- ENTREE de SECOURS -



samedi 25 juin 2022

La vidéo qui montre que nous sommes devenus des otages sanitaires. Dérapage totalitaire en prime.

 


JUIN 24, 2022
 PAR LHK

Le film belge qui retrace à merveille le scénario du narratif covidien. Manipulation de masse, fausses statistiques, corruptions en tous genres, et autres exclusions sociales qui mènent les gens du désespoir à l’obéissance. La finesse avec laquelle le réalisateur arrive à restituer les divers niveaux du cauchemar, qui dure depuis plus de 2 ans, est à relever absolument.

60 commentaires:

  1. Film de propagande pro-assassinats de milliards de personnes dans le monde sous la FAUSSE information qu'il existerait une poussière (virus) dans l'air et qui serait mortelle !

    Attention ! Il ne s'agit PAS d'un microbe (maladie) mais d'une poussière (virus) dite 'intelligente'. Cette nano-particule d'oxyde de graphène (poison mortel violent) N'EST PAS dans l'air mais UNIQUEMENT disponible en seringues. Si t'es piqué: tu l'as, si tu l'as: tu meurs !

    Cette expérimentation génique d'essais propose des nano-particules enrobées. Le fait d'être dragéifiées fait que l'organisme peut les accepter, elles servent en premier de relais entre les émetteurs extérieurs et ces récepteurs intérieurs qui communiquent les informations aux neurones de l'individu désormais dirigé et qui peut être foudroyé en moins d'une seconde si elles se décortiquent !

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  2. La mort légale, à petites doses, ou l’hypocrisie de notre société


    Par Maryse Laurence Lewis
    Mondialisation.ca,
    22 juin 2022


    Je suis d’accord à ce qu’on ne doive pas condamner à des mois de prison les vendeurs de cannabis indépendants. L’hypocrisie vient des privilèges que les gouvernements octroient aux gros trafiquants. Leurs cellules sont proprettes, ils ont droit à une suite et à recevoir leur épouse. En échange d’une caution, on leur redonne la clé des champs… à faire fructifier. Comme on a montré leurs trognes au téléjournal, on croit que justice est faite. Et cependant, voici une anecdote dont je fus témoin : la sœur d’un agent de la Gendarmerie Royale du Canada, au jour de l’an nouveau, reçoit un cadeau de son frérot : une belle brique de haschich! Ce n’est certes pas un cas isolé.

    D’un côté, on veut calmer les gens, en légalisant le cannabis. De l’autre, on les maintient dans l’anxiété, avec des statistiques de décès par virus. Je cite une étude que personne ne brandit sur la rue :

    « Les personnes âgées de 65 ans et plus représentaient 94,1 % de tous les décès attribués à la COVID-19 au Canada, et plus de la moitié des décès (54,6 %) sont survenus chez les personnes de plus de 84 ans. » 1

    Autrement dit, on reconnaît que la majorité des mortalités touchaient les gens affaiblis par la vieillesse, ayant déjà une santé en déclin.

    « Les Canadiens de moins de 40 ans n’ont en grande partie pas été touchés par les effets directs de la pandémie — un peu plus de 50 décès en 2020 ont été attribués à la COVID-19 chez les personnes de ce groupe d’âge. Toutefois, on a observé une augmentation du nombre de décès attribués à d’autres causes, y compris les méfaits liés aux substances, dans les groupes d’âge plus jeunes. » ¹

    Les décès attribuables à des intoxications accidentelles et des surdoses vont comme suit :

    En 2017 : 4,830 morts

    En 2018 : 4,501 macchabées

    En 2019 : 3,705 défunts

    En 2020 : 4,604 décès

    On note une augmentation du nombre de décès provoqués par l’alcool, en 2020, en particulier chez les personnes de moins de 65 ans. Chez les moins de 45 ans, la mortalité causée par l’alcool est passée d’une moyenne de 360 décès annuels, entre 2017 et 2019, à 542 en 2020.

    Chez les personnes de 45 à 64 ans en 2020, ce fut 1,946 macchabées. Et ces statistiques n’englobent pas les décès provoqués par les accidents de la route, dans lesquels l’alcool est souvent la cause. 1

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  3. Et vous pensez que le port du masque, les vaccinations répétitives (qui n’empêchent pas les réinfections), sont des mesures décrétées pour la santé publique ? Dès que les profits ont commencé à baisser, dans les locaux étatiques de vente d’alcool et de cannabis, le gouvernement québécois s’est empressé d’exempter ces lieux de l’obligation d’exhiber un passeport vaccinal…

    Un humoriste au pouvoir

    Lorsqu’on demande au Premier ministre d’aider les gens à faibles revenus, face aux spéculateurs qui achètent des édifices à logements, pour ensuite les revendre en condominium coûteux, M. Legault répond, avec un humour correspondant à sa subtilité, qu’il pourrait geler le prix du cannabis! Il ne subsiste pas dix appartements libres à prix abordables, dans tout le Québec. Les articles ont augmenté de prix en deux ans, seuls les opportunistes non taxés, vendant sur Internet, se sont enrichis. Pourtant, comme Macron, en France, M. Legault sera peut-être réélu. Des propriétaires exigent des nouveaux locataires 500 dollars mensuels de plus qu’aux anciens, judicieusement évincés, mais les citoyens voteront pour l’homme qui a promis de « remettre l’argent dans le portefeuille des Québécois ». M. Legault a tenu sa promesse, en effet. En 2022, le Premier ministre fit cadeau d’un 275 dollars, suivi d’un envoi de 500, au peuple touchant 50,000 dollars de revenus ou moins. Un beau 775 dollars remis aux citoyens, grâce à leurs impôts, pendant que 161 dirigeants ont reçus, eux, un chèque de plus de 200,000 dollars ! Et 134 cadres, nommés par l’État, jouissent d’une rémunération supérieure au Premier ministre, incluant allocations et indemnités.

    La loterie maximale revient à M. Charles Emond, PDG de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec, ayant pour salaire de base 550,000 dollars qui, joints à de multiples primes, s’arrondissent à 6,3 millions. L’ancien directeur national de la santé publique, Horacio Arruda, bénéficie encore à présent de 319,700 dollars et son successeur, Luc Boileau, de 323,840 billets doux. La présidente d’Hydro-Québec, Sophie Brochu, en plus de ses 598,560$, s’est vue ajouter une prime de 269,232 dollars. (Quand la date limite de paiement d’électricité approche, on nous envoie une lettre de menace, même pour une facture de 60 dollars.) Lisez l’article en référence, vous verrez la suite, tout aussi intéressante! Et, en homme prudent, M. Legault accorde un gain salarial de 21,8% aux 308 juges de la Cour du Québec! Pendant que certains gagnent 100 dollars l’heure, le salaire minimum, depuis mai 2022, est de 14,25 $. Pour les employés recevant des pourboires, 11,40 $. La cerise sur le gâteau revient aux cueilleurs de framboises et fraises, avec 4.01 $ à 4,23 $ l’heure et 1,07 $ à 1,13 $ du kilo. Je cite l’annonce qui en est fière :

    « La hausse du salaire minimum permettra aux travailleuses et travailleurs ainsi qu’aux entreprises de profiter du dynamisme économique actuel. Elle augmentera ainsi le pouvoir d’achat des salariés et réduira l’incidence de la pauvreté, tout en respectant la capacité financière de payer des entreprises sans nuire à leur compétitivité. »

    Ne désespérons point. L’indice de lucidité de nos gouvernants n’est pas à la hausse. Leur sens de l’humour demeure toujours aussi gratuit. 2

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  4. Des prétentions curatives hallucinantes

    Chaque histoire étant particulière, je pense qu’on ne doit pas juger les adeptes de la drogue. Tout comme un individu obèse ne devrait jamais être ostracisé, victime d’insultes ou de moqueries. On ne me fera pas croire, cependant, que l’acceptation telle quelle est une attitude favorable. On ne me convaincra pas que l’excès d’alcool et la prise régulière de drogues n’est pas nuisible pour la santé, de même que l’absorption de nourriture grasse ou trop sucrée. Aucune combustion exhalant de la fumée n’est bonne pour la santé. Seules des molécules précises, extraites du cannabis, peuvent calmer des douleurs intenses. Que Santé Canada ait autorisé la vente d’herbe équivaut à leur acceptation de médicaments inutiles, provoquant plus d’effets secondaires que de bienfaits.

    Si on disait : “On doit accepter une personne obèse telle qu’elle est, sans chercher à modifier ses habitudes, et lui fournir la nourriture en excès dont elle se gave, sans lui recommander de faire d’exercice », et même, proposer d’ouvrir un Centre de supervision où les obèses pourraient avoir accès à de la nourriture grasse, mauvaise pour leur santé, mais… sous supervision médicale ! Qu’en penseriez-vous ? C’est le même raisonnement que j’envoie aux gens qui ouvrent des Centres d’injections supervisées. Qu’un individu choisisse de mal s’alimenter ou de se droguer, c’est son choix. L’encourager, c’est une autre affaire. Les Centres déjà établis ne démontrent pas une baisse de mortalité par surdoses. Au contraire, les utilisateurs ont tellement confiance dans la présence d’un professionnel de la santé, sur place, qu’ils amplifient parfois leur dose, en proportion fatale, ce que nulle personne diplômée en soins médicaux ne peut empêcher. Tout comme les études pour contrer la pauvreté ne changent rien aux causes de son augmentation, les Centres d’injection ne solutionnent pas l’origine de la consommation.

    Originaux ? Marginaux ? Non. Amorphes comme on aime les citoyens

    Chaque adepte couve un passé et des motifs particuliers. Il est cependant possible d’extraire deux incitations fréquentes à la prise de drogue ou d’alcool, au point d’en faire l’objectif primordial d’une journée, et même d’une existence… La première est de focaliser constamment sur des faits passés. On ne s’attarde sur le passé que lorsqu’on est insatisfait du présent… Qu’on nous ait fait souffrir ou négligé, jadis, ne justifie pas qu’on continue soi-même à se torturer en y pensant. La deuxième, c’est le manque de passion. Pour ne pas dire le manque d’imagination… C’est un cercle vicieux : le manque de goût pour l’apprentissage, les arts, la pratique d’un sport, la lecture, la créativité dans un ou plusieurs domaines, peut mener les personnes ayant vécu un abandon, une peine, de la violence, à se tourner vers l’alcool ou la drogue. Et une fois que cette habitude est prise, il n’y a rien de moins stimulant que la vie quotidienne! Rien n’est plus ennuyant que retomber dans le monde ordinaire, les tâches prosaïques, la routine. Même avec une envie de ne plus consommer, redevenir sobre risque de paraître le summum de la platitude! Alors, même être acculé à la prostitution, assujetti aux vendeurs, aux douleurs du manque, aux problèmes de santé qui s’accumulent, rien ne fera en sorte que la tempérance semblera attirante…

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  5. C’est pourquoi les Centres d’injections supervisées ne règlent rien de l’origine de ce dilemme. Ce qu’il faut, et c’est exactement le contraire de ce que promeuvent les psychologues et les associations telles que les toxicomanes ou alcooliques anonymes. Malgré leurs bonnes intentions, ces associations n’ont pas compris qu’il est néfaste d’inculquer à leurs membres ceci :

    ► La peur de la rechute qui les guette constamment.

    ► Le fait qu’ils sont alcooliques ou drogués et qu’ils le seront toute leur vie, même en cessant de consommer.

    ► L’obligation de répéter sans cesse, à chaque fois qu’ils prennent la parole, qu’ils sont alcooliques ou drogués, comme s’ils n’étaient rien de plus que cela.

    ► La nécessité de s’en remettre à une puissance supérieure, quelle qu’elle soit.

    ► Et, dans le cas des psychologues, centrer la guérison d’un problème dans le fait de se le réinjecter constamment, en focalisant là-dessus.

    Après en avoir parlé, discuté, le psychologue qui veut réellement délivrer son patient devrait plutôt lui conseiller de ne plus centrer ses pensées sur des circonstances passées, mais plutôt s’occuper du présent, développer ses aptitudes, une passion, s’efforcer à acquérir des connaissances, une dextérité manuelle, un art. Bref, créer au lieu de ressasser les mêmes vieilles histoires, de se dire qu’on ne peut pas s’en sortir. Et surtout, ne plus tarder à prendre une décision pour changer des circonstances nuisibles. De même, pour les drogués qui sortent d’un Centre de désintoxication, la rechute est à prévoir, s’ils ne s’engagent pas immédiatement dans des activités qui leur apportent du plaisir, une évolution de leurs capacités. Sinon, ils ne sauront pas quoi faire d’autre que vivre le quotidien, s’ennuyer et… recommencer à se droguer.

    Une nouvelle approche psychologique

    Ce sont donc des psychologues aptes à pressentir les désirs et les capacités des patients qu’il nous faudrait. Afin de les aider à définir ce qu’ils aimeraient faire, apprendre, pratiquer. Et au lieu de Centres d’injections supervisés, ouvrir des Centres où l’on offrirait gratuitement des ateliers d’artisanats, de sculpture, de peinture, de théâtre, musique ou de sports (pour nommer ces possibilités entre bien d’autres), on arriverait bien mieux à solutionner les problèmes qui découlent de la consommation : la mauvaise santé, le découragement, la prostitution forcée, la difficulté à garder un logement, les préjugés concernant leur espace dans la société.

    Si les victimes d’un passé pénible ne cessent pas de faire revivre ce passé, au lieu de modifier leur présent, ils ne feront que rechuter. Éradiquer l’origine de la consommation est plus urgent que de soutenir un cycle de problèmes. Gaspiller 12 millions de dollars, pour aider les gens à s’injecter, en attendant qu’ils déclinent, meurent, ou aient assez d’imagination pour décider de faire quelque chose d’autre que s’imbiber de drogue ou d’alcool, c’est hallucinant…

    Si nous n’avons qu’une vie, ne pas voir au-delà d’anciens malheurs, se confiner dans un monde étroit où ne subsiste que le désir de drogue ou d’alcool, est-ce que ça vaut mieux que la mort? Alors, autant l’affronter dans la rue, au hasard, plutôt que la trouver dans un Centre sous supervision médicale. Dans certains pays, les jeunes n’ont pas de possibilité de s’extraire de la pauvreté. Ils se tournent vers les drogues peu coûteuses, comme la colle ou les émanations de gaz. Ils se suicident lentement. Dans des régions comme le Québec, à part de rares cas, les gens peuvent obtenir un montant d’aide sociale et des soins gratuits. Et ce n’est pas la pauvreté désespérée qui incite les gens à consommer, parce que les drogues injectées coûtent des milliers de dollars par année.

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  6. Le militantisme de consommation

    Si les manifestants des années 1960 ne s’étaient pas enfumés eux-mêmes, dans des volutes de cannabis, la politique en aurait peut-être surgit nettoyé. Toute cette fumée, finalement, n’a servi qu’à boucaner le poisson, en vue d’une bonne conservation, après avoir mordu à l’hameçon d’où pendaient trop de verres… Le bouquet, éclos en 1968, n’a pas semé des graines de rebelles. Il se fane, embaumé par cette phrase, facile à interpréter par les faucheurs de pensées : « si vous êtes cons ben dites oui à Macron ! ». Combien de porteurs de gilets jaunes ont paradé, puis retourné leur veste aux dernières élections ? Ces beaux gilets qui servent peut-être à enrichir un ami de ministre plus qu’à signaler un cas de panne sur la route. Au Québec, le « printemps érable » a fait couler plus de salive qu’il n’a récolté de sève. Depuis, le principal péroreur empoche son salaire de dé-puté et réitère le discours bien-pensantiste à la mode androgyne.

    Au Canada, fiston Trudeau copie feu-papa PET en tout acte. Ce dernier tentait de « décriminaliser progressivement la possession simple de cannabis », en 1969. À présent, il est en vente libre, cultivé en grands champs, dont les concessions furent attribuées aux amis de Justin Trudeau. M. Chuck Rifici, Directeur du financement du Parti Libéral, vient de quitter ses fonctions de PDG de Tweed marijuana, une entreprise productrice de pot thérapeutique, accréditée par Santé Canada, mais reste membre de l’administration. Jimmy Cournoyer, grand vendeur de cannabis, vient d’être condamné à 27 ans de prison aux États-Unis. M. Rifici, lui, vit son pécule augmenter, suite à l’entrée en Bourse de sa compagnie. Le commerce de la même drogue enrichit un ami de Justin Trudeau, pendant qu’un autre fulmine derrière les barreaux. Treize entreprises recèlent d’un permis de production de cannabis. Tous en conflits d’intérêts avec le Parti Libéral. Avec l’augmentation des consommateurs prévue, les policiers n’auront nulle nécessité de vaporiser des manifestants, portant ou non des masques, avec du gaz lacrymogène. Les gens s’anesthésieront eux-mêmes, tout en payant leur herbette plus chère qu’aux petits vendeurs autonomes. ³

    Notre société est basée sur une perpétuelle hypocrisie et ce n’est pas en cachant une plaie sous un joli pansement qu’on la guérie.

    Maryse Laurence Lewis

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  7. Notes-Références :

    1. La publication Tables de mortalité, Canada, provinces et territoires (Numéro au catalogue84-537-X) est maintenant offerte. La publication Méthodologie des tables de mortalité pour le Canada, les provinces et les territoires (Numéro au catalogue84-538-X) est également disponible. Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec nous au 514-283-8300 ou composez sans frais le 1-800-263-1136 (infostats@statcan.gc.ca), ou communiquez avec les Relations avec les médias (statcan.mediahotline-ligneinfomedias.statcan@statcan.gc.ca).

    2.1 https://www.tvanouvelles.ca/2022/05/17/plus-de-130-cadres-nommes-par-quebec-gagnent-plus-que-le-pm-1

    2.2 https://www.appuipme.ca/nouvelles/44/hausse-du-salaire-minimum-au-1er-mai-2022/

    3.1 https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1130834/legalisation-cannabis-trudeau-histoire-liberaux

    3.2 https://www.journaldemontreal.com/2018/01/11/lindustrie-du-cannabis-creee-par-des-elus-subjugues

    3.3 https://www.journaldemontreal.com/2014/09/03/un-liberal-fait-fortune-grace-au-pot

    https://www.mondialisation.ca/la-mort-legale-a-petites-doses-ou-lhypocrisie-de-notre-societe/5669177

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  8. Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine


    Par Dre Nicole Delépine et Prof Michel Chossudovsky
    Mondialisation.ca,
    24 juin 2022



    « Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes loin de la vraie médecine et probablement trop proche des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser sa vie, en tous cas dors et déjà leur vie d’artiste.

    Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination anticovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans – qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux . On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par big pharma et/ou affidés.

    Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. « (…)

    Dre Nicole Delépine

    Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans?, Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

    Michel Chossudodovsky s’entretient avec Dre Nicole Delépine *, pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France.

    - voir clip sur site -

    Voir également la vidéo sur le site de LUX MÉDIA

    Pour aller plus loin :

    Les enfants sacrifiés du covid: génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué

    * Nicole Delépine :

    Médecin hospitalier temps plein, elle s’est battue, depuis plus de 30 ans avec son équipe, pour améliorer les prises en charge des malades atteints de cancer en privilégiant la médecine individualisée, c’est-à-dire en tenant compte à chaque moment du traitement de la réponse de la tumeur mais aussi de la réaction de l’organisme aux drogues avec adaptation de posologie en temps réel des chimiothérapies.
    La fermeture brutale de son unité en août 2014 par des procédés policiers et coercitifs racontés dans son dernier et au mépris de l’accord contractuel entre l’assistance publique et le ministère signé en 2004 et jamais remis en cause est le prélude symbolique à la destruction du système de santé. Elle continue par des conférences et contributions écrites à mobiliser pour la liberté de soigner et d’être soigné.
    Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses communications dans les congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux.

    (https://www.fauves-editions.fr/index.asp?navig=auteurs&obj=artiste&no=40069)

    https://www.mondialisation.ca/justin-bieber-celine-dion-victimes-du-vaccin-covid-avec-michel-chossudovsky-et-nicole-delepine/5669230

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  9. Stop aux pass, chantages inefficaces sur la maladie et sources de méfiance contre la vaccination


    Par Dr Gérard Delépine
    Mondialisation.ca,
    24 juin 2022


    Le gouvernement s’est félicité de l’efficacité des pass et rêve de les prolonger. Pourtant dans le monde réel, les pass sanitaires se sont révélés sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux. Les chiffres publiés par l’OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle.

    Israël a été le pionnier du pass et y a renoncé

    Lors de la première vague, le pic de nouveaux cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les contaminations ont été de plus en plus nombreuses. Fin janvier 2022 le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000 et en juin 2022 le total des contaminations cumulées dépassait 4,2 millions six fois plus qu’avant l’instauration des pass.

    - voir graph sur site -

    La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

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    Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le pass vert sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».. Constatant cet échec, le gouvernement israélien a mis fin au pass.[1]

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    Le sévère échec du pass en Grande-Bretagne a justifié sa suppression

    La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est patent.

    Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

    Partout en Europe le même constat d’inefficacité des pass s’est imposé. Le Danemark, l’Irlande, l’Islande, Malte, la Tchéquie, la Roumanie, la Hongrie, le Portugal, la Belgique, l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Suisse, la Suède, la Finlande, L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et l’Italie ont observé l’échec total du pass contre l’épidémie avec l’arrivée d’Omicron.

    - voir graph sur site -

    Et la quasi-totalité de ces pays (Suisse, Suède, Slovénie, Slovaquie, Royaume-Uni, Roumanie, République tchèque, Pologne, Pays-Bas, Norvège, Autriche) a abandonné cette mesure inefficace.

    En France aussi les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron. Nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques (pass vaccinal dans les hôpitaux et obligation vaccinale pour les soignants et pompiers) et compté autant de contaminations !

    Avant l’instauration des pass, en dix-sept mois d’épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l’épidémie.

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  10. Tout dirigeant objectif reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ses mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie. Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits avérés et persistent dans leur autoritarisme religieux médicalement stupide et socialement tragique tant pour les professionnels concernés[2] que pour la population privée de leurs compétences avec plus de 20 % des lits fermés faute de soignants, des urgences incapables d’assurer leurs missions et des déserts médicaux qui se multiplient partout.

    Même l’INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination
    Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agissait pour lui que d’un chantage brutal pour imposer la pseudo vaccination pourtant sans intérêt médical.

    Mais même dans ce but les pass sont contre-productifs ainsi que vient de l’affirmer l’étude récente de l’INSERM parue dans Nature[3] :

    « Le laissez-passer sanitaire a encouragé la vaccination de nombreuses personnes hésitantes ou réticentes, mais il n’a pas réduit l’hésitation elle-même. Une enquête de septembre 2021 a révélé que 42 % des personnes vaccinées étaient encore réticentes ou avaient des doutes sur le vaccin au moment de leur première dose[4]. Plus important encore, la part des personnes vaccinées ayant des doutes sur le vaccin est passée de 44 % à 61 % après la mise en place du pass santé. Les leçons tirées du laissez-passer sanitaire COVID-19 en France suggèrent que des mesures coercitives telles que la vaccination obligatoire peuvent être efficaces pour augmenter les taux de vaccination, mais ne résolvent pas tous les problèmes qui affectent l’adoption. La vaccination obligatoire contre le COVID-19 risque de politiser davantage la vaccination et de renforcer la méfiance à l’égard des vaccins ».

    - voir graph sur site -

    « Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l’égard des institutions et du système de santé ».

    Ces constatations publiées dans Nature par l’INSERM sont d’autant plus remarquables que l’institut national de la santé et de la recherche en médecine, est un fervent partisan des vaccinations tous azimuts.

    Pour sortir de cette situation ubuesque et retrouver la confiance de la population, il est nécessaire que l’état cesse de suivre les recommandations sanitaires de cabinets de conseils trop liés aux industriels du vaccin, qu’il supprime les censures, qu’il reconnaisse ses erreurs, qu’il pratique la transparence totale sur les données sanitaires réelles au lieu de publier des analyses de pure propagande et qu’il base enfin ses décisions sur l’examen des faits réels au lieu de croire en des simulations biaisées.

    Dans l’immédiat, il faut supprimer toutes les mesures restrictives des libertés et en premier lieu le pass sanitaire dans les hôpitaux et réintégrer les pompiers et soignants injustement exclus. Mesures qui ne coûteraient pas grand-chose et qui permettraient au système de santé de souffler un peu.

    Dr Gérard Delépine

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  11. Notes :

    [1] https://www.rtbf.be/article/coronavirus-pionnier-du-pass-sanitaire-israel-annonce-son-abandon-10937556

    [2] Rappelons le sort inhumain imposé aux pompiers et soignants vaccino prudents qui ont eu l’honnêteté (le tort ?) de ne pas se faire de faux certificat de vaccination alors qu’ils pouvaient probablement facilement les obtenir aussi facilement que les politiques, et qui se retrouvent sans travail, sans chômage, obligés de changer de profession pour ne pas devenir SDF. Une pareille brutalité n’avait jusqu’ici réservée qu’aux citoyens juifs par Hitler.

    [3] Jeremy K. Ward, Fatima Gauna, Amandine Gagneux-Brunon, Elisabeth Botelho-Nevers, Jean-Luc Cracowski, Charles Khouri, Odile Launay, Pierre Verger and Patrick Peretti-Wate The French health pass holds lessons for mandatory COVID-19 vaccination.

    [4] Ward, J. K. et al. http://www.orspaca.org/sites/default/files/Note-SLAVACO-Vague2.pdf (2021)

    https://www.mondialisation.ca/stop-aux-pass-chantages-inefficaces-sur-la-maladie-et-sources-de-mefiance-contre-la-vaccination/5669250

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  12. Le coût de l'insuline entraîne l'endettement de 80 % des Américains diabétiques : enquête


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 24 JUIN 2022 - 22:40


    Une nouvelle enquête révèle que le coût de l'insuline pousse de nombreux Américains diabétiques à s'endetter, les forçant à rationner les médicaments alors qu'ils luttent pour payer d'autres frais de subsistance.

    L'enquête, menée par CharityRX, a révélé que 79 % des personnes interrogées ont déclaré que les coûts de l'insuline avaient créé des difficultés financières pour eux personnellement ou pour les personnes dont ils s'occupaient - avec ou sans assurance maladie, rapporte The Hill. 80 % des personnes interrogées ont déclaré avoir dû contracter une dette de carte de crédit pour se payer le médicament.

    De plus, en moyenne, les Américains diabétiques s'endettent de 9 000 $ pour couvrir ces coûts.

    Ce coût a de sérieuses implications, car 83 % des répondants ont indiqué qu'ils craignaient de ne pas pouvoir payer leurs frais de subsistance - tels que les vêtements, la nourriture et leur loyer ou leur hypothèque - en raison des coûts élevés de l'insuline.

    La pression pour acheter de l'insuline a même poussé 63 % des personnes à envisager de vendre des biens personnels précieux et 32 % à envisager de vendre des ordonnances ou des médicaments illicites pour obtenir l'argent nécessaire pour acheter de l'insuline.

    Plus de la moitié des répondants, 62 %, ont sauté et/ou ajusté leur dose d'insuline pour réduire les coûts. -La colline

    "Alors que la pandémie a aggravé cette situation, le rationnement de l'insuline est une crise qui dure depuis des décennies. Le prix de l'insuline a presque triplé entre 2002 et 2013, et la tendance à la hausse a rendu encore plus difficile l'achat de ce médicament qui sauve des vies. des millions d'Américains vivant avec le diabète", a déclaré l'American Diabetes Association dans un communiqué.

    Selon CharityRX, la nouvelle législation entraînerait des économies potentielles de 91 % en plafonnant les coûts de l'insuline à 35 $, ou 25 % du prix négocié d'un régime d'assurance maladie, selon le montant le moins élevé.

    L'enquête intervient alors qu'un groupe bipartite de sénateurs travaille sur une législation qui plafonnerait le coût de l'insuline, après que le président Biden a annulé une mesure de l'ère Trump conçue pour réduire les frais d'insuline directs pour les personnes âgées sous Medicare.

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  13. Plus via CharityRX;

    Le prix exorbitant de l'insuline aux États-Unis a contraint de nombreux diabétiques et leurs soignants à prendre des décisions difficiles et à faire des compromis qui mettent leur santé et/ou leurs moyens de subsistance en danger. Parmi les 4 sur 5 qui ont eu des difficultés financières à cause du prix de l'insuline :

    83 % disent avoir craint de ne pas pouvoir payer leurs frais de subsistance en raison des coûts élevés de l'insuline, de la réduction des dépenses telles que les vêtements (55 %), les frais de nourriture (50 %) et pour certains, même le loyer/l'hypothèque (29 %)
    63 % ont ressenti des pressions pour vendre des biens personnels précieux (63 %), se mettre dans des situations à risque (50 %) ou vendre des ordonnances ou des médicaments illicites (32 %) afin d'obtenir l'argent nécessaire pour l'insuline
    Dans un effort pour réduire les coûts, 62 % ont sauté et/ou ajusté la dose d'injections d'insuline pour eux-mêmes, ou en tant que soignant pour quelqu'un d'autre afin de réduire les coûts
    Parmi ceux qui ont rationné leur insuline, les diabétiques ont subi les impacts négatifs suivants sur leur vie quotidienne :
    Incapacité à faire les activités quotidiennes (54%)
    Incapacité de travail (44 %)
    Admission à l'hôpital pour un ou plusieurs jours (38%)
    Incapacité d'aller à l'école (37 %)
    De plus, 38 % ont été hospitalisés pendant plus d'une journée et 33 % sont tombés malades avec un problème de santé supplémentaire en raison du rationnement de l'insuline.

    https://www.zerohedge.com/markets/cost-insulin-driving-80-diabetic-americans-debt-survey

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  14. Une nouvelle vaste étude du Qatar montre que les mandats de vaccination n'ont jamais été justifiés


    June 25th, 2022


    Une nouvelle étude montre que la protection naturelle est toujours bonne à 50 % après dix mois, tandis que la protection vaccinale s'estompe après 4 mois

    Le scandale total ici est que toutes ces personnes qui avaient une protection naturelle ont été forcées de prendre des vaccins pour se protéger d'Omicron, alors que les vaccins ne fournissaient qu'un bénéfice assez limité ou aucun avantage du tout.

    Une nouvelle étude a été basée sur l'ensemble de la population du Qatar. Il montre que les personnes qui ont attrapé les variantes plus anciennes d'origine avaient environ 50% d'immunité à attraper Omicron - même dix mois plus tard. Ceux qui ont été doublement vaccinés avaient si peu de protection six mois plus tard qu'elle était effectivement nulle. En effet, s'ils avaient Pfizer, leur efficacité était de moins 3,4 %, ce qui signifie qu'ils étaient légèrement plus susceptibles d'attraper Omicron que s'ils n'avaient pas eu de vaccins. Pour moderna, il était de moins 10 % au bout de six mois, ce qui semble, eh bien, pas bon.

    Dix mois plus tard, ceux qui avaient attrapé des variantes antérieures de Covid avaient encore 50 % de protection contre Omicron :

    La vaccination augmente le risque d'infection au COVID-19, mais une infection sans vaccination confère une immunité : étude
    Marina Zhang, Epoch Times

    Les auteurs de l'étude ont découvert que ceux qui avaient une infection antérieure mais pas de vaccination avaient une immunité de 46,1 et 50% contre les deux sous-variantes de la variante Omicron, même à un intervalle de plus de 300 jours depuis l'infection précédente.

    Les niveaux d'immunité pour deux vaccins COVID-19 sont tombés à des chiffres négatifs 270 jours après la deuxième dose de vaccin. Ces chiffres prédisent une tendance à une diminution plus rapide de l'immunité pour les vaccins par rapport à l'immunité contre les infections.

    Les résultats sont étayés par une autre étude récente menée en Israël qui a également révélé que l'immunité naturelle diminuait beaucoup plus lentement que l'immunité artificielle ou vaccinée.

    L'étude a révélé que l'immunité naturelle et artificielle diminuait avec le temps.

    Les personnes précédemment infectées mais non vaccinées présentaient deux fois moins de risques de réinfection que celles qui avaient été vaccinées avec deux doses mais non infectées.

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  15. La protection naturelle était aussi bonne que trois doses pour les résultats qui comptaient
    À partir de l'article, la première case ci-dessous compare les personnes prenant Pfizer ou attrapant d'anciennes versions de Covid et leur probabilité ultérieure d'attraper Omicron BA1. Fondamentalement, deux doses étaient inutiles et une fois que quelqu'un avait attrapé un covid, il lui fallait au moins trois doses avant qu'il n'y ait beaucoup d'avantages au-delà de ce qu'il avait déjà, et quand nous disons «avantage», nous ne parlons que d'une réduction de Covid symptomatique .

    L'encadré de droite montre à quel point tout type de protection était utile contre des conséquences graves, critiques ou mortelles. Des trucs remarquables. 100% partout.

    Gardez à l'esprit que la troisième dose "boostée" les personnes étaient généralement encore dans la période de lune de miel de sept semaines. Si cette étude était réalisée maintenant, quelques mois plus tard, les nombres de 3 doses ici pourraient ne pas sembler très différents des autres options, ou éventuellement, pourraient ressembler aux mauvais résultats de « 2 doses ». Nous ne pouvons pas dire à partir de cette étude.

    - voir graph sur site -

    Omicron, vaccins
    Fig 1. AB NEJM

    Les chiffres sont similaires pour la nouvelle variante d'Omicron appelée BA2 mais la protection était un peu inférieure (ci-dessous). Cela signifie que la nouvelle version d'Omicron qui a conquis le monde en janvier était légèrement meilleure pour échapper à la protection que celle de décembre. BA2 était définitivement un peu plus méchant pour certaines personnes. Et la protection contre une infection BA2 grave, critique ou mortelle était inférieure à une infection naturelle, bien que les barres d'erreur monstrueuses neutralisent toutes les déclarations simples.

    - voir graph sur site -

    Omicron, vaccins
    Fig 1.CD NEJM

    Cependant, tous les chiffres sont légèrement dépassés. Nous en sommes maintenant à Omicron 4 ou 5 environ.

    Suivi de la diapositive
    La période de lune de miel pour la vaccination dure trois mois, puis se dissipe rapidement au point qu'à six mois, la personne injectée aurait tout aussi bien pu ne pas avoir reçu de dose du tout.

    - voir graph sur site -

    Omicron, vaccins
    Fig 3. NEJM

    Il faut aussi dire que nous ne savons pas si attraper Omicron protège beaucoup contre attraper Omicron. Cela dure un certain temps, mais nous ne savons pas combien de temps. Il est possible qu'un cas bénin d'Omicron ne prépare pas les gens à une excellente protection à long terme, ce qui se passe actuellement avec d'autres coronavirus bénins normaux.

    Participants et doses - Notez que les troisièmes doses étaient très récentes dans cette étude
    Au cours de la période d'étude, 893 671 personnes ont reçu deux doses d'ARNm-1273, et 135 050 d'entre elles ont reçu une troisième dose. La date médiane de la première dose était le 28 mai 2021, la date médiane de la deuxième dose était le 27 juin 2021 et la date médiane de la troisième dose était le 12 janvier 2022.

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  16. RÉSULTATS

    L'efficacité d'une infection antérieure seule contre une infection BA.2 symptomatique était de 46,1 % (intervalle de confiance [IC] à 95 %, 39,5 à 51,9). L'efficacité de la vaccination avec deux doses de BNT162b2 [Pfizer] et aucune infection antérieure était négligeable (-1,1 % ; IC à 95 %, -7,1 à 4,6), mais presque toutes les personnes avaient reçu leur deuxième dose plus de 6 mois plus tôt. L'efficacité de trois doses de BNT162b2 et aucune infection antérieure était de 52,2 % (IC à 95 %, 48,1 à 55,9). L'efficacité d'une infection précédente et de deux doses de BNT162b2 était de 55,1 % (IC à 95 %, 50,9 à 58,9), et l'efficacité d'une infection précédente et de trois doses de BNT162b2 était de 77,3 % (IC à 95 %, 72,4 à 81,4). Une infection antérieure seule, la vaccination BNT162b2 seule et l'immunité hybride ont toutes montré une forte efficacité (> 70 %) contre le Covid-19 grave, critique ou mortel dû à une infection BA.2. Des résultats similaires ont été observés dans les analyses d'efficacité contre l'infection BA.1 et de vaccination avec l'ARNm-1273.

