By Cheikh Dieng
25 juin 2022
Dans un communiqué publié sur son site officiel, le Réseau Mondial de la Santé qui regroupe des scientifiques du monde a déclaré la variole du singe pandémie mondiale
Le Réseau Mondial de la Santé est-il allé trop vite en besogne? En tout cas, dans un communiqué publié sur son site officiel et consulté par Lecourrier-du-soir.com, cette structure qui se définit comme une coalition de scientifiques du monde entier estime que la variole du singe est devenue une pandémie et la déclare comme telle.
Ainsi, le Réseau Mondial de la Santé donne les raisons l’ayant poussé à déclarer la variole du singe pandémie mondiale.
1 - le nombre de cas (plus de 3 000) détectés dans 58 pays du monde et le taux de croissance des cas qui augmentent toutes les semaines
2 - la forte douleur, les cicatrices, la cécité et la mort que le virus inflige aux patients
l’immense sévérité du virus chez les enfants
3 - le danger d’une transmission du virus entre l’homme et les animaux (sauvages ou domestiques), ce qui, selon le Réseau Mondial de la Santé, accroîtrait le risque d’une forte expansion au virus
4 - Il faut dire que cette déclaration intervient au moment où l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) s’apprête à déclarer une urgence de santé publique internationale afin de mieux coordonner la lutte contre la variole du singe. L’annonce avait été faite par le directeur-général de l’organisation, Tedros Adhanom, dans un twitte posté sur son compte officiel le 14 juin.
“L’épidémie mondiale de variole du singe est clairement inhabituelle et inquiétante. J’ai décidé de convoquer le Comité d’Urgence jeudi prochain (24 juin) pour voir si l’épidémie représente une urgence de santé publique internationale”, avait-il annoncé. La rencontre a bien eu lieu ce 24 juin, mais jusqu’ici, aucun détail n’a émergé. Toutefois, d’après plusieurs sources fiables, l’OMS, jugeant inquiétante la situation, pourrait bien décréter une urgence de santé publique internationale.
Pour rappel, la variole du singe a fait son apparition en Europe il y a un mois et demi. Parmi les premiers pays touchés, figurent l’Espagne (plus de 600 cas) mais aussi le Portugal et la Grande-Bretagne qui compte plus de 300 cas. En France, les cas connaissent, en quelques semaines, une forte hausse.
En effet, d’après les informations obtenues par la presse, le pays compte 330 cas confirmés par les autorités sanitaires. Face à cette situation, l’Etat français, à l’instar de ses voisins, mise sur la vaccination des personnes susceptibles d’être en contact avec le virus afin de contenir la propagation du virus.
La maladie réservée aux pédés est déclarée... pandémie mondiale !! 8 milliards de pédés et de gouines au monde !!! (grâce uniquement aux FAUX tests 'RT-PCR').
RépondreSupprimerTout le monde est coupable : pour l'État policier, nous sommes tous des criminels jusqu'à ce que nous prouvions le contraire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 25 JUIN 2022 - 05:00
Rédigé par John W. Whitehead et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,
"Dans une société fermée où tout le monde est coupable, le seul crime est de se faire prendre."
-Hunter S. Thompson
La charge de la preuve a été renversée.
Nous ne sommes plus présumés innocents. Maintenant, nous sommes présumés coupables à moins que nous ne puissions prouver notre innocence au-delà de tout doute raisonnable devant un tribunal. Rarement, nous avons même l'occasion de le faire.
Bien que la Constitution exige que le gouvernement fournisse une preuve solide d'activité criminelle avant de pouvoir priver un citoyen de la vie ou de la liberté, le gouvernement a renversé cette garantie fondamentale d'une procédure régulière.
Chacun d'entre nous est désormais considéré comme un suspect potentiel, un terroriste et un contrevenant aux yeux du gouvernement.
Considérez toutes les façons dont « nous, le peuple » sommes désormais traités comme des criminels, reconnus coupables d'avoir enfreint l'abondance de lois de l'État policier et dépouillés de manière préventive des droits fondamentaux à une procédure régulière.
Lois sur la confiscation des armes à drapeau rouge : la législation sur le contrôle des armes à feu, en particulier sous la forme de lois sur les armes à feu drapeau rouge, permet à la police de retirer les armes des personnes "suspectées" d'être des menaces. Ces lois, qui gagnent en popularité en tant que moyen législatif permettant de saisir les armes à feu d'individus considérés comme un danger pour eux-mêmes ou pour les autres, mettront une cible sur le dos de chaque Américain, qu'il possède ou non une arme.
Campagnes d'éradication de la désinformation. Ces dernières années, le gouvernement a utilisé l'expression « terroriste national » de manière interchangeable avec « anti-gouvernemental », « extrémiste » et « terroriste » pour décrire quiconque pourrait tomber quelque part sur un très large éventail de points de vue qui pourraient être considérés comme « dangereux ». ” Les ramifications sont si profondes qu'elles font de presque chaque Américain un extrémiste en paroles, en actes, en pensées ou par association. Dans le dernier assaut du gouvernement contre ceux qui critiquent le gouvernement - que cette critique se manifeste en paroles, en actes ou en pensées - l'administration Biden a comparé ceux qui partagent «des récits et des théories du complot faux ou trompeurs, et d'autres formes d'erreurs fausses informations » aux terroristes. Cette dernière salve du gouvernement contre les consommateurs et les diffuseurs de « fausses informations et de mauvaises informations » élargit le filet pour inclure potentiellement toute personne exposée à des idées qui vont à l'encontre du récit officiel du gouvernement. En d'autres termes, si vous osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement, vous pourriez bien être soupçonné d'être un terroriste national et traité en conséquence. De cette façon, les censeurs du gouvernement et des entreprises qui prétendent nous protéger des dangereuses campagnes de désinformation jettent en fait les bases maintenant pour prévenir toute idée « dangereuse » qui pourrait remettre en cause l'emprise de l'élite au pouvoir sur nos vies.
RépondreSupprimerListes de surveillance du gouvernement. Le FBI, la CIA, la NSA et d'autres agences gouvernementales ont de plus en plus investi dans les technologies de surveillance d'entreprise qui peuvent exploiter les discours protégés par la Constitution sur les plateformes de médias sociaux telles que Facebook, Twitter et Instagram afin d'identifier les extrémistes potentiels et de prédire qui pourrait se livrer à de futurs actes d'anti -comportement du gouvernement. Là où de nombreux Américains se trompent, c'est en supposant naïvement que vous devez faire quelque chose d'illégal ou de nuisible pour être signalé et ciblé pour une forme d'intervention ou de détention. En fait, tout ce que vous devez faire ces jours-ci pour vous retrouver sur une liste de surveillance gouvernementale ou être soumis à un examen approfondi est d'utiliser certains mots déclencheurs (comme nuage, porc et pirates), surfer sur Internet, communiquer à l'aide d'un téléphone portable, boiter ou bégayer, conduire une voiture, séjourner à l'hôtel, assister à un rassemblement politique, s'exprimer sur les réseaux sociaux, paraître malade mental, servir dans l'armée, être en désaccord avec un responsable de l'application des lois, appeler un malade au travail, acheter du matériel dans une quincaillerie , prendre des cours de pilotage ou de navigation, paraître méfiant, paraître confus ou nerveux, s'agiter ou siffler ou sentir mauvais, être vu en public agitant une arme-jouet ou tout objet ressemblant vaguement à une arme à feu (tel qu'un pistolet à eau, une télécommande ou une canne) ), fixe un policier, remet en question l'autorité du gouvernement ou semble pro-armes ou pro-liberté.
Crimes de pensée. Depuis des années, le gouvernement a utilisé toutes les armes de son vaste arsenal - surveillance, évaluations des menaces, centres de fusion, programmes pré-crime, lois sur les crimes haineux, police militarisée, confinements, loi martiale, etc. - pour cibler les ennemis potentiels de l'État en fonction de leurs idéologies, comportements, affiliations et autres caractéristiques qui pourraient être considérées comme suspectes ou dangereuses. Ce n'est pas seulement ce que vous dites ou faites qui est surveillé, mais comment vous pensez que cela est suivi et ciblé. Il existe tout un éventail de comportements allant des crimes de pensée et des discours de haine aux dénonciateurs qui se qualifient pour la persécution (et les poursuites) par l'État profond. C'est une pente glissante entre la censure des idées soi-disant illégitimes et le silence sur la vérité.
RépondreSupprimerPoints de contrôle de sécurité et centres de fusion. En traitant toute une population comme suspecte, le gouvernement a justifié des points de contrôle de sécurité de grande envergure qui soumettent les voyageurs à des scans, des fouilles, des palpations et d'autres indignités par la TSA et des raids VIPR sur des cibles dites «faciles» comme les centres commerciaux et les dépôts de bus. par des sosies de Dark Vador vêtus de noir. Les centres de fusion, qui représentent les efforts de surveillance combinés des forces de l'ordre fédérales, étatiques et locales, suivent les mouvements des citoyens, enregistrent leurs conversations et cataloguent leurs transactions.
Surveillance, programmes précriminels. Les logiciels de reconnaissance faciale visent à créer une société dans laquelle chaque individu qui sort en public est suivi et enregistré au cours de ses activités quotidiennes. Couplée aux caméras de surveillance qui couvrent le pays, la technologie de reconnaissance faciale permet au gouvernement et à ses partenaires commerciaux d'identifier et de suivre sans garantie les mouvements d'une personne en temps réel, qu'elle ait ou non commis un crime. Les progrès rapides de la surveillance comportementale permettent non seulement de surveiller et de suivre les individus en fonction de leurs schémas de mouvement ou de comportement, y compris la reconnaissance de la marche (la façon dont on marche), mais ont donné naissance à des industries entières qui tournent autour de la prédiction de son comportement. sur la base de données et de schémas de surveillance et façonnent également les comportements de populations entières. Avec l'augmentation des programmes précriminels, des évaluations des menaces, des algorithmes d'IA et des programmes de surveillance tels que SpotShotter, qui tentent de calculer où les activités illégales pourraient se produire en triangulant les sons et les images, la charge de la preuve a été renversée par un État de surveillance qui rend nous tous suspects et la surcriminalisation qui fait de nous tous des hors-la-loi.
Surveillance du courrier. À peu près toutes les branches du gouvernement - du service postal au département du Trésor et toutes les agences intermédiaires - ont maintenant leur propre secteur de surveillance, autorisé à espionner le peuple américain. Par exemple, le service postal américain, qui photographie l'extérieur de chaque courrier papier depuis 20 ans, espionne également les SMS, les e-mails et les publications sur les réseaux sociaux des Américains. Dirigé par la division chargée de l'application de la loi du service postal, le programme d'opérations secrètes sur Internet (iCOP) utiliserait la technologie de reconnaissance faciale, combinée à de fausses identités en ligne, pour dénicher les fauteurs de troubles potentiels avec des messages "incendiaires". L'agence affirme que la surveillance en ligne, qui ne relève pas de son champ d'activité conventionnel de traitement et de livraison du courrier papier, est nécessaire pour aider les postiers à éviter les «situations potentiellement volatiles».
RépondreSupprimerÉvaluations des menaces et algorithmes d'IA. Le gouvernement a une liste croissante - partagée avec les centres de fusion et les agences d'application de la loi - d'idéologies, de comportements, d'affiliations et d'autres caractéristiques qui pourraient signaler quelqu'un comme suspect et les faire qualifier d'ennemis potentiels de l'État. D'ici peu, chaque foyer américain sera signalé comme une menace et se verra attribuer un score de menace. Ce n'est qu'une question de temps avant que vous ne vous retrouviez accusé à tort, enquêté et confronté à la police sur la base d'un algorithme basé sur des données ou d'une évaluation des risques rassemblée par un programme informatique géré par l'intelligence artificielle.
Raids sans heurts. Les raids de l'équipe SWAT sans coup et sans annonce sont ce qui passe pour des services de police sanctionnés par les tribunaux en Amérique aujourd'hui, et cela pourrait arriver à n'importe lequel d'entre nous. Dans tout le pays, les équipes SWAT envahissent régulièrement les maisons, défoncent les portes, tuent les animaux de compagnie (ils tirent toujours sur les chiens en premier), endommagent les meubles, terrorisent les familles et blessent ou tuent ceux qui ont la malchance d'être présents lors d'un raid. N'étant plus réservées exclusivement aux situations meurtrières, les équipes SWAT sont désormais de plus en plus déployées pour des affaires de police relativement courantes telles que l'exécution d'un mandat de perquisition, certaines équipes SWAT étant envoyées jusqu'à cinq fois par jour. La police effectue des dizaines de milliers de raids sans coup férir chaque année dans tout le pays.
Police militarisée. L'Amérique est envahie par des flics militarisés - des justiciers avec un badge - qui ont un pouvoir discrétionnaire presque absolu pour décider qui est une menace, ce qui constitue une résistance et la dureté avec laquelle ils peuvent traiter les citoyens qu'ils ont été nommés pour "servir et protéger". Peu importe où vous vivez - grande ville ou petite ville - c'est le même scénario qui se répète encore et encore dans lequel les agents du gouvernement, formés pour agir en tant que juge, jury et bourreau dans leurs interactions avec le public, écrasent les droits des citoyens. C'est ainsi que nous sommes passés d'une nation de lois - où le moindre d'entre nous avait tout autant le droit d'être traité avec dignité et respect que les autres (en principe, du moins) - à une nation de forces de l'ordre (receveurs armés) qui traitent « nous le peuple » comme des suspects et des criminels.
RépondreSupprimerZones sans Constitution. Le simple fait de vivre à moins de 100 miles à l'intérieur de la frontière autour des États-Unis suffit désormais à faire de vous un suspect, ouvrant la voie aux agents de la patrouille frontalière pour fouiller les maisons des gens, sonder intimement leurs corps et fouiller leurs biens, le tout sans mandat. Près de 66% des Américains (2/3 de la population américaine, 197,4 millions de personnes) vivent désormais dans cette zone de 100 miles de profondeur, sans Constitution.
Régimes de confiscation des avoirs. Les Américains n'ont plus droit à la propriété privée. Si des agents du gouvernement peuvent envahir votre maison, défoncer vos portes, tuer votre chien, endommager vos meubles et terroriser votre famille, votre propriété n'est plus privée et sécurisée, elle appartient au gouvernement. Les Américains qui travaillent dur voient leurs comptes bancaires, leurs maisons, leurs voitures, leurs appareils électroniques et leur argent saisis par la police en supposant qu'ils ont été associés à un stratagème criminel. Comme l'a observé le libertaire Harry Browne, « la confiscation des biens est une parodie de la Déclaration des droits. Il n'y a pas de présomption d'innocence, pas besoin de prouver votre culpabilité (ou même de vous accuser d'un crime), pas de droit à un procès devant jury, pas de droit de confronter votre accusateur, pas de droit à un avocat commis d'office (même si le gouvernement vient de vous voler tout votre argent), et aucun droit à une indemnisation pour les biens qui vous ont été confisqués.
Interrupteurs d'arrêt de véhicule. Vendus au public comme une mesure de sécurité visant à éloigner les conducteurs ivres des routes, les "interrupteurs d'arrêt de véhicule" pourraient rapidement devenir un outil pratique entre les mains des agents du gouvernement pour mettre le gouvernement aux commandes tout en rendant nulles et non avenues les exigences de la Constitution. de la vie privée et ses interdictions contre les perquisitions et saisies abusives. En tant que tel, il présume que chaque conducteur est potentiellement coupable d'avoir enfreint une loi qui obligerait le gouvernement à intervenir et à reprendre le fonctionnement du véhicule ou à l'arrêter complètement. Le message : on ne peut pas nous faire confiance pour obéir à la loi ou naviguer dans le monde de notre côté.
RépondreSupprimerIntégrité corporelle. Les présomptions du gouvernement sur notre soi-disant culpabilité ou innocence se sont étendues jusqu'à notre niveau cellulaire. Le débat sur l'intégrité corporelle couvre un vaste territoire, allant des vaccinations forcées, des fouilles forcées des cavités, des coloscopies forcées, des prélèvements sanguins forcés et des tests d'alcoolémie forcés aux extractions forcées d'ADN, aux scanners oculaires forcés et à l'inclusion forcée dans les bases de données biométriques : ce ne sont que des quelques façons dont on continue de rappeler aux Américains que nous n'avons pas de véritable vie privée, pas de véritable présomption d'innocence et aucun contrôle réel sur ce qui arrive à notre corps lors d'une rencontre avec des représentants du gouvernement. Les bases posées par ces mandats sont un prologue à ce qui deviendra la conquête par l'État policier d'une nouvelle frontière relativement inexplorée : l'espace intérieur, en particulier le fonctionnement interne (génétique, biologique, biométrique, mental, émotionnel) de la race humaine. . La « culpabilité par association » a pris de nouvelles connotations à l'ère technologique. Pourtant, le débat sur la confidentialité génétique - et lorsque l'ADN d'une personne devient un bien public en dehors de la protection de l'interdiction du quatrième amendement sur les perquisitions et les saisies sans mandat - ne fait que commencer. Préparez-vous, les amis, parce que le gouvernement s'est lancé dans une campagne diabolique pour créer une nation de suspects basée sur une énorme base de données nationale d'ADN.
