Les flacons Pfizer réchauffés explosent avec des circuits à assemblage automatique
Par Alexandra Bruce La télé du savoir interdit 30 mars 2022
Le Dr Jane Ruby est de retour avec des séquences vidéo à couper le souffle prises par le Dr sud-africain Xandre Botha et par le Kiwi Dr Matt Shelton des circuits d'auto-assemblage dans le jab Pfizer.
Avec une chaîne de possession complète, les deux médecins ont obtenu des flacons scellés et non dilués du produit Pfizer. Dans la vidéo, la solution semble presque "vivante" avec des particules grouillantes.
Le Dr Shelton a chauffé la solution jusqu'à la température du corps humain (98,6 ºF/37 ºC) et ces structures folles en forme de branche ont commencé à se former. « À quel point est-ce horrible ? dit le Dr Ruby.
Les deux médecins ont filmé des scènes similaires de ces particules se formant en ce qui ressemble à de petits circuits imprimés au cours de plusieurs heures. Ces structures rectangulaires ont été vues émanant de "points" ronds et brillants, comme les appelle le Dr Ruby.
Ma partie préférée est lorsque le Dr Ruby brise le troisième mur et commence à s'adresser au public en tant qu'être humain, plutôt qu'en tant que présentateur :
« Cela ressemble à un circuit imprimé, n'est-ce pas ? À quel point est-ce dommageable pour votre sang ? À quel point est-ce dommageable pour vos organes ? Et qu'est-ce que ça pousse ?…
« Qui diable sont ces gens ? Pour qui diable se prennent-ils ? Pas de consentement éclairé. Une technologie bien avant son temps. Ces salauds arrogants !…
"Vous avez le droit de savoir si quelqu'un change votre ADN donné par Dieu, vous avez le droit de savoir s'il met en place des circuits électroniques liés à l'électromagnétisme."
Dans le Dr Jane Ruby Show d'aujourd'hui, le Dr Jane vous montre les dernières preuves de flacons Pfizer et Moderna contenant des corps étrangers métalliques, et qu'ils ont été vus se développer en circuits auto-assemblés qui se dilatent rapidement lorsqu'ils sont réchauffés à la température du corps ; et plus tard, le Dr Jane vous montre un document de la FDA prouvant que les fabricants d'armes biologiques et la FDA continuent d'appeler les vaccins mortels "vaccins" parce qu'ils ont toujours connu les dangers de la thérapie génique ; et le spectacle se termine par un aperçu des principaux résultats de Moderna qu'ils utiliseront pour demander une autorisation d'utilisation d'urgence pour tirer sur des bébés de 6 mois
Le Dr Jane Ruby dit à Mike Adams : Les grandes sociétés pharmaceutiques gèrent les tables dans le monde entier et savent ce qu'elles font – Brighteon.TV
mardi 29 mars 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Les grandes sociétés pharmaceutiques gèrent les tables dans le monde entier et elles savent ce qu'elles font en ce qui concerne la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), selon le médecin et animatrice de Brighteon.TV, le Dr Jane Ruby.
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"Ils ne vont pas dépenser beaucoup d'argent des contribuables, grâce à [Dr. Anthony] Fauci qui est entré dans toute cette terreur. Ce sont des entreprises qui savent ce qu'elles font. Ils ont lancé des centaines et des centaines de produits, ils ne vont pas faire quelque chose comme ça et y mettre des milliards de dollars s'ils ne savent pas ce qu'ils font sur un coup de tête. C'est donc incroyablement dangereux. Ces entreprises, elles ne font que gérer les tables dans le monde entier », a déclaré Ruby à l'animateur Mike Adams lors de l'épisode du 22 mars du « Health Ranger Report » sur Brighteon.TV.
« Et donc vous savez que vous avez des dizaines de milliers de morts et de blessés, probablement des millions, vraiment. Vous obtiendrez l'étude Harvard Pilgrim qui a déclaré que moins d'un pour cent de tous les événements indésirables liés au vaccin sont capturés dans le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System]. On vous donne donc un multiplicateur de 100 là-bas. Il y a donc probablement des millions de personnes qui sont mortes dans le monde.
Ruby a souligné que ces sociétés pharmaceutiques n'en ont pas dit un mot et qu'elles n'ont pas fait de refonte de leur formule COVID-19. L'experte en développement de médicaments pharmaceutiques a ajouté qu'elle avait également appris de Team Enigma, qui a intelligemment étudié les numéros de lot et les taux de décès et d'invalidité. Elle a noté que Pfizer et Moderna ont le même schéma de déploiement, ce qui prouve qu'ils travaillent ensemble et que ce n'était pas par hasard.
Les coups COVID sont comme la roulette russe sur les stéroïdes
« Dans ce cas, avec ces flacons et ces coups, c'est de la roulette russe sous stéroïdes et qu'il y a des centaines de chambres. Et donc, chaque jour, c'est la chose la plus dangereuse que j'aie jamais vue de ma vie. Il pourrait y avoir des choses là-dedans qui ne se manifestent même pas avant des années », a déclaré Ruby. (Connexe : Dr Jane Ruby : Les grandes sociétés pharmaceutiques déploient intentionnellement des lots toxiques de vaccin COVID-19 – Brighteon.TV.)
"Et je dis cela parce que nous savons qu'il y a des brins d'ARN partiels qui sont autorisés à s'y trouver. Et nous ne savons même pas pour quoi ils sont codés. Nous avons cet ARNm. Et ça pénètre dans chaque cellule du corps et ça force les cellules à fabriquer cette pointe synthétique qui s'infiltre dans le corps et cause des ravages. Ce n'est qu'une possibilité que ces entreprises ne divulguent pas.
Ruby a déclaré qu'avec la façon dont Big Pharma l'a présenté, il serait difficile de prouver que les vaccins sont directement responsables des maladies et des décès des vaccinés. Les grandes sociétés pharmaceutiques savent comment faire bon usage de leurs relations au sein du gouvernement.
Elle a également mentionné que le récent vidage de données non expurgé de Pfizer montrait des zones expurgées, qui confirment qu'elles cachent des informations à la vue du public.
Les hôpitaux sont devenus des plaques tournantes des homicides
Ruby a également discuté avec Adams du refus de traitements efficaces aux personnes malades et mourantes du COVID-19. Les hôpitaux deviennent des centres d'homicides et les meurtres médicaux sont en train d'être normalisés dans la profession médicale.
Selon Ruby, elle travaille avec Stew Peters, Atty. Thomas Renz et le Dr Eric Henson pour avoir aidé à transporter par avion des personnes hors d'hôpitaux dangereux vers des hôpitaux plus sûrs. Elle a ajouté que les hôpitaux tuaient en fait des gens intentionnellement et que les gens en ressortaient déshydratés, émaciés et souffrant de graves lésions organiques dues à des médicaments inutiles.
Elle a également critiqué les infirmières qui séjournaient dans ces hôpitaux et a activement permis au système de protocole de décès des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) qui tue intentionnellement des gens de continuer.
Suivez VaccineHolocaust.org pour en savoir plus sur les décès liés au vaccin COVID.
Regardez l'épisode complet du 22 mars du "Health Ranger Repot" ci-dessous. Découvrez les nouveaux épisodes du programme du lundi au vendredi de 15h00 à 15h30. sur Brighteon.TV.
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Dr. Marble : Les mensonges du COVID étant révélés, les mondialistes promeuvent maintenant la GUERRE MONDIALE pour dépeupler le monde
mardi 29 mars 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Le Dr Ben Marble pense que les mondialistes promeuvent maintenant la guerre mondiale pour dépeupler le monde après que leurs mensonges sur le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont été révélés.
"Tous ces gens prétendent que nous devrions soutenir l'Ukraine et essayer d'entrer en guerre avec la Russie. Ils essaient de promouvoir la guerre mondiale. Les gens doivent comprendre que cela fait partie du plan Great Reset. Tout leur plan est de provoquer une guerre mondiale. Ils veulent une guerre nucléaire parce qu'ils veulent tuer autant de personnes que possible », a déclaré Marble en tant qu'hôte invité dans un récent épisode de « The Alex Jones Show » sur Info Wars. (Connexe : les mondialistes ont besoin de la guerre pour imposer la « grande réinitialisation ».)
« Et nous pouvons le prouver si vous regardez les Georgia Guidestones. Leur objectif de population cible est d'un milliard. Leur objectif de population est discutable, mais ce qui ne l'est pas, c'est qu'ils ont l'intention de tuer beaucoup de gens pour y arriver. Et donc s'il y a quelque part entre sept, huit milliards de personnes en ce moment et qu'ils veulent descendre à un milliard, cela signifie qu'ils prévoient d'assassiner six ou sept milliards de personnes. Et donc ils ont déjà distribué cinq milliards de doses de ce faux vaccin COVID-19, un poison génétique.
Marble faisait référence à un immense monument en granit avec un ensemble de guides destinés aux générations futures situé au point le plus élevé du comté d'Elbert, en Géorgie.
Les Georgia Guidestones ont une dalle qui se dresse au centre et quatre disposées autour d'elle. Une pierre angulaire se trouve au-dessus des cinq dalles, qui sont alignées de manière astronomique. Aussi appelé « American Stonehenge », il sert d'horloge céleste - enregistrant le passage du temps grâce à des fonctions spéciales. Le monument a été décrit comme "une structure hautement technique qui suit parfaitement le soleil".
Les quatre dalles contiennent 10 guides en huit langues différentes - une langue sur chaque face des quatre grandes pierres dressées. Ils sont gravés en anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, chinois et russe.
L'ensemble de guides se lit comme suit :
Maintenir l'humanité sous les 500 000 000 en perpétuel équilibre avec la nature. Guider judicieusement la reproduction – améliorer la condition physique et la diversité. Unir l'humanité avec une nouvelle langue vivante. Règle la passion – la foi – la tradition – et toutes choses avec une raison tempérée. Protégez les gens et les nations avec des lois justes et des tribunaux justes. Laissez toutes les nations gouverner en interne en résolvant les différends externes dans un tribunal mondial. Évitez les lois mesquines et les fonctionnaires inutiles. Équilibrez les droits personnels avec les devoirs sociaux. Prix vérité – beauté – amour – recherche de l'harmonie avec l'infini. Ne soyez pas un cancer sur la terre – Laissez place à la nature. Le marbre avait perdu un demi-milliard. Leur objectif de population cible n'est que de 500 000 000. Et c'est apparemment la priorité absolue.
Le fondateur du site Web de télémédecine MyFreeDoctor.com a déclaré que les gens ont été témoins au cours des deux dernières années d'une guerre bioterroriste menée dans le monde entier et qu'il s'agit d'un grand plan de complot des dirigeants du Forum économique mondial (WEF) dirigé par Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros et Mark Zuckerberg.
« Leur programme est un programme pervers, anti-Dieu et athée. Ce sont des transhumanistes. Ils croient en l'édition du génome humain parce qu'ils pensent qu'ils sont plus intelligents que Dieu. Et maintenant, la mauvaise nouvelle pour eux, c'est qu'ils ont tort. Ils veulent donc essayer de forcer ce poison d'édition de gènes sur les masses et ils l'ont déjà fait. Et cinq milliards de personnes ont déjà pris ce poison », a déclaré Marble.
Il a dit que tous les mensonges du COVID avaient été efficacement exposés par divers médecins comme le Dr Peter McCullough et le Dr Robert Malone.
Les mondialistes ont basculé le récit sur l'Ukraine
Le spécialiste en médecine familiale de Gulf Breeze, en Floride, a souligné que les mondialistes ont maintenant changé le récit en Ukraine. Ils essaient également de présenter le président ukrainien Volodymyr Zelensky comme une sorte de héros qui promeut la démocratie en Ukraine – ce qui n'est pas vrai parce qu'il est totalitaire, selon Marble.
Zelensky a interdit les partis politiques en Ukraine et, selon Marble, l'acteur ukrainien devenu président travaille avec le WEF.
Marble a également souligné la nécessité d'interdire les vaccins COVID car tout ne cesse de s'aggraver et les gens continuent de sombrer dans le chaos.
"Tant que le poison ne sera pas interdit, rien ne s'améliorera. Nous continuons à donner du poison au public, prétendant que c'est un vaccin sûr et efficace. Eh bien, il est facile de prédire que de plus en plus de gens vont mourir », a-t-il déclaré.
Les vaccins COVID-19 ne sont pas du tout de vrais vaccins
« Les preuves sont accablantes. Maintenant, il y a tellement de preuves de toute la surmortalité, de tous les décès en excès, que l'affaire est close. La science est établie, les vaccins COVID-19 ne sont pas du tout de vrais vaccins. Ce sont des poisons d'édition de gènes. Et je vais continuer à répéter le même point de discussion encore et encore.
Marble a déclaré que de nombreuses victimes des piqûres COVID viennent sur MyFreeDoctor.com pour demander de l'aide avec les symptômes qu'elles ont développés après avoir été vaccinées. Il a ajouté que son organisation essaie de faire de son mieux pour fournir le traitement aux gens.
Suivez Depopulation.news pour en savoir plus sur le plan des mondialistes pour dépeupler le monde.
Regardez ci-dessous l'épisode complet de "The Alex Jones Show" avec l'hôte invité, le Dr Ben Marble.
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Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Alex Jones : La guerre en Ukraine fait avancer le GRAND RESET souhaité par les mondialistes.
Steve Quayle dit à Mike Adams : Les mondialistes veulent parvenir à l'extermination de la race humaine par la guerre nucléaire.
Les mondialistes poussent l'agenda du transhumanisme avec des puces informatiques insérées dans les humains via des injections de COVID
Tout comme ils ont dissimulé le "décompte des cadavres de Clinton", les mondialistes dissimulent des crimes de génocide contre l'humanité - nous attendions-nous à ce qu'ils admettent simplement avoir commis des meurtres de masse ?
"Pour connaître son ennemi il faut se mettre à sa place". Et, comme les dictateurs sont tous des cons dégénérés-psychopathes-consanguins leurs intentions ont de quoi vous glacer le sang !
En l'an 2000 a été publié sur le net un rapport qui parlait de 4 % de surdoués dans le monde (soit 280 millions de personnes), aujourd'hui, 22 ans après ce pourcentage est à multiplier par 4 ou 5 ! Et c'est là qu'est la pierre d’achoppement ! Le Peuple en sait autant sinon plus que le nano-groupuscule de criminels au pouvoir ! D'où tous les objectifs permis pour s'en défaire au plus vite.
La bombe nucléaire étant la dernière carte car elle tuerait aussi ceux qui ont appuyé sur le bouton ! Donc, retour sur le 'nouveau virus sur le marché' ! Cette nouvelle poussière (dite 'intelligente') sert de transmetteur d'ondes basses fréquences vers l'organisme. Ces nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) peuvent se décortiquer et provoquer la mort immédiate. Les personnes sont foudroyées. Mais chez d'autres, elles ne sont pas décortiqués et demeurent de simples antennes relais injectées par seringues, respirées par masques imprégnés, pénétrées par gels hydroalcooliques ou simplement déposées par écouvillons lors de faux tests 'RT-PCR' en cavité nasale.
Ces victimes encore vivantes sont appelées des transhumanisées car elles n'appartiennent plus au genre humain puisque leur immunité a disparue et que elles ne sont plus capables de penser d'elles-mêmes. Elles ne font qu'exécuter les ordres reçus.
Ce nouveau type de machines sur pattes est dangereux pour tous car ces 'zombies' peuvent désormais tuer n'importe qui autour d'eux. Elles sont censées représenter la fin de l'humanité où des 'robots' remplaceraient les êtres humains !
Le sang des personnes vaccinées contre le COVID a un étrange artefact… le mien inclus
mardi 29 mars 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) J'ai récemment rencontré un médecin en médecine fonctionnelle. Entre autres choses, les médecins en médecine fonctionnelle sont connus pour utiliser des microscopes à fond noir et des analyses de sang vivant qui sont évités par la communauté médicale traditionnelle comme du charlatanisme.
(Article de Steve Kirsch republié de SteveKirsch.Substack.com)
OK, maintenant que nous avons réglé cela, passons à ce que montrent les diapositives.
Tout d'abord, utiliser un microscope pour observer le sang n'est pas déraisonnable. L'utilisation d'un microscope à fond noir fournit simplement un contraste supplémentaire.
Dans mon cas, le médecin m'a prélevé un échantillon de sang, l'a mis sur une lame de verre et l'a recouvert d'un couvercle en verre. Nous n'étions pas dans son bureau, donc l'échantillon s'est desséché avant qu'il ne le regarde, mais il a dit que ce qu'il avait vu était cohérent avec ce qu'il avait observé chez chaque patient vacciné contre le COVID qu'il avait examiné.
Voici la première image qu'il a envoyée.
Ce qui est étrange, c'est ce que j'appelle les « masses terrestres ».
Notez les deux grandes « masses terrestres » sur la photo. Ces « masses terrestres » (ma terminologie pas la sienne) sont ce qu'il dit ne voir que chez les patients vaccinés. Les cercles sont des globules rouges et les "pointes" sont juste parce qu'elles sont aplaties et déshydratées (puisque des heures se sont écoulées depuis le moment où il a pris l'échantillon).
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Voici une autre diapositive de mon sang. La partie inférieure gauche (à gauche de la "ligne" diagonale sombre n'est qu'une bulle d'air).
Encore une fois, nous voyons une étrange "masse terrestre" ici juste au-dessus de la ligne et en dessous des cellules sanguines. C'est le sujet de préoccupation.
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Quoi que ce soit, c'est inhabituel.
Ce qui est troublant, c'est que j'ai été vacciné il y a 1 an et que mon sang se distingue encore facilement du sang « vacciné ».
J'ai parlé à Ryan Cole et il n'est pas sûr de ce que c'est non plus, mais pense qu'il est important de le savoir.
Est-ce que quelqu'un pense le savoir et peut le confirmer ?
La dernière partie est la plus importante.
L'hypothèse de l'oxyde de graphène Il y a des gens qui pensent que les feuilles sont de l'oxyde de graphène, mais ils ne l'ont pas prouvé.
Certaines personnes pensent que vous pouvez effectuer l'identification à l'aide de la spectroscopie de masse, mais d'autres experts disent que l'oxyde de graphène n'est que du carbone, de l'oxygène et de l'hydrogène, il ne sera donc pas facilement détectable.
Cependant, il existe des moyens astucieux de rechercher de l'oxyde de graphène dans les flacons eux-mêmes, mais nous n'avons pas de flacons à examiner.
Personnellement, je n'ai pas de cheval dans cette course. Il y a beaucoup de gens qui pensent que c'est de l'oxyde de graphène et d'autres qui pensent que c'est autre chose.
Commentaires des lecteurs Les avis des lecteurs sont variés. Certains sont certains que ces structures sont apparues avant les vaccins COVID et qu'il n'y a rien à craindre. D'autres sont convaincus qu'ils ne l'étaient pas.
