- ENTREE de SECOURS -



vendredi 17 juin 2022

Révélation de l’ex vice-président de Pfizer : “le vaccin sert à contrôler les gens et imposer une identité numérique mondiale”

 

By Cheikh Dieng 

17 juin 2022


Interrogé par le média The Epoch Times, Michael Yeadon, ex haut fonctionnaire chez Pfizer, fait une révélation explosive sur la volonté des gouvernements du monde entier de vouloir vacciner les citoyens à tout prix

Les théories complotistes sont un danger qu’il urge de combattre avec la dernière énergie. On n’en disconvient pas. Cependant, quand les arguments viennent d’un ex haut fonctionnaire de Pfizer, leur prêter attention devient presque une obligation. Et l’homme qui parle ici n’est autre Michael Yeadon, ex vice-président de Pfizer.

Très souvent traité de complotiste, l’ex cadre de l’un des plus grands laboratoires du monde a, une nouvelle fois, frappé très fort en faisant une énième révélation de taille sur le Covid, dans une interview accordée au média The Epoch Times. En effet, interrogé par ce média, Michael Yeadon ne mâche pas ses mots. Pour lui, les confinements, les obligations de port du masque et les obligations vaccinales ne sont pas des mesures sanitaires, mais plutôt une façon de mener les peuples vers l’identité et la monnaie numériques.

“Il y a une grande campagne au niveau mondial pour convaincre les peuples qu’il y a une menace sanitaire afin de les pousser à se soumettre à des mesures économiques désastreuses et les traquer par la vaccination. Et je pense qu’il s’agit finalement de les contrôler”, révèle-t-il.

Michael Yeadon s’indigne que les gouvernements imposent le vaccin à leurs citoyens.  “J’ai travaillé dans les laboratoires pendant 34 ans. La sécurité (des vaccins, ndlr) est plus importante que l’efficacité. Pourquoi ? Parce que vous allez les donner à beaucoup de personnes”, explique-t-il.

Et d’ajouter : “donc, si vous n’êtes vraiment, vraiment pas sûr de la sécurité, vous pouvez facilement faire mal à plus de personnes que vous pouviez en sauver. Ce serait en fait le cas deux fois en utilisant une nouvelle technologie”. Pour rappel, Michael Yeadon a travaillé chez Pfizer pendant 17 ans. Il a quitté la boîte en 2011 pour cocréer Ziarco, un labo racheté en 2017 par Novartis.

Il s’est fait connaître en décembre 2020, date à laquelle il a corédigé une pétition avec Wolfgang Wodard, ex cadre du Conseil de l’Europe en charge des questions sanitaires. Les deux exigeaient de l’Agence Européenne des Médicaments (AEM) qu’elle suspende la vaccination pour des raisons de sécurité.

https://lecourrier-du-soir.com/revelation-de-lex-vice-president-de-pfizer-le-vaccin-sert-a-controler-les-gens-et-imposer-une-identite-numerique-mondiale/

60 commentaires:

  1. Les Français sont atteints du syndrome de Stockholm. Informons-les !


    Par Dre Nicole Delépine
    Mondialisation.ca,
    15 juin 2022


    La France n’est pas sortie de la sidération de la peur (du virus, de la guerre, puis d’un autre virus). Elle est donc toujours sous emprise et dénigre ceux qui tentent de la sortir du gouffre comme Mme la Dr Wonner, une des seules députées à avoir défendu le peuple à l’assemblée et qui en est exclue.

    Le premier tour des législatives a cruellement démontré que la France est encore hors sol, loin des problèmes concrets qui perturbent son quotidien. Elle est toujours dans sa bulle organisée par la clique de Davos et les médias aux ordres des milliardaires comme Bill Gates.

    Les pseudo campagnes électorales pré-présidentielle et pré-législatives avaient déjà démontré la capacité du pouvoir en place de jouer le scénario « gare aux extrêmes ». Ce serait drôle si ce n’était pas si tragique. Transformer Marine maintenant normalisée[1], et devenue opposante ( ?) contrôlée comme son débat avec E. M l’a démontré (pas une question qui pourrait fâcher) en épouvantail fasciste, ça relève de l’exploit.

    Et cette semaine, diaboliser à son tour la NUPES qui a fait élire E.M. (en le préférant à Marine) relève du cynisme politique bien compris. Chapeau l’artiste.

    Bref nous sommes loin d’une vraie campagne, de choix politiques, de débat d’idées, de projets pour la France. Marie-Estelle Dupont commentant cet épouvantable crime commis par un enfant de 14 ans explique que la raréfaction du langage (via les écrans depuis au moins deux décennies et aggravée par le confinement de fait depuis deux ans), ne permet plus aux émotions de s’exprimer et d’évacuer les sentiments ni en particulier la violence. Et cette violence peut alors s’exprimer de la façon la plus épouvantable.

    Les Français sont inquiets et frustrés comme rarement auparavant. En l’absence de toute expression dans les urnes dont témoigne l’abstention toujours plus importante, on peut craindre aussi des explosions de violence.

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  2. En matière de campagne électorale, le langage paraît perdu aussi, et les débatteurs ne discutent que d’un même problème de soir en soir, avec les mêmes mots et très peu de réflexions (par exemple Damien Abad, en passe d’ailleurs d’être réélu, puis les mensonges de Darmanin, etc.).

    Nous avons arrêté de penser, sur ordre – via la pensée unique, la censure, puis l’autocensure, par crainte d’être sanctionné si on se permet une phrase hérétique y compris dans les familles. Pour éviter les ruptures, pour éviter d’être exclu du groupe. Mais existe-t-il encore des relations humaines authentiques dans le non-dit permanent ?

    ET L’OBLIGATION VACCINALE ?

    En dehors du pouvoir d’achat que les politiques et journalistes voudraient imposer comme seul sujet, ceux de l’obligation vaccinale, de la suspension des soignants et des pompiers vaccino prudents , de la persistance du pass qui empêche les familles d’accompagner leurs malades, du vide hospitalier et des déserts médicaux, de la solitude et de l’abandon des résidents d’EHPAD en sont d’autres qui impactent lourdement la vie quotidienne, mais qui ont été complètement abandonnés, censurés, oubliés, cachés.

    Combien de Français craignent une obligation de l’injection expérimentale chez les enfants y compris les plus petits à la rentrée ? Même s’ils tentent de faire l’autruche, de penser aux vacances, d’oublier « tout ça », ils savent et connaissent déjà un minimum de risques, les problèmes menstruels étant les plus évidents, ainsi que la perte de mémoire du grand-père (… mais il est vieux …). Les crises cardiaques des sportifs et des pilotes, les accidents post injections de Céline Dion et de Bieber en ont bien inquiété quelques-uns, mais on passe vite à autre chose. Quant aux AVC ou infarctus chez des amis, ce n’est vraiment pas de chance.

    LA SANTÉ OUBLIÉE

    On s’était désolé que ce sujet ne soit pas apparu au premier plan des programmes des candidats à l’heure où la crainte de fermeture des urgences en été se renforce. Mais il faut avouer qu’aucun parti (de l’extrême droite à l’extrême gauche comme dirait E.M, pourtant tous jumeaux ) n’en a fait un sujet prioritaire, et c’est désolant.

    Moralité, nous sommes dévastés, choqués de découvrir l’élimination au premier tour des seuls défenseurs de votre santé, de votre patrimoine génétique, de la fertilité de la jeunesse, etc. et de leurs scores très faibles (Martine Wonner, Nicolas Dupont Aignan, Florian Philippot par exemple).

    Et pendant ce temps-là, O. Véran – celui qui a interdit de soigner par les traitements précoces, celui qui a en permanence dédaigné les avis des médecins et chercheurs compétents, celui qui a en mars 2020 signé avec Édouard Philippe alors Premier ministre le décret favorisant l’élimination des anciens par injection létale de Rivotril, etc. – est en position favorable, de même que Mme Borne qui a signé le décret de suspension sans rémunération ni RSA des soignants et pompiers soucieux de leur intégrité de leur corps, de même que Mme Bourguignon son obéissante adjointe qui se contentait de fermer le micro lors d’auditions au Sénat.

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  3. Les Français sont-ils devenus masochistes et aimeraient-ils ceux qui leur font mal ? Ils étaient prêts pour ce totalitarisme qui avance à grands pas, nous explique Ariane Bilheran.

    Car sinon pourquoi voter pour tous ceux qui ont imposé un enfermement si toxique pendant des semaines, ceux qui nous ont demandé de nous autoriser nous-mêmes à sortir une heure, ceux qui ont, pendant des mois, asséné des ordres contradictoires et obligatoires, ceux qui ont gâché une génération de bébés qui ne savent pas ce qu’est un visage, ceux qui ont abîmé une génération d’adolescents en imposant encore plus d’écrans et en les privant de relations humaines si capitales à cet âge… ? Et maintenant ils tuent … Et on nous prédit qu’ils tueront de plus en plus jeunes.

    Le syndrome de Stockholm se développe de manière inconsciente et involontaire. Il s’agit de l’instinct de survie. En sommes-nous globalement atteints ?

    Le concept de « syndrome de Stockholm »[2] est apparu il y a une quarantaine d’années à l’occasion d’une prise d’otages à Stockholm en Suède. Fin août 1973, 6 malfaiteurs braquent une banque suédoise et prennent en otage ses quatre employés pendant 6 jours. Après une longue attente très médiatisée, et à l’issue des négociations, tous les otages sont libérés sains et saufs. Mais les otages ont refusé de témoigner contre leurs agresseurs. Certains sont allés les voir en prison, et l’une d’entre elles a entretenu une relation amoureuse avec l’un des malfaiteurs.

    Le syndrome de Stockholm survient en cas de situation de stress psychologique extrême.

    Selon la description individuelle :

    « la victime se retrouve d’abord dans un état de sidération rendant impossible toute prise de décision. Après le choc, une réorganisation psychologique s’opère. En effet, la victime s’adapte à la situation et trouve de nouveaux repères. La victime n’a plus aucune autonomie et dépend totalement de son bourreau pour satisfaire ses besoins. Finalement, c’est « grâce » à lui s’il peut manger, dormir, bouger, aller aux toilettes, etc. Lorsque l’agresseur n’abuse pas de la situation, sa victime le voit comme quelqu’un de bien. Certaines victimes peuvent ressentir un sentiment de gratitude envers leur agresseur, et adopter petit à petit la pensée et le code moral du bourreau ».

    Ainsi on peut complètement transposer ce vécu à celui des populations confinées (qui supportent x fois dans la journée les informations et les ordres de nos « bourreaux » et même les messages subliminaux permanents sur les écrans de TV).

    « Plus la situation s’éternise, plus cette nouvelle personnalité a de risques de s’implanter profondément dans l’individu, à tel point que certaines victimes se rangent parfois du côté de l’agresseur et s’opposent aux forces de l’ordre. »

    Le fait de vivre sans contact avec le monde extérieur peut également induire le syndromede Stockholm, mécanisme d’adaptation permettant aux victimes de survivre. En effet, cet ajustement permettrait de diminuer l’anxiété engendrée par une menace de mort imminente.

    Parallèle entre les otages d’un braquage et une population confinée et menacée
    Ainsi si on examine les caractéristiques du syndrome de Stockholm, on peut faire quelques analogies instructives avec la situation qu’on subit des milliards d’individus.

    Un syndrome de Stockholm est caractérisé par la présence d’un lien d’attachement et d’empathie entre la victime et « l’agresseur », lien conscient ou inconscient. L’agresseur – ici le pouvoir politique – peut être vu par sa victime comme en souffrance, sincère et bienveillant.

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  4. Et c’est bien ce qui s’est passé avec nos gouvernements qui affirmaient « protéger les vieillards » (soumis au Rivotril par ailleurs) par les mesures de confinement contre le « virus ». Il a été bien démontré depuis lors la totale inefficacité sanitaire[3][4][5][6][7][8] et les graves conséquences sociales, éducatives, économiques, etc. de telles mesures. Le pouvoir se présentait aussi comme en souffrance lui-même vis-à-vis de la situation qu’il présentait (de façon mensongère). Syndrome du pompier pyromane.

    Un sentiment d’impuissance exacerbé engendre une mise de côté de soi afin de survivre et ce fut bien le vécu des Français en proie à la peur du virus, de la mort rapide, et de plus dans la crainte de souffrances de détresse respiratoire mises en exergue dans les journaux TV. La PEUR que MACHIAVEL a bien décrite comme levier de gouvernement a été bien utilisée jusqu’à ce jour.[9]

    Deux autres caractéristiques complètent ce parallèle :

    dépendance totale qui engendre la perte d’autonomie de la victime (l’agresseur – ici le pouvoir – s’arrange pour être le seul à pouvoir répondre au besoin de sa victime pour obtenir sa soumission);
    et une diminution, voire suppression des contacts avec l’extérieur (critère réalisé par la pression pour les mesures coercitives pour absence de contact physique avec les autres, distanciation sociale épouvantable, etc..)
    Rappelez-vous les cours d’école avec les carrés absurdes par enfant. Comment avons-nous pu accepter tout cela alors qu’on savait depuis le début que les enfants ne risquent rien du covid et qu’ils ne sont pas facteurs de transmission?

    Effectivement, nous sommes atteints en partie ou complètement de ce syndrome qui explique pourquoi les électeurs ont chassé Martine Wonner du parlement et vont peut-être y réélire O Véran !

    COMMENT EN SORTIR ?

    Habituellement, la prise en charge est un suivi psychologique ou psychiatrique très régulier. Mais alors que la TV continue de faire passer ses spots angoissants, que le pouvoir tente de remplacer la peur du covid par celle de la guerre en Ukraine, puis celle du virus du singe, comment diminuer la pression ?

    « Le travail de reconstruction psychologique des victimes est très long et éprouvant. Parfois, le traumatisme est si important que la personnalité de la victime est profondément affectée. Le temps nécessaire à la reconstruction et au déconditionnement est variable selon la durée la période de violence et son contexte ». On peut imaginer que cela sera très difficile et que de longues années de souffrances diverses nous attendent.

    L’ÉCRITURE THÉRAPEUTIQUE

    Est, semble-t-il, un excellent moyen d’extérioriser les souffrances et de prendre de la distance vis-à-vis du traumatisme. Alors poussons tous nos concitoyens à écrire encore et encore, à titre de témoignages pour l’Histoire et d’évacuation de la douleur pour le présent, comme… les poilus de la guerre de 14 enfermés dans leurs tranchées qui nous ont légué de si poignantes lettres.

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  5. COMMENT SOMMES-NOUS ENCORE DANS CETTE PHASE DE SIDÉRATION ?[10]

    Selon A Bilheran, en 2020, « on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé, une politique de précarisation dans de nombreux pays du monde.

    Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du Doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie »

    - voir clip sur site -

    Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela ? (…)

    « C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens.

    Cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. Ou bien on se réfugie dans le déni : le réel est tellement insupportable que je refuse de me le représenter.

    Moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien» et bien c’est très tentant d’y entrer ».

    « La majorité des gens ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

    Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non. S’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou. »

    Le psychisme protège, jusqu’à un certain point de ce basculement et de cette désintégration psychique.

    Et ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation .

    « D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens ».

    Certains scientifiques, universitaires, chercheurs, médecins ont payé fort cher de livrer leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non. On devient un Kapo.

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  6. LA COLLABORATION DES INTELLECTUELS AVEC LES RÉGIMES TOTALITAIRES N’EST PAS NOUVELLE :

    « Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’il se passait ».

    LA CRISE SANITAIRE, ABOUTISSEMENT D’UN LONG PROCESSUS DE DESTRUCTION SOCIALE

    « Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger ».

    Le totalitarisme est la proposition inverse.

