- ENTREE de SECOURS -



mercredi 1 juin 2022

Les mondialistes entrent dans la PHASE DE MORT de l'extermination humaine

Mercredi 01 juin 2022 

par : Mike Adams


(Natural News) Les mondialistes entrent maintenant dans leur «phase de mise à mort» de l'extermination humaine, abandonnant toutes leurs stratégies précédentes consistant à essayer de cacher leurs véritables intentions. Maintenant, ils parlent ouvertement de couper l'énergie à l'humanité, d'affamer les gens à mort avec des perturbations de l'approvisionnement alimentaire, de réinitialiser les monnaies mondiales pour plonger l'humanité dans la pauvreté et de parvenir à la dépopulation grâce à l'utilisation de vaccins et de médicaments mortels.

Vous souvenez-vous des neuf points que j'ai publiés hier ? Voici les vecteurs d'attaque actuellement utilisés contre la race humaine sur la planète Terre :

Famine artificielle et famine de masse

Le démantèlement délibéré de l'infrastructure énergétique qui fournit l'électricité, le chauffage et le carburant

Plusieurs vagues d'armes biologiques conçues pour tuer

Les mandats mondiaux de vaccin pour contraindre les masses obéissantes à des injections d'euthanasie à action lente

La géo-ingénierie et le contrôle climatique à l'échelle planétaire pour effondrer la biosphère et provoquer de mauvaises récoltes à l'échelle mondiale

Effondrement délibéré des monnaies fiduciaires mondiales basées sur la dette pour causer la pauvreté mondiale

Escalade des conflits mondiaux en guerre mondiale impliquant à la fois la Russie et la Chine

Démolition contrôlée de la chaîne d'approvisionnement mondiale pour provoquer un effondrement économique

La destruction de la fertilité via les produits chimiques plastiques, les pesticides, les perturbateurs hormonaux, le toilettage LGBT et le transgenre

Chacun de ces neuf va être agressivement accéléré en 2022 – 2025.

La phase de mise à mort a été activée. (Cela a en fait commencé sérieusement avec le covid-19.) Chaque décision des dirigeants nationaux – en particulier parmi ceux qui sont redevables au WEF tels que Trudeau, Biden et les dirigeants européens – est conçue pour générer le nombre maximum de victimes humaines d'ici la fin de 2025. Les mondialistes sont déjà sur la bonne voie pour voir 1 à 2 milliards d'êtres humains morts avant 2030, grâce au seul vaccin covid. Ajoutez à cela la famine, l'effondrement économique, les guerres civiles, le terrorisme biologique, les attaques nucléaires et les scénarios de grille down, et vous envisagez environ 2 à 4 milliards de morts.

Il semble que ce résultat - 25 % à 50 % de la population humaine actuelle sera exterminée dans les années à venir - est déjà "préparé" et ne peut pas être inversé. Les vaccins mortels, par exemple, ont déjà été administrés à plus de cinq milliards de personnes. La famine artificielle et la pénurie alimentaire ont déjà été atteintes en raison des pénuries d'engrais, des mauvaises récoltes et du protectionnisme / nationalisme alimentaire. L'Inde, par exemple, est sur le point d'interdire les exportations de riz – une politique qui provoquerait une urgence mondiale catastrophique en termes de pénurie alimentaire et de famine. (Source : Bloomberg.com)

L'implosion de la dette en monnaie fiduciaire est également une réalité incontournable. Avec l'impression monétaire incessante et presque incompréhensible qui a eu lieu dans les pays occidentaux au cours des trois dernières années, nous avons largement dépassé le point de non-retour en ce qui concerne la solvabilité financière de ces pays. Les monnaies des États-Unis, de l'UE et du Japon partiront en fumée dans un avenir proche, laissant ces nations et régions dans le chaos économique.

Le fait est que si les dirigeants nationaux avaient un réel désir de maintenir la durabilité économique et la santé mentale, les pires résultats pourraient être évités ou réduits. Mais ils ne veulent pas éviter la catastrophe… ils veulent l'exacerber. Les dirigeants des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni, de l'Allemagne, de la France, de l'Italie, du Japon, de l'Australie, de la Nouvelle-Zélande et d'autres nations sont tous des marionnettes mondialistes qui reçoivent les ordres de mondialistes anti-humains et anti-civilisation qui se sont engagés à la destruction totale de civilisation humaine sur la planète Terre.

Écoutez plus de détails dans le podcast d'aujourd'hui ici:

Brighteon.com/51c96280-63ff-4068-96bc-0bf6658bbe50

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60 commentaires:

  1. Embargo sur le pétrole : pourquoi les prix continuent de flamber

    Quelles sont les conséquences de l’embargo partiel du pétrole russe ? L’Europe peut-elle trouver des routes alternatives ?


    le 2 juin 2022
    Philippe Charlez


    Après de nombreuses tergiversations, l’Europe a finalement décidé dans la nuit de lundi à mardi d’un embargo partiel sur les importations de pétrole russe. « Partiel » car il vise exclusivement les importations par voie maritime (soit deux tiers des importations).

    Elles devraient être arrêtées d’ici décembre 2022. En revanche, l’acheminement par oléoduc se poursuivra jusqu’à une date non fixée. Il se matérialise notamment par l’oléoduc de l’Amitié (son nom Russe est « Droujba ») transitant depuis la Sibérie Occidentale 1,5 millions de barils par jour vers les pays d’Europe centrale (Hongrie, Slovaquie, République Tchèque) ne disposant pas d’accès à la mer. Dépendant à 80% du pétrole Russe et ne disposant d’aucune alternative à court terme (sinon un approvisionnement coûteux et logistiquement complexe par train ou par camion), ces pays enclavés s’étaient logiquement opposés à l’embargo pétrolier total.

    L’embargo partiel est le compromis trouvé par Bruxelles pour accommoder ces situations très hétérogènes. Quant aux pays « hybrides » (important par oléoduc mais disposant d’infrastructures maritimes) comme l’Allemagne et la Pologne, ils se sont engagés à arrêter leurs importations par oléoduc d’ici la fin de l’année. Si l’embargo partiel est correctement appliqué, l’UE devrait réduire de près de 90 % ses livraisons de pétrole russe d’ici la fin de l’année.

    Où trouver le substitut ?

    Contrairement au gaz naturel, le pétrole est une matière première fongible pouvant transiter aisément d’un point à l’autre de la planète. L’embargo sur le pétrole Russe devrait donc à priori induire un système de vases communiquant reroutant le pétrole Russe vers le sud est asiatique mais libérant du pétrole Moyen Oriental approvisionnant l’Europe. L’impact sur les prix du brut serait à priori modéré avec toutefois des surcoûts de transport. Mais, en pratique les choses ne sont pas aussi simples.

    Selon le dernier rapport de l’AIE, les différentes sanctions en vigueur commencent à fortement affecter l’industrie pétrolière Russe dont la production a baissé de près 20% depuis le début de l’année : ce sont 2 millions de barils par jour en moins sur les marchés mondiaux. La Russie souffre notamment du retrait partiel de plusieurs Majors (Shell, Exxon, BP) et des grandes compagnies de service (Schlumberger et Halliburton). Un phénomène bien connu de l’Iran quand le Dr Mossadegh avait voulu nationaliser l’Anglo Persian en 1951. Privée de la technologie occidentale, l’Iran avait vu sa production s’effondrer en quelques mois. La redistribution des flux ne se fera donc pas à volume constant, la perte de production Russe devant être impérativement compensée par d’autres sources.

    Les vingt-sept importent aujourd’hui de Russie 25 % de sa consommation pétrolière. Pour satisfaire la décision d’embargo partiel sans affecter son économie et ses citoyens, l’Europe doit trouver sur les marchés pétroliers un substitut de 2,5 millions de baril par jour d’ici la fin de l’année. Les réserves de production disponibles se situent surtout au sein de l’OPEP et sont principalement situées en Arabie Saoudite et aux Emirats Arabe Unis. Ces pays sont-ils pour autant prêts à nous ouvrir les vannes ?

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  2. Depuis le début du conflit Russo-Ukrainien, les pays de l’OPEP n’ont pas marqué de grande empathie vis-à-vis de l’Ukraine. Ils se sont tous abstenus lors du vote de la résolution de l’ONU du 2 mars et aucun n’a soutenu les sanctions contre Vladimir Poutine. Bien que possédant d’importantes marges de production, l’OPEP par la voix de l’Arabie Saoudite (second producteur mondial après les US) et des UAE n’augmentera pas de façon marquée ses quotas de production pour contrer la Russie. Ryad ne souhaite en rien exclure la Russie de l’OPEP+. Une telle décision pourrait conduirait Poutine à consentir à des rabais très importants sur le pétrole russe rerouté vers l’Asie avec des conséquences imprévisibles sur les marchés mondiaux. L’OPEP augmentera donc sa production au compte-goutte.

    Une autre idée est de ramener dans le marché mondial certains producteurs « parias » comme le Venezuela et l’Iran. Malgré des réserves colossales, il y a peu d’espoir d’accroitre à moyen terme la production du Venezuela dont le secteur pétrolier a été anéanti par le chavisme. En revanche, l’Iran possède d’importantes marges de production entravées aujourd’hui par les sanctions internationales pesant sur la République Islamique. Des sanctions que Joe Biden souhaiterait alléger en échange d’un nouvel engagement sur le nucléaire militaire.

    Cette intention du Président Américain est évidemment très mal vue des pétromonarchies du golfes, ennemis historiques de l’Iran. Un accord sur le nucléaire iranien pourrait alors pousser les saoudiens et les émiratis à réduire les quotas de l’OPEP.

    Conséquences sur les prix

    Jusqu’à présent la baisse de la production Russe et l’annonce de l’embargo n’ont pas eu de conséquence majeure sur le prix du Brent se maintenant depuis début Mars autour de 110 $/bbl. Toutefois, le manque de visibilité quant au reroutage des flux futurs a conduit, les pays de l’OCDE à puiser dans leurs stocks stratégiques dont les niveaux n’ont jamais été aussi bas. Quant on sait que le niveau de ces stocks joue un rôle prépondérant sur les prix du brut, ce petit jeu imprévisible de « chaises musicales » où « chacun voit midi à sa porte » pourrait dans les mois à venir impacter les prix à la hausse.

    Mais, le principal risque de l’embargo se situe au niveau des produits raffinés : l’embargo décrété par les pays occidentaux sur les produits pétroliers russes entrainent une réduction de l’offre de produits raffinés (essence, diesel, kérosène, fioul domestique) que la Russie exporte massivement vers l’Europe. Cette baisse conjoncturelle de l’offre de produits raffinés liée au conflit Russo-Ukrainien est renforcée par une baisse structurelle mondiale des capacités de raffinage souffrant de sous-investissements depuis une dizaine d’années.

    En conséquence, les marges de raffinage (différence entre le prix du pétrole Brut et du produit raffiné – essence ou diésel) ont flambé sur le marché de Rotterdam au cours des dernières semaines. En 2020 à la suite de la faible demande liée à la crise du COVID19 elles s’étaient effondrées sous 10 €/tonne. A partir de 2021 elles se sont stabilisées à des valeurs normales autour de 30€. Mais, depuis le début du conflit Russo-Ukrainien elles ont atteint des valeurs inédites dépassant en avril et mai 2022 les 150 €/tonne.

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  3. En conséquence, malgré un prix du pétrole brut stagnant autour de 110$, les prix à la pompe subissant de plein fouet la flambée des marges de raffinage poursuivent leur hausse. Sans la prise en charge de 0,20 centimes d’euros par l’Etat, le litre de SP95 dépasserait aujourd’hui les 2,5 euro dans Paris intra-muros.

    Pour l’instant les raffineurs indépendants « pure-play » (et non les majors pétroliers actifs sur toute la chaîne) profitent tranquillement de marges bénéficiaires record. Les actions des géants américains du raffinage ont au cours des dernières semaines atteint des sommets. Mais c’est aussi un jackpot pour l’État prélevant via la TVA 20 % du prix HT.

    Notre meilleur atout : limiter notre consommation

    Si la question de l’offre reste aujourd’hui centrale, il ne faut pas pour autant occulter celle de la demande dont la croissance ralentit notamment en Russie à la suite des sanctions (les Russes ont fortement réduit de facto leur mobilité) mais aussi en Chine où 300 millions de personnes sont aujourd’hui confinées pour cause de COVID 19. Sachant qu’il y a une forte corrélation entre croissance économique et consommation d’énergie, la possible récession économique attendue au second semestre 2022 devrait réduire la demande et avoir un effet bénéfique sur les prix. Mais, ce n’est pas là la perspective la plus enthousiaste.

    Cette situation d’extrême tension sur les marchés de l’énergie doit aussi nous inciter à réfléchir sur nos comportements énergétiques ceci afin d’évoluer vers une réduction choisie et non imposée de notre consommation. Une réduction de consommation choisie indispensable face aux enjeux climatiques.

    https://www.contrepoints.org/2022/06/02/431401-embargo-sur-le-petrole-pourquoi-les-prix-continuent-de-flamber

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  4. L'OPEP+ RÉFLÉCHIRAIT À EXCLURE LA RUSSIE, LE COURS DU BRUT S'EFFONDRE


    par PAOLO GAROSCIO
    01/06/2022


    Le baril de pétrole Brent a perdu 9 dollars en valeur le 31 mai 2022.

    La séance boursière du 31 mai 2022, sur le front du prix du pétrole, a été mouvementée. Si l’embargo sur le pétrole russe annoncé par l’Union européenne a fait grimper les prix, un article du Wall Street Journal les a fait s’écrouler : l’OPEP+ pourrait exclure la Russie de son accord de production. Et ça aurait des conséquences majeures sur l’offre présente sur le marché.

    Pétrole : vers un accord de production sans la Russie ?

    Selon le Wall Street Journal, la position de l’OPEP+ face à la Russie serait en train d’évoluer, malgré le Kremlin soit le fer de lance des pays alliés des pays de l’OPEP. Certains pays producteurs semblent pousser pour une exclusion de la Russie de l’accord de production. Ce dernier pourrait alors évoluer.

    En effet, l’accord de production de l’OPEP+ prévoit de prendre en compte l’ensemble des intérêts économiques des pays membres de l’organisation et de ses alliés. En excluant la Russie, les intérêts seraient modifiés en faveur des autres pays producteurs qui pourraient alors augmenter leur production non pas pour changer l’offre totale sur le marché, mais pour répondre aux promesses d’extraction journalière annoncées par le Cartel de l’Or noir.

    Mais, de fait, l’offre sur le marché mondial serait augmentée : certains pays n’ont en effet pas annoncé d’embargo sur le pétrole russe qui, par ailleurs, se vend près de 30 % moins cher par rapport au Brent. Les pays continuant de faire affaires avec la Russie ont donc tout intérêt à se tourner en priorité vers le Kremlin tandis que la production de l’OPEP+ augmenterait pour combler la demande chez les pays ayant opté pour des sanctions économiques.

    Le Brent frôle les 124 dollars avant de tomber au même prix que le WTI

    Cette situation, qui doit être confirmée, explique l’évolution majeure du cours du pétrole brut sur les marchés le 31 mai 2022. Une fois que l’annonce d’un accord européen sur un embargo sur le pétrole russe, le Brent a explosé, atteignant même les 124 dollars le baril. Le WTI, le pétrole américain, a fait de même, frôlant les 120 dollars, au plus haut depuis 2008.

    Mais après la publication du Wall Street Journal, la Bourse a été prise de panique et un mini-krach s’en est suivi sur le marché du brut. Sur la séance du 31 mai 2022, le Brent est passé de 124 à un peu moins de 116 dollars le baril, et le WTI a chuté au même niveau.

    Le 1er juin 2022 avant l’ouverture des places européennes, WTI et Brent s’échangeaient à un prix très proche, la différence étant inférieure à 1 dollars le baril entre les deux produits. Une situation rare, le Brent étant généralement plusieurs dollars plus cher que son homologue américain.

    http://www.economiematin.fr/news-petrol-opep-exclusion-russie-accord-cours-brut

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    Réponses
    1. Pourquoi le pétrole russe est-il 30 % moins cher ? Bêh c'est comme celui qui vient d'ailleurs (avant la 'guerre du Golfe', le prix du pétrole à Bagdad en Irak coûtait 0,5 centime de franc !! A savoir que 1 franc = 15 centimes d'euro. C'est-à-dire que pour 1 franc (français) on avait droit à 200 litres de pétrole à la pompe ! Et... dites-moi, à quel prix était-il affiché à la pompe en France avant le 2 Août 1990 ?).
      Donc, quand ils parlent de -30 %... HAHAHAHA ! Le prix coup de barre vient des États acheteurs qui taxent à mort les importations !