Limitations de notre droit de circuler librement. Nous pensons que nous avons la liberté d'aller où nous voulons et de nous déplacer librement, mais à chaque tournant, nous sommes cernés par des lois, des amendes et des pénalités qui réglementent et restreignent notre autonomie, et des caméras de surveillance qui surveillent nos mouvements. Par exemple, les lecteurs de plaques d'immatriculation sont des outils de surveillance de masse qui peuvent photographier plus de 1 800 numéros d'étiquette de licence par minute, prendre une photo de chaque numéro d'étiquette de licence qui passe et stocker le numéro d'étiquette ainsi que la date, l'heure et l'emplacement de l'image dans une base de données consultable. , puis partagez les données avec les forces de l'ordre, les centres de fusion et les entreprises privées pour suivre les mouvements des personnes dans leurs voitures. Avec des dizaines de milliers de ces lecteurs de plaques d'immatriculation actuellement en service dans tout le pays, la police peut suivre les véhicules et parcourir les bases de données des forces de l'ordre pour les enfants enlevés, les voitures volées, les personnes disparues et les fugitifs recherchés. Bien sûr, la technologie n'est pas infaillible : il y a eu de nombreux incidents au cours desquels la police s'est fiée par erreur aux données des plaques d'immatriculation pour capturer des suspects, pour finir par détenir des innocents sous la menace d'une arme.
La guerre contre les espèces et l'introduction de la monnaie numérique. La monnaie numérique offre au gouvernement et à ses partenaires commerciaux un mode de commerce qui peut facilement être surveillé, suivi, compilé, extrait de données, piraté, détourné et confisqué lorsque cela est pratique. Cette poussée en faveur d'une monnaie numérique s'inscrit dans la guerre du gouvernement contre l'argent liquide, qu'il mène subtilement depuis un certain temps déjà. Ces dernières années, la simple possession de sommes importantes en espèces pouvait vous impliquer dans des activités suspectes et vous qualifier de criminel. La justification (par la police) est que l'argent liquide est la monnaie des transactions illégales étant donné qu'il est plus difficile à suivre, qu'il peut être utilisé pour payer les immigrants illégaux et prive le gouvernement de sa part de la «prise», donc supprimer le papier-monnaie aidera les forces de l'ordre combattent le crime et aident le gouvernement à réaliser plus de revenus. Une société sans numéraire - facilement surveillée, contrôlée, manipulée, militarisée et verrouillée - fait le jeu du gouvernement (et de ses partenaires commerciaux).
RépondreSupprimerLe Complexe Sécurité-Industriel. Chaque crise – fabriquée ou non – depuis les débuts de la nation est devenue une opportunité pour le gouvernement d'étendre sa portée et son pouvoir aux frais des contribuables tout en limitant nos libertés à chaque instant. Cela s'est traduit par une guerre contre le peuple américain, menée sur le sol américain, financée avec l'argent des contribuables et menée avec une détermination résolue à utiliser les crises nationales, fabriquées ou non, afin de transformer la patrie américaine en un champ de bataille. . En conséquence, le peuple américain a été traité comme des combattants ennemis, pour être espionné, suivi, scanné, fouillé, fouillé, soumis à toutes sortes d'intrusions, intimidé, envahi, perquisitionné, malmené, censuré, réduit au silence, abattu, enfermé up, refusé une procédure régulière, et tué.
Ces programmes nous rapprochent d'autant plus d'une société suspecte où chacun est potentiellement coupable d'un crime ou d'un autre et doit être rendu inoffensif de manière préventive.
Les ramifications de l'habilitation du gouvernement à contourner les garanties fondamentales d'une procédure régulière sont si effrayantes et d'une telle portée qu'elles placent une cible sur le dos de quiconque se trouve au même endroit où un crime a lieu.
Les bases ont été jetées pour un nouveau type de gouvernement où peu importe que vous soyez innocent ou coupable, que vous soyez une menace pour la nation ou même que vous soyez un citoyen. Ce qui comptera, c'est ce que le gouvernement – ou celui qui prend les décisions à ce moment-là – pense. Et si les pouvoirs en place pensent que vous êtes une menace pour la nation et que vous devriez être enfermé, alors vous serez enfermé sans accès aux protections prévues par notre Constitution.
RépondreSupprimerEn effet, vous allez disparaître.
Comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, nos libertés sont déjà en train de disparaître.
https://www.zerohedge.com/political/everybodys-guilty-police-state-were-all-criminals-until-we-prove-otherwise
Biden reçoit une « feuille de triche » qui lui indique comment « dire bonjour » et « s'asseoir »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 24 JUIN 2022 - 20:39
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Joe Biden a été photographié tenant une « feuille de triche » qui lui a été donnée par ses conseillers lui indiquant comment entrer dans une pièce, dire « bonjour », s'asseoir, parler à d'autres personnes puis partir.
Oui vraiment.
"VOUS entrez dans la salle Roosevelt et dites bonjour aux participants", indique la liste à puces avant de dire à Biden, "VOUS prenez VOTRE place."
"Appuyez sur Entrée", poursuit la feuille de triche. « VOUS faites de brefs commentaires (2 minutes). Appuyez sur départ (t). VOUS posez une question à Liz Shuler, présidente de l'AFL-CIO. Remarque : Liz se joint virtuellement. VOUS remerciez les participants. VOUS partez.
Pourquoi diable le leader d'un monde libre a-t-il besoin d'un manuel d'instructions sur la façon de se comporter comme un humain normal ? C'est comme quelque chose que vous donneriez à un enfant autiste faisant une présentation au lycée.
"Dans quelle mesure ce patient gériatrique est-il mentalement hors de lui qu'il a besoin qu'on lui dise de s'asseoir et de dire bonjour?" demande Chris Menahan.
"Il est déjà le président le moins populaire de l'histoire américaine et pourtant ils continuent de l'utiliser et d'abuser de lui pour tout ce qu'il vaut."
Comme nous l'avons souligné de manière exhaustive, les fragilités mentales de Biden, qui se manifestent régulièrement sous la forme de gaffes verbales et de comportements confus et confus, sont une réelle préoccupation pour les démocrates étant donné que Biden aura 82 ans au moment où il entamera un deuxième mandat.
Un autre exemple s'est produit plus tôt ce mois-ci lorsque Biden a semblé perplexe quant à savoir s'il se rendait ou non en Arabie saoudite.
La semaine dernière, il a également fait référence à tort à la communauté "L-G-B-T-Q-L".
Selon un rapport du New York Times, les démocrates paniquent à l'idée que Biden affronte à nouveau Trump pour l'élection présidentielle de 2024.
"Ils ont vu un commandant en chef qui s'est forgé une réputation de gaffes secouer à plusieurs reprises la diplomatie mondiale avec des remarques inattendues qui ont ensuite été repoussées par son personnel de la Maison Blanche, et comme il a siégé pour moins d'entretiens que n'importe lequel de ses récents prédécesseurs", rapporte le journal.
- voir doc sur site :
https://www.zerohedge.com/political/biden-given-cheat-sheet-instructs-him-how-say-hello-and-sit-down
C'est ainsi que la démocratie meurt, non pas dans l'obscurité, mais à la vue de tous, en direct sur C-SPAN
RépondreSupprimerJune 25th, 2022
Tucker Carlson s'attaque à l'UniParty et parle du désarroi chez les électeurs, du changement radical qui balaie certaines parties des États-Unis dans les alliances politiques. Le Grand Remplacement et l'afflux d'électeurs néo-démocrates se sont essoufflés.
Les anciennes coalitions s'effondrent sous nos yeux. Soudain, nous voyons des électeurs hispaniques, des immigrants d'Afrique et du Moyen-Orient, ainsi qu'un grand nombre de jeunes hommes nés aux États-Unis, tous courir à une vitesse remarquable contre Joe Biden et le néolibéralisme d'entreprise anti-humain qu'il représente. …
Le soutien de Joe Biden parmi les Hispaniques est tombé à 24 %. C'est le plus bas parmi tous les groupes ethniques en Amérique. …
- voir clip sur site -
Au moment même où Joe Biden est au plus faible, des mois avant une élection cruciale de mi-mandat, les républicains le soutiennent. Ils sauvent Biden de lui-même.
Depuis le jour où Biden a été élu, les républicains de Washington ont pris parti pour Biden sur pratiquement tous les points importants de son programme politique. Cela inclurait : les restrictions COVID, les mandats de vaccins, l'idéologie transgenre à l'école, les sanctions contre la Chine, la mascarade du 6 janvier, la liberté d'expression, les libertés civiles, l'espionnage par les agences Intel, la préservation des grands monopoles technologiques, la politique de race anti-blanche du CRT et Juneteenth, l'application des frontières et la politique énergétique, et surtout, le problème phare de l'administration : son soutien fou et téméraire à la guerre contre l'Ukraine. Les républicains sont à fond.
Mitch McConnell et Chuck Schumer sont unis dans leur peur du populisme et dans leur haine viscérale du public américain et ils ne sont pas seuls. Ce que Washington craint le plus, c'est la démocratie, c'est-à-dire laisser les électeurs avoir ce qu'ils veulent. Ce n'est pas permis. Les républicains et les démocrates ont formé un uniparti spécifiquement pour l'empêcher. Vous voyez cela partout, mais vous le voyez plus clairement dans la législation sur le contrôle des armes à feu qui est actuellement au Sénat. …
Juste au cas où quelqu'un ne pourrait pas penser à 25 millions de raisons pour lesquelles Mitch McConnell pourrait se sentir enclin à servir d'autres agendas que ses électeurs, lisez ce que j'ai écrit en janvier de l'année dernière décrivant le très étrange lien riche de Mitch McConnell avec la Chine. La corruption n'est même pas cachée...
L'épouse de McConnell est une sino-américaine et se trouve également être la secrétaire aux transports du gouvernement américain (!). Depuis qu'Elaine Chao a pris ce poste il y a quatre ans, l'entreprise de son père s'est développée rapidement et a ajouté 40 % de navires supplémentaires. Son père, James Chao, est un magnat du transport maritime qui a offert à sa fille et à son mari McConnell un cadeau d'au moins 5 millions de dollars en 2008. C'est une estimation prudente – cela aurait pu valoir jusqu'à 25 millions de dollars. (Jolis beaux-parents si vous pouvez les obtenir.) Les largesses ont été légalement divulguées. La valeur nette du couple politique est passée de 3 millions de dollars en 2004 à quelque chose entre 9 et 36 millions de dollars en 2018.
RépondreSupprimerLa société chinoise de construction navale s'appelle CSSC Holdings. La famille de l'épouse de McConnell en est si proche que son père et sa sœur siègent au conseil d'administration de la branche financière de cette société chinoise à laquelle ils achètent des bateaux. C'est bizarre, empilé sur bizarre, enveloppé dans de longues explications. CSSC n'est pas seulement une entreprise de construction de bateaux, c'est l'entrepreneur militaire du gouvernement chinois. En effet, les lettres CSSC signifient China State Shipbuilding Corporation. Trouver ?
En parlant de signes de décadence : qui est responsable ?
Jeudi, le président Biden a brandi par inadvertance une feuille de triche comiquement détaillée préparée par son personnel ordonnant au leader du monde libre sujet aux gaffes de "prendre VOTRE place" et de limiter ses remarques à "2 minutes". — Poste de New York
VOUS prenez VOTRE place ': Une feuille de triche très spécifique rappelle à Biden comment agir. Par Steven Nelson.
Qui écrit ces notes pour le Leader du Monde Libre ?
h / t Old Ozzie, Scott du Pacifique, Bill qui a déménagé de AZ.
https://joannenova.com.au/2022/06/this-is-how-democracy-dies-not-in-darkness-but-in-plain-sight-live-on-c-span/
La crise de l'inflation du gaz est loin d'être terminée - où les prix s'arrêteront-ils enfin ?
RépondreSupprimer24 juin 2022
Par Brandon Smith
Après une seule hausse des taux de la Réserve fédérale de 75 points de base, je remarque une tendance parmi les économistes traditionnels à sortir leurs boules de cristal et à prédire un retour presque immédiat à des conditions déflationnistes. À leur avis, une récession « équilibrera tout ». Pour la plupart de ces personnes, je suggérerais qu'ils gardent leurs boules de cristal dans leur pantalon ; ils se sont constamment trompés et il est temps pour eux de se taire. Si vous aviez prédit que l'inflation serait « transitoire » l'année dernière, alors vous n'avez pas le droit d'agir comme si vous étiez un économiste aujourd'hui.
Il faudra bien plus qu'une hausse de taux semi-agressive de la part de la banque centrale pour arrêter le problème d'inflation, et quand je dis "inflation", je parle d'INFLATION DES PRIX, pas de la simple augmentation de la masse monétaire ou d'une bulle dans marchés boursiers. Il y a beaucoup trop d'analystes financiers qui ne saisissent même pas ce que la véritable inflation implique vraiment.
Certains secteurs de l'économie connaîtront effectivement des pressions déflationnistes. Le PIB réel, par exemple, connaît des baisses. Les ventes au détail sont en baisse. Les salaires américains stagnent par rapport aux prix. Les ventes de logements chutent maintenant rapidement. La fabrication est en baisse. Pourtant, les prix restent élevés. Il y a clairement un mélange d'éléments inflationnistes et déflationnistes dans la même crise économique. En d'autres termes, c'est un événement de stagflation.
Un domaine dans lequel les prix continuent de grimper sans relâche est celui de l'énergie. Le courant dominant attribue cela presque entièrement au conflit de la Russie avec l'Ukraine et à l'évolution des sanctions contre le pétrole et le gaz naturel russes. Cependant, les prix du gaz montaient en flèche bien avant que la Russie n'envahisse l'Ukraine. L'inflation dans l'économie globale a atteint des sommets en 40 ans bien avant que l'Ukraine ne devienne un problème, comme l'a finalement admis le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, la semaine dernière.
Ne prétendons pas que nous ne connaissons pas la cause de tout cela. Elle est causée par l'impression de monnaie fiduciaire par la Réserve fédérale depuis 2008, et les banques centrales en général sont les coupables. Les banquiers peuvent financer ou refuser de financer ce qu'ils veulent. Les politiciens du gouvernement jouent leur rôle dans la création de l'inflation en DEMANDANT de l'argent, mais c'est la Fed qui décide s'ils créent de l'argent. Le gouvernement n'a aucun pouvoir pour dicter sa politique à la Fed ; comme Alan Greenspan l'a admis un jour, la Fed ne répond à personne.
La banque centrale pourrait nous imprimer dans l'oubli si elle le souhaitait, et c'est essentiellement ce qu'elle a fait. Cela dit, il y a d'autres éléments à notre crise actuelle au-delà de trop de dollars. Il y a aussi le problème des perturbations de la chaîne d'approvisionnement.
Cela me rappelle spécifiquement la menace de stagflation qui s'est produite dans les années 1970. La crise du pétrole et de la stagflation de la fin des années 1970 a suivi son cours juste avant ma naissance, donc je ne peux évidemment pas donner un compte rendu de première main de ce que c'était, mais quand j'étudie les événements qui y ont conduit, je trouve beaucoup similitudes avec la situation à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui. Cependant, la crise qui se développe en ce moment a le potentiel de devenir bien pire.
RépondreSupprimerAu début des années 1970, Richard Nixon, à la demande des banquiers centraux, a retiré le dollar des derniers vestiges de l'étalon-or. Les banques centrales ont abandonné l'or en tant que principal mécanisme commercial entre les gouvernements et ont commencé à passer aux droits de tirage spéciaux ; le système de monnaie du panier du FMI. Sans surprise, le dollar a commencé une spirale immédiate et son pouvoir d'achat a commencé à s'effondrer. La stagflation est devenue une préoccupation des ménages tout au long des années 70.
Ce problème a finalement été atténué à mesure que le statut de réserve mondiale du dollar augmentait. Fondamentalement, nous avons exporté une grande partie de nos dollars à l'étranger pour les utiliser dans le commerce mondial et, par extension, nous avons également exporté une grande partie de notre inflation/stagflation. Tant que le dollar resterait la première monnaie de réserve, la plupart des conséquences de l'impression fiduciaire de la banque centrale ne seraient pas ressenties par la population en général. En termes d'essence, le dollar a été la pétro-monnaie pendant des décennies, ce qui nous a permis de maintenir les prix aux États-Unis plus bas que dans de nombreux pays.
Mais les choses changent. La part du dollar dans le commerce mondial est en déclin depuis plusieurs années, et la Fed ne cesse de créer plus de billets verts à partir de rien. Rien qu'en 2020, la Fed a invoqué 6 billions de dollars pour alimenter la réponse de relance covid, en injectant tout cet argent directement dans le système par le biais de chèques covid et de prêts PPP. Pour que ce processus se poursuive, le pourcentage mondial du dollar dans les échanges devrait continuer à croître afin d'exporter l'inflation américaine à l'étranger. Cela n'arrive pas. Le pourcentage du dollar dans le commerce mondial est en recul.
Il s'agit de la fin d'un cycle commencé dans les années 1970. Nous revenons au début.
En outre, la crise du gaz à la fin des années 70 et au début des années 80 a également été provoquée par la révolution iranienne et le retrait des approvisionnements pétroliers iraniens du marché mondial. Cela a entraîné une perte d'environ 7 % du pétrole total sur les marchés, mais les prix de l'essence ont explosé de 65 cents en 1978 à 1,35 $ en 1981. Les prix ont plus que doublé en l'espace de trois ans et ne sont jamais revenus là où ils étaient auparavant. la crise.