    Il est clair que la qualité de la médecine a effroyablement chuté depuis la fin du XXe siècle, lorsque sous prétexte de rationalisation « scientifique », mais en réalité financière, et idéologique, on nous a imposé des « protocoles uniformes pour tous » ( même si trompeusement appelés « personnalisés »). Les bureaucrates ont alors pu faire leurs ravages en contrôlant si les docteurs appliquaient bien les consignes des recommandations devenues rapidement obligatoires. La médecine agonisa… Homogénéiser les traitements a toujours été le contraire de la médecine d’Hippocrate, mais à grands coups de pub étatiques, de « plan cancer » de beaux bâtiments, de cellules d’organisation… on a acheté tout ce beau monde souvent inconscient du mal qu’ils allaient faire, et les citoyens manipulés comme à l’habitude ont applaudi.

    Au sein du totalitarisme, l’individu n’est plus sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Cette mutation est en cours depuis très longtemps : perte de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. C’est la profanation de tous les individus.

    « Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire : l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie. »

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  7. A. Bilheran pense que cette évolution est détectable depuis longtemps dans l’évolution du management au travail, la prolifération des écrans pour les enfants, le succès de Facebook et autres réseaux sociaux.
    L’enfant n’est plus qu’ un objet destiné à devenir pour un bon consommateur, un instrument de production, qu’on jette lorsqu’il ne sert plus à rien. Et la clique de Davos a l’impression qu’ils n’ont plus besoin que de quelques esclaves. Ils se trompent…

    A. Bilheran explique qu’il y a conjonction de plusieurs facteurs dont :

    « le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort.

    L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. »

    Par ailleurs le développement technologique a été trop rapide par rapport à nos facultés affectives d’en dominer les effets. Comme un enfant précoce a parfois beaucoup de difficultés à assumer ses trois ans d’avance. Il est encore petit…

    « L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre ». Repensons à Einstein et son désespoir d’avoir engendré la bombe atomique, un tel outil de mort. Il y a aussi une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants.

    La seule question qu’on aurait dû se poser près la Deuxième Guerre mondiale, c’est : comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction ?

    Du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing, etc., un encouragement à la dérégulation a fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans.

    Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. Le monde de Huxley. C’est bien aussi ce qu’expliquait Patrick Le Lay parlant de la télévision au début des années 2000.

    Écoutez :

    - voir sur site -

    « Cette crise est essentiellement psychologique, morale et spirituelle » – Ariane Bilheran | crise sanitaire | totalitarisme | Epoch Times.

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  8. Poursuivons l’analyse de la crise du Covid étape du totalitarisme montant, par notre philosophe.[12]

    Qui sont les résistants et que doivent-ils faire pour aider à en sortir ?

    « Les rares qui ont compris dès les premiers signaux d’alerte, et n’ont pas besoin de l’expérience de la désolation pour mesurer le danger de la construction mentale délirante, incarnent le chemin étroit de la vérité et les résistants de la première heure ».

    « Il faudra néanmoins attendre le réveil des masses, pour que le totalitarisme s’effondre, ces masses qui réagissent favorablement à la suggestion hypnotique, et se laissent facilement séduire, par le cadeau empoisonné de l’idéologie et son apparente cohérence ».

    Les masses doivent cesser de collaborer et, partant, de croire. Et c’est inéluctable : l’expérience de la réalité totalitaire se chargera elle-même de la désillusion. Tous les totalitarismes de l’Histoire se sont effondrés, plus ou moins rapidement… C’est la question qui nous taraude évidemment.

    « Les masses, en éprouvant le fait totalitaire dans leur chair, dans leurs familles, dans leurs individualités, confrontées à l’action mortifère de la secte, finiront par ouvrir les yeux ».

    La diffusion de l’information, ainsi que le bouche-à-oreille de ceux qui témoignent à ceux qui les relaient, est également un facteur essentiel dans la désillusion des masses. DONC NE NOUS DÉCOURAGEONS PAS, poursuivons notre labeur, notre mission…Chacun à sa façon, selon ses compétences, ses affinités…

    « Désobéir est vital. Faire partie des hérétiques au sens propre, de ceux qui font le choix de ne pas se plier à la croyance religieuse de l’idéologie totalitaire. Il y a autant de désobéissances que de spontanéités individuelles. L’artiste qui ne suit pas l’art totalitaire désobéit, et fait de la liberté sa foi. L’initiative intellectuelle, spirituelle et artistique est aussi dangereuse pour le totalitarisme que l’initiative criminelle de la populace, et l’une et l’autre sont plus dangereuses que la simple opposition politique ».

    « Ne pas se soumettre au dogme, l’interroger et conserver son esprit critique, créer en-dehors de ce qui est permis, emprunter les sentiers de traverse, mais aussi archiver, conserver cet ancien que le pouvoir totalitaire désire détruire, informer, tout ceci fait partie de la résistance.

    Le totalitarisme craint le primat de la subjectivité, la texture unique du témoin qui transcrit ses émotions, sa sensibilité, sa vie psychique et son humanité ; il redoute cette liberté de l’esprit contre la rigueur de la lettre, l’ironie ou « le trait d’esprit », le rire contagieux qui le détrône de sa toute-puissance ».

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  9. Penser est dangereux, mais « ne pas penser est encore plus dangereux. »
    Une fois qu’on a pris le temps de se plonger dans tous ces écrits de Hannah Arendt, Ariane Bilheran et tous ceux à travers lesquels elles ont compris les mécanismes, il ne nous reste plus humblement qu’à poursuivre ce qui est dans nos cordes, informer encore et encore et par tous les canaux possibles, directement bien sûr via des rapports humains, des rencontres autour d’un goûter, un apéro, un repas citoyen, une manifestation, mais aussi la diffusion des vidéos, articles, témoignages, etc. sans sous-estimer chaque petite tâche. Une conversation avec la voisine ou avec la boulangère. Tout ce qui fait sens de l’Humain oublié pendant deux ans et demi.

    Une plage de sable n’est jamais qu’une accumulation de grains de sable. Soyons ces grains..
    Alors oui finalement il faut aller voter pour mettre les futurs élus au pied du mur.

    INFORMONS ET DEMANDONS AUX FUTURS CANDIDATS UN ENGAGEMENT FORMEL CONTRE L’OBLIGATION VACCINALE ET POUR LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS ET POMPIERS
    UTILISONS NOTRE BULLETIN DE VOTE POUR SAUVER LA SANTÉ DES ENFANTS

    En conclusion, continuons notre travail d’information sans désespoir, sans dépression, ni découragement. En ce qui concerne les élections, et en tant que médecin très attaché à la liberté de penser, de prescrire, en tant que citoyen attaché à la liberté d’être soigné, il me semble que chaque citoyen dans sa circonscription doit interroger les candidats députés, quelle que soit l’étiquette de la personne et obtenir un engagement formel à voter contre la vaccination des enfants, et le pass vaccinal.

    Chacun doit rappeler les engagements pris par la France en signant la convention d’Oviedo et notre fidélité au code de Nuremberg.[13]

    Il est capital qu’un maximum de députés élus s’engage contre l’obligation vaccinale que l’UE veut imposer en prolongeant le pass vaccinal qui doit être voté courant juin 2022 pour un an. Les candidats et même les ex-députés n’ont souvent pas bénéficié de toutes les informations sur le caractère expérimental des pseudovaccins, sur l’importance des effets secondaires dont beaucoup sont létaux dans le monde, sur la tromperie de Pfizer sur les essais (maintenant publiée grâce aux juges américains).

    Ne sous-estimez pas votre poids auprès de ces personnes. Nous en avons rencontré plusieurs qui nous ont avoué ne pas avoir été informés. INFORMEZ-LES ! [14][15][16]

    Dre Nicole Delépine

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  10. Notes :

    [1] Elle ne parle plus de Frexit, de sortie de l’euro ni de sortie du commandement intégré de l’Otan.

    [2] Syndrome de Stockholm : définition, symptômes, causes et traitement (sante-sur-le-net.com)

    [3] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown?
    https://arxiv.org/abs/2005.02090v2

    [4] John Gibson AIER Staff Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence December 19, 2020

    [5] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
    doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.

    [6] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19: COVID Wins Nov 1, 2020

    [7] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic.
    https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

    [8] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf

    [9] Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

    [10] https://nouveau-monde.ca/ariane-bilheran-lideologie-sanitaire-est-un-pretexte-a-une-gouvernance-totalitaire

    [11] Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) Mise en avant d’une idéologie, d’une croyance fausse, d’un récit… qui se substitue à la réalité.
    Dans le cas de la plandémie Covid, on observe donc :
    • La prétention à sacrifier l’individu pour sauver le groupe ;
    • La mise en place de l’agenda transhumaniste ;
    • La tricherie permanente sur les morts, les cas, le prétendu bienfait des vaccins ; les incohérences temporelles et spatiales des mesures sanitaires ; la ségrégation des non-vaccinés ; etc. ;
    • Le recours aux masques muselières, à la distanciation sociale, au confinement, au discours de peur… ;
    • La mise en avant de l’ennemi viral et de théories délirantes jamais scientifiquement démontrées, telles que l’immunité de groupe, la contagion virale, le bienfait de poisons injectés sous forme de « vaccins », etc.

    [12] Psychopathologie du totalitarisme 3/3, par Ariane Bilheran

    [13] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? – AgoraVox le média citoyen

    [14] REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

    [15] L’échec du zéro covid en Australie – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

    [16] Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

    https://www.mondialisation.ca/les-francais-sont-atteints-du-syndrome-de-stockholm-informons-les/5668955

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    1. Article un peu 'bâclé' ! qui n'explique ni le pourquoi ni le comment.

      Le pourquoi c'est le programme hégémonique*.
      Le comment a débuté par la peur de la poussière ! (virus) où quelqu'un aurait secoué son tapis par la fenêtre de son labo en Chine ! puis est arrivé le masque. Ôhlala ! Sans expliquer précédemment qu'un masque anti-poussière (dit 'masque chirurgical') n'arrête pas par son écart de mailles de 150 microns une poussière de 0,1 à 0,5 micron !!! Mais alors pourquoi le porter ?! L'astuce criminelle est d'infecter, d'imprégner les masques de... poussières ! (virus appelé cocovide19/Sarcov2/Delta/Omicron, etc) afin que TOUTES les personnes masquées respire ces nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) !
      Puis arrivent les gels hydroalcooliques imprégnés eux aussi de nano-particules d'oxyde de graphène !
      Puis viennent les FAUX tests 'RT-PCR' où l'écouvillon va déposer ces nano-particules d'oxyde de graphène dans la cavité nasale !!
      Puis, enfin, arrive l'expérimentation génique d'essais (criminellement appelée 'vaccin' !) qui contient entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (soit 40 000 milliards !!) !

      Mais au fait, pourquoi ces 'nano-particules d'oxyde de graphène' ?
      Parce que les nano-particules d'oxyde de graphène réceptionnent et renvoient les ondes basses fréquences reçues de l'extérieur pour prendre totalement la direction des neurones !!

      Après çà, trouver une personne qui s'oppose à se faire inoculer va être très très dur !
      D'où l'apparition du syndrome de Stockholm !

      * Regardez simplement 'INCROYABLEMENT VULNÉRABLE : Si la Russie coupe l'approvisionnement en uranium enrichi des compagnies d'électricité américaines, les réacteurs nucléaires américains fermeront d'ici un an' (https://huemaurice5.blogspot.com/2022/06/incroyablement-vulnerable-si-la-russie.html?). Pensez vous que cela soit une surprise pour les américain d'être privé de combustible russe ? Pas du tout ! C'était prévu, planifié ! Idem pour le prix du pétrole et denrées alimentaire ! Idem pour tous les problèmes rencontrés aujourd'hui !

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  11. Les médias insistent absurdement sur le fait que les photos covidés sont «sûres et efficaces» comme les blessures vaccinales et les décès


    Mercredi 15 juin 2022
    par: Ethan Huff


    (Actualités naturelles) Il devient de plus en plus difficile pour les médias contrôlés par les entreprises, qui comprennent désormais les plateformes de médias sociaux de Big Tech, pour garder un couvercle sur les blessures et les décès de Wuhan Coronavirus (Covid-19).

    Le nombre de corps monte et tout ce que les embouchures de propagande peuvent faire est de continuer à crier sûr et efficace ! Chaque fois que quelqu'un souligne les faits. Combien de temps fonctionnera-t-il cette tactique ?

    La réponse n'est pas pour longtemps parce que même les personnes qui ont autrefois approuvé les tirs et se sont même piqués elles-mêmes commencent à poser des questions sérieuses auxquelles l'établissement ne peut pas répondre. Ainsi, l'établissement ne fait que crier la même fausse réponse plus forte dans l'espoir qu'elle collera.

    «Les péages de mort post-injection ont atteint des niveaux qui rendent très difficile pour les pouvoirs et que les agneaux dorment et les fanatiques de Vaxx», a rapporté le blog covide.

    "Ainsi, ils recourent aux astuces les plus anciennes et éprouvées dans le livre, en particulier le" si vous dites un mensonge assez, cela devient la méthode de la vérité "."

    Politifact, comme un exemple, a republié le même article l'autre jour qu'il avait précédemment publié déclarant que l'ARN messager (ARNm) et les injections de l'ADN vectoriel viral ne sont en aucun cas liées à la hausse massive dans les morts soudaines qui se produisent depuis le lancement de la vitesse de déformation de l'opération.

    Reuters, qui appartient à Pfizer, régurgite également les mêmes articles de propagande fatigués sur la façon dont il n'y a «aucune preuve» que les vaccins contre la grippe tuent des gens.

    Ensuite, nous avons factCheck.org, qui a publié un article au début du mois de mars, affirmant que les injections covide empêchent en quelque sorte les décès plutôt que de les provoquer, et de dire aux gens d'ignorer un «graphique trompeur sur les réseaux sociaux» qui suggère le contraire.

    Ces trois faux médias, ainsi que USA Today, ont été très occupés récemment les mêmes mensonges perrochés sur les tirs de grippe Fauci que nous entendons depuis le début.

    Quand il y a suffisamment de gens qui meurrent, peut-être que le monde se réveillera enfin - mais il sera déjà trop tard
    Essayez comme ils pourraient détourner de la vérité, la fausse brigade ne peut pas cacher le fait que des gens «entièrement vaccinés» du monde entier développent des maladies extrêmes ou ne laissent pas mortes sans raison apparente.

    Ce n'était pas une chose avant l'opération Warp Speed, au fait. Ce n'est que depuis que Donald Trump a déchaîné les coups, suivis par Joe Biden les obligeant, le «syndrome de la mort adulte soudaine» est-il devenu magiquement une réalité.

    Ceux qui ont développé un état de santé grave eux-mêmes après l'injection ou qui connaissent quelqu'un d'autre qui l'a fait, ne continuera pas de continuer à acheter les fausses journaux en leur disant que les coups n'avaient rien à voir avec cela.

    Même ainsi, les fanatiques de piqûres ne montrent aucun signe de s'arrêter avec la propagande, et doublent et triplé sur leurs faux récits. «Sionist de l'année» Albert Bourla, le PDG actuel de Pfizer, continue de faire les rondes de fonctions élitistes comme les rassemblements du Forum économique mondial (WEF) pour vanter les «mérites» de l'injecté.

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  12. Bourla fait également des apparitions de routine sur de faux réseaux de nouvelles comme CNN pour faire pression pour plus de mandats de JAB, et pour diffuser les «non vaccinés» qui, selon lui, sont des criminels - alors même que les gens qui frappent partout continuent de tomber morts.

    "Les campagnes de propagande qui précèdent maintiennent les fanatiques de Vaxx engagés, malgré beaucoup d'entre eux souffrant désormais de divers effets indésirables des injections", a rapporté le blog coiffé.

    «Ce sont les malchanceux. Il devient clairement clair que toutes les personnes Vaxxed tomberont soudainement mortes d'une crise cardiaque ou d'un arrêt cardiaque, ou mourront dans leur sommeil, à tout moment. Et ça se passe partout dans le monde. "

    Pour suivre les dernières nouvelles sur les blessures et les décès de JAB, assurez-vous de consulter vaccinale.com.