Par exemple, Phil Walsh écrit :
J'ai travaillé pendant quelques décennies en tant que microscopiste et spécialiste de la culture tissulaire et j'ai examiné mon propre sang assez souvent à l'aide d'endoscopes de recherche de très haute qualité. De grosses inclusions de sang comme celle-ci n'étaient tout simplement pas vues avant le COVID. Ma meilleure hypothèse est qu'il s'agit en effet de couches d'oxyde/hydroxyde de graphène d'une épaisseur atomique qui se replieront facilement plusieurs fois en une seule structure de "masse terrestre". Je pense que la raison pour laquelle les flacons sont maintenus à des températures aussi basses avant utilisation est que les minuscules flocons de graphène de taille nanométrique commenceront à s'auto-agréger en feuilles hexagonales en nid d'abeille de plus en plus grandes à température ambiante et au-dessus. Cela expliquerait la micro-coagulation au niveau des vaisseaux capillaires délicats, avec l'augmentation concomitante des niveaux de troponine chez les personnes vaccinées. Je suggérerais de répéter l'examen sanguin et de visualiser immédiatement avant que la dessiccation ne se produise. Vous pouvez également rapprocher un aimant de la diapositive pour voir si un mouvement peut être détecté. D'après la littérature, il semble que GO possède des propriétés paramagnétiques intéressantes. Quant à l'objectif du GO, je ne peux que supposer que ces feuilles peuvent former le substrat pour la construction de biocircuits/capteurs de niveau nanométrique pour le suivi/contrôle/etc. L'état de l'art de ce type de technologie est tout à fait époustouflant. L'information accessible dans le secteur public est suffisamment alarmante. Ce que la DARPA et d'autres entités ont mis au point au cours de nombreuses décennies dépasse probablement ce que chacun d'entre nous peut même imaginer.
Analyse de flacons effectuée par d'autres Ces analyses révèlent des structures auto-assemblées et émettent des hypothèses sur l'oxyde de graphène :
Nous pouvons résoudre le débat si je peux obtenir un flacon de vaccin pour tester Si quelqu'un peut me procurer un flacon de vaccin que nous pouvons tester, nous pouvons mettre fin au débat. Personne ne semble vouloir faire ça. Je me demande pourquoi ?
L'hypothèse la plus raisonnable est qu'ils ont peur de ce que nous pourrions trouver. Ce qui rend d'autant plus important d'avoir au moins un flacon à examiner.
D'autres ont eu des flacons à regarder, mais l'analyse que je veux faire sera assez différente et, espérons-le, plus révélatrice.
En savoir plus sur : SteveKirsch.Substack.com
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Alors qu'IL EST STRICTEMENT INTERDIT DE VACCINER QUICONQUE DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE, les dictateurs ont donné l'ordre de "TUEZ-LES TOUS !"
Attendriez vous qu'il y ait la rage pour vous faire vacciner ? Attendriez vous qu'il y ait la poliomyélite pour vous faire vacciner ? Attendriez vous qu'il y ait le choléra pour vous faire vacciner ? Non ! Car on se fait vacciner AVANT et non PENDANT !
Le Dr Carrie Madej a examiné le contenu de Moderna, Pfizer et J&J Shot au microscope
25 OCTOBRE 2021
Une interniste qui a examiné plusieurs piqûres de COVID au microscope tire la sonnette d'alarme après sa découverte d'objets étranges et non identifiés dans les prises de vue, y compris des fragments métalliques, des structures "ressemblant à du graphène" dans chaque piqûre et une créature ressemblant à un organisme tentaculaire et en mouvement dans le jab Moderna.
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Le Dr Carrie Madej, qui a déclaré avoir examiné le contenu grossi des clichés de Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson, a trouvé "très bouleversant" de voir des choses dans chaque coup que les fabricants n'ont pas été franches - si bouleversant qu'elle a dit qu'elle a pleuré après avoir vérifié avec un deuxième lot de clichés ce qu'elle avait vu dans le premier.
Elle a expliqué dans l'émission Stew Peters qu'un laboratoire local de Géorgie lui avait d'abord demandé d'examiner au microscope le contenu d'un flacon Moderna « frais », dont elle a vérifié qu'il n'avait pas été modifié avant d'être placé sur une lame de verre sous un microscope composé. "Rien n'a été ajouté à la solution, rien n'a été dilué", a-t-elle déclaré.
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Dr Carrie Madej : le premier laboratoire américain examine des flacons de « vaccins »
"Au début, il avait l'air juste translucide. Et puis au fur et à mesure du temps, plus de deux heures, des couleurs sont apparues. Je n'avais jamais rien vu de tel. Il n'y a pas eu de réaction chimique. C'était un bleu brillant et un violet royal, du jaune et parfois du vert », a-t-elle déclaré.
Plus tard, elle a partagé que lorsqu'elle a demandé aux ingénieurs en nanotechnologie d'où pourraient provenir les couleurs brillantes émergentes, les ingénieurs ont dit que la "seule chose qu'ils savaient qui pouvait faire cela" était une lumière blanche, au fil du temps, provoquant une réaction sur "un matériau supraconducteur". .” Dans ce cas, a noté Madej, la lumière blanche provenait du microscope lui-même.
Elle a souligné qu'un exemple de substance supraconductrice serait "un système informatique injectable".
Madej a poursuivi : « Ces fibres apparaissaient de plus en plus. Certaines fibres avaient une petite structure cubique, je ne sais pas ce que c'était. Et aussi des fragments métalliques étaient là-dedans. Ce n'étaient pas des fragments métalliques que j'ai l'habitude de voir. Ils étaient exotiques. Ils étaient très opaques.
Avec le temps, a déclaré Madej, "toutes les particules, toutes ces couleurs ont commencé à se déplacer vers le bord" de la diapositive de couverture. «Il y avait de l'auto-assemblage, les choses grandissaient. Ils avaient l'air synthétique.
Madej a remarqué autre chose d'assez étrange : « Il y avait un objet ou un organisme particulier, je ne sais pas comment l'appeler, qui avait des tentacules qui en sortaient. Il a pu se soulever de la lame de verre. Il semblait être conscient de lui-même, ou être capable de grandir ou de se déplacer dans l'espace. Elle a trouvé cela dérangeant mais a dit qu'elle pensait: "Peut-être que c'était un coup de chance d'une certaine manière, peut-être que c'était juste ce flacon."
Quelque temps plus tard, le même laboratoire a obtenu plus de flacons d'un lot différent de coups de Moderna, ainsi qu'un flacon J&J. Madej était inquiète de voir les mêmes choses qu'elle avait observées dans le premier flacon.
"Une autre de ces structures en forme de tentacule est apparue", a-t-elle déclaré. "C'était maintenant complètement sous la lamelle, donc il n'y avait aucun mouvement parce que ce n'était pas sur le bord, mais je ne pouvais tout simplement pas croire que j'en ai vu un autre. Même chose." Madej a également vu apparaître les « mêmes couleurs » au fil du temps, ainsi que les fibres.
Dans le flacon de J&J, a déclaré Madej, il y avait «certainement une substance qui ressemblait à du graphène. Ils avaient tous des structures de type graphène là-dedans. Qu'ils l'aient été ou non, je n'ai pas la capacité de les tester pour le savoir dans ce laboratoire, mais c'est ce qu'ils semblaient être.
Le contenu du flacon contenait également «des substances grasses, une substance collante semblable à de la colle qui serait considérée comme un hydrogel dans les deux».
Le flacon J&J "avait également des couleurs apparaissent." « Leurs couleurs étaient différentes, comme une sorte de couleur pastel fluorescente. Encore une fois, il y a aussi beaucoup de structures synthétiques là-dedans. Madej a également remarqué de nombreuses "structures d'anneaux sphériques" dans le contenu de J&J.
"Je n'ai jamais rien vu de tel auparavant. Ils ne sont pas censés être dans ces injections. Qu'est-ce qu'ils vont faire à quelqu'un ? Que vont-ils faire à un enfant ? J'ai commencé à pleurer quand je les ai vus pour la deuxième fois au microscope, car c'était la confirmation de tout ce que j'avais vu la première fois », a déclaré Madej.
Madej est de nouveau apparue dans l'émission Stew Peters le 20 octobre pour discuter de ses découvertes d'un flacon de jab Pfizer ainsi que d'un autre flacon J&J. "Ce que je vois chez tous ces fabricants, ce sont des substances synthétiques, de type graphène, ainsi que ces tubes en nano-carbone", a déclaré Madej.
"Dans ce flacon particulier de J&J", Madej a vu "des sphères rondes, qui n'étaient pas des bulles d'air". Elle a poursuivi: «Il y a beaucoup de ces anneaux, et au fil du temps, ils devenaient de plus en plus minces et se dilataient, puis finalement extrudaient un matériau gélatineux – je ne sais pas ce que c'était, mais différents types de choses étaient à l'intérieur de ceux-ci. sphères. Donc, ils sont presque comme une structure de livraison, c'est ce qu'ils faisaient.
Sur l'un de ces anneaux, Madej a vu ce qui "ressemblait à un organisme translucide qui faisait le tour et faisait des allers-retours". Madej a d'abord "pensé qu'il s'agissait d'un autre parasite aquatique", mais après avoir continué à observer ses mouvements, "a pensé qu'il se déplaçait peut-être de manière plus robotique".
Madej a vu le «même genre de choses synthétiques» dans le jab Pfizer, ainsi que «quelque chose qui ressemble à la teslaphorèse. C'est alors que ces petites particules métalliques noires ressemblant à du graphite commencent à fusionner en cordes, comme une toile d'araignée. Ils le font par le biais de n'importe quelle force externe - cela peut être de la lumière, cela peut être une force magnétique, cela peut être une impulsion, comme une fréquence. Quoi qu'il en soit, toutes ces petites particules fusionneraient alors et formeraient leur propre réseau neuronal, ou leurs propres fibres, ou fils.
Après avoir écouté les découvertes de Madej et vu la documentation photo et vidéo qu'elle a fournie, Peters a commenté: "C'est comme si je regardais un très mauvais film B, un thriller d'horreur." Voir aussi ceci : Le Vax : le Dr Zalewski découvre des œufs de parasites à couver ; Le test PCR : collecte de votre ADN.
Les créatures tentaculaires du jab Moderna sont-elles des expériences d'hydre "immortelles" ?
Madej pense que l'entité tentaculaire qu'elle a trouvée dans les jabs de Moderna a un lien avec l'organisme hydra vulgaris. « C'est l'un des organismes modèles que les transhumanistes aiment étudier et observer. Ils pensent que c'est un organisme incroyable pour l'humanité », a déclaré Madej, en partie parce qu'« il est immortel en laboratoire » et « produit en permanence ses propres cellules souches ».
« Ça ne s'arrête jamais. Vous pouvez le couper en petits morceaux, le mettre dans une boîte de Pétri et il se reforme encore et encore », a-t-elle poursuivi. "Ils pensent, ne serait-ce pas formidable si nous pouvions mettre cela à l'intérieur du génome d'un corps humain, et puis si votre main était coupée par un traumatisme, vous pourriez développer une nouvelle main."
L'autre raison pour laquelle les transhumanistes s'intéressent à l'hydre, a déclaré Madej, est qu'elle "a son propre réseau neuronal", qui ressemble à un nerf humain, et quand [rassemblés] "peuvent former un réseau maillé, ils peuvent en fait communiquer entre eux". les uns des autres, presque comme si vous aviez votre propre intranet à l'intérieur de votre corps. Elle a noté qu'alors "quelque chose d'extérieur pourrait l'affecter, comme une impulsion, une fréquence, quelque chose de la 5G, une lumière, un aimant. Et si quelque chose avait influencé ce réseau de communication ? »
Le 21 octobre, Karen Kingston a souligné dans l'émission Stew Peters que les National Institutes of Health (NIH), qui détiennent une participation de 50 % dans le vaccin mRNA-1273 de Moderna et qu'il a aidé à développer sous l'égide du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID ) dirigé par le Dr Anthony Fauci, "parraine la recherche sur l'hydre depuis plus de deux décennies".
En fait, le NIH a une sous-section entière de son site Web consacrée au projet Hydra 2.0 Genome.
Kingston a également souligné une étude qui a révélé qu'Hydra a "à peu près le même nombre de gènes que les humains, partageant plusieurs des mêmes", et qu'ils ont également trouvé dans les gènes Hydra "liés à la maladie de Huntington" et à la formation de plaques observées dans La maladie d'Alzheimer. Elle a comparé les symptômes associés à ces maladies avec ceux ressentis par certains qui ont reçu les injections de COVID, comme les tremblements corporels, chez ceux qui ont « perdu le contrôle de leur système neurologique ».
Elle pense que les gens sont injectés par le biais des injections COVID avec une « hydre transgénique », qu'elle décrit comme un organisme avec de l'ADN d'un autre organisme incorporé.
Les conclusions d'un autre médecin sur la "structure de livraison" dans Johnson & Johnson jab
Madej n'est pas le premier à observer des objets métalliques non identifiés, des substances de type graphène, des particules d'auto-assemblage et des entités de type organisme dans les jabs COVID.
Le Dr Jane Botha a rapporté dans l'émission Stew Peters du 4 octobre que lorsqu'elle a mis une goutte d'un flacon de J&J sous le microscope et a laissé la gouttelette découverte, elle a vu "des disques noirs très symétriques" qui "semblent être réunis". par ce que Peters a noté semblait être des connecteurs métalliques.
Botha ne savait pas quoi penser de ce qu'elle voyait, mais a noté qu'ils réfléchissaient la lumière lorsqu'ils étaient observés dans un champ sombre, et qu'ils semblaient « s'auto-assembler ». Elle a vu les mêmes disques quatre fois différentes, en utilisant quatre gouttelettes différentes du même flacon.
Lorsque l'échantillon a séché, a déclaré Botha, elle ne pouvait plus voir les structures du disque, mais "des lignes noires ont commencé à se former".
Botha a été particulièrement troublée par ce qu'elle a trouvé parce que lorsqu'elle a vu le liquide de piqûre à travers une technique de microscope différente, des «structures noires» plus amorphes semblaient être «exactement la même structure» qu'elle a observée dans le sang de ses patients piquées qui étaient présenter des symptômes après les injections de COVID. Ces symptômes comprenaient des caillots sanguins, un essoufflement, des douleurs nerveuses, une thrombose grave, des embolies graves et des difficultés cognitives, notamment une perte de mémoire et une dépression.
La chercheuse pharmaceutique, la Dre Jane Ruby, a déclaré à l'émission Stew Peters du 6 octobre que les gens avaient effectué des "recherches inversées" et avaient "regroupé de nombreuses données scientifiques différentes pour montrer qu'il s'agit d'une technologie appelée micro-bulles". est un système de livraison utilisé pour le corps humain.
Ruby a déclaré que le Dr Botha « émet l'hypothèse » que la raison pour laquelle elle ne pouvait plus voir les disques, mais seulement les lignes noires une fois que l'échantillon de jab J&J s'est tari, est que « peut-être qu'ils ont été programmés pour s'ouvrir » et « déborder sur leur contenu, leur charge utile.
Cette hypothèse correspondrait à l'observation du Dr Madej dans l'échantillon d'"anneaux" de J&J selon lequel "au fil du temps, ils deviendraient de plus en plus minces et se dilateraient puis extruderaient finalement une matière gélatineuse", qu'elle a décrite comme "presque comme une structure de livraison.
L'International Journal of Pharmaceutical Sciences and Research a publié un "aperçu" du "concept de microbulles en tant que système d'administration de médicaments", décrivant les microbulles comme un "petit type de bulle sphérique" "capable de pénétrer même dans les plus petits capillaires sanguins et de libérer des médicaments ou des gènes, incorporés à leur surface, sous l'action des ultrasons.
Découvertes répétées de substances de type oxyde de graphène dans les piqûres
D'autres ont observé des substances dans les jabs COVID qu'ils croient être de l'oxyde de graphène, dont diverses expériences ont montré qu'elles avaient des effets toxiques.
La première découverte de ce type à être mise en évidence a été l'observation du Dr Pablo Campra Madrid, publiée sur le blog espagnol La Quinta Columna, selon laquelle le contenu de ce qui était étiqueté comme un jab Pfizer, vu au microscope électronique, "présent[ed ] une grande similitude avec les images d'oxyde de graphène de la littérature obtenues par la même technique TEM, avec des grossissements similaires.
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Ils ont ajouté que dans les deux images "une matrice ou un maillage complexe de feuilles flexibles translucides pliées peut être observé". Les chercheurs ont conclu que bien que la "microscopie ne fournisse pas de preuves concluantes", elle "fournit des preuves solides de la présence probable de dérivés de graphène".
L'oxyde de graphène, l'un des nombreux dérivés du graphène, est loué pour ses qualités qui se prêtent bien aux applications biomédicales telles que les biocapteurs, l'administration de médicaments et le transfert de matériel génétique. Par exemple, le Conseil consultatif scientifique décrit la conception par des chercheurs du Centre national des neurosciences et de la technologie en Chine d'un "hydrogel contenant un vaccin à ARN" qui utilisait de l'oxyde de graphène, favorisé au moins en partie pour sa "haute efficacité de chargement de médicament". en raison de sa "grande surface".
En fait, toute une étude a été consacrée au "potentiel des matériaux à base de graphène pour lutter contre le COVID-19", qui stipule que "le graphène et les matériaux liés au graphène (GRM) présentent d'extraordinaires propriétés physicochimiques, électriques, optiques, antivirales, antimicrobiennes, et d'autres propriétés fascinantes qui les justifient en tant que candidats potentiels pour la conception et le développement de composants et de dispositifs hautes performances nécessaires à la pandémie de COVID-19 et à d'autres calamités futuristes.
Dr Robert Young, un Ph.D. et naturopathe, a également examiné chaque jab COVID disponible avec la microscopie et la spectroscopie à rayons X, trouvant des objets dans l'échantillon Pfizer qui présentent une similitude avec les images d'oxyde de graphène. Les images au microscope et le contenu chimique / élémentaire qu'il a trouvé par spectroscopie à rayons X l'amènent à croire que le jab Pfizer contient de l'oxyde de graphène.
Le Dr Ruby a noté que diverses études ont révélé des effets toxiques de l'oxyde de graphène, notamment sa tendance à entraîner la coagulation du sang.
Une étude de 2016 intitulée "Toxicité des nanoparticules de la famille des graphènes : un examen général des origines et des mécanismes a noté qu'"en raison de leur taille nanométrique, les GFN peuvent atteindre des organes plus profonds en traversant les barrières physiologiques normales", telles que "le système hémato-encéphalique". barrière et barrière hémato-placentaire.
L'étude a révélé que "l'oxyde de graphène (GO) peut entraîner une réponse inflammatoire aiguë et des blessures chroniques en interférant avec les fonctions physiologiques normales d'organes importants". "De nombreuses expériences ont montré que les GFN ont des effets secondaires toxiques dans de nombreuses applications biologiques", a-t-il conclu.
