souverain (c'est essentiellement ce que nous avons exposé ici) nécessite un engagement et une préparation. Vous n'êtes pas obligé de le faire, mais comprenez simplement que si vous ne le faites pas, nous nous dirigeons vers un monde où vous allez probablement passer le reste de votre vie à faire ce qu'on vous dit au lieu de ce que vous voulez .
Nous sommes maintenant dans une poche d'air, le travail est la résilience, car nous passons d'un système existant qui n'est plus fonctionnel à un nouveau. Personne ne sait encore vraiment à quoi ça ressemble.
RépondreSupprimerLa tension entre l'Homme de Davos et l'Individu Souverain est que le premier veut maintenir l'ancien système comme une extension linéaire dans le futur : plus de centralisation, plus de contrôle descendant, plus de confiscation de toute richesse restante.
Ces derniers ne savent peut-être pas à quoi ressemblera l'avenir, mais nous savons à quoi il ne ressemblera pas : ce ne sera pas une extrapolation linéaire numérisée de l'ère industrielle.
En dehors de cela, tous les paris sont ouverts, nous avons donc besoin de toutes sortes de résilience.
Générateurs de secours
Materiel médical
Outils
Aliments
Avocats, armes et argent
Nous devons également nous connecter les uns aux autres et créer nos propres structures de soutien parce que le gouvernement, les experts, la foule de Davos, ils ne viennent pas nous sauver. Je suppose que dans un avenir pas si lointain, leur principale préoccupation sera de distancer les fourches et les torches. Ainsi soit-il.
Dans les cercles Bitcoin, il y a un mème : WAGMI. Je laisserai au lecteur le soin de découvrir ce que cela signifie s'il ne le fait pas déjà.
Beaucoup de gens croient que Davos Man contrôle le monde et dirige tout le monde vers un autoritarisme technocratique. Davos Man y aspire assurément.
Les yeux laser, ceux qui pensent que WAGMI ont leurs propres conceptions sur la façon dont les choses se dérouleront. Il s'agit en grande partie d'une dérogation mondiale, car les institutions en place perdent de leur crédibilité, et leur autorité et leur importance dans les affaires mondiales connaissent un déclin séculaire.
De toute façon, ils ont tous les deux raison.
Il sera largement autosélectionné.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-protect-yourself-davos-man
(...) leur plan est d'éliminer toutes les émissions de carbone d'ici 2050. (...)
Supprimer!!! leur plan est d'éliminer toutes les émissions de carbone d'ici 2050 !!! HAHAHAHA !
La science dit qu'il y a IMPOSSIBILITÉ car, c'est notre magma qui expulse de la masse ferrique incandescente TOUS les gaz qui constituent notre atmosphère. Quand je dis tout c'est TOUS. L'oxygène (qui représente 86 % de l'eau de mers et permet aux poissons de vivre), le gaz carbonique, l'azote, le néon, etc, etc.
Donc: éliminer le gaz carbonique est une IMPOSSIBILITÉ scientifique.
Vous voyez maintenant sur quoi vous êtes assis ?
Maintenant, petite réflexion perso: J'ai depuis x années effectué des semis. Bon, vous connaissez le principe: Mettre du terreau en caisses et graines et arrosez et maintenir en chaleur. Donc: les graines DOIVENT germer.
Or, ce n'est pas le cas ! Çà alors !!
Cela ne vient pas des graines (issues de plantes récoltées l'année précédente) mais du terreau !
Le terreau est miné !
Miné par des œufs de bestioles ou autres et la germination ne peut se faire.
Que faisaient les anciens ?
Nos ancêtres n'employaient pas de 'terreaux' mais de la terre fine tamisée.
C'est ce que j'ai fait et toutes les graines ont germées !
Vous voyez maintenant sur quoi vous êtes assis ?
Coups de froid et baisse des prix de l'électricité - où un État a brûlé 2,4 milliards de dollars d'électricité en mai
RépondreSupprimerEt le feu de joie continue
June 10th, 2022
Alors que les fronts froids balayent le sud-est de l'Australie, les prix de l'électricité établissent des records que personne ne veut établir. Les prix de gros de l'électricité - sur un mois entier - ont dépassé les 300 dollars le mégawattheure dans trois États d'Australie. En Nouvelle-Galles du Sud, le coût cumulé de l'électricité en gros pour le seul mois de mai s'est élevé à 2,4 milliards de dollars. C'est suffisant pour construire une centrale électrique. En 2015, avant la fermeture de l'ancienne usine de lignite d'Hazelwood et l'installation par l'Australie de plus d'énergie renouvelable par habitant que partout ailleurs sur la planète, le prix moyen en Nouvelle-Galles du Sud était de 35 $/MWh. À l'époque, cela coûtait 260 millions de dollars pour tout le mois. (Et Hazelwood n'était même pas en Nouvelle-Galles du Sud.) Il ne s'agit pas d'une centrale à charbon, mais de la date à laquelle le système fonctionnait encore et de la vitesse à laquelle il s'est effondré. La centrale au charbon d'Hazelwood en 2017 avait 53 ans et vendait toujours de l'électricité à 30 $ par mégawattheure lorsqu'elle a été fermée. Depuis lors, l'ensemble du réseau a tellement plus de capacité mais tellement moins de capacité. Il n'y a plus de résilience. Quelques dos d'âne anéantirent tout le train routier.
- voir graph sur site -
Les prix de gros de l'électricité sont plus élevés sur le réseau australien qu'ils ne l'ont jamais été
Le graphique provient de Tristan Edis de WattClarity qui attribue le fiasco actuel aux producteurs de charbon et de gaz "vendant aux prix du marché international", affirmant que ce n'est pas une défaillance du solaire ou de l'éolien. Mais comme le souligne Ben Beattie, nous avons installé 3 GW de panneaux solaires sur les toits en 2021, donc en tirer la même puissance en 2022 n'est pas un « succès ». Lorsque les systèmes météorologiques ont plu sur les mines de charbon, ils ont obscurci les centrales solaires. Nous sommes maintenant une grille dépendante de la météo, mais il n'était pas nécessaire qu'il en soit ainsi. Et en janvier, le prix du charbon noir international était de 200 $ la tonne, mais les centrales australiennes au lignite remportaient toujours des offres ici en Australie à 22 $/MWh.
Si seulement nous avions plus de centrales au lignite en bon état ?
Les centrales éoliennes et solaires SONT les vandales du réseau
L'excès d'énergie éolienne et solaire aléatoire à des prix subventionnés signifie que des fournisseurs fiables et bon marché sont chassés du marché et que nous n'avions pas d'autre alternative. C'est exactement ce que les contrôleurs énergétiques de génie soviétique visaient à faire. En plus de cela, les générateurs de charge de base mal aimés qui n'ont pas explosé ne sont pas réparés et entretenus correctement. De plus, les modélisateurs experts du climat ont déclaré que les nuits d'hiver seraient plus chaudes et qu'elles ne le sont pas, et que le charbon était un actif mort, pas un actif de 400 $ la tonne. Et le gaz ne valait pas la peine d'être exploré et nous sommes une zone exempte d'armes nucléaires. C'est le même cercle de cerveaux qui a fait toutes les mauvaises prédictions.
Lorsque le charbon et le gaz atteindront des prix d'or, l'Australie devrait récolter la pâte. Si nous avions suffisamment de charbon brun ou de centrales nucléaires pour alléger la charge sur le gaz et le charbon noir, tout irait bien. Mais nous n'avons plus de sauvegarde pour la sauvegarde. Nous avons juste du soutien pour les énergies renouvelables.
Un avant-goût des prix de juin montre que les choses sont un bain de sang. Le prix moyen pour les neuf premiers jours de juin est de 440 $ en Nouvelle-Galles du Sud et de 520 $ dans le Queensland. (Voir l'AEMO)
https://joannenova.com.au/2022/06/cold-snaps-and-blistering-electricity-prices-downunder-where-one-state-burnt-2-4b-in-electricity-in-may/
L'Australie est à 10 jours de l'hiver.
SupprimerTout est une arme : le gouvernement américain mène une guerre psychologique contre la nation
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 JUIN 2022 - 05:40
Rédigé par John W. Whitehead et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,
« Vous êtes-vous déjà demandé qui tire les ficelles ? … Tout ce que nous touchons est une arme. Nous pouvons tromper, persuader, changer, influencer, inspirer. Nous venons sous plusieurs formes. Nous sommes partout."
- Vidéo de recrutement des opérations psychologiques de l'armée américaine
Le gouvernement américain mène une guerre psychologique contre le peuple américain.
Non, ce n'est pas une théorie du complot.
La guerre psychologique, selon la Rand Corporation, "implique l'utilisation planifiée de la propagande et d'autres opérations psychologiques pour influencer les opinions, les émotions, les attitudes et le comportement des groupes d'opposition".
Depuis des années, le gouvernement bombarde les citoyens avec des campagnes de propagande et des opérations psychologiques visant à nous maintenir conformes, facilement contrôlables et à soutenir les divers efforts de l'État policier à l'étranger et au pays.
Le gouvernement est tellement confiant dans ses pouvoirs orwelliens de manipulation qu'il en vient à s'en vanter. Tout récemment, par exemple, le 4e groupe d'opérations psychologiques de l'armée américaine, la branche de l'armée responsable de la guerre psychologique, a publié une vidéo de recrutement qui vante ses efforts pour tirer les ficelles, transformer tout ce qu'ils touchent en arme, être partout, tromper, persuader, changer, influencer et inspirer.
C'est le danger qui se cache à la vue de tous.
Parmi les nombreuses armes du vaste arsenal du gouvernement, la guerre psychologique est peut-être la plus dévastatrice en termes de conséquences à long terme.
Comme l'explique la revue militaire Task and Purpose, "la guerre psychologique consiste à influencer les gouvernements, les personnes au pouvoir et les citoyens ordinaires... Les principales missions des soldats PSYOP sont d'influencer" les émotions, les avis, le raisonnement et le comportement des gouvernements et citoyens étrangers ". "délibérément tromper" les forces ennemies, conseiller les gouvernements et fournir des communications pour les secours en cas de catastrophe et les efforts de sauvetage.
Pourtant, ne vous laissez pas berner en pensant que ces campagnes de psyops (opérations psychologiques) ne visent que des ennemis étrangers. Le gouvernement a clairement indiqué en paroles et en actes que « nous, le peuple », sommes des ennemis nationaux qui doivent être ciblés, suivis, manipulés, microgérés, surveillés, considérés comme des suspects et traités comme si nos droits fondamentaux n'étaient que de simples privilèges pouvant être facilement ignorés.
Aidé et encouragé par les avancées technologiques et l'expérimentation scientifique, le gouvernement a soumis le peuple américain à la "propagande de la tarte aux pommes" pendant la majeure partie du siècle dernier.
RépondreSupprimerConsidérez certaines des façons dont le gouvernement continue de mener une guerre psychologique contre une population largement sans méfiance.
Armer la violence. Avec une régularité alarmante, la nation continue d'être soumise à des vagues de violence qui terrorisent le public, déstabilisent l'écosystème du pays et donnent au gouvernement de plus grandes justifications pour réprimer, verrouiller et instituer des politiques encore plus autoritaires dans le soi-disant souci de sécurité nationale sans beaucoup d'objections de la part des citoyens.
Surveillance militarisée, campagnes pré-crime et pré-pensées. La surveillance, le harcèlement numérique et l'exploration de données du peuple américain s'ajoutent à une société dans laquelle il y a peu de place pour les indiscrétions, les imperfections ou les actes d'indépendance. Lorsque le gouvernement voit tout et sait tout et dispose d'une abondance de lois pour faire du citoyen le plus honnête un criminel et un hors-la-loi, alors le vieil adage selon lequel vous n'avez rien à craindre si vous n'avez rien à cacher n'est plus s'applique. Ajoutez des programmes pré-crime dans le mélange avec des agences gouvernementales et des entreprises travaillant en tandem pour déterminer qui est un danger potentiel et tisser une toile d'araignée collante d'évaluations des menaces, d'avertissements de détection comportementale, de "mots" signalés et de rapports d'activité "suspects" en utilisant yeux et oreilles automatisés, médias sociaux, logiciels de détection de comportement et espions citoyens, et vous avez les ingrédients pour un cauchemar dystopique parfait. La guerre du gouvernement contre le crime a maintenant basculé dans le domaine des médias sociaux et du piégeage technologique, les agents du gouvernement adoptant de fausses identités sur les réseaux sociaux et des photos de profil créées par l'IA afin de surveiller, cibler et capturer des suspects potentiels.
Armer les monnaies numériques, les scores des médias sociaux et la censure. Les géants de la technologie, en collaboration avec le gouvernement, ont imposé leur propre version de la justice sociale par le biais de la tyrannie numérique et de la censure des entreprises, muselant qui ils veulent, quand ils veulent, sous le prétexte qu'ils veulent en l'absence de toute véritable procédure régulière, révision ou appel. Malheureusement, la censure numérique n'est que le début. Les monnaies numériques (qui peuvent être utilisées comme «un outil de surveillance gouvernementale des citoyens et de contrôle de leurs transactions financières»), combinées aux scores des médias sociaux et au capitalisme de surveillance, créent un test décisif pour déterminer qui est suffisamment digne de faire partie de la société et de punir individus pour manquements moraux et transgressions sociales (et récompensez-les pour avoir adhéré à un comportement sanctionné par le gouvernement). En Chine, des millions d'individus et d'entreprises, classés sur la liste noire comme "indignes" sur la base des cotes de crédit des réseaux sociaux qui les classent en fonction de leur statut de "bons" citoyens, se sont vu interdire d'accéder aux marchés financiers, d'acheter des biens immobiliers ou de voyager en avion ou en train.
Conformité militarisée. Même la loi ou le programme gouvernemental le mieux intentionné peut être – et a été – perverti, corrompu et utilisé à des fins illégitimes une fois que le profit et le pouvoir sont ajoutés à l'équation. La guerre contre le terrorisme, la guerre contre la drogue, la guerre contre le COVID-19, la guerre contre l'immigration clandestine, les programmes de confiscation d'avoirs, les programmes de sécurité routière, les programmes de sécurité scolaire, domaine éminent : tous ces programmes ont commencé comme des réponses légitimes à des préoccupations urgentes et sont depuis devenus des armes de conformité et de contrôle entre les mains de l'État policier.
RépondreSupprimerDivertissement d'arme. Au cours du siècle dernier, le bureau des médias de divertissement du ministère de la Défense a fourni à Hollywood du matériel, du personnel et une expertise technique aux frais des contribuables. En échange, le complexe militaro-industriel a obtenu un rôle de premier plan dans des blockbusters tels que Top Gun et sa suite relancé Top Gun : Maverick, qui se traduit par de la publicité gratuite pour les faucons de guerre, le recrutement de fantassins pour l'empire militaire, la ferveur patriotique des les contribuables qui doivent payer la facture des guerres sans fin de la nation, et les visionnaires hollywoodiens travaillant à produire des thrillers dystopiques qui font paraître la machine de guerre pertinente, héroïque et nécessaire. Comme Elmer Davis, un diffuseur de CBS qui a été nommé à la tête de l'Office of War Information, l'a observé : « Le moyen le plus simple d'injecter une idée de propagande dans l'esprit de la plupart des gens est de la laisser passer par le biais d'une image de divertissement quand ils ne le font pas. se rendent compte qu'ils font l'objet d'une propagande.
