par Aphadolie
14/06/2022
Time : 28 mn 54 / [1/1]
Chapitres :
00:00 : Intro.
01:02 : Exclusif – Penthouse de luxe [Publicité jusqu’à 2 mn 55].
03:04 : Préambule.
03:28 : La Banque.
06:48 : La Supply Chain.
09:03 : Les assurances.
11:14 : Le Cloud Storage.
13:49 : Le vote.
16:19 : La santé.
17:52 : L’industrie de la création.
20:03 : Le Gaming.
22:20 : L’immobilier.
26:03 : L’éducation.
28:00 : Conclusion.
Synopsis vidéo :
Le minitel, les walkmans, les CD, la VHS, le fax, le bottin ou encore les cartes routières et les encyclopédies. Toutes ces choses obsolètes ont disparu de notre quotidien et sont considérées aujourd’hui comme des objets « vintages ».
Essayez-donc de donner une carte téléphonique à un enfant d’aujourd’hui, il ne devinera jamais qu’il y a 20 ans on s’en servait pour téléphoner dans cet endroit merveilleux si cher à nos amis d’outre-manche : La cabine téléphonique ! Vous ne récolterez rien d’autre que le joli surnom de dinosaure ou mieux encore mieux de « boomer ».
Eh bien la blockchain, c’est ça. C’est la technologie qui va révolutionner un bon nombre d’industries et qui va rendre obsolète :
Votre acte de propriété.
Votre compte bancaire.
Votre vignette d’assurance.
Votre carte électorale,
…et toutes ces choses dont vous n’avez encore pas conscience.
Deux options s’offrent à vous désormais, prendre la pilule bleue et rester dans votre petit monde bien confortable à regarder passer le prochain Amazon, Uber, ou Tesla ou prendre la pilule rouge et embarquer pour la prochaine révolution qui va faciliter le monde de demain et vous permettre d’atteindre la liberté financière.
MoneyRadar
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Blockchain
https://www.senat.fr/rap/r17-584/r17-584_mono.html
https://www.kaspersky.fr/blog/bitcoin-blockchain-issues/9388/
https://www.economie.gouv.fr/entreprises/blockchain-definition-avantage-utilisation-application
https://www.forbes.com/sites/michaeldelcastillo/2022/05/17/cryptos-great-reset-how-digital-asset-investors-and-blockchain-will-come-back-from-cryptos-2-trillion-meltdown/?sh=56ad3dfe3b1b
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Note personnelle :
Pas vraiment convaincu par la blockchain. La digitalisation servant surtout un certain changement de paradigme social. Donc, je dois être un dinosaure.
Vidéo :
[1] Comment la Blockchain Bouleverse nos Industries ? – MoneyRadar / YouTube
La première guerre « climatique »
RépondreSupprimerle 15 juin 2022
Durant l’optimum climatique de l’Holocène qui suivit la fin du Dryas, c’est-à-dire la grande fonte des calottes glaciaires qui recouvraient une grande partie de l’Europe, de la Mer du Nord et des Îles Britanniques et jusqu’au confluent Rhône-Saône, optimum qui dura plus de 5000 ans, le Sahara actuel était une savane jouissant d’une pluviosité abondante qui, combinée à des températures clémentes, assurait la subsistance de nombreuses peuplades de chasseurs-cueilleurs. Puis le climat changea progressivement et la végétation recula vers le nord, disons le Maghreb actuel, et vers le sud, ce que l’on appelle maintenant le Sahel. Entre ces deux zones le désert s’installa. Il fallut creuser des puits de plus en plus profonds pour avoir accès à de l’eau « fossile », reste de la luxuriance passée, et depuis lors rien n’a changé. Mais les populations du nord se heurtèrent à celles occupant les monts séparant cette région des côtes méditerranéennes aux terres encore fertiles. Ils changèrent leurs habitudes et firent de plus en plus d’incursions vers le sud où des peuples s’étaient sédentarisés, devenus cultivateurs et éleveurs de bétail.
Il faut ajouter que ces peuples issus du désert récent (à l’échelle paléoclimatique) furent imprégnés d’une nouvelle religion venue d’Arabie et ils devinrent des guerriers par la force des choses, tout simplement pour leur subsistance puisqu’ils vivaient dans le désert parsemé de quelques rares points d’eau et d’oasis. Repoussés par les peuplades des montagnes du nord, les Berbères d’aujourd’hui, ils poussèrent leurs incursions au sud pour effectuer des razzias, le mot provient de cette habitude qu’ils prirent pour assurer leur subsistance, et en quelque sorte rançonner ces agriculteurs et éleveurs prospères du sud, s’emparer de quelques femmes, de nourriture et retourner dans leur désert devenu immense.
Cette tradition ancestrale a perduré jusqu’à nos jours et elle s’est transformée en conflit entre les gens du nord et ceux du sud. Il faut ajouter, ce qui ne simplifie pas ce tableau, que ces peuples du nord sont des blancs et ceux du sud des noirs. Dans les pays dont les frontières sont issues de la décolonisation de pays actuels comme le Mali, le Centre-Afrique, le Niger, le Tchad ce conflit multi-millénaire entre gens du nord, en particuliers les Touaregs, et ceux du sud s’est transformé en une véritable guerre, ethnique et doublée dans certaines petites villes de guerre religieuse, beaucoup de ces centres urbains ayant hérité de la culture religieuse des colonisateurs, français dans le cas de ces pays cités ci-dessus.
La situation s’est aggravée avec les années puisque la mise en place de régimes politiques issus de la civilisation occidentale n’était pas adaptée au déséquilibre ethnique, les peuples du nord du Mali par exemple ne représentant que 10 % de la population totale de ce pays. On peut aisément se mettre à la place des Touaregs blancs musulmans qui ne supportent pas d’être gouvernés par des noirs majoritairement chrétiens et parfois animistes. Les conflits actuels sont donc la conséquence lointaine mais bien vivante d’un changement du climat dans cette région, un changement du climat qui a demandé plus de 7000 ans pour que l’on puisse en voir les effets aujourd’hui.
Inspiré d’une causerie sur Livre Noir avec Bernard Lugan, le plus célèbre spécialiste de l’Afrique : https://www.youtube.com/watch?v=6JPF5k__8S4&ab_channel=LivreNoir
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/06/15/la-premiere-guerre-climatique/
Faut rappeler que l'étoile - masse ferrique incandescente - (pas encore appelée 'Terre') reçue un jour une grosse boule de glace en pleine gueule ! Cette glace fondit et format une croûte (plus tard appelée 'terre') tandis que de l'autre côté de la réception de la bouboule elle fondit et s'appela 'océan'.
SupprimerMais, sur 'terre' au niveau de l'équateur elle fondit plus vite qu'à ses extrémités polaires. C'est là qu'est apparu la vie en premier, d'où des êtres humains nus sous le soleil qui bronzèrent au fil des temps. Celles et ceux qui partirent vers les pôles perdirent leur bronzage.
Puis - au fil du temps - et tremblements de terre aidant, la croûte se fractionna et s'éloigna d'un morceau vers l'Ouest et l'autre vers l'Est. Les continents apparurent.
Le climat apparut avec ses mouvements d'eau marines & océaniques et ses vents transportés par la chaleur.
La question de la couleur de peau vint beaucoup plus tard quand arrivèrent les premiers dictateurs et puis leur presse nauséabonde. Les clans étaient nés.
Pourquoi les États de l’OTAN commettent-ils un suicide énergétique ?
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
Mondialisation.ca,
16 janvier 2022
Il y a un grand paradoxe dans la position militaire de plus en plus agressive des États-Unis et de l’OTAN à l’égard de la Russie et de la Chine, lorsqu’on la compare aux politiques économiques nationales clairement suicidaires de l’Agenda vert des États-Unis et des États de l’UE et de l’OTAN. Une transformation étonnante des économies des pays industriels les plus avancés du monde est en cours et prend de l’ampleur. Le cœur de cette transformation est l’énergie, et l’exigence absurde d’une énergie « zéro carbone » d’ici 2050 ou avant. Éliminer le carbone de l’industrie énergétique n’est pas possible à l’heure actuelle, ni peut-être jamais. Mais si l’on cherche à l’atteindre, cela signifie que les économies les plus productives du monde seront mises en pièces. Sans une base énergétique industrielle viable, les pays de l’OTAN deviennent une plaisanterie militaire. Nous ne pouvons pas parler d’énergie « renouvelable » pour le solaire, l’éolien et le stockage sur batterie. Nous devons parler d’énergie non fiable. C’est l’un des délires scientifiques les plus colossaux de l’histoire.
Le 31 décembre, le nouveau gouvernement de coalition allemand a fermé définitivement trois des six centrales nucléaires restantes. Ils l’ont fait à un moment où les réserves de gaz naturel étaient extrêmement basses à l’aube d’un hiver difficile, et où tout front froid sévère pouvait entraîner des pannes d’électricité. En raison du refus allemand d’autoriser l’importation d’un deuxième gazoduc russe, Nord Stream 2, l’Allemagne est confrontée à une augmentation de 500 % du prix au comptant de l’électricité par rapport à janvier 2021.
La crise énergétique de l’UE était prévue
En 2011, lorsque la chancelière Merkel a déclaré la fin anticipée de l’énergie nucléaire, sa tristement célèbre Energiewende, pour sortir du nucléaire et passer aux sources renouvelables, 17 centrales nucléaires ont fourni de manière fiable 25 % de toute l’énergie électrique du pays. Les trois centrales restantes doivent maintenant fermer d’ici fin 2022. Dans le même temps, le programme d’énergie verte du gouvernement depuis 2016 a entraîné l’arrêt de la production de 15,8 GigaWatts par des centrales à charbon à partir de janvier 2022. Pour compenser le fait que le solaire et l’éolien, malgré une propagande élogieuse, ne comblent pas le vide, le réseau électrique allemand doit importer une quantité importante d’électricité des voisins de l’UE, la France et la République tchèque, ironiquement en grande partie de leurs centrales nucléaires. L’Allemagne a aujourd’hui le coût de l’électricité le plus élevé de tous les pays industrialisés en raison de l’Energiewende.
L’approvisionnement en électricité nucléaire en provenance de France pose désormais un problème. En décembre, EDF, l’agence nucléaire française, a annoncé la fermeture de quatre réacteurs pour inspection et réparation, suite à la découverte de dommages dus à la corrosion. Le président Macron, confronté aux élections d’avril, tente de jouer les champions du nucléaire dans l’UE en s’opposant à la forte position antinucléaire de l’Allemagne. Mais le pont nucléaire est vulnérable et il est peu probable que la France fasse de nouveaux investissements majeurs dans le nucléaire, malgré les déclarations récentes, avec des plans pour fermer douze réacteurs dans les prochaines années, ainsi que le charbon, laissant la France et l’Allemagne vulnérables aux futures pénuries d’énergie. Le programme France 2030 de Macron prévoit d’investir la bagatelle de 1,2 milliard de dollars dans la technologie nucléaire des petites centrales.
RépondreSupprimerMais la question du nucléaire n’est pas la seule mouche dans la soupe énergétique de l’UE. Chaque aspect du plan énergétique actuel de l’UE est conçu pour anéantir une économie industrielle moderne, et les architectes qui financent généreusement les groupes de réflexion verts comme l’Institut de Potsdam en Allemagne le savent. Amener l’éolien et le solaire, les deux seules options sérieuses mises en œuvre, à remplacer le charbon, le gaz et le nucléaire, est tout simplement dit, impossible.
Moulins à vent et folie des foules
Pour l’Allemagne, un pays dont l’ensoleillement n’est pas optimal, l’éolien est la principale alternative. Le problème de l’éolien, comme l’a montré l’hiver 2021, est qu’il ne souffle pas toujours, et de manière imprévisible. Cela signifie des pannes d’électricité ou un système de secours fiable, ce qui signifie du charbon ou du gaz naturel, car le nucléaire est évincé. Les éoliennes sont évaluées de manière trompeuse en termes de capacité théorique brute lorsque des États comme l’Allemagne veulent se vanter des progrès réalisés dans le domaine des énergies renouvelables.
En réalité, ce qui compte, c’est l’électricité effectivement produite au fil du temps ou ce que l’on appelle le facteur de capacité ou le facteur de charge. Pour le solaire, le facteur de capacité n’est généralement que de 25% environ. Dans le nord de l’Europe ou en Amérique du Nord, le soleil ne brille pas 24 heures sur 24. Le ciel n’est pas non plus toujours sans nuages. De même, le vent ne souffle pas toujours et n’est guère fiable. L’Allemagne se targue de produire 45 % d’énergie renouvelable brute, mais cela cache la réalité. Dans une étude réalisée en 2021, l’Institut Frauenhofer estime que l’Allemagne doit installer au moins six à huit fois plus d’énergie solaire qu’aujourd’hui pour atteindre l’objectif de zéro émission de carbone en 2045, ce pour quoi le gouvernement refuse d’estimer les coûts, mais les estimations privées se chiffrent en billions. Le rapport indique que la capacité solaire brute actuelle de 54 GW doit atteindre 544 GW d’ici 2045. Cela signifierait un espace terrestre de 1,4 million d’hectares, soit plus de 16 000 kilomètres carrés de panneaux solaires solides à travers le pays. Ajoutez à cela de grandes stations éoliennes. C’est une recette suicidaire.
La fraude de l’éolien et du solaire en tant qu’option raisonnable sans carbone commence à être réalisée. Le 5 janvier dernier, dans l’Alberta (Canada), où le gouvernement construit furieusement des sites éoliens et solaires, par une journée de grand froid avec des températures proches de -40°, les 13 installations solaires de l’Alberta connectées au réseau, d’une capacité nominale de 736 mégawatts, fournissaient 58 mégawatts au réseau. Les 26 parcs éoliens, d’une capacité nominale combinée de 2269 mégawatts, ont fourni 18 mégawatts au réseau. Le total des énergies renouvelables n’était que de 76 mégawatts sur un total théorique de 3005 mégawatts d’énergie supposée verte et renouvelable. Le Texas, lors des fortes chutes de neige de février 2021, a connu les mêmes problèmes avec l’énergie solaire et éolienne que l’Allemagne. De plus, lorsqu’il neige, les fermes solaires ne valent rien.
RépondreSupprimerDe même, pour atteindre le niveau zéro carbone à partir de sources renouvelables, d’énormes surfaces de terre doivent être recouvertes de réflecteurs solaires ou consacrées à des parcs éoliens. Selon une estimation, la superficie nécessaire pour accueillir les 46 480 centrales photovoltaïques envisagées aux États-Unis est de 650 720 miles carrés, soit près de 20 % des 48 premiers territoires américains. Cela correspond à la superficie du Texas, de la Californie, de l’Arizona et du Nevada réunis. Rien qu’aux États-Unis, dans l’État de Virginie, une nouvelle loi verte, la Virginia Clean Economy Act (VCEA), a entraîné une augmentation considérable des demandes de projets solaires, qui représentent à ce jour 780 miles carrés de panneaux solaires. Comme le souligne David Wojick, cela représente environ 500 000 acres de campagne, de terres agricoles ou de forêts détruites et pavées, avec quelque 500 projets distincts couvrant une grande partie de la Virginie rurale, qui nécessiteront un nombre stupéfiant de 160 millions de panneaux solaires, provenant pour la plupart de Chine et tous destinés à devenir des centaines de tonnes de déchets toxiques.
Des millions d’emplois ?
L’administration Biden et le tsar des énergies renouvelables John Kerry ont faussement prétendu que leur programme vert ou « Build Back Better » se traduirait par des millions de nouveaux emplois. Ils omettent de dire que ces emplois seront créés en Chine, qui produit la plupart des panneaux solaires, un quasi-monopole après avoir détruit la concurrence américaine et européenne il y a dix ans avec des panneaux bon marché subventionnés fabriqués en Chine. De même, la majeure partie de l’énergie éolienne est produite en Chine par des entreprises chinoises. Pendant ce temps, la Chine utilise des volumes records de charbon et reporte à 2060 sa promesse d’atteindre l’objectif « zéro carbone » dix ans après l’UE et les États-Unis. Elle ne veut pas mettre en péril sa domination industrielle au profit d’une théorie climatique fondée sur des données fausses et des mensonges selon lesquels le gaz carbonique est sur le point de détruire la planète. La fédération syndicale allemande DGB a récemment estimé que depuis 2011, ce pays avait perdu quelque 150 000 emplois dans le seul secteur des énergies renouvelables, principalement parce que les panneaux solaires fabriqués en Chine ont détruit les principales entreprises solaires allemandes. Et l’Allemagne est le pays de l’UE le plus écolo. Parce que, par définition, les énergies renouvelables moins denses en énergie que sont l’éolien et le solaire font grimper les coûts de base de l’électricité, elles suppriment plus d’emplois dans l’économie globale qu’elles n’en créent.