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  5. Y AURA-T-IL SEULEMENT DE L'ESSENCE CET ÉTÉ ? L'ALERTE DE L'AGENCE INTERNATIONALE À L’ÉNERGIE SUR LA PÉNURIE DE CARBURANT !


    par CHARLES SANNAT
    02/06/2022


    Début mai 2022 le prix des carburants en France a frôlé les 2 euros le litre malgré la mesure gouvernementale.

    C’est un article qui provient de l’agence de presse Reuters et qui est repris par le site Boursorama.com (source ici) et qui nous apprend que le Directeur de l’AIE, l’agence internationale pour l’énergie, alerte sur de possibles pénuries de carburants cet été en Europe !

    « L’Europe pourrait être confrontée à des pénuries de carburants cet été en raison des tensions sur les marchés pétroliers, déclare le directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), Fatih Birol, au journal allemand Spiegel.

    « Quand la saison des vacances va débuter en Europe et aux États-Unis, la demande de carburant augmentera. Nous pourrions alors assister à des pénuries, par exemple de diesel, d’essence ou de kérosène, en particulier en Europe », souligne Fatih Birol ».

    Une crise plus grave que les chocs pétroliers des années 70
    « Il estime que la crise énergétique actuelle est « beaucoup plus importante » que les chocs pétroliers des années 1970 et qu’elle durera plus longtemps.

    « À l’époque, il ne s’agissait que du pétrole », explique-t-il. « Maintenant, nous avons simultanément une crise pétrolière, une crise du gaz et une crise de l’électricité. »

    Ce que vous avez sous les yeux, c’est l’effondrement énergétique, l’effondrement de nos économies carbonées.

    L’effondrement de notre système de production basé sur la production de masse pour une consommation de masse nécessitant des quantités considérables d’énergie abondante et surtout non marché !

    Il y a donc deux volets au problème énergétique.

    Il y a la disponibilité et le prix.

    Quand l’énergie est disponible mais en moins grande quantité les prix explosent de manière disproportionnée par rapport à ce qui manque. C’est ce que l’on appelle pompeusement en économie « l’élasticité des prix ». A chaque fois que la demande monte de 1 %, les prix montent-ils eux aussi de 1 % ou de 10 %?

    Si vous voulez partir en vacances cet été, peut-être aurez-vous intérêt à prévoir quelques jerricans de gasoil histoire de pouvoir revenir de la plage !

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  6. Nous sommes donc confrontés à une crise bien plus profonde que celle des chocs pétrolier des années 70, sans même rajouter que notre endettement à l’époque et notre potentiel de croissance économique étaient très différents et bien meilleurs.

    Cela veut dire que l’inflation sera forte et durable poussée par cette augmentation structurelle du prix de l’énergie qui est le second prix maître après celui de l’argent fixé par les taux d’intérêt.

    Tout ce que nous achetons, tout ce que nous produisons a un prix.

    Ce prix découle des deux prix « maîtres » qui donnent le « la » à l’économie.

    Le prix de l’argent et de le prix de l’énergie.

    Vous remarquerez que ces deux prix maîtres sont orientés à la hausse.

    Il est donc grand temps de penser à la résilience et c’est exactement ce que font de nombreux Français qui ont déjà compris et se préparent. Je vous invite à regarder l’article consacré à la hausse des prix de l’immobilier de cette édition.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-penurie-carburant-ete-2022-alerte-aie-essence-diesel-sannat

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  7. Document de Whitehall: les pannes d'électricité hivernales au Royaume-Uni sont imminentes une fois que le Kremlin aura coupé tous les approvisionnements en gaz


    mercredi 01 juin 2022
    par : Belle Carter


    (Natural News) Environ six millions de foyers au Royaume-Uni pourraient connaître des coupures de courant cet hiver si le Kremlin coupe l'approvisionnement en gaz de l'Europe.

    Le site d'information du Times a cité un document de Whitehall selon lequel les importations de gaz naturel en provenance de Norvège pourraient être réduites de moitié l'hiver prochain dans un contexte d'augmentation de la demande de l'Union européenne (UE). Le Royaume-Uni tire environ la moitié de son approvisionnement total du pays scandinave.

    Les expéditions de gaz naturel liquéfié des principaux producteurs tels que les États-Unis et le Qatar pourraient également être réduites de moitié cet hiver, précise encore le rapport.

    Le document indique également que la Grande-Bretagne ne recevra aucune importation de gaz des interconnexions aux Pays-Bas et en Belgique car elles sont confrontées à leurs propres urgences.

    Plus tôt ce mois-ci, l'Office of Gas and Electricity Markets (Ofgem) du Royaume-Uni a mis en garde contre une augmentation probable du plafond des prix de l'énergie "de l'ordre de 2 800 £ (3 496 $)".

    Les responsables de Whitehall ont élaboré un plan pour l'hiver afin de se préparer au pire scénario. Cela pourrait conduire au rationnement de l'électricité pour jusqu'à six millions de foyers au début de 2023, si la Russie commençait à arrêter l'approvisionnement en gaz du continent.

    Le Royaume-Uni s'est engagé à mettre fin à l'importation de pétrole russe d'ici la fin de l'année, mais cherche maintenant à renforcer son approvisionnement en électricité en prolongeant la durée de vie de ses centrales nucléaires au charbon et vieillissantes.

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  8. À cet égard, la centrale nucléaire de Somerset Hinkley Point B pourrait être prolongée de 18 mois, malgré les plans de démantèlement de l'installation vieille de 50 ans cet été.

    Le document explique en outre que les installations industrielles lourdes pourraient être invitées à cesser d'utiliser du gaz, tandis que les centrales électriques au gaz du Royaume-Uni pourraient être fermées afin de préserver des approvisionnements limités. (En relation: Les énergies renouvelables mettent l'énergie électrique de l'Europe à la merci de la Russie.)

    Cela entraînerait des pénuries d'électricité et les ménages britanniques seraient soumis à des coupures de courant pendant les heures de pointe les matins et les soirs en semaine.

    Si la Russie coupe entièrement l'approvisionnement en gaz naturel de l'UE, les pannes pourraient durer trois mois à partir de décembre et se produire en semaine et le week-end, selon le rapport.

    Le Royaume-Uni annonce une nouvelle sanction contre la Russie
    Malgré la crise énergétique imminente et l'hiver froid imminent dû aux pannes d'électricité, le Royaume-Uni a annoncé en mai une nouvelle sanction contre le secteur aérien russe.

    L'entreprise publique Aeroflot, la plus grande compagnie aérienne russe, Ural Airlines et Rossiya Airlines ne sont plus en mesure de vendre leurs créneaux d'atterrissage inutilisés et lucratifs dans les aéroports britanniques.

    « Tant que Poutine poursuivra son assaut contre l'Ukraine, nous continuerons de cibler l'économie russe. Nous avons déjà fermé notre espace aérien aux compagnies aériennes russes », a déclaré la ministre des Affaires étrangères Liz Truss.

    « Le Royaume-Uni a été l'une des premières nations à appliquer des sanctions contre Poutine et ses alliés ; nous avons interdit l'entrée à leurs navires et avions, les étranglant du privilège de bénéficier du commerce mondial », a ajouté le secrétaire aux Transports, Grant Shapps.

    Les sanctions internationales contre la Russie ont conduit plusieurs fabricants d'armes à suspendre leur activité en raison d'un manque de pièces. Les capacités des entreprises de défense ont été restreintes, limitant la capacité de la Russie à remplacer les technologies de pointe, y compris les drones. Les ventes de véhicules sur le marché russe ont également chuté de 80 %, en partie à cause d'un manque de composants.

    En mai, les dons d'aide médicale du Royaume-Uni à l'Ukraine ont atteint plus de 11 millions d'articles.

    "De nouvelles ambulances, des camions de pompiers, des fonds pour des experts de la santé et des fournitures médicales vitales sont donnés à l'Ukraine dans le cadre de la solidarité indéfectible du Royaume-Uni avec le pays", a déclaré le Premier ministre britannique Boris Johnson en avril.

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  9. Visitez EnergySupply.news pour plus d'informations sur la crise énergétique.

    Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment l'Europe fait face à une crise énergétique auto-imposée.

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Topical Digest sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    La Hongrie dit non à l'embargo pétrolier russe imposé par l'UE.

    L'UE commet un suicide économique en imposant des sanctions à la Russie.

    Étude : Une guerre américano-russe pourrait provoquer un « hiver nucléaire » de 10 ans avec des conséquences mondiales désastreuses.

    Les sources comprennent :

    RT.com
    EandT.theIET.org
    TheNationalNews.com
    Gov.uk
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-01-uk-blackouts-imminent-once-kremlin-cuts-off-gas.html

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  10. NERC : des problèmes de réseau électrique et une chaleur intense pourraient entraîner des pannes généralisées en Amérique du Nord cet été

    mercredi 01 juin 2022
    par: Mary Villareal

    (Natural News) La North American Electric Reliability Corporation (NERC) avertit les citoyens qu'il pourrait y avoir des pannes d'électricité généralisées dans certaines parties de l'Amérique du Nord cet été en raison de la fermeture de centrales électriques, de problèmes de chaîne d'approvisionnement et de la chaleur intense.

    L'organisation à but non lucratif, qui surveille les réseaux électriques du pays et qui promeut la stabilité et la sécurité du réseau, a averti que l'approvisionnement en électricité d'une grande partie des États-Unis et du Canada, des Grands Lacs au Midwest, sera surchargé en raison de la demande croissante.

    Une grande partie du Midwest est exposée à un risque élevé d'urgence énergétique, et les réseaux électriques qui acheminent l'électricité vers l'Ouest et à travers le Texas pourraient également connaître de graves problèmes.

    "C'est un rapport qui donne à réfléchir, et il est clair que les risques se propagent", a déclaré John Moura, directeur du NERC.

    Le NERC a également déclaré que les interruptions de courant seraient considérablement plus élevées en raison de la fermeture d'anciennes centrales ou d'autres installations ayant du mal à trouver suffisamment de carburant. De plus, le rapport note que les réseaux électriques pourraient être la cible de cyberattaques dans les mois à venir.

    "Les secteurs de l'électricité et d'autres infrastructures critiques sont confrontés à des menaces de cybersécurité de la part de la Russie et d'autres acteurs potentiels dans un contexte de tensions géopolitiques accrues, en plus des cyberrisques en cours", a déclaré le NERC. Il a également indiqué que des attaquants russes pourraient planifier ou tenter une cyberactivité malveillante pour accéder et perturber le réseau électrique en Amérique du Nord en représailles à son soutien à l'Ukraine.

    La mise hors service des centrales à combustibles fossiles a également été un problème critique dans tout le paysage énergétique alors que les entités gaz et charbon sont à leur capacité maximale. Les conditions de sécheresse dans différentes régions d'Amérique du Nord ont également limité la production des barrages hydroélectriques. Les incendies de forêt pourraient également assombrir le ciel avec de la fumée et menacer les panneaux solaires, incitant les ménages à dépendre à nouveau du réseau électrique, ajoutant plus de pression au système.

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  11. Le NERC a en outre révélé qu'un nombre croissant de développeurs solaires indiquent également qu'ils pourraient ne pas être en mesure de respecter les données de commission attendues, y compris les projets dont l'achèvement est censé être prévu cet été.

    Cependant, la transition énergétique pose également ses propres problèmes, avec des centrales plus sales qui se déconnectent plus rapidement que les énergies renouvelables ne peuvent se connecter, de sorte que les centrales à gaz et à charbon doivent fonctionner plus dur. Les problèmes de chaîne d'approvisionnement entravent également certains projets solaires et lignes de transmission, tandis que les centrales au charbon déjà connectées au réseau ont du mal à obtenir suffisamment de carburant pour fonctionner.

    Les pénuries d'énergie pourraient déclencher des urgences énergétiques
    Du Manitoba, au Canada, à la Louisiane, aux États-Unis, les auteurs de l'étude avertissent que le manque de capacité pourrait déclencher des urgences énergétiques au plus fort des conditions estivales torrides.

    La Californie a déjà averti ses citoyens du risque de pannes d'électricité pour les trois prochains étés lors de la transition vers l'énergie verte, et elle pèse sur le maintien d'une centrale nucléaire ouverte pour compenser la perte potentielle d'hydroélectricité. (En relation: des millions d'Américains souffriront de pannes d'électricité massives cet hiver, grâce à une crise énergétique en plein essor, avertit un initié.)

    Bien qu'il soit l'un des plus grands producteurs d'énergie, le Texas pourrait également faire face à d'énormes problèmes au cours des prochains mois en raison d'une combinaison de pics de demande extrêmes, de faibles vents et de taux de panne élevés des générateurs thermiques, ce qui pourrait obliger les opérateurs du système à utiliser des procédures d'urgence jusqu'à et y compris le délestage manuel temporaire.

    Les résidents du Texas sont également invités à économiser de l'énergie dans la chaleur pour éviter les pannes d'électricité en été, tandis que les experts recommandent aux ménages de maintenir leurs thermostats à 78 degrés et d'attendre jusqu'à 20 heures. pour faire fonctionner de gros appareils. Le Conseil de la fiabilité électrique du Texas a également déclaré que l'État maintient suffisamment d'énergie pour satisfaire la forte demande sans précédent de l'été. (Connexe : expert en énergie : une panne de courant au Texas aurait pu être évitée grâce à un investissement important.)

    L'Amérique du Nord devrait pouvoir avoir un aperçu de ce à quoi ressemblerait l'été 2022 en vérifiant ce qui se passe en Asie aujourd'hui. Le continent traverse une vague de chaleur qui a déjà entraîné des coupures de courant quotidiennes en Inde, au Népal, au Pakistan et au Sri Lanka.

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  12. Ces conditions ont mis en danger près d'un milliard de personnes, et d'autres pourraient subir le même sort, car la Chine et le Japon pourraient également faire face aux mêmes pénuries d'électricité dans les mois à venir.

    Les responsables de l'industrie à Pékin ont déclaré que la situation énergétique serait difficile à gérer, bien que le gouvernement ait déjà promis que le pays garderait les lumières allumées. Tokyo a adopté une approche proactive dans la mesure où la ville a exhorté ses habitants à économiser l'énergie et à changer leurs habitudes dans les prochaines semaines.

    Pour plus de mises à jour, visitez PowerGrid.news.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d'informations sur les coupures de courant estivales qui se produiront dans toute l'Amérique.

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Kim Osbøl - Copenhague Danemark sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Le co-fondateur d'une société d'investissement de premier plan prévient que la pénurie mondiale d'énergie va devenir si profonde qu'elle provoquera des troubles sociaux généralisés.

    Les opérateurs de réseaux électriques mettent en garde contre des pénuries d'énergie imminentes grâce aux politiques « d'énergie propre » de Biden.

    Le co-fondateur d'une société d'investissement de premier plan prévient que la pénurie mondiale d'énergie va devenir si profonde qu'elle provoquera des troubles sociaux généralisés.

    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    Gizmodo.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-06-01-blackouts-in-north-america-loom-this-summer.html

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  13. AUTOMOBILE : LES VENTES TOUJOURS EN BAISSE, CELLES DE TESLA SONT DIVISÉES PAR 10


    par PAUL LAURENT
    01/06/2022


    Sur les cinq premiers mois de l'année 2022, le secteur automobile français a chuté de 16,92 %.

    Pour le douzième mois consécutif, la vente de voitures neuves chute en France. Au mois de mai 2022 elle a baissé de 10 % et sur un an, elle a baissé de 10,09 %.

    Tesla : une chute de 92 % sur un an

    Avec 126.813 immatriculations en France au mois de mai 2022, le secteur automobile français continue sa chute pour le douzième mois consécutif. Tous les constructeurs sont touchés par la baisse de vente de leurs véhicules neufs. Ainsi, Stellantis, le leader du marché français enregistre une baisse des ventes de 22,15 % depuis le début de l’année 2022. Volkswagen enregistre de son côté une chute de 22,12% sur la même période et le groupe Renault, une baisse de 15,45 %.

