LE CONFINEMENT (emprisonnement chez soi): est un crime dans la mesure où si une personne a la grippe saisonnière (appelée criminellement 'covide19') il la file à tout le monde autour d'elle !
LE MASQUE: Il n'existe PAS de masque anti virus (poussières) ou anti microbes ! Sont proposés... des masques chirurgicaux !! (portés par les chirurgiens et personnel en bloc opératoire pour éviter de postillonner sur un ventre ouvert). Ce masque a un écart de maille de 150 microns alors que le 'virus' ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!! Il existe aussi des masques 'N95' (avec valve d'expiration) qui ont un écart de mailles de 3 microns !!
LA PIQÛRE: Expérimentation génique d'essais criminellement appelée 'vaccin' !! Le virus (poussière) n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT en seringues !! Si vous êtes piqué: VOUS L'AVEZ ! (un poison n'est PAS transmissible sauf en actes sexuel).
LES FAUX TESTS 'RT-PCR': Ce sont des tests INUTILES car le 'covide19' N'EXISTE PAS (dans l'air) et donc est INVISIBLE ! C'est alors que se sont développés des 'quotas' à fournir et publier !! Ces écouvillons (ouatés) sont fait pour déposer en cavité nasale les nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel enveloppé) qui forment des antennes ou fils appelés morgelons destinés à retransmettre les ordres extérieurs reçus par ondes basses fréquences (via téléphone portable ou sans grâce à la 5G). C'est le transhumanisme !
LES GELS HYDROALCOOLIQUES: contiennent eux aussi des nano-particules d'oxyde de graphène qui pénètrent dans l'épiderme !
LES ASYMPTOMATIQUES ! C'est-à-dire des personnes qui sont parfaitement saines mais désignées comme étant malades sans le savoir !!
LES 'VARIANTS' ! Il n'existe pas de poussière transgenre ou qui ferait des petits !
L'OBJECTIF est d'atteindre l'hégémonie mondiale ! avec DES milliards de morts (remplacés vite-fait par l'arrivée forcée d'immigrés 'climatiques' ! (Les morts ne parlent pas et, les personnes inoculées non-plus car elles ne peuvent le faire !). C'est l'euthanasie mondiale !
RAPPEL: Il est strictement INTERDIT de vacciner qui que ce soi pendant une épidémie ou pandémie ! Il est strictement INTERDIT de ne pas faire de sérologie préventive avant vaccination !
LA SUITE ? L'empoisonnement des aliments ! Le choix c'est la mort dans quelques mois ou quelques jours ou... rien d'autre que le mort !
PS: A savoir aussi que tous les criminels qui connaissent le contenu de la seringue sont eux aussi condamnés (dans quelques mois ? quelques jours ?) car... ils savent ! Ils seront remplacés par des nouveaux-nés qui vivront à part, ignoreront tout du monde et n'écouterons que leurs éducateurs hégémonistes du Nouvel Ordre Mondial.
ENFIN: Le clip 'Planet Lockdown' ne parle pas du contenu des flacons !! Ne parle pas de la recherche de Carrie Madej, d'Astrid Stückelberger et d'Alexandra Henrion-Caude sur les nano-particules d'oxyde de graphène, les morgelons, les hydres !?! (fin sur... curé ! et manifestants criant "On vous accuse ! On vous accuse !" oui mais de quoi ? Hahaha !) - Reportage TRÈS incomplet style 'reportage-télé-marron' !
A quoi peut bien servir un masque qui ne sert à rien ? Sinon à limiter voire vous exempter des connaissances. Pourquoi ne pas pouvoir dialoguer avec ses connaissances ? Parce que si vous commencez à discuter entre-vous vous n'aurez pas le même discours en tête qu'à la télé ! Et donc, le mot est déjà trouvé: vous seriez accusé d'être complotiste. C'est-à-dire d'oser être contre la dictature en place que vous pourriez planifier de démolir !
L’idéologie dominante aujourd’hui au sujet de l’énergie se positionne à rebours de l’évolution de cette problématique depuis le début de l’ère industrielle. Lorsque James Watt inventa sa machine à vapeur, une version améliorée de celle de Thomas Newcomen, cette invention était en réalité une application du théorème de Carnot développé en 1824, c’est-à-dire 40 ans après cette invention de J. Watt. Intuitivement mais aussi par expérience Watt comprit que sa machine à vapeur était beaucoup plus efficace si un système de condensation de la vapeur à la sortie du piston de sa machine amplifiait la différence de température « utile » pour le fonctionnement de sa machine. Ce fut le premier pas vers une concentration en un point de l’énergie mécanique disponible en partant du charbon. Cependant l’usage du charbon plutôt que du bois contribuait également à ce processus de concentration de production d’énergie. Cette « concentration » se concrétisa aussi avec les locomotives à vapeur qui contribuèrent à l’essor industriel et commercial durant tout le dix-neuvième siècle. Au vingtième siècle l’invention de l’électricité favorisa de plus belle cette concentration de la production d’énergie. Les fours utilisant du charbon pour produire une vapeur sèche à température élevée étaient la condition incontournable pour alimenter des turbines entrainant les alternateurs. On retrouve toujours le fameux théorème de Carnot qui ne s’applique qu’aux machines thermiques. L’autre étape de cette concentration d’énergie est le réacteur nucléaire dont le volume est relativement restreint mais produisant une quantité de chaleur considérable, elle aussi utilisée sous forme de vapeur pour faire tourner une turbine.
Le développement récent des énergies alternatives va à l’encontre de cette évolution qui s’étendit sur deux siècles. Qu’il s’agisse de l’énergie du vent ou de celle du Soleil, ce sont deux sources « diluées » en dehors du fait qu’elles sont intermittentes, leur autre défaut intrinsèque pour lequel il n’existe toujours pas de solution. Ce processus de dilution des sources d’énergie est contraire à toute logique scientifique, plus précisément à toutes les lois fondamentales de la thermodynamique dont Carnot fut l’un des initiateurs. Le prétexte à cette dilution des sources d’énergie est l’objectif « bas carbone » ou pire « zéro carbone » étant entendu que le vent et le Soleil sont des énergies gratuites, renouvelables et sans carbone, par conséquent sans effet sur le climat. La dilution des sources d’énergie est une conséquence directe du dogme du réchauffement du climat d’origine humaine.
Depuis le début de l’ère industrielle la concentration des sources d’énergie a permis une plus grande productivité industrielle et manufacturière, une inflation modérée et une amélioration des standards de vie. La dilution des sources d’énergie va inévitablement conduire à une diminution de la productivité car la fourniture d’énergie deviendra précaire, une inflation croissante en raison des coûts de cette énergie et des interventions des Etats pour la promouvoir, ce qui se traduira par une augmentation des charges fiscales et par voie de conséquence une diminution du pouvoir d’achat et du niveau de vie en général. Si on examine maintenant le retour sur investissement de cette énergie « diluée » c’est tout simplement catastrophique car l’offre de cette énergie ne pourra jamais être adaptée à la demande. Certes l’énergie nucléaire nécessite un investissement très lourd. Cependant il a été reconnu qu’après 25 années de production un réacteur nucléaire et les installations connexes sont largement amortis et ceci d’autant plus que le combustible est d’un prix abordable et pratiquement constant sur les marchés.
À propos de cette énergie diluée, dans le bilan du retour sur investissement on oublie de prendre en considération le fait que sa mise en œuvre n’est pas possible sans sources d’énergie concentrées, comme par exemple pour produire du ciment, de l’acier, du cuivre et des terres rares qui composent les génératrices de courant. Il en est de même pour les panneaux solaires tributaires de la production de silicium de haute pureté. Inévitablement l’ère nouvelle des sources d’énergie diluées est une marche vers une paupérisation des peuples, une chute incontrôlable du niveau de vie de chacun et enfin une désertification de pays encore industrialisés qui ont fait ce mauvais choix. En inversant la tendance de l’évolution passée bois → charbon → pétrole → uranium rendue possible par les progrès technologiques successifs les décideurs politiques ont signé l’évolution en sens inverse de l’économie et donc des peuples, rien de réjouissant …
Inspiré d’un article paru sur le site internationalman.com
Quel que soit le scientifique qui explique la chose à Machin-gros-con du ministère du Truc, le Truc-en-chef dira toujours "Je savais" même s'il vient de l'apprendre, car, dans la caste des Chiottes-de-Luxe on ne se trompe jamais même si c'est 100 fois sur cent. Donc, ne comptez pas de 'retour en arrière' du mec qui dit 'Je viens d'apprendre que' ou 'Dernièrement un rapport...". Ils sont dans la merde, ils représente LA merde et veulent la faire bouffer à tous ceux qui l'emmerdent. Ils ont décidé que. A vous d'en faire usage.
"L'été de la famine": la flambée des prix des engrais libère le chaos et la faim dans le monde
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 08 JUIN 2022 - 21:44
L'une des conséquences les plus pernicieuses - surtout pour l'Occident antirusse - de la guerre d'Ukraine a été la flambée sans précédent des prix des engrais qui, entre autres, a provoqué une flambée historique des prix alimentaires et l'effondrement des chaînes d'approvisionnement autour du globe, comme nous en parlions dans ces articles publiés ces derniers mois :
Les prix des engrais atteignent des niveaux record, ce qui pourrait faire monter encore plus l'inflation des aliments "L'engrais est hors de contrôle" - Les agriculteurs américains abandonnent le maïs pour le soja pour économiser sur les coûts Poop-Boom: L'approvisionnement en fumier se resserre alors que les prix des engrais montent en flèche La plus grande entreprise d'engrais au monde met en garde contre les perturbations des nutriments des cultures jusqu'en 2023 Avance rapide jusqu'à aujourd'hui, où nous avons de bonnes, de mauvaises et de très mauvaises nouvelles. La bonne nouvelle est que les prix des engrais ont légèrement diminué par rapport aux sommets historiques, comme le montre le graphique suivant des prix au comptant de Tampa Ammonia CFR.
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La mauvaise nouvelle est que le prix n'a pas suffisamment baissé : selon Bloomberg, la surabondance d'engrais qui s'accumule dans les plus grands ports brésiliens indique que le prix des nutriments doit encore baisser avant que les agriculteurs ne commencent à acheter.
À Paranagua, les entrepôts privés ont atteint leur capacité de stockage maximale de 3,5 millions de tonnes, a déclaré Luiz Teixeira da Silva, directeur des opérations de Paranagua à Bloomberg. Un terminal exploité par VLI Logistics, l'un des deux du port de Santos qui stocke des engrais, est également plein, selon des personnes au courant de l'affaire qui ont demandé à ne pas être nommées car l'information n'est pas publique.
Comme indiqué ci-dessus, le prix des engrais à travers le monde a explosé à des niveaux sans précédent, et le Brésil n'a pas fait exception.
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C'est un problème car ce pays à forte agriculture et source de nourriture pour la moitié du globe importe près de 85 % de ses engrais et la Russie en est la principale origine. Alors que les approvisionnements se sont normalisés, les prix ont baissé au cours des dernières semaines, mais les agriculteurs n'achètent toujours pas. Ils attendent de nouvelles baisses de prix, selon Marina Cavalcante, analyste chez Bloomberg’s Green Markets.
"Les agriculteurs s'attendent à ce que les prix continuent de baisser après les baisses de la semaine dernière et de la précédente", a-t-elle déclaré. "Alors ils attendront de nouvelles baisses pour acheter."
Et voici un exemple dans la théorie des jeux offre/demande : le Brésil est le plus grand expéditeur au monde de plusieurs cultures, dont le soja. Les agriculteurs peuvent retarder leurs achats jusqu'à la veille des semis de soja en septembre. Mais s'ils attendent tous trop longtemps, une ruée de dernière minute pourrait entraîner des goulots d'étranglement dans les transports intérieurs qui pourraient de toute façon laisser certains d'entre eux les mains vides.
Il y a un autre problème : il se peut qu'il n'y ait tout simplement pas assez d'engrais en provenance de Russie, qui a décidé de punir le monde en envoyant les prix des denrées alimentaires des pays occidentaux à des niveaux records et en provoquant des troubles sociaux dans le processus. Après tout, la principale raison pour laquelle les prix sont si élevés est qu'il n'y a tout simplement pas assez d'offre. Et même si les spéculateurs ont peut-être poussé les prix un peu plus haut qu'ils n'auraient dû l'être, les agriculteurs qui espèrent que les prix se normaliseront complètement seront déçus.
Ce qui nous laisse avec la "destruction de la demande", seulement comme nous le rappelle Michael Every de Rabobank, lorsqu'il s'agit de la "destruction de la demande" alimentaire - en particulier dans les pays pauvres du tiers monde - elle porte un nom différent et moins agréable : la famine.
Considérez ce qui se passe au Tchad : comme le rapporte DW, le cinquième plus grand pays d'Afrique a déclaré une urgence alimentaire en raison d'un manque d'approvisionnement en céréales. Ce pays africain enclavé a exhorté jeudi la communauté internationale à aider sa population à faire face à l'insécurité alimentaire croissante.
Les prix des céréales à travers l'Afrique ont bondi en raison de la chute des exportations ukrainiennes - conséquence de la guerre en Ukraine et d'une série de sanctions internationales contre la Russie qui ont interrompu l'approvisionnement en engrais, en blé et en autres produits de base en provenance de Russie et d'Ukraine.
DW s'est entretenu avec un couple au Tchad qui fait face aux effets de l'effondrement des approvisionnements alimentaires :
Cédric Toralta et Anne Non-Assoum vivent dans le quartier Boutalbagar de la capitale tchadienne, N'Djamena. Non-Assoum – qui venait de rentrer du marché – a exprimé son mécontentement face à la hausse des prix alimentaires.
''Regardez ce que j'ai acheté : voici de la viande pour 1 500 F CFA (2,45 $, 2,28 €), du riz pour 1 000 et des épices pour 600, c'est plus de 3 000 F CFA (30 fr = 4,50 €) rien que pour le déjeuner de quatre personnes", a-t-elle déclaré.
Elle a déclaré à DW que dans le passé, le même achat aurait coûté environ 2 000 francs CFA. "Mon mari et moi avons dépensé 60 000 CFA par mois en nourriture, mais maintenant, même 90 000, ce n'est pas assez !"
La situation désastreuse a contraint Toralta à prendre des mesures nutritionnelles drastiques qui ne sont pas sans conséquences.
"Nous n'arrivons pas à joindre les deux bouts, même si j'ai décidé d'augmenter notre ration alimentaire de 30 000 francs CFA. Je suis donc obligé de réduire la quantité que nous mangeons chaque jour - et vous voyez que cela affecte les enfants", a déclaré Toralta à DW.
« Nous avons besoin d'une aide alimentaire urgente pour la population », a déclaré Non-Assoum, soulignant l'urgence. « Si même la population à revenu moyen de la capitale ne peut pas faire face à cette situation, comment la population rurale le pourra-t-elle ? C'est très compliqué, et nous avons besoin que la communauté internationale nous aide.''
Les prix des produits de première nécessité ont également augmenté de manière significative chez le voisin du Tchad au nord-ouest, le Niger. Le lait, le sucre, l'huile et la farine sont les produits dont les prix y ont flambé. Le coût des engrais a également augmenté de façon spectaculaire.
Lors d'une récente réunion avec le président russe Vladimir Poutine, le président de l'Union africaine, Macky Sall, a déclaré que le continent supportait le poids de la guerre en Ukraine en raison d'une pénurie de céréales et d'engrais.
Comme le dit un reportage sur le terrain (pas d'un journaliste occidental bien nourri travaillant à domicile) : « Dans le village de Falke, à quelque 665 km (413 miles) de la capitale Niamey, Tassiou Adamou, un agriculteur, a déclaré à DW que ce la récolte de l'année sera probablement médiocre parce que les producteurs n'ont pas les moyens d'acheter suffisamment d'engrais.
"L'arachide, qui est notre principale culture de rente, a besoin d'engrais", a souligné Adamou. "Jusqu'à la saison dernière, un sac d'engrais coûtait 17 000 francs CFA. Cette année, il a atteint 30 000", a-t-il dit, ajoutant qu'il est impossible de produire beaucoup pour les ruraux.
« Si vous aviez l'habitude d'utiliser trois sacs d'engrais pour votre champ, aujourd'hui, vous ne pouvez avoir qu'un seul sac avec la même quantité. Là où vous récoltiez 50 régimes de mil, vous pouvez à peine produire 30 régimes sans engrais.
Une grande partie de l'Afrique, écrit Every, est dans le même bateau... et il coule rapidement, et l'ironie est que tout le monde a besoin de beaucoup plus d'engrais maintenant pour éviter une crise alimentaire mondiale, mais soit ils ne peuvent pas se le permettre, soit ils sont en espérant que le prix baisse un peu plus. Malheureusement, cela n'arrivera pas et à la place, les acheteurs marginaux continueront à pousser la denrée rare.
Que se passe-t-il ensuite ? Nous donnons le micro à Every, qui a le mieux résumé la débâcle actuelle : "les riches du monde, qui fixent les taux, doivent décider s'ils sacrifieront le prix de leurs actifs pour aider les pauvres du monde à manger. Si nous ne disons pas cela, pouvons-nous dire au moins qu'on a le choix entre mettre des calories dans les voitures des riches ou dans la bouche des pauvres ?"
Pour conclure, les marchés disent "exiger la destruction", mais ne diront pas que cela peut signifier "famine de masse". Certains sont maintenant capables de dire "stagflation", mais beaucoup sur les marchés n'y étaient pas autorisés jusqu'à récemment. Certains peuvent dire "récession", mais beaucoup sur les marchés et la politique n'y sont toujours pas autorisés. Pourtant, personne ne veut dire "dépression" parce qu'il y a * toujours * l'hypothèse que, aussi mauvaises que soient les choses, d'une manière ou d'une autre, un rebond de "bâton de hockey" se trouve de l'autre côté. Pas des bâtons, des pierres, des torches allumées et des fourches.
Ici, certains peuvent prétendre que "torches et fourches" est un euphémisme, mais mettez plusieurs centaines de millions de personnes sous la "destruction de la demande" de nourriture pendant quelques semaines, et regardez comme le prochain printemps arabe ne sera pas "arabe" et ne sera pas être au printemps : ce sera un été mondial de la famine.
Pékin et Shanghai ont les milliardaires les plus riches en dollars du monde
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 JUIN 2022 - 04:00
Après avoir examiné les ultra-riches, à l'échelle mondiale, il semble que Pékin ait la plus forte concentration de milliardaires riches en dollars. C'est selon une nouvelle étude publiée par MoneyTransfers.com.
Le site a conclu que Pékin abrite 145 milliardaires en dollars et qu'il a conservé sa première position dans le monde après avoir ajouté 35 nouvelles personnes à sa liste en 2020.
Le PDG de MoneyTransfers, Jonathan Merry, a commenté : « La Chine continue de tirer profit de son optimisation du marché de l'investissement en libéralisant et en facilitant les investissements. Le ruissellement a vu certaines régions émerger comme des pôles d'investissement. L'une d'entre elles est Pékin. Sa modernisation et son dynamisme la scène parfaite pour incuber des idées d'affaires, en particulier dans le domaine de la technologie."
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L'analyse a également montré que la Chine compte le plus grand nombre de milliardaires riches en dollars. Le pays est le seul qui compte plus de 1 000 personnes dont la valeur nette dépasse le milliard de dollars, indique le rapport. Les États-Unis arrivent en deuxième position :
"Les villes chinoises dominent également le top 10 mondial habité par ces ultra-riches", a rapporté MoneyTransfer.com. "Shanghai suit Pékin en deuxième position avec 113 milliards d'individus riches en dollars. Il a devancé New York à partir de 2020 après en avoir gagné 30 autres en 2021."
New York est la troisième ville la plus attractive pour les ultra riches, note le rapport. Londres est cinquième et Moscou septième.
Une caravane massive de migrants ciblant le Texas pourrait être la plus grande à ce jour
PAR TYLER DURDEN JEUDI 09 JUIN 2022 - 02:00
Les yeux rivés sur le Texas, une nouvelle caravane massive de migrants est en cours dans le sud du Mexique. C'est le plus grand de 2022 et, en partie grâce aux logements du gouvernement mexicain, il pourrait bientôt être le plus grand jamais enregistré.
De nombreuses caravanes précédentes se sont effondrées lors d'affrontements parfois violents avec les troupes de la Garde nationale ou en atteignant des points de contrôle internes où les migrants sont empêchés de franchir les frontières de l'État mexicain faute de visas.
Cependant, l'organisateur de la caravane Luis Villigran a déclaré à Fox News que le gouvernement mexicain s'était engagé à commencer à délivrer 1 000 visas de travail temporaires par jour aux migrants qu'il conduisait vers le nord.
Cela facilitera certainement la progression des migrants. Dans le même temps, en autorisant les migrants à travailler dans les États du nord du Mexique, où les opportunités d'emploi sont plus nombreuses que dans le sud, les visas donnent aux migrants une raison de rester au sud de la frontière américaine.
Avec un nombre déjà estimé à 12 000 ou plus, la caravane a quitté lundi la ville frontalière de Tapachula, à l'extrême sud-ouest du Mexique, bloquant plusieurs voies d'autoroute alors qu'elle entamait un voyage de mille kilomètres vers la frontière du Texas. Les organisateurs prévoient de tirer le meilleur parti de la randonnée en voyageant le long de la côte est du Mexique.
La caravane comprend des personnes de divers pays, les Vénézuéliens représentant apparemment une part importante. La lutte du Venezuela pour rebondir après des politiques économiques désastreuses est rendue plus difficile par les sanctions américaines qui visent à punir le régime mais qui finissent par rendre les citoyens innocents misérables et encourager la migration vers les États-Unis.
Villagran affirme que près de 70% de la caravane sont des femmes et des enfants, mais les photos dans les comptes rendus d'actualités dépeignent fréquemment des foules d'hommes adultes.
Le départ de la caravane coïncide avec le Sommet des Amériques que Biden organise à Los Angeles cette semaine. Vendredi, les participants au sommet devraient signer une déclaration sur la migration.
Les rapports sur le projet de ce qui sera salué comme la "Déclaration de Los Angeles" indiquent qu'il s'agit d'un document ambitieux plutôt que d'un ensemble d'engagements contraignants. Selon AP :
Selon des experts qui ont vu les premières ébauches, l'accord pourrait exiger davantage de voies vers un statut juridique, des mécanismes pour réunir les familles, des contrôles aux frontières plus efficaces et plus humains et un meilleur partage d'informations.
Biden a exclu le Venezuela, Cuba et le Nicaragua du sommet, ce qui a incité les dirigeants du Mexique, du Guatemala, du Honduras et du Salvador – pays clés dans le dilemme actuel de la migration de masse – à sauter le sommet eux-mêmes. Leur absence garantit que le sommet sera raté.
Massivement payés par Soros pour les faire venir aux USA afin de remplacer vite-fait les dizaines de millions de morts des piqûres létales 'cocovide19', ils ne connaissent rien, ne parlent pas l'anglais et ne serviront donc à rien sinon à planter leurs tentes aux trottoirs de LA et SF en attendant d'être piqués !
Meurtre par vaccination : Plainte contre Bill Gates
Par Kla TV Mondialisation.ca, 08 juin 2022
Une plainte contre Bill Gates et l’indien Adar Poonawalla, directeur général du plus grand fabricant de vaccins, a été déposée devant la Cour suprême indienne pour « meurtre par vaccination ». Cette émission met en lumière l’identité des courageux plaignants et les motifs de leur plainte.
Afin de lutter contre le manque de transparence et de responsabilité de la justice indienne, des avocats indiens courageux ont fondé « l’Association du barreau indien » (IBA).
Le 25 novembre 2021, l’Association des avocats a annoncé avoir déposé une plainte auprès de la Cour suprême indienne pour « meurtre par vaccination » contre Bill Gates et Adar Poonawalla, son partenaire indien dans la production de vaccins, ainsi que contre des fonctionnaires du gouvernement. Adar Poonawalla est directeur général du « Serum Institute of India », un groupe pharmaceutique qui produit la plupart des doses de vaccins dans le monde.
Les requérants réclament notamment un dédommagement de 134 millions de dollars pour un jeune homme de 23 ans décédé de la vaccination Covid. Celui-ci avait fait confiance aux fausses déclarations du groupe pharmaceutique selon lesquelles le vaccin était sûr. Les avocats indiquent que (littéralement) « … avant l’administration d’un vaccin ou d’un traitement, une personne doit être informée des effets secondaires du médicament et également des remèdes alternatifs disponibles. »
Si ces faits sont passés sous silence lors de la vaccination ou si, en plus, on ment sur l’innocuité du vaccin, le consentement à la vaccination a été obtenu de manière trompeuse. Les accusés Bill Gates et Adar Poonawalla pourraient être tenus pour responsables de cette tromperie, car ils ont autorisé la commercialisation illégale de leur produit. En Inde, la pratique de la vaccination sous la tromperie ou la contrainte est un délit civil et pénal. Si la plainte était acceptée, les plaignants créeraient ainsi un précédent susceptible d‘entraîner une vague de poursuites.
Sources / Liens :
Weltweit erste Impfmord-Klage gegen Bill Gates https://www.wochenblick.at/corona/weltweit-erste-impfmord-klage-gegen-bill-gates/
Stratégiste américain: «La Russie ne peut pas être vaincue»
Par Pierre Duval Mondialisation.ca, 08 juin 2022
Les sanctions ne fonctionnent pas. Edward Luttwak, le consultant politique du Département d’Etat et du Pentagone qui est un spécialiste en stratégie américaine et surtout un stratégiste des plus connus dans le monde, affirme que la Russie ne peut pas être vaincue. Selon son avis, la victoire de l’Ukraine», est «impossible» .
Il considère d’ailleurs que Volodymyr Zelensky devrait courber l’échine face à la Russie pour en finir avec ce conflit et que les Occidentaux se trouvent dans l’obligation de retirer leurs sanctions afin de sortir de cette crise.
La victoire de l’Ukraine est impossible. Pour Edward Luttwak, comme il l’a répondu dans un entretien à Die Welt, la victoire de l’Ukraine dans le conflit avec la Russie est impossible, et seuls des référendums avec Donetsk (RPD) et Lougansk (RPL) peuvent mettre fin à la crise ukrainienne. Dans un tweet, il précise son analyse: «L’offensive russe pour conquérir la totalité des deux régions de Donetsk (RPD) et Lougansk (RPL) combinée à la reconquête ukrainienne de la région de Kherson pourrait offrir une sortie de guerre via des plébiscites en (RPD) et (RPL) (sous contrôle neutre total)»; «Une petite victoire pour [Vladimir Poutine] que [Volodymyr Zelensky] ne peut refuser».
Dans un autre tweet, Edward Luttwak affirme que la Russie a la supériorité militaire: «Les troupes ukrainiennes subissent une pression croissante sur les fronts attaqués car les Russes ont appris de leurs erreurs», «en plus, ils peuvent remplacer les blessés par des soldats contractuels, et ils ont encore beaucoup plus de chars».
La Russie est un pays-continent invincible. La géographie de la Fédération de Russie fait que la Russie a une présence tangible en Extrême-Orient, au Moyen-Orient, dans l’Arctique, ainsi qu’en mer Noire. Et, cet état de fait géographique mais aussi géopolitique rend (la victoire sur la Russie) absolument impossible, a déclaré l’expert en répondant à la question de savoir si les armes nucléaires seraient le seul atout entre les mains de Moscou.
Le consultant politique et auteurs de nombreux ouvrages sur la géopolitique a, clairement, précisé qu’ une victoire ukrainienne serait toujours impossible, même si la Russie n’avait pas d’arsenal nucléaire. Selon lui, c’est un fantasme d’imaginer pouvoir vaincre la Russie car l’Occident ne peut pas le faire. D’ailleurs, les sanctions introduites après le début du conflit en Ukraine contre la Russie n’ont pas pu, selon l’expert, atteindre leur objectif. Il rappelle que les citoyens russes n’ont pas du tout ressenti ces sanctions puisque la Russie, elle-même, produit de la nourriture et possède ses propres sources d’énergie.
Selon Edward Luttwak, la sortie de la crise ukrainienne n’est, donc, possible que si Kiev reconnaît la nécessité d’organiser des référendums à Donetsk (RPD) et Lougansk (RPL). «L’Ukraine ne peut pas refuser au peuple le choix. C’est le seul moyen de sortir de ce conflit», a-t-il déclaré. Dans le même temps, le conseiller politique a martelé que les référendums devraient être organisés avec la participation d’observateurs internationaux indépendants. Il a, également, reconnu que, compte tenu de la disposition actuelle, la Russie ne peut accepter un plébiscite indépendant qu’en cas de concessions des pays occidentaux, par exemple, avec la levée des sanctions.
Rappelons qu’à la fin du mois de mai, l’ancien secrétaire d’Etat américain, Henry Kissinger, a déclaré que Washington, avec ses alliés, devrait cesser d’essayer d’infliger une «défaite écrasante aux forces russes en Ukraine» car cela aurait des conséquences désastreuses pour le long terme et la stabilité en Europe. Selon l’ex-diplomate, l’Occident doit influencer l’Ukraine pour qu’elle reprenne les pourparlers de paix avec Moscou, même si Kiev doit faire un certain nombre de concessions.