    Infection antérieure uniquement = 46 %

    Deux doses seulement = -1,1 % (essentiellement aucune protection)

    Trois doses (uniquement) = 52 %

    Infection plus deux doses = 55 %

    Infection plus trois doses = 77 %

    RÉFÉRENCE
    Heba N. Altarawneh, M.D. et al (2022) Effets d'une infection et d'une vaccination antérieures sur les infections symptomatiques à Omicron, NEJM, https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2203965?query=featured_home

    https://joannenova.com.au/2022/06/new-huge-study-from-qatar-shows-the-vaccine-mandates-were-never-justified/#more-84694

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  17. Pass sanitaire européen : qui a voté pour ou contre

    La prolongation du pass sanitaire européen (appelé Certificat COVID numérique de l’UE) a été acceptée par le Parlement européen ce jeudi 23 juin. Retour sur les résultats du vote.


    25 juin 2022
    Alexandre Massaux


    La prolongation du pass sanitaire européen (appelé Certificat COVID numérique de l’UE) a été acceptée par le Parlement européen ce jeudi 23 juin avec une large majorité : 453 pour et 119 contre (avant correction des votes). Il est toutefois possible de savoir comment ont voté les députés sur ce document (pages 44 et 45). Celui-ci est riche en enseignement sur leurs positions individuelles, mais aussi sur le positionnement des partis sur la question sanitaire.

    Le Rassemblement national, la France Insoumise et François-Xavier Bellamy contre le pass sanitaire

    L’ensemble des eurodéputés des Républicains (LR), de la majorité présidentielle, du Parti socialiste (PS) et des verts ont voté en faveur du certificat covid européen. À une exception près : le député des LR François-Xavier Bellamy a voté contre. Une position qui s’inscrit dans la continuité de son discours. Celui-ci pointait depuis le début le danger d’un changement de modèle de société.

    Outre François-Xavier Bellamy, on constate que seuls les députés du Rassemblement national (RN) et de la France Insoumise (LFI) ont voté contre.
    Là encore pas de surprise étant donné que les deux partis ont affirmé leur hostilité au pass sanitaire puis vaccinal au niveau national.

    Les partisans de l’UE votent pour, les eurosceptiques sont divisés

    Au niveau européen, les groupes politiques pour une Europe plus intégrée ont voté en faveur du prolongement du pass sanitaire. Les chrétiens-démocrates du Parti Populaire Européen (représenté par les LR en France), les centristes de Renew (la majorité présidentielle en France), les socio-démocrates (PS en France) et les Verts ont voté à la quasi-unanimité en faveur de la mesure. À l’instar de Bellamy, il y a eu quelques voix rebelles, mais elles sont rares (une dizaine en tout).

    Seul le groupe européen eurosceptique Identité et Démocratie (celui du RN) a voté entièrement contre.

    Celui-ci comprend principalement des députés de la Lega italienne et des membres de partis nationalistes européens.

    Plus ambiguës sont les positions des groupes de « La gauche » (dans lequel se trouve LFI) et des Conservateurs réformistes européens (ECR, sans représentants en France). Si la France Insoumise a voté contre, le reste de leur groupe semble être plutôt favorable au pass.

    Quant à l’ECR, plusieurs partis ont voté contre : la NVA belge, les Néerlandais JA21 et les frères d’Italie italiens. Inversement, les libéraux conservateurs tchèques de l’ODS ont voté pour. Au milieu, les députés polonais du parti au pouvoir se sont divisés en deux sur la question.

    Quant aux abstentionnistes, il s’agit principalement des députés fidesz hongrois, le parti dirigeant d’Orban.

    https://www.contrepoints.org/2022/06/25/433597-pass-sanitaire-europeen-qui-a-vote-pour-ou-contre

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    Réponses
    1. La dictature verte macronienne a voté POUR l'enfermement de la population française !

      C'est fou ce que la FAUSSE épidémie a pu démontrer l'étendue de la corruption en France !
      Avec les 'infirmières' qui sont payées 500 EUROS PAR JOURS pour injecter l'expérimentation génique d'essais létale à des millions d'enfants, de femmes et d'hommes !
      Plus: les docteurs et directeurs de cliniques et d’hôpitaux qui reçoivent 5000 EUROS pour chaque personnes
      décédées de vieillesse, cancer, diabète, accident, suicide, etc étiquetée 'cocovide19' !!

      Alors que dès les premiers jours a été rendue publique la découverte de particules mortelles dans le faux 'vaccins', les nazis soutiennent l'extermination de la population mondiale !

      Mais, rassurez-vous, AUCUN des partis dits 'd'opposition' n'a dénoncé le contenu des flacons injectables depuis 2 ans !!

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  18. Pétrole: les marchés asiatiques comme priorité


    Par Mikhail Gamandiy-Egorov
    Mondialisation.ca,
    24 juin 2022


    Le secteur pétrolier traduit une configuration mondiale qui suit parfaitement les changements majeurs observés sur la scène internationale, dans le cadre de l’ordre multipolaire. Et en ce sens, l’Occident est loin de représenter une quelconque priorité.

    «Grâce à la Chine et l’Inde, le pétrole rapporte encore gros à la Russie» – annonce la chaîne Euronews – l’un des principaux porte-voix des européistes bruxellois. En effet, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), cité par ledit reportage – la Russie a tiré des exportations de pétrole un revenu estimé à 20 milliards de dollars pour le seul mois de mai.

    Par ailleurs, les importations chinoises de pétrole en provenance de Russie ont augmenté de 28% le mois dernier, et comme résultat l’Etat russe est devenu le premier fournisseur pétrolier de la Chine, en dépassant l’Arabie saoudite. Du côté de l’Inde, autre grande puissance non-occidentale et tout comme la Chine et la Russie – membre des BRICS et de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) – pour la seule demi-année en cours elle a acheté 60 millions de barils de pétrole russe, tandis pour toute l’année 2021 le volume de pétrole acheté à la Russie était de 12 millions de barils.

    Les observateurs occidentaux aiment rappeler que Moscou vend son pétrole à Pékin et New Delhi avec un discount intéressant, ce qui est d’ailleurs vrai, mais en oubliant parfois d’indiquer que l’augmentation nette des prix pour cette matière stratégique à l’échelle internationale compense largement aujourd’hui tous les possibles discounts. D’autant plus des discounts faits à des partenaires dignes de ce nom. A l’énorme différence des régimes occidentaux. Après tout, vous avez bien droit de vendre le produit demandé au prix qui varie selon le niveau de fiabilité du client, et des relations qui vous lient à lui.

    Tout cela traduit plusieurs aspects. Tout d’abord qu’il est effectivement grand temps pour la Russie de prioriser au maximum les marchés asiatiques et d’autres espaces non-occidentaux. Pas seulement pour le pétrole d’ailleurs. Dans le cas plus particulier du pétrole, les responsables et experts russes l’ont maintes fois indiqué: le pétrole russe trouvera preneur partout dans le monde, même si l’establishment atlantiste interdirait complètement son importation pour les compagnies occidentales.

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  19. De l’autre, que de manière générale et connaissant ce que représentent les marchés asiatiques, à savoir de loin les principaux consommateurs, il est également parfaitement naturel de se focaliser sur ces orientations. Et pas seulement du point de vue démographique, même si là aussi tout est dans les faits : la Chine et l’Inde à elles seules représentent près de 2,8 milliards de personnes. Cela sans même comptabiliser de nombreuses autres nations d’Eurasie, d’Afrique et d’Amérique latine. Quant aux USA et leurs fidèles sous-traitants de l’UE: pas plus que 800 millions…

    Mais au-delà de l’aspect démographique qui a bien évidemment toute son importance, et peut-être aujourd’hui plus que jamais, pour rappeler aux nostalgiques de l’unipolarité où se trouve la véritable communauté internationale, la réalité économique n’est pas en reste. Faut-il justement rappeler qu’à ce titre, la Chine est la première puissance économique mondiale en termes de PIB à parité du pouvoir d’achat et l’Inde – troisième?

    Un sujet qu’Observateur Continental avait déjà abordé nombre de fois. Avec en prime le rappel que la Russie dans un avenir proche dépassera l’Allemagne (première économie de l’UE) pour devenir la 5ème puissance économique du monde, et que des pays comme le Royaume-Uni et la France quitteront, et ce également dans un avenir assez proche, le Top 10 des principales économies mondiales pour laisser place à des nations comme la Turquie ou encore le Mexique.

    Bien sûr, nous savons tous que cela fait mal, et peut-être très mal, aujourd’hui pour l’Occident de devoir reconnaitre le fait d’être non seulement une extrême minorité planétaire sur le plan démographique, mais également de regarder avec énorme jalousie les portefeuilles de ses principaux adversaires géopolitiques et géoéconomiques. Qui ne sont autres que les grandes puissances non-occidentales, et partisanes de l’ordre multipolaire international par la même occasion.

    Et lorsqu’on prend en compte tous ces aspects, et quelques autres, on comprend mieux pourquoi l’Occident a tellement de mal à maintenir une domination mondiale. Une domination qui non seulement s’est essoufflée, mais qui de facto est morte. Encore une fois il faut bien rappeler et préciser qu’au départ il n’était pas question d’exclure l’Occident de la communauté internationale au vrai sens du terme. Mais les élites occidentales ont de par leur extrême arrogance et une pure mentalité néocoloniale préféré s’autoexclure elles-mêmes. Et ainsi nous permettre non seulement de poursuivre le développement de l’ordre multipolaire international, mais également d’ouvrir la page de l’ère multipolaire post-occidentale. Une ère dans laquelle les ressources réelles joueront un rôle clé dans le développement des peuples, et non pas la spéculation sans aucun support derrière.

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  20. Quelles en seront les conséquences pour l’Occident ? Difficile de le dire de manière exacte pour le moment. Il faudrait juste peut-être rappeler que les diverses croisades occidentales du Moyen-Age avaient peut-être des objectifs spirituels que pour certains de ses participants. Mais pour les instigateurs, n’hésitant pas à attaquer musulmans comme chrétiens orthodoxes (voir pillage de la ville de Constantinople de 1204), l’objectif était uniquement économique. A une période où cette fameuse Europe aujourd’hui si arrogante mourrait de la faim et de la peste, et n’avait pratiquement aucune notion digne de ce nom de la médecine. A la grande différence notamment du monde arabe.

    Mikhail Gamandiy-Egorov

    https://www.mondialisation.ca/petrole-les-marches-asiatiques-comme-priorite/5669265

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  21. Aperçu de l'été : pannes d'électricité, hausse des prix du gaz, rationnement du gaz naturel en Europe et crise historique du diesel


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 24 JUIN 2022 - 22:20
    Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,


    Presque tout le monde a déjà entendu parler de la crise énergétique mondiale qui se développe rapidement, mais la plupart des gens supposent que cette crise finira par disparaître parce qu'ils pensent que les autorités ont tout sous contrôle. Malheureusement, ce n'est pas vrai du tout. Cette crise a pris nos dirigeants par surprise, et maintenant beaucoup d'entre eux sont passés en mode panique parce qu'ils se rendent compte qu'il n'y aura pas de solution facile. Des décennies de négligence et de décisions insensées nous ont conduits au précipice d'un cauchemar, et beaucoup d'entre nous vont être absolument étonnés par certaines des choses qui se produiront dans les mois à venir.

    Ici aux États-Unis, nous avons négligé d'investir correctement dans nos réseaux électriques pendant très longtemps, et maintenant ils sont à un point de rupture.

    Nous sommes avertis qu'il pourrait y avoir des "coupures de courant" généralisées cet été, et la situation est particulièrement désastreuse dans les États du Midwest comme le Michigan…

    Le Conseil de l'eau et de la lumière de Lansing, ou BWL, a averti mardi dans un communiqué de presse que la société se préparait à d'éventuelles « pannes de courant » cet été.

    Le Mid-Continent Independent System Operator, ou MISO, est le régulateur du réseau électrique du Michigan. MISO devra « décharger » s'il constate des pénuries d'énergie prévues pendant les heures de pointe en raison du temps chaud. Le délestage consiste à couper délibérément l'alimentation électrique dans certaines zones d'un système de distribution d'énergie pour empêcher l'ensemble du système de tomber en panne lorsqu'il est sollicité par une forte demande.

    Pendant ce temps, le prix de l'essence devrait continuer d'augmenter.

    Depuis un certain temps, la quantité de pétrole produite chaque jour dans le monde est inférieure à la quantité de pétrole utilisée chaque jour dans le monde et, par conséquent, les approvisionnements se resserrent de plus en plus…

    Avance rapide jusqu'à aujourd'hui, et où en sommes-nous ? On estime que la demande intrinsèque est d'environ 103 millions de barils par jour, en raison d'une croissance démographique mondiale de 1 % par an, ainsi que d'une richesse accrue – et la demande devrait continuer de croître à peu près à ce rythme. Mais les approvisionnements ne sont pas près de suivre. Nous produisons actuellement environ 100,6 millions de barils (reflétant la perte d'environ un million de barils de la Russie), et la flambée des prix qui en résulte limite déjà la demande à environ 101 millions de barils, selon Majcher.

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  22. Lorsque la demande est supérieure à l'offre, soit les prix montent, soit il y a éventuellement des pénuries.

    Et parfois les deux choses arrivent.

    Bank of America nous dit que les stocks de pétrole ont atteint un "point dangereusement bas", et jusqu'à ce que cela change, les prix devraient continuer à augmenter...

    Le résultat est un marché qui, pour la deuxième année consécutive, est sous-approvisionné et réduit les stocks en conséquence, en plus du prélèvement dans les réserves stratégiques approuvé par les dirigeants politiques pour tenter de faire baisser les prix. Bank of America avertit déjà que les stocks mondiaux de pétrole sont tombés à un «point dangereusement bas», avec certains approvisionnements en essence et en diesel en particulier à des «niveaux précaires» alors que nous nous dirigeons vers la haute saison de conduite aux États-Unis. Les stocks de pétrole aux États-Unis sont déjà inférieurs de 14 % à leur moyenne quinquennale, note BofA, tandis que les distillats (comme le diesel) sont inférieurs de 22 %.

    J'aimerais pouvoir vous dire qu'il y a de l'espoir que les choses finiront par changer.

    Mais à ce stade, le PDG d'Exxon nous avertit en fait de nous attendre à "jusqu'à cinq ans de marchés pétroliers turbulents"...

    Les consommateurs doivent être prêts à endurer jusqu'à cinq ans de marchés pétroliers turbulents, a déclaré mardi le directeur d'ExxonMobil, citant le sous-investissement et la pandémie de coronavirus.

    Les marchés de l'énergie ont été bouleversés par la guerre en Ukraine, la Russie ayant réduit certaines exportations et faisant face à des sanctions, tandis que l'Europe a annoncé son intention de se sevrer de la dépendance aux combustibles fossiles russes dans les années à venir.

    Si vous pensez que les choses vont mal maintenant, attendez de voir ce qui se passera après l'éclatement d'une guerre majeure au Moyen-Orient.

    Ensuite, les choses commenceront vraiment à devenir folles.

    En parlant de guerre, en Europe, une pénurie imminente de gaz naturel due à la guerre en Ukraine est susceptible de causer d'immenses problèmes économiques dans les mois à venir.

    Maintenant que la Russie a considérablement réduit le flux de gaz naturel vers l'Allemagne, il semble que les Allemands seront bientôt contraints de le rationner, et le Wall Street Journal nous dit que les autorités s'attendent à "une pénurie de gaz d'ici décembre"...

    Le gouvernement allemand s'est rapproché jeudi du rationnement du gaz naturel après que la Russie a réduit ses livraisons au pays la semaine dernière dans une escalade de la guerre économique déclenchée par l'invasion de l'Ukraine par Moscou.

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  23. Berlin a déclenché la deuxième de son plan en trois étapes pour faire face aux pénuries de gaz après que le géant de l'énergie Gazprom, contrôlé par le Kremlin, le plus grand exportateur de gaz du pays, ait limité la livraison via le gazoduc Nordstream d'environ 60 % la semaine dernière. Les réserves de gaz de l'Allemagne sont à 58% de leur capacité et le gouvernement s'attend désormais à une pénurie de gaz d'ici décembre si les approvisionnements ne reprennent pas, a déclaré le ministre de l'Economie Robert Habeck.

    Il me serait difficile d'exagérer la gravité de ce problème. Les prix de l'énergie sont déjà devenus complètement fous en Europe, et un responsable allemand compare en fait cette crise à l'effondrement de Lehman Brothers…

    Alors que les fournisseurs d'énergie accumulent les pertes en étant contraints de couvrir des volumes à des prix élevés, il existe un risque d'effet d'entraînement pour les services publics locaux et leurs clients, y compris les consommateurs et les entreprises, a déclaré jeudi le ministre de l'Économie, Robert Habeck, après avoir relevé le niveau de risque gazier du pays. deuxième phase "d'alarme" la plus élevée.

    "Si ce moins devient si important qu'ils ne peuvent plus le supporter, l'ensemble du marché risque de s'effondrer à un moment donné", a déclaré Habeck lors d'une conférence de presse à Berlin, "donc un effet Lehman dans le système énergétique".

    Inutile de dire qu'il n'y a pas que l'Allemagne qui est touchée...

    La crise s'est propagée bien au-delà de l'Allemagne, avec 12 États membres de l'Union européenne touchés et 10 émettant une alerte précoce en vertu de la réglementation sur la sécurité du gaz, a déclaré Frans Timmermans, chef du climat de l'Union européenne, dans un discours au Parlement européen.

    "Le risque d'une rupture complète du gaz est maintenant plus réel que jamais", a-t-il déclaré. "Tout cela fait partie de la stratégie de la Russie pour saper notre unité."

    Si la guerre en Ukraine pouvait être résolue pacifiquement, cela aiderait grandement les choses.

    Mais nous savons tous que cela n'arrivera pas de sitôt.

    En plus de tout le reste, l'approvisionnement mondial en carburant diesel se réduit un peu plus chaque jour qui passe. Le prix du carburant diesel est 75% plus élevé qu'il y a un an, et ici aux États-Unis, nous avons été avertis que le Nord-Est "manque tranquillement de diesel"...

    La pression à la hausse sur les prix du diesel et du carburéacteur en particulier attire l'attention de la Maison Blanche, a déclaré Amrita Sen d'Energy Aspects à Squawk Box hier. Les prix du diesel ont augmenté de 75 % par rapport à il y a un an, et l'écart entre les prix du diesel et de l'essence s'est également considérablement élargi. Le coût élevé crée d'énormes pressions sur les camionneurs et la chaîne d'approvisionnement ; le Nord-Est "manque tranquillement de diesel", a averti FreightWaves il y a deux semaines.