La publication officielle de la Food and Drug Administration de Taiwan (TFDA) a également noté les effets toxiques de l'oxyde de graphène.
Il convient de noter que le Graphene Flagship, financé par l'Union européenne, a décrit l'un des développements majeurs de l'utilisation du graphène comme sa contribution aux "émetteurs et récepteurs" 5G : "Les émetteurs et récepteurs à très haute capacité utilisant du graphène offrent une solution unique pour futures communications 5G », lit le développement de 2018 sur la chronologie du graphène.
La contribution du graphène aux "émetteurs et récepteurs de données" 5G a également été discutée par le portail d'actualités scientifiques de la radiodiffusion publique estonienne Novaator.
Mettez vos ceintures de sécurité " : le PDG de BlackRock met en garde contre "l'inflation de la pénurie"
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 30 MARS 2022 - 16:05
La génération Y (née entre 1981 et 1996) a passé une grande partie de sa vie dans une utopie économique où les biens sont bon marché et abondants. Contrairement aux générations précédentes, ces jeunes n'ont pas encore connu une inflation rapide et des pénuries jusqu'à présent.
Mardi, le président de BlackRock Inc., Rob Kapito, a déclaré à un public à Austin, au Texas, organisé par la Texas Independent Producers and Royalty Owners Association, que toute une jeune génération découvre rapidement ce que signifie souffrir de pénuries, selon Bloomberg.
"Pour la première fois, cette génération va entrer dans un magasin et ne pourra pas obtenir ce qu'elle veut", a déclaré Kapito. "Et nous avons une génération très autorisée qui n'a jamais eu à se sacrifier."
Il a déclaré que l'économie souffrait d'une "inflation de pénurie" en raison des retombées de la pénurie de main-d'œuvre, du manque de fournitures agricoles et de logements abordables et des prix élevés de l'énergie.
Peut-être que les dernières données de la confiance des consommateurs du Conference Board reflètent l'humeur de la génération Y, qui, soit dit en passant, n'est pas très bonne pour le moment. Leur confiance dans les attentes économiques futures s'effondre.
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L'inflation, à son plus haut niveau depuis quatre décennies, entrave la capacité des ménages à dépenser. Leurs gains salariaux réels sont négatifs lorsqu'on tient compte de l'inflation, et leurs anticipations d'inflation en mars ont atteint un niveau record. Les craintes d'inflation ne disparaissent pas.
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L'affaiblissement du sentiment et l'inflation inquiétante sont dus au fait que tout le monde ne peut pas facilement naviguer dans la tourmente économique actuelle. Les jeunes générations ont tendance à être locataires, à ne rien posséder et à avoir des économies limitées car elles dépensent bien au-delà de leurs limites.
Kapito a averti: "Je mettrais vos ceintures de sécurité parce que c'est quelque chose que nous n'avons pas vu."
Certaines personnes ne sont pas entièrement enthousiasmées par les commentaires de Kapito...
De tout y en a. Mais, ils veulent faire l'expérience (du haut de leur QI de trisomique) d'augmenter les prix jusqu'au non-accessible ! Mettez le pain à 1000 $ ou €, ferez vous du boulanger un millionnaire ? NON ! Non parce qu'à ce prix il n'aura pas de client ! Le choix du jeu 'Guerre en Ukraine' est de faire croire que sans l'Ukraine le monde s'arrête de tourner, 7 milliards de morts de faim, etc, etc ! Mais les gens ne sont pas des idiots, ils savent, ils voient, ils écoutent les ministres, chefs d’États et les candidats aux prochaines élections qui leur mentent les yeux dans les yeux !
Un enregistrement d'un début de campagne de Nicolas Sarkosy: "80 % des gens sont des cons. Adressez-vous à eux comme à des classes CM1 CM2." Cette phrase dit bien ce qu'elle veut dire ! Ils sort de 'grandes écoles' où des psychopathes l'ont formé, moulé, formaté à penser que tous les gens autour de lui sont des cons. Cela suffit à se croire supérieur alors qu'il n'a même pas le niveau CM1 ! (Regardez son passage au gouvernement et présidence !! UNE MERDE !).
Humilitainment : comment contrôler les citoyens à travers les distractions de la télé-réalité
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 30 MARS 2022 - 06:05 Rédigé par John W. Whitehead et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,
« Big Brother ne nous regarde pas, par son choix. Nous le surveillons, par le nôtre…. Quand une population est distraite par des anecdotes, quand la vie culturelle est redéfinie comme une ronde perpétuelle de divertissements, quand la conversation publique sérieuse devient une forme de bavardage, quand, en somme, un peuple devient un public et ses affaires publiques un acte de vaudeville , alors une nation se trouve en danger ; la mort de la culture est une possibilité évidente. - Professeur Neil Postman
Encore une fois, la programmation a changé.
Comme sur des roulettes, la couverture médiatique de la dernière crise a changé de vitesse.
Nous sommes passés des verrouillages de COVID-19 au drame électoral Trump-Biden à la crise russo-ukrainienne aux audiences de confirmation de Ketanji Brown Jackson à l'agression devant la caméra par Will Smith du comédien Chris Rock lors de la cérémonie des Oscars.
Les distractions, les distorsions et le théâtre politique ne cessent d'arriver.
L'émission de téléréalité en cours qui est la vie dans l'État policier américain alimente l'appétit vorace des citoyens pour les feuilletons télévisés excitants.
Tout comme l'univers fabriqué dans le film The Truman Show de Peter Weir en 1998, dans lequel la vie d'un homme est à la base d'une émission télévisée minutieusement mise en scène visant à vendre des produits et à obtenir des cotes d'écoute, la scène politique aux États-Unis s'est transformée au fil des ans en une exercice soigneusement calibré sur la façon de manipuler, polariser, propager et contrôler une population.
C'est la magie de la télé-réalité qui passe pour de la politique aujourd'hui : tant que nous serons distraits, amusés, parfois indignés, toujours polarisés mais largement désintéressés et contents de rester à la place du spectateur, nous ne parviendrons jamais à présenter une vision unifiée front contre la tyrannie (ou la corruption et l'incompétence du gouvernement) sous quelque forme que ce soit.
Plus cela nous rayonne, plus nous sommes enclins à nous installer dans nos fauteuils confortables et à devenir des spectateurs passifs plutôt que des participants actifs à mesure que des événements troublants et effrayants se déroulent.
Nous n'avons même pas besoin de changer de chaîne lorsque le sujet devient trop monotone. Cela est pris en charge pour nous par les programmeurs (les médias d'entreprise).
« Vivre est facile les yeux fermés », a observé John Lennon, et c'est exactement ce que la télé-réalité qui se fait passer pour la politique américaine programme les citoyens à faire : naviguer dans le monde les yeux fermés.
Tant que nous serons des spectateurs, nous ne serons jamais des faiseurs.
Des études suggèrent que plus les gens regardent la télé-réalité – et je dirais que tout est télé-réalité, actualités de divertissement incluses – plus il devient difficile de faire la distinction entre ce qui est réel et ce qui est une farce soigneusement conçue.
« Nous, le peuple », regardons beaucoup la télévision.
En moyenne, les Américains passent cinq heures par jour à regarder la télévision. Au moment où nous atteignons l'âge de 65 ans, nous regardons plus de 50 heures de télévision par semaine, et ce nombre augmente à mesure que nous vieillissons. Et la programmation de télé-réalité capte systématiquement le plus grand pourcentage de téléspectateurs chaque saison avec un rapport de près de 2 contre 1.
Cela n'augure rien de bon pour une population capable de passer au crible une propagande magistralement produite afin de réfléchir de manière critique aux problèmes du jour, qu'il s'agisse de fausses nouvelles colportées par des agences gouvernementales ou des entités étrangères.
Ceux qui regardent des émissions de téléréalité ont tendance à considérer ce qu'ils considèrent comme la «norme». Ainsi, ceux qui regardent des émissions caractérisées par le mensonge, l'agressivité et la méchanceté en viennent non seulement à considérer un tel comportement comme acceptable et divertissant, mais aussi à imiter le médium.
Cela est vrai, que la programmation de téléréalité porte sur les bouffonneries de célébrités à la Maison Blanche, dans la salle du conseil ou dans la chambre à coucher.
C'est un phénomène appelé "l'humilité".
Terme inventé par les spécialistes des médias Brad Waite et Sara Booker, "l'humilité" fait référence à la tendance des téléspectateurs à prendre plaisir à l'humiliation, à la souffrance et à la douleur de quelqu'un d'autre.
«L'humilité» explique en grande partie non seulement pourquoi les téléspectateurs américains sont si obsédés par la programmation de télé-réalité, mais comment les citoyens américains, largement isolés de ce qui se passe réellement dans le monde qui les entoure par des couches de technologie, de divertissement et d'autres distractions, sont programmés pour accepter la brutalité, la surveillance et le traitement déshumanisant du gouvernement comme des choses qui arrivent à d'autres personnes.
Les ramifications pour l'avenir de l'engagement civique, du discours politique et de l'autonomie gouvernementale sont incroyablement déprimantes et démoralisantes.
Cela explique comment nous continuons d'être aux prises avec des chefs de gouvernement qui n'ont aucune idée de la Constitution et sont déconnectés des besoins des personnes qu'ils ont été nommés pour représenter.
C'est aussi ce qui se passe lorsqu'une nation entière - bombardée par des émissions de télé-réalité, de la propagande gouvernementale et des nouvelles de divertissement - devient systématiquement désensibilisée et acclimatée aux pièges d'un gouvernement qui fonctionne par décret et parle dans un langage de force.
En fin de compte, les émissions de téléréalité, les nouvelles de divertissement, la société de surveillance, la police militarisée et les spectacles politiques ont un objectif commun : nous garder divisés, distraits, emprisonnés et incapables de jouer un rôle actif dans les affaires de l'autonomie gouvernementale. .
Regardez derrière les spectacles politiques, les théâtralités de la télé-réalité, les distractions et les détournements de passe-passe, et le drame qui vous ronge l'estomac et vous ronge les ongles, et vous découvrirez qu'il y a une méthode à la folie.
Nous sommes devenus des cobayes dans une expérience impitoyablement calculée, soigneusement orchestrée et de sang-froid sur la façon de contrôler une population et de faire avancer un programme politique sans trop d'opposition de la part des citoyens.
C'est le contrôle de l'esprit dans sa forme la plus sinistre.
Comment changez-vous la façon dont les gens pensent ? Vous commencez par changer les mots qu'ils utilisent.
Dans les régimes totalitaires où la conformité et la conformité sont imposées au bout d'une arme chargée, le gouvernement dicte quels mots peuvent et ne peuvent pas être utilisés.
Dans les pays où la tyrannie se cache derrière un masque bienveillant et se déguise en tolérance, les citoyens s'autocensurent, contrôlent leurs paroles et leurs pensées pour se conformer aux diktats de l'esprit de masse.
Même lorsque les motifs derrière cette réorientation rigidement calibrée du langage sociétal semblent bien intentionnés – décourager le racisme, condamner la violence, dénoncer la discrimination et la haine –, inévitablement, le résultat final est le même : intolérance, endoctrinement, infantilisme, refroidissement de la liberté d'expression et diabolisation des points de vue qui vont à l'encontre de l'élite culturelle.
Comme l'a reconnu George Orwell, "En période de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
Orwell ne comprenait que trop bien le pouvoir du langage pour manipuler les masses.
Dans 1984 d'Orwell, Big Brother supprime tous les mots et significations indésirables et inutiles, allant même jusqu'à réécrire systématiquement l'histoire et punir les "crimes de pensée". Dans cette vision dystopique du futur, la Police de la Pensée sert d'yeux et d'oreilles à Big Brother, tandis que le Ministère de la Paix s'occupe de la guerre et de la défense, le Ministère de l'Abondance s'occupe des affaires économiques (rationnement et famine), le Ministère de l'Amour s'occupe de la loi et de l'ordre (torture et lavage de cerveau), et le ministère de la Vérité s'occupe de l'actualité, du divertissement, de l'éducation et de l'art (propagande). Les devises de l'Océanie : LA GUERRE EST LA PAIX, LA LIBERTÉ EST L'ESCLAVAGE et L'IGNORANCE EST LA FORCE.
Le grand frère d'Orwell s'est appuyé sur la novlangue pour éliminer les mots indésirables, dépouiller les mots qui restaient de sens peu orthodoxes et rendre totalement inutile la pensée indépendante et non approuvée par le gouvernement.
Nous nous situons maintenant à la jonction de l'ancien langage (où les mots ont un sens et où les idées peuvent être dangereuses) et du novlangue (où seul ce qui est « sûr » et « accepté » par la majorité est autorisé).
La vérité est souvent perdue lorsque nous ne parvenons pas à faire la distinction entre l'opinion et les faits, et c'est le danger auquel nous sommes maintenant confrontés en tant que société. Quiconque se fie exclusivement aux animateurs de télévision/câble et aux commentateurs politiques pour une connaissance réelle du monde commet une grave erreur.
Malheureusement, depuis que les Américains sont devenus en grande partie des non-lecteurs, la télévision est devenue leur principale source de soi-disant « nouvelles ». Cette dépendance à l'égard des informations télévisées a donné naissance à des personnalités de l'information si populaires qui attirent de vastes auditoires qui s'accrochent pratiquement à chacun de leurs mots.
À l'ère des médias, ce sont les nouveaux pouvoirs en place.
Pourtant, alors que ces personnalités dispensent souvent les nouvelles comme les prédicateurs dispensaient la religion, avec puissance et certitude, elles ne sont guère plus que des conduits de propagande et de publicités diffusées sous le couvert de divertissements et d'informations.
Compte tenu de la prépondérance des programmes d'information en tant que divertissement, il n'est pas étonnant que les téléspectateurs aient largement perdu la capacité de penser de manière critique et analytique et de faire la différence entre la vérité et la propagande, en particulier lorsqu'ils sont diffusés par de faux crieurs et politiciens.
Bien que les nouvelles télévisées ne puissent pas – et ne doivent pas – être complètement évitées, les suggestions suivantes vous aideront à mieux comprendre la nature des nouvelles télévisées.
1. Les informations télévisées ne sont pas ce qui s'est passé. C'est plutôt ce que quelqu'un pense mérite d'être signalé. Bien qu'il existe encore de bons journalistes de télévision, l'art ancien du journalisme d'investigation a été largement perdu. Alors que les téléspectateurs sont souvent enclins à prendre pour argent comptant ce qui est rapporté par les animateurs de « nouvelles » télévisées, il est de votre responsabilité de juger et d'analyser ce qui est rapporté.
2. Les informations télévisées sont un divertissement. Il y a une raison pour laquelle les programmes que vous regardez sont appelés "émissions" d'actualités. C'est un signal que les soi-disant nouvelles sont diffusées comme une forme de divertissement. "Dans le cas de la plupart des émissions d'actualités", écrivent Neil Postman et Steve Powers dans leur livre perspicace, How to Watch TV News (1992), "le package comprend des ancres attrayantes, un thème musical passionnant, un relief comique, des histoires placées pour contenir le public, la création de l'illusion d'intimité, etc.
Bien sûr, le but de tout ce faste et de ce glamour est de vous garder collé à l'ensemble afin qu'un produit puisse vous être vendu. (Même les animateurs de nouvelles télévisées se lancent dans l'action en colportant leurs propres produits, de leurs derniers livres aux tasses et peignoirs.) Bien que les nouvelles qui vous sont données à la cuillère puissent avoir une certaine valeur, elles sont avant tout une marchandise audience, qui sera à son tour vendue aux annonceurs.
3. Ne sous-estimez jamais le pouvoir des publicités, en particulier pour les téléspectateurs. Dans un ménage moyen, le téléviseur est allumé plus de sept heures par jour. La plupart des gens, s'estimant maîtres de leur consommation de médias, ne sont pas vraiment gênés par cela. Mais la télévision est une attaque à double sens : non seulement elle livre la programmation à votre domicile, mais elle vous livre également (le consommateur) à un sponsor.
Les gens qui regardent les nouvelles ont tendance à être plus attentifs, éduqués et ont plus d'argent à dépenser. Ils constituent donc un marché privilégié pour les annonceurs. Et les sponsors dépensent des millions pour des publicités bien produites. Ces publicités sont souvent plus longues que la plupart des reportages et coûtent plus cher à produire que les reportages eux-mêmes. De plus, le contenu de nombreuses publicités, qui contredit souvent les messages des reportages, ne peut être ignoré. La plupart des publicités visent des intérêts lubriques en prônant le sexe, l'abus, la drogue, etc., ce qui a un effet démoralisant sur les téléspectateurs, en particulier les enfants.
4. Il est d'une importance vitale de connaître les intérêts économiques et politiques de ceux qui possèdent les médias « d'entreprise ».
Il existe désormais peu de sources d'informations indépendantes. Les principaux organes d'information appartiennent à des empires commerciaux.
5. Portez une attention particulière à la langue des bulletins de nouvelles. Parce que les séquences de films et autres images visuelles sont si attrayantes dans les journaux télévisés, les téléspectateurs sont susceptibles de laisser le langage - ce que le journaliste dit à propos des images - ne pas être examiné. Le langage d'un animateur de nouvelles télévisées encadre les images et, par conséquent, le sens que nous tirons de l'image est souvent déterminé par le commentaire de l'animateur. La télévision, de par sa nature même, manipule les téléspectateurs. Il ne faut jamais oublier que chaque minute de télévision a été montée. Le spectateur ne voit pas l'événement réel mais la forme modifiée de l'événement. Par exemple, présenter un segment d'une à deux minutes d'un discours politique de deux heures et faire critiquer un animateur de talk-show télévisé peut être malhonnête, mais de telles séquences montées sont un incontournable des émissions d'information. Ajoutez à cela le fait que les journalistes qui montent le film ont un point de vue subjectif - parfois déterminé par leurs patrons d'entreprise - qui entre en jeu.
6. Réduisez au moins de moitié la quantité de nouvelles télévisées que vous regardez. Les journaux télévisés sont généralement constitués de « mauvaises » nouvelles : guerres, tortures, meurtres, scandales, etc. Cela ne peut pas vous faire de mal de vous excuser chaque semaine d'une grande partie du chaos qui vous est projeté aux informations. Ne formez pas votre concept de réalité basé sur la télévision. Le journal télévisé, il faut le rappeler, ne reflète pas la vie quotidienne normale. Des études indiquent qu'une écoute intensive des informations télévisées fait penser aux gens que le monde est beaucoup plus dangereux qu'il ne l'est en réalité.