L’effondrement industriel de l’OTAN
RépondreSupprimerParce que l’énergie solaire et l’énergie éolienne sont en réalité beaucoup plus coûteuses que les hydrocarbures conventionnels ou l’électricité nucléaire, elles font augmenter le coût global de l’énergie électrique pour l’industrie, ce qui oblige de nombreuses entreprises à fermer ou à déménager. Seule la fraude statistique officielle masque ce phénomène. L’Europe et les États-Unis auront besoin d’énormes volumes d’acier et de béton pour construire les millions de panneaux solaires ou de parcs éoliens attendus. Cela nécessite d’énormes quantités de charbon conventionnel ou d’énergie nucléaire. Combien de stations de recharge de voitures électriques seront nécessaires pour recharger à domicile 47 millions de voitures électriques allemandes ? Quelle demande d’électricité supplémentaire ?
Un important groupe de réflexion sur l’énergie verte aux États-Unis, RethinkX, a publié une étude de propagande pour les énergies renouvelables en 2021 intitulée « Repenser l’énergie 2020-2030 : 100 % de solaire, d’éolien et de batteries, ce n’est que le début ». Leur réponse aux problèmes de faible capacité pour l’éolien et le solaire est de construire 500 % ou même 1000% de plus que prévu pour compenser le faible facteur de capacité de 25 %. Ils affirment de manière absurde, sans aucune preuve concrète, que « Notre analyse montre que l’électricité 100 % propre issue de la combinaison du solaire, de l’éolien et des batteries (SWB) est à la fois physiquement possible et économiquement abordable sur l’ensemble du territoire continental des États-Unis ainsi que dans l’écrasante majorité des autres régions peuplées du monde d’ici 2030… cette surabondance de production d’énergie propre – que nous appelons super puissance – sera disponible à un coût marginal proche de zéro pendant la majeure partie de l’année… ». Cette déclaration est présentée sans un iota de données ou d’analyse de faisabilité scientifique concrète, simplement une affirmation dogmatique.
L’architecte canadien défunt de l’Agenda 21 des Nations unies, Maurice Strong, un ami pétrolier milliardaire de David Rockefeller, était sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre organisée à Stockholm en juin 1972. Il était également membre du conseil d’administration de la Fondation Rockefeller. Plus que quiconque, il est responsable de l’agenda de désindustrialisation de « l’économie durable » sans carbone. Lors du Sommet de la Terre de l’ONU à Rio en 1992, il a ouvertement énoncé le programme brutal des partisans de l’eugénisme radical tels que Gates et Schwab : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? » Ce programme est en grande partie la grande réinitialisation d’aujourd’hui.
La guerre maintenant ?
RépondreSupprimerSi les économies autrefois avancées et à forte intensité énergétique des pays membres de l’OTAN en Europe et aux États-Unis continuent sur cette voie suicidaire, leur capacité à organiser une défense ou une attaque militaire convaincante deviendra un mirage. Récemment, la présidente corrompue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’industrie de la défense allemande de haute technologie et ses fournisseurs ne devraient pas recevoir de crédit bancaire parce qu’ils ne sont pas assez « verts » ou « durables ». Il semblerait que les banques aient déjà compris le message. Avec le pétrole et le gaz, la production de défense est désormais visée. Von der Leyen, en tant que ministre allemande de la Défense, avait été largement blâmée pour avoir laissé la défense allemande s’effondrer jusqu’à un état catastrophique.
Dans leur poursuite unilatérale de l’Agenda 2030 et du programme « zéro carbone », l’administration Biden et l’UE mettent leur industrie sur la voie de la destruction bien avant la fin de cette décennie. Est-ce que cela conduit à son tour l’agenda actuel de l’OTAN vers la Russie en Ukraine, en Biélorussie, en Arménie et maintenant au Kazakhstan ? Si les puissances de l’OTAN savent qu’elles ne disposeront pas de l’infrastructure industrielle militaire de base dans un avenir proche, pensent-elles qu’il est préférable de provoquer une éventuelle guerre avec la Russie maintenant, afin d’éliminer une résistance potentielle à leur programme de désindustrialisation ? Outre la Chine, la Russie est le seul pays capable de porter un coup dévastateur à l’OTAN en cas de provocation.
Psychose de la formation des masses ou folie des foules
En 1852, l’historien anglais Charles Mackay a écrit un classique intitulé « Mémoires sur les délires populaires extraordinaires et la folie des foules », qui donne un aperçu peu connu de l’hystérie de masse à l’origine des grandes croisades religieuses du XIIe siècle, de la chasse aux sorcières ou de la folie des tulipes hollandaise et de nombreux autres délires populaires. Il est pertinent de comprendre la ruée irrationnelle mondiale vers le suicide économique et politique.
Les mêmes acteurs clés qui sont à l’origine des mandats de vaccination de masse anti-covid pour un vaccin expérimental modifiant la génétique et des verrouillages qui s’ensuivent dans le monde entier, notamment Bill Gates et le pape François, sont à l’origine de la grande réinitialisation du Forum économique mondial de Klaus Schwab et de sa folie verte zéro carbone de l’Agenda 2030 des Nations unies, afin de faire accepter au monde des mesures économiques draconiennes sans précédent.
Pour ce faire, il faudra que la population soit docile et physiquement faible, ce que le professeur de psychologie belge Mattias Desmet et le Dr Robert Malone appellent la psychose de formation de masse, une psychose de foule, une sorte d’hypnose de masse qui ignore la raison. Il est clair que le mythe du réchauffement climatique et l’agenda de la pandémie de coronavirus nécessitent tous deux une telle hypnose de masse – un « délire populaire extraordinaire ». Sans l’hystérie de peur du Covid, nous n’aurions jamais permis à l’agenda vert d’aller si loin que nos réseaux électriques sont au bord du black-out et nos économies au bord de l’effondrement. Le but ultime de la pandémie de Covid de l’OMS et de l’Agenda vert est une marche vers la Grande Réinitialisation dystopique de Schwab de l’ensemble de l’économie mondiale au profit d’une dictature d’une poignée de sociétés mondiales comme BlackRock ou Google-Alphabet.
RépondreSupprimerhttps://www.mondialisation.ca/pourquoi-les-etats-de-lotan-commettent-ils-un-suicide-energetique/5664260
(...) Le cœur de cette transformation est l’énergie, et l’exigence absurde d’une énergie « zéro carbone » d’ici 2050 ou avant. Éliminer le carbone de l’industrie énergétique n’est pas possible à l’heure actuelle, ni peut-être jamais. Mais si l’on cherche à l’atteindre, cela signifie que les économies les plus productives du monde seront mises en pièces. (...)
SupprimerLe 'ni peut-être jamais' prête à sourire car, ce ne sont PAS les humains, les animaux ou ni même l'industrie qui en sont la cause mais notre magma qui nous a donné l'atmosphère et la vie sous-marine et qui expulse des milliards de fois plus de gaz autour de nous que quiconque. Ces gaz se recyclent sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur notre planète.
' les plus productives du monde seront mises en pièces', effectivement, si des dictateurs font barrages, d'autres ailleurs en profitent ! Et, TOUS les gaz émis par ces pays asiatiques font continuellement le tour de la Terre ! Donc, inutile de guerroyer à propos d''élimination du gaz carbonique' (HAHAHAHA !) car cela demeure IMPOSSIBLE. Les volcans (sous-marins, sous océaniques - appelés 'sources chaudes' qui transportent la chaleur de la masse ferrique incandescente vers les côtes - et les volcans terrestres) émettent des milliards de fois plus de gaz que nous tous.
(...) l’Allemagne est confrontée à une augmentation de 500 % du prix au comptant de l’électricité par rapport à janvier 2021. (...)
L'objectif est de paupériser l'ensemble des Amériques, l'Europe et de l'Afrique afin que règnent en maître les pays asiatiques porteurs de surdoués.
Qu'importe le but ignoble d'avoir de l'énergie gratuite à payer très cher pour les cons, l'objectif réel est l'appauvrissement de la majorité des êtres humains c'est-à-dire surtout l'appauvrissement intellectuel ! Car, plus il y a de monde plus il y a forcément de surdoués qui naissent. Et cela représente un ennemi des millions de fois supérieur aux dictateurs de ce monde.
La vie en éoliennes & panneaux photovoltaïques n'est réalisable que pour quelques milliers de personnes au monde. Même les industries, les fonderies, les robots ne peuvent se permettre des pénuries.
Nous savons qu'ils sont cons, ils le savent, ils savent que le Peuple le sait et persistent à l'être.
ÎLE DE LA RÉUNION : HAUTES TENSIONS SUR LE MARCHÉ DES FRÉQUENCES BASSES
RépondreSupprimerpar RÉDACTEUR
15/06/2022
En France les smartphones représentent 71% des mobiles
La procédure d’attribution des fréquences basses à la Réunion s’est achevée à la fin du mois de mai dernier. Zeop Mobile, petit opérateur familial local en concurrence avec les géants Orange, SFR et FREE, dénonce un mode d’attribution des fréquences plaçant les plus petits acteurs dans une situation de désavantage comparatif. À tel point que ce dernier a décidé de porter l’affaire devant le Conseil d’État, dont la décision doit intervenir dans les prochains jours.
Zeop Mobile se voit lourdement handicapé
Selon les données out-door de l’ARCEP, dans son étude annuelle 2021, la Réunion fait partie des meilleurs territoires d’outre-mer dans le domaine des réseaux de téléphonie mobile. L’ARCEP souligne que les quatre opérateurs présents sur le territoire, Orange, SFR, FREE (Telco OI) et Zeop Mobile, un petit acteur local indépendant, obtiennent des résultats globalement similaires. Plus précisément, dans les lieux de vie (mesures à l'extérieur pour les usages piétons et en voiture), c’est Zeop Mobile qui se classe en tête pour la qualité des appels, ex aequo avec SFR dans le domaine de la vitesse de chargement des pages Web, la qualité des visionnages de vidéos et à égalité avec son concurrent Orange pour la vitesse de réception des SMS.
Pour ce qui est de la qualité du réseau sur les axes routiers réunionnais, la navigation Web et les SMS, c’est en revanche Orange qui s’en sort le mieux. Le satisfecit accordé à Zeop Mobile, classé au même rang que les mastodontes métropolitains relève de l’« exploit », selon Nassir Goulamaly, PDG d’Océinde, maison-mère de Zeop Mobile. Une réussite assombrie, car le groupe serait pourtant, selon lui, « condamné à une mort lente ». Le PDG d’Océinde s’indigne en effet de ce qu’il juge être un désavantage comparatif avec ses concurrents continentaux : « Nous sommes obligés de déployer davantage d'antennes que nos concurrents, faute de pouvoir accéder à certaines fréquences », souligne-t-il pour le magazine La Tribune, dans un article daté du 12 mai 2021.
Précieuses « fréquences en or »
Une atteinte à la concurrence directement liée au mode d’attribution des fréquences, nerf de la guerre des télécoms, selon Zeop Mobile. Elles sont en effet, pour la première fois dans l’histoire de l’île de la Réunion, pour partie attribuées aux enchères. « Au cours d’un premier tour, chaque opérateur se verra remettre un lot de 5 MHz dans la bande 700 MHz, puis deux lots de 5 MHz seront ensuite proposés aux plus offrants. Au total, chaque opérateur ne pourra posséder plus de 30 MHz de fréquences basses, c’est-à-dire dans les bandes 700, 800 et 900 MHz », expliquait ainsi, pour le magazine Forbes, Noël Labelle, ancien rédacteur en chef du groupe Agefi en Suisse, en mai 2021. Un format qui désavantage logiquement les plus petits opérateurs, qui disposent de moins de moyens financiers pour se positionner sur les tarifs proposés par leurs gros concurrents.
Ces dernières semaines, les différents candidats ont ainsi fourbi leurs armes pour obtenir les précieuses fréquences basses, préalables au déploiement de la 5G sur le territoire réunionnais et connues pour leur excellente pénétration dans les bâtiments. Limitées en nombre, elles font l’objet d’une lutte très âpre entre les différents opérateurs. Des « fréquences en or », selon les spécialistes du domaine, dont Zeop Mobile ne sera que très faiblement dotées, d’après sa licence publiée par l’ARCEP le 31 mai dernier, qui ne lui accorde qu’un bloc de 5 MHz de fréquences basses dans la bande 700 MHz tandis que ses concurrents en ont désormais 5 à 6 fois plus dans toutes les bandes basses (700 MHz, 800 MHz et 900 MHz).. Zeop, même s’il est implanté sur l’île depuis de nombreuses années avec la fibre optique (le fameux FTTH), ne dispose ainsi en téléphonie mobile que du plus petit bloc techniquement possible de fréquences basses, l’obligeant à alourdir ses investissements en multipliant le nombre d’antennes relais pour offrir une qualité de service comparable, voire moindre, à celle de ses concurrents.
RépondreSupprimerZeop Mobile, qui a toujours capitalisé sur son rôle d’acteur historique du développement de l’internet haut débit sur l’île avant d’intégrer le marché de la téléphonie mobile, vit cette situation comme une profonde injustice. « Nous ne demandons pas d'argent ou des subventions. Nous demandons juste de pouvoir travailler de façon normale », affirmait Nassir Goulamaly, dans un appel à Laure de la Raudière, présidente de l’ARCEP, à réformer les modalités d’attribution. L’autorité de régulation n’en démord pas et reste, pour le moment, parfaitement sourde aux plaintes de Zeop Mobile. Saisi en janvier dernier, le Conseil d’État devrait bientôt se prononcer sur la légalité du processus plébiscité par l’ARCEP et sa décision devrait, pour tous les autres opérateurs locaux des territoires ultra-marins, faire acte de jurisprudence.
http://www.economiematin.fr/news-frequence-mobile-reunion-zeop-critique-attribution-arcom-redacteur
Rappel que les personnes qui se sont déjà faites inoculer (même plusieurs fois !) en redemandent ! Arrive enfin la 5G qui pourra envoyer des messages à n'importe quel ou quelle inoculé sans passer par son téléphone because que les milliards de nano-particules d'oxyde de graphène (récepteurs-émetteurs) en seringues puis dans les désespérés peuvent tuer n'importe qui ! et Paf ! un de plus par terre.
SupprimerC'est toute la joie des basses fréquences.
ALERTE URGENTE: Les virologues émettent un nouvel avertissement urgent sur Monkeypox concernant .... le racisme
RépondreSupprimerALARME MORT ALARME MORT VIRUS ALARME MORT VIRUS ALARME MORT
eugyppe
Des virologues africains et européens ont posté une chape gravement stupide sur Monkeypox sur le forum de discussion virologique, mettant en garde contre le danger d'une nomenclature stigmatisante, car c'est totalement leur domaine et nous n'avons rien d'autre à craindre pour le moment.
Il y a tellement de passages risibles parmi lesquels choisir, je suppose que je vais juste y aller dans l'ordre:
La perception dominante dans les médias internationaux et la littérature scientifique est que le MPXV est endémique chez les personnes de certains pays africains. Cependant, il est bien établi que presque toutes les épidémies de MPXV en Afrique avant l'épidémie de 2022 ont été le résultat d'une transmission des animaux aux humains et il n'y a que rarement eu des rapports de transmissions interhumaines soutenues. Dans le contexte de l'épidémie mondiale actuelle, la référence et la nomenclature continues de ce virus comme étant africain sont non seulement inexactes, mais également discriminatoires et stigmatisantes.
Monkeypox est un virus qui est endémique chez les hôtes animaux en Afrique et, à un degré inconnu, probablement aussi chez les personnes en Afrique. Monkeypox est un virus africain; L'Afrique est d'où vient Monkeypox. Je ne me suis jamais autant soucié de ce fait auparavant, mais je le fais maintenant. Bravo les idiots de virologues.
Bien que l'origine de la nouvelle épidémie mondiale de MPXV soit encore inconnue, il est de plus en plus évident que le scénario le plus probable est que la transmission humaine cryptique à travers le continent dure depuis plus longtemps qu'on ne le pensait. Cependant, il y a un récit croissant dans les médias et parmi de nombreux scientifiques qui tentent de lier l'épidémie mondiale actuelle à l'Afrique ou à l'Afrique de l'Ouest, ou au Nigeria.
Quel est même l'argument ici? Le fait que nous n'ayons pas remarqué que Monkeypox (qui est un virus africain) était venu en Europe depuis l'Afrique, jusqu'à quelques années après son arrivée en Europe depuis l'Afrique, ne signifie pas qu'il ne vient plus d'Afrique maintenant. Les séquences publiées à ce jour sont toutes liées à un virus introduit en Occident depuis le Nigeria (un pays africain) avant 2019. Le monkeypox est un virus africain.
En outre, l'utilisation d'étiquettes géographiques pour les souches de MPXV, en particulier, les références à l'épidémie de 2022 comme appartenant au clade, à la souche ou au génotype « Afrique de l'Ouest » ou « Afrique de l'Ouest ». Nous pensons donc qu'une nomenclature neutre, non discriminatoire et non stigmatisante sera plus appropriée pour la communauté mondiale de la santé.
Il n'y a pas de privilège européen que je chérisse plus que la capacité de parler du virus de Marburg ou de la grippe espagnole sans qu'il ne me vienne à l'esprit une seule nanoseconde que je devrais m'offenser ou me soucier de ces noms.