Armer la science du comportement et le coup de pouce. Outre les dangers manifestes posés par un gouvernement qui se sent justifié et habilité à espionner son peuple et à utiliser son arsenal d'armes et de technologies en constante expansion pour les surveiller et les contrôler, il y a aussi les dangers cachés associés à un gouvernement habilité à utiliser ces mêmes technologies pour influencer les comportements en masse et contrôler la population. En fait, c'est le président Obama qui a publié un décret ordonnant aux agences fédérales d'utiliser des méthodes de « science du comportement » pour minimiser la bureaucratie et influencer la façon dont les gens réagissent aux programmes gouvernementaux. C'est un court saut, un saut et un saut d'un programme comportemental qui tente d'influencer la façon dont les gens réagissent à la paperasserie à un programme gouvernemental qui tente de façonner l'opinion du public sur d'autres questions plus importantes. Ainsi, de plus en plus, les gouvernements du monde entier, y compris aux États-Unis, s'appuient sur des "unités de coup de pouce" pour orienter les citoyens dans la direction que les pouvoirs en place veulent qu'ils aillent, tout en préservant l'apparence du libre arbitre.
Des campagnes de désensibilisation militarisantes visant à nous endormir dans un faux sentiment de sécurité. Les événements de ces dernières années - la surveillance invasive, les rapports sur l'extrémisme, les troubles civils, les manifestations, les fusillades, les bombardements, les exercices militaires et les exercices de tir actifs, les confinements, les alertes codées par couleur et les évaluations des menaces, les centres de fusion , la transformation de la police locale en extensions de l'armée, la distribution d'équipements et d'armes militaires aux forces de police locales, les bases de données gouvernementales contenant les noms des dissidents et des fauteurs de troubles potentiels - ont conspiré pour acclimater la population à accepter un État policier de son plein gré, même avec gratitude.
Armer la peur et la paranoïa. Le langage de la peur est parlé efficacement par les politiciens des deux côtés de l'allée, crié par les experts des médias depuis leurs chaires de télévision par câble, commercialisé par les entreprises et codifié dans des lois bureaucratiques qui ne font pas grand-chose pour rendre nos vies plus sûres ou plus sûres. La peur, comme le montre l'histoire, est la méthode la plus souvent utilisée par les politiciens pour accroître le pouvoir du gouvernement et contrôler une population, en divisant le peuple en factions et en le persuadant de se considérer comme l'ennemi. Ce stratagème machiavélique a tellement pris au piège la nation que peu d'Américains se rendent même compte qu'ils sont manipulés pour adopter une mentalité «nous» contre «eux». Au lieu de cela, nourris de peur et de dégoût pour les opposants fantômes, ils acceptent de verser des millions de dollars et de ressources dans les élections politiques, la police militarisée, la technologie d'espionnage et les guerres sans fin, dans l'espoir d'une garantie de sécurité qui ne vient jamais. Pendant tout ce temps, ceux qui sont au pouvoir – achetés et payés par des lobbyistes et des entreprises – font avancer leurs programmes coûteux, et « nous les ventouses » sommes aux prises avec les factures fiscales et soumis à des palpations, des descentes de police et une surveillance 24 heures sur 24. .
RépondreSupprimerArmer la génétique. Non seulement la peur graisse les rouages de la transition vers le fascisme en cultivant des citoyens craintifs, contrôlés, pacifiés et intimidés, mais elle s'intègre également dans notre ADN même afin que nous transmettions notre peur et notre conformité à notre progéniture. C'est ce qu'on appelle l'hérédité épigénétique, la transmission par l'ADN d'expériences traumatisantes. Par exemple, les neuroscientifiques ont observé que la peur peut traverser des générations d'ADN de souris. Comme le rapporte le Washington Post, « des études sur les humains suggèrent que les enfants et les petits-enfants ont peut-être ressenti l'impact épigénétique de tels événements traumatisants tels que la famine, l'Holocauste et les attentats terroristes du 11 septembre 2001 ».
Armer le futur. De plus en plus fréquemment, le gouvernement a émis des avertissements sur le besoin urgent de se préparer à l'avenir dystopique qui nous attend. Par exemple, la vidéo de formation du Pentagone, "Megacities : Urban Future, the Emerging Complexity", prédit que d'ici 2030 (par coïncidence, la même année où la société commence à atteindre la singularité avec le métaverse), l'armée serait appelée à utiliser les forces armées pour résoudre les futurs problèmes politiques et sociaux intérieurs. Ce dont ils parlent vraiment, c'est de la loi martiale, présentée comme une préoccupation bien intentionnée et primordiale pour la sécurité de la nation. La vidéo de formation effrayante de cinq minutes brosse un tableau inquiétant de l'avenir tourmenté par les « réseaux criminels », les « infrastructures inférieures aux normes », les « tensions religieuses et ethniques », « l'appauvrissement, les bidonvilles », les « décharges à ciel ouvert, les égouts surchargés », un « une masse croissante de chômeurs » et un paysage urbain dans lequel l'élite économique prospère doit être protégée de l'appauvrissement des démunis. « Nous, le peuple », sommes les démunis.
L'objectif final de ces campagnes de contrôle de l'esprit – présentées sous l'apparence du plus grand bien – est de voir jusqu'où le peuple américain permettra au gouvernement d'aller pour remodeler le pays à l'image d'un État policier totalitaire.
Les faits parlent d'eux mêmes.
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit - un danger, une menace, une menace - le gouvernement américain ne veille certainement pas à nos meilleurs intérêts et n'est en aucune façon un ami de la liberté.
Lorsque le gouvernement se considère comme supérieur aux citoyens, lorsqu'il n'agit plus au profit du peuple, lorsque le peuple n'est plus en mesure de réformer pacifiquement son gouvernement, lorsque les responsables gouvernementaux cessent d'agir comme des fonctionnaires, lorsque les élus ne ne représentent plus la volonté du peuple, lorsque le gouvernement viole régulièrement les droits du peuple et commet plus de violence contre les citoyens que contre la classe criminelle, lorsque les dépenses du gouvernement ne sont pas imputables et ne sont pas comptabilisées, lorsque le pouvoir judiciaire agit comme des tribunaux d'ordre plutôt que de justice , et quand le gouvernement n'est plus lié par les lois de la Constitution, alors vous n'avez plus de gouvernement « du peuple, par le peuple et pour le peuple ».
Ce que nous avons, c'est un gouvernement de loups.
Nos dos sont contre le mur proverbial.
« Nous, le peuple » – qui pensons, qui raisonnons, qui prenons position, qui résistons, qui exigeons d'être traités avec dignité et attention, qui croyons en la liberté et la justice pour tous – sommes devenus des citoyens sous-estimés d'un État totalitaire qui considère les gens comme consommables une fois qu'ils ont dépassé leur utilité pour l'État.
Préparez-vous.
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, « nous, le peuple », sommes devenus les ennemis de l'État profond.
https://www.zerohedge.com/political/everything-weapon-us-government-waging-psychological-warfare-nation
Le côté grave de l'escroquerie mondiale appelée 'cocovide19' n'est pas la mort qu'elle a fait parce que les personnes se sont volontairement faites inoculée et même en redemandent ! HAHAHA ! Mais il y a cette 'épée de Damoclès' que représente les non-morts par piqûre, ces presque déjà morts sont donc manipulables, téléguidés à distance grâce aux milliards de nano-particules d'oxyde de graphène qu'ils ou elles se sont pris(es). Elles et ils représentent donc un grand danger, des personnes très souriantes qui peuvent tout-à-coup tout casser autour d'elles, lancer des bouteilles dans les supermarchés ou sur des voitures, attaquer avec un couteau ou n'importe quoi d'autre, pousser quelqu'un sous le bus, etc !
SupprimerÇà, c'est: demain !
Une étude universitaire révèle un risque plus élevé de diagnostics psychiatriques chez les patients atteints de COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 JUIN 2022 - 04:20
Écrit par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Une étude récente publiée par l'Oregon State University a découvert que les personnes infectées par le COVID-19 ont plus de chances de développer des troubles psychiatriques dans les quatre mois environ après avoir contracté le virus.
Pour l'étude, publiée dans World Psychiatry le 7 mai, les chercheurs ont utilisé les données du National COVID Cohort Collaborative (N3C). Ils ont apparié 46 610 patients infectés par le COVID-19, qui peut déclencher une infection des voies respiratoires (ITR), avec des patients témoins diagnostiqués avec une ITR différente.
Cela a permis aux chercheurs d'examiner spécifiquement comment le COVID-19 affectait la santé mentale des personnes infectées. Aucun patient ayant des antécédents de maladie mentale avant 21 jours après un diagnostic de COVID-19 n'a été inclus dans l'étude. Ceux dont le dossier médical s'étendait un an avant leur diagnostic de COVID-19 ont également été exclus.
Les chercheurs ont examiné le taux de diagnostics psychiatriques chez les 46 610 patients atteints de COVID-19 pendant deux périodes : la phase post-aiguë précoce entre 21 et 120 jours après l'infection et la phase post-aiguë tardive entre 121 et 365 jours après l'infection.
L'étude a découvert que les patients COVID-19 avaient un taux de 3,8 % de développer un trouble psychiatrique au début de la phase post-aiguë, contre seulement 3 % pour les autres infections des voies respiratoires. Cela représentait un risque de près de 25 % plus élevé pour les patients atteints de COVID-19.
Cependant, les chercheurs n'ont pas trouvé une telle « différence significative de risque » lorsqu'ils ont comparé les patients en phase post‐aiguë tardive de COVID-19 avec des personnes atteintes d'autres infections des voies respiratoires.
Lorsque les chercheurs ont examiné les troubles anxieux, ils ont découvert que la proportion d'incidence d'un nouveau diagnostic de trouble anxieux était "significativement plus élevée" pour les patients COVID-19 par rapport aux patients RTI. Pour les troubles de l'humeur, de telles différences significatives n'ont pas été observées.
"Pour les personnes qui ont eu le COVID, si vous ressentez de l'anxiété, si vous constatez des changements dans la façon dont vous traversez la vie d'un point de vue psychiatrique, il est tout à fait approprié que vous demandiez de l'aide", Lauren Chan, co -auteur de l'étude, a déclaré selon un communiqué de presse du 6 juin par Eurekalert.
"Et si vous êtes un fournisseur de soins, vous devez être proactif et commencer à dépister ces troubles psychiatriques, puis suivre ces patients."
Chan a souligné que toutes les personnes infectées par le COVID-19 n'auront pas de tels problèmes psychiatriques. Dans le contexte de l'infrastructure de soins de santé des États-Unis, une augmentation du nombre de patients COVID-19 cherchant des soins psychiatriques pourrait ajouter plus de pression sur le système, a-t-elle averti.
RépondreSupprimerPlusieurs autres études ont également suggéré qu'un segment de patients COVID-19 pourrait finir par faire face à des problèmes psychologiques.
Une recherche publiée en avril 2021 a révélé que 34% des 236 379 survivants du COVID-19 inclus dans l'étude ont développé des troubles neurologiques et mentaux dans les six mois après avoir été infectés, selon WebMD.
L'anxiété était le trouble le plus fréquemment rencontré, 17 % des sujets l'ayant signalé. Viennent ensuite les troubles de l'humeur à 14 %, les troubles liés à la toxicomanie à 7 % et l'insomnie à 5 %.
En ce qui concerne les problèmes neurologiques, 0,6 % ont signalé une hémorragie cérébrale, 2,1 % ont signalé des accidents vasculaires cérébraux ischémiques et 0,7 % ont signalé une démence. Parmi les patients diagnostiqués comme gravement malades avec COVID-19, ces taux ont bondi. Parmi les patients admis à l'unité de soins intensifs, 7% ont subi un accident vasculaire cérébral tandis que 2% ont reçu un diagnostic de démence.
Dans une autre étude publiée le 16 février au BMJ, les chercheurs ont analysé les dossiers de près de 153 848 patients COVID-19 dans le système de la Veterans Health Administration (VHS), en les comparant à des personnes qui n'avaient pas contracté le virus.
Ceux qui ont été infectés se sont avérés 35 % plus susceptibles d'être diagnostiqués avec de l'anxiété après l'infection que les personnes non infectées, 38 % étaient plus susceptibles d'être diagnostiqués avec des troubles d'adaptation et de stress, 39 % étaient plus susceptibles d'être diagnostiqués avec une dépression, et 41 % étaient plus susceptibles d'être diagnostiqués avec des troubles du sommeil.
"Il semble y avoir un net excès de diagnostics de santé mentale dans les mois qui ont suivi Covid", a déclaré au New York Times Paul Harrison, professeur de psychiatrie à l'Université d'Oxford qui n'a pas participé à l'étude.
Cependant, seulement 4,4 à 5,6 % des personnes de l'étude ont été diagnostiquées avec des troubles d'anxiété, de dépression, d'adaptation et de stress.
"Ce n'est pas une épidémie d'anxiété et de dépression, heureusement", a ajouté Harrison. "Mais ce n'est pas anodin."
https://www.zerohedge.com/covid-19/university-study-finds-higher-risk-psychiatric-diagnoses-among-covid-19-patients
Comment l'impression d'argent a détruit l'Argentine et peut en détruire d'autres
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 JUIN 2022 - 19:45
Écrit par Daniel Lacalle,
Les mots les plus dangereux en politique monétaire et en économie sont "cette fois, c'est différent".
La grande erreur des politiciens en Argentine est de croire que l'inflation est multicausale et que tout se résout avec des doses croissantes d'interventionnisme.
L'indice des prix à la consommation en Argentine a connu une hausse annuelle de 58 % en avril 2022, soit 2,9 points de pourcentage au-dessus de la variation enregistrée en mars dernier. Une véritable catastrophe. L'inflation en Argentine est plus de six fois supérieure à celle de l'Uruguay, cinq fois supérieure à celle du Chili, quatre fois supérieure à celle du Brésil ou du Paraguay, pays voisins exposés aux mêmes problèmes mondiaux.
Non, l'inflation en Argentine n'est pas multicausale, elle n'a qu'une seule cause : une politique monétaire extractive et confiscatoire. Imprimer des pesos sans contrôle et sans demande. L'Argentine gonfle sa base monétaire pour financer des dépenses publiques excessives, gonflées et destructrices.
Jusqu'à présent cette année, la base monétaire a augmenté de 43,83 %, ce qui est une folie totale. L'inflation est de 58,2 %.
Au cours des trois dernières années, la base monétaire a augmenté de 179,73 % et en 10 ans de plus de 1 543,8 %. C'est une aberration économique, pas une « politique monétaire inclusive » comme l'a qualifié Axel Kicillof, gouverneur de Buenos Aires.
Au cours des dix dernières années, le peso argentin a perdu 99 % de sa valeur par rapport au dollar. Il exproprie les richesses du pays en imprimant des pesos inutiles.
De nombreux péronistes argentins disent que les États-Unis augmentent également massivement leur masse monétaire et n'ont pas d'inflation. L'argument ne tient pas. La base monétaire des États-Unis croît à un taux de 9,9 %, soit six fois moins que celle de l'Argentine et, en plus, les États-Unis souffrent également d'une inflation de 8,5 %. Au plus fort de la surabondance monétaire aux États-Unis, la base monétaire a augmenté de 26,9 %. Au cours de la même période, celle de l'Argentine a triplé, et avec une baisse de la demande de pesos, tandis que la demande mondiale et locale de dollars américains a augmenté.