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  24. Même s'il pourrait y avoir une pénurie historique d'approvisionnement, nous ne manquerons pas complètement de carburant diesel.

    Cependant, comme je l'ai détaillé dans un article qui est devenu extrêmement viral, nous sommes potentiellement confrontés à de très graves pénuries de fluide d'échappement diesel et d'huile pour moteur diesel si des solutions ne peuvent pas être trouvées.

    L'urée est nécessaire pour produire du fluide d'échappement diesel, et les États-Unis n'en produisent pas assez. Nous sommes normalement l'un des plus gros importateurs d'urée au monde, et la Russie et la Chine sont deux des plus gros exportateurs. Nos dirigeants ont décidé que nous ne voulions pas d'urée de Russie et la Chine a limité les exportations.

    Cela nous met donc dans une position très difficile. Si vous avez un véhicule diesel, je vous recommande fortement de faire le plein de liquide d'échappement diesel pendant que vous le pouvez encore.

    En ce qui concerne l'huile pour moteur diesel, plusieurs additifs clés sont actuellement en pénurie en raison de problèmes majeurs chez plusieurs fabricants. Un article que Mike Adams vient de publier entre dans les détails. Il s'agit d'une situation très grave qui ne sera pas résolue de sitôt.

    L'essentiel est que les approvisionnements en carburant diesel vont devenir très serrés, et il peut y avoir des moments où le fluide d'échappement diesel et l'huile pour moteur diesel ne sont pas du tout disponibles.

    Les trois sont nécessaires pour que les véhicules diesel fonctionnent, et comme je l'ai expliqué hier, l'économie américaine fonctionne au diesel.

    Si nous étions soudainement incapables d'utiliser nos véhicules diesel, toutes nos chaînes d'approvisionnement s'effondreraient et nous n'aurions plus une économie qui fonctionne.

    J'espère donc que nos dirigeants travaillent très dur pour trouver des solutions.

    Car il semble que cet été pourrait être assez difficile, et les perspectives pour les mois à venir sont encore moins prometteuses.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/summer-preview-rolling-blackouts-higher-gas-prices-natural-gas-rationing-europe

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  25. Une "grande purge" pousse les petits camionneurs à la faillite à un rythme sans précédent


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 24 JUIN 2022 - 20:25
    Par Rachel Premack de FreightWaves


    Chris Tucker avait besoin de déplacer des spas. Cela semblait être un bon concert pour son réseau de petits camionneurs.

    Le propriétaire de Full Coverage Freight, une société de courtage de camions basée à Winchester, dans le Kentucky, a récemment annoncé aux camionneurs sur un panneau de chargement qu'il avait une cargaison de spas en direction de Seattle vers une petite ville du centre du Wisconsin. Le tarif était inférieur à 2 $ le mile, ce que Tucker pensait être faible. Il s'attendait à ce que les conducteurs marchandent avec son entreprise pour être payés au moins 2,50 $ le mile, soit environ 1 000 $ de plus pour le concert.

    Au lieu de cela, son bureau a été claqué avec des dizaines d'appels téléphoniques et des centaines de textes réclamant le travail du bain à remous - exactement au tarif annoncé.

    Ce n'est pas une situation idéale pour les 2 millions de camionneurs américains. Trop de camionneurs pour la quantité de travail disponible signifie des salaires de plus en plus bas. Lors de la dernière grande récession du camionnage en 2019, des centaines d'entreprises de camionnage ont déclaré faillite, incapables de couvrir les coûts de gestion d'une entreprise de camionnage avec des tarifs en baisse.

    Les derniers mois ont fait croire à Tucker que le camionnage est sur le point d'entrer dans la "Grande Purge", ou une autre vague de faillites majeures. Il a prédit dans une publication Facebook du 10 juin sur le groupe Rate Per Miles Masters, qui héberge environ 33 000 professionnels du camionnage, que les nombreux camionneurs qui ont inondé l'industrie au milieu de volumes de camions sans précédent devraient arrêter leurs opérations. Les courtiers mal préparés seraient également confrontés au même sort, a-t-il écrit.

    "Je ne pense pas qu'il y ait suffisamment de fret pour justifier leur existence", a déclaré Tucker à FreightWaves cette semaine.

    La Grande Purge semble déjà en cours. En mai, les révocations nettes des transporteurs routiers ont atteint un niveau record, selon une analyse des données fédérales par FTR Transportation Intelligence. Janvier et mars de cette année étaient les records précédents.

    - voir graph sur site -

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  26. La Federal Motor Carrier Safety Administration a signalé en mai qu'un nombre record d'entreprises de camionnage avaient vu leurs pouvoirs révoqués. Ces données sont décalées de plusieurs mois
    Comme le montre le graphique FTR ci-dessus, les révocations des autorités de camionnage ont atteint un niveau record en mai, atteignant près de 9 300. La barre jaune représente quelque 4 000 révocations d'entités qui n'ont pas rempli le formulaire requis et peuvent être considérées comme des aberrations dans les données. Même en comptant cela, cependant, les révocations nettes ont atteint un sommet.

    Les petites flottes aussi minuscules qu'un conducteur constituent l'essentiel de ces entreprises de camionnage de coffrage. Avery Vise, vice-président du camionnage chez FTR, a déclaré que bon nombre de ces chauffeurs rejoindraient des flottes plus importantes plutôt que d'être complètement expulsés du marché.

    Les mois suivants battront probablement le record de mai, ce qui représentera davantage de flottes fuyant le marché. Les révocations représentées ci-dessus ont probablement été déposées avant la montée subite du diesel et la baisse du taux au comptant de ce printemps, a déclaré Vise.

    C'est une volte-face d'il y a quelques mois à peine, lorsque les petits camionneurs rapportaient encore beaucoup d'argent. Voici ce qui s'est passé :

    2020-2022 : Tous les cool kids deviennent propriétaires-exploitants

    En mars 2020, les détaillants et les fabricants s'attendaient à ce qu'un effondrement économique à long terme résulte du coronavirus. Au lieu de cela, les consommateurs ont acheté de plus en plus.

    Les détaillants ont été pris au dépourvu avec des entrepôts vides et ont dû rapidement évoluer pour répondre à la demande des consommateurs en équipements d'exercice, en écrans d'ordinateur et, oui, en papier hygiénique.

    De nouvelles flottes de camions ont afflué sur le marché pour profiter de ces tarifs exorbitants. De juillet 2020 à aujourd'hui, près de 195 000 nouveaux transporteurs sont entrés sur le marché, selon Vise de FTR. Environ 70 % de ces nouveaux transporteurs n'étaient qu'un seul camion. La précédente période record de 23 mois n'a vu que 86 000 nouveaux transporteurs.

    Le flot de nouveaux transporteurs s'est fait sentir dans toute l'industrie.

    Tucker de Full Coverage Freight, qui est une agence indépendante avec GlobalTranz, l'a confirmé à travers ses propres expériences. Son bureau a été inondé d'appels de petits camionneurs qui avaient mis en place leur autorité quelques jours auparavant.

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  27. "Nous avons vu cela se développer il y a 18 mois", a déclaré Tucker. "Nous pourrions soutenir cette introduction artificielle de tous ces transporteurs simplement à cause de toute cette activité en cours."

    Le marqueur inhabituel des deux dernières années n'est pas seulement que les taux et les volumes ont monté en flèche, mais là où ils ont monté en flèche : le marché au comptant.

    Le marché au comptant représente généralement 10 à 20 % du marché global du camionnage. Vise a déclaré que cette part avait peut-être grimpé jusqu'à 50% au plus fort de la folie d'achat de COVID.

    - voir graph sur site -

    Le taux de déplacement d'une camionnette sèche sur le marché au comptant a grimpé jusqu'en 2021.
    Le taux de déplacement d'une charge sur le marché au comptant a grimpé en flèche. Chaque mois de 2021 a semblé battre un nouveau record du taux de déplacement d'une camionnette sèche, le pic atteignant en janvier 2022. C'était une période fantastique pour être un petit camionneur, qui peut facilement décrocher des emplois sur place.

    Les taux des contrats n'ont pas grimpé au même rythme. Cela est mieux mesuré par l'indice de rejet des appels d'offres sortants, qui montre combien de fret contractuel est rejeté.

    Contrairement à toutes les autres industries, vous n'avez pas besoin d'honorer vos contrats de camionnage. Si vous êtes une flotte qui peut gagner plus d'argent en déplaçant des charges ponctuelles, vous êtes libre de le faire. (Bien sûr, gardez à l'esprit que votre client pourrait ne pas être si heureux de vous donner un tarif équitable lorsque les taux au comptant chuteront inévitablement à nouveau - et que vous avez du mal à joindre les deux bouts.)

    - voir graph sur site -

    Les entreprises de camionnage ont rejeté des quantités inhabituellement élevées de fret en 2021.
    Environ 27% de tout le fret contractuel a été rejeté au printemps dernier. Même fin décembre 2021 et début janvier 2022, le taux de rejet était supérieur à 20 %.

    La flambée des tarifs au comptant signifiait plus de capacité du côté des petits camionneurs. Les entreprises de camionnage comptant plus de 100 camions n'ont pas augmenté à peu près au même rythme que la partie du marché avec des groupes d'hommes. Vise a estimé qu'environ 6 à 7 % de la capacité est passée de ces flottes de plus de 100 conducteurs à celles de moins de 100 au cours des deux dernières années.

    Printemps 2022 : Un effondrement des taux spot rencontre une envolée du diesel

    Comme vous pouvez vous y attendre en toute sécurité dans le camionnage, les bons moments se sont écoulés. En mars, les taux au comptant ont commencé une chute libre à un rythme époustouflant.

    Mazen Danaf, économiste principal chez Uber Freight, a comparé la baisse d'un mois à l'autre des tarifs au comptant hors carburant. En mars et avril, les taux ont chuté de 30 cents par rapport aux mois précédents. Les taux ont encore baissé de 20 cents en mai.

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  28. Ces baisses dépassent la baisse record précédente : 15 cents.

    - voir graph sur site -

    Les tarifs au comptant des fourgonnettes sèches se sont effondrés par rapport aux records enregistrés en 2021 et au début de 2022.

    Pendant ce temps, le côté contractuel du marché regagne du terrain. Le taux de rejet du taux de contrat, qui s'élevait à plus de 20 % plus tôt cette année, se situe désormais à 7,7 %.

    Danaf a déclaré que les contrats de fret qui ont été négociés au début de 2022 tenaient compte des tarifs au comptant élevés. Cela a permis aux grandes entreprises de camionnage, qui ne sont pas aussi actives sur le marché au comptant que les plus petites, d'obtenir des tarifs plus élevés de leurs clients. Les nouveaux petits camionneurs qui ont inondé le marché au cours des dernières années étaient moins susceptibles d'avoir ce genre de relations à long terme avec les grands détaillants et les fabricants. Ils ont perdu toute hausse des taux contractuels plus tôt cette année.

    Maintenant, Vise a déclaré que le spot représente environ 30 % du marché. Danaf a estimé que ce nombre était de 18 %. Les deux indiquent une économie du camionnage qui revient du monde au comptant volatil à des contrats plus stables – même si cela signifie que certaines petites entreprises de camionnage seront fermées dans le processus.

    "Ce que nous voyons, c'est un retour du marché à une scission traditionnelle", a déclaré Vise. "Cela pourrait prendre beaucoup de temps cependant."

    Le coût croissant des affaires est encore plus difficile pour les petites entreprises de camionnage. Selon un rapport de loadboard Truckload.com, il est désormais 51 % plus cher de gérer une entreprise de camionnage en 2022 que l'année dernière. Les petits transporteurs sont plus susceptibles d'assumer qu'un fardeau.

    Le coût faramineux du diesel est l'augmentation de coût la plus marquée, les plus petites flottes ayant du mal à suivre. Certains camionneurs ont fermé leurs portes simplement parce qu'ils n'avaient plus les moyens d'acheter du diesel.

    David Guzman de San Antonio est l'un d'entre eux. "La façon dont les tarifs sont, vous devez courir deux fois plus dur pour joindre les deux bouts", a-t-il déclaré à FreightWaves en avril. "Je ne peux pas m'empêcher de ressentir pour mes collègues camionneurs."

    L'équipement est aussi devenu plus cher. Les camionneurs qui ont acheté leurs camions en 2021 remboursent des prêts sur des camions qui pourraient être deux ou trois fois plus élevés que la normale. Le coût des réparations est également plus cher – en hausse de près de 9 % fin 2021 par rapport à fin 2020. Ces dépenses ne sont plus subventionnées par des tarifs spot ultra-élevés.

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  29. D'autres croient que ce vannage des petits camionneurs ressemble à quelque chose de plus effrayant qu'un simple passage d'un endroit à un contrat. Cette semaine, le PDG de FreightWaves, Craig Fuller, a écrit que les problèmes qui affligent le camionnage pourraient ressembler à une récession économique plus importante. Les volumes océaniques commencent à s'effondrer, reflétant une inflation record et des détaillants à grande surface qui ont déjà rempli leurs stocks. Ce que les dépenses de consommation continuent d'augmenter concerne les voyages et les divertissements, qui ne transportent pas autant de fret.

    "Ce qui va se passer va être difficile", a déclaré Tucker, le courtier en fret. « Ça va être douloureux pour beaucoup de gens. Très peu de gens resteront debout.

    Il y a une issue pour les petits camionneurs, mais cette opportunité se ferme

    Vise a déclaré que bon nombre des petits camionneurs qui ont renoncé à leur autorité ont rejoint une grande flotte en tant que chauffeurs d'entreprise. D'autres ont loué leur camion à l'un de ces méga-transporteurs, où ils peuvent bénéficier de suppléments carburant pour souscrire à de gros paiements diesel.

    Ces pilotes pourraient être les plus chanceux. Ceux qui ont déjà vendu leurs camions ont tout de même pu profiter des prix élevés des camions d'occasion, qui sont maintenant en baisse rapide.

    De plus, il se peut qu'il n'y ait plus beaucoup d'emplois disponibles chez les grands transporteurs. L'emploi dans le camionnage non supervisé a atteint un niveau record en avril, selon les dernières données disponibles du Bureau of Labor Statistics. Vise a déclaré qu'il surveillait de près ces chiffres pour voir si les flottes de camionnage décidaient elles-mêmes qu'elles avaient trop de chauffeurs.

    Vise est toujours positif sur le marché actuel, affirmant que le camionnage passe du fret au comptant dominé par les petits camionneurs à des charges contractuelles dominées par les grands transporteurs. Soulignant la demande manufacturière refoulée et les signes de résilience du côté des consommateurs, il a déclaré qu'il était "assez optimiste que nous nous débrouillerons cette année sans récession".

    Tous ne se sentent pas aussi chipper. Thom Albrecht, directeur financier de l'agence d'assurance transport Reliance Partners, a déclaré que les taux actuels ne peuvent pas correspondre à la nouvelle structure de coûts de gestion d'une entreprise de camionnage. Le carburant, l'équipement et la main-d'œuvre sont devenus trop chers - et ces problèmes correspondent à un ralentissement de la création d'emplois et à la lutte de la Réserve fédérale pour maîtriser l'inflation.

    "La fête est finie", a déclaré Albrecht.

    https://www.zerohedge.com/markets/great-purge-pushing-small-truckers-out-business-unprecedented-rate

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  30. La route vers l’électricité décarbonée sera longue et rude

    Loin de la pensée magique parfois présentée, l’électricité décarbonée devra se plier aux lois intangibles de la physique qui refusent de se dissoudre dans celles des Hommes.


    le 24 juin 2022
    Michel Gay


    Article tiré de la note de février 2022 de Jacques Rigaudiat, conseiller maître honoraire à la cour de comptes« Réussir la transition électrique » (86 pages).

    Suite à leur consommation, le tarissement inéluctable des énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), dans 20 ans, 50 ans ou dans plus d’un siècle, aura des conséquences plus graves que le réchauffement climatique dû au gaz carbonique qu’elles émettent.

    Il en résulte que la transition énergétique vers des sources d’énergies décarbonées (nucléaire, eau, vent, soleil…) est, ou sera, nécessaire.

    Mais ces énergies, excepté le nucléaire déjà largement utilisé dans le monde, ne rendront pas un service équivalent.

    En effet, le pétrole, le gaz, et même le charbon, constituent des sources d’énergies denses, relativement peu coûteuses, et d’un maniement pratique aussi bien pour l’industrie (notamment le gaz et le charbon pour produire de l’électricité) que pour les usages courants (transport, chauffage…).

    Remarque : le nucléaire n’est pas une énergie fossile mais fissile. L’uranium et le thorium ne se sont pas fossilisés. Ce sont des métaux abondants dans le monde dont la ressource est assurée pour plusieurs milliers d’années (déjà plus de 7000 ans de stock en France) dans des réacteurs nucléaires surgénérateurs, dit de quatrième génération.

    Décarbonation ?

    Il s’agit donc de réduire graduellement nos consommations de pétrole, de gaz et de charbon en leur substituant des sources d’énergies décarbonées pour… décarboner nos activités (économie, commerce, transport, loisirs…).

    L’urgence peut être considérée comme relative par certains à l’échelle d’une génération, mais la nécessité de s’y atteler « un jour ou l’autre » demeure pour s’adapter graduellement aux nouvelles contraintes et restrictions que cette transition imposera.

    Il ne peut y avoir de décarbonation sans abandon des énergies fossiles qui sont aujourd’hui directement liées à l’activité du monde entier.

    Aussi, sauf à promouvoir la décroissance, une transition énergétique réussie consiste à les décorréler de l’économie.

    Mais le lien entre économie et énergie étant étroit, leur abandon et leur remplacement par l’utilisation massive de sources décarbonées rendant les mêmes services à un coût supportable s’annonce difficile.

    L’électricité

    Dans cette optique, l’électricité n’occupe encore une qu’une place limitée, mais elle a un grand avenir : elle transporte facilement une énergie qui peut être produite massivement sans énergies fossiles avec par exemple du nucléaire, de l’eau, du vent et du soleil.

    En France, la production d’électricité (400 TWh) mobilise aujourd’hui (2021) près de la moitié (1200 TWh) des ressources énergétiques primaires utilisées par le pays (2650 TWh), mais elle représente à peine le quart de la consommation finale d’énergie (1562 TWh).