Les auteurs proposent ensuite une "nouvelle classification du MPXV non discriminatoire et non stigmatisante et alignée sur les meilleures pratiques en matière de dénomination des maladies infectieuses", ce qui signifie qu'ils entendent des schémas de dénomination ridicules imaginés hier par l'OMS, de peur que l'honnêteté sur le les origines géographiques de souches spécifiques du SRAS-2 embarrassent tout le monde. Un signe classique d'universitaires vraiment stupides, c'est qu'ils réclament toujours d'inclure des illustrations graphiques et des tableaux inutiles, et nos virologues éveillés ne déçoivent pas :
RépondreSupprimerIls concluent :
En soutenant une classification non discriminatoire et non stigmatisante, nous pouvons encourager les chercheurs africains et autres dans les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) à faire progresser la surveillance génomique, à partager les données de séquence et à minimiser les impacts négatifs. Le fait de ne pas soutenir et adopter la nomenclature et la classification proposées peut entraîner une perte d'intérêt pour le maintien de la surveillance active et la notification rapide des agents pathogènes à potentiel épidémique et pandémique, par les scientifiques et les institutions nationales de santé publique en Afrique et dans d'autres PRITI.
Si nous avons appris quelque chose de ces deux dernières années, c'est que "la surveillance active et la notification rapide des agents pathogènes à potentiel épidémique et pandémique" sont des entreprises massivement destructrices susceptibles de faire s'effondrer l'économie mondiale et peut-être même de mettre fin à la civilisation telle que nous la connaissons. Il devrait peut-être y avoir d'importantes mesures de dissuasion à s'engager dans ces activités.
Chaque cas d'infection par le MPXV doit être traité avec la même attention et le même sens de l'urgence que ceux qui sévissent actuellement dans les pays européens et en Amérique du Nord. Toute l'épidémie de hMPXV, quel que soit le lieu, doit être stoppée, pas seulement cette épidémie dans l'hémisphère Nord. Un système de nomenclature pratique et neutre permet une communication efficace sans risque d'autres idées fausses, de discrimination et de stigmatisation.
Les jeux de mots ne vont pas arrêter Monkeypox, mais un moratoire de deux semaines sur le sexe gay pourrait bien le faire. Pourquoi personne ne nous suggère d'essayer ? C'était bien de fermer la majeure partie de la société pendant des mois, de condamner nos parents âgés à mourir seuls et d'isoler socialement nos enfants jusqu'à la dépression, donc cela devrait être une évidence totale. Quelqu'un demande à Neil Ferguson d'allumer ses mannequins et de dire aux homosexuels quand ils peuvent planifier de se taper à nouveau.
https://www.eugyppius.com/p/urgent-alert-virologists-issue-urgent?s=r
Nous sommes toutes et tous descendant du singe mais pas du Monkeypox 1er ! Faut pas aller jusqu'à dire que tous nos ancêtres étaient des gouines ou des pédés ! Donc, laissons-les dans leur merde trisomique de naissance et rejetons toutes piqûres qui pourraient l'apporter.
SupprimerL'illusion virale, premier épisode : la pseudoscience du SRAS-COV2
RépondreSupprimer15 juin 2022
- voir clip sur site -
Voici la description de la vidéo de Sovren :
"Dans cet épisode d'ouverture extraordinairement révélateur, un groupe de biologistes, de chimistes, de médecins et de journalistes décortique le récit du SRAS-CoV-2 pièce par pièce - du non-isolement du virus aux problèmes cachés avec de prétendues photographies du virus , aux affirmations selon lesquelles il a été génétiquement séquencé, à l'invalidité du "covid-test" PCR. Des protocoles de traitement du COVID à l'hypothèse de sa transmission, l'épisode 1 déballe la science des affirmations qui ont changé le monde - dans lequel ces médecins et scientifiques soutiennent que chaque affirmation des autorités concernant le soi-disant SARS-CoV -2 virus a été basé non pas sur des preuves, mais sur la pseudoscience.
https://www.lewrockwell.com/2022/06/no_author/the-viral-delusion-episode-one-the-pseudoscience-of-sars-cov2/
La FDA prend une décision COVID Vax sur la base d'une étude de 10
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
15 juin 2022
Le 23 mai 2022, Pfizer-BioNTech1 a annoncé que les résultats préliminaires de son essai de phase 2/3 évaluant un calendrier vaccinal à trois doses pour les enfants de 6 mois à moins de 5 ans seraient soumis à la FDA pour autorisation d'utilisation d'urgence (EUA).
De nombreux médias grand public saluent cette évolution comme étant importante pour la santé des enfants, écrivant : « De nombreux parents de ces très jeunes enfants ont été très impatients de faire vacciner leurs enfants »2 et « Les parents qui espéraient faire vacciner leurs plus jeunes enfants contre le COVID-19 ont des nouvelles encourageantes lundi. »3
Pourtant, malgré la pression continue des médias grand public pour encourager les parents à vacciner les très jeunes, le Vaccine Monitor Survey de KFF4 a révélé que seulement 18 % des parents ayant des enfants de moins de 5 ans prévoient de faire vacciner leur enfant immédiatement.
Parents exprimant leur inquiétude pour la sécurité des enfants
KFF rapporte qu'un plus grand nombre - 38% - prévoient d'attendre de voir les effets secondaires que le vaccin pourrait avoir chez les jeunes enfants avant de prendre une décision et 27 % ont indiqué qu'ils ne se feront certainement pas injecter leur enfant. Il est important de noter que l'enquête a également révélé qu'"un peu plus de la moitié des parents d'enfants de cette tranche d'âge déclarent ne pas disposer de suffisamment d'informations sur l'innocuité et l'efficacité des vaccins pour les enfants de moins de 5 ans."5
Bien que les informations sur les blessures causées par le vaccin COVID-19 aient été difficiles à trouver dans les médias grand public, il ressort de ces chiffres que de nombreux parents sont préoccupés par la sécurité de leurs enfants et veulent plus d'informations avant de vouloir risquer leur santé.
Un article publié le 15 décembre 2021 dans JAMA6 a fait référence à l'enquête précédente de KFF,7 qui a révélé que 27 % des parents d'enfants de 5 à 11 ans étaient intéressés à donner le coup à leurs enfants, ce qui représente une baisse de 9% par rapport à l'enquête en 2022. Le document8 cherchait à adoucir les eaux avec les parents qui hésitaient à faire vacciner leurs enfants en attribuant la peur à la désinformation et à une mauvaise compréhension de ce que signifie « EUA ».
Il est intéressant de noter que l'auteur de l'article a reçu des subventions de recherche de Pfizer et Moderna, et siège également aux conseils consultatifs de Johnson & Johnson, Pfizer et Merck.
L'article de la JAMA indique que l'enquête KFF a révélé que la principale raison pour laquelle les parents s'inquiétaient étaient raisonnablement les «effets indésirables graves et à long terme, y compris les problèmes de fertilité futurs».9 Selon l'auteur, ces préoccupations ont été abordées et réfutées sur la base d'une seule de données.
L'efficacité de 80,3 % de Pfizer est basée sur 10 enfants
RépondreSupprimerL'annonce de Pfizer selon laquelle ils cherchaient une EUA auprès de la FDA pour les enfants de 6 mois à moins de 5 ans est "basée sur 10 cas symptomatiques de COVID-19 identifiés à partir de sept jours après la troisième dose et accumulés au 29 avril 2022".10
Alors que l'étude a inclus 1 678 enfants qui ont reçu trois doses de la formulation, l'efficacité déclarée de 80,3 % chez les enfants est basée sur seulement 10 cas. Le nombre est si faible que même le fervent défenseur des vaccins, le Dr Paul Offit - co-inventeur d'un vaccin contre le rotavirus11 - a exprimé sa consternation face au nombre, en disant :12
«Je veux dire, 10 enfants – vous parlez de 10 enfants. C'est un petit nombre, donc c'est vraiment difficile de commenter ou cela comme quelque chose de plus général puisque vous ne savez pas parce que les chiffres sont si petits.
Pfizer a annoncé ces résultats après avoir retardé le processus de demande d'EUA pour recueillir plus de données.13 Initialement, les enfants de l'étude n'ont pas produit de réponse immunitaire significative après deux doses, de sorte que la société a retardé la demande jusqu'à ce qu'elle puisse donner aux enfants une troisième dose.
L'essai aurait évalué « l'innocuité, la tolérabilité et l'immunogénicité de trois doses du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19. qui ont montré l'efficacité du vaccin chez les enfants âgés de 5 à 11 ans est tombé à 12 % en deux mois après la vaccination.15
En d'autres termes, 7 enfants sur 8 qui ont été vaccinés n'ont tiré aucun bénéfice du vaccin deux mois après avoir reçu le vaccin. Les données recueillies auprès de 365 502 enfants ont montré une différence frappante entre les enfants âgés de 11 et 12 ans. L'efficacité contre l'infection chez les enfants de 12 ans était de 67 %, mais chez les enfants de 11 ans, elle a chuté à 11 %.16
Les données des États-Unis concordaient avec un rapport britannique17 qui montrait que l'efficacité contre les infections symptomatiques avait chuté de 22,6 % après deux mois chez les adolescents âgés de 16 à 17 ans.
Fait intéressant, le communiqué de presse de Pfizer publié le 23 mai 2022, a mentionné le mot « sécurité » 22 fois lors de la discussion sur le vaccin COVID-19 pour les enfants, et a écrit que le vaccin était « bien toléré par 1 678 enfants de moins de 5 ans avec une sécurité profil similaire au placebo. »18 Le vaccin utilisé sur les jeunes enfants représente le dixième de la dose administrée aux adultes.19
Pourtant, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS)20 a enregistré 1 878 événements indésirables chez les enfants de 5 ans et 10 029 chez les enfants de 6 à 11 ans à partir des données publiées au 13 mai 2022.
RépondreSupprimerSelon l'American Academy of Pediatrics21, en mai 2022, 35 % des enfants de 5 à 11 ans avaient reçu une dose et seulement 28 % avaient reçu les deux doses du vaccin. Si vous extrapolez les nombres d'événements indésirables en utilisant 35 % de la population pédiatrique ayant reçu au moins une dose, il y aurait eu 34 020 événements indésirables si 100 % des enfants aux États-Unis âgés de 5 à 11 ans avaient reçu le vaccin.
Il semble hautement improbable que 11 907 événements indésirables chez les enfants de 5 à 11 ans signalés au VAERS après au moins une injection n'aient entraîné que des événements "légers ou modérés"22 chez les enfants âgés de 6 mois à moins de 5 ans, ou que le vaccin ait pu " un profil de sécurité similaire au placebo.
Moderna demande également un EUA pour les enfants de moins de 5 ans
Moderna prend également la relève et demande une EUA pour une injection à faible dose chez les enfants de moins de 5 ans. Les données qu'ils ont soumises montrent que le vaccin est efficace de 37 % à 51 % du temps contre la variante COVID omicron.23
Paul Burton, médecin-chef de Moderna, s'est entretenu avec ABC News, déclarant24 : « Je pense que pour ces petits enfants, ils représentent vraiment un besoin médical non satisfait. J'espère que l'examen se poursuivra rapidement et rigoureusement – mais s'il est approuvable, cela sera mis à la disposition de ces petits enfants le plus rapidement possible.
Il est plus probable que les jeunes enfants représentent une manne financière inexploitée pour l'entreprise, car le vaccin s'est avéré avoir des effets secondaires dangereux,25 tandis que le taux de mortalité chez les enfants de l'infection elle-même est bien inférieur à tout autre groupe d'âge.26 Mais, si le vaccin est ajouté au calendrier des vaccins pédiatriques, et s'il est obligatoire comme les autres vaccins infantiles, il deviendra un marché à feuilles persistantes représentant des milliards de dollars pour les sociétés pharmaceutiques.
Chaque année, le CDC enregistre l'efficacité du vaccin contre la grippe pour tous les types de vaccins dans tous les groupes d'âge. La FDA peut trouver le taux d’efficacité de 37 % du vaccin COVID acceptable puisque l’efficacité ajustée du vaccin antigrippal est similaire, allant de 34 % à 68 % chez les enfants âgés de 6 mois à 8 ans pendant les saisons grippales 2015-2016 à 2019-2020.27
Bien que le vaccin antigrippal soit un événement annuel à un seul coup, le CDC recommande plusieurs piqûres avec le vaccin COVID.28 Cela signifie qu'un adulte peut recevoir jusqu'à cinq injections d'un vaccin d'ARNm avec des effets à long terme inconnus, ce qui a n'a pas prouvé qu'il protégeait efficacement les personnes contre une infection.29
RépondreSupprimerÉtant donné que l'efficacité du jab COVID chez les adultes et les enfants diminue en quelques semaines à peine, il est fort probable qu'il en sera de même chez les enfants de 6 mois à moins de 5 ans. Encore une fois, la combinaison d'un virus mutant, d'une immunité décroissante et de l'approbation fédérale d'un vaccin est un excellent exemple d'un modèle commercial à feuilles persistantes.
De plus en plus d'Américains se détournent du Jab
Selon les données publiées par le CDC,30 82,7 % de la population américaine de plus de 5 ans ont reçu au moins une dose du vaccin COVID. Selon le CDC, il s'agit de 258 133 282 personnes au 24 mai 2022. C'est l'extrait sonore que vous avez probablement entendu dans les nouvelles. Mais il y a autre chose qui mérite d'être noté.
Alors que les données montrent que 70,8% de la population est entièrement vaccinée selon les critères du CDC, 11,9% de la population qui a initialement reçu le premier vaccin n'est pas retournée pour la deuxième dose.
Le CDC conserve également des données sur le nombre de personnes qui ont eu leur premier rappel ou deuxième rappel, et au 24 mai 2022, 48,4 % des personnes éligibles de 12 ans ou plus ont reçu leur premier rappel et seulement 20,5 % des personnes éligibles 50 ans ou plus ont reçu leur deuxième rappel.
Il est important de noter que le CDC recommande des rappels pour les personnes de 5 ans et plus31, mais ils ne suivent pas actuellement publiquement ces données. Cela signifie qu'environ 17,3% de la population éligible au vaccin n'a reçu aucune dose. Si vous ajoutez cela aux 11,9 % qui ne sont pas retournés pour leur deuxième dose, il apparaît que 29,2 % de la population ont maintenant décidé de ne pas prendre le vaccin du tout ou de ne pas en prendre un autre.32
Pourquoi ils poussent l'approbation des vaccins pour enfants
RépondreSupprimerTélécharger la transcription de l'entretien
Dans cette interview fascinante avec Alix Mayer, nous discutons des raisons néfastes pour lesquelles nos enfants sont agressivement ciblés pour l'injection de COVID-19, même si les données du CDC montrent qu'ils ne représentent pas un risque sérieux. Mayer est présidente du conseil d'administration de la section californienne de défense de la santé des enfants et est elle-même blessée par le vaccin d'une série de vaccins qu'elle a reçus il y a 20 ans, avant de voyager hors du pays.
Elle est diplômée de l'Université Duke et de l'Université Northwestern avec un MBA en finance et stratégie de gestion. Historiquement, le VAERS a montré que de nombreux vaccins ont un profil d'innocuité douteux, en particulier lorsqu'ils sont combinés. Pourtant, les données de 2021 et 2022 suggèrent qu'il n'y a jamais eu de vaccin aussi dangereux que les injections expérimentales de transfert de gène d'ARNm pour COVID.33
Le manque de transparence et de responsabilité a été un problème chronique au sein de l'industrie, mais les dangers associés aux coups COVID ont vraiment mis en évidence ce problème. Étant donné que les injections sont toujours sous EUA, elles bénéficient d'une immunité légale contre la responsabilité en cas de blessure causée par le vaccin.34
Comme le souligne Mayer, ce que vous ne réalisez peut-être pas, c'est que bien que la FDA ait semblé approuver et autoriser le Comirnaty de BioNTech,35 le vaccin continue d'être administré dans le cadre de l'EUA. L'une des raisons en est qu'une fois qu'un produit est entièrement sous licence, l'entreprise devient également responsable des blessures.36
Et, puisque les sociétés pharmaceutiques comprennent à quel point les injections sont dangereuses, elles ne veulent pas être financièrement responsables des blessures. Ainsi, pour obtenir l'immunité pour un vaccin non administré dans le cadre d'un EUA, ils doivent faire inscrire le produit sur le calendrier de vaccination des enfants, en vertu duquel ils ne sont pas personnellement responsables si leurs vaccins blessent quelqu'un.37,38
Une fois sur le programme des enfants, cela permet également au gouvernement de mandater le tir. Comme l'a noté Mayer: «C'est le Saint Graal si vous êtes actuellement un fabricant de vaccins contre le COVID. Vous voulez qu'il soit entièrement sous licence, mais ne le mettez pas sur le marché tant que vous ne l'aurez pas inscrit à l'horaire des enfants. »39
La raison pour laquelle l'industrie pharmaceutique fait pression pour des vaccins chez les jeunes enfants est clairement basée sur des intérêts financiers. Les dossiers du VAERS montrent que 117 enfants de moins de 18 ans sont décédés à cause du vaccin et 48 833 ont signalé des événements indésirables et des blessures au 13 mai 2022.40
RépondreSupprimerIl est crucial de partager ces informations avec les parents qui prennent des décisions à vie pour leurs enfants et de soutenir vos politiciens locaux dont les objectifs déclarés sont de protéger vos libertés.