Comme à la fin des années 1970, nous avons également un problème de chaîne d'approvisionnement avec un pays de l'OPEP. La part russe de la production mondiale de pétrole était d'environ 10 % en 2020, mais le pays est le 2e plus grand exportateur de pétrole au monde. Seuls 3 % du pétrole importé aux États-Unis proviennent de Russie, mais l'Europe dépend de la Russie pour environ 25 % de sa consommation totale de pétrole.
RépondreSupprimerL'UE est maintenant supposée couper cet approvisionnement en pétrole, bien qu'il y ait des questions concernant les lacunes et la quantité de pétrole russe qui est en fait encore fournie aux nations européennes. Alors que les sanctions se poursuivent, l'UE devra s'adresser à d'autres exportateurs pour obtenir ce dont ils ont besoin, ce qui réduit la quantité d'approvisionnement disponible pour les pays occidentaux. Les Russes se sont simplement adaptés et vendent maintenant plus de pétrole à prix réduit aux principaux marchés de l'Est comme la Chine et l'Inde. Mais pour le reste d'entre nous, la soif de pétrole de l'Europe va continuer à provoquer une augmentation des prix à mesure que l'offre faiblit.
Alors, où cela nous mène-t-il ? Notre situation est similaire à la crise du gaz de la fin des années 1970 car nous avons une stagflation continue, une monnaie qui s'affaiblit ainsi qu'un conflit économique majeur avec un producteur de l'OPEP. Cela dit, les choses sont sensiblement pires que dans les années 1970 pour plusieurs raisons, notamment le fait que notre pays est beaucoup plus endetté, que le Trésor étranger et les avoirs en dollars sont en déclin, et que le conflit avec la Russie est bien plus flagrant que nos problèmes avec l'Iran. dans les années 70.
Je soupçonne que nous verrons au moins une majoration de 300 % des prix de l'essence par rapport aux creux pré-pandémiques, qui étaient d'environ 2,60 $ le gallon pour le carburant ordinaire. Cela signifie que les prix continueront d'augmenter au cours de cette année et se stabiliseront autour de 7,50 $ le gallon d'ici le deuxième trimestre de 2023. Je base le rythme des augmentations de prix sur le rythme qui s'est produit de 1979 à 1981.
De toute évidence, il y aura des baisses et des pauses sur le marché, mais il est peu probable que nous voyions les prix à la pompe chuter de façon spectaculaire de si tôt. Il y aura des prédictions sans fin dans les médias grand public sur le moment où l'inflation s'arrêtera et de nombreux experts prétendront que la Fed capitulera bientôt sur les hausses de taux. Toute cette clameur affectera les marchés pétroliers jusqu'à un certain point, mais les prix continueront d'augmenter malgré tout.
Certaines personnes diront que la baisse de la demande arrêtera la hausse des prix, cependant, le problème de la stagflation ne tourne pas seulement autour de la demande, il y a de nombreux autres facteurs en jeu. À moins que nous ne constations une baisse de la demande similaire à ce que nous avons vu au début des fermetures pandémiques, il y a peu de chances qu'il y ait un renversement significatif.
De plus, pour ceux qui espèrent que le schiste américain ou l'OPEP prendront le relais de la Russie, cela ne se produira pas. Les experts de l'industrie pétrolière ont déjà noté qu'en raison de l'inflation et du manque de main-d'œuvre, il n'y aura pas d'augmentation majeure du pompage de pétrole et que les pénuries se poursuivront pendant un certain temps.
Qu'est-ce que cela signifie pour l'économie au sens large ? L'inflation dans les produits de première nécessité comme l'essence signifie une implosion dans le commerce de détail. Les gens détourneront des fonds d'autres achats pour couvrir les coûts du gaz et de l'énergie. L'essence chère signifie également des taux de fret élevés, ce qui signifie des prix plus élevés pour tout le reste sur les tablettes des magasins. Le gaz cher entraînera également la faillite ou la fermeture de petites entreprises de fret, ainsi que des taux d'intérêt beaucoup plus élevés institués par la Fed. Mon propre grand-père a perdu son entreprise de camionnage et de fret dans les années 1970 pour cette raison précise.
RépondreSupprimerÀ son tour, moins de fret signifie moins d'approvisionnement, ce qui signifie à son tour des prix plus élevés sur tout. C'est un cercle vicieux. Le fait est que vous devez vous attendre à ce que les prix de l'essence restent très élevés (dans la fourchette de 7 $ le gallon) au cours de la prochaine année, et cela affectera TOUT le reste en termes de votre portefeuille et de votre vie. N'accordez pas trop d'importance aux personnes qui prétendent que la déflation est en route ; pas dans les prix des produits de première nécessité, ce n'est pas le cas.
Finalement, le manque de demande ralentira les augmentations de prix, mais pas tant que nous ne serons pas beaucoup plus élevés que la moyenne nationale actuelle de 5 $ le gallon. Et, si vous vivez dans un État où les taxes sur l'essence sont élevées comme la Californie, préparez-vous à des coûts à deux chiffres à la pompe.
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Marchés, marchés et ce qui se passe ensuite ensuite
RépondreSupprimerPar Doug Casey
Homme international
24 juin 2022
International Man: En plus des actions, il semble que presque toutes les classes d'actifs se bloquent également.
Quelle est votre opinion sur les marchés, et où pensez-vous que cela se dirige ?
Doug Casey: Prenons-les par ordre de taille et d'importance.
Le plus grand marché est les obligations. C'est particulièrement dangereux car c'est le plus cher. Les obligations sont une triple menace pour votre capital. Premièrement, en raison du risque d'inflation, qui est énorme et en croissance. Deuxièmement, est le risque de taux d'intérêt; Je m'attends à ce que les tarifs doublent, triples ou quadruples d'ici, remontant ou au-dessus des niveaux du début des années 80. Le troisième est le risque de défaut, qui s'applique à tout, sauf la dette du gouvernement américain. La dette des entreprises AAA n'existe plus à peine.
Les taux d'intérêt ont monté en flèche au cours de la dernière année, les taux hypothécaires passant de moins de 3 % à plus de 6 %. Les obligations de trésor de 30 ans ne donnent toujours que 3,25 %. Mais avec l'inflation fonctionnant 10, 12 ou 15 % et augmente, les bons du Trésor à long terme ont beaucoup plus de chutes. Je reste courts en T.
Tout le monde fait attention au marché boursier parce qu'il est entièrement investi. Les stocks de mèmes, les espaces et les actions technologiques se sont tous effondrés. Les grands sont en baisse de 25% et beaucoup sont en baisse de 80 ou 90 %. Ce n'est pas encore fini. Les gens sentent toujours qu'ils peuvent acheter les trempettes. Ils font mal, mais ils ont été formés en papier sur quelques générations pour croire que la Fed embrassera tout et le rendra meilleur.
Au fond majeur, cependant, les gens oublient même que les actions existent et se mettent en colère lorsque quelqu'un les mentionne même. Exemples ? En 1933, le DJIA a donné 12 %, même après d'énormes coupes de dividendes. Au milieu des années 80, les principaux marchés comme Hong Kong, la Belgique et l'Espagne donnaient tous 12 à 15 % et se vendaient pour 4 ou 5 fois les revenus. Lorsque j'ai écrit «Investissement stratégique», j'avais un chapitre sur l'achat de services publics, avec des rendements moyens d'environ 15 %.
Il existe de nombreux exemples de la façon dont les actions bon marché peuvent obtenir. Étant donné que nous sommes encore au début de la plus grande dépression et que nous venons peut-être de la plus grande manie de l'histoire du monde, je m'attends à ce que les actions soient beaucoup plus baissées.
Regardez les marchés cryptographiques. Ils ont été dévastés. Bitcoin en baisse de plus de 60 000 $ à moins de 20 000 $. Certains cryptos sont déjà allés à zéro, essuyant des dizaines de milliards. Avant la fin, les pertes seront dans des centaines de milliards. Beaucoup de gens qui pensaient être des centimillionnaires ont déjà perdu la plupart de leur argent. Certains pourraient se retrouver dans les sous-sols de leurs parents.
L'hypermanie de Cryptos a culminé avec quelque chose comme 20 000 cryptos là-bas. Beaucoup, ou la plupart, n'ont absolument aucune valeur d'utilisation, comme le ridicule Dogecoin, les NFT de singes et Dieu-sait-il. Des choses de cette nature iront à zéro.
RépondreSupprimerD'un autre côté, la technologie de la blockchain est une vraie percée, et des gens comme mon ami Marco Wutzer font des arguments convaincants pourquoi certains jetons pourraient aller 100x ou 1000x d'ici. C’est pourquoi je suis dans son fonds de crypto - il peut avoir raison. Mais c'est un jeu de spécialiste, et je n'ai pas le temps, l'expertise ou franchement l'intérêt d'essayer de les régler. Je suis cependant optimiste quant au bitcoin à ces niveaux. C'est vraiment une alternative à l'or et devrait aller à de nouveaux sommets alors que les gouvernements partout à la détruire leurs monnaies fiduciaires.
En parlant d'or, je dis depuis plusieurs années qu'il est dans une zone d'équilibre ici. Mais les stocks d'or, en revanche, sont très bon marché. Ils sont à faible risque et à forte récompense, ce qui est rarement vrai pour cette petite industrie du train de choo-choo du XIXe siècle.
L'immobilier est une classe d'actifs très troublée. Il flotte sur une mer de dette, qui a permis à la classe moyenne de vivre au-dessus de ses moyens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Lorsque la bulle dans l'immobilier apparaît définitivement en raison de taux d'intérêt plus élevés, il nuira à la classe moyenne encore pire que les actions et les obligations.
À ce stade, le public exigera réflexivement que le gouvernement - la cause profonde de tous ces problèmes - «fera quelque chose». Elles vont. Et c'est à ce moment-là que les choses vont vraiment mal.
International Man: les produits, l'or et le pétrole sont les seuls actifs qui ne tombent pas précipitamment.
Nous avons beaucoup discuté de ces produits dans le passé. Compte tenu des événements récents, comment votre point de vue a-t-elle changé, voire pas du tout ?
Doug Casey: Les coûts d'engrais et de pesticides ont triplé et le diesel a doublé. Ils ne descends pas de sitôt.
Cela a fait beaucoup de pression sur les agriculteurs. Le gaz naturel, par exemple, est critique non seulement pour l'énergie et les plastiques mais pour les engrais. Nous en avons discuté dans le passé. Même si le gaz naturel américain a triplé, ce n'est que environ un quart du prix mondial moyen. Et les États-Unis étant récemment devenus le plus grand exportateur de gaz naturel liquide, les prix ici aux États-Unis vont aux niveaux mondiaux.
La révolution verte absurde mais en cours a rendu les fonds spéculatifs, les courtiers, les banques et les fonds communs de placement très réputés à acheter des combustibles fossiles. Les grandes compagnies pétrolières, comme Shell et BP, en particulier, sont gérées par des combinaisons sans spin; Ils essaient en fait de sortir du commerce pétrolier. Pendant ce temps, les efforts des producteurs sont extrêmement entravés par le mème ESG (environnement, social et gouvernance). Les verts inquiets et délibérément destructeurs ont infesté des conseils d'entreprise partout. Je ne vois aucune raison de croire que les coûts énergétiques baissent ou que la production augmente.
RépondreSupprimerBien sûr, la guerre entre la Russie et l'Ukraine a eu un effet sur le pétrole, le gaz naturel, les céréales et les engrais. Mais cela n'a pas affecté autant la production que la vie des 50 pays embarras de la Russie. Voici un fait amusant. À l'insu de Boobus Americanus, il y a 150 pays qui n'embarmassent pas la Russie.
Cette guerre frontalière entre ces deux pays a été fomentée par les États-Unis, en commençant par la soi-disant révolution de Mandai en 2014. Je ne pense pas que le problème avec la Russie disparaisse, du moins jusqu'à ce qu'il y ait un changement de régime à Washington. Il est important de se rappeler que le conflit entre la Russie et l'Ukraine ne provoque pas lui-même l'inflation. L'inflation est purement un phénomène monétaire. La restriction de l'approvisionnement en provenance de la Russie entraîne cependant un niveau de vie inférieur. Cela est associé à l'inflation mais n'est pas lui-même une cause d'inflation.
Pendant ce temps, les prix du blé, du maïs et du soja n'ont que doublé, et les bovins n'ont augmenté que de 50 %. C'est difficile pour les consommateurs, mais les agriculteurs ne deviennent pas riches en raison de coûts beaucoup plus élevés. N'oubliez pas que les agriculteurs doivent également payer leur carburant, leurs engrais et autres coûts à l'avance, puis attendre des mois pour que la récolte arrive.
International Man: La Réserve fédérale poursuivra probablement son calendrier de resserrement et prévoit d'augmenter les taux d'intérêt.
Mais avec une véritable inflation atteignant les deux chiffres, quelle différence fera les hausses de tarif de jeton ?
Doug Casey: Pas grand-chose, sauf pour effrayer les gens qui sont sur les marchés actions et obligataires. Pour offrir des rendements réels après l'inflation, les taux doivent atteindre le niveau de 12 % - à 4 x niveaux actuels. Une augmentation de 75 points de base ne fait que leur faire réfléchir, à juste titre, que la Fed n'a plus le dos. La Fed a totalement été peinte dans un coin. Il n'y a vraiment rien qu'ils puissent faire parce que, dans le monde réel, la cause a un effet, et les actions ont des conséquences. Des décennies d’impression d’argent pour financer les rêves humides des politiciens ont des conséquences: des taux plus élevés, de l’argent amorti et de la dépression économique parmi eux.
La chose importante à retenir est que l'augmentation des taux n'a, en soi, qu'un effet indirect sur le niveau d'inflation. C'est parce que lorsque les taux bancaires augmentent, les gens empruntent moins. Les banques commerciales créent ensuite moins de prêts à partir de l'air mince via la réserve fractionnée. Moins d'argent est ensuite redéposé par l'emprunteur pour être réapparti. En bref, les taux plus élevés entraînent généralement la chute du montant des emprunts aux banques commerciales, ce qui affecte la masse monétaire et son inflation.
Mais la plus grande influence sur l'inflation est l'emprunt par le gouvernement américain d'un billion de dollars ou plus chaque année. Ils ne peuvent pas vendre toute cette dette au public, aux Chinois ou aux Arabes. À ce stade, ils ne peuvent vendre leur dette qu'à la Fed, qui l'achète en créant de nouvelles unités monétaires.
RépondreSupprimerInternational Man: Avec l'inflation à 40 ans et un marché boursier écrasant, quelles options la Fed a-t-elle vraiment à ce stade ? Pourraient-ils retirer un lapin d'un chapeau ?
Doug Casey: Comme je l'ai dit, ils se sont peints dans un coin. En effet, ils ont sauté du sommet d'un bâtiment de cent étages lorsque la Fed a été formée en 1913. Maintenant, nous sommes tombés 95 étages, avec seulement quelques-uns à parcourir et avons atteint la vitesse terminale. Pendant ce temps, des idiots comme Yellen et Powell disent: «Jusqu'à présent, tout va bien». Nous n'avons pas encore touché le sol, mais nous sommes assez proches. Les chances d'un atterrissage mou sont nulles.
Bien sûr, certaines personnes disent: «Eh bien, nous avons besoin de Paul Volcker à nouveau. Quelqu'un comme ça résoudrait comme par magie des choses. »
Ce que Volcker a fait il y a 40 ans était bon, nécessaire et courageux. Mais je ne pense pas qu'ils oseront une performance répétée maintenant parce que la maison des cartes a été construite beaucoup, beaucoup plus élevée qu'elle ne l'était à la journée de Volcker. Si quelqu'un entre dans les chaussures de Volcker, il sera pilori pour provoquer l'effondrement du monde financier et de l'économie avec elle.
C’est ce qu’ils devraient faire - s’effondrer et abolir la Fed. La plupart de la vraie richesse sera toujours là. Mais ils ne le feront pas. D'une part, l'USG a besoin de la Fed pour financer ses gigantesques déficits. À l'époque de Volker, ils ont dit «nous le devons à nous-mêmes» ou pourrions colporter leur dette envers les étrangers. Pas plus. De plus, l'USG, avec environ 32 billions de dollars de dette, ne peut pas se permettre des tarifs élevés. Si les taux égalaient simplement le niveau d'inflation, leurs paiements d'intérêts dépasseraient 100 % de leur revenu fiscal, soit environ 4 billions de dollars. Cela scelle le sort du dollar américain. Je détesterais être le président de la Fed à ce stade. Il n'y a vraiment rien qu'ils puissent faire, même s'ils étaient compétents.
International Man: De plus, le gouvernement fédéral passe à des niveaux sans précédent. Biden a récemment annoncé un autre milliard de dollars d'aide à l'Ukraine. Sans aucun doute, le gouvernement fédéral dépensera beaucoup plus pour les boondoggles étrangers et nationaux.
Mettez tout cela ensemble, et cela semble être la création d'une tempête monétaire parfaite.
RépondreSupprimerSelon vous, qu'est-ce qui se passera ensuite et que devraient faire les gens ?
Doug Casey: Eh bien, un autre milliard d'aide à l'Ukraine n'est qu'une erreur d'arrondi, avec les 40 ou 50 milliards de dollars qu'ils ont déjà lancés. Il n'y a vraiment pas de comptabilité. L'Ukraine est un schéma de blanchiment d'argent géant autant qu'une guerre…
Cet argent a simplement flotté dans un puisard sans fond. Il ne peut pas être surveillé ou pris en compte.