    Décarboner la production d’électricité, c’est décarboner l’économie. Des transferts d’usage s’esquissent déjà : passage des mobilités du thermique (diesel, essence) à l’électricité issue de batteries, ou de l’hydrogène (?) issu de l’électrolyse de l’eau via des piles à combustible.

    La transition électrique est un donc enjeu essentiel des années à venir. Mais le chemin sera long et probablement douloureux car personne ne sait encore exactement où il mène, ni où « on » veut collectivement aller : quels stockages ? Quel mix renouvelable et/ou nucléaire ? À quel rythme ? À quels coûts ? Quels sacrifices consentir ?

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  31. Ces choix restent à faire, car rien aujourd’hui n’est encore véritablement décidé devant l’ampleur des investissements et des profondes transformations, sociales et économiques à réaliser.

    Choisir un chemin

    Ces choix éminemment politiques supposent un débat libre et éclairé des citoyens pour deux raisons :

    Premièrement, le développement des énergies renouvelables du vent et du soleil produisant une électricité aléatoire, fatale, voire intermittente (EnRI) va profondément perturber l’efficace organisation centralisée actuelle et augmentera les coûts.

    Deuxièmement, le nucléaire, injustement diabolisé par de puissants organismes, fait peur à la population.

    Or, pour être véritablement démocratique, ce débat nécessite que les citoyens soient informés des difficultés, des obstacles et des contraintes technico-physiques inhérentes au fonctionnement d’un système électrique complet, de la production à la satisfaction permanente des besoins des consommateurs.

    Mais la compréhension par le plus grand nombre de ces vastes sujets techniques, parfois difficiles, demande du temps, une denrée rare dans un monde pressé, et restera probablement un vœu pieux.

    Les gouvernements devront prendre leurs responsabilités et décider… comme l’avait fait le Président de Gaulle (plan Messmer en 1974).

    Toutefois, pour être praticable le chemin emprunté devra nécessairement respecter les contraintes physiques de fonctionnement du système électrique. L’électricité prenant de plus en plus d’importance dans le quotidien des citoyens, elle devra pouvoir continuer à être fournie en continu aux consommateurs pendant la transition.

    Or, les productions décentralisées non pilotables des EnRI sont faibles au regard de la puissance installée (leur rapport est appelé le « facteur de charge » qui se situe entre 15 % et 30 % contre 70 % à 90 % pour les centrales nucléaires et fossiles).

    De plus, elles ne possèdent pas l’inertie des machines tournantes (turbines, alternateurs…) qui aide à maintenir en permanence la stabilité de l’ensemble du système électrique dont les EnRI viennent bouleverser, et même parfois inverser, l’architecture des réseaux.

    Les jalons de la transition ne sont pas encore assurés

    La transition électrique ne se résume donc pas à l’installation de nouvelles sources renouvelables et nucléaires décarbonées venant se substituer à d’autres, non renouvelables et carbonées. Elle nécessitera d’importantes nouvelles flexibilités et une transformation d’ensemble des réseaux électriques (transport à grandes distances et distribution) avec de nouveaux moyens pour s’adapter à une production décentralisée et éparpillées des EnRI.

    Encore faudrait-il que ces moyens soient disponibles au cours de la transition. Sinon, le système électrique perdra sa robustesse (risque d’effondrement) et la sécurité d’approvisionnement sera fragilisée (coupures de courant).

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  32. Or, ce n’est pas le cas.

    Les nouveaux moyens techniques pour mener cette transformation (flexibilités, interconnexions, stockages, pilotage de la demande, écrêtement de l’offre surnuméraire, et nouvelles distributions) n’existent pas tous et certains n’ont même jamais été construits.

    Leur développement et leur industrialisation prendra beaucoup de temps, et une offre en vraie grandeur reste à organiser… à un coût acceptable.

    Les EnRI obligent en plus à gérer les bouffées de puissance supplémentaires erratiques ainsi qu’une nouvelle « bidirectionnalité des flux » due à la décentralisation des nouvelles sources, alors que les divers amortisseurs flexibles nécessaires (stockages, réseaux…) ne seront pas encore installés.

    Cette fuite en avant promet des jours sombres, surtout la nuit.

    Le contre-exemple allemand montre que l’acceptabilité sociale de ces renforcements nécessitant de nombreuses lignes haute tension pourrait bien être un élément bloquant.

    Les investissements à réaliser sont extrêmement importants et largement sous-estimés par les simulations, quand ils ne sont pas simplement passés sous silence. Des solutions plus coûteuses qu’envisagées (comme l’enterrement des lignes) s’imposeront sans doute.

    L’adaptation des réseaux et le stockage massif constituent assurément un enjeu majeur de la transition électrique, peut-être même son talon d’Achille.

    Les 15 à 20 prochaines années (peut-être même avant) seront celles de tous les dangers pour l’équilibre du système électrique.

    Or, le parc nucléaire historique est un moyen disponible commode pour pallier l’insuffisance des flexibilités nécessités par les EnRI. Sa prolongation et l’installation de nouvelles centrales permettraient de compenser les fluctuations indésirables du vent et du soleil, même si ce suivi augmentera les coûts de production payés par le consommateur.

    Sinon, la seule solution reste le recours au gaz naturel (méthane) ou au charbon, comme l’Autriche, les Pays-Bas et l’Allemagne du fait de la proximité de l’échéance et de la durée nécessaire pour la construction de nouvelles centrales nucléaires.

    Le débat du choix entre le gaz naturel et/ou le nucléaire est devant nous.

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  33. Stockage

    Exceptées les batteries et les stations de transfert d’énergie par pompage (STEP) dont le développement ne peut être que limité, les solutions techniques de stockage massif sont encore à déterminer et à installer en vraie grandeur.

    De plus, il serait utile de vérifier que les capacités européennes de stockage existeront en quantité suffisante afin d’éviter leur saturation. Tous les pays étant engagés dans un même mouvement, un besoin simultané de déstocker pourrait excéder les capacités offertes.

    L’Union européenne mettrait-elle la charrue avant les bœufs ?

    En plus du stockage, et afin d’assurer l’équilibre permanent du système, le développement de solutions d‘effacement de la demande (coupure de courant) s’impose. L’acceptabilité sociale de ces graves inconvénients à grande échelle demeure incertaine.

    Les nouvelles capacités de flexibilité prévues aujourd’hui pendant la transition se révèlent insuffisantes dans de nombreux pays pour compenser celles perdues par la fermeture des sources pilotables habituelles (charbon et nucléaire).

    En effet, si certains disposent d’importantes capacités hydrauliques flexibles comme la Suède (39 % de l’électricité produite), la Suisse (58 %), l’Autriche (60 %) et plus encore la Norvège (93 %), en revanche d’autres pays comme la France (11 %) et l’Allemagne (9%) n’en disposent que de peu.

    Sans nucléaire, cette insuffisance de flexibilité ne pourra pas être compensée, sauf par le recours au gaz et/ou au charbon !

    C’est, là encore, ce que montre le contre-exemple allemand qui rallume ses centrales à charbon et au lignite. Le cabinet fédéral des ministres allemands a adopté le 8 juin 2022 un projet de loi qui prévoit d’augmenter le nombre de centrales à houille, lignite et fioul en réserve afin qu’elles puissent prendre le relais du gaz dont l’approvisionnement est menacé par l’arrêt des livraisons russes. Au total, l’Allemagne disposerait alors d’une réserve stratégique de puissance fossile pouvant atteindre 10 GW.

    Autant le dire clairement : diminuer le nucléaire implique une recarbonation du mix électrique européen et français. Un tel choix contraint passerait alors pour une absurdité aux yeux de l’opinion publique.

    La seule solution possible à ce dilemme est de maintenir une importante capacité de nucléaire, ce qui, au-delà du prolongement du parc historique, signifie engager la construction de nouveaux réacteurs nucléaires.

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  34. Les coûts

    Les centrales du parc nucléaire historique amorties permettent aujourd’hui de bénéficier de leurs faibles coûts de production. Elles pourront aussi, demain, jouer un rôle dans la recherche de flexibilité.

    Ces constats plaident pour une prolongation des centrales nucléaires existantes (avec accord de l’ASN).

    Le coût complet de production des nouvelles centrales nucléaires, sensiblement supérieur à celui des anciennes, est à comparer avec celui des futures EnRI en tenant compte des coûts supplémentaires des réseaux et de flexibilité (stockage, effacement de la demande, écrêtement des pointes de production…). C’est cette comparaison qui déterminera la rationalité économique des choix à faire car les coûts externes liés aux EnRI varient fortement selon les scénarios.

    Au final, selon RTE les coûts complets du système électrique sont systématiquement plus élevés dans le cas des scénarios 100 % EnRI que dans ceux incluant une part prépondérante de nucléaire.

    Les coûts annoncés de l’électricité « en sortie des moyens de production » des EnRI, c’est-à-dire hors coûts externes (flexibilité, stockage, réseaux…), sont annoncés comme globalement au même niveau que les énergies fossiles et le nouveau nucléaire.

    Mais ces coûts supplémentaires souvent masqués et peuvent induire en erreur sur la réalité du prix final que paiera le consommateur.

    De plus, il reste à valider les perspectives de baisses importantes, souvent optimistes, qui sont attribuées aux EnRI. Et la fourchette des estimations reste large : elle dépend beaucoup de la technologie mise en œuvre et des lieux d’implantation.

    Le coût de production appelé LCOE (Levelized Cost Of Energy qui représente l’ensemble des coûts des actifs de production, supposé être constant au fil du temps, tout au long de leur durée de vie) ne constitue qu’un seul des éléments à considérer : la viabilité économique d’un scénario se mesure à l’aune du fonctionnement de l’ensemble du système.

    Par exemple, les coûts d’adaptation des réseaux de transport, de distribution, de flexibilité incluant le stockage et ses substituts (importation, effacement de la demande, écrêtement des productions surnuméraires…) sont souvent minorés, quand ils ne sont pas simplement ignorés.

    Tous ces dispendieux moyens externes sont requis pour développer les EnRI. Ajoutés les uns aux autres, ils pèseront économiquement plus lourd que ceux de la production seule, et pourraient largement contrebalancer la diminution attendue.

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  35. Planifier

    Cette transition énergétique engagera la société toute entière. Elle bouleversera profondément les habitudes et mobilisera des investissements considérables, estimés entre 4 à 5 % des PIB de chaque pays (par an) jusqu’en 2050 au moins, en Europe comme dans le monde.

    Pour la France, il s’agit de 100 à 120 milliards d’euros par an pendant au moins 30 ans…

    La transition électrique est seulement la partie centrale de ce coût d’ensemble. Elle engagera aussi d’autres moyens : développement d’un réseau de bornes pour les mobilités électriques, isolation des bâtiments, voire aussi d’une industrie de l’électrolyse pour produire de l’hydrogène décarboné si la France se lance dans cette folie.

    Ses conséquences sociales et industrielles impliqueront aussi le développement de nouvelles filières de formation et la reconversion des salariés des secteurs qui seront touchés (construction et réparation automobile…).

    L’opposition entre « fin du monde et fins de mois » s’est déjà invitée plusieurs fois de façon violente dans l’actualité sociale en France où la croissance des revenus est faible. La hausse prévisible du prix de l’énergie en général, et de l’électricité en particulier, viendra diminuer le pouvoir d’achat.

    Et cela d’autant plus que l’électricité sera chère, contrairement à ce qui est présenté à l’opinion publique en faisant croire que le vent et le soleil sont « gratuits »…

    Si la ruineuse transition énergétique actuelle fondée sur les EnRI est maintenue, elle se heurtera aux nécessités sociales et à la nouvelle pauvreté. Elle nécessitera donc le consentement des citoyens, ce qui est encore loin d’être acquis sur le terrain (coupures de courant inacceptables, restrictions, implantation d’éoliennes et de lignes haute-tension) et pourrait aboutir au chaos.

    Un chemin rude

    La transition énergétique fondée principalement sur une électricité décarbonée (nucléaire, vent, soleil, eau…) implique des choix collectifs majeurs qui engagent la longue durée. Dans une démocratie représentative (comme en France), son chemin devra être tracé par un gouvernement ferme s’appuyant sur une population éclairée, ou bien elle s’effondrera.

    Et contrairement à ce que certains veulent faire croire, et sans doute croient, cette transition énergétique fondée sur l’électricité sera longue et rude. Elle reste certes indispensable à une échéance indéterminée par épuisement du pétrole, du gaz et du charbon, mais il est urgent de ne pas se presser d’abandonner ces énergies fossiles car il sera nécessaire de respecter les contraintes technico-physiques de l’électricité censée remplacer une grande partie des usages.

    Loin de la pensée magique parfois présentée, elle devra se plier aux lois intangibles de la physique qui refusent de se dissoudre dans celles des Hommes, même promulguées par de brillants politiciens, fussent-ils verts.

    https://www.contrepoints.org/2022/06/24/433527-la-route-vers-lelectricite-decarbonee-sera-longue-et-rude

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    Réponses
    1. (...) Suite à leur consommation, le tarissement inéluctable des énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), dans 20 ans, 50 ans ou dans plus d’un siècle, (...)

      Ce qui est ENTIÈREMENT FAUX ! puisque ces énergies (pétrole, gaz, charbon) sont ABIOTIQUES ! C'est-à-dire qu'elles se reconstituent d'elles-mêmes depuis toujours et pour toujours.

      (...) aura des conséquences plus graves que le réchauffement climatique dû au gaz carbonique qu’elles émettent. (...)

      'réchauffement dû au gaz carbonique' !! HAHAHAHAHAHA ! Elle est bonne celle-là !
      Primo, le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir calorifique.
      Secondo, c'est le gaz LE PLUS LOURD:
      L'air pèse: 1,2 gr/litre
      Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
      Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
      et se trouve donc AU RAS DU SOL, et ne peut donc constituer non plus un 'effet de serre' !

      (...) décarboner nos activités (...)

      Faudrait lui décarboner sa connerie ! Notre magma émet des millions de fois plus de gaz que tous les humains, les animaux et industries réunies ! Parler de 'décarboner' l'air est une politique trisomique à la Gretamoiescouilles, idem que de dire 'faudrait retirer l'eau des mers & océans pour éviter qu'elle monte et permettre la création de voies routières entre Europe et Amériques !' HAHAHAHAHAHAHA !

      Le danger du nucléaire n'est pas un tremblement de terre (car les centrales sont des forteresses) mais l'emploi de l'EMP qui au même instant stopperait toutes les centrales électrique du monde et les transformerait en xxx Fukushima !
      A savoir que le 11 Mars 2011 quand l'incident a eu lieu au Japon, des milliards de Becquerels ont été emportés par le Jet-Stream ! (Russie, Japon, Nord-Pacifique, Canada-USA, Nord-Atlantique, Europe boucle sud en Autriche, Turquie, Grèce, Italie, fin Espagne-Maroc). Alors, là ou ailleurs...

      A propos d'énergie gratuite

      mardi 28 octobre 2014

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html

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  36. Dans quelle mesure le gaz est-il (in)abordable en Amérique latine ?


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 24 JUIN 2022 - 05:20


    Alors que les prix du gaz ont augmenté dans le monde entier, toutes les régions et tous les pays ne sont pas touchés de la même manière.

    À l'échelle mondiale, le prix moyen d'un litre d'essence était de 1,44 $ US le 13 juin 2022.

    Mais, comme le détaille Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, le prix réel à la pompe, et son prix abordable pour les résidents, varient considérablement d'un pays à l'autre. Cela est particulièrement vrai en Amérique latine, une région largement considérée comme l'une des régions du monde les plus inégales en termes de revenus et de répartition des ressources.

    Utilisant les données mensuelles de GlobalPetrolPrices.com en mai 2022, ce graphique de Latinometrics compare l'abordabilité du gaz dans différents pays d'Amérique latine.

    Abordabilité du gaz dans 19 pays d'Amérique latine différents

    Pour mesurer l'abordabilité du gaz, Latinometrics a pris le prix d'un litre de gaz dans 19 pays et territoires d'Amérique latine différents, et a divisé ces chiffres par le revenu quotidien moyen de chaque pays, en utilisant les données salariales de Statista.

    Sur les 19 régions incluses dans l'ensemble de données, le Venezuela a le gaz le plus abordable de la liste. Au Venezuela, un litre d'essence équivaut à environ 1,3 % du revenu quotidien moyen du pays.

    - voir graph sur site -

    Ce n'est pas trop surprenant, car le Venezuela abrite la plus grande part de réserves prouvées de pétrole au monde. Cependant, il convient de noter que les sanctions internationales contre le pétrole vénézuélien, en grande partie à cause de la corruption politique, ont entravé le secteur autrefois prospère du pays.

    À l'autre extrémité du spectre, le Nicaragua a le gaz le moins abordable de la liste, avec un litre de gaz coûtant 14% du revenu quotidien moyen dans le pays.

    Historiquement, le gouvernement nicaraguayen n'a pas réglementé les prix du gaz dans le pays, mais à la lumière de la crise énergétique mondiale actuelle déclenchée en grande partie par le conflit russo-ukrainien, le gouvernement est intervenu pour aider à contrôler la situation.

    Alors que le conflit russo-ukrainien se poursuit sans fin en vue, il sera intéressant de voir où en seront les prix dans les prochains mois.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/how-unaffordable-gas-latin-america

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  37. Le lac Mead approche du statut de mare morte alors que les niveaux d'eau des lacs de l'Ouest atteignent des creux historiques


    Jeudi 23 juin 2022
    par : Cassie B.


    (Natural News) Les niveaux d'eau du lac Mead ont atteint des creux historiques cette semaine, avec une mesure de 1 044,03 pieds marquant sa lecture la plus basse depuis le premier remplissage du lac il y a 150 ans. Cela place le plus grand réservoir du pays dans la position inquiétante d'approcher du statut de « mare morte », qui se produit lorsque le réservoir devient si bas que l'eau ne peut plus s'écouler en aval du barrage.

    Le lac atteindra le statut de bassin mort si le réservoir tombe en dessous de 895 pieds, ce qui est encore dans quelques années mais reste une perspective préoccupante pour les millions de personnes en Arizona, au Nevada, en Californie et dans une partie du Mexique qui en dépendent pour l'eau potable, électricité et irrigation.