Sources and References
1, 10, 14 Pfizer, May 23, 2022
2, 12, 23 NPR, May 23, 2022
3 AP, May 23, 2022
4, 5 KFF, May 4, 2022
6, 8, 9 JAMA, 2022;327(1)
7 KFF, October, 28, 2021
11 Regis College March 10, 2021
13 CIDRAP, February 11, 2022
15 The New York Times, February 28, 2022, para 11
16 The New York Times, February 28, 2022
17 The Lancet, 2022;22(5) para 1under Figure A/B
18 Pfizer, May 23, 2022, bullets #2
19 CIDRAP, May 23, 2022
20, 40 OpenVAERS, COVID data
21 American Academy of Pediatrics, May 18, 2022
22 Pfizer, May 23, 2022, para 6 under the bullets
24 ABC News, May 4, 2022
25, 33 OpenVAERS
26 Centers for Disease Control and Prevention, Provisional COVID-19 Death Counts by Age in Years, 2020-2022, last table on the page
27 Centers for Disease Control and Prevention, Seasonal Influenza Vaccine Effectiveness, 2015-2016 through 2019-2020
28 MayoClinic, May 21, 2022
29 New England Journal of Medicine, 2022;386
30 Centers for Disease Control and Prevention, COVID-19 Vaccinations in the U.S.
31, 32 Centers for Disease Control and Prevention, May 24, 2022
34 CNBC, December 17, 2020
35 FDA, May 20, 2022
36 BitChute, December 22, 2021, Minute 21:50
37 History of Vaccines, Vaccine Injury Compensation Programs Subhead 3
38 Legal Information Institute
39 BitChute, December 22, 2021, Minute 22:55
https://www.lewrockwell.com/2022/06/joseph-mercola/fda-making-covid-vax-decision-based-on-a-study-of-10/
(...) De nombreux médias grand public saluent cette évolution comme étant importante pour la santé des enfants, écrivant : « De nombreux parents de ces très jeunes enfants ont été très impatients de faire vacciner leurs enfants » (...)
SupprimerOui, il est désormais possible d'avorter son enfant après la naissance jusqu'à 5 ans et même après en maison de retraite ! Youpi ! Suffit de le piquer pour s'en défaire ! Et hop !
Pourquoi le 'vaccin' 'cocovide19/SarsCov2/Delta/Omicron/et j'en passe' N'EXISTE PAS ?
Parce que le dit 'virus' (poussière) n'a JAMAIS été isolé(e) depuis 2 ans !!! Ni vu ni connu et ils font un 'vaccin' !!!
L'expérimentation génique d'essais (CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin') a été analysée par des scientifiques (Dr Carrie Madej, Dr Astrid Stückelberger, etc) sous microscope électronique et, le contenu des flacons injectables s'est révélé être une supercherie, une escroquerie, une HÉGÉMONIE mondiale !!
60 % du monde (soit 4 800 00 000 hab.) serait été injecté !!! (espérons pour elles et eux qu'il y a eu un très grand nombre de placebos).
Le dit 'virus' N'EST PAS DANS L'AIR mais UNIQUEMENT disponible en seringues !
Si t'es piqué: tu l'as ! Si tu l'as: t'es mort !
Une nouvelle étude conclut que les confinements ont causé au moins 170 000 décès supplémentaires aux États-Unis
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 JUIN 2022 - 03:25
Rédigé par Steve Watson via Summit News
Une autre étude a conclu que les confinements restrictifs ont contribué à un pic massif de décès excessifs, avec une augmentation de 26 % du taux de mortalité des adultes en âge de travailler en Amérique.
L'étude menée par le National Bureau of Economic Research (NBER) a révélé qu'il y avait de manière conservatrice plus de 170 000 décès supplémentaires non liés au Covid aux États-Unis jusqu'en 2020 et 2021.
L'étude note que le nombre réel est probablement plus proche de 200 000 car plus de 70 000 soi-disant «décès non mesurés de Covid», c'est-à-dire des personnes qui peuvent être décédées uniquement avec le virus et non à cause de celui-ci, n'ont pas été prises en compte.
Les chercheurs ont écrit que «En additionnant nos estimations pour toutes les causes et tous les groupes d'âge, nous estimons à 171 000 décès non liés au Covid jusqu'à la fin de 2021 plus 72 000 décès non mesurés au Covid. The Economist a rassemblé des données de mortalité au niveau national du monde entier et obtient une estimation américaine similaire, qui est de 199 000 (y compris tout Covid non mesuré) ou environ 60 personnes pour 100 000 habitants (Global Change Data Lab 2022).
[ZH : Comme le notent les auteurs, "Cet article fait état de dommages importants et historiques pour la santé subis aux États-Unis pendant la pandémie, à l'exception de ceux directement causés par Covid.]
Ils ont ajouté que « Alors que les décès de Covid affectent massivement les personnes âgées, le nombre absolu de décès excédentaires non liés à Covid est similaire pour chacun des groupes d'âge 18-44, 45-64 et plus de 65 ans, avec essentiellement aucun excès global de décès d'enfants. La mortalité toutes causes confondues pendant la pandémie a été élevée de 26 % pour les adultes en âge de travailler (18-64 ans), contre 18 % pour les personnes âgées.
Le niveau de décès excessifs concorde avec les résultats d'autres études à travers le monde qui ont révélé que partout où les enfermés ont connu une augmentation similaire des taux de mortalité.
Les chercheurs du NBER déclarent que "Pour l'Union européenne dans son ensemble, l'estimation est presque identique à 64 décès excédentaires non Covid pour 100 000".
Ils soulignent également que "En revanche, l'estimation pour la Suède est de -33, ce qui signifie que les causes de décès non liées au Covid étaient quelque peu faibles pendant la pandémie".
RépondreSupprimer« Nous soupçonnons que certaines des différences internationales sont dues à la norme utilisée pour désigner un décès comme Covid, mais peut-être aussi que le résultat de la Suède est lié à la minimisation de la perturbation des modes de vie normaux de ses citoyens », ajoutent les chercheurs.
En d'autres termes, la Suède n'a pas verrouillé et n'a pas non plus connu d'augmentation des taux de mortalité non COVID.
Les chiffres publiés par l'Organisation mondiale de la santé le mois dernier montrent que la Suède a enregistré moins de décès par COVID par habitant qu'une grande partie de l'Europe malgré son refus d'appliquer des verrouillages stricts et des mandats de masque comme de nombreux autres pays voisins.
"En 2020 et 2021, le pays avait un taux de mortalité excédentaire moyen de 56 pour 100 000 – contre 109 au Royaume-Uni, 111 en Espagne, 116 en Allemagne et 133 en Italie", a rapporté le Telegraph.
Une étude menée par l'Université Johns Hopkins et publiée en février a conclu que les blocages mondiaux ont eu un impact beaucoup plus néfaste sur la société qu'ils n'ont produit d'avantages, les chercheurs affirmant qu'ils "sont mal fondés et devraient être rejetés en tant qu'instrument de politique pandémique". .”
"Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements n'ont eu que peu ou pas d'effets sur la santé publique, ils ont imposé d'énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés", ont conclu les chercheurs.
Faisant rapport sur la nouvelle étude, le New York Times a noté que "le taux de décès toutes causes confondues chez les jeunes adultes a augmenté d'un pourcentage plus élevé que le taux de décès toutes causes confondues chez les personnes âgées".
https://www.zerohedge.com/covid-19/new-study-concludes-lockdowns-caused-least-170000-excess-deaths-us
C'est très dur de faire de la prison sans être coupable, mais les tribunaux criminels ont désignés 8 milliards de condamnés qui doivent en plus être piqués !! (puis le corps est brûlé pour éviter toute autopsie).
SupprimerLes données du VAERS montrent une augmentation de 2 000 % des rapports de lésions cérébrales après la vaccination contre le COVID-19
RépondreSupprimermardi 14 juin 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Brian Shilhavy du site Web Global Research a examiné les données du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) et a constaté une augmentation choquante des rapports de lésions cérébrales suite à la vaccination contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
"J'ai découvert qu'il y avait une augmentation de 2 000 % ou plus des lésions cérébrales signalées après les injections de COVID-19", a-t-il déclaré.
Il y a eu 64 cas signalés par mois depuis le début de la distribution du vaccin COVID-19 en décembre 2020. En comparaison, 1 068 cas d'encéphalopathie ont été signalés après d'autres vaccins approuvés par la FDA au cours des 30 dernières années pour une moyenne de moins de trois cas par mois.
Shilhavy a également déclaré qu'il existe une corrélation très claire avec l'augmentation des vaccinations d'enfants présentant des taux croissants d'autisme aux États-Unis, bien que les agences de santé gouvernementales refusent de reconnaître tout effet de causalité entre le calendrier de vaccination infantile gonflé et les diagnostics d'autisme. (Connexe: VAERS enregistre des événements indésirables accablants des vaccins COVID-19 au cours des deux premiers mois de 2022.)
Outre les lésions cérébrales, les cœurs affaiblis et les caillots sanguins se sont également avérés être quelques-uns des effets secondaires signalés chez les enfants après les vaccinations contre le COVID-19.
Une étude de cas publiée plus tôt en mai dans le Journal of Neuroimmunology a révélé qu'une jeune fille de 15 ans avait développé une encéphalopathie, une myocardite et une thrombocytopénie simultanément après avoir reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer COVID-19.
« À notre connaissance, il s'agit du premier cas signalé qui a développé une encéphalopathie, une myocardite et une thrombocytopénie simultanément après la deuxième dose de vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech (BNT162b2) malgré l'absence d'effet indésirable après la première dose du même vaccin », ont écrit les auteurs de l'étude.
Les auteurs ont suggéré que davantage de recherches impliquant plus de cas doivent être menées pour découvrir la pathogenèse exacte derrière cette manifestation neurologique et cardiaque et le rôle causal du vaccin. "Le clinicien doit être conscient de l'événement indésirable potentiel après la vaccination contre le COVID-19 et les informer et les traiter selon les meilleures preuves disponibles", ont recommandé les auteurs.
RépondreSupprimerDes enfants se blessent et meurent après les vaccinations contre le COVID-19
Asheley Carbajal Garcia, une Mexicaine de 15 ans, est décédée le 13 mars – cinq jours seulement après avoir reçu le vaccin Pfizer.
Rosario Flor, la mère de l'adolescent, a déclaré dans une interview que sa fille avait reçu la première dose du vaccin le 8 mars à Ayutla. Un jour plus tard, elle avait mal à la tête et ils lui ont donné du paracétamol. Elle a été emmenée à l'hôpital régional après avoir commencé à vomir et à avoir des convulsions.
La tante de la victime, Rosaura Carbajal, a déclaré que sa nièce était une fille en bonne santé et qu'elle n'avait jamais eu de maladie. « Sa mort aurait pu être causée par une réaction grave au vaccin COVID-19 », a déclaré Carbajal.
Ivan Hernandez Diaz du Secrétariat du bien-être du Mexique n'a pas tardé à conclure que le vaccin ne pouvait pas être la cause de la mort de Garcia. "L'image des complications ne correspond pas aux effets indésirables que présente le vaccin Pfizer", a-t-il déclaré.
Pendant ce temps, le Dr Ezequiel Martinez, chirurgien et sage-femme, a mené une évaluation indépendante de l'affaire et a rendu son opinion publique en disant que les médecins du système de santé officiel hésitent à admettre que les injections de COVID-19 causent d'énormes dégâts parmi la population.
Il a dit : « Si elle n'avait pas été vaccinée, elle serait en vie. Il est très probable que le mineur ait déjà eu une blessure non diagnostiquée et que l'anévrisme ne soit pas quelque chose qui puisse être généré par le vaccin pour autant que je sache. Cependant, le vaccin peut provoquer des altérations de la coagulation qui favorisent les hémorragies, et il peut aussi provoquer des crises hypertensives chez les jeunes. Ces deux facteurs peuvent favoriser la croissance et la propagation de l'anévrisme.
Un autre cas de lésion cérébrale qui a causé la mort d'un adolescent est celui de Danylo Zinneck Nobre, un garçon de 15 ans originaire du Brésil.
RépondreSupprimerIl a pris deux doses de Pfizer, la première le 24 août et la seconde le 19 octobre 2021. Après 18 jours, il avait une faiblesse dans les jambes, une vision floue et une lourdeur dans la tête.
Le 6 janvier, il a eu une crise et a été intubé en raison de difficultés à avaler et de troubles de l'élocution.
Nobre a reçu un diagnostic d'encéphalite auto-immune du tronc cérébral de Bickerstaff, une maladie neurologique rare du système nerveux périphérique et central. Il a subi un traitement de plasmaphérèse, qui consiste à filtrer le sang pour éliminer les substances qui endommagent le plasma. Mais à la cinquième séance, il a eu un AVC hémorragique. L'enfant est décédé le 3 mars.
Le 27 avril, Maryglace Balasabas, tante d'une fillette philippine de huit ans, a posté sur Facebook : « Ma nièce Tanya est actuellement confinée pour cause d'encéphalite après avoir reçu sa deuxième dose de vaccin.
Dans la section des commentaires, la mère de l'enfant, Shannon Nunez, a remercié Balasabas pour son aide. Elle a également posté le 1er mai que sa fille était actuellement en convalescence et a remercié ses amis et sa famille pour les prières et le soutien financier.
Visitez VaccineInjuryNews.com pour plus d'informations sur les blessures causées par les vaccins COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle du cas d'Asheley Carbajal Garcia qui a été tuée par le vaccin Pfizer qui a induit une encéphalite et un anévrisme.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
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Sources include:
GlobalResearch.ca
MedAlerts.org
JNI-Journal.com
DiarioDeVallarta.com
MarkCrispinMiller.substack.com
Community.CovidVaccineInjuries.com
FaceBook.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-14-2000-percent-increase-brain-damage-covid-vaccination.html
California House adopte un projet de loi « infanticide » légalisant le meurtre de nouveau-nés 7 jours ou plus après la naissance
RépondreSupprimerMercredi 15 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Lors d'un vote de 48 voix contre 21, l'Assemblée contrôlée par les démocrates de Californie a voté pour l'adoption de l'AB 2223, que les défenseurs de la vie ont surnommé "Le projet de loi sur l'infanticide" car il permettrait aux nouveau-nés de mourir légalement sans pénalité ni punition pour les mères.
Une forme de meurtre après avortement, la législation protégerait une mère de toutes les poursuites civiles et pénales si son nouveau-né décède sept jours après la naissance ou plus. Toutes les "actions ou omissions" liées à sa grossesse, "y compris les fausses couches, H" seraient couvertes.
C'est la partie « mort périnatale » du projet de loi qui inquiète les défenseurs de la vie, car c'est la terminologie qui sanctionnerait la mort de bébés sept jours après la naissance et plus. (Connexe: Plus de couverture sur AB 2223 est disponible dans notre rapport précédent.)
"Bien que les définitions de la" mort périnatale "varient, elles incluent toutes le décès de nouveau-nés sept jours ou plus après la naissance", a rapporté Charisma News.
Au cours des derniers mois, les médias contrôlés par les grandes entreprises ont fustigé les défenseurs de la vie pour s'être prononcés contre le projet de loi, affirmant que toutes les préoccupations concernant ses implications étaient « fausses » ou « mal interprétées ». Le National Catholic Register a rapporté que certaines demandes pro-vie ont été entendues et que certains termes de l'AB 2223 ont été modifiés.
"Aujourd'hui, l'AB 2223 de la membre de l'Assemblée Buffy Wicks, connue sous le nom de" projet de loi sur l'infanticide ", a été modifiée par la commission des crédits de l'Assemblée pour confirmer qu'une femme ne fera pas l'objet d'une enquête ou d'accusations pour fausse couche, mortinaissance, avortement ou ' décès périnatal dû à des causes survenues in utero », a déclaré la Conférence catholique de Californie (CCC) dans un récent communiqué sur les changements.
"Ce changement ferme définitivement la porte aux conséquences involontaires potentielles de l'autorisation des décès de nourrissons dus à la maltraitance, à la négligence ou à l'abandon, atténuant les préoccupations que le CCC a portées à l'attention de l'auteur."
La Conférence catholique de Californie retire son opposition à l'AB 2223 et déclare que la loi californienne interdit l'homicide fœtal
Kathleen Domingo, directrice exécutive du CCC, a déclaré au Registre que le Comité judiciaire de l'Assemblée "a convenu que la terminologie 'mort périnatale' n'était pas claire et pouvait conduire à des 'conclusions indésirables'".