Le gaspillage fou du capital et la suppression artificielle des taux d'intérêt ont commencé bien avant Trump. Mais il a aggravé. Vous vous souvenez de son dit qu'il était «un gars à faible taux d'intérêt» ? Ensuite, il est devenu totalement incontrôlable avec Biden et son arnaque anti-cuve de plusieurs milliards de dollars pour «reprendre mieux». C'est maintenant proche du jeu.
Que va-t-il se passer ensuite et que devraient faire les gens ?
Ce n'est pas «transitoire» - un mot que ces imbéciles n'utilisent plus. Ça va empirer; Nous sommes au bord d'un précipice. Nous nous dirigeons vers le vrai chaos, avec une possibilité de la Seconde Guerre mondiale.
Les gens devraient batter les écoutilles - ont réduit leurs dépenses et leur niveau de vie maintenant avant que le marché ne le fasse pour eux.
Essayez de gagner plus et de mettre des actifs dans des endroits que nous recommandons parce que nous sommes juste au début de cette gigantesque tempête monétaire, pas la fin.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2022/06/doug-casey/crashing-markets-commodities-and-what-happens-next/
Macron en marionnette d'Attali: une fresque murale qui fait polémique
RépondreSupprimerle 25 juin 2022 - 12:30
Le 22 juin, une fresque murale affichée à Avignon a très rapidement suscité la polémique. Et pour cause ! Celle-ci représente Emmanuel Macron entre les mains de Jacques Attali, ce dernier le manipulant comme une vulgaire marionnette. Jugée par certains comme étant antisémite, elle a depuis été effacée par les autorités. D'autres dénoncent une liberté d'expression bafouée.
Liberté d’expression et antisémitisme : deux clans s’affrontent
Située sur le parking des Italiens à Avignon, la fresque murale représentant Emmanuel Macron en marionnette manipulée par Jacques Attali a été signée par l’artiste de rue Lekto. Le nom de l'œuvre ? "La bête 2, l’événement". Sans doute une référence aux propos mystérieux qu'avait tenus Emmanuel Macron en mai 2020, et qui avaient donné naissance à une foule d'interprétations :
« Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément inattendu, implacable. »
Certains y voient des relents d’antisémitisme, quand d'autres n'y voient qu'une parodie cinglante de Pinocchio. "American Jewish Committee", une organisation de confession juive, a interpellé le maire de la ville. Jugeant que cette fresque fait écho aux dessins des années 30, où les Juifs étaient accusés de dominer le monde et le pouvoir politique, le parallèle a été établi : l'influent Jacques Attali étant d'origine juive, certains y dénoncent l’image reprise du "code du banquier juif manipulant le monde".
Voir aussi : "Ce qui tue ce pays, c'est l'entre-soi des élites" Éric Verhaeghe
D'autres saluent le travail de l’artiste, considérant qu’il s’agit de la liberté d’expression. La ville d’Avignon a d’ailleurs affirmé que chacun "peut interpréter l'image comme il veut puisqu'il n'y a pas de mot sur ce mur".
Opposé aux restrictions sanitaires, Lekto attise la controverse
D’autres fresques du graffeur Lekto, un jeune avignonnais, sont jugées "plus politiques". Parmi ses quelques représentations, certaines ont été largement commentées. Ses prises de position contre les restrictions sanitaires n’ont pas été au goût de tous.
Le jeune graffeur a par exemple représenté le professeur Didier Raoult effectuant le "signe Jul", emblématique du rappeur marseillais. La caricature de l’ancien ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer, avait aussi fait rire, puisqu’il était représenté avec un bonnet d’âne. Une autre image, remarquée trois mois auparavant, donnait à voir Olivier Véran entouré de plusieurs seringues. Sur son Instagram, on pouvait lire en description : "'Immunizey' @olivierveran, aka le soldat du #bigpharma #quadrupledose #zeyo". Là, les propos laissent peu de place au doute quant à l'opinion de l'artiste.
Voir aussi : "L'union des artistes va permettre de faire face à cette injustice" Jean-Louis, photographe
Finalement, la ville d’Avignon a recouvert sa dernière fresque de blanc, le vendredi 24 juin, après que celle-ci a fait le tour des réseaux sociaux.
En 2020, le célèbre Festival d'Avignon avait été annulé. En 2021, les spectateurs ont été contraints de suivre le rythme des restrictions sanitaires (masques, tests, aération...). Cette année, la prestigieuse manifestation théâtrale pourrait bien voir le port du masque faire son grand retour.
https://www.francesoir.fr/culture-art-expo/macron-attali-fresque-murale-polemique
Réduire de moitié l'élevage d'animaux – en Allgäu ?
RépondreSupprimer24 Juin 2022
Willi l'agriculteur*
Ma note : Cela s'applique mutatis mutandis (en changeant ce qu'il faut changer – expression juridique qui me rappelle une autre vie) à des scénarios qui sont en vogue en France et qui ont sans doute inspiré ou contribué à inspirer la désastreuse « stratégie » européenne « de la ferme à la table ».
Nous sommes en vacances dans l'Allgäu [territoire s'étendant au sud-ouest de la Souabe (Bavière) ainsi que dans une petite partie du sud-est du Bade-Wurtemberg]. Depuis le premier jour, les tracteurs vrombissent dans le village, qu'ils soient équipés d'une autochargeuse, d'une presse à balles, d'une faucheuse ou d'une andaineuse. C'est maintenant qu'il faut agir, car la récolte de l'herbe nécessite toutes les mains.
Ici, il n'y a que des prairies et du bétail laitier. Rien d'autre n'est possible, peut-être encore l'élevage de vaches allaitantes ou de moutons. Le gouvernement actuel veut réduire l'élevage de moitié. Il ne donne pas de détails, on peut donc supposer que cela s'applique à toutes les formes d'élevage. Aucune distinction n'est faite entre les espèces animales, la taille des exploitations ou les types d'élevage. En tout cas, je ne l'ai pas entendu de la bouche de Mme Silvia Bender [Secrétaire d'État au BMEL] ou de Mme Renate Künast [ancienne ministre]. Et je n'attendais pas de M. Cem Özdemir [Ministre Fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture] qu'il s'attarde sur les détails. Jusqu'à présent, cela ne figurait pas sur ses éléments de langage.
Il est en fait logique que la réduction de moitié de l'élevage en Allemagne ne signifie pas que la consommation de viande sera également réduite de moitié. C'est également un objectif du gouvernement fédéral et il a été exprimé ainsi par Mme Silvia Bender lors d'une conférence de l'ISN [Interessengemeinschaft der Schweinehalter Deutschlands e.V. – Groupement d'Intérêt des Éleveurs de Porcs d'Allemagne]. J'ai demandé à Mme Ophelia Nick [Secrétaire d'État Parlementaire auprès de M. Cem Özdemir] comment elle comptait parvenir à réduire de moitié la consommation de viande. Elle veut y parvenir par le biais des cantines. Elle ne m'a pas donné de réponse plus précise.
Une réduction de moitié de l'élevage signifie également moins d'engrais organiques. M. Cem Özdemir plaide pour « une réduction des engrais minéraux et une augmentation des engrais organiques que produisent nos animaux ». Un conflit d'objectifs classique, car moins d'animaux signifie moins d'engrais organiques. Il serait utile qu'au sein du BMEL [Ministère Fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture], les déclarations du ministre et des secrétaires d'État soient coordonnées afin d'éviter toute incertitude parmi les agriculteurs.
Moins d'engrais minéraux et de surcroît moins d'engrais organiques signifie que la fertilisation nécessaire n'est plus possible. Moins d'éléments nutritifs signifie moins de rendement. Cela augmente la dépendance vis-à-vis de l'étranger. Et personne ne peut sérieusement vouloir cela.
RépondreSupprimerAlors, cher BMEL, réfléchissez encore une fois, s'il vous plait. Cela vaut aussi pour l'avenir.
Et puis encore une chose : quel plan avez-vous pour l'Allgäu et l'ensemble des Préalpes et des montagnes moyennes allemandes ? Que dites-vous aux agriculteurs ? À quoi doivent-ils s'attendre ? Ou est-ce que la « réduction de moitié de l'élevage » ne s'applique pas ici et que vous avez simplement oublié de le dire ? Cela peut arriver...
______________
* Source : Tierhaltung halbieren - im Allgäu? - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2022/06/reduire-de-moitie-l-elevage-d-animaux-en-allgau.html
Ils veulent interdire le pétrole ! Plus de diesel pour le tracteur. Donc: achat d'un bœuf pour tirer la charrue et tondre l'herbe. Oui mais le bœuf c'est de la viande ! et, la viande est interdite à la consommation ! de plus, les animaux pètent et rotent !! Oui mais qui tirera la charrue demain pour nourrir le monde ? Devinez !
SupprimerLes cultures de blé de l'ouest du Kansas sont MORTES : "Il n'y a rien là-bas", déclare un agriculteur
RépondreSupprimerjeudi 23 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Au cours d'une année normale, le cœur de l'Amérique regorgerait de cultures de blé vertes et luxuriantes - mais ce n'est pas une année normale.
Selon les rapports, l'ouest du Kansas est un désert de champs desséchés et morts. Les cultures de blé ont été décimées, ce qui signifie que l'approvisionnement alimentaire américain subira un autre coup dur.
"Il n'y a rien là-bas", déclare Vance Ehmke, un producteur de blé du comté de Lane. "C'est mort. C'est juste de la paille jusqu'aux chevilles.
La ferme d'Ehmke est l'une des nombreuses qui, après avoir été plantée il y a plusieurs mois, ressemble maintenant à un bol de poussière. Des rangées de plantes brunes et ratatinées nichent dans la terre durcie qui est maintenant marquée de fissures profondes en raison d'un manque d'eau combiné au soleil battant implacable.
S'il y a jamais eu une année pour que cela ne se produise pas, c'est bien l'année. Les approvisionnements mondiaux en blé sont déjà étranglés par de nombreux facteurs, dont la guerre en Ukraine. Et maintenant, une importante région de production de blé des États-Unis fait face à une désolation quasi totale.
Pour les agriculteurs de l'ouest du Kansas qui génèrent d'une manière ou d'une autre une récolte, ils se retrouveront probablement avec beaucoup moins de boisseaux que l'an dernier. Les estimations actuelles suggèrent qu'un champ de blé sur 10 dans cette partie de l'État sera abandonné cette année en raison de la sécheresse.
L'USDA affirme que les champs de blé du Kansas généreront 25 % de boisseaux en moins cette année, avec des rendements encore pires dans la moitié ouest de l'État
En mars, les prix du blé ont atteint un niveau record de 13 dollars le boisseau, ce qui pourrait sembler aider les agriculteurs qui se retrouvent avec des rendements plus faibles cette année - mais ce n'est pas si simple.
Le département américain de l'Agriculture (USDA) affirme que dans l'ensemble de l'État du Kansas, les champs de blé auront en moyenne environ 25 % de boisseaux en moins par acre dans l'ensemble. L'année dernière, les champs de blé du Kansas ont généré environ 52 boisseaux par acre, mais ne devraient produire que 39 boisseaux par acre cette année.
Dans la partie ouest de l'État, les rendements devraient être encore plus bas que cela. Dans le comté de Lane, par exemple, l'USDA prévoit une moyenne de 27 boisseaux par acre, soit moins de la moitié de la moyenne du comté en 2021.
RépondreSupprimer"À 11 $ le boisseau, chaque acre de la terre moyenne d'un agriculteur du comté de Lane rapporterait un peu moins de 300 $ cette saison", expliquent les rapports. "Afin de récupérer les coûts de faire des affaires, Ehmke a déclaré que les agriculteurs ici devaient rapporter plus de 325 dollars par acre."
Ehmke dit qu'il s'attend à ce que sa ferme produise plus de 27 boisseaux par acre cette année, ce qu'il attribue à sa décision de laisser reposer la terre entre les plantations. Même ainsi, il ne pouvait encore produire qu'environ la moitié de la récolte normale.
"Ils perdent de l'argent", dit Ehmke à propos de ses collègues agriculteurs de la région, dont beaucoup ne produiront même pas assez de blé cette année pour atteindre le seuil de rentabilité, "même avec le prix du blé le plus élevé que nous ayons probablement jamais vu dans le passé. 50 ou 100 ans.
Les coûts pour tout, du diesel nécessaire pour faire fonctionner les tracteurs à l'engrais nécessaire pour faire pousser le blé, ont tous monté en flèche l'année dernière. L'azote, par exemple, a atteint des niveaux record ce printemps, culminant à plus de 1 500 dollars la tonne, soit plus du double de ce qu'il a coûté l'an dernier.
"Ce sera une année très difficile", déclare Rejeana Gvillo du Farmers Business Network. "Ce n'est pas parce que les prix des matières premières sont élevés que cela signifie que les producteurs sont mieux lotis."
Gvillo a voyagé à travers le Kansas le mois dernier pour inspecter les cultures d'est en ouest, et elle dit que l'ouest du Kansas a une "récolte plus courte" et des "champs plus laids".
"Alors que nous roulions vers l'ouest, la situation s'est aggravée", a-t-elle ajouté.
Vous pouvez suivre les dernières nouvelles sur la crise alimentaire sur FoodCollapse.com.
Les sources de cet article incluent :
StrangeSounds.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-23-western-kansas-wheat-crops-dead-drought-famine.html
Mais que fait HAARP ?
SupprimerLe Pass vaccinal, une urgence éternelle : moment de vérité pour l'opposition en France
RépondreSupprimervendredi 24 juin 2022
Après la reconduction par le Parlement européen du passeport sanitaire dans un silence médiatique édifiant, c'est la France, fille aînée de la globalisation, qui s'avance pour prolonger les pouvoirs "exceptionnels" donnés au Gouvernement en matière sanitaire. C'est le premier crash test d'une opposition, encore peu crédible, surtout lorsque cette "gauche" globalo-écolo-bobo a parfaitement voté le pass au Parlement européen, tout comme les LR.
Le moment de vérité pour l'opposition française est arrivé. Avec une discrétion à peine croyable, les députés européens ont adopté la prologation du pass sanitaire européen. Aucun mot sur le fil twitter, à ce jour, du Parlement européen en français ... Pourtant, ce fut une "réussite", en tout cas pour les globalistes, ce qui n'est pas une surprise au sein d'une institution globaliste : Sur 591 votants, 453 ont voté pour.
La répartition des votes est également intéressante, du point de vue de la classe politique française, car à part les députés du RN et Reconquête, uniquement Bellamy pour les LR et LFI pour les mélanchonistes-gaucho-écolo nupiens, qui ont déjà eu le temps de trahir leur grande révolte pré-électorale et de se diviser :
Et comme l'a très justement déclaré Bellamy :
Maintenant, c'est aux députés français, tout fraîchement élus et ne pouvant plus se cacher derrière la majorité absolue des macronistes, de montrer ce dont ils sont capables - et s'ils sont capables de quelques chose. Ce moment de vérité inconfortable avance à grands pas, puisque la ministre-éclair de la santé a eu le temps d'envoyer au Conseil d'Etat un projet de texte de loi permettant au Gouvernement de prolonger jusqu'au 31 mars 2023 par décret les restrictions covidiennes, notamment le Pass vaccinal. Comme vous pouvez le lire ici :
- voir sur site -
Si l'absurdité de l'argument sanitaire ne fait plus illusion que pour une minorité de personnes, l'urgence, elle, est bien réelle. Il existe une urgence géopolitique à ce que la France, dont le Gouvernement conduit une politique anti-nationale, qui se renforce encore avec la guerre en Ukraine, maintienne la population dans un état d'insécurité, de surveillance, de réglementation absurde et donc déstabilisante ; à ce que le Gouvernement maintienne la population en état presque de survie socio-économique ; à ce que le Gouvernement puisse trouver des excuses, certes fallacieuses, à la crise économique, sociale et politique, qui grandit dans le pays. Sinon, nos chers concitoyens pourraient enfin sortir de leur bulle et commencer à relever la tête, à poser des questions. Ce qui serait fatal.
Le système de gouvernance global, dans lequel s'est enfoncée la France, ne peut fonctionner avec l'appui de la population, puisqu'il est dirigé vers l'utilisation justement de cette population pour servir l'intérêt de certaines élites. C'est un système antidémocratique dans le sens direct du terme, qui s'appuie sur la minorité contre la majorité. Pour se maintenir en place, il a donc besoin de la contrainte, mais d'une contrainte "acceptable" et intégrée par les populations. L'excuse sanitaire est parfaite et confortable pour les fausses oppositions, qui peuvent ainsi sauver la face.
http://russiepolitics.blogspot.com/2022/06/le-pass-vaccinal-une-urgence-eternelle.html
Cela montre bien que les députés NE SONT PAS LES REPRÉSENTANTS DU PEUPLE !
SupprimerSurpayés pour fermer leur gueule !
Les pénuries de matières premières et de main-d'œuvre aux États-Unis devraient être permanentes
RépondreSupprimervendredi 24 juin 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) L'Amérique connaît des pénuries dans tout, du lait maternisé et des tampons à la nourriture et au carburant et même au travail humain. Ces pénuries sont susceptibles d'être permanentes.
"Pendant si longtemps, nous avons apprécié beaucoup de nourriture dans ce pays, nous n'avons donc jamais été confrontés à une pénurie alimentaire et je pense que cela arrivera dans les mois à venir", a déclaré John Boyd Jr., président de la National Black Farmers Association. . Il a ajouté que de nombreux agriculteurs ressentent la contrainte de la flambée des prix du carburant diesel et des engrais.
Chieh Huang, PDG du grossiste en ligne Boxed, a averti que les prix vont continuer à augmenter.