    Bien que le statut de bassin mort ne signifie pas que le lac était complètement asséché, on craint que les niveaux d'eau du lac ne chutent si bas, avant même d'atteindre le statut de bassin mort, que cela compromettrait la production d'énergie hydroélectrique. Lorsque moins d'eau circule dans les turbines et qu'il y a moins de pression de liquide pour les faire tourner, elles produisent naturellement moins d'électricité, laissant potentiellement des millions de personnes sans source d'énergie.

    Le lac Mead a été créé avec le barrage Hoover au début des années 1930 à la frontière entre le Nevada et l'Arizona sur le fleuve Colorado. L'épuisement du lac est attribué à la sécheresse persistante des 20 dernières années ainsi qu'à la demande croissante en eau.

    Les États avertis de réduire leur consommation d'eau
    Le ministère de l'Intérieur a averti les sept États qui dépendent du fleuve Colorado de trouver des moyens de réduire considérablement la quantité d'eau qu'ils absorbent au cours des deux prochains mois dans l'espoir de reconstituer le lac Mead et le lac Powell, qui chutent également à des niveaux dangereusement bas. . Les deux réservoirs ne sont qu'à 28 % de leur pleine capacité, ce qui signifie qu'ils sont presque aux trois quarts vides.

    Le lac Powell, situé à la frontière entre l'Utah et l'Arizona, devrait chuter de plus de 30 pieds d'ici mars, ce qui le placerait à seulement 16 pieds du niveau où le barrage de Glen Canyon ne pourra pas produire d'électricité. L'année dernière, le lac a fourni l'intégralité des besoins énergétiques de plus de 300 000 foyers.

    Le fleuve Colorado a longtemps été surexploité, son débit ayant chuté de près de 20 % depuis 2000. Le gouvernement fédéral a déclaré pour la première fois une pénurie sur le fleuve l'année dernière, ce qui a entraîné des réductions des livraisons d'eau au Nevada, en Arizona et au Mexique, tandis que les agriculteurs dans certaines parties de l'Arizona ont dû laisser les champs secs et en jachère.

    Le commissaire à la remise en état, Camille Touton, a déclaré que des coupes importantes de 2 à 4 millions d'acres-pieds sont nécessaires l'année prochaine pour empêcher les réservoirs d'atteindre des niveaux critiques; La Californie, le Nevada et l'Arizona ont utilisé environ 7 millions d'acres-pieds d'eau du fleuve Colorado l'année dernière.

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  38. Le directeur général de la Southern Nevada Water Authority, John Entsminger, a averti: «Ce qui a été un accident de train au ralenti pendant 20 ans s'accélère et le moment du jugement est proche.

    "Nous sommes à 150 pieds (d'altitude du lac Mead) de 25 millions d'Américains perdant l'accès à l'eau du fleuve Colorado."

    Rivages nouvellement exposés causant des problèmes aux plaisanciers
    Pendant ce temps, les rivages nouvellement exposés qui émergent créent des problèmes dans la zone de loisirs nationale du lac Mead. Le bureau des affaires publiques du parc rapporte que la combinaison de limon et de boue dans les terres nouvellement exposées est facile pour les personnes, les véhicules et les navires, en particulier lorsque le soleil durcit la couche supérieure de terre, ce qui rend le sol plus stable que c'est.

    Des bateaux précédemment coulés commencent maintenant à émerger sur le lac, et ceux qui espèrent y naviguer connaissent de longs temps d'attente car les fermetures de rampes de mise à l'eau en raison de la baisse des niveaux d'eau signifient qu'une seule rampe de mise à l'eau est disponible.

    Les sources de cet article incluent :

    WSJ.com
    USAToday.com
    BoulderCityReview.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-23-lake-mead-dead-pool-historic-lows.html

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  39. La demande incontrôlée d'eau du système du fleuve Colorado menace les moyens de subsistance des habitants près de Green River


    jeudi 23 juin 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) La demande massive et incontrôlée d'eau dans le système du fleuve Colorado devient une menace pour les moyens de subsistance des habitants vivant près de la magnifique rivière Green dans l'Utah. Le tronçon de sept milles est un endroit magnifique et serein pour les pêcheurs à la mouche.

    "J'ai guidé en Nouvelle-Zélande, au Chili, en Argentine, en Alaska", a déclaré Gordon Tharrett, décrivant ses 30 ans de carrière à guider des pêcheurs à la mouche d'élite à travers le monde. "Je n'ai jamais rien vu de tel."

    "C'est phénoménal", a déclaré Stephen Lytle, le fils du garde-chasse local qui flotte et pêche sur ce tronçon depuis son enfance. «Vous obtenez des gens du monde entier. Eric Clapton est venu ici. Tiger Woods. Si vous êtes un pêcheur à la mouche, c'est l'un des endroits où aller.”

    Il n'en a pas toujours été ainsi. Le 10 décembre 1962, les eaux de la rivière Green ont commencé à remplir le réservoir derrière le barrage de Flaming Gorge et le 27 septembre 1963, le président John F. Kennedy a lancé la première production d'électricité à la centrale électrique de Flaming Gorge. Le barrage a eu des effets dévastateurs sur les poissons en aval.

    Une rénovation de barrage appelée conduite forcée à la fin des années 1970 a résolu le problème, car les ingénieurs ont pu libérer des profondeurs spécifiques du réservoir de Flaming Gorge, en contrôlant la température de l'eau d'aval en dessous et en créant une zone Goldilocks pour l'éclosion d'insectes et l'arc-en-ciel et la truite brune qui se régalent. sur eux.

    La majeure partie de l'économie locale dépend aujourd'hui des touristes qui viennent barboter dans le réservoir, qui s'étend profondément dans le Wyoming, ou pour pêcher et faire flotter le Green.

    Il n'est donc pas surprenant que les habitants aient été indignés lorsque le Bureau fédéral de remise en état et quatre États du bassin supérieur du Colorado ont convenu de libérer 500 000 acres-pieds - 1/6 de la capacité du réservoir - pour aider les communautés desséchées au sud. (Connexe: la sécheresse menace la récolte de blé aux États-Unis, aggravant les problèmes d'approvisionnement mondial.)

    Lytle a déclaré que les gens se sont fâchés parce que c'est leur eau en leur possession géographique. «Donc, ils n'aiment pas que ça descende dans les villes du désert qui en ont aussi besoin. Et un effet sur la pêcherie, surtout ici ? Je veux dire, c'est le gagne-pain des gens.

    "Il faut des millions de gallons d'eau pour un terrain de golf", a déclaré Tharrett. "Ça va arriver à un point où les gens devront décider : 'Est-ce que je survis ou est-ce que je joue au golf ? Dois-je avoir une pelouse dans le désert ou payer 100 $ pour un panier de baies ? »

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  40. Apprendre à vivre avec l'eau disponible

    Pendant ce temps, des responsables de la remise en état ont déclaré à un comité sénatorial que les États occidentaux devraient se préparer à des réductions encore plus importantes de l'allocation de l'eau du fleuve Colorado en 2023 - environ quatre millions d'acres-pieds ou plus de 1,3 billion de gallons d'eau, soit presque autant que la Californie est alloué par an.

    Nicholas Williams, responsable de l'électricité du Bureau of Reclamation pour le bassin supérieur du Colorado, a déclaré que les limites pourraient durer quelques années et que le reste dépendra de la durée de la sécheresse et de la destination de l'eau.

    "Nous allons devoir apprendre à vivre avec l'eau que nous avons, et l'utilisation que nous en avons subie au cours des dernières décennies va changer."

    Une nouvelle étude a révélé que le bassin supérieur du fleuve Colorado s'assèche, ce qui signifie que certaines parties du Colorado, de l'Utah et du Wyoming pourraient ressembler davantage à l'Arizona à l'avenir.

    Les recherches du Laboratoire national de Los Alamos prédisent que la neige des montagnes commencera à fondre et à couler plus tôt dans les ruisseaux et les réservoirs. En utilisant l'intelligence artificielle pour tester différents modèles climatiques au cours des 30 prochaines années, l'étude prévoit qu'il y aura des conditions plus arides dans la vallée de la rivière verte près de la frontière du Colorado, de l'Utah et du Wyoming et que les zones montagneuses de l'Arizona verront une humidité du sol plus sèche qui absorberont les eaux de ruissellement avant même qu'elles ne puissent pénétrer dans les rivières et les ruisseaux. (Connexe: la Californie ordonne de nouvelles restrictions d'eau au milieu de la pire sécheresse de l'histoire enregistrée de l'État.)

    Tharrett pense que les responsables ont l'idée erronée qu'ils peuvent sauver quelque chose en vidant les réservoirs du bassin supérieur.

    "C'est comme un adolescent quand il reçoit son premier chèque de paie et que le lendemain, il y va et il dépense tout et il n'est pas payé pendant deux semaines, puis il panique", a expliqué Tharrett. "S'ils vident tous ces réservoirs supérieurs, qui sont la pierre angulaire de tout ce qui se trouve en bas, ils n'auront rien."

    Suivez Climate.news pour plus de mises à jour sur la sécheresse dans l'Ouest américain.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d'informations sur la pénurie d'eau à venir.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Alex Hammer sur Brighteon.com.

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  41. Plus d'histoires liées :

    Le faible ruissellement du fleuve Colorado menace la pénurie d'eau dans 7 États de l'Ouest.

    Les régulateurs californiens nixent une usine de dessalement d'eau qui fournirait de l'eau potable aux citoyens… essaient-ils de détruire l'État ?

    Le Texas frappé par la sécheresse reçoit enfin de la pluie, mais cela ne suffira peut-être pas à sauver les récoltes et le bétail.

    Sources include:

    CBS58.com
    KJZZ.org
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-23-unchecked-demand-colorado-river-threatens-local-livelihood.html

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  42. La démolition des chaînes d'approvisionnement est un SABOTAGE d'avant la guerre civile pour façonner le champ de bataille de la GUERRE intérieure contre We the People


    jeudi 23 juin 2022
    par : Mike Adams


    (Natural News) Les États-Unis d'Amérique sont sur le point d'être plongés dans une guerre civile. Elle sera déclenchée par la décision imminente d'annulation de Roe contre Wade par la Cour suprême des États-Unis, qui vient également de rendre une décision historique affirmant le droit universel de porter une arme à feu personnelle pour l'autodéfense (annulant la loi de New York qui restreignait radicalement la droit de porter des armes).

    Cette décision pro-2A voit déjà exploser des têtes dans la gauche anti-américaine et anti-liberté, le commentateur de gauche enragé Keith Olbermann appelant même à une insurrection ouverte pour démolir la Cour suprême des États-Unis et prendre le contrôle total du pays via le branche exécutive.

    Une fois la décision Roe rendue, la gauche radicale éclatera dans un terrorisme intérieur à part entière, lançant une guerre sans restriction contre les chrétiens, les propriétaires d'armes à feu et les conservateurs. Ce qui s'en vient fera ressembler les émeutes BLM et Antifa de 2020 à un jeu d'enfant.

    Le régime Biden sait que cela arrive, bien sûr, puisque Barack Obama est le cerveau clé derrière tout cela. Obama dirige la Maison Blanche de Biden et dit aux gestionnaires de Biden quoi faire. Ils ont façonné les émeutes de 2020 en utilisant des mercenaires rémunérés, la propagande médiatique et des tactiques de «révolution de couleur» couramment utilisées par la CIA pour renverser les gouvernements d'autres nations. Maintenant, ils prévoient d'utiliser les mêmes tactiques pour renverser la Constitution américaine et tenter de prendre le contrôle dictatorial permanent sur les États-Unis d'Amérique.

    Le sabotage des infrastructures alimentaires et énergétiques est une activité d'avant-guerre qui « façonne le champ de bataille »
    Le sabotage des installations alimentaires à travers les États-Unis est délibéré. Nous avons publié la liste complète et actuelle des sabotages d'installations alimentaires ici.

    De même, les attaques de sabotage, les démantèlements réglementaires et les attaques de cyberguerre contre les infrastructures énergétiques sont également menées par le régime afin de priver la population de carburant et de transport. Comme nous l'avons récemment publié, la totalité de l'approvisionnement en huile pour moteur diesel aux États-Unis est sur le point de s'épuiser en seulement 8 semaines (environ fin août).

    Le carburant diesel et le fluide d'échappement diesel (DEF) connaissent également des défaillances de la chaîne d'approvisionnement en Amérique en ce moment.

    Natural News a également recherché et publié en exclusivité une liste des fabricants de carburant diesel et d'additifs pour huile moteur diesel qui ont déclaré un cas de force majeure cette année, provoquant des perturbations extrêmes de la chaîne d'approvisionnement.

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  43. En outre, il y a des explosions connues dans des installations de GNL (comme Freeport au Texas) et un historique d'explosions de tuyaux ciblant des raffineries, comme l'explosion de Philadelphia Energy Solutions en 2019 qui a mis toute l'entreprise en faillite et fermé sa raffinerie de carburant.

    Ce qui est clair, c'est que l'infrastructure alimentaire et énergétique de l'Amérique est perturbée par des opérations de sabotage/blocus qui sont des actes de guerre contre le peuple américain. C'est presque identique à la façon dont la Lituanie gère actuellement un blocus ferroviaire de l'accès de la Russie à Kaliningrad.

    Ce qui est également clair, c'est que le régime Obama / Biden utilise des opérations de sabotage pour façonner le champ de bataille national en vue de la guerre civile à venir. Et par "guerre civile", je ne veux pas dire une guerre du Nord contre le Sud à la manière de 1865. Cela va être une guerre du régime gouvernemental corrompu et illégitime contre le peuple américain qui essaie de chasser ces criminels du pouvoir. Environ 75% des Américains méprisent maintenant le régime Biden et veulent que Biden soit retiré. Les prochaines élections de mi-mandat – si elles sont même autorisées à avoir lieu – démontreront solidement la volonté des États-Unis de se débarrasser du régime désastreux de Biden et des politiques économiques catastrophiques des démocrates (qui ont conduit à une inflation record et à des pénuries de la chaîne d'approvisionnement).

    C'est pourquoi nous pensons que le régime d'Obiden ne veut pas permettre à l'Amérique de se rendre aux élections de mi-mandat. Ils veulent le chaos total et la loi martiale avant que ce jour n'arrive. Ils veulent que leurs terroristes en chemise brune de gauche descendent dans les rues, incendiant des villes, agressant la police et exécutant des Blancs à vue, afin que le régime puisse déclarer l'état d'urgence et déployer des troupes dans les rues d'Amérique, probablement combinés à des efforts pour essayer de annuler le deuxième amendement et confisquer les armes à tout le monde.

    Cet effort va échouer.

    Le régime d'Obiden a agi trop tard. Le peuple américain ne se pliera plus à la tyrannie et au sabotage. Nous, le peuple, ne rendrons pas nos armes et nous n'obéirons pas aux ordres de fermer nos économies locales et de rester enfermés dans nos maisons.

    Mais le régime arrogant et incompétent d'Obiden ne le sait pas encore. Ils pensent qu'ils sont toujours en charge. Ils pensent que le peuple américain acceptera n'importe quel nouveau plan insensé qu'il peut imaginer pour asservir tout le monde et démolir la Déclaration des droits. Ils ont tort. Mais ils essaieront de conquérir le pays de l'intérieur, déclenchant un scénario de guerre civile qui verra probablement de véritables effusions de sang à travers les États-Unis.

    À moins que Biden ne soit destitué du pouvoir et que le vainqueur légitime des élections de 2020 ne soit rétabli (Donald J. Trump), les villes dirigées par les démocrates s'effondreront bientôt dans un chaos total. La famine massive deviendra monnaie courante. L'État de droit sera inexistant dans ces régions. Nous verrons des réfugiés démocrates fuir les villes bleues qui s'effondrent et essayer de fuir vers les États rouges, mais il y aura une application des frontières par les États (comme le Texas et la Floride) interdisant aux «clandestins» nationaux d'envahir les États rouges alors qu'ils fuient les États bleus.

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  44. En fin de compte, les Demonrats seront vaincus et l'humanité l'emportera. Les Dems ne le savent tout simplement pas encore, et ils surestiment leur allié Satan, alors que le véritable pouvoir de décider de notre sort repose entre les mains de Dieu (qui en a à peu près assez que Satan essaie de dominer l'humanité sur Terre).

    Get all the details and more in today’s Situation Update podcast via Brighteon.com:

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    https://www.naturalnews.com/2022-06-23-demolition-of-supply-chains-is-pre-civil-war-sabotage-to-shape-the-battlefield-for-domestic-warfare-against-we-the-people.html

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  45. La Russie gagne la guerre financière


    Par Alasdair MacLeod
    Arme d'or
    24 juin 2022


    Les sanctions se sont retournées contre celles décrites par Vladimir Poutine comme les nations hostiles. Il établit un train dans une série d'événements susceptibles de saper l'ensemble du système financier occidental, car les prix augmentent les taux d'intérêt plus élevés et l'activité économique se rétrécit. Ces développements à eux seuls conduisent à contracter des crédits bancaires, des marchés boursiers qui se bloquent et des rendements obligataires fortement plus élevés.

    La semaine dernière, j'ai écrit sur l'impact sur le système bancaire et les conséquences probables. La Russie, la Chine et les nations associées qui dépendent d'eux pour le commerce et le développement économique évoluent désormais pour se protéger de ce qui est en train de devenir une crise systémique et de monnaie fiduciaire pour le dollar et l'ensemble du système financier occidental.

    Ces développements accélèrent la fin de l'ère Petrodollar et le rôle du dollar en tant que monnaie de réserve. Un remplacement d'Asie centrale est prévu pour être une nouvelle super-monnaie utilisée pour les paiements transfrontaliers, sur la base d'un indice d'un panier de produits de base et de devises des nations participantes. L'inclusion des devises est une erreur, mais sinon la proposition a du mérite.

    Cet article explique pourquoi et comment un schéma correctement construit fonctionnerait. Je montre pourquoi il pourrait agir comme une étalon-or de facto.

    Ses concepteurs ont l'intention de cette nouvelle monnaie commerciale de faire appel à d'autres nations importantes, comme l'Arabie saoudite, à utiliser une monnaie liée à des produits de base pour régler leurs paiements commerciaux, en remplaçant le Petrodollar mourant. Mais son succès pourrait s'avérer fatal pour le dollar fiat et d'autres devises occidentales. Avec la disparition du dollar, la nouvelle super-monnaie devrait entraîner finalement certaines monnaies nationales d'adoption des normes d'or.