California House adopte un projet de loi « infanticide » légalisant le meurtre de nouveau-nés 7 jours ou plus après la naissance
RépondreSupprimerMercredi 15 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Lors d'un vote de 48 voix contre 21, l'Assemblée contrôlée par les démocrates de Californie a voté pour l'adoption de l'AB 2223, que les défenseurs de la vie ont surnommé "Le projet de loi sur l'infanticide" car il permettrait aux nouveau-nés de mourir légalement sans pénalité ni punition pour les mères.
Une forme de meurtre après avortement, la législation protégerait une mère de toutes les poursuites civiles et pénales si son nouveau-né décède sept jours après la naissance ou plus. Toutes les "actions ou omissions" liées à sa grossesse, "y compris les fausses couches, H" seraient couvertes.
C'est la partie « mort périnatale » du projet de loi qui inquiète les défenseurs de la vie, car c'est la terminologie qui sanctionnerait la mort de bébés sept jours après la naissance et plus. (Connexe: Plus de couverture sur AB 2223 est disponible dans notre rapport précédent.)
"Bien que les définitions de la" mort périnatale "varient, elles incluent toutes le décès de nouveau-nés sept jours ou plus après la naissance", a rapporté Charisma News.
Au cours des derniers mois, les médias contrôlés par les grandes entreprises ont fustigé les défenseurs de la vie pour s'être prononcés contre le projet de loi, affirmant que toutes les préoccupations concernant ses implications étaient « fausses » ou « mal interprétées ». Le National Catholic Register a rapporté que certaines demandes pro-vie ont été entendues et que certains termes de l'AB 2223 ont été modifiés.
"Aujourd'hui, l'AB 2223 de la membre de l'Assemblée Buffy Wicks, connue sous le nom de" projet de loi sur l'infanticide ", a été modifiée par la commission des crédits de l'Assemblée pour confirmer qu'une femme ne fera pas l'objet d'une enquête ou d'accusations pour fausse couche, mortinaissance, avortement ou ' décès périnatal dû à des causes survenues in utero », a déclaré la Conférence catholique de Californie (CCC) dans un récent communiqué sur les changements.
"Ce changement ferme définitivement la porte aux conséquences involontaires potentielles de l'autorisation des décès de nourrissons dus à la maltraitance, à la négligence ou à l'abandon, atténuant les préoccupations que le CCC a portées à l'attention de l'auteur."
La Conférence catholique de Californie retire son opposition à l'AB 2223 et déclare que la loi californienne interdit l'homicide fœtal
Kathleen Domingo, directrice exécutive du CCC, a déclaré au Registre que le Comité judiciaire de l'Assemblée "a convenu que la terminologie 'mort périnatale' n'était pas claire et pouvait conduire à des 'conclusions indésirables'".
Ainsi, le langage a été modifié dans le projet de loi au point que le CCC a annoncé le retrait de son opposition, affirmant que la loi de l'État protège les nourrissons nés vivants à la suite d'un avortement raté contre le meurtre.
RépondreSupprimerD'autres groupes pro-vie, cependant, ne sont pas d'accord. Ils se battent toujours contre le projet de loi parce qu'ils y voient une menace pour la vie des nouveau-nés.
L'un d'eux est la Right to Life League of Southern California, qui a écrit une lettre ouverte aux législateurs californiens les exhortant à voter non contre l'AB 2223, la qualifiant de "défectueuse".
"Le libellé modifié de l'AB 2223 -" décès périnatal dû à des causes survenues in utero "- ne change en rien les protections du projet de loi pour quiconque tue un bébé né vivant au cours des 28 premiers jours de sa vie", lit-on dans la lettre.
"Cela justifie et excuse l'intention de tuer un bébé né vivant en soulignant des événements vagues et généraux qui se sont produits à un moment indéfini avant la naissance du bébé."
La lettre indiquait également que l'un des principaux objectifs de l'AB 2223 est de "dissimuler la cause du décès d'un bébé" tout en offrant aux avorteurs et aux agresseurs "une couverture légale pour terminer le travail de tuer un nouveau-né non désiré ou gênant en affirmant la cause in utero". Excusez jusqu'à 28 jours après la naissance.
« Le bébé peut être tué et toute preuve expliquant sa mort mourra avec lui. Et cela semble être le but de la nouvelle clause de mort périnatale de l'AB 2223 - excuser et rendre l'enquête sur la mort d'un nouveau-né totalement inutile et même passible de poursuites », poursuit la lettre.
Les dernières nouvelles sur le meurtre de bébé peuvent être trouvées sur Abortions.news.
Les sources comprennent :
CharismaNews.com
NaturalNews.com
CBN.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-15-california-passes-infanticide-bill-legalizing-death-newborns.html
Le comité de la FDA déclare que les enfants aussi jeunes que six ans doivent prendre les injections COVID de Moderna
RépondreSupprimermercredi 15 juin 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Les États-Unis sont à quelques jours de la Food and Drug Administration (FDA) accordant officiellement une «autorisation d'utilisation d'urgence» (EUA) pour les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) à injecter aux enfants dès l'âge de six ans .
Un comité consultatif de la FDA a offert sa bénédiction au tir de Moderna, affirmant que les élèves de la maternelle au lycée devraient se retrousser les manches malgré les immenses risques d'inflammation cardiaque.
Moderna avait précédemment demandé à la FDA d'autoriser son jab pour les adolescents de 12 à 17 ans l'été dernier, seulement pour que l'agence s'abstienne en raison de preuves suggérant que le jab de Moderna est plus meurtrier que le jab de Pfizer. Cependant, la FDA a depuis changé d'avis et prétend maintenant que les vaccins sont parfaitement sûrs pour les enfants.
Même si les données internationales montrent que les piqûres sont dangereuses, la "surveillance" américaine est arrivée à la conclusion opposée, déclarant que l'injection de Moderna n'est pas plus mortelle que l'injection de Pfizer - les deux sont également mortelles, en d'autres termes.
CNBC a affirmé que le comité consultatif de la FDA est composé d '«experts indépendants en immunisation» qui sont arrivés à la conclusion que les vaccins contre la grippe Fauci sont «sûrs et efficaces» pour les jeunes enfants et qu'ils devraient être injectés immédiatement.
Ce comité a voté à l'unanimité pour recommander les vaccins pour les enfants, citant les données des essais cliniques de Moderna affirmant qu'il n'y a aucun risque de myocardite, un type d'inflammation cardiaque, chez les jeunes enfants qui les prennent.
Paul Offit dit que les enfants ont besoin de trois doses de Moderna pour rester « en sécurité »
Cependant, on nous dit que ces données internes à l'entreprise ont été fabriquées avant l'apparition de la variante omicron (crétin) du virus chinois, ce qui remet encore plus en question sa légitimité.
La question de savoir si les enfants doivent recevoir une, deux, trois injections ou même plus pour rester «protégés» fait toujours l'objet d'un débat.
Le Dr Doran Fink, un haut responsable du bureau des vaccins de la FDA, a affirmé que Moderna obtenait en ce moment des «preuves» qui soutiendraient une poussée pour que les enfants aussi jeunes que six ans prennent trois injections d'ARN messager (ARNm) pour un maximum protection.
RépondreSupprimerLa dose adaptée à l'enfant pour les enfants âgés de 6 à 11 ans contiendrait 50 microgrammes de tout ce que contiennent les flacons, tandis que les enfants de 12 à 17 ans recevraient le double de cette quantité à 100 mcg, la même dose que les adultes reçoivent.
Le Dr Paul Offit "à but lucratif", un autre membre du comité de la FDA, a déclaré qu'il est peu probable que deux doses fournissent une protection suffisante contre une maladie idiote légère, c'est pourquoi lui aussi fait pression pour que les enfants reçoivent une troisième dose.
"Je pense que les avantages l'emportent clairement sur les risques, mais je dis qu'avec le confort fourni, il y aura une troisième dose", a déclaré Offit. Soit dit en passant, c'est le même Offit qui a tristement déclaré que les bébés peuvent recevoir en toute sécurité 10 000 injections de vaccins à la fois.
"Si ce n'était pas vrai, je ne ressentirais pas la même chose. Nous ne sommes plus dans la même partie de cette pandémie. C'est une autre époque."
Avant que les piqûres puissent être mises à la disposition des jeunes enfants, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) devront également les approuver, permettant aux pharmacies et aux médecins de commencer à aligner les enfants pour des injections à vitesse de distorsion.
Les enfants aussi jeunes que cinq ans sont également désormais autorisés à recevoir l'injection d'ARNm de Pfizer et BioNTech, bien que très peu de personnes dans cette catégorie d'âge les aient reçues. Selon les médias contrôlés par Wall Street, seuls 30 % des enfants âgés de 5 à 11 ans et 60 % des adolescents âgés de 12 à 17 ans sont considérés comme « complètement vaccinés » en juin.
Vous trouverez plus des dernières nouvelles sur les injections de virus chinois et la pression continue pour piquer chaque enfant avec eux sur VaccineWars.com.
Les sources comprennent :
CNBC.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-15-fda-committee-children-need-moderna-covid-injections.html
Les enfants entièrement vaccinés souffrent d'un syndrome inflammatoire multisystémique
RépondreSupprimerMercredi 15 juin 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) Le syndrome inflammatoire multisystémique (MIS) est une affection qui affecte principalement les enfants en provoquant une inflammation dangereuse dans tout le corps, y compris le cœur, les poumons, les reins, le cerveau, la peau, les yeux et les organes digestifs.
Le SIG peut être grave et potentiellement mortel, et les experts n'ont aucune idée de ce qui le cause. Cependant, cela n'a pas empêché les Centers for Disease Control and Prevention d'attribuer la maladie à des complications du coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Un groupe de chercheurs de l'Université du Colorado a mené une étude détaillée sur deux enfants par ailleurs en bonne santé et entièrement vaccinés aux États-Unis qui ont reçu un diagnostic de MIS.
Dans le premier cas, un patient de sexe masculin de 14 ans a développé une céphalée et des myalgies. Au jour 7, il souffrait de fièvre, de douleurs abdominales, de diarrhée, de vomissements, d'yeux injectés de sang, de lèvres craquelées et d'éruptions cutanées. Au jour 10, il a été amené pour traitement au service des urgences et admis dans un hôpital pédiatrique de soins quaternaires.
Trois mois plus tôt, l'enfant avait terminé sa série de vaccins Pfizer à deux doses. Un mois plus tard, il a connu trois jours de toux et de congestion et a été testé positif par PCR pour COVID-19, dont il se serait remis.
L'éruption cutanée, les maux de tête et la conjonctivite se sont améliorés avec le traitement, mais la fièvre, les malaises et les nausées ont persisté et les marqueurs cardiaques ont augmenté. L'enfant est finalement sorti après cinq jours d'hospitalisation, mais il a été révélé qu'il souffrait de fatigue continue et d'une légère hypertrophie de l'artère coronaire principale gauche lorsqu'il est retourné pour son suivi cardiologique six semaines plus tard. (Connexe: Karen Kingston: L'approbation du vaccin Pfizer fait partie d'un complot visant à nuire aux enfants - Brighteon.TV.)
Dans le deuxième cas, une jeune fille de 14 ans avait de la fièvre et de la fatigue, suivies de congestion, de toux, de myalgies, de maux de tête, de nausées et de vomissements. Les résultats des tests rapides du SRAS-CoV-2 et de la grippe étaient négatifs le troisième jour de la maladie, mais le 12e jour, elle a été amenée aux urgences en raison d'une fièvre persistante, d'une toux et de vomissements. Elle a également été testée positive au COVID-19.
Elle a terminé sa série de vaccins Pfizer à deux doses trois mois avant sa maladie et s'est vu prescrire de l'amoxicilline pour une éventuelle sinusite, puis a obtenu son congé. Cependant, au jour 14, elle est retournée à l'hôpital pour dyspnée et a eu besoin d'oxygène à faible débit en raison d'une hypoxémie.
La jeune fille a été admise et a reçu une dose de remdesivir, qui a été interrompue en raison de résultats élevés des tests de la fonction hépatique. Alors que l'enfant s'améliorait et était sorti le jour 18, elle est revenue le lendemain avec de la fièvre, des vomissements et une nouvelle éruption cutanée diffuse, y compris ses paumes et ses plantes. Les diagnostics différentiels comprenaient le SIG, le COVID aigu avec hyperinflammation, la septicémie, le syndrome de choc toxique, la réaction médicamenteuse et la vascularite ou une autre maladie auto-immune.
RépondreSupprimerLes documents de Pfizer montrent une maladie améliorée associée au vaccin
Étant donné que le SRAS-CoV-2 chez les adolescents a augmenté, l'intérêt pour les effets de la vaccination sur le SIM des adolescents a également augmenté, d'autant plus que davantage de cas ont été présentés.
Parmi les préoccupations figure le fait que les enfants courent un risque négligeable de souffrir de la COVID-19, c'est pourquoi il est difficile de croire que deux enfants pourraient tomber malades après une infection. Les patients ont souffert de telles conditions après avoir reçu deux doses d'injection de Pfizer COVID-19 et ont malheureusement continué à souffrir d'une maladie aggravée associée au vaccin (VAED) une fois qu'ils ont été exposés au virus.
Ces informations sur le VAED sont disponibles dans les documents confidentiels de Pfizer que la Food and Drug Administration (FDA) avait été contrainte de publier sur décision de justice.
La VAED est une présentation modifiée des infections cliniques qui affectent les individus exposés à des agents pathogènes de type sauvage après avoir reçu une vaccination contre le même agent pathogène. Ces réponses améliorées sont considérées comme des tentatives infructueuses de contrôle du virus infectant, et le VAED présente généralement des symptômes liés à l'organe cible de l'agent pathogène infectant.
Des recherches intensives ont mis en lumière des préoccupations croissantes concernant l'amélioration dépendante des anticorps (ADE), qui est un phénomène où les vaccins aggravent la maladie en préparant le système immunitaire à une réaction potentiellement mortelle. (En relation: Un ancien employé de Pfizer signale une étude de la FDA, avertit que le vaccin Pfizer augmente le COVID de plus de 300 %.)
L'ADE peut se produire de plusieurs manières différentes, mais la « voie du cheval de Troie » est la plus connue. Cela se produit lorsque des anticorps non neutralisants générés par une infection ou une vaccination antérieure ne parviennent pas à arrêter l'agent pathogène lors d'une réexposition. Au lieu de cela, l'ADE agit comme une passerelle, permettant au virus d'entrer et de répliquer des cellules qui sont généralement interdites, généralement des cellules immunitaires. Cela peut conduire à une diffusion plus large des maladies et à des réponses immunitaires trop réactives qui peuvent causer davantage de maladies.
Ces données prouvent que les injections de COVID-19 n'auraient jamais dû recevoir d'autorisation d'utilisation d'urgence et auraient dû être retirées de la distribution par la FDA dès que les chiffres ont été publiés. Cependant, l'agence n'a pas agi, et maintenant des études montrent des détails horribles sur des enfants entièrement vaccinés souffrant de réactions potentiellement mortelles aux infections et aux maladies auto-immunes après la vaccination contre le COVID.
RépondreSupprimerSuivez Vaccines.news pour plus de mises à jour sur les effets indésirables des vaccins chez les enfants et les adultes.
Regardez cette vidéo sur l'arrêt de la vaccination forcée chez les enfants.
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Cette vidéo provient de la chaîne Thrivetime Show sur Brighteon.com.
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Immunisé contre la responsabilité : une fois que les injections de caillots d'ARNm de Pfizer sont approuvées pour les enfants, Pfizer n'aura aucune responsabilité pour les blessures, les maladies ou la mort causées par eux.
La FDA autorise officiellement les injections d'ARNm de Pfizer pour les enfants dès l'âge de 5 ans dans la dernière vente grotesque au profit des intérêts de Pfizer.
Pfizer admet dans un document confidentiel que le vaccin COVID-19 provoque une maladie améliorée associée au vaccin (la même chose que l'amélioration dépendante des anticorps).
Pfizer a enregistré tellement d'événements indésirables qu'il a dû embaucher 2 400 employés supplémentaires pour gérer la paperasse et le traitement des données.
Sources include:
Expose-News.com
CDC.gov
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-15-fully-vaccinated-children-suffer-multisystem-inflammatory-syndrome.html
The HighWire avec Del Bigtree: VICP et CICP sont submergés de plaintes concernant les vaccins
RépondreSupprimermercredi 15 juin 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Le programme d'indemnisation des blessures causées par les vaccins (VICP) et le programme d'indemnisation des blessures contre-mesures (CICP) sont actuellement confrontés à un dilemme, car des milliers de personnes pourraient ne pas recevoir de sitôt des paiements pour leurs blessures.
L'animateur Del Big Tree et le journaliste d'investigation Jefferey Jaxen ont discuté de la question lors de l'épisode du 11 juin de "The HighWire with Del Bigtree".
Jaxen a lu un article de Lauren Gardner sur Politico: «Le premier programme (VICP) destiné aux vaccins standard tels que la rougeole et la poliomyélite a trop peu de personnel pour gérer le nombre de blessures signalées et des milliers de patients attendent des années que leurs cas soient entendu."
L'article indiquait en outre qu'entre 2010 et 2020, le CICP avait reçu 500 plaintes. Au cours des deux années qui ont suivi le début de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), il a reçu plus de 8 000 plaintes.
Le VICP a été créé dans les années 1980, après que des poursuites contre des sociétés de vaccins et des prestataires de soins de santé ont menacé de provoquer des pénuries de vaccins et de réduire les taux de vaccination. Parallèlement, depuis l'exercice 2010, le CICP indemnise les blessures graves résultant de l'administration ou de l'utilisation de certaines contre-mesures.
Le CICP est actuellement le seul moyen d'obtenir une indemnisation pour les dommages causés par le vaccin COVID-19.
Jaxen poursuit sa lecture : « Si les injections de COVID-19 devenaient routinières une fois la pandémie terminée, les blessures présumées seraient éventuellement traitées par le VICP standard déjà surchargé. Les défenseurs des patients, les avocats et l'industrie pharmaceutique craignent que sans réformes drastiques, le programme ne s'effondre.
Bigtree pense que ce qui s'est passé est purement politique.
"L'article ne dit pas, vous savez, qu'un millier de fous font la queue pour se faire vacciner, ou être indemnisés pour une fausse blessure causée par un vaccin ou quelque chose comme ça. Ils légitiment cette idée de blessure vaccinale, qui n'existait pas il y a deux ans, avant le COVID-19 », a déclaré l'hôte.
Il a également souligné qu'une situation très similaire s'est produite très tôt lorsque la responsabilité a été retirée à l'industrie pharmaceutique.
«N'oubliez pas que ce ne sont pas des affaires dans une salle d'audience ordinaire. Vous pourriez poursuivre le fabricant ou votre médecin, mais ils sont protégés. Ils bénéficient d'une assurance responsabilité civile. Le vaccin pour enfants était protégé par la loi Vaccine Injury Compensation Act, qui a été adoptée en 1986. La loi sur la protection civile est ce qui protège le vaccin COVID-19 », a déclaré l'hôte.
RépondreSupprimerVICP et les plaintes d'autisme au fil des ans
Bigtree a déclaré que VICP avait 5 000 cas d'autisme en peu de temps. Ils paient environ quatre ou cinq millions de dollars pour l'autisme et la destruction de toute votre vie.
"Et ils envisageaient donc potentiellement des billions de dollars de dette envers le pays", a-t-il déclaré. Il a ajouté que les autorités ont pris la procédure omnibus sur l'autisme et qu'au lieu de traiter 5 000 cas, elles ont décidé de prendre environ six cas. Et le sort de ces cas décidera du sort des 5 000.
Il a poursuivi en citant d'autres exemples de cas où les vaccins ont causé l'autisme et comment les tribunaux sont sortis indemnes.
L'un est le cas de Michelle Cedillo. En mars 2008, la jeune fille de 13 ans ne pouvait ni parler ni porter de couche et avait besoin d'une surveillance 24 heures sur 24, au cas où elle aurait une crise. Pendant que ses camarades vont à l'école ou au centre commercial ou passent du temps avec des amis, l'adolescente est restée dans la maison familiale de l'Arizona, où elle s'est amusée avec des livres d'images et des DVD "Sesame Street" et "Blue's Clues".
Les parents de Cedillo, Theresa et Mike, pensent que le vaccin ROR (rougeole, oreillons et rubéole), combiné à un conservateur contenant du mercure trouvé dans ce vaccin et d'autres à l'époque, a radicalement modifié le cours du développement de leur fille. Quelques jours après avoir reçu l'injection, la jeune fille souffrait d'une forte fièvre, de vomissements et de problèmes de digestion. Les parents ont également déclaré que la fille avait cessé de parler. (Connexe: MEDICAL SHOCKER: Les dangers du vaccin ROR exposés par une étude de la FDA.)
"Je pensais que c'était parce qu'elle était si malade. Je pensais qu'elle recommencerait certainement à parler », se souvient Theresa. L'adolescent a depuis reçu un diagnostic d'autisme, de maladie inflammatoire de l'intestin, d'arthrite, d'ostéoporose et d'épilepsie.
Le neurologue pédiatrique, le Dr Andrew Zimmerman, qui travaillait pour le ministère de la Justice, a déclaré à l'époque qu'il n'y avait aucun mécanisme par lequel un vaccin provoque l'autisme et l'affaire a ensuite été essentiellement rejetée.
Puis vint le cas d'Hannah Poling en 2000. Le père de Poling, John, était le collègue de travail de Zimmerman. C'est alors qu'Andrew Zimmerman a changé de ton et a fini par dire : « J'avais découvert le mécanisme par lequel un vaccin provoque l'autisme. C'est un problème avec les mitochondries, l'énergie des cellules. Si vous souffrez d'un trouble mitochondrial, le vaccin peut alors entraîner une apathie de Cephalon dans le cerveau.
Bigtree a déclaré que cela aurait dû prendre la décision pour tous les cas. Mais les autorités ont retiré l'affaire Hannah Poling. Ils auraient réglé une énorme somme d'argent et expulsé Zimmerman de son poste au ministère de la Justice.
RépondreSupprimer«Et vint Yates Hazlehurst, qui a reçu le vaccin ROR en février 2001. Cette affaire a été réglée et à la fin de son affaire, Zimmerman n'a pas été autorisé à comparaître en tant que représentant. Mais maintenant, il est l'une des principales autorités en matière d'autisme », a déclaré Bigtree.
Visitez VaccineInjuryNews.com pour plus de mises à jour sur les blessures causées par les vaccins.
Regardez l'épisode complet du 10 juin de "The HighWire with Del Bigtree" ci-dessous.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne The HighWire with Del Bigtree sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Le gouvernement fédéral a versé des indemnités de vaccination pour l'autisme à 83 familles.
Les attitudes du courant dominant envers les piqûres de Covid-19 changent lentement à la suite des blessures causées par les vaccins.
Une enquête approfondie révèle qu'un demi-million d'Allemands ont subi de graves blessures causées par le vaccin COVID-19.
Sources include:
Brighteon.com
Politico.com
HRSA.gov 1
HRSA.gov 2
MCTLaw.com
Congress.gov 1
Congress.gov 2
USCFC.uscourts.gov 1
Edition.CNN.com
Healio.com
USCFC.uscourts.gov 2
https://www.naturalnews.com/2022-06-15-vicp-overwhelmed-with-vaccine-injury-complaints.html
La FDA utilise des données non fiables pour justifier les injections COVID pour les nourrissons et les tout-petits
RépondreSupprimermercredi 15 juin 2022
par : Rédacteurs en chef
(Nouvelles naturelles) Point d'action urgente ci-dessous.
Comme promis, la FDA a lancé un rapport qui sera apparemment utilisé pour tenter de justifier «l'approbation» (quoi qu'ils entendent par là maintenant) des vaccins COVID-19 pour les nourrissons et les tout-petits (enfants de < 5 ans). Voici le rapport pour votre référence.
(Article de James Lyons-Weiler republié de PopularRationalism.Substack.com)
Ce rapport vient après un torrent de rapports massifs de Moderna et Pfizer qui prétendent passer en revue des études sur la sécurité et l'efficacité des vaccins COVID-19 chez les enfants. Il n'est pas difficile de voir quelles manigances la FDA a faites pour essayer de renforcer un vaccin que de moins en moins d'adultes veulent. C'est plus ou moins la même chose : exagérer le risque apparent du virus et minimiser la perception du risque. En d'autres termes, des mensonges.
Il n'y a aucune preuve d'urgence clinique. Les nourrissons et les tout-petits (et les enfants en général) ne contractent pas le COVID-19 ; ils ne meurent pas (encore) du COVID-19. Tout cela peut changer lorsque l'amélioration dépendante des anticorps entre en jeu pour les vaccinés. Les propres rapports de la FDA citent 1 086 décès « dus au COVID-19 » et 10 700 000 « cas » de COVID-19 chez les enfants âgés de 0 à 17 ans. Il y a eu 832 jours depuis le 1er avril 2020, date à laquelle les diagnostics de COVID-19 ont commencé. Pour l'ensemble de la population d'enfants aux États-Unis (73 000 000), le risque d'infection au COVID-19 depuis l'apparition du COVID est de 10 700 000/73 000 000 = 0,14657. Le risque qu'un enfant meure s'il a un diagnostic est de 1 086/10 700,00 ou 1086/10700000 = 0,00010149532. Le risque qu'un enfant meure du COVID-19 au cours de cette période est de 1 086/73000000 = 0,00001487671. Le risque par jour est de l'ordre de 1,78806611e-8 (0,000000001788). Il n'y a pas de véritable besoin clinique non satisfait et la FDA doit retourner à l'université pour comprendre comment utiliser correctement la RT-PCR. Les enfants ne contractent pas le COVID-19 et ils ne meurent pas.
Utilisation incohérente de l'idée « vacciné ». Cela a été le modèle de la toute première étude. La FDA, le CDC, Moderna, Pfizer et d'autres extraient la définition de «vacciné» qu'ils veulent. Exemples : "Vacciné" est défini dans les essais originaux comme les personnes qui ont reçu les deux doses et qui n'ont pas développé de COVID-19 avant que deux semaines ne se soient écoulées après la deuxième exposition au vaccin. En fait, cela signifie que les personnes qui ont développé le COVID-19 en raison de l'amélioration de la maladie ont été exclues des calculs de l'étude. Premièrement, c'est la première fois que des personnes sont exclues d'un essai de vaccin pour avoir été infectées par l'agent pathogène ciblé par le vaccin jusqu'à 13 ou 14 jours après avoir été vaccinées. Deuxièmement, c'est en fait cinq semaines entières - un mois et une semaine - 44 jours - après la première exposition. TOUTE l'efficacité du vaccin citée par la FDA est suspecte. Les vaccins de Moderna et de Pfizer n'ont jamais atteint > 90 % d'efficacité vaccinale réelle ; la meilleure estimation est plutôt de 75 %.
Utilisation incohérente de l'idée « efficacité du vaccin ». Au cours de la période qui s'est écoulée depuis les premiers essais de vaccins contre la COVID-19, diverses définitions de «l'efficacité du vaccin» ont été utilisées. Diminution de la transmission. Réduction des taux d'infection.
Hospitalisation réduite. Présence d'anticorps neutralisants. Présence d'anticorps. Tous sont utilisés et cités dans le rapport de la FDA chaque fois que cela est pratique, le tout de manière ad hoc. C'est plus qu'agaçant. Cela déplace le poteau de but et représente des tentatives imprudentes (et inefficaces) de manipuler la perception du public. Cette pratique se poursuit dans les rapports et études cités par la FDA. Je ne fais pas confiance aux données d'efficacité citées par la FDA dans son rapport (pourquoi donnerions-nous le point 1 ?). Développement de vaccins COVID-19 chez les enfantsEfficacitéLe précédent réglementaire avec d'autres vaccins préventifs fournit une base pour l'inférence de l'efficacité du vaccin dans les populations pédiatriques sur la base de l'immunobridging à une population de jeunes adultes dans laquelle l'efficacité clinique du vaccin en tant que point final de la maladie a été démontrée pour le même vaccin prototype. Le ou les marqueurs immunitaires utilisés pour le pontage immunitaire n'ont pas besoin d'être scientifiquement établis pour prédire la protection, mais doivent être cliniquement pertinents pour la maladie. Sur la base des données disponibles sur des modèles humains et animaux, la FDA considère que les titres d'anticorps neutralisants (une mesure fonctionnelle de la réponse immunitaire vaccinale contre le SRAS-CoV-2) sont cliniquement pertinents pour l'immunobridging afin de déduire l'efficacité des vaccins COVID-19 dans les groupes d'âge pédiatriques. Étant donné qu'aucun titre spécifique d'anticorps neutralisants n'a été établi pour prédire la protection contre le COVID-19, deux paramètres d'immunogénicité (GMT et SRR) sont considérés comme appropriés pour comparer la gamme de réponses d'anticorps neutralisants suscitées par le vaccin chez les populations pédiatriques par rapport aux jeunes adultes.Également intégré dans ce travail est le fait que la FDA n'a pas besoin de preuve d'immunité à long terme ; ils se contentent de quelque chose appelé "immunobridging" - deviner l'efficacité d'un vaccin dans une population clinique à partir de mesures effectuées à partir d'une autre population clinique.
RépondreSupprimerIls rendent également les gens dépendants des vaccins… s'attendant à ce que les patients aient des anticorps d'un vaccin à l'autre. Cela n'a aucun sens immunologiquement. Nous n'avons pas besoin de niveaux d'anticorps continuellement élevés contre un agent pathogène. Nous avons des lymphocytes B et des lymphocytes T à mémoire. En acceptant ce paradigme, la FDA est complètement à côté de la plaque et provoquera un épuisement immunitaire avec des vaccinations constantes tous les 3-4 mois.
Prise en compte incomplète des données scientifiques (Comté de Barnstable, Israël, Ontario). Nous savons que des mois après la vaccination, les personnes vaccinées courent un risque plus élevé d'infection et maintenant d'hospitalisation. Les données montrent en fait une efficacité vaccinale négative chez les enfants (par Jeremy Hammond). Voir : « Preuves de l'efficacité négative du vaccin COVID-19 chez les enfants ». D'après cet article : « L'efficacité du vaccin (EV) chez les enfants devient (sic) négative quelques mois après la réception de la deuxième dose. Des chercheurs du département de la santé de l'État de New York ont publié une étude sur le serveur de prétirage medRxiv le 28 février, notant que les preuves de l'efficacité du vaccin chez les enfants, en particulier ceux âgés de cinq à onze ans, étaient «limitées». Ainsi, ils visaient à fournir des données pour éclairer l'élaboration des politiques. "Pendant la prédominance de la variante Omicron", ont conclu les auteurs, "l'EV contre l'infection a diminué rapidement" pour les jeunes enfants de l'État de New York, "avec une faible protection d'un mois après la vaccination complète". "En comparant les cas de COVID-19 en janvier entre les enfants non vaccinés et vaccinés, ils ont estimé que l'efficacité initiale du vaccin pour les enfants âgés de douze à dix-sept ans était de 76 %, mais celle-ci est tombée à moins de 50 % après seulement cinq semaines depuis la réception de la deuxième dose. , pour les jeunes enfants (âgés de cinq à onze ans), ils ont observé une baisse de 65 % à seulement 12 % après seulement un mois.
RépondreSupprimerPar la suite, leur estimation a indiqué une efficacité significativement négative pour ce groupe d'âge, comme le montre la figure 2 de leur article : de 35 à 41 jours, l'EV a atteint moins 10 %, et de 42 à 48 jours, elle a atteint moins 41 %.
- voir graph sur site -
taux d'incidence ratios figure 2
Jeremy poursuit en signalant (correctement) que les auteurs de l'article ont mal interprété leurs propres données. L'histoire retiendra de Jeremy un journaliste d'une grande intégrité.
Les rapports Moderna et Pfizer n'étudient pas les risques à long terme. Comme je l'ai dit, plus des mêmes manigances. Dans ce rapport, par exemple, Moderna propose des données sur la myocardite uniquement jusqu'au jour 28 après le vaccin. Pourquoi le jour 28 ? Pourquoi pas « depuis que le vaccin a été administré » pour refléter plus précisément la situation clinique réelle ? Ils déclarent également que la myocardite est une grande préoccupation chez les personnes infectées par le SRAS-CoV-2 - mais la comparaison concerne les personnes non infectées, pas les vaccinées, et nous savons que la protéine de pointe en est la cause (syncytia parmi les muscles cardiaques causée par la pointe protéine). La protéine de pointe, bien sûr, est à la base de leurs vaccins à ARNm.
COI incestueux/Influence injustifiée des régulateurs. Peter Marks est chargé de prendre les décisions à la FDA quant à l'opportunité d'envisager des vaccins pour des populations spécifiques. Pourquoi diable est-il impliqué dans une étude menée pour renforcer les vaccins sur lesquels il va devoir se prononcer ? Voir « Évaluation des avantages et des risques du vaccin COVID-19, ARNm (Comirnaty) pour les 16 à 29 ans ». Cette "étude" est également coupable de la même logique lâche que ci-dessus ; il convient de noter que l'étude suppose comme "pire scénario" de zéro décès dû à la myocardite après la vaccination contre le COVID-19 (Crédit : Toby McDonald, qui m'a écrit ceci : "Je lis le "Sponsor Briefing Document" de Moderna et ils ont construit leur évaluation avantages-risques de Funk et al. (2022). J'ai donc recherché Funk et c'est un article récent rédigé par six membres du personnel de la FDA, dont Peter Marks, Richard Forshee et Hong Yang (qui a écrit la terrible évaluation avantages-risques pour les enfants de 5 à 11 ans en octobre). Littéralement, dans leur "pire scénario", ils prédisent 0 décès par myocardite dans le groupe vacciné. C'est une œuvre de fiction époustouflante."
RépondreSupprimerJe suis sur un fil de discussion avec Steve Kirsch (il me considère comme faisant partie de son "équipe de débat". La semaine dernière, Steve a défié Peter Marks dans un débat : "Salut Peter, vous avez raison à propos du problème de la vaccination. Selon une enquête indépendante que nous venons de commander, seuls 33 % des Américains ont choisi d'aller plus loin que les 2 premières doses. Vous avez été cité dans cet article de CNN : "Nous avons un problème de vaccination qui est très grave aux États-Unis et tout ce que nous pouvons faire pour rendre les gens plus à l'aise pour pouvoir accepter ces produits médicaux potentiellement vitaux est quelque chose que nous nous sentons obligés de faire », a déclaré le Dr Peter Marks, directeur du Centre d'évaluation et de recherche sur les produits biologiques. vous pour mettre fin au problème de la désinformation en débattant de nous dans un forum public ?
Mes collègues et moi avons hâte d'avoir de vos nouvelles.
La seule façon de mettre fin à la désinformation est de débattre des principaux diffuseurs de désinformation. Vous ne gagnerez jamais en essayant de nous censurer.
Nous serions HEUREUX de débattre avec vous pour mettre fin au problème de désinformation. Comme vous pouvez le voir sur ce diaporama, toutes les preuves que nous avons pu trouver montrent qu'il y a eu fraude aux essais cliniques et que les vaccins sont très dangereux. Nous aimerions savoir comment nous nous sommes trompés
Je suis dans l'attente de votre réponse.
-steve
A ma connaissance, Marks n'a pas répondu. J'ai répondu à Steve et à l'ensemble du fil de discussion, y compris Marks :
"Steve,
L'histoire va se souvenir d'une personne sur ce fil de discussion d'une manière dont je ne voudrais jamais être vu en association avec.
Je refuserais donc de participer à un tel débat.
Sincèrement,
James Lyons-Weiler, PhD
Je pourrais continuer et débattre de dizaines de points supplémentaires dans le rapport de la FDA. Je n'ai pas à le faire. Marks lui-même fournit la preuve qu'il est très loin de la cible sur le plan immunologique et qu'il ment sur le "besoin" de vaccins COVID-19 pour les enfants.
Voici une vieille vidéo de Prevaricating Peter mentant sur la nécessité de «titres d'anticorps élevés» pour l'immunité, et que la réponse immunitaire des enfants n'est «pas suffisante pour certaines de ces variantes» (pas de données à ce sujet, juste des mots):
Read more at: PopularRationalism.Substack.com
https://www.naturalnews.com/2022-06-15-fda-uses-unreliable-data-justify-covid-shots.html
La ministre néerlandaise a critiqué après avoir appelé les jeunes de la banlieue de la France contre le crime pour occuper des emplois
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jeudi 16 juin 2022 - 11h00
Par Thomas Brooke de Remix News
L’appel d’une ministre du gouvernement néerlandais pour importer et employer des jeunes des quartiers problématiques en France et en Espagne a été ridiculisé comme «fou» et «dangereux» par l’opposition nationale-conservatrice du pays.
Karien Van Gennip, ministre néerlandaise des affaires sociales et du ministre de l'Emploi dans le gouvernement de Mark Rutte, a fait ces remarques lors d'une interview avec le journal Algemeen Dagblad dans lequel elle a flotté l'idée d'une plus grande immigration pour les jeunes français et espagnols défavorisés, principalement des quartiers multiculturels. Ses remarques sont venues à côté de son admission qu'elle se sent responsable des 1 million de Néerlandais qui sont actuellement au chômage ou qui souhaitent travailler plus d'heures.
Selon Van Gennip, offrir un emploi aux jeunes de la banlieue française, qui sont connus pour leurs taux de criminalité élevés, les aiderait à «se mettre sur la bonne voie».
"Les gens qui viennent ici pour travailler méritent le même traitement que les Néerlandais", a déclaré Van Gennip au journal.
"Ce sont des gens comme vous et moi", a-t-elle ajouté.
Le ministre du gouvernement a proposé que les jeunes en difficulté souhaitant s'améliorer pourraient travailler dans l'hospitalité et l'horticulture à travers les Pays-Bas, y compris dans les nombreuses serres industrielles du pays et dans les fermes néerlandaises.
Des partis conservateurs, dont le PVV, le FVD, le JA21 et le BVNL, ont tous critiqué publiquement les remarques, le leader du PVV Geert Wilders appelant la suggestion «folle».
"Un jour, les agriculteurs doivent être détruits, le lendemain, les méga centres de demandeur d'asile sont en cours de construction, et aujourd'hui nous allons apporter des chômeurs français des dangereux Banlies ici", a tweeté Wilders mardi.
"C’est ce que le Cabinet veut: les agriculteurs néerlandais et les Algériens et les Marocains de la France", a-t-il ajouté.
Le forum pour la démocratie de Thierry Baudet (FVD) a réagi de la même manière, tweetant de son compte de parti:
«Les Africains peu instruits, responsables de l'insécurité et de la criminalité dans les banlieues françaises, n'ont rien à faire aux Pays-Bas.»
«Travailler et vivre ici est pour notre propre peuple.»
De même, Joost Eerdmans de JA21 a qualifié la politique suggérée de Van Gennip un «plan bizarre» qui «demande des ennuis».
L'économie néerlandaise emploie environ un demi-million de migrants du travail à tout moment, avec environ 800 000 à 900,0000 travaillant dans le pays tout au long de l'année, selon Van Gennip.
«Notre économie se déroule également dans une large mesure sur les migrants du travail. Vous ne pouvez plus voir les Pays-Bas séparément d'eux », a-t-elle déclaré.
https://www.zerohedge.com/political/dutch-minister-slammed-after-calling-youth-frances-crime-ridden-suburbs-fill-jobs
Les dirigeants de France, Allemagne, Italie font la visite la plus élevée à Kiev depuis le début de la guerre
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jeudi 16 juin 2022 - 14:50
Au milieu des plaintes ukrainiennes selon lesquelles les livraisons d'armes occidentales ne sont pas fournies aux fronts dans l'est et le sud assez rapidement, et avec la Russie sur le point de contrôler l'ensemble de la province de Luhansk dans la région du Donbas, les dirigeants de la France, de l'Allemagne et de l'Italie ont fait une `` surprise '' Visite à Kiev jeudi pour rencontrer le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz et le Premier ministre italien Mario Draghi se sont rendus dans la capitale en train de Pologne, où l'intention était de livrer un unifié et un "signal de soutien fort" à l'Ukraine au milieu de l'invasion russe.
Les trois dirigeants européens arrivant à Kyiv en train. Image: La Repubblica
Les dirigeants "veulent envoyer un fort signal de soutien et de solidarité au président [Zelensky] et aux habitants de l'Ukraine en ces temps désastreux", selon un porte-parole du gouvernement allemand.
De plus, le président français Emmanuel Macron a déclaré aux journalistes lors d'une conférence de presse que la présence des dirigeants là-bas marque "un moment important" comme "c'est un message d'unité que nous envoyons aux Ukrainiens".
"C'est un message d'unité européenne pour le peuple ukrainien, le soutien maintenant et à l'avenir, car les semaines à venir seront très difficiles", a déclaré Macron en outre.
Quatrième chef d'un pays de l'UE, le président roumain Klaus Iohannis, est également arrivé séparément jeudi. "Cette agression russe illégale doit s'arrêter!" Iohannis a annoncé à son arrivée.
Jusqu'à quatre chefs d'État de l'UE arrivant à la fois "marque la visite diplomatique la plus en vue depuis l'invasion", écrit Fox News et plus de détails:
Les sirènes de raid aérien ont retenti pendant que les hommes étaient dans leur hôtel pour se préparer à la réunion - pas un événement peu fréquent à Kyiv.
Tenant sa main sur son cœur alors qu'il quittait son hôtel Kyiv, Macron a déclaré en anglais: "Je veux montrer mon admiration pour le peuple ukrainien."
Scholz, pour sa part, a promis que le soutien de l'Allemagne se poursuivrait "aussi longtemps que nécessaire pour la lutte de l'Ukraine pour l'indépendance".
Ces trois dirigeants de la France, de l'Allemagne et de l'Italie en particulier ont en particulier les coulisses ont tenté de ramener les Russes et les Ukrainiens à la table de négociation. Macron en particulier a été critiqué pour avoir détenu plus d'une douzaine d'appels téléphoniques avec Vladimir Poutine depuis le début de l'invasion fin février. Dans le même temps, la position du Royaume-Uni et des États-Unis a été une approche «sans compromis» tout en expédiant dans des systèmes d'armes plus lourds et plus lourds, provoquant le Kremlin pour avertir des «lignes rouges».
Pour cette raison, Bloomberg a souligné que "les discussions peuvent être tendues après que Kyiv ait critiqué leurs gouvernements pour s'être engagé trop étroitement avec le président russe Vladimir Poutine et être lent pour livrer des armes nécessaires pour vaincre son invasion".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/leaders-france-germany-italy-make-highest-profile-visit-kiev-war-began
Une autre usine de transformation alimentaire aux États-Unis prend feu
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 15 JUIN 2022 - 05:45
Une autre usine de transformation des aliments a pris feu. Selon les nouvelles locales Stevens Point Journal, un incendie a ravagé lundi une usine de fabrication de pizzas dans le Wisconsin.
Plus de 70 pompiers de plusieurs services d'incendie ont combattu un incendie massif à Festive Foods dans l'est du comté de Portage qui a commencé vers 9 h 00, heure locale. La Croix-Rouge américaine est arrivée sur les lieux peu de temps après pour fournir de la nourriture et de l'eau aux pompiers. Ils ont pris deux photos de l'incendie, montrant des flammes jaillissant du toit de l'établissement et une épaisse colonne de fumée noire se déversant dans l'air.
Les pompiers ont réussi à maîtriser l'incendie en début de soirée et les dommages causés à l'usine de transformation des aliments n'ont pas encore été entièrement évalués. Cependant, la page Facebook de Festive Foods indique que l'usine est "temporairement fermée".
"Aujourd'hui, les aliments festifs ont vécu un événement déchirant. Comme beaucoup d'entre vous l'ont vu dans les nouvelles, nous avons eu un terrible incendie dans notre usine", lit-on sur Facebook de Festive Foods.
Festive Foods fabrique des pizzas surgelées pour les supermarchés dans une installation de 120 000 pieds carrés et se considère comme un "co-packer leader de pizzas, sandwichs, pâtes et apéritifs farcis surgelés certifiés USDA". L'entreprise vend ses produits aux supermarchés du pays.
Walmart est un vendeur d'au moins une des marques de l'entreprise.
Bien que l'incendie semble insignifiant, il fait partie d'un problème beaucoup plus vaste d'une série "d'incendies accidentels", un par un, qui a détruit la chaîne d'approvisionnement alimentaire américaine au cours de l'année écoulée (source de la liste via The Gateway Pundit) :
1/11/21 Un incendie qui a détruit une usine de transformation de 75 000 pieds carrés à Fayetteville
RépondreSupprimer30/04/21 Un incendie s'est déclaré à l'intérieur de l'usine de transformation du porc Smithfield Foods à Monmouth, IL
25/07/21 Incendie à trois alarmes à l'usine Kellogg de Memphis, 170 secouristes ont répondu à l'appel
30/07/21 Vendredi, les pompiers ont combattu un grand incendie à l'usine Tyson's River Valley Ingredients à Hanceville, Alabama
23/08/21 Des équipes de pompiers ont été appelées à la société Patak Meat Production sur Ewing Road à Austell
13/09/21 Un incendie à l'usine de bœuf JBS à Grand Island, Neb., dimanche soir, a forcé l'arrêt des chaînes d'abattage et de fabrication
13/10/21 Un incendie à cinq alarmes a ravagé l'usine de production de beurre Darigold à Caldwell, ID
15/11/21 Une femme est en garde à vue à la suite d'un incendie au garde-manger du comté de Garrard
29/11/21 Un incendie s'est déclaré vers 17h30. à l'usine de transformation de viande Maid-Rite Steak Company
13/12/21 L'usine de transformation alimentaire de West Side à San Antonio a été endommagée par la fumée après un incendie
1/7/22 Dommages à une usine de transformation de volaille sur Hamilton's Mountain à la suite d'un incendie pendant la nuit
13/01/22 Les pompiers ont travaillé pendant 12 heures pour éteindre un incendie à l'usine Cargill-Nutrena de Lecompte, LA
31/01/22 une usine d'engrais avec 600 tonnes de nitrate d'ammonium à l'intérieur a pris feu sur Cherry Street à Winston-Salem
03/02/22 Un incendie massif a balayé Wisconsin River Meats à Mauston
2/3/22 Au moins 130 vaches ont été tuées dans un incendie à Percy Farm à Stowe
15/02/22 Bonanza Meat Company prend feu à El Paso, Texas
15/02/22 Près d'une semaine après que l'incendie a détruit la majeure partie de l'usine Shearer's Foods à Hermiston
16/02/22 Un incendie s'est déclaré dans la plus grande usine de transformation de soja et de biodiesel des États-Unis à Claypool, Indiana
18/02/22 Un incendie tôt le matin a ravagé la laiterie de Bess View Farm
19/02/22 Trois personnes ont été blessées et une a été hospitalisée après une fuite d'ammoniac chez Lincoln Premium Poultry à Fremont
22/02/22 L'usine Shearer's Foods à Hermiston a pris feu après l'explosion d'une chaudière au propane
28/02/22 Un tas de soufre fumant s'est rapidement transformé en un feu chimique déchaîné chez Nutrien Ag Solutions
28/02/22 Un homme a été blessé après qu'un incendie s'est déclaré à la Shadow Brook Farm et à la Dutch Girl Creamery
04/03/22 294 800 poulets détruits dans une ferme de Stoddard, Missouri
RépondreSupprimer04/03/22 644 000 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Cecil, Maryland
08/03/22 243 900 poulets détruits dans une ferme d'œufs à New Castle, Delaware
10/03/22 663 400 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Cecil, MD
10/03/22 915 900 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Taylor, IA
14/03/22 L'incendie au 244 Meadow Drive a été découvert peu après 17 heures. par le propriétaire de la ferme Wayne Hoover
14/03/22 2 750 700 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Jefferson, Wisconsin
16/03/22 Un incendie dans un centre de distribution d'entrepôt Walmart a jeté un grand panache de fumée visible dans tout Indianapolis.
16/03/22 Nestle Food Plant gravement endommagé par un incendie et une nouvelle production détruite Jonesboro, Arkansas
17/03/22 5 347 500 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Buena Vista, Iowa
17/03/22 147 600 poulets détruits dans une ferme du Kent, Delaware
18/03/22 315 400 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Cecil, Maryland
22/03/22 172 000 dindes détruites dans des fermes du Dakota du Sud
22/03/22 570 000 poulets détruits dans une ferme à Butler, Nebraska
24/03/22 Les pompiers de nombreuses villes luttent contre un incendie majeur à l'usine de transformation de pommes de terre McCrum à Belfast.
24/03/22 418 500 poulets détruits dans une ferme à Butler, Nebraska
25/03/22 250 300 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Franklin, Iowa
26/03/22 311 000 dindes détruites dans le Minnesota
27/03/22 126 300 dindes détruites dans le Dakota du Sud
28/03/22 1 460 000 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Guthrie, Iowa
29/03/22 Un incendie massif a brûlé 40 000 livres de nourriture destinée à nourrir les gens dans un désert alimentaire près de Maricopa
31/03/22 Un incendie de structure a causé des dommages importants à une grande partie des principales installations de conditionnement d'oignons frais dans le sud du Texas
31/03/22 76 400 dindes détruites à Osceola, Iowa
31/03/22 5 011 700 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Osceola, Iowa
RépondreSupprimer06/04/22 281 600 poulets détruits dans une ferme à Wayne, Caroline du Nord
09/04/22 76 400 dindes détruites dans le Minnesota
09/04/22 208 900 dindes détruites dans le Minnesota
12/04/22 89 700 poulets détruits dans une ferme à Wayne, Caroline du Nord
12/04/22 1 746 900 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Dixon, Nebraska
12/04/22 259 000 poulets détruits dans une ferme du Minnesota
Le 13/04/22, un incendie détruit le marché de la viande de bœuf et de porc d'East Conway à Conway, New Hampshire
13/04/22 Un avion s'écrase sur Gem State Processing, usine de transformation de pommes de terre et d'aliments de l'Idaho
13/04/22 77 000 dindes détruites dans le Minnesota
14/04/22 L'usine de transformation alimentaire de Taylor Farms brûle à Salinas, en Californie.
14/04/22 99 600 dindes détruites dans le Minnesota
15/04/22 1 380 500 poulets détruits dans une ferme d'œufs à Lancaster, Minnesota
19/04/22 Le premier distributeur indépendant d'aliments biologiques et sains de la nation Azure Standard a été détruit par un incendie à Dufur, Oregon
19/04/22 339 000 dindes détruites dans le Minnesota
19/04/22 58 000 poulets détruits dans une ferme à Montrose, Color
20/04/22 2 000 000 de poulets détruits dans une ferme d'œufs au Minnesota
21/04/22 Un petit avion s'est écrasé sur le terrain d'une usine de General Mills en Géorgie
22/04/22 197 000 dindes détruites dans le Minnesota
23/04/22 200 000 dindes détruites dans le Minnesota
25/04/22 1 501 200 poulets détruits à la ferme d'œufs de Cache, Utah
26/04/22 307 400 poulets détruits à la ferme Lancaster Pennsylvanie
27/04/22 2 118 000 poulets détruits à la ferme Knox, Nebraska
28/04/22 Une installation de ponte dans l'Iowa tue 5,3 millions de poulets et licencie plus de 200 travailleurs
28/04/22 L'usine de transformation d'Allen Harim Foods a tué près de 2 millions de poulets dans le Delaware
4/2822 110 700 dindes détruites Barron Wisconsin
29/04/22 1 366 200 poulets détruits à la ferme Weld Colorado
30/04/22 13 800 poulets détruits à la ferme Sequoia Oklahoma
03/05/22 58 000 dindes détruites Barron Wisconsin
03/05/22 118 900 dindes détruites Beadle S Dakota
03/05/22 114 000 canards détruits à Duck Farm Berks Pennsylvanie
03/05/22 118 900 Dindes détruites Lyon Minnesota
07/05/22 20 100 dindes détruites Barron Wisconsin
5/10/22 72 300 poulets détruits à la ferme Lancaster Pennsylvanie
RépondreSupprimer5/10/22 61 000 canards détruits à Duck farm Berks Pennsylvania
10/05/22 35 100 dindes détruites Muskegon, Michigan
13/05/22 10 500 dindes détruites Barron Wisconsin
14/05/22 83 400 canards détruits à Duck farm Berks Pennsylvania
17/05/22 79 00 poulets détruits à Duck Farm Berks Pennsylvanie
18/05/22 7 200 canards détruits à Duck farm Berks Pennsylvania
19/05/22 Un train transportant du calcaire a déraillé Jensen Beach FL
21/05/22 57 000 dindes détruites dans une ferme du Dakota Minnesota
23/05/22 4 000 canards détruits à Duck farm Berks Pennsylvania
29/05/22 Un incendie samedi soir a détruit un poulailler à Forsman Farms
31/05/22 3 000 000 de poulets détruits par un incendie dans l'installation de Forsman dans le canton de Stockholm, Minnesota
6/2/22 30 000 canards détruits à Duck farm Berks Pennsylvania
6/7/22 Un incendie s'est déclaré mardi soir à l'usine de conditionnement de viande JBS à Green Bay.
6/8/22 Les pompiers du district d'incendie de Tangipahoa 1 répondent à un incendie à l'usine d'alimentation Purina à Arcola
09/06/22 L'eau d'irrigation a été annulée en Californie (le premier producteur de nourriture aux États-Unis) et l'eau de stockage a été évacuée directement vers le delta.
6/12/22 La plus grande entreprise de porc aux États-Unis ferme son usine californienne en raison des coûts élevés
13/06/22 Un incendie se déclare dans une usine de transformation des aliments à l'ouest du comté de Waupaca dans le Wisconsin
https://www.zerohedge.com/markets/another-food-plant-erupts-flames
Une vidéo virale semble montrer des centaines de bovins morts touchés par la canicule du Kansas
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 JUIN 2022 - 01:40
Le chaos dans les chaînes d'approvisionnement alimentaire continue de s'aggraver alors que des milliers de bovins à travers le Kansas sont mystérieusement morts. Officiellement, au moins 2 000 bovins sont morts de "chaleur et humidité extrêmes" au milieu de températures à trois chiffres, mais les sceptiques ne l'achètent pas car des images virales montrent des centaines de vaches couchées à l'envers.
Le haut de gamme des estimations provient de la rédactrice en chef de Progressive Farmer, Victoria Myers, qui rapporte des estimations préliminaires de parcs d'engraissement ou de parcs d'engraissement qui montrent que 10 000 bovins gras à travers l'État sont morts à cause du temps torride.
"Ce que l'on sait, c'est que, avant ces pertes déchirantes, les températures dans la région étaient supérieures à 100 degrés Fahrenheit, il y avait de l'humidité et il y avait peu ou pas de vent pour aider à refroidir les animaux. Les relevés de température signalés pour Ulysse ont commencé à dépasser les 100 degrés Fahrenheit le 11 juin. Le 13 juin, la température élevée a été signalée à 104 degrés, avec des niveaux d'humidité allant de 18 % à 35 %. Les niveaux de température et d'humidité ont commencé à baisser le 14 juin. Quelques jours seulement avant le la chaleur s'installait, les sommets avaient été dans les 80" (27°C), a déclaré Myers.
Le ministère de la Santé et de l'Environnement du Kansas a déclaré à Reuters qu'ils ne connaissaient qu'au moins 2 000 décès de bétail en raison des températures élevées et de l'humidité mardi.
Un agriculteur insiste sur le fait que "ce n'était pas la chaleur".
D'autres ont eu un commentaire similaire:
Les modèles météorologiques de Bloomberg montrent que les températures élevées à travers le Kansas se situent entre 95 et 100 degrés Fahrenheit (35° à 38°C) depuis samedi et pourraient persister jusqu'au 25 du mois.
Ce qui est étrange, c'est que le Texas, l'État avec la plus forte concentration de vaches, connaît un temps encore plus chaud que le Kansas et n'a pas encore connu de décès massifs de vaches.
Corbitt Wall, un analyste du bétail chez National Beef Wire, a déclaré à Progressive Farmer que deux sources non médiatiques avaient décrit l'étendue des pertes du Kansas. Il a dit qu'il y avait tellement de frustration parmi les agriculteurs et a souligné que les marchés à terme avaient chuté lundi malgré les pertes.
"Je sais qu'il est difficile pour les gens du secteur de surveiller ce marché à terme, mais ce n'est pas réel", a déclaré Wall. "Le seul moment où ces traders et spéculateurs gagnent de l'argent sur les contrats à terme, c'est lorsque le marché est volatil, et ils regardent ces algorithmes pour leur dire où va le marché. Pour les personnes qui suivent les fondamentaux, c'est frustrant."
RépondreSupprimerLe vétérinaire de l'Université d'État du Kansas, A.J. Tarpoff a qualifié la perte de "tempête parfaite" de trop de chaleur et d'aucune possibilité de refroidissement nocturne qui stressait le bétail.
"Le stress thermique ne se produit pas en même temps. Les bovins accumulent de la chaleur pendant la journée, puis pendant la nuit, il leur faut quatre à six heures pour dissiper cette chaleur. Tant que nous avons un effet de refroidissement la nuit, le bétail peut principalement supporter la chaleur. Là où nous rencontrons des problèmes, c'est lorsque nous avons deux à quatre jours consécutifs de refroidissement nocturne minimal, et nous commençons la journée avec la charge thermique que nous avons accumulée la veille toujours là », a déclaré Tarpoff.
Alors, est-ce la chaleur qui a tué les vaches ou autre chose ?
https://www.zerohedge.com/weather/viral-video-seems-show-100s-dead-cattle-hit-kansas-heatwave
La technologie scalaire (HAARP) permet les tremblements de terre, les inondations et aussi les incendies comme par exemple des champs de blé, des forêts, etc.
Supprimer"Nous y parvenons à peine" : un agriculteur furieux devient viral en expliquant pourquoi les prix des denrées alimentaires "vont augmenter"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 16 JUIN 2022 - 00:00
La semaine dernière, nous avons noté la chute de la confiance des agriculteurs américains en mai, les producteurs étant devenus inquiets quant à la santé financière de leur exploitation.
Selon l'enquête mensuelle de Purdue University/CME Group, la hausse rapide des coûts de production et l'incertitude concernant l'orientation des prix des intrants ont largement contribué à la baisse du sentiment. Selon Epoch Times, environ 44 % des agriculteurs, selon l'enquête mensuelle, ont cité les coûts des intrants comme leur principale préoccupation pour l'année à venir.
En fait, 60 % des agriculteurs prévoient que les prix des intrants agricoles seront au moins 30 % plus élevés cette année par rapport à 2021.
À cette fin, Holly Weilnau, agricultrice de l'Ohio, s'est adressée à TikTok il y a deux semaines dans une vidéo désormais virale pour expliquer comment les agriculteurs souffrent de coûts d'intrants gonflés, ce qui va faire grimper le prix des aliments beaucoup plus haut qu'il ne l'est actuellement.
"Il y a des choses que nous devons acheter", dit-elle, ajoutant "Il y a quelque chose que nous devons acheter qui nous a coûté 24 $ il y a deux ans, l'année dernière environ 46 $, cette année cela nous coûte 96 $."
"S'il vous plaît, comprenez que les prix des denrées alimentaires vont augmenter", poursuit-elle. "Vous voulez agir comme si c'était la faute des agriculteurs - ce n'est pas la faute des agriculteurs. Nous réussissons à peine à faire pousser les choses, donc vous pouvez l'obtenir en août, septembre, octobre."
"Les gars, ça ne va pas disparaître. Arrêtez de vous mettre la tête dans le sable et de penser 'oh, ça va aller' – ça ne va pas aller putain."
Dans une vidéo de samedi, Weilnau a raconté l'histoire d'un autre agriculteur qui n'a pas pu verrouiller les prix du diesel pour cet automne, et on lui a dit que c'était à cause de l'incertitude face à la hausse rapide des coûts du diesel.
"Cela seul, les gars - pour remplir les tracteurs et l'équipement nécessaire pour sortir le produit du champ - va être astronomiquement mauvais tout autour", a-t-elle dit, ajoutant: "Alors, comprenez, les gens sont comme, 'Oh , planifiez à l'avance' - nous essayons. Ils ne nous laissent pas."
RépondreSupprimerOh - et au moins au moment d'écrire ces lignes, Twitter considérait les vidéos de Weilnau comme "un contenu potentiellement sensible".
C'est loin d'être le premier agriculteur à lancer un terrible avertissement. Il y a trois semaines, John Boyd Jr., le président de la National Black Farmers Association, a déclaré : « Nous sommes actuellement en crise en ce qui concerne la chaîne alimentaire avec l'agriculteur dans ce pays », ajoutant : « Nous allons voir une beaucoup d'étagères vides et des prix alimentaires beaucoup plus élevés."
Au cours de sa carrière de quarante ans en tant qu'agriculteur, Boyd a déclaré qu'il n'aurait jamais imaginé qu'il "payerait 5,63 dollars pour un gallon de carburant diesel, 900 dollars la tonne pour des engrais et des prix sans précédent pour les graines de soja". Tous les prix qu'il a mentionnés sont à des niveaux record, ce qui exerce une pression sur les marges des agriculteurs.
Il a déclaré que le peuple américain doit se réveiller face à la crise de l'industrie agricole, ajoutant que "l'agriculture n'est pas républicaine ou démocrate, c'est de la nourriture, la terre est neutre... c'est le moment dont le peuple américain a besoin pour soutenir l'agriculteur américain et faire pression sur l'administration Biden pour qu'elle mette en place des mesures pour aider les agriculteurs."
Il a mentionné que les banques doivent fournir un financement d'urgence aux agriculteurs pour mettre leurs cultures en terre. L'inflation incontrôlable a empêché certains agriculteurs de planter en raison de la flambée des coûts.
Boyd a déclaré: "Nous n'avons qu'une courte fenêtre d'opportunité pour accorder un financement aux agriculteurs."
Il a déclaré que le pire scénario était "beaucoup de pénuries" de nourriture qui pourraient se matérialiser plus tard cette année.
Préparez-vous en conséquence.
https://www.zerohedge.com/economics/were-barely-making-it-furious-farmer-goes-viral-explaining-why-food-prices-are-going-go
"Nous penchons sur le côté
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jeudi 16 juin 2022 - 12 h 55
Il n'y a rien de tel que la douce odeur de la construction de mieux ...
Les agriculteurs de Pennsylvanie sont "écrasés" par le coût record du diesel - à tel point que les questions sur une crise alimentaire commencent à se profiler, a rapporté l'appel du matin.
Un agriculteur du comté de Lehigh aurait déclaré: "J'ai un tracteur connecté à mon jardinière de maïs ici, pas de carburant diesel, et je ne peux pas me permettre."
Ce fermier diffusait ses reproches à Kyle Kotzmoyer, spécialiste des affaires législatives du Pennsylvania Farm Bureau. Kotzmoyer s'est ensuite retourné et a témoigné auprès des législateurs de l'État: «Nous avons atteint ce point où il est très proche d'être un navire qui coule. Nous chancelons en ce moment. »
La situation semble continuer à augmenter les prix des denrées alimentaires, après que le gouvernement a indiqué que les prix des denrées alimentaires en mai étaient supérieurs à 10,1% que l'an dernier.
Kotzmoyer a déploré la possibilité d'une pénurie alimentaire: «Un, s'ils ne peuvent pas se permettre de le mettre dans le sol. Ou, deux, s'ils ne peuvent pas se permettre de le retirer. "
La moyenne de l'AP pour le diesel est désormais de 6,19 $ le gallon, en hausse d'environ 75 % par rapport à il y a un an, note le rapport. C'est une «dépense énorme et énorme» pour les agriculteurs, a déclaré Kotzmoyer à des législateurs de l'État.
Un agriculteur qui travaille sur environ 3 500 acres brûle à travers environ 2 000 gallons (7570 litres) de diesel par mois, a-t-il déclaré. «Si les agriculteurs ne peuvent pas sortir des cultures du sol, il n'y a pas de nourriture sur les étagères.»
https://www.zerohedge.com/markets/we-are-teetering-edge-food-shortage-worries-mount-pa-farms-crushed-record-diesel-prices
Je crois que c'est idem pour les pêcheurs avec bateaux à moteur !
Supprimer"Ils tirent la prise ... c'est le jeu"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Mercredi 15 juin 2022 - 23 h 40
Via usawatchdog.com de Greg Hunter,
L'expert et écrivain financier des Metals précieux a déclaré début avril qu'il pensait que nous n'avions pas beaucoup de temps avant le début de l'effondrement financier. Il l'a donné 60 jours. Deux mois plus tard, l'effondrement a commencé sérieusement à temps.
Le monde est au niveau de la dette jamais vu auparavant, et Holter soutient que la hausse des taux d'intérêt est le moteur clé ici et maintenant. Holter explique: "Les taux d'intérêt sont la clé de l'effondrement entier ..."
"... Les taux hypothécaires, pour le moment, sont d'environ 6,15 %. Si vous vous êtes qualifié pour une hypothèque de 1 million de dollars à la fin de l'année dernière, vous ne vous admirez que pour une hypothèque maintenant. ont essentiellement doublé. "
Holter dit également que cela signifie que les valeurs des propriétés sont considérablement réduites.
Les taux d'intérêt sont sur une tendance à la baisse de plus de 40 ans depuis que le chef de Fed, Paul Volcker, a augmenté un taux clé à 20% au début des années 1980. Holter souligne,
«Nous avons essentiellement passé un marché haussier de 40 ans sur les obligations où les taux d'intérêt n'ont fait que descendre pendant 40 ans ...
Cette tendance de 40 ans est désormais rompue et les taux sont plus élevés. Il se trouve que le système est plus endetté qu'il ne l'a jamais été sur un ratio ou une base que vous souhaitez examiner. Ce que je dois en parler, c'est que ces taux d'intérêt plus élevés font exploser la bulle de la dette. »
Ne vous attendez pas à ce que la Fed arrive et sauve la journée comme dans la dernière fusion financière en 2008 et 2009.
La Fed a renfloué l'économie lorsqu'elle a commencé à imprimer de l'argent comme des fous et ne s'est jamais arrêtée. Holter dit,
«L'essentiel est le système financier mondial et, par conséquent, les économies réelles sont en vigueur depuis 2008.
Ce que les gens devraient comprendre, c'est quand la Fed dit qu'elle va augmenter les taux d'intérêt et qu'ils vont rétrécir leur bilan, qui dit qu'ils retirent le bouchon du mur. Ils retirent le système de la vie. L'essentiel est que le système ne peut pas vivre sans survie.
Le régime Ponzi ne peut pas se poursuivre sans que de nouveaux capitaux ne pénètrent dans le système. Ils tirent le bouchon est ce qu'ils font. . . . C'est le jeu terminé. "
Holter parle également de l'or et de l'argent et pourquoi vous devriez les tenir à la main.
Holter pense qu'un scénario «Mad Max» est une réelle possibilité et dit que nous n'avons pas vu le pic sur l'inflation.
Il y a beaucoup plus dans l'interview de 44 minutes.
Rejoignez Greg Hunter alors qu'il va en tête-à-tête avec l'écrivain financier et expert des métaux précieux Bill Holter de jsmineset.com pour 6.14.22.
https://www.zerohedge.com/markets/theyre-pulling-plug-its-game-over
Pronostics à prendre avec de longues pincettes !
Supprimer(...)Holter parle également de l'or et de l'argent et pourquoi vous devriez les tenir à la main. (...)
L'or (et l'argent) sont des attrapes-nigauds, le prix de l'or n'a RIEN A VOIR avec les transactions ! Le prix est fixé par un 'bureau' à la tête du client !
Demain ils peuvent afficher l'or à 1$/oz !