- ENTREE de SECOURS -



dimanche 13 mars 2022

NIGHT OF THE RUNNING MAN - Scott Glenn, Andrew McCarthy, Janet Gunn, Wayne Newton

 

40 commentaires:

  1. Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires. Les cas de cancer ovarien n’ont jamais été aussi nombreux au Royaume-Uni


    par Aphadolie
    11/03/2022


    La Food and Drug Administration (FDA) américaine a été contrainte par décision de justice de publier tous les documents confidentiels qui lui ont été envoyés par Pfizer concernant l’autorisation d’utilisation d’urgence de l’injection Pfizer Covid-19. La dernière série de documents a été publiée le 1er mars 22, et l’un des documents confirme que l’injection Pfizer Covid-19 s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

    Quelles sont les conséquences de cela ?

    Les données officielles du Royaume-Uni montrent que les cas de cancer de l’ovaire en 2021 n’ont jamais été aussi nombreux et que l’organisme britannique de réglementation des médicaments a reçu plus de 40 000 rapports relatifs à des troubles de la reproduction et des menstruations suspectés d’être des effets indésirables des injections de Covid-19 rien qu’en 2021.

    L’étude, qui figure dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier par décision de justice ici, a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

    Chaque rat a reçu une seule dose intramusculaire de l’injection Pfizer Covid-19, puis le contenu et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminés à des points prédéfinis après l’administration.

    En d’autres termes, les scientifiques chargés de l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est répandue dans d’autres parties du corps, comme la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

    - voir graph sur site -

    Source : https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf

    Mais l’un des résultats les plus inquiétants de l’étude est le fait que l’injection Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

    Un « ovaire » est l’une des deux glandes féminines dans lesquelles se forment les ovules et où sont fabriquées les hormones féminines que sont les œstrogènes et la progestérone.

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  2. Dans les 15 premières minutes suivant l’injection de la piqûre Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Ce chiffre est ensuite passé à 1,34 ml après 1 heure, 2,34 ml après 4 heures, puis 12,3 ml après 48 heures.

    - voir graph sur site -

    Source : https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf

    - voir graph sur site -

    Source : https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf

    Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

    Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

    Public Health Scotland (PHS) dispose d’un tableau de bord complet sur les impacts plus larges de Covid-19 sur le système de soins de santé, que l’on peut trouver ici, et qui comprend toute une série de données allant des statistiques sur la santé mentale aux grossesses, en passant par les données sur les troubles cardiovasculaires et le cancer.

    Les données disponibles pour tous les types de cancers montrent que le nombre total d’individus souffrant d’un cancer en 2021 était conforme à la moyenne 2017-2019, mais supérieur aux chiffres enregistrés en 2020.

    Tous les cancers – Source : https://scotland.shinyapps.io/phs-covid-wider-impact/

    Malheureusement, les données ont un énorme retard et, en mars 2022, elles ne couvrent que la période allant jusqu’à juin 2021.

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  3. Toutefois, les données relatives au nombre d’individus souffrant d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

    Cancer des ovaires – Source : https://scotland.shinyapps.io/phs-covid-wider-impact/

    En plus de cela, nous disposons également d’autres données officielles du Royaume-Uni qui montrent que près de 40 000 incidents de changements de règles et de saignements vaginaux inattendus ont été signalés au système de carte jaune de la MHRA en tant qu’effets indésirables de toutes les injections de Covid-19 disponibles à partir de novembre 2021.

    Jusqu’au 17 novembre 21, l’organisme britannique de réglementation des médicaments, la MHRA, avait reçu :

    1 724 rapports de troubles menstruels.
    3 034 rapports d’irrégularités menstruelles.
    5 068 rapports de saignements menstruels abondants.

    …parmi des milliers d’autres troubles de la reproduction, comme effets indésirables présumés du vaccin Pfizer Covid-19.

    - voir graph sur site -

    Source : https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1036445/COVID-19_mRNA_Pfizer-BioNTech_Vaccine_Analysis_Print_DLP_17.11.2021.pdf

    En septembre 2021, le Dr Victoria Male, maître de conférences en immunologie reproductive à l’Imperial College de Londres, a publié un article dans le British Medical Journal dans lequel elle affirme qu’un lien entre les changements menstruels et la vaccination Covid-19 est parfaitement plausible et devrait être étudié.

    - voir graph sur site -

    Source : https://www.bmj.com/content/374/bmj.n2211

    Le Dr Victoria Male conclut dans son article que :

    « Une leçon importante est que les effets des interventions médicales sur les menstruations ne devraient pas être une réflexion après coup dans les recherches futures. »

    « Les essais cliniques constituent le cadre idéal pour différencier les changements menstruels causés par les interventions de ceux qui se produisent de toute façon, mais il est peu probable que les participants signalent des changements dans leurs règles, à moins qu’on ne leur demande expressément. »

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  4. « Les informations sur les cycles menstruels et autres saignements vaginaux devraient être activement sollicitées dans les futurs essais cliniques, y compris les essais de vaccins contre le covid-19. »

    Mais ce qui est peut-être plus intéressant que l’article lui-même, ce sont certaines des réponses qui ont été reçues à son sujet.

    - voir graph sur site -

    Source : https://www.bmj.com/content/374/bmj.n2211/rr-2

    Il est bien sûr impossible de conclure de manière définitive que les injections de Covid-19 sont responsables de l’augmentation du nombre de cancers de l’ovaire.

    Mais avec :

    Des documents confidentiels de Pfizer montrant que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

    Et plus de 40 000 troubles menstruels rapportés comme effets indésirables des injections de Covid-19.

    Il est tout à fait clair que les injections de Covid-19 interfèrent avec le système reproductif et que des études et investigations supplémentaires doivent être menées avec effet immédiat.

    - voir graph sur site -

    Source :

    https://www.actuintel.com/2022/03/11/des-documents-confidentiels-de-pfizer-revelent-que-le-vaccin-covid-19-saccumule-dans-les-ovaires-les-cas-de-cancer-ovarien-nont-jamais-ete-aussi-nombreux-au-royaume-uni/

    Article :

    Actuintel

    Référence :

    https://phmpt.org/pfizers-documents/
    https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf

    https://aphadolie.com/2022/03/11/des-documents-confidentiels-de-pfizer-revelent-que-le-vaccin-covid-19-saccumule-dans-les-ovaires-les-cas-de-cancer-ovarien-nont-jamais-ete-aussi-nombreux-au-royaume-uni/

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  5. Ivermectine : la "Lettre à Andrew Hill" de Tess Lawrie, Pierre Kory et Paul Marik


    le 12/03/2022 à 14:03


    Lettre à Andrew Hill

    Andrew Hill a-t-il volontairement saboté les données sur l’ivermectine pour empêcher son approbation ? Quels liens d’intérêts entretient Unitaid, cette association caritative pour laquelle Andrew Hill travaille ? Qui lui a forcé la main ? C’est la question que lui posent la scientifique Tess Lawrie et les docteurs Pierre Kory et Paul Marik dans ce documentaire adressé sous forme de lettre, dans lequel des extraits vidéo d’échanges entre les différents protagonistes sont inclus.

    En octobre 2020, le Dr Andrew Hill a été mandaté par l’OMS pour évaluer l’efficacité de l’ivermectine. Son travail consistait à faire un rapport qui se voulait une synthèse des dizaines d’études effectuées dans le monde entier qui confirmaient l’efficacité de l’ivermectine dans le traitement du coronavirus. Andrew Hill a échangé avec deux médecins américains, le Dr Paul Marik et le Dr Pierre Kory, ainsi qu’avec la scientifique anglaise Tess Lawrie au sujet des données enthousiasmantes qu’ils avaient observées en soignant les personnes.

    Dans une prépublication, Andrew Hill écrivait que l’ivermectine était associée à une réduction de l’inflammation, à une clairance virale plus rapide, une hospitalisation plus courte avec une récupération clinique favorable et une baisse de la mortalité de 75%. Cependant, il concluait que l’ivermectine devait être validée par de larges essais randomisés à grande échelle afin qu'une recommandation puisse être établie par les autorités règlementaires nationales et internationales.

    Des conclusions évaporées dans sa publication : face à la sévérité de l’épidémie et l’urgence de soigner, Tess Lawrie lui écrit le 17 janvier 2021 pour lui demander de retirer son article, qui pourrait causer de graves dommages en décourageant l'autorisation de l'ivermectine pour soigner le Sars-CoV-2. Le jour suivant, un échange enregistré en visioconférence révèle un Andrew Hill visiblement embarrassé qui se défend maladroitement. Face à lui, Tess Lawrie essaie désespérément de le faire changer d'avis, n'hésitant pas à user de tous les arguments culpabilisants, parlant des patients hospitalisés en soin intensifs ou en train de mourir.

    Qui sont les auteurs cachés qui ont influencé le jugement d’Andrew Hill ? Pourquoi ne sont-ils pas mentionnés dans l’étude scientifique ? Des questions laissées sans réponse par un Andrew Hill qui ne peut masquer son immense gêne. Toutefois, Andrew Hill reconnaît que Unitaid, association pour laquelle il travaille, avait son mot à dire dans les conclusions de l’étude. Les trois scientifiques découvrent alors que Unitaid n’est pas l’œuvre de charité qu’elle prétend être et que de sombres intérêts se cachent derrières les nobles intentions.

    Voir aussi : Ivermectine et fraude scientifique : vers un #UnitaidGate ? (16 mars 2021)

    Reconnaissant implicitement sa faute, Andrew Hill promet de faire tout son possible afin que la molécule soit considérée pour soigner le Sars-CoV-2. Il parle alors de six semaines pour la faire accepter.

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  6. Une année a passé. Tandis que les vaccins expérimentaux sont autorisés dans le monde entier, l’ivermectine n’est toujours pas approuvée par les autorités.

    Cette lettre bouleversante est l’occasion pour ces médecins et scientifiques d’exprimer à Andrew Hill tous leurs regrets et toute leur peine pour ces occasions manquées, ces vies gâchées ou perdues.

    Mais, parce qu’il n’est jamais trop tard, Tess Lawrie lui demande de se racheter en révélant la pression qu’il a subie pour saper les preuves sur l’ivermectine, l’invitant à opérer une rédemption pour réparer tout le mal qu’il a causé.

    - voir clip sur site -

    Lire aussi: Un scandale ivermectine ? Qui se cache derrière les conclusions modifiées de l'étude du Dr Andrew Hill ?

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/lettre-andrew-hill

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  7. EPR d’Olkiluoto : 17 ans plus tard !


    le 13 mars 2022


    Le premier EPR mis en chantier dans le monde a enfin été connecté au réseau électrique de la Finlande et le 15 mars 2022 ce sera officiel. Cette grande nouvelle a été annoncée par TVO (Teollisuuden Voima Oyj) ce vendredi 13 mars. Il aura fallu dix-sept années pour que cette usine soit enfin opérationnelle mais pas à pleine puissance avant le 31 juillet …

    Les premiers travaux ont débuté le 12 août 2005. Depuis 1990 jamais aucun réacteur nucléaire n’avait été construit en Europe. Cette usine faisait l’objet d’un partenariat entre Areva NP et Siemens. La cuve du réacteur a été fabriquée par Mitsubishi Heavy Industries, la turbine a été fournie par Siemens. Le coût initial du projet avait été arrêté à 3 milliards d’euros et au final le coût est de 11 Md d’euros. Ce projet a été émaillé de nombreux débats d’ordre financier jusqu’au rachat d’Areva NP par Électricité de France lorsque Siemens revendit sa participation dans Areva NP. Outre le fait qu’Areva n’était pas préparé pour diriger un tel chantier, il ressortit que le savoir-faire de la France dans l’énergie nucléaire avait pratiquement disparu autant dans les bureaux d’étude d’Areva que chez les sous-traitants. Les délais à répétition dans la construction de l’EPR de Flamanville en France s’expliquent par les mêmes raisons.