    La fin de l'ère Petrodollar

    Mettez l'Ukraine d'un côté, ce n'est pas le problème majeur. Nous devons réaliser ce qui nous importe vraiment, c'est la vraie guerre, qui est les tentatives de la Russie de bannir l'hégémonie américaine en Europe. Alors qu'en Occident, nous avons une image du président Poutine comme un mauvais despote déterminé à reprendre l'Ukraine sous le contrôle russe, dans un discours au Forum économique international de Saint-Pétersbourg cette semaine, le diagnostic de Poutine des problèmes de l'Occident était plus au point que tout ce que vous Entendra de nos propres chers leaders: Joe, Boris, Emmanuel, Olaf, et al. Il convient de citer les extraits pertinents de la traduction officielle anglaise du discours de Poutine pour mettre en évidence sa compréhension économique du cornichon dans lesquelles nous nous sommes mis:

    «L'inflation sur les marchés des produits et des produits de base était devenue une réalité bien avant les événements de cette année. Le monde a été poussé dans cette situation, peu à peu, par de nombreuses années de politiques macroéconomiques irresponsables exercées par les pays du G7, y compris des émissions et une accumulation incontrôlées de dette non garantie. Ces processus se sont intensifiés avec le début de la pandémie de coronavirus en 2020, lorsque l'offre et la demande de biens et de services ont radicalement chuté à l'échelle mondiale…

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  46. «Parce qu'ils ne pouvaient ou ne concevraient pas d'autres recettes, les gouvernements des principaux économies occidentaux ont simplement accéléré leurs machines imprimées en argent. Un moyen aussi simple de compenser les déficits budgétaires sans précédent…

    «J'ai déjà cité ce chiffre: au cours des deux dernières années, la masse monétaire aux États-Unis a augmenté de plus de 38 %. Auparavant, une augmentation similaire a pris des décennies, mais maintenant elle a augmenté de 38 % ou 5,9 billions de dollars en deux ans. En comparaison, seuls quelques pays ont un produit intérieur brut plus important. La masse monétaire de l'UE a également considérablement augmenté au cours de cette période. Il a augmenté d'environ 20%, soit 2,5 billions d'euros.

    «Dernièrement, j'entendis de plus en plus sur les soi-disant - veuillez m'excuser, je ne voudrais vraiment pas le faire ici, même mentionner mon propre nom à cet égard, mais je ne peux pas m'en empêcher - nous entendons tous parler du soi-disant «inflation de Poutine» à l'ouest. Quand je vois cela, je me demande qui ils s'attendent à achèteraient ce non-sens - des gens qui ne peuvent pas lire ou écrire, peut-être. Toute personne suffisamment alphabétique pour lire comprendrait ce qui se passe réellement.

    «La hausse des prix, l'accélération de l'inflation, les pénuries de nourriture et de carburant, l'essence et les problèmes dans le secteur de l'énergie sont le résultat d'erreurs à l'échelle du système que l'administration américaine actuelle et la bureaucratie européenne ont fait dans leurs politiques économiques. C'est là que sont les raisons, et seulement là. »[I]

    Poutine montre qu'il a au moins une compréhension superficielle de l'endroit où l'Occident a commis une erreur avec ses politiques monétaires et économiques néo-keynésien. Alors que certains des éléments économiques et monétaires de son discours peuvent être critiqués, la compréhension de Poutine de ces sujets le place la tête et les épaules au-dessus de ses chiffres opposés dans le G7.

    C'est à partir de cet inconvénient que les États-Unis tentent d'imposer l'hégémonie du dollar aux intérêts russes dans la guerre financière et monétaire. Nous devons considérer la géopolitique de la question.

    Pas que les médias grand public de l'Occident

    Non pas que les médias grand public de l'Ouest le racontent de cette façon, mais c'est l'histoire jusqu'à présent. Ayant chassé les Américains hors de l'Asie, le dernier échec étant l'Afghanistan, la Russie a estimé qu'il restait une tâche: pour chasser les Américains de courir l'Europe occidentale. Dominer l'alliance de l'OTAN et avec la Grande-Bretagne post-Brexit qui n'est plus directement impliquée dans l'UE, les Américains redoublaient leurs efforts pour contenir la Russie et entraver le partenariat chinois-russe, qui, par le biais de l'Organisation de coopération de Shanghai (SCO), transforme beaucoup de l'Occident Anciens alliés loin de la sphère d'influence américaine. En plus du Moyen-Orient riche en pétrole, les plus notables sont l'Inde et le Pakistan. Imran Khan a dirigé le Pakistan de plus en plus près de la Chine, tandis que l'Inde, notamment dans le Commonwealth, était un État client de longue date de la Russie à des fins de défense et est maintenant membre de l'Organisation de coopération de Shanghai (SCO). Khan a maintenant été destitué, prétendument par des intérêts américains qui ont réinstallé le régime précédent.

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  47. L'appétit vorace de la Chine pour les matières premières en a fait le plus grand donateur et influenceur d'Afrique subsaharienne et d'Amérique centrale et du Sud. Le Brésil est de plus en plus impliqué dans le SCO en tant que membre du groupe BRICS. Sans beaucoup de gens en remarquant, entre les SCO, les BRICS, l'Afrique subsaharienne et l'Amérique latine, l'hégémonie douce russe-chinoise peut désormais prétendre influencer les États avec plus de la moitié de la population mondiale.

    Par conséquent, l'hégémonie américaine est en déclin. Oui, le dollar est toujours la monnaie internationale pour les produits de prix et les transactions transfrontalières, mais l'Union économique eurasienne (EAEU) conçoit une nouvelle monnaie liée à des produits de base à utiliser comme moyen d'échange entre ses membres, et il est prévu que Cela sera étendu à tous les commerces inter-SCO, au commerce SCO avec des BRICS non membres et même avec des exportateurs de pétrole au Moyen-Orient.

    Les Américains sont particulièrement préoccupants pour les Américains et l'Arabie saoudite. Le président Biden devrait visiter la mi-juillet. Et après avoir fait étalage de ses diplômes de droits de l'homme sur l'affaire Jamal Khashoggi, il a jusqu'à présent refusé de dire qu'il rencontre spécifiquement les Saoudiens. Les Saoudiens disent le contraire.

    Maintenant que le renseignement américain a ouvertement blâmé la mort brutale de Khashoggi sur les instructions directes de Mohammed bin Salman (appelé MBS par presque tout le monde sur le circuit diplomatique), MBS a démontré qu'il était impitoyable. En saisissant le pouvoir, son élimination de toute opposition des autres membres de la famille royale était tout droit sorti du manuel de Machiavel écrit dans l'admiration du prince - Cesare Borgia. La façon dont MBS traite d'un président américain faible et âgé qui l'a pratiquement insulté sera pour le moins intéressant. Disons simplement qu'il est peu probable qu'il se passe bien pour la délégation américaine.

    L'esprit de Biden est susceptible d'être des approvisionnements en pétrole, et il voudra extraire une promesse que l'Arabie saoudite augmentera sa production pour sauver l'Amérique et ses alliés des conséquences de leurs propres sanctions contre la Russie. Ce sera une lutte difficile, avec MBS plus dessinée avec sympathie pour Vladimir Poutine, se reproduisant avec lui. MBS dirige l'Arabie saoudite de la même manière que le leadership de Poutine en Russie.

    Lorsqu'ils se sont élevés les uns les autres lors de la réunion du G20 de novembre 2018, le langage corporel suggère fortement qu'ils avaient un accord personnel entre eux qui se passait. Il ne peut s'agir que de coopérer sur des questions relatives à leur domination combinée des marchés mondiaux de l'énergie des marchés mondiaux du pétrole. Pour avoir une idée du langage corporel entre eux, il vaut la peine de regarder cet incident - deux fois. Il peut être trouvé ici.

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  48. L'enjeu est l'accord que le président Nixon a conclu avec le roi Faisal en 1973, pour vendre du pétrole exclusivement pour des dollars, liant le royaume dans le système bancaire américain. C'était une décision astucieuse des deux parties à l'époque, permettant à Sheik Yamani l'OPEP de passer le prix du pétrole de 3,56 $ par baril de plus de dix fois au cours des sept prochaines années, et pour garantir que le monde avait besoin de dollars pour le payer. Il ne fait aucun doute que lorsque Poutine a tiré la même astuce sur l'UE en ce qui concerne les paiements d'huile dans les roubles, MBS aurait noté le parallèle avec un amusement ironique.

    Les Arabes ne sont pas stupides. En 2014, le directeur d'une raffinerie suisse majeure m'a dit qu'ils refondaient les lingots d'or pour les clients arabes de LBMA 400 onces à la norme chinoise One Kilo 9999. C'était la première indication que j'ai eu que les nations arabes au Moyen-Orient pensaient que leur avenir était plus avec la Chine plutôt que l'Occident. Et il ne faisait aucun doute que les Chinois avaient non seulement délibérément décidé de devenir la plus grande nation d'extraction d'or, mais qu'ils se déplaçaient pour dominer le marché physique mondial, menaçant finalement la norme LBMA.

    Alors bonne chance à Joe Biden. Machiavel a écrit que

    «Un prince remporte le prestige pour être un véritable ami ou un véritable ennemi. Autrement dit, pour se révéler sans aucune réserve en faveur d'un côté contre un autre, cette politique est toujours plus avantageuse que la neutralité. »[I]

    Compte tenu des antécédents de MBS et de son apparente adhésion aux directeurs de machiavéliens, la rencontre avec Biden impliquera probablement des discussions directes. Du point de vue de MBS, tout est empilé contre les Américains. Biden est probablement considéré par lui comme un suppliant, qui est associé à la faiblesse. L'honneur, le visage et la position publique sont ce que le respect du commandement dans la culture arabe, qui fonctionnera contre les Américains.

    En tant qu'infidèles, les Américains ont gâché les terres arabes. Mais en plus d'un éventuel dégoût pour les Américains et leur culture, MBS envisagera également sa position vis-à-vis de l'axe russe et chinois, qui s'est absorbé par l'Iran. Sur l'encouragement russe, l'Iran a le pouvoir de l'expédition de Harry à travers les lignes droites d'Hormuz. Et bien qu'il n'ait pas encore fait la une des journaux, les Houthis sur les instructions iraniennes pourraient intensifier leurs attaques contre l'expédition en mer Rouge. Ce serait une réponse naturelle à la Lituanie coupant les liaisons de transport avec Kaliningrad cette semaine au mépris du traité convenu entre la Lituanie et la Russie en 1993.

    Les Saoudiens devraient réfléchir très attentivement aux conséquences possibles du côté avec les Américains pour faire des promesses qu'il ne serait pas dans leur intérêt de garder. Il est peut-être trop tôt pour le dire avec une forte conviction, mais les jours du Petrodollar seront probablement numérotés lorsqu'une alternative asiatique viable deviendra disponible. Et les Saoudiens le savent.

    Remplacement du pétrodollar

    La force de Petrodollar n'a pas seulement été son statut hégémonique, mais la faiblesse relative des monnaies des exportateurs de produits de base. Qui, par exemple, paierait volontiers la roupie indonésienne pour leurs exportations de cuivre - certainement pas les Indonésiens eux-mêmes qui préféreraient les dollars.

    Presque toute la comptabilité internationale est en dollars, ce qui signifie que la décision la plus simple pour tout commerçant international est de simplement maintenir des soldes en dollars. C'est pour cette raison que la propriété étrangère des actifs financiers en dollars et des soldes bancaires dépasse désormais 33 billions de dollars, près d'une fois et demie le PIB américain. C'est un acte difficile à suivre.

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  49. Sous les sanctions occidentales et sans accès à des dollars, les Russes ont déclaré qu'ils se contenteraient de négocier des monnaies nationales. Pour eux, accepter même la Lira turque - probablement une monnaie pire que la roupie indonésienne - est préférable à toutes les monnaies des «non-amitiers», qui sont actuellement sans valeur entre les mains de la Russie. Mais cela ne peut être qu'un arrangement temporaire. Par conséquent, les Russes recherchent une meilleure solution.

    Vraisemblablement, Poutine ne voudra pas voir le rouble exposé à la manipulation des ennemis de la Russie. Et il aura joué divers scénarios pour mettre fin au statut hégémonique du dollar, ou du moins saper sa crédibilité qui l'a alerté des dangers potentiels pour la monnaie de la Russie. Cela étant, il ne voudra pas voir des soldes potentiellement déstabilisateurs de roubles s'accumuler entre des mains étrangères. Pour un statistique comme les marchés libres de Poutine pour sa monnaie, il faut probablement être considéré comme dangereux.

    En supposant donc que la Russie souhaite maintenir au moins certains contrôles de change, il y a deux questions distinctes: il y a la monnaie pour remplacer le dollar requis pour les établissements commerciaux transfrontaliers qui peuvent être librement convertis en roubles par l'État et les intérêts commerciaux russes, ainsi limiter l'accumulation de roubles à la propriété étrangers disponibles sur les échanges étrangers; Et il y a celui du rouble domestique lui-même. En commun avec d'autres nations asiatiques, il est peu probable que le contrôle du gouvernement sur leurs monnaies nationales soit facilement sacrifiée.

    Les plans d'une monnaie de règlement commercial progressent déjà sous l'égide de l'Union économique eurasienne (EAEU), un projet en cours d'élaboration par Sergey Glazyev. Glazyev est le ministre russe en charge de l'intégration et de la macroéconomie de l'EAEU. Bien que la planification de supprimer des dollars pour des établissements commerciaux soit en cours depuis un certain temps, les sanctions des non-amitiers contre la Russie ont provoqué une nouvelle urgence.

    Nous connaissons peu de détails, à part lequel a été révélé dans une interview que Glazyev a récemment donnée à un média, le berceau [II]. La nouvelle monnaie commerciale sera entièrement composée des soldes de crédit dans les banques centrales et commerciales, vraisemblablement fixées par les prix, donnant des taux de conversion en devises locales. Les banques centrales des États participants peuvent créer la nouvelle monnaie en achetant dans leurs propres devises auprès d'importateurs et d'exportateurs pour la conversion. Outre l'inclusion proposée des monnaies nationales dans le panier, c'est un concept pratique. C'est probablement la raison pour laquelle le Kremlin serait considéré comme une option pour soutenir le rouble à l'avenir.

    Cette idée d'un panier de matières premières pour le rouble lui-même est susceptible d'être abandonnée comme inutile, tandis qu'une monnaie de règlement commerciale EEeu réussie peut être étendue des nations EAEU à la fois à ceux du SCO plus large et des membres du BRICS non dans l'OCS. Il pourrait également s'agir d'un remplacement acceptable du Petrodollar pour les paiements d'exportation de pétrole vers le Moyen-Orient.

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  50. L'ambition est de devenir le mécanisme pour libérer plus de la moitié du monde de l'hégémonie d'un dollar, y compris toutes les nations dont les marchés d'exportation dépendent désormais davantage de l'Asie que du monde développé actuel. En octobre 2020, la motivation originale a été expliquée par Victor Dostov, président de la Russian Electronic Money Association:

    «Si je veux transférer de l'argent de la Russie au Kazakhstan, le paiement est effectué en utilisant le dollar. Tout d'abord, la banque ou le système de paiement transfère mes roubles en dollars, puis les transfère de dollars à dix ans. Il y a une double conversion, avec un pourcentage élevé pris comme commission par American Banks. »

    Ayant à l'origine eu un élément pratique, la motivation du changement est maintenant devenue politiquement urgente en raison des sanctions occidentales.

    Les problèmes avec les propositions de Glazyev

    Dans son interview avec le berceau, Sergey Glazzyev a décrit la nouvelle monnaie commerciale de l'EAEU comme étant composée d'un indice pondéré des devises des nations participantes, renforcée jusqu'à vingt produits de base en bourse. C'est l'inclusion de devises qui ne provoqueront pas de difficultés. Par exemple, Glazyev a déclaré que le yuan de la Chine ne serait pas inclus «en raison de son inconfortibilité et de l'accès extérieur restreint aux marchés des capitaux chinois». Mais la Russie a également introduit des contrôles d'échange stricts à la suite des sanctions occidentales, et on peut envisager d'autres États membres qui souhaitent la liberté de le faire aussi s'ils ne l'ont pas déjà fait. La solution simple et évidente ne consiste pas du tout à inclure des devises. S'il doit être utilisé uniquement pour le commerce international, il n'y a aucune raison de les inclure. Et en ne les impliquant pas, un pays simplement prêt à échanger sa propre monnaie pour la nouvelle unité commerciale peut se joindre. Cela devient un simple accord d'une page.

    L'objectif est de contourner le dollar. Pour ce faire avec succès, la nouvelle monnaie commerciale doit être un meilleur moyen d'échange et de réserve de valeur que le dollar pour encourager les entreprises des nations participantes à détenir des dépôts de préférence au dollar. La simplicité dans sa construction et sa transparence dans sa composition sont essentielles. Et la certitude que ses administrateurs ne modifieront pas sa composition sans raison valable pour quiconque envisage de migrer les règlements commerciaux à partir de dollars. Cela exclut également les produits de pondération dans un indice car ce ne sont que les prix agrégés qui comptent.

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  51. Il ressort clairement de l'interview du berceau que Glazyev se trompe mal dans son approche. Il embrouille un impératif politique pour confondre les considérations de monnaie intérieure avec celles du commerce international. Pourtant, il reconnaît que la nature de la monnaie proposée devrait permettre aux pays participants de gérer leurs propres devises comme bon leur semble. Si cela est le cas, alors c'est une raison supplémentaire pour laquelle ils ne sont pas adaptés à l'inclusion.

    Il n'est guère surprenant que l'introduction de monnaies nationales et de les pondérer éventuellement en fonction des PIB nationaux, comme Glazyev l'a suggéré, il est difficile de parvenir à un accord. Glazyev admet que la planification de cette nouvelle monnaie a commencé il y a dix ans, alors qu'elle aurait pu être fait et dépoussiérée dans un après-midi par quelqu'un qui savait ce qu'il faisait. Comme excuse, la politique est boiteuse. Faites une proposition correctement considérée pour une structure claire simple et les nations l'inscrivent ou ne le font pas.

    En outre, le commentaire de Glazyev selon lequel «l’utilisation de l’or comme référence des prix est limitée par l’inconvénient de son utilisation pour les paiements» expose un manque épouvantable de connaissances sur l’argent. L'or circule très rarement comme de l'argent, a presque toujours thésaurisation comme le dernier et non le premier moyen de paiement. Ce sont des substituts crédibles à l'or qui circulent. Toute monnaie fiduciaire peut être transformée en substitut d'or par un émetteur préparé à échanger sa monnaie à la demande en termes préalables. Glazyev aurait dû le savoir.