    Le groupe Tesla a de son côté enregistré une baisse de 92 % de ses ventes sur un an. Cela signifie que Tesla a vendu dix fois moins de voitures en avril 2022 qu'en avril 2021. Il s’agit de la plus forte chute qu’a enregistré le constructeur de véhicules électriques de son histoire. Cette chute est liée, comme pour tout le secteur automobile, a des soucis de logistiques et à la pénurie de semi-conducteurs. En plus de cela, en Chine, où des voitures sont produites, la reprise de l’épidémie de Covid19 freine un peu plus la production.

    De mauvais résultats pour le secteur automobile

    « Les résultats ne sont pas bons du tout. La pénurie de semi-conducteurs continue de ralentir les livraisons », indique François Roudier, le porte-parole du Comité des constructeurs français d’automobiles. Les pénuries et les incertitudes des consommateurs vis-à-vis de leur pouvoir d’achat, notamment avec la guerre en Ukraine et la hausse des prix de l’énergie, sont les premiers freins à la vente de voitures neuves en France. En temps normal, le printemps est la saison où le plus de véhicules neufs sont vendus en France.

    Depuis le début de l’année 2022, le nombre de nouvelles immatriculations a atteint 600.897, soit une baisse du marché de 16,92 %. Avec 147.161 nouvelles immatriculations entre janvier et mai 2022, la vente de véhicules utilitaires légers a chuté de près de 25 %. « On voit mal comment on pourrait reprendre les véhicules perdus au second semestre », juge François Roudier.

    http://www.economiematin.fr/news-automobile-vente-baisse-tesla-divisee-dix

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  14. L'inflation énergétique de Biden n'est pas un accident


    Par Jérôme Corsi
    1 juin 2022


    Lors d'une conférence de presse la semaine dernière après sa rencontre avec le Premier ministre Fumio Kishida au Japon, le président Biden a salué la hausse du prix de l'essence comme une étape positive vers la réalisation du rêve du Parti démocrate de promulguer le Green New Deal.

    "[Quand] il s'agit des prix du gaz, nous traversons une transition incroyable qui se produit et, si Dieu le veut, quand ce sera fini, nous serons plus forts et moins dépendants des combustibles fossiles quand ce sera fini", Biden a dit. Biden a suivi ces commentaires en faisant un clin d'œil aux millions d'Américains contraints de dépenser un pourcentage croissant de leur revenu disponible pour mettre de l'essence dans leurs véhicules.

    Selon une étude réalisée récemment par l'économiste Dr. Edward Yardeni, les familles américaines paient maintenant ce qui équivaut à 5 000 dollars par an pour mettre de l'essence dans leurs automobiles, une augmentation douloureuse par rapport à seulement 2 800 dollars il y a un an.

    Fin mai, le gallon moyen d'essence aux États-Unis a atteint un niveau record de 4,59 $, soit environ 51 % de plus qu'il y a un an. En revanche, le prix d'un gallon d'essence ordinaire sans plomb le 20 janvier 2021, le jour où le président Biden a prêté serment, était de 2,38 $/gallon.

    Les Californiens paient maintenant 6,00 $ pour un gallon d'essence, un niveau que le reste des États-Unis pourrait bientôt connaître. "Avec les attentes d'une forte demande pendant les mois d'été, le prix de détail aux États-Unis pourrait encore augmenter de 37 % d'ici août, pour atteindre une moyenne nationale de 6,20 $/gallon", prédit Natasha Kaneva, responsable de la recherche sur les matières premières chez JP Morgan.

    Le 27 mai 2022, l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA) a signalé que le prix du pétrole brut Brent (la norme mondiale) avait augmenté à 119,81 $/baril. En comparaison, le coût du pétrole brut Brent était en moyenne de 41,96 $/baril en 2020, la dernière année de l'administration Trump.

    Les prix du gaz naturel aux États-Unis ont presque triplé au cours de la dernière année dans un contexte de craintes croissantes en matière d'approvisionnement. Fin mai, les prix du gaz naturel aux États-Unis ont dépassé les 9,00 $ par million de BTU (British Thermal Units), le prix le plus élevé depuis la récession de 2008. "Il n'y a presque pas de plafond pour le gaz naturel", a expliqué Kent Bayazitoglu. « Vous pouvez réduire votre conduite beaucoup plus facilement que vous ne pouvez réduire votre consommation de gaz naturel.

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  15. Fin mai, plus d'un million de ménages de la région métropolitaine de New York avaient 60 jours de retard sur leurs factures d'énergie, avec une dette moyenne de 1 427,71 $ et des fermetures en augmentation. Les Américains de la classe moyenne sont les plus touchés par la flambée actuelle de l'inflation. "Pour la classe moyenne, une plus grande part de leur budget est consacrée à l'essence", a expliqué Peter Mueser, professeur chancelier à l'Université du Missouri qui étudie l'économie du travail.

    "Il est temps pour les Américains de se remettre au travail et de remplir nos grands centres-villes", a déclaré le président Biden dans son discours sur l'état de l'Union de 2021. Mais avec le coût de l'essence qui avoisine rapidement les 6,00 $/gallon, de nombreux Américains se demandent si la conduite pour se rendre au travail vaut l'impact marginal accru que la hausse des coûts de l'essence a sur leur revenu disponible relativement fixe.

    La déclaration de Biden au Japon a refusé de reconnaître que son administration a un lien de causalité important avec l'augmentation des prix de l'énergie aux États-Unis et dans le monde. L'administration Biden a pris une série de décisions renversant les politiques énergétiques de l'administration Trump en fermant le pipeline Keystone et en annulant les baux pétroliers et gaziers offshore dans le golfe du Mexique et en Alaska.

    L'administration Biden est en train de devenir une triste répétition des politiques économiques de l'administration Carter, comme en témoigne le retour de la stagflation de 1979 qui a entraîné le type d'inflation à deux chiffres et de croissance économique stagnante que nous constatons à nouveau aujourd'hui. L'éthanol était à la mode pendant la crise de l'embargo pétrolier de l'OPEP de Carter en 1973. Le président Carter étant entièrement d'accord avec la foule du pic pétrolier, son administration a défendu l'éthanol comme moyen pour l'Amérique d'atteindre l'indépendance énergétique. À l'opposé, sous le fort soutien du président Trump aux hydrocarbures, les États-Unis ont défié toutes les prévisions de pic pétrolier, devenant un exportateur net de pétrole et un leader mondial de la production de pétrole et de gaz naturel.

    Le 20 août 2019, l'Energy Information Administration (EIA), l'agence statistique du Département américain de l'énergie, a annoncé que les États-Unis avaient établi de nouveaux records de production, la production américaine de pétrole et de gaz naturel ayant augmenté en 2018 de 16 % et 12 %. , respectivement. L'EIA a en outre annoncé que les États-Unis avaient dépassé la Russie en 2011 pour devenir le plus grand producteur de gaz naturel au monde et dépassé l'Arabie saoudite en 2018 pour devenir le plus grand producteur de pétrole au monde. Le rapport de l'EIA a noté que l'augmentation de 2018 aux États-Unis, qui a explosé sous l'administration Trump, constituait "l'une des plus importantes augmentations absolues de la production de pétrole et de gaz naturel d'un seul pays de l'histoire".

    Dans son livre récemment publié en 2022, Fossil Future: Why Global Human Flourishing Requires More Oil, Coal, and Natural Gas – Not Less, l'expert en énergie Alan Epstein souligne que la «sauce secrète» derrière l'exceptionnelle rentabilité des combustibles fossiles est «des générations d'innovation et de réalisation économiques spécifiquement appliquées aux attributs remarquables des combustibles fossiles : stockage naturel, concentration naturelle et abondance naturelle. 1/

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  16. Supposons que nous disposions d'une batterie de la taille d'une batterie de lampe de poche capable de stocker suffisamment d'énergie solaire pour éclairer une ville. Si une technologie solaire aussi puissante existait, le monde entier abandonnerait instantanément les hydrocarbures pour passer à ces nouvelles et puissantes batteries solaires.

    Supposons que nous disposions d'un dispositif de stockage d'énergie éolienne tout aussi puissant. Supposons que dix éoliennes placées à quelques kilomètres à l'extérieur d'une zone métropolitaine puissent fournir toute l'électricité dont la ville et la banlieue ont besoin pendant une semaine, que le vent souffle ou non. Encore une fois, une puissante capacité d'énergie éolienne délogerait les hydrocarbures de leur position actuelle en tant que choix énergétique préféré dans le monde.

    La physique de l'énergie solaire et éolienne limite cependant leur utilité. Le soleil ne brille pas dans le ciel la nuit et l'équinoxe, deux fois par an, marque le point où un jour dure douze heures et la nuit se produit pendant douze heures dans les hémisphères nord et sud. Comme pour tous les autres composants des systèmes météorologiques et climatiques de la Terre, le vent est également variable.

    Les appareils éoliens et solaires ne captent aucune énergie lorsque le vent ne souffle pas et que le soleil ne brille pas. La technologie actuelle de production et de stockage de l'énergie solaire et éolienne est limitée. L'installation de dispositifs de captage d'énergie solaire et éolienne nécessite d'énormes installations qui occupent de vastes territoires.

    Le coût de la fourniture d'une sauvegarde ou d'un stockage suffisant pour faire fonctionner un réseau électrique stable à partir d'énergie éolienne ou solaire pourrait multiplier le coût de production d'électricité par un facteur de cinq ou plus, compte tenu du problème d'intermittence. L'intermittence est un problème inhérent à l'énergie éolienne et solaire. La production d'énergie éolienne et solaire fluctue énormément entre le jour et la nuit en raison des variations saisonnières et des événements météorologiques. Alors que les technologies éoliennes et solaires progressent, la capacité de créer une puissante batterie éolienne ou solaire de la taille d'une batterie de lampe de poche n'est nulle part à l'horizon. Aujourd'hui, l'énergie solaire et éolienne n'a pas l'évolutivité nécessaire pour fournir une production d'électricité fiable et à grande échelle capable de fournir de l'énergie 24h/24 et 7j/7 aux grandes zones métropolitaines du monde.

    Alors que l'administration Biden est déterminée à imposer le Green New Deal aux Américains par le biais d'une série de décisions exécutives et d'actions réglementaires visant à limiter l'approvisionnement en hydrocarbures, la conclusion inéluctable est qu'une inflation à deux chiffres qui inclut une augmentation prohibitive des coûts énergétiques est un suicide politique. . L'échec de Jimmy Carter à mettre fin à la stagflation a inauguré l'ère de Paul Volker et a considérablement augmenté les taux d'intérêt, ouvrant la voie à la présidence de Ronald Reagan.

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  17. Les démocrates « réveillés » qui contrôlent la Maison Blanche et la Chambre des représentants répètent l'erreur de Carter. Biden à la Maison Blanche et Pelosi à la Chambre risquent de conserver le pouvoir politique dans leur détermination aveugle à poursuivre une idéologie radicalement verte fondée davantage sur leurs sentiments anticapitalistes que sur les réalités empiriques complexes de la physique et de l'économie de l'énergie.
    ____________

    1/ Alex Epstein, Fossil Future: Why Global Human Flourishing Requires More Oil, Coal, and Natural Gas – Not Less (New York: Portfolio, an imprint of Penguin Random House LLC, 2022), p. 198 (emphasis in original).

    Since 2004, Jerome R. Corsi has published 25 books on economics, history, and politics, including two #1 New York Times bestsellers. In 1972, he received his Ph.D. from the Department of Government at Harvard University. He currently resides in New Jersey with his family. His next book, entitled The Truth About Energy, Global Warming, and Climate Change: Exposing Climate Lies in an Age of Disinformation, will be published on June 28, 2022.

    https://www.americanthinker.com/articles/2022/06/bidens_energy_inflation_is_no_accident.html

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  18. Les grandes questions que nous devrions tous nous poser géopolitiquement


    Par Tom Luongo
    Chèvres et fusils d'or
    2 juin 2022


    Dire que l'actualité est "désordonnée" aujourd'hui serait le comble de l'euphémisme. Chaque jour, les gros titres nous lancent un nouvel ensemble de points de données contradictoires nous convainquant d'un mensonge qui sert le but de quelqu'un.

    Peu importe à quel point nous essayons de suivre les choses, éliminer les superflus pour trouver les pépites de signal de la jungle du bruit est plus qu'un travail à plein temps.

    Parfois, cependant, il vaut mieux faire quelques pas en arrière, se rabattre sur les principes de base et se rappeler qui sont les joueurs, ce qu'ils veulent et ensuite poser la grande question à chacun d'entre eux… réussissent-ils ?

    Mais même pour poser cette question, nous devons nous poser honnêtement la question suivante :

    « Que seront-ils prêts à faire pour survivre dans les circonstances actuelles ? »

    C'est la question la plus inconfortable que vous puissiez poser à quelqu'un. Que feriez-vous pour survivre ? Pour protéger votre famille ? Ta position? Votre conception de vous-même ?

    La moralité de chacun a des limites. Tout le monde. Tout le monde a une ombre, un côté obscur, un endroit où il se retire dans son moi hobbesien et voit le monde uniquement en termes de "guerre de tous contre tous". .

    Ceux qui revendiquent toujours la haute moralité, qui sont toujours "les bons!" sont ceux sans limites sur leur comportement. Comme l'a proclamé le grand H.L. Mencken il y a près de 70 ans :

    L'envie de sauver l'humanité n'est presque toujours qu'un faux visage pour l'envie de la gouverner. Le pouvoir est ce que tous les messies recherchent vraiment : pas la chance de servir. Cela est vrai même des frères pieux qui portent l'évangile à l'étranger.

    C'est dans ce contexte que nous devons poser cette question : « Que feront-ils ? »

    Bien sûr, la réponse est: "Tout ce qu'ils doivent."

    C'est pourquoi je n'exclus jamais rien dans mon analyse. C'est pourquoi je suis toujours prêt à sauter cinq ou six pas en avant pour le grand déménagement, car c'est la limite du comportement du groupe étudié. Aujourd'hui c'est peut-être Davos, demain c'est peut-être la Fed, après-demain c'est la Russie.

    Ils ont tous un état final préféré, une solution à leur équation personnelle, avec leur propre ensemble de variables d'entrée. Pour moi, je vois cela comme un ensemble d'équations différentielles à résoudre. Nous voulons tous qu'ils se réduisent à un ensemble de résultats qui laisseront quelqu'un plus proche de son résultat préféré.

    Et la partie effrayante pour nous tous devrait être de réaliser que non seulement il n'y a pas un seul ensemble de résultats ici où tout le monde est maximisé, mais il n'y a même pas de condition « gagnant/perdant » ici.

    Il n'y a que des perdants, nous.

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  19. Parce que la première règle de toute organisation est l'auto-survie. Jetez les déclarations de mission, le bloviating d'entreprise et la signalisation de la vertu des RH dans le feu de la benne à ordures. Au bout du compte, tout ce qui compte, c'est la survie. Ce n'est que lorsque cela est aussi sûr que possible qu'une organisation peut commencer à penser au-delà de son cerveau de lézard collectif.

    Pas différent de toi ou moi. Et à ce stade, chaque faction majeure a été réduite à cela, leur horizon d'événements est juste hors de portée, s'efforçant d'y parvenir presque à moitié…. Là!

    Mais, comme le paradoxe de Xeno ne l'atteint jamais parce qu'il n'a jamais été réalisable en premier lieu.

    Ce que je crains plus que toute autre chose, ce que je vois chez trop de gens qui analysent l'intersection de la géopolitique, des marchés et de l'idéologie, c'est la complaisance. Il y a une quantité étonnante de biais de normalité dans la punditocratie, trop de "têtes plus froides prévaudront" et pas assez "tout le monde a un plan jusqu'à ce qu'il soit frappé à la bouche".

    Alors, quand vous pensez à Davos et à leurs objectifs déclarés pour la Grande Réinitialisation et sauver le monde du changement climatique, pensez-vous vraiment qu'il y a une limite à leur comportement ?

    Croyez-vous vraiment qu'ils ne déclencheraient pas une guerre nucléaire, ne déclencheraient pas une peste virulente, ne concevraient pas un remède pire que la maladie, ne créeraient pas une fusillade de masse sous fausse bannière dans une école ou divulgueraient un avis de la Cour suprême ?

    Quand on pense à la Réserve fédérale dans le contexte d'un assaut sans précédent contre son autonomie et les intérêts des banques commerciales qu'elle a été créée pour protéger, pensez-vous vraiment aujourd'hui, à ce moment précis, qu'elle n'engendrerait pas un effondrement économique pour se sauver d'un autre groupe (disons Davos) de le détruire ?