    Les sources comprennent:

    Thecovidblog.com
    NaturalNews.com 1
    NaturalNews.com 2

    https://www.naturalnews.com/2022-06-15-media-insists-covid-shots-safe-and-effective.html

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  13. 182 nouveaux rapports de décès après l’administration des vaccins contre la COVID, selon les données des CDC

    Les données VAERS publiées vendredi par les Centres de contrôle et de prévention des maladies font état de 1 295 329 signalements d'effets indésirables, tous groupes d'âge confondus, après la vaccination contre la COVID-19, dont 28 714 décès et 236 767 blessures graves entre le 14 décembre 2020 et le 3 juin 2022.


    Par Children's Health Defense
    Mondialisation.ca,
    16 juin 2022


    Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont publié aujourd’hui de nouvelles données montrant qu’un total de 1 295 329 rapports d’événements indésirables suite à l’administration des vaccins contre la COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 3 juin 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Cela représente une augmentation de 7 734 événements indésirables par rapport à la semaine précédente.

    Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.

    Les données comprennent un total de 28 714 rapports de décès – soit une augmentation de 182 par rapport à la semaine précédente – et 236 767 blessures graves, dont des décès, au cours de la même période – soit une augmentation de 1 726 par rapport à la semaine précédente.

    Sur les 28 714 décès signalés, 18 638 cas sont attribués au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer, 7 524 cas à Moderna et 2 483 cas à Johnson & Johnson (J&J).

    Si l’on exclut les « déclarations étrangères » au VAERS, 829 329 événements indésirables, dont 13 225 décès et 83 801 blessures graves, ont été signalés aux États-Unis entre le 14 décembre 2020 et le 3 juin 2022.

    Les rapports étrangers sont des rapports que les filiales étrangères envoient aux fabricants de vaccins américains. En vertu de la réglementation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, si un fabricant est informé d’un rapport de cas étranger décrivant un effet à la fois grave et ne figurant pas sur l’étiquetage du produit, il est tenu de soumettre le rapport au VAERS.

    Sur les 13 225 décès signalés aux États-Unis au 3 juin, 16 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 20 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes dont les symptômes sont apparus dans les 48 heures suivant la vaccination.

    Aux États-Unis, 588 millions de doses de vaccin contre la COVID-19 avaient été administrées au 3 juin, dont 347 millions de doses de Pfizer, 222 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J).

    - voir cadre sur site -

    données vaers blessures de vaccin le 10 juin

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  14. Chaque vendredi, le VAERS publie les rapports de blessures liées aux vaccins reçus à une date précise. Les rapports soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation de cause à effet puisse être confirmée.

    Historiquement, il a été démontré que le VAERS ne rapporte que 1 % des effets indésirables réels des vaccins.

    Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 3 juin 2022, pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans, montrent :

    1 658 événements indésirables, dont 63 cas qualifiés de graves et 3 décès signalés.
    4 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
    Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences.
    13 rapports de troubles de la coagulation sanguine.
    Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 3 juin 2022, pour les enfants de 5 à 11 ans, montrent :

    11 133 événements indésirables, dont 292 qualifiés de graves et 5 décès signalés.
    22 rapports de myocardite et de péricardite.
    Le Defender a constaté au cours des semaines précédentes que les rapports de myocardite et de péricardite ont été retirés par les CDC du système VAERS dans cette tranche d’âge. Aucune explication n’a été donnée.
    43 rapports de troubles de la coagulation sanguine.
    Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 3 juin 2022, pour les jeunes de 12 à 17 ans, montrent :

    32 026 événements indésirables, dont 1 834 qualifiés de graves et 44 décès signalés.
    62 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort – 97 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.
    655 rapports de myocardite et de péricardite dont 643 cas attribués au vaccin de Pfizer.
    166 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer. Le VAERS a signalé la semaine dernière 167 cas de troubles de la coagulation sanguine dans le groupe d’âge des 12 à 17 ans.
    Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 3 juin 2022, tous groupes d’âge confondus, le montrent :

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  15. 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
    53 % des personnes décédées étaient des hommes, 42 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée.
    L’âge moyen du décès était de 73 ans.
    Au 3 juin, 5 574 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins contre la COVID-19, dont 1 743 rapports de fausse couche ou de naissance prématurée.
    Sur les 3 615 cas de paralysie de Bell signalés, 51 % ont été attribués aux vaccins de Pfizer, 40 % à Moderna et 8 % à J&J.
    884 rapports de syndrome de Guillain-Barré, avec 42 % des cas attribués à Pfizer, 30 % à Moderna et 28 % à J&J.
    2 290 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis en danger la vie du patient, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.
    1 725 rapports d’infarctus du myocarde.
    14 079 rapports de troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, 6 291 rapports ont été attribués à Pfizer, 5 048 à Moderna et 2 701 à J&J.
    4 223 cas de myocardite et de péricardite dont 2 589 cas attribués à Pfizer, 1 434 cas à Moderna et 186 cas à J&J.
    10 cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob dont 4 cas attribués à Pfizer, 5 cas à Moderna et 1 cas à J&J.
    Le gouvernement américain détourne 10 milliards de dollars pour financer davantage de vaccins contre la COVID

    L’administration Biden a déclaré cette semaine qu’elle détournait plus de 10 milliards de dollars de fonds de test et d’aide pour la COVID-19 afin d’acheter davantage de vaccins et de traitements contre la COVID-19, a rapporté l’Associated Press (AP).

    L’argent a été détourné des projets d’achat de tests COVID-19 et d’équipements de protection individuelle, a rapporté NBC, ainsi que du financement de la recherche et du développement de nouveaux vaccins contre la COVID-19, selon AP.

    Les fonds réaffectés seront utilisés pour commencer à négocier des contrats avec les fabricants de vaccins afin de produire de nouvelles doses pour l’automne, y compris des vaccins de « nouvelle génération » que les sociétés pharmaceutiques développent pour cibler les nouvelles variantes de COVID-19.

    Environ 5 milliards de dollars serviront à financer l’achat de nouvelles doses de vaccin contre la COVID-19 pour une campagne de vaccination à l’automne et 4,9 milliards de dollars seront utilisés pour acheter environ 10 millions de doses restantes de la pilule antivirale Paxlovid COVID-19 de Pfizer, selon un responsable de la Maison Blanche qui a demandé à ne pas être nommé a déclaré à Bloomberg.

    La décision de l’administration de détourner les fonds pour acheter davantage de doses de vaccin contre la COVID-19 intervient quelques jours après que le Centre de contrôle des maladies (CDC) a partagé des données avec NBC Newsrévélant que les États-Unis ont gaspillé 82,1 millions de vaccins contre la COVID-19 de décembre 2020 à la mi-mai 2022.

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  16. Des études suggèrent un lien entre une maladie cérébrale mortelle et les vaccins contre la COVID

    Un article français publié en mai sur la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) et la vaccination contre la COVID-19 a identifié une nouvelle forme de MCJ sporadique survenant dans les jours suivant l’administration d’une première ou d’une deuxième dose de vaccins contre la COVID-19 de Pfizer ou de Moderna.

    La MCJ est une maladie dégénérative du cerveau qui entraîne la démence et, finalement, la mort.

    Les chercheurs pensent que la région prion de la protéine de pointe de la variante originale Wuhan COVID-19 a été incorporée dans des vaccins à ARNm et des vaccins à vecteur adénovirus – administrés à des centaines de millions d’humains – et qu’elle peut provoquer un nouveau type de MCJ sporadique à progression rapide.

    Les chercheurs ont analysé 26 cas de MCJ et ont constaté que les premiers symptômes sont apparus en moyenne 11,38 jours après l’injection d’un vaccin contre la COVID-19.

    Sur les 26 cas, 20 étaient décédés au moment de la publication de l’étude et six étaient encore en vie. « Les 20 décès sont survenus seulement 4,76 mois après l’injection. Parmi eux, 8 ont conduit à une mort subite (2,5 mois) », ont écrit les chercheurs.

    L’administration Biden obtient 10 millions de doses du vaccin contre la COVID pour les enfants de moins de 5 ans

    L’administration Biden a déclaré jeudi qu’elle avait mis à la disposition des États et des professionnels de la santé 10 millions de doses de vaccins contre la COVID-19 pour les enfants de moins de 5 ans et que des « millions d’autres doses seraient disponibles dans les semaines à venir ».

    La Maison Blanche a dévoilé son « plan opérationnel » pour la vaccination des plus jeunes – une semaine avant que les conseillers de la Food and Drug Administration (FDA) américaine ne soient prévus de se rencontrer pour décider de l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour les vaccins pédiatriques Pfizer-BioNTech et Moderna destinés aux bébés âgés de six mois seulement.

    Les enfants de moins de 5 ans pourraient commencer à recevoir les vaccins dès « la semaine du 20 juin – le programme s’intensifiant au fur et à mesure que les doses sont livrées et que les rendez-vous sont disponibles », a déclaré la Maison Blanche.

    Le président et conseiller juridique en chef de la Children’s Health Defense(CHD), Robert F. Kennedy, Jr., a appelé les parents et les médecins, « maintenant plus que jamais », à « s’engager dans la brèche pour protéger nos bébés de notre gouvernement ».

    M. Kennedy a déclaré que les contre-mesures de la COVID-19, y compris les vaccins, n’ont « jamais porté sur la science ou la santé publique », ajoutant : « Maintenant, ils se sont éloignés du bon sens pour tomber dans la cruauté et la barbarie nues. »

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  17. La COVID-19 sévère est « rare » chez les personnes qui n’ont pas été vaccinées

    Une enquête menée auprès de 300 000 personnes qui n’ont pas été vaccinées contre la COVID-19 a révélé que les non-vaccinés n’imposaient pas une charge disproportionnée aux systèmes de santé – en fait, ils présentaient des taux très faibles d’hospitalisation et de COVID-19 grave.

    Le projet international Control Group – également connu sous le nom de Vax Control Group – a mené l’enquête.

    Les données de l’enquête offrent des révélations importantes, notamment :

    Les participants du « groupe témoin » non vacciné ont connu des taux d’hospitalisation et des taux de maladie grave de la COVID-19 très faibles.
    Ils sont plus enclins à se soigner eux-mêmes, en utilisant des produits naturels tels que la vitamine D, la vitamine C, le zinc et la quercétine.
    Beaucoup ont utilisé l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
    Des femmes ont souffert d’anomalies menstruelles et hémorragiques alors qu’elles n’étaient pas vaccinées, peut-être en raison de l’exposition aux protéines de pointe et de leur excrétion.
    Le fardeau de leur santé mentale a été considérable, peut-être aggravé par la stigmatisation de la société dominante « vaccinée ».
    Ils ont fait l’objet d’une forte discrimination en raison de leur décision d’exercer leur droit au consentement éclairé et de refuser l’administration de « vaccins génétiques ».
    Le gouvernement canadien approuve la demande d’indemnisation d’un homme blessé par un vaccin

    Le mois dernier, un homme canadien a appris que le gouvernement avait approuvé sa demande d’indemnisation pour une blessure liée au vaccin contre la COVID-19.

    Ross Wightman, un mari de 40 ans et père de deux enfants, a déclaré qu’il lui a fallu des années de paperasserie avant que le gouvernement n’approuve sa demande. M. Wightman a été diagnostiqué avec le syndrome de Guillain-Barré(SGB), une maladie rare affectant le système nerveux qui l’a laissé partiellement paralysé, peu après avoir reçu sa première et unique dose du vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca en avril 2021.

    Wightman n’a pas divulgué le montant exact du versement. Toutefois, il a déclaré qu’il n’était pas admissible au versement maximal de 284 000 $ prévu par le programme. Il a déclaré qu’il prévoyait de faire appel du montant versé auprès de la commission d’examen médical du programme, qui, selon lui, n’a pas tenu compte de tous ses symptômes.

    Au Canada, 46 149 réactions indésirables aux vaccins contre la COVID-19 ont été officiellement enregistrées, mais seule une poignée de demandeurs ont reçu une indemnisation.

    La CHD demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.

    Mise à jour : Le titre de cet article a été mis à jour pour indiquer que 182 nouveaux décès après l’administration du vaccin contre la COVID-19 ont été signalés au VAERS, selon les données de cette semaine.

    https://www.mondialisation.ca/182-nouveaux-rapports-de-deces-apres-ladministration-des-vaccins-contre-la-covid-selon-les-donnees-des-cdc/5669013

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  18. Coronavirus : Un autre mystère non résolu (vu du Japon)


    le 17 juin 2022


    Alors que je souffre toujours des séquelles du coronavirus depuis plus de 2 ans je me suis posé une question à laquelle personne n’a cru bon de répondre, en regardant dans le train, la Chuo Line desservant 69 stations séparées les unes des autres de 2 kilomètres depuis le centre de Tokyo vers la grande banlieue ouest, tous les passagers masqués y compris des enfants. Pourquoi personne n’a mentionné la possibilité d’être contaminé par le coronavirus via les yeux ? En effet si les larmes contiennent d’importantes quantités de lyzozyme, un enzyme qui détruit la paroi des bactéries gram-positives, cet enzyme est totalement inopérant contre les virus sans enveloppe comme c’est le cas pour le coronavirus.

    Si une particule virale atteint la conjonctive alors elle est évacuée par les canaux lacrymaux vers l’arrière des fosses nasales et ainsi cette particule virale trouve un terrain favorable pour s’intégrer dans les cellules épithéliales, celles-là même qui sont atteintes par les tiges de prélèvement pour effectuer des tests RT-PCR. Il n’y a donc aucun doute que l’on puisse être contaminé par les yeux. Personne n’en a parlé, aucune expérimentation n’a été décrite avec des animaux modèles comme les hamsters. C’est très troublant. Si on rapproche cette remarque au fait que les masques sont largement considérés comme inefficaces (en particulier au Japon) alors l’explication est toute trouvée : on peut aussi se contaminer par les yeux.

    Personnellement je suis très surpris que ce sujet n’ait jamais été abordé par tous ces « spécialistes » qui conseillent les gouvernements. Le fait est qu’il ne faut pas troubler la bonne marche de l’affairisme qui s’est développé autour de ce coronavirus, je veux dire les masques supposés jetables et qui ne servent donc à rien et surtout les tests dont le prix est prohibitif et imposé pour toutes sortes d’activités comme par exemple voyager en avion, et encore aujourd’hui au Japon pour entrer dans un restaurant ou n’importe quelle échoppe il faut dûment porter un masque, et parfois on vous contrôle votre température. Toute cette mascarade est devenue lassante mais les autorités internationales de la santé en ont décidé ainsi et naturellement il faut les croire, de même qu’il faut aussi croire les « experts » en science du climat surtout sans se poser de questions car on est très vite catalogué au mieux d’idiot et au pire de fasciste.

    Je voudrais terminer ce billet par une autre expérience vécue ici à Tokyo il y a quelques jours. Ma petite-fille a commencé à tousser avec le nez qui coulait. Le protocole japonais, dans ce cas, est d’effectuer un test PCR pour savoir s’il s’agit d’une infection par le coronavirus. Interdiction d’aller au collège, naturellement. Mais plus encore, confinement dans une pièce de la maison pendant au moins cinq jours. J’ai expliqué à ma belle-fille que le test étant négatif il s’agissait alors soit d’un rhinovirus, soit d’une souche de coronavirus très commune provoquant les mêmes symptômes, rhinite, un peu de fièvre et finalement un bronchite bénigne, un coronavirus non détecté par les amorces utilisées (toujours les mêmes) depuis le début de la pandémie. Non, il faut respecter le protocole. Et cette insidieuse propagande étatique relayée par les médias est maintenant tellement ancrée dans les esprits qu’il semble qu’un retour à la normale n’est plus possible …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/17/coronavirus-un-autre-mystere-non-resolu-vu-du-japon/

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    1. Premièrement (rappel !), le 'coronavirus/Cocovide19/Sarscov2/Delta/Omicron, etc' N'EXISTE PAS ! dans l'air puisqu'il s'agit d'une poussière (de laboratoires) appelée 'virus'. (IL N'A JAMAIS ÉTÉ ISOLÉ !! depuis plus de 2 ans ! et n'existe donc pas et est invisible aux faux tests 'RT-PCR' !
      Donc: inutile de s'effrayer les yeux ou autre chose.