"Cet été, je pense que vous allez commencer à voir une sorte d'augmentation des prix ou des pénuries simplement parce que… déjà ces usines le pompent à pleine capacité, vous ajoutez la demande accrue de l'été, nous ne savons pas où ça va aller », a déclaré Huang lors d'une apparition sur « Varney & Co ». sur Fox Business.
Huang a déclaré que l'approvisionnement en préparations pour nourrissons en Amérique était "intermittent" au sein de son entreprise et a noté que des pénuries de produits comme celles-ci ont pris toute l'industrie "par surprise".
"Ce que nous constatons, c'est que le consommateur est vraiment dans une situation difficile en ce moment … beaucoup de gens dépensent essentiellement pour des produits de première nécessité, presque chèque de paie ou repas après repas … ils ont vraiment besoin d'aide", a-t-il déclaré.
L'économie américaine connaît également une pénurie de main-d'œuvre. Des secteurs essentiels de l'industrie, comme le transport aérien, connaissent des pénuries de main-d'œuvre.
America Airlines, l'une des principales compagnies aériennes du pays, a récemment annoncé qu'elle mettait fin à son service dans trois villes cet automne – Islip et Ithaca à New York et Toledo, Ohio – en raison de la pénurie de pilotes à l'échelle de l'industrie.
"Nous sommes extrêmement reconnaissants pour les soins et le service que les membres de notre équipe ont fournis à nos clients à Islip, Ithaca et Tolède, et nous travaillons en étroite collaboration avec eux pendant cette période", a déclaré la société dans un communiqué.
L'industrie manque d'environ 12 000 pilotes et la majorité des aéroports du pays proposent déjà moins de vols.
La Regional Airline Association a également signalé que près de 200 communautés à travers le pays ont perdu au moins 25 % de leur service aérien. Alaska Airlines a déclaré qu'elle annulait environ 50 vols par jour. JetBlue a déclaré avoir été contraint de réduire ses vols tout au long de l'été en raison de problèmes de personnel.
RépondreSupprimerLa mondialisation et la réglementation gouvernementale responsables des pénuries américaines
Daniel Greenfield, chroniqueur du groupe de réflexion politique à but non lucratif Gatestone Institute, a écrit que la combinaison de la mondialisation et d'une réglementation gouvernementale excessive est à l'origine de la crise de pénurie actuelle aux États-Unis.
"Les partisans de la mondialisation venaient de recréer la planification centrale marxiste avec un modèle mondial un peu plus flexible dans lequel des sociétés massives ont franchi les barrières mondiales pour créer les moyens les plus efficaces possibles de déplacer les biens et les services autour de la planète", a écrit Daniel Greenfield pour le GateStone Institute. "La consolidation du marché due aux réglementations gouvernementales a laissé une poignée d'entreprises assises au sommet du marché."
« Quand l'un d'eux, comme Abbott pour les préparations pour nourrissons, a le hoquet, les résultats sont catastrophiques ; d'autres comme Procter & Gamble, qui contrôle environ la moitié du marché des produits menstruels, n'ont pas à s'inquiéter de perdre des parts de marché au profit de la concurrence », a-t-il poursuivi. "Une consolidation similaire dans l'alimentation, les produits en papier et les supermarchés a remplacé une économie dynamique par des cartels." (Connexe: Avertissement des camionneurs: "Vous verrez le chaos alors que les gens se battent pour les nécessités de base de la vie quotidienne" - mises à jour choquantes sur la crise de la chaîne d'approvisionnement et les pénuries alimentaires.)
La mondialisation et les réglementations gouvernementales étaient censées inaugurer un gouvernement mondial où les frontières tomberaient et « les échanges culturels feraient de nous tous un inaugurant la grande union de l'humanité », a écrit Greenfield. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Il a noté qu'au lieu de la paix et de l'ordre, toute cette interdépendance a créé davantage de chaos mondial.
« Après avoir vendu la souveraineté américaine, les mondialistes se sont révélés incapables de maintenir la stabilité mondiale. La mondialisation a mondialisé l'ineptie de l'ordre mondial. Ses grands projets… ne sont jamais à la hauteur du chaos de la nature humaine et de ses ambitions », a-t-il écrit. "L'économie américaine devient une grande pénurie permanente."
En savoir plus sur l'effondrement de l'Amérique sur Collapse.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, explique comment les pénuries de nourriture et d'énergie font partie de la démolition contrôlée de l'infrastructure de production américaine.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
RECHERCHE EXCLUSIVE : Les fabricants d'additifs pour huile moteur diesel qui ont déclaré un cas de force majeure ou ont connu des opérations interrompues en 2022.
Les pénuries alimentaires pourraient être aussi meurtrières que la prochaine pandémie.
Le mondialisme, l'impression de monnaie de la banque centrale sont les véritables causes profondes de l'inflation et des pénuries.
Des pénuries généralisées de diesel affectent tout en Amérique et dans le monde.
De nouvelles pénuries de main-d'œuvre, des trains inactifs aggravent les pénuries alimentaires en amont et en aval de la chaîne d'approvisionnement.
Sources include:
ZeroHedge.com
Townhall.com
FoxBusiness.com 1
FoxBusiness.com 2
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-america-commodity-labor-shortages-likely-permanent.html
Aperçu de l'avenir : les manifestations et la violence mettent en lumière l'effondrement de l'économie sri-lankaise
RépondreSupprimervendredi 24 juin 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Les habitants du Sri Lanka se sont révoltés contre le coût de la nourriture et le manque de ressources énergétiques. L'armée a réagi en abattant des manifestants.
Cela offre un aperçu de l'avenir si les pays occidentaux poursuivent leur trajectoire d'inflation, de problèmes de chaîne d'approvisionnement, de pénuries alimentaires et de hausses des prix de l'essence. Une fois que la société s'effondre, ce sont les gens qui meurent de faim alors que le gouvernement s'assure que son pouvoir reste intact et fonctionnel pour forcer les gens à obéir à leurs caprices.
Les troupes de Visuvamadu, à environ 228 miles au nord de Colombo, ont tiré sur des civils le 18 juin alors que leur point de garde était bombardé de pierres, a déclaré le porte-parole Nilantha Premaratne. "Un groupe de 20 à 30 personnes a jeté des pierres et endommagé un camion de l'armée."
Selon la police, quatre civils et trois soldats ont été blessés lorsque l'armée a ouvert le feu pour la première fois pour atténuer les troubles liés à l'aggravation de la crise économique. Cependant, alors que les pompes tombaient en panne d'essence, les automobilistes ont commencé à protester et la situation s'est aggravée.
Le Sri Lanka subit actuellement sa pire crise économique depuis son indépendance, incapable de trouver des dollars pour importer des produits essentiels tels que de la nourriture, du carburant et des médicaments pour ses 22 millions d'habitants.
La nation a subi de graves pénuries et de longues files d'attente pour des approvisionnements rares tandis que le président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa a résisté aux appels à démissionner pour cause de mauvaise gestion.
Le Premier ministre Ranil Wickremesinghe a déclaré au Parlement que leur pays était confronté à "une situation bien plus grave" que les seules pénuries, affirmant qu'il y avait "une chute possible au plus bas" et que leur économie "s'était complètement effondrée".
Les remarques de Wickremesinghe ont envoyé un message aux prêteurs potentiels. Anit Mukherjee, chercheur en politique et économiste au Center for Global Development à Washington, a déclaré qu'on ne peut pas laisser un pays d'une telle importance stratégique que le Sri Lanka s'effondrer. Mukherjee a noté que le Sri Lanka se trouve sur l'une des voies de navigation les plus fréquentées au monde.
RépondreSupprimerCependant, l'économie du pays patauge toujours sous le poids de lourdes dettes, de la perte de revenus touristiques et d'autres effets pandémiques, tels que la flambée des prix des matières premières.
Tous ces événements réunis et le résultat est un pays qui court vers la faillite, sans argent pour importer de l'essence, du lait, du gaz de cuisine ou même du papier toilette. (Connexe : Le Sri Lanka s'effondre : Les gens meurent de faim, pas de gaz, pas d'électricité et maintenant l'armée commence à leur tirer dessus.)
Des policiers et des troupes armés ont été déployés pour garder les stations-service, tandis que des membres de la classe dirigeante placent des voyous armés devant le carburant, le gardant pour eux tandis que les masses mendient leur part.
Émeutes, morts la nouvelle normalité
Un automobiliste a été abattu par la police en avril dans la ville centrale de Rambukkana lorsqu'un affrontement a éclaté au sujet de la distribution de diesel rationné. Quatre personnes sur cinq au Sri Lanka auraient commencé à sauter des repas parce qu'elles n'avaient plus les moyens de manger.
Ce problème ne se limite pas non plus au Sri Lanka.
Les Belges commencent à mourir de faim et quelque 80 000 Bruxellois ont récemment organisé une grève nationale contre la hausse du coût de la vie alors que l'inflation atteignait 9 %, la plus élevée du pays en 40 ans. Une augmentation de 57 % des prix de l'énergie et une augmentation de 6 % des prix alimentaires affectent également l'économie belge.
Mais la situation du Sri Lanka est bien pire.
Wickremesinghe a déclaré que le pays n'était pas en mesure d'acheter du carburant importé en raison de la lourde dette de sa propre société pétrolière. La Ceylon Petroleum Corporation a maintenant une dette de 700 millions de dollars, ce qui signifie qu'aucun pays ou organisation au monde ne sera disposé à fournir du carburant à la société - même si elle paie en espèces.
Cette crise a touché la classe moyenne, qui représentait environ 15 à 20 % de la population urbaine.
"Si la classe moyenne se débat comme ça, imaginez à quel point les plus vulnérables sont durement touchés", a déclaré Bhavani Fonseka, chercheur principal au Center for Policy Alternatives de Colombo. La situation actuelle a fait dérailler des années de progrès vers des modes de vie relativement confortables. (Connexe: le Pakistan doté de l'arme nucléaire est maintenant au bord de l'effondrement économique, suivant le chemin du Sri Lanka.)
RépondreSupprimerWickremesinghe a déclaré que le pays n'était pas en mesure d'acheter du carburant importé en raison de la lourde dette de sa propre société pétrolière. La Ceylon Petroleum Corporation a maintenant une dette de 700 millions de dollars, ce qui signifie qu'aucun pays ou organisation au monde ne sera disposé à fournir du carburant à la société - même si elle paie en espèces.
Cette crise a touché la classe moyenne, qui représentait environ 15 à 20 % de la population urbaine.
"Si la classe moyenne se débat comme ça, imaginez à quel point les plus vulnérables sont durement touchés", a déclaré Bhavani Fonseka, chercheur principal au Center for Policy Alternatives de Colombo. La situation actuelle a fait dérailler des années de progrès vers des modes de vie relativement confortables. (Connexe: le Pakistan doté de l'arme nucléaire est maintenant au bord de l'effondrement économique, suivant le chemin du Sri Lanka.)
Wickremesinghe a déclaré que l'aide du Fonds monétaire international semble être leur seule option maintenant, et que des responsables vont se rendre dans le pays pour discuter de l'idée. Un accord au niveau du personnel devrait être conclu d'ici la fin juillet.
Suivez Collapse.news pour plus d'informations sur l'économie sri-lankaise.
Regardez la vidéo ci-dessous pour obtenir des mises à jour sur l'effondrement économique du Sri Lanka.
This video is from the AktiivinenKansalainen channel on Brighteon.com.
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Governments on road to collapse as global supply chain crisis, inflation worsen; Sri Lanka now suspending foreign debt payments.
On the heels of Russia’s dollar bond default, Sri Lanka defaults on its dollar debt – who is next to destabilize just so its people can eat?
Global food costs will continue to rise due to surge in prices of oil and gas.
Sources include:
SHTFPlan.com
TheGuardian.com
Twitter.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-protests-violence-put-spotlight-sri-lanka-collapse.html
Mattias Desmet: Les gouvernements mettront leur peuple dans une psychose de formation de masse pour adopter des prises de contrôle totalitaires
RépondreSupprimervendredi 24 juin 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les gouvernements du monde entier mettent leurs populations dans un état de psychose de formation de masse dans le cadre de prises de contrôle totalitaires.
La psychose de formation de masse survient lorsqu'une partie importante de la société est hypnotisée par la peur et incapable d'utiliser correctement ses capacités rationnelles. (Connexe : la tyrannie extrême d'aujourd'hui a été causée par la conformité volontaire de masse.)
Mattias Desmet, professeur à l'Université de Gand en Belgique, a noté que les objets d'anxiété retiennent l'attention des gens et permettent aux élites de les contrôler en fournissant une stratégie pour faire face aux objets d'anxiété - dans ce cas, les personnes qui vont à l'encontre du récit étant diffusé par Big Pharma et les médias grand public. Desmet est reconnu comme le principal expert mondial de la psychose de formation de masse, en particulier en ce qui concerne le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
"La première étape de la formation de masse est toujours le couplage, la connexion de l'anxiété flottante à un objet qui rend les gens très concentrés", a déclaré Desmet, lors d'une interview avec Del Bigtree dans son émission "The HighWire".
"Toute l'attention est désormais dirigée vers un très petit aspect de la réalité, et le reste de la réalité disparaît dans les ténèbres", a-t-il poursuivi. Grâce à cette étape et à d'autres, les gouvernements sont en mesure d'utiliser la psychose de formation de masse pour garder le contrôle de leur peuple en désignant un groupe externe que le groupe interne est conçu pour détester et craindre.
Desmet a expliqué que ce type de solidarité corrompue émerge lors de la formation de masse, "et ensuite chaque État totalitaire - qui est généralement une conséquence de la formation de masse... à la fin, les gens se retrouvent dans une atmosphère radicalement paranoïaque", a-t-il déclaré.
Le professeur a beaucoup écrit sur la façon dont la psychose de formation de masse, si elle n'est pas vaincue, conduit inévitablement au totalitarisme.
Il a commencé à explorer la psychologie derrière le totalitarisme en 2017 lorsqu'il a déclaré que la culture éveillée et "l'anxiété intolérante" étaient en hausse, ainsi que l'état de surveillance et l'hystérie entourant le terrorisme et le soi-disant changement climatique.
"Il est extrêmement important de comprendre les mécanismes psychologiques à l'œuvre, car si vous comprenez les mécanismes à l'œuvre, vous pouvez éviter que la formation de masse ne devienne si profonde que les gens atteignent ce point critique où ils sont vraiment fanatiquement convaincus qu'ils devraient détruire tout le monde. cela ne va pas avec eux », a déclaré Desmet dans une interview avec le Dr Joseph Mercola.
Monter les gens les uns contre les autres est fondamental dans le totalitarisme
Ce qui différencie les régimes totalitaires des dictatures régulières, c'est la manière dont les gouvernements totalitaires montent les gens les uns contre les autres. Ceci, a noté Desmet, est fondamental pour le totalitarisme.
"La conséquence de la formation de masse est qu'en fin de compte, les gens se retrouvent dans une atmosphère radicalement paranoïaque", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerJoakim Book, écrivant pour le Brownstone Institute, était d'accord avec Desmet. "Leur contrôle idéologique écrasant s'infiltre dans tous les tissus de la société", a-t-il écrit. "C'est la ferveur avec laquelle le voisin se retourne contre le voisin, et les amis et les membres de la famille dénoncent avec joie les infractions au dogme énoncé."
"Le totalitarisme est le brouillage des faits et de la fiction, mais avec une intolérance agressive pour les opinions divergentes", a poursuivi Book. "Il faut respecter la ligne."
Regardez cet épisode de "The HighWire" alors que l'animateur Del Bigtree interviewe Mattias Desmet sur la psychose de la formation de masse et la psychologie du totalitarisme.
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Cette vidéo provient de la chaîne The HighWire avec Del Bigtree sur Brighteon.com.
Articles plus connexes :
L'OMS tente de prendre le contrôle des futures pandémies dans le cadre d'une "prise de pouvoir totalitaire".
L'avocate des droits de l'homme Leigh Dundas a déclaré à Doug Billings : Les prises de contrôle totalitaires ont des signes révélateurs similaires - Brighteon.TV.
L'Amérique a été hypnotisée par la peur du COVID-19, créant une société en proie à une psychose de formation de masse.
Les médias contrôlés par la pharmacie disent à tous ceux qui souffrent de psychose de formation de masse qu'il n'existe pas de psychose de formation de masse.
Des politiciens totalitaires dépeignant les anti-vaccins comme des ennemis de l'État.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
StrangeSounds.org
Brownstone.org
LaPosteEmail.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-governments-mass-formation-psychosis-totalitarian-takeover.html
Des chercheurs établissent un lien entre les vaccins COVID-19 et des taux d'infection et de décès PLUS ÉLEVÉS en Australie
RépondreSupprimerVendredi 24 juin 2022
par : Zoey Sky
(Natural News) Selon une publication scientifique en ligne qui s'attaque à des problèmes mondiaux comme la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), l'Australie a prouvé que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan rendent en fait les gens plus vulnérables aux infections et à la mort.
Les scientifiques qui ont mené l'étude ont découvert qu'il existe des liens entre les vaccins COVID-19 et des taux plus élevés d'infections et de décès.
Les rapports recueillis par le site Web Our World in Data (OWID) montrent que l'Australie est actuellement aux prises avec une grande vague de décès dus au COVID-19, même si près de 90 % de sa population est entièrement vaccinée. De plus, les données OWID montrent que les vaccins contre le coronavirus ne sont pas complètement sûrs et efficaces.
Au moins 90 % des Australiens sont considérés comme entièrement vaccinés contre le coronavirus, mais ce fait n'a pas empêché la plus grande vague de décès par coronavirus de frapper le pays depuis le début de la pandémie en 2020.
La vague actuelle de COVID-19 en Australie a commencé en février 2022. (Connexe: l'Australie a enregistré une augmentation de 1 700 % des décès dus au COVID-19 lors du déploiement du vaccin.)
Le nombre d'infections au COVID et de décès monte en flèche après le déploiement du vaccin en Australie
Avant août 2021, le nombre de cas confirmés de coronavirus enregistrés en Australie par jour atteignait à peine le double des chiffres. Mais à partir de ce mois, le nombre de cas enregistrés a atteint quatre chiffres.
L'Australie a lancé son programme de vaccination contre le COVID en février de l'année dernière. Cela signifie que les cas de COVID dans le pays ont commencé à augmenter six mois après le déploiement du vaccin.
Vers la fin décembre 2021, le nombre de cas enregistrés en Australie a grimpé en flèche. Les chiffres ont grimpé jusqu'à 128,85 cas enregistrés en une seule journée le 13 janvier 2022.
Depuis la nouvelle année, l'Australie a subi sa plus grande vague de décès par coronavirus en plus de deux ans. Malheureusement, la vague COVID-19 ne s'est pas calmée et l'Australie la surfe toujours en juin 2022.
Dans la vague de mars-avril 2020, le nombre moyen de décès sur sept jours était compris entre un et quatre.
Lors de la vague de septembre 2020, le nombre moyen de décès sur sept jours équivalait à entre neuf et 20. La vague d'octobre 2021, lorsque 60% de l'Australie était considérée comme entièrement vaccinée, équivalait également à une moyenne sur sept jours comprise entre neuf et 20 décès.
Au 1er février 2022, le nombre moyen de décès sur sept jours équivalait à 87. Au 14 juin de cette année, le nombre de décès équivalait à une moyenne sur sept jours de 41.
RépondreSupprimerIl est facile de vérifier les données, mais les médias grand public continuent de faire les enchères de ceux au pouvoir en disant au public de se faire vacciner et que jusqu'à quatre doses sont sans danger. Maintenant, la propagande vaccinale est devenue trop apparente alors même que la preuve que les vaccins font plus de mal que de bien est maintenant disponible.
Pour les personnes qui continuent de prétendre que les «vérificateurs des faits» ont démystifié ces vérités et que tous ces cas concernaient la population non vaccinée, une récente décision de la classe dirigeante en Australie prouve le contraire.
Le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud (NSW) publiait un rapport statistique hebdomadaire sur le COVID-19. Mais il a soudainement décidé d'arrêter de le publier.
Les responsables de NSW ont peut-être réalisé que les données étaient terribles, en particulier concernant les personnes vaccinées. Selon le dernier rapport NSW disponible, la population entièrement vaccinée représentait quatre cas de coronavirus sur cinq entre le 26 novembre 2021 et le 5 février 2022.
Visitez VaccineDeaths.com pour en savoir plus sur les blessures et les décès liés au COVID-19 dans le monde.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les blessures induites par le vaccin COVID en Australie.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Vibration Fruit sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Dr Peter McCullough : Un décès par vaccin COVID, c'est trop.
ALERTE MONDIALE : On estime que 10 millions de personnes PAR JOUR sont soumises à un compte à rebours irréversible jusqu'à la mort vaccinale qui pourrait exterminer des MILLIARDS s'il n'est pas arrêté l'année prochaine.
Une analyse allemande étonnante révèle que les taux de mortalité liés au vaccin COVID-19 sont BEAUCOUP plus élevés que ceux rapportés précédemment.
Le syndrome de la mort subite de l'adulte est le nouveau nom des décès par vaccin dans la réalité factice de l'establishment médical.
Les sources comprennent :
SHTFPlan.com
Expose-News.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-covid-vaccines-linked-to-infections-deaths-australia.html
Biden veut plus d'argent pour se préparer à la "deuxième pandémie" qu'il promet d'arriver
RépondreSupprimervendredi 24 juin 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Le président Joe Biden a suggéré que le gouvernement aurait besoin de plus d'argent pour se préparer à une autre "pandémie" lors de ses remarques sur la vaccination des enfants contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
« Nous avons besoin de plus d'argent. Mais nous n'avons pas seulement besoin de plus d'argent pour les vaccins pour les enfants, finalement. Nous avons besoin de plus d'argent pour planifier la deuxième pandémie, il va y avoir une autre pandémie », a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche le mardi 21 juin, en réponse à une question sur le nombre d'enfants pouvant être vaccinés avant qu'un financement ne soit nécessaire pour le coups.
La question fait suite à l'autorisation par la Food and Drug Administration des États-Unis des vaccins COVID à base d'ARNm de Pfizer et Moderna pour les enfants de six mois à six ans, bien que ces enfants soient « peu ou pas à risque » face au virus.
"J'encourage chaque dirigeant à se demander, que puis-je faire de plus ? Comment pouvons-nous travailler plus étroitement ensemble pour aider plus de gens ? Comment pouvons-nous sauver plus de vies ? » Biden a fait appel lors de ses remarques préenregistrées.
Les États-Unis ont déjà dépassé le million de décès par COVID, Biden exhortant les Américains à ne pas s'engourdir face à la situation et à rester vigilants contre la pandémie elle-même. Il a également ordonné que des drapeaux fédéraux soient mis en berne pour marquer le sinistre jalon.
« Il est temps pour nous d'agir, tous ensemble. Nous devons tous faire plus, nous devons honorer ceux que nous avons perdus en faisant tout ce que nous pouvons pour éviter autant de décès que possible », a-t-il déclaré, ajoutant que les États-Unis sont maintenant à une nouvelle étape dans la lutte contre la pandémie et font face à un ensemble en évolution. de défis.
Tous ces pourparlers visent à obtenir suffisamment de soutien du Congrès pour plus de financement.
La Maison Blanche a demandé 22 milliards de dollars au Congrès en mars dans le cadre d'un projet de loi de dépenses plus large, mais l'argent n'a pas été accordé en raison de l'opposition des républicains et de certains démocrates. Cependant, les législateurs semblent avoir conclu un accord sur 10 milliards de dollars pour le financement de COVID qui n'incluait plus une aide à l'étranger de 5 milliards de dollars pour lutter contre le virus.
La législation a bloqué l'adoption du projet de loi et Biden a appelé le Congrès à prendre des mesures urgentes pour fournir un financement d'urgence pour le COVID-19 afin de protéger les Américains et de s'assurer que les fournitures pour les tests, les traitements et les vaccins sont maintenus, y compris les vaccins de nouvelle génération en cours de développement. . (Connexe: Rapport: Le gouvernement a dépensé 17 billions de dollars pour des programmes de récupération en cas de pandémie qui nuisent à l'environnement.)
RépondreSupprimerSans financement supplémentaire, la Maison Blanche a déclaré qu'elle devra réduire les programmes pour aider les pays à administrer les vaccinations.
Gates, Fauci veut aussi plus d'argent
Bill Gates, l'un des principaux bailleurs de fonds de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a averti le public d'une pandémie en 2015. Il a également appelé à la mise de côté de fonds pour aider à préparer la prochaine.
En 2021, Gates a déclaré dans une interview qu'il faudrait "des dizaines de milliards" de fonds de recherche et développement pour être prêt pour ce qu'il prédit sera une autre pandémie. Il a dit que les États-Unis et le Royaume-Uni en feraient partie, mais il faudra probablement un milliard par an pour financer un groupe de travail mondial sur la pandémie qui mènera des pratiques de surveillance et de pandémie appelées «jeux de germes».
Le Dr Anthony Fauci, qui avait précédemment signé un programme qui comprenait la recherche sur le gain de fonction avec les coronavirus à l'Institut de virologie de Wuhan, a également appelé à des milliards de financement l'année dernière pour créer un vaccin "universel" qui pourrait protéger les gens contre un large spectre de virus qui pourraient déclencher une autre pandémie. (Connexe : la recherche financée par Fauci et Gates pourrait voir la grippe aviaire devenir la prochaine pandémie mortelle.)
Le Dr Joseph Mercola, expert en santé naturelle, a noté que l'OMS a prévu dix ans de maladies infectieuses de 2020 à 2030 comme l'a révélé la virologue Marion Koopmans.
Interrogé sur les chances d'une deuxième pandémie, Koopmans a déclaré que c'était le plan décennal de l'OMS depuis un certain temps. Le plan lui-même indique qu'il y aura une crise majeure des maladies infectieuses, et COVID-19 était la première année.
Mercola a également souligné qu'il y avait des milliers de médecins et de scientifiques qui croient maintenant que la pandémie a été planifiée et utilisée pour installer une dictature mondiale, citant des preuves telles qu'une simulation d'épidémie de coronavirus en octobre 2019.
« L'événement 201 », comme on l'appelait, a mis en évidence les mesures « totalitaires » qui ont été prises dans le monde entier sous prétexte de santé, comme le plan d'action national de dépistage du COVID-19 qui appelle à l'utilisation d'un « numéro d'identification du patient » numérique pour suivre tous les Américains après les avoir testés pour COVID-19.
Visitez Pandemic.news pour plus de mises à jour sur ce qui s'en vient après COVID-19.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la prochaine pandémie.
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Cette vidéo provient de la chaîne American Media Periscope sur Brighteon.com.
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Sources include:
LifeSiteNews.com
NBCNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-biden-wants-more-money-prepare-another-plandemic.html
Le bénéfice risque des vaccins est négatif selon un nouvel article de Stanford, UCLA, autres
RépondreSupprimerVendredi 24 juin 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) (Article de Steve Kirsch republié de SteveKirsch.Substack.com)
Cet article préimprimé, Serious Adverse Events of Special Interest After mRNA Vaccination in Randomized Trials, a été rédigé par une équipe d'auteurs hautement crédibles et fait actuellement l'objet d'un examen par les pairs. Il souligne que les vaccins comportent plus de risques que de bénéfices.
Gros oups. Ce n'est pas ce que le CDC et la FDA ont dit. C'est vraiment embarrassant pour eux que maintenant d'autres commencent à découvrir ce que je dis depuis plus d'un an maintenant.
Ne vous attendez pas à ce que les médias traditionnels couvrent cela ou posent des questions. Ce n'est pas comme ça que ça marche.
Tennessee et Publix Super Markets l'ont compris
Woo hoo!
Et ça vient du Tennessee :
… mais la Californie est complètement désemparée. Au lieu de suivre "la science", en Californie, les médecins "suivront le troupeau"
Une fois cet article publié, il devient alors de la "désinformation" selon l'État de Californie (en supposant qu'ils passent AB-2098, ce qui semble probable). Cela signifie que tout médecin s'appuyant sur ce document pour conseiller ses patients pourrait se voir retirer son permis d'exercice de la médecine.
C'est ainsi que les choses fonctionnent en Californie. Il ne s'agit plus de "suivre la science". Ce n'est pas une défense. En tant que médecin, vous devez « suivre le troupeau ». Si vous n'êtes pas d'accord avec les masses, même si vous avez raison, dites adieu à votre licence médicale !!
Mais il y a une caractéristique cachée de l'AB-2098 dont personne ne parle : il est IMPOSSIBLE pour les médecins de changer de position sur un sujet comme la sécurité des vaccins. Soit 100 % des médecins sont pour, soit 100 % seront contre. Il ne peut pas y avoir de terrain d'entente ou vous vous faites révoquer votre licence, donc tout le monde doit s'en tenir au récit initial. Cela signifie que les vaccins seront toujours sûrs et efficaces en Californie, même s'ils ne le sont pas.
Si cela n'impose pas la conformité, je ne sais pas ce qui le fera.
En savoir plus sur : SteveKirsch.Substack.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-risk-benefit-of-the-vaccines-is-negative.html
Pourquoi il est important que Fauci ait le COVID-19
RépondreSupprimervendredi 24 juin 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Je suis récemment revenu d'une semaine de vacances dans les bois du nord du Wisconsin. Nous avons joué au beach-volley, pêché et fait du bateau, joué au Wiffle Ball avec les enfants et nagé jusqu'à ce que notre peau ressemble à un pruneau.
(Article de Jon Miltimore republié de Fee.org)
Même sans téléphone portable, j'ai réussi à tomber sur des nouvelles de dernière heure d'une source inhabituelle : la télévision. (C'était pratiquement le seul média que j'avais là-haut.) Naturellement, je devais partager cette nouvelle.
"Fauci a Covid", ai-je dit à certains de mes compagnons, en bourrant de la bière dans des glacières.
Une discussion a rapidement éclaté pour savoir si la nouvelle était pertinente.
"Et alors?" un ami a répondu. "J'ai accepté il y a longtemps que tout le monde allait avoir ce truc."
J'étais en partie d'accord avec mon ami. Même pendant les premiers stades de la pandémie, je soupçonnais que le virus allait se propager quelles que soient les interventions des politiciens ou des bureaucrates - et ces interventions pourraient s'avérer destructrices, peut-être plus destructrices que le virus lui-même.
Mais je lui ai dit de ne pas sous-estimer l'importance pour Fauci de contracter Covid.
Pourquoi il est important que Fauci ait eu Covid
Il est important de comprendre que Fauci n'est pas seulement le meilleur conseiller médical du président. Fauci, dont le titre officiel est directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, est «le médecin de l'Amérique», comme le décrivait le New Yorker en avril 2020.
Plus important encore, pour le meilleur ou pour le pire, Fauci est devenu l'architecte de la réponse américaine Covid.
C'est Fauci qui, au début de la pandémie, a proposé une stratégie Covid à la fois radicale et simple : éloigner les Américains les uns des autres, en utilisant la force de l'État, si nécessaire.
En mars 2020, Fauci a déclaré à "Face the Nation" que la stratégie fonctionnait.
«Les types de problèmes d'atténuation qui se produisent en ce moment, les choses que nous voyons dans ce pays, cette séparation physique en même temps que nous empêchons un afflux de cas, je pense que ça va aller un beaucoup de chemin à parcourir pour nous empêcher de devenir une Italie », a déclaré Fauci.
Les «atténuations» auxquelles Fauci faisait référence étaient des verrouillages. Les écoles fermées. Parcs fermés. Commerces fermés. Toute entreprise ou activité non jugée « essentielle » par les autorités de l'État était illégale.
RépondreSupprimerOn a dit aux Américains que ces efforts n'étaient que temporaires. « Quinze jours pour ralentir la propagation », est devenu un mantra national.
Pourtant, six mois plus tard, rien n'avait changé. En fait, Fauci disait maintenant que cela devrait continuer jusqu'en 2022.
L'idée que les humains pourraient se cacher indéfiniment d'un agent pathogène en suspension dans l'air si les bureaucrates du gouvernement tournaient le cadran juste a plus qu'une touche de folie, mais ce que peu semblent réaliser, c'est que pour Fauci, ce n'était que la première étape d'une plus grande révolution. .
Écrivant au Brownstone Institute, Jeffrey Tucker pointe un article de Cell d'août 2020 rédigé par Fauci dans lequel le médecin explique sa vision idéologique, qui sonne de l'idéalisme rousseauien.
« Vivre en plus grande harmonie avec la nature nécessitera des changements dans le comportement humain ainsi que d'autres changements radicaux qui pourraient prendre des décennies : reconstruire les infrastructures de l'existence humaine, des villes aux maisons, aux lieux de travail, aux systèmes d'eau et d'égouts, aux loisirs et aux rassemblements. lieux.
Dans une telle transformation, nous devrons donner la priorité aux changements dans les comportements humains qui constituent des risques pour l'émergence de maladies infectieuses. Les principaux d'entre eux sont la réduction de la surpopulation à la maison, au travail et dans les lieux publics, ainsi que la minimisation des perturbations environnementales telles que la déforestation, l'urbanisation intense et l'élevage intensif.
L’article, souligne Tucker, indique clairement que la réponse de Fauci à la pandémie ne concernait pas seulement Covid, mais une révolution technocratique plus large qui était difficile à définir – et à laquelle un Américain ne s’était pas inscrit.
"Ce n'est ni le socialisme ni le capitalisme. C'est quelque chose d'entièrement différent, quelque chose de très étrange », écrit Tucker. "Personne n'a voté pour une chose pareille. C'est quelque chose que Fauci et ses amis ont imaginé par eux-mêmes et ont déployé tout leur énorme pouvoir pour l'adopter juste comme un test, jusqu'à ce qu'il s'effondre.
Et c'est ce qui rend l'infection de Fauci - qui survient plus de deux ans après l'imposition des premiers confinements - si importante.
"C'est un signe et un symbole que toute la théorie [de Fauci] sur le contrôle des virus était fausse", écrit Tucker. «Il a réussi avec la politique et cela n'a pas fonctionné. Le virus a finalement atterri sur lui, comme pour reconstituer l'histoire fictive d'Edgar Allan Poe du prince Prospero dans son château qui, selon lui, le protégerait.
RépondreSupprimerLa vanité fatale
Dans son discours d'acceptation du prix Nobel de 1974, l'économiste F.A. Hayek a conclu par un avertissement : il a exhorté les humains à agir humblement avec l'immense pouvoir de la science moderne.
« Il y a un danger dans le sentiment exubérant de puissance toujours croissante qu'a engendré le progrès des sciences physiques », a déclaré Hayek, « et qui tente l'homme d'essayer, « étourdi de succès », pour reprendre une expression caractéristique du communisme primitif, de soumettre non seulement notre environnement naturel mais aussi notre environnement humain au contrôle d'une volonté humaine.
Il a continué:
« La reconnaissance des limites infranchissables de ses connaissances devrait en effet donner à l'étudiant de la société une leçon d'humilité qui devrait le préserver de devenir complice de l'effort fatal des hommes pour contrôler la société - un effort qui fait de lui non seulement un tyran sur ses semblables. , mais qui pourrait bien faire de lui le destructeur d'une civilisation qu'aucun cerveau n'a conçue mais qui s'est développée grâce aux efforts gratuits de millions d'individus.
Un regard attentif sur le Dr Fauci révèle que l'humilité n'est pas l'un de ses attributs les plus forts, et ses actions montrent que la vanité fatale contre laquelle Hayek a mis en garde infecte les responsables de la santé publique ainsi que les planificateurs économiques.
Malgré tous ses efforts, Fauci n'a pas plus réussi à éviter la peste que le prince Prospero. Mais son effort fou et arrogant pour éteindre le virus par la force est une histoire digne de sa propre parabole.
Read more at: Fee.org
https://www.naturalnews.com/2022-06-24-it-matters-that-fauci-got-covid-19.html
Le jour où la science climatique a basculé vers la fausse science
RépondreSupprimerle 25 juin 2022
Le 23 juin 1988 James Hansen initia la grande peur du réchauffement global lors de sa présentation devant le Congrès américain. Ce jour avait-il été choisi à dessein ? Peut-être car à Washington ce jour-là les températures frisaient les 32 degrés C comme dans la majeure partie de l’est des États-Unis. Ce fut le jour globalement le plus chaud depuis l’année 1895 car 66 % de toutes les stations météo américaines rapportaient une température supérieure 32,2 °C (90 °F). Une exception, une « goutte chaude » comme on dit maintenant, une anomalie passagère de même que l’on dit une « goutte froide » et ce genre de terme révèle la confusion entre météorologie et climat.
Bref, cette goutte chaude du 23 juin 1988 contribua à convaincre les membres du Congrès qu’il y avait une urgence climatique. Pourtant en reprenant le nombre de jours au cours desquels les stations météo américaines enregistrèrent des températures supérieures à 32,2 °C cette anomalie constituait bien une exception dans la tendance au refroidissement depuis la fin de l’optimum moderne centré sur les années 1930.
- voir graph sur site -
Les décideurs politiques corrompus par la propagande de l’IPCC ne peuvent plus revenir en arrière, ils ne peuvent plus admettre que la courbe en crosse de Hockey de Michael Mann était une fraude, ils ne peuvent plus contester l’effet de serre considéré comme dévastateur du gaz carbonique, ils ont plongé dans la croyance en la fausse science érigée en dogme. La situation politico-climatique est devenue au fil des années une sorte de religion. En effet, quand on nie la vraie science on entre non pas dans l’empirisme mais dans la croyance. Galilée dut se rétracter pour échapper au bûcher quand il prétendit avec raison que la Terre tournait autour du Soleil. Si je rappelle ici cet épisode de Galilée la raison en est révélatrice de la totale impossibilité pour l’Eglise de Rome de reconnaître encore aujourd’hui son erreur au sujet de Galilée. Il n’y a jamais eu de révision du procès de Galilée, l’Eglise de Rome n’existant qu’appuyée sur des dogmes. Cette histoire d’effet de serre du gaz carbonique, de rétro-action de ce gaz conduisant à une échauffement de la surface de la Terre est un dogme qui nie les lois fondamentales de la thermodynamique.
James Hansen s’inspira des études qu’il avait conduit sur l’atmosphère de Vénus en concluant faussement que les quantités infinitésimales de gaz carbonique atmosphérique devaient conduire si elles augmentaient à la situation vénusienne. Puis Hansen commença à délirer en introduisant des moyennes de températures ce qui est non-sens scientifique et ce faisant il ouvrit la porte à toutes sortes de fraudes dont l’IPCC est friand y compris Michael Mann. On pourrait dire que cette dérive est promue par des lobbys qui n’ont rien à voir avec l’étude du climat ou des propriétés du gaz carbonique. En réalité quand un scientifique commence à mentir à ses pairs et aussi à mentir à lui-même il est inimaginable qu’il se rétracte surtout quand l’enjeu climatique est devenu aujourd’hui une problématique mondiale. Je ne me gène pas pour écrire ici que James Hansen est l’un des plus grands malfaiteurs de l’humanité (par opposition à bienfaiteur) et il y en a beaucoup d’autres qui utilisent une fausse science pour promouvoir des concepts économiques et politiques désastreux pour le plus grand malheur de l’humanité. Inspiré d’un article de Tony Heller :https://realclimatescience.com/2022/06/the-day-the-science-died/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/25/le-jour-ou-la-science-climatique-a-bascule-vers-la-fausse-science/
Une "catastrophe" de pénurie alimentaire mondiale se déroule, prévient le chef de l'ONU
RépondreSupprimersamedi 25 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le monde est-il sur le point d'entrer dans une période de grands troubles qui inclut la famine massive ? Selon le chef de l'ONU Antonio Guterres, la réponse est oui.
Parlant des pénuries alimentaires sans précédent qui sont imputées à l'invasion de l'Ukraine par la Russie et au "changement climatique", António Guterres a averti les auditeurs lors d'une récente réunion qu'une "crise de la faim mondiale sans précédent" se préparait actuellement.
Blâmant également la pandémie de coronavirus de Wuhan (Covid-19) et « l'inégalité » qu'elle a révélée, Guterres a fait allusion à ce qui va bientôt arriver pour la planète alors qu'elle sombre dans le chaos et la destruction totale de l'ancien ordre mondial.
« Il existe un risque réel que de multiples famines soient déclarées en 2022 », a déclaré Guterres dans un message vidéo aux responsables de dizaines de pays qui ont récemment convergé à Berlin. "Et 2023 pourrait être encore pire."
Partout dans le monde, les récoltes sont médiocres, y compris en Asie, en Afrique et dans les Amériques. Les agriculteurs sont confrontés à des conditions météorologiques extrêmes, à des engrais coûteux, à des intrants réduits de toutes sortes et à un chaos général sous de nombreux angles.
Cela rend difficile pour beaucoup d'entre eux d'atteindre leurs objectifs de rendement, ce qui signifie moins de nourriture dans la chaîne d'approvisionnement pour les consommateurs. Finalement, le problème deviendra perceptible à l'épicerie.
Combien de clés les mondialistes peuvent-ils jeter dans l'économie avant qu'elle ne s'effondre à dessein ?
En raison des blocus en Ukraine, la Roumanie est rapidement devenue le principal canal d'exportation de céréales hors du pays déchiré par la guerre. Selon des informations, la Roumanie a transformé environ un million de tonnes de céréales en provenance d'Ukraine juste depuis l'invasion du 24 février.
Il y a aussi beaucoup de blé exporté de Russie, la même quantité quittant le pays cette année en mai et juin que l'année dernière à la même période.
Ceci, selon la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock, rend l'affirmation de la Russie selon laquelle les sanctions occidentales sont responsables de la crise alimentaire "complètement insoutenable".
Au lieu de cela, il existe de nombreux autres facteurs ayant un impact sur la situation qui préparent le terrain pour une crise alimentaire mondiale de famine et de mort massives.
"Mais c'est la guerre d'attaque de la Russie contre l'Ukraine qui a transformé une vague en tsunami", affirme Baerbock.
La question de savoir s'il y a réellement une véritable crise alimentaire en cours, et pas seulement une opération psychologique mondiale pour effondrer l'économie mondiale, fait l'objet d'un débat, du moins dans la section des commentaires de Breitbart News.
"Si vous pensez qu'il y a une crise alimentaire mondiale, obtenez de l'aide", a déclaré une personne. "Il n'y en a pas."
RépondreSupprimer"N'en sois pas si sûr", a répondu un autre. « C'est un complot mondialiste. Vous souvenez-vous de la trentaine d'usines de transformation alimentaire qui ont mystérieusement brûlé récemment ? »
Le commentateur d'origine a répondu à cela en affirmant qu'au cours des cinq dernières années, les récoltes mondiales ont "battu des records".
"L'Ukraine ne nourrit pas le monde", a encore suggéré cette personne.
"La situation en Ukraine n'est qu'un catalyseur pour mettre ce plan dépravé en action", a rétorqué l'autre type.
Ensuite, nous avons la crise du carburant artificiel, qui a permis aux mondialistes de faire grimper massivement le prix du gaz tout en blâmant la Russie, le changement climatique et tout le reste des mêmes boogeymen qui sont blâmés pour la crise alimentaire.
"Les communistes occidentaux éclaircissent le troupeau dans leur effort pour nous remplacer", a suggéré une autre personne.
Un autre a écrit ce qui suit, exposant son opinion sur la façon dont les choses évoluent et pourquoi :
« Étape 1 : Biden tue l'exploration pétrolière, le gaz naturel et le forage ; pas de nouvelles raffineries
Étape 2 : L'Amérique redevient un importateur net
Étape 3 : Nous manquons de diesel, d'essence et d'engrais - les prix montent en flèche
Étape 4 : Les rendements des cultures chutent
Étape 5 : Les pénuries alimentaires mondiales et les famines se développent
Une couverture médiatique plus connexe peut être trouvée sur FoodCollapse.com.
Les sources de cet article incluent :
Breitbart.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-25-global-food-shortage-catastrophe-unfolding-un.html
Laurent Mucchielli: « Derrière l’idéologie de la vaccination intégrale, trafics d’influence et phénomènes de cour »
RépondreSupprimerPar Laurent Mucchielli
Mondialisation.ca,
25 juin 2022
En France comme dans beaucoup d’autres pays, des médecins interviennent quotidiennement dans les médias pour soutenir la politique gouvernementale du tout-vaccin. Leurs discours, toujours présentés « au nom de la science », sont en réalité souvent viciés par des conflits d’intérêts, ainsi que par des phénomènes de cour. Derrière la « Science », se cachent aussi l’argent des industries pharmaceutiques et la zone grise qui entoure la proximité d’avec le pouvoir politique. De fait, nombre de ces discours manquent totalement d’impartialité, certains étant même purement et simplement mensongers.
Par Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS, auteur de La Doxa du Covid. Peur, santé, corruption et démocratie (éditions Eoliennes, 2022)
Une tribune pro-vax publiée par le journal Le Parisien le 9 janvier 2022 explique que la vaccination ARN/ADN est une solution miraculeuse. Elle permettrait en effet « la diminution massive des risques de transmission d’un sujet vacciné à un autre individu », « la diminution drastique des formes graves de la Covid-19 », le tout avec de « rarissimes effets secondaires indésirables » qui seraient « largement dépassés par les effets bénéfiques et positifs des vaccins ». Les auteurs en concluent qu’il faudrait voter une loi permettant d’entamer des poursuites pénales « à l’encontre de ceux qui transmettraient le virus alors même qu’ils pourraient l’éviter via une vaccination ». Et ils comparent les non-vaccinés à des personnes porteuses du virus du Sida qui « en pleine conscience auraient eu des rapports sexuels non protégés et ayant contaminé leur partenaire ». En un mot, des criminels. Force est cependant de constater que cette tribune 1) exprime parfaitement le point de vue du gouvernement, 2) énonce tranquillement plusieurs énormes mensonges, 3) a fait immédiatement l’objet d’une dépêche de l’AFP relayée dans les médias mainstream (par exemple ici Libération) sans aucune réflexion critique, ni sur son contenu, ni sur ses auteurs.
Cette tribune aurait d’abord pu être écrite par le service de presse du ministère de la Santé, du Premier ministre ou du Président de la République. Le mot d’ordre lancé par ce dernier étant d’« emmerder les non vaccinés », cette tribune peut être considérée comme une contribution à la propagande politique du moment. Ensuite, elle énonce tranquillement deux énormes mensonges. Le premier : s’il y a bien un « consensus scientifique » actuellement, c’est celui qui tourne autour du constat que les vaccins génétiques de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca ne protègent nullement de la contamination et de la transmission. Comment un médecin honnête peut-il ne pas le savoir ? Le second: s’il y a bien une chose évidente statistiquement, c’est que les enfants, les adolescents et les jeunes adultes ne sont nullement menacés par le virus. La balance bénéfice/risque est défavorable au vaccin génétique dans leur cas. Enfin, le traitement médiatique de ce genre d’« informations » est emblématique de l’absence de toute objectivité et d’un « deux poids/deux mesures » généralisé. En effet, dès qu’il s’agit de personnes s’opposant à la propagande politique, la presse se déchaîne pour savoir qui sont ces dangereux hurluberlus (voir notre analyse du fonctionnement des médias durant cette crise), allant jusqu’à se passionner pour leur vie privée si cela peut permettre de les déconsidérer au maximum (voir le dernier article du Monde consacré à la « fille cachée » de Didier Raoult et nous expliquant que « sa famille se fracture », comme si cela présentait le moindre intérêt pour penser la crise sanitaire). Inversement, dès qu’il s’agit de personnes soutenant la propagande politique du gouvernement, alors les journalistes agissent comme s’il fallait nécessairement valoriser et discuter leurs opinions et surtout ne poser aucune question dérangeante. Nous sommes donc obligés de faire ce travail à leur place.
RépondreSupprimer>
Lors d’une conférence de presse sur l’Union européenne le 7 janvier 2022, Emmanuel Macron déclare assumer entièrement sa volonté d’ « emmerder les non-vaccinés » exprimée lors d’un entretien du journal Le Parisien, 2 jours plus tôt
Arroseurs arrosés
Qui sont donc nos deux valeureux pourfendeurs de non-vaccinés ? Le journal Le Parisien nous indique simplement que David Smadja est « professeur en hématologie » et Benjamin Fellous « avocat au barreau de Paris ». C’est certainement exact. Le problème est dans le mensonge par omission. Car, comme Éric Verhaeghe l’a déjà remarqué, il suffit de consulter sa page professionnelle sur Linkedin pour découvrir que monsieur Fellous n’est pas seulement avocat, il est aussi un ancien candidat aux élections sénatoriales sur la liste LREM. Nous sommes donc en présence d’un militant politique macroniste. Quant à monsieur Smadja, qui dépend de l’AP-HP et a travaillé pour le Haut Conseil de Santé Publique, il a sans doute oublié que la loi du 26 janvier 2016 l’oblige à déclarer tous ses liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques. L’article L4113-13 du Code de Santé Publique (article 115 de la loi susmentionnée) dispose en effet : « Les membres des professions médicales qui ont des liens avec des entreprises et des établissements produisant ou exploitant des produits de santé ou avec des organismes de conseil intervenant sur ces produits sont tenus de faire connaître ces liens au public lorsqu’ils s’expriment sur lesdits produits lors d’une manifestation publique, d’un enseignement universitaire ou d’une action de formation continue ou d’éducation thérapeutique, dans la presse écrite ou audiovisuelle ou par toute publication écrite ou en ligne. Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’Etat. Les manquements aux règles mentionnées à l’alinéa ci-dessus sont punis de sanctions prononcées par l’ordre professionnel compétent. ».
Chacun peut vérifier sur les sites officiels Transparence Santé et Déclaration des liens d’intérêts que monsieur Smadja a signé sa Déclaration Publique d’Intérêts (DPI) le 7 mai 2021, y déclarant un total d’avantages perçus de 8 800 euros, par Bristo-Myers Squibb (1 000 euros), Bayer Health Care (1 800 euros), Leo Pharma (5 000 euros) et Boerhinger Eigelherim (1 000 euros). Cela fait déjà une petite somme (7 mois de salaire d’un(e) smicard(e)). Dans cette DPI, des montants versés par plusieurs industriels dont Pfizer ne sont toutefois bizarrement pas précisés. Le lien avec Pfizer est un « contrat d’expert scientifique » (référence CO-2020-1635_PS-0742029, datée du 23 juin 2020). Pour aller plus loin, il faut faire un petit détour par l’autre site recensant les liens d’intérêts, Euro for Docs, ce qui permet d’arriver au montant total bien différent de 109.619 euros perçus ces cinq dernières années des industries pharmaceutiques, soit désormais plus de sept années de salaire d’un smicard.
RépondreSupprimerSi les journalistes faisaient leur travail, voilà le genre de vérification qu’ils devraient faire (et cela ne prend que quelques minutes) avant de publier une tribune ou d’inviter à parler un médecin sur un plateau de télévision ou de radio. Or ils ne le font jamais, ce qui s’apparente à de la complicité d’infraction.
Le trafic d’influence des industries pharmaceutiques : des espèces sonnantes et trébuchantes
RépondreSupprimerMais, nous direz-vous, il s’agit peut-être d’un cas isolé, d’un oubli malencontreux. Que nenni ! Il s’agit d’un système généralisé. Intéressons-nous à présent à une autre ode à la vaccination intégrale parue dans le journal La Tribune le 12 décembre dernier sous la signature de 66 médecins. Ces derniers viennent ici assurer la population française de « la très bonne efficacité des vaccins contre ce virus », lui indiquer que « la vaccination est aussi un acte que l’on réalise pour protéger les autres », estimant que les effets secondaires sont « très rares (un cas seulement de choc anaphylactique sur 2,5 millions de personnes vaccinées) ». Exit les thromboses, les myocardites, les perturbations menstruelles, les syndromes de Guillain-Barré, etc., tout cela n’existerait tout simplement pas. On reste pantois devant à nouveau de tels mensonges et une telle désinformation. Sauf à convier dans la discussion la question taboue des liens d’intérêts avec les industries pharmaceutiques. Et alors là, c’est un véritable choc qui attend notre smicard. S’il passe cette liste de 66 médecins au crible du détecteur de liens d’intérêts, il tombera en effet sur quelques noms très connus de médecins dont les poches sont copieusement remplies depuis des années par les industriels. En tête du palmarès, monsieur Jean-François Bergmann, professeur d’université, chef de service à l’hôpital Lariboisière (Paris), ancien vice-président de la commission des autorisations de mise sur le marché de l’ancienne agence nationale du médicament (refondée en 2011 après le scandale du Mediator parce qu’il y avait trop de conflits d’intérêts, vous vous souvenez ?), avec un total de plus de 1,3 millions d’euros. Ici, notre smicard comprend donc qu’une vie entière de travail ne suffirait pas à amasser cette petite fortune. Il ou elle repérera aussi le professeur d’ophtalmologie José-Alain Sahel, membre de l’Académie des sciences, qui dépasse le demi-million d’euros. Et puis le docteur Véronique Leblond de la Pitié-Salpétrière, pour la coquette somme d’environ 325.000 euros. Le docteur Gérard Reach, professeur d’endocrinologie à l’Université Paris 13, qui a travaillé dans une commission du LEEM (le « syndicat » des industries pharmaceutiques, qui emploie 6 personnes et dépense chaque année environ 1 million d’euros rien qu’en France pour ses activités de lobbying), pour près de 245.000 euros. Le docteur Didier Debieuvre pour près de 200.000 euros. Le docteur Xavier Mariette pour cette fois-ci plus de 200.000 euros. Le docteur André Grimaldi pour quelques 190.000 euros. Et puis aussi le pédiatre Robert Cohen (deuxième signataire de la tribune, plus de 150.000 euros perçus) et le docteur Jean Carlet (premier signataire de la tribune), environ 40.000 euros, soit moitié moins que le docteur Alain Lepage. Au total, près de la moitié des 66 signataires de cette tribune sont dans cette situation de conflit d’intérêt potentiel, beaucoup d’entre eux ayant notamment reçu de l’argent de Pfizer ces dernières années. Or aucun ne l’a déclaré dans cette intervention médiatique lors même, répétons-le, que c’est une obligation légale.
- voir photo sur site -
De gauche à droite : Jean-François Bergmann, chef de service à l’hôpital Lariboisière, Véronique Leblond, docteur à la Pitié-Salpêtrière, André Grimaldi, docteur, et Robert Cohen, pédiatre. Tous ont reçu des versements financiers d’industries pharmaceutiques
Discréditer les traitements précoces génériques pour mieux faire place aux très chers médicaments industriels brevetés
RépondreSupprimerAllons encore plus loin. Faisons en effet le même petit exercice de transparence avec les principaux médecins qui sont omniprésents dans les médias depuis le début de la crise. Impossible de passer à côté des très médiatiques Karine Lacombe (plus de 250.000 euros perçus des industriels) et Gilbert Deray (plus de 170.000 euros). Difficile de ne pas remarquer aussi le nom de madame Odile Launay, membre du Haut Conseil de la Santé Publique et du Comité scientifique sur les vaccins Covid-19, elle aussi habituée des médias (quelques 155.000 euros), tout comme celui de monsieur Mathieu Molimard (plus de 55.000 euros). A côté d’eux, le docteur Bruno Mégarbane fait figure de parent pauvre des labos avec « seulement » quelques 35.000 euros perçus1.
Le point commun de tout ce petit monde médico-médiatique est double : 1) ces personnes se sont directement impliquées dans la campagne politique de vaccination intégrale de la population avec les nouveaux vaccins génétiques type Pfizer et Moderna, 2) ces personnes ont symétriquement cherché à discréditer l’idée de traitements précoces de la Covid pour mieux laisser le champ libre, d’abord en 2020 à l’antiviral de Gilead (le Remdesivir), ensuite en 2021 au tout-vaccin. Raison pour laquelle ils ont également tiré à boulets rouges sur l’IHU de Marseille et sur tous les médecins qui soignent précocement (Christian Perronne, association « Laissons les médecins prescrire », collectif « AZI–thro-d’hospitalisations », etc.). Au-delà des haines personnelles liées à l’histoire et à la personnalité des uns et des autres, nous voyons ainsi surgir une variable cachée contribuant pourtant à expliquer les prises de position des uns et des autres dans le débat public. Toujours en épluchant la base de données Euro For Docs, apparaissent en effet le docteur François Raffi (celui qui a été condamné par la justice pour avoir menacé de mort Raoult par téléphone, et qui est directement impliqué dans la production du Xenothera, un autre médicament anti-Covid auquel le protocole marseillais faisait concurrence) avec plus de 700.000 euros ; le docteur Jacques Reynes (qui a piloté l’essai COVIDOC au CHU de Montpellier à la demande du ministère de la Santé, essai étrangement arrêté avant son terme, officiellement faute de patients) avec près de 350.000 euros ; le docteur Jean-Michel Molina (auteur d’un article disant que l’hydroxychloroquine ne marche pas dans le journal officiel de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) qui a elle-même reçu plus de 1,7 millions d’euros des industries pharmaceutiques ces dernières années), avec près de 330.000 euros ; Jean-Paul Stahl (ancien président de la SPILF et rédacteur en chef de sa revue, celui qui a comparé l’hydroxychloroquine à du papier toilette), avec près de 145.000 euros ; Pierre Tattevin (président de la SPILF) avec près de 100.000 euros (avec notamment des contrats avec Gilead, Pfizer, Janssen, AstraZeneca) ; le docteur Stéphane Paul (membre du Conseil scientifique vaccin Covid-19, qui a travaillé pendant plus de dix ans dans l’industrie privée du vaccin avant de prendre un poste en CHU), avec plus de 43.000 euros ; le docteur Bruno Lina (membre du Haut Conseil de Santé Publique et du Conseil scientifique Covid-19) avec 34 000 euros ; ou encore le docteur François-Xavier Lescure (adjoint de Yazdan Yazdanpanah du Conseil scientifique Covid-19 et conseiller d’un certain Olivier Véran, ministre de la Santé) avec « seulement » un peu plus de 36.000 euros.
Prix et médailles pour les médecins de cour
RépondreSupprimerEnfin, non seulement tout ceci ne semble déranger personne, mais le fait que se cumulent des gratifications symboliques distribuées par le pouvoir politique à celles et ceux qui l’ont bien servi ne fait également l’objet d’aucun commentaire dans la presse. Et pourtant. Il est difficile de ne pas remarquer que Jean-François Delfraissy, président du « conseil scientifique Covid-19 » a été fait Commandeur de la Légion d’honneur au 1er janvier 2022, l’ensemble des membres du conseil scientifique étant également distingués dans cette promotion. L’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn a également été faite Chevalier de la Légion d’Honneur malgré sa mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans sa gestion de l’épidémie de Covid-19. Intéressons-nous également à Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le très important avis du 5 mars 2020 excluant l’hydroxychloroquine et valorisant le Remdesivir, lors même que 97 des 114 membres de cette commission ont perçu de l’argent de Gilead. A titre personnel, il déclare plus de 96.000 euros perçus des industries pharmaceutiques ces dernières années, dont Pfizer, Gilead, Janssen et AstraZeneca. Sont également décorés Jacques Reynes (déjà cité), Karine Lacombe (déjà citée), Nicolas de Lamballerie (membre du conseil scientifique du réseau REACTing qui a fourni l’essentiel des membres du Conseil scientifique Covid-19), Éric d’Ortenzio (coordonnateur scientifique du réseau REACTing), Florence Ader (pilotant l’essai DISCOVERY au CHU de Lyon à la demande du ministère de la Santé, essai lui aussi étrangement arrêté avant son terme) ou encore François Crémieux (envoyé en juin 2021 diriger les hôpitaux marseillais et mettre au pas l’IHU).
- voir photo sur site -
L’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn a été faite Chevalier de la Légion d’Honneur malgré sa mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans sa gestion de l’épidémie de Covid-19
Ajoutons enfin à cela l’auto-promotion, au sein de l’INSERM (Prix 2020), de celles et ceux qui ont également le mieux servi le pouvoir politique durant cette crise. C’est ainsi que le « Grand prix Inserm » a été décerné à Dominique Costagliola, le « Prix recherche » à Florence Ader (déjà citée) ainsi qu’à France Mentré (responsable méthodologique de l’essai DISCOVERY), le « Prix Opecst-Inserm » à Yazdan Yazdanpanah (REACTing, Conseil scientifique Covid-19) et même le « Prix International » au célèbre leader de la politique sanitaire anti-covid états-unienne Anthony Fauci, dont l’intégrité est cependant de plus en plus contestée, notamment dans la question de la probable origine accidentelle du surgissement du Sars-Cov-2.
Une omerta au cœur de la République
RépondreSupprimerSi la peur bloque la réflexion, le copinage, l’entre-soi, la corruption et la volonté de plaire au politique (et plus généralement à sa hiérarchie) l’orientent dans un certain sens. Ces mécanismes, connus de longue date, ont joué massivement depuis deux ans sur la question des réponses thérapeutiques à l’épidémie de Sars-Cov-2. Ils font pourtant l’objet d’un déni et même d’un tabou, particulièrement en France2. Telle est la force des industriels et ce à quoi ils consacrent une partie de leurs revenus : parvenir à orienter les débats publics et les politiques publiques dans le sens qui leur sera commercialement bénéfique. Les industries pharmaceutiques déploient en ce sens des stratégies de trafic d’influence en multipliant les liens d’intérêts chez toutes celles et ceux qu’elles espèrent ainsi transformer en affidés3, allant jusqu’à susciter des fraudes scientifiques comme l’a révélé au grand jour le Lancet Gate. Et l’évidence est que cela fonctionne plutôt très bien, la nouvelle industrie du vaccin ayant rendu ses leaders milliardaires en un temps record. Ceux-là mêmes (parlementaires, journalistes, universitaires) qui avaient mis en évidence ces mécanismes ces dernières années dans d’autres secteurs industriels (le tabac, les hydrocarbures, l’automobile, l’agro-alimentaire…) se sont révélés incapables d’appliquer ici les mêmes principes et les mêmes raisonnements. La peur explique une partie des choses. La naïveté, la bêtise ou l’aveuglement une autre (voir notre tribune publiée sur QG analysant la nouvelle religion vaccinale). Les idiots utiles sont légion, quel que soit leur niveau de diplôme. Mais le trafic d’influence est assurément un mécanisme tout aussi puissant et important pour expliquer le comportement de nombre d’acteurs du débat public. C’est pour cette raison que, à la suite notamment du scandale du Mediator, la législation a été révisée à plusieurs reprises (à partir de la loi du 29 décembre 2011 « relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé ») pour tenter d’instaurer de la transparence dans le monde de la recherche médicale, au même titre que dans le monde politique après l’affaire Cahuzac (loi du 11 octobre 2013 « relative à la transparence de la vie publique »4). Las, l’expérience que nous vivons depuis deux ans montre que, dans le feu de l’action, tous ces beaux principes ont volé en éclat. L’on peut ainsi raisonnablement pronostiquer que de nombreux procès auront lieu dans les années à venir, qui mettront une fois de plus en évidence les connivences entre d’une part les industries pharmaceutiques et d’autre part certains médecins, hauts fonctionnaires, élus et probablement aussi journalistes. Mais pour l’heure, c’est encore l’omerta qui règne. Et nous en sommes tous victimes.
Laurent Mucchielli
L’auteur déclare n’avoir aucun lien d’intérêt d’aucune sorte
RépondreSupprimerNotes :
1 Tous les montants indiqués sont à considérer comme des minima dans la mesure où certains contrats déclarés n’indiquent toutefois pas les sommes perçus.
2 Il n’existe malheureusement pas dans l’hexagone l’équivalent du British Medical Journal qui, le 24 juin 2020, publiait un éditorial spécial alertant sur les dangers que représentent les « influences commerciales » pour la recherche médicale sur la Covid-19, prenant l’exemple des études concernant le Remdesivir du laboratoire Gilead (R. Moynihan, H. Macdonald, L. Bero, F. Godlee, « Commercial influence and covid-19 », British Medical Journal, 2020, 369, m2456, accessible en ligne). C’est dans la même prestigieuse revue qu’a été publiée le 2 novembre 2021 une enquête révélant les tricheries de Pfizer dans les essais cliniques de son « vaccin » anti-covid (P. Thacker, « Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial », British Medical Journal, 2021, 375, n2635, accessible en ligne).
3 Par exemple, dans un article récent, le professeur Ray Moynihan (Université de Bond, Australie) et son équipe ont étudié les liens d’intérêts de 328 dirigeants d’associations professionnelles et de sociétés savantes américaines. Ils ont ainsi pu montrer que 72% d’entre eux avaient des liens avec l’industrie pharmaceutique (et même 80% pour les 293 d’entre eux étant médecins). Le total des sommes distribuées pour la période 2017-2019 se monte à près de 130 millions de dollars (R. Moynihan et al., « Financial ties between leaders of influential US professional medical associations and industry: cross sectional study », British Medical Journal, 2020, 369, m1505, accessible en ligne).
4 L’article 2 de la loi du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique définit la notion de conflit d’intérêts comme « toute situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés qui est de nature à influencer ou paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif d’une fonction ».
https://www.mondialisation.ca/laurent-mucchielli-derriere-lideologie-de-la-vaccination-integrale-trafics-dinfluence-et-phenomenes-de-cour/5669276
Qu'ils ou elles soient ministres, chefs d’États ou leader de parti dit d''opposition' AUCUNE et AUCUN n'a parlé et ne vous parlera du contenu des flacons injectables !!!!
SupprimerRappel que TOUS médicaments, vaccins, doivent s'accompagner d'un papelard dit 'Posologie'. Or, pour l'expérimentation génique d'essais (CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin') ne figure AUCUNE posologie !!!
RAPPEL: IL EST STRICTEMENT INTERDIT DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE.
"Comme COVID ne s'est jamais produit": les fêtes d'Ibiza comme en 2019
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 25 JUIN 2022 - 15:55
Les fêtards sur l'île de vacances espagnole d'Ibiza font la fête comme si le Covid-19 "n'était jamais arrivé", après que les célèbres méga-clubs de l'île méditerranéenne ont rouvert leurs portes après deux ans, rapporte France24.
"C'est comme si Covid ne s'était jamais produit ici", a déclaré Michelle, une travailleuse de la santé britannique de 31 ans, à l'entrée de la discothèque Pacha, qui accueille généralement 3 500 personnes.
"Cela a dépassé nos attentes", a déclaré la porte-parole de Pacha, Paloma Tur. "Nous ne pouvons toujours pas dire avec certitude que les chiffres seront meilleurs qu'en 2019, mais tout indique que oui."
Comme dans de nombreux autres lieux, presque tous les 150 employés de la célèbre discothèque ont reçu l'aide d'un programme de congé gouvernemental pendant la pandémie lorsque Pacha a été fermé.
Avant la pandémie, le tourisme représentait 84 % du produit intérieur brut d'Ibiza, pour lequel le clubbing est un attrait majeur. La crise sanitaire a été "une véritable catastrophe", a déclaré Juan Miguel Costa de l'office du tourisme de l'île.
La pandémie a touché tous les secteurs, mais le secteur des loisirs - qui emploie directement et indirectement plus de 3 000 personnes - a été le dernier à s'ouvrir complètement après la levée des restrictions virales. -France24
Le directeur général de l'opérateur de boîtes de nuit d'Ibiza Ushuaia Entertainment, Roberto de Lope, dit que c'est un "soulagement" de pouvoir enfin ouvrir, mais a ajouté qu'ils sont "toujours touchés, avec beaucoup de prêts que nous devons rembourser".
Le directeur général d'Ushuaia Entertainment, Roberto de Lope, salue la réouverture des méga-clubs d'Ibiza LLUIS GENE AFP
RépondreSupprimerL'un des clubs du groupe, Hi Ibiza, qui peut accueillir jusqu'à 5 700 personnes, s'apprêtait à ouvrir à minuit.
Au club Ushuaia, les billets à la porte coûtent 90 euros (95 $), tandis que les cocktails se vendent environ 20 euros.
Certains habitants ne sont pas satisfaits de la réouverture des clubs – notant qu'Ibiza et l'île voisine de Formentera ont accueilli 1,9 million de touristes en 2021 – un peu plus de la moitié des chiffres d'avant la pandémie, tandis que la plupart des discothèques étaient fermées.
"Je pense qu'Ibiza a compris qu'on ne vit pas que des fêtes", a déclaré Jaume Ribas, le porte-parole d'une association appelée "Prou", ou "assez" en catalan, qui s'oppose aux rassemblements de masse.
Ribas note que l'afflux de touristes cause des problèmes de circulation et a été accusé de l'augmentation de la criminalité liée au trafic de drogue, ainsi que d'une pénurie de logements pour les habitants.
"Les problèmes se sont accélérés cette année", a-t-il ajouté.
Cela dit, les touristes ne sont pas de tels buzzkills.
"Il n'y a plus de restrictions", a déclaré Sara Borrego, 32 ans, venue à Ibiza de Cadix dans le sud de l'Espagne avec un groupe d'amis pour célébrer son prochain mariage. "Nous n'avons pas à porter de masque, nous nous sentons libres."
https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-never-happened-ibiza-parties-its-2019