    Alors qu’en Chine il aura fallu moins de 9 ans pour que les deux EPR de Taishan soient connectés au réseau, l’explication est simple : le consortium impliqué dans la construction de ce très important projet comprend à hauteur de 30 % EDF et à hauteur de 70 % China Guandong Nuclear Power Group qui construit quasiment à la chaine des CPR-1000 d’une puissance nominale de 1085 MWe comprenant trois générateurs de vapeur. Il s’agit d’une version un peu plus puissante que la dernière série de PWR de 900 MWe construits à Gravelines en France au cours des années 1980 mais comprenant trois générateurs de vapeur et un système de sécurité passif. Il ne fait aucun doute que le gigantisme des EPR et la complexité des circuits de sécurité seront abandonnés en raison des déboires rencontrés tant en Finlande qu’en France et la voie sera ouverte pour les nouvelles générations standardisées dite « Hualong One » ou HPR1000 dont dix unités sont en cours de construction en Chine. Ce modèle a été approuvé par divers pays dont la Grande-Bretagne, l’Argentine et paradoxalement l’Union européenne. Fin de partie pour le savoir-faire français ?

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/13/epr-dolkiluoto-17-ans-plus-tard/

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  8. Il faut relancer le dossier gaz de schistes en Europe

    L’économie européenne pourrait s’effondrer dans les prochaines années face à des concurrents américains bénéficiant d’une énergie 15 fois moins chère grace au gaz de schiste.

    Philippe Charlez
    le 13 mars 2022


    Nous avions avec Pascal Baylocq en 2014 expliqué dans Gaz et Pétroles de Schistes en Questions1 comment les Américains avaient recouvré au cours des 15 dernières années une indépendance énergétique qu’ils avaient pourtant progressivement perdue depuis les Trente glorieuses. À l’aube du XXIe siècle, le pays de l’Oncle Sam dépendait à 70 % de ses importations pétrolières et à 15 % de ses importations gazières.

    Tous les conflits notamment au Moyen-Orient depuis la fin des années 1960 (guerre du Kipour, Révolution iranienne, guerre d’Afghanistan, première et seconde guerre du Golfe) pouvaient se lire en filigrane de la dépendance énergétique américaine. Conscients que leurs besoins futurs en gaz naturel allaient inexorablement s’accroître, ils avaient construit le long de la côte atlantique des terminaux de regazéification.

    Le double jeu des États-Unis sur les hydrocarbures et le gaz de schiste

    En 2005, l’Agence Internationale de l’Énergie prévoyait qu’à partir de 2010, les États-Unis devraient importer massivement du gaz naturel liquéfié et deviendraient dès 2010 le second importateur derrière le Japon. Dans ce scénario, la Russie et l’Iran devaient jouer un rôle accru dans la fourniture de gaz naturel liquéfié avec un pouvoir de nuisance renforcé. Cette importation massive aurait alors un impact majeur sur les prix.

    Dans la réalité c’est l’inverse qui s’est produit. Grâce aux gaz de schistes, les Américains ont fortement accru leur consommation gazière remplaçant notamment de nombreuses centrales à charbon par du gaz. Un remplacement massif leur permettant de réduire de 15 % leurs émissions de gaz à effet de serre, l’une des meilleures performances mondiales de ces dix dernières années.

    Mais surtout les flux de gaz naturel liquéfié se sont inversés : les terminaux de regazéification ont été recyclés en terminaux de liquéfaction et au lieu de caboter du Moyen-Orient vers les côtes américaines, les méthaniers voguent maintenant depuis le Golfe du Mexique vers la Corée, le Japon, la Chine et l’Europe. Quant au prix du gaz américain il est aujourd’hui 15 fois moins cher qu’en Europe. Telle est la valeur inestimable d’une indépendance énergétique retrouvée !

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  9. En décrétant un embargo sur le pétrole et le gaz russe Joe Biden fait preuve d’un cynisme sans limite : sans aucun impact sur l’économie américaine qui n’importe ni pétrole ni gaz de Russie, cet embargo continuera de faire grimper les prix du gaz naturel liquéfié américain que « Sleepy Joe » est prêt à nous vendre au prix fort. Valant moins de 15 euros le MWh en quittant le golfe du Mexique, il sera vendu en Europe à plus de 200 euros/MWh.

    D’autant que nous ne pouvons plus bénéficier aujourd’hui de « l’effet tampon » d’un euro fort comme tel fut le cas en 2007 quand l’euro s’échangeait à 1,6 dollar. Un véritable jackpot pour des États-Unis qui n’ont plus aucun besoin d’intervenir militairement pour assurer leur sécurité énergétique. Après être partis d’Afghanistan l’été dernier il ont clairement indiqué qu’ils n’avaient aucune intention d’intervenir en Ukraine.

    L’impuissance de l’Europe

    Face à l’indépendance énergétique américaine retrouvée, l’Europe ne peut que constater sa faillite énergétique imprimée depuis le début du siècle par le climato gauchisme. Il est aujourd’hui établi que certaines ONG bien-pensantes ont entretenu des relations incestueuses avec le géant Gazprom et obtenu des oligarques russes de juteux financements en échange d’un puissant lobbyisme anti-nucléaire et anti-gaz de schistes. Qui se souvient de la manipulation grossière du film Gasland et de son robinet en feu qui enflamma l’imagination collective ? Qui se souvient de l’instrumentalisation du débat entretenue par José Bové député européen écolo à l’époque ?

    Qui se souvient de la position de Ségolène Royal alors ministre de l’Environnement qui voulait « examiner juridiquement la façon d’interdire l’importation de gaz de schistes américain » dénonçant un contrat passé entre ENGIE et l’entreprise américaine CHENIERE en vue de la fourniture de gaz naturel liquéfié américain ? Qui se souvient de la déclaration solennelle de François Hollande « tant que je suis président, il n’y aura pas d’exploration de gaz de schistes » ; exploration et non exploitation… nous n’étions même plus autorisés à regarder ! L’ancien président qui « solennellement a appelé à arrêter d’acheter du gaz russe » ferait bien de balayer sous sa porte !

    Il faut reconnaître qu’à l’époque l’opposition sociétale n’était pas le seul frein à l’exploitation des gaz de schistes en Europe. L’effondrement des cours des hydrocarbures en 2015 rendait leur exploitation non-économique. Convaincus de cette non-économicité et ne souhaitant pas dégrader leur image, la plupart des acteurs privés et publics se sont alors retirés.

    Les contextes sociétal (impasse avérée du 100 % renouvelable, croissance de la demande gazière) et économique (prix stratosphériques du gaz) ont évidemment complètement modifié la donne. Faut-il pour autant rouvrir le dossier gaz de schiste ?

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  10. En 2013, l’Agence Américaine de l’Énergie avait établi en première approximation que l’Europe recelait dans son sous-sol 15 trillions de m3 de gaz de schiste dont 20 % (soit 2500 milliards de m3) seraient exploitables. Le scénario de développement conduisait à une production annuelle de l’ordre de 160 milliards de m3 soit exactement les importations russes estimées en 2020.

    En d’autres termes, le développement des gaz de schistes en Europe pourrait nous libérer totalement du carcan Russe.

    Il faut changer de paradigme

    Pour satisfaire cet objectif, il faudrait forer 50 000 puits. L’empreinte au sol serait de l’ordre de 500 km2 (soit l’équivalent du lac de Genève). Quant à la quantité d’eau nécessaire pour effectuer la fracturation hydraulique elle serait comprise entre 500 millions et un milliard de m3, une « goutte d’eau » à l’échelle européenne quand on compare aux 30 milliards de m3 consommés en France chaque année et dont 20 %, soit 6 milliards de m3 fuient dans la nature.

    Il s’agirait évidemment d’un changement de paradigme pour une Europe aujourd’hui figée dans sa bien-pensance climato-gauchiste. D’interdiction en moratoire et d’hésitations en contradictions, l’Europe est en train de passer à côté de sa révolution énergétique aussi bien sur le gaz que sur le nucléaire.

    Déjà fortement affectée par la crise du covid, l’économie européenne pourrait s’effondrer dans les prochaines années face à des concurrents américains bénéficiant d’une énergie 15 fois moins chère. L’indépendance énergétique américaine retrouvée montre qu’il n’y a pas de fatalité au déclin.

    Philippe Charlez et Pascal Baylocq (2014) Gaz et Pétroles de Schistes…en questions Éditions Technip ↩

    https://www.contrepoints.org/2022/03/13/423239-il-faut-relancer-le-dossier-gaz-de-schistes-en-europe

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    1. L'article ci-dessus fait partie du dossier 'Comment arriver à la fin du monde' !
      Le gaz de shiste existe depuis des millions d'années à faible profondeur et est disponible dans pratiquement tous les pays. Oui mais avant de crier Hourra ! il faut savoir que ce gaz n'a aucune pression. Il est donc nécessaire de lui en donner afin de le pomper (les frais commencent). Et, les exploitants utilisent des explosifs descendus en galeries pour faire sauter et boucher des galeries et des nappes. Et donc, quand l'amas de pierre est suffisant, le gaz a alors assez de pression pour être pompé. Jusque là çà va. Oui mais... oui mais il y a les galeries souterraines qui amènent l'eau des mers & océans vers les nappes phréatique. Et, ces mêmes galeries sont susceptibles d'être bouchées lors des explosions ! et même, compte-tenu de la nature des explosifs, l'eau peut être rendue imbuvable pour 10 000 ans !

      C'est ce qui est arrivé aux États-Unis ! Des explosions à 100 km qui ont empoisonné l'eau des puits tout autour du point de forage !!! Et qui - de plus ! - du gaz (qui pouvait être enflammé) sortait des robinets de cuisines et salles de bain !!

      Vous vous imaginez çà ? Devoir du jour au lendemain acheter la totalité de votre eau ? C'est pourquoi les fracturations sont soutenues par les exploitants de sources qui vendent très cher l'eau gratuite en bouteilles !
      Mais le pire est que c'est peut-être un pays voisin qui va exploiter le gaz de shiste des sous-sols et qui va polluer votre éternellement !

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  11. La Californie, Terre Du Bonheur ?


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 12 MARS 2022 - 22:00


    Quatre des huit villes américaines les mieux classées en termes de bonheur global sont situées en Californie.

    - voir carte sur site -

    Infographie : La Californie, patrie du bonheur ? | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Comme le détaille Florian Zandt de Statista ci-dessous, selon une analyse de WalletHub, une seule ville non située sur la côte ouest des États-Unis a réussi à entrer dans le top 3 l'année dernière.

    La ville en question est Columbia, Maryland, qui se classe au deuxième rang de l'indice WalletHub des 182 villes américaines les plus heureuses. Lorsque l'on regarde les scores individuels pour chacune des trois dimensions analysées, l'image dépeinte change un peu. Par exemple, Columbia est classée parmi les pires villes en termes de revenu et d'emploi, une catégorie englobant les taux de pauvreté, la satisfaction au travail, la sécurité de l'emploi, les heures de travail hebdomadaires ou le taux de sous-emploi, mais se classe cinquième et troisième en termes de troubles émotionnels et physiques. le bien-être et la communauté et l'environnement, respectivement.

    La première ville de cette dernière catégorie, qui comprend le taux de séparation et de divorce, l'incidence des crimes de haine et le temps de loisirs passé par jour, est Casper, Wyoming, qui occupe la 79e place au classement général.

    Fremont, d'autre part, n'est pas seulement la ville la plus heureuse des États-Unis selon WalletHub, mais a également obtenu les meilleures notes dans la catégorie bien-être, qui prend en compte des problèmes tels que les taux de dépression et de suicide, un sommeil suffisant, la participation sportive. et l'insécurité alimentaire.

    Nous n'avons qu'une seule question : si tout le monde en Californie est si « heureux », pourquoi voyons-nous un nombre record de départs de l'État et des taux de natalité chuter ?

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/california-home-happiness

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  12. La ville de tentes de Phoenix s'étend à près de 1 000 alors que la crise de l'abordabilité du logement s'aggrave


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 12 MARS 2022 - 20:00


    Un immense campement de sans-abri dans le centre-ville de Phoenix, en Arizona, connu sous le nom de "Zone", fait froncer les sourcils alors que la population du refuge passe à plus de 900 personnes.

    La zone est située sur la 9e avenue, la rue Jackson, la 13e avenue et la rue Jefferson à Phoenix, en bas de la rue du complexe Arizona State Capitol.

    Vice News souligne que "le camp a plus que doublé de taille en deux ans peut être un témoignage de la gravité de la crise du logement à Phoenix".

    "Les gens disent : 'Êtes-vous surpris ?' Et je dis: "Non, pas vraiment, parce que toutes les forces du logement de Phoenix et du comté de Maricopa travaillent contre nous depuis des années", a déclaré Amy Schwabenlender, directrice exécutive du Human Services Campus, qui travaille dans la zone.

    "Nous avons eu une augmentation continue de la population à Phoenix et dans le comté de Maricopa. Nous n'avons pas eu de production de logements à tous les niveaux de revenu pour suivre et répondre à cette augmentation de la population", a déclaré Schwabenlender.

    Selon Schwabenlender, la ville de tentes comptait 200 habitants l'été dernier. Fin 2021, la population est passée à 500, puis 700, et au cours des trois dernières semaines, le nombre a bondi à 900 personnes sans abri. L'augmentation rapide coïncide avec un boom massif du marché immobilier résidentiel de l'Arizona, où les loyers et les prix des logements ont grimpé en flèche pendant la pandémie de virus, grâce à des taux d'intérêt au plus bas et à un faible inventaire.

    - voir graph sur site -

    Les prix des maisons dans la région métropolitaine ont grimpé au-dessus des niveaux de 2008.

    - voir graph sur site -

    "Avec la hausse des loyers et le manque de logements abordables - qui était une crise il y a quelques années et qui l'est toujours - nous allons continuer à voir une augmentation de l'itinérance", a déclaré la PDG du refuge, Lisa Glow.

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  13. On ne sait pas comment tous ceux qui vivent au campement du centre-ville de Phoenix y sont arrivés. Mais les données devraient montrer une augmentation du nombre de sans-abrisme pour la première fois dans le comté de Maricopa au cours de la pandémie, selon Glow. Un plus grand nombre de personnes devenant sans-abri pour la première fois pourrait indiquer de plus grands problèmes d'abordabilité du logement dans le comté, plutôt que de montrer que les mêmes personnes entrent et sortent à vélo des refuges et des camps. - Vice

    Le nombre croissant de personnes sans abri dans la zone " Bidenville " est le deuxième plus grand campement des États-Unis. Le premier est Skid Row dans le paradis libéral du centre-ville de Los Angeles, avec une population stable approximative d'environ 4 200 à 8 000 personnes. Certaines personnes dans la bande de dérapage vivent comme des rois (lire : ici).

    https://www.zerohedge.com/political/phoenixs-tent-city-expands-nearly-1000-housing-affordability-crisis-worsens

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  14. La Hongrie compte maintenir ses importations de gaz russe
    La Hongrie ne renoncera pas au gaz russe.


    le 12/03/2022 à 17:00 - Mise à jour à 17:57


    La Hongrie ne compte pas suivre l’exemple des autres pays membres de l’Union européenne qui affichent leur volonté de s’émanciper des importations de gaz russe. Le 6 mars, Budapest, qui avait signé deux contrats avec Gazprom en septembre 2021, a annoncé que la Hongrie maintiendrait ses livraisons de gaz russe. 80% de sa consommation de gaz provient de Russie. Pour le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto, interviewé par Veszpremi Naploban le 6 mars, préserver le partenariat entre la Hongrie et la Russie dans ce domaine est impératif.

    « Les contrats de livraison de gaz avec les Russes ont toujours été honorés par les deux parties », a déclaré le ministre qui espère « que cela continuera ». « Dans le cas contraire, un énorme problème se posera », a-t-il estimé.

    « Les importations en provenance de Russie représentent plus de 40 % de l'approvisionnement en gaz naturel de l'Europe. Dans le cas de la Hongrie, les importations russes représentent plus de 80 % du gaz consommé dans le pays », a rappelé le chef de la diplomatie hongroise. « Si la proposition de l'opposition de stopper les importations de gaz [russe] était mise en pratique, la Hongrie n'aurait plus de chauffage, plus d'industrie, plus d'emplois — et les entreprises feraient faillite », a-t-il averti.

    « La poursuite de l'approvisionnement en gaz est dans notre intérêt », a soutenu Peter Szijjarto, qui a fait valoir que celle-ci était « tout à fait conforme aux règles européennes, car Gazprom ne figure pas sur la liste des sanctions sous quelque forme que ce soit, et Gazprombank ne figure pas sur la liste des banques à déconnecter de SWIFT ».

    En septembre dernier, la Hongrie a signé deux contrats à long terme avec Gazprom. Via des gazoducs passant par la Serbie et l'Autriche et contournant l'Ukraine, la Russie fournira à la Hongrie 4,5 milliards de mètres cubes de gaz au total. Cet accord est prévu pour durer 15 ans, mais il pourra être revu dans les 10 ans selon le début de sa mise en œuvre.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-hongrie-compte-maintenir-ses-importations-de-gaz-russe

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  15. Une solution concrète à la crise ukrainienne et la fin de la menace d’une guerre mondiale


    Par Emanuel Pastreich
    Mondialisation.ca, 11 mars 2022


    Ce qui se passe en Ukraine a de très graves implications géopolitiques. Cela pourrait nous conduire à un scénario de troisième guerre mondiale.

    Il est important qu’un processus de paix soit engagé afin d’éviter une escalade.

    Mondialisation.ca n’est pas en faveur de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Un accord de paix bilatéral est nécessaire.

    ***

    Dans un entretien accordé juste avant sa mort en 2012, Günter Grass, qui a décrit de manière si poignante les horreurs de la guerre dans son roman « Le Tambour », a parlé de manière sinistre l’ingérence de l’Amérique en Ukraine, en faisant remarquer :

    “Il y a la guerre partout ; nous courons le risque de commettre les mêmes erreurs qu’auparavant. Sans nous en rendre compte, nous pouvons nous engager dans une guerre mondiale comme si nous étions somnambules.”

    La soudaine frénésie médiatique autour de l’invasion de l’armée russe en Ukraine pour défendre Donetsk et Lougansk, la région du Donbass comportant une population majoritairement russophone, nous désoriente profondément. Nous savons déjà depuis quelques années, et depuis vingt ans, que le journalisme, globalement, est mort et que peu d’informations que nous recevons sont fiables.

    Le nombre de Russes ou d’Ukrainiens qui auraient été tués pourrait être aussi précis que le nombre de personnes infectées par le COVID-19, une fausse maladie. Nous devrons peut-être attendre des années pour connaître le fond de ce conflit.

    Nous avons peu d’idée de ce qui se passe en Ukraine, mais nous pouvons être sûrs que la nouvelle tendance de la géopolitique qu’elle génère, l’escalade sans précédent, menace tout le monde.

    Nous avons été habilement divisés par les puissants, une fois de plus. Certains se précipitent pour condamner l’invasion de l’Ukraine par la Russie comme un crime horrible, organisant des manifestations de bonne foi dans tout le pays. Ils s’inquiètent de l’expansionnisme russe, de la domination russe et de l’influence mondiale d’un système étatique dont le président Vladimir Poutine est le centre d’attention.

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  16. Leurs inquiétudes, bien que parfois exagérées, ne sont pas sans fondement.

    D’autres, en revanche, considèrent l’ingérence des États-Unis en Ukraine au cours des vingt dernières années, et notamment l’orchestration secrète par les États-Unis et l’OTAN du renversement du président ukrainien Viktor Ianoukovytch en 2014 comme un coup d’État illégal. Ils condamnent les horribles bombardements de la région du Donbass par le gouvernement d’extrême droite, anti-russe, installé à Kiev. Et ils expriment leur inquiétude quant au financement par les États-Unis, et d’autres Européens, de groupes russes d’extrême droite, explicitement nazis et anti-ethniques, qui ont été responsables de la plupart des violences de ces huit dernières années.

    Leurs préoccupations ne sont pas sans fondement.

    Mais prétendre que la Russie est expansionniste alors que les États-Unis ont étendu les tentacules de l’empire aux quatre coins du globe, c’est idiot et risible.

    De même, prétendre que le président Vladimir Poutine offre une réelle opposition à l’expansionnisme américain, qu’il présente une défense de l’État de droit et un internationalisme légitime, est illusoire.

    Mais vous, le citoyen américain, habilité par la Constitution et handicapé par la multinationale, êtes obligé de vous fier à des sources d’information comme le New York Times, le Washington Post, CNN, ou les nouvelles alternatives de gauche et de droite, des sources de qualité variable qui promeuvent des scénarios destinés à masquer la manière dont les institutions financières mondiales, une poignée de super riches, soumettent l’économie des États-Unis à une démolition contrôlée dans l’intention d’intégrer les fragments restants en état de choc dans une nouvelle économie mondiale contrôlée par des forces invisibles.

    Nos médias, à de très rares exceptions près, évitent d’enquêter sur les contradictions structurelles profondes, comme la surproduction et la fausse croissance alimentée par des dettes cachées, qui nous amènent à rebondir entre la guerre avec la Chine et la guerre avec la Russie afin de maintenir les milliardaires au pouvoir.

    Toutes ces sources médiatiques vous ont menti sans broncher sur l’attentat du 11 septembre 2001, sur l’escroquerie du COVID-19, et elles veulent que vous oubliiez les milliers de milliards de dollars volés par les banques d’investissement en 2020, et que vous évitiez toute considération sur la façon dont les super-riches réduisent nos citoyens en esclavage.

    Malheureusement, les médias de la Russie ou de la Chine ne sont pas beaucoup mieux, même s’ils abordent parfois des sujets interdits à Washington.

    Ce que nous pouvons dire aujourd’hui sur le conflit en Ukraine, c’est que, aucun des deux camps, et il y a peut-être plus de deux camps impliqués, ne vise un changement progressif ou un léger avantage sur l’autre.

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  17. La communauté internationale fondée sur les principes de la Charte des Nations unies, une communauté qui avait eu du mal à exister, entre la décadence et la corruption, la concentration radicale des richesses, la privatisation criminelle du gouvernement, et la réduction de l’éducation et du journalisme à des outils de contrôle social. Eh bien, cette communauté est, enfin, morte.

    La communauté internationale a changé, elle a changé du tout au tout.

    Ne vous y trompez pas, l’abrutissement de nos citoyens, la destruction des institutions de gouvernance, d’éducation et de journalisme au cours de l’opération COVID-19, a ouvert les portes à une bataille mondiale, chez nous et à l’étranger, comme aucun d’entre nous n’en a vu au cours de sa vie.

    Il ne s’agit certainement pas d’une bataille idéologique de la Guerre froide. Les titres à la une des médias sur la “droite” et la “gauche” renvoient à des acteurs du pouvoir qui n’offrent aucune analyse idéologique sur les moyens de production et la façon dont le pouvoir se perpétue. Le dialogue sur la politique n’offre aucune analyse idéologique sérieuse.

    Non, le grand dérèglement actuel ressemble aux jours qui ont précédé la Première Guerre mondiale, lorsque les gouvernements nationaux qui contrôlaient les empires multinationaux faisaient appel au patriotisme et créaient l’unité par le biais d’un effort de guerre, une guerre destinée à générer des profits et à détourner l’attention des contradictions sociales. Selon le raisonnement des banquiers d’alors et d’aujourd’hui, le conflit crée la demande, accroît l’autorité de l’État et donne des raisons de supprimer les discussions ouvertes.

    À l’époque comme aujourd’hui, la finance mondiale n’avait aucun engagement envers une nation spécifique, et cherchait à obtenir des avantages en Angleterre, en Allemagne, en Russie et en France en encourageant la guerre.

    Les deux systèmes actuels, représentés en ce moment par Washington et Moscou, ne sont pas en concurrence pour une simple influence politique.

    Ceux qui sont rassemblés autour de Joseph Biden à la Maison Blanche, ceux qui sont rassemblés autour de Boris Johnson au 10, Downing Street, et leurs adeptes dans le monde des affaires, menacent d’attaques militaires et imposent des sanctions extrêmes telles que la fermeture de l’espace aérien aux avions russes, et la fin des communications pour les Russes via les téléphones portables.

    L’OTAN et les États-Unis, par le biais d’actions récentes qui excluent la Russie des systèmes monétaires et logistiques internationaux, sont déterminés à démanteler complètement la Russie et à ne laisser derrière eux que des décombres culturels. Les demandes de création d’une zone d’exclusion aérienne en Ukraine sont des demandes de guerre avec la Russie, des demandes de guerre nucléaire. Lorsque le sénateur Lindsey Graham demande que le président Poutine soit assassiné, lorsque le général russe Andrei Sukhovetsky est tué, nous sommes dans une guerre qui doit être arrêtée.

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  18. Mais quelque chose d’autre se passe ici. Ces sanctions contre la Russie sont soudainement annoncées dans les médias sans aucune discussion sur le processus par lequel elles ont été initiées ni qui les mettra en œuvre. L’argument avancé est qu’une Russie autoritaire menace les démocraties. Mais les actions de ces démocraties les transforment en dictatures.

    En conséquence, les institutions mondiales comme Bretton Woods, les Nations unies, ainsi que les sociétés informatiques comme Google, Facebook, Microsoft et Oracle, sont militarisées en ce moment même.

    Ce qu’ils ont été autorisés à faire aux Russes aujourd’hui, ils vous le feront demain, et il n’y aura aucun appel, précisément parce que les politiques ont été formulées et mises en œuvre en secret.

    Votre compte bancaire, votre véhicule peuvent être bloqués et vos moindres faits et gestes peuvent être traqués par ces forces cachées. L’oppression des citoyens au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Autriche était la ligne de front de cette guerre contre les citoyens de la Terre. Maintenant, quelque chose de bien pire se traîne vers Kiev pour naître.

    Un gouvernement de l’ombre se cache derrière les titres “gouvernement américain”, “gouvernement allemand”, “OTAN”, “Banque mondiale” ou “Nations unies” et il sera en mesure de saisir tout ce que vous possédez, et de vous mettre en prison, sans aucune procédure régulière.

    Les Russes préparent leur propre réponse sur la scène mondiale, et ils travailleront très probablement avec l’Iran, et peut-être avec la Chine, et avec les mécontents en Europe et aux États-Unis.

    Les Russes ne nous diront pas ce qu’ils préparent, et nos médias corrompus n’expliqueront pas quelles mesures la Russie prendra pour démanteler les États-Unis.

    Mais nous pouvons être sûrs que les fondations du gouvernement, de la finance et du journalisme aux États-Unis sont si fragiles et si pourries que les Russes pourront y faire de nombreux ravages.

    Il est triste que nous consacrions tant d’efforts à nous déchirer les uns les autres alors que nous devrions construire des institutions mondiales pour le désarmement et la non-prolifération, pour répondre à la catastrophe climatique et pour mettre fin à la domination de la finance privée et à la tyrannie technologique sur les bons citoyens des États-Unis, de la Russie et du reste du monde.

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  19. Les sanctions contre la Russie sont présentées comme dévastatrices. Mais du point de vue de la Russie, les sanctions rendent nécessaires l’autosuffisance et l’indépendance économique, ce qui est sain. Elles réduisent la touche empoisonnée des institutions financières vampires comme BlackRock, Vanguard et Goldman Sachs ; des institutions qui nuisent aux États-Unis.

    Que s’est-il passé le 19 février ? La vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, a prononcé un discours à la Conférence sur la sécurité de Munich dans lequel elle a appelé tous les membres de l’OTAN (qu’elle a qualifiée de “la plus grande alliance militaire que le monde n’ait jamais vue”) à se joindre aux États-Unis pour se préparer à affronter la Russie sur tous les fronts.

    Lorsque Mme Harris a déclaré que “les frontières nationales ne devraient pas être modifiées par la force”, lorsqu’elle a promis “des coûts économiques sans précédent”, lorsqu’elle a demandé à l’OTAN “d’aller de l’avant avec des conséquences”, elle a émis une déclaration de guerre contre la Russie, peut-être une guerre par d’autres moyens que les chars et les avions de combat.

    La conférence de Munich sur la sécurité, financée par l’OTAN, par la finance mondiale et par des entrepreneurs militaires qui rêvent de guerre, avait un mince soupçon de légitimité qui permettait à Madame Harris de parler en toute confiance.

    Elle représente parfaitement la politique culturelle employée pour masquer l’émergence de la lutte des classes et pour faire du Parti démocrate une société de relations publiques vouée à convaincre les Américains que la fusion du pouvoir des entreprises et du gouvernement est bonne parce que les minorités y jouent des rôles clés.

    Kamala Harris a été présentée dans les médias de masse (des médias qui ne se soucient guère des réalités auxquelles sont confrontés les travailleurs de toutes les couleurs) comme “brisant les barrières” en étant la première femme, le premier Indien [Asie] d’Amérique et le premier Afro-Américain à accéder à un poste aussi important.

    Son ascension vers la célébrité a de la valeur, mais si nous examinons son rôle en tant que procureur du district de San Francisco, nous constatons qu’elle a détruit la vie de jeunes gens, noirs pour la plupart, qui ont été enfermés pour servir les franchises de prisons privées.

    Kamala Harris nous sert le poison élaboré par la classe criminelle des banquiers dans une coupe multiculturelle brillante, avec une touche de rhétorique progressiste pour que le goût amer soit supportable.

    Le président Vladimir Poutine a prononcé son discours officiel à Kamala Harris, et plus largement aux États-Unis et à l’OTAN, le 21 février au Kremlin. Son discours a montré un contraste notable. Poutine a présenté le contexte historique des interventions américaines et de l’OTAN en Ukraine de manière lucide et largement exacte. Il a donné plus de détails sur la politique que ne le ferait n’importe quel politicien américain.

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  20. Il a défendu la diplomatie, les institutions internationales et la nécessité d’un dialogue concret. Il mérite d’être félicité pour cet effort.

    Mais il y avait aussi des signes inquiétants.

    Poutine était assis à un bureau dans le glacial Kremlin, avec ses hauts plafonds et ses murs en marbre, et s’adressait à un petit groupe d’élites du gouvernement. Son allure était parfaite, il portait une veste et une cravate méticuleusement choisis et observait chaque détail du processus comme un aigle.

    Derrière lui étaient suspendus deux drapeaux : le drapeau de la Fédération de Russie et le drapeau de la présidence de la Russie. Le drapeau personnel de Poutine comporte un aigle double symbolisant le pouvoir de l’État et l’image de Saint Georges coupant la tête d’un dragon. C’est un drapeau qui représente l’autorité de l’empereur pour punir.

    Poutine ressemble le plus à Napoléon Bonaparte, un empereur qui s’est fait tout seul et qui était déterminé à faire plier le monde à sa volonté. En 1800, Napoléon a brandi le code Napoléon qui accordait des droits fondamentaux à tous les hommes, et il s’est opposé au pouvoir de l’Église catholique et de la noblesse. Mais sa manœuvre en Europe était un moyen d’accroître son pouvoir et celui de l’État.

    De même, Poutine a prôné les traités internationaux et la diplomatie, le dialogue rationnel entre les nations, tout en s’appuyant sur un groupe restreint de milliardaires qui ne s’intéressent pas au commun des mortels.

    On a assisté à une montée de sympathie pour Poutine dans le monde entier. Mais avant de nous laisser emporter, vérifions les faits.

    Poutine s’est-il rendu compte que le COVID-19 est une escroquerie qui permet aux super-riches de prendre le contrôle de l’économie mondiale ? Non, il a présumé que la Russie et les États-Unis étaient tous deux dirigés par des gouvernements fonctionnels et a suggéré que quelques réunions avec le secrétaire d’État américain Anthony Blinken pourraient dissiper les malentendus.

    Bien que Poutine ait, à son crédit, discuté de la concentration des richesses et de la privatisation du gouvernement, il n’en demeure pas moins qu’il ait accepté que le système des Nations unies soit réduit à un jouet pour les super riches. Il n’a même pas fait allusion à la montée en puissance des banques multinationales, à la guerre contre l’argent, à la vie privée et à l’autonomie sur un corps humain.

    Rappelons que la Russie, présentée comme une alternative, est un membre actif du Forum économique mondial et qu’elle a mis en œuvre de nombreuses politiques du COVID-19, même si ce n’est peut-être pas aussi sévèrement que d’autres pays.

    Le discours de Poutine portait sur les liens de sang, les liens familiaux, entre la Russie et l’Ukraine. Il a parlé comme un tsar et a rejeté la responsabilité des problèmes de la Russie sur le Parti communiste, les bolcheviks.

    Bien que les échecs de Vladimir Lénine et du Parti communiste russe soient bien documentés, la suggestion de Poutine selon laquelle le Parti communiste était désespérément déconnecté de la réalité, qu’il avait signé un traité de paix humiliant avec l’Allemagne pendant la Première Guerre mondiale par manque de bravoure, était trompeuse.

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  21. Lénine et ses partisans ont lutté contre la question des classes et de la concentration des richesses. Ils ont peut-être été mal inspirés, mais, contrairement à Poutine, ils avaient raison.

    Lénine était un politicien et un penseur imparfait, mais sa compréhension de la lutte des classes et des crimes cachés de la finance mondiale est directement applicable à la crise que nous traversons aujourd’hui.

    Que devons-nous faire en réponse à cette crise ?
    Nous sommes confrontés à une guerre en Ukraine qui fait partie d’une guerre mondiale plus vaste, une guerre destinée à transformer la société humaine en une prison, en un cauchemar numérique dans lequel des techno-tyrans irresponsables peuvent traquer et punir à volonté n’importe qui pour n’importe quelle raison. Des armes silencieuses destinées à détruire le corps et l’esprit sont utilisées dans cette guerre tranquille menée par des superordinateurs. Personne, personne dans les médias corporatifs ne vous dira jamais cette vérité.

    La guerre a déjà commencé. Ce sera une guerre différente de toutes celles que nous avons connues auparavant. Très probablement, beaucoup des armes coûteuses que nous avons achetées s’avéreront inutiles.

    C’est une règle de base de l’histoire que nous nous préparons toujours à mener la dernière guerre. Les charges de cavalerie du XIXe siècle se sont révélées inutiles face aux mitrailleuses de la Première Guerre mondiale, et les biplans des années 1930 n’ont pas fait le poids face aux avions de chasse, aux porte-avions et aux bombardiers à long rayon d’action de la Seconde Guerre mondiale.

    Nous nous préparons depuis longtemps à une certaine version de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui encore, les experts peinent à faire entrer la guerre en Ukraine dans la case de la Seconde Guerre mondiale ou de la Guerre froide.

    Cette guerre ressemble à la Seconde Guerre mondiale en ce sens qu’elle est composée de puissances alliées dans le monde entier, engagées dans une lutte mondiale pour le contrôle absolu.

    Cette guerre ressemble à la guerre civile en ce sens qu’elle oppose frère contre frère, et État contre État – comme nous l’avons vu dans les campagnes du COVID-19.

    Cette guerre ressemble à la guerre du Vietnam. L’ennemi est partout.

    Et, cette guerre comporte de nouveaux éléments. La destruction, la conservation et la manipulation massives de l’information signifient que des dizaines de milliers de personnes peuvent être tuées et que la plupart des gens ne sauront jamais que quelque chose s’est passée.

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  22. La militarisation de l’argent, de la médecine, des communications, du journalisme et de l’éducation nous place devant des défis sans précédent. Les experts militaires ne sont pas en mesure de saisir cette nouvelle réalité car ils sont eux-mêmes pris dans la grande réinitialisation. Beaucoup sont plus préoccupés par leurs prestations de retraite que par la sécurité à long terme de notre peuple.

    Nous assistons à un modèle d’interférence dans lequel la lutte impériale traditionnelle d’une guerre mondiale est projetée sur une forme sans précédent de guerre de classe technologique.

    Cela signifie que nous ne pouvons pas exclure la possibilité que la guerre en Ukraine soit en fin de compte un “jeu de riches” destiné à poursuivre l’asservissement de l’homme du peuple.

    L’homme le plus riche de la planète, un criminel sans pitié, Elon Musk, a accepté les demandes du gouvernement ukrainien de fournir des services internet via ses satellites Starlink. Quel humanitaire ! Ou cette guerre n’est-elle qu’un moyen plus efficace de faire passer la grande réinitialisation, d’enlever les biens des citoyens et de les dépouiller des moyens de production ? Serons-nous tous contraints, tôt ou tard, d’utiliser le Starlink de Musk pour nos communications à cause d’une guerre, sinon d’une pandémie ?

    Les sanctions soudaines prises à l’encontre de la Russie, sans procédure ni débat, sont à mettre en parallèle avec la saisie des avoirs des Canadiens qui remettent en question la politique de leur gouvernement.

    L’argent et les actifs constituent le prochain front dans cette guerre. L’accès à l’argent deviendra un privilège accordé par l’État corporatif à ceux qui suivent les règles.

    Notre réponse à cette crise doit avoir deux aspects : un aspect sécuritaire et un aspect économique.

    Sur le plan de la sécurité, nous devons créer un régime mondial de contrôle des armes et de désarmement qui soit démocratique et transparent par nature et qui retire le pouvoir de promouvoir la guerre aux marchands d’armes et aux banques qui les soutiennent. Ce règlement doit être sans exception et doit être mondial.

    La compétition pour développer des armes nucléaires, et d’autres dispositifs dangereux, a déjà commencé sérieusement entre l’Allemagne, la Turquie, l’Iran, le Japon, la Corée du Sud, la Corée du Nord, le Vietnam, le Brésil et d’autres pays. L’Ukraine est clairement encouragée à prendre cette voie.

    Nous devons être fermes en présentant une alternative à ce cauchemar qui menace l’humanité – la guerre nucléaire est beaucoup, beaucoup, beaucoup plus dangereuse que n’importe quelle fausse pandémie.

    Les États-Unis seront les premiers à s’engager dans un programme sérieux de désarmement.

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  23. Un tel engagement montrera que les États-Unis respectent le traité de non-prolifération et fera plus que tout autre chose pour changer la perception dans le monde et ouvrir une fenêtre pour une véritable diplomatie.

    Sur le plan économique, nous devons mettre fin dès maintenant au règne de la finance parasitaire qui tente de détruire la Russie, comme elle a détruit de nombreuses autres nations, et comme elle se prépare à détruire les États-Unis.

    Nous devons séparer définitivement l’armée et les services de renseignement de la finance et des efforts axés sur le profit, et mettre fin à la privatisation mortelle de la sécurité qui a permis à des fonds d’investissement multinationaux comme BlackRock de prendre le contrôle de l’économie de la Terre en utilisant l’autorité de l’armée et à des techno-tyrans comme Facebook et Amazon de racheter des pans entiers du système de renseignement.

    La reprise du contrôle de la monnaie aux États-Unis sera essentielle pour mettre fin à cette volonté de guerre mondiale de la part d’une poignée de psychopathes. Les fausses monnaies et les manipulations financières doivent cesser. La fausse monnaie générée par les superordinateurs et appelée “produits dérivés” doit être considérée comme sans valeur. Et les marchés boursiers et les marchés à terme doivent être des lieux gérés comme des coopératives par les citoyens dans lesquelles les gens ordinaires peuvent créer des entreprises avec leurs voisins.

    Il n’y a pas de place pour une classe de riches intouchables.

    Si les banques d’investissement multinationales ont l’intention de saisir notre argent, nous devons faire comprendre que la définition de l’argent, et son évaluation, est un droit qui appartient aux citoyens, et non aux banques d’investissement multinationales. S’ils nous refusent l’accès à notre argent, ou s’ils manipulent sa valeur de quelque manière que ce soit, nous créerons notre propre monnaie liée aux actifs que nous définissons comme des communautés locales.

    Nous avons besoin d’une véritable sécurité. Nous avons besoin d’autosuffisance en énergie renouvelable et en nourriture. Nous devons mettre fin au culte de la mort du libre-échange et de la croissance, et entreprendre une réduction massive de ces éternelles relations d’alliance.

    L’OTAN est un monstre à la recherche d’une guerre, une progéniture de la surproduction et de la spéculation financière. Elle doit être démantelée et la Charte des Nations Unies doit servir de base à des traités de sécurité partagée à l’échelle de la planète pour faire face aux menaces qui pèsent sur le climat, les océans et l’alimentation avec le sérieux que nous adopterions pour répondre à une guerre.

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  24. En cours de route, nous devons établir une constitution internationale de l’information pour garantir que tous les citoyens ont droit à la vérité et que les distorsions massives de l’information ne nous entraînent pas dans des conflits inutiles.

    Nous devons nous précipiter en première ligne dans cette bataille mondiale, en établissant des traités contraignants pour mettre fin aux armes nucléaires et à la création de robots et de drones mortels qui peuvent si facilement être utilisés à mauvais escient. Nous avons également besoin de traités contraignants sur l’utilisation de la nanotechnologie en tant qu’arme, et de la biotechnologie en tant qu’arme – comme nous l’avons vu dans le cas des vaccins.

    Nous y parviendrons en créant, et en défendant au prix de nos vies, un bien commun mondial qui nous appartiendra à tous et qui sera interdit aux milliardaires. Ce bien commun mondial comprendra la plupart de nos océans, forêts, rivières et terres sauvages naturelles.

    Il y a tant de choses que nous pouvons faire pour offrir l’espoir plutôt que le désespoir, la vie plutôt que la mort, la compréhension plutôt que l’ignorance, et la vérité plutôt que le mensonge. Nous devons entamer une grande transformation, et non une grande réinitialisation, qui balaiera notre nation et la Terre.

    Nous nous tenons ensemble en ce moment critique et nous ordonnons aux changeurs de monnaie et aux mercenaires de ne pas lâcher ces chiens de guerre.

    https://www.mondialisation.ca/une-solution-concrete-a-la-crise-ukrainienne-et-la-fin-de-la-menace-dune-guerre-mondiale/5666163

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    1. Je doute fort que les ukrainiens de l'Ouest soutiennent à 100 % l'armée nazie au pouvoir. Or, il se passe que des armes arrivent et sont mises entre leurs mains. Combien d'habitants de l'Ouest oseront tirer vers les ukrainiens de l'Est ?

      N'oublions pas cette comparaison: Imaginez qu'une région de France ait le plus fort taux d'anti-gouvernement... Paris bombarderait (tous les jours durant 8 ans !) la région française 'ennemie' ?... Sans que 'la presse internationale' n'en parle ?

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  25. Qu'est-ce que ça fait d'être justifié ?

    Déprimant et démoralisant. Et je le referais sans hésiter.


    Robert W Malone MD, MS
    14 mars 2022


    Et tu, Brute ?

    Quelle semaine. Cela a commencé par un voyage à Palm Beach pour rencontrer le chirurgien général de Floride Joe Ladapo et le gouverneur Ron DeSantis (grand succès), puis un revirement rapide pour témoigner auprès de la législature de l'État du Tennessee concernant la législation COVID (succès partiel), puis répondre à des questions concernant l'Ukraine Situation du biolab avec Glen Beck, puis rencontre avec le leader d'opinion, le Dr David Martin, et se termine par un dîner avec un médecin local héroïque (et éleveur de bétail), le Dr Brooke Miller et sa femme Ann, qui travaille comme infirmière praticienne. La semaine prochaine, je pars dans la maison de mon enfance, Santa Barbara, pour un autre rallye - Stand UP Santa Barbara. Tous soutiennent la mission d'arrêter la vaccination génétique obligatoire contre le SRAS-CoV-2 de nos enfants.

    Je suis épuisé. C'est pourquoi Jill et moi avons pris une journée de congé pour écrire un article sur la sous-pile hier.

    Eh bien, je suppose que c'est une victoire que les bureaucrates du HHS et leurs nombreux facilitateurs rémunérés ne se contentent pas de se gifler et de se donner des médailles pour la façon dont ils ont géré COVID-19. Au moins pas encore.

    Mais nous avons un minimum de reconnaissance bavarde et condescendante des erreurs commises par les Drs. Rochelle Walensky (directrice, CDC) et Paul Offit (co-inventeur notoirement suffisant d'un vaccin contre le rotavirus, professeur Maurice R. Hilleman de vaccinologie, professeur de pédiatrie à l'Université de Pennsylvanie. Ancien membre du Centers for Disease Control (CDC) Advisory Comité des pratiques d'immunisation).

    Un excellent commentaire résumant les étonnants aveux d'incompétence et de culpabilité pour des pertes de vie massives et inutiles a été fourni par Thomas Harrington, écrit pour le Brownstone Institute, intitulé «Drs. Walensky et Offit : Tout est dans la bonne humeur ». Personnellement, je peux à peine supporter de regarder leur suffisance joviale alors qu'ils discutent avec désinvolture avec des amis. Je me souviens de la célèbre phrase d'Hannah Arendt "la banalité du mal". M. Harrington souligne une série de clips de l'interview de Walensky compilée par Phil Kerpen (malheureusement sur Twitter), et un autre excellent fil d'Alexandros Marinos se concentrant sur le Dr Offit auto-amusé. Citation d'Alex-

    « Comment la décision a-t-elle été prise d'ignorer l'immunité contre une infection antérieure ?

    Dans ce clip, Paul Offit décrit comment lui et une autre personne ont conseillé d'accepter l'immunité naturelle, tandis que deux autres ont voté contre. Un fil sur pourquoi c'était peut-être la pire décision de la pandémie: "

    Je recommande ces deux versions abrégées des interviews pour ceux (comme moi) qui ne peuvent tout simplement pas supporter les interviews complètes. Je vous recommande vivement de lire le résumé succinct de M. Harrington, notamment les trois paragraphes suivants, qui résument bien mon sentiment sur la situation.

    "Tous ces mouvements pour censurer et détruire professionnellement ceux qui avaient des opinions différentes de celles du CDC, des actions précisément enracinées dans la présomption que la science est, en fait, en noir et blanc, et que ceux qui se trompent doivent être punis professionnellement, eh bien, tout cela n'est que le produit de votre imagination primitive.

    Ou comme Harold Pinter l'a dit dans son discours du prix Nobel en faisant référence au penchant des États-Unis pour la destruction gratuite d'autres cultures : « Cela ne s'est jamais produit. Rien n'est jamais arrivé. Même pendant que cela se produisait, cela ne se produisait pas. Cela n'avait pas d'importance. Cela n'avait aucun intérêt. »

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  26. Alors oui, un détachement psychique excessif transforme les autres êtres humains en objets autoréférentiels ou notre propre esprit peut être plutôt problématique. En effet, je pense, même si je ne peux pas en être sûr, que les psychologues ont même un terme pour cela : la psychopathie.

    Bill Gates, Klaus Schwab, Anthony Fauci, Rochelle Walensky, Paul Offit, Janet Woodcock, Rick Bright, Jessica Cecil et sa Trusted News Initiative. N'oubliez pas ces noms. Ils devraient vivre dans l'infamie. Et ils partagent tous un profil de personnalité commun.

    J'ai reçu la question "Qu'est-ce que ça fait d'être justifié ?"

    Le Dr Jill (Glasspool-Malone) ne cesse de me pousser à écrire un article décrivant mes sentiments à ce sujet. Personnellement, je n'aime pas me concentrer sur la psychologie de l'impact de ces deux dernières années sur moi (et sur nous). Tout comme je me méfie beaucoup de l'aspect «culte de la personnalité» de ma nouvelle renommée. Je n'ai pas parlé parce que j'ai cherché à attirer l'attention, j'ai fait cela parce que c'était la bonne chose à faire, et je semblais avoir une opportunité unique de parler au nom de ceux dont les voix étaient si activement supprimées. Mais j'ai certainement dû prendre des coups pour cela. La calomnie, la diffamation, l'éclairage au gaz et la diffamation coordonnée à l'échelle mondiale ont été ininterrompus. Mais au fil du temps, et de plus en plus de choses ont été révélées sur les mains cachées qui cherchent à gérer ce que nous sommes autorisés à entendre, voir et penser, j'ai été transformée.

    Le monde biomédical dans lequel je pensais vivre s'est révélé être une imposture. La légitimité de l'industrie et de la discipline dans lesquelles j'ai consacré toute ma vie professionnelle est en ruine. Je suis maintenant gêné de me qualifier d'expert en vaccins et en biodéfense, car la corruption fondamentale inhérente à ces domaines a été si clairement révélée. Je ne peux pas ne pas voir ce que j'ai vu. Je ne peux pas retrouver toutes ces années passées dans un système universitaire profondément corrompu, passées à soutenir une discipline profondément compromise qui semble principalement motivée par des intérêts financiers plutôt que par ce que j'avais naïvement cru être un engagement à sauver des vies. J'ai choisi de ne pas poursuivre les carrières de mon père et de mon beau-père, qui se consacraient à la construction d'armes de guerre. Seulement pour découvrir que j'avais par inadvertance joué un rôle important en permettant l'une des folies médicales les plus tragiques de l'histoire de l'humanité.

    Lorsqu'on m'a demandé pour la première fois ce que ça faisait d'être justifié, je ne savais pas quoi dire. Il se sent loin, très loin de la justification. Il est peu probable que les personnes directement responsables soient confrontées à une quelconque forme de jugement. Et plutôt que des remords, ils semblent trouver tout cela amusant. Les vies inutiles perdues, la destruction de la confiance dans l'entreprise de santé publique, les vaccins en général, l'ensemble du système médical/hospitalier, le département américain de la Santé et des Services sociaux et le gouvernement en général. Ha ha. Eh bien, pas notre faute. Juste la façon dont les choses sont.

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  27. J'ai regardé à l'intérieur, au plus profond de mon cœur et de mon âme, et j'ai posé la question. Qu'est-ce que ça fait? Démoralisant et déprimant. Je n'éprouve absolument aucun plaisir à voir mes pires peurs se réaliser, et à avoir prédit avec exactitude tant de choses au cours des deux dernières années. Jill et moi avons tout mis en jeu. Garé nos vies, notre ferme, notre famille, dans un effort soutenu pour essayer de sauver des vies et aider les gens ordinaires à comprendre ce qui se passait, ce qu'était la véritable "Science", et pour essayer d'aider les gens à réfléchir aux problèmes. Revenir à zéro, pour essayer de permettre le "consentement éclairé" à une époque où ce fondement fondamental de l'éthique médicale a été jeté à la poubelle. Nous avons fait l'expérience d'efforts extraordinaires pour nous délégitimer, pour réécrire l'histoire, pour nous refuser le crédit de contributions intellectuelles et techniques, pour calomnier et diffamer. Ils ont détruit l'activité de conseil que nous avions construite ensemble au fil des décennies. Nous nous sommes épuisés avec les déplacements constants et le stress des allocutions. Un flux constant de podcasts (jusqu'à neuf par jour) comme moyen de briser le mur de la censure et de la propagande coordonnées à l'échelle mondiale. J'ai été qualifié d'« extrémiste de droite » et de « nazi ».

    Voici une petite histoire sur Santa Barbara. J'ai quitté mon emploi de menuisier et j'ai fréquenté le Santa Barbara City College entre 1980 et 1982, où j'ai obtenu mon diplôme avec des A en tant que président du conseil étudiant. Cela a été rendu possible en partie grâce à l'aide financière de la Fondation Santa Barbara. Lorsqu'il a été invité à venir parler par Stand Up SB à Santa Barbara concernant COVID, j'ai suggéré que ce serait bien de faire une collecte de fonds pour la Fondation Santa Barbara. Une occasion de redonner à la communauté et à l'organisation qui ont rendu possible mon parcours de charpentier et ouvrier agricole dans un verger à médecin/scientifique. Après avoir été contactée, la fondation a décidé qu'elle ne voulait recevoir aucun soutien d'une personne d'extrême droite comme moi. Et tu, Brute ? C'est un exemple du prix qui a dû être payé.

    Et nous le referions sans hésiter. Parce que c'était la bonne chose à faire. Et nous nous sommes retrouvés dans une position où nous avions une chance de faire la différence. Nous nous sommes fait de nouveaux amis partout dans le monde. J'ai maintenant une vision du monde très différente de celle que j'avais il y a deux ans. Je n'ai pas de regrets. Mais je ne prends aucun plaisir à la chose.

    https://rwmalonemd.substack.com/p/how-does-it-feel-to-be-vindicated?token

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  28. Planète Lockdown : un documentaire


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    14 mars 2022


    Avant 2020, si vous entendiez le terme « verrouillage », vous pourriez penser à quelque chose qui se passe dans une prison – pas dans une société libre. Ce mécanisme de contrôle s'est depuis banalisé — non pas chez les détenus mais chez les libres — avec des répercussions que l'on commence seulement à comprendre.

    Le film Planet Lockdown explore cette période sans précédent de l'histoire, s'entretenant avec des épidémiologistes, des scientifiques, des médecins et d'autres experts pour découvrir les véritables motifs du contrôle totalitaire croissant qui s'empare du globe. Déjà interdit par Facebook et YouTube1, le film démarre au début de la pandémie, quand on nous a dit que des confinements étaient nécessaires pour « aplanir la courbe ».

    C'était censé être un événement à court terme de 15 jours aux États-Unis, mais le récit a rapidement changé pour des restrictions en cours. Comme Michael Yeadon, Ph.D., ancien vice-président et conseiller scientifique en chef de la société pharmaceutique Pfizer et fondateur et PDG de la société de biotechnologie Ziarco, désormais détenue par Novartis, l'a expliqué, les gens ont historiquement mis en quarantaine les malades, mais les sains peuple, comme cela s'est produit au cours des deux dernières années, n'a aucun fondement scientifique ni antécédent historique.2

    "Étant donné que ce virus représente, tout au plus, un risque légèrement plus grand pour les personnes âgées et malades que la grippe saisonnière, et un risque moindre, un risque moindre, pour presque tous les autres qui sont plus jeunes et en forme", dit Yeadon, "il n'a jamais été nécessaire pour nous d'avoir fait quoi que ce soit. Nous n'avions rien besoin de faire – des confinements, des masques, des tests, même des vaccins. »3

    Pratiques douteuses recommandées pour le diagnostic de COVID-19

    Le Dr Scott Jensen, médecin de famille et ancien membre du Sénat du Minnesota, a reçu un e-mail du ministère de la Santé qui semblait l'inciter à utiliser le COVID-19 comme diagnostic dans des situations où il n'aurait pas utilisé auparavant la grippe ou tout autre diagnostic viral spécifique sans le tester au préalable. Il a dit : 4

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  29. "Ce qui m'a frappé tout de suite, c'est que j'ai eu l'impression d'être entraîné pour aller de l'avant et utiliser COVID-19 sans utiliser les mêmes normes de précision que je le ferais pour d'autres choses. Si je dois poser un diagnostic, je crois qu'en tant que médecin, j'ai l'obligation d'utiliser les outils à ma disposition pour le poser avec autant de certitude que possible.

    Et il m'a semblé que le ministère de la Santé, et le lien vers ce document du CDC qui disait que vous pouviez diagnostiquer le COVID-19 comme cause de décès sur un certificat de décès… ces deux documents, en tandem, allaient à l'encontre de tout ce que j'avais été enseigné ou fait au cours des 35 dernières années.

    Même le Dr Ngozi Ezike, directeur du département de la santé de l'Illinois, est présenté dans le film en déclarant que même si vous mouriez d'une cause alternative claire, si vous aviez le COVID-19 en même temps, il serait toujours répertorié comme un COVID décès. "Toute personne répertoriée comme un décès par COVID ne signifie pas que c'était la cause du décès", dit-elle.5

    En janvier 2020, le test PCR pour le COVID-19 est sorti, ce qui a permis aux responsables de la santé de définir les « cas » de COVID-19. Si le test était positif, cela comptait comme un cas – peu importait que vous ayez des symptômes ou non. Reiner Fuellmich, avocat spécialisé dans les fraudes mondiales, fondateur du Corona Investigative Committee, a souligné : "Ce n'est jamais, dans l'histoire de l'humanité, dans l'histoire de la médecine, il n'y a jamais eu de tests sur des personnes en bonne santé."6

    Yeadon convient que les tests de masse de personnes ne présentant aucun symptôme n'ont aucune base scientifique. Au contraire, dit-il, "C'est juste une façon d'effrayer les gens."7 L'augmentation des "cas", basés sur les tests PCR, est ce qui a construit la crise. Mais compter les cas ne faisait que mesurer l'activité des tests; plus il y avait de tests, plus il y avait de cas trouvés.

    "Craignez tout le monde" est devenu le message

    Le 8 juin 2020, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a annoncé que les personnes asymptomatiques pouvaient transmettre le COVID-19. Le même jour, Maria Van Kerkhove, responsable technique de l'OMS pour la pandémie de COVID-19, a précisé très clairement que les personnes atteintes de COVID-19 sans aucun symptôme transmettent "rarement" la maladie à d'autres. Dans une volte-face dramatique, l'OMS est ensuite revenue sur sa déclaration juste un jour plus tard.8

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  30. Dans les jours qui ont suivi, les médias et les responsables de la santé ont intensifié la peur en affirmant que vous pouviez être malade par pratiquement n'importe qui, même s'ils semblaient en bonne santé. "Cette idée que... vous pouvez être malade même si vous n'avez aucun symptôme et que vous pouvez être une... menace virale pour quelqu'un d'autre même si vous n'avez aucun symptôme, c'est aussi inventé en 2020", dit Yeadon.9

    Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche à l'Institut national de la santé, fait partie de ceux qui ont remarqué quelque chose d'anormal dès le départ. "J'étais très perplexe depuis le tout début... J'étais conscient du fait que ce que nous vivions n'était pas tout à fait juste."10

    Elle note que la notion de propagation asymptomatique est terrifiante car elle transforme pratiquement toute personne que vous rencontrez ou rencontrez dans la rue en ennemi, car elle pourrait vous exposer au SRAS-CoV-2. "C'est en fait terrible car cela nie la capacité d'une personne à être une personne en bonne santé. Parce que si la [propagation] asymptomatique existe, alors qui est en bonne santé ? Personne."

    De plus, la « preuve » de la propagation asymptomatique est erronée et frauduleuse. Le New England Journal of Medicine a publié un article suggérant que la transmission du COVID-19 est possible à partir d'un porteur asymptomatique en janvier 2020.11

    Il était basé sur un homme d'affaires de 33 ans qui avait rencontré son partenaire commercial de Shanghai, puis développé une fièvre et une toux productive. Le lendemain soir, il se sentit mieux et reprit le travail le 27 janvier.

    Les auteurs ont rapporté que la partenaire était "bien, sans aucun signe ni symptôme d'infection, mais qu'elle était tombée malade lors de son vol de retour vers la Chine, où elle a été testée positive pour le 2019-nCoV le 26 janvier". À partir de cette étude de cas, ils ont émis l'hypothèse que le virus pouvait être transmis par des porteurs asymptomatiques. Un point important a été omis, à savoir que les chercheurs n'ont pas parlé avec le partenaire de Shanghai avant la publication.

    Cependant, l'agence de santé publique allemande, l'Institut Robert Koch (RKI), a parlé avec la femme au téléphone, et elle a signalé qu'elle avait des symptômes pendant son séjour en Allemagne.12 Elle n'était donc pas asymptomatique après tout.

    Dans un état d'incohérence, les gens aspirent à la normalité

    La pandémie a déformé la réalité, laissant le public dans un brouillard mental. « Vous vous engagez régulièrement à obéir à des choses qui ne sont pas logiques », déclare Catherine Austin-Fitts, secrétaire adjointe, administration Bush Sr. et conseillère en investissement chez Solari, Inc.13. L'OMS a modifié les définitions de l'immunité collective et de la pandémie, littéralement modifier la réalité, et ce n'est qu'un exemple.

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  31. La censure et les campagnes visant à discréditer ceux qui dénoncent le récit sont des mécanismes de contrôle supplémentaires qui déforment la vérité. L'évêque Schneider du Kazakhstan dit que les mesures pandémiques sont très similaires à l'époque soviétique où il vivait, en ce sens qu'il n'y avait qu'un seul récit, et si vous disiez qu'il y avait un autre sens, vous étiez déclaré ennemi.

    "Quand vous avez eu une autre opinion, ils ont dit:" Vous êtes un groupe de complot. Vous avez une théorie du complot. Vous avez un discours de haine. Cette expression, le discours de haine, vient des communistes. »14 C'est une manipulation psychologique, basée sur la peur, qui fait agir les gens de façon totalement irrationnelle. L'état d'incohérence imposé artificiellement a même été décrit par Austin-Fitts comme une tactique de torture, conçue pour amener les gens à se soumettre à des passeports de vaccination et à des injections de COVID-19 :15

    « Les êtres humains ont soif de cohérence. Et donc si vous pouvez les mettre dans un état d'incohérence, ils feront littéralement tout ce qu'ils peuvent pour revenir à la cohérence. C'est une tactique de torture typique. "Si vous faites juste ce que je veux, je vous permettrai de revenir à un état de cohérence." Donc, si vous acceptez simplement les passeports [de vaccin], vous serez libre. Ou si vous vous faites vacciner, vous serez simplement libre.

    De plus, en déclarant les petites entreprises comme «non essentielles» pendant les fermetures, elles sont fermées, tandis qu'Amazon, Walmart et d'autres magasins à grande surface peuvent reprendre leur part de marché. Un important transfert de richesse s'est produit des petites entreprises familiales vers de très grandes entreprises publiques qui ont bénéficié de l'économie numérique. En attendant, Austin-Fitts explique :16

    « Les habitants de la rue Main doivent continuer à rembourser leurs cartes de crédit ou leur hypothèque, ils sont donc pris au piège de la dette et ils cherchent désespérément à obtenir des liquidités pour couvrir leurs dettes et leurs dépenses.

    En attendant, vous avez la Réserve fédérale instituant une forme d'assouplissement quantitatif où ils achètent des obligations d'entreprises, et les types qui prennent la part de marché peuvent essentiellement financer - ou leurs banques peuvent - à 0 % à 1 %, quand tout le monde sur Main St. paie 16% à 17% sur sa carte de crédit, sans revenu.

    Donc, fondamentalement, maintenant vous les avez sur un baril et vous pouvez leur enlever leur part de marché, et généralement ils ne peuvent pas se permettre de faire ce qu'ils disent parce qu'ils sont trop occupés à essayer de trouver de l'argent pour nourrir leurs enfants.

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  32. De nouveaux systèmes de contrôle sont en cours de conception

    Si quelques personnes veulent en contrôler plusieurs, comment pouvez-vous faire entrer les moutons à l'abattoir sans qu'ils s'en rendent compte et qu'ils résistent ? « La chose parfaite », dit Austin-Fitts, ce sont des ennemis invisibles, comme les virus.17 Cela accroît la peur, de sorte que le public croit qu'il a besoin du gouvernement pour le protéger. Une autre tactique efficace consiste à "diviser pour mieux régner", et les médias jouent un rôle important à cet égard, divisant les gens à propos des coups et des masques, par exemple.

    "Ce qu'est le COVID-19", explique Austin-Fitts, "c'est l'institution de contrôles nécessaires pour convertir la planète du processus démocratique à la technocratie. Donc, ce que nous observons, c'est un changement de contrôle et une ingénierie de nouveaux systèmes de contrôle. Considérez donc cela comme un coup d'État. C'est bien plus un coup d'État qu'un virus. »18

    Le Dr Wolfgang Wodarg, ancien responsable de la santé publique et membre du parlement allemand, est d'accord, déclarant que les réponses à la pandémie n'ont «rien à voir avec l'hygiène. Cela a à voir avec la criminologie. »19 La campagne mondiale d'injection est une autre forme de contrôle, qui oblige le public à recevoir des injections expérimentales.

    De nombreux experts du film évoquent le Code de Nuremberg, qui énonce un ensemble de principes d'éthique de la recherche pour l'expérimentation humaine. Cet ensemble de principes a été développé pour garantir que les horreurs médicales découvertes lors des procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais.

    Mais dans le climat actuel de censure extrême, les gens ne sont pas informés de tous les risques des tirs - qui commencent seulement à être découverts. Les gens sont forcés de participer aux tirs en raison de mandats et de la perte d'emplois et de libertés personnelles, comme la possibilité de voyager librement et d'assister à des événements professionnels et sociaux.

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  33. À la fin, la vérité gagnera

    Une révolution est en train de se produire et les experts espèrent que les gens s'éveilleront au bon sens et résisteront au contrôle totalitaire qui menace de s'emparer du globe. Au lieu de cela, la société peut être régénérée si les gens se rassemblent et se battent contre l'empiètement sur nos libertés.

    La désobéissance civile, le boycott des entreprises qui exigent des passeports vaccinaux, la participation à des rassemblements et la lutte contre les mandats illégaux devant les tribunaux sont des moyens par lesquels chacun peut s'impliquer dans la protection de la liberté. "S'ils veulent faire de nous une machine, s'ils veulent faire de nous des esclaves, nous disons non", dit Wodarg. "... Nous n'avons plus besoin de vous, nous sommes nombreux... nous n'avons plus à craindre aucune pandémie."20

    Sources and References

    1 The Washington Post February 10, 2021
    2 Planet Lockdown, 8:00
    3 Planet Lockdown, 10:37
    4 Planet Lockdown, 12:00
    5 Planet Lockdown, 13:08
    6, 7 Planet Lockdown, 16:48
    8 Yahoo June 9, 2020
    9 Planet Lockdown, 20:34
    10 Planet Lockdown, 3:15
    11 New England Journal of Medicine January 30, 2020
    12 Science Mag February 3, 2020
    13 Planet Lockdown, 4:05
    14 Planet Lockdown, 30:00
    15 Planet Lockdown, 33:36
    16 Planet Lockdown, 41:00
    17, 18 Planet Lockdown, 1:10
    19 Planet Lockdown, 3:57
    20 Planet Lockdown, 1:41

    https://www.lewrockwell.com/2022/03/joseph-mercola/planet-lockdown-a-documentary/

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    1. Bêh ouais, c'est 'grippe inventée', oui mais là ça s'appelle plus 'grippe' mais VIRUS ! Et, la vie russe se serait échappé du laboratoire Décourantdair ! Oui mais comme personne n'a la photo du fugitif (ni de récompense pour celui qui attrape l'évadé), il a donc été impossible de savoir où il était. C'est pourquoi, c'est le monde entier qui a été fermé pour l'empêcher de fuir vers la lune !

      Et puis LE gag du gag "RESTEZ CHEZ VOUS ! VOUS RISQUEZ D'ÊTRE ATTAQUÉ PAR LE VIRUS ARMÉ ! Et, de plus, comme il rechercherait certaine personne, il est conseillé de se masquer pour ne pas être reconnu par l'homme invisible ! Le Superman qui se déplace à la vitesse de l'éclair !

      Heureusement, les scientifiques ont tôt fait de repérer le programme hégémonique lancé par les dictateurs en place ! Le virus (poussière) n'était pas dans l'air mais uniquement disponible en seringues ! Et, les criminels qui gouvernent de faire la promotion 'Deux pour le prix de trois' ou '9 piqûres et la dixième gratuite !'

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  34. C'est ta dernière chance


    par Robert Gore
    le 18 janvier 2022
    Ceci est la première partie, la deuxième partie sera publiée le 21/01.


    L'acte d'accusation est long et fort. Une cabale de politiciens, de gouvernements, de tribunaux, d'autorités médicales, de sociétés pharmaceutiques, d'agences multinationales, des médias grand public, d'universitaires et de fondations, en particulier le Forum économique mondial, a concocté des réponses à un virus et à ses variantes qui ont privé le peuple de libertés légitimes, sont un mécanisme d'imposition du totalitarisme mondial et ont amplifié plutôt que réduit les dangers du virus, infligeant des blessures graves et des morts qui dureront des années, voire des décennies, et affligeront des millions, voire des milliards, de victimes (voir « Les moyens sont La fin », Robert Gore, SLL, 13 novembre 2021).

    - "C'est leur dernière chance. Ils peuvent inverser leur cours et prier n'importe quelle divinité démoniaque qu'ils prient pour que cela suffise à empêcher la rétribution qu'ils méritent, ou ils peuvent périr dans la destruction qu'ils ont créée. Ils récolteront ce qu'ils ont semé, leur temps est écoulé."

    Ça y est, le dernier souffle des psychopathes qui expriment leur mépris et leur haine de l'humanité en essayant de la gouverner. Contrainte, pas de coopération volontaire et naturelle. Le pouvoir, l'attraction et la politique, pas les incitations, la concurrence, la production honnête et le commerce à valeur ajoutée. De chacun selon sa vertu à chacun selon sa dépravation.

    «Le dernier souffle», Robert Gore, SLL, 24 mars 2020

    Leur temps est écoulé. Cette affirmation peut sembler aussi imprudente que l'ultimatum de Luke Skywalker - "Jabba, c'est ta dernière chance, libère-nous ou meurs !" - l'a fait à Jabba la cabane à Sarlacc Pit. Ce n'est pas le cas, mais comprendre pourquoi nécessite une compréhension des mouvements lents (à l'échelle du temps humain) mais des forces extrêmement puissantes. La plupart des histoires étudient les mauvaises choses et la plupart des prédictions sont des projections en ligne droite du présent et du passé récent.

    La clé de voûte de l'histoire est l'innovation, pas les gouvernements et les dirigeants. Nous ne savons pas qui dirigeait qui lorsque l'humanité vivait dans des grottes, mais nous savons que quelqu'un a apprivoisé le feu, quelqu'un a planté des graines et les a cultivées pour se nourrir, et quelqu'un a inventé la roue. Avec de telles étapes, l'humanité a émergé des grottes et a commencé à construire la civilisation. Même à ce stade précoce, une chose était claire : l'innovation crée de nouvelles capacités et opportunités et sert de base à d'autres innovations.

    Le gouvernement est l'acquisition de ressources qui permettent à ceux qui gouvernent d'exercer un contrôle sur ceux qu'ils gouvernent. Cela suppose des ressources, ce qui suppose une production. Le gouvernement est toujours subsidiaire à la production, mais la plupart de l'histoire se concentre sur le premier et traite le second comme une question secondaire. C'est regarder le télescope du mauvais côté. Avant qu'un gouvernement puisse prendre quelqu'un doit faire.

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  35. L'histoire telle qu'elle est étudiée est une morne succession de preneurs violents : leurs royaumes et empires, leurs exactions contre la population, leurs guerres, leurs déprédations, leurs monuments, etc. La plupart de cela est trivial par rapport à l'innovation qui est négligée.

    Qui gouvernait quelles nations en 1440 et quel effet cela a-t-il sur nous aujourd'hui ? Il n'y a pas une personne sur dix millions qui puisse répondre à ces questions en connaissance de cause. Demandez plutôt si l'imprimerie à caractères mobiles que Johannes Gutenberg a inventée cette année-là a eu un effet sur leur vie et la plupart reconnaîtront son importance incontournable.

    Les quelques dirigeants qui ont gouverné avec sagesse sont largement oubliés. La règle sage consiste à maintenir les conditions qui permettent aux gens eux-mêmes de créer, d'innover et de produire, ce qu'on a appelé l'état du veilleur de nuit. Les protéger, eux et leurs biens, contre l'invasion, la violence, le vol et la fraude sont les missions importantes mais minimalistes de ces gouvernements. Fondamentalement, une telle protection du peuple s'étend à la protection contre le gouvernement lui-même. Ce type de gouvernement n'offre aux dirigeants potentiels aucune opportunité pour le vol, l'autoglorification et le pouvoir dont ils rêvent, c'est pourquoi ils ont été si rares.

    L'état parfait de veilleur de nuit n'a jamais été atteint. Il n'y en a eu que quelques-uns qui se sont rapprochés. Les conditions d'une liberté relativement plus grande ont cependant coïncidé avec les explosions d'innovation et de productivité qui ont légué à l'humanité l'essentiel de ses progrès.

    L'explosion des États-Unis a été la révolution industrielle, qui a lancé pratiquement toutes les industries importantes que nous avons aujourd'hui et a fait passer la nation de ses racines agraires à la prééminence industrielle. À l'exception de Theodore Roosevelt, un exemple aberrant à bien des égards, les présidents qui ont présidé pendant la révolution industrielle (1865-1913) sont passés dans l'obscurité, un destin toujours souhaitable pour les présidents. (Voir « The Magnificent Eleven », Robert Gore, SLL, 3 mai 2017. Pour un traitement fictif de la période, voir The Golden Pinnacle, Robert Gore, 2013.)

    La fécondité du XIXe siècle a mis la table pour la folie du XXe siècle, donnant aux dirigeants psychopathes les ressources pour deux guerres mondiales et d'innombrables plus petites, les gouvernements les plus totalitaires de l'histoire, les génocides et la perpétration d'une myriade d'autres misères et horreurs. Le XXe siècle est facilement le plus tyrannique et le plus sanglant de l'histoire. . . jusque là. Emblématique du siècle est sa « plus grande » invention, l'arme nucléaire, qui peut détruire toute vie sur terre.

    Aux États-Unis, la création de la banque centrale et l'imposition d'impôts sur le revenu en 1913 ont permis au gouvernement d'exproprier une part beaucoup plus élevée des revenus et de la richesse de la nation qu'il ne l'avait fait. Peu de temps après, ignorant le sage conseil de George Washington d'éviter les enchevêtrements étrangers, les États-Unis sont entrés dans la Première Guerre mondiale. La révolution industrielle et sa liberté relative étaient terminées, l'accroissement du pouvoir de l'État qui se poursuit à ce jour était en cours.

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  36. Le gouvernement a refait surface en tant qu'institution dominante, comme il l'a été pendant la majeure partie de l'histoire, non seulement aux États-Unis mais dans le monde entier. La mode intellectuelle suit le courant politique. L'argent et le pouvoir - des perspectives exaltantes pour de nombreux intellectuels - devaient être obtenus en favorisant la croissance de l'État et en flattant ses fonctionnaires. Quelques âmes courageuses se sont prononcées contre la tendance et ont défendu la liberté, mais elles ont été ignorées et évitées. Aujourd'hui, les champions de la liberté sont relégués dans des recoins obscurs d'Internet.

    On pourrait penser que vivant de l'héritage productif de la révolution industrielle, avec un premier appel aux revenus et à la richesse accumulée, les dirigeants disposeraient de ressources plus que suffisantes pour faire ce qu'ils voulaient. Tel n'est pas le cas. Leurs plans et leur rapacité sont illimités alors que même dans les sociétés les plus productives et les plus riches, les ressources ne le sont pas. Les gouvernements et leurs banques centrales ont créé une explosion de la dette qui laisse le monde dans le trou financier le plus profond qu'il ait jamais connu.

    L'explosion s'est accélérée ces dernières années, laissant les gouvernants aux limites de ce qu'ils peuvent exproprier ou emprunter. Quelle que soit la croissance des PIB qu'ils saluent aujourd'hui, la croissance non mentionnée de la dette est plus importante - le trou devient plus profond. Cet état de fait illustre le truisme central de l'histoire : les gouvernements ne peuvent pas produire. Leur stock de commerce, de coercition et de violence, ne fait que détruire. Faire des producteurs les esclaves fiscaux et endettés de ceux qui ne produisent rien détruit à la fois la production et l'intégrité.

    Le glas a sonné en 1971 (15 Août, sous Nixon) lorsque le gouvernement des États-Unis a renié le dernier vestige de sa promesse d'échanger ses dollars contre de l'or. La dette serait la monnaie du royaume. Le terme fade de « financiarisation » cache l'obscénité morale. Chaque année, la dette de la nation a augmenté. La production, lorsqu'elle est déduite de cette dette, a diminué et une part de plus en plus importante de ce qui reste est détournée vers ceux qui ne produisent pas. Washington décide qui obtient quoi, mais il ne peut pas commander quoi. Cela diminue à mesure que la vertu productive est pénalisée et que le vol, la fraude et la violence sont récompensés.

    Cette situation de plus en plus précaire dure depuis cinquante ans. Cela ne durera plus longtemps. Seule une faillite morale et intellectuelle supérieure à la faillite financière actuelle pourrait appeler cet échec abject un échec du capitalisme.

    Le capitalisme est l'économie de la liberté politique. L'étranglement des deux aux États-Unis a officiellement commencé en 1913. Ils sont l'antithèse de ce que nous avons maintenant, le collectivisme dirigé par l'État. Le capitalisme et la liberté n'ont pas fait défaut au peuple, le peuple a fait défaut au capitalisme et à la liberté. Si les gens ne peuvent pas gérer la liberté individuelle - comme les collectivistes aiment le dire - ils ne peuvent certainement pas gérer le pouvoir collectiviste, comme les XXe et XXIe siècles l'ont amplement démontré. C'est comme le seul gamin dans une pièce pleine d'enfants autonomes et interagissant joyeusement qui prennent le contrôle de la pièce.

    La deuxième partie sera publiée le 21/01.

    https://straightlinelogic.com/2022/01/18/this-is-your-last-chance-part-one-by-robert-gore/

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    Réponses
    1. (...) La clé de voûte de l'histoire est l'innovation, pas les gouvernements et les dirigeants. Nous ne savons pas qui dirigeait qui lorsque l'humanité vivait dans des grottes, (...)

      Si ! nous savons ! Ce sont celles et ceux qui avaient des armes !

      Petit résumé de l'histoire du monde

      dimanche 6 janvier 2013

      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/petit-resume-de-lhistoire-du-monde.html

      Les singes sont des humains comme les autres (!). Les humains ont eu des enfants, grands (géants), petits (nains), cons ou surdoués. Cela s'est poursuivit durant des siècles jusqu'à ce que apparaisse la Démocratie (Internet, relation entre personnes qui échange leurs savoirs). C'est alors que les 'dirigeants' (les mieux armés) se sont évertués à faire créer de nouvelles armes plus redoutables (sous l'excuse qu'il pourrait y avoir des ennemis sur Terre !) Et donc, l'apparition de révolutions, de terroristes et jusqu'à l'invention du méchant invisible appelé 'Virus' ! (Poussière ! et non 'microbe' !!).

      C'est alors qu'une infime partie des 7 milliards d'habitants d'alors réfléchit à la création de nouvelle poussière !!! Whôaw ! Ça n'a être été the découverte ! LA poussière exterminatrice !! Mais que n'a t-on sorti là ??! Voilà après les microbes (vivants porteurs de maladies) arrive LA poussière (non radioactive). LA poussière qui...
      Au fait ... comment se déplace une poussière innocente et inoffensive ?... Çà être LA question du jour ! Par les airs ? Que nenni ! Mais alors... Elle ne se déplace qu'en seringues ! Whôaw ! Et, la terreur du jour étant qu'elle pouvait (Superman) envahir le monde ! Whôaw ! (Jamais dans l'histoire de l'humanité une poussière avait de tels réacteurs !). Et voilà t-y pas que cette poussière (invisible jusqu'aux microscopes) serait susceptible de tuer x milliards de personnes !! (ÔH PUTAIN çà c'est de la découverte !).

      La poussière (extraterrestre ?) qui va s'enfiler entre les mailles des 'masques' 1000 fois trop larges ! et faire des ravages dans tous les organismes !

      Çà y est, LA 'fin du monde' était là ! Fallait même s'écarter (à 2 m) les uns des autres car la dite poussière était entre ! Pire ! La dite poussière exterminatrice ne se posait qu'en rayons de supermarchés qu'aux produits 'non-essentiels' !! Puis, elle n'ENTRAIT PAS en appartements et ne demeurait que sur la voie publique ! Et, miracle du miracle, voilà qu'apparaissent des 'vaccins anti-poussières' ! (Le rêve des femmes de ménage !).
      Mais, comme elle n'était distribuée qu'aux personnes acceptant de se faire inoculer profond, elle réapparaissait en des symptômes après piqûres ! Et, comble de l'horreur, arrivèrent les 'Asymptomatiques' où même les personnes intelligentes étaient susceptibles de l'avoir adopter !

      Oui mais. Oui mais existent au monde des personnes intelligentes ! Des personnes qui ont fait des études ! Des personnes qui expliquèrent que SEULS les microbes (bactéries) étaient porteurs de maladies ! Mais alors... les 'poussières' (virus. Voir dictionnaires)... Oui mais voilà qu'émergent alors les poussières dites 'intelligentes' ! (rassurez-vous sans cervelle) qui peuvent être domestiquées, dirigées, domptées pour corrompre les organismes ! Ce sont là les premiers pas du 'transhumanisme'. Des poussières (métalliques) qui reçoivent des ondes (extérieures) et les transmettent au cerveau afin de s'en accaparer la direction !
      Des purs produits de laboratoires qui les (oxydes de graphène) ont enveloppé. Des poussières qui peuvent (ondes basses fréquences) se décortiquer et tuer n'importe qui de ce poison mortel violent incorporé.

      Donc, oubliez là les 'guerres anti forces nazies ukrainiennes' et les 'réchauffements climatiques' et autre bio, ogm, de fonds de chiottes. L'Actualité est arrivée ! Faut comprendre ou être mort.
      A vous de choisir.

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