      Deuxièmement: Par contre, si vous l'avez c'est que vous vous êtes fait inoculer ! (une ou plusieurs fois !). Puisque le virus ne se trouve qu'en seringues ! (démonstration scientifique).

      Je rappelle que le virus est une POUSSIÈRE (de laboratoire et injectée par l'expérimentation génique d'essais), et non un MICROBE (être vivant porteur de maladie).

      Les nano-particules d'oxyde de graphène (contenues en seringues) sont un POISON et donc: NON TRANSMISSIBLE ! (sauf actes sexuels).

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  19. Pourquoi 49 gouverneurs ont-ils pré-commandé des piqûres mortelles de Covid pour les enfants de moins de 5 ans ?


    Alors que quelques-uns demandent pourquoi DeSantis n'obtiendra pas le programme pour piquer chaque homme, femme et enfant en Amérique, la vraie question est de savoir pourquoi les 49 autres gouverneurs l'ont fait, en particulier les républicains.


    J.D. Rucker
    17 juin 2022


    Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, est peut-être le seul gouverneur sain d'esprit du pays. Tous les autres, qu'ils soient républicains ou démocrates, ont précommandé des jabs Covid pour les enfants de moins de cinq ans. Pendant ce temps, DeSantis est attaqué par les médias d'entreprise. Selon le Miami Herald :

    Chaque État a passé une commande auprès du gouvernement fédéral pour garantir la livraison des vaccins contre le coronavirus pour les jeunes enfants dès que les régulateurs autorisent leur utilisation – sauf un. La Floride a raté mardi la date limite pour demander la livraison de vaccins pédiatriques COVID-19 pour les enfants de moins de 5 ans, garantissant un délai d'accès pour les parents dans tout l'État, selon deux sources gouvernementales américaines.

    Les 49 autres États ont passé des précommandes, qui seront livrées en deux tranches dès lundi à des milliers de cabinets de pédiatres, d'hôpitaux pour enfants, de pharmacies et de centres de santé à travers le pays. Ces installations en Floride n'auront pas accès pendant cette période et resteront sans approvisionnement jusqu'à ce que la Floride passe une commande.

    Jeremy Redfern, attaché de presse du Florida Department of Health, a confirmé que le département "avait choisi de ne pas participer" au programme de vaccination parce que le département de la santé de l'État ne suivait pas les recommandations fédérales de santé publique.

    "Le ministère de la Santé de Floride a clairement indiqué au gouvernement fédéral que les États n'ont pas besoin d'être impliqués dans le processus alambiqué de distribution de vaccins, en particulier lorsque le gouvernement fédéral a des antécédents dans l'élaboration de politiques COVID-19 incohérentes et non durables", Redfern a dit.

    Le Miami Herald n'est pas le seul à publier des articles à succès favorables à Vaxx contre la Floride et DeSantis. Mais une chose amusante s'est produite qui a peut-être surpris les médias d'entreprise. Les habitants de Floride ne sont pas indignés. En fait, même les démocrates qui s'opposent activement à DeSantis n'ont pas fait grand cas à ce sujet. Pourquoi? Parce qu'il semble que les gens ne soient pas aussi préoccupés par le fait de piquer de jeunes enfants que les médias et le gouvernement le souhaitent.

    N'oublions pas que le Covid-19 représente un risque si infime pour les jeunes enfants qu'il est presque statistiquement insignifiant.

    Malheureusement, les réponses à l'affirmation selon laquelle tout décès d'un jeune enfant est "statistiquement insignifiant" susciteront des réactions prévisibles. Ils diront "si un seul enfant peut être sauvé..." ou "la mort d'aucun enfant n'est insignifiante". Ces réponses motivées par les émotions peuvent en fait avoir un certain poids s'il n'y avait pas deux faits. Premièrement, les jabs ne fonctionnent nulle part près de ce qu'on nous dit encore, sans parler de la promesse de "100% efficace" qui a dominé les récits pendant des semaines lorsque les jabs ont été déployés pour la première fois.

    Deuxièmement, et c'est un gros problème, les statistiques intentionnellement floues entourant les effets indésirables des vaccins indiquent que PLUS d'enfants et de jeunes adultes meurent des coups que de Covid-19 lui-même. Ces injections "sûres et efficaces", comme les appellent le gouvernement américain et les médias d'entreprise, ne sont ni sûres ni efficaces, statistiquement parlant.

    https://jdrucker.substack.com/p/why-did-49-governors-pre-order-deadly?s=r

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    1. Hors placebos ce sont 100 % des piqûres qui sont létales à court ou moyen terme/
      Pourquoi ? Parce qu'elles contiennent entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! qui est un POISON mortel violent enrobé lors de l'injection et qui se décortique par l'arrivée d'un message ondes basses fréquences. Les nano-particules servent de relais entre l'extérieur (émetteur) et l'intérieur (être humain en vie).

      En tant que Gouverneurs ils sot à la pointe de l'information scientifique et, ne sont donc pas sans ignorer que les flacons d'expérimentations géniques d'essais contiennent des nano-particules très dangereuses destiner à transformer l'être humain en serpillière au service du balai.

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  20. La FDA est sur le point de donner son feu vert au meurtre de masse d'enfants de moins de cinq ans avec une nouvelle autorisation de "vaccin" covid

    vendredi 17 juin 2022
    par : Ethan Huff

    (Natural News) Le même comité de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis qui a voté à l'unanimité pour permettre aux enfants de moins de cinq ans de se faire "vacciner" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a maintenant voté, une fois de plus à l'unanimité, pour injectent également les enfants de moins de cinq ans.

    Selon des informations, l'agence fédérale corrompue a avancé un "mouvement de plus près" vers l'octroi d'une autorisation officielle aux bébés, essentiellement, pour se faire piquer avec des vaccins contre la grippe Fauci, même s'ils n'ont aucun risque de tomber malade et de mourir d'un soi-disant covid.

    Le comité dit que les bébés peuvent prendre l'une ou l'autre des deux injections d'ARNm synthétique (ARN messager) disponibles auprès de Moderna et Pfizer. Et la FDA devrait accepter cette recommandation et autoriser les injections pour ce groupe d'âge avant juillet.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis devraient ensuite demander aux prestataires de soins de santé de commencer à administrer les injections peu de temps après, la Maison Blanche Biden indiquant que cela pourrait commencer à prendre les armes dès le 21 juin, le solstice d'été et le premier jour de l'été.

    "Nous devons faire attention à ne pas devenir insensibles au nombre de décès pédiatriques en raison du nombre écrasant de décès plus âgés", a annoncé Peter Marks, chef de la division des vaccins de la FDA, en faveur de l'injection de bébés pour le virus chinois. (Connexe : Les médias ne cessent de taper sur le tambour pour dire à quel point les injections sont soi-disant « sûres et efficaces ».)

    "Chaque vie est importante. Pour ceux qui ont perdu des enfants à cause de Covid-19, nos pensées vont vers eux parce que chaque enfant perdu fracture essentiellement une famille.

    Pfizer dit qu'il n'a aucune idée de l'efficacité d'une troisième injection, mais que les enfants devraient quand même la recevoir
    La version des injections qui sera administrée aux enfants aussi jeunes est différente des flacons originaux pour adultes, qui dans le cas de Pfizer contiennent 10 fois plus de "solution" que la version pour bébé.

    Le régime à trois injections de Pfizer pour adultes est dosé à 30 microgrammes (mcg) tandis que la version pour enfants ne contient que 3 mcg. Les médias contrôlés par Wall Street affirment que les aiguilles de Pfizer sont « efficaces à environ 75 % » pour prévenir la maladie causée par la variante Omicron (Moronic) chez les enfants de six mois à deux ans, et efficaces à 82 % contre Moronic en deux à quatre ans. -vieux.

    Dans un communiqué, Doran Fink, un haut responsable de la division des vaccins de la FDA, a admis que l'efficacité de la troisième injection de Pfizer reste inconnue, malgré la recommandation de l'agence que tout le monde, y compris les enfants, la prenne.

    "Le troisième vaccin est crucial pour le vaccin de Pfizer car deux doses offraient peu de protection", affirme CNBC, un faux média dirigé par Wall Street.

    "La FDA avait initialement cherché à accélérer les deux premières doses en février, mais Pfizer a reporté sa soumission car les données n'étaient pas assez bonnes. Deux doses étaient efficaces à environ 14 % pour les enfants de moins de 2 ans et à 33 % pour les enfants de 2 à 4 ans.

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  21. Paul Offit, quant à lui, estime qu'une dose de 3 mcg du vaccin pour les bébés est trop petite. Il préférerait voir beaucoup plus de tout ce que contiennent ces flacons distribués dans les bras des enfants à une vitesse fulgurante.

    "Je crains que les parents ne sachent pas nécessairement qu'après deux doses, ils ne seront peut-être plus protégés du tout et engageront le type d'activité qui mettrait leur enfant en danger", a déclaré le pédiatre de l'hôpital pour enfants de Philadelphie. en disant.

    Cependant, la version enfant du shot Moderna pourrait être exactement ce dont Offit a envie, car elle contient une dose de 25 mcg du contenu mystérieux au lieu de seulement 3 mcg pour Pfizer.

    "Pour les événements indésirables rares, nous veillerons à ce que le public les connaisse", a ajouté Marks dans un communiqué.

    Les blessures et les décès par balle de la grippe Fauci peuvent être suivis sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    CNBC.com

    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-fda-murder-children-under-five-covid-vaccines.html

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  22. REGARDER: L'embaumeur Richard Hirschman déballe les caillots de «biostructure artificielle» trouvés dans des cadavres entièrement vaccinés


    Vendredi 17 juin 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Pour la première fois, des caillots à l'intérieur de cadavres qui ont été "entièrement vaccinés" pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) ont été extraits et analysés, montrant que les tirs induisent la création de ce que Mike Adams, le Health Ranger, appelle « biostructures artificielles ».

    Un récent hôte invité sur "The Alex Jones Show" d'Infowars, le Health Ranger a apporté du matériel pour effectuer une analyse par microscopie en direct sur ces caillots - la première analyse de ce type à être présentée au public. La première partie de ce segment montrant à quoi ressemblent les caillots peut être consultée sur Brighteon.com.

    La deuxième partie, que vous pouvez regarder ci-dessous, présente un segment avec l'embaumeur Richard Hirschman, qui a fourni les échantillons au Health Ranger pour analyse. Écoutez ce qu'il a à dire à leur sujet (à partir de la minute 16:00 environ):

    - voir sur site -

    La première partie de ce segment présente les commentaires du médecin anonyme qui est également entendu dans la première partie de l'émission en trois parties parler des caillots, de leur formation, de ce qui pourrait éventuellement les empêcher de tuer une personne, et plus encore. La partie de l'interview de Hirschman présente des images et des commentaires supplémentaires sur d'autres types de caillots qu'il a extraits de cadavres entièrement piqués, ainsi que sur la manière dont ils sont collectés.

    «Lorsque nous embaumons, nous poussons généralement du liquide dans une artère, et nous forçons du formaldéhyde chimique dans le corps et permettons au sang de s'écouler à travers un tube de drainage, et la plupart du temps, ils sortent simplement du corps sans avoir à être tirés. », a expliqué Hirschman, montrant divers flacons remplis de caillots, qui apparaissent dans toutes les formes, tailles et couleurs.

    "Mais parfois, ils commencent à bloquer les vaisseaux et nous devons mettre des forceps pour les retirer, afin de permettre au sang de continuer à sortir du corps afin que nous puissions le remplacer." (En relation: L'établissement médical a mis au point une nouvelle terminologie pour tenter d'expliquer les «morts subites» déclenchées par ces caillots.)

    "Ce n'est pas un hasard - je le vois tout le temps", dit Hirschman à propos des caillots
    Très tôt après le lancement de l'opération Warp Speed ​​par l'administration Trump, quelques corps ici et là se présentaient avec d'étranges caillots. Maintenant, cependant, Hirschman dit qu'il le voit «tout le temps» et que ce n'est plus une situation de type «hit and miss».

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  23. Hirschman pratique l'embaumement depuis plus de 20 ans, juste pour être clair. Son apprentissage médical était en cours lorsque les attentats terroristes du 11 septembre se sont produits à New York, et ce n'est que récemment qu'il a vu ce phénomène de coagulation devenir une réalité.

    "J'ai remarqué un pic de coagulation du sang pendant le covid, mais après le déploiement du vaccin", les caillots se sont transformés en un étrange matériau fibreux blanc, a expliqué Hirschman au Health Ranger.

    "Ils ressemblent presque à un vaisseau sanguin lui-même", a déclaré Hirschman à propos du matériau de caillot inhabituel qu'il voit maintenant après l'opération Warp Speed. Ces caillots étranges et inhabituels ne sont pas des caillots sanguins, c'est pourquoi le Health Ranger les appelle des biostructures artificielles.

    "Si vous utilisez des outils et que vous les séparez, ils sont très, très solides, comme des élastiques", a expliqué le Health Ranger à propos de ce qu'il a observé et ressenti lors de la déconstruction des caillots.

    "Ils ne s'effondrent pas et ils ne sont pas fragiles", a-t-il ajouté. "Ils ont une résistance à la traction."

    Assurez-vous de regarder le segment complet ci-dessus pour voir par vous-même ce qui est retiré des cadavres entièrement piqués.

    Une couverture médiatique plus connexe sur la façon dont les vaccins contre la grippe Fauci provoquent la formation de biostructures artificielles à l'intérieur du corps des gens peut être trouvée sur VaccineInjuryNews.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Brighteon.com
    Brighteon.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-embalmer-richard-hirschman-engineered-biostructure-clots-vaccinated.html

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    1. (...) "Ils ne s'effondrent pas et ils ne sont pas fragiles", a-t-il ajouté. "Ils ont une résistance à la traction." (...)

      Ces fils sont appelés des morgelons. Ces fils observés et filmés sous microscope a balayage électronique ne se coupent pas aux ciseaux ! et ne se brûlent pas au briquet ! ils sont composés de milliards de nano-particules d'oxyde de graphène arrivés là par leur injection.

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  24. Les documents de Pfizer montrent qu'au moins 800 participants à l'essai covid jab n'ont jamais terminé en raison d'un retrait de consentement, d'une blessure ou d'un décès


    Vendredi 17 juin 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Une nouvelle section des documents de Pfizer que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a été forcée de publier par une ordonnance du tribunal a révélé que des centaines de personnes qui se sont inscrites au « vaccin » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) de Pfizer l'essai n'a jamais terminé la phase 1 de celui-ci parce qu'ils ont retiré leur consentement, se sont blessés ou sont décédés.

    Quelque 800 participants à l'essai ont pratiquement disparu des données parce que leurs résultats étaient défavorables au programme de Pfizer. La société pharmaceutique a beaucoup d'injections à vendre, après tout, et les blessures et les décès ne sont pas bons pour les profits.

    La FDA, comme vous vous en souvenez peut-être, a fait de gros efforts au nom de Pfizer pour retarder la publication de toutes les données concernant les injections. L'agence fédérale corrompue a tenté de les retenir pendant 75 ans, seulement pour que le juge fédéral Mark Pittman ordonne début janvier à la FDA de publier 55 000 pages par mois.

    Fin janvier, la FDA n'avait publié que 12 000 pages, allant à l'encontre de l'ordonnance du tribunal. Cependant, depuis lors, tous les documents ont été mis en ligne par les professionnels de la santé publique et de la santé pour la transparence (PHMPT).