    Néanmoins, tant qu'une monnaie basée sur des produits de base est utilisée et accumulée uniquement pour les transactions transfrontalières, cela peut être une proposition pratique. La pertinence et la durabilité d'une monnaie supranationale correctement construite à des fins commerciales sont notre prochain sujet.

    À quel point une monnaie commerciale basée sur des produits de base sera-t-elle durable ?

    Le succès à long terme de toute devise dépend de sa stabilité - stabilité en termes de pouvoir d'achat et d'acceptabilité en tant que moyen d'échange, des valeurs qui ont été perdues dans le monde centré sur le dollar Fiat.

    Dans la planification d'une telle monnaie, il y a des problèmes à résoudre. Une telle monnaie est une créature de gouvernement et non de ses utilisateurs, donc ses utilisateurs doivent être satisfaits de ses propriétés et de sa crédibilité. Pour une monnaie basée sur des produits de base, elle doit être fournie par les banques centrales participantes en échange de l'achat dans leurs propres devises. Ainsi, un exportateur payé en monnaie locale peut le convertir immédiatement en la nouvelle super-monnaie. Ou un importateur peut l'acheter à sa banque centrale sur le paiement de la monnaie locale. Ces transactions peuvent être acheminées par le biais de banques commerciales ayant des comptes de dépôt auprès de leur banque centrale.

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  52. Pour que ces transactions se produisent, nécessitent des fixations quotidiennes, voire deux fois par jour indexées dans toutes les devises participantes.

    Les seules transactions impliquant des dollars seront effectuées directement avec les échanges de matières premières et les fournisseurs non dans le régime, ne peuvent donc pas être réglés dans la nouvelle monnaie commerciale. Pour que ce soit autrement, les autorités américaines devraient être incluses dans le programme et les membres participants s'opposent probablement à cela de toute façon. Mais les banques non américaines préparées à émettre et à traiter le crédit en dollars offshore et domicilié dans une nation participante pourraient le faire. Les candidats les plus probables pour ce commerce seraient les banques chinoises, et les banques d'importation / exportation ou les divisions des banques établies à cet effet. Les installations de couverture monétaire et les instruments associés évolueraient probablement sur les marchés secondaires où il y a une demande pour eux. Et lorsqu'un exportateur de matières premières recherche un règlement dans la nouvelle monnaie commerciale, cela se ferait en référence à la monnaie de l'acheteur, converti par la Banque centrale nationale au Daily Fix dans la nouvelle monnaie commerciale.

    Concevoir la nouvelle monnaie

    Compte tenu de l'interview de Glazyev avec le berceau, nous ne pouvons pas dire avec certitude que ces problèmes seront traités de manière crédible. Mais nous pouvons évaluer le succès probable d'une monnaie basée sur des produits qui est correctement conçue.

    Il doit fonctionner comme s'il s'agissait d'un substitut d'or. Contrairement à bon nombre de leurs homologues occidentaux, les commerçants et les consommateurs eurasiens n'ont pas oublié que l'or est de l'argent. Et bien qu'une norme en or pur soit de loin la solution la plus simple et la meilleure, la probabilité d'une nouvelle monnaie de statistiques réussie doit être mesurée par rapport à l'argent préféré du peuple - Gold.

    La Russie est le plus grand exportateur d'énergie au monde et étant donné que le nouveau comité monétaire de l'EAEU est dirigé par un russe senior, nous pouvons nous attendre à ce que le prix du pétrole soit inclus dans le panier des matières premières. De plus, l'énergie est la plus fondamentale de tous les produits. L'historique des prix du pétrole fournit un guide des défis à relever par son inclusion. La figure 1 montre le prix du pétrole dans trois devises principales et au prix de l'or à partir de 1950.

    - voir graph sur site -

    En livres sterling, le prix du pétrole a grimpé de 83 fois depuis 1950, en dollars 39 fois, en Euros (et avant 2000 dans des marques de Deutsche relativement stables) 15 fois. Si les euros dans leur forme actuelle avaient existé plus tôt, nous pouvons être sûrs que le prix du pétrole en euros aurait augmenté beaucoup plus.

    En or, le prix a chuté de 30 %. Sachant que l'argent sain est de l'or, et les monnaies ne sont soutenues par rien de plus que la foi et le crédit dans les gouvernements émettrices, il est perceptible de savoir comment presque toute la volatilité des prix n'est pas dans le pétrole lui-même, mais dans les monnaies.

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  53. Cela réduit la compréhension de base que dans toute transaction économique où un moyen d'échange est utilisé, toute l'objectivité des prix devrait être dans le moyen d'échange et toute subjectivité des prix est en cours d'échange de biens ou de services. Pour les parties dans une transaction, même si un vendeur de marchandises préfère la monnaie des marchandises et que l'acheteur préfère les marchandises à la monnaie, ils peuvent tous deux convenir qu'un dollar est un dollar, et toute variation de valeur est limitée aux marchandises.

    Les analystes de l'investissement et de l'industrie ne remettent jamais en question l'objectivité des devises, en supposant que tous les changements de prix prédits se trouvent dans l'investissement ou les produits analysés. Même les analystes techniques avec leurs graphiques tombent dans ce piège. Les lecteurs de ce non-sens s'attendent généralement à recevoir des prévisions de prix. Et la réponse est toujours basée sur une évaluation de l'offre et de la demande attendues pour XYZ, et jamais formulées en ces termes plus corrects: «Nous pouvons modéliser les changements probables de l'offre et de la demande pour XYZ, mais ne pouvons pas prévoir l'effet des prix parce que nous ne faisons pas Je sais comment la monnaie pourrait changer avec le temps. »

    L'origine de l'objectivité des prix dans la monnaie et la subjectivité des prix dans les biens et services découle de la théorie économique des prix marginaux formulés par Carl Menger dans les années 1870 puis développé par des économistes autrichiens. Être entièrement échangeable contre la pièce d'or, les devises à cette époque ont pris les caractéristiques de l'argent proprement dit, et les résultats de Menger décrivent la relation entre l'argent et les marchandises solides, qui était valable pour les devises selon une étalon-or crédible. Avec l'abandon de toutes les formes de support d'or en 1971, les monnaies Fiat sont devenues libres de varier en puissance d'achat. Bien que les participants aux transactions pensent que la relation objective / subjective selon une étalon-or est toujours le cas aujourd'hui, il y a encore un chapitre supplémentaire à être écrit sur la théorie des prix comme le montre la figure 1 ci-dessus.

    Jusqu'à ce que cela soit fait, tout le monde reste inconsciemment marié à la relation objective / subjective pure de l'étalon-or par rapport aux monnaies fiduciaires. Mais alors la compréhension générale des catallactiques (la théorie des ratios d'échange et l'économie des prix) n'a jamais été aussi grande de toute façon et a presque disparu après la révolution keynésienne.

    La valeur d'une marchandise, du bien ou du service variera par rapport à celles des autres en fonction de la demande relative. Par conséquent, dans la condition artificielle sans changement dans la quantité d'argent, de monnaie et de crédit et en supposant qu'il n'y a pas de changement dans la propension de la population des consommateurs et des producteurs dans le total pour conserver leur liquidité disponible, certains prix augmenteront et d'autres tomber. Même alors, nous ne pouvons toujours pas prétendre, comme Leon Walrus de l'école Lausanne a tenté, que l'ensemble du système de tarification est équilibré. Mais il ne fait aucun doute que non seulement les valeurs des matières premières varient les unes contre les autres, mais un panier représenté dans un indice devrait être une mesure stable relative du pouvoir d'achat, comme le suggère l'expérience du prix de l'or du pétrole.

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  54. C'est pourquoi l'argent métallique est fondamentalement solide. Au cours des millénaires, l'or, l'argent et le cuivre se sont révélés être les meilleures formes de médias d'échange. Et l'or, avec sa durabilité, sa quantité restreinte (21 m³ ), et le fait qu'elle n'est pas consommée, est devenue la norme d'argent préférée au XIXe siècle. On dit que son pouvoir d'achat pour les articles communs à l'époque romaine est similaire à leurs équivalents aujourd'hui. Et cela est certainement évident de l'édit de Dioclétien sur les prix émis il y a 1 700 ans.

    - voir graph sur site -

    Dans la figure 1 ci-dessus, que le prix de l'or du pétrole a peu varié de 1950 au jour en cours confirme que l'objectivité des prix en or est un argument valide, bien que mesuré dans les monnaies fiduciaires. Nous pouvons aller plus loin et illustrer le point dans d'autres produits. La figure 2 montre la fin de l'année des prix du cuivre en dollars et en or.

    - voir graph sur site -

    Le cuivre est devenu 70 % moins cher dans un sain d'argent au cours des 120 dernières années est logique. Bien que la demande ait augmenté, elle a également vu des fournitures augmenter. De nouveaux dépôts ont été trouvés et les coûts d'extraction par unité de production ont chuté à mesure que les méthodes minières et les améliorations technologiques se sont développées. Ceux-ci ont plus que fourni la demande de nouvelles utilisations pour le métal.

    En tant que métal couramment utilisé, la demande de cuivre est largement reconnue comme un indicateur à terme des conditions économiques globales. Le docteur Copper est ainsi nommé. Comme le pétrole brut est à l'énergie, le cuivre est pour baser les métaux.

    La figure 3 montre les prix du fer à fer et de l'acier, au centre de la construction et d'autres industries de base.

    - voir graph sur site -

    Depuis 1934, les prix de rebut ont augmenté 69 fois en dollars, mais seulement 32 % en or. Encore une fois, le graphique confirme que pour un matériau clé, au prix de l'argent sonore, il est peu changé sur près de quatre-vingt-dix ans.

    Nous pouvons voir sur seulement trois composants clés qu'un panier de produits utilisés pour déterminer le taux de change pour une nouvelle monnaie commerciale garantira que la monnaie conserve son pouvoir d'achat au fil du temps et peut agir comme un bien meilleur commerce ou réserve de valeur que le dollar fiat. Ce serait l'équivalent le plus proche d'un substitut d'or sans l'implication de l'or lui-même. Si une telle monnaie s'établit correctement, alors quelles que soient les politiques monétaires américaines, le dollar est susceptible d'être rejeté à des fins de règlement commercial entre les nations de l'EAEU, de l'OCS, du Brésil en tant que participant aux BRICS non asiatiques, et potentiellement toute leur marchandise et Les contreparties commerciales en Afrique en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.

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  55. La force d'un tel régime est que la monnaie commerciale serait choisie par ses utilisateurs de préférence au dollar - les fournisseurs de matières premières, les fabricants et les exportateurs d'importation - pas leurs gouvernements. Les pratiques hégémoniques américaines de s'appuyer sur les gouvernements et les organisations telles que l'OPEP pour échanger uniquement des dollars ne fonctionneraient plus.

    Mais le succès d'une nouvelle monnaie commerciale soulève une question sur l'avenir des 33 billions de dollars d'actifs financiers et de dépôts américains appartenant à des étranger. Si le programme se décolle avec succès, l'impact sur le dollar sera presque certainement pour les intérêts étrangers de détendre considérablement ces actifs, pour les remplacer par des soldes dans la nouvelle monnaie commerciale. Les capitaux appartenant à des étrangers seraient retirés de l'économie américaine en quantités dévastatrices.

    Une autre question est ensuite soulevée sur la pratique courante de la tarification de tous les produits de base en dollars. Une nouvelle monnaie commerciale indexée sur les matières premières, mais dont la seule valeur d'échange est avec les devises des émetteurs inscrites pour participer ne peut pas être facilement utilisée pour évaluer les produits individuels sur une base continue. Tant que le dollar existe de manière crédible, les prix devraient continuer à se fixer en dollars. Mais la supériorité d'une monnaie commerciale correctement construite devrait saper le pouvoir d'achat du dollar dans la mesure où les marchés sont susceptibles de l'abandonner enfin comme un moyen objectif de valeur de marchandise. La solution est évidente: le meilleur moyen d'échange à des fins de tarification des produits de base est l'or lui-même, même s'il est représenté par une monnaie crédible et un substitut de crédit.

    Il est difficile de conclure autrement. Une monnaie commerciale basée sur un panier de marchandises est, en fait, un moyen de réintroduire l'or comme le standard d'argent dans lequel tous les produits sont évalués. Il encouragera les monnaies fiduciaires du monde entier à être converties en substituts d'or crédibles pour survivre.

    La guerre financière - la fin de partie

    Cet article a commencé avec l'affirmation selon laquelle la véritable guerre entre la Russie et l'Occident est de nature financière, et elle a tenté d'expliquer pourquoi. Néanmoins, il y a beaucoup de fins lâches à considérer.

    Peut-être que le plus grand obstacle que Poutine doit surmonter (et d'ailleurs XI en Chine) est la corruption intellectuelle de ses conseillers, qui ont adopté de nombreux erreurs économiques et monétaires de l'Occident. La mauvaise compréhension de Glazyev des catallactiques a été soulignée. Et dans son discours à Saint-Pétersbourg, Poutine a fait référence à la croissance économique. Ce n'est pas la même chose que ce que les utilisateurs du terme croissance pensent que cela signifie, qui est un progrès économique, et c'est une erreur courante.

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  56. Induit par induit en erreur par la macroéconomie occidentale, il est probable que les conseillers de Poutine se mettent en garde contre un taux de change lié aux matières premières comme étant trop forte, sapant le commerce des exportations. C'est peut-être cette erreur qui conduit Glazyev à tenter d'atténuer la monnaie commerciale proposée en incluant des devises. Pire encore, le stimulus économique de style keynésien est presque certainement cru par les décideurs monétaires influencés par l'Ouest de la Russie.

    Le meilleur qui peut être espéré est qu'en planifiant d'introduire une nouvelle monnaie commerciale internationale basée sur des produits de base sur les lignes décrites ci-dessus, les conseillers économiques russes et chinois, il leur permet de conserver les soi-disant avantages de la monnaie et du taux d'intérêt Gestion économique pour leurs économies nationales.

    Peut-être ne verront-ils pas que la destruction du dollar en établissant une monnaie commerciale réussie basée sur des produits de base permettra aux normes d'or de se glisser par la porte arrière.



    [i] It is worth reading in full the official translation of Putin’s speech, which can be found here: http://en.kremlin.ru/events/president/news/68669

    [iI] The Prince, Niccolo Machiavelli, XXI — “How a Prince must act to win honour”.

    [iiI] https://thecradle.co/Article/interviews/9135

    The views and opinions expressed in this article are those of the author(s) and do not reflect those of Goldmoney, unless expressly stated.

    https://www.lewrockwell.com/2022/06/alasdair-macleod/russia-is-winning-the-financial-war/

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    1. (...) L'enjeu est l'accord que le président Nixon a conclu avec le roi Faisal en 1973, pour vendre du pétrole exclusivement pour des dollars, liant le royaume dans le système bancaire américain. C'était une décision astucieuse des deux parties à l'époque, permettant à Sheik Yamani l'OPEP de passer le prix du pétrole de 3,56 $ par baril de plus de dix fois au cours des sept prochaines années, et pour garantir que le monde avait besoin de dollars pour le payer. (...)

      Faut se rappeler le faux 'choc du prix du pétrole dit 'en fin de puits !!' alors que le 7 Janvier 1973 le ministre français de l’Économie et des Finances était V Giscard d''Estaing sous Pompidou) après le 15 Août 1971 de Nixon.

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  57. Le « grand remplacement » au Japon ?


    le 24 juin 2022


    Dans la rue piétonne située entre la gare ferroviaire et le terminus de la plus vieille ligne de métro de Tokyo, la Marunouchi line, et le domicile de mon fils il y a deux « kebab » tenus par des Turcs. Celui qui est le plus proche de la maison de mon fils fut réaménagé il y a quelques années et j’eus la surprise de constater que la petite entreprise qui avait travaillé à ce réaménagement, en fin de semaine, comptait des ouvriers tous turcs. Il conversaient dans leur langue et les passants japonais étaient étonnés non pas parce qu’ils travaillaient un samedi car c’est très souvent le cas au Japon mais parce qu’il s’agissait de gaïjins, des étrangers qui conversaient dans une langue inconnue. Je savais qu’il y avait à Tokyo une petite communauté de Turcs.

    Hier jeudi, je me suis rendu à Shinjuku faire quelques emplettes. Dans ce quartier d’habitude très cosmopolite rares étaient les passants d’origine européenne. Et pourtant dans ma petite promenade un peu nostalgique au milieu de petites rues commerçantes également réservées aux piétons tout près de l’immense gare ferroviaire qui fut un temps la plus grande du monde avec une multitude de trains et en souterrain 9 lignes de métro qui s’entrecroisent il y avait, devinez quoi ? Un kebab perdu au milieu de restaurants de toutes nationalités. Le jour précédent je m’étais rendu à Asakusabashi dans le quartier spécialisé dans les produits en cuir et quelle ne fut pas ma surprise de trouver un « kebab » perdu au milieu des « ramen » et des sushi ! J’ai finalement compris pourquoi les kebab étaient si populaires au Japon, du moins dans une grande ville comme Tokyo : un peu de viande de poulet mélangée à de la viande bœuf dans une petite galette de pain sans levain pliée en deux et c’est presque le repas d’un « salary-man » pour trois-cent yens, on va arrondir à 2 euros 50, alors qu’un « ramen » revient au minimum à 1000 yens car on paie la place assise tandis que le kebab est emporté ou dégusté sur place debout. Pour la petite histoire il y a une mosquée turque d’obédience sunnite dans le quartier de Yoyogi tout près de Shinjuku. Enfin je crois me souvenir avoir mangé un « kebab » près de la Place de la Bastille à Paris il y a longtemps. Je n’ose pas imaginer quel est le stade du « grand remplacement » dans ce quartier de Paris très plaisant il y a 30 ans … Quant à dire qu’il y aura un « grand remplacement » au Japon rien n’est moins sûr car les Japonais, comme beaucoup de peuples insulaires, sont fondamentalement opposés à une arrivée massive d’étrangers, à l’instar de l’Allemagne, ce ne sont pas des Turcs qui permettront de mettre un terme à la chute préoccupante de la natalité dans ce pays. Lien :https://en.wikipedia.org/wiki/Tokyo_Metro_Marunouchi_Line

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/24/le-grand-remplacement-au-japon/

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