    Donc, tout le monde pontifie sur le fait que la Fed n'a qu'une ou deux hausses de taux supplémentaires parce que c'est ce que disent les modèles, c'est ce que le comportement passé de la Fed leur dit soi-disant, que direz-vous à vos clients lorsque la Fed augmentera cette quatrième fois de 50 points de base. Ou accélère le taux d'exécution de QT à 125 milliards de dollars par mois et permet au billet américain à 10 ans de monter à 6 % ? 8 % ? 10 % ?

    Allez-vous hausser les épaules et dire: "Euh, désolé mon mauvais."

    Face à la perspective d'une Ukraine réarmée nucléaire au lit avec des idéologues néoconservateurs au Congrès et le Département d'État américain attaché à une vision singulière de l'hégémonie pour la planète, la Russie ne mènerait-elle pas une guerre d'usure vicieuse en utilisant des tactiques d'artillerie de la Seconde Guerre mondiale ? broyer leurs adversaires en bouillie tout en s'engageant sinistrement à leur éradication ?

    Qu'en est-il des dirigeants du Congrès en phase terminale de corruption et de faillite morale de Capitol Hill qui se sont enrichis personnellement et ont tissé un immense réseau de conneries si vaste et encombrant que nous pouvons à peine suivre même les détails au niveau de la surface ?

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  20. Ne feraient-ils rien pour empêcher leur méfait de se libérer du confinement du déni plausible qui est la véritable monnaie du royaume à D.C. ?

    Aujourd'hui, le président nouvellement confirmé du FOMC, Jerome Powell, a été convoqué par le président Select Biden à la Maison Blanche pour discuter de l'économie. Biden et les démocrates ont une peur bleue de cette chute. Biden veut évidemment que Powell arrête les taux de hausse. Les démocrates ne veulent perdre que 40 sièges à la Chambre en novembre.

    C'est toute l'infrastructure de fraude électorale pour laquelle l'argent de George Soros paie.

    Powell a à peine commencé le cycle de resserrement et ces gens sont sans vergogne, après avoir retardé sa confirmation pendant un an, après avoir joué la politique de puissance la plus flagrante de l'histoire de la Fed, convoquant Powell comme un chien à la Maison Blanche et disant: «Ne nuire à nos chances cet automne.

    Si je suis Powell, je souris comme le chat du Cheshire avant de disparaître dans les entrailles du bâtiment Marriner-Eccles et d'envisager une augmentation de 75 points de base juste pour le lulz.

    Ou il pourrait voir son ombre, avoir peur et passer un marché. Mais à ce stade avec qui ? Avec qui concluez-vous un marché ? Obligataires ? Davos ? Biden ? Qui?

    Sérieusement, c'est à quoi notre politique est réduite par ces imbéciles vénaux contrôlés par Davos ? Et il y a des gens qui s'engagent encore dans la pensée one-sigma ?

    Je vous dis depuis un an que personne ne pose les bonnes questions sur ce que la Fed est prête à faire, pas seulement pour se sauver, mais peut-être l'objectif beaucoup plus large de briser les gens qui brisent intentionnellement le monde pour leur propre compte. bénéficier à.

    Trop de gens ne peuvent pas dépasser le budget ou les numéros de reçus fiscaux. Les marchés obligataires ? Des actions ? La Fed ne pourrait pas brûler tout cela, n'est-ce pas ? Ceux qui ne veulent pas poser cette question sérieusement sont ceux qui continuent de détourner le regard de l'Abîme parce que l'Abîme regarde en arrière.

    Ils refusent de contempler ce qui se passe lorsque l'état du plateau est si foutu, lorsque la tour Jenga est si fragile, que le seul coup gagnant est de pousser la table et de la regarder s'effondrer.

    La Fed a examiné cet abîme dans le passé et ils ont toujours hésité, mais c'était quand il était encore temps. Mais Davos nous a poussés au bord de l'effondrement de la société à travers l'Occident, il a même refusé d'envisager qu'ils sont l'abîme et à cause de cela, la Fed pourrait regarder le choix héroïque de se lancer et de nous laisser ramasser les morceaux.

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  21. La question que j'ai pour vous est alors simple : « Qu'êtes-vous prêt à devenir si cela se produit ? »

    Nous savons déjà ce que font les grands joueurs.

    Reprinted with permission from Gold Goats ‘n Guns.

    https://www.lewrockwell.com/2022/06/thomas-luongo/the-big-questions-we-should-all-be-asking-geopolitically/

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    1. Que faut-il avoir dans la tête pour protéger des criminels ?
      C'est TOUS LES JOURS que sont rapportées des informations vérifiées que des criminels parlent d'anéantir notre planète ! Essayez vous-mêmes de faire pareil ! Descendez dans la rue et criez qu'il faut tuer 7 milliards d'habitants ! Vous serez arrêté et interné. Mais, quand cette même revendication se passe dans un tripot de Davos où fomentent, complotent les pires criminels de la planète, là, la Suisse affiche sa neutralité !!! et ne dit rien !!! (après son soutien à l'armée nazie ukrainienne !

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  22. Les grands serpents de réinitialisation se rassemblent à Davos


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    2 juin 2022


    - voir clip sur site -

    Dans la vidéo ci-dessus, qui fait partie d'une série documentaire plus large "Great Reset", Rebel News met en lumière les origines du Forum économique mondial1 (WEF), de son fondateur Klaus Schwab et d'autres acteurs clés, ainsi que le rôle central du WEF dans The Great Reset, qui promet (lire : menace) de bouleverser la société et la vie telles que nous les connaissons d'une manière difficile à imaginer.

    En résumé, The Great Reset implique la démolition et la refonte radicale de plusieurs piliers imbriqués de la civilisation : la technologie, la société, l'économie, l'environnement et la géopolitique. L'alimentation et la santé entrent également dans ces catégories. En contrôlant ces piliers fondamentaux, le WEF et ses alliés mondialistes entendent prendre le contrôle de toutes les nations du monde et centraliser tout le pouvoir et la richesse.

    Le plan du WEF

    Comme l'a noté Rebel News, le WEF est une organisation qui profite de la famine et de la maladie ; il utilise les tragédies et la peur pour faire avancer son propre programme - "celui qui dicte ce que vous mangez, ce que vous possédez, ce que vous pensez, sous le couvert d'un 'avenir durable'."

    Selon le WEF, le capitalisme est mort et nous ne pouvons plus permettre les marchés libres. Au lieu de cela, nous avons besoin d'une gouvernance descendante, un Nouvel Ordre Mondial, qui peut assurer une distribution « juste et équitable » des ressources en diminution, y compris l'énergie et la nourriture. Ce qu'ils disent vraiment, cependant, c'est que les gens qui seront bientôt inutiles engloutissent "leurs" ressources. Ils nous voient - vous et moi - comme une menace existentielle pour leur style de vie luxueux.

    Ainsi, leur plan vieux de plusieurs décennies est de prendre le contrôle de tout cela, de transférer toute la richesse et la propriété privée entre leurs propres mains et de contrôler de manière centralisée qui obtient quoi et quand. Il est important de réaliser que cette cabale dirigée par le WEF croit aux principes transhumanistes et technocratiques.

    Qu'est-ce que la technocratie ?

    La technocratie est à la base un système économique, pas politique. Cependant, c'est totalement contre nature et nécessite donc également des moyens contre nature pour le maintenir. Plutôt que d'être basée sur des mécanismes de tarification communs tels que l'offre et la demande ou le libre-échange, l'économie de la technocratie est basée sur les ressources énergétiques, qui dictent ensuite les types de produits fabriqués, achetés, vendus et consommés.

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  23. Le système technocratique nécessite une surveillance étendue et des technologies basées sur l'intelligence artificielle pour garder tout le monde sous contrôle.
    Essentiellement, l'énergie remplace le concept de l'argent en tant que marchandise. C'est assez étrange, mais ça devient encore plus étrange. La technocratie, qui a émergé dans les années 1930 au plus fort de la Grande Dépression, dont les cerveaux étaient des scientifiques et des ingénieurs, nécessite également une ingénierie sociale pour fonctionner.

    Si les gens sont autorisés à faire ce qu'ils veulent, la demande des consommateurs stimule en fin de compte le commerce, mais cela ne volera pas dans une économie technocratique. Au lieu de cela, les consommateurs doivent être dirigés, parqués si vous voulez, pour consommer ce dont le système a besoin qu'ils consomment, et pour que cela se produise, ils doivent subir plus ou moins un lavage de cerveau. En conséquence, le système technocratique nécessite une surveillance étendue et des technologies basées sur l'intelligence artificielle pour garder tout le monde sous contrôle.

    Comprendre l'esprit des technocrates

    Comme Schwab lui-même l'a déclaré à de nombreuses reprises, ils veulent une société dans laquelle les humains fusionnent avec la machine et l'intelligence artificielle (IA). Ils attendent avec impatience l'extrême longévité, sinon l'immortalité par des moyens technologiques.

    Ils n'accordent aucune valeur aux idées spirituelles telles que la survie de l'âme. Ils ne croient pas à la non-localité de la conscience. S'ils le faisaient, ils ne croiraient pas que la conscience puisse simplement être téléchargée dans un corps synthétique. Ils croient que, grâce à la technologie et à l'IA, ils seront en mesure de remplacer Dieu et l'ordre naturel par des formes de vie réorganisées de leur propre création, y compris une humanité réorganisée.

    Ils croient en fait qu'ils sont meilleurs, plus évolués que le reste d'entre nous, et cette supériorité leur donne le droit de décider du sort de l'humanité. Ils rejettent également la notion de libre arbitre.2 Une fois que vous comprenez cet état d'esprit de base, il est plus facile de comprendre pourquoi ils n'hésitent pas à vous priver de votre liberté et de votre capacité à faire des choix par vous-même. Comme le note Tessa Lena dans « The Mind of a Technocrat : What Drives Them ? (Ce qui les motive) » :

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  24. « Pour un technocrate, un être humain est une machine imparfaite, un humble sac à viande qui est actionné par un logiciel, qui est produit par le cerveau. La compréhension de la vie du technocrate est basée sur une vision linéaire très primitive ; c'est vide de mystère spirituel...

    La force motrice de l'esprit d'un technocrate est le besoin émotionnel dominant d'un contrôle total, combiné à une méfiance envers les autres en général. Ils cherchent apparemment à compenser leur pauvreté émotionnelle. (En d'autres termes, il n'y a aucune raison d'admirer leurs succès car leurs succès sont basés sur le vol du droit d'autrui au libre arbitre.)

    Le désir des technocrates de contrôler pleinement leur environnement est motivé par l'anxiété. Ils ne supportent tout simplement pas le sentiment d'incertitude qui accompagne le fait de laisser les choix subjectifs des autres jouer n'importe quel rôle. Ils ne font pas confiance aux autres pour faire ce qu'il faut, tout comme un parent très névrosé ne fait pas confiance à la capacité de son enfant à choisir judicieusement sans supervision - mais beaucoup moins avec bienveillance.

    Leur désir de contrôle est intensément névrotique. Ils sont assis sur des aiguilles, pour ainsi dire (un idiome russe et un jeu de mots à la lumière d'aujourd'hui) - et afin d'atténuer leur anxiété, ils ont recours à la mise en œuvre de leurs ambitions de contrôle...

    Les technocrates peuvent penser qu'ils sont la crème de la crème. Ils peuvent penser que leur brillante vision est bonne pour le monde. Mais qu'ils se croient être les gentils ou les méchants, leur soif de contrôle total est une expression pathologique et anxiogène. Ils ne supportent pas d'être dépendants du libre arbitre des autres, et ils aspirent donc à l'écraser, ce qui n'est pas existentiellement juste.

    Réunion annuelle à Davos

    Chaque année, le WEF tient une réunion à Davos, en Suisse. Des milliers de déménageurs et de secoueurs mondiaux volent à bord de jets privés pour décider de la meilleure façon d'empêcher la classe ouvrière de conduire des voitures à essence, de chauffer leurs maisons et de manger de la viande. Est-ce que quelqu'un croit encore qu'un groupe d'« élites » milliardaires peut rendre la vie « juste et équitable » pour tout le monde ?

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  25. Parmi les participants figurent des dirigeants d'entreprises, des banquiers et des financiers, des chefs d'État, des ministres des finances et du commerce, des banquiers centraux, des décideurs, des dirigeants d'organisations internationales telles que le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale, l'Organisation mondiale du commerce, la Banque de Règlements internationaux, les Nations Unies et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

    De nombreux universitaires, économistes, politologues, journalistes, élites culturelles et célébrités sont également invités.

    La réunion de cette année a eu lieu du 22 au 26 mai.3 Le premier jour, les participants ont eu droit à une expérience immersive du métaverse dans leur propre avatar numérique. Essentiellement, c'est là qu'ils veulent amener les masses humaines - dans une réalité numérique où la jouissance des ressources n'implique pas l'utilisation réelle des ressources du monde réel. Par exemple, plutôt que d'acheter des vêtements pour votre corps biologique, vous dépenserez de la monnaie numérique dans une garde-robe pour votre avatar numérique.

    Le jour 2 comprenait une discussion sur la manière dont les entreprises manufacturières peuvent accélérer leur mise en œuvre de l'automatisation. L'idée est de remplacer la majeure partie de la main-d'œuvre humaine par la robotique et l'IA. Comme on peut s'y attendre, cela rendra de grandes parties de l'humanité superflues et "inutiles". Que faire de tout cela ? Le professeur Yuval Noah Harari, un conseiller de Schwab, a déclaré qu'il pensait que la réponse serait une combinaison de "drogues et de jeux vidéo".4

    Les nantis et les démunis parmi les journalistes

    Parmi les journalistes invités à la réunion de 2022 figurait la rédactrice en chef du New York Times, Rebecca Blumenstein. La journaliste de Rebel News, Avi Yemini, a confronté Blumenstein à Davos (vidéo ci-dessus), demandant comment le public est censé faire confiance aux reportages du NYT sur l'événement lorsqu'elle est invitée. Blumenstein a refusé de répondre à la question, renforçant ainsi l'impression qu'elle n'est vraiment pas là en tant que journaliste indépendante. Elle fait partie de l'événement. Elle fait partie du club.

    Une preuve supplémentaire que tous les journalistes ne sont pas égaux a été mise en évidence par la tentative de policiers armés du WEF d'arrêter le journaliste conservateur Jack Posobiec (vidéo ci-dessous)5. Lorsque d'autres journalistes se sont impliqués et ont commencé à filmer et à poser des questions, la police a décollé. Le fait que le WEF ait SA PROPRE force de police devrait être un signal d'alarme. De toute évidence, ils sont bien plus qu'une simple organisation non gouvernementale (ONG) de plus.

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  26. Le développement durable, c'est la technocratie

    De nombreux termes dont nous avons de plus en plus entendu parler ces dernières années font référence à la technocratie sous un nom différent. Les exemples incluent le développement durable, l'Agenda 21, l'Agenda 2030, le Nouvel Agenda Urbain, l'économie verte, le nouveau pacte vert et le mouvement contre le changement climatique en général.

    Ils font tous référence et font partie de la technocratie et de l'économie basée sur les ressources. D'autres termes synonymes de technocratie incluent la Grande Réinitialisation6, la Quatrième Révolution Industrielle7 et le slogan Reconstruire en mieux8. L'Accord de Paris sur le climat fait également partie intégrante de l'agenda technocratique.

    L'objectif commun de tous ces mouvements et programmes est de capturer toutes les ressources du monde - leur propriété - pour un petit groupe d'élite mondial qui a le savoir-faire pour programmer les systèmes informatiques qui dicteront finalement la vie de tout le monde. . C'est vraiment la forme ultime du totalitarisme.

    Lorsqu'ils parlent de « redistribution des richesses », ils font en réalité référence à la redistribution des ressources de nous à eux. Le WEF a annoncé publiquement que d'ici 2030, vous ne posséderez rien. Tout ce dont vous avez besoin, vous le louerez – d'eux – et les facteurs déterminants pour ce que vous êtes autorisé à louer comprendront des éléments tels que vos crédits carbone et votre score de crédit social.

    Fini le temps de travailler une journée, de recevoir un chèque de paie et de le dépenser à sa guise. Non, la monnaie numérique sera programmable, afin que l'émetteur puisse décider quand et sur quoi vous pouvez la dépenser, en fonction des données de votre identité numérique. Tout cela sera automatisé et géré par l'IA, bien sûr, donc il n'y aura personne à qui se plaindre.

    En quoi consiste la révolution verte

    Bien que « passer au vert » semble être la bonne chose à faire, il devient impératif pour les gens de comprendre en quoi consiste vraiment le programme vert. Aussi choquant que cela puisse paraître, le programme vert a été inventé, fabriqué, par le Club de Rome (un groupe de réflexion scientifique allié au WEF) pour justifier un programme de dépopulation.9

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  27. Le besoin de contrôle de la population est décrit dans le livre de 1972, « The Limits to Growth »,10 qui prévenait que « si les modes de consommation et la croissance démographique du monde continuaient aux mêmes taux élevés de l'époque, la terre atteindrait ses limites en un temps record ». siècle."

    Puis, dans le livre de 1991, « La première révolution mondiale 11 », le Club de Rome a soutenu que les politiques de dépopulation pourraient gagner un large soutien si elles pouvaient être liées à une lutte existentielle contre un ennemi commun. Un extrait de « La première révolution mondiale » se lit comme suit :12

    "En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, nous avons eu l'idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d'eau, la famine, etc., feraient l'affaire."

    Donc, en clair, le résultat escompté du « passage au vert » est le dépeuplement. Cette intention devient enfin visible lorsque l'on considère les implications de l'élimination de la production de pétrole et de gaz sans avoir mis en place d'alternatives viables, ce que Biden et d'autres leaders mondiaux sont en train de faire.

    Non seulement vous avez besoin de pétrole pour fabriquer des engrais, mais nous n'avons pas non plus d'équipement agricole pouvant fonctionner à l'énergie solaire ou éolienne. Ainsi, la production alimentaire est essentiellement à l'arrêt. Les machines de construction lourdes ne peuvent pas non plus fonctionner avec ces sources d'énergie alternatives, alors il y a les entreprises d'infrastructure et de construction de maisons.

    Pour beaucoup, il semble que ces leaders mondiaux agissent par ignorance, mais il est tout à fait possible que leurs actions soient intentionnelles. C'est juste que personne ne veut considérer que l'intention est de nuire au plus grand nombre de personnes possible - de débarrasser réellement la planète des personnes qui seront bientôt "inutiles".

    Il peut être assez effrayant de réaliser que le récit de la menace du changement climatique a été concocté à la fin des années 1980 dans le seul but de pouvoir mettre en œuvre un programme mondial de dépopulation sans susciter une résistance excessive. Mais le dépeuplement et l'eugénisme sont au cœur de ce que le WEF et ses alliés tentent de réaliser.

    Le WEF admet même qu'ils utilisent le « plan d'urgence planétaire » du Club de Rome pour fournir « une nouvelle boussole à suivre pour les nations ».13 Ainsi, le WEF et ses nations alliées suivent tous un plan dont le dépeuplement est une intention avouée. résultat final.

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  28. Phase 2 de la grande réinitialisation : la guerre

    Comme je l'ai expliqué dans « Phase 2 de la grande réinitialisation : la guerre », les tambours de guerre font également partie intégrante du plan de la grande réinitialisation. Pourquoi? Parce que la guerre accélérera l'effondrement économique nécessaire avant que les nations puissent « reconstruire en mieux ».14 Le conflit entre la Russie et l'Ukraine contribue à catalyser la grande réinitialisation de différentes manières.

    Pour commencer, les chaînes d'approvisionnement de toutes sortes sont perturbées à un niveau et à un rythme sans précédent par la guerre entre la Russie et l'Ukraine. Les pénuries de carburant et l'inflation décollent également. Les tensions géopolitiques peuvent également déclencher la stagflation, une situation économique dans laquelle les taux d'inflation et de chômage sont élevés tandis que la croissance économique ralentit.15

    C'est un dilemme précaire pour la politique économique, car les stratégies qui aident à réduire l'inflation peuvent également aggraver le chômage. Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans l'article de Conversation du 10 mars 2022, « Pourquoi la stagflation est un cauchemar économique ».16

    Le résultat final est une dépendance accrue à l'égard des subventions gouvernementales, et c'est un objectif clair de The Great Reset. Le revenu de base universel est une stratégie planifiée qui créera une dépendance. Cela garantira également que nous sommes tous également pauvres et incapables de menacer leur monopole sur le pouvoir et la richesse.

    La pauvreté universelle est vraiment ce qu'ils veulent dire quand ils parlent de rendre le monde « juste et équitable ». Personne n'aura rien. Tout le monde sera également pauvre et dépendant, sans espoir de pouvoir jamais s'élever dans la classe technocratique « d'élite ».

    La guerre en Ukraine réduit également la dépendance de l'Europe vis-à-vis de l'énergie russe, renforçant ainsi l'urgence des objectifs de développement durable des Nations Unies. Parallèlement à The Great Reset, les décideurs politiques du monde entier utilisent les sanctions contre le secteur énergétique russe pour accélérer la transition vers l'énergie «verte», dont je viens de parler.

    La décision de la Russie de bloquer les exportations d'engrais et de cultures vivrières en réponse à sa suppression du système Swift créera également des pénuries alimentaires, ce qui s'inscrit également dans le cadre du plan Great Reset. Au cours des dernières années, des leaders de Great Reset comme Bill Gates nous ont exhortés à arrêter de manger de la vraie viande et à passer à la place à de la viande synthétique cultivée en laboratoire.

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  29. Rendre les gens dépendants des aliments synthétiques brevetés profitera aux mondialistes à plus d'un titre. Les gens tomberont plus malades et donc plus dépendants de l'aide gouvernementale. Ils seront dépendants de la nourriture produite par des monopoles et donc plus faciles à contrôler. Et, au fil du temps, à mesure que les gens oublient comment cultiver et produire de la nourriture, la capacité de contrôler la population mondiale augmentera.

    En plus de tout cela, les médias brassent les eaux avec la peur du monkeypox - juste à temps pour la poussée visant à abandonner la souveraineté nationale à l'Organisation mondiale de la santé, qui est également alliée au WEF.

    En conclusion, le rapport de Michael Osterholm sur la réunion de Davos de 2010, qui était enflammé de discussions sur la planification de la pandémie, après avoir traversé la pandémie de grippe porcine de 2009/2010, est assez révélateur. Il y a toutes ces années, il écrivait :17

    « J'ai beaucoup appris à Davos, mais j'ai été troublé par le manque total d'attention à des questions aussi critiques que :

    Comment protéger les chaînes d'approvisionnement mondiales lorsque nous sommes confrontés à une autre pandémie inévitable qui pourrait entraîner une maladie grave et généralisée ? …
    Comment pouvons-nous tirer les leçons que nous avons tirées de notre expérience avec le H1N1 et les intégrer dans nos organisations afin qu'elles ne soient pas oubliées ?
    Au lieu de cela, la teneur des conversations à Davos portait sur la mondialisation… »

    Il y a douze ans, les milliardaires, banquiers et chefs d'État de Davos ont eu l'occasion de prouver qu'ils étaient capables de diriger ce vaisseau terrestre. Mais après la pandémie de grippe porcine, ils n'ont pas résolu les problèmes qui étaient devenus apparents.

    Ils n'ont pas résolu les problèmes de chaîne d'approvisionnement, et nous avons eu les mêmes problèmes, mais pires, lorsque COVID est arrivé. La seule chose qu'ils ont résolue était de faire taire les critiques. À l'époque, on parlait que «les têtes devraient rouler» en raison de la mauvaise gestion de la pandémie.

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  30. Eh bien, aucune tête n'a roulé. Tout est resté le même, et maintenant nous avons traversé deux années de la pire mauvaise gestion pandémique imaginable. Désormais, la cabale mondialiste fait pression pour que l'OMS inepte devienne le seul décideur en cas de pandémie, ce que l'OMS pourrait déclarer à volonté, sur la base de ses propres définitions. Nous sommes à un carrefour très dangereux.

    Nous devons cependant nous rappeler que le sort du monde n'appartient pas à Schwab et à la foule de Davos. C'est le notre. Si nous ne résistons pas à leurs plans, nous avons fait le choix d'accepter leur version du futur.

    Sources and References

    1 TNI.org WEF History
    2 The Guardian September 14, 2018
    3 WEF Program 2022
    4 YouTube April 13, 2022
    5 Washington Examiner May 23, 2022
    6 Technocracy.news June 25, 2020
    7 Gov.uk The Fourth Industrial Revolution
    8 UN.org April 22, 2020
    9, 12 Unlimited Hangout February 20, 2021
    10 Club of Rome, The Limits to Growth
    11 Club of Rome, The First Global Revolution
    13 Weforum.org January 13, 2020
    14 Winter Oak March 9, 2022
    15, 16 The Conversation March 10, 2022
    17 Cidrap February 4, 2010

    https://www.lewrockwell.com/2022/06/joseph-mercola/the-great-reset-snakes-are-slithering-together-in-davos/

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    1. Alors, pourquoi faire confiance, écouter ces malades ? Nous sommes toutes & tous les seuls médecins qui peuvent intervenir. Nous avons compris leur maladie et le danger que nous courrons de les laisser en liberté. Qu'ils soient 'asymptomatiques' ou pas ce sont des criminels, des gens sortis d'écoles du crime, des victimes de pédérastes devenues elles-mêmes des zombies-pédérastes, des faibles d'esprit, des personnes dangereuses, hyper-dangereuses qui n'ont plus rien à perdre puisqu'elles n'ont rien en tête.

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  31. Les crises alimentaires, énergétiques et d'inflation découlent toutes de politiques mondialistes


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 02 JUIN 2022 - 13:32
    Écrit par Patricia Adams et Lawrence Solomon via The Epoch Times,


    Les élites mondiales ont quitté Davos la semaine dernière après avoir cherché des solutions aux crises profondes auxquelles le monde est confronté. Ils sont partis comme ils sont arrivés, ignorant que les crises sont entièrement de leur fait.

    Prenez l'énergie, où les pénuries ont entraîné les prix de l'essence les plus élevés de l'histoire des États-Unis et du Royaume-Uni et la pauvreté énergétique qui touche des millions de personnes. Sans le spectre du changement climatique - pendant des décennies l'une des préoccupations centrales des mondialistes - la situation énergétique mondiale serait radicalement différente.

    Les sables bitumineux du Canada n'auraient pas été diabolisés et le pays aurait construit le pipeline Keystone XL et d'autres pipelines pour transporter des quantités toujours plus importantes d'énergie à travers le continent et au-delà.

    Des installations de gaz naturel liquéfié sur les côtes atlantique et pacifique de l'Asie, des Amériques et de l'Europe auraient été construites pour expédier et recevoir du gaz naturel en abondance.

    Les politiques « Net Zero » ne paralyseraient pas le financement de nouvelles installations de combustibles fossiles. Les taxes sur le carbone ne rendraient pas l'énergie de plus en plus chère.

    De la même manière que les États-Unis sont rapidement devenus le plus grand exportateur mondial de pétrole et de gaz une fois que l'administration Trump a réduit la réglementation paralysante liée au climat, l'Europe aurait été inondée d'énergie si les interdictions de fracturation hydraulique et de développement de combustibles fossiles offshore avaient été levées pour permettre développement de ses immenses réserves de pétrole et de gaz. Au lieu de la précarité énergétique, l'Europe connaîtrait l'abondance de carburant.

    Les mondialistes qui poussent les politiques sur le changement climatique nous disent qu'il n'y a pas d'autre choix si la planète doit être sauvée de la catastrophe dans plusieurs décennies, voire des siècles. Ce qu'ils ne nous disent pas, c'est que leurs prophéties de malheur sont basées sur des modèles climatiques informatiques, qui se sont tous révélés faux à ce jour.

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  32. Pas une seule affirmation – que les calottes glaciaires de l'Arctique fondraient, que les populations d'ours polaires diminueraient ou que les tornades augmenteraient – ​​ne s'est concrétisée. Des personnes raisonnables peuvent se demander si les prophéties de malheur se matérialiseront dans le futur. Les personnes raisonnables ne peuvent pas contester que les décisions passées des mondialistes de passer outre le marché libre ont créé la crise énergétique actuelle.

    Malgré les politiques des mondialistes en matière de changement climatique, le dioxyde de carbone dans l'atmosphère - maintenant à 400 parties par million - a atteint des niveaux record. Cela a été une aubaine pour la planète car le CO2, également connu sous le nom d'engrais naturel, a produit une abondance de récoltes exceptionnelles. L'Australie rapporte des récoltes record de blé, d'orge et de canola et une récolte quasi record de sorgho. L'Inde, deuxième producteur mondial de blé, s'attend à des exportations record cette année. Le Brésil s'attend à un maïs record. La Russie, avec une autre récolte record, sera le plus grand exportateur de blé au monde.

    Néanmoins, la famine est en augmentation. Les Nations Unies avertissent que nous sommes au milieu d'une "crise alimentaire mondiale" dans laquelle "44 millions de personnes dans 38 pays sont à des niveaux de faim d'urgence". Ici aussi, la responsabilité incombe aux politiques mondialistes qui rendent la nourriture inabordable.

    Les perturbations de la chaîne d'approvisionnement causées par la décision des mondialistes d'abandonner les réponses traditionnelles aux pandémies au profit d'un verrouillage expérimental d'une grande partie de l'économie mondiale sont l'un des principaux contributeurs à la famine. Le chaos et les coûts de cette décision des gouvernements d'appliquer leur théorie du verrouillage du COVID-19 ont bouleversé les systèmes mondiaux de distribution alimentaire et fait grimper le coût de la nourriture. L'inflation créée lorsque les gouvernements ont imprimé de l'argent pour soutenir les industries et les individus mis à l'écart pendant les fermetures a ensuite rendu les prix des denrées alimentaires encore plus prohibitifs.

    La décision des mondialistes de perpétuer la guerre russo-ukrainienne en fournissant à l'Ukraine des milliards d'armements a exacerbé les perturbations de la chaîne d'approvisionnement, une rupture avec la norme passée consistant à faire pression sur les combattants pour qu'ils résolvent leurs différends par des négociations. En conséquence, la production agricole en Ukraine, autrefois connue comme le grenier de l'Europe, s'est effondrée, la production de blé ayant chuté de 44 % et celle de maïs de 39 %.

    Des personnes raisonnables peuvent contester que les gouvernements occidentaux aient eu la sagesse de mettre en œuvre et de financer les confinements, ou de perpétuer la guerre russo-ukrainienne, mais ils ne peuvent pas contester que leurs actions aient stimulé l'augmentation de la famine que le monde connaît aujourd'hui.

    Les mondialistes peuvent croire que le monde a besoin de leur nouvel ordre mondial. Mais ils illustrent également l'adage selon lequel la route de l'enfer est pavée de bonnes intentions.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/food-fuel-inflation-crises-all-stem-globalist-policies

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    1. Nous ne sommes pas à l'aube d'une crise de famine vu que le pain que nous consommons aujourd'hui vient des récoltes de l'été 2021. Et, la moisson 2022 qui se fera en Juillet (dans un mois !) s'annonce très grosse (en Russie).

      Donc, les merdias, titreront demain que s'il n'y a plus de pétrole C'EST LA FAUTE A LA RUSSIE ! S'il n'y a plus d'engrais C'EST LA FAUTE A LA RUSSIE ! S'il n'y a plus de blé, de farine et de pains C'EST LA FAUTE A LA RUSSIIIIIIIIE ! HAHAHAHAHA !

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  33. Les fonds ESG affichent les sorties mensuelles les plus importantes jamais enregistrées alors que le racket du "blanchiment vert" commence à se défaire


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 02 JUIN 2022 - 13:00


    Après des années à critiquer l'investissement "ESG" et comment l'ajout du label à littéralement n'importe quelle entreprise a immédiatement provoqué une mauvaise allocation du capital dans sa direction, il semble que l'escroquerie d'investissement à la mode commence à se dérouler en temps réel.

    Premièrement, la Securities and Exchange Commission a déclaré ce mois-ci qu'elle prévoyait de sévir contre les allégations ESG trompeuses. De nouvelles règles "préciseraient les divulgations à faire par les fonds d'investissement lorsqu'ils mentionnent des termes tels que" ESG "," bas carbone "ou" durable "dans leurs noms", a rapporté Bloomberg la semaine dernière.

    Les régulateurs examinent également "le marketing des fonds ESG et la manière dont les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance sont intégrés dans l'investissement, ainsi que ces fonds votant lors des assemblées annuelles des entreprises", indique le rapport.

    Il a ensuite été rapporté mercredi que les fonds d'actions ESG avaient connu leur pire mois de sorties de fonds jamais enregistré.

    - voir sur site -

    Rappelez-vous, nous avons noté pour la première fois en septembre 2021 que la SEC était sur le cas des entreprises qui prétendaient être ESG.

    Alors que le rythme de croissance des actifs dédiés aux fonds "ESG" commençait à s'accélérer, nous avons également commencé à remarquer que les actifs placés dans ces fonds ESG n'étaient pas vraiment différents d'un fonds d'actions typique. Jetez simplement un coup d'œil à une liste des titres les plus populaires de 2020 :

    - voir sur site -

    Maintenant, jetez un coup d'œil aux principaux avoirs d'ESGG, l'un des meilleurs ETF axés sur l'ESG.

    - voir sur site -

    Remplis de blue chips, ces fonds ne crient pas vraiment respectueux de l'environnement et socialement responsables. Un initié de l'industrie l'a confirmé lorsqu'il a partagé un nouveau terme : « green washing ».

    Depuis lors, nous avons publié au moins une demi-douzaine de rapports sur les abus dans l'espace ESG :

    La fraude ESG frappe à nouveau : six des 10 meilleurs fonds ESG sous-performent le S&P500
    Voici l'arnaque « verte » : voici les titres de fonds ESG les plus populaires
    Le plus grand fonds ESG du pays n'a pas de participations renouvelables directes
    Le meilleur vendeur de crédits carbone lance une sonde interne après avoir vendu des compensations "sans valeur" à JPMorgan et Disney
    La menace ESG
    Investissement ESG - Le grand vol d'argent de Wall Street
    Les trous gigantesques dans l'activisme ESG anti-pétrole
    Plus de fraude ESG : BofA constate que la technologie est l'une des industries les plus sales

    https://www.zerohedge.com/markets/esg-funds-post-largest-monthly-outflow-record-greenwashing-racket-starts-unravel

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  34. Forum économique mondial 2022 : le retour de l’homme de Davos

    Les planificateurs centraux du Forum économique mondial sont des autoritaires qui souhaitent écraser les plans des individus. Ils croient qu’ils ont indubitablement raison, en dépit de l’horrible bilan de l’interventionnisme.


    le 2 juin 2022
    Par Michael Rectenwald.
    Mises Institute


    La réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos est peut-être la conférence la plus impopulaire au monde, et son fondateur et président, Klaus Schwab, l’une des personnalités les plus méprisées au monde. Souvent comparé au Dr. Denfer, le personnage joué par Mike Meyers dans la série Austin Powers, et régulièrement comparé à un super-méchant de James Bond sur Internet, Schwab est considéré comme un mégalomane messianique dirigeant une infâme cabale de dirigeants mondiaux et de chefs d’entreprise vers un avenir dominé par une élite mondialiste.

    Un sondage Twitter réalisé par TruthBoost a posé la question suivante : « Le Forum économique mondial rend-il le monde meilleur ? » Au moment où nous écrivons ces lignes, 98,4 % des personnes interrogées ont répondu par la négative.

    Qu’est-ce qui rend le WEF et ses réunions si méprisés dans cette confabrication et chez ses dirigeants ? Après tout, le WEF est « engagé à améliorer l’état du monde », comme le dit son slogan. Il se trouve que la plupart des gens n’apprécient pas qu’un groupe de dictateurs non élus et autoproclamés émettent des décrets top-down et recommandent des politiques qui restreignent leur liberté et enfreignent leurs droits.

    La réunion annuelle de cette année a été présentée comme la plus importante de ses cinquante ans d’histoire, compte tenu de la guerre en Ukraine et de la « nouvelle normalité » post-pandémique. C’est ce qu’a laissé entendre M. Schwab dans son allocution de bienvenue, ajoutant :

    « Nous devons renforcer notre résistance à un nouveau virus, éventuellement, ou à d’autres risques qui figurent à l’ordre du jour mondial » (8:30, c’est moi qui souligne).

    Étant donné que la rhétorique et les plans collectivistes de Schwab ont été si mal accueillis qu’il a dû écrire un livre intitulé The Great Narrative pour justifier et refondre The Great Reset comme étant nécessaire et anodin, on pourrait penser qu’il aurait pu choisir ses mots avec davantage de soin en ne suggérant pas qu’un « nouveau virus » ou « d’autres risques » font partie d’un « programme mondial » que « nous » (ils) mettons en place – comme s’il s’agissait d’événements futurs en cours de planification. Mais Schwab et le WEF sont des spécialistes pour générer des théories du complot et des théoriciens du complot. (soit dit en passant, le mot collectif est utilisé 52 fois dans The Great Narrative).

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  35. La réunion annuelle a donné lieu à des tables rondes sur un certain nombre de sujets, notamment la réalité augmentée, les monnaies numériques des banques centrales, la transition climatique dans les économies émergentes, l’empreinte carbone des cryptomonnaies, l’économie numérique, la diversité, l’équité et l’inclusion, les sanctions économiques, l’emploi dans la quatrième révolution industrielle, la transition énergétique en Chine, l’indexation environnementale, sociale et de gouvernance (ESG), la géopolitique, une taxe mondiale, les soins de santé pandémiques, la consommation responsable, le retour de la nature dans les villes, la Russie, ainsi qu’un discours spécial du président de l’Ukraine, Volodymyr Zelenskyy.

    L’éventail des sujets est stupéfiant mais aussi révélateur de l’éthique de planification centrale hubristique du Forum économique mondial. Des monnaies numériques centralisées à la planification urbaine, les préoccupations du WEF rappellent le Club de Rome, qui les a probablement influencées, et sont empreintes de son néo-malthusianisme. Il semble qu’il n’y ait rien dont le WEF ne se dise pas expert et rien sur lequel il n’émette pas de recommandations. Pourtant, les médias grand public considèrent toujours le Great Reset du WEF comme une théorie du complot, malgré la récente remarque de Joe Biden selon laquelle les prix élevés du gaz doivent être célébrés comme faisant partie d’une « incroyable transition » vers les énergies renouvelables. En d’autres termes, les prix élevés du gaz ont toujours fait partie de la planification du Green New Deal, et le politburo de Joe Biden a, il est vrai, participé à leur augmentation.

    L’un des temps forts de la réunion 2022 a été la déclaration de Julie Inman Grant, commissaire australienne chargée de l’eSafety, lors d’un débat intitulé « Ushering in a Safer Digital Future », selon laquelle « la liberté d’expression n’est pas synonyme de liberté pour tous » et « nous allons devoir recalibrer toute une série de droits de l’Homme en ligne, de la liberté d’expression à la protection contre la violence en ligne ».

    Ces commentaires inquiétants font suite au glissement de l’Australie vers le totalitarisme pendant la pandémie et à l’approbation récente par l’Union européenne du Digital services Act, qui interdit les « discours haineux » et la « désinformation » et représente une étape majeure vers une gouvernance mondiale unique d’Internet. En particulier, le cadre européen pour les communications numériques réglementera les discours relatifs au « changement climatique », aux problèmes de santé tels que le coronavirus et autres « pandémies », ainsi que les « discours haineux » ou autres « discours illégaux » tels que définis par l’UE. Pour répondre aux exigences réglementaires de l’UE et rationaliser leurs efforts, les sites de recherche et les plateformes de médias sociaux vont très probablement se contenter d’appliquer un seul ensemble de règles, celles de l’UE, à tous les contenus en ligne.

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  36. En bref, que le WEF et ses participants soient des planificateurs centraux et des mondialistes inconscients ou, ce qui est plus probable, de puissants influenceurs ayant un impact sur tout, des politiques gouvernementales aux décisions des entreprises, ce groupe a la témérité de suggérer qu’il est ou devrait être en charge du monde. Peu importe de laisser les individus libres de poursuivre leurs intérêts, y compris leur vie économique et familiale. Ces maîtres planificateurs doivent intervenir contre tous les plans individuels, locaux, régionaux et nationaux. Comme l’a noté Ludwig von Mises, ces planificateurs centraux sont toujours des autoritaires qui souhaitent écraser les plans des individus. Ils croient qu’ils ont indubitablement raison, en dépit de l’horrible bilan de l’interventionnisme.

    Traduction Contrepoints.

    https://www.contrepoints.org/2022/06/02/431611-forum-economique-mondial-2022-le-retour-de-lhomme-de-davos

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    1. Une fois par an les déchets de poubelles et cuves de chiottes vont se déverser dans la seule Démocratie du monde pour se donner bonne conscience ! Le merde-en-chef est acclamé par ses adeptes de la secte Trisomie-Mondiale.
      Ils ont tous volé, escroqué, tué, mais son libres et plein de fric !
      Et avec çà, ils veulent refaire le monde où l'États de merde.

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  37. LA DETTE PUBLIQUE DE LA FRANCE SE MAINTIENT À 112,9 % DU PIB


    par ANTON KUNIN
    01/06/2022


    La dette publique de la France culmine à 2.813,1 milliards d'euros à fin 2021.

    Après des hausses importantes tout au long de l’année 2021, à fin décembre 2021 la dette publique française diminue certes, tout en se maintenant à un niveau élevé (112,9% du PIB), annonce l'INSEE.
    La dette publique diminue en pourcentage du PIB mais augmente en valeur absolue
    La dette publique est-elle enfin sous contrôle ? Après avoir crevé les 100% du PIB au premier trimestre 2020, elle a entamé une ascension fulgurante au fur et à mesure que l’épidémie de Covid-19 nécessitait d’importantes dépenses, tant sur le plan médical que sur le plan social (chômage partiel, aides exceptionnelles…). Après avoir à nouveau culminé à 116,3% au troisième trimestre 2021, au quatrième trimestre 2021 la dette publique s’inscrit enfin en baisse, à 112,9% du PIB, soit 2.813,1 milliards d’euros.

    En valeur absolue, la dette a néanmoins progressé. De 2.648,1 milliards d’euros à fin 2020 elle est passée à 2.813,1 milliards d’euros à fin 2021. Dans le détail, l'endettement de l'administration publique centrale est passé de 2.147,5 milliards d'euros à 2.293 milliards d'euros, soit une hausse de 1,06%, tandis que les administrations publiques locales ont vu le leur passer de 229,7 à 245,5 milliards d'euros (+1,06%). L'endettement de la Sécurité sociale a progressé de 1,3% (274,6 milliards d'euros contre 270,9 milliards d'euros).

    Le déficit public se réduit, tout en se maintenant à un niveau élevé

    Par la même occasion, l’INSEE nous apprend que le déficit public se réduit : à fin 2021, il s’établit à 160,7 milliards d’euros, soit 6,4% du PIB. Cela, après 8,9% en 2020. Sans surprise, l’essentiel du déficit est porté par les administrations publiques centrales (143,4 milliards d’euros). Les administrations de sécurité sociale sont déficitaires à 16,7 milliards d'euros, et les administrations locales de 0,6 milliard d'euros.

    Les dépenses publiques ont progressé de 4% sur un an pour représenter 57 milliards d’euros en 2021. Sur longue période, le poids des dépenses publiques dans le PIB a crû de 34,7% en 1960 à 59% en 2021. Les deux premiers postes de dépenses publiques sont les dépenses de protection sociale (44,5% des dépenses publiques en 2020) et les dépenses de santé (14,6%).

    http://www.economiematin.fr/news-dette-publique-evolution-2021-insee

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  38. IL Y A 4,5 MILLIONS DE FRANÇAIS QUI SONT « RICHES » EN FRANCE


    par PAOLO GAROSCIO
    02/06/2022


    16% des ménages français seraient "riches en patrimoine".

    L’Observatoire des Inégalités a publié, le 1er juin 2022, son dernier rapport concernant les riches en France, leur niveau de patrimoine ou encore leur niveau de vie en termes de revenus mensuels. De quoi permettre de dresser un portrait-robot des quelques 4,5 millions de Français qui dépassent l’un ou l’autre des seuils (revenus ou patrimoine), voire les deux.

    Le niveau de vie des riches est le double du médian

    L’Observatoire des Inégalités a fixé, arbitrairement, le niveau de vie pour être qualifié de riche en France au double que le médian. Le seuil à dépasser, en termes de revenus mensuels, pour pouvoir se définir riche est donc le suivant : 3.673 euros par mois pour une personne seule (prestations sociales et impôts déduits) ou 5.511 euros pour deux adultes sans enfants. C’est un niveau de revenus qui, de plus, est supérieur à celui qui permet d’entrer dans les célèbres « 10% ». Or, selon l’Observatoire, pas moins de 4,5 millions de Français, soit 7% de la population environ, seraient riches selon ce paramètre.

    Les Français qui correspondent aux « riches en revenus » ont en moyenne 57 ans, son propriétaires de leur maison principale (82%), sont cadres supérieurs lorsqu’ils sont salariés (51%) et possèdent également un patrimoine important (73%).

    490.000 euros : le montant du patrimoine pour être « riche »

    Mais les riches ne sont pas forcément riches en revenus : leur patrimoine entre en compte et peut même leur permettre d’accéder à ce statut de « riche ». L’Observatoire des Inégalités estime, d’ailleurs, que pour être « riche » il suffit d’avoir un patrimoine dont la valeur est supérieure à 490.000 euros.

    Un patrimoine d’un tel niveau, équivalent au « triple du patrimoine médian » en France, souligne l’Observatoire des Inégalités, est détenu par 4,5 millions de ménages. Généralement, ces ménages ont plus de 50 ans (70 %), sont pour plus d’un tiers à la retraite (39 %) et ont également un niveau de vie parmi les plus hauts en France (69 %).

    Les ménages riches en patrimoine représentent 16% de l’ensemble des ménages de France, alors que seulement 4 % des ménages disposent d’un patrimoine dont la valeur est supérieure au million d’euros.

    http://www.economiematin.fr/news-riches-france-montant-revenus-patrimoine-argent-inegalites

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  39. La malédiction des gratte-ciel ? L'Arabie saoudite envisage de construire les plus grands bâtiments jamais construits


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 02 JUIN 2022 - 10:15


    Les cycles économiques et la construction de gratte-ciel sont généralement corrélés. La construction d'immeubles de grande hauteur a tendance à commencer pendant les booms économiques et est terminée ou arrêtée pendant les phases de crise.

    Le dernier exemple en date est l'Arabie saoudite, qui prévoit de construire une mégapole avec les plus grands bâtiments du monde dans une partie inhabitée du pays, selon Bloomberg, citant des personnes proches du dossier.

    Des sources affirment que le prince héritier saoudien et dirigeant de facto Mohammed bin Salman est l'architecte derrière le développement proposé d'une mégapole d'un demi-billion de dollars avec des gratte-ciel jumeaux de 1 640 pieds qui s'étendent horizontalement sur des dizaines de kilomètres. Les gratte-ciel commenceraient sur la côte de la mer Rouge et continueraient dans le désert. Le plan est de remplir les bâtiments avec des espaces résidentiels, commerciaux et de bureaux.

    Annoncé pour la première fois en 2017, Neom est le rêve du prince Mohammed de transformer l'économie saoudienne des combustibles principalement fossiles en un pôle de haute technologie, attirant les investissements et les talents étrangers pour déclencher une nouvelle vague d'innovation technologique.

    Neom sera une communauté futuriste et durable réunie par The Line, une ville linéaire intelligente sans voitures, rejointe par des systèmes ferroviaires souterrains à très grande vitesse.

    "The Line est une idée prête à l'emploi. Ce que nous présenterons lorsque nous serons prêts sera très bien accueilli et sera considéré comme révolutionnaire", a déclaré le PDG de Neom, Nadhmi al-Nasr.

    - voir carte sur site -

    L'Arabie saoudite abrite déjà la tour de Jeddah, le plus haut bâtiment du monde, mesurant 2 192 pieds (668 m) de haut (prévu 3 300 pieds/1005,84 m). La construction du bâtiment a commencé en 2013 et n'est pas encore terminée.

    - voir photo sur site -

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  40. Andrew Lawrence, un analyste immobilier, a créé le Skyscraper Index qui montre que les cycles économiques et la construction de tours sont corrélés : les immeubles de grande hauteur commencent souvent pendant une expansion et sont achevés après ou avant une récession.

    - voir représentation des proportions sur site -

    La tour de Jeddah est toujours inachevée alors que les banques centrales mondiales augmentent furieusement les taux d'intérêt pour maîtriser l'inflation alors qu'un environnement stagflationniste se transforme en ce qui pourrait bientôt être un ralentissement mondial. Goldman Sachs a discrètement publié un "Recession Manual" (disponible pour les abonnés professionnels) pour les clients fortunés.

    La question est de savoir si la tour de Djeddah non exploitée signale une récession et si le financement du mégaprojet du prince Neom signale un futur creux.

    https://www.zerohedge.com/markets/skyscraper-curse-saudi-arabia-plans-construct-largest-buildings-ever

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    1. Le plus haut gratte-ciel dans le monde se trouve dans la ville de Dubaï. Ouvert en 2010, cet immeuble avec un design moderne, a 160 étages dont des hôtels, des restaurants, des bureaux et des appartements résidentiels. La vitesse maximale que peut atteindre ses 57 ascenseurs est de 600 mètres/minute.
      Hauteur : 830 mètres

      Oui mais, regardons la découverte chinoise pour limiter la place prise par les cages d'ascenseurs dans une tour: Deux (2 !) ascenseurs !!
      Un pour descendre et
      Un autre pour monter !
      Comme se peut-il ?!
      Des ascenseurs (boites autonomes) montent en file indienne chacun à sa vitesse. Lorsqu'ils arrivent en haut les dernières personnes en sortent et, la boite se tourne à l'horizontale sur plusieurs mètres puis se retourne dessus-dessous et descend. Les usagers n'attendent pas plus de 10 secondes pour avoir un ascenseur !

      Par contre, quel que soit la hauteur... çà fait du monde ! Beaucoup de monde !

      * * * * *

      C'est effectivement une question de débit pour évacuer les personnes en cas d'incendie
      En sachant ceci :

      - La température d’une pièce en feu atteint près de 600°C en 5 minutes
      - les fumées toxiques. Une victime intoxiquée est incapable de fuir, mais une simple exposition aux fumées, même très brève (moins de 5 minutes), peut donner lieu à un handicap à vie : asthme chronique, insuffisance rénale, hépatique, cardiaque et respiratoire.

      > Rapide : Un feu et ses fumées toxiques se propagent très vite, les victimes ont très peu de temps pour réagir. Pour éteindre
      un feu, il faut :
      - 1 ère minute : 1 verre d’eau
      - 2 ème minute : 1 seau d’eau
      - 3 ème minute : 1 citerne d’eau

      On en déduit qu'il y a moins de cinq minutes pour évacuer un bâtiment, ou un ERP.
      Plus, si les éléments coupe-feu ou retardataire emplissent leur office.

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  41. La Russie utilise des navires chinois et des raffineurs indiens pour garder une longueur d'avance sur les sanctions pétrolières


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 02 JUIN 2022 - 14:31
    Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,


    Alors que les États-Unis et l'UE multiplient les sanctions, la Russie trouve d'autres moyens de les éviter...

    - voir graph sur site -

    Les sanctions les plus sévères à ce jour
    La semaine, l'UE fixe les sanctions russes les plus sévères, ciblant le pétrole et l'assurance, avec des exemptions pour la Hongrie.

    L'Union européenne est sur le point d'imposer ses sanctions les plus sévères à ce jour à la Russie, interdisant les importations de son pétrole et empêchant les assureurs de couvrir ses cargaisons de brut, selon des responsables et des diplomates, alors que l'Occident cherche à priver Moscou de l'argent dont il a besoin pour financer la guerre contre l'Ukraine et maintenir le fonctionnement de son économie.

    Les sanctions, qui devraient être achevées dans les prochains jours, sont plus sévères que prévu. L'interdiction des assureurs couvrira les pétroliers transportant du pétrole russe partout dans le monde. Ces sanctions pourraient saper les efforts de la Russie pour vendre son pétrole en Asie. Les compagnies européennes assurent la majeure partie du commerce mondial du pétrole.

    La Russie garde une longueur d'avance sur les sanctions

    Mais pourquoi ces sanctions fonctionneront-elles mieux que tout autre ensemble de sanctions. Les expéditeurs et les raffineurs ont été très habiles à dissimuler l'origine du pétrole russe.

    Le Wall Street Journal explique que les producteurs de pétrole russes gardent une longueur d'avance sur les sanctions

    À la suite de l'invasion de l'Ukraine et des sanctions des États-Unis et de l'Union européenne, les commerçants s'efforcent d'obscurcir les origines du pétrole russe pour le maintenir en circulation. Le pétrole est dissimulé dans des produits raffinés mélangés tels que l'essence, le diesel et les produits chimiques.

    Le pétrole est également transféré entre navires en mer, une page du livre de jeu utilisé pour acheter et vendre du pétrole iranien et vénézuélien sanctionné. Les transferts ont lieu en Méditerranée, au large des côtes de l'Afrique de l'Ouest et de la mer Noire, le pétrole se dirigeant ensuite vers la Chine, l'Inde et l'Europe occidentale, selon les compagnies maritimes.

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  42. Dans l'ensemble, les exportations russes de pétrole ont rebondi en avril, après avoir chuté en mars avec l'entrée en vigueur des premières sanctions occidentales, a indiqué l'Agence internationale de l'énergie. Les exportations de pétrole de la Russie ont augmenté de 620 000 barils pour atteindre 8,1 millions de barils par jour, près de leurs niveaux d'avant-guerre, la plus forte augmentation allant à l'Inde.

    L'Inde est devenue une plaque tournante clé pour les flux pétroliers russes. Les importations du pays ont grimpé en flèche pour atteindre 800 000 barils par jour depuis le début de la guerre, contre 30 000 barils par jour auparavant, selon la société de données sur les marchés des matières premières Kpler.

    Une raffinerie appartenant au géant indien de l'énergie Reliance Industries Ltd. a acheté sept fois plus de brut russe en mai, par rapport aux niveaux d'avant-guerre, représentant un cinquième de sa consommation totale, selon Kpler.

    Reliance a affrété un pétrolier pour transporter une cargaison d'alkylat, un composant de l'essence, au départ du port voisin de Sikka le 21 avril sans destination prévue. Trois jours plus tard, il a mis à jour ses registres avec un port américain et a navigué, déchargeant sa cargaison le 22 mai à New York.

    "Ce qui s'est probablement passé, c'est que Reliance a pris une cargaison de brut russe à prix réduit, l'a raffinée et a ensuite vendu le produit sur le marché à court terme où elle a trouvé un acheteur américain", a déclaré Lauri Myllyvirta, analyste principal au Center for Research on Energy and L'air pur. L'organisation suit les exportations russes de combustibles fossiles et leur rôle dans le financement de la guerre en Ukraine. "Il semble qu'il y ait un commerce où le brut russe est raffiné en Inde, puis une partie est vendue aux États-Unis."

    Devenir sombre

    Pour éviter d'importants frais d'assurance, les navires éteignent leurs systèmes GPS pour s'éteindre, puis transfèrent du pétrole vers de grands mégapétroliers tels que le Lauren II, un transporteur de brut géant chinois pouvant contenir environ 2 millions de barils de pétrole.

    Tant que l'Inde et la Chine sont prêtes à contourner les sanctions, le pétrole passera. Cependant, ces coûts supplémentaires ont un impact sur les prix à l'échelle mondiale.

    De plus en plus de navires transportent du pétrole de la Russie vers l'Inde et la Chine au lieu de la Russie vers l'UE. À son tour, l'UE obtient du pétrole de l'Arabie saoudite au lieu de la Russie.

    Les sanctions font tellement grimper le prix que la Russie obtient plus d'argent même si la Russie doit réduire considérablement son prix pour trouver des preneurs.

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  43. Quelque chose que seuls les politiciens pourraient concocter
    L'absurdité de cette configuration est stupéfiante.

    Le désir de « faire quelque chose » est si puissant sur le plan politique que les politiciens préfèrent aider la Russie par inadvertance plutôt que de ne rien faire du tout.

    Le prix du brut bondit alors que l'UE double bêtement les sanctions
    Hier, j'ai commenté le prix du brut saute alors que l'UE double bêtement les sanctions

    Ce saut a été de courte durée car l'Arabie saoudite envisagerait de ne pas compter le pétrole russe dans les objectifs de production de l'OPEP. Cela permettrait. les États arabes à pomper davantage.

    Cependant, cette rumeur a déjà mordu la poussière.

    La Russie et l'Arabie saoudite signalent que l'OPEP+ se renforce
    OilPrice rapporte que la Russie et l'Arabie saoudite signalent que l'OPEP+ se renforce

    L'alliance OPEP+ est solide, avec un niveau de coopération élevé en son sein, selon un communiqué publié par le ministère russe des Affaires étrangères à la suite d'une rencontre entre le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son homologue saoudien le prince Faisal bin Farhan Al Saud.

    "Ils ont noté l'effet stabilisateur que la coopération étroite entre la Russie et l'Arabie saoudite a sur les marchés mondiaux des hydrocarbures dans ce secteur stratégiquement important", indique le communiqué.

    La nouvelle fait suite à un rapport du Wall Street Journal selon lequel certains membres de l'OPEP envisagent d'exclure la Russie du cartel étendu alors que les sanctions occidentales pèsent sur sa production.

    Selon le rapport, l'exclusion de la Russie de l'accord d'augmentation de la production de pétrole permettrait à d'autres producteurs tels que l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis d'augmenter leur production de manière plus significative, conformément aux demandes formulées par les États-Unis et l'Europe, ainsi que par l'International Energy Agence plus récemment.

    Il convient de noter que l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis eux-mêmes ont signalé à plusieurs reprises qu'ils n'avaient pas l'intention d'augmenter la production de pétrole brut au-delà de leurs quotas de production dans le cadre de l'accord OPEP+. Il reste à voir comment un changement dans la participation de la Russie à l'accord pourrait changer ce sentiment. L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis sont les membres de l'OPEP+ avec la capacité de production inutilisée la plus importante.

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  44. Politiciens contre banques centrales

    Nous avons eu une belle rumeur, opportune et non fondée, juste au moment où l'annonce de l'UE a provoqué un choc supplémentaire sur les vignettes pétrolières. Imaginez ça.

    Pendant ce temps, le pétrole passe, juste à des prix plus élevés pour toutes les personnes impliquées.

    Ce jeu inflationniste de Mickey Mouse se poursuivra jusqu'à ce que les hausses de taux de la Banque centrale soient suffisantes pour contrer la stupidité politique.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/russia-uses-chinese-ships-and-indian-refiners-stay-ahead-oil-sanctions

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  45. Les Sanctionnés : Comment l’Iran et la Russie établissent de nouvelles règles

    Alors que la Chine, soucieuse d’éviter les sanctions américaines aussi longtemps que possible, reste en retrait, ses partenaires du RIC, l’Iran et la Russie, font le nécessaire pour briser l’emprise financière de l’Occident.


    Par Pepe Escobar
    Mondialisation.ca, 01 juin 2022


    Le premier Forum économique eurasiatique, qui s’est tenu la semaine dernière à Bichkek, au Kirghizstan, doit être considéré comme une étape importante dans la définition des paramètres de l’intégration géoéconomique du heartland eurasiatique.

    Sergey Glazyev, ministre russe chargé de l’Intégration et de la Macroéconomie de l’Union économique eurasiatique (UEE), coordonne les efforts visant à concevoir un système monétaire et financier alternatif – un système post-Bretton Woods III de facto – en coopération avec la Chine.

    Selon Glazyev, le forum a « discuté du modèle d’une nouvelle monnaie de règlement mondiale fixée à des paniers de monnaies nationales et de produits de base. L’introduction de cet instrument monétaire en Eurasie entraînera l’effondrement du système du dollar et l’affaiblissement définitif de la puissance militaire et politique des États-Unis. Il est nécessaire d’entamer des négociations sur la signature d’un traité international approprié dans le cadre de l’OCS ».

    Glazyev a décrit plus en détail l’initiative visant à bouleverser le système financier mondial occidental lors d’un entretien exclusif avec The Cradle en avril.

    Il est particulièrement pertinent de comprendre comment Glazyev relie la volonté de l’UEE au rôle géopolitique et géoéconomique croissant de l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS), qui réunit à la même table les principales puissances eurasiatiques : la Chine, la Russie, l’Inde, le Pakistan, le Kazakhstan et l’Iran.

    Cela est directement lié au fait que le président russe Vladimir Poutine, lors de la réunion du Conseil économique suprême eurasiatique, a soutenu la prolongation d’un accord de libre-échange temporaire entre l’UEE et l’Iran, qui est le dernier (et le seul) membre à part entière de l’OCS en Asie occidentale. Poutine a déclaré que cet accord devait être mis en œuvre malgré la « confrontation de l’Occident collectif ».

    L’UEE, inaugurée en 2015 avec cinq membres à part entière – la Russie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Biélorussie et l’Arménie – représente un marché de 184 millions de personnes et un PIB collectif de plus de 5000 milliards de dollars. La prochaine étape avec l’Iran sera de mettre en œuvre un accord de libre-échange complet, peut-être avant la fin de l’année, selon le vice-ministre iranien du Commerce, Alireza Peymanpak. L’Égypte, l’Indonésie et les Émirats arabes unis sont également candidats à la conclusion d’accords avec l’UEE.

    L’Iran, qui est contraint depuis plus de quarante ans de trouver des solutions créatives pour contourner les sanctions impériales en série, a peut-être une ou deux leçons conceptuelles à donner à la Russie. Les accords de troc gagnent du terrain : Selon le ministre iranien du Commerce et de l’Industrie, Reza Fatemi Amin, Téhéran offre des pièces détachées et des turbines à gaz aux centrales électriques de Moscou en échange de zinc, d’aluminium, de plomb et d’acier pour ses industries métallurgiques et minières.

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  46. Et d’autres trocs sur un large éventail de produits sont à venir, comme cela a été évoqué lors de la récente visite à Téhéran du vice-premier ministre russe Alexander Novak.

    L’autre « RIC »

    Lentement mais sûrement, le nouveau RIC (Russie-Iran-Chine) – par opposition à l’ancien RIC des BRICS (Russie-Inde-Chine) – tente d’intégrer ses systèmes financiers. L’Iran est une question de stratégie de sécurité nationale pour la Chine, en tant que fournisseur d’énergie et partenaire essentiel de l’Initiative Ceinture et Route (BRI) en Asie occidentale.

    La relation Russie-Chine, en revanche, est beaucoup plus complexe. Craignant fortement de provoquer des sanctions américaines, les banques chinoises s’abstiennent – du moins pour le moment – d’accroître leurs transactions avec les banques russes, ce qui nous amène au cas d’UnionPay :

    Le fournisseur chinois de cartes bancaires – de plus en plus populaire, notamment en Asie – a refusé de s’associer à Sberbank avant même que la plus grande banque russe ne soit exclue par l’UE et les États-Unis de la plateforme mondiale de messagerie bancaire SWIFT. UnionPay a également annulé ses plans avec d’autres banques russes pour émettre des cartes UnionPay liées au système de paiement russe Mir, profitant du retrait de Visa et Mastercard du marché russe.

    La Chine doit encore trouver un équilibre prudent. Au début de cette année, lors du Forum de Boao en Asie, le président Xi Jinping s’est opposé catégoriquement à « l’utilisation gratuite de sanctions unilatérales ». Et plus de 80% des entreprises chinoises déjà établies en Russie semblaient vouloir poursuivre leurs activités comme si de rien n’était.

    Pourtant, sur le plan pratique, de sérieux problèmes se posent. La Banque de Chine et la Banque industrielle et commerciale de Chine (ICBC) ont restreint le financement des produits de base russes. Même la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB), absolument essentielle pour les projets de développement durable, liés ou non à la BRI, a décidé de geler tout prêt à la Russie et à la Biélorussie au début du mois de mars afin de « sauvegarder » son « intégrité financière ».

    Sur le plan financier, les banques chinoises prudentes, qui ont une énorme exposition à l’Ouest, doivent toujours tenir compte du fait que près de 80% des transactions transfrontalières mondiales se font encore en dollars et en euros, et seulement 2% en yuans. Le marché russe n’est donc pas vraiment une priorité.

    En parallèle, le front Russie-Iran est assez animé. Ils accélèrent les règlements mutuels dans leurs monnaies nationales pour atteindre « le niveau le plus élevé possible », comme l’a souligné le vice-Premier ministre Alexander Novak : « Nous avons discuté avec les banques centrales de la diffusion et du fonctionnement du système de messagerie financière, ainsi que de la connexion des cartes de paiement Mir et Shetab [iraniennes] ».

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  47. À l’heure actuelle, la carte Mir n’est toujours pas acceptée en Iran, mais cela est sur le point de changer – tout comme en Turquie, qui commencera cet été à accepter les paiements par carte Mir des légions de touristes russes. En pratique, cela signifie que la Russie et l’Iran vont connecter leurs banques au Système de transfert de messages financiers (SPFS), l’équivalent russe de SWIFT. Les Chinois examineront évidemment la fluidité de la transition.

    Comparez maintenant tout ce qui précède avec la perspective qu’il n’y aura bientôt plus de SWIFT du tout, comme l’a laissé entendre Michael Miebach, PDG de Mastercard, à Davos.

    Miebach participait à un panel sur les monnaies numériques des banques centrales et discutait des paiements transfrontaliers lorsqu’il a suggéré que SWIFT pourrait bientôt appartenir au passé. Cela ne fait aucun doute : Moscou s’intéresse déjà aux crypto-monnaies et aux monnaies numériques, et Pékin est bien décidé à mettre en place le yuan numérique pour contourner SWIFT et son système CHIPS (Clearing House Interbank Payment System).

    Les Sanctionnés, maintenant en mouvement rapide

    Le front Russie-Iran évolue rapidement depuis janvier de cette année, lorsque le président iranien Ebrahim Raïssi, en visite à Moscou, a remis à Poutine un projet d’accord de coopération stratégique pour les 20 prochaines années, s’appuyant sur « la très bonne expérience de coopération entre l’Iran et la Russie en Syrie dans la lutte contre le terrorisme » et s’étendant à « l’économie, la politique, la culture, la science, la technologie, la défense et les sphères militaires, ainsi que les questions de sécurité et d’espace ».

    Raïssi a également remercié explicitement Poutine « pour avoir facilité l’entrée de Téhéran dans l’OCS ».

    Le ministre iranien du Pétrole, Javad Ouji, est allé droit au but lors de sa rencontre avec Novak à Téhéran la semaine dernière : « Nos pays sont soumis à des sanctions strictes, et nous avons la possibilité de les neutraliser grâce au développement des relations bilatérales… Nous avons créé des comités conjoints sur les questions bancaires, énergétiques, de transport, d’agriculture, ainsi que sur la question de la création de centrales nucléaires ».

    Et cela nous ramène une fois de plus à l’éternel feuilleton des pourparlers du Plan d’action global conjoint (JCPOA) basé à Vienne, le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergey Ryabkov signalant que le projet final « est à un haut degré de préparation pour l’adoption. Il existe quelques problèmes politiques, qui ne sont pas liés à la finalisation du texte ».

    Traversant l’habituel brouillard de la propagande américaine, Ryabkov a souligné qu’« en ce qui concerne nos intérêts, notamment dans le contexte de la coopération nucléaire pacifique avec l’Iran, le texte est tout à fait satisfaisant… il n’y a rien à « peaufiner ». »Ainsi, lorsque les Américains disent que l’accord est « hors de portée », a ajouté Raybkov, cela signifie qu’ils « diffusent les résultats de leurs discussions internes ».

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  48. En définitive, sur le JCPOA, Téhéran et Moscou sont en phase : « Nous sommes ce qu’on appelle sur le fil, et cela pourrait arriver très vite si la décision politique est prise ».

    Développant leur synchronisme, Téhéran a même proposé d’accueillir les négociations entre Moscou et Kiev sur le conflit ukrainien – suivant l’exemple turc. Cependant, après l’échec d’Ankara, il est clair que les décideurs de Washington ne veulent pas de négociations, mais une guerre sans fin jusqu’au dernier Ukrainien.

    Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, reste en phase avec son homologue Sergueï Lavrov. À Davos, il a déclaré que le drame ukrainien était dû aux « actions provocatrices des États-Unis et de l’OTAN… ils ont « provoqué le Kremlin ». C’est essentiellement ce que Pékin a discrètement laissé entendre.

    Tout ce qui précède montre certaines des épreuves et des tribulations de l’intégration de l’Eurasie, ainsi que le chemin long et sinueux vers un nouveau système monétaire UEE-OCS. Mais commençons par le commencement : il doit y avoir de l’action sur le front de Mir-UnionPay. Lorsque cette nouvelle sera connue, les dés seront jetés.

    Pepe Escobar

    https://www.mondialisation.ca/les-sanctionnes-comment-liran-et-la-russie-etablissent-de-nouvelles-regles/5668607

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  49. Tests - vaccins - pass : fabrique de la panique et braquage des comptes publics


    Pierre Lécot, pour FranceSoir
    le 22 février 2022 - 13:02


    TRIBUNE — Cela fait deux ans que la crise du coronavirus a démarré. De différentes manières, nous avons montré sur cette chaîne que la mortalité depuis 2020 en France et en Europe est finalement dans la norme de la décennie, et que les hôpitaux sont finalement loin d’avoir été saturés en 2020, services de réanimation compris.

    Voir aussi : Reprendre et comprendre le cours de l'histoire de la crise Covid-19

    La psychose qui dure depuis deux ans n’est donc pas maintenue à cause d’une surmortalité, ou d’un surnombre d’arrivées à l’hôpital, mais uniquement en faisant le compte de “cas Covid”. Ces “cas Covid” sont des personnes déclarées porteuses du virus de la Covid, dans l’ensemble de la population, dans l’ensemble des hospitalisations et dans l’ensemble des décès. Ce n’est qu’une fraction de l’ensemble des habitants, de l’ensemble des hospitalisations et de l’ensemble des décès. Nous avons d’ailleurs montré que l’ensemble des hausses de mortalité que nous observons depuis deux ans ont lieu soit pendant les périodes de hausse de mortalité habituelles, soit après la mise en place de mesures qui ont eu pour impact d’arrêter de soigner correctement les Français. Nous avons, grâce aux différents rapports de Santé Publique France ou de l'ATIH, de plus en plus de données officielles donnant le nombre de décès à imputer à ces mesures.

    La Direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistiques (DREES), les statisticiens du ministère de la Santé, a d’ailleurs publié un nouveau tableau de données distinguant les patients arrivés à l’hôpital pour Covid, et ceux arrivés à l’hôpital pour complètement autre chose, mais déclarés Covid à la faveur d’un test positif ou d’une simple déclaration. Nous apprenons qu’un patient sur trois, déclaré en soin critique Covid ou décédé du Covid, était en fait sur-déclaré.

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  50. Toute la psychose tient donc du simple fait de fixer le regard sur un virus au lieu de s’occuper de la mortalité en général ou des hospitalisations en général. Cela permet de ne pas du tout remettre en question la qualité de vie des Français, ou le système de santé en général, mais de tout focaliser sur un seul produit censé résoudre le problème : le vaccin.

    Pour conserver le regard fixé sur le virus, plusieurs éléments sont essentiels :

    Les tests RT-PCR, qui permettent de continuer à déclarer “malade” toute personne qui a un test positif et donc maintiennent les statistiques ;
    La campagne vaccinale, qui permet au gouvernement de dire qu’il a une solution au problème du virus mortel ;
    Le pass sanitaire, de façon à asséner à la population que les vaccins fonctionnent, puisqu’il leur offre la sécurité en leur “permettant” d’accéder à des lieux publics ;
    En bonus : les masques, qui permettent de rappeler en permanence de façon visible à tous les Français, le danger du virus. Ils permettent également de faire croire que les autres humains sont dangereux.
    Dans cet article (et sa vidéo), nous allons voir que si l'on imagine un pays au sein duquel on met en place le même schéma tests-vaccins-pass avec n’importe quelle excuse, l'on obtiendra exactement les mêmes résultats statistiques. Les biais statistiques introduits par le schéma tests-vaccins-pass permettent de faire croire que n’importe quel vaccin sera efficace contre n’importe quelle maladie. Pour bien montrer l’absurdité du schéma, nous allons prendre un exemple absurde dans lequel l’État ne voudrait pas lutter contre un virus, mais contre la malchance.

    L’épidémie de malchance

    Pour comprendre comment est complètement dévoyée l’utilisation des tests, imaginons que le gouvernement décide de lutter contre les malchanceux.

    Les Français seraient obligés de prouver qu’ils ne sont pas malchanceux avant de pouvoir participer à des activités. En effet, d’après le gouvernement, les malchanceux sont responsables de toutes les catastrophes qui arrivent en France et mobilisent les personnels soignants qui doivent les sauver en permanence. Ainsi, avant de participer à une activité, chaque Français doit lancer un dé. S’il fait le chiffre 1, il est alors considéré malchanceux et doit s’isoler avant de contaminer les autres de sa malchance et de provoquer une catastrophe. Le gouvernement propose cependant de s’immuniser contre la malchance grâce à 4 porte-bonheurs différents. Il suffit d’accepter de prendre un porte-bonheur pour ne plus être obligé de se tester.

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  51. Le 12 juillet, le gouvernement met en place le pass-antimalchance. Tout Français qui souhaite voyager ou participer à une activité doit avoir son porte-bonheur, ou bien prouver qu’il n’est pas malchanceux en lançant un dé. Chaque Français malchanceux oblige tous ses proches à faire un test également. Ils doivent tous lancer un dé. On observe alors une explosion du nombre de tests en France, de la part de tous les Français qui participent à des activités ou vont à l’hôpital. Parmi eux, environ 1 sur 6 est déclaré malchanceux. Une majorité de Français choisit alors de prendre un des 4 porte-bonheurs officiels. Les Français qui ont été déclarés malchanceux une première fois, refont un test au bout de 14 jours et sont alors majoritairement considérés « guéris » de la malchance. La vague redescend donc assez vite.
    C’est exactement ce qu’il s’est passé en France à l’été 2021. La mise en place du pass sanitaire a déclenché une vague de tests sans précédent. Pour la première fois de l’histoire, de manière complètement artificielle, on a fait croire à une épidémie de rhume en plein été.

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    Tous les Français ayant fait un test et obtenu un 1 en rentrant à l’hôpital sont codés par cet hôpital en tant que « malchanceux ». La « malchance » devient alors une « cause » de leur maladie. Cela fait donc une vague de malchanceux chez les personnes malades entrant à l’hôpital. Cela tombe assez bien, les remboursements des séjours hospitaliers des « malchanceux » sont plus élevés. Les hôpitaux ont tout intérêt à organiser ces tests. Ceux qui ont un porte-bonheur ne sont pas testés, ou alors une seule fois, alors que ceux qui n’ont pas de porte-bonheur sont testés tous les jours. On observe alors une grosse différence de chance entre ceux qui ont un porte-bonheur et ceux qui n’en ont pas. En effet, ceux qui ont un porte-bonheur ont une probabilité de 17 % (1/6) d’être déclarés malchanceux, alors que ceux qui n’ont pas de porte-bonheur ont 42 % de chance d’être déclarés « malchanceux » au bout de 3 tests. En effet, 42 % c’est la probabilité de faire un 1 en lançant trois fois le dé (1-5×5×56×6×6).

    C’est ainsi qu’en plein été, en testant tout le monde, les hôpitaux ont déclaré un vague d’hospitalisations Covid. C’est du jamais vu, et est directement la conséquence du pass sanitaire et des tests.

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    Le pass sanitaire permet également de moins tester les vaccinés, et d’introduire des biais dans les déclarations. Depuis cette date, la DREES et EPI-PHARE ont pu faire des études sans corriger ces biais, vantant l’efficacité vaccinale. Nous en avons analysé plusieurs sur la chaîne.
    Il arrive même que l’on change la règle entre ceux qui ont des porte-bonheurs et ceux qui n’en ont pas : on choisit que ceux qui n’ont pas de porte-bonheur sont positifs lorsqu’ils obtiennent un « 1 » ou un « 2 » alors que ceux qui ont un porte-bonheur ne sont toujours positifs qu’avec un « 1 ». C’est ce qu’il se passe lorsque le nombre de cycles permettant de conclure à la positivité d’un test RT-PCR change selon le statut vaccinal. On trouve alors une « efficacité » des porte-bonheurs puisqu’ils protègent d’avoir un test positif.

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  52. Le gouvernement propose également des protocoles pour accueillir différemment ceux qui n’ont pas de porte-bonheur, car ils sont considérés « à risque ». Le protocole veut qu’un patient avec porte-bonheur est renvoyé chez lui s’il n’est pas très malade, même s’il obtient un « 1 » sur son lancer de dé. À l’inverse, un patient sans porte-bonheur est systématiquement gardé s’il obtient un « 1 », car chacun sait que la malchance va aggraver son état.

    Cette situation est exactement ce que les Français ont vécu cet hiver pour la Covid-19. Elle est pleinement assumée par le ministre de la Santé qui l’a annoncé fin décembre. Ce biais n’a pourtant été pris en compte par aucun organisme de statistiques.

    Le gouvernement décide de mener une grande campagne de communication pour blâmer ceux qui n’ont pas de porte-bonheur. Ils sont désignés comme étant responsables de l’engorgement des hôpitaux et de la maladie de ceux qui ont des porte-bonheurs. En conséquence, certains médecins refusent de les recevoir et de les soigner. Beaucoup ont honte et restent seuls chez eux, même lorsqu’ils tombent malades, contrairement à ceux qui ont des porte-bonheurs qui eux, reçoivent toujours des soins. Résultats, ceux qui n’ont pas de porte-bonheur tombent gravement malades et finissent à l’hôpital. Ils sont alors, en effet, plus nombreux que ceux avec porte-bonheur à cause du non-soin.

    C’est exactement ce que nous avons vécu cet hiver. Le gouvernement et la DREES ont tenté de faire croire à la saturation des hôpitaux par les non-vaccinés en publiant un communiqué de presse au titre volontairement trompeur « Neuf fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus ». Ce titre a été repris par toute la presse qui pensait y lire qu’en soins critiques, 9 patients sur 10 étaient non vaccinés. Il suffisait de lire plus en détail le communiqué pour savoir que les non-vaccinées représentaient 51 % des admissions en soins critiques et 44 % des admissions en hospitalisation conventionnelle, soit environ 1 sur 2. Finalement, nous avions montré qu’en prenant en compte les 20 000 lits disponibles de soins critiques en France, les seulement 3000 déclarés Covid, mais certains sans tests positifs ou venus pour autre chose, et le statut vaccinal des patients, tout cela diffusé dans les bases de données officielles de la DREES, les non-vaccinés malades de la Covid-19 représentaient en fait 6 % des patients en soins critiques. Juste en choisissant les bonnes statistiques et en focalisant sur la Covid, il a été possible de faire peur avec rien.

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  53. Ainsi, avec toutes ces règles, parmi tous les malades venus à l’hôpital, beaucoup plus de personnes sans porte bonheur sont déclarées « malades de malchance » que de personnes avec porte-bonheur. Les autorités concluent à la grande protection des porte-bonheurs contre le fait d’être « malade de malchance ». Ceux qui refusent les porte-bonheurs sont déclarés irresponsables d’engorger les hôpitaux. Personne ne regarde s’il y a plus de personnes malades ou de décédés parmi ceux qui n’ont pas de porte-bonheur. On ne regarde que ceux déclarés « malchanceux » parmi les malades ou les décédés.

    Toutes les règles que je viens de citer sont des règles mises en application actuellement en France et dans tous les pays qui suivent les directives des cabinets de conseils. Toutes les données françaises enregistrées par le ministère de la Santé sur les patients Covid-19 sont donc biaisées par le protocole mis en place. À l’heure actuelle, il n’existe aucune étude qui s’affranchisse de l’ensemble des biais cités. Statistiquement, il n’est donc pas possible d’affirmer, ni que les « tests malchances » ont le moindre rapport avec le fait d’être malade, ni que la « maladie malchance » est responsable d’une situation plus grave que d’habitude, ni que les porte-bonheurs qui sont obligatoires ont le moindre effet sur la santé. En revanche, les 3 ont un intérêt certain pour la prise de pouvoir totalitaire en cours et le plus grand braquage d’argent public jamais réalisé, et tout cela au profit des mêmes personnes.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/tests-vaccins-pass-fabrique-de-la-panique-braquage-des-comptes-publics

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    1. Les inoculés ont droit à la reconnaissance anale.

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