Pourquoi cette guerre contre les nazis soutenus par l'UE et l'OTAN dure t-elle si longtemps ? Parce que l'armée ukrainienno-bruxello-yankee tire des obus depuis le haut des immeubles à Kiev et autres villes. De ce fait l'armée russe refuse de riposter en tuant les ukrainiens qui vivent en villes et servent de boucliers.
Faina Savenkova à Olaf Scholz : « Le meurtre d’enfants durant les huit dernières années n’est pas un génocide ? »
Par Faina Savenkova Mondialisation.ca, 08 juin 2022
Il y a un an, j’ai demandé au Conseil de sécurité des Nations unies et à l’UNICEF d’aider à mettre un terme au massacre d’enfants par l’Ukraine dans le Donbass. Puis il y a eu une lettre adressée au président Zelensky, au président français Macron, au pape François, à Roger Waters. Et maintenant, le chancelier allemand Olaf Scholz. En essayant de leur tendre la main, en tant que politiciens et personnalités publiques sérieuses, je ne voulais qu’une chose : être entendue. Pour que cesse le massacre des civils à Donetsk et Gorlovka. Mais, malheureusement, le chancelier est très occupé et le président Macron est en vacances. Ce sont leurs assistants et conseillers qui me répondent. Peut-être que je fais tout pour rien. Je ne sais pas. Mais j’aimerais croire qu’en dehors des politiciens et des médias, il y a des gens ordinaires qui ne veulent pas de guerre. Ni en Allemagne, ni en Europe. Et un jour, ils découvriront sûrement que pendant tout ce temps, leurs gouvernements leur ont dit des mensonges. Eh bien, je vais continuer à me battre et à écrire. Peut-être que quelqu’un entendra mon appel et que cela sauvera au moins la vie d’un enfant dans le Donbass.
*** Au Chancelier fédéral de l’Allemagne, M. Scholz
Bonjour, M. Scholz !
Mon nom est Faina. Je vis à Lougansk, j’écris des pièces et des histoires et j’essaie de lutter pour la paix.
Il y a huit ans, le 26 mai 2014, la guerre a éclaté dans mon pays natal. Et le 2 juin, un avion ukrainien a bombardé ma ville natale. Pendant tout ce temps, l’Allemagne et la France ont joué le rôle de garants de la paix, mais sont restées incapables de faire quoi que ce soit.
Dans l’une de vos interviews, vous avez déclaré qu’il n’y avait pas de génocide dans le Donbass et que ce qui se passait n’était pas un génocide du peuple russe. Le meurtre d’enfants durant les huit dernières années n’est-il pas un génocide ? Et l’interdiction de la langue russe, la démolition des monuments à Pouchkine, Tchekhov, Boulgakov ? N’est-ce pas un génocide ? L’extermination et l’arrestation de personnes qui ne sont pas d’accord avec les autorités – n’est-ce pas du fascisme ? L’existence du site Mirotvorets n’est-elle pas une violation des droits de l’homme ?
Je suis une enfant de 13 ans, et il m’est très difficile d’avoir une quelconque influence sur la situation, je dois donc demander de l’aide aux adultes. Monsieur Scholz, je voudrais vous demander votre aide et vous dire que vous ne devriez pas fournir d’armes à l’Ukraine, car cela ne fera que des victimes supplémentaires.
Nous sommes peut-être considérés comme des séparatistes en Europe, mais imaginez un peu si demain une région d’Europe voulait parler d’autonomie. Et imaginez qu’au lieu de négocier avec eux, le gouvernement allemand ou britannique, par exemple, envoie une armée contre eux et commence à bombarder la capitale de cette région. Pouvez-vous imaginer une telle chose en Europe ?
J’aimerais vraiment que l’Allemagne ne s’implique pas dans cette guerre, mais qu’elle aide à résoudre le problème de manière pacifique et qu’elle puisse influencer le président de l’Ukraine pour qu’il vienne à la table des négociations.
Les enfants ne peuvent pas dire aux adultes ce qu’ils doivent faire. Mais ils ont le droit d’avoir leur point de vue. Et de demander de l’aide.
Je te remercie pour ta lettre du 27 mai 2022 adressée au chancelier Olaf Scholz. Comprends que le chancelier ne peut malheureusement pas te répondre personnellement. Le nombre anormalement élevé de lettres ne permet pas de le faire. Toutefois, tu peux être assurée que le chancelier prend grand soin d’exprimer les opinions et la volonté des personnes qui lui écrivent de cette manière. Toutes les lettres sont évaluées et prises en compte dans la formation de l’opinion politique.
Je te remercie de m’avoir envoyé tes réflexions personnelles. Elles ont été prises en considération.
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 9 juin 2022
(L'épisode 11 de Rappoport Podcasts - "Les fusillades de masse et la connexion aux médicaments psychiatriques; L'implication du programme de contrôle mental MKULTRA de la CIA" - est maintenant publié sur ma sous-pile. C'est un blockbuster. Pour écouter, cliquez ici. Pour en savoir plus sur cet épisode des Podcasts Rappoport, cliquez ici.)
En fait, c'est un point que j'ai déjà soulevé, mais maintenant je le résume à l'essentiel.
Nous y voilà:
Si vous étiez a) honnête et b) à la tête d'une grande agence de santé publique, il y a quelque chose que vous feriez, avant de déclarer COVID une pandémie mondiale nécessitant des mesures extraordinaires (par exemple, des confinements).
Vous feriez une étude.
Une étude pour confirmer qu'un virus nouvellement découvert (SARS-CoV-2) existe vraiment et cause des maladies et des décès à l'échelle mondiale.
Après tout, c'est la revendication. Alors ne voudriez-vous pas prouver que c'est vrai ? Ne vous sentiriez-vous pas obligé de le faire, plutôt que de simplement DIRE que c'est ainsi ?
Cette étude ne se concentrerait pas sur 20, 30 ou 50 patients. Ces chiffres sont bien trop petits. Nous ne parlons pas de l'affirmation d'une épidémie virale mineure. C'est censé être un désastre titanesque.
Vous rassembleriez quelques milliers de personnes, au minimum.
Toutes ces personnes ont été diagnostiquées avec la prétendue infection pandémique.
Vous preniez des échantillons de tissus de ces patients et les analysiez. Vous les testeriez pour la présence du nouveau virus.
Comment ne pourriez-vous PAS ?
—Et pourtant, une telle étude N'A JAMAIS ÉTÉ FAITE.
Essayez de trouver des excuses pour cette omission.
Nous parlons de science à un niveau si basique qu'un enfant le comprendrait. Vous dites que X est à l'origine d'une pandémie mondiale, alors testez la présence de X. Testez-le chez un nombre suffisant de personnes. Immédiatement.
Puisque vous prétendez que plus d'un milliard de personnes pourraient être infectées, vous devriez sûrement tester au moins quelques milliers de personnes, pour vous assurer que vous avez raison.
CELA N'A JAMAIS ÉTÉ FAIT comme une étude complète.
Maintenant, nous pourrions certainement discuter du type de test que vous devriez exécuter pour voir si le virus est présent. Le test est-il précis ? Est-ce fiable ? Est-ce pertinent ? Bien sûr. J'ai couvert ce sujet de manière exhaustive. Mais là, je mets tout ça de côté. Le fait est que vous testeriez le virus.
Même les plus fervents défenseurs les plus enragés de l'existence du SARS-CoV-2 devraient être d'accord, s'ils étaient honnêtes.
Dans d'autres articles, j'ai offert de nombreuses preuves que le SRAS-CoV-2 n'existe pas, mais ici, je ne fais que souligner les points les plus élémentaires : FAITES L'ÉTUDE, FAITES LE TEST.
Alors, qu'est-ce que j'obtiens comme réponses des « défenseurs ? » Ils ignorent complètement la nécessité de l'étude de grande envergure que je demande ; et à la place, ils persistent à proposer de petites études qui se concentrent sur trois patients, 40 patients - comme si cela suffisait pour déclarer une pandémie mondiale et provoquer une destruction massive, par des confinements et d'autres mesures.
Ils continuent à insister sur le fait que ces petites études mineures sont suffisantes. Pourquoi ? Parce que c'est tout ce qu'ils ont. Alors ils prétendent qu'ils font de la bonne science.
Ils ne la sont pas.
Ils font semblant.
Certains d'entre eux savent qu'ils font semblant.
Voici une analogie que tout le monde devrait pouvoir comprendre. Mis à part le mensonge, la tricherie et la fabrication en faisant des études, lorsqu'une entreprise veut obtenir l'approbation de la FDA pour un nouveau médicament ou un nouveau vaccin, combien de personnes inscrivent-elles dans leurs essais cliniques, pour prouver l'innocuité et l'efficacité ?
DES MILLIERS.
Pas trois, ni 50.
Pfizer a recruté 30 000 personnes dans son essai clinique du vaccin ARN COVID.
Pourquoi n'ont-ils pas simplement inscrit 40 ?
Parce qu'ils ne pouvaient pas s'en passer.
Je parle ici de la pratique de recherche standard.
Alors pourquoi la même pratique standard ne s'applique-t-elle pas pour prouver l'existence d'un virus qui est censé causer des maladies et des décès à grande échelle dans le monde ?
Les défenseurs enragés du virus tentent également de faire valoir ce point : puisque des millions et des millions de personnes ont été testées positives pour le SRAS-CoV-2, cela prouve que le virus existe et cause de terribles dégâts.
Selon cette norme, Pfizer aurait été en mesure de commercialiser son vaccin COVID sans aucun essai clinique.
Non. La preuve requise pour une affirmation médicale/scientifique majeure vient LORSQUE L'AFFIRMATION EST D'ABORD FAITE, avant que toutes sortes de mesures brutales ne soient prises sur la base de cette affirmation.
Les défenseurs enragés du virus tordent et déforment la science pour l'adapter à leur programme, puis prétendent BIEN SÛR que tout le monde sait que le virus existe.
Vous achetez ce qu'ils vendent à vos risques et périls. Ils ont leur histoire et ils la racontent encore et encore.
Ils sont nus, marchant sous la pluie, vous lançant des imperméables.
(...) Pfizer a recruté 30 000 personnes dans son essai clinique du vaccin ARN COVID. (...)
Çà, c'est l'excuse. Passons maintenant à la réalité. Combien de personnes ont examiné le 'vaccin' avant de piquer ? Réponse: ZÉRO ! Pourquoi ? Parce qu'elles sont là pour piquer et non pour examiner ! Et tac ! Donc: il a été fait 30 000 piqûres de sérum physiologique (eau saline).
Comme pour le virus qui demeure INVISIBLE depuis plus de 2 ans et contre quoi aurait été produit un 'vacccin' !!
Lufthansa supprime 900 vols cet été, faute de personnel
9 juin 2022, 16:09
Le transporteur allemand a annoncé, jeudi, devoir biffer cet été environ 900 vols, depuis ou à destination de Francfort ou Munich. Comme d’autres compagnies, Lufthansa peine à recruter suffisamment de personnel en vue des mois de juillet et août.
Le géant allemand du transport aérien, Lufthansa, a annoncé jeudi, supprimer quelque 900 vols en juillet, dans un contexte de pénurie de personnel frappant l’ensemble du secteur aérien européen. Saluant le rebond des réservations avec la levée de la plupart des restrictions anti-Covid en Europe, Lufthansa a admis dans un communiqué ne pas être en mesure de faire face à une telle demande.
«L’infrastructure ne s’est pas encore complètement remise de la plus grave crise subie par l’aviation» qu’a constituée la pandémie, explique Lufthansa. Devant des «difficultés financières et une pénurie de personnel», le groupe a décidé d’annuler en juillet 900 vols allemands et européens prévus les vendredi et week-ends au départ et à destination des «hubs» de Francfort et Munich. Cela correspond à 5 % des sièges normalement ouverts à la réservation.
Annulations en Europe
Sa filiale low-cost Eurowings s’est également dite, dans le même communiqué, contrainte de supprimer «plusieurs centaines de vols» en juillet. Lufthansa n’est pas le premier groupe européen à renoncer à des vols, faute de personnel. Également filiale de Lufthansa, Swiss a indiqué mardi devoir procéder à des dizaines d’annulations cet été, ce qui correspond à environ 2 % de ses passagers ayant réservé en juillet et août. Et en mai, la compagnie néerlandaise KLM avait annulé des dizaines de vols.
Pénuries de personnel
«Le défi dans l’immédiat est de gérer la hausse soudaine du trafic, étant donné que la pandémie a eu pour effet d’énormément réduire les ressources des aéroports et de la manutention au sol», reconnaissait début mai, Olivier Jankovec, le directeur général d’ACI Europe, principale association des aéroports européens.
Le personnel manque aussi bien dans les aéroports et le contrôle aérien que dans les compagnies. Mais le secteur peine à réembaucher alors que le marché du travail est «très tendu dans toute l’Europe», d’après Olivier Jankovec. En deux ans de crise sanitaire et de restrictions, Lufthansa a subi des pertes abyssales et supprimé plus de 30’000 emplois.
Arriver en avance
Les personnes ayant déjà réservé des vols seront informées des annulations et leur réservation modifiée, a assuré Lufthansa. Pour éviter l’engorgement des aéroports, la compagnie a recommandé à ses passagers d’arriver en avance, de s’enregistrer en ligne et de réduire à un minimum leur bagage à main. En mai, Lufthansa s’était réjouie de l’augmentation continue des réservations et avait anticipé un «été record» du point de vue touristique.
D'un côté il y a un nombre de pilotes morts en vols et aussi de passagers (mais de ceux-là on en parlera pas) et de l'autre l'obligation de se faire... inoculer !
SAS: les pilotes menacent d’une grève illimitée à partir de fin juin !
Les médias grand public dans le contrôle des dégâts alors que de plus en plus d'Américains tombent malades et meurent après avoir pris des vaccins COVID-19
jeudi 09 juin 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les grands médias américains font des heures supplémentaires pour diffuser des articles affirmant que les vaccins et les rappels contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont efficaces alors que la réalité prouve le contraire.
"La propagande a immédiatement commencé dès que les données ont commencé à montrer que ceux qui ont été injectés plusieurs fois ne s'en sortent pas aussi bien que ceux qui se sont abstenus de se faire vacciner", a écrit Mac Slavo pour SHTF Plan. "Les médias grand public veulent que vous sachiez que ce ne sont pas les injections de rappel qui augmentent le risque de contracter le COVID." (Connexe: Patrick Gunnels dit au Dr Lee Merritt: Les Américains sont les personnes les plus éclairées au monde en matière de vaccins – Brighteon.TV.)
Alexander Tin, écrivant pour CBS News, a tenté d'affirmer que l'augmentation des taux d'hospitalisation et de mortalité dans les hôpitaux américains ne signifie pas que les vaccins de rappel sont inefficaces ou qu'ils augmentent d'une manière ou d'une autre le risque de contracter le COVID-19.
"Les études en cours continuent de fournir des preuves solides de la protection supplémentaire offerte par les injections de rappel contre l'infection, les maladies graves et la mort", a écrit Tin.
Au lieu de cela, ce que CBS News propose comme justification supposée de l'augmentation soudaine des infections, des hospitalisations et des décès liés au COVID-19, c'est que les vaccins ne sont tout simplement pas destinés à prévenir les infections, mais simplement à réduire le risque d'hospitalisation et de décès.
John Moore, professeur de microbiologie et d'immunologie au Weill Cornell Medical College, s'est entretenu avec CBS News et a admis que la variante omicron, que les médias grand public ont alarmée il y a des mois, peut encore percer les protections contre les anticorps censées être fournies par les vaccins COVID-19.
Mais Moore a ajouté que les personnes entièrement vaccinées et boostées qui contractent encore des infections percées ne connaîtront que des infections bénignes. Il a également reproché aux gens de croire qu'ils sont protégés par le vaccin.
"Ainsi, l'une des dynamiques ici est que les gens se sentent, après la vaccination et le rappel, qu'ils sont plus protégés qu'ils ne le sont réellement, donc ils augmentent leurs risques", a-t-il déclaré. "C'est, je pense, le principal moteur de ces statistiques."
Le gouvernement continue de faire pression pour plus de vaccinations
Certaines des données sont trop remarquables, même pour que les médias grand public puissent les nier. Les informations du gouvernement fédéral montrent que les cas de COVID-19 sont à nouveau en hausse, mais cette fois, davantage de ces nouveaux cas proviennent d'Américains vaccinés et boostés.
De plus, les données montrent également que de plus en plus d'individus complètement vaccinés constituent le nombre de personnes qui meurent du COVID-19.
Mais bien que les médias l'aient admis, les responsables de la santé du gouvernement affirment toujours que la meilleure option pour les gens est de se faire vacciner et de se faire vacciner.
"Presque personne dans ce pays ne devrait mourir du COVID" si seulement il se faisait vacciner et prenait ses rappels, a affirmé le Dr Robert Califf, commissaire de la Food and Drug Administration (FDA), lors d'une apparition sur CNN. "Ce dont nous devrions vraiment nous inquiéter, c'est d'obtenir les rappels dont nous avons besoin pour rester à jour, donc avec les nouvelles variantes que nous avons, nous n'avons pas les décès et les hospitalisations inutiles."
Le Dr Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA, a également affirmé qu'une poussée se produisait cet automne et cet hiver et que le seul moyen de l'empêcher était de faire vacciner et stimuler davantage d'Américains contre le COVID-19.
"Il est vraiment important que nous essayions d'obtenir la moitié - ou un peu plus de la moitié - des Américains qui n'ont reçu que deux doses pour obtenir cette troisième dose", a-t-il déclaré lors d'une autre apparition sur CNN. "Cela peut faire une différence pour aller de l'avant ici, et cela peut particulièrement faire une différence maintenant que nous entrons dans une nouvelle vague de COVID-19."
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, parle de l'augmentation soudaine du nombre de personnes complètement vaccinées, mais qui sont soit mourantes, soit mortes.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
More related stories:
Dr. Zelenko shares how the MSM smeared him for revealing the cure to COVID – Brighteon.TV.
It’s Kristallnacht again, as “our free press” ramps up its war on the “unvaccinated.”
New head of left-leaning Toronto Star said last year she opposes COVID vaccine passports in now-deleted tweet.
WSJ misleads public on ivermectin, ignores latest revelations about ‘hidden author’ who undermined its efficacy.
(...) Le Dr Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA, a également affirmé qu'une poussée se produisait cet automne et cet hiver et que le seul moyen de l'empêcher était de faire vacciner et stimuler davantage d'Américains contre le COVID-19. (...)
Cela montre bien la lâcheté, le mensonge, l'escroquerie organisé que de prétendre que 'cet automne et cet hiver' reviendrait une poussière (appelée 'virus') qui ne sera toujours pas dans l'air, sera donc invisible mais mais sera disponible en seringues ! Ouf !
DÉMANTÈLEMENT DE L'AMÉRIQUE : une énorme raffinerie de pétrole du Texas va fermer dans un contexte de prix du gaz record
Jeudi 09 juin 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Une raffinerie de pétrole de plus de 100 ans à Houston est sur le point de fermer, ses propriétaires affirmant que les coûts de mise à niveau sont tout simplement trop élevés.
L'installation, qui est exploitée par LyondellBasell Industries, s'étend sur 700 acres et a été construite en 1918. Elle produit actuellement environ 200 000 barils de carburant par jour et devrait fermer définitivement en 2023 - ou peut-être même plus tôt dans le cas où un "équipement majeur défaillance » s'étend à deux unités principales de l'installation.
Deux personnes familières avec les problèmes de la raffinerie ont déclaré à Reuters que d'importants travaux de rénovation doivent être effectués, mais que les coûts sont très élevés et probablement irréalisables (Connexe : les prix du gaz naturel montent également en flèche).
"Après avoir analysé en profondeur nos options, nous avons déterminé que quitter l'activité de raffinage d'ici la fin de l'année prochaine est la meilleure voie stratégique et financière pour l'entreprise", a déclaré Ken Lane, directeur de LyondellBasell, dans un communiqué.
L'installation fait partie des 25 raffineries ayant la plus grande capacité aux États-Unis, qui souffrent actuellement des prix de l'essence les plus gonflés de l'histoire du pays.
Le régime Biden détruit l'Amérique à une vitesse vertigineuse Depuis le lancement de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), six raffineries aux États-Unis d'une capacité d'environ 801 000 barils par jour (bpj) de pétrole ont fermé boutique. Cinq autres raffineries d'une capacité de 408 100 bpj de pétrole restent inactives - le plus grand nombre de raffineries inactives depuis 2012.
"La pandémie de COVID a vraiment fait baisser la demande d'essence et de diesel, ce qui a accéléré certaines choses qui se produisaient déjà", a déclaré Geoff Moody, vice-président des relations gouvernementales chez American Fuel & Petrochemical Manufacturers, à la Daily Caller News Foundation.
"Il y avait déjà une certaine contraction dans l'industrie en raison des baisses prévues de la demande d'essence aux États-Unis à l'avenir et les entreprises décidaient simplement que les actifs étaient mieux utilisés comme d'autres projets ou fermaient complètement", a-t-il ajouté.
"Certains d'entre eux ont été très axés sur les politiques et les entreprises ont décidé que cela ne valait pas la peine de continuer à exploiter ces actifs."
Avec des prix de l'essence et du diesel déjà à des niveaux record, la fermeture continue des raffineries aura un impact absolument dévastateur sur l'économie nationale. L'approvisionnement en diesel a également atteint des niveaux historiquement bas sur la côte Est, le diesel étant le carburant nécessaire aux camions pour transporter les marchandises.
Le régime Biden est introuvable, comme d'habitude, et aggrave en fait le problème en poussant l'énergie "verte" des déchets et en envoyant des milliards à l'étranger vers l'Ukraine.
Les détenus dirigent l'asile, en d'autres termes - s'il y a même quelqu'un à la barre. L'Amérique est sur ses dernières jambes, et la fermeture de la raffinerie de Houston n'est que le prochain domino à tomber.
"Ces 40 milliards de dollars que Josef Biden a donnés à l'Ukraine auraient dû être utilisés pour moderniser ou reconstruire cette installation", a écrit quelqu'un de WND.
«L'administrateur Biden. déteste les Américains, déteste l'Amérique et déteste les succès énergétiques », a ajouté un autre. "L'énergie" verte "est un mensonge, incapable d'avoir une grande influence sur les besoins énergétiques des États-Unis, et les éoliennes et les énergies solaires sont toutes construites ou composées de" minéraux de terres rares "chinois et africains, souvent fournis par le travail des enfants esclaves."
Quelqu'un d'autre a écrit que «l'épine dorsale de l'Amérique» est le transport qui repose sur l'essence et le diesel. Ce dont ce pays a besoin plus que tout pour maintenir son économie et tout semblant de prospérité, c'est plus de raffineries de pétrole, pas moins.
"Nous devons nous débarrasser de Washington, D.C., qui ne représente PAS les besoins de ses électeurs et ne comprend apparemment pas l'économie ou "l'offre et la demande"", a déclaré quelqu'un d'autre.
D'autres informations sur le démantèlement technique de l'infrastructure énergétique américaine sont disponibles sur Collapse.news.
Kim Dotcom décompose la véritable échelle de la dette publique américaine
Par Alexandra Bruce La télé du savoir interdit 9 juin 2022
Le PDG de la technologie néo-zélandaise, Kim Dotcom, a fait le calcul sur la dette souveraine des États-Unis et il a tweeté un fil à ce sujet, disant que c'est peut-être le fil le plus important qu'il puisse jamais faire.
Kim explique que les dépenses et la dette américaines sont devenues incontrôlables et que le gouvernement ne peut lever l'argent dont il a besoin qu'en en imprimant davantage, ce qui signifie que l'hyperinflation est garantie.
Il dit que cela dure depuis des décennies et qu'il n'y a aucun moyen d'y remédier et que les États-Unis s'en sont tirés si longtemps, car le dollar américain est la monnaie de réserve mondiale. Lorsque le gouvernement américain imprime des milliards de dollars, il vole ainsi les Américains et le monde entier dans ce qu'il appelle le plus grand vol de l'histoire.
Il dit que la dette américaine totale s'élève à 90 000 milliards de dollars, ce qui, avec 169 000 milliards de dollars de passifs non financés, totalise 259 000 milliards de dollars, soit 778 000 dollars par citoyen américain ou 2 067 000 dollars par contribuable américain.
Maintenant, la valeur de tous les actifs américains combinés : chaque terrain, l'immobilier, toutes les économies, toutes les entreprises, tout ce que tous les citoyens, entreprises, entités et l'État possèdent vaut 193 000 milliards de dollars.
Notre dette totale, 259 000 milliards de dollars moins notre valeur nette totale, 193 000 milliards de dollars, équivaut à moins 66 000 milliards de dollars de dette et de passif après la vente de tous les actifs aux États-Unis.
Ainsi, même si les États-Unis pouvaient vendre tous leurs actifs à leur valeur actuelle, ce qui est impossible, ils seraient toujours fauchés.
C'est là qu'intervient la « grande réinitialisation » et il demande : « Est-ce une démolition contrôlée des marchés mondiaux, des économies et du monde tel que nous le connaissons ? Un passage à un nouvel avenir dystopique où les élites sont les maîtres des esclaves sans les cosmétiques de la démocratie ? »
Il note à quel point le monde a tellement changé ces dernières années et que plus rien ne semble avoir de sens. Il voit la corruption flagrante et les médias de propagande évidents et l'érosion de nos droits, mais il ne sait pas où tout cela va et il termine le fil en demandant: "Quelle est la fin du jeu?"
Comme le dit Harrison Smith de l'American Journal, "C'est un système pyramidal. Les gens qui commettent le système pyramidal sont en charge de tout… ils vont sacrifier l'humanité pour maintenir leur système…
"L'économie mondiale est en train de s'effondrer, le système d'approvisionnement alimentaire est détruit, l'énergie sur laquelle nous comptons pour maintenir la civilisation est réduite et éliminée et nous serons contraints à la Grande Réinitialisation où nous ne posséderons rien."
L'ancien stockpicker de BlackRock, Ed Dowd, estime que toute l'imposture du COVID a été créée pour couvrir l'effondrement financier et que de nouveaux blocages arrivent, pour tenter d'atténuer la violence et le chaos inévitables auxquels nous pouvons nous attendre à assister dans les rues.
Nous avons également vu comment le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, estime également que COVID et le coup de grâce sont un canular élaboré pour provoquer un effondrement des monnaies souveraines afin d'entraîner la grande réinitialisation et l'introduction de monnaies numériques programmables de la banque centrale (CBDC), pour une population entièrement contrôlée, dans laquelle les gens ne pourront pas acheter de nourriture, etc. à moins que les algorithmes ne le permettent et les indésirables peuvent fondamentalement mourir de faim via l'intelligence artificielle.
Kim Dotcom 5 juin 2022 Discussion
C'est peut-être le fil le plus important que j'aie jamais créé. Une vue d'ensemble sur l'effondrement mondial majeur qui s'annonce.
Je vais essayer de vous aider à comprendre pourquoi l'avenir n'est pas ce que nous espérons. C'est pire que ce que la plupart peuvent imaginer.
Nos dirigeants le savent. Mais que prévoient-ils ?
Les États-Unis n'ont pas eu d'excédent ni de budget équilibré depuis 2001. Au cours des 50 dernières années, les États-Unis n'ont eu que 4 années de profit. En fait, tous les bénéfices des États-Unis ne suffiraient pas à payer 6 mois du déficit annuel actuel. Alors, comment les États-Unis ont-ils payé les choses ?
Les dépenses et la dette des États-Unis sont devenues incontrôlables et le gouvernement ne peut lever l'argent dont il a besoin qu'en l'imprimant. Cela provoque l'inflation. C'est comme vous imposer davantage parce que vous payez plus pour les choses dont vous avez besoin et que tous vos actifs perdent de la valeur.
Voyez la frénésie de l'impression monétaire aux États-Unis :
La raison pour laquelle les États-Unis s'en sont tirés si longtemps est que l'USD est la monnaie de réserve mondiale. Les nations du monde entier détiennent l'USD comme un actif sûr. Ainsi, lorsque le gouvernement américain imprime des billions, il vole les Américains et le monde entier. Le plus grand vol de l'histoire.
Le problème est que cela dure depuis des décennies et qu'il n'y a maintenant aucun moyen de le réparer. La réalité est que les États-Unis sont en faillite depuis un certain temps et ce qui s'en vient est un cauchemar : la pauvreté de masse et un nouveau système de contrôle. Laissez-moi vous expliquer pourquoi ce n'est pas seulement un discours pessimiste.
La dette totale des États-Unis s'élève à 90 000 milliards de dollars. Les passifs non financés des États-Unis s'élèvent à 169 000 milliards de dollars. Ensemble, cela représente 778 000 $ par citoyen américain ou 2 067 000 $ par contribuable américain 
N'oubliez pas que la seule façon dont le gouvernement américain peut fonctionner maintenant est d'imprimer plus d'argent. Ce qui signifie que l'hyperinflation est inévitable.