7. L'une des raisons pour lesquelles beaucoup de gens sont accros aux informations télévisées est qu'ils sentent qu'ils doivent avoir une opinion sur presque tout, ce qui donne l'illusion de participer à la vie américaine. Mais une « opinion » est tout ce que nous pouvons gagner du journal télévisé car il ne présente que les informations les plus rudimentaires et fragmentées sur quoi que ce soit. Ainsi, sur la plupart des questions, nous ne savons pas vraiment grand-chose de ce qui se passe réellement. Et, bien sûr, on s'attend à ce que nous considérions ce que dit l'animateur du journal télévisé sur une question comme une vérité d'évangile. Mais ne vaut-il pas mieux penser par soi-même ? Ajoutez à cela que nous devons réaliser que nous n'avons souvent pas assez d'informations provenant de la source "d'actualités" pour nous forger une véritable opinion. Comment cela peut-il être fait ? Étudiez une grande variété de sources, analysez attentivement les problèmes afin d'être mieux informé et remettez tout en question.
L'essentiel est simplement ceci : les Américains doivent se méfier de laisser les autres – qu'ils soient animateurs de journaux télévisés, commentateurs politiques ou sociétés de médias – penser à leur place.
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, une population qui ne peut pas penser par elle-même est une population dos aux murs : muette face aux élus qui refusent de nous représenter, impuissants face à la brutalité policière, impuissants face aux tactiques et technologies militarisées qui nous traitent comme des combattants ennemis sur un champ de bataille, et nus face à la surveillance gouvernementale qui voit et entend tout.
Il est temps de changer de chaîne, de couper l'émission de télé-réalité et de repousser la véritable menace de l'État policier.
Sinon, si nous continuons à nous asseoir et à nous perdre dans la programmation politique, nous resterons un public captif d'une farce qui devient de plus en plus absurde de minute en minute.
Peter Schiff: Les solutions gouvernementales pour les prix élevés du gaz ne feront qu'empirer les choses
PAR TYLER DURDEN MARDI 29 MARS 2022 - 15:20 Via SchiffGold.com,
Comme Peter Schiff l'a dit dans un podcast récent, les solutions gouvernementales aggravent tous les problèmes.
Les solutions proposées pour aider les Américains à faire face aux prix élevés de l'essence ne font pas exception.
Une proposition est de donner aux Américains 100 $ par mois pour aider à soulager la douleur à la pompe. Peter a appelé cela "un schéma insensé".
Où le gouvernement va-t-il trouver ces 100 $ par mois d'argent supplémentaire à envoyer à chaque Américain ? Eh bien, ils vont juste l'imprimer. Ils vont l'obtenir de la Réserve fédérale. Ils vont avoir des déficits plus importants, ce qui signifie qu'ils vont devoir créer plus d'inflation pour résoudre le problème d'une trop grande inflation.
L'inflation est la cause sous-jacente de la hausse des prix du pétrole. Nous avons vu le prix du pétrole augmenter pendant un an, ainsi que le coût de tout le reste. Cela a été causé par le gouvernement et la vague d'impressions monétaires pendant la pandémie.
La flambée la plus récente des prix du gaz est due à la restriction de l'approvisionnement provoquée par les sanctions économiques imposées à la Russie.
Avec une offre insuffisante, vous ne voulez pas simplement distribuer de l'argent pour que les gens puissent "se permettre" des prix de l'essence plus élevés. Il faut que les gens réduisent leur consommation. Vous avez besoin de gens pour économiser. Le marché doit protéger l'offre limitée.
C'est ce que la solution du marché libre est aux prix élevés. C’est trouver un moyen de réduire la consommation. Mais non. Le gouvernement veut donner de l'argent aux gens pour qu'ils puissent continuer à consommer ce qui est rare, ce qui fait grimper encore plus le prix.
Une autre proposition est une taxe sur les «bénéfices exceptionnels» pour les compagnies pétrolières. Peter a appelé cette idée encore plus stupide.
Un démocrate au Congrès veut prélever une taxe de 50 % sur les bénéfices « excédentaires » que les compagnies pétrolières gagnent alors que le prix est élevé. Ensuite, le gouvernement peut distribuer cet argent aux Américains pour les aider à payer les prix plus élevés de l'essence. Certes, cela ne serait pas inflationniste car l'argent proviendrait des compagnies pétrolières.
Mais si vous voulez plus de pétrole, si les prix du pétrole sont élevés parce que nous n'avons pas assez de pétrole, les dernières entreprises que vous voulez taxer sont les compagnies pétrolières. Parce que, si nous devons obtenir plus de pétrole, d'où viendra-t-il ? Cela viendra des compagnies pétrolières. Eh bien, où les compagnies pétrolières vont-elles trouver l'argent pour développer des sources alternatives de pétrole ? De leurs bénéfices. Si nous imposons leurs profits, si nous diminuons leurs profits, alors nous diminuons la capacité des compagnies pétrolières à faire des investissements dans l'exploration et le développement qui augmenteraient l'approvisionnement en pétrole. Donc, nous ajoutons en fait au problème en le rendant plus difficile pour les seules personnes du pays qui sont capables de produire plus de pétrole, en rendant moins probable qu'elles le fassent en le rendant plus difficile en les privant de leurs ressources.
Non seulement cela, vous découragez l'ensemble de l'industrie en envoyant un message. Le message est que si vous investissez là-dedans et que vous gagnez de l'argent, nous allons simplement vous le retirer. Alors, pourquoi s'embêter à produire du pétrole ?
Pourquoi prendre le risque si le gouvernement va confisquer la récompense ?
En même temps, le gouvernement donnerait de l'argent aux consommateurs pour continuer à payer l'essence afin qu'ils n'aient pas à réduire leur consommation.
Ainsi, le gouvernement stimule la demande de pétrole tout en décourageant une augmentation de l'offre de pétrole – faisant le contraire de ce que ferait le marché libre.
Ces idées "tête d'os" ne se limitent pas à Capitol Hill. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsome, veut distribuer des cartes de débit de 400 $ que les Californiens peuvent utiliser pour payer l'essence. Cela créerait les mêmes incitations perverses, encourageant la consommation de quelque chose qui manque.
Et où la Californie va-t-elle trouver tout cet argent ? Il empruntera probablement l'argent, ce qui signifie qu'encore plus de dettes pèsent sur les épaules des Californiens.
Ce sont des solutions qui ne fonctionneront pas. … La solution au problème n'est pas plus de gouvernement. La solution au problème est moins de gouvernement.
Dans ce podcast, Peter parle également du yo-yoing sur le marché boursier, de l'intervention du gouvernement sur le marché obligataire et du bitcoin, des actions technologiques et des actions memes prises dans un rallye baissier.
La RF a exigé le paiement en roubles. La réponse des États de l'UE est de refuser cette demande. Le FR a indiqué qu'il mettra fin à l'approvisionnement en GNL pour non-paiement. L'UE suggère qu'elle cherchera un approvisionnement en GNL de substitution. La position de l'UE représente un élément absurde de la guerre hybride. Ce billet expose quelques-uns des problèmes.
Selon l'AIE, l'UE a consommé 155 milliards de mètres cubes de GNL en 2021. De cet approvisionnement, 45 % provenaient de la Russie ( https://www.iea.org/news/how-europe-can-cut-natural-gas- importations-de-russie-significativement-en-un-an ).
La part des importations RF 2021 de l'UE était de 69,75 milliards de mètres cubes par an ou 5,8 milliards de mètres cubes de GNL par mois. Si l'UE cherche à se substituer au GNL RF, il s'agit de la quantité mensuelle approximative requise.
Les plus grands méthaniers sont de la classe QMAX. Ceux-ci peuvent transporter 266 000 mètres cubes de GNL ( https://en.wikipedia.org/wiki/Q-Max ).
Un simple calcul montre que le transport mensuel de 5,8 milliards de mètres cubes de GNL par des navires d'une capacité de 266 000 mètres cubes de GNL nécessite un total de 21 852 expéditions par mois, soit environ 705 expéditions par jour.
Ce volume de transport saturera les ports de déchargement de GNL de l'UE existants. Ces ports sont déjà dédiés au traitement d'autres importations de GNL. Le temps de déchargement d'une cargaison de GNL est d'environ une journée. Cela implique la nécessité de construire 705 nouveaux ports de déchargement de GNL, car immédiatement après l'arrivée le jour 1 de 705 navires, il y aura l'arrivée le jour 2 de 705 autres navires avec le même trafic de navires pour le jour 3 et tous les jours suivants. Le transit de Houston à Rotterdam prend 18 jours à l'aller et 18 jours à vide au retour. Avec une journée consacrée au chargement et une journée supplémentaire au déchargement, chaque navire passera 28 jours en voyage. Ces chiffres ne tiennent pas compte des temps d'arrêt des navires pour les intervalles de maintenance requis.
Le transport du volume mensuel requis de GNL nécessitera donc 705 QMAX x 31 jours ou une flotte QMAX totale de 21 855 navires. Étant donné que les chantiers disponibles sont entièrement réservés, il n'est pas clair quand la construction complète de la flotte requise aura lieu. Mon expérience dans l'industrie offshore est qu'il faut environ deux ans pour construire une plate-forme de forage offshore (MODU). La complexité d'un QMAX peut être légèrement inférieure à celle d'un MODU, mais même si la construction ne devait pas nécessiter plus d'un an, le temps requis pour l'achèvement de la flotte serait de 5 463 ans si 4 chantiers étaient impliqués dans la construction. A l'heure actuelle, le seul chantier compétent dans la construction de ces navires se trouve en Corée du Sud ; les trois autres chantiers requis devraient être modernisés ou construits. Les méthaniers ont besoin d'un acier spécial pour résoudre les problèmes de contraintes thermiques. Cet acier a une forte teneur en nickel ; La Russie est un important fournisseur mondial de nickel.
Étant donné que l'UE a exprimé son intention d'éliminer complètement le besoin de GNL russe d'ici 2030, le temps nécessaire pour récupérer l'investissement dans les navires et les infrastructures de GNL connexes est extrêmement limité. D'ici 8 ans, l'UE cherche à remplacer entièrement le volume total de GNL représenté par les importations russes. La feuille de route AIE Net Zero Emissions by 2050 contribue à la réalisation du Green Deal européen, un plan ambitieux visant à éliminer toutes les émissions de FF en 28 ans.
En 2020, la production de gaz naturel aux États-Unis était d'environ 10 % supérieure à la consommation totale de gaz naturel aux États-Unis. Le volume de gaz produit excédentaire par rapport à la demande américaine s'élève à 91,5 milliards de pieds cubes par jour ou 2,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel par jour. Cet excédent est déjà contracté dans les pays suivants :
LES 10 PRINCIPALES DESTINATIONS D'EXPORTATION AUX ÉTATS-UNIS CORÉE DU SUD………………453 483 CHINE………………………449 667 JAPON……………………354 948 BRÉSIL…………………..307 714 ESPAGNE……………………215 062 INDE………………………196 218 Royaume-Uni………………………195 046 TURQUIE…………………..188 849 TNL………………………174 339 FRANCE…………………..170 780
Les États-Unis sont donc dans la position de retirer l'approvisionnement de certains des pays susmentionnés pour les punir de ne pas se conformer aux exigences américaines et pour récompenser les États vassaux. En regardant la liste, quels pays pensez-vous seront défavorisés ?
La liste complète des exportations américaines de GNL étranger par pays se trouve ici : https://www.eia.gov/dnav/ng/NG_MOVE_EXPC_S1_A.htm
Toute marchandise gravite vers le prix le plus élevé. Le prix de pointe est fixé par l'acheteur marginal. On s'attend à ce que la tentative de l'UE de déplacer l'approvisionnement russe en GNL soit impossible à réaliser à court terme sans un impact extrême sur les prix. Ces impacts sur les prix n'affecteront pas seulement les consommateurs de l'UE, ils auront un impact sur tous les consommateurs, y compris ceux des États-Unis.
L'UE remplacera la dépendance vis-à-vis de la Russie par une dépendance vis-à-vis de "l'ordre international fondé sur des règles" tel qu'interprété par l'hégémonie mondiale.
« Je ne veux pas devenir idiot, donc je suis complotiste »
le 30 mars 2022
Le Professeur Didier Raoult organise ce jour et demain jeudi un colloque au sein de l’IHU de Marseille intitulé « Covid-19 : Premier bilan des connaissances et des controverses scientifiques ». De grosses pointures de la biologie interviendront telles que Robert Malone, Harvey Risch, Laurent Toubiana, Pierre Kory, Peter Mc Cullough … Ce colloque est donc une sorte de testament du Professeur Raoult. Prenez le temps de regarder ou de regarder à nouveau son exposé hebdomadaire au cours duquel il prononce cette phrase mise en titre de ce billet et qui me convient parfaitement.
INCRIMINANT: Moderna, NIAID, la Fondation Bill & Melinda Gates ont aidé à développer le SRAS-CoV-2 et lancé des expériences de vaccins prédateurs bien avant COVID-19
Wednesday, March 30, 2022 by: Lance D Johnson
(Natural News) Le complot psychopathique derrière la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) continue de se défaire, avec de nouvelles preuves incriminantes liant Moderna, les Instituts nationaux des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill (UNC ), et la Fondation Bill & Melinda Gates au développement d'armes biologiques prédatrices et de vaccins.
Six ans avant le COVID-19, ces entités ont conspiré pour développer une séquence génétique qui pourrait être insérée dans un virus pour provoquer une nouvelle maladie à coronavirus. Ces entités ont également préparé un consortium d'injections expérimentales d'ARNm (modélisées d'après l'arme biologique) qui pourraient être utilisées pour exploiter et tirer profit des populations humaines. Ces «vaccins COVID-19» ont été développés et transférés avant que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'annonce l'agent causal du COVID-19. Ces «vaccins COVID-19» ont été préparés bien avant que les autorités sanitaires mondiales ne déclarent même une «pandémie mondiale».
La Fondation Gates a créé Moderna pour expérimenter la génétique humaine pour les années à venir Comment Bill Gates a-t-il prédit une future pandémie des années avant le scandale du COVID-19 ? Comment Bill Gates a-t-il su que 2020 serait une excellente année pour investir dans de nouveaux vaccins ? Pourquoi Bill Gates était-il si catégorique sur le verrouillage de l'économie et la prise en otage des gens chez eux ?
En 2016, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé 20 millions de dollars à une société de biotechnologie peu connue nommée Moderna. Les fonds ont été utilisés pour soutenir leur "projet initial lié à l'évaluation de la combinaison d'anticorps dans un cadre préclinique ainsi que la conduite d'un premier essai clinique de phase 1 sur l'homme d'un médicament potentiel à base d'ARNm".
En vertu de l'accord-cadre, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé à Moderna jusqu'à 100 millions de dollars de financement pour des «projets de suivi» qui ne peuvent être approuvés que par la Fondation Gates. Dans le cadre de l'accord, Moderna est obligé d'accorder à la Fondation Gates certaines licences non exclusives. Ces licences non exclusives permettent à la Fondation Gates d'exploiter les technologies d'ARNm créées par Moderna pour permettre à d'autres licenciés de bénéficier de cette même propriété intellectuelle. Bill et Melinda Gates profitent donc des injections d'ARNm Moderna qu'ils ont financées. Ces inventions ont été développées bien avant le COVID-19 et ont même été lancées avant qu'une pandémie mondiale ne soit déclarée.
En fait, Moderna a été utilisé comme vaisseau pour breveter des séquences génétiques précises de l'arme biologique SARS-CoV-2. Des scientifiques de Suisse, d'Inde, d'Italie et des États-Unis ont publié un article montrant que Moderna a breveté une séquence spécifique de nucléotides à 19 codes qui a donné au SRAS-CoV-2 ses propriétés améliorées d'infectivité. Les auteurs ont écrit qu'il n'y a qu'une chance sur trois billions que cette séquence de nucléotides à 19 codes apparaisse naturellement et contienne le site unique de clivage de la furine.
Moderna a breveté cette séquence génétique (US9587003B2) le 4 février 2016. Ces brevets Moderna incluent également les brevets US9149506B2, US9216205B2, US9255129B2 et US9301993B2 du 16 décembre 2013. Le coronavirus amélioré a été développé six ans avant le COVID-19 et a été rapidement généré. avec des fonds de la Fondation Bill et Melinda Gates.
Le dernier codon breveté par Moderna est le suivant : "CTCCTCGGCGGGCA". Le site de clivage de la furine codé CGG est le suivant : "CCTCGGCGGGCACGT". Ces séquences ne se produisent pas naturellement dans les virus, mais elles se produisent naturellement chez les vaches, les plantes, les bactéries et les humains. Étant donné que les bactéries ne peuvent pas insérer naturellement leurs gènes dans les virus, il n'y a qu'une seule façon dont cet ADN bactérien précis pourrait se retrouver à l'intérieur du virus SARS-CoV-2. Il ne pouvait être inséré que par interférence de laboratoire en utilisant des techniques de gain de fonction de précision telles que des passages en série ou des manipulations sans voir.
Moderna et NIAID ont transféré des candidats vaccins ARNm à l'UNC avant que l'agent causal ne soit officiellement identifié pour les épidémies de Wuhan Au début du scandale COVID-19, une pneumonie de "cause inconnue" a été découverte le 31 décembre 2019. Le 9 janvier 2020, l'OMS a déterminé que l'épidémie de pneumonie à Wuhan en Chine était le résultat d'un nouvel agent causal, SRAS-CoV-2. Étonnamment, les candidats vaccins contre le coronavirus à ARNm développés par Moderna ont été transférés à l'Université de Caroline du Nord trois semaines auparavant (le 12 décembre 2019). Cela faisait plusieurs années qu'un coronavirus ne constituait pas une menace pour l'homme, mais Moderna était prête avec un "vaccin" pour répondre aux épidémies à Wuhan, en Chine, avant qu'un agent causal ne puisse être identifié, avant qu'une pandémie ne puisse être quantifiée.
Un accord confidentiel entre Moderna et le NIAID de Fauci (daté du 12 décembre 2019) a convenu de transférer des «candidats vaccins contre le coronavirus à ARNm» aux destinataires de l'UNC. Le NIH, la FDA et le CDC étaient également de la partie. Ralph Baric et Jacqueline Quay ont signé l'accord les 12 et 16 décembre, respectivement. Il a également été signé le 12 décembre 2019 par les représentants du NIAID, Amy F. Petrik et Barney Graham. L'enquêteur de Moderna, Sunny Himansu, et l'avocat général adjoint de Moderna, Shaun Ryan, ont également signé l'accord de transfert de vaccin à ARNm le 17 décembre 2019.
Les séquences génétiques, les preuves brevetées et les horodatages des transferts de vaccins indiquent la réalité qu'il y avait une conspiration bien financée derrière COVID-19. Il y avait un programme de développement de vaccins prédateurs qui reposait sur la libération intentionnelle d'une arme biologique et les verrouillages et la tyrannie médicale qui ont suivi. Depuis le début de cette collusion, Moderna a profité de milliards de dollars de ce développement de vaccins prédateurs et de ce racket pharmaceutique. Plusieurs titulaires de licence ont également profité de cette technologie d'ARNm, initialement financée et approuvée par la Fondation Bill & Melinda Gates, et imposée aux populations utilisant le NIAID et les violations des droits de l'homme de Fauci.