    La dernière goutte est arrivée le 1er juin et contient une liste de 112 pages indiquant qui s'est retiré de l'essai clinique de phase 1 de Pfizer, ainsi que de vagues descriptions expliquant pourquoi.

    "Les 14 premières pages répertorient 102 sujets qui se sont retirés de l'étude", rapporte Exposé News.

    « Cela équivaut à une moyenne de 7,2 sujets par page. Donc, sur la base de 93 pages supplémentaires détaillant les sujets retirés, cela équivaut à environ 780 personnes qui se sont retirées de la seule première phase de l'essai clinique. Le nombre réel pourrait être légèrement supérieur ou légèrement inférieur.

    "De nombreux sujets ont mystérieusement révoqué leur consentement à poursuivre l'essai pour des raisons telles que la relecture du formulaire de consentement et la décision que ce n'était pas ce qu'ils avaient initialement convenu."

    Les injections covid de Pfizer ont détruit des centaines de vies de participants à l'essai

    Plusieurs des participants ont cité des «événements indésirables graves» comme raison de leur retrait, l'un d'eux ayant souffert d'une embolie pulmonaire, une condition potentiellement mortelle dans laquelle les vaisseaux sanguins dans les poumons sont bloqués par des caillots.

    Un autre participant qui s'est retiré a déclaré avoir subi un infarctus cérébral, également connu sous le nom d'AVC ischémique. Cette condition survient en raison d'une perturbation du flux sanguin vers le cerveau, qui peut tuer le cerveau en le privant d'oxygène et de nutriments vitaux.

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  25. Plusieurs autres ont rapporté avoir souffert de choses comme un accident ischémique transitoire ou un mini-AVC ; perte d'audition et surdité; « syncope », également connue sous le nom de perte de conscience temporaire ; tachycardie; paraparésie; et, bien sûr, la mort.

    "Nous savons pourquoi ceux qui sont malheureusement décédés ou blessés n'ont pas terminé le procès", explique l'Exposé.

    « Mais pourquoi des centaines d'autres ont-ils refusé de poursuivre l'essai clinique de phase 1 du vaccin Pfizer Covid-19 aux États-Unis après avoir été impatients d'y participer à l'origine ? Et pourquoi la FDA a-t-elle désespérément caché ce document parmi tant d'autres pendant au moins 75 ans ? »

    Dans la section des commentaires, quelqu'un a souligné que malgré toutes ces révélations, il reste encore beaucoup de questions sans réponses. L'un d'eux concerne les essais d'injection de Pfizer sur des enfants, qui ont également entraîné de graves handicaps physiques et de nombreux décès.

    "Je pense qu'il est grand temps que les forces de l'ordre ou l'armée interviennent et saisissent TOUS les documents et forcent l'arrêt de ces vaccinations", a écrit un autre. « Ils ne respectent pas leur serment en autorisant la poursuite de ces meurtres. C'est de l'obscurcissement évident. »

    Un autre encore a averti que le mot anglais pour « pharmacie » vient du mot grec pour « pharmakeia », qui est traduit dans la Sainte Bible par le même mot pour « sorcellerie » et « sorcellerie ».

    Les dernières nouvelles sur les vaccins contre la grippe Fauci de Pfizer sont disponibles sur Vaccines.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Expose-News.com
    PHPT.org
    NaturalNews.com
    SumOfThyWord.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-pfizer-documents-800-trial-participants-disappeared-dead.html

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  26. Le Dr Geert Vanden Bossche prédit une augmentation des variantes DEADLIER COVID ciblant les vaccinés au cours des deux prochains mois


    vendredi 17 juin 2022
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Le virologue belge, le Dr Geert Vanden Bossche, a prédit la montée d'une variante plus mortelle du coronavirus de Wuhan (COVID-19) au cours des deux prochains mois. Il a ajouté que cette souche ciblera principalement les personnes injectées avec le vaccin COVID-19.

    "Dans les deux prochains mois, je m'attends à une explosion [de cette variante mortelle] dans l'un de ces pays hautement vaccinés. Et puis, ça ira très, très vite », a-t-il déclaré à la journaliste indépendante australienne Maria Zeee dans une interview le 18 mai.

    Selon l'expert belge, les personnes injectées avec le vaccin COVID-19 seront particulièrement vulnérables à cette variante dangereuse. Il a expliqué que les anticorps spécifiques des individus vaccinés contre la souche originale du SRAS-CoV-2 entreront en compétition avec et affaibliront leur immunité naturelle tout en ne fournissant aucune protection contre la souche plus récente et plus contagieuse.

    "Vous ne pouvez pas jouer avec un équilibre qui a été façonné au cours de millions d'années d'évolution. Maintenant, tout d'un coup, nous lançons une bombe sur cette [immunité naturelle avec] la vaccination de masse - [comme si] l'humanité allait remodeler tout cela. Maintenant, le virus va se retourner contre lui d'une manière qui va être très, très grave et très substantielle », a commenté Vanden Bossche.

    « Il n'y a qu'un seul paramètre dont vous devez tenir compte. C'est le nombre d'hospitalisations qui vont, tout d'un coup, exploser. Lorsque cela se produira, notre système de santé s'effondrera - et ensuite ce sera le chaos, bien sûr.

    Vanden Bossche a ajouté qu'un tel pic d'hospitalisations se produirait "dans l'un de ces pays hautement vaccinés, en particulier dans les pays qui ont vacciné de manière très agressive".

    Le virologue a déclaré à Zeee qu'il avait récemment écrit un article de 45 pages expliquant "comment le virus évolue non seulement pour être hautement infectieux, mais aussi hautement virulent et même résistant à toutes sortes de vaccins".

    Selon l'article, "une série de nouvelles variantes du SRAS-CoV-2 hautement virulentes et hautement infectieuses émergeront désormais rapidement et indépendamment dans les pays hautement vaccinés du monde entier et... se propageront bientôt à un rythme élevé". (En relation: Le vaccin COVID est à l'origine des variantes COVID.)

    En outre, Vanden Bossche a noté dans l'article que le schéma actuel d'infections répétitives et de maladies relativement bénignes dans les vaccins [va] bientôt s'aggraver et être remplacé par des maladies graves et la mort.

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  27. Vanden Bosche: Les vaccinés peuvent repousser le COVID-19 avec des médicaments antiviraux
    Le virologue belge a réitéré l'urgence de son article en réponse à LifeSiteNews. "Il n'y a pas de temps pour l'examen par les pairs et ces affaires ne seront plus comme d'habitude. Le monde devrait entendre mon message maintenant et non dans trois ou quatre mois », a-t-il déclaré dans un e-mail.

    Son évaluation scientifique de 45 pages sur le COVID-19 a souligné que la variante hautement infectieuse mais plus douce de l'omicron B11529 permet aux individus non vaccinés de "former leur défense immunitaire contre le SRAS-CoV-2". Selon Vanden Bosche, la guérison d'une infection due à l'omicron rend le système immunitaire plus efficace pour neutraliser les souches les plus mortelles attendues.

    "Mon cœur va à toutes ces personnes qui ont été hautement vaccinées", a déploré Vanden Bossche. Il a cependant apporté une lueur d'espoir.

    « Le mot magique pour ces personnes est antiviral. C'est la seule chose qu'ils peuvent faire : des antiviraux et donc des traitements précoces », a-t-il déclaré. "Pour l'amour de Dieu, donnez-leur accès à un traitement précoce." Les antiviraux connus qui agissent contre le COVID-19 - bien qu'ils aient été réprimés par les médias et l'establishment médical - comprennent l'hydroxychloroquine et l'ivermectine.

    « Nous devons, dans l'intérêt de la santé publique, le faire également au niveau de la population. Au lieu d'avoir ces stupides campagnes de vaccination de masse, nous aurions besoin d'une campagne de chimioprophylaxie antivirale de masse dans les pays hautement vaccinés pour réduire considérablement le taux d'infection dans la population - parce que c'est ce que fait naturellement et normalement l'immunité collective », a poursuivi le virologue.

    « À moins que nous ne mettions en œuvre immédiatement des campagnes de prophylaxie antivirale à grande échelle dans les pays hautement vaccinés, il ne fait aucun doute que la pandémie se terminera en prélevant un lourd tribut en vies humaines.

    Regardez le Dr Geert Vanden Bossche ci-dessous alors qu'il explique pourquoi les enfants ne doivent pas recevoir le vaccin COVID-19.

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne chinoise EVIL CCP sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    Les injections de Covid-19 propagent de nouvelles « variantes » du coronavirus.

    Science : Les corps « entièrement vaccinés » sont des terrains fertiles pour les nouvelles « variantes » du coronavirus.

    Les injections de rappel peuvent créer des variantes RÉSISTANTES AUX VACCINS du coronavirus, avertissent les scientifiques.

    Les vaccins COVID-19 PERMETTENT le développement de variantes de coronavirus plus mortelles, prévient le lauréat du prix Nobel.

    SHOCKER : Le vaccin Covid-19 lui-même crée des variantes plus VIRULENTES qui peuvent décimer les moutons vaccinés.

    Sources include:

    LifeSiteNews.com
    Uploads.SSL-Webflow.com [PDF]
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-virologist-predicts-deadlier-covid-variants-targeting-vaccinated.html

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    1. Dès lors qu'une personne s'est faite inoculée profond (et plusieurs fois) elle perd TOUTE immunité. Donc: au premier microbe qui passe son corps ne peut se défendre.

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  28. Vaccins Covid : L’histoire était belle


    Par Réinfo Covid France
    Mondialisation.ca,
    17 juin 2022


    Cet article percutant et rythmé relate l’histoire des vaccins Covid, de leur fabrication quasi merveilleuse … à la réalité.

    À RETENIR :

    Fin 2020 : les vaccins sont sûrs et efficaces à 95% affirment PFIZER et MODERNA, après une mise au point aussi rapide que parfaite.
    Début 2022, PFIZER et MODERNA préviennent bizarrement qu’ils ne vont pas être capables de prouver l’efficacité (les 95%) de leurs vaccins et que les effets indésirables sont en définitive très nombreux.
    L’histoire était belle
    L’histoire commence en janvier 2020.
    A ce moment, le virus responsable du COVID-19 (SARS-CoV-2) est connu depuis plusieurs semaines. Le 11 janvier 2020, la séquence génomique du virus de la souche dite « WUHAN » est mise à disposition par les laboratoires chinois qui en ont fait le séquençage.

    A cette date, il n’y a pas encore la « pandémie » mais les laboratoires, dans leur grande bienveillance, travaillent pourtant déjà sur la mise au point d’un vaccin. Ils ont raison de s’y mettre rapidement car cela fait 17 ans qu’ils essaient sans succès de produire un vaccin contre le coronavirus de 2003, le SARS-CoV-1. Visiblement, produire un vaccin semble bien difficile. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30261226/

    Mais l’histoire est belle, car le 13 janvier 2020, les fabricants, et notamment MODERNA, sont prêts à lancer la production du vaccin. En moins de 48h, avec seulement un ordinateur, sans laboratoire, sans même un échantillon de virus, ils réussissent à finaliser la formule du vaccin. Le PDG de MODERNA est fier de nous raconter cette prouesse. https://www.ladepeche.fr/2020/12/09/covid-19-le-vaccin-de-moderna-existe-depuis-le-13-janvier-et-il-a-ete-mis-au-point-en-un-week-end-9247981.php

    On peut s’émerveiller de cette rapidité. Bien sûr.

    Mais on peut aussi se poser des questions :

    Rien pour le SARS-Cov1 en 17 ans ?
    Rien pour le VIH en 40 ans ?
    Et pourquoi 30 ans d’échec sur la technologie des vaccins ARNm ?
    Et pourtant, il suffit de 2 jours pour le SARS-CoV- 2?
    Qui peut croire que cela est crédible (avec en plus une technologie jamais utilisée pour produire des vaccins) ?

    Vous accepteriez de vous faire vacciner avec un produit fabriqué en 2 jours ?

    L’histoire se poursuit toujours sous les meilleurs auspices, toujours aussi belle puisque les tests de phase 1 et 2 sont réalisés en un temps record. La phase 3 est lancée en mai 2020.

    Le 9 novembre 2020, PFIZER annonce que son vaccin, avec seulement 2 doses, est efficace à 95%. Et qu’il n’a pas d’effets secondaires.

    En effet, après 6 mois de tests, les résultats donnés par PFIZER sont exceptionnels.

    L’histoire est belle. Le virus va être vaincu.

    On peut s’émerveiller de cette efficacité. Bien sûr.

    Mais on peut aussi se poser des questions :

    Est-ce que toutes les étapes ont été respectées ?
    Est-ce que toutes les étapes ont été faites ?
    Si non, qui a autorisé à ne pas faire toutes les étapes ?
    Les fabricants eux-mêmes reconnaissent que, sur autorisation des autorités sanitaires, ils ont pu « sauter » certaines étapes de tests, de contrôles. Ils ne cachent pas qu’ils n’ont pas testés : http://ema.europa.eu/en/documents/rmp-summary/comirnaty-epar-risk-management-plan_en.pdf

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  29. Les plus de 75 ans
    Les femmes enceintes
    Les immunodéprimés
    Les effets à long terme
    Alors, on peut simplement s’émerveiller et accepter ces résultats. Bien sûr.

    Mais on peut aussi se poser des questions :

    95%, est-ce crédible avec autant d’étapes de tests qui n’ont pas été faites et un délai aussi court ?
    Pourquoi commencer par vacciner les plus âgés alors qu’ils n’ont pas été inclus dans les essais ?
    Pourquoi PFIZER refuse de fournir les informations sur ses essais ? https://www.reuters.com/world/india/exclusive-pfizer-withdraws-application-emergency-use-its-covid-19-vaccine-india-2021-02-05/
    Vous accepteriez de vous faire vacciner avec un produit qui parait aussi miraculeux et secret ?

    Traditionnellement, il faut entre 9 et 15 ans pour s’assurer de l’efficacité et de l’innocuité d’un vaccin et le mettre à la vente. Pourtant, en décembre 2020, les campagnes de vaccination débutent dans de nombreux pays, en commençant par les gens les plus âgés malgré l’absence de tests sur cette catégorie d’âge.

    Puis toutes les autres catégories. Jusqu’aux enfants.

    C’est une première dans l’histoire. Jamais une vaccination de masse n’avait commencé avant que les essais cliniques de phase 3 ne soient finis.

    Vous accepteriez de vous faire vacciner avec un vaccin qui est toujours en phase de tests ?

    Finalement, l’histoire était trop belle.
    Nous voilà désormais en mai 2022. Seulement 18 mois plus tard.

    Les informations disponibles, données par les fabricants, n’ont pas changé puisque les essais ne seront pas finis avant 1 an ou 2 voire 3 pour les essais cliniques sur les femmes enceintes par exemple.

    Pourtant, le son de cloche a déjà changé.

    Il faut maintenant une 3ème dose après 6 mois : le « booster ».

    Et même une 4ème dose encore 3 mois après : le « rappel du booster ».

    Le vaccin efficace à 95 % avec 2 doses nécessite maintenant 4 doses en 1 an seulement.

    On peut trouver cela normal.

    Mais on peut aussi se poser des questions :

    S’il est si efficace, pourquoi 4 doses par an ?
    Pourquoi est-ce le seul vaccin qui nécessite 4 doses par an ?
    Les fabricants ne cachent plus vraiment ce qu’ils savent. Mais ils préfèrent le dire discrètement à leurs actionnaires plutôt qu’à leurs clients.

    Voici ce qu’ils expliquent.

    Commençons par MODERNA qui écrit dans son rapport du 25 février 2022 (page 59) que : https://d18rn0p25nwr6d.cloudfront.net/CIK-0001682852/ffa50947-bd8a-4758-890d-cccbbfee7648.pdf

    Les futurs résultats des études cliniques sur l’ARNm-1273 pourraient ne pas être aussi positifs.
    Une protection réduite par rapport aux résultats publiés à ce jour.
    Si nous n’avons pas les résultats des essais cliniques encore en cours en 2022, MODERNA les a. Et ils ne doivent pas être bons pour que MODERNA soupçonne une protection plus faible que les chiffres de 2020.