La valeur totale de TOUTES les sociétés cotées sur le marché boursier américain est de 53 000 milliards de dollars. La valeur réelle est beaucoup plus faible parce que les États-Unis ont imprimé des billions pour fournir des prêts sans intérêt aux banques d'investissement afin de gonfler le marché boursier. C'est une arnaque.
La majeure partie des 53 billions de dollars est aérienne.
La valeur de tous les actifs américains combinés, de chaque terrain, de l'immobilier, de toutes les économies, de toutes les entreprises, de tout ce que tous les citoyens, entreprises, entités et l'État possèdent vaut 193 000 milliards de dollars.
Ce nombre est également plein d'air, tout comme le marché boursier américain.
Dette totale des États-Unis 90 billions de dollars ---- (mille (x 1000 =) million, (x 1000 =) milliard, (x 1000 =) billion, (x 1000 =) billiard, (x 1000 =) trillion, etc)
Passifs non financés aux États-Unis 169 billions de dollars
Total 259 billions de dollars
Moins tous les actifs américains 193 billions de dollars
Solde – 66 000 milliards de dollars
Cela représente 66 billions de dollars de dettes et de passifs après la vente de tous les actifs aux États-Unis.
Do you understand ?
Ainsi, même si les États-Unis pouvaient vendre tous leurs actifs à leur valeur actuelle, ce qui est impossible, ils seraient toujours fauchés.
Les États-Unis sont au-delà de la faillite. Ce patient est déjà mort. Ce patient est maintenant un zombie.
Vous vous demandez probablement pourquoi les choses continuent ? Pourquoi tout ne s'est-il pas encore effondré.
Tout est perception, déni et dépendance.
La perception est que les États-Unis ont la plus grande économie et l'armée la plus puissante du monde. Mais en réalité, les États-Unis sont fauchés et ne peuvent pas se permettre leur armée.
Le déni est que toutes les nations dépendent d'un dollar fort ou que les marchés mondiaux s'effondrent.
La raison pour laquelle le zombie américain continue d'exister est que la fin des États-Unis est la fin de la prospérité occidentale et un aveu que le système actuel a échoué en tant que modèle pour le monde. Cela ne change rien à la réalité. L'effondrement est inévitable et à venir.
Que prévoient nos dirigeants ?
Vous avez peut-être entendu parler de la « grande réinitialisation » ou du « nouvel ordre mondial ». Est-ce une démolition contrôlée des marchés mondiaux, des économies et du monde tel que nous le connaissons ?
Un passage à un nouvel avenir dystopique où les élites sont les maîtres des esclaves sans les cosmétiques de la démocratie ?
Sans une démolition contrôlée, le monde s'effondrera pour tous, y compris les élites. Le monde a tellement changé et plus rien ne semble avoir de sens, la corruption flagrante est au grand jour, les médias de propagande évidents, l'érosion de nos droits.
😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
La crise de la pénurie alimentaire due aux fermetures pandémiques et à la guerre économique peut s'avérer mortelle pour beaucoup
Jeudi 09 juin 2022 par : Belle Carter
(Natural News) Une figure de proue de la santé mondiale avec une carrière bancaire distinguée a révélé que la pénurie alimentaire et la flambée des prix des aliments et de l'énergie pourraient tuer des millions de personnes à la fois directement et indirectement.
Peter Sands, directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, une organisation internationale de financement et de partenariat, a déclaré à Reuters dans une interview le 7 juin que les pénuries alimentaires croissantes provoquées par le conflit russo-ukrainien pourraient représenter la même menace pour la santé. au monde comme la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).
« Les pénuries alimentaires fonctionnent de deux manières. La première est que vous avez la tragédie de personnes qui meurent de faim. Mais deuxièmement, il y a le fait qu'un nombre souvent beaucoup plus élevé de personnes sont mal nourries, ce qui les rend plus vulnérables aux maladies existantes », a déclaré Sands.
En outre, Sands a déclaré que des investissements étaient nécessaires pour renforcer les systèmes de santé afin de se préparer aux conséquences de la crise alimentaire, qui fait partie du mandat du Fonds mondial.
L'organisation basée à Genève vise à lever 18 milliards de dollars pour stimuler les systèmes de santé, lutter contre les trois principales maladies de son titre et inverser les revers causés par la pandémie. Ils ont relevé un tiers de leur objectif pour l'année 2024 à 2026.
Sands a déclaré que les efforts déployés par les «experts mondiaux» pour améliorer la préparation à la pandémie ne devraient pas inclure l'erreur «classique» de ne se préoccuper que des crises qui ressemblent à la dernière catastrophe mondiale.
«Ce n'est pas aussi bien défini qu'un tout nouveau pathogène apparaissant avec de nouveaux symptômes distinctifs. Mais cela pourrait bien être tout aussi meurtrier », a déclaré Sands.
L'Organisation mondiale de la santé estime qu'environ 15 millions de personnes pourraient être mortes du coronavirus ou de son impact sur des systèmes de santé débordés au cours des deux dernières années. La plupart des décès se sont produits en Asie du Sud-Est, en Europe et dans les Amériques.
ONU : Nous prendrons de la nourriture aux affamés pour nourrir les affamés Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies (ONU) a trouvé une solution pour faire face à la famine mondiale qui se profile.
David Beasley, le directeur exécutif du PAM, a déclaré : « Juste au moment où vous pensez que la crise alimentaire mondiale ne pouvait pas s'aggraver il y a plus d'un an, vous aviez l'Éthiopie et l'Afghanistan, puis le grenier du monde [l'Ukraine] – vient d'avoir les plus longues files d'attente du monde - et donc maintenant à cause de cette crise, nous prenons de la nourriture aux affamés pour la donner à d'autres 'affamés'," a déclaré Beasley au public.
Les agences d'aide qui travaillent dans les pays ayant les besoins les plus urgents, notamment le Yémen, l'Afghanistan, le Soudan du Sud et l'Éthiopie, ont des difficultés à faire fonctionner le financement.
En mars, le PAM avait déjà réduit les rations pour huit millions de personnes au Yémen, mais le nombre de ceux qui en ont le plus désespérément besoin continue d'augmenter. De plus, en Afghanistan, l'organisation de lutte contre la faim manque de 525 millions de dollars par rapport au financement dont elle a besoin de toute urgence pour les six prochains mois. En Éthiopie, il manque plus de 300 millions de dollars au fonds cible de 957 millions de dollars. Les communautés du Soudan du Sud ont eu recours au pillage des fournitures d'aide et aux attaques des travailleurs humanitaires car elles ont encore besoin de 529 millions de dollars.
Au Sri Lanka, des protestations ont déjà éclaté contre les pénuries de nourriture et de carburant et le comté a déjà déclaré faillite. Un chaos similaire qui met en danger l'ordre social et économique est également observé en Indonésie, au Pérou et au Pakistan.
Beasley a averti que ce n'est "qu'un signe des choses à venir". (En relation: L'effondrement mondial des récoltes est désormais une certitude… une famine généralisée qui affligera la planète Terre de 2022 à 2024… elle est déclenchée et ne peut être arrêtée.)
Il a également déclaré qu'il y avait environ 49 millions de personnes dans 43 autres pays dont le monde devait être extrêmement préoccupé en raison de l'émergence de la famine, de la déstabilisation et de la migration de masse.
En avril, la Fondation Rockefeller a averti qu'une crise alimentaire massive et immédiate surgirait dans les pays les plus pauvres après l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Les États-Unis devraient diriger les efforts pour "financer entièrement" le PAM et pré-positionner des approvisionnements alimentaires d'urgence dans les pays qui devraient faire face à des pénuries alimentaires au cours des six prochains mois, a déclaré le président de la fondation, Rajiv Shah, dans une interview à Bloomberg TV.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle des pénuries alimentaires dans six mois.
Cette vidéo provient de la chaîne Wardo Rants sur Brighteon.com.
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Worldwide famine looms as Russia-Ukraine conflict drags on.
The global UPRISING begins: Fiat currencies melt down while food and fuel inflation unleashes SUDDEN POVERTY for billions (who will soon face worldwide FAMINE.)
In new video, Mike Adams and Steve Quayle warn about the “planned” and “orchestrated” extermination of the human race.
Désormais, le mot réfugié climatique sera remplacé par réfugié de la famine ! afin de justifier la venue à pieds de milliers de personnes sur des milliers de kilomètres sans boire ni manger ! HAHAHAHAHAHA !
L'approvisionnement alimentaire mondial diminue alors qu'une «tempête parfaite» de problèmes frappe de toutes parts
jeudi 09 juin 2022 par : Roy Green
(Nouvelles naturelles) Comment les temps ont changé. Les États-Unis, connus pour être le pays de l'abondance, le leader mondial éternel de l'exportation de produits alimentaires, ressentent maintenant le pincement des rendements agricoles réduits, la faim constituant une menace légitime pour une énorme partie de la population.
Une congruence de facteurs atténuants assimilée à une «tempête parfaite» a réduit la production alimentaire, affecté la stabilité du secteur agricole et ébranlé l'économie dans son ensemble. (Connexe: Des millions de personnes sont confrontées à une famine sévère alors que la guerre, la sécheresse et les mauvaises politiques gouvernementales exacerbent les pénuries alimentaires mondiales.)
La sécheresse prolongée, l'hiver rigoureux dans certaines régions, la flambée des prix des engrais et du pétrole, les perturbations de la chaîne d'approvisionnement, la pandémie de grippe aviaire, le verdissement des agrumes, les mauvaises politiques gouvernementales, la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) et l'invasion russe de l'Ukraine ont tous contribué à la diminution de l'approvisionnement alimentaire qui approche maintenant d'un niveau critique, une situation inédite dans cette destination de rêve auparavant.
Et sans solution immédiate, la pénurie alimentaire ne pourrait que s'aggraver dans les mois à venir.
Pour citer quelques cas, la production de viande bovine devrait baisser de 7 % l'année prochaine. En effet, la pire sécheresse depuis au moins 1 200 ans ravage les régions occidentales du pays, réduisant les zones de pâturage et obligeant les éleveurs à réduire la taille de leurs troupeaux en raison des coûts élevés des aliments complémentaires.
En conséquence, les prix des bovins devraient également atteindre de nouveaux sommets en raison de la hausse des coûts de production. Bien sûr, les emballeurs de viande comme Tyson Foods Inc., JBS USA Holdings Inc., Cargill Inc. et National Beef Packing Co. seront touchés, bien qu'il soit fort probable qu'ils ne feront que répercuter les coûts supplémentaires sur les consommateurs.
Les prix du bœuf haché et du poulet ont également grimpé au-delà des niveaux précédents. Avec de vastes terres desséchées rendues stériles, la récolte de blé d'hiver s'est avérée inférieure de huit pour cent à celle de l'année dernière. Le département américain de l'Agriculture, dans son rapport sur la production agricole du 12 mai, prévoit que la production de blé d'hiver de cette année sera de 1,173 milliard de boisseaux, soit huit pour cent de moins que les 1,22 milliard de boisseaux de l'année dernière.
Il n'y a pas de surprise là-bas car la superficie totale cultivée consacrée au blé est tombée à 24,5 millions d'acres, en baisse de 965 000 acres par rapport à l'année dernière. Le rendement moyen est tombé à 47,9 boisseaux par acre, ce qui est inférieur aux 50,2 boisseaux par acre enregistrés en 2021.
Les conditions météorologiques humides anormales dans le Midwest ont également affecté les cultures, car les semis de printemps ont été retardés et ne se sont jamais complètement rétablis.
Dans son dernier rapport sur l'état d'avancement des cultures, le ministère de l'Agriculture a déterminé que seulement « 49 % de la superficie de maïs et 30 % de la superficie de soja ont été plantés dans les 18 États étudiés, une forte baisse par rapport aux 78 % et 58 % de superficie affichés l'année dernière, respectivement."
Pendant ce temps, plus de 37 millions de poulets et de dindes ont été anéantis ou abattus dans le pays en raison de la pandémie de grippe aviaire qui a frappé l'année dernière.
Avec le troupeau réduit, la production d'œufs a également diminué et, naturellement, les prix augmentent. Selon les rapports, une douzaine de gros œufs bruns de qualité A de Happy Egg sont maintenant vendus pour 4,99 $. Mais en raison de l'offre limitée, les consommateurs sont obligés d'acheter les œufs malgré les prix gonflés.
Le verdissement des agrumes dévaste les bosquets de Floride Une autre maladie des plantes paralysante fait rage dans les bosquets de Floride. Le verdissement des agrumes, ou maladie du dragon jaune, a dévasté des millions d'acres, les arbres infectés produisant des fruits verts, difformes ou amers. Jusqu'à présent, cela a abouti à la pire récolte d'agrumes de Floride en 70 ans. De plus, s'il n'est pas traité, il tuera l'oranger en quelques années.
Pas étonnant, l'administration Biden s'inquiète.
Les récoltes alimentaires de cette année seront certainement moins importantes que prévu et entraîneront des prix plus élevés.
Avec la production et la distribution mondiales affectées par la guerre russo-ukrainienne, les États-Unis auraient du mal à stocker suffisamment de nourriture pour leurs citoyens. En effet, l'offre mondiale est également limitée, entravée par les mêmes facteurs qui ont fait chuter la production agricole des États-Unis.
Selon Sara Menker, PDG de Gro Intelligence, les approvisionnements alimentaires mondiaux diminuent rapidement. "Nous n'avons actuellement que 10 semaines de consommation mondiale en stock dans le monde", a déclaré Menker. "Les conditions aujourd'hui sont pires que celles connues en 2007 et 2008."
Pendant ces périodes, les prix du riz ont augmenté de 224 % ; les prix du blé ont augmenté de 108 % ; et le maïs a augmenté de 89 %. Ces flambées de prix ont contribué à l'insécurité alimentaire dans le monde entier ; conduit à des troubles civils dans plusieurs pays; et généré des appels à l'aide alimentaire de la part de 36 pays.
Bien que les flambées des prix ne soient pas encore à ces niveaux, il vaut mieux agir maintenant car les agences gouvernementales estiment que « les stocks actuels de blé tournent autour de 33 % de la consommation annuelle ».
Cependant, sur la base de modèles créés par Gro Intelligence, le chiffre réel est plutôt de 20 %. "Il est important de noter que les niveaux de stocks de céréales les plus bas que le monde ait jamais connus se produisent maintenant alors que l'accès aux engrais est très limité", a ajouté Menker.
Si la situation ne s'améliore pas, les experts estiment qu'un cinquième de la population mondiale, soit jusqu'à 1,7 milliard de personnes, pourraient bientôt connaître la pauvreté et la faim si le conflit russo-ukrainien se poursuit. En effet, l'Ukraine et la Russie représentent plus d'un quart des exportations mondiales de blé, et la Russie est le deuxième exportateur mondial de pétrole après l'Arabie saoudite.
C'est pourquoi la demande dans les banques alimentaires du monde entier est en hausse. Le Global Food Banking Network, qui compte des banques alimentaires membres dans 44 pays, signale que la hausse des prix des denrées alimentaires contribue à une augmentation de la demande d'aide alimentaire d'urgence.
Et ces situations persisteront jusqu'à ce que les conditions météorologiques bizarres se normalisent, que la confrontation russo-ukrainienne soit résolue, que la chaîne d'approvisionnement et la distribution des produits se régularisent et que les épidémies de nouvelles maladies soient évitées.
Visitez FoodCollapse.com pour plus de nouvelles connexes.
Regardez cette vidéo alors que John Kerry avertit que l'effondrement de l'approvisionnement alimentaire tuera cent millions de personnes.
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The food supply is collapsing, and chemical companies are partly to blame.
Remarquez que tout-à-coup toute la merde tombe d'un seul coup ! C'est le pétrole, le blé, l'engrais, l'huile de tournesol, demain sera le jus d'orange, le poivre et pourquoi pas de grand retour du pq !
Comment créer la famine faute de perturbations météorologiques ? Il suffit d'augmenter le prix des engrais, le prix des semences, des plastiques de serres, etc, etc ! De cette façon les paysans n'auront jamais les moyens de semer, d'amender et de remplir le réservoir du tracteur !
Donc, la famine est FABRIQUÉE PAR LE GOUVERNEMENT DE MERDE EN PLACE !
La pollution plastique mondiale devrait tripler d'ici 2060
Jeudi 09 juin 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) La quantité de déchets plastiques dans le monde devrait presque tripler au cours des quatre prochaines décennies si des mesures radicales ne sont pas prises pour contrôler le niveau de pollution.
C'est l'avertissement lancé par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un nouveau rapport publié vendredi 3 juin.
Selon le rapport intitulé "Global Plastics Outlook: Policy Scenarios to 2060", près des deux tiers des déchets plastiques qui pollueront l'environnement d'ici 2060 proviendront de produits à usage unique et à courte durée de vie tels que des jouets bon marché, des biens de consommation , articles ménagers, emballages et textiles.
Le rapport a établi des projections de la production et de la consommation futures de plastique en plus d'une série de scénarios politiques qui, s'ils étaient légiférés, pourraient réduire considérablement l'ampleur de la crise que l'humanité a provoquée avec sa dépendance excessive aux plastiques bon marché. (Connexe: RAPPORT: Réduire la pollution plastique mondiale nécessiterait d'arrêter la production de plastique, d'améliorer la gestion des déchets, de participer aux nettoyages)
« Si nous voulons un monde sans pollution plastique, conformément aux ambitions de l'Assemblée des Nations Unies pour l'environnement, nous devrons prendre des mesures beaucoup plus strictes et coordonnées à l'échelle mondiale. Ce rapport propose des politiques concrètes qui peuvent être mises en œuvre tout au long du cycle de vie des plastiques et qui pourraient réduire considérablement – voire éliminer – les fuites de plastique dans l'environnement », a déclaré le Secrétaire général de l'OCDE, Mathias Cormann.
Sur la base de l'annonce de l'OCDE, le rapport prévoit que la consommation mondiale de plastiques passera de 460 millions de tonnes en 2019 à 1 231 millions de tonnes en 2060, une augmentation plus rapide que la plupart des matières premières. Le rapport sera accessible en version préliminaire avant sa publication complète plus tard cette année.
« La croissance sera la plus rapide dans les pays en développement et émergents d'Afrique et d'Asie, bien que les pays de l'OCDE devraient toujours produire beaucoup plus de déchets plastiques par personne (238 kilogrammes) en 2060 que les pays non membres de l'OCDE (77 kilogrammes).
À l'échelle mondiale, les fuites de plastique dans l'environnement devraient doubler pour atteindre 44 millions de tonnes par an, tandis que l'accumulation de plastique dans les lacs, les rivières et les océans va plus que tripler à mesure que les déchets plastiques passeront de 353 millions de tonnes en 2019 à 1 014 millions de tonnes en 2060.
"La plupart de la pollution provient de débris plus gros connus sous le nom de macroplastiques, mais la fuite de microplastiques (polymères synthétiques de moins de cinq millimètres de diamètre) provenant d'articles tels que les granulés de plastique industriels, les textiles et l'usure des pneus est également une grave préoccupation", ajoute le rapport de l'OCDE.
Les déchets plastiques recyclés augmenteront de 17 % en 2060
Le rapport prévoit que la quantité de déchets plastiques recyclés passera de 9 % en 2019 à 17 % en 2060, et que la part de plastique qui se retrouve dans des décharges sauvages, brûlée dans des fosses à ciel ouvert ou s'écoule dans le sol ou dans des plans d'eau plutôt que d'entrer. un système de gestion des déchets passera de 22 % à 15 % en 2060.
Selon le rapport, environ 20 % des déchets plastiques continueront d'être incinérés.
Environ 8,3 milliards de tonnes de plastique depuis les années 1950 ont été fabriquées, dont plus de 60 % ont été jetées dans des décharges, brûlées ou déversées directement dans les rivières et les océans.
Quelque 460 millions de tonnes de plastiques ont été utilisées en 2019, soit deux fois plus que deux décennies plus tôt. La quantité de déchets plastiques a presque doublé, dépassant les 350 millions de tonnes, dont moins de 10 % sont recyclés.
Selon les tendances actuelles, l'utilisation des plastiques devrait presque doubler en Amérique du Nord, en Europe et en Asie de l'Est. Il devrait être multiplié par trois à cinq dans les autres pays émergents et en développement et plus que sextuplé en Afrique subsaharienne.
Le rapport contredit un cours commun avec les avantages de politiques mondiales plus prometteuses de réduction de l'utilisation du plastique et de la pollution.
Poussée par la croissance économique et la croissance démographique, l'OCDE a averti que la production de plastique continuera d'augmenter.
Suivez Pollution.news pour plus d'informations sur la pollution plastique.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la manière de faire face à la crise mondiale du plastique.
Cette vidéo provient de la chaîne de podcast Finding Genius sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Les humains libèrent plus de pollution chimique et plastique dans l'environnement que la Terre ne peut en supporter, avertissent les chercheurs.
Les experts avertissent que la quantité de pollution plastique dans nos océans va tripler en seulement 7 ans.
La pollution plastique menace l'approvisionnement alimentaire des océans du monde.
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Humans are releasing more chemical and plastic pollution into the environment than Earth can handle, warn researchers.
Experts warn that the amount of plastic pollution in our oceans will triple in just 7 years.
Plastic pollution threatens the food supply from the world’s oceans.
Mais d'où proviennent ces plastiques (qui s'amassent en Pacifique Nord) dont l'origine est parfaitement identifiable (grâce aux codes barres) ? Ils n'arrive ni des USA ni d'Europe. Çà alors !! Mais alors d'où arrivent-ils ?? Devinez ! Mais chez qui ont va supprimer le plastique ? Aux USA et en Europe !
Notons qu'en réalité des plastiques: on en a RIEN A FOUTRE ! parce que 1) ils se désagrègent en quelques mois ou années et, 2) les poissons peuvent en bouffer s'ils veulent: ils n'en crèvent pas ! Donc, il ne s'agit PAS de pollution ni marine ni terrestre puisque les plastiques (pétrole) brûlent facilement et hop !
Avec l’essor des prix du charbon et du pétrole depuis 2 ans, vous pourriez vous attendre à un retour rapide de la production. Mais cela n’a pas encore eu lieu, et cela maintient en hausse les prix.
le 10 juin 2022 Henry Bonner
Les prix élevés pour les métaux ?
Un analyste de l’Agence internationale de l’énergie, cité par l’AFP, donne la solution : « investir dans des nouveaux projets miniers. »
Mais où ? Avec quel argent ?
Cela ne risque-t-il pas de vous mettre à dos les écolos ?
Qui a envie d’investir ?
Les métaux ont chuté à travers le plancher en début de 2020, en raison de la fermeture des usines. Si des restrictions bloquent à nouveau les économies, les sociétés vont à nouveau essuyer des pertes.
L’opérateur d’une mine existante n’a pas le choix. Il continuera à extraire de la roche.
Mais si vous investissez dans la construction d’une mine ?
Vos actionnaires vous forceront peut-être à jeter l’éponge.
En principe, des hausses de prix incitent à la production, mais cela prend du temps. Une période de rechute des prix remettra cela en cause.
En 2021, les carburants ont démarré leur hausse, mais les États-Unis ont quand même perdu des capacités de raffinage.
Mon associé Dan Denning écrit :
Il existe un manque structurel de capacités de raffinage aux États-Unis. La capacité totale de raffinage a même baissé de 5,4 %, soit environ un million de barils par jour (pour atteindre 17,9 millions de barils par jour) depuis [le début des confinements en 2020.] En 2021, cinq raffineries de pétrole ont mis fin aux opérations.
Les retombées des fermetures d’usines et de la volatilité des prix vont durer plus longtemps… et avoir plus d’impacts… que ne le croient les gens.
Profits records – signes de dislocation Certains font des bénéfices records.
Comme Peabody Coal, le groupe de charbon qui était proche de la mort en 2020, ayant perdu 95 % sur le marché depuis 2017. Avec l’essor du charbon, l’action a pris 2,128 % en 18 mois.
Cependant, ces bénéfices existent pour une raison : d’autres producteurs ont succombé à la vague !
Vous le noterez sur le graphique suivant de l’Agence internationale de l’énergie (source : IEA, Global coal production, 2018-2021, IEA, Paris). Il montre la production de charbon par an.
Pétrole charbon
La production de charbon reste sous le niveau de 2019 depuis 2 ans, en dépit d’une hausse de prix de 7 fois pour ce carburant, et d’un usage record comme source d’énergie en 2021 !
Même type de schéma dans le pétrole. Le prix affiche le niveau le plus élevé depuis 2014.
En dépit de cela, la production américaine n’a toujours pas récupéré de ses déboires dus au virus (voir graphique ci-dessous de l’Administration américaine sur l’énergie).
Vous voyez : une chute soudaine en 2020… puis une remontée progressive depuis lors.
Les producteurs n’ont pas perdu leurs équipements. Les champs de pétrole n’ont pas disparu. Mais la mise à l’arrêt a infligé des pertes au secteur.
Début 2021, le New York Times rapportait, qu’en 2020 « Exxon Mobil, BP et les autres grandes sociétés de pétrole ont collectivement perdu des dizaines de milliards de dollars. »
L’incertitude et la possibilité d’imprévus menacent le retour de la production et maintiennent à la hausse le prix du baril.
Nuisances de parcours
Certaines des interventions sur l’économie vont nuire, sans causer de désastre.
Thierry Breton nous apprend par exemple que la nouvelle imposition du modèle de chargeur C pour tous les appareils d’électronique « est du bon sens » et « une étape importante pour rendre les choses plus pratiques et réduire les déchets. »
Il me semble que Breton n’a jamais fait partie d’une entreprise légitime.
Sa carrière consiste en un cursus d’études puis des postes au sein de sociétés proches du gouvernement ou sous son contrôle. Puis il est passé de ministre français à commissaire européen. Belle carrière, n’est-ce pas ? Mais cela ne lui donne pas la moindre expertise en électronique.
Apple, qui en sait peut-être un peu plus, a averti que cela va nuire à l’innovation. De toute manière, les dirigeants ont un rôle – et un seul : réduire les libertés des personnes sous leur emprise.
Parfois, leurs aventures tournent au désastre.
Naviguer en mer inconnue
Les infos nous rappellent aujourd’hui les premiers voyages de colons au Nouveau-Monde, les exilés religieux qui ont débarqué du navire Mayflower en 1621 (voici 401 ans), au Massachusetts.
Première expédition du genre. Le bilan : la moitié sont morts durant les quelques premiers mois par manque de vivres à bord, et le froid de l’hiver.
En l’honneur des 400 ans de l’événement, une intelligence artificielle – construite par IBM – a fait la traversée de l’Atlantique sans aucun pilote humain. C’était un coup de pub.
Mais les dirigeants sont en train d’embarquer des centaines de millions d’individus vers une terre inconnue, sans l’ombre d’une hésitation.
Ils jouent avec l’accès aux énergies, et avec la valeur de la monnaie – qu’ils vont produire en masse pour régler les factures. Les dirigeants croient qu’ils peuvent décider du genre du chargeur que vous utilisez… pourquoi pas de la quantité d’énergie que vous consommez ? Et du genre d’usage que vous en faites ?
« C’est du bon sens » diront-ils, à chacune des directives. Comme le dit celui qui vient de sauter sans parachute, « tout va bien pour l’instant ! »
Les quelques données macro-économiques ci-après permettront d’apprécier globalement l’évolution de l’économie de la Russie depuis la chute de l’URSS.
le 10 juin 2022 Patrick Aulnas
La Russie est aujourd’hui à la peine, comme l’ancienne URSS.
Le 28 mai 1957, Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste soviétique, déclarait à la télévision américaine :
« Ce qui me plait d’ores et déjà, c’est que nous avons à présent la possibilité de nous comparer avec vous et pourtant les États-Unis sont un pays très riche. »
Les dirigeants russes avaient une hantise : rattraper économiquement les États-Unis. Cela ne s’est jamais produit.
En 1991, à la chute de l’URSS, le PIB russe par habitant était de 7400 dollars par an et celui des États-Unis de 38 700 dollars. L’écart ne s’est pas réduit depuis cette date. Pourquoi ? Tout simplement parce que jamais une dictature n’a pu supplanter économiquement une démocratie. La liberté est une condition de la croissance. Tôt ou tard, la Chine se heurtera aussi à cette problématique.
Les quelques données macro-économiques ci-après permettront d’apprécier globalement l’évolution de l’économie russe depuis la chute de l’URSS
Une relative stagnation de la richesse par habitant Les chiffres sont donnés en dollars constants de 2015 afin d’éliminer l’incidence de l’inflation.
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1989-2020 (données Banque mondiale)
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Évolution du PIB par habitant en dollars
Russie États-Unis France 1989 8100 39 000 28 000 2020 9700 58 200 35 800 Croissance annuelle moyenne sur 32 ans 0,56 % 1,26 % 0,77 %
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L’écart a donc continué à se creuser entre la richesse individuelle moyenne des russes et celle des occidentaux.
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Une baisse de la population
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1961-2020 (données Banque mondiale)
Tous les pays se développant économiquement connaissent une chute du taux de croissance démographique. Sur la période étudiée, ce taux est toujours resté positif pour les États-Unis (1 % en 2020) et la France (0,2 % en 2020), mais il est devenu négatif pour la Russie entre 1993 et 2007 et à nouveau en 2020 (-0,2 %). Depuis 1992, la population russe se situe sur une tendance baissière de long terme : 119,9 millions en 1960 148,5 millions en 1992, 144,1 millions en 2020. La conséquence est un vieillissement de la population et un moindre dynamisme économique.
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L’indice de développement humain (IDH)
L’IDH, calculé par l’ONU, intègre des données qualitatives comme l’état de santé de la population, sa longévité, le niveau d’éducation, le niveau de vie.
Monde Russie États-Unis France 0,731 0,824 0,926 0,901
La Russie reste en dessous des pays occidentaux. L’indice est considéré par l’ONU comme élevé à partir de 0,750 et très élevé à partir de 0,892. La Russie appartient donc aux pays du monde ayant un indice élevé, les pays occidentaux se situant à un niveau très élevé. Les IDH les plus faibles concernent certains pays d’Afrique (Tchad, Niger) et se situent vers 0,4.
Exportations russes : beaucoup d’énergies fossiles
- voir graph sur site -
(Source : fr.statista.com)
La balance commerciale russe est fortement excédentaire : 67,6 milliards de dollars au dernier trimestre de l’année 2021, mais elle est très dépendante des exportations de gaz et de pétrole. Le client le plus important de la Russie est l’Union européenne (UE).
L’UE absorbait 40 % des exportations russes en 2020, comprenant 47 % de produits pétroliers ou gaziers. La dépendance gazière de certains pays européens à l’égard de la Russie est critique : Finlande (94 %), Bulgarie (77 %), Slovaquie (70 %), Allemagne (49 %), Italie (46 %), Pologne (40 %). La politique française d’approvisionnement a été plus sage avec une dépendance de 24 % au gaz russe.
Mais inversement, la dépendance russe à l’égard de l’UE est considérable. Avec l’agression russe en Ukraine, la réorientation européenne en matière d’approvisionnement énergétique est inéluctable. Elle prendra des années mais sera très douloureuse pour la Russie. Par ailleurs, à échéance de plusieurs décennies, la planification énergétique occidentale consiste à réduire drastiquement la consommation d’énergies fossiles. La structure des exportations russes peut donc être considérée comme une grave faiblesse.
Ne pas humilier les faibles
La Russie à la population vieillissante n’a jamais réussi à atteindre les performances économiques occidentales. Le pays vit de la rente pétrolière et gazière et non pas du dynamisme créatif. Petite puissance économique dont le PIB de 1700 milliards de dollars est nettement inférieur à celui de la France (3100 milliards de dollars) et très loin de celui des États-Unis (24 800 milliards), la Russie a toujours été en guerre depuis la chute de l’URSS (Géorgie, Ossétie du Nord, Tadjikistan, Tchétchénie, Crimée, Donbass, Syrie et enfin Ukraine). La propension des dictatures à masquer leurs insuffisances par des conflits afin de susciter une adhésion nationaliste de population est bien connue. Aussi, la Russie consacre-t-elle 4,3 % de son PIB aux dépenses militaires contre 2,1 % pour le France et 3,7 % pour les États-Unis.
L’armée russe a cependant montré ses limites au cours de l’agression de l’Ukraine. La comparaison des budgets militaires des pays de l’OTAN (environ 1000 milliards de dollars) et de la Russie (environ 65 milliards) ne nécessite aucun commentaire.
Il faut des moyens considérables pour maintenir à niveau un outil militaire performant sur le plan technologique. La Russie ne les a pas et il est permis de se poser la question de l’état réel de sa force de dissuasion nucléaire.
Le thème de l’humiliation de la Russie, évoqué par Emmanuel Macron, a suscité le débat. En tenant compte de l’aspect économique, il semble assez évident que la Russie est devenue une petite puissance agressive à la suite de ses échecs répétés. Elle s’est sentie humiliée. La voie sans issue du communisme pendant 70 ans, l’orientation autocratique de plus en plus affirmée ensuite, ont conduit ce grand pays par sa culture et son histoire dans une impasse.
La population, soumise à la propagande officielle, constate que son niveau de vie stagne. Les dirigeants, les cadres, les universitaires, les intellectuels, les artistes n’ignorent rien de la distance croissante qui sépare leur pays des démocraties occidentales. Poutine lui-même a indirectement avoué l’humiliation ressentie lors de la dislocation de l’URSS. Dans un discours de 2005, il a exprimé que la chute de l’URSS a été « la plus grande catastrophe géopolitique du siècle dernier ». Le despote s’emploie donc à reconstituer l’empire par la guerre en brandissant la menace nucléaire contre l’Occident. Voilà sa seule force.
Pour l’avenir à plus ou moins long terme, l’approche de Macron semble donc adaptée à la situation. Nous sommes beaucoup plus riches et beaucoup plus puissants que la faible Russie. Il ne faudra pas, le jour venu, ajouter de l’humiliation à l’humiliation.
Ne pas oublier (pour d'autres pays) la faiblesse (précipice !) qu'est l'arrivée massive d'immigrés illettrés qui représente chacun 10 à 20 ans de salaire moyen du contribuable ! (sans parler des vols, agressions et meurtres qu'ils effectuent !).
CROISSANCE, POUVOIR D'ACHAT... L'OFCE NOIRCIT SES PRÉVISIONS POUR LA FRANCE
par PAOLO GAROSCIO 10/06/2022
L'inflation en mai 2022 s'est établie à 5,2 % en France.
Après la Banque Mondiale et l’OCDE, voilà le tour de l’OFCE… Si le gouvernement français tarde à réviser officiellement ses prévisions de croissance en tenant compte de l’inflation qui a explosé depuis le début de l’année, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) ne s’est pas privé de donner quelques mauvaises nouvelles le 9 juin 2022…
La croissance de la France pour 2022 revue à la baisse
Comme la Banque Mondiale et l’OCDE, qui ont révisé à la baisse leurs prévisions de croissance pour les adapter à la nouvelle situation géopolitique et économique mondiale, l’OFCE a fait de même. Sauf que dans le cas de l’observatoire, les dernières prévisions ne dataient pas de quelques mois mais de deux semaines seulement. Preuve, s’il en fallait, que la situation évolue très rapidement.
« Le scénario n’a pas changé », explique l’OFCE dans la conférence de presse liée à la publication de sa note le 9 juin 2022. Mais « ce qui a changé est l’acquis de croissance à la fin de l’année 2021 ». L’Insee a en effet révisé la croissance française de 2021, la baissant de 0,2 point à 6,8 %. L’OFCE a donc pris cette nouvelle donnée en compte.
En conséquence, la prévision de croissance pour la France est baissée : désormais, l’OFCE ne s’attend plus qu’à une croissance de 2,4 % en 2022, après 6,8 % en 2021. Une révision à la baisse de 0,3 % par rapport à la précédente mais qui reste relativement positive : l’OFCE s’attend toujours à une croissance dans le vert pour la France en 2022, et ce malgré un premier trimestre qui s’est clos sur une croissance négative (-0,2 %) pour le pays.
L’inflation explose et va frôler les 5% annuels
Sans surprise, l’OFCE confirme la tendance haussière des prix et prévoit une moyenne annuelle plus qu’élevée : 4,9 % en 2022. Un taux qui a de quoi inquiéter : pour que la moyenne annuelle atteigne ce niveau, l’inflation doit rester élevée et dépasser les 5% durant plusieurs mois encore en 2022 puisque ce taux n’a été dépassé qu’en avril et mai 2022 pour l’instant.
Mais les Français peuvent souffler : ça aurait pu être pire. Selon l’observatoire, sans les mesures du gouvernement, l’inflation annuelle en France atteindrait 7% en moyenne, ce qui est cohérent avec les niveaux d’inflation des autres pays européens.
LE pouvoir d’achat se fait laminer en France
Conséquence directe de la hausse des prix : la baisse du pouvoir d’achat des ménages. Au centre de la campagne pour les Législatives 2022, le pouvoir d’achat devrait, selon l’OFCE en 2022, se réduire comme rarement vu dans l’histoire moderne.
Malgré l’ensemble des mesures gouvernementales et des annonces, les ménages perdront, en 2022, 0,8% de pouvoir d’achat. Selon l’observatoire, depuis le début des années 90, seulement au lendemain de la crise des subprimes une telle baisse avait été observée. Elle était alors supérieure, plus proche de 1%.
Les millions (dizaines de ?) de français piqués et donc morts ne seront JAMAIS remplacés par la déferlante d'inadaptés immigrés qui refuse l'inclusion, s'insertion. Ce prix est un gouffre.
58% des Français pensent par ailleurs que la qualité de l'eau, des rivières et des lacs s'est détériorée.
L'eau source de vie, eau vitale... phrases bateaux dont tout le monde se fiche encore. Nous le paierons très cher, les sécheresses se multiplient partout dans le monde et chez nous, et il y a aussi le grave problème de la qualité de l'eau : celle qui sert à la consommation est d'origine souterraine (on va dans les nappes phréatiques par forage) ou superficielle (on capte l'eau d'une rivière par exemple). En général, l'eau souterraine est naturellement potable et n'a pas besoin d'être traitée, sauf dans les régions à fort élevage intensif et/ou dotée d'une forte agriculture conventionnelle. Quant aux eaux issues de captage, elles doivent franchir des étapes pour être consommables (tamisage, filtration, ozonation ...).
En France, une eau est considérée potable si elle satisfait 70 critères de qualité énoncées par le Ministère de la santé (teneur en fluor par exemple). Une eau chère est souvent une eau très traitée, comme en Bretagne par exemple. L'eau de notre planète a aussi une autre fonction et elle est une entité polymorphe : elle change constamment de forme. En s'écoulant des montagnes enneigées, en s'évaporant au-dessus des mers et océans, elle alimente le système climatique qui fait de notre planète le lieu idéal pour des êtres vivants.
Les nuages survolent l'Amazonie, mais ils sont aussi au-dessus de l'océan Atlantique. Tous ces systèmes sont liés les uns aux autres. Ce processus naturel, qui transforme les océans en pluie, constitue l'essence même de la vie sur Terre.
Sans ce phénomène, pas de rivières, ni nappes phréatiques, ni végétaux, ni animaux, ni nous. Les continents seraient sans vie. Celui qui observe les tourbillons de nuages, les orages qui frappent les océans et les puissants courants océaniques, prend conscience que notre planète n'est pas un rocher inerte. Elle vit. L'eau est son sang. Pourtant, notre mode de vie détruit et/ou pollue cet élément vital tout en perturbant le climat : les spécialistes expliquent qu’il faut 10 à 30 litres d’eau douce pour fabriquer un litre de carburant automobile ou un litre de bière ou un kilo de ciment, 30 litres pour la puce de notre portable, 100 litres d’eau pour fabriquer un kilo d’acier, de sucre ou d’engrais, 300 à 500 litres d’eau pour fabriquer un kilo de papier, de tournesol, de laine brute ou de nitrates ; 500 litres d’eau pour fabriquer un kilo de pain complet, 1 000 à 1 500 litres d’eau pour fabriquer un kilo de soie artificielle ou un kilo d’aluminium ou un kilo de blé ou de sucre ; 2 500 litres pour fabriquer un tee-shirt en coton ; 4 500 litres d’eau pour produire un kilo de maïs, de fromage ou de riz ; 8 000 litres d’eau pour produire un kilo de viande ; 10 tonnes d’eau pour raffiner une tonne de pétrole et 10 fois plus pour fabriquer une tonne de fibres synthétiques. Il faut 2 à 3 tonnes de pétrole pour produire une tonne d’engrais... L'élevage intensif comme une agriculture industrielle, sont des désastres pour des nappes phréatiques désormais souvent nitratées. L'air est touchée aussi et conduit à des pluies acides comme en Bretagne où le taux d'ammoniac est significatif. Le nucléaire, lui, utilise plus d'eau que l'agriculture !
On épuise les réserves d'eau tout en les polluant.
Voici ce qu'il faut faire :
Développer l'éducation à l'environnement pour tous âges, cela fera de belles économies en tous domaines.
Récupérer l'eau de pluie pour l'utiliser au lieu de l'eau du robinet, chaque fois que c’est possible.
Cesser d'artificialiser les terres, cela permettra de mieux recharger les nappes phréatiques.
En finir avec ces fuites de canalisations souterraines.
Réduire sa consommation de viande.
Manger moins de plats préparés, moins de boissons sucrées, c'est bon pour la santé en plus. Améliorer notre politique de santé car on retrouve trop de résidus de médicaments dans nos eaux.
Prévoir la fin de l'élevage intensif.
Améliorer les processus d'épandage et de stockage pour valoriser l'azote organique plutôt que l'azote minérale.
Le paillage des sols agricoles.
Un système d 'irrigation optimal pour chaque agriculteur.
Réduire la part du nucléaire dans notre mix énergétique.
Mettre le paquet sur l'économie circulaire (on répare tout on recycle tout), développer les S.E.L (systèmes d’échanges locaux) permettra de moins produire de biens matériels donc de moins consommer d'eau.
Examiner la réutilisation possible des eaux usées.
Bref, les solutions existent, c'est une question de volonté politique et de prise de conscience active du citoyen. Soit on ne change rien et le problème de l'eau en fera une dictatrice malgré elle, soit on choisit la conscience.
Ce 'Jean Marc Governatori' c'est VRAIMENT LA TARE ! L'enfant trisomique de 4 ou 5 ans ou le petit frère de Grétamoilescouilles ! Il invente que l'eau que nous buvons est celle de la pluie ou de la fonte des neiges !!! Prenez un grand seau, poser dessus de la terre dans un tamis puis versez de l'eau sur la terre. L'eau traverse le terre et va remplir le seau. Allez-vous la boire ? hahahaha ! Certes non ! Cette eau est sale, marron et pleine de bactéries ! Il n'est JAMAIS été à la bonne école ! (sorti de taule ? immigré ?)
A SAVOIR: Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont jetés dans les mers & océans... sans qu'elles ou ils ne montent !!! Çà alors !!!
L'EAU s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers maritimes & océaniques VERS LE MAGMA. Là, cette eau sale/merdique est chauffée/brûlée et repart en galeries souterraines sous forme de vapeurs. Elle ressort généralement en mers ou océans (on les appelle des sources chaudes. Elles réchauffent les lames de fond qui ressortent aux côtes d'azur et bretonnes entr'autres). L'eau (toujours sous forme de vapeurs) ressort aussi sous terre où elle alimente les sources de montagnes (elle perd 1°C par 100 m) ainsi que les nappes phréatiques. C'est pourquoi l'eau de sources et de nappes est pure, propre, sans couleur ni odeur ni bactérie !
C'est aussi le système presque pareil qu'est monté sur les cafetières. L'eau froide d'un côté est chauffée et remonte sous forme d'eau chaude dans le tuyau vertical (système aussi du chauffage central).
RAPPEL qu'il n'y a PAS une goutte d'eau de plus ou de moins sur notre planète depuis des milliards d'années. Alors, inutile de cracher en l'air pour voir où çà retombe ! Les 'stations d'épuration' sont inutiles, coûteuses et montre à tous l'ESCROQUERIE PARFAITE. L'eau qui en ressort est IMBUVABLE. RIEN ne peut remplacer la masse ferrique incandescente au centre de notre planète ! RIEN ! C'est elle qui de par sa combustion expulse des millions de m³ de gaz dans l'eau dont l'oxygène qui compose 86 % de l'eau de mer. C'est grâce à cette production que nous avons une atmosphère où tous les gaz expulsés se recyclent immédiatement sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !
La conversion au bio a fait tomber le Sri Lanka dans le chaos
10 Juin 2022 AGDAILY reporters*
En moins d'un an après que le Sri Lanka est devenu le premier pays au monde à interdire totalement l'agriculture conventionnelle, une crise économique aux proportions épiques s'est emparée de la Nation insulaire, a lancé des vagues de protestations et a provoqué lundi la démission du Premier Ministre Mahinda Rajapaksa. La conversion du Sri Lanka à l'agriculture biologique – avec l'interdiction des engrais de synthèse – a provoqué une baisse spectaculaire de la production de cultures essentielles comme le thé et le riz, ce que de nombreux experts agricoles avaient prévu depuis des mois.
La plupart des comptes rendus montrent que la production a chuté de 20 à 50 % par rapport à ce qu'elle était avant le changement, laissant une grande partie des 22 millions de personnes du pays dans une situation désespérée. Ces événements illustrent le lien évident entre les produits phytosanitaires de synthèse et la sécurité alimentaire. L'interdiction des engrais, des insecticides, des herbicides et des fongicides au Sri Lanka a non seulement entraîné des pénuries alimentaires massives, mais également conduit au doublement du prix du riz, des légumes et d'autres produits de base.
Lorsque le Sri Lanka a décidé d'annuler la majeure partie de sa politique au cours de l'hiver, la situation était déjà allée trop loin.
L'agitation a entraîné des pénuries d'électricité et d'autres biens et services au Sri Lanka. De nombreuses personnes sont mortes – et des dizaines ont été blessées – dans des manifestations liées à l'économie et à la faim, et Rajapaksa a dû être secouru par l'armée cette semaine alors que le chaos se refermait sur lui.
Il s'agit d'un long article et d'un sujet peu populaire, alors ne tuez pas le messager ! C'est aussi une réalité qui se déroule en ce moment même au Sri Lanka. Joel Salatin et des groupes comme Civil Eats et The Food Tank affirment souvent que, oui, l'agriculture biologique peut nourrir le monde. Le Sri Lanka, une île tropicale de 22 millions d'habitants, est devenu le premier pays au monde à interdire l'agriculture conventionnelle et à n'autoriser que l'agriculture biologique.
Le résultat : l'insécurité alimentaire, les achats de précaution de nourriture au point que la police fait des raids pour récupérer la nourriture... (Source)
L'été dernier, avant le passage au tout biologique, 30 experts nationaux ont écrit au frère de Rajapaksa, le président Gotabaya Rajapaksa, pour lui faire part de leur inquiétude face à ce changement de politique sismique. Tout en reconnaissant les objectifs du programme du président, ils ont proposé une approche progressive et consultative – avec de véritables experts – plutôt que des mandats émotifs décrétés d'un seul coup.
« Avant cette politique, le gouvernement avait tenté sans succès de commercialiser les terres agricoles, qui constituent le plus grand atout commercial du pays. Nous sommes donc nombreux à penser qu'il s'agit d'un autre moyen d'inciter les agriculteurs à quitter leurs terres, ou d'affaiblir leur position et de permettre un accaparement des terres », a déclaré au Guardian M. Vimukthi de Silva, agriculteur biologique à Rajanganaya.
De nombreux organes de presse décrivent la crise au Sri Lanka, mais rares sont ceux qui en explorent vraiment les causes. Le Sri Lanka a choisi de pousser son mandat biologique l'année dernière parce que les généreuses subventions gouvernementales avaient encouragé l'importation d'engrais chimiques de qualité inférieure, pleins d'impuretés. Mais il y avait aussi la question des parasites et maladies. L'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture estime que pas moins de 40 % des cultures agricoles mondiales sont la proie de bestioles voraces chaque année.
En plus de priver les plus vulnérables de la sécurité alimentaire, un tel mandat prive les agriculteurs appauvris de leur principale source de revenus – le tout, superficiellement, au nom du « virage vert ».
La publication Foreign Policy décrit : « Le fouillis de pensées magiques, d'orgueils technocratiques, d'illusions idéologiques, d'intérêts personnels et de manque de perspicacité qui a provoqué la crise au Sri Lanka implique à la fois les dirigeants politiques du pays et les partisans de la soi-disant agriculture durable : les premiers pour s'être emparés de la promesse d'une agriculture biologique comme d'une mesure à courte vue pour réduire les subventions et les importations d'engrais, et les seconds pour avoir suggéré qu'une telle transformation du secteur agricole de la Nation pourrait réussir. »
Il est également essentiel que le service de vulgarisation du Sri Lanka soit renforcé afin de fournir aux agriculteurs des conseils impartiaux et fondés sur des preuves. Actuellement, de nombreux agriculteurs s'en remettent aux conseils douteux de consultants rattachés à des sociétés agrochimiques, qui ont tendance à « surprescrire » une concoction d'intrants dans leur propre intérêt.
Qu'est-ce que cela signifie pour l'agriculture biologique à long terme et à grande échelle ? Ce n'est pas encore clair. Cela signifie-t-il qu'elle ne fonctionne jamais ? Non.
« Je crois sincèrement qu'à un moment donné dans le futur, une méthodologie agricole révolutionnaire verra le jour », a déclaré M. Jonathan Lawler, un agriculteur de l'Indiana qui possède une expérience et une vision uniques de la production agricole. « Elle combinera le meilleur des pratiques biologiques et conventionnelles, mais disposera d'une grande marge de manœuvre pour évoluer en fonction des circonstances de chaque agriculteur, de sorte qu'elle pourra être appliquée partout. » [Ma note : mais ce ne sera plus de l'agriculture « biologique »...]
Des affrontements continuent d'éclater dans tout le Sri Lanka, et un couvre-feu a été imposé, mais rien ne laisse présager une fin prochaine des troubles. ______________
* Source : Switch to organic is splitting Sri Lanka apart at the seams | AGDAILY
Eh oui ! Il n'y a pas qu'en France qu'il y a des cons ! Sans doute qu'au Sri Lanka ils ignorent tout de l'histoire de leurs ancêtres qui crevaient de faim parce qu'ils n'avaient que du bio depuis des siècles ! Pas d'engrais ! HAHAHAHA ! Pas de produits de traitement contre les maladies et insectes ! HAHAHAHA ! et PAS D'EAU (parce qu'un gros con leur a dit un jour qu'un plant de tomate ou de melon avait besoin de 1000 litres d'eau et la vache 10 000* ! HAHAHAHAHA !)
*et les poissons DES millions ! HAHAHAHAHAHAHAHA !
La crise mondiale de l'approvisionnement alimentaire et des engrais donne à la Russie un effet de levier important
jeudi 09 juin 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les grands stocks d'engrais de la Russie pourraient lui donner un effet de levier important pendant la crise mondiale de l'approvisionnement en aliments et en engrais.
Depuis l'invasion de l'Ukraine fin février, les prix alimentaires internationaux ont augmenté de 30 %. Aux États-Unis, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 10 % au cours de la dernière année.
Les sanctions économiques occidentales imposées à la Russie après l'invasion, ainsi que les propres restrictions à l'exportation du pays en représailles aux sanctions, pourraient encore faire grimper le coût de la nourriture et des engrais au profit de la Russie. (En relation: West accuse Poutine de la crise alimentaire mondiale après avoir sanctionné la Russie, empêchant les exportations russes de nourriture et d'engrais.)
"Si les engrais ne circulent pas, le monde produira moins", a averti l'économiste en chef de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, Maximo Torero. "C'est pourquoi nous disons que l'année prochaine nous pourrions avoir un problème de disponibilité alimentaire, et aussi d'accès alimentaire comme ce que nous avons aujourd'hui."
Torero a déclaré que les pays essaieront probablement d'étendre leurs approvisionnements en engrais en en utilisant moins, ce qui entraînera une baisse des rendements des cultures.
"C'est ce qui va créer le problème de la disponibilité de la nourriture [en plus] de l'accès à la nourriture", a déclaré Torero. "C'est ce qui nous inquiète, c'est pour nous le scénario le plus dramatique et c'est ce qu'il faut éviter."
Les exportations russes d'engrais pourraient sauver les récoltes partout De nombreux pays du monde entier dépendent des engrais russes. Même les États-Unis dépendent fortement des engrais à base d'azote en provenance de Russie et de Biélorussie, qui a également été lourdement sanctionnée pour son soutien à la Russie dans son invasion de l'Ukraine. Parmi les autres pays qui dépendent fortement des engrais des deux pays figurent Singapour, la Mongolie et le Panama.
Si l'Occident devait abandonner ses sanctions contre la Russie, cela pourrait aider à sauver les récoltes du monde entier. Des preuves le prouvant peuvent être trouvées au Brésil, où le ministre de l'Agriculture, Marcos Montes, a déclaré que la récolte céréalière 2022-2023 avait été "sauvée" après que la Russie ait pu exporter des engrais vers la nation sud-américaine.
Face aux incertitudes d'approvisionnement liées aux sévères sanctions économiques contre la Russie à la suite de l'invasion, Montes a déclaré que le gouvernement brésilien avait contacté ses homologues à Moscou pour sécuriser les expéditions d'engrais.
Le Brésil importe plus de 85 % de ses engrais. Il a acheté 16,64 millions de tonnes d'engrais jusqu'en mai, soit une augmentation massive de 16,5 % par rapport à la même période en 2021. La Russie est le premier fournisseur du Brésil, ayant vendu au pays 3,06 millions de tonnes d'engrais.
Dans le port de Santos et le port de Paranagua, les deux plus grands ports du Brésil, des importations record d'engrais ont rempli les espaces de stockage alloués.
La normalisation de l'approvisionnement en engrais au Brésil s'est traduite par une baisse des prix record des engrais, qui ont grimpé en flèche suite aux sanctions imposées à la Russie et à la restriction de l'offre mondiale.
Malgré la baisse des prix des engrais, de nombreux agriculteurs brésiliens n'achètent toujours pas. Selon Marina Cavalcante, analyste sur Bloomberg, beaucoup attendent de nouvelles baisses de prix à mesure que davantage d'importations d'engrais entrent dans le pays.
"Les agriculteurs s'attendent à ce que les prix continuent de baisser après les baisses de la semaine dernière et de la précédente", a déclaré Cavalcante. "Alors ils attendront de nouvelles baisses pour acheter."
Les agriculteurs peuvent retarder leurs achats de quelques mois de plus s'ils plantent du soja, qui sème en septembre. Mais s'ils attendent trop longtemps, une ruée vers les achats d'engrais de dernière minute pourrait entraîner des goulots d'étranglement dans le transport et des augmentations de prix qui pourraient laisser certains les mains vides et d'autres sans assez d'engrais.
Tenez-vous au courant de la pénurie mondiale d'engrais sur FertilizerWatch.com.
Regardez cet épisode de "The American Journal" d'InfoWars alors que l'animateur Harrison Smith parle d'un déraillement de train au Canada qui a détruit plusieurs tonnes d'engrais.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Articles plus connexes : La production alimentaire DOMESTIQUE AUX ÉTATS-UNIS s'effondre actuellement en raison du coût des engrais, de la rareté, de l'inflation des prix du diesel et du protectionnisme alimentaire.
Les agriculteurs du Midwest en difficulté en raison de la flambée des prix des engrais.
Heure médicale de Merritt : Le manque d'engrais et les incendies dans les usines de fabrication de produits alimentaires entraîneront des pénuries alimentaires aux États-Unis - Brighteon.TV.
Le coût des engrais fait grimper les prix des denrées alimentaires, menaçant la sécurité alimentaire dans le monde.
Le plus grand fabricant d'engrais au monde tire la sonnette d'alarme et déclare que les pénuries dureront tout au long de 2023.
LE CONFINEMENT (emprisonnement chez soi): est un crime dans la mesure où si une personne a la grippe saisonnière (appelée criminellement 'covide19') il la file à tout le monde autour d'elle !
RépondreSupprimerLE MASQUE: Il n'existe PAS de masque anti virus (poussières) ou anti microbes ! Sont proposés... des masques chirurgicaux !! (portés par les chirurgiens et personnel en bloc opératoire pour éviter de postillonner sur un ventre ouvert). Ce masque a un écart de maille de 150 microns alors que le 'virus' ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!! Il existe aussi des masques 'N95' (avec valve d'expiration) qui ont un écart de mailles de 3 microns !!
LA PIQÛRE: Expérimentation génique d'essais criminellement appelée 'vaccin' !! Le virus (poussière) n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT en seringues !! Si vous êtes piqué: VOUS L'AVEZ ! (un poison n'est PAS transmissible sauf en actes sexuel).
LES FAUX TESTS 'RT-PCR': Ce sont des tests INUTILES car le 'covide19' N'EXISTE PAS (dans l'air) et donc est INVISIBLE ! C'est alors que se sont développés des 'quotas' à fournir et publier !!
Ces écouvillons (ouatés) sont fait pour déposer en cavité nasale les nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel enveloppé) qui forment des antennes ou fils appelés morgelons destinés à retransmettre les ordres extérieurs reçus par ondes basses fréquences (via téléphone portable ou sans grâce à la 5G). C'est le transhumanisme !
LES GELS HYDROALCOOLIQUES: contiennent eux aussi des nano-particules d'oxyde de graphène qui pénètrent dans l'épiderme !
LES ASYMPTOMATIQUES ! C'est-à-dire des personnes qui sont parfaitement saines mais désignées comme étant malades sans le savoir !!
LES 'VARIANTS' ! Il n'existe pas de poussière transgenre ou qui ferait des petits !
L'OBJECTIF est d'atteindre l'hégémonie mondiale ! avec DES milliards de morts (remplacés vite-fait par l'arrivée forcée d'immigrés 'climatiques' ! (Les morts ne parlent pas et, les personnes inoculées non-plus car elles ne peuvent le faire !). C'est l'euthanasie mondiale !
RAPPEL: Il est strictement INTERDIT de vacciner qui que ce soi pendant une épidémie ou pandémie !
Il est strictement INTERDIT de ne pas faire de sérologie préventive avant vaccination !
LA SUITE ? L'empoisonnement des aliments ! Le choix c'est la mort dans quelques mois ou quelques jours ou... rien d'autre que le mort !
PS: A savoir aussi que tous les criminels qui connaissent le contenu de la seringue sont eux aussi condamnés (dans quelques mois ? quelques jours ?) car... ils savent ! Ils seront remplacés par des nouveaux-nés qui vivront à part, ignoreront tout du monde et n'écouterons que leurs éducateurs hégémonistes du Nouvel Ordre Mondial.
ENFIN: Le clip 'Planet Lockdown' ne parle pas du contenu des flacons !! Ne parle pas de la recherche de Carrie Madej, d'Astrid Stückelberger et d'Alexandra Henrion-Caude sur les nano-particules d'oxyde de graphène, les morgelons, les hydres !?! (fin sur... curé ! et manifestants criant "On vous accuse ! On vous accuse !" oui mais de quoi ? Hahaha !) - Reportage TRÈS incomplet style 'reportage-télé-marron' !
A quoi peut bien servir un masque qui ne sert à rien ? Sinon à limiter voire vous exempter des connaissances. Pourquoi ne pas pouvoir dialoguer avec ses connaissances ? Parce que si vous commencez à discuter entre-vous vous n'aurez pas le même discours en tête qu'à la télé ! Et donc, le mot est déjà trouvé: vous seriez accusé d'être complotiste. C'est-à-dire d'oser être contre la dictature en place que vous pourriez planifier de démolir !
SupprimerLe rêve fou du « net-zéro »
RépondreSupprimerle 9 juin 2022
L’idéologie dominante aujourd’hui au sujet de l’énergie se positionne à rebours de l’évolution de cette problématique depuis le début de l’ère industrielle. Lorsque James Watt inventa sa machine à vapeur, une version améliorée de celle de Thomas Newcomen, cette invention était en réalité une application du théorème de Carnot développé en 1824, c’est-à-dire 40 ans après cette invention de J. Watt. Intuitivement mais aussi par expérience Watt comprit que sa machine à vapeur était beaucoup plus efficace si un système de condensation de la vapeur à la sortie du piston de sa machine amplifiait la différence de température « utile » pour le fonctionnement de sa machine. Ce fut le premier pas vers une concentration en un point de l’énergie mécanique disponible en partant du charbon. Cependant l’usage du charbon plutôt que du bois contribuait également à ce processus de concentration de production d’énergie. Cette « concentration » se concrétisa aussi avec les locomotives à vapeur qui contribuèrent à l’essor industriel et commercial durant tout le dix-neuvième siècle. Au vingtième siècle l’invention de l’électricité favorisa de plus belle cette concentration de la production d’énergie. Les fours utilisant du charbon pour produire une vapeur sèche à température élevée étaient la condition incontournable pour alimenter des turbines entrainant les alternateurs. On retrouve toujours le fameux théorème de Carnot qui ne s’applique qu’aux machines thermiques. L’autre étape de cette concentration d’énergie est le réacteur nucléaire dont le volume est relativement restreint mais produisant une quantité de chaleur considérable, elle aussi utilisée sous forme de vapeur pour faire tourner une turbine.
Le développement récent des énergies alternatives va à l’encontre de cette évolution qui s’étendit sur deux siècles. Qu’il s’agisse de l’énergie du vent ou de celle du Soleil, ce sont deux sources « diluées » en dehors du fait qu’elles sont intermittentes, leur autre défaut intrinsèque pour lequel il n’existe toujours pas de solution. Ce processus de dilution des sources d’énergie est contraire à toute logique scientifique, plus précisément à toutes les lois fondamentales de la thermodynamique dont Carnot fut l’un des initiateurs. Le prétexte à cette dilution des sources d’énergie est l’objectif « bas carbone » ou pire « zéro carbone » étant entendu que le vent et le Soleil sont des énergies gratuites, renouvelables et sans carbone, par conséquent sans effet sur le climat. La dilution des sources d’énergie est une conséquence directe du dogme du réchauffement du climat d’origine humaine.
Depuis le début de l’ère industrielle la concentration des sources d’énergie a permis une plus grande productivité industrielle et manufacturière, une inflation modérée et une amélioration des standards de vie. La dilution des sources d’énergie va inévitablement conduire à une diminution de la productivité car la fourniture d’énergie deviendra précaire, une inflation croissante en raison des coûts de cette énergie et des interventions des Etats pour la promouvoir, ce qui se traduira par une augmentation des charges fiscales et par voie de conséquence une diminution du pouvoir d’achat et du niveau de vie en général. Si on examine maintenant le retour sur investissement de cette énergie « diluée » c’est tout simplement catastrophique car l’offre de cette énergie ne pourra jamais être adaptée à la demande. Certes l’énergie nucléaire nécessite un investissement très lourd. Cependant il a été reconnu qu’après 25 années de production un réacteur nucléaire et les installations connexes sont largement amortis et ceci d’autant plus que le combustible est d’un prix abordable et pratiquement constant sur les marchés.
RépondreSupprimerÀ propos de cette énergie diluée, dans le bilan du retour sur investissement on oublie de prendre en considération le fait que sa mise en œuvre n’est pas possible sans sources d’énergie concentrées, comme par exemple pour produire du ciment, de l’acier, du cuivre et des terres rares qui composent les génératrices de courant. Il en est de même pour les panneaux solaires tributaires de la production de silicium de haute pureté. Inévitablement l’ère nouvelle des sources d’énergie diluées est une marche vers une paupérisation des peuples, une chute incontrôlable du niveau de vie de chacun et enfin une désertification de pays encore industrialisés qui ont fait ce mauvais choix. En inversant la tendance de l’évolution passée bois → charbon → pétrole → uranium rendue possible par les progrès technologiques successifs les décideurs politiques ont signé l’évolution en sens inverse de l’économie et donc des peuples, rien de réjouissant …
Inspiré d’un article paru sur le site internationalman.com
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/09/le-reve-fou-du-net-zero/
Quel que soit le scientifique qui explique la chose à Machin-gros-con du ministère du Truc, le Truc-en-chef dira toujours "Je savais" même s'il vient de l'apprendre, car, dans la caste des Chiottes-de-Luxe on ne se trompe jamais même si c'est 100 fois sur cent. Donc, ne comptez pas de 'retour en arrière' du mec qui dit 'Je viens d'apprendre que' ou 'Dernièrement un rapport...". Ils sont dans la merde, ils représente LA merde et veulent la faire bouffer à tous ceux qui l'emmerdent.
SupprimerIls ont décidé que. A vous d'en faire usage.
"L'été de la famine": la flambée des prix des engrais libère le chaos et la faim dans le monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 08 JUIN 2022 - 21:44
L'une des conséquences les plus pernicieuses - surtout pour l'Occident antirusse - de la guerre d'Ukraine a été la flambée sans précédent des prix des engrais qui, entre autres, a provoqué une flambée historique des prix alimentaires et l'effondrement des chaînes d'approvisionnement autour du globe, comme nous en parlions dans ces articles publiés ces derniers mois :
Les prix des engrais atteignent des niveaux record, ce qui pourrait faire monter encore plus l'inflation des aliments
"L'engrais est hors de contrôle" - Les agriculteurs américains abandonnent le maïs pour le soja pour économiser sur les coûts
Poop-Boom: L'approvisionnement en fumier se resserre alors que les prix des engrais montent en flèche
La plus grande entreprise d'engrais au monde met en garde contre les perturbations des nutriments des cultures jusqu'en 2023
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui, où nous avons de bonnes, de mauvaises et de très mauvaises nouvelles. La bonne nouvelle est que les prix des engrais ont légèrement diminué par rapport aux sommets historiques, comme le montre le graphique suivant des prix au comptant de Tampa Ammonia CFR.
- voir graph sur site -
La mauvaise nouvelle est que le prix n'a pas suffisamment baissé : selon Bloomberg, la surabondance d'engrais qui s'accumule dans les plus grands ports brésiliens indique que le prix des nutriments doit encore baisser avant que les agriculteurs ne commencent à acheter.
À Paranagua, les entrepôts privés ont atteint leur capacité de stockage maximale de 3,5 millions de tonnes, a déclaré Luiz Teixeira da Silva, directeur des opérations de Paranagua à Bloomberg. Un terminal exploité par VLI Logistics, l'un des deux du port de Santos qui stocke des engrais, est également plein, selon des personnes au courant de l'affaire qui ont demandé à ne pas être nommées car l'information n'est pas publique.
Comme indiqué ci-dessus, le prix des engrais à travers le monde a explosé à des niveaux sans précédent, et le Brésil n'a pas fait exception.
- voir graph sur site -
C'est un problème car ce pays à forte agriculture et source de nourriture pour la moitié du globe importe près de 85 % de ses engrais et la Russie en est la principale origine. Alors que les approvisionnements se sont normalisés, les prix ont baissé au cours des dernières semaines, mais les agriculteurs n'achètent toujours pas. Ils attendent de nouvelles baisses de prix, selon Marina Cavalcante, analyste chez Bloomberg’s Green Markets.
"Les agriculteurs s'attendent à ce que les prix continuent de baisser après les baisses de la semaine dernière et de la précédente", a-t-elle déclaré. "Alors ils attendront de nouvelles baisses pour acheter."
RépondreSupprimerEt voici un exemple dans la théorie des jeux offre/demande : le Brésil est le plus grand expéditeur au monde de plusieurs cultures, dont le soja. Les agriculteurs peuvent retarder leurs achats jusqu'à la veille des semis de soja en septembre. Mais s'ils attendent tous trop longtemps, une ruée de dernière minute pourrait entraîner des goulots d'étranglement dans les transports intérieurs qui pourraient de toute façon laisser certains d'entre eux les mains vides.
Il y a un autre problème : il se peut qu'il n'y ait tout simplement pas assez d'engrais en provenance de Russie, qui a décidé de punir le monde en envoyant les prix des denrées alimentaires des pays occidentaux à des niveaux records et en provoquant des troubles sociaux dans le processus. Après tout, la principale raison pour laquelle les prix sont si élevés est qu'il n'y a tout simplement pas assez d'offre. Et même si les spéculateurs ont peut-être poussé les prix un peu plus haut qu'ils n'auraient dû l'être, les agriculteurs qui espèrent que les prix se normaliseront complètement seront déçus.
Ce qui nous laisse avec la "destruction de la demande", seulement comme nous le rappelle Michael Every de Rabobank, lorsqu'il s'agit de la "destruction de la demande" alimentaire - en particulier dans les pays pauvres du tiers monde - elle porte un nom différent et moins agréable : la famine.
Considérez ce qui se passe au Tchad : comme le rapporte DW, le cinquième plus grand pays d'Afrique a déclaré une urgence alimentaire en raison d'un manque d'approvisionnement en céréales. Ce pays africain enclavé a exhorté jeudi la communauté internationale à aider sa population à faire face à l'insécurité alimentaire croissante.
Les prix des céréales à travers l'Afrique ont bondi en raison de la chute des exportations ukrainiennes - conséquence de la guerre en Ukraine et d'une série de sanctions internationales contre la Russie qui ont interrompu l'approvisionnement en engrais, en blé et en autres produits de base en provenance de Russie et d'Ukraine.
DW s'est entretenu avec un couple au Tchad qui fait face aux effets de l'effondrement des approvisionnements alimentaires :
Cédric Toralta et Anne Non-Assoum vivent dans le quartier Boutalbagar de la capitale tchadienne, N'Djamena. Non-Assoum – qui venait de rentrer du marché – a exprimé son mécontentement face à la hausse des prix alimentaires.
''Regardez ce que j'ai acheté : voici de la viande pour 1 500 F CFA (2,45 $, 2,28 €), du riz pour 1 000 et des épices pour 600, c'est plus de 3 000 F CFA (30 fr = 4,50 €) rien que pour le déjeuner de quatre personnes", a-t-elle déclaré.
Elle a déclaré à DW que dans le passé, le même achat aurait coûté environ 2 000 francs CFA. "Mon mari et moi avons dépensé 60 000 CFA par mois en nourriture, mais maintenant, même 90 000, ce n'est pas assez !"
RépondreSupprimerLa situation désastreuse a contraint Toralta à prendre des mesures nutritionnelles drastiques qui ne sont pas sans conséquences.
"Nous n'arrivons pas à joindre les deux bouts, même si j'ai décidé d'augmenter notre ration alimentaire de 30 000 francs CFA. Je suis donc obligé de réduire la quantité que nous mangeons chaque jour - et vous voyez que cela affecte les enfants", a déclaré Toralta à DW.
« Nous avons besoin d'une aide alimentaire urgente pour la population », a déclaré Non-Assoum, soulignant l'urgence. « Si même la population à revenu moyen de la capitale ne peut pas faire face à cette situation, comment la population rurale le pourra-t-elle ? C'est très compliqué, et nous avons besoin que la communauté internationale nous aide.''
Les prix des produits de première nécessité ont également augmenté de manière significative chez le voisin du Tchad au nord-ouest, le Niger. Le lait, le sucre, l'huile et la farine sont les produits dont les prix y ont flambé. Le coût des engrais a également augmenté de façon spectaculaire.
Lors d'une récente réunion avec le président russe Vladimir Poutine, le président de l'Union africaine, Macky Sall, a déclaré que le continent supportait le poids de la guerre en Ukraine en raison d'une pénurie de céréales et d'engrais.
Comme le dit un reportage sur le terrain (pas d'un journaliste occidental bien nourri travaillant à domicile) : « Dans le village de Falke, à quelque 665 km (413 miles) de la capitale Niamey, Tassiou Adamou, un agriculteur, a déclaré à DW que ce la récolte de l'année sera probablement médiocre parce que les producteurs n'ont pas les moyens d'acheter suffisamment d'engrais.
"L'arachide, qui est notre principale culture de rente, a besoin d'engrais", a souligné Adamou. "Jusqu'à la saison dernière, un sac d'engrais coûtait 17 000 francs CFA. Cette année, il a atteint 30 000", a-t-il dit, ajoutant qu'il est impossible de produire beaucoup pour les ruraux.
« Si vous aviez l'habitude d'utiliser trois sacs d'engrais pour votre champ, aujourd'hui, vous ne pouvez avoir qu'un seul sac avec la même quantité. Là où vous récoltiez 50 régimes de mil, vous pouvez à peine produire 30 régimes sans engrais.
Une grande partie de l'Afrique, écrit Every, est dans le même bateau... et il coule rapidement, et l'ironie est que tout le monde a besoin de beaucoup plus d'engrais maintenant pour éviter une crise alimentaire mondiale, mais soit ils ne peuvent pas se le permettre, soit ils sont en espérant que le prix baisse un peu plus. Malheureusement, cela n'arrivera pas et à la place, les acheteurs marginaux continueront à pousser la denrée rare.
Que se passe-t-il ensuite ? Nous donnons le micro à Every, qui a le mieux résumé la débâcle actuelle : "les riches du monde, qui fixent les taux, doivent décider s'ils sacrifieront le prix de leurs actifs pour aider les pauvres du monde à manger. Si nous ne disons pas cela, pouvons-nous dire au moins qu'on a le choix entre mettre des calories dans les voitures des riches ou dans la bouche des pauvres ?"
RépondreSupprimerPour conclure, les marchés disent "exiger la destruction", mais ne diront pas que cela peut signifier "famine de masse". Certains sont maintenant capables de dire "stagflation", mais beaucoup sur les marchés n'y étaient pas autorisés jusqu'à récemment. Certains peuvent dire "récession", mais beaucoup sur les marchés et la politique n'y sont toujours pas autorisés. Pourtant, personne ne veut dire "dépression" parce qu'il y a * toujours * l'hypothèse que, aussi mauvaises que soient les choses, d'une manière ou d'une autre, un rebond de "bâton de hockey" se trouve de l'autre côté. Pas des bâtons, des pierres, des torches allumées et des fourches.
Ici, certains peuvent prétendre que "torches et fourches" est un euphémisme, mais mettez plusieurs centaines de millions de personnes sous la "destruction de la demande" de nourriture pendant quelques semaines, et regardez comme le prochain printemps arabe ne sera pas "arabe" et ne sera pas être au printemps : ce sera un été mondial de la famine.
https://www.zerohedge.com/markets/soaring-fertilizer-prices-unleash-chaos-hunger-worldwide
Pékin et Shanghai ont les milliardaires les plus riches en dollars du monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 JUIN 2022 - 04:00
Après avoir examiné les ultra-riches, à l'échelle mondiale, il semble que Pékin ait la plus forte concentration de milliardaires riches en dollars. C'est selon une nouvelle étude publiée par MoneyTransfers.com.
Le site a conclu que Pékin abrite 145 milliardaires en dollars et qu'il a conservé sa première position dans le monde après avoir ajouté 35 nouvelles personnes à sa liste en 2020.
Le PDG de MoneyTransfers, Jonathan Merry, a commenté : « La Chine continue de tirer profit de son optimisation du marché de l'investissement en libéralisant et en facilitant les investissements. Le ruissellement a vu certaines régions émerger comme des pôles d'investissement. L'une d'entre elles est Pékin. Sa modernisation et son dynamisme la scène parfaite pour incuber des idées d'affaires, en particulier dans le domaine de la technologie."
- voir graph sur site -
L'analyse a également montré que la Chine compte le plus grand nombre de milliardaires riches en dollars. Le pays est le seul qui compte plus de 1 000 personnes dont la valeur nette dépasse le milliard de dollars, indique le rapport. Les États-Unis arrivent en deuxième position :
"Les villes chinoises dominent également le top 10 mondial habité par ces ultra-riches", a rapporté MoneyTransfer.com. "Shanghai suit Pékin en deuxième position avec 113 milliards d'individus riches en dollars. Il a devancé New York à partir de 2020 après en avoir gagné 30 autres en 2021."
New York est la troisième ville la plus attractive pour les ultra riches, note le rapport. Londres est cinquième et Moscou septième.
https://www.zerohedge.com/markets/beijing-and-shanghai-have-most-dollar-rich-billionaires-world
Une caravane massive de migrants ciblant le Texas pourrait être la plus grande à ce jour
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 09 JUIN 2022 - 02:00
Les yeux rivés sur le Texas, une nouvelle caravane massive de migrants est en cours dans le sud du Mexique. C'est le plus grand de 2022 et, en partie grâce aux logements du gouvernement mexicain, il pourrait bientôt être le plus grand jamais enregistré.
De nombreuses caravanes précédentes se sont effondrées lors d'affrontements parfois violents avec les troupes de la Garde nationale ou en atteignant des points de contrôle internes où les migrants sont empêchés de franchir les frontières de l'État mexicain faute de visas.
Cependant, l'organisateur de la caravane Luis Villigran a déclaré à Fox News que le gouvernement mexicain s'était engagé à commencer à délivrer 1 000 visas de travail temporaires par jour aux migrants qu'il conduisait vers le nord.
Cela facilitera certainement la progression des migrants. Dans le même temps, en autorisant les migrants à travailler dans les États du nord du Mexique, où les opportunités d'emploi sont plus nombreuses que dans le sud, les visas donnent aux migrants une raison de rester au sud de la frontière américaine.
Avec un nombre déjà estimé à 12 000 ou plus, la caravane a quitté lundi la ville frontalière de Tapachula, à l'extrême sud-ouest du Mexique, bloquant plusieurs voies d'autoroute alors qu'elle entamait un voyage de mille kilomètres vers la frontière du Texas. Les organisateurs prévoient de tirer le meilleur parti de la randonnée en voyageant le long de la côte est du Mexique.
La caravane comprend des personnes de divers pays, les Vénézuéliens représentant apparemment une part importante. La lutte du Venezuela pour rebondir après des politiques économiques désastreuses est rendue plus difficile par les sanctions américaines qui visent à punir le régime mais qui finissent par rendre les citoyens innocents misérables et encourager la migration vers les États-Unis.
Villagran affirme que près de 70% de la caravane sont des femmes et des enfants, mais les photos dans les comptes rendus d'actualités dépeignent fréquemment des foules d'hommes adultes.
Le départ de la caravane coïncide avec le Sommet des Amériques que Biden organise à Los Angeles cette semaine. Vendredi, les participants au sommet devraient signer une déclaration sur la migration.
Les rapports sur le projet de ce qui sera salué comme la "Déclaration de Los Angeles" indiquent qu'il s'agit d'un document ambitieux plutôt que d'un ensemble d'engagements contraignants. Selon AP :
Selon des experts qui ont vu les premières ébauches, l'accord pourrait exiger davantage de voies vers un statut juridique, des mécanismes pour réunir les familles, des contrôles aux frontières plus efficaces et plus humains et un meilleur partage d'informations.
Biden a exclu le Venezuela, Cuba et le Nicaragua du sommet, ce qui a incité les dirigeants du Mexique, du Guatemala, du Honduras et du Salvador – pays clés dans le dilemme actuel de la migration de masse – à sauter le sommet eux-mêmes. Leur absence garantit que le sommet sera raté.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/massive-migrant-caravan-targeting-texas-could-be-biggest-one-yet
Massivement payés par Soros pour les faire venir aux USA afin de remplacer vite-fait les dizaines de millions de morts des piqûres létales 'cocovide19', ils ne connaissent rien, ne parlent pas l'anglais et ne serviront donc à rien sinon à planter leurs tentes aux trottoirs de LA et SF en attendant d'être piqués !
SupprimerMeurtre par vaccination : Plainte contre Bill Gates
RépondreSupprimerPar Kla TV
Mondialisation.ca,
08 juin 2022
Une plainte contre Bill Gates et l’indien Adar Poonawalla, directeur général du plus grand fabricant de vaccins, a été déposée devant la Cour suprême indienne pour « meurtre par vaccination ». Cette émission met en lumière l’identité des courageux plaignants et les motifs de leur plainte.
Afin de lutter contre le manque de transparence et de responsabilité de la justice indienne, des avocats indiens courageux ont fondé « l’Association du barreau indien » (IBA).
Le 25 novembre 2021, l’Association des avocats a annoncé avoir déposé une plainte auprès de la Cour suprême indienne pour « meurtre par vaccination » contre Bill Gates et Adar Poonawalla, son partenaire indien dans la production de vaccins, ainsi que contre des fonctionnaires du gouvernement. Adar Poonawalla est directeur général du « Serum Institute of India », un groupe pharmaceutique qui produit la plupart des doses de vaccins dans le monde.
Les requérants réclament notamment un dédommagement de 134 millions de dollars pour un jeune homme de 23 ans décédé de la vaccination Covid. Celui-ci avait fait confiance aux fausses déclarations du groupe pharmaceutique selon lesquelles le vaccin était sûr. Les avocats indiquent que (littéralement) « … avant l’administration d’un vaccin ou d’un traitement, une personne doit être informée des effets secondaires du médicament et également des remèdes alternatifs disponibles. »
Si ces faits sont passés sous silence lors de la vaccination ou si, en plus, on ment sur l’innocuité du vaccin, le consentement à la vaccination a été obtenu de manière trompeuse. Les accusés Bill Gates et Adar Poonawalla pourraient être tenus pour responsables de cette tromperie, car ils ont autorisé la commercialisation illégale de leur produit. En Inde, la pratique de la vaccination sous la tromperie ou la contrainte est un délit civil et pénal. Si la plainte était acceptée, les plaignants créeraient ainsi un précédent susceptible d‘entraîner une vague de poursuites.
Sources / Liens :
Weltweit erste Impfmord-Klage gegen Bill Gates https://www.wochenblick.at/corona/weltweit-erste-impfmord-klage-gegen-bill-gates/
https://2020news.de/anklage-gegen-bill-gates-in-indien/
https://indianbarassociation.in/worlds-first-vaccine-murder-case-against-bill-gates-adar-poonawalla-filed-in-indias-high-court/
Serum Institute of India https://de.wikipedia.org/wiki/Serum_Institute_of_India
https://www.theaugust.com/current/serum-institute-of-india-teams-up-with-bill-gates-gavi-foundation-for-the-development-of-covid-19-vaccine/
https://twitter.com/adarpoonawalla/status/1291660966497628160?cxt=HHwWgMCh5caz8-wjAAAA
https://www.mondialisation.ca/meurtre-par-vaccination-plainte-contre-bill-gates/5668791
Stratégiste américain: «La Russie ne peut pas être vaincue»
RépondreSupprimerPar Pierre Duval
Mondialisation.ca,
08 juin 2022
Les sanctions ne fonctionnent pas. Edward Luttwak, le consultant politique du Département d’Etat et du Pentagone qui est un spécialiste en stratégie américaine et surtout un stratégiste des plus connus dans le monde, affirme que la Russie ne peut pas être vaincue. Selon son avis, la victoire de l’Ukraine», est «impossible» .
Il considère d’ailleurs que Volodymyr Zelensky devrait courber l’échine face à la Russie pour en finir avec ce conflit et que les Occidentaux se trouvent dans l’obligation de retirer leurs sanctions afin de sortir de cette crise.
La victoire de l’Ukraine est impossible. Pour Edward Luttwak, comme il l’a répondu dans un entretien à Die Welt, la victoire de l’Ukraine dans le conflit avec la Russie est impossible, et seuls des référendums avec Donetsk (RPD) et Lougansk (RPL) peuvent mettre fin à la crise ukrainienne. Dans un tweet, il précise son analyse: «L’offensive russe pour conquérir la totalité des deux régions de Donetsk (RPD) et Lougansk (RPL) combinée à la reconquête ukrainienne de la région de Kherson pourrait offrir une sortie de guerre via des plébiscites en (RPD) et (RPL) (sous contrôle neutre total)»; «Une petite victoire pour [Vladimir Poutine] que [Volodymyr Zelensky] ne peut refuser».
Dans un autre tweet, Edward Luttwak affirme que la Russie a la supériorité militaire: «Les troupes ukrainiennes subissent une pression croissante sur les fronts attaqués car les Russes ont appris de leurs erreurs», «en plus, ils peuvent remplacer les blessés par des soldats contractuels, et ils ont encore beaucoup plus de chars».
La Russie est un pays-continent invincible. La géographie de la Fédération de Russie fait que la Russie a une présence tangible en Extrême-Orient, au Moyen-Orient, dans l’Arctique, ainsi qu’en mer Noire. Et, cet état de fait géographique mais aussi géopolitique rend (la victoire sur la Russie) absolument impossible, a déclaré l’expert en répondant à la question de savoir si les armes nucléaires seraient le seul atout entre les mains de Moscou.
Le consultant politique et auteurs de nombreux ouvrages sur la géopolitique a, clairement, précisé qu’ une victoire ukrainienne serait toujours impossible, même si la Russie n’avait pas d’arsenal nucléaire. Selon lui, c’est un fantasme d’imaginer pouvoir vaincre la Russie car l’Occident ne peut pas le faire. D’ailleurs, les sanctions introduites après le début du conflit en Ukraine contre la Russie n’ont pas pu, selon l’expert, atteindre leur objectif. Il rappelle que les citoyens russes n’ont pas du tout ressenti ces sanctions puisque la Russie, elle-même, produit de la nourriture et possède ses propres sources d’énergie.
Selon Edward Luttwak, la sortie de la crise ukrainienne n’est, donc, possible que si Kiev reconnaît la nécessité d’organiser des référendums à Donetsk (RPD) et Lougansk (RPL). «L’Ukraine ne peut pas refuser au peuple le choix. C’est le seul moyen de sortir de ce conflit», a-t-il déclaré. Dans le même temps, le conseiller politique a martelé que les référendums devraient être organisés avec la participation d’observateurs internationaux indépendants. Il a, également, reconnu que, compte tenu de la disposition actuelle, la Russie ne peut accepter un plébiscite indépendant qu’en cas de concessions des pays occidentaux, par exemple, avec la levée des sanctions.
Rappelons qu’à la fin du mois de mai, l’ancien secrétaire d’Etat américain, Henry Kissinger, a déclaré que Washington, avec ses alliés, devrait cesser d’essayer d’infliger une «défaite écrasante aux forces russes en Ukraine» car cela aurait des conséquences désastreuses pour le long terme et la stabilité en Europe. Selon l’ex-diplomate, l’Occident doit influencer l’Ukraine pour qu’elle reprenne les pourparlers de paix avec Moscou, même si Kiev doit faire un certain nombre de concessions.
https://www.mondialisation.ca/strategiste-americain-la-russie-ne-peut-pas-etre-vaincue/5668787
Pourquoi cette guerre contre les nazis soutenus par l'UE et l'OTAN dure t-elle si longtemps ? Parce que l'armée ukrainienno-bruxello-yankee tire des obus depuis le haut des immeubles à Kiev et autres villes. De ce fait l'armée russe refuse de riposter en tuant les ukrainiens qui vivent en villes et servent de boucliers.
SupprimerFaina Savenkova à Olaf Scholz : « Le meurtre d’enfants durant les huit dernières années n’est pas un génocide ? »
RépondreSupprimerPar Faina Savenkova
Mondialisation.ca,
08 juin 2022
Il y a un an, j’ai demandé au Conseil de sécurité des Nations unies et à l’UNICEF d’aider à mettre un terme au massacre d’enfants par l’Ukraine dans le Donbass. Puis il y a eu une lettre adressée au président Zelensky, au président français Macron, au pape François, à Roger Waters. Et maintenant, le chancelier allemand Olaf Scholz. En essayant de leur tendre la main, en tant que politiciens et personnalités publiques sérieuses, je ne voulais qu’une chose : être entendue. Pour que cesse le massacre des civils à Donetsk et Gorlovka. Mais, malheureusement, le chancelier est très occupé et le président Macron est en vacances. Ce sont leurs assistants et conseillers qui me répondent. Peut-être que je fais tout pour rien. Je ne sais pas. Mais j’aimerais croire qu’en dehors des politiciens et des médias, il y a des gens ordinaires qui ne veulent pas de guerre. Ni en Allemagne, ni en Europe. Et un jour, ils découvriront sûrement que pendant tout ce temps, leurs gouvernements leur ont dit des mensonges. Eh bien, je vais continuer à me battre et à écrire. Peut-être que quelqu’un entendra mon appel et que cela sauvera au moins la vie d’un enfant dans le Donbass.
***
Au Chancelier fédéral de l’Allemagne, M. Scholz
Bonjour, M. Scholz !
Mon nom est Faina. Je vis à Lougansk, j’écris des pièces et des histoires et j’essaie de lutter pour la paix.
Il y a huit ans, le 26 mai 2014, la guerre a éclaté dans mon pays natal. Et le 2 juin, un avion ukrainien a bombardé ma ville natale. Pendant tout ce temps, l’Allemagne et la France ont joué le rôle de garants de la paix, mais sont restées incapables de faire quoi que ce soit.
Dans l’une de vos interviews, vous avez déclaré qu’il n’y avait pas de génocide dans le Donbass et que ce qui se passait n’était pas un génocide du peuple russe. Le meurtre d’enfants durant les huit dernières années n’est-il pas un génocide ? Et l’interdiction de la langue russe, la démolition des monuments à Pouchkine, Tchekhov, Boulgakov ? N’est-ce pas un génocide ? L’extermination et l’arrestation de personnes qui ne sont pas d’accord avec les autorités – n’est-ce pas du fascisme ? L’existence du site Mirotvorets n’est-elle pas une violation des droits de l’homme ?
Je suis une enfant de 13 ans, et il m’est très difficile d’avoir une quelconque influence sur la situation, je dois donc demander de l’aide aux adultes. Monsieur Scholz, je voudrais vous demander votre aide et vous dire que vous ne devriez pas fournir d’armes à l’Ukraine, car cela ne fera que des victimes supplémentaires.
Nous sommes peut-être considérés comme des séparatistes en Europe, mais imaginez un peu si demain une région d’Europe voulait parler d’autonomie. Et imaginez qu’au lieu de négocier avec eux, le gouvernement allemand ou britannique, par exemple, envoie une armée contre eux et commence à bombarder la capitale de cette région. Pouvez-vous imaginer une telle chose en Europe ?
J’aimerais vraiment que l’Allemagne ne s’implique pas dans cette guerre, mais qu’elle aide à résoudre le problème de manière pacifique et qu’elle puisse influencer le président de l’Ukraine pour qu’il vienne à la table des négociations.
Les enfants ne peuvent pas dire aux adultes ce qu’ils doivent faire. Mais ils ont le droit d’avoir leur point de vue. Et de demander de l’aide.
J’ai reçu la réponse suivante :
Chère Faina,
RépondreSupprimerJe te remercie pour ta lettre du 27 mai 2022 adressée au chancelier Olaf Scholz. Comprends que le chancelier ne peut malheureusement pas te répondre personnellement. Le nombre anormalement élevé de lettres ne permet pas de le faire. Toutefois, tu peux être assurée que le chancelier prend grand soin d’exprimer les opinions et la volonté des personnes qui lui écrivent de cette manière. Toutes les lettres sont évaluées et prises en compte dans la formation de l’opinion politique.
Je te remercie de m’avoir envoyé tes réflexions personnelles. Elles ont été prises en considération.
Traduction Christelle Néant pour Donbass Insider
https://www.mondialisation.ca/faina-savenkova-a-olaf-scholz-le-meurtre-denfants-durant-les-huit-dernieres-annees-nest-pas-un-genocide/5668796
Un nouveau point sur le virus manquant
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
9 juin 2022
(L'épisode 11 de Rappoport Podcasts - "Les fusillades de masse et la connexion aux médicaments psychiatriques; L'implication du programme de contrôle mental MKULTRA de la CIA" - est maintenant publié sur ma sous-pile. C'est un blockbuster. Pour écouter, cliquez ici. Pour en savoir plus sur cet épisode des Podcasts Rappoport, cliquez ici.)
En fait, c'est un point que j'ai déjà soulevé, mais maintenant je le résume à l'essentiel.
Nous y voilà:
Si vous étiez a) honnête et b) à la tête d'une grande agence de santé publique, il y a quelque chose que vous feriez, avant de déclarer COVID une pandémie mondiale nécessitant des mesures extraordinaires (par exemple, des confinements).
Vous feriez une étude.
Une étude pour confirmer qu'un virus nouvellement découvert (SARS-CoV-2) existe vraiment et cause des maladies et des décès à l'échelle mondiale.
Après tout, c'est la revendication. Alors ne voudriez-vous pas prouver que c'est vrai ? Ne vous sentiriez-vous pas obligé de le faire, plutôt que de simplement DIRE que c'est ainsi ?
Cette étude ne se concentrerait pas sur 20, 30 ou 50 patients. Ces chiffres sont bien trop petits. Nous ne parlons pas de l'affirmation d'une épidémie virale mineure. C'est censé être un désastre titanesque.
Vous rassembleriez quelques milliers de personnes, au minimum.
Toutes ces personnes ont été diagnostiquées avec la prétendue infection pandémique.
Vous preniez des échantillons de tissus de ces patients et les analysiez. Vous les testeriez pour la présence du nouveau virus.
Comment ne pourriez-vous PAS ?
—Et pourtant, une telle étude N'A JAMAIS ÉTÉ FAITE.
JAMAIS.
Essayez de trouver des excuses pour cette omission.
RépondreSupprimerNous parlons de science à un niveau si basique qu'un enfant le comprendrait. Vous dites que X est à l'origine d'une pandémie mondiale, alors testez la présence de X. Testez-le chez un nombre suffisant de personnes. Immédiatement.
Puisque vous prétendez que plus d'un milliard de personnes pourraient être infectées, vous devriez sûrement tester au moins quelques milliers de personnes, pour vous assurer que vous avez raison.
CELA N'A JAMAIS ÉTÉ FAIT comme une étude complète.
Maintenant, nous pourrions certainement discuter du type de test que vous devriez exécuter pour voir si le virus est présent. Le test est-il précis ? Est-ce fiable ? Est-ce pertinent ? Bien sûr. J'ai couvert ce sujet de manière exhaustive. Mais là, je mets tout ça de côté. Le fait est que vous testeriez le virus.
Même les plus fervents défenseurs les plus enragés de l'existence du SARS-CoV-2 devraient être d'accord, s'ils étaient honnêtes.
Dans d'autres articles, j'ai offert de nombreuses preuves que le SRAS-CoV-2 n'existe pas, mais ici, je ne fais que souligner les points les plus élémentaires : FAITES L'ÉTUDE, FAITES LE TEST.
Alors, qu'est-ce que j'obtiens comme réponses des « défenseurs ? » Ils ignorent complètement la nécessité de l'étude de grande envergure que je demande ; et à la place, ils persistent à proposer de petites études qui se concentrent sur trois patients, 40 patients - comme si cela suffisait pour déclarer une pandémie mondiale et provoquer une destruction massive, par des confinements et d'autres mesures.
Ils continuent à insister sur le fait que ces petites études mineures sont suffisantes. Pourquoi ? Parce que c'est tout ce qu'ils ont. Alors ils prétendent qu'ils font de la bonne science.
Ils ne la sont pas.
Ils font semblant.
Certains d'entre eux savent qu'ils font semblant.
Voici une analogie que tout le monde devrait pouvoir comprendre. Mis à part le mensonge, la tricherie et la fabrication en faisant des études, lorsqu'une entreprise veut obtenir l'approbation de la FDA pour un nouveau médicament ou un nouveau vaccin, combien de personnes inscrivent-elles dans leurs essais cliniques, pour prouver l'innocuité et l'efficacité ?
DES MILLIERS.
Pas trois, ni 50.
Pfizer a recruté 30 000 personnes dans son essai clinique du vaccin ARN COVID.
Pourquoi n'ont-ils pas simplement inscrit 40 ?
Parce qu'ils ne pouvaient pas s'en passer.
Je parle ici de la pratique de recherche standard.
Alors pourquoi la même pratique standard ne s'applique-t-elle pas pour prouver l'existence d'un virus qui est censé causer des maladies et des décès à grande échelle dans le monde ?
Les défenseurs enragés du virus tentent également de faire valoir ce point : puisque des millions et des millions de personnes ont été testées positives pour le SRAS-CoV-2, cela prouve que le virus existe et cause de terribles dégâts.
C'est ce que j'appelle une preuve « après coup ».
Selon cette norme, Pfizer aurait été en mesure de commercialiser son vaccin COVID sans aucun essai clinique.
RépondreSupprimerNon. La preuve requise pour une affirmation médicale/scientifique majeure vient LORSQUE L'AFFIRMATION EST D'ABORD FAITE, avant que toutes sortes de mesures brutales ne soient prises sur la base de cette affirmation.
Les défenseurs enragés du virus tordent et déforment la science pour l'adapter à leur programme, puis prétendent BIEN SÛR que tout le monde sait que le virus existe.
Vous achetez ce qu'ils vendent à vos risques et périls. Ils ont leur histoire et ils la racontent encore et encore.
Ils sont nus, marchant sous la pluie, vous lançant des imperméables.
Reprinted with permission from Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2022/06/jon-rappoport/a-new-point-about-the-missing-virus/
(...) Pfizer a recruté 30 000 personnes dans son essai clinique du vaccin ARN COVID. (...)
SupprimerÇà, c'est l'excuse. Passons maintenant à la réalité. Combien de personnes ont examiné le 'vaccin' avant de piquer ? Réponse: ZÉRO ! Pourquoi ? Parce qu'elles sont là pour piquer et non pour examiner ! Et tac !
Donc: il a été fait 30 000 piqûres de sérum physiologique (eau saline).
Comme pour le virus qui demeure INVISIBLE depuis plus de 2 ans et contre quoi aurait été produit un 'vacccin' !!
Lufthansa supprime 900 vols cet été, faute de personnel
RépondreSupprimer9 juin 2022, 16:09
Le transporteur allemand a annoncé, jeudi, devoir biffer cet été environ 900 vols, depuis ou à destination de Francfort ou Munich.
Comme d’autres compagnies, Lufthansa peine à recruter suffisamment de personnel en vue des mois de juillet et août.
Le géant allemand du transport aérien, Lufthansa, a annoncé jeudi, supprimer quelque 900 vols en juillet, dans un contexte de pénurie de personnel frappant l’ensemble du secteur aérien européen. Saluant le rebond des réservations avec la levée de la plupart des restrictions anti-Covid en Europe, Lufthansa a admis dans un communiqué ne pas être en mesure de faire face à une telle demande.
«L’infrastructure ne s’est pas encore complètement remise de la plus grave crise subie par l’aviation» qu’a constituée la pandémie, explique Lufthansa. Devant des «difficultés financières et une pénurie de personnel», le groupe a décidé d’annuler en juillet 900 vols allemands et européens prévus les vendredi et week-ends au départ et à destination des «hubs» de Francfort et Munich. Cela correspond à 5 % des sièges normalement ouverts à la réservation.
Annulations en Europe
Sa filiale low-cost Eurowings s’est également dite, dans le même communiqué, contrainte de supprimer «plusieurs centaines de vols» en juillet. Lufthansa n’est pas le premier groupe européen à renoncer à des vols, faute de personnel. Également filiale de Lufthansa, Swiss a indiqué mardi devoir procéder à des dizaines d’annulations cet été, ce qui correspond à environ 2 % de ses passagers ayant réservé en juillet et août. Et en mai, la compagnie néerlandaise KLM avait annulé des dizaines de vols.
Pénuries de personnel
«Le défi dans l’immédiat est de gérer la hausse soudaine du trafic, étant donné que la pandémie a eu pour effet d’énormément réduire les ressources des aéroports et de la manutention au sol», reconnaissait début mai, Olivier Jankovec, le directeur général d’ACI Europe, principale association des aéroports européens.
Le personnel manque aussi bien dans les aéroports et le contrôle aérien que dans les compagnies. Mais le secteur peine à réembaucher alors que le marché du travail est «très tendu dans toute l’Europe», d’après Olivier Jankovec. En deux ans de crise sanitaire et de restrictions, Lufthansa a subi des pertes abyssales et supprimé plus de 30’000 emplois.
Arriver en avance
Les personnes ayant déjà réservé des vols seront informées des annulations et leur réservation modifiée, a assuré Lufthansa. Pour éviter l’engorgement des aéroports, la compagnie a recommandé à ses passagers d’arriver en avance, de s’enregistrer en ligne et de réduire à un minimum leur bagage à main. En mai, Lufthansa s’était réjouie de l’augmentation continue des réservations et avait anticipé un «été record» du point de vue touristique.
https://www.lematin.ch/story/lufthansa-supprime-900-vols-cet-ete-faute-de-personnel-169320307226
D'un côté il y a un nombre de pilotes morts en vols et aussi de passagers (mais de ceux-là on en parlera pas) et de l'autre l'obligation de se faire... inoculer !
SupprimerSAS: les pilotes menacent d’une grève illimitée à partir de fin juin !
Les médias grand public dans le contrôle des dégâts alors que de plus en plus d'Américains tombent malades et meurent après avoir pris des vaccins COVID-19
RépondreSupprimerjeudi 09 juin 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les grands médias américains font des heures supplémentaires pour diffuser des articles affirmant que les vaccins et les rappels contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont efficaces alors que la réalité prouve le contraire.
"La propagande a immédiatement commencé dès que les données ont commencé à montrer que ceux qui ont été injectés plusieurs fois ne s'en sortent pas aussi bien que ceux qui se sont abstenus de se faire vacciner", a écrit Mac Slavo pour SHTF Plan. "Les médias grand public veulent que vous sachiez que ce ne sont pas les injections de rappel qui augmentent le risque de contracter le COVID." (Connexe: Patrick Gunnels dit au Dr Lee Merritt: Les Américains sont les personnes les plus éclairées au monde en matière de vaccins – Brighteon.TV.)
Alexander Tin, écrivant pour CBS News, a tenté d'affirmer que l'augmentation des taux d'hospitalisation et de mortalité dans les hôpitaux américains ne signifie pas que les vaccins de rappel sont inefficaces ou qu'ils augmentent d'une manière ou d'une autre le risque de contracter le COVID-19.
"Les études en cours continuent de fournir des preuves solides de la protection supplémentaire offerte par les injections de rappel contre l'infection, les maladies graves et la mort", a écrit Tin.
Au lieu de cela, ce que CBS News propose comme justification supposée de l'augmentation soudaine des infections, des hospitalisations et des décès liés au COVID-19, c'est que les vaccins ne sont tout simplement pas destinés à prévenir les infections, mais simplement à réduire le risque d'hospitalisation et de décès.
John Moore, professeur de microbiologie et d'immunologie au Weill Cornell Medical College, s'est entretenu avec CBS News et a admis que la variante omicron, que les médias grand public ont alarmée il y a des mois, peut encore percer les protections contre les anticorps censées être fournies par les vaccins COVID-19.
Mais Moore a ajouté que les personnes entièrement vaccinées et boostées qui contractent encore des infections percées ne connaîtront que des infections bénignes. Il a également reproché aux gens de croire qu'ils sont protégés par le vaccin.
"Ainsi, l'une des dynamiques ici est que les gens se sentent, après la vaccination et le rappel, qu'ils sont plus protégés qu'ils ne le sont réellement, donc ils augmentent leurs risques", a-t-il déclaré. "C'est, je pense, le principal moteur de ces statistiques."
Le gouvernement continue de faire pression pour plus de vaccinations
RépondreSupprimerCertaines des données sont trop remarquables, même pour que les médias grand public puissent les nier. Les informations du gouvernement fédéral montrent que les cas de COVID-19 sont à nouveau en hausse, mais cette fois, davantage de ces nouveaux cas proviennent d'Américains vaccinés et boostés.
De plus, les données montrent également que de plus en plus d'individus complètement vaccinés constituent le nombre de personnes qui meurent du COVID-19.
Mais bien que les médias l'aient admis, les responsables de la santé du gouvernement affirment toujours que la meilleure option pour les gens est de se faire vacciner et de se faire vacciner.
"Presque personne dans ce pays ne devrait mourir du COVID" si seulement il se faisait vacciner et prenait ses rappels, a affirmé le Dr Robert Califf, commissaire de la Food and Drug Administration (FDA), lors d'une apparition sur CNN. "Ce dont nous devrions vraiment nous inquiéter, c'est d'obtenir les rappels dont nous avons besoin pour rester à jour, donc avec les nouvelles variantes que nous avons, nous n'avons pas les décès et les hospitalisations inutiles."
Le Dr Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA, a également affirmé qu'une poussée se produisait cet automne et cet hiver et que le seul moyen de l'empêcher était de faire vacciner et stimuler davantage d'Américains contre le COVID-19.
"Il est vraiment important que nous essayions d'obtenir la moitié - ou un peu plus de la moitié - des Américains qui n'ont reçu que deux doses pour obtenir cette troisième dose", a-t-il déclaré lors d'une autre apparition sur CNN. "Cela peut faire une différence pour aller de l'avant ici, et cela peut particulièrement faire une différence maintenant que nous entrons dans une nouvelle vague de COVID-19."
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, parle de l'augmentation soudaine du nombre de personnes complètement vaccinées, mais qui sont soit mourantes, soit mortes.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
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Dr. Zelenko shares how the MSM smeared him for revealing the cure to COVID – Brighteon.TV.
It’s Kristallnacht again, as “our free press” ramps up its war on the “unvaccinated.”
New head of left-leaning Toronto Star said last year she opposes COVID vaccine passports in now-deleted tweet.
WSJ misleads public on ivermectin, ignores latest revelations about ‘hidden author’ who undermined its efficacy.
Sources include:
SHTFPlan.com
CBSNews.com
Edition.CNN.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-media-damage-control-vaccinated-americans-dying-covid.html
(...) Le Dr Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research de la FDA, a également affirmé qu'une poussée se produisait cet automne et cet hiver et que le seul moyen de l'empêcher était de faire vacciner et stimuler davantage d'Américains contre le COVID-19. (...)
SupprimerCela montre bien la lâcheté, le mensonge, l'escroquerie organisé que de prétendre que 'cet automne et cet hiver' reviendrait une poussière (appelée 'virus') qui ne sera toujours pas dans l'air, sera donc invisible mais mais sera disponible en seringues ! Ouf !
DÉMANTÈLEMENT DE L'AMÉRIQUE : une énorme raffinerie de pétrole du Texas va fermer dans un contexte de prix du gaz record
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Une raffinerie de pétrole de plus de 100 ans à Houston est sur le point de fermer, ses propriétaires affirmant que les coûts de mise à niveau sont tout simplement trop élevés.
L'installation, qui est exploitée par LyondellBasell Industries, s'étend sur 700 acres et a été construite en 1918. Elle produit actuellement environ 200 000 barils de carburant par jour et devrait fermer définitivement en 2023 - ou peut-être même plus tôt dans le cas où un "équipement majeur défaillance » s'étend à deux unités principales de l'installation.
Deux personnes familières avec les problèmes de la raffinerie ont déclaré à Reuters que d'importants travaux de rénovation doivent être effectués, mais que les coûts sont très élevés et probablement irréalisables (Connexe : les prix du gaz naturel montent également en flèche).
"Après avoir analysé en profondeur nos options, nous avons déterminé que quitter l'activité de raffinage d'ici la fin de l'année prochaine est la meilleure voie stratégique et financière pour l'entreprise", a déclaré Ken Lane, directeur de LyondellBasell, dans un communiqué.
L'installation fait partie des 25 raffineries ayant la plus grande capacité aux États-Unis, qui souffrent actuellement des prix de l'essence les plus gonflés de l'histoire du pays.
Le régime Biden détruit l'Amérique à une vitesse vertigineuse
Depuis le lancement de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), six raffineries aux États-Unis d'une capacité d'environ 801 000 barils par jour (bpj) de pétrole ont fermé boutique. Cinq autres raffineries d'une capacité de 408 100 bpj de pétrole restent inactives - le plus grand nombre de raffineries inactives depuis 2012.
"La pandémie de COVID a vraiment fait baisser la demande d'essence et de diesel, ce qui a accéléré certaines choses qui se produisaient déjà", a déclaré Geoff Moody, vice-président des relations gouvernementales chez American Fuel & Petrochemical Manufacturers, à la Daily Caller News Foundation.
"Il y avait déjà une certaine contraction dans l'industrie en raison des baisses prévues de la demande d'essence aux États-Unis à l'avenir et les entreprises décidaient simplement que les actifs étaient mieux utilisés comme d'autres projets ou fermaient complètement", a-t-il ajouté.
"Certains d'entre eux ont été très axés sur les politiques et les entreprises ont décidé que cela ne valait pas la peine de continuer à exploiter ces actifs."
Avec des prix de l'essence et du diesel déjà à des niveaux record, la fermeture continue des raffineries aura un impact absolument dévastateur sur l'économie nationale. L'approvisionnement en diesel a également atteint des niveaux historiquement bas sur la côte Est, le diesel étant le carburant nécessaire aux camions pour transporter les marchandises.
Le régime Biden est introuvable, comme d'habitude, et aggrave en fait le problème en poussant l'énergie "verte" des déchets et en envoyant des milliards à l'étranger vers l'Ukraine.
RépondreSupprimerLes détenus dirigent l'asile, en d'autres termes - s'il y a même quelqu'un à la barre. L'Amérique est sur ses dernières jambes, et la fermeture de la raffinerie de Houston n'est que le prochain domino à tomber.
"Ces 40 milliards de dollars que Josef Biden a donnés à l'Ukraine auraient dû être utilisés pour moderniser ou reconstruire cette installation", a écrit quelqu'un de WND.
«L'administrateur Biden. déteste les Américains, déteste l'Amérique et déteste les succès énergétiques », a ajouté un autre. "L'énergie" verte "est un mensonge, incapable d'avoir une grande influence sur les besoins énergétiques des États-Unis, et les éoliennes et les énergies solaires sont toutes construites ou composées de" minéraux de terres rares "chinois et africains, souvent fournis par le travail des enfants esclaves."
Quelqu'un d'autre a écrit que «l'épine dorsale de l'Amérique» est le transport qui repose sur l'essence et le diesel. Ce dont ce pays a besoin plus que tout pour maintenir son économie et tout semblant de prospérité, c'est plus de raffineries de pétrole, pas moins.
"Nous devons nous débarrasser de Washington, D.C., qui ne représente PAS les besoins de ses électeurs et ne comprend apparemment pas l'économie ou "l'offre et la demande"", a déclaré quelqu'un d'autre.
D'autres informations sur le démantèlement technique de l'infrastructure énergétique américaine sont disponibles sur Collapse.news.
Les sources comprennent :
WND.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-texas-oil-refinery-shutdown-record-gas-prices.html
Kim Dotcom décompose la véritable échelle de la dette publique américaine
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
9 juin 2022
Le PDG de la technologie néo-zélandaise, Kim Dotcom, a fait le calcul sur la dette souveraine des États-Unis et il a tweeté un fil à ce sujet, disant que c'est peut-être le fil le plus important qu'il puisse jamais faire.
Kim explique que les dépenses et la dette américaines sont devenues incontrôlables et que le gouvernement ne peut lever l'argent dont il a besoin qu'en en imprimant davantage, ce qui signifie que l'hyperinflation est garantie.
Il dit que cela dure depuis des décennies et qu'il n'y a aucun moyen d'y remédier et que les États-Unis s'en sont tirés si longtemps, car le dollar américain est la monnaie de réserve mondiale. Lorsque le gouvernement américain imprime des milliards de dollars, il vole ainsi les Américains et le monde entier dans ce qu'il appelle le plus grand vol de l'histoire.
Il dit que la dette américaine totale s'élève à 90 000 milliards de dollars, ce qui, avec 169 000 milliards de dollars de passifs non financés, totalise 259 000 milliards de dollars, soit 778 000 dollars par citoyen américain ou 2 067 000 dollars par contribuable américain.
Maintenant, la valeur de tous les actifs américains combinés : chaque terrain, l'immobilier, toutes les économies, toutes les entreprises, tout ce que tous les citoyens, entreprises, entités et l'État possèdent vaut 193 000 milliards de dollars.
Notre dette totale, 259 000 milliards de dollars moins notre valeur nette totale, 193 000 milliards de dollars, équivaut à moins 66 000 milliards de dollars de dette et de passif après la vente de tous les actifs aux États-Unis.
Ainsi, même si les États-Unis pouvaient vendre tous leurs actifs à leur valeur actuelle, ce qui est impossible, ils seraient toujours fauchés.
C'est là qu'intervient la « grande réinitialisation » et il demande : « Est-ce une démolition contrôlée des marchés mondiaux, des économies et du monde tel que nous le connaissons ? Un passage à un nouvel avenir dystopique où les élites sont les maîtres des esclaves sans les cosmétiques de la démocratie ? »
Il note à quel point le monde a tellement changé ces dernières années et que plus rien ne semble avoir de sens. Il voit la corruption flagrante et les médias de propagande évidents et l'érosion de nos droits, mais il ne sait pas où tout cela va et il termine le fil en demandant: "Quelle est la fin du jeu?"
Comme le dit Harrison Smith de l'American Journal, "C'est un système pyramidal. Les gens qui commettent le système pyramidal sont en charge de tout… ils vont sacrifier l'humanité pour maintenir leur système…
"L'économie mondiale est en train de s'effondrer, le système d'approvisionnement alimentaire est détruit, l'énergie sur laquelle nous comptons pour maintenir la civilisation est réduite et éliminée et nous serons contraints à la Grande Réinitialisation où nous ne posséderons rien."
L'ancien stockpicker de BlackRock, Ed Dowd, estime que toute l'imposture du COVID a été créée pour couvrir l'effondrement financier et que de nouveaux blocages arrivent, pour tenter d'atténuer la violence et le chaos inévitables auxquels nous pouvons nous attendre à assister dans les rues.
Nous avons également vu comment le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, estime également que COVID et le coup de grâce sont un canular élaboré pour provoquer un effondrement des monnaies souveraines afin d'entraîner la grande réinitialisation et l'introduction de monnaies numériques programmables de la banque centrale (CBDC), pour une population entièrement contrôlée, dans laquelle les gens ne pourront pas acheter de nourriture, etc. à moins que les algorithmes ne le permettent et les indésirables peuvent fondamentalement mourir de faim via l'intelligence artificielle.
Kim Dotcom 5 juin 2022 Discussion
C'est peut-être le fil le plus important que j'aie jamais créé. Une vue d'ensemble sur l'effondrement mondial majeur qui s'annonce.
Je vais essayer de vous aider à comprendre pourquoi l'avenir n'est pas ce que nous espérons. C'est pire que ce que la plupart peuvent imaginer.
RépondreSupprimerNos dirigeants le savent.
Mais que prévoient-ils ?
Les États-Unis n'ont pas eu d'excédent ni de budget équilibré depuis 2001. Au cours des 50 dernières années, les États-Unis n'ont eu que 4 années de profit. En fait, tous les bénéfices des États-Unis ne suffiraient pas à payer 6 mois du déficit annuel actuel. Alors, comment les États-Unis ont-ils payé les choses ?
Les dépenses et la dette des États-Unis sont devenues incontrôlables et le gouvernement ne peut lever l'argent dont il a besoin qu'en l'imprimant. Cela provoque l'inflation. C'est comme vous imposer davantage parce que vous payez plus pour les choses dont vous avez besoin et que tous vos actifs perdent de la valeur.
Voyez la frénésie de l'impression monétaire aux États-Unis :
La raison pour laquelle les États-Unis s'en sont tirés si longtemps est que l'USD est la monnaie de réserve mondiale. Les nations du monde entier détiennent l'USD comme un actif sûr. Ainsi, lorsque le gouvernement américain imprime des billions, il vole les Américains et le monde entier. Le plus grand vol de l'histoire.
Le problème est que cela dure depuis des décennies et qu'il n'y a maintenant aucun moyen de le réparer. La réalité est que les États-Unis sont en faillite depuis un certain temps et ce qui s'en vient est un cauchemar : la pauvreté de masse et un nouveau système de contrôle. Laissez-moi vous expliquer pourquoi ce n'est pas seulement un discours pessimiste.
La dette totale des États-Unis s'élève à 90 000 milliards de dollars. Les passifs non financés des États-Unis s'élèvent à 169 000 milliards de dollars. Ensemble, cela représente 778 000 $ par citoyen américain ou 2 067 000 $ par contribuable américain 
N'oubliez pas que la seule façon dont le gouvernement américain peut fonctionner maintenant est d'imprimer plus d'argent. Ce qui signifie que l'hyperinflation est inévitable.
La valeur totale de TOUTES les sociétés cotées sur le marché boursier américain est de 53 000 milliards de dollars. La valeur réelle est beaucoup plus faible parce que les États-Unis ont imprimé des billions pour fournir des prêts sans intérêt aux banques d'investissement afin de gonfler le marché boursier. C'est une arnaque.
La majeure partie des 53 billions de dollars est aérienne.
La valeur de tous les actifs américains combinés, de chaque terrain, de l'immobilier, de toutes les économies, de toutes les entreprises, de tout ce que tous les citoyens, entreprises, entités et l'État possèdent vaut 193 000 milliards de dollars.
Ce nombre est également plein d'air, tout comme le marché boursier américain.
RépondreSupprimerDette totale des États-Unis
90 billions de dollars ---- (mille (x 1000 =) million, (x 1000 =) milliard, (x 1000 =) billion, (x 1000 =) billiard, (x 1000 =) trillion, etc)
Passifs non financés aux États-Unis
169 billions de dollars
Total
259 billions de dollars
Moins tous les actifs américains
193 billions de dollars
Solde
– 66 000 milliards de dollars
Cela représente 66 billions de dollars de dettes et de passifs après la vente de tous les actifs aux États-Unis.
Do you understand ?
Ainsi, même si les États-Unis pouvaient vendre tous leurs actifs à leur valeur actuelle, ce qui est impossible, ils seraient toujours fauchés.
Les États-Unis sont au-delà de la faillite.
Ce patient est déjà mort.
Ce patient est maintenant un zombie.
Vous vous demandez probablement pourquoi les choses continuent ? Pourquoi tout ne s'est-il pas encore effondré.
Tout est perception, déni et dépendance.
La perception est que les États-Unis ont la plus grande économie et l'armée la plus puissante du monde. Mais en réalité, les États-Unis sont fauchés et ne peuvent pas se permettre leur armée.
Le déni est que toutes les nations dépendent d'un dollar fort ou que les marchés mondiaux s'effondrent.
La raison pour laquelle le zombie américain continue d'exister est que la fin des États-Unis est la fin de la prospérité occidentale et un aveu que le système actuel a échoué en tant que modèle pour le monde. Cela ne change rien à la réalité. L'effondrement est inévitable et à venir.
Que prévoient nos dirigeants ?
Vous avez peut-être entendu parler de la « grande réinitialisation » ou du « nouvel ordre mondial ». Est-ce une démolition contrôlée des marchés mondiaux, des économies et du monde tel que nous le connaissons ?
Un passage à un nouvel avenir dystopique où les élites sont les maîtres des esclaves sans les cosmétiques de la démocratie ?
Sans une démolition contrôlée, le monde s'effondrera pour tous, y compris les élites. Le monde a tellement changé et plus rien ne semble avoir de sens, la corruption flagrante est au grand jour, les médias de propagande évidents, l'érosion de nos droits.
Quel est le jeu final ?
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/06/no_author/kim-dotcom-breaks-down-the-true-scale-of-us-government-debt/
😎 Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
Supprimerhttps://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
La crise de la pénurie alimentaire due aux fermetures pandémiques et à la guerre économique peut s'avérer mortelle pour beaucoup
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Une figure de proue de la santé mondiale avec une carrière bancaire distinguée a révélé que la pénurie alimentaire et la flambée des prix des aliments et de l'énergie pourraient tuer des millions de personnes à la fois directement et indirectement.
Peter Sands, directeur exécutif du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, une organisation internationale de financement et de partenariat, a déclaré à Reuters dans une interview le 7 juin que les pénuries alimentaires croissantes provoquées par le conflit russo-ukrainien pourraient représenter la même menace pour la santé. au monde comme la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).
« Les pénuries alimentaires fonctionnent de deux manières. La première est que vous avez la tragédie de personnes qui meurent de faim. Mais deuxièmement, il y a le fait qu'un nombre souvent beaucoup plus élevé de personnes sont mal nourries, ce qui les rend plus vulnérables aux maladies existantes », a déclaré Sands.
En outre, Sands a déclaré que des investissements étaient nécessaires pour renforcer les systèmes de santé afin de se préparer aux conséquences de la crise alimentaire, qui fait partie du mandat du Fonds mondial.
L'organisation basée à Genève vise à lever 18 milliards de dollars pour stimuler les systèmes de santé, lutter contre les trois principales maladies de son titre et inverser les revers causés par la pandémie. Ils ont relevé un tiers de leur objectif pour l'année 2024 à 2026.
Sands a déclaré que les efforts déployés par les «experts mondiaux» pour améliorer la préparation à la pandémie ne devraient pas inclure l'erreur «classique» de ne se préoccuper que des crises qui ressemblent à la dernière catastrophe mondiale.
«Ce n'est pas aussi bien défini qu'un tout nouveau pathogène apparaissant avec de nouveaux symptômes distinctifs. Mais cela pourrait bien être tout aussi meurtrier », a déclaré Sands.
L'Organisation mondiale de la santé estime qu'environ 15 millions de personnes pourraient être mortes du coronavirus ou de son impact sur des systèmes de santé débordés au cours des deux dernières années. La plupart des décès se sont produits en Asie du Sud-Est, en Europe et dans les Amériques.
ONU : Nous prendrons de la nourriture aux affamés pour nourrir les affamés
Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies (ONU) a trouvé une solution pour faire face à la famine mondiale qui se profile.
David Beasley, le directeur exécutif du PAM, a déclaré : « Juste au moment où vous pensez que la crise alimentaire mondiale ne pouvait pas s'aggraver il y a plus d'un an, vous aviez l'Éthiopie et l'Afghanistan, puis le grenier du monde [l'Ukraine] – vient d'avoir les plus longues files d'attente du monde - et donc maintenant à cause de cette crise, nous prenons de la nourriture aux affamés pour la donner à d'autres 'affamés'," a déclaré Beasley au public.
RépondreSupprimerLes agences d'aide qui travaillent dans les pays ayant les besoins les plus urgents, notamment le Yémen, l'Afghanistan, le Soudan du Sud et l'Éthiopie, ont des difficultés à faire fonctionner le financement.
En mars, le PAM avait déjà réduit les rations pour huit millions de personnes au Yémen, mais le nombre de ceux qui en ont le plus désespérément besoin continue d'augmenter. De plus, en Afghanistan, l'organisation de lutte contre la faim manque de 525 millions de dollars par rapport au financement dont elle a besoin de toute urgence pour les six prochains mois. En Éthiopie, il manque plus de 300 millions de dollars au fonds cible de 957 millions de dollars. Les communautés du Soudan du Sud ont eu recours au pillage des fournitures d'aide et aux attaques des travailleurs humanitaires car elles ont encore besoin de 529 millions de dollars.
Au Sri Lanka, des protestations ont déjà éclaté contre les pénuries de nourriture et de carburant et le comté a déjà déclaré faillite. Un chaos similaire qui met en danger l'ordre social et économique est également observé en Indonésie, au Pérou et au Pakistan.
Beasley a averti que ce n'est "qu'un signe des choses à venir". (En relation: L'effondrement mondial des récoltes est désormais une certitude… une famine généralisée qui affligera la planète Terre de 2022 à 2024… elle est déclenchée et ne peut être arrêtée.)
Il a également déclaré qu'il y avait environ 49 millions de personnes dans 43 autres pays dont le monde devait être extrêmement préoccupé en raison de l'émergence de la famine, de la déstabilisation et de la migration de masse.
En avril, la Fondation Rockefeller a averti qu'une crise alimentaire massive et immédiate surgirait dans les pays les plus pauvres après l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Les États-Unis devraient diriger les efforts pour "financer entièrement" le PAM et pré-positionner des approvisionnements alimentaires d'urgence dans les pays qui devraient faire face à des pénuries alimentaires au cours des six prochains mois, a déclaré le président de la fondation, Rajiv Shah, dans une interview à Bloomberg TV.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle des pénuries alimentaires dans six mois.
Cette vidéo provient de la chaîne Wardo Rants sur Brighteon.com.
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NO LONGER A CONSPIRACY THEORY: Global elites have joined forces to form one world government.
Globalists want to track your “individual carbon footprint” for total control over your travel, food and consumption of goods.
Worldwide famine looms as Russia-Ukraine conflict drags on.
The global UPRISING begins: Fiat currencies melt down while food and fuel inflation unleashes SUDDEN POVERTY for billions (who will soon face worldwide FAMINE.)
In new video, Mike Adams and Steve Quayle warn about the “planned” and “orchestrated” extermination of the human race.
Sources include:
Reuters.com
NYPost.com
TheGlobalFund.org
NBCNews.com
SHTFplan.com
TheGuardian.com
ThePrint.in
Bloomberg.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-food-shortage-due-to-pandemic-war-deadly.html
Désormais, le mot réfugié climatique sera remplacé par réfugié de la famine ! afin de justifier la venue à pieds de milliers de personnes sur des milliers de kilomètres sans boire ni manger ! HAHAHAHAHAHA !
SupprimerL'approvisionnement alimentaire mondial diminue alors qu'une «tempête parfaite» de problèmes frappe de toutes parts
RépondreSupprimerjeudi 09 juin 2022
par : Roy Green
(Nouvelles naturelles) Comment les temps ont changé. Les États-Unis, connus pour être le pays de l'abondance, le leader mondial éternel de l'exportation de produits alimentaires, ressentent maintenant le pincement des rendements agricoles réduits, la faim constituant une menace légitime pour une énorme partie de la population.
Une congruence de facteurs atténuants assimilée à une «tempête parfaite» a réduit la production alimentaire, affecté la stabilité du secteur agricole et ébranlé l'économie dans son ensemble. (Connexe: Des millions de personnes sont confrontées à une famine sévère alors que la guerre, la sécheresse et les mauvaises politiques gouvernementales exacerbent les pénuries alimentaires mondiales.)
La sécheresse prolongée, l'hiver rigoureux dans certaines régions, la flambée des prix des engrais et du pétrole, les perturbations de la chaîne d'approvisionnement, la pandémie de grippe aviaire, le verdissement des agrumes, les mauvaises politiques gouvernementales, la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) et l'invasion russe de l'Ukraine ont tous contribué à la diminution de l'approvisionnement alimentaire qui approche maintenant d'un niveau critique, une situation inédite dans cette destination de rêve auparavant.
Et sans solution immédiate, la pénurie alimentaire ne pourrait que s'aggraver dans les mois à venir.
Pour citer quelques cas, la production de viande bovine devrait baisser de 7 % l'année prochaine. En effet, la pire sécheresse depuis au moins 1 200 ans ravage les régions occidentales du pays, réduisant les zones de pâturage et obligeant les éleveurs à réduire la taille de leurs troupeaux en raison des coûts élevés des aliments complémentaires.
En conséquence, les prix des bovins devraient également atteindre de nouveaux sommets en raison de la hausse des coûts de production. Bien sûr, les emballeurs de viande comme Tyson Foods Inc., JBS USA Holdings Inc., Cargill Inc. et National Beef Packing Co. seront touchés, bien qu'il soit fort probable qu'ils ne feront que répercuter les coûts supplémentaires sur les consommateurs.
Les prix du bœuf haché et du poulet ont également grimpé au-delà des niveaux précédents. Avec de vastes terres desséchées rendues stériles, la récolte de blé d'hiver s'est avérée inférieure de huit pour cent à celle de l'année dernière. Le département américain de l'Agriculture, dans son rapport sur la production agricole du 12 mai, prévoit que la production de blé d'hiver de cette année sera de 1,173 milliard de boisseaux, soit huit pour cent de moins que les 1,22 milliard de boisseaux de l'année dernière.
Il n'y a pas de surprise là-bas car la superficie totale cultivée consacrée au blé est tombée à 24,5 millions d'acres, en baisse de 965 000 acres par rapport à l'année dernière. Le rendement moyen est tombé à 47,9 boisseaux par acre, ce qui est inférieur aux 50,2 boisseaux par acre enregistrés en 2021.
Les conditions météorologiques humides anormales dans le Midwest ont également affecté les cultures, car les semis de printemps ont été retardés et ne se sont jamais complètement rétablis.
Dans son dernier rapport sur l'état d'avancement des cultures, le ministère de l'Agriculture a déterminé que seulement « 49 % de la superficie de maïs et 30 % de la superficie de soja ont été plantés dans les 18 États étudiés, une forte baisse par rapport aux 78 % et 58 % de superficie affichés l'année dernière, respectivement."
Pendant ce temps, plus de 37 millions de poulets et de dindes ont été anéantis ou abattus dans le pays en raison de la pandémie de grippe aviaire qui a frappé l'année dernière.
Avec le troupeau réduit, la production d'œufs a également diminué et, naturellement, les prix augmentent. Selon les rapports, une douzaine de gros œufs bruns de qualité A de Happy Egg sont maintenant vendus pour 4,99 $. Mais en raison de l'offre limitée, les consommateurs sont obligés d'acheter les œufs malgré les prix gonflés.
RépondreSupprimerLe verdissement des agrumes dévaste les bosquets de Floride
Une autre maladie des plantes paralysante fait rage dans les bosquets de Floride. Le verdissement des agrumes, ou maladie du dragon jaune, a dévasté des millions d'acres, les arbres infectés produisant des fruits verts, difformes ou amers. Jusqu'à présent, cela a abouti à la pire récolte d'agrumes de Floride en 70 ans. De plus, s'il n'est pas traité, il tuera l'oranger en quelques années.
Pas étonnant, l'administration Biden s'inquiète.
Les récoltes alimentaires de cette année seront certainement moins importantes que prévu et entraîneront des prix plus élevés.
Avec la production et la distribution mondiales affectées par la guerre russo-ukrainienne, les États-Unis auraient du mal à stocker suffisamment de nourriture pour leurs citoyens. En effet, l'offre mondiale est également limitée, entravée par les mêmes facteurs qui ont fait chuter la production agricole des États-Unis.
Selon Sara Menker, PDG de Gro Intelligence, les approvisionnements alimentaires mondiaux diminuent rapidement. "Nous n'avons actuellement que 10 semaines de consommation mondiale en stock dans le monde", a déclaré Menker. "Les conditions aujourd'hui sont pires que celles connues en 2007 et 2008."
Pendant ces périodes, les prix du riz ont augmenté de 224 % ; les prix du blé ont augmenté de 108 % ; et le maïs a augmenté de 89 %. Ces flambées de prix ont contribué à l'insécurité alimentaire dans le monde entier ; conduit à des troubles civils dans plusieurs pays; et généré des appels à l'aide alimentaire de la part de 36 pays.
Bien que les flambées des prix ne soient pas encore à ces niveaux, il vaut mieux agir maintenant car les agences gouvernementales estiment que « les stocks actuels de blé tournent autour de 33 % de la consommation annuelle ».
Cependant, sur la base de modèles créés par Gro Intelligence, le chiffre réel est plutôt de 20 %. "Il est important de noter que les niveaux de stocks de céréales les plus bas que le monde ait jamais connus se produisent maintenant alors que l'accès aux engrais est très limité", a ajouté Menker.
Si la situation ne s'améliore pas, les experts estiment qu'un cinquième de la population mondiale, soit jusqu'à 1,7 milliard de personnes, pourraient bientôt connaître la pauvreté et la faim si le conflit russo-ukrainien se poursuit. En effet, l'Ukraine et la Russie représentent plus d'un quart des exportations mondiales de blé, et la Russie est le deuxième exportateur mondial de pétrole après l'Arabie saoudite.
C'est pourquoi la demande dans les banques alimentaires du monde entier est en hausse. Le Global Food Banking Network, qui compte des banques alimentaires membres dans 44 pays, signale que la hausse des prix des denrées alimentaires contribue à une augmentation de la demande d'aide alimentaire d'urgence.
RépondreSupprimerEt ces situations persisteront jusqu'à ce que les conditions météorologiques bizarres se normalisent, que la confrontation russo-ukrainienne soit résolue, que la chaîne d'approvisionnement et la distribution des produits se régularisent et que les épidémies de nouvelles maladies soient évitées.
Visitez FoodCollapse.com pour plus de nouvelles connexes.
Regardez cette vidéo alors que John Kerry avertit que l'effondrement de l'approvisionnement alimentaire tuera cent millions de personnes.
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The food supply is collapsing, and chemical companies are partly to blame.
Sources include:
EndOfTheAmericanDream.com
NBCNews.com
World-Grain.com
Bloomberg.com
APHIS.USDA.gov
ReliefWeb.int
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-global-food-supply-shrinking-perfect-storm-problems.html
Remarquez que tout-à-coup toute la merde tombe d'un seul coup ! C'est le pétrole, le blé, l'engrais, l'huile de tournesol, demain sera le jus d'orange, le poivre et pourquoi pas de grand retour du pq !
SupprimerComment créer la famine faute de perturbations météorologiques ? Il suffit d'augmenter le prix des engrais, le prix des semences, des plastiques de serres, etc, etc ! De cette façon les paysans n'auront jamais les moyens de semer, d'amender et de remplir le réservoir du tracteur !
Donc, la famine est FABRIQUÉE PAR LE GOUVERNEMENT DE MERDE EN PLACE !
La pollution plastique mondiale devrait tripler d'ici 2060
RépondreSupprimerJeudi 09 juin 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) La quantité de déchets plastiques dans le monde devrait presque tripler au cours des quatre prochaines décennies si des mesures radicales ne sont pas prises pour contrôler le niveau de pollution.
C'est l'avertissement lancé par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un nouveau rapport publié vendredi 3 juin.
Selon le rapport intitulé "Global Plastics Outlook: Policy Scenarios to 2060", près des deux tiers des déchets plastiques qui pollueront l'environnement d'ici 2060 proviendront de produits à usage unique et à courte durée de vie tels que des jouets bon marché, des biens de consommation , articles ménagers, emballages et textiles.
Le rapport a établi des projections de la production et de la consommation futures de plastique en plus d'une série de scénarios politiques qui, s'ils étaient légiférés, pourraient réduire considérablement l'ampleur de la crise que l'humanité a provoquée avec sa dépendance excessive aux plastiques bon marché. (Connexe: RAPPORT: Réduire la pollution plastique mondiale nécessiterait d'arrêter la production de plastique, d'améliorer la gestion des déchets, de participer aux nettoyages)
« Si nous voulons un monde sans pollution plastique, conformément aux ambitions de l'Assemblée des Nations Unies pour l'environnement, nous devrons prendre des mesures beaucoup plus strictes et coordonnées à l'échelle mondiale. Ce rapport propose des politiques concrètes qui peuvent être mises en œuvre tout au long du cycle de vie des plastiques et qui pourraient réduire considérablement – voire éliminer – les fuites de plastique dans l'environnement », a déclaré le Secrétaire général de l'OCDE, Mathias Cormann.
Sur la base de l'annonce de l'OCDE, le rapport prévoit que la consommation mondiale de plastiques passera de 460 millions de tonnes en 2019 à 1 231 millions de tonnes en 2060, une augmentation plus rapide que la plupart des matières premières. Le rapport sera accessible en version préliminaire avant sa publication complète plus tard cette année.
« La croissance sera la plus rapide dans les pays en développement et émergents d'Afrique et d'Asie, bien que les pays de l'OCDE devraient toujours produire beaucoup plus de déchets plastiques par personne (238 kilogrammes) en 2060 que les pays non membres de l'OCDE (77 kilogrammes).
À l'échelle mondiale, les fuites de plastique dans l'environnement devraient doubler pour atteindre 44 millions de tonnes par an, tandis que l'accumulation de plastique dans les lacs, les rivières et les océans va plus que tripler à mesure que les déchets plastiques passeront de 353 millions de tonnes en 2019 à 1 014 millions de tonnes en 2060.
"La plupart de la pollution provient de débris plus gros connus sous le nom de macroplastiques, mais la fuite de microplastiques (polymères synthétiques de moins de cinq millimètres de diamètre) provenant d'articles tels que les granulés de plastique industriels, les textiles et l'usure des pneus est également une grave préoccupation", ajoute le rapport de l'OCDE.
Les déchets plastiques recyclés augmenteront de 17 % en 2060
RépondreSupprimerLe rapport prévoit que la quantité de déchets plastiques recyclés passera de 9 % en 2019 à 17 % en 2060, et que la part de plastique qui se retrouve dans des décharges sauvages, brûlée dans des fosses à ciel ouvert ou s'écoule dans le sol ou dans des plans d'eau plutôt que d'entrer. un système de gestion des déchets passera de 22 % à 15 % en 2060.
Selon le rapport, environ 20 % des déchets plastiques continueront d'être incinérés.
Environ 8,3 milliards de tonnes de plastique depuis les années 1950 ont été fabriquées, dont plus de 60 % ont été jetées dans des décharges, brûlées ou déversées directement dans les rivières et les océans.
Quelque 460 millions de tonnes de plastiques ont été utilisées en 2019, soit deux fois plus que deux décennies plus tôt. La quantité de déchets plastiques a presque doublé, dépassant les 350 millions de tonnes, dont moins de 10 % sont recyclés.
Selon les tendances actuelles, l'utilisation des plastiques devrait presque doubler en Amérique du Nord, en Europe et en Asie de l'Est. Il devrait être multiplié par trois à cinq dans les autres pays émergents et en développement et plus que sextuplé en Afrique subsaharienne.
Le rapport contredit un cours commun avec les avantages de politiques mondiales plus prometteuses de réduction de l'utilisation du plastique et de la pollution.
Poussée par la croissance économique et la croissance démographique, l'OCDE a averti que la production de plastique continuera d'augmenter.
Suivez Pollution.news pour plus d'informations sur la pollution plastique.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la manière de faire face à la crise mondiale du plastique.
Cette vidéo provient de la chaîne de podcast Finding Genius sur Brighteon.com.
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Les humains libèrent plus de pollution chimique et plastique dans l'environnement que la Terre ne peut en supporter, avertissent les chercheurs.
Les experts avertissent que la quantité de pollution plastique dans nos océans va tripler en seulement 7 ans.
La pollution plastique menace l'approvisionnement alimentaire des océans du monde.
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Experts warn that the amount of plastic pollution in our oceans will triple in just 7 years.
Plastic pollution threatens the food supply from the world’s oceans.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
Yahoo.com
News.CGTN.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-worldwide-plastic-pollution-to-triple-by-2060.html
Mais d'où proviennent ces plastiques (qui s'amassent en Pacifique Nord) dont l'origine est parfaitement identifiable (grâce aux codes barres) ? Ils n'arrive ni des USA ni d'Europe. Çà alors !! Mais alors d'où arrivent-ils ?? Devinez ! Mais chez qui ont va supprimer le plastique ? Aux USA et en Europe !
SupprimerNotons qu'en réalité des plastiques: on en a RIEN A FOUTRE ! parce que 1) ils se désagrègent en quelques mois ou années et, 2) les poissons peuvent en bouffer s'ils veulent: ils n'en crèvent pas !
Donc, il ne s'agit PAS de pollution ni marine ni terrestre puisque les plastiques (pétrole) brûlent facilement et hop !
Pétrole, charbon : toujours sous l’effet 2020
RépondreSupprimerAvec l’essor des prix du charbon et du pétrole depuis 2 ans, vous pourriez vous attendre à un retour rapide de la production. Mais cela n’a pas encore eu lieu, et cela maintient en hausse les prix.
le 10 juin 2022
Henry Bonner
Les prix élevés pour les métaux ?
Un analyste de l’Agence internationale de l’énergie, cité par l’AFP, donne la solution : « investir dans des nouveaux projets miniers. »
Mais où ? Avec quel argent ?
Cela ne risque-t-il pas de vous mettre à dos les écolos ?
Qui a envie d’investir ?
Les métaux ont chuté à travers le plancher en début de 2020, en raison de la fermeture des usines. Si des restrictions bloquent à nouveau les économies, les sociétés vont à nouveau essuyer des pertes.
L’opérateur d’une mine existante n’a pas le choix. Il continuera à extraire de la roche.
Mais si vous investissez dans la construction d’une mine ?
Vos actionnaires vous forceront peut-être à jeter l’éponge.
En principe, des hausses de prix incitent à la production, mais cela prend du temps. Une période de rechute des prix remettra cela en cause.
En 2021, les carburants ont démarré leur hausse, mais les États-Unis ont quand même perdu des capacités de raffinage.
Mon associé Dan Denning écrit :
Il existe un manque structurel de capacités de raffinage aux États-Unis. La capacité totale de raffinage a même baissé de 5,4 %, soit environ un million de barils par jour (pour atteindre 17,9 millions de barils par jour) depuis [le début des confinements en 2020.] En 2021, cinq raffineries de pétrole ont mis fin aux opérations.
Les retombées des fermetures d’usines et de la volatilité des prix vont durer plus longtemps… et avoir plus d’impacts… que ne le croient les gens.
Profits records – signes de dislocation
Certains font des bénéfices records.
Comme Peabody Coal, le groupe de charbon qui était proche de la mort en 2020, ayant perdu 95 % sur le marché depuis 2017. Avec l’essor du charbon, l’action a pris 2,128 % en 18 mois.
Cependant, ces bénéfices existent pour une raison : d’autres producteurs ont succombé à la vague !
Vous le noterez sur le graphique suivant de l’Agence internationale de l’énergie (source : IEA, Global coal production, 2018-2021, IEA, Paris). Il montre la production de charbon par an.
Pétrole charbon
La production de charbon reste sous le niveau de 2019 depuis 2 ans, en dépit d’une hausse de prix de 7 fois pour ce carburant, et d’un usage record comme source d’énergie en 2021 !
Même type de schéma dans le pétrole. Le prix affiche le niveau le plus élevé depuis 2014.
En dépit de cela, la production américaine n’a toujours pas récupéré de ses déboires dus au virus (voir graphique ci-dessous de l’Administration américaine sur l’énergie).
- voir sur site -
Vous voyez : une chute soudaine en 2020… puis une remontée progressive depuis lors.
RépondreSupprimerLes producteurs n’ont pas perdu leurs équipements. Les champs de pétrole n’ont pas disparu. Mais la mise à l’arrêt a infligé des pertes au secteur.
Début 2021, le New York Times rapportait, qu’en 2020 « Exxon Mobil, BP et les autres grandes sociétés de pétrole ont collectivement perdu des dizaines de milliards de dollars. »
L’incertitude et la possibilité d’imprévus menacent le retour de la production et maintiennent à la hausse le prix du baril.
Nuisances de parcours
Certaines des interventions sur l’économie vont nuire, sans causer de désastre.
Thierry Breton nous apprend par exemple que la nouvelle imposition du modèle de chargeur C pour tous les appareils d’électronique « est du bon sens » et « une étape importante pour rendre les choses plus pratiques et réduire les déchets. »
Il me semble que Breton n’a jamais fait partie d’une entreprise légitime.
Sa carrière consiste en un cursus d’études puis des postes au sein de sociétés proches du gouvernement ou sous son contrôle. Puis il est passé de ministre français à commissaire européen. Belle carrière, n’est-ce pas ? Mais cela ne lui donne pas la moindre expertise en électronique.
Apple, qui en sait peut-être un peu plus, a averti que cela va nuire à l’innovation. De toute manière, les dirigeants ont un rôle – et un seul : réduire les libertés des personnes sous leur emprise.
Parfois, leurs aventures tournent au désastre.
Naviguer en mer inconnue
Les infos nous rappellent aujourd’hui les premiers voyages de colons au Nouveau-Monde, les exilés religieux qui ont débarqué du navire Mayflower en 1621 (voici 401 ans), au Massachusetts.
Première expédition du genre. Le bilan : la moitié sont morts durant les quelques premiers mois par manque de vivres à bord, et le froid de l’hiver.
En l’honneur des 400 ans de l’événement, une intelligence artificielle – construite par IBM – a fait la traversée de l’Atlantique sans aucun pilote humain. C’était un coup de pub.
Mais les dirigeants sont en train d’embarquer des centaines de millions d’individus vers une terre inconnue, sans l’ombre d’une hésitation.
Ils jouent avec l’accès aux énergies, et avec la valeur de la monnaie – qu’ils vont produire en masse pour régler les factures. Les dirigeants croient qu’ils peuvent décider du genre du chargeur que vous utilisez… pourquoi pas de la quantité d’énergie que vous consommez ? Et du genre d’usage que vous en faites ?
« C’est du bon sens » diront-ils, à chacune des directives. Comme le dit celui qui vient de sauter sans parachute, « tout va bien pour l’instant ! »
https://www.contrepoints.org/2022/06/10/432489-petrole-charbon-toujours-sous-leffet-2020
La faiblesse économique de la Russie
RépondreSupprimerLes quelques données macro-économiques ci-après permettront d’apprécier globalement l’évolution de l’économie de la Russie depuis la chute de l’URSS.
le 10 juin 2022
Patrick Aulnas
La Russie est aujourd’hui à la peine, comme l’ancienne URSS.
Le 28 mai 1957, Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste soviétique, déclarait à la télévision américaine :
« Ce qui me plait d’ores et déjà, c’est que nous avons à présent la possibilité de nous comparer avec vous et pourtant les États-Unis sont un pays très riche. »
Les dirigeants russes avaient une hantise : rattraper économiquement les États-Unis. Cela ne s’est jamais produit.
En 1991, à la chute de l’URSS, le PIB russe par habitant était de 7400 dollars par an et celui des États-Unis de 38 700 dollars. L’écart ne s’est pas réduit depuis cette date. Pourquoi ? Tout simplement parce que jamais une dictature n’a pu supplanter économiquement une démocratie. La liberté est une condition de la croissance. Tôt ou tard, la Chine se heurtera aussi à cette problématique.
Les quelques données macro-économiques ci-après permettront d’apprécier globalement l’évolution de l’économie russe depuis la chute de l’URSS
Une relative stagnation de la richesse par habitant
Les chiffres sont donnés en dollars constants de 2015 afin d’éliminer l’incidence de l’inflation.
- voir graph sur site -
1989-2020 (données Banque mondiale)
- voir graph sur site -
Évolution du PIB par habitant en dollars
Russie États-Unis France
1989 8100 39 000 28 000
2020 9700 58 200 35 800
Croissance annuelle moyenne sur 32 ans 0,56 % 1,26 % 0,77 %
- voir graph sur site -
L’écart a donc continué à se creuser entre la richesse individuelle moyenne des russes et celle des occidentaux.
- voir graph sur site -
Une baisse de la population
- voir graph sur site -
1961-2020 (données Banque mondiale)
Tous les pays se développant économiquement connaissent une chute du taux de croissance démographique. Sur la période étudiée, ce taux est toujours resté positif pour les États-Unis (1 % en 2020) et la France (0,2 % en 2020), mais il est devenu négatif pour la Russie entre 1993 et 2007 et à nouveau en 2020 (-0,2 %). Depuis 1992, la population russe se situe sur une tendance baissière de long terme : 119,9 millions en 1960 148,5 millions en 1992, 144,1 millions en 2020. La conséquence est un vieillissement de la population et un moindre dynamisme économique.
- voir graph sur site -
L’indice de développement humain (IDH)
L’IDH, calculé par l’ONU, intègre des données qualitatives comme l’état de santé de la population, sa longévité, le niveau d’éducation, le niveau de vie.
- voir graph sur site -
IDH année 2018
RépondreSupprimerMonde Russie États-Unis France
0,731 0,824 0,926 0,901
La Russie reste en dessous des pays occidentaux. L’indice est considéré par l’ONU comme élevé à partir de 0,750 et très élevé à partir de 0,892. La Russie appartient donc aux pays du monde ayant un indice élevé, les pays occidentaux se situant à un niveau très élevé. Les IDH les plus faibles concernent certains pays d’Afrique (Tchad, Niger) et se situent vers 0,4.
Exportations russes : beaucoup d’énergies fossiles
- voir graph sur site -
(Source : fr.statista.com)
La balance commerciale russe est fortement excédentaire : 67,6 milliards de dollars au dernier trimestre de l’année 2021, mais elle est très dépendante des exportations de gaz et de pétrole. Le client le plus important de la Russie est l’Union européenne (UE).
L’UE absorbait 40 % des exportations russes en 2020, comprenant 47 % de produits pétroliers ou gaziers. La dépendance gazière de certains pays européens à l’égard de la Russie est critique : Finlande (94 %), Bulgarie (77 %), Slovaquie (70 %), Allemagne (49 %), Italie (46 %), Pologne (40 %). La politique française d’approvisionnement a été plus sage avec une dépendance de 24 % au gaz russe.
Mais inversement, la dépendance russe à l’égard de l’UE est considérable. Avec l’agression russe en Ukraine, la réorientation européenne en matière d’approvisionnement énergétique est inéluctable. Elle prendra des années mais sera très douloureuse pour la Russie. Par ailleurs, à échéance de plusieurs décennies, la planification énergétique occidentale consiste à réduire drastiquement la consommation d’énergies fossiles. La structure des exportations russes peut donc être considérée comme une grave faiblesse.
Ne pas humilier les faibles
La Russie à la population vieillissante n’a jamais réussi à atteindre les performances économiques occidentales. Le pays vit de la rente pétrolière et gazière et non pas du dynamisme créatif. Petite puissance économique dont le PIB de 1700 milliards de dollars est nettement inférieur à celui de la France (3100 milliards de dollars) et très loin de celui des États-Unis (24 800 milliards), la Russie a toujours été en guerre depuis la chute de l’URSS (Géorgie, Ossétie du Nord, Tadjikistan, Tchétchénie, Crimée, Donbass, Syrie et enfin Ukraine). La propension des dictatures à masquer leurs insuffisances par des conflits afin de susciter une adhésion nationaliste de population est bien connue. Aussi, la Russie consacre-t-elle 4,3 % de son PIB aux dépenses militaires contre 2,1 % pour le France et 3,7 % pour les États-Unis.
L’armée russe a cependant montré ses limites au cours de l’agression de l’Ukraine. La comparaison des budgets militaires des pays de l’OTAN (environ 1000 milliards de dollars) et de la Russie (environ 65 milliards) ne nécessite aucun commentaire.
Il faut des moyens considérables pour maintenir à niveau un outil militaire performant sur le plan technologique. La Russie ne les a pas et il est permis de se poser la question de l’état réel de sa force de dissuasion nucléaire.
Le thème de l’humiliation de la Russie, évoqué par Emmanuel Macron, a suscité le débat. En tenant compte de l’aspect économique, il semble assez évident que la Russie est devenue une petite puissance agressive à la suite de ses échecs répétés. Elle s’est sentie humiliée. La voie sans issue du communisme pendant 70 ans, l’orientation autocratique de plus en plus affirmée ensuite, ont conduit ce grand pays par sa culture et son histoire dans une impasse.
RépondreSupprimerLa population, soumise à la propagande officielle, constate que son niveau de vie stagne. Les dirigeants, les cadres, les universitaires, les intellectuels, les artistes n’ignorent rien de la distance croissante qui sépare leur pays des démocraties occidentales. Poutine lui-même a indirectement avoué l’humiliation ressentie lors de la dislocation de l’URSS. Dans un discours de 2005, il a exprimé que la chute de l’URSS a été « la plus grande catastrophe géopolitique du siècle dernier ». Le despote s’emploie donc à reconstituer l’empire par la guerre en brandissant la menace nucléaire contre l’Occident. Voilà sa seule force.
Pour l’avenir à plus ou moins long terme, l’approche de Macron semble donc adaptée à la situation. Nous sommes beaucoup plus riches et beaucoup plus puissants que la faible Russie. Il ne faudra pas, le jour venu, ajouter de l’humiliation à l’humiliation.
https://www.contrepoints.org/2022/06/10/432502-la-faiblesse-economique-de-la-russie
Ne pas oublier (pour d'autres pays) la faiblesse (précipice !) qu'est l'arrivée massive d'immigrés illettrés qui représente chacun 10 à 20 ans de salaire moyen du contribuable ! (sans parler des vols, agressions et meurtres qu'ils effectuent !).
SupprimerCROISSANCE, POUVOIR D'ACHAT... L'OFCE NOIRCIT SES PRÉVISIONS POUR LA FRANCE
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
10/06/2022
L'inflation en mai 2022 s'est établie à 5,2 % en France.
Après la Banque Mondiale et l’OCDE, voilà le tour de l’OFCE… Si le gouvernement français tarde à réviser officiellement ses prévisions de croissance en tenant compte de l’inflation qui a explosé depuis le début de l’année, l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) ne s’est pas privé de donner quelques mauvaises nouvelles le 9 juin 2022…
La croissance de la France pour 2022 revue à la baisse
Comme la Banque Mondiale et l’OCDE, qui ont révisé à la baisse leurs prévisions de croissance pour les adapter à la nouvelle situation géopolitique et économique mondiale, l’OFCE a fait de même. Sauf que dans le cas de l’observatoire, les dernières prévisions ne dataient pas de quelques mois mais de deux semaines seulement. Preuve, s’il en fallait, que la situation évolue très rapidement.
« Le scénario n’a pas changé », explique l’OFCE dans la conférence de presse liée à la publication de sa note le 9 juin 2022. Mais « ce qui a changé est l’acquis de croissance à la fin de l’année 2021 ». L’Insee a en effet révisé la croissance française de 2021, la baissant de 0,2 point à 6,8 %. L’OFCE a donc pris cette nouvelle donnée en compte.
En conséquence, la prévision de croissance pour la France est baissée : désormais, l’OFCE ne s’attend plus qu’à une croissance de 2,4 % en 2022, après 6,8 % en 2021. Une révision à la baisse de 0,3 % par rapport à la précédente mais qui reste relativement positive : l’OFCE s’attend toujours à une croissance dans le vert pour la France en 2022, et ce malgré un premier trimestre qui s’est clos sur une croissance négative (-0,2 %) pour le pays.
L’inflation explose et va frôler les 5% annuels
Sans surprise, l’OFCE confirme la tendance haussière des prix et prévoit une moyenne annuelle plus qu’élevée : 4,9 % en 2022. Un taux qui a de quoi inquiéter : pour que la moyenne annuelle atteigne ce niveau, l’inflation doit rester élevée et dépasser les 5% durant plusieurs mois encore en 2022 puisque ce taux n’a été dépassé qu’en avril et mai 2022 pour l’instant.
Mais les Français peuvent souffler : ça aurait pu être pire. Selon l’observatoire, sans les mesures du gouvernement, l’inflation annuelle en France atteindrait 7% en moyenne, ce qui est cohérent avec les niveaux d’inflation des autres pays européens.
LE pouvoir d’achat se fait laminer en France
Conséquence directe de la hausse des prix : la baisse du pouvoir d’achat des ménages. Au centre de la campagne pour les Législatives 2022, le pouvoir d’achat devrait, selon l’OFCE en 2022, se réduire comme rarement vu dans l’histoire moderne.
Malgré l’ensemble des mesures gouvernementales et des annonces, les ménages perdront, en 2022, 0,8% de pouvoir d’achat. Selon l’observatoire, depuis le début des années 90, seulement au lendemain de la crise des subprimes une telle baisse avait été observée. Elle était alors supérieure, plus proche de 1%.
http://www.economiematin.fr/news-prevision-croissance-france-2022-pouvoir-achat-economie-ofce
Les millions (dizaines de ?) de français piqués et donc morts ne seront JAMAIS remplacés par la déferlante d'inadaptés immigrés qui refuse l'inclusion, s'insertion. Ce prix est un gouffre.
SupprimerSAUVER L'EAU POUR NOUS SAUVER
RépondreSupprimerpar JEAN MARC GOVERNATORI
10/06/2022
58% des Français pensent par ailleurs que la qualité de l'eau, des rivières et des lacs s'est détériorée.
L'eau source de vie, eau vitale... phrases bateaux dont tout le monde se fiche encore. Nous le paierons très cher, les sécheresses se multiplient partout dans le monde et chez nous, et il y a aussi le grave problème de la qualité de l'eau : celle qui sert à la consommation est d'origine souterraine (on va dans les nappes phréatiques par forage) ou superficielle (on capte l'eau d'une rivière par exemple).
En général, l'eau souterraine est naturellement potable et n'a pas besoin d'être traitée, sauf dans les régions à fort élevage intensif et/ou dotée d'une forte agriculture conventionnelle. Quant aux eaux issues de captage, elles doivent franchir des étapes pour être consommables (tamisage, filtration, ozonation ...).
En France, une eau est considérée potable si elle satisfait 70 critères de qualité énoncées par le Ministère de la santé (teneur en fluor par exemple). Une eau chère est souvent une eau très traitée, comme en Bretagne par exemple. L'eau de notre planète a aussi une autre fonction et elle est une entité polymorphe : elle change constamment de forme. En s'écoulant des montagnes enneigées, en s'évaporant au-dessus des mers et océans, elle alimente le système climatique qui fait de notre planète le lieu idéal pour des êtres vivants.
Les nuages survolent l'Amazonie, mais ils sont aussi au-dessus de l'océan Atlantique. Tous ces systèmes sont liés les uns aux autres. Ce processus naturel, qui transforme les océans en pluie, constitue l'essence même de la vie sur Terre.
Sans ce phénomène, pas de rivières, ni nappes phréatiques, ni végétaux, ni animaux, ni nous. Les continents seraient sans vie. Celui qui observe les tourbillons de nuages, les orages qui frappent les océans et les puissants courants océaniques, prend conscience que notre planète n'est pas un rocher inerte. Elle vit. L'eau est son sang. Pourtant, notre mode de vie détruit et/ou pollue cet élément vital tout en perturbant le climat : les spécialistes expliquent qu’il faut 10 à 30 litres d’eau douce pour fabriquer un litre de carburant automobile ou un litre de bière ou un kilo de ciment, 30 litres pour la puce de notre portable, 100 litres d’eau pour fabriquer un kilo d’acier, de sucre ou d’engrais, 300 à 500 litres d’eau pour fabriquer un kilo de papier, de tournesol, de laine brute ou de nitrates ; 500 litres d’eau pour fabriquer un kilo de pain complet, 1 000 à 1 500 litres d’eau pour fabriquer un kilo de soie artificielle ou un kilo d’aluminium ou un kilo de blé ou de sucre ; 2 500 litres pour fabriquer un tee-shirt en coton ; 4 500 litres d’eau pour produire un kilo de maïs, de fromage ou de riz ; 8 000 litres d’eau pour produire un kilo de viande ; 10 tonnes d’eau pour raffiner une tonne de pétrole et 10 fois plus pour fabriquer une tonne de fibres synthétiques. Il faut 2 à 3 tonnes de pétrole pour produire une tonne d’engrais... L'élevage intensif comme une agriculture industrielle, sont des désastres pour des nappes phréatiques désormais souvent nitratées. L'air est touchée aussi et conduit à des pluies acides comme en Bretagne où le taux d'ammoniac est significatif. Le nucléaire, lui, utilise plus d'eau que l'agriculture !
La boucle est bouclée.
RépondreSupprimerOn épuise les réserves d'eau tout en les polluant.
Voici ce qu'il faut faire :
Développer l'éducation à l'environnement pour tous âges, cela fera de belles économies en tous domaines.
Récupérer l'eau de pluie pour l'utiliser au lieu de l'eau du robinet, chaque fois que c’est possible.
Cesser d'artificialiser les terres, cela permettra de mieux recharger les nappes phréatiques.
En finir avec ces fuites de canalisations souterraines.
Réduire sa consommation de viande.
Manger moins de plats préparés, moins de boissons sucrées, c'est bon pour la santé en plus. Améliorer notre politique de santé car on retrouve trop de résidus de médicaments dans nos eaux.
Prévoir la fin de l'élevage intensif.
Améliorer les processus d'épandage et de stockage pour valoriser l'azote organique plutôt que l'azote minérale.
Le paillage des sols agricoles.
Un système d 'irrigation optimal pour chaque agriculteur.
Réduire la part du nucléaire dans notre mix énergétique.
Mettre le paquet sur l'économie circulaire (on répare tout on recycle tout), développer les S.E.L (systèmes d’échanges locaux) permettra de moins produire de biens matériels donc de moins consommer d'eau.
Examiner la réutilisation possible des eaux usées.
Bref, les solutions existent, c'est une question de volonté politique et de prise de conscience active du citoyen. Soit on ne change rien et le problème de l'eau en fera une dictatrice malgré elle, soit on choisit la conscience.
http://www.economiematin.fr/news-eau-penurie-vie-secheresse-france-danger-governatori
Ce 'Jean Marc Governatori' c'est VRAIMENT LA TARE ! L'enfant trisomique de 4 ou 5 ans ou le petit frère de Grétamoilescouilles ! Il invente que l'eau que nous buvons est celle de la pluie ou de la fonte des neiges !!!
SupprimerPrenez un grand seau, poser dessus de la terre dans un tamis puis versez de l'eau sur la terre. L'eau traverse le terre et va remplir le seau. Allez-vous la boire ? hahahaha ! Certes non ! Cette eau est sale, marron et pleine de bactéries !
Il n'est JAMAIS été à la bonne école ! (sorti de taule ? immigré ?)
A SAVOIR: Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont jetés dans les mers & océans... sans qu'elles ou ils ne montent !!! Çà alors !!!
L'EAU s'infiltre CONTINUELLEMENT aux planchers maritimes & océaniques VERS LE MAGMA. Là, cette eau sale/merdique est chauffée/brûlée et repart en galeries souterraines sous forme de vapeurs. Elle ressort généralement en mers ou océans (on les appelle des sources chaudes. Elles réchauffent les lames de fond qui ressortent aux côtes d'azur et bretonnes entr'autres). L'eau (toujours sous forme de vapeurs) ressort aussi sous terre où elle alimente les sources de montagnes (elle perd 1°C par 100 m) ainsi que les nappes phréatiques.
C'est pourquoi l'eau de sources et de nappes est pure, propre, sans couleur ni odeur ni bactérie !
C'est aussi le système presque pareil qu'est monté sur les cafetières. L'eau froide d'un côté est chauffée et remonte sous forme d'eau chaude dans le tuyau vertical (système aussi du chauffage central).
RAPPEL qu'il n'y a PAS une goutte d'eau de plus ou de moins sur notre planète depuis des milliards d'années. Alors, inutile de cracher en l'air pour voir où çà retombe ! Les 'stations d'épuration' sont inutiles, coûteuses et montre à tous l'ESCROQUERIE PARFAITE. L'eau qui en ressort est IMBUVABLE.
RIEN ne peut remplacer la masse ferrique incandescente au centre de notre planète ! RIEN ! C'est elle qui de par sa combustion expulse des millions de m³ de gaz dans l'eau dont l'oxygène qui compose 86 % de l'eau de mer. C'est grâce à cette production que nous avons une atmosphère où tous les gaz expulsés se recyclent immédiatement sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !
La conversion au bio a fait tomber le Sri Lanka dans le chaos
RépondreSupprimer10 Juin 2022
AGDAILY reporters*
En moins d'un an après que le Sri Lanka est devenu le premier pays au monde à interdire totalement l'agriculture conventionnelle, une crise économique aux proportions épiques s'est emparée de la Nation insulaire, a lancé des vagues de protestations et a provoqué lundi la démission du Premier Ministre Mahinda Rajapaksa. La conversion du Sri Lanka à l'agriculture biologique – avec l'interdiction des engrais de synthèse – a provoqué une baisse spectaculaire de la production de cultures essentielles comme le thé et le riz, ce que de nombreux experts agricoles avaient prévu depuis des mois.
La plupart des comptes rendus montrent que la production a chuté de 20 à 50 % par rapport à ce qu'elle était avant le changement, laissant une grande partie des 22 millions de personnes du pays dans une situation désespérée. Ces événements illustrent le lien évident entre les produits phytosanitaires de synthèse et la sécurité alimentaire. L'interdiction des engrais, des insecticides, des herbicides et des fongicides au Sri Lanka a non seulement entraîné des pénuries alimentaires massives, mais également conduit au doublement du prix du riz, des légumes et d'autres produits de base.
Lorsque le Sri Lanka a décidé d'annuler la majeure partie de sa politique au cours de l'hiver, la situation était déjà allée trop loin.
L'agitation a entraîné des pénuries d'électricité et d'autres biens et services au Sri Lanka. De nombreuses personnes sont mortes – et des dizaines ont été blessées – dans des manifestations liées à l'économie et à la faim, et Rajapaksa a dû être secouru par l'armée cette semaine alors que le chaos se refermait sur lui.
Il s'agit d'un long article et d'un sujet peu populaire, alors ne tuez pas le messager ! C'est aussi une réalité qui se déroule en ce moment même au Sri Lanka. Joel Salatin et des groupes comme Civil Eats et The Food Tank affirment souvent que, oui, l'agriculture biologique peut nourrir le monde. Le Sri Lanka, une île tropicale de 22 millions d'habitants, est devenu le premier pays au monde à interdire l'agriculture conventionnelle et à n'autoriser que l'agriculture biologique.
Le résultat : l'insécurité alimentaire, les achats de précaution de nourriture au point que la police fait des raids pour récupérer la nourriture... (Source)
L'été dernier, avant le passage au tout biologique, 30 experts nationaux ont écrit au frère de Rajapaksa, le président Gotabaya Rajapaksa, pour lui faire part de leur inquiétude face à ce changement de politique sismique. Tout en reconnaissant les objectifs du programme du président, ils ont proposé une approche progressive et consultative – avec de véritables experts – plutôt que des mandats émotifs décrétés d'un seul coup.
« Avant cette politique, le gouvernement avait tenté sans succès de commercialiser les terres agricoles, qui constituent le plus grand atout commercial du pays. Nous sommes donc nombreux à penser qu'il s'agit d'un autre moyen d'inciter les agriculteurs à quitter leurs terres, ou d'affaiblir leur position et de permettre un accaparement des terres », a déclaré au Guardian M. Vimukthi de Silva, agriculteur biologique à Rajanganaya.
RépondreSupprimerDe nombreux organes de presse décrivent la crise au Sri Lanka, mais rares sont ceux qui en explorent vraiment les causes. Le Sri Lanka a choisi de pousser son mandat biologique l'année dernière parce que les généreuses subventions gouvernementales avaient encouragé l'importation d'engrais chimiques de qualité inférieure, pleins d'impuretés. Mais il y avait aussi la question des parasites et maladies. L'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture estime que pas moins de 40 % des cultures agricoles mondiales sont la proie de bestioles voraces chaque année.
En plus de priver les plus vulnérables de la sécurité alimentaire, un tel mandat prive les agriculteurs appauvris de leur principale source de revenus – le tout, superficiellement, au nom du « virage vert ».
La publication Foreign Policy décrit : « Le fouillis de pensées magiques, d'orgueils technocratiques, d'illusions idéologiques, d'intérêts personnels et de manque de perspicacité qui a provoqué la crise au Sri Lanka implique à la fois les dirigeants politiques du pays et les partisans de la soi-disant agriculture durable : les premiers pour s'être emparés de la promesse d'une agriculture biologique comme d'une mesure à courte vue pour réduire les subventions et les importations d'engrais, et les seconds pour avoir suggéré qu'une telle transformation du secteur agricole de la Nation pourrait réussir. »
Il est également essentiel que le service de vulgarisation du Sri Lanka soit renforcé afin de fournir aux agriculteurs des conseils impartiaux et fondés sur des preuves. Actuellement, de nombreux agriculteurs s'en remettent aux conseils douteux de consultants rattachés à des sociétés agrochimiques, qui ont tendance à « surprescrire » une concoction d'intrants dans leur propre intérêt.
Qu'est-ce que cela signifie pour l'agriculture biologique à long terme et à grande échelle ? Ce n'est pas encore clair. Cela signifie-t-il qu'elle ne fonctionne jamais ? Non.
« Je crois sincèrement qu'à un moment donné dans le futur, une méthodologie agricole révolutionnaire verra le jour », a déclaré M. Jonathan Lawler, un agriculteur de l'Indiana qui possède une expérience et une vision uniques de la production agricole. « Elle combinera le meilleur des pratiques biologiques et conventionnelles, mais disposera d'une grande marge de manœuvre pour évoluer en fonction des circonstances de chaque agriculteur, de sorte qu'elle pourra être appliquée partout. » [Ma note : mais ce ne sera plus de l'agriculture « biologique »...]
Des affrontements continuent d'éclater dans tout le Sri Lanka, et un couvre-feu a été imposé, mais rien ne laisse présager une fin prochaine des troubles.
______________
* Source : Switch to organic is splitting Sri Lanka apart at the seams | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2022/06/la-conversion-au-bio-a-fait-tomber-le-sri-lanka-dans-le-chaos.html
Eh oui ! Il n'y a pas qu'en France qu'il y a des cons ! Sans doute qu'au Sri Lanka ils ignorent tout de l'histoire de leurs ancêtres qui crevaient de faim parce qu'ils n'avaient que du bio depuis des siècles !
SupprimerPas d'engrais ! HAHAHAHA ! Pas de produits de traitement contre les maladies et insectes ! HAHAHAHA ! et PAS D'EAU (parce qu'un gros con leur a dit un jour qu'un plant de tomate ou de melon avait besoin de 1000 litres d'eau et la vache 10 000* ! HAHAHAHAHA !)
*et les poissons DES millions ! HAHAHAHAHAHAHAHA !
La crise mondiale de l'approvisionnement alimentaire et des engrais donne à la Russie un effet de levier important
RépondreSupprimerjeudi 09 juin 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Les grands stocks d'engrais de la Russie pourraient lui donner un effet de levier important pendant la crise mondiale de l'approvisionnement en aliments et en engrais.
Depuis l'invasion de l'Ukraine fin février, les prix alimentaires internationaux ont augmenté de 30 %. Aux États-Unis, les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 10 % au cours de la dernière année.
Les sanctions économiques occidentales imposées à la Russie après l'invasion, ainsi que les propres restrictions à l'exportation du pays en représailles aux sanctions, pourraient encore faire grimper le coût de la nourriture et des engrais au profit de la Russie. (En relation: West accuse Poutine de la crise alimentaire mondiale après avoir sanctionné la Russie, empêchant les exportations russes de nourriture et d'engrais.)
"Si les engrais ne circulent pas, le monde produira moins", a averti l'économiste en chef de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, Maximo Torero. "C'est pourquoi nous disons que l'année prochaine nous pourrions avoir un problème de disponibilité alimentaire, et aussi d'accès alimentaire comme ce que nous avons aujourd'hui."
Torero a déclaré que les pays essaieront probablement d'étendre leurs approvisionnements en engrais en en utilisant moins, ce qui entraînera une baisse des rendements des cultures.
"C'est ce qui va créer le problème de la disponibilité de la nourriture [en plus] de l'accès à la nourriture", a déclaré Torero. "C'est ce qui nous inquiète, c'est pour nous le scénario le plus dramatique et c'est ce qu'il faut éviter."
RépondreSupprimerLes exportations russes d'engrais pourraient sauver les récoltes partout
De nombreux pays du monde entier dépendent des engrais russes. Même les États-Unis dépendent fortement des engrais à base d'azote en provenance de Russie et de Biélorussie, qui a également été lourdement sanctionnée pour son soutien à la Russie dans son invasion de l'Ukraine. Parmi les autres pays qui dépendent fortement des engrais des deux pays figurent Singapour, la Mongolie et le Panama.
Si l'Occident devait abandonner ses sanctions contre la Russie, cela pourrait aider à sauver les récoltes du monde entier. Des preuves le prouvant peuvent être trouvées au Brésil, où le ministre de l'Agriculture, Marcos Montes, a déclaré que la récolte céréalière 2022-2023 avait été "sauvée" après que la Russie ait pu exporter des engrais vers la nation sud-américaine.
Face aux incertitudes d'approvisionnement liées aux sévères sanctions économiques contre la Russie à la suite de l'invasion, Montes a déclaré que le gouvernement brésilien avait contacté ses homologues à Moscou pour sécuriser les expéditions d'engrais.
Le Brésil importe plus de 85 % de ses engrais. Il a acheté 16,64 millions de tonnes d'engrais jusqu'en mai, soit une augmentation massive de 16,5 % par rapport à la même période en 2021. La Russie est le premier fournisseur du Brésil, ayant vendu au pays 3,06 millions de tonnes d'engrais.
Dans le port de Santos et le port de Paranagua, les deux plus grands ports du Brésil, des importations record d'engrais ont rempli les espaces de stockage alloués.
La normalisation de l'approvisionnement en engrais au Brésil s'est traduite par une baisse des prix record des engrais, qui ont grimpé en flèche suite aux sanctions imposées à la Russie et à la restriction de l'offre mondiale.
Malgré la baisse des prix des engrais, de nombreux agriculteurs brésiliens n'achètent toujours pas. Selon Marina Cavalcante, analyste sur Bloomberg, beaucoup attendent de nouvelles baisses de prix à mesure que davantage d'importations d'engrais entrent dans le pays.
RépondreSupprimer"Les agriculteurs s'attendent à ce que les prix continuent de baisser après les baisses de la semaine dernière et de la précédente", a déclaré Cavalcante. "Alors ils attendront de nouvelles baisses pour acheter."
Les agriculteurs peuvent retarder leurs achats de quelques mois de plus s'ils plantent du soja, qui sème en septembre. Mais s'ils attendent trop longtemps, une ruée vers les achats d'engrais de dernière minute pourrait entraîner des goulots d'étranglement dans le transport et des augmentations de prix qui pourraient laisser certains les mains vides et d'autres sans assez d'engrais.
Tenez-vous au courant de la pénurie mondiale d'engrais sur FertilizerWatch.com.
Regardez cet épisode de "The American Journal" d'InfoWars alors que l'animateur Harrison Smith parle d'un déraillement de train au Canada qui a détruit plusieurs tonnes d'engrais.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Les agriculteurs du Midwest en difficulté en raison de la flambée des prix des engrais.
Heure médicale de Merritt : Le manque d'engrais et les incendies dans les usines de fabrication de produits alimentaires entraîneront des pénuries alimentaires aux États-Unis - Brighteon.TV.
RépondreSupprimerLe coût des engrais fait grimper les prix des denrées alimentaires, menaçant la sécurité alimentaire dans le monde.
Le plus grand fabricant d'engrais au monde tire la sonnette d'alarme et déclare que les pénuries dureront tout au long de 2023.
Sources include:
Yahoo.com
Agriculture.com
Bloomberg.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-09-food-fertilizer-supply-crisis-gives-russia-leverage.html