La FDA corrompue tente d'interdire le NAC, qui détoxifie le corps et éloigne le COVID
Mercredi 30 mars 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) En raison de son efficacité contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et vraisemblablement d'autres armes biologiques, la n-acétyl-cystéine (NAC) est dans le collimateur de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, qui essaie pour l'interdire.
Puissant antioxydant (vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans l'un de nos articles précédents), le NAC aide à détoxifier le corps des composés nocifs, y compris potentiellement les protéines de pointe associées à la grippe Fauci.
La première phase de la détoxification consiste à oxyder les toxines nocives afin de les décomposer et de les déplacer à travers les voies de détoxification du corps. Consommer des aliments riches en antioxydants, tels que les vitamines B, la vitamine C et le magnésium, aide à activer ces voies.
La deuxième phase de la désintoxication consiste à déplacer les toxines décomposées hors du corps. C'est là que le NAC (et le glutathion, qui est fabriqué par le NAC) entrent en jeu.
"La NAC est un activateur sélectif du système immunitaire et, comme mentionné ci-dessus, aide à éliminer les radicaux libres, qui contribuent aux maladies neurogénératives et au vieillissement", explique l'Alliance for Natural Health USA (ANH-USA).
« La NAC est également un précurseur du glutathion, l'un des antioxydants les plus importants de l'organisme. Le glutathion joue un rôle crucial dans la santé humaine, en particulier dans la désintoxication.
Appelez ou écrivez à vos représentants et dites-leur d'empêcher la FDA d'interdire le NAC L'argument de la FDA contre le NAC est qu'il était censé être un "médicament" avant d'être un supplément. À vrai dire, la NAC est un nutriment naturel, malgré ce que prétend la FDA.
Malgré tout, Big Pharma veut transformer la NAC en un médicament coûteux en utilisant une nouvelle indication. Et comme l'industrie pharmaceutique a les poches pleines, la FDA tente de retirer la NAC du marché des suppléments.
"C'est scandaleux sur plusieurs fronts", soutient ANH-USA. "Considérez que la NAC est utilisée dans les hôpitaux pour traiter l'empoisonnement à l'acétaminophène précisément parce qu'elle aide à détoxifier - pourtant la FDA menace de supprimer la NAC en tant que supplément et de la rendre plus difficile à obtenir pour les consommateurs ?"
Afin d'interdire réellement la NAC, la FDA devrait délibérément mal interpréter la loi conformément aux directives de la Dietary Supplement Health and Education Act de 1994, également connue sous le nom de DSHEA.
Cette loi stipule que si un ingrédient fait l'objet d'une enquête en tant que médicament avant d'être vendu en tant que supplément ou qu'une notification de «nouveau supplément» a été déposée, cette substance ne peut pas être désignée comme un supplément.
« Mais la DSHEA n'est pas censée avoir d'effet rétroactif ; c'est-à-dire que la loi à partir de la promulgation de la DSHEA est que si un ingrédient est étudié en tant que médicament après 1994, et que cet ingrédient n'a pas été vendu en tant que supplément avant d'être étudié, il ne peut pas être un supplément », révèle en outre l'ANH-USA.
« Il serait injuste et incompatible avec l'intention du Congrès d'appliquer rétroactivement cette disposition à toutes les substances étudiées en tant que médicaments depuis le début de l'approbation des médicaments. Sinon, les suppléments qui étaient légaux avant 1994 (comme le NAC) et vendus pendant des décennies peuvent soudainement et absurdement devenir illégaux.
Parce que la NAC est un nutriment essentiel pour de nombreuses choses au-delà du covid, aidant à protéger notre corps contre une attaque constante de toxines et de polluants provenant de diverses sources, il est impératif que la FDA cesse de l'interdire.
ANH-USA a créé une page d'alerte d'action à travers laquelle vous pouvez écrire au Congrès et exhorter ses membres à empêcher la FDA de mettre en œuvre une interdiction.
"Il s'agit d'une menace directe pour un supplément sur lequel de nombreux médecins et patients intégratifs comptent pour traiter divers problèmes de santé", prévient l'ANH-USA. "Nous ne pouvons pas laisser la FDA s'en tirer en retirant ces suppléments du marché."
Plus d'informations sur la FDA corrompue peuvent être trouvées sur FDA.news.
Dr David Martin : Les vaccins COVID sont des armes biologiques conçues pour le génocide
mercredi 30 mars 2022 par: Mary Villareal
(Natural News) Le Dr David Martin a averti le public qu'un génocide se déroule actuellement sous le couvert d'une vaccination de masse.
« Il s'agit d'une pandémie de biomilitarisation de l'organisme humain. Ce n'est pas la santé publique. Et Anthony Fauci est l'architecte de ce génocide », a déclaré Martin lors de son apparition dans l'épisode du 24 mars de « The Stew Peters Show ». Au cours du programme, Martin a parlé du modèle chimérique des protéines de pointe et de la façon dont cela affecte le corps.
La science traditionnelle a annoncé que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) persistent dans le corps humain pendant une période indéterminée et survivront jusqu'à huit semaines dans le système lymphatique, où ils produiront continuellement la protéine de pointe. Les scientifiques voient des preuves que les protéines de pointe apparaissent dans les flux de déchets à des taux alarmants.
C'est ce qui se passe lorsque vous injectez dans le corps un modèle chimérique d'une protéine de pointe synthétique, et lorsque ce type de thérapie génique n'a pas été correctement testé. Il s'avère que personne ne sait combien de temps chaque individu vacciné injecté fabriquerait les agents pathogènes dans son corps.
Pourquoi y a-t-il des concentrations aussi élevées de protéines de pointe dans les flux de déchets ?
"La raison est très simple", a déclaré Martin. "L'organisme humain est maintenant modifié et il est modifié pour produire perpétuellement une protéine toxique connue et programmée pour nuire à l'humanité." (En relation: Karen Kingston dit à Michele Swinick: Le but du vaccin COVID-19 est d'être un outil d'édition génétique - Brighteon.TV.)
Martin a ajouté que ces protéines sont connues pour être nocives et sont soumises aux armes biologiques et chimiques, aux traités et aux lois qui ont été appliquées aux États-Unis. Ces virus chimériques résultaient de la manipulation délibérée du SRAS-CoV-2, pour incorporer des acides nucléiques dans le virus, ce qui est illégal.
Avec le quatrième tir de COVID-19 actuellement en cours aux États-Unis, Fauci parle de faire éventuellement une autre série de verrouillages, et il semble que de nombreux Américains participeront car beaucoup ont subi un lavage de cerveau par les soi-disant experts.
Virus chimériques SARS-CoV-2 résultant d'une manipulation délibérée
Les virus chimériques SARS-CoV-2 sont le résultat de toute manipulation délibérée du virus pour incorporer des acides nucléiques pour les facteurs de virulence SARS-CoV-2. Cela apparaît en fait dans trois sections du Code des réglementations fédérales soumises au programme des agents biologiques et toxiques défini dans le chapitre 18 de la section 178 du Code américain.
En tant qu'agent biologique, il est également soumis à 18 U.S. Code Section 175, ou l'interdiction des armes biologiques. La loi stipule que ce que fait Big Pharma sous la direction de Fauci est un crime passible de 99 ans de prison et jusqu'à 100 millions de dollars par chef d'accusation.
Les déclarations des "autorités" sont si flagrantes en la matière qu'il n'est pas nécessaire d'inventer un complot car tout ce qu'elles ont fait a été enregistré et publié. Selon Martin, ils enfreignent également les lois sur le complot criminel et le racket et l'ont admis.
Selon les documents déposés par le fabricant de vaccins Pfizer, "il n'y a aucun précédent actuel pour qu'une immunothérapie à base d'ARNm, telle que le type que nous développons, soit approuvée pour la vente par la FDA [Food and Drug Administration], la Commission européenne ou toute autre agence de réglementation. ailleurs dans le monde. »
"Ce n'est pas un vaccin de santé publique. Il s'agit d'une alternative chimérique synthétique générée par ordinateur au facteur de virulence du SRAS-CoV-2 », a insisté Martin.
"C'est la réalité qui dit que nous sommes soumis à une dépendance perpétuelle à un agent pathogène et toxique connu. Et la raison pour laquelle Anthony Fauci plaide maintenant pour la prochaine série de boosters. » (En relation: les Drs Peter Daszak et Anthony Fauci doivent être ARRÊTÉS, alors que de nouvelles informations émergent documentant l'amélioration et le déploiement prévus du coronavirus.)
Entre-temps, des documents ont révélé que le zoologiste Peter Daszak et ses collaborateurs avaient prévu de libérer des nanoparticules susceptibles de pénétrer dans la peau. Ces particules contiennent de «nouvelles protéines de pointe chimériques» de coronavirus de chauve-souris, qui peuvent pénétrer dans la peau lorsqu'elles sont améliorées. Les documents ont en outre révélé que COVID-19 est plus qu'un virus. C'est une arme biologique qui a été stratégiquement développée et dont le déploiement est prévu.
Ils prévoyaient également de créer des virus chimériques, génétiquement améliorés pour infecter plus facilement les humains, et ont demandé 14 millions de dollars à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) pour financer les travaux. La DARPA a refusé la demande.
Daszak est le président d'EcoHealth Alliance, une organisation à but non lucratif qui a reçu un financement de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci pour étudier les coronavirus de chauve-souris avec des scientifiques de l'Institut de virologie de Wuhan.
VRAI objectif du programme de vaccination : affaiblir la population
Mercredi 30 mars 2022 par : Mary Villareal
(Natural News) Il y a un mème qui se répand sur Internet de personnes montrant le nombre de vaccins qu'elles ont reçus tout au long de leur vie. La plus âgée était une femme de 70 ans qui a déclaré avoir reçu deux vaccins. Le plus jeune est encore un enfant, qui a eu jusqu'à 98 ans.
Kate Dalley, invitée à animer le « Alex Jones Show » le 24 mars, a posé une question douloureusement évidente : comment se fait-il qu'une femme de 70 ans soit encore en vie et debout alors qu'elle n'a reçu que deux injections ?
À une époque où l'assainissement est le meilleur aux États-Unis, le gouvernement et Big Pharma ont lancé un programme de vaccination massif. Pourquoi?
"Parce que nous y avons cru", a déclaré Dalley. «Nous avons toujours eu l'impression que tout le monde attrapait la polio, nous devions donc en faire partie et le faire. Les gens affluaient pour aller chercher ces clichés, sans vraiment se rendre compte que ce n'était qu'un pour cent que cela affectait vraiment.
Elle a poursuivi : « Nous avons fait venir des sociétés pharmaceutiques et nous avons lancé un programme de vaccination qui nous a affaiblis. Et c'était vraiment l'objectif du programme de vaccination. (Connexe: FAKE SCIENCE: Les revues médicales sont payées pour répandre des mensonges sur les «avantages» des vaccins.)
Trois préoccupations courantes lors de la vaccination des enfants Les parents craignent que les calendriers de vaccination des enfants soient si complexes et contraignants qu'ils se lisent comme un code fiscal. Il y avait trois préoccupations communes concernant la vaccination des enfants :
Les enfants reçoivent trop de vaccins. Il y a cent ans, les enfants n'étaient vaccinés que pour prévenir une seule maladie : la variole. Cela signifie qu'ils n'ont reçu qu'une seule dose au cours de leurs premières années de vie. Aujourd'hui, cependant, les enfants reçoivent des vaccins pour prévenir 14 types de maladies, et ils peuvent recevoir jusqu'à 26 vaccins au début de leur vie, parfois environ cinq à la fois. (Connexe: Infographie: Les mensonges scientifiques de l'industrie des vaccins ne sont rien de plus que des mensonges scientifiques recyclés de Big Tobacco.)
Les enfants sont trop jeunes. Dès leur naissance, les bébés sont bombardés d'environ 100 billions de bactéries vivant sur la peau des gens ainsi que sur les muqueuses de leur nez, de leur gorge et de leurs intestins. Chacune de ces bactéries contient environ 2 000 et 6 000 composants immunologiques, pour lesquels les enfants doivent produire une réponse immunitaire. Big Pharma a appris aux gens que s'ils ne parvenaient pas à immuniser les enfants, ces bactéries pourraient pénétrer dans leur circulation sanguine et causer des dommages. Selon Big Pharma, les enfants sont vaccinés pour se « protéger » des maladies qui surviennent tôt dans la vie malgré le fait qu'ils ont une réponse immunitaire dès leur naissance.
Les vaccins ne sont pas toujours nécessaires. Beaucoup oublient aussi que les vaccins ne sont pas toujours nécessaires. Les virus et les bactéries tels que la rougeole, les oreillons, la varicelle, la grippe, le rotavirus, le tétanos et la coqueluche sont encore suffisamment courants pour qu'il soit risqué de ne pas se faire vacciner contre eux. Mais il existe également des maladies évitables par la vaccination qui sont extrêmement rares, comme la rubéole, la diphtérie et, comme l'a souligné Dalley, la poliomyélite – qui a été presque complètement éliminée aux États-Unis.
Suivez Vaccines.news pour plus d'informations sur les vaccins que le gouvernement et Big Pharma ne veulent pas que vous sachiez.
Regardez cette vidéo pour plus de commentaires de Kate Dalley sur les vaccins.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Les scientifiques traditionnels adoptent désormais l'explication de la dépopulation vaccinale pour expliquer pourquoi les vaccins tuent tant de personnes.
FAIRE UN MEURTRE: Pfizer exige une indemnisation mondiale contre les poursuites judiciaires avant de fournir des vaccins contre le coronavirus de Wuhan.
Si les vaccins Covid commencent à tuer des millions d'adultes, ils déclencheront partout un HOLOCAUSTE ORPHELIN d'enfants sans abri.
Dr Peter McCullough : Les vaccins Covid tuent les bébés au cours du premier trimestre à un rythme étonnant… une « atrocité » pour vacciner les femmes enceintes.
Les vaccins contaminés Moderna covid TUENT des gens au Japon… comment sait-on si des lots contaminés ont déjà été administrés aux États-Unis ou ailleurs ?
Préface d'un livre sur "la théorie du complot" avec J. D. Michel
Ariane Bilheran 15 mars
Aux racines de la « théorie du complot », un outil de contrôle de la pensée
La publication en français du présent ouvrage revêt littéralement un caractère de salut public. Tous les professeurs le savent : entreprendre de transmettre des savoirs portant sur des phénomènes que les étudiants n’ont jamais rencontrés rend, par l’abstraction que cela suppose, l’opération incertaine. En revanche, si vous présentez des clés de lecture, peu après qu’ils en ont fait l’expérience (et possiblement souffert dans leur psychisme et leur chair), l’intégration des connaissances se fera comme celle d’un verre d’eau absorbé au sortir du désert.
Dans son ouvrage, Lance de Haven-Smith décrit et décode les tours et les manipulations qui ont mis nos sociétés sens dessus dessous depuis un funeste mois de janvier 2020. Malgré l’envergure et la complexité de l’analyse, le propos est pourtant fort simple. Dans son acharnement à effacer des pans entiers de la réalité, notre civilisation en vient (entre autres) à nier l’un des principes les plus fondamentaux des systèmes de gouvernance : ainsi que notre espèce en a acquis la nécessaire conscience au cours des âges, ceux qui détiennent le pouvoir tendent naturellement à en abuser, et à ourdir toutes sortes de conspirations pour camoufler leurs agissements derrière de vertueuses professions de foi et des discours qui, comme on le dit, « ne mangent pas de pain ». Ce repère évident constitue un garde-fou dont le déni – l’Histoire nous l’a montré encore et encore- ouvre la porte au pire.
Analysant l’exploitation politique de l’étiquette de « théorie du complot » aux États-Unis, de Haven-Smith relève ainsi que la Déclaration d’Indépendance, document fondateur de la démocratie américaine, identifie et nomme sans fausse pudeur cette tendance naturelle à la conspiration des gouvernants. Toute la construction démocratique vise à prévenir ce danger à travers une triple ambition : 1° rendre impossible toute dérive tyrannique par la séparation des pouvoirs et la puissance des contre-pouvoirs, selon le vœu cher à Montesquieu ; 2° garantir la santé des processus décisionnels par la surveillance des gouvernants, lesquels doivent rendre des comptes de leurs actions en toute transparence, car ils sont les serviteurs du peuple, selon le « contrat social » de Rousseau, dans lequel le peuple est Souverain ; 3° instruire enfin les individus pour qu’ils deviennent des citoyens aptes à comprendre raisonnablement le monde et à effectuer des choix éclairés, sans se laisser aliéner par les premiers passionnés du pouvoir venu. Cette instruction était considérée comme indispensable par Condorcet.
La conclusion de l’auteur est d’une perspicacité géniale : le dénigrement a priori de certaines hypothèses, sans leur laisser le crédit de l’examen, au moyen de l’étiquette de « théories du complot » indique qu’une conspiration est en cours. Entendons-nous bien : il existe évidemment des élucubrations qui présentent des caractéristiques psychopathologiques de délire de persécution. Ce phénomène est aujourd’hui bien connu, décrit et documenté dans la littérature de la psychopathologie, et cela a toujours existé, cela se nomme le délire de persécution, que l’on rencontre sous forme désorganisé dans la schizophrénie[1], et sous la forme systématisée d’une « folie raisonnante », dans la psychose paranoïaque[2]. Pour le résumer à l’essentiel, la complexité du monde, et l’illisibilité qui en découle, sont sources d’angoisse existentielle. La tentation peut donc apparaître de trouver des « explications » sous l’allure déguisée d’interprétations délirantes, dénuées de toute relation à la réalité et à l’expérience, pour réduire l’angoisse vécue, qui est de nature psychotique. L’individu se crée des justifications, peu importe qu’elles soient vraies ou fausses, pourvu qu’elles présentent l’apparence de la raison ; c’est bien de là que les psychiatres Sérieux et Capgras avaient tiré la qualification de « folie raisonnante », pour la paranoïa.
Cette évidence posée, nous pouvons relever que le terme « complotisme » relève de ce registre dénué de sens de la paranoïa. Il s’agit d’un néologisme, tout comme « conspirationniste », qui désigne tous ceux qui s’aventureraient à penser des complots, comme des fous, des hurluberlus, des gens à qui il ne faudrait pas accorder la moindre crédibilité. Ce faisant, on oublie l’essentiel : ces complots existent-ils ou non ? Sont-ils vrais ou faux ?
Cette absence de logique est caractéristique du délire. « Complotisme » est donc tout simplement un terme délirant, car il désigne tout à la fois quelque chose et son contraire. Parce que si ces complots sont vrais, celui qui affirme leur existence est un philosophe. Ou un résistant. Si ces complots sont faux, c’est un paranoïaque, qui voit des faux complots partout.