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  30. MODERNA annonce donc en toute simplicité que les futurs résultats des essais cliniques commencés en 2020 et finissant en 2023-24 ne seront pas bons. Elle prévient une future baisse des bénéfices.

    De nouveaux événements indésirables plus fréquents ou plus graves.
    Des problèmes de sécurité inattendus pourraient nuire considérablement à notre réputation.
    Alors que les vaccins étaient totalement sûrs en 2020, MODERNA annonce maintenant que les effets indésirables sont bien présents et que leur nombre augmente. A tel point que, une fois les clients au courant, sa réputation sera touchée.

    Donc ses ventes et par conséquent ses bénéfices aussi.

    Les doses de rappel de notre vaccin pourraient ne pas protéger contre les variants.
    Un marché pour les vaccins et les rappels contre ces variants peut ne pas se développer.
    MODERNA annonce, alors que les 4ème doses sont en cours, notamment en France, que son vaccin est inefficace contre les variants et va même plus loin en annonçant un échec possible sur les vaccins pour les futurs variants.

    Donc ses ventes et par conséquent ses bénéfices vont s’effondrer.

    Poursuivons par PFIZER qui émet des réserves tout aussi importantes dans son rapport de début 2022 (page 6-7) : https://investors.biontech.de/static-files/50d0cafc-b2c1-4392-a495-d252f84be105

    Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19.
    Alors que PFIZER assure depuis novembre 2020, un vaccin sûr et efficace à 95%, elle prévient maintenant, en toute simplicité à ses investisseurs, qu’en fait, elle ne va pas pouvoir prouver l’efficacité et l’innocuité de son formidable vaccin.

    Rien que ça !

    Le développement de médicaments à base d’ARNm présente des risques … en raison d’une expérience limitée avec les immunothérapies à base d’ARNm.
    PFIZER reconnaît que les vaccins ARNm présentent des risques notamment car c’est une technologie qui n’a jamais été utilisée auparavant. On est loin du discours de certitude de 2020.

    Des événements indésirables importants peuvent survenir au cours de nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation réglementaire.
    PFIZER reconnaît que les effets indésirables sont bien présents, y compris à moyen et long terme.

    Nos produits pourraient ne pas être acceptés parmi les médecins, les patients, les hôpitaux.
    PFIZER conclut que, comme ils ne pourront prouver l’efficacité et la sûreté de leurs vaccins, les gens ne les accepteront plus.

    Et que ses bénéfices vont s’effondrer.

    L’histoire était belle mais elle ne l’est plus. Au point que, 2 mois après la publication de ces rapports, le 25 avril 2022, les directeurs financiers de PFIZER et MODERNA démissionnent.. https://www.wsj.com/articles/vaccine-makers-pfizer-moderna-hire-new-cfos-11649709243

    En résumé :
    Même les fabricants ne peuvent plus faire semblant d’y croire.

    Les questions qui restent sont simples :
    Si même les fabricants n’ont pas la capacité de prouver l’efficacité et l’innocuité de leur vaccin, vous accepteriez de vous faire vacciner 4 fois par 1 an ?

    Et si vous étiez Ministre ou médecin, vous recommanderiez la vaccination de tous ?

    https://www.mondialisation.ca/vaccins-covid-lhistoire-etait-belle/5669071

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    1. (...) Le 9 novembre 2020, PFIZER annonce que son vaccin, avec seulement 2 doses, est efficace à 95%. Et qu’il n’a pas d’effets secondaires.

      A cette époque l'efficacité létale n'était que de 95 % et qu'il n'y avait pas... d'effets secondaires ! (c-à-d de vivants). Donc, les '5%' seraient des zombies ?

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  31. COVID-19: LE DÉVELOPPEMENT DE FORMES GRAVES MALGRÉ LA VACCINATION ENFIN EXPLIQUÉ


    par ANTON KUNIN
    17/06/2022


    Dans la population non vaccinée, 20 % des personnes qui décèdent présentent des auto-anticorps anti-interférons de type 1.

    Une équipe de chercheurs franco-américaine est enfin parvenue à expliquer pourquoi certaines personnes vaccinées contre le Covid-19, présentant des taux d’anticorps élevés, peuvent néanmoins développer des formes graves.

    Déficit immunologique : 1 patient sur 4 produit des auto-anticorps qui neutralisent la réponse immunitaire

    Les cas de personnes qui contractent le Covid-19 et finissent même à l’hôpital malgré un schéma vaccinal complet avaient longtemps laissé la communauté médicale perplexe. Aujourd’hui, une équipe de chercheurs de l’Inserm, de l’AP-HP ainsi que des enseignants-chercheurs de l’Université Paris Cité au sein de l’Institut Imagine publient, dans la revue Science Immunology, les résultats de leurs travaux, qui offrent une piste pour expliquer ce phénomène, à savoir un déficit immunologique.

    Il se trouve qu’au sein de la cohorte analysée (composée de personnes ayant développé une forme grave de Covid-19 malgré la vaccination), 24 % des individus présentaient des auto-anticorps qui neutralisaient l’action des interférons de type 1, ces protéines qui constituent la première barrière immunologique contre les virus.

    Les anomalies génétiques expliqueraient quant à elles 5% des formes graves après vaccination

    Pour être plus précis, les interférons de type 1 (IFN 1) sont un groupe de 17 protéines habituellement produites de manière rapide par les cellules de l’organisme en réponse à une infection virale et ayant pour principal effet d’inhiber la réplication du virus dans les cellules infectées. Dans notre cas, on est donc face à des auto-anticorps, en d’autres mots, des anticorps qui s’attaquent aux propres cellules de l’organisme d’un individu, en l’occurrence les IFN 1. Le virus ne rencontre ainsi pas d’obstacle de la part de l’organisme et peut se répliquer sans soucis.

    Outre le déficit immunologique décrit ci-dessus, les chercheurs estiment qu’environ 20% des formes graves de Covid-19 malgré la vaccination s’expliquent par des anomalies génétiques (5% des cas) et immunologiques (14% des cas) qui fragilisent la réponse immunitaire portée par les interférons de type 1.

    http://www.economiematin.fr/news-covid19-formes-graves-maladie-malgre-vaccination-etude-scientifique

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    1. Les personnes assassinées à la seringues sont appelées des 'effets secondaires'.
      Mais rassurez-vous ! Les corps sont IMMÉDIATEMENT brûlés (four crématoire) pour éviter toutes autopsies inutiles !

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  32. Des preuves accablantes suggèrent que donner aux enfants des vaccins COVID-19 ne fera que leur nuire


    vendredi 17 juin 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les preuves prouvent que les enfants qui prennent les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne tirent aucun avantage du médicament expérimental, seulement des inconvénients graves comme des effets indésirables mortels.

    Le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés de la Food and Drug Administration (FDA) – soi-disant un groupe d '«experts» en matière de vaccins – a récemment voté à l'unanimité pour approuver les vaccins ARNm COVID-19 de Pfizer et Moderna pour les enfants âgés de six mois à cinq ans. Le comité a affirmé que les vaccins sont sûrs et efficaces pour ce groupe d'âge. (Connexe: les républicains demandent des explications à la FDA concernant la nécessité d'injecter aux enfants des vaccins COVID-19.)

    L'approbation de vaccins COVID-19 expérimentaux et mortels pour les enfants va à l'encontre de toutes les preuves scientifiques, ce que même les organisations scientifiques et de santé publique traditionnelles reconnaissent. Les données montrent que les enfants courent peu ou pas de risque de contracter le coronavirus, et encore moins d'être hospitalisés ou d'en mourir.

    Même les grands médias ont fait valoir qu'il existe un risque important de vacciner les enfants contre le COVID-19, en particulier les jeunes hommes, qui courent un risque important de développer des complications cardiaques liées au vaccin comme la myocardite.

    Avant que les vaccins COVID-19 ne soient distribués aux enfants de moins de cinq ans, le processus devra d'abord passer par plusieurs étapes, qui ne devraient pas prendre plus d'une semaine.

    Le commissaire de la FDA, le Dr Robert Califf, doit approuver l'octroi d'autorisations d'utilisation d'urgence aux vaccins de Moderna et Pfizer. Une fois cela fait, le comité consultatif sur les pratiques de vaccination des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) vote pour approuver ou non les vaccins. Une fois qu'ils ont obtenu l'approbation du comité, la directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, obtient l'approbation finale.

    Les vaccins COVID-19 peuvent donner aux enfants une maladie accrue associée au vaccin
    Une autre étude prouvant que les enfants ne devraient pas être vaccinés contre le COVID-19 provient de l'Université du Colorado.

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  33. L'étude, publiée le 31 mai, a tenté de prouver que les vaccinations contre le COVID-19 protègent les enfants contre le syndrome inflammatoire multisystémique.

    Au lieu de cela, ce que les chercheurs ont découvert, c'est que les enfants qu'ils ont étudiés ont continué à souffrir d'une maladie améliorée associée au vaccin (VAED), qui est la même chose que l'amélioration dépendante des anticorps.

    Les maladies qui finissent par être modifiées en raison de la présence du matériel trouvé dans les vaccins se retrouvent dans les VAED. Ceux-ci affectent généralement les individus de manière différente et parfois plus mortelle.

    Sans vaccins, le coronavirus ne fera que traverser le corps en quelques semaines. Mais avec le vaccin, le corps crée une réponse renforcée déclenchée par des tentatives infructueuses de contrôler le virus infectant. Il en résulte des symptômes plus graves liés à l'organe cible du virus.

    C'est ce que les chercheurs ont trouvé chez les enfants. Pire encore, Pfizer et la FDA savent déjà que les personnes vaccinées qui contractent le COVID-19 sont plus susceptibles de développer un VAED.

    Dans l'un des documents confidentiels de Pfizer, la société Big Pharma a affirmé avoir reçu des rapports de 138 personnes présentant des complications médicales indiquant un VAED. Parmi ceux-ci, 75 personnes souffraient de maladies graves entraînant une hospitalisation, une invalidité, des conséquences potentiellement mortelles ou la mort. Au moins huit de ces personnes sont connues pour avoir quitté leurs infections avec des incapacités permanentes et au moins 38 personnes sont décédées des suites du VAED.

    Malgré ces informations, Pfizer a quand même conclu dans son rapport sur les données de sécurité du vaccin à la FDA que le VAED était toujours un «risque théorique» et que le vaccin à ARNm de la société devait encore obtenir l'autorisation d'utilisation d'urgence de l'agence.

    Apprenez-en plus sur le caractère mortel des vaccins COVID-19 sur VaccineDeaths.com.

    Regardez cet épisode de "The Ben Armstrong Show" alors que l'animateur Ben Armstrong expose les preuves prouvant qu'il n'y a aucun avantage à donner aux enfants des vaccins COVID-19, seulement un préjudice important.

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  34. - voir clip sur site -

    Cette vidéo peut être trouvée dans la chaîne The New American sur Brighteon.com.

    Articles plus connexes :
    Le comité de la FDA affirme que les enfants aussi jeunes que six ans doivent prendre les injections COVID de Moderna.

    Les enfants entièrement vaccinés souffrent d'un syndrome inflammatoire multisystémique.

    Étude : La vaccination contre le COVID provoque une maladie accrue associée au vaccin chez les enfants.

    Données britanniques : les enfants triplement vaccinés sont 303 fois plus susceptibles de mourir du COVID-19 que les enfants non vaccinés.

    Taux de mortalité toutes causes confondues 52 fois plus élevé chez les enfants vaccinés que chez les enfants non vaccinés.

    Sources include:

    Brighteon.com
    Expose-News.com
    LifeSiteNews.com
    NBCNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-evidence-suggests-covid-vaccines-harm-children.html

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  35. Del Bigtree: L'augmentation des cas de COVID à partir de nouvelles sous-variantes d'omicron est quelque chose à surveiller


    vendredi 17 juin 2022
    par : Kevin Hughes


    (Natural News) L'animateur de "The HighWire with Del Bigtree", Del Bigtree, a déclaré que la récente augmentation des cas de sous-variantes omicron du nouveau coronavirus de Wuhan (COVID-19) est quelque chose à surveiller et peut-être à s'inquiéter.

    Bigtree, le producteur du film documentaire controversé "Vaxxed", a mentionné que le nombre d'infections par le SRAS CoV-2 aux États-Unis était presque six fois plus élevé que le week-end précédent du Memorial Day.

    "Heureusement, l'omicron est doux, mais nous regardons tous s'il restera doux alors qu'il continue de muter. Et ainsi certains des titres en Amérique sont alarmants ; il semble y avoir de nouvelles variantes en cours », a déclaré Bigtree.

    Le PDG d'Informed Consent Action Network a noté qu'omicron a maintenant des sous-variantes Ba.4 et Ba.5. Les sous-variantes sont responsables de 13 % du total des cas de SRAS-CoV-2 aux États-Unis, selon le site Web des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

    Ce qui a attiré l'attention de Bigtree à ce sujet, c'est l'article Substack du journaliste indépendant Igor Chudov intitulé «Ba.5 est une variante pour les personnes boostées. Afrique du Sud contre Portugal : même variante, résultats opposés. »

    Bigtree a invité Chudov à apparaître dans son émission.

    Chudov a déclaré que le Ba.5 prédominait au Portugal et en Afrique du Sud, mais que les résultats étaient différents. Le journaliste s'est dit frappé par la différence entre le nombre de décès et de cas dans les deux pays. Il a souligné que la vague de Ba.5 en Afrique du Sud a un impact très mineur en termes de décès. Mais au Portugal, il y a eu une énorme vague de cas suivie d'une grande vague de décès. (Connexe: le ministre sud-africain de la Santé affirme que les hospitalisations d'omicron sont "relativement faibles" et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter)

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  36. Le Portugal complètement vacciné souffre davantage de la sous-variante omicron
    Les deux pays ont la vague Ba.5, mais le Portugal compte six fois plus de décès. Une explication plausible à cela, selon Chudov, est que le Portugal a un taux de vaccination très élevé. "Malheureusement, cela n'aide pas", a-t-il déclaré.

    Bigtree a noté que l'Afrique du Sud a un faible taux de vaccination tandis que le Portugal est entièrement vacciné. Le fait que ce dernier connaisse maintenant une augmentation des décès est assez alarmant, a-t-il déclaré.

    Chudov a déclaré que la raison pour laquelle Ba.5 est tellement pire au Portugal est que la sous-variante infecte principalement les vaccinés. Il a ajouté que la plupart des Portugais avaient déjà le COVID et que la vague majeure qui se produit est motivée par la réinfection. Le journaliste et chercheur a cité que Ba.5 est bon pour réinfecter à la fois les vaccinés et les boostés.

    Bigtree a mentionné la nouvelle selon laquelle les sous-variantes omicron ont évolué et que les gens pourraient commencer à voir une amélioration de la maladie causée par les vaccins COVID-19. Il a également mentionné que le virologue belge Geert Vanden Bossche pense que la vaccination va faire pression sur le virus COVID-19 pour qu'il mute dans un espace où il devient plus mortel et infectieux pour les vaccinés.

    Dans une interview du 18 mai avec la journaliste australienne Maria Zeee, Vanden Bossche a déclaré : « Dans les deux prochains mois, je m'attends à une explosion [de cette variante virulente] dans l'un de ces pays hautement vaccinés. Et puis ça ira très, très vite.

    Vanden Bossche est un ancien cadre supérieur de la Fondation Bill et Melinda Gates et gestionnaire principal de programme pour l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination.

    Suivez Outbreak.news pour plus d'informations sur la pandémie de COVID-19.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la variante COVID qui attaque les vaccinés.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne The HighWire with Del Bigtree sur Brighteon.com.

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  37. Plus d'histoires liées :

    Pandémie des vaccinés : le CDC indique que 80 % des cas d'omicron sont détectés chez des personnes entièrement vaccinées

    Étude : La vaccination contre le COVID provoque une maladie accrue associée au vaccin chez les enfants

    OMS : une variante d'Omicron pourrait signifier la fin de la pandémie en Europe

    Les États ayant les taux de vaccination contre les covid les plus élevés connaissent également la plus forte augmentation des cas d'omicron

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    IMDb.com
    IgorChudov.Substack.com
    LifeSiteNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-watch-out-for-rising-cases-omicron-subvariants.html

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    1. RAPPEL qu'un virus est UNE POUSSIÈRE ! Et qu'une poussière NE FAIT PAS DE PETITS, N'EST PAS TRANS, PÉDÉ OU GOUINE donc: N'A PAS de 'variants'.
      Si la personne est malade après piqûre c'est normal. C'est normal car l'expérimentation génique d'essais est faite pour empêcher toutes immunités. Donc, au premier microbe qui passe il ne peut se défendre et il y a droit !

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  38. L’émergence du néofascisme en santé publique


    le 18 juin 2022


    Posted by Jean-Dominique Michel ( https://anthropo-logiques.org/lemergence-du-neofascisme-dans-la-sante-publique/ )

    Note liminaire. Ce billet de Jean-Dominique Michel que je fais figurer en intégralité sur mon blog (sans autorisation de l’auteur mais il me pardonnera) résume tout ce que l’on doit comprendre pour se préparer à un futur proche et sombre auquel nous n’échapperons pas si nous ne réagissons pas rapidement et fermement car le totalitarisme fascisant ne pourra être arrêté que si les peuples en prennent conscience.

    Je republie ici un texte paru sur le site du Brownstone Institute, une des sources où paraissent des contenus pertinents et non assujettis à la propagande crapuleuse qui a colonisé l’entier des médias « mainstream ».
    Ceux-ci sont parvenus, avec une idéologie et des moyens totalitaires faits de désinformation, de calomnie et de harcèlement (comme nous l’avons développé précédemment), à imposer une pensée unique fallacieuse et criminelle. Ils ont intoxiqué les populations avec un narratif soigneusement ciselé mais qui est une insulte à la réalité et à l’intelligence.

    Alors que les meilleurs experts au monde (par milliers) n’ont cessé de dénoncer les décisions destructrices et absurdes qui ont été prises, quand en avons-nous lu quoi que ce soit dans ces médias ?

    Martin Kulldorf, épidémiologiste et professeur émérite de santé publique de l’Université de Harvard, a bien résumé la situation aux États-Unis, la même chose devant être dite ici :Après avoir supervisé le pire fiasco de l’histoire en matière de santé publique, poussé à la fermeture des écoles, ignoré les dommages collatéraux et l’immunité naturelle, mal protégé les personnes âgées, etc., il est troublant que Fauci soit toujours à la tête du NIAID (organisme responsable de la gestion des épidémies, NdT).

    Quand avez-vous lu dans les colonnes de Heidi News du Temps, de Libé ou du Monde, ou entendu sur les plateaux de la RTS, de BFM ou de la RTBF que la plupart des meilleurs spécialistes en santé publique s’opposaient avec fermeté aux mesures débiles qui nous été imposées comme les confinements, le port du masque ou l’imposition d’injections géniques hasardeuses et expérimentales à la population tout entière ?!

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  39. Nulle part et jamais, tant ces organes de « presse » ne sont plus que des propagandistes sans scrupules d’un agenda fasciste et qui n’a accessoirement jamais rien eu à voir avec la santé publique. Voici par exemple ce que rappelle le Dr Gemma Aherane maintenant qu’aux États-Unis, un début de reconnaissance commence à se manifester quant à la nocivité des confinements :Maintenant que les médias mainstream commencent à reconnaître les dommages complexes produits par les confinements, pouvons-nous s’il vous plaît nous souvenir que les experts qui ont été exprimé des réticences ont été harcelés et ont vu leurs conditions d’existence menacées. Ils ont été ostracisés, salis et ridiculisés. Ne l’oublions pas.

    N’oublions en effet pas qu’ici, ce sont des gens comme Bertrand Kiefer, Serge Michel, Stéphane Benoît Godet, Claude Ansermoz, Alexis Favre et bien d’autres ainsi que des émissions comme Mise au Point et Temps Présent qui se sont chargés de manière zélée de cette sale besogne, en collusion avec les « experts » véreux de nos hôpitaux universitaires.

    C’est donc avec conviction que je publie ici cette tribune du Dr David Bell, médecin en santé publique ayant travaillé pour l’OMS, portant sur l’abjection littéralement fasciste qui s’est emparée des politiques de santé publique sous l’action conjuguée des politiciens, des autorités médicales, des fonctionnaires (comme les lamentables « médecins cantonaux ») et des médias.

    A bon entendeur…

    * * * * *

    L’émergence du néofascisme dans la santé publique

    Le fascisme est l’art de cacher la vérité derrière une façade de vertu saine. Il est, vraisemblablement, aussi vieux que l’humanité. Mussolini lui a simplement donné un nom – en cachant ses idées autoritaires derrière l’assèchement des marécages, la rénovation des villages, les enfants à l’école et les trains à l’heure. L’image du nazisme dans les années 1930 n’était pas celle de vitres brisées et de vieillards battus dans la rue, mais celle de jeunes souriants et heureux travaillant ensemble en plein air pour reconstruire le pays.
    Il est dangereux de coller de telles étiquettes à l’époque actuelle, car elles sont porteuses d’un lourd bagage, mais cela permet aussi de déterminer si le bagage actuel que nous avions cru progressiste est en réalité régressif. Ces jeunes gens souriants et heureux des années 1930 étaient en fait formés aux arts de l’autosatisfaction, du dénigrement des idées fausses et de l’obéissance collective. Ils savaient qu’ils avaient raison et que le problème venait de l’autre camp. Cela vous est-il familier ?

    Les changements sociétaux de ces deux dernières années ont été définis et dirigés par la « santé publique ». Il est donc juste de chercher des analogies avec la santé publique dans le passé pour aider à comprendre ce qui se passe, quels en sont les moteurs et où ils pourraient mener. Nous avons vu nos professions de santé publique et les associations qui les représentent appeler à la discrimination active et à la coercition sur le choix médical. Ils ont plaidé en faveur de politiques qui appauvrissent les autres, tout en maintenant leurs propres salaires, en contrôlant la vie familiale normale et même en dictant la façon dont ls gens peuvent faire le deuil de leurs morts.

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  40. Des hôpitaux ont refusé des transplantations à des personnes qui avaient fait des choix médicaux sans rapport avec l’hôpital et que celui-ci n’appréciait pas. Je les ai vus refuser à une famille l’accès à un proche mourant jusqu’à ce qu’il accepte des injections qu’il ne voulait pas, puis autoriser un accès immédiat, confirmant ainsi que ce n’était pas l’immunité, mais la conformité, qui était recherchée.

    Nous avons tous vu d’éminents professionnels de la santé vilipender et dénigrer publiquement des collègues qui cherchaient à réaffirmer des principes sur lesquels nous avons tous été formés : absence de coercition, consentement éclairé et non-discrimination. Plutôt que de faire passer les gens en premier, un collègue professionnel m’a informé, lors d’une discussion sur les preuves et l’éthique, que le rôle des médecins de santé publique était d’appliquer les instructions du gouvernement. Obéissance collective.

    Ces mesures ont été justifiées par le « plus grand bien » – un terme indéfini car aucun gouvernement défendant ce discours n’a, en deux ans, publié de données claires sur les coûts et les avantages démontrant que le « bien » est plus grand que le mal. Cependant, le décompte réel, bien qu’important, n’est pas la question. Le « plus grand bien » est devenu une raison pour les professions de santé publique d’annuler le concept de la primauté des droits individuels.

    Ils ont décidé que la discrimination, la stigmatisation et la suppression des minorités étaient acceptables pour « protéger » une majorité. C’est ce qu’était, et est toujours, le fascisme. Et ceux qui ont promu des slogans tels que « la pandémie des non-vaccinés » ou « personne n’est en sécurité tant que tous ne le sont pas » connaissent l’intention et les résultats potentiels de la désignation de boucs émissaires pour les minorités.

    Ils savent aussi, grâce à l’histoire, que la nature fallacieuse de ces déclarations n’empêche pas leur impact. Le fascisme est l’ennemi de la vérité, et jamais son serviteur.

    Le but de cet article est de suggérer que nous appelions un chat un chat. Que nous disions les choses telles qu’elles sont, que nous disions la vérité. Les vaccins sont des produits pharmaceutiques dont les avantages et les risques varient, tout comme les arbres sont des objets en bois avec des feuilles. Ce sont les personnes qui ont des droits sur leur propre corps, et non les médecins ou les gouvernements, dans toute société qui considère que toutes les personnes ont une valeur égale et intrinsèque.

    La stigmatisation, la discrimination et l’exclusion sur la base de choix de soins de santé, que ce soit pour le VIH, le cancer ou le COVID-19, est une erreur. Exclure et vilipender des collègues pour des opinions divergentes sur l’utilisation de médicaments sûrs est arrogant. Dénoncer ceux qui refusent de suivre des ordres contraires à l’éthique et à la morale est dangereux.

    Suivre aveuglément les diktats des gouvernements et des entreprises simplement pour se conformer au « groupe » n’a rien à voir avec la santé publique éthique. Tout cela a plus en commun avec les idéologies fascistes du siècle dernier qu’avec ce qui était enseigné dans les cours de santé publique que j’ai suivis. Si c’est la société que nous souhaitons développer aujourd’hui, nous devons le dire ouvertement et ne pas nous cacher derrière des façades de fausse vertu comme « l’équité vaccinale » ou « tous dans le même bateau ».

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  41. Ne nous laissons pas enfermer dans les subtilités politiques de la « gauche » et de la « droite ». Les dirigeants des deux principaux régimes fascistes d’Europe des années 30 étaient issus de la « gauche ». Ils s’appuyaient fortement sur les concepts de santé publique du « plus grand bien » pour éliminer les penseurs inférieurs et les non-conformistes.

    Notre situation actuelle appelle à l’introspection, pas à la partisanerie. En tant que profession, nous nous sommes conformés aux directives visant à discriminer, stigmatiser et exclure, tout en brouillant les exigences en matière de consentement éclairé. Nous avons contribué à supprimer les droits humains fondamentaux – à l’autonomie corporelle, à l’éducation, au travail, à la vie familiale, à la circulation et aux déplacements. Nous avons suivi les autoritaires des entreprises, en ignorant leurs conflits d’intérêts et en les enrichissant alors que notre public s’appauvrissait. La santé publique n’a pas réussi à mettre les gens aux commandes et est devenue le porte-parole d’une petite minorité riche et puissante.

    Nous pouvons continuer sur cette voie, et cela finira probablement comme la dernière fois, sauf peut-être sans les armées des autres pour renverser la monstruosité que nous avons soutenue.

    Ou nous pouvons trouver l’humilité, nous rappeler que la santé publique doit être au service du peuple et non l’instrument de ceux qui cherchent à le contrôler, et éliminer le monstre de notre milieu. Si nous ne soutenons pas le fascisme, nous pouvons cesser d’être son instrument. Nous pourrions y parvenir simplement en suivant l’éthique et les principes fondamentaux sur lesquels reposent nos professions.

    David Bell, chercheur senior du Brownstone Institute, est un médecin de santé publique basé aux États-Unis. Après avoir travaillé en médecine interne et en santé publique en Australie et au Royaume-Uni, il a travaillé à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), en tant que chef de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Foundation for Innovative New Diagnostics (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de santé mondiale à Intellectual Ventures Global Good Fund à Bellevue, aux États-Unis. Il est consultant en biotechnologie et en santé mondiale. MBBS, MTH, PhD, FAFPHM, FRCP

    Et une autre friandise de J-D Michel à écouter attentivement au moins 2 fois : https://anthropo-logiques.org/presse-collabo-et-pouvoirs-pervers-lequation-du-desastre/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/18/lemergence-du-neofascisme-en-sante-publique/

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  42. Un professeur de Yale se moque de l'idée que les mandats de masque sont basés sur la science


    vendredi 17 juin 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) Le Dr Harvey Risch, professeur d'épidémiologie à l'Université de Yale, s'est moqué de l'idée que les mandats de masque sont basés sur la science.

    "Pour comprendre la science, vous devez revenir aux études probantes qui portent sur vos théories sur le fonctionnement des choses", a déclaré Risch dans l'épisode du 15 juin de "Refounding America" ​​avec le Dr Peter Breggin.

    Il a expliqué que se faire dire que les masques fonctionnent n'est pas une science.

    "La lecture d'études originales sur l'efficacité ou non des masques - que ce soit en réduisant la propagation à d'autres personnes ou en protégeant ceux qui les portent - permet aux gens de décider s'ils sont valides ou non et si les conclusions sont appropriées", a-t-il déclaré. « On nous a dit ce qu'était la science sans qu'on nous dise réellement la science elle-même. Ce n'est pas de la science, c'est de la plausibilité." (En relation: Un expert en santé publique révèle le complot choquant de la FDA et de Fauci pour enterrer l'hydroxychloroquine comme remède potentiel au COVID-19.)

    Nous avons besoin de la science pour lutter contre le COVID, pas de la plausibilité
    Risch a poursuivi: "Donc, quand vous pensez que si vous mettez un masque sur votre visage, cela va bloquer ce qui entre - c'est plausible. La science va le tester dans des conditions où il serait normalement utilisé par les personnes qui l'utiliseraient normalement aux risques auxquels ils sont normalement confrontés, avec les particules qui sont celles en question, puis en faisant toutes les mesures pertinentes.

    Il a également expliqué que les tests de masques dans des conditions spécifiques du coronavirus de Wuhan (COVID-19) n'ont pas été effectués, donc rien ne vaut grand-chose. Même si l'on considère des études sur la grippe et d'autres virus et particules de la taille du virus SRAS-CoV-2, ils ne sont généralement pas d'origine hydrique et les gouttelettes ne permettent pas aux masques de faire grand-chose. (Connexe: le médecin-chef américain proxénète des vaccins proclame que les Américains n'ont "pas le droit" de répandre la "désinformation", ce qui signifie tout ce que le régime n'aime pas.)

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  43. "Ils ne réduisent pas la propagation et ne protègent pas beaucoup le porteur des masques qui sont normalement portés."

    Risch a expliqué qu'il est plausible que les masques protègent les individus car ils sont portés sur le nez et la bouche. Cependant, cette plausibilité peut être écrasée par des données empiriques réelles que les scientifiques et les chercheurs doivent étudier et tirer des conclusions.

    Il a poursuivi en expliquant que la distanciation sociale et les confinements, de la même manière, sont des observations empiriques et sont simplement plausibles.

    Il est plausible que l'enfermement des personnes puisse limiter la propagation du virus à l'intérieur de la maison. Cependant, une fois les verrouillages terminés, ceux qui n'ont pas obtenu l'immunité sont devenus des éponges qui attendent de recevoir le virus qui a ensuite commencé à tourner lorsque les maisons et les entreprises rouvrent. Cela signifie que les confinements ne résolvent pas vraiment les problèmes de propagation virale dans une population.

    Un traitement précoce à l'hydroxychloroquine efficace contre le COVID-19
    Un autre problème soulevé par Risch est l'utilisation de l'hydroxychloroquine.

    Les premiers traitements du COVID-19, vers mars et avril 2020, impliquaient l'hydroxychloroquine. Et il y avait eu une association très claire entre l'utilisation de l'hydroxychloroquine dans les premiers jours d'interaction avec le virus et un risque réduit d'hospitalisation et de décès.

    Il y avait eu une réduction de 75 % de la mortalité chez les personnes ayant reçu de l'hydroxychloroquine et une réduction de 50 % des hospitalisations, selon les études.

    Dans son étude publiée dans l'American Journal of Epidemiology, Risch a affirmé qu'il y a un avantage plus important pour l'hydroxychloroquine plus l'azithromycine lorsqu'elle est commencée plus tôt, par rapport à la norme de soins alors en vigueur. Il a également cité les données de l'innovateur du protocole COVID Vladimir Zelenko, qui a fait la une des journaux pendant la pandémie.

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  44. Risch a cité des données de Zelenko sur 405 patients ambulatoires qui ont été traités avec de l'hydroxychloroquine, de l'azithromycine et du zinc. Parmi ces patients, six ont été hospitalisés et seulement deux sont décédés.

    Au sujet des vaccins, Risch a admis ne pas être un expert en la matière. Mais il a dit que le bénéfice du vaccin, comme les gens l'ont appris, est relativement de courte durée.

    «L'efficacité dans la réduction des maladies graves, des hospitalisations et de la mortalité peut durer plus longtemps. Il y a donc encore un avantage potentiel. Mais nous avons également constaté un très grand nombre d'événements indésirables et de mortalité avec ces vaccins dont il faut tenir compte dans les décisions de les utiliser.

    Suivez Pandemic.news pour les nouvelles liées à la pandémie de COVID-19.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les recherches de Harvey Risch sur le COVID-19.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Peter R. Breggin, MD sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    Au moins la moitié des nouvelles infections à coronavirus surviennent désormais chez les personnes vaccinées alors que le phénomène « d'échec vaccinal » s'aggrave.

    Il est dangereux d'ignorer la preuve que l'hydroxychloroquine peut sauver la vie de patients à haut risque, prévient un médecin.

    Un médecin de Yale appelle le CDC pour avoir commis une fraude médicale à grande échelle et dissimulé des cas de covid parmi les vaccinés.

    L'éditorial de Newsweek écrit par le professeur de Yale dénonce les faux médias et les politiciens de gauche pour avoir rejeté l'hydroxychloroquine.

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  45. Un professeur de Harvard exhorte les parents à ne pas administrer aux enfants de vaccins contre le coronavirus car «les risques l'emportent sur tout avantage».

    Sources include:

    Brighteon.com
    Academic.OUP.com
    MedPageToday.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-17-yale-professor-mask-mandates-not-science-based.html

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  46. SADS — Missing From My Dictionary — La nouvelle approche de Pfizer


    Par Allan Stevo
    18 juin 2022


    Curieusement, les médecins rapportent maintenant que les personnes qui meurent avec les symptômes exacts de ce à quoi ressemblerait la mort d'un vaccin Covid-19, sont en fait appelées mort par "SADS" ou syndrome de mort subite de l'adulte.

    C'est un problème séculaire très connu, nous assure-t-on.

    Mon Webster's Encyclopedic Unabridged Dictionary of the English Language de 1992, de 8,6 livres, a beaucoup à dire sur la mort subite, mais il n'a rien à dire sur le SADS.

    Ce n'est peut-être pas le problème séculaire qu'on nous dit.

    Immédiatement après le mot-clé soudain, vous trouverez une entrée révélatrice.

    La mort subite est décrite par mon dictionnaire imprimé comme un terme sportif : "une période de prolongation au cours de laquelle un match à égalité est gagné et le jeu est arrêté immédiatement après que l'un des concurrents a marqué…"

    L'expression "mort subite" peut certainement signifier qu'un humain est décédé subitement, cependant, l'expression "mort subite" est si étrangère lorsqu'elle se réfère au corps humain adulte, qu'une telle définition n'est pas mentionnée.

    Immédiatement après le mot-clé « mort subite », vous trouverez une autre entrée révélatrice : le syndrome de mort subite du nourrisson.

    Ce terme est depuis longtemps une condition qui occupe l'esprit du public. Les synonymes crèche de mort ou cot mort sont également mentionnés dans cette entrée. Aucune mention n'est faite du SADS, bien que cette entrée soit un autre endroit naturel pour les éditeurs pour énumérer ce problème séculaire.

    Lorsque les interwebs sujets aux trous de mémoire et les médias trompeusement inventifs vous disent qu'une condition a toujours existé, il est parfois bon de se tourner vers une édition imprimée que quelqu'un n'a pas pu changer au milieu de la nuit.

    Après la mort subite du nourrisson, le dictionnaire massif s'éloigne du sujet avec une entrée pour Hermann Sudermann (un écrivain allemand), puis les Sudètes (les montagnes et les terres du nord de la République tchèque et du sud de l'Allemagne), suivies d'une entrée pour les Sudètes quelque peu redondantes, mais légèrement différentes.

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  47. Mon Webster de 1992 est assez complet, mais il n'a pas de SADS.

    C'est peut-être parce qu'il n'y a pas de SADS. Certes, les adultes meurent subitement. C'est une réalité. Mais présenter la nouvelle augmentation massive des décès et des maladies liées à la fonction cardiovasculaire comme s'il s'agissait d'un problème inexplicable séculaire est un mensonge.

    Un manque de curiosité

    Les chercheurs ne semblent pas vouloir savoir quelle peut en être la cause, ni d'un point de vue corrélatif, ni d'un point de vue anecdotique.

    C'est vraiment le principal problème - les chercheurs ne veulent pas connaître la cause de la hausse massive des décès d'adultes qui suit la hausse massive de l'administration du vaccin Covid.

    Les chercheurs voulaient autrefois savoir de telles choses. La thalidomide, par exemple, était auparavant qualifiée de "plus grande catastrophe médicale d'origine humaine". Ce titre a été arraché par une nouvelle catastrophe provoquée par l'homme.

    Big Pharma a même une fois voulu savoir de telles choses. Pour illustrer le comportement d'un fabricant de médicaments américain prospère alors qu'il n'y avait pas de bouclier de responsabilité en place, examinons le Tylenol, l'un des médicaments les plus consommés en Amérique.

    Le rappel de Tylenol de 1982

    En 1982, Tylenol a été rappelé en raison de certains décès près de Chicago de Tylenol mélangé avec du cyanure. Moins d'une douzaine de morts ont motivé ce rappel. Rapidement, Tylenol s'est penché sur cette affaire dans les médias, a assuré une transparence accrue, a apporté des changements opérationnels importants et a résolu le problème.

    Dans les mois qui ont suivi, des mesures rassurantes ont été prises par le fabricant de Tylenol pour résoudre le risque de décès liés au cyanure. Tylenol a même développé de nouvelles normes de sécurité autour de la médecine à la suite de cela. Cette approche a coûté à Tylenol 100 millions de dollars, mais ce sont 100 millions de dollars qui ont puissamment rassuré le consommateur. Les ventes ont rapidement rebondi.

    En utilisant ce modèle, si une poignée de personnes étaient préoccupées par ce qui se passait actuellement avec les décès autour du vaccin Covid, il serait logique d'arrêter la distribution du vaccin et de résoudre les problèmes actuels.

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  48. Pfizer — Essayer une nouvelle chose

    Cependant, Pfizer a un plan de match très différent. Il ne suivra pas le modèle Tylenol de 1982. Son plan de match s'apparente davantage à ce qui s'est passé avec son propre analgésique, le Vioxx, en 2005, qui a également été rappelé. Vioxx n'a été rappelé, cependant, qu'après un marketing frauduleux (disant être plus sûr que l'analgésique alternatif, ce qui était un mensonge total), un rapport de test frauduleux (ils ont caché le nombre de personnes décédées) et après avoir tué plus de 100 000 (certaines estimations sont beaucoup plus élevés).

    En 1982, Tylenol a été rappelé en raison de certains décès près de Chicago de Tylenol mélangé avec du cyanure. Moins d'une douzaine de morts ont motivé ce rappel. Rapidement, Tylenol s'est penché sur cette affaire dans les médias, a assuré une transparence accrue, a apporté des changements opérationnels importants et a résolu le problème.

    Dans les mois qui ont suivi, des mesures rassurantes ont été prises par le fabricant de Tylenol pour résoudre le risque de décès liés au cyanure. Tylenol a même développé de nouvelles normes de sécurité autour de la médecine à la suite de cela. Cette approche a coûté à Tylenol 100 millions de dollars, mais ce sont 100 millions de dollars qui ont puissamment rassuré le consommateur. Les ventes ont rapidement rebondi.

    En utilisant ce modèle, si une poignée de personnes étaient préoccupées par ce qui se passait actuellement avec les décès autour du vaccin Covid, il serait logique d'arrêter la distribution du vaccin et de résoudre les problèmes actuels.

    Pfizer — Essayer une nouvelle chose

    Cependant, Pfizer a un plan de match très différent. Il ne suivra pas le modèle Tylenol de 1982. Son plan de match s'apparente davantage à ce qui s'est passé avec son propre analgésique, le Vioxx, en 2005, qui a également été rappelé. Vioxx n'a été rappelé, cependant, qu'après un marketing frauduleux (disant être plus sûr que l'analgésique alternatif, ce qui était un mensonge total), un rapport de test frauduleux (ils ont caché le nombre de personnes décédées) et après avoir tué plus de 100 000 (certaines estimations sont beaucoup plus élevés).

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  49. L'approche Tylenol de 1982, longtemps enseignée dans les écoles de commerce comme un modèle de conduite des affaires, est passée par la fenêtre. Pfizer utilise à la place l'approche Vioxx de 2005 : financer les médecins, financer les hôpitaux, financer les régulateurs, financer les médias, financer tout chien de garde imaginable au-delà d'une certaine taille, financer les deux partis politiques et quand il est temps de répondre de ce qui s'est passé, personne n'aura l'air mauvais , personne n'ira en prison et les affaires repartiront en plein essor d'ici un an.

    Si quelqu'un pose trop de questions, inventez simplement une nouvelle maladie - le SADS - et convainquez le public qu'elle a toujours existé.

    Pfizer a tiré une leçon importante du rappel de Tylenol en 1982 : si vous payez plus de personnes qui ont motivé le rappel - médecins, salles d'urgence, médias et de nombreux niveaux de gouvernement - alors il n'y aura plus de structures dans la société pour demander le rappel.

    Tout cela serait si triste, sauf que…

    Tout cela serait si triste si ce n'était pour des écrivains comme moi et des lecteurs comme vous. Ceux qui veulent la vérité peuvent accéder à la vérité.

    C'est pourquoi j'écris ce bulletin électronique. C'est pourquoi j'écris des livres comme Face Masks in One Lesson et Face Masks Hurt Kids. C'est pourquoi j'écris ma chronique LewRockwell.com, publie sur substack, fais des interviews avec les médias, donne des cours et donne des discours publics.

    Vous voyez, dans la longue liste des régulateurs mentionnés ci-dessus, les planificateurs centraux pensaient que les planificateurs centraux sont enclins à penser et ont oublié une liste importante de régulateurs, le plus important de la liste - les régulateurs du marché - vous et moi. Le peuple libre, prenant des décisions libres. Même s'ils ont essayé de décourager ce travail important que nous faisons, ils ont massivement échoué à faire taire les voix massives de la dissidence, une dissidence qui peut être aussi simple que de dire "Non, merci". Cette dissidence peut aussi être beaucoup plus impliquée.

    Les dirigeants de Pfizer ne s'en tireront pas avec les maux de 2020 et au-delà de la façon dont ils s'en sont sortis avec les maux du Vioxx. Le gouvernement ne le fera pas. Les médecins ne le feront pas. Il y aura des comptes à rendre avant la fin de cette période. Nous ramènerons la tyrannie à un niveau de liberté longtemps inconnu dans le monde. Ce sera l'un des résultats les plus miraculeux de cette période torturée que nous traversons.

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  50. Nos systèmes nous ont fait défaut, mais au fur et à mesure que vous et moi avançons dans la vie, nous créons de nouveaux systèmes et certains d'entre nous sont également occupés à retrouver les anciens.

    Les enjeux sont élevés, mais la vérité est que nous vivons une belle époque. Ce serait tellement plus sombre sans que des gens comme vous et moi se rencontrent dans des endroits comme celui-ci, puis sortent dans le monde et apportent des changements.

    Merci pour ça.

    Les moteurs de recherche vous cachent la vérité. Si vous utilisez Duck Duck Go, vous utilisez le moteur de recherche le plus censuré. Visitez RealStevo.com/search pour découvrir les 11 moteurs de recherche, tels que Duck Duck Go, qui sont tout simplement horribles. Ils ont été rigoureusement testés par mon équipe et moi avec les détails choquants et transparents de notre rapport sur le sujet. Plus important encore, apprenez les 2 moteurs de recherche les moins censurés, afin de ne plus vous faire cacher la vérité. Tout cela apparaît sur la toute première page de ce rapport.

    https://www.lewrockwell.com/2022/06/allan-stevo/sads-missing-from-my-dictionary-pfizers-new-approach/

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  51. Agence britannique de la santé : 99 % des cas de monkeypox sont des hommes homosexuels


    15 JUIN 2022
    BLOG ALGORA
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Une enquête sur les cas de monkeypox menée par l'Agence britannique de la santé a révélé que 151 participants sur 152 sont des hommes qui "s'identifient comme homosexuels, bisexuels ou ayant des rapports sexuels avec des hommes".

    L'enquête a révélé que 311 (99 % de 314) cas étaient des hommes, avec seulement 3 cas féminins confirmés.

    "Cent cinquante-deux cas ont participé à des questionnaires plus détaillés, mis en place à partir du 26 mai 2022, et utilisés rétrospectivement", a révélé l'enquête.

    "Dans ces données, 151 des 152 hommes interrogés se sont identifiés comme homosexuels, bisexuels et autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (GBMSM), ou ont signalé des contacts avec le même sexe, et l'individu restant a refusé de divulguer cette information."

    📝 152 cas ont participé à des questionnaires plus détaillés. Tous étaient des hommes.

    📝 151 des personnes interrogées se sont identifiées comme gays, bisexuelles ou hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, ou ont déclaré avoir eu des contacts homosexuels.

    🧳 Voyage : 75 cas ont signalé un voyage à l'étranger dans les 21 jours précédant l'apparition des symptômes

    – Agence britannique de sécurité sanitaire (@UKHSA) 10 juin 2022

    Les premières épidémies de monkeypox sont apparues dans un sauna gay en Espagne et un festival fétiche en Belgique.

    Bien que les cas de monkeypox soient majoritairement des hommes homosexuels, certains critiques ont suggéré que l'encouragement des autorités sanitaires pour les hommes homosexuels qui soupçonnent qu'ils pourraient avoir attrapé le virus à s'abstenir d'avoir des relations sexuelles est "homophobe" et une forme de "stigmatisation".

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  52. Comme nous l'avons souligné précédemment, le premier patient atteint de monkeypox à être rendu public a révélé qu'il avait attrapé le virus après avoir eu des relations sexuelles homosexuelles avec "environ 10 nouveaux partenaires" après avoir été expulsé de Dubaï pour avoir été testé positif au VIH.

    Bien que la variole du singe se soit propagée par contact étroit et que l'Organisation mondiale de la santé ait déclaré que les festivals d'été devraient être limités pour arrêter la propagation du virus, un porte-parole de l'OMS a précisé plus tard que les défilés de la fierté gay devraient se dérouler normalement.

    « Bien que la majeure partie du monde ait été confinée à cause du covid avec des dizaines de millions de personnes perdant leur emploi, les autorités de santé publique ont clairement indiqué que demander aux homosexuels de cesser d'avoir des relations sexuelles avec des dizaines d'étrangers pour arrêter la propagation de la variole du singe est intenable. », écrit Chris Menahan.

    L'enquête de l'Agence britannique de la santé a également révélé que 81% des cas étaient des personnes résidant à Londres.

    Comme nous en avons discuté précédemment, le NHS au Royaume-Uni a publié un message sur son site Web exhortant les gens à ne pas toucher ou consommer de la «viande de brousse», qui est disponible sur le marché noir dans des quartiers ethniquement divers de Londres et peut provoquer la propagation du monkeypox.

    https://www.algora.com/Algora_blog/2022/06/15/uk-health-agency-99-of-monkeypox-cases-are-gay-men

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