Globalement, la masse monétaire incluant l'ensemble de la monnaie en circulation a bondi en Argentine de 2 328,09 % en dix ans, alors qu'aux États-Unis elle a doublé. En d'autres termes, la masse monétaire globale en Argentine au cours de la dernière décennie a augmenté de plus de onze fois le taux de celle des États-Unis. Seul le Venezuela a mené une telle folie.
Il n'y a pas que les étrangers qui n'exigent pas de pesos ou n'en acceptent pas dans les transactions internationales, ce qui est une réalité. Les citoyens argentins n'acceptent pas leur propre monnaie comme réserve de valeur, unité de mesure et mode de paiement la plupart du temps.
Le plus triste, c'est qu'en Argentine, beaucoup disent qu'il a déjà été dollarisé auparavant et que cela n'a pas fonctionné. En Argentine il n'y a pas eu de dollarisation, une tromperie a été faite qui consistait à dire qu'un peso était égal à un dollar. Comme les pièces stables qui s'écrasent sur le marché aujourd'hui, c'était simplement une erreur, et quand elle a éclaté, les décideurs ont continué à détruire davantage le pouvoir d'achat de la monnaie.
Les États-Unis n'ont pas ce problème… pour le moment. La confiance dans le dollar américain ne baisse pas encore, elle augmente et c'est pourquoi elle se renforce par rapport à la plupart des principales devises du monde. La principale raison de cette force relative est que la Réserve fédérale surveille la demande mondiale de dollars américains et est considérée comme prenant des mesures décisives contre l'inflation. Cependant, l'erreur souvent répétée selon laquelle l'impression massive de monnaie ne provoque pas d'inflation s'est terminée brusquement avec la catastrophe commise en 2020. Les États-Unis, la zone euro et la plupart des économies mondiales ont décidé de faire face à un choc d'offre avec des politiques massives du côté de la demande, finançant le augmentation sans précédent des dépenses publiques avec de l'argent nouvellement créé, et l'inflation a grimpé vigoureusement.
RépondreSupprimerLe dollar américain ne souffre pas parce que les alternatives sont pires, soit parce qu'ils impriment la monnaie de manière encore plus agressive, soit parce qu'ils ont également des contrôles de capitaux et un manque d'investisseurs et de sécurité juridique dans leurs pays. Cependant, la Réserve fédérale ne doit pas se reposer sur ses lauriers. La confiance dans une monnaie en tant que réserve de valeur, unité de mesure et moyen de paiement peut disparaître plus rapidement que les décideurs ne l'imaginent. Le système actuel de freins et contrepoids de l'économie américaine et son système financier ouvert maintiennent le dollar américain en vie en tant que monnaie de réserve mondiale, mais les nuages s'amoncellent. D'une part, les politiciens aux États-Unis défendent de plus en plus la poursuite de politiques monétaires encore plus agressives pour financer un budget gouvernemental inabordable et en hausse. D'un autre côté, certains pays commencent à chercher des alternatives au dollar américain pour vendre des matières premières. Ce sont des menaces encore lointaines, mais elles ne doivent pas être ignorées. Le lecteur peut penser que l'Argentine est un exemple fou à comparer avec les États-Unis, mais l'exagération est délibérée. Il suffit de regarder l'histoire des gouvernements poussant l'incitation à augmenter massivement le budget financé par une monnaie de moins en moins demandée et les risques pour l'euro ou le dollar deviennent plus apparents. Le lecteur peut dire que les citoyens des économies développées ne permettraient jamais qu'une telle chose se produise dans leurs pays, mais l'Argentine était aussi une économie riche et prospère il y a des décennies. C'était l'une des économies les plus riches et les plus importantes du monde au début du XXe siècle. Une combinaison de protectionnisme, de politiques interventionnistes populistes et de décisions monétaires insensées a détruit l'économie à un endroit où elle ne s'est jamais rétablie.
Toutes les décisions insensées des gouvernements argentins mentionnées ci-dessus sont maintenant défendues par des politiciens partout aux États-Unis et en Europe qui disent souvent : « cela ne nous arrivera pas » et « cette fois, c'est différent ». Ce n'est pas différent.
Les empires tombent toujours parce qu'ils commencent à détruire le pouvoir d'achat de leur monnaie et leur position dans le monde s'effondre alors que le protectionnisme et l'interventionnisme érodent la confiance dans le gouvernement et ses institutions. Une fois que la destruction commence, ce n'est qu'une question de temps avant que les citoyens commencent à économiser en or ou en d'autres réserves réelles de valeur. Il y a là une leçon pour tous ceux qui défendent de repousser sans cesse les limites de la politique monétaire et des mesures isolationnistes. Une fois que vous avez poussé trop loin, il n'y a pas de retour en arrière.
JP Morgan disait que l'or c'est de l'argent et tout le reste c'est du crédit. Le crédit, c'est la confiance. Une fois la confiance perdue, la monnaie se dissout. C'est une leçon pour tout le monde.
https://www.zerohedge.com/economics/how-money-printing-destroyed-argentina-and-can-destroy-others
L'Australie-Méridionale déclare l'urgence climatique en préparation des prochains verrouillages climatiques
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) La province australienne d'Australie-Méridionale vient de déclarer une urgence climatique, et les blocages climatiques se rapprochent.
L'idée de forcer les gens à rentrer chez eux et de ne pas les laisser partir pour presque n'importe quelle raison découle de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), a déclaré Owen Shroyer d'InfoWars.
"C'est pour créer un précédent selon lequel s'il y a un virus dangereux, vous fermez la société", a-t-il déclaré. "Une fois que ce précédent sera accepté, alors ils décideront que vous, l'humain, êtes le virus, de sorte qu'alors vous accepterez les confinements à cause du virus humain qui cause le changement climatique d'origine humaine." (En relation: Le gouvernement déclarera une crise climatique pour remettre les gens en quarantaine.)
C'est ce qui se passe dans la province australienne d'Australie-Méridionale, qui vient d'élire un gouvernement de gauche dirigé par le Parti travailliste australien. Immédiatement après les élections, le premier ministre nouvellement élu, Peter Malinauskas, a déclaré une urgence climatique.
"Déclarer une urgence, c'est ce que font les tyrans lorsqu'ils souhaitent mettre un terme au débat, faire taire leurs opposants et faire adopter une législation qui serait autrement difficile à adopter", a écrit le journaliste Lincoln Brown pour le Spectator Australia. "Le chef de l'opposition d'Australie-Méridionale, David Speirs, a rejeté la motion du Parti travailliste comme un simple signal de vertu, mais, bien qu'il s'agisse certainement d'un signal de vertu, c'est plus préoccupant que cela."
Brown a averti que l'urgence climatique n'est que le début. Il sera suivi de blocages climatiques, d'un suivi de l'empreinte carbone et de restrictions sur l'utilisation personnelle de carburant et la consommation de viande.
"Ils peuvent ressembler à des théories du complot maintenant, mais le décor est en train d'être mis en place pour qu'ils apparaissent dans un proche avenir", a déclaré Brown. "Comme l'a noté l'historien Dr Stephen Chavura en réponse à la motion du Parti travailliste, 'L'urgence est le langage que vous utilisez lorsque la démocratie n'est plus pour vous.'"
Les scientifiques s’opposent au verrouillage climatique, disent qu’il ne sauvera pas l’environnement
RépondreSupprimerDe nombreuses organisations internationales ont également récemment fait pression pour des blocages climatiques, motivées sans aucun doute par le succès des blocages du COVID-19 dans le monde entier. Cela inclut le Programme des Nations Unies pour l'environnement, qui a appelé à des blocages climatiques pour réduire les émissions de carbone de 7,6 % chaque année au cours de la prochaine décennie.
Mais un groupe de scientifiques canadiens connu sous le nom de Friends of Science Society s'est récemment opposé aux blocages climatiques. Le groupe a noté que même si le changement climatique est réel, les confinements ne feraient rien pour l'arrêter et ne feraient que détruire la vie des gens.
«Le fait est que la baisse des émissions pendant les fermetures de COVID n'est pas suffisante pour affecter de manière significative l'augmentation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère», lit-on dans une lettre ouverte écrite par les Amis de la science adressée à la Banque du Canada. "Il faut comparer le changement des émissions au changement annuel des concentrations de CO2, pas au CO2 cumulé."
"En outre, il n'a jamais été démontré empiriquement que le dioxyde de carbone est le principal moteur du changement climatique", indique encore la lettre. "Il n'y a eu aucun changement global dans les événements météorologiques extrêmes, y compris les inondations, les sécheresses, les tempêtes ou les ouragans."
Découvrez la vérité sur le soi-disant changement climatique sur ClimateAlarmism.news.
Regardez ce clip d'InfoWars alors que l'hôte Owen Shroyer parle à Evelyn Rae de l'urgence climatique en Australie et de la pression pour les blocages climatiques.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Voici venir les VERROUILLAGES CLIMATIQUES : l'agence mondiale exige le verrouillage des villes pour atteindre les « objectifs climatiques ».
VERROUILLAGE CLIMATIQUE : Les mondialistes exploitent les flambées des prix du pétrole pour pousser à un plus grand contrôle de la population avec un « plan en 10 points » qui comprend des interdictions de voyager.
Kennedy Hall : Le changement climatique et la pandémie de COVID sont des « outils de contrôle » par les élites mondiales.
Comme COVID-19, l'alarmisme climatique est un outil que les élites mondiales utilisent pour contrôler nos vies.
Verrouillage climatique: un professeur de l'UCL préconise des verrouillages pour lutter contre le «changement climatique».
Les sources comprennent :
Brighteon.com
Spectator.com.au
Benzinga.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-south-australia-declares-climate-emergency-climate-lockdown.html
Nous sommes à l'étape finale d'une prise de contrôle tyrannique - Naomi Wolf
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Belle Carter
(Natural News) La célèbre auteure et ancienne conseillère de campagne présidentielle Naomi Wolf a critiqué les «dirigeants mondiaux» pour le plan global de prise de contrôle mondiale qui est en préparation depuis de nombreuses décennies et est maintenant en phase finale de mise en œuvre.
Elle a déclaré dans une interview sur le podcast "Take Control of Your Health" du Dr Joseph Mercola qu'il y a 10 étapes que le fascisme prendra pour écraser la démocratie. «Nous sommes maintenant à l'étape 10 et les traîtres dissolvent les frontières et la souveraineté des États-Unis. La même chose se produit également dans d'autres pays », a-t-elle révélé.
Wolf, professeur, chroniqueur et diplômé de l'Université de Yale avec un doctorat de l'Université d'Oxford, a écrit "The End of America", publié en 2007, qui semblait prévoir les événements pandémiques actuels.
Le livre énumère les 10 étapes que le futur dictateur doit suivre pour détruire les libertés constitutionnelles. Les étapes comprennent : invoquer un ennemi interne et externe terrifiant ; créer un goulag; développer une caste de voyous; mise en place d'un système de surveillance interne ; harceler des groupes de citoyens; se livrer à la détention et à la libération arbitraires; cibler les personnes clés ; contrôler la presse; la dissidence assimilée à la trahison, et enfin ; suspendre l'état de droit.
Elle savait que l'Amérique était déjà au milieu de l'étape 10 lorsque le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a déclaré que les résidents ne pouvaient pas avoir plus de six personnes chez eux à l'été 2020. Wolf a noté qu'il s'agissait d'une violation massive et très claire de la Première et les quatrièmes amendements, le droit à la vie privée et le droit de réunion, respectivement.
«Nous assistions à une course en gros pour exploiter ce qui était annoncé comme une pandémie mondiale de manière à nous priver de nos libertés restantes et à terraformer l'Amérique, conceptuellement, pour qu'elle soit prête à accepter un Forum économique mondial (WEF) de style PCC. - un monde post-humain et post-constitutionnel guidé », a-t-elle déclaré.
De plus, le traité sur la pandémie propose de donner à l'Organisation mondiale de la santé le privilège illimité d'avoir l'autorité totale pour dicter la réponse mondiale, même si cette réponse contredit les droits constitutionnels d'un État membre.
RépondreSupprimerDe même, en avril, le président Joe Biden a prolongé la loi d'urgence pour la huitième fois, non pas en raison d'une urgence de santé publique mais en raison de l'instabilité en Irak. Ce faisant, il pourrait envoyer des millions de dollars sans rendre compte au ministère de la Santé et des Services sociaux.
Pendant ce temps, le mari de Wolf, Brian O'Shea, un enquêteur hautement qualifié qui a passé 12 ans dans le renseignement militaire et les forces spéciales, a des preuves montrant que d'ici 2049, la Chine veut être le dépositaire de tout l'ADN du monde.
« Ces gens n'ont aucun respect pour la vie humaine. En fait, de nouvelles lois ont été adoptées qui autorisent l'euthanasie d'un nouveau-né dans le mois qui suit sa naissance », a déploré Wolf.
Les principaux coupables
Wolf pense que les auteurs sont des technocrates opérant conjointement avec leur objectif commun d'un gouvernement autocratique centralisé.
Elle a nommé le Big Tech et le WEF comme opérant vaguement de concert. Wolf a également cité Big Pharma comme une arme mondiale.
L'auteur a également mentionné la Fondation Bill & Melinda Gates et d'autres organisations à but non lucratif comme l'EcoHealth Alliance, le Committee for State and Territorial Epidemiologists, des organisations tierces qui permettent aux agences gouvernementales comme les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de délocaliser leur criminalité.
« Amazon, Google et Microsoft profitent de la pandémie. Google possède Baseline, auquel vous devez vous connecter pour obtenir un test PCR CVS. Microsoft construit les passeports vaccinaux. Bill Gates est investi dans les vaccins. Je viens de faire une interview explosive avec RFK Jr. dans laquelle il a déclaré que toutes les grandes entreprises technologiques investissent dans les vaccins », a-t-elle révélé.
Elle a déclaré que ces entités créent une matrice mondiale dans laquelle les États-nations, les parlements et les congrès n'ont aucun sens, et nous sommes tous surveillés, suivis et régulièrement injectés ou forcés de prendre la pilule ou le traitement qu'ils veulent que nous prenions de telle manière que faire de la liberté une chose du passé.
Et après
Avec tout ce qui s'est passé, les gens sont conscients que cela peut empirer.
"Des pénuries alimentaires ? Famine ? Des pannes de courant ? Des pénuries de gaz ? La répartition du transport et de la distribution des marchandises ? L'effondrement d'une ou plusieurs monnaies fiduciaires ? L'effondrement de tout le système financier ? Cyber-attaques ? Guerre nucléaire ? Tout cela est sur la table », a alerté Wolf au public.
RépondreSupprimerElle a déclaré qu'elle avait littéralement peur d'une attaque nucléaire et que la guerre en Ukraine serait la raison d'être d'une attaque contre tout le pays. Cela sera imputé à la Russie, mais cela pourrait être [done by] n'importe qui, a déclaré Wolf.
La Food and Drug Administration (FDA) s'est entendue avec Big Pharma, entraînant des dommages incroyables, comme le révèlent les documents de Pfizer. On ne peut pas faire confiance au CDC et vous pouvez vous attendre à des récits plus désorientants d'événements publics déroutants.
"'C'est la variole du singe, c'est la variole, c'est la tuberculose' pour vous faire vous sentir mal à l'aise et paniquer jusqu'en novembre", a-t-elle déclaré.
Enfin, en tant que consultante politique elle-même, Wolf a déclaré qu'il n'y avait aucun moyen que ces gens agissent comme s'il y aurait des élections de mi-mandat. Ils agissent comme s'il n'y aurait jamais de responsabilité. Il n'y aura jamais d'enquêtes. Ils ne seront jamais destitués. Si je devais parier, je parierais que les mi-mandats seront considérablement compromis, sinon complètement retirés de la table, ou rendus superficiels.
Un appel à l'action
Wolf appelle tout le monde à agir maintenant.
La clé du succès est de concentrer la lutte au niveau local et étatique ainsi qu'au niveau personnel, a déclaré Wolf.
« Il faut savoir chasser. Nous arrivons à ce point. Même si vous détestez les armes à feu, il est maintenant temps d'apprendre l'adresse au tir et d'être à l'aise avec une arme, car vous devrez peut-être tuer pour vous nourrir », a-t-elle averti. (En relation: VOUS MANGEREZ DES BUGS ET SEREZ HEUREUX: le Pays de Galles nourrit désormais les écoliers avec des vers de farine et des grillons pour le déjeuner dans le cadre du déploiement de la grande réinitialisation.)
Elle a également suggéré de savoir d'où vient la nourriture et de créer ou de rejoindre une agriculture soutenue par la communauté (ASC) avec vos voisins. Apprenez à cultiver de la nourriture.
Elle a également rappelé aux téléspectateurs de l'émission de préparer un plan en cas de coupure de l'électricité et des communications numériques. "Je dis aux gens d'imprimer leurs relevés bancaires et leurs relevés d'actifs car dans The Great Reset, vous devez vous attendre à ce qu'il y ait un blitz géant et tout disparaîtra", déclare Wolf.
Au niveau de l'État, le PDG de DailyClout a conseillé de mobiliser les gens pour faire pression sur leurs représentants de l'État pour qu'ils adoptent rapidement des lois et montrent un mouvement populaire massif pour ne pas appliquer les règles du WEF au niveau de l'État.
RépondreSupprimerAu même rythme, les États doivent accepter et être prêts à renoncer aux financements et subventions fédéraux pour conserver leur souveraineté.
« Nous avons besoin d'un nouveau mouvement où les institutions et les dirigeants locaux renoncent publiquement à tout financement corruptible, qu'il vienne du PCC, du gouvernement fédéral, du WEF ou de quoi que ce soit d'autre. Ces personnes et institutions doivent être disposées à divulguer la source de tous les financements et à rejeter tout financement qui pourrait les rendre redevables à une puissance ennemie », a-t-elle souligné.
Visitez Tyranny.news pour plus d'informations sur l'agenda autocratique des mondialistes.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle des 10 étapes vers le fascisme.
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Cette vidéo provient de la chaîne ScottishWatchman sur Brighteon.com.
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Naomi Wolf : Nous avons atteint la "dixième étape" des 10 étapes vers le fascisme.
La pénurie alimentaire mondiale causée par la guerre en Ukraine sert le programme mondialiste de la Grande Réinitialisation.
Grande réinitialisation: "La famine menace d'anéantir 300 millions de personnes."
Sources include:
LifesiteNews.com
TakeControl.Substack.com
TheGuardian.com
ChildrensHealthDefense.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-final-stage-of-tyrannical-global-takeover.html
Le comble de la dictature est de prétendre que le peuple est con et asymptomatique !
SupprimerDr Jane Ruby: Les pilotes de ligne ont reçu des incitations pour se faire vacciner contre le COVID-19 – Brighteon.TV
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Le Dr Jane Ruby a révélé que les pilotes de ligne se voyaient offrir d'énormes incitations monétaires pour recevoir l'injection du coronavirus de Wuhan (COVID-19) lors de l'épisode du 6 juin de "Live with Dr. Jane Ruby" sur Brighteon.TV.
"Et nous savions qu'ils commençaient initialement avec d'énormes incitations monétaires. En fait, ce qu'ils ont dit était, essayons d'abord de les inciter avec l'argent, avec les avantages, attendons jusqu'à la toute dernière minute avant de commencer à menacer les gens et à les virer. Alors ce pilote m'a dit qu'il y avait d'énormes incitations au début pour obtenir ce jab. Et malheureusement, et ce sont ses mots, et naïvement, de nombreux pilotes en ont profité », a déclaré Ruby.
Le vétéran professionnel de la santé et expert en développement de médicaments pharmaceutiques a déclaré que l'aviation américaine fournit toutes sortes d'histoires sur les pilotes vaccinés et non vaccinés. Elle a mentionné sa récente interview avec le fondateur de Freedom Flyers, Josh Yoder, qui lui a dit que de nombreux pilotes et certains agents de bord ont admis avoir des symptômes tels que des douleurs thoraciques intermittentes et des étourdissements.
Ruby a également cité le capitaine Bob Snow d'American Airlines, qui avait souffert d'un arrêt cardiaque après avoir atterri dans un avion de ligne à l'aéroport international de Dallas-Forth Worth il y a un peu plus d'un mois.
Les pilotes des compagnies aériennes ont trois choix pour continuer à voler
L'ancienne économiste de la santé de Washington D.C. et experte politique de la Nouvelle Droite a également partagé son entretien avec un pilote de ligne vétéran qui était un "initié" dans l'industrie.
Le pilote, qui a parlé à Ruby sous couvert d'anonymat, a révélé qu'on lui avait donné trois choix : prendre le coup, demander une exemption religieuse ou demander une exemption médicale. Le pilote a déclaré que les compagnies aériennes, en ce qui concerne les exemptions religieuses, étaient très accommodantes et que presque tous ceux qui ont postulé ont obtenu des exemptions. Cela suggère que les compagnies aériennes ne veulent pas vraiment perdre leurs pilotes.
Ceux qui ont demandé des exemptions pour des raisons médicales ont continué à voler avec leurs exemptions en attente. Certains d'entre eux ont simplement pris leur retraite. Environ 10 à 20 pour cent des pilotes n'ont pas été piquées après avoir obtenu les exemptions religieuses ou médicales.
Le pilote interrogé par Ruby a déclaré que nombre de ses collègues dans la tranche d'âge des 30 à 40 ans souffraient de myocardite. (Connexe: jusqu'à 30% des pilotes américains peuvent avoir des problèmes cardiaques induits par le vaccin COVID-19.)
Ruby a déclaré qu'il était plutôt surprenant que ces pilotes ne se soient pas manifestés ou ne se soient pas réunis dans une sorte de situation de protection des lanceurs d'alerte.
Le pilote anonyme a déclaré que les plus jeunes étaient très préoccupés par leur gagne-pain, mais qu'ils auraient dû attendre et attendre. Il a ajouté que le programme de dénonciation était une bonne suggestion car ils seraient tous protégés et que ces pilotes commenceraient à sortir et à partager leurs histoires.
RépondreSupprimerRuby a également partagé que certains pilotes recherchent déjà d'autres emplois en raison de leur avenir incertain.
Mais une chose est sûre : les pilotes peuvent faire leur travail même sans recevoir le jab. Les compagnies aériennes veulent simplement qu'elles respectent la ligne.
Suivez Vaccines.news pour plus d'informations sur les vaccins COVID-19.
Regardez l'épisode complet du 6 juin de "Live with Dr. Jane Ruby" ci-dessous. Regardez de nouveaux épisodes de "Live with Dr. Jane Ruby" tous les lundis de 19h à 20h. sur Brighteon.TV.
Plus d'histoires liées :
Un groupe de défense basé en Californie affirme que le mandat de vaccination contre le covid pour les pilotes viole la loi fédérale et met les passagers en danger.
Les décès de pilotes américains augmentent de 1 750 % après le déploiement du vaccin covid.
Un chirurgien de l'armée a averti que les pilotes pouvaient mourir en l'air des suites de blessures causées par le vaccin COVID… mais a été ignoré.
Un pilote de United Airlines qui a refusé de prendre le vaccin COVID est bloqué en congé sans solde.
Les compagnies aériennes qui cherchaient à CUT avaient besoin d'heures de formation pour les nouveaux pilotes en raison d'une pénurie désespérée de pilotes… qu'ils ont tués avec des vaccins covid, bien sûr.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
DrJaneRuby.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-airline-pilots-offered-incentives-get-covid-vaccine.html
Presque toute l'Australie est entièrement piquée pour le covid mais les décès augmentent
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Ethan Huff
(Nouvelles naturelles) Euh oh. La campagne de "vaccination" de masse contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) en Australie n'a pas produit les résultats promis.
Au lieu de transformer la terre Down Under en une utopie sans covid, les injections, que presque tout le monde dans le pays a reçues parce qu'elles ont été forcées dans la plupart des régions, ont déclenché une vague de décès qui ne montre aucun signe de ralentissement de si tôt.
Le 25 mai, le gouvernement australien a signalé que les décès dans tout le pays étaient de 21 % supérieurs à la normale au début de 2022. En excluant même les décès imputés au « covid », le taux de mortalité en Australie était toujours supérieur de 10 % à la normale.
Mais attendez ! Les piqûres n'étaient-elles pas censées diminuer les décès ? C'est ce qui a été promis, après tout. La réalité, cependant, est tout à fait à l'opposé de ce qui a été promis.
À Victoria, le deuxième État le plus peuplé d'Australie, le taux de mortalité est encore plus élevé que le taux global du pays. Ceci malgré le fait que Victoria avait certains des verrouillages et des mandats de piqûre les plus agressifs d'Australie.
Selon les données, les décès ont augmenté de 27% à Victoria par rapport à la moyenne habituelle. C'est stupéfiant si l'on considère tout ce que les habitants de cet État ont traversé pour "aplanir la courbe".
"Le pic de décès australien est particulièrement frappant, car l'Australie n'a pas eu de décès excédentaires - et peu de Covid - en 2020 et une grande partie de 2021", écrit Alex Berenson sur son Substack.
«Ainsi, les explications alternatives habituelles ne peuvent pas tenir. Le pic ne peut pas être le résultat de soins médicaux retardés ou d'un "long Covid" (quelle que soit la durée du Covid). La météo et la géographie de l'Australie sont également très différentes de celles des pays européens qui signalent désormais un excès de décès.
Plus de personnes en Australie meurent de "covid" aujourd'hui qu'avant l'introduction des "vaccins"
Un autre petit fait à noter est que la plupart des décès excessifs à Victoria de janvier et février de cette année n'étaient pas de nature cardiaque, mais principalement liés au diabète et à la démence, qui étaient tous deux environ 30 % supérieurs à la normale.
Ceci est remarquable car des rapports publiés dans diverses revues scientifiques ainsi que dans le système fédéral de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) mettent en évidence des cas de dérèglement diabétique suite à une injection d'ARNm covid (ARN messager), qui ont été largement distribués dans tout Victoria.
"Les histoires anecdotiques de personnes âgées souffrant d'une détérioration mentale rapide, en particulier après une seconde injection ou une injection de rappel, sont également courantes", note encore Berenson.
Fait intéressant, les décès liés au covid sont également en hausse en Australie, malgré le fait que presque tout le pays est désormais entièrement piqué. Les décès liés à Covid sont plus nombreux aujourd'hui, en fait, qu'ils ne l'étaient avant l'introduction des vaccins contre la grippe Fauci dans le cadre de l'opération Warp Speed.
De lourdes restrictions en Australie qui gardaient les gens enfermés chez eux pendant des mois à la fois ont conduit à une conformité massive à la poussée des piqûres, qui a été promise comme une évasion de toute la tyrannie. Maintenant que tout le monde s'est conformé, le pays est plus malade que jamais.
RépondreSupprimer"Les Australiens ont accepté avec empressement les 'vaccinations' Covid et sont vaccinés à des taux nettement plus élevés que les Américains", explique Berenson. « 95 % des personnes de 16 ans et plus en Nouvelle-Galles du Sud, le plus grand État du pays, ont été vaccinées. 64 % ont été boostés.
"Pourtant, malgré (ou à cause de) ces taux de vaccination très élevés, l'arrivée d'Omicron a entraîné une vague incessante d'infections et de décès à travers l'Australie."
En Nouvelle-Galles du Sud, le gouvernement a signalé que 82 des 98 personnes décédées de « covid » au cours de la semaine se terminant le 28 mai ont été entièrement piquées. Soixante-quatre d'entre eux ont également été "boostés".
Les injections sont un échec, en d'autres termes, et tuent des gens à gauche et à droite – à moins, bien sûr, que le but n'ait jamais été de sauver des vies mais plutôt d'y mettre fin.
Les dernières nouvelles sur l'escroquerie covid jab peuvent être trouvées sur Immunization.news.
Les sources de cet article incluent :
AlexBerenson.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-australia-fully-vaccinated-covid-deaths-spiking.html
AUSTRALIE:
Supprimer7 692 000 de km²
25 millions d'habitants
USA
9 834 000 km²
330 millions d'habitants
FRANCE
543 940 km²
67 millions d'habitants.
Hôpital public : les conditions s’aggravent. Le cri d’alarme des soignants
RépondreSupprimerpar Aphadolie
10/06/2022
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Time : 3 mn 09 / [1/2]
« En fermant plus de lits, en supprimant autant d’emplois, on sera obligés de sélectionner les malades. Il y aura des morts. »
Les soignants ont manifesté ce mardi 7 juin pour crier leur colère. Rémy Buisine a rencontré Nathalie. Et son quotidien, c’est ça !
Synopsis vidéo 1 :
« On sera obligés de sélectionner les malades. Aux urgences, il y a des patients qui restent sur les brancards pendant 10 ou 12 heures. »
Ce mardi 7 juin, les soignants organisaient une manifestation pour demander de meilleures conditions dans les hôpitaux publics.
« Aujourd’hui, l’hôpital, c’est un travail de 12 à 14 heures par jour », explique Nathalie Marchand, cadre hospitalier.
Depuis l’épidémie du Covid, les hôpitaux publics sont en manque de personnel.
« En fermant plus de lits, en supprimant autant d’emplois, on sera obligés de sélectionner les malades. On sait qu’on va en laisser sur la touche, qu’il y aura des morts. »
A l’occasion de cette manifestation, les soignants demandent la réouverture de lits d’hôpitaux ainsi que le retour des soignants suspendus pour ne pas avoir fait le vaccin contre le coronavirus.
« La colère est d’autant plus grandissante que suite à la période Covid, où on a subi la fermeture de 17 000 lits, il y a une continuité. Les lits et services continuent d’être fermés, particulièrement les urgences et la maternité », regrette Nathalie Marchand.
« Il faut réintégrer ces jeunes partis pendant la période Covid. Il faut rendre attractif l’hôpital, en augmentant les salaires, en donnant accès à la formation, en embauchant. »
Manifestations pour l’hôpital
« Les conditions s’aggravent », les soignants « tous en burn-out »
Les soignants et personnels médicaux de l’hôpital public ont manifesté ce mardi dans une cinquantaine de villes en France, dont Paris, Bordeaux, Avignon ou encore Toulouse. Ils se disent tous à bout.
« On a tous demandé une consultation avec la psychologue », « les conditions de travail s’aggravent », « les soignants fuient l’hôpital ». Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé la semaine dernière une « mission flash » pour préparer l’arrivée de l’été dans les services d’urgences, les soignants et personnels médicaux de l’hôpital public se sont rassemblés pour manifester ce mardi dans une cinquantaine de villes en France.
La « mission flash » : de la « poudre aux yeux »
Si la première mobilisation du second quinquennat d’Emmanuel Macron, lancée par neuf syndicats et collectifs hospitaliers, a finalement peu mobilisé, c’est peut-être que la fatigue et la désillusion l’ont emporté sur la colère. Cette mission, c’est « de la poudre aux yeux » s’agace Daniel Maïquez, secrétaire adjoint de la CGT à l’hôpital de Perpignan, sur France Bleu Roussillon.
« Encore un audit ? Ça va coûter combien ? Quand on sait le nombre de personnels qui nous manque à l’hôpital, on ne pourra pas donner cet argent pour financer du personnel supplémentaire ? »
RépondreSupprimer« Je pense que c’est une bonne blague : les problèmes sont dits et redits depuis des années », dénonce également Sara Fernandez, déléguée CGT au CHU de Grenoble, invitée sur France Bleu Isère. « On perd un mois avec cette mission », estime carrément Caroline Brémaud, cheffe des urgences du Centre Hospitalier de Laval, sur France Bleu Mayenne ce mardi.
Epuisement et burn-out
« Nous faisons régulièrement 45 heures par semaine, les médecins parfois 60 à 80 heures. On revient sur nos jours de repos pour remplacer, renforcer », décrit une infirmière aux urgences de Purpan présente dans la manifestation toulousaine, qui a rassemblé environ 250 personnes selon France Bleu Occitanie.
Dans son service, un mouvement de grève a débuté lundi. Seules les urgences vitales ont été accueillies et 80 % des infirmiers et aides-soignants étaient en grève. Une première dans l’histoire des urgences à Toulouse.
« Il y a beaucoup de fatigue professionnelle », souligne Noëlle, aide-soignante au CHU de Rennes, où une centaine de personnes ont défilé du CHU à l’agence régionale de santé (ARS).
Ils étaient quelques dizaines devant l’hôpital de Perpignan, selon France Bleu Roussillon. « On a tous demandé une consultation avec la psychologue, qui nous a tous étiquetés en burn-out », se désespère Estelle, infirmière aux urgences depuis 20 ans. Une centaine de soignants en colère se sont également rassemblés devant le centre hospitalier d’Avignon, rapporte France Bleu Vaucluse.
A Bordeaux, ils étaient un peu plus nombreux : entre 300 et 500 manifestants, selon la CGT, précise France Bleu Gironde. Parmi eux, Lise, infirmière de bloc opératoire, lassée de devoir « toujours faire plus avec moins de temps et de personnel ».
Lors du conseil municipal qui a suivi la manifestation, le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, a annoncé qu’il allait écrire à la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon.
La mobilisation a été bien suivie à Oloron-Sainte-Marie, en Béarn, dans les Pyrénées-Atlantiques. Environ 600 manifestants se sont rassemblés devant le centre hospitalier, où le service des urgences a fermé temporairement durant le mois de mai, et reste en sursis pour l’été, à cause d’un manque de médecins. A Tarbes, dans les Hautes-Pyrénées, le rassemblement s’est fait en centre-ville devant la préfecture, avec environ 300 participants.
« Conditions de travail déplorables »
RépondreSupprimer« On est payés seulement un euro supplémentaire par heure la nuit », souligne Sara Fernandez, déléguée CGT au CHU de Grenoble, invitée sur France Bleu Isère. Même si elle sait qu’au-delà des salaires, « il y a aussi les conditions de travail ». « C’est surtout des moyens humains qu’il nous faut », insiste Corinne, aide-soignante venue des Vosges venue manifester à Paris, où entre 200 et 300 manifestants se sont retrouvés devant le ministère de la Santé en début d’après-midi.
Devant le CHU de Grenoble, ils étaient environ 300 ce mardi, dont Ronan, infirmier en pédopsychiatrie : « Nos conditions de travail sont déplorables et les patients en pâtissent ». « J’aime mon métier, mais c’est dur de rester motivée car on ne peut plus le faire correctement », déplore aussi Nathalie, une infirmière mobilisée à Clermont-Ferrand, où ils étaient quelques dizaines devant le CHU.
« Nous ne parvenons pas à assurer un suivi régulier de nos patients car nous sommes débordés ; du coup, lorsque leur état s’aggrave, ils se rendent aux urgences et sont placés dans des services qui n’ont rien à voir avec leurs pathologies, parfois en cardiologie, c’est du grand n’importe quoi ! », témoigne sur France Bleu Azur Laura, infirmière dans un service de dermatologie-oncologie au CHU de Nice.
« Je suis surpris de voir qu’en France, dans un pays riche comme le nôtre, comment on gère les patients et surtout nos personnes âgées », se désole Florent, soignant en gériatrie à Poitiers, sur France Bleu Poitou.
Résultat, « les soignants continuent toujours à fuir l’hôpital », déplore Patricia Schneider, représentante du syndicat Sud Santé à l’hôpital de Metz Mercy, sur France Bleu Lorraine.
« Dans le service dans lequel je travaille, il y a énormément de jeunes collègues qui arrivent, qui font quelques mois, un an et puis qui partent. Ils ne veulent absolument plus travailler à l’hôpital ».
- voir sur site -
Time : 5 mn 04 / [2/2]
Synopsis vidéo 2 :
Lors de cette nouvelle journée d’action de la santé, les paramédicaux et médicaux ont rappelé les conséquences concrètes du manque de moyens généralisé sur les malades.
« Macron et McKinsey, coupables de mise en danger des patients et des soignants. » Transformé en homme-sandwich, Michael Fonseca, représentant de la CGT à l’hôpital intercommunal de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), avait de multiples messages à faire passer au gouvernement sur ses panneaux.
En cette nouvelle journée d’action de la santé un peu partout en France, les centaines de soignants rassemblés devant le ministère, à Paris, avaient à cœur de défendre une qualité des soins en pleine déliquescence. Aide-soignant en service de soins de suite et de réadaptation, Michael Fonseca fait l’inventaire des dysfonctionnements dans sa structure :
RépondreSupprimer« Les urgences de nuit sont menacées de fermeture. Il y a treize postes de cadres vacants sur l’hôpital : la plupart sont partis à cause de la charge de travail. Il y a aussi une pénurie de médecins. Avant, ils alternaient entre les consultations dans le privé et l’hôpital. Désormais, une dizaine d’entre eux ont basculé uniquement sur leur cabinet. »
Dans cette improvisation quotidienne, les patients trinquent. Aide-soignante dans un établissement gériatrique des Vosges et élue CGT, Stéphanie Andrique, qui vient pour la première fois manifester à Paris sur son jour de congé, ne supporte plus de voir les personnes âgées maltraitées.
« Je ne bosse pas dans une usine ! » tranche-t-elle. « On nous rappelle constamment sur nos jours de congés en nous disant que, sinon, le service va fermer. Mais ce sont les patients qui en pâtiraient. Déjà qu’on les fait attendre pour aller aux toilettes et pour se laver, ils n’ont jamais aussi bien porté ce nom ! Aujourd’hui, je pense avant tout à ces gens dans leur lit. »
En ce moment, à l’hôpital Tenon (20e arrondissement de Paris), les urgences psychiatriques sont débordées, notamment parce que celles de l’Hôpital intercommunal de Montreuil (Seine-Saint-Denis) ont fermé leurs portes. Nicolas, aide-soignant et membre du collectif Inter Urgences, ne supporte plus de travailler dans ces conditions.
« Faute de places en service de psychiatrie, nous avons gardé cinq jours une personne de 21 ans contentionnée. Elle nous suppliait de la détacher, mais nous ne pouvions pas… C’était horrible. »
Du côté des urgences « généralistes », la situation n’est pas meilleure. « Nous allons partir en grève dans pas longtemps », confie-t-il.
« Les brancards sont cassés. On n’a plus de fauteuils roulants. Je me retrouve à envoyer des patients passer des radios à cloche-pied. L’été dernier, dans une zone où normalement il doit y avoir quatre infirmiers, il n’y en avait plus qu’un. Du coup, il ne se rappelait plus le prénom des personnes, c’était n’importe quoi. On veut donc des garanties pour l’ex-mois de juillet et d’août. »
Même si les salaires sont un des nerfs de la guerre, Blandine Depta, infirmière au Smur de l’hôpital de Péronne (Somme), veut mettre l’accent sur les moyens humains.
« Notre zone géographique, située entre Amiens et Saint-Quentin, se désertifie de plus en plus. Le champ d’intervention du Smur a été élargi de 30 à 45 kilomètres. À l’hôpital, un cardiologue est sur le départ, si personne ne le remplace, les malades devront parcourir jusqu’à 80 kilomètres pour consulter. »
RépondreSupprimerFaute de soignants, au moins 120 services ont été forcés de limiter leur activité ou s’y préparent, selon un décompte fin mai de l’association Samu-Urgences de France.
Source :
https://www.brut.media/fr/health/le-cri-d-alarme-d-une-soignante-de-l-hopital-public-b9d86b20-8671-4d57-a402-d172d05383c3
https://www.francebleu.fr/infos/societe/en-images-manifestations-pour-l-hopital-les-conditions-s-aggravent-les-soignants-tous-en-burn-out-1654615790
Article :
Brut
Jade Peychieras / France Bleu
Vidéo :
[1] Le cri d’alarme d’une soignante – Brut / YouTube
[2] Crise des urgences : les soignants mobilisés devant le ministère de la Santé – Journal l’Humanité / YouTube
https://aphadolie.com/2022/06/10/hopital-public-les-conditions-saggravent-le-cri-dalarme-des-soignants/
Le résident Biden affirme que les ARMES sont le premier tueur d'enfants, mais en réalité ce sont les VACCINS et les AVORTEMENTS
RépondreSupprimerThursday, June 09, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) En Amérique, une fois que vous avez 18 ans, vous pouvez être enrôlé dans l'armée pour combattre dans des guerres en utilisant des fusils, des grenades, des chars, des jets, des bombes et des missiles pour tuer des gens en masse, y compris des enfants. Le faux POTUS Joe Biden et ses partenaires communistes à Washington D.C. veulent retirer toutes les armes à tous les citoyens, y compris la dernière poussée qui prétend que si vous avez 18 ans (moins de 21 ans), vous êtes un enfant et ne devriez pas pouvoir acheter ou utiliser armes à feu - tout cela grâce au dernier tir de masse «activé» dans les écoles élémentaires. Immédiatement après la fusillade de masse à Uvalde, au Texas, les monstres des armes à feu à DC se sont déchaînés dans les médias, déclarant que les Américains devaient rendre toutes leurs armes pour sauver les enfants.
Pendant ce temps, la police de l'école élémentaire d'Uvalde a attaché et menotté les parents des enfants assassinés, tandis que d'autres policiers se sont précipités dans l'école, uniquement pour essayer de sauver leurs propres enfants, tout en laissant les autres se faire massacrer pendant une heure par le présumé « tireur actif », qui était un adulte de 18 ans, susceptible d'être enrôlé dans la guerre par le gouvernement américain.
Récemment, lors d'un discours aux heures de grande écoute, le résident Biden, gravement dément, a affirmé que les armes à feu tuaient plus d'enfants que les épaves de voitures, où il compare en réalité les statistiques de jeunes adultes de 18 et 19 ans qui boivent et conduisent, aux meurtres de gangs dans des situations mortelles. Des villes métropolitaines dirigées par des démocrates, comme Saint-Louis, Détroit, La Nouvelle-Orléans, Chicago, Los Angeles, Cleveland, Washington DC, New York, Baltimore et Atlanta.
Les vaccins et les avortements tuent chaque année des centaines de milliers d'enfants américains de plus que les armes à feu et les automobiles réunies
Ce que Biden, confus et lecteur de scripts, a laissé de côté dans l'équation du tueur d'enfants comprend les principaux tueurs d'enfants (que les démocrates vénèrent), à savoir les avortements et les vaccins. Donc, avant de continuer, mettons tout cela dans une perspective appropriée. Les démocrates veulent retirer le financement de la police dans toutes les villes métropolitaines qu'ils dirigent, perpétuant ainsi la violence dans ces villes où, même si vous vous faites prendre, les procureurs de district vous laissent tirer d'affaire avec une tape sur les doigts. Ensuite, les démocrates veulent un contrôle total des armes à feu, où ils illégaux et confisquent d'abord toutes les armes automatiques, puis semi-automatiques, puis tout ce qui a 6 balles ou plus (toutes).
Pendant ce temps, ils forment des « gamins » de 18 ans à combattre dans les guerres qu'ils incitent, déclenchent et dont ils profitent, comme ce qui se passe en ce moment en Ukraine. De plus, ils disent à la police de se retirer pendant les fusillades dans les écoles, permettant le plus de carnage possible, afin que les médias puissent intervenir et capturer les émotions de chacun, pour promulguer de nouvelles interdictions d'armes à feu et une législation sur la confiscation, dans le cadre de l'objectif principal du démocrate - pour éliminer le 2ème amendement de la constitution.
RépondreSupprimerTout cela alors que des vaccins mortels sont poussés sur les enfants, les bébés et les femmes enceintes, y compris les vaccins COVID-19 qui provoquent des AVORTEMENTS SPONTANÉS, des fausses couches, des caillots sanguins, des troubles du système nerveux, l'infertilité, la myocardite et d'autres effets secondaires horribles. De plus, les démocrates poussent toujours à l'avortement, pendant la grossesse à n'importe quel terme, le jour de la naissance de l'enfant, et même des semaines et des mois après la naissance.
En fait, chaque année aux États-Unis, près de 20 % des grossesses (à l'exclusion des fausses couches causées par les vaccins) sont interrompues par un seul AVORTEMENT. C'est un génocide, et le nombre approche rapidement du million de bébés américains assassinés chaque année.
FAIT : Il a été démontré par des recherches fondées sur des preuves que les « vaccins » COVID-19 mettent fin à 4 grossesses sur 5 par fausse couche ou avortement spontané. Oubliez les armes à feu, les vaccins sont les vrais tueurs en série d'enfants. Tuez autant d'enfants que possible - c'est la devise des démocrates, parce que... attendez-le... attendez-le... contrôle des armes à feu.
Les armes à feu ne rendent pas les enfants autistes, contrairement aux vaccins
Selon le CDC hautement corrompu du régime de Biden, les armes à feu tuent plus d'enfants que les voitures, mais si vous supprimez simplement les adultes âgés de 18 et 19 ans de cette statistique, ce ratio choisi avec soin bascule complètement dans l'autre sens. Les armes à feu ne sont pas les principales tueuses d'enfants, et les armes à feu ne tuent pas les enfants de toute façon, ce sont les jeunes adultes de sexe masculin qui prennent des médicaments antidépresseurs vendus par Big Pharma pour promouvoir le contrôle des armes à feu.
Ce dont nous avons besoin, c'est d'une législation sur le contrôle des vaccins et de l'avortement, en particulier dans les villes métropolitaines, où vous trouverez des magasins d'armes (sur gage), de l'alcool, de la pornographie et des points de vente de Planned Parenthood à toutes les intersections populaires du «centre-ville». Si vous ne vous faites pas avorter et que vous ne tuez pas votre enfant, le CDC s'assure que l'enfant reçoive 60 vaccins avant l'âge de 6 ans, garantissant presque qu'il se retrouvera quelque part sur le "spectre" et aura besoin de soins hospitaliers, de médicaments et probablement de "pistolet". contrôle ».
Cela a été une annonce de service public de Natural Health News. Ajoutez Censored.news à vos sites Web préférés pour obtenir des informations sur les avortements et la violence vaccinale qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.
Sources for this article include:
Breitbart.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
CBSnews.com
GutMacher.org
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-biden-claims-guns-killer-of-children-actually-vaccines-abortions.html
Blagues censurées : ce n'est pas que Facebook ne comprend pas la blague "Le socialisme tue", le problème est que tout le monde la comprend
RépondreSupprimerJune 10th, 2022
Les blagues les plus importantes au monde en ce moment sont celles que Facebook ne veut pas que vous voyiez. Anthony Watts a publié un dessin animé de 2018 qui est si "chaud" qu'il a été supprimé en seulement 8 heures.
Le socialisme-électrique-brûle-l'a-fait-dans-le-mauvais-chemin.
@wattsupwiththat
- voir dessin sur site -
Ce dessin n'est pas une blague, c'est un message de sécurité communautaire.
Source : Le dessin animé original de Pat Cross.
https://joannenova.com.au/2022/06/censored-jokes-its-not-that-facebook-doesnt-get-the-socialism-kills-joke-the-problem-is-that-everyone-gets-it/
Le sentiment des agriculteurs américains plonge alors que les coûts des intrants agricoles montent en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 JUIN 2022 - 19:05
Écrit par Emel Akan via The Epoch Times,
Malgré la vigueur des prix des produits de base, la confiance des agriculteurs aux États-Unis s'est fortement détériorée en mai, car les producteurs s'inquiètent de la santé financière et des perspectives de leur exploitation.
Le mois dernier, le sentiment des agriculteurs est tombé à son plus bas niveau depuis avril 2020, en baisse de 22 points, selon l'indice de sentiment Purdue University/CME Group Ag Economy Barometer.
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La hausse rapide des coûts de production et l'incertitude quant à l'orientation des prix des intrants ont largement contribué à la baisse du sentiment. Environ 44 pour cent des agriculteurs, selon l'enquête mensuelle, ont cité les coûts des intrants comme leur principale préoccupation pour l'année à venir.
Près de six agriculteurs sur dix prévoient que les prix des intrants agricoles seront supérieurs d'au moins 30 % cette année par rapport à 2021.
Selon Michael Langemeier, professeur au département d'économie agricole de l'Université Purdue et co-auteur du rapport AG Economy Barometer, l'augmentation des prix des intrants a été considérablement plus importante que l'inflation générale observée jusqu'à présent dans les produits agricoles.
C'est pourquoi les agriculteurs « pensent certainement que l'inflation générale va persister au cours des 12 prochains mois », a déclaré Langemeier à Epoch Times.
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En plus des hausses de prix massives de cette année, près de quatre agriculteurs sur 10 estiment que les prix des intrants augmenteront de 10 % ou plus en 2023, selon l'enquête.
Les deux intrants agricoles les plus importants sont le diesel et les engrais. Les prix des deux ont considérablement augmenté au cours de la dernière année et l'invasion russe de l'Ukraine a encore perturbé les deux marchés. Par conséquent, les agriculteurs ne s'attendent pas à un allégement des prix de si tôt, selon Langemeier.
Les agriculteurs américains sont très préoccupés par la possibilité de subir une compression des prix et des coûts dans les années à venir, ce qui fait référence à la situation dans laquelle les coûts restent élevés alors que les prix des produits diminuent.
RépondreSupprimerLes agriculteurs ont actuellement un bilan solide, a noté Langemeier, mais "ils pourraient être confrontés à une compression des prix et des coûts, en particulier en 2023", a-t-il déclaré.
L'université a mené l'enquête auprès de 400 producteurs agricoles de tout le pays, qui sont généralement de petites exploitations, des propriétaires uniques ou des partenariats, ou de petites entreprises familiales.
Environ 21 % des répondants ont cité le climat, l'environnement et les politiques agricoles comme leurs principales préoccupations, selon l'enquête. Certains agriculteurs ont également cité la disponibilité des intrants (19 %) et la baisse des prix des cultures ou du bétail (18 %) comme principales préoccupations.
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Brett Murray (L) et Kambrie Murray, 17 ans (R), traversent leur ranch familial à Murray Hay & Cattle au Liban, Oregon, le 13 avril 2022. Murray a déclaré une augmentation de 30 à 40 % des frais de foin, de carburant et d'expédition en l'année dernière avait augmenté les prix du bétail et de la viande de la ferme et nui à sa capacité à réaliser des bénéfices. (Nathan Howard/Getty Images)
Montée en flèche des valeurs foncières
Malgré le sentiment négatif, il y a beaucoup d'optimisme en ce qui concerne la valeur des terres agricoles.
"Le contraste entre la vision relativement optimiste des agriculteurs sur la valeur des terres agricoles et leurs attentes en matière de faibles performances financières agricoles continue d'être un peu un casse-tête", selon le rapport d'enquête.
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Les répondants qui anticipent une augmentation de la valeur des terres agricoles au cours des cinq prochaines années citent régulièrement la demande des investisseurs non agricoles comme le principal facteur, suivi de l'inflation.
Ces dernières années, des milliardaires, des entreprises mondiales et des fonds d'investissement ont acheté de manière agressive des terres agricoles. Le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, par exemple, a tranquillement amassé environ 270 000 acres de terres agricoles à travers les États-Unis, selon les médias.
Langemeier pense qu'il existe de nombreuses raisons à la forte demande d'investissement dans les terres agricoles, dont l'une est que «les rendements des terres agricoles ne sont pas corrélés aux rendements des actions», ce qui en fait des actifs attrayants.
C'est particulièrement intrigant pour les fonds d'investissement, a-t-il noté, car ils sont similaires aux actions versant des dividendes en ce sens qu'ils reçoivent un loyer en espèces chaque année ainsi que la possibilité d'une appréciation des terres.
RépondreSupprimer"Le rendement des terres agricoles a été assez bon sur une longue période", a ajouté Langemeier.
L'enquête a cependant révélé une tendance inquiétante des dépenses en capital, qui pourrait réduire la productivité agricole dans les années à venir.
Malgré des flux de trésorerie élevés, la grande majorité des agriculteurs (78 %) pensent que ce n'est pas le moment d'investir dans des choses comme les machines et les bâtiments. Les perturbations de la chaîne d'approvisionnement ont eu un impact particulier sur les plans d'achat de machines. Selon l'enquête, le faible niveau des stocks de machines agricoles a fait grimper les prix, rendant l'investissement moins attrayant pour les agriculteurs cette année.
Les prix du blé, en hausse de 60 % par rapport à l'année dernière, présentent une opportunité pour les agriculteurs américains. L'invasion de l'Ukraine a menacé l'approvisionnement mondial en blé ces derniers mois et de nombreux experts ont averti que la pénurie pourrait déclencher une crise alimentaire mondiale.
Une partie du problème avec tous les produits agricoles est que les agriculteurs ne produisent qu'une seule récolte par an, selon Langemeier, ce qui rend difficile pour les producteurs américains de réagir rapidement à la hausse des prix.
Cependant, il pense que les agriculteurs planteront davantage de blé cet automne en réponse à la hausse des prix.
https://www.zerohedge.com/commodities/us-farmer-sentiment-dives-ag-input-costs-skyrocket
S'il y a un secteur au monde qui nécessite une intervention prioritaire c'est bien l'agriculture !
SupprimerCar l'agriculture c'est la nourriture ! On peut 'se passer' de pétrole, de gaz ou de charbon, mais on ne peut pas se passer des paysans !
Mais quand on voit les actions gouvernementales entreprises envers l'agriculture dans le monde... C'EST EFFRAYANT !
C'est la question aujourd'hui et c'est la mort pour demain !
"La demande de merde aléatoire a soudainement disparu, prenant tout le monde par surprise"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 JUIN 2022 - 11:45
Par Rachel Premack de FreightWaves
Au début de 2022, les choses étaient économiquement plutôt bonnes. Trop pêche, pourrait-on dire : les gens achetaient tellement de choses que nos ports et terminaux pouvaient à peine gérer le volume massif des importations. Les entreprises cherchaient désespérément quelqu'un, n'importe qui, pour venir travailler pour elles. Et les cinémas, bureaux, avions et autres lieux que beaucoup ont évités pendant la pandémie étaient sur le point de rebondir ; l'onde omicron est apparue douce par rapport aux épisodes précédents de coronavirus.
Les vibrations étaient bonnes. Maintenant, les vibrations sont complètement terribles.
De plus en plus de signes effrayants de récession apparaissent chaque jour, allant du refroidissement des mises en chantier à une faible croissance du PIB, le tout au milieu des taux de resserrement de la Fed. L'inflation record - en particulier pour le gaz - ne fait qu'ajouter aux prémonitions, comme Emily Stewart de Vox l'a écrit mercredi dans un article intitulé à juste titre "L'économie des mauvaises vibrations". Mais même si les choses vont mal, beaucoup doutent encore que nous nous dirigions vers une récession cette année, soulignant un chômage toujours bas et le fait que certains indicateurs, bien qu'ils ne soient pas aussi solides qu'au début de cette année, sont encore exceptionnellement sains.
Personne n'est choqué que ce qui monte doive descendre. Ce qui nous choque tous, c'est la rapidité avec laquelle la situation a changé.
Les indicateurs de transport maussades confirment les mauvaises vibrations
Un ralentissement, sinon une récession totale, est clair dans le monde des transports. Alors que le reste de l'économie se demande si les choses vont si mal, il est clair depuis des mois pour les prestataires logistiques que la situation s'est détériorée - et la vitesse de ce changement est toujours stupéfiante.
Le coût de déplacement d'un conteneur d'Asie vers un grand port d'Amérique du Nord ou d'Europe a chuté de 23 % depuis le début de cette année, selon le cabinet de recherche maritime Drewry. Les taux au comptant ont chuté encore plus rapidement ; marketplace Freightos a déclaré que les tarifs de la Chine vers la côte ouest étaient en baisse de 38% d'un mois sur l'autre. FreightWaves a prévu cette semaine que les volumes de transport maritime "tomberont d'une falaise" d'ici cet été, sur la base de la chute des réservations en provenance de Chine.
Les tarifs ponctuels des camionnettes dans le camionnage ont baissé de 31 % depuis le début de cette année, certains chauffeurs routiers signalant que la hausse du diesel et la chute des tarifs ont déjà nui à leur activité.
Même nos puissants chemins de fer signalent une baisse de 3 % des volumes depuis le début de l'année, avec seulement une augmentation des chargements de charbon, de produits chimiques et de « pierre, sable et gravier » (alias sable de fracturation).
Le recul des transports a été de plus en plus rapide que quiconque ne l'imaginait. Dans le monde océanique, les transporteurs ont déployé plus de navires que jamais auparavant, selon la société de recherche Sea-Intelligence. En mars, Sea-Intelligence prévoyait que les transporteurs augmenteraient leur capacité après le Nouvel An chinois de 20 % par rapport aux niveaux de 2019. Les services Asie-Côte Est devraient connaître une croissance fulgurante de 40 %.
RépondreSupprimerEt dans le camionnage, les petits transporteurs ont inondé le marché. Depuis le début de la pandémie, le nombre de camions disponibles pour transporter une charge a augmenté de 10 %.
Les transporteurs ont accumulé une capacité record pour déplacer des charges qui diminuent soudainement. Même si les volumes se contentaient de se stabiliser aux niveaux pré-pandémiques, plutôt que de s'effondrer à un volume de récession semblable à celui de 2008, les transporteurs seraient toujours en difficulté.
Et ce n'est pas une tendance exclusive au transport.
Les détaillants sont un peu gênés en ce moment
Walmart, Amazon, Home Depot, Best Buy et la plupart des autres détaillants ont leur propre inadéquation entre l'offre et la demande. Ils ont trop stocké l'année dernière. Maintenant, ils sont aux prises avec quelque chose appelé "gonflement des stocks". C'est encore plus douloureux que les ballonnements réguliers, j'imagine, si vous êtes actionnaire d'une grande entreprise de distribution.
Alors que nous achetions de plus en plus de merde, apparemment sans aucun égard pour nos économies en baisse, nos détaillants préférés faisaient tout pour obtenir plus de produits.
À un moment donné cette année, cependant, la soif d'acheter des choses s'est finalement étanchée. Certains d'entre nous ont été effrayés par l'inflation, d'autres ont été touchés par une lourde facture fiscale et d'autres encore ont décidé de dépenser leur argent apparemment illimité en voyages à l'étranger et en gastronomie. Ou une étrange combinaison des trois.
Les détaillants ne savaient pas que nous allions tous arrêter d'acheter voracement ce trimestre, apparemment. Ils ont tranquillement continué à accumuler leurs propres stocks, dont beaucoup étaient encore épuisés en 2020 et 2021. Et l'inquiétude suscitée par un autre cygne noir après des années de bizarreries - guerres commerciales, pandémie, etc. - a probablement poussé de nombreux gestionnaires de transport à continuer à commander des choses. Au cas où.
Les détaillants ont réalisé ce printemps qu'ils avaient trop accumulé. Amazon a déclaré lors d'un appel aux investisseurs en avril qu'il devait réduire ses activités après avoir doublé l'empreinte de son entrepôt. Bloomberg a rapporté des semaines plus tard que le méga-détaillant essayait discrètement de mettre fin ou de sous-louer au moins 10 millions de pieds carrés d'espace d'entrepôt. Ce fut une volte-face étonnante pour l'entreprise qui, selon de nombreux investisseurs, avait non seulement une croissance sans fin, mais aussi une machine logistique incomparable.
Ce n'est pas seulement l'espace d'entrepôt qu'Amazon a chargé - c'est tout ce qui se trouve dans les entrepôts. Selon les documents fédéraux concernant les trois premiers mois de 2022, la valeur des stocks totaux d'Amazon a augmenté de 47 % par rapport à la même période l'an dernier. Mais ses ventes nettes en Amérique du Nord n'ont augmenté que de 8 %.
RépondreSupprimerAmazon n'était pas le seul dans son rapport inconfortable du premier trimestre. L'inventaire de Walmart a bondi de 32% par rapport à l'année précédente, contre une augmentation de 4% des ventes. Les stocks de Best Buy ont augmenté de 9 %, tandis que les ventes ont diminué de 8 %.
- voir cadre sur site -
Target veut vraiment que vous achetiez un tas de téléviseurs et de chaises de jardin
Les principaux détaillants américains ont foiré, en particulier ceux qui se concentrent sur les biens durables plutôt que sur les produits d'épicerie. La plupart d'entre eux ont publié leurs rapports sur les bénéfices le mois dernier, ont vu les actions prendre une raclée et sont passés à autre chose.
Target a suivi cela au début. Son rapport sur les bénéfices du 18 mai n'a pas répondu aux attentes des investisseurs, avec une marge bénéficiaire prévue de 5,3 %. Les stocks excessifs d'appareils de cuisine et d'appareils électroniques étaient les principaux coupables. Son action a chuté de 25 %.
Ensuite, le méga-détaillant a fait quelque chose auquel personne ne s'attendait. Mardi, Target a déclaré aux investisseurs qu'il prévoyait une marge bénéficiaire de plus d'environ 2 %. Cela réduirait les prix de certains produits et annulerait les commandes entrantes. Il est très inhabituel pour une entreprise de réduire ses attentes en matière de bénéfices dans les semaines suivant son rapport sur les résultats.
Target a déclaré dans son communiqué de presse de mardi que la réduction des bénéfices découlait d'un besoin de «rajuster» les stocks. Les gens n'achètent pas des articles comme des téléviseurs, des meubles d'extérieur et des appareils de cuisine comme ils l'étaient l'année dernière. Ce sont quelques-uns des articles délicats et volumineux que Target a payé cher pour faire venir d'Asie en 2021, au milieu de tarifs d'expédition record.
Tout cela mène à ce que Madeline Halpert de Forbes a appelé la « manie du démarquage », et pas seulement chez Target. Gap vend des leggings à 60 $ pour seulement 12 $. Target vend des téléviseurs à 25 % de réduction et des ensembles de patio à 52 %. Au total, les actions des biens de consommation de base ont chuté d'environ 9 % par rapport aux sommets de la mi-avril, tandis que les actions de la consommation discrétionnaire ont baissé d'environ 20 % au cours de la même période.
Peu d'entre nous dans le monde de la logistique ont été surpris. Après tout, si les camions et les navires transportent moins de marchandises, c'est un signe que les consommateurs n'achètent pas autant et que les fabricants ont réduit leur production.
RépondreSupprimerParfois, il peut être difficile pour nous, qui peinons dans la logistique, d'attirer l'attention de grands économistes et commerçants. Même si j'écris sur les entreprises qui transportent tout ce que nous mangeons, portons, buvons et la plupart des autres verbes auxquels vous pourriez penser, on me dit toujours que je couvre une industrie de niche. Le ralentissement en cours dans le camionnage semble n'affecter que les camionneurs - sans parler du fait qu'une récession du camionnage a précédé presque toutes les récessions depuis les années 1970, selon les recherches de la société de courtage de fret Convoy.
La demande de conneries aléatoires a soudainement disparu, prenant tout le monde par surprise
Comme mon collègue Mark Solomon l'a écrit le mois dernier à propos de cette "gonflement des stocks", il est difficile de prévoir la demande, même si vous êtes l'un des plus grands détaillants au monde. Nous pouvons revenir à cette mesure clé des ratios des stocks aux ventes, que, commodément, le gouvernement fédéral suit.
Nous n'aimons généralement pas un ratio stocks/ventes trop élevé - cela indique que les gens n'ont pas l'argent pour acheter des choses. Mais s'il est trop bas, comme ce fut le cas pendant une grande partie de 2020 et 2021, cela signifie qu'il n'y a rien à acheter. Voir: La «pénurie de tout» qui a dominé les gros titres l'année dernière.
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Comme vous pouvez le constater, le ratio des stocks aux ventes est encore très faible, même s'il remonte légèrement depuis le creux de l'an dernier. Cela donne du crédit à certains qui soutiennent qu'une récession n'est pas dans les cartes pour cette année et pourrait expliquer pourquoi la National Retail Federation a déclaré mercredi qu'elle s'attendait à ce que le volume des ports corresponde à peu près aux chiffres fous observés en 2021. (Les propres recherches de FreightWaves , auquel les analystes de JPMorgan ont prêté foi dans une note de mercredi aux investisseurs, contredit cela.)
Le ratio est plus marqué quand on regarde les principaux biens de consommation, comme l'a rapporté Solomon :
Les meubles, les articles d'ameublement et les appareils électroménagers, les matériaux de construction et l'équipement de jardin, ainsi qu'une catégorie connue sous le nom d'"autres marchandises générales", qui comprend Walmart et Target, entre autres, ont déclaré des ratios stocks/ventes plus élevés, selon les données gouvernementales analysées par l'État du Michigan.
Pour ces derniers secteurs, le changement s'est produit rapidement, selon Jason Miller, professeur de logistique au Eli Broad College of Business de MSU. En novembre, les ratios des stocks aux ventes étaient aux niveaux d'avant le COVID, a déclaré Miller. Ils ont depuis explosé vers le haut.
RépondreSupprimerPour terminer, je voudrais souligner que les vibrations sont brusquement éteintes et que personne ne sait vraiment ce qui se passe. Mes collègues qui sont allés à la conférence Gartner sur la chaîne d'approvisionnement en Floride cette semaine ont constaté que les dirigeants étaient confus et ne se sentaient pas très enthousiastes. Les gestionnaires de transport ont annulé des commandes au début de 2020 en prédisant une récession, puis ont constaté que leur précipitation a laissé les étagères vides et les consommateurs furieux. Maintenant qu'ils se sont reconstitués, les clients n'achètent plus et leurs bilans sont détruits.
Le coup de fouet est déconcertant.
https://www.zerohedge.com/markets/demand-random-crap-suddenly-vanished-taking-everyone-surprise
Un important producteur de lithium pourrait fermer une usine allemande en raison de la règle de l'UE
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 10 JUIN 2022 - 09:30
Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
Le producteur de lithium Albemarle pourrait être contraint de fermer son usine en Allemagne si l'Union européenne classe le lithium minéral clé comme une substance dangereuse qui changerait la façon dont le lithium est traité et stocké, a déclaré à Reuters le directeur financier de la société.
La Commission européenne examine et évalue actuellement une proposition de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) visant à classer le carbonate de lithium, le chlorure de lithium et l'hydroxyde de lithium comme substances dangereuses pour la santé humaine. Un comité de l'UE se réunit au début du mois prochain pour discuter de la proposition, tandis qu'une décision finale sur la question est attendue vers la fin de cette année ou au début de l'année prochaine.
Si l'UE décidait d'inclure les produits chimiques au lithium dans la catégorie des produits dangereux, elle porterait un coup à ses propres objectifs de devenir autosuffisante en batteries cette décennie et augmenterait considérablement la part des véhicules électriques sur les routes.
La décision modifierait la façon dont les producteurs et les transformateurs de lithium travaillent et augmentera les coûts de leurs opérations.
Dans le cas d'Albemarle, la société "ne serait plus en mesure d'importer notre matière première principale, le chlorure de lithium, mettant l'ensemble de l'installation (Langelsheim) en danger de fermeture", a déclaré le PDG Scott Tozier à Reuters dans un communiqué envoyé par courrier électronique.
Albemarle transforme des produits au lithium dans son usine de Langelsheim en Allemagne, qui emploie environ 550 personnes.
Albemarle subirait un coup financier s'il devait fermer l'usine allemande.
"Avec des ventes d'environ 500 millions de dollars par an, l'impact économique sur Albemarle de la fermeture potentielle serait important", a déclaré le PDG de la société à Reuters.
L'UE devrait répondre à 69 % et 89 % de sa demande croissante de batteries d'ici 2025 et 2030, respectivement, a déclaré la Commission européenne plus tôt cette année. L'UE s'attend à être capable de produire des batteries pour jusqu'à 11 millions de voitures par an, a-t-il ajouté.
https://www.zerohedge.com/commodities/major-lithium-producer-could-shut-german-plant-over-eu-rule
L'Amérique plonge dans le tiers monde alors que la police manque de carburant et dit qu'elle ne répondra pas aux appels au 911 à cause des prix de l'essence
RépondreSupprimerVendredi 10 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Grâce aux politiques économiques destructrices du régime Biden qui ont entraîné une inflation record, le département du shérif du comté d'Isabella dans le Michigan a annoncé qu'il n'avait plus les ressources disponibles pour répondre aux appels au 911 en raison des coûts de carburant.
La moyenne actuelle du prix du gaz en Amérique oscille autour de 5 $ et augmente, et est légèrement plus élevée en moyenne dans le Michigan. Pour cette raison, le département du shérif du comté d'Isabella a déjà «explosé [leur] budget de carburant» et devra répondre à certains appels au 911 par téléphone plutôt que de se présenter en personne.
Dans quelques mois, lorsqu'un nouveau budget de carburant sera adopté, peut-être que le comté d'Isabella recevra les ressources dont il a besoin pour faire face aux urgences de manière appropriée. Mais jusque-là, les habitants de la région devront se débrouiller seuls - ou peut-être se réveiller et exiger que le régime d'occupation cesse de détruire le pays.
La vidéo ci-dessous explique plus en détail la situation actuelle dans le Michigan et son impact sur les résidents locaux :
L'Amérique devient rapidement le pays de l'anarchie endémique
Ce n'est que le début de ce que le régime de Biden réserve à ce pays, soit dit en passant. Cela commence par un comté, suivi d'un autre comté jusqu'à ce que finalement, tout le pays ne soit plus fonctionnel.
Lorsque la situation devient intenable, alors et seulement alors les tyrans qui ont tout causé en premier lieu interviendront soudainement en tant que sauveurs avec leur solution planifiée au problème : un nouvel ordre mondial.
Certains pays du tiers monde comme le Sri Lanka voient déjà l'enfer se dérouler en raison de la crise économique actuelle. Les États-Unis finiront par les rattraper.
Nous en voyons déjà un avant-goût dans le Michigan, et les choses ne sont même pas si mauvaises. Attendez simplement que l'Américain moyen ne puisse plus se permettre de conduire, ou que les camions de livraison cessent d'arriver dans les épiceries parce qu'ils n'ont pas les moyens de faire le plein de diesel.
Blâmer uniquement Biden et son régime serait cependant une erreur, car tout le système économique du pays a été corrompu il y a longtemps, ce qui lui a permis d'exploser comme un ballon. C'est de là que vient le terme de « toute bulle », car il décrit des politiques économiques inflationnistes qui, à un moment donné, doivent éclater.
À l'heure actuelle, les États-Unis entrent dans ce qui semble être une phase hyperinflationniste, qui sera suivie d'un effondrement du système de monnaie fiduciaire et de la désintégration de l'économie telle que nous la connaissons actuellement.
RépondreSupprimer"Quel bon moment pour être un criminel en Amérique", a écrit quelqu'un à The Gateway Pundit sur la façon dont l'anarchie envahit le pays à une vitesse vertigineuse.
"La police de Seattle n'enquête pas sur les agressions sexuelles, ce comté dans l'histoire peut ne pas répondre à votre appel au 911, San Francisco (et la plupart des autres grandes villes) sont une bonne source de biens que vous pouvez obtenir gratuitement et vendre sur eBay. Pas étonnant que personne ne travaille… vous n'avez pas à pointer pour ces smash and grabs… vous pouvez les faire selon votre propre horaire.
Un autre a écrit qu'à Washington, il est désormais illégal pour les policiers de poursuivre quiconque qu'ils croient être un criminel à moins qu'ils n'aient des raisons probables de croire qu'un crime a été commis.
"Cette norme est beaucoup plus stricte que la norme de suspicion raisonnable et signifie à peu près que si un flic n'est pas réellement témoin d'un crime, il ne peut pas poursuivre un suspect", a ajouté cette personne.
Alors que le régime Biden continue de détruire l'Amérique de l'intérieur, vous pouvez vous tenir au courant des dernières nouvelles sur Collapse.news.
Les sources comprennent :
TheGatewayPundit.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-10-america-third-world-police-unable-respond-911-gas-prices.html
Myrrha : un (autre) regard sur le nucléaire
RépondreSupprimerPrésentation du livre Myrrha, un (autre) regard sur le nucléaire écrit par J-P. Poncelet, H.A.Abderrahim.
le 11 juin 2022
Claude Brasseur
L’énergie nucléaire civile est – et de très loin – celle qui a causé le moins d’inconvénients et pratiquement pas de décès dans l’histoire des énergies. Charbon, lignite, bois… ont créé et créent encore des pollutions terribles, des accidents mortels. Quand il s’agit du nucléaire, on ne nous parle que de Tchernobyl ou de Fukushima.
Tchernobyl est une centrale nucléaire de production de plutonium pur militaire et n’a de civil que sa production d’électricité. Cette électricité n’était rien d’autre qu’un sous-produit, le modérateur était du graphite, c’est-à-dire du carbone combustible, et nous savons ce qui est arrivé…
En cette matière, le seul problème du nucléaire est que chaque pays a ses propres normes. Alors que l’Europe impose des normes européennes pour tout, qu’un avion agréé par la FAA des USA peut voler partout, mille litiges peuvent naître pour le nucléaire puisque chaque pays a ses propres normes… Nous devons savoir qu’à Fukushima le tsunami a tué, non la centrale. La terreur nucléaire allemande qui gangrène l’Europe provient du temps de la guerre froide où un stock gigantesque d’armes nucléaires pointait d’une partie de l’Allemagne vers l’autre : l’horreur absolue !
Par ailleurs, le charbon produit depuis 50 ans un kWh encore un peu moins cher que le nucléaire. Les auteurs insistent sur un trait important de notre économie : plus rien ne se fait sans « aide de l’État », primes, subventions, suppression d’impôts, obligations etc. ce qui fausse tous les mécanismes jusqu’à l’absurde. L’adage « que le meilleur gagne » a disparu. Tout est faussé ! La privatisation promue par l’Europe est un leurre total. Presque rien du prix de vente du kWh n’est dû à son prix de production et de distribution….
Examinons les déchets nucléaires
Le nucléaire – qui suppose, jusqu’à ce jour, des investissements lourds amortis sur la durée – est totalement handicapé, même s’il produit un kWh bon marché. Et il y a pire : il crée des déchets radioactifs que ses adversaires mettent en vedette. Examinons ces déchets de près. Il s’agit de peu de chose car la plupart d’entre eux non seulement occupent un volume ridicule mais disparaissent en 300 ans. Mieux : 96 % des « déchets » sont le carburant des centrales du futur (l’uranium 238 et le plutonium 239).
Cependant, il est vrai que l’homme a créé des déchets à longue durée de vie, les actinides mineurs. Que faire d’eux si on ne veut pas devoir stocker ces quelques mètres cubes pour des millions d’années ? C’est là qu’intervient le réacteur de recherche et applications MYRRHA. Il est en mesure de fissionner les actinides et réduire leur durée de vie, d’éliminer ainsi le dernier obstacle réel à l’usage du nucléaire. Ce même réacteur est aussi chargé d’améliorer et d’amplifier la production d’isotopes médicaux et industriels.
La plupart des pays s’organisent pour développer l’énergie nucléaire, la Chine en tête, et il faut espérer que l’Europe rejoindra les rangs des nations accessibles à la logique : le nucléaire est la source d’énergie la plus propre, la plus durable, à la longue la moins chère et la moins dangereuse de toutes !
Le livre présenté ici concerne des personnes compétentes en physique nucléaire. Elles ne pourront que, comme moi, être convaincues de l’intérêt de MYRRHA, des centrales nucléaires civiles. Les personnes curieuses, s’intéressant à l’avenir et ne voulant pas voir notre pays ruiné par des énergies hyper coûteuses et rarement propres, dangereuses à produire, trop souvent intermittentes, auront intérêt à lire le livre de Fabien Bouglé, Nucléaire, les vérités cachées. C’est un des rares textes de vulgarisation où le physicien nucléaire que je suis n’a pas vu d’erreurs grossières, d’opinions sans fondement.
RépondreSupprimerJ-P. Poncelet, H.A.Abderrahim, Myrrha,un (autre) regard sur le nucléaire, Académie Royale de Belgique, mars 2021.
https://www.contrepoints.org/2022/06/11/432478-myrrha-un-autre-regard-sur-le-nucleaire
Esclandre à Stockholm : quand Hayek recevait son prix Nobel il y a 40 ans
RépondreSupprimerFriedrich Hayek et Gunnar Myrdal ont reçu leur prix Nobel d’économie en 1974, il y a tout juste 48 ans. Chez eux, tout s’opposait : leurs personnalités et leurs convictions.
le 11 juin 2022
Par Jean-Philippe Bidault.
Extrait de Si l’argent m’était conté…, 2012.
À Stockholm, la nuit est descendue depuis plusieurs heures. Le personnel s’affaire encore dans la salle bleue de l’Hôtel de ville alors qu’arrivent les premiers invités.
Un homme à l’allure juvénile — on lui donne moins de trente ans — les accueille. Grand, droit, en habit, l’ordre du Séraphin en écharpe, et à la boutonnière celui de l’Étoile polaire, il s’apprête à serrer mille trois cents mains. Il se livre à l’exercice pour la deuxième fois. Un an plus tôt, sans entraînement, il lui avait fallu près d’une heure et demie. Cette fois, le chambellan lui a demandé d’essayer de tenir en une heure. Une poignée toutes les trois secondes. Pas facile, surtout avec ces femmes qui, se croyant à Londres, pensent bien faire en esquissant une révérence à leur façon. Mais Charles Gustave, sportif passionné, veut relever le défi.
Malgré le rythme soutenu, le jeune roi de Suède a un mot pour chacun. Avec certains, il s’attarde un peu plus. Soudain, au moment de passer devant sa Majesté, le ton monte, en anglais, entre deux femmes. Leurs maris ont beau essayer de les calmer, rien n’y fait. Perçant le brouhaha du Stadshus1, des mots éclatent tels des pétards malvenus : me first, shame on you, fascist, socialist, Pinochet… Puis, de guerre lasse, une femme dit à l’autre : Go on, have another opportunity.
Le chef du protocole a vu l’incident. Il fera le nécessaire pour que la presse n’en parle pas (aujourd’hui encore, l’affaire reste inconnue hors du cercle de ceux qui l’ont observée). D’un simple geste, inaperçu mais efficace, le maître de la cérémonie interpelle l’un des deux cents étudiants en gants blancs qui aident au service. Après un bref conciliabule, le garçon se précipite dans la salle bleue où sont dressées les tables du dîner. En moins d’une minute, quatre étiquettes changent de place devant les couverts.
Nous sommes le 10 décembre 1974, en pleine cérémonie de remise des prix Nobel. En sciences économiques, il est décerné conjointement à deux personnalités : Gunnar Myrdal et Friedrich Hayek2. Les deux femmes septuagénaires, l’une et l’autre encore belles, par qui le scandale est arrivé, sont leurs épouses. Alva Reimer Myrdal aura bien l’occasion de serrer une main royale. Huit ans plus tard, à Oslo, elle recevra d’Olav de Norvège sa propre distinction, le prix Nobel de la paix.
Jamais on n’a su pourquoi Helene Hayek3 avait haussé le ton. Il se dit que cette épouse dominatrice voulait être la première à saluer le roi pour symboliser, aux yeux du monde, la supériorité des thèses de son mari sur celles de Myrdal. Car tout opposait, cette année-là, sur le plan théorique les deux lauréats.
* *
RépondreSupprimerLe banquet
Les couples Hayek et Myrdal étaient antisymétriques. Chez les Hayek, Friedrich était aussi conciliant que sa femme était agressive. Chez les Myrdal, Alva, diplomate de profession, l’était aussi dans sa vie privée tandis que son mari Gunnar méprisait volontiers qui ne pensait pas comme lui.
Le banquet qui suivit est resté célèbre. Mécontent de partager son prix avec un homme dont il déplorait la philosophie économique, Myrdal, bien qu’il fût chez lui, n’y prit pas la parole. Hayek, quant à lui, s’amusa à cultiver le paradoxe. Il déclara que, s’il n’avait tenu qu’à lui, jamais le prix Nobel d’économie n’aurait été créé, tant l’économie lui paraissait empirique et mal mériter le nom de science. « Mais le comité du Nobel a brillamment calmé mon inquiétude, plaisanta-t-il, en désignant à mon côté un homme tout aussi peu conventionnel que moi. »
À défaut d’être présente cette année-là en la personne des lauréats, la France était à l’honneur par ses vins. On servit d’abord un saumon fumé à chaud, sauce hollandaise, suivi d’un cuissot de chevreuil rôti, sauce genièvre et salade. Sorbet à l’orange en dessert. Krug Cuvée privée et Château Landereau 1970. Cognac Renault Carte Noire Extra. Liqueur Bénédictine.
Au moment de quitter l’Hôtel de ville, une main invisible plaça à nouveau côte à côte les Hayek et les Myrdal, sous le contrôle vigilant du professeur Erik Lundberg4. Plus tôt dans la journée, il avait eu la délicate responsabilité de prononcer d’un même élan l’éloge des deux récipiendaires. Aucun ne l’en blâma et Lundberg estima s’être bien tiré de l’exercice. Profitant de la bonne humeur revenue au cours du dîner, le professeur aurait proposé, dit-on, à ses deux collègues un tour dans les tavernes du vieux Stockholm, cependant que sa femme raccompagnerait leurs épouses.
* *
Échanges de points de vue
On ne peut que supposer ce que Friedrich Hayek et Gunnar Myrdal se dirent cette nuit-là. Ni l’un ni l’autre n’y fit jamais allusion. Comme si un pacte les liait. Leurs interventions ultérieures5 et les commentaires de leurs épigones nous ont permis de reconstituer ce que dut être leur conversation.
— Malgré ma sympathie pour l’unification économique européenne, j’ai de sérieux doutes sur la possibilité d’y parvenir en libérant la circulation de l’argent, lança Hayek, déjà informé des décisions du Sommet de Paris.
— Un objectif très lointain en effet, acquiesça Lundberg pour amorcer la conversation.
— Ne nous y trompons pas : au-delà de l’eau tiède de leur communiqué officiel, c’est vers une monnaie commune que vont s’orienter les Neuf et ceux qui les rejoindront ensuite. Avec, c’est sûr, un jour une autorité supra-nationale pour la contrôler. Demain l’Europe risque d’être un vaste État providence. Et après-demain, assurément, une terre de servitude6.
— Pour ce qui est de la servitude, vos amis chiliens en imposent7, rétorqua Myrdal.
— Arrêtez, je vous prie, de caricaturer ma pensée, poursuivit Hayek. Moi qui ai dû renoncer à ma patrie devant l’hitlérisme, je n’ai pas de leçon de démocratie à recevoir, surtout venant d’un Suédois. On peut parler de la neutralité suédoise si vous insistez…
— Messieurs, messieurs, un peu de hauteur ! risqua Lundberg.
— Il est peu probable que les pays de la Communauté se mettent un jour d’accord sur la politique économique à mener. Mais, à supposer qu’ils y parviennent, rien ne dit qu’ils seront plus efficaces ensemble que séparément, enchaîna Hayek.
— Mais ils n’ont pas le choix. Les États ne sont pas responsables de la fin de ces marchés libres mythiques auxquels vous tenez tant, hasarda le Suédois.
RépondreSupprimer— Non seulement une monnaie européenne unique ne serait pas mieux gérée que les monnaies nationales, mais à bien des égards elle serait même pire, insista l’ancien de l’École de Vienne. L’idéologie constructiviste de vos amis socialistes créera, c’est certain, une banque centrale européenne pour gérer son édifice. Et ce sera le début de la fin. Au lieu du socialisme, vous gagnerez le fascisme !
— Il faut bien un arbitre pour que nul ne puisse indûment exploiter les autres par sa position de pouvoir dans le marché. Cet arbitre, c’est l’État, ou la Banque centrale, se défendit Myrdal.
— Vous ne comprenez donc pas que les prix sont la meilleure représentation de l’information disponible sur les vrais coûts de production et la situation de la demande ! Seule une monnaie fluide, libre en somme, permet aux prix d’exprimer leur vérité. Si l’État s’en mêle, ou pire une Banque centrale, ils cessent de jouer ce rôle, décréta l’Autrichien. Laissez donc les monnaies nationales en concurrence. Peut-être une monnaie commune serait-elle utile en Europe, pour des raisons pratiques, mais une monnaie unique, assurément pas !
— Impossible de revenir à cette monnaie primitive que vous décrivez là ! À force d’éducation et d’information, les gens sont devenus plus rationnels, rappela Myrdal.
— Je n’ai rien contre l’amélioration du niveau culturel des peuples. Bien au contraire, cela me semble devoir être l’une des rares missions de l’État. Mais attention à ne pas faire jouer à l’argent un rôle qui dépasse sa fonction naturelle, mit en garde Hayek. L’argent doit rester un moyen et non devenir une marchandise. Il ne fait que permettre de classer la valeur des choses. Subjectivement. Rien de plus.
— Votre libéralisme vous aveugle. L’argent-roi, sans contrôle, c’est l’appauvrissement garanti.
— Et l’injection de monnaie dans le circuit économique à tout va ? Avec vos recettes keynésiennes surannées, vous perturbez la perception des prix qu’ont les acteurs. Continuez de confondre contrôle budgétaire et politique monétaire, vous obtiendrez l’effet inverse de celui que vous recherchez : inflation, dépression et chômage.
— N’insultez pas Keynes, je vous prie. D’ailleurs, il ne vous tenait pas en grande estime…
— Au moins, moi je l’ai rencontré !
— Allons, Messieurs, vous vous égarez à nouveau. Je ne retrouve plus ce soir ceux que la Banque de Suède a désignés cette année pour « leur travail de pionniers dans la théorie de la monnaie et les fluctuations économiques et pour leur analyse pénétrante de l’interdépendance des phénomènes économiques, sociaux et institutionnels », se sentit obligé de préciser le professeur Lundberg.
— Je ne comprends décidément pas pourquoi vous avez créé ce faux prix Nobel pour ces faux chercheurs que sont les économistes, répéta Hayek, comme il l’avait, avec moins de violence, déjà dit pendant le banquet.
— Quand je vois qu’on le donne à des gens comme vous, je dois dire que je regrette d’avoir soutenu sa création ! conclut Myrdal, à nouveau de fort méchante humeur.
Malgré les efforts de Lundberg, la tension ne retomba pas entre les deux hommes. Entre l’élève de von Mises8, pour qui l’argent n’était qu’un mal nécessaire, et l’émule de Keynes qui voyait dans la monnaie le grain dont se nourrit l’économie réelle, aucun accord n’était possible.
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L’école de Vienne
La capitale autrichienne n’a pas seulement donné au monde les racines du mouvement psychanalytique. La Vienne de la Belle Époque est aussi le creuset d’une branche de la pensée économique dont on retrouve aujourd’hui encore les traces des deux côtés de l’Atlantique. Les économistes allemands ont donné le nom d’École autrichienne — ou de Vienne — à ce mouvement initié par Carl Menger (1840-1921) et poursuivi, d’abord en Autriche, puis après l’Anschluss en Grande-Bretagne et aux États-Unis, par Ludwig von Mises, Friedrich Hayek, et de nombreux autres. L’École de Vienne est aussi parfois dite « psychologique » ou « libérale ».
Psychologique, elle l’est par méthode. C’est dans les mécanismes intimes des choix individuels que les Autrichiens recherchent les fondements des lois économiques. Cette approche qu’on dirait aujourd’hui bottom-up amène l’École de Vienne à remettre en cause le regard néoclassique sur le rôle des prix, la fonction du marché et le statut de la monnaie. Là où la pensée néoclassique part à la recherche d’agrégats objectifs, les tenants de l’École de Vienne se contentent d’étudier les comportements subjectifs de chacun des agents.
Récusant la distinction entre macro-économie et micro-économie, les héritiers de Menger estiment que le seul objectif, nécessaire et suffisant, de la politique économique doit être de préserver le libre choix des agents. Pour l’École de Vienne, une intervention de l’État qui irait au-delà de cette limite compromettrait non seulement les décisions personnelles des acteurs économiques, mais à terme les libertés publiques elles-mêmes. L’École de Vienne est dite aussi libérale, parce qu’elle défend l’idée qu’un marché fluide, où l’offre et la demande des individus se rencontrent le plus librement possible, se rapproche de l’optimum de satisfaction des agents.
L’École de Vienne a inspiré les politiques de dérèglementation des trente dernières années. Outre son mécanisme inégalitaire et son absence de projet de redistribution, les détracteurs de l’École autrichienne lui reprochent l’instabilité du système économique qui découlerait de la mise en œuvre de ses recommandations. Les Autrichiens rétorquent que, dans leur dispositif, les équilibres se renouvellent régulièrement et automatiquement, alors qu’avec les politiques interventionnistes de type keynésien ils se rétablissent par des crises majeures, tant économiques que politiques.
Article publié initialement le 10 décembre 2014.
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RépondreSupprimerLire aussi : Prix Nobel d’économie : 40 ans après, Hayek et la monnaie
Hôtel de ville ↩
Friedrich Hayek est né Friedrich August von Hayek. Les Anglo-Saxons et les commentateurs de langue allemande utilisent son état-civil complet. En français, il est d’usage de se limiter à Friedrich Hayek. ↩
Helene Bitterlich (1900-1996) a épousé en 1950 son cousin Friedrich Hayek (1899-1992), prix Nobel d’économie en 1974, aux côtés de Gunnar Myrdal. Helene et Friedrich se sont connus à Vienne vers 1920. Quoique amoureux, ils se sont mariés chacun de leur côté. Au moment de l’Anschluss, Hayek se trouve en Grande-Bretagne et refuse de retourner en Autriche. Il devient citoyen britannique et se partage entre le Royaume-Uni et les États-Unis. De passage en Autriche après la guerre, Friedrich retrouve Helene qui lui apprend son divorce. L’idylle se renoue. Hayek divorce à son tour, difficilement — il est contraint de partir divorcer dans l’Arkansas où les lois sont souples —, pour épouser Helene. Ses collègues de la London School of Economics lui reprocheront de s’être mal conduit avec sa première épouse. Selon les amis britanniques de l’économiste, au cours des quelque quarante années qu’elle passera aux côtés de son second mari, Helene Bitterlich imposera dans le couple un petticoat goveretment (gouvernement du jupon), expression utilisée par les Anglais pour dire que la femme porte la culotte. ↩
Erik Filip Lundberg (1907-1987). Économiste suédois, membre du comité de sélection du prix Nobel d’économie. ↩
D’après, notamment, le discours de Hayek à l’occasion de la remise de son prix Nobel, et celui de Myrdal, en l’honneur d’Alfred Nobel, un an après. ↩
Dans La route de la servitude, son maitre-ouvrage paru en 1944, Friedrich Hayek, soutient que l’interventionnisme de l’État, en matière de redistribution sociale et de contrôle des marchés, empiète sur les libertés et conduit au totalitarisme. ↩
Le coup d’État des militaires chiliens a eu lieu le 11 septembre 1973. Hayek ne le désapprouvera pas clairement. ↩
Ludwig von Mises (1881-1973), économiste autrichien puis américain, l’un des représentants les plus éminents de l’École de Vienne. ↩
https://www.contrepoints.org/2022/06/11/164266-esclandre-a-stockholm-quand-hayek-recevait-son-prix-nobel-il-y-a-40-ans