Et le paranoïaque est l’inverse du philosophe, car le philosophe fonde sa pensée sur le principe logique de non-contradiction, tandis que le délire paranoïaque est truffé de paradoxes, et ne s’embarrasse pas de savoir si le discours correspond à la réalité de l’expérience, ou encore, à une quelconque vérité logique. Voilà où nous en sommes réduits : à ce que l’immense philosophe italien Giorgio Agamben ait pu être traité de « complotiste », alors qu’il n’avait fait que rappeler des principes de base de la philosophie morale et politique, depuis Socrate. Car, devons-nous le rappeler ? La philosophie morale et politique, ainsi que la métaphysique, sont les disciplines des Sciences Humaines qui permettent d’organiser la vie des hommes en société, en tenant compte de la singularité de l’expérience humaine. Les mathématiques et les statistiques n’ont pas la légitimité de régir nos vies en société[3], sous peine de réduire la vie humaine à un + (cas positif) ou un – (cas négatif), et de justifier des soustractions de vies humaines si « la gestion » de l’ensemble le justifiait d’un point de vue arithmétique (politiques de stérilisation, génocides, au nom d’une nécessaire « dépopulation » mondiale, etc.). Koestler ne dénonçait pas autre chose, dans Le Zéro et l’Infini. Si l’on veut prétendre mathématiser l’existence humaine, elle ne peut correspondre qu’à ce qui ne se laisse pas saisir : le zéro, et l’infini. La philosophie politique et morale, ainsi que la métaphysique, ont en revanche toute légitimité de remettre au centre du débat le sacré de la vie humaine.
Il est un fait que les philosophes n’ont eu de cesse que de dénoncer les complots qui étaient faits contre les peuples. Il suffit de songer à la condamnation à mort de Socrate, à la suite d’un complot des oligarques qui étaient passablement indisposés par la propension du philosophe à transmettre les fondements de la pensée critique, en particulier à la jeunesse. Ou encore, pensons à Cicéron, qui dénonce en 63 av. J.C., devant le Sénat romain, la conjuration de Catilina : Quousque tandem abutere, Catilina, patientia nostra ? Jusqu’à quand enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ? Catilina complote contre les intérêts de la République romaine, et Cicéron dénonce le complot. O tempora, o mores, Ô temps, ô mœurs, soupirait alors le consul romain Cicéron, qui aurait été aujourd’hui sacrifié sur l’autel du « complotisme », pour avoir insisté sur l’importance, en matière d’investigation criminelle, de toujours se demander : à qui profite le crime ?
Il est dans la nature du pouvoir de comploter : car il s’agit de se hisser au sommet, mais ensuite, de s’y maintenir. Et moins on est légitime pour s’y maintenir, plus il faudra s’agripper au sommet par différentes méthodes peu orthodoxes, qui impliquent de manipuler en coulisses. Pour les Médicis, qui régnèrent pendant des siècles sur Florence, aux prises avec des familles concurrentes, une certaine expertise en complot était nécessaire : le philosophe Machiavel fut l’un des conseillers de cette grande famille, qui l’envoyait régulièrement dans des missions diplomatiques où il devait obtenir des informations-clés, et deviner les intentions des autres dirigeants.
Tel est le renversement caractéristique de notre époque : pour évacuer (et donc éviter) de vraies questions, les tenants de l’idéologie dominante stigmatisent le questionnement. Ils construisent en quelque sorte une « théorie du complot » inverse pour éviter que nous puissions envisager l’hypothèse probable selon laquelle des conspirations aient lieu, et nous empêcher surtout de supposer leur existence. Or, dans la mesure où la passion pour le pouvoir consiste souvent à confisquer des privilèges dans son propre intérêt, il est bien logique que les passionnés du pouvoir se sentent persécutés par ceux qui ne disposent pas des privilèges, ou à qui ces privilèges ont été confisqués.
Aujourd’hui, la pensée sur les complots du pouvoir est immédiatement disqualifiée et criminalisée, par des Cerbères (toujours les mêmes, pensons aux Zététiciens, que nous avons subis à plusieurs reprises), dont le rôle est de renifler puis d’aboyer en cas de danger pour le pouvoir dominant. Il ne faudrait tout de même pas que la pensée ait l’audace de penser les crimes des puissants de ce monde. « Complotiste » et « conspirationniste » sont des néologismes qui traduisent la corruption de la langue et la perversion du discours actuel, qui s’accommode d’une confusion entre la vérité et le mensonge.
Circulez, il n’y a rien à penser.
Guy Debord, dans La société du spectacle, écrivait que « le secret généralisé se tient derrière le spectacle, comme le complément décisif de ce qu’il montre et, si l’on descend au fond des choses, comme sa plus importante opération. » Les complots du pouvoir sont liés au secret.
Circulez, il n’y a rien à voir.
Ils ne doivent pas être évidemment découverts. Plus il y a de secrets, plus les complots sont grands, et multiples. C’est le fameux secret pervers, ou encore, toujours en citant Debord : « notre société est bâtie sur le secret, depuis les « sociétés-écrans », qui mettent à l’abri de toute lumière les biens concentrés des possédants jusqu’au « secret-défense » qui couvre aujourd’hui un immense domaine de pleine liberté extrajudiciaire de l’État. »
L’histoire est désormais connue : le procédé est une trouvaille habile de la CIA pour mettre en échec la contestation des conclusions du très douteux rapport Hoover portant sur l’assassinat du président Kennedy. En jetant ainsi a priori l’opprobre sur des remises en question non seulement censées mais encore nécessaires, les manipulateurs ont réussi à agglutiner l’opinion publique d’une manière dont ne peut que rêver toute tyrannie : en rendant taboue toute contestation.
L’auteur décrypte les exploitations de cette ficelle gigantesque se résumant à la formule : criminaliser la pensée pour que la pensée ne découvre pas des crimes. Et ce n’est pas nouveau ! Car cela permet d’accuser autre soi, et d’inverser l’accusation criminelle : Néron, lorsqu’il met en scène l’incendie de Rome, accuse les chrétiens, qui mettaient en danger, par leur foi en la vie éternelle, le pouvoir temporel de l’Empire romain. Bien pratique, d’être soi-même au sens littéral, le pyromane, le pompier, le persécuteur, le sauveur et le juge. Avec l’étiquette « complotiste », le messager est dépeint comme un criminel par les gouvernements pour que les crimes d’État (qu’il révèle) restent occultés. Telle est la mise en scène moderne du « bouc émissaire » : il faut faire taire celui par qui le scandale arrive.
Près de dix ans après la rédaction de ce livre, nous disposons d’une abondante matière à nous mettre sous la dent. Alors que la gestion « sanitaire » de l’épidémie de Covid a souffert d’emblée d’anomalies monstrueuses, les pouvoirs médiatico-politiques ont dégainé préventivement l’étiquette de « complotiste » pour mettre en échec tout questionnement ou même rappel des bonnes pratiques usuelles en la matière. Les choses étaient (pour une fois) fort simples : cela fait plus de vingt ans que l’Occident se prépare à l’éventualité d’affronter une pandémie sévère. Nos autorités de santé ont donc élaboré au cours des ans des plans d’action pour pouvoir, le moment venu, y faire face, sur la base des connaissances accumulées en santé publique, lesquelles se sont ainsi trouvé résumées en 2006 par le Pr Donald Henderson, épidémiologiste célèbre crédité de l’éradication de la variole : « L’expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d’autres événements indésirables réagissent mieux et avec moins d’anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé.
Une gouvernance politique et de santé publique forte, pour rassurer et garantir que les services de soins médicaux nécessaires sont fournis, sont des éléments essentiels. Si l’un ou l’autre n’est pas optimal, une épidémie gérable peut se transformer en catastrophe[4]. » Au lieu des bonnes réponses, nous avons assisté, pour une épidémie respiratoire de gravité moyenne (comparable selon les paramètres pertinents à une grippe un peu forte), à l’imposition de mesures qui n’avaient jamais été envisagées du fait de leur inutilité et de leur nocivité connues et avérées de longue date.
Pour en donner deux exemples, le confinement d’une population en bonne santé avait été abandonné après le dernier épisode de peste à Marseille à la fin du XVIIIème siècle et relégué avec les purges et les saignées au rang des superstitions sanitaires et médicales. Le port du masque en population générale ne fait pareillement aucun sens pour contrer la propagation d’un virus respiratoire, sinon en tant que fétiche, au même titre que les gousses d’ail pour éloigner les vampires. Même en salle d’opération, porté selon un protocole très strict, le masque chirurgical ne sert au mieux qu’à limiter la circulation des bactéries, mais aucunement des virus… Les mesures connues pour être utiles, comme de laisser les médecins généralistes soigner leurs patients avec les remèdes à disposition, d’insister sur les méthodes pour augmenter son immunité naturelle, ou de préserver le fonctionnement le plus normal possible de la société (comme cela a été fait en Suède et rapidement dans différents états américains, sans le moindre dommage évidemment), ont en revanche été mises en échec.
À ces absurdités majeures[5], dont le principe premier de considérer un virus comme un ennemi auquel il faut déclarer une guerre n’est pas la moindre aberration, s’est imposée une pensée unique étouffant tout débat. L’omerta a en particulier été écrasante dans les milieux médiatiques, académiques et scientifiques : les rares questionnements et contestations soulevés ont valu à leurs auteurs des attaques et une entreprise de « démolition de réputation » systématiques. Les rares audacieux qui en ont fait l’expérience ont servi comme il se doit d’exemples pour les autres, l’intimidation dissuadant d’autres vocations… Ni la pertinence du propos, ni le niveau d’expertise ou les états de service n’y ont fait : des sommités mondiales comme les Pr John Ioannidis, Jay Bhattacharya, Peter McCullough, Martin Kulldorf, Sunetra Gupta ou, (en France), Christian Perronne et Didier Raoult ont été littéralement lapidés, pour avoir rappelé que la science n’était pas à confondre avec les slogans politiques ou les publicités (pompeusement appelées « articles scientifiques ») produites par l’industrie pharmaceutique.
Le soussigné, spécialiste notamment de ce qui est décrit sous le terme de « corruption systémique », a pu observer un phénomène fascinant. Le concept décrit une distorsion généralisée dans les décisions de politique publique favorisant des intérêts particuliers au détriment de la santé de la population – par un ensemble de procédés légaux et illégaux.
La dimension aujourd’hui générique de ces procédés est un constat qui a été unanimement posé au cours de la décennie écoulée, et par les meilleures sources. Citons (entre autres) le rapporteur à la santé devant la Commission des Droits de l’homme de l’ONU, la Commission européenne elle-même, des parlements comme la Chambre des communes britanniques ou le Sénat français, de nombreux ex-rédacteurs en chef des principales revues médicales (dénonçant la fraude massive qui y prévaut !), les centres d’éthique et de méthodologie scientifiques des plus prestigieuses universités, etc.[6].
De notoriété publique donc, l’industrie pharmaceutique truque massivement la recherche, influence (voire impose) ses politiques sanitaires aux États, et s’assure des revenus pharamineux en créant des marchés sans souci des conséquences (dégâts collatéraux) sur les populations. Le Pr Peter Goetzsche, auteur d’un ouvrage de référence sur le sujet[7] primé en 2014 par l’association médicale britannique, parle au sujet de cette industrie, preuves à l’appui, de « procédés identiques à ceux du crime organisé » révélant un « mépris répugnant pour la vie humaine ».
La prise en compte de ce constat, essentielle pour comprendre la crise sanitaire et protéger la population, a en réalité été niée et occultée depuis le début. Pas un organe de presse ne l’a rappelé, ni n’a conduit la moindre investigation au sujet d’événements clairement frauduleux (comme la parution de faux grossiers dans des revues « prestigieuses » … qui, contrairement à tous les usages, ne les ont même pas vérifiés – reviewed – avant publication). Ou l’autorisation, sans la moindre donnée probante, et l’achat massif par la Communauté européenne d’un médicament hors de prix, inefficace et même dangereux (le remdesivir) alors que des traitements disponibles et bon marché (comme l’ivermertine et la tri-thérapie mise au point à l’IHU Méditerranée-Infection) étaient interdits en dépit des centaines d’études de qualité publiées concluant à leur efficacité. Le Bristih Medical Journal (la moins corrompue des principales revues) a tonné du mieux qu’il a pu, par exemple en novembre 2020 :
« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science. La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent.[8] »
Nouvelle tentative, après plusieurs autres, en janvier 2022 : « Les entreprises pharmaceutiques engrangent d’énormes bénéfices sans que leurs allégations scientifiques ne fassent l’objet d’un examen indépendant adéquat. Le but des régulateurs n’est pas de danser au rythme des riches sociétés mondiales et de les enrichir davantage ; il est de protéger la santé de leurs populations. Nous avons besoin d’une transparence totale des données pour toutes les études, nous en avons besoin dans l’intérêt du public, et nous en avons besoin maintenant.[9] »
La répression préventive de toute mise en lumière des procédés de corruption a été assurée par cela même que Lance de Haven-Smith analyse magistralement dans le présent ouvrage : l’étiquette de « complotiste » a été diligemment dégainée et collée par des policiers de la pensée (journalistes et universitaires en tête, suivi de près par des politiciens flairant l’aubaine) sur le front de quiconque osait même questionner la « version autorisée » officielle. Le « complotiste » est l’équivalent moderne du « social-traître », à la différence que le « social-traître » était censé trahir les intérêts de la classe ouvrière, tandis que le « complotiste » trahit ceux de la classe dirigeante ! L’autocritique préalable a été introjectée par la population : toute velléité de poser une question ou de soulever une objection aux mesures sanitaires (pourtant absurdes) s’accompagne systématiquement aujourd’hui de la précaution oratoire « je précise bien que je ne suis pas complotiste, mais… » Tout comme son pendant « je ne suis pas antivax, mais… »
Il convient de mesurer la prouesse : les injections géniques expérimentales imposées mondialement ne sont pas des vaccins pour deux raisons. En premier lieu, elles ne procurent aucune immunité contre le nouveau coronavirus, la définition normale d’un vaccin étant « préparation thérapeutique conférant une immunité contre un agent infectieux particulier ». Certes les « autorités de régulation » ont opportunément changé cette définition pour contourner l’obstacle, mais dans le « vrai monde » de la « vraie médecine », il ne s’agit simplement pas d’un vaccin.
En second lieu, son mode d’action est radicalement différent de celui de tous les autres vaccins précédemment créés. Faire passer ces produits géniques comme appartenant à la même catégorie n’est pas honnête. Identifier publiquement comme « antivax » les opposant à un produit expérimental qui n’a rien d’un vaccin est une réussite de propagande. Mais hélas aussi une tuerie psychique : lorsque l’on systématise les inversions sémantiques (avec au passage une tonalité accusatoire), on saccage les repères du psychisme individuel et collectif, en ouvrant la route à la dérive totalitaire. Selon la fulgurante sagacité de l’auteur, il conviendrait à l’inverse de réfuter sans états d’âme la manœuvre : « le fait que vous m’accusiez d’être complotiste alors que tant de questions importantes se posent, suggère fortement l’existence d’une conspiration que vous cherchiez à couvrir consciemment ou inconsciemment. » On mesure le chemin à parcourir…
Pour conclure par un petit bouquet de dévoilements, la manipulation décrite est d’autant plus cocasse (ou désespérante) que des conspirations apparaissent effectivement au grand jour. Pour en donner juste quelques exemples, l’inoxydable conseiller de la Maison-Blanche en matière d’épidémies, le Dr Anthony Fauci, a bel et bien conspiré au moins à quatre reprises depuis le début de la crise selon différents documents obtenus au titre de la loi sur l’accès à l’information (FOIA) :
Tout d’abord, il a bel et bien financé des expériences de « gains de fonction » sur les coronavirus de chauve-souris au laboratoire P4 de Wuhan au cours des dernières années (pour les rendre plus pathogènes et contagieux), malgré l’interdiction du gouvernement américain[10].
Au printemps 2020, le Dr Fauci ainsi que les principaux responsables américains ont été informés que l’hypothèse la plus probable au sujet du Sars-CoV-2 était qu’il s’agissait d’un virus expérimental échappé du labo de Wuhan. Ils ont alors orchestré la parution dans The Lancet (multirécidiviste dans la publication de papiers frauduleux) d’une tribune signée par une vingtaine de scientifiques niant cette possibilité et traitant l’hypothèse correspondante de « conspirationniste ». Un véritable cas d’école : quand une hypothèse scientifique est stigmatisée pour couvrir les agissements coupables de responsables, on est bien au cœur de ce que décrit Lance de Haven Smith.
L’efficacité des traitements précoces disponibles a été établie dès le mois d’avril 2020. Une campagne internationale a été alors mise en œuvre, avec bien sûr la publication d’articles truqués, mais aussi le montage d’essais cliniques malhonnêtement montés pour arriver à la conclusion souhaitée. Alors que l’hydroxychloroquine par exemple démontre une efficacité précoce, lors de la première phase de l’infection, l’étude britannique Recovery l’a prescrite à des doses toxiques (et même potentiellement létales) à des patients intubés aux soins intensifs… Ceci permettant de conclure qu’aucune efficacité n’avait pu être observée ! Sophisme dont un enfant de huit ans est capable de comprendre la faille logique… mais vraisemblablement pas la « communauté scientifique », qui a pris cette truanderie – et pour cause- pour argent comptant[11].
Enfin, lorsque des épidémiologistes célèbres, œuvrant dans certaines des plus prestigieuses universités (Stanford, Harvard et Oxford) ont entrepris de rappeler les bons principes en santé publique et appelé les gouvernements à renoncer à la politique destructrice mis en œuvre, Fauci a conspiré avec le directeur des National Institutes of Health pour mener une campagne de dénigrement visant à décrédibiliser les auteurs et à les faire passer « pour des marginaux » (sic). Le patron de Facebook, Mark Zukenberg, a été directement sollicité pour aider à la manœuvre en menant une politique de censure et de « fact-checking » fallacieux sur ses réseaux sociaux, ainsi qu’il a dû finalement l’admettre devant un tribunal[12].
Tout ceci confirme (si besoin était) la pertinence des analyses du Pr Lance de Haven-Smith. Hélas, nous ne sommes plus en démocratie : lorsque le débat scientifique et démocratique est rendu impossible par la stigmatisation de certaines hypothèses, nous avons d’ores et déjà basculé dans un système totalitaire, lequel, par définition, ne tolère pas de « seconde opinion » : les choses sont comme les autorités le disent et les acteurs sociaux (« scientifiques », « politiques », « journalistes ») doivent se limiter au fait de confirmer qu’il en est bien ainsi. Ce faisant, ils se renient eux-mêmes dans leur qualité professionnelle pour n’être plus que les lampistes du pouvoir. Certes, non sans avantages (bien que, de notre point de vue, ces avantages puissent être en réalité très précaires). Mais avec une indignité rappelant hélas les heures les plus sombres de notre Histoire.
Rien de tout cela n’est ou n’a même été vraiment caché. Nous avions été avertis : entre la « bête de l’événement » annoncé par Emmanuel Macron quelques mois avant le début de cette crise politique de gouvernance (et non pas sanitaire), les propos de Nicolas Sarkozy sur l’émergence inévitable d’une gouvernance mondiale, les prophéties cyniques de Jacques Attali, et les annonces candides en comparaison de Klaus Schwab sur le « Great Reset », grâce auquel « nous serons heureux mais n’aurons plus rien », tout ceci suit diligemment les annonces de ces oracles, nous précipitant semble-t-il à grande vitesse dans un « meilleur des mondes » stalino-capitaliste, avec un système de surveillance bio-informatique absolue et de crédit social à la chinoise, garantissant a priori l’ostracisation (ou pire) des rétifs.
Sans un sursaut de conscience radical de la part des « élites » (cette nomenklatura et cette pseudo-intelligentsia qui disposent encore, selon l’expression de Michel Maffesoli, du « pouvoir de dire et de faire »), il n’est pas dit que nous puissions éviter ce devenir annoncé et funeste. La connaissance est pourtant là, pour comprendre le naufrage dans lequel nous nous trouvons embarqués, et le mettre en échec. Le problème est que rien n’est plus redoutable et in fine autodestructeur pour l’espèce humaine que son entêtement (soigneusement stimulé en certaines circonstances) à « ne pas vouloir savoir ».
De manière également prémonitoire, la soussignée donnait en 2017 déjà les clés de ce que nous n’aurons pour l’instant pas su éviter : « En effet, savons-nous seulement que la clef d’un régime n’est ni dans sa Constitution, ni dans ses Chambres parlementaires, ni dans son mode d’élection ou de scrutin, ni dans ses forces de police, mais dans l’information ? Or, lorsque cette information se décline en une propagande mensongère, elle constitue l’une des formes les plus insidieuses de harcèlement. La privation d’information ou sa dissimulation est un élément essentiel des idéologies totalitaires qui contrairement aux idées reçues ne sont jamais proclamées comme telles. Une information impartiale est indispensable à l’exercice de la démocratie et à la détermination d’un libre choix que seul l’examen de toutes les données disponibles peut garantir. Il ne faudrait jamais perdre de vue que l’objectif d’une telle propagande, qui équivaut à harceler un peuple par des procédés rhétoriques pervers, est bien de supprimer la possibilité de choix, principe fondamental d’une démocratie. Ce seul exemple, qui pourtant tombe sous le sens, nous laisse entrevoir certains aspects du harcèlement que l’on ne soupçonnait même pas du seul fait que plus personne n’ose s’aventurer sur ce terrain-là (ce qui est déjà le signe de l’efficacité de ce type de harcèlement dont l’autocensure témoigne, car en régime démocratique, personne ne devrait craindre de quelconques représailles pour s’être exprimé librement). »[13]
C’est l’immense mérite du livre que vous tenez entre vos mains. Il donne l’information indispensable pour rétablir une possibilité de choix. Et donc de science. Et de démocratie. En guise d’hommage à tous ceux qui, pour avoir dénoncé de vrais complots du pouvoir, ont pris des risques sur leur réputation, sur leurs carrières, et pour certains, l’ont payé au prix d’un harcèlement acharné, et même, de leur vie, nous laissons le dernier mot à Socrate lorsqu’il s’adresse à ses juges quelques heures avant sa mort : « Vous venez de me condamner dans l’espoir que vous serez quittes de rendre compte de votre vie ; or, c’est tout le contraire qui vous arrivera, je vous l’affirme. Vous verrez croître le nombre de ces enquêteurs, que j’ai retenus jusqu’à présent, sans que vous vous en aperceviez. Car si vous croyez qu’en tuant les gens, vous empêcherez qu’on vous reproche de vivre mal, vous êtes dans l’erreur. Cette façon de se débarrasser des censeurs n’est ni très efficace, ni honorable ; la plus belle et la plus facile, c’est, au lieu de fermer la bouche aux autres, de travailler à se rendre aussi parfait que possible. Voilà̀ les prédictions que je voulais vous faire, à vous qui m’avez condamné, sur quoi je prends congé de vous. »[14]
Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, ancienne chargée de cours à l’Université.
Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé et expert en santé publique.
[1] Barthélémy, S., Bilheran, A. 2007. Le délire, Paris, Armand Colin.
[2] Bilheran, A. 2019. Psychopathologie de la paranoïa, Paris, Dunod.
[3] Bilheran, A. Pavan, V. 2022. Le débat interdit, Paris, Trédaniel.
[4] Inglesby TV, Nuzzo JB, O’Toole T, Henderson DA. Disease mitigation measures in the control of pandemic influenza. Biosecur Bioterror. 2006;4(4):366-75
[5] La liste en serait trop longue pour figurer dans une préface.
[6] Michel J.-D., Covid : anatomie d’une crise sanitaire, éditions Humensciences, 2020.
[7] Goetzsche P., Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, Presses de l’Université Laval, 2019.
[8] Abbasi K. Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science BMJ 2020; 371 :m4425
[9] Doshi P, Godlee F, Abbasi K. Covid-19 vaccines and treatments: we must have raw data, now BMJ 2022; 376 :o102 [10] https://brownstone.org/articles/the-lab-leak-the-plots-and-schemes-of-jeremy-farrar-anthony-fauci-and-francis-collins/
Le sénateur Roger Marshall prédit une "famine mondiale" dans 1-2 ans, alors que les prix des engrais et du carburant montent en flèche
mercredi 30 mars 2022 par : Lance D. Johnson
(Natural News) En raison de la mondialisation, les pays sont devenus de plus en plus interdépendants les uns des autres. Lorsqu'il s'agit de produire et d'utiliser leurs propres matières premières et ressources naturelles, les États-Unis, le Canada et l'Europe ne sont PAS souverains. Ces pays dépendent de la Russie pour l'énergie, les produits agricoles, le maïs, le blé, l'huile de tournesol et les engrais, entre autres produits de base. Toute tentative de punir la Russie par des sanctions économiques se retournera inévitablement contre elle, provoquant des ruptures agricoles et des pénuries alimentaires qui mettront en danger les populations de chaque nation. Le sénateur Roger Marshall prédit une «famine mondiale» dans les 1 à 2 prochaines années, les sanctions faisant monter en flèche les prix des engrais et du carburant.
Les gouvernements américain et européen détruisent l'ordre mondial en utilisant des sanctions en temps de guerre qui appellent à la famine mondiale Lorsque la Russie a lancé son opération militaire spéciale en Ukraine, ces pays occidentaux ont répondu par des sanctions en temps de guerre qui ont un impact sur l'énergie, l'agriculture, l'économie et la finance. Mais alors que ces pays de « libre-échange » mettent la pression sur la Russie et manquent à leurs obligations, ils tendent également des pièges à leurs propres pays respectifs, nuisant à leur propre peuple. L'Europe et les États-Unis sont beaucoup trop dépendants de la Russie et de la Chine, mais ils insistent sur des relations commerciales en temps de guerre qui ne feront qu'affaiblir leurs propres économies et appauvrir leur propre population.
Alors que les Américains sont distraits par de petits acteurs qui se giflent, Vladimir Poutine prépare la Russie à se libérer de l'euro et de la monnaie de réserve mondiale. À l'avenir, la Russie n'acceptera que les roubles, l'or ou le bitcoin comme moyen de paiement pour les exportations d'énergie. Le rouble russe sera soutenu par des matières premières, contrairement au dollar, qui est soutenu par de faux espoirs et des illusions.
Les prix des engrais et du carburant montent en flèche, ouvrant la voie à des pénuries alimentaires et à une famine mondiale Le sénateur Roger Marshall, qui siège au Sénat pour l'agriculture, l'énergie et les ressources naturelles, comprend que ces sanctions en temps de guerre entraîneront un contrecoup. Il prédit qu'une «famine mondiale» commencera dans un an ou deux, alors que les gouvernements américain et européen blesseront leur propre peuple avec des sanctions en temps de guerre contre la Russie. Cette pente glissante a déjà commencé avec l'interdiction par le régime de Biden des importations de pétrole russe. Les prix de l'essence ont depuis atteint des niveaux historiques. Alors que l'Amérique et l'Europe perdent l'accès à l'approvisionnement en engrais de la Russie, l'agriculture sera touchée d'une manière qui rendra l'approvisionnement alimentaire encore plus vulnérable qu'elle ne l'est déjà.
"Il va en fait y avoir une famine dans un à deux ans", a déclaré Marshall dans une interview avec Maria Bartiromo sur Fox Business. "Je pense que dans deux ans, ce sera encore pire." La famine n'affectera pas seulement l'Europe. "Ce sera une famine mondiale", a déclaré Marshall. « 12 à 15 % des produits agricoles, maïs et blé, huile de tournesol passent par cette mer Noire. Les engrais proviennent également de cette région. Ces importations sont interrompues et restreintes. Alors que l'Occident essaie d'isoler la Russie, il y aura de graves conséquences pour les personnes vivant dans le monde entier.
Marshall a déclaré que les agriculteurs auront "des problèmes pour obtenir des engrais" et "des problèmes pour obtenir des tracteurs dans les champs" d'ici l'année prochaine. "Tout le carburant diesel va à leurs efforts de guerre", a-t-il déclaré. Le doublement et le triplement des coûts de l'énergie ne feront que faire flamber les prix alimentaires dans les années à venir.
"Je pense que les agriculteurs américains font de leur mieux pour répondre", a déclaré Marshall, "mais nous ne pouvons pas obtenir d'engrais." "Les prix des engrais ont quadruplé, le carburant diesel a doublé", a-t-il ajouté, "Tellement d'engrais et d'herbicides que nous ne pouvons même pas obtenir en ce moment."
La Russie n'est PAS isolée dans ses efforts militaires, comme le suggèrent les grands médias. Des pays comme la Chine et l'Inde refusent de participer à ces sanctions dirigées par les États-Unis qui menacent le libre-échange, l'approvisionnement alimentaire et l'ordre mondial. D'autres dirigeants du monde entier comprennent à quel point leurs nations sont réellement interdépendantes et comment l'arrêt du commerce mondial a un impact sur la prospérité et la survie de leurs propres nations. La vérité est que les États-Unis dépendent de l'Ukraine et de la Russie pour la nourriture et l'énergie. Intervenir en Ukraine et intensifier la guerre entre ces nations ne fera que justifier la mission de la Russie et faire souffrir les populations mondiales, annonçant une famine mondiale.
Avec l'actualité anxiogène servie depuis 2 ans et plus, les gens font des provisions. Oui mais ces provisions durent combien de temps ? 1 mois ? 3 mois ? 6 mois ? et après ? Lorsque la dictature empêche, interdit l'emploi de nourriture pour les plantes ! interdit l'emploi de remède contre les maladies des plantes et contre les bestioles qui ravagent les cultures, il y a de vaste terrains improductifs où même l'eau (qui sort gratuite aux sources et va se perdre en océans) doit être payée pour arroser les plantes !! (et donner à boire aux animaux). C'est pourquoi ils ont tout intérêt à faire durer la 'guerre en Ukraine' le plus longtemps possible
L'Australie lance un programme d'un milliard de dollars pour "vacciner" les BÉBÉS et les jeunes enfants contre le covid
Mercredi 30 mars 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le gouvernement australien a prolongé son déploiement national de vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour inclure 1 milliard de dollars de financement supplémentaire pour l'injection de jeunes enfants et de bébés.
Alors que le Groupe consultatif technique australien sur la vaccination (ATAGI) n'a recommandé les injections que pour les enfants de cinq ans et plus, les politiciens australiens ont décidé qu'ils savaient mieux ce dont le système immunitaire des tout-petits a besoin.
"La pandémie mondiale n'est pas terminée", a déclaré le trésorier Josh Frydenberg, un expert autoproclamé en immunologie, lors d'un récent discours sur le budget.
À l'heure actuelle, aucun pays au monde n'a approuvé les vaccins contre la grippe Fauci pour les enfants de moins de cinq ans. L'Australie serait la première à le faire, et elle s'appuierait sur une extension du système d'assurance maladie du pays.
Une fois les essais internationaux terminés, l'Australie prévoit de se précipiter pour obtenir autant de tirs dans autant de petits bras que possible, le plus rapidement possible.
4,2 milliards de dollars supplémentaires ont été alloués dans le budget australien à d'autres mesures pandémiques en cours, y compris les «traitements» pour les patients et le soutien aux médecins généralistes (MG), aux prestataires de soins aux personnes âgées et aux hôpitaux.
Davantage d'équipements de protection individuelle (EPI) et de tests antigéniques rapides seront achetés et envoyés dans tout le pays, remplissant les poches des fabricants de ces articles.
L'Australie veut tuer tous ses enfants innocents 69 millions de dollars supplémentaires ont été désignés pour être dépensés sur deux ans pour le plan national contre le virus de l'encéphalite japonaise, qui comprend l'achat de 135 000 doses de vaccin contre cette maladie.
Les dépenses totales de santé pour l'exercice 2022-23 s'élèveront à 105,9 milliards de dollars, soit 16,8% des dépenses totales de l'Australie. Il s'agit en fait d'une baisse par rapport aux 111,5 milliards de dollars de l'exercice précédent, lorsque davantage d'argent a été versé dans les mesures de «réponse d'urgence» COVID.
Un total de 333 millions de dollars est acheminé vers des programmes de «santé des femmes», ainsi que 6,6 millions de dollars pour la chirurgie visant à réparer la séparation abdominale après la grossesse. Auparavant, cette procédure était considérée comme cosmétique, même si le fait de ne pas le faire laisse les femmes dans la douleur.
D'autres mesures comprennent le financement de produits pharmaceutiques moins chers, de l'argent pour une «recherche» accrue sur le cancer et d'autres allocations pour les soins aux personnes âgées.
Le morceau le plus important et le plus inquiétant du budget, cependant, est que 1 milliard de dollars en espèces pour les jabs COVID pour enfants, avec lesquels l'Australie veut entrer dans l'histoire en étant le premier au monde à distribuer leur contenu aux tout-petits, aux nourrissons et aux proches de -les nouveau-nés.
Il est important de garder à l'esprit qu'une étude de l'automne dernier a révélé que neuf fois sur 10, les femmes enceintes qui prennent elles-mêmes des «vaccins» COVID finissent par perdre leur bébé au cours du premier trimestre.
On pourrait penser que cela pourrait dissuader les «autorités» d'essayer de pousser les mêmes coups sur les bébés qui réussissent à sortir de l'utérus. Peut-être que le but est d'éliminer cet enfant restant sur 10 qui arrive avec succès dans ce monde diabolique ?
Une autre chose qui suggère un méfait avec ce plan est le fait que les enfants ont zéro pour cent de chances de mourir du COVID. En d'autres termes, les enfants et les bébés n'ont besoin d'aucune injection chimique pour vivre une vie saine, dynamique et sans COVID.
"C'est effrayant", a écrit un lecteur de The Age. "Mes deux enfants ont eu le COVID (3 et 5) et ce n'était rien comparé aux autres virus qu'ils ont ramenés de la maternelle."
"Pourquoi un parent risquerait-il l'énorme liste d'effets secondaires et de blessures qui apparaissent maintenant ? Les risques potentiels l'emportent de loin sur toute équation d'avantages potentiels.
Un autre a accepté, soulignant qu'il est « inquiétant » de réfléchir aux effets secondaires potentiels que les jeunes enfants et les bébés subiront à cause de ce programme.
Les dernières nouvelles sur les vaccins contre la grippe Fauci peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les flacons Pfizer réchauffés explosent avec des circuits à assemblage automatique
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
30 mars 2022
Le Dr Jane Ruby est de retour avec des séquences vidéo à couper le souffle prises par le Dr sud-africain Xandre Botha et par le Kiwi Dr Matt Shelton des circuits d'auto-assemblage dans le jab Pfizer.
Avec une chaîne de possession complète, les deux médecins ont obtenu des flacons scellés et non dilués du produit Pfizer. Dans la vidéo, la solution semble presque "vivante" avec des particules grouillantes.
Le Dr Shelton a chauffé la solution jusqu'à la température du corps humain (98,6 ºF/37 ºC) et ces structures folles en forme de branche ont commencé à se former. « À quel point est-ce horrible ? dit le Dr Ruby.
Les deux médecins ont filmé des scènes similaires de ces particules se formant en ce qui ressemble à de petits circuits imprimés au cours de plusieurs heures. Ces structures rectangulaires ont été vues émanant de "points" ronds et brillants, comme les appelle le Dr Ruby.
Ma partie préférée est lorsque le Dr Ruby brise le troisième mur et commence à s'adresser au public en tant qu'être humain, plutôt qu'en tant que présentateur :
« Cela ressemble à un circuit imprimé, n'est-ce pas ? À quel point est-ce dommageable pour votre sang ? À quel point est-ce dommageable pour vos organes ? Et qu'est-ce que ça pousse ?…
« Qui diable sont ces gens ? Pour qui diable se prennent-ils ? Pas de consentement éclairé. Une technologie bien avant son temps. Ces salauds arrogants !…
"Vous avez le droit de savoir si quelqu'un change votre ADN donné par Dieu, vous avez le droit de savoir s'il met en place des circuits électroniques liés à l'électromagnétisme."
Réimprimé avec la permission de l'auteur.
https://www.lewrockwell.com/2022/03/no_author/warmed-up-pfizer-vials-explode-with-self-assembling-circuitry/
Dans le Dr Jane Ruby Show d'aujourd'hui, le Dr Jane vous montre les dernières preuves de flacons Pfizer et Moderna contenant des corps étrangers métalliques, et qu'ils ont été vus se développer en circuits auto-assemblés qui se dilatent rapidement lorsqu'ils sont réchauffés à la température du corps ; et plus tard, le Dr Jane vous montre un document de la FDA prouvant que les fabricants d'armes biologiques et la FDA continuent d'appeler les vaccins mortels "vaccins" parce qu'ils ont toujours connu les dangers de la thérapie génique ; et le spectacle se termine par un aperçu des principaux résultats de Moderna qu'ils utiliseront pour demander une autorisation d'utilisation d'urgence pour tirer sur des bébés de 6 mois
SupprimerLe Dr Jane Ruby dit à Mike Adams : Les grandes sociétés pharmaceutiques gèrent les tables dans le monde entier et savent ce qu'elles font – Brighteon.TV
RépondreSupprimermardi 29 mars 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Les grandes sociétés pharmaceutiques gèrent les tables dans le monde entier et elles savent ce qu'elles font en ce qui concerne la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), selon le médecin et animatrice de Brighteon.TV, le Dr Jane Ruby.
- voir clip sur site -
"Ils ne vont pas dépenser beaucoup d'argent des contribuables, grâce à [Dr. Anthony] Fauci qui est entré dans toute cette terreur. Ce sont des entreprises qui savent ce qu'elles font. Ils ont lancé des centaines et des centaines de produits, ils ne vont pas faire quelque chose comme ça et y mettre des milliards de dollars s'ils ne savent pas ce qu'ils font sur un coup de tête. C'est donc incroyablement dangereux. Ces entreprises, elles ne font que gérer les tables dans le monde entier », a déclaré Ruby à l'animateur Mike Adams lors de l'épisode du 22 mars du « Health Ranger Report » sur Brighteon.TV.
« Et donc vous savez que vous avez des dizaines de milliers de morts et de blessés, probablement des millions, vraiment. Vous obtiendrez l'étude Harvard Pilgrim qui a déclaré que moins d'un pour cent de tous les événements indésirables liés au vaccin sont capturés dans le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System]. On vous donne donc un multiplicateur de 100 là-bas. Il y a donc probablement des millions de personnes qui sont mortes dans le monde.
Ruby a souligné que ces sociétés pharmaceutiques n'en ont pas dit un mot et qu'elles n'ont pas fait de refonte de leur formule COVID-19. L'experte en développement de médicaments pharmaceutiques a ajouté qu'elle avait également appris de Team Enigma, qui a intelligemment étudié les numéros de lot et les taux de décès et d'invalidité. Elle a noté que Pfizer et Moderna ont le même schéma de déploiement, ce qui prouve qu'ils travaillent ensemble et que ce n'était pas par hasard.
Les coups COVID sont comme la roulette russe sur les stéroïdes
« Dans ce cas, avec ces flacons et ces coups, c'est de la roulette russe sous stéroïdes et qu'il y a des centaines de chambres. Et donc, chaque jour, c'est la chose la plus dangereuse que j'aie jamais vue de ma vie. Il pourrait y avoir des choses là-dedans qui ne se manifestent même pas avant des années », a déclaré Ruby. (Connexe : Dr Jane Ruby : Les grandes sociétés pharmaceutiques déploient intentionnellement des lots toxiques de vaccin COVID-19 – Brighteon.TV.)
"Et je dis cela parce que nous savons qu'il y a des brins d'ARN partiels qui sont autorisés à s'y trouver. Et nous ne savons même pas pour quoi ils sont codés. Nous avons cet ARNm. Et ça pénètre dans chaque cellule du corps et ça force les cellules à fabriquer cette pointe synthétique qui s'infiltre dans le corps et cause des ravages. Ce n'est qu'une possibilité que ces entreprises ne divulguent pas.
Ruby a déclaré qu'avec la façon dont Big Pharma l'a présenté, il serait difficile de prouver que les vaccins sont directement responsables des maladies et des décès des vaccinés. Les grandes sociétés pharmaceutiques savent comment faire bon usage de leurs relations au sein du gouvernement.
Elle a également mentionné que le récent vidage de données non expurgé de Pfizer montrait des zones expurgées, qui confirment qu'elles cachent des informations à la vue du public.
RépondreSupprimerLes hôpitaux sont devenus des plaques tournantes des homicides
Ruby a également discuté avec Adams du refus de traitements efficaces aux personnes malades et mourantes du COVID-19. Les hôpitaux deviennent des centres d'homicides et les meurtres médicaux sont en train d'être normalisés dans la profession médicale.
Selon Ruby, elle travaille avec Stew Peters, Atty. Thomas Renz et le Dr Eric Henson pour avoir aidé à transporter par avion des personnes hors d'hôpitaux dangereux vers des hôpitaux plus sûrs. Elle a ajouté que les hôpitaux tuaient en fait des gens intentionnellement et que les gens en ressortaient déshydratés, émaciés et souffrant de graves lésions organiques dues à des médicaments inutiles.
Elle a également critiqué les infirmières qui séjournaient dans ces hôpitaux et a activement permis au système de protocole de décès des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) qui tue intentionnellement des gens de continuer.
Suivez VaccineHolocaust.org pour en savoir plus sur les décès liés au vaccin COVID.
Regardez l'épisode complet du 22 mars du "Health Ranger Repot" ci-dessous. Découvrez les nouveaux épisodes du programme du lundi au vendredi de 15h00 à 15h30. sur Brighteon.TV.
More related stories:
Dr. Jane Ruby: COVID-19 vaccine boosters can cause cancer.
CDC data shows almost 1.2 MILLION adverse event reports after COVID vaccinations began.
Dr. Jane Ruby: Unnatural blood clots found in dead bodies of vaccinated – Brighteon.TV.
Sources include:
Brighteon.com
DrJaneRuby.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-29-big-pharma-companies-running-the-tables-worldwide.html
Dr. Marble : Les mensonges du COVID étant révélés, les mondialistes promeuvent maintenant la GUERRE MONDIALE pour dépeupler le monde
RépondreSupprimermardi 29 mars 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Le Dr Ben Marble pense que les mondialistes promeuvent maintenant la guerre mondiale pour dépeupler le monde après que leurs mensonges sur le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ont été révélés.
"Tous ces gens prétendent que nous devrions soutenir l'Ukraine et essayer d'entrer en guerre avec la Russie. Ils essaient de promouvoir la guerre mondiale. Les gens doivent comprendre que cela fait partie du plan Great Reset. Tout leur plan est de provoquer une guerre mondiale. Ils veulent une guerre nucléaire parce qu'ils veulent tuer autant de personnes que possible », a déclaré Marble en tant qu'hôte invité dans un récent épisode de « The Alex Jones Show » sur Info Wars. (Connexe : les mondialistes ont besoin de la guerre pour imposer la « grande réinitialisation ».)
« Et nous pouvons le prouver si vous regardez les Georgia Guidestones. Leur objectif de population cible est d'un milliard. Leur objectif de population est discutable, mais ce qui ne l'est pas, c'est qu'ils ont l'intention de tuer beaucoup de gens pour y arriver. Et donc s'il y a quelque part entre sept, huit milliards de personnes en ce moment et qu'ils veulent descendre à un milliard, cela signifie qu'ils prévoient d'assassiner six ou sept milliards de personnes. Et donc ils ont déjà distribué cinq milliards de doses de ce faux vaccin COVID-19, un poison génétique.
Marble faisait référence à un immense monument en granit avec un ensemble de guides destinés aux générations futures situé au point le plus élevé du comté d'Elbert, en Géorgie.
Les Georgia Guidestones ont une dalle qui se dresse au centre et quatre disposées autour d'elle. Une pierre angulaire se trouve au-dessus des cinq dalles, qui sont alignées de manière astronomique. Aussi appelé « American Stonehenge », il sert d'horloge céleste - enregistrant le passage du temps grâce à des fonctions spéciales. Le monument a été décrit comme "une structure hautement technique qui suit parfaitement le soleil".
Les quatre dalles contiennent 10 guides en huit langues différentes - une langue sur chaque face des quatre grandes pierres dressées. Ils sont gravés en anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, chinois et russe.
L'ensemble de guides se lit comme suit :
Maintenir l'humanité sous les 500 000 000 en perpétuel équilibre avec la nature.
Guider judicieusement la reproduction – améliorer la condition physique et la diversité.
Unir l'humanité avec une nouvelle langue vivante.
Règle la passion – la foi – la tradition – et toutes choses avec une raison tempérée.
Protégez les gens et les nations avec des lois justes et des tribunaux justes.
Laissez toutes les nations gouverner en interne en résolvant les différends externes dans un tribunal mondial.
Évitez les lois mesquines et les fonctionnaires inutiles.
Équilibrez les droits personnels avec les devoirs sociaux.
Prix vérité – beauté – amour – recherche de l'harmonie avec l'infini.
Ne soyez pas un cancer sur la terre – Laissez place à la nature.
Le marbre avait perdu un demi-milliard. Leur objectif de population cible n'est que de 500 000 000. Et c'est apparemment la priorité absolue.
Le fondateur du site Web de télémédecine MyFreeDoctor.com a déclaré que les gens ont été témoins au cours des deux dernières années d'une guerre bioterroriste menée dans le monde entier et qu'il s'agit d'un grand plan de complot des dirigeants du Forum économique mondial (WEF) dirigé par Klaus Schwab, Bill Gates, George Soros et Mark Zuckerberg.
RépondreSupprimer« Leur programme est un programme pervers, anti-Dieu et athée. Ce sont des transhumanistes. Ils croient en l'édition du génome humain parce qu'ils pensent qu'ils sont plus intelligents que Dieu. Et maintenant, la mauvaise nouvelle pour eux, c'est qu'ils ont tort. Ils veulent donc essayer de forcer ce poison d'édition de gènes sur les masses et ils l'ont déjà fait. Et cinq milliards de personnes ont déjà pris ce poison », a déclaré Marble.
Il a dit que tous les mensonges du COVID avaient été efficacement exposés par divers médecins comme le Dr Peter McCullough et le Dr Robert Malone.
Les mondialistes ont basculé le récit sur l'Ukraine
Le spécialiste en médecine familiale de Gulf Breeze, en Floride, a souligné que les mondialistes ont maintenant changé le récit en Ukraine. Ils essaient également de présenter le président ukrainien Volodymyr Zelensky comme une sorte de héros qui promeut la démocratie en Ukraine – ce qui n'est pas vrai parce qu'il est totalitaire, selon Marble.
Zelensky a interdit les partis politiques en Ukraine et, selon Marble, l'acteur ukrainien devenu président travaille avec le WEF.
Marble a également souligné la nécessité d'interdire les vaccins COVID car tout ne cesse de s'aggraver et les gens continuent de sombrer dans le chaos.
"Tant que le poison ne sera pas interdit, rien ne s'améliorera. Nous continuons à donner du poison au public, prétendant que c'est un vaccin sûr et efficace. Eh bien, il est facile de prédire que de plus en plus de gens vont mourir », a-t-il déclaré.
Les vaccins COVID-19 ne sont pas du tout de vrais vaccins
« Les preuves sont accablantes. Maintenant, il y a tellement de preuves de toute la surmortalité, de tous les décès en excès, que l'affaire est close. La science est établie, les vaccins COVID-19 ne sont pas du tout de vrais vaccins. Ce sont des poisons d'édition de gènes. Et je vais continuer à répéter le même point de discussion encore et encore.
Marble a déclaré que de nombreuses victimes des piqûres COVID viennent sur MyFreeDoctor.com pour demander de l'aide avec les symptômes qu'elles ont développés après avoir été vaccinées. Il a ajouté que son organisation essaie de faire de son mieux pour fournir le traitement aux gens.
Suivez Depopulation.news pour en savoir plus sur le plan des mondialistes pour dépeupler le monde.
Regardez ci-dessous l'épisode complet de "The Alex Jones Show" avec l'hôte invité, le Dr Ben Marble.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Alex Jones : La guerre en Ukraine fait avancer le GRAND RESET souhaité par les mondialistes.
Steve Quayle dit à Mike Adams : Les mondialistes veulent parvenir à l'extermination de la race humaine par la guerre nucléaire.
Les mondialistes poussent l'agenda du transhumanisme avec des puces informatiques insérées dans les humains via des injections de COVID
Tout comme ils ont dissimulé le "décompte des cadavres de Clinton", les mondialistes dissimulent des crimes de génocide contre l'humanité - nous attendions-nous à ce qu'ils admettent simplement avoir commis des meurtres de masse ?
Sources include:
Brighteon.com
StrangeSounds.org
Covid19.OneDayMD.com
Britannica.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-29-globalists-promote-world-war-to-depopulate-world.html
"Pour connaître son ennemi il faut se mettre à sa place". Et, comme les dictateurs sont tous des cons dégénérés-psychopathes-consanguins leurs intentions ont de quoi vous glacer le sang !
SupprimerEn l'an 2000 a été publié sur le net un rapport qui parlait de 4 % de surdoués dans le monde (soit 280 millions de personnes), aujourd'hui, 22 ans après ce pourcentage est à multiplier par 4 ou 5 ! Et c'est là qu'est la pierre d’achoppement ! Le Peuple en sait autant sinon plus que le nano-groupuscule de criminels au pouvoir ! D'où tous les objectifs permis pour s'en défaire au plus vite.
La bombe nucléaire étant la dernière carte car elle tuerait aussi ceux qui ont appuyé sur le bouton !
Donc, retour sur le 'nouveau virus sur le marché' ! Cette nouvelle poussière (dite 'intelligente') sert de transmetteur d'ondes basses fréquences vers l'organisme. Ces nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) peuvent se décortiquer et provoquer la mort immédiate. Les personnes sont foudroyées. Mais chez d'autres, elles ne sont pas décortiqués et demeurent de simples antennes relais injectées par seringues, respirées par masques imprégnés, pénétrées par gels hydroalcooliques ou simplement déposées par écouvillons lors de faux tests 'RT-PCR' en cavité nasale.
Ces victimes encore vivantes sont appelées des transhumanisées car elles n'appartiennent plus au genre humain puisque leur immunité a disparue et que elles ne sont plus capables de penser d'elles-mêmes. Elles ne font qu'exécuter les ordres reçus.
Ce nouveau type de machines sur pattes est dangereux pour tous car ces 'zombies' peuvent désormais tuer n'importe qui autour d'eux. Elles sont censées représenter la fin de l'humanité où des 'robots' remplaceraient les êtres humains !
Le sang des personnes vaccinées contre le COVID a un étrange artefact… le mien inclus
RépondreSupprimermardi 29 mars 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) J'ai récemment rencontré un médecin en médecine fonctionnelle. Entre autres choses, les médecins en médecine fonctionnelle sont connus pour utiliser des microscopes à fond noir et des analyses de sang vivant qui sont évités par la communauté médicale traditionnelle comme du charlatanisme.
(Article de Steve Kirsch republié de SteveKirsch.Substack.com)
OK, maintenant que nous avons réglé cela, passons à ce que montrent les diapositives.
Tout d'abord, utiliser un microscope pour observer le sang n'est pas déraisonnable. L'utilisation d'un microscope à fond noir fournit simplement un contraste supplémentaire.
Dans mon cas, le médecin m'a prélevé un échantillon de sang, l'a mis sur une lame de verre et l'a recouvert d'un couvercle en verre. Nous n'étions pas dans son bureau, donc l'échantillon s'est desséché avant qu'il ne le regarde, mais il a dit que ce qu'il avait vu était cohérent avec ce qu'il avait observé chez chaque patient vacciné contre le COVID qu'il avait examiné.
Voici la première image qu'il a envoyée.
Ce qui est étrange, c'est ce que j'appelle les « masses terrestres ».
Notez les deux grandes « masses terrestres » sur la photo. Ces « masses terrestres » (ma terminologie pas la sienne) sont ce qu'il dit ne voir que chez les patients vaccinés. Les cercles sont des globules rouges et les "pointes" sont juste parce qu'elles sont aplaties et déshydratées (puisque des heures se sont écoulées depuis le moment où il a pris l'échantillon).
- voir photo sur site -
Voici une autre diapositive de mon sang. La partie inférieure gauche (à gauche de la "ligne" diagonale sombre n'est qu'une bulle d'air).
Encore une fois, nous voyons une étrange "masse terrestre" ici juste au-dessus de la ligne et en dessous des cellules sanguines. C'est le sujet de préoccupation.
- voir photo sur site -
Quoi que ce soit, c'est inhabituel.
Ce qui est troublant, c'est que j'ai été vacciné il y a 1 an et que mon sang se distingue encore facilement du sang « vacciné ».
J'ai parlé à Ryan Cole et il n'est pas sûr de ce que c'est non plus, mais pense qu'il est important de le savoir.
Est-ce que quelqu'un pense le savoir et peut le confirmer ?
La dernière partie est la plus importante.
L'hypothèse de l'oxyde de graphène
Il y a des gens qui pensent que les feuilles sont de l'oxyde de graphène, mais ils ne l'ont pas prouvé.
Certaines personnes pensent que vous pouvez effectuer l'identification à l'aide de la spectroscopie de masse, mais d'autres experts disent que l'oxyde de graphène n'est que du carbone, de l'oxygène et de l'hydrogène, il ne sera donc pas facilement détectable.
RépondreSupprimerCependant, il existe des moyens astucieux de rechercher de l'oxyde de graphène dans les flacons eux-mêmes, mais nous n'avons pas de flacons à examiner.
Personnellement, je n'ai pas de cheval dans cette course. Il y a beaucoup de gens qui pensent que c'est de l'oxyde de graphène et d'autres qui pensent que c'est autre chose.
Commentaires des lecteurs
Les avis des lecteurs sont variés. Certains sont certains que ces structures sont apparues avant les vaccins COVID et qu'il n'y a rien à craindre. D'autres sont convaincus qu'ils ne l'étaient pas.
Par exemple, Phil Walsh écrit :
J'ai travaillé pendant quelques décennies en tant que microscopiste et spécialiste de la culture tissulaire et j'ai examiné mon propre sang assez souvent à l'aide d'endoscopes de recherche de très haute qualité. De grosses inclusions de sang comme celle-ci n'étaient tout simplement pas vues avant le COVID. Ma meilleure hypothèse est qu'il s'agit en effet de couches d'oxyde/hydroxyde de graphène d'une épaisseur atomique qui se replieront facilement plusieurs fois en une seule structure de "masse terrestre". Je pense que la raison pour laquelle les flacons sont maintenus à des températures aussi basses avant utilisation est que les minuscules flocons de graphène de taille nanométrique commenceront à s'auto-agréger en feuilles hexagonales en nid d'abeille de plus en plus grandes à température ambiante et au-dessus. Cela expliquerait la micro-coagulation au niveau des vaisseaux capillaires délicats, avec l'augmentation concomitante des niveaux de troponine chez les personnes vaccinées. Je suggérerais de répéter l'examen sanguin et de visualiser immédiatement avant que la dessiccation ne se produise. Vous pouvez également rapprocher un aimant de la diapositive pour voir si un mouvement peut être détecté. D'après la littérature, il semble que GO possède des propriétés paramagnétiques intéressantes. Quant à l'objectif du GO, je ne peux que supposer que ces feuilles peuvent former le substrat pour la construction de biocircuits/capteurs de niveau nanométrique pour le suivi/contrôle/etc. L'état de l'art de ce type de technologie est tout à fait époustouflant. L'information accessible dans le secteur public est suffisamment alarmante. Ce que la DARPA et d'autres entités ont mis au point au cours de nombreuses décennies dépasse probablement ce que chacun d'entre nous peut même imaginer.
Analyse de flacons effectuée par d'autres
Ces analyses révèlent des structures auto-assemblées et émettent des hypothèses sur l'oxyde de graphène :
Dr Carrie Madej
https://www.algora.com/Algora_blog/2021/10/25/dr-carrie-madej-took-a-look-at-the-moderna-pfizer-and-jj-shot-contents-under-a-microscope
Docteur Robin Wakeling
Nous pouvons résoudre le débat si je peux obtenir un flacon de vaccin pour tester
Si quelqu'un peut me procurer un flacon de vaccin que nous pouvons tester, nous pouvons mettre fin au débat. Personne ne semble vouloir faire ça. Je me demande pourquoi ?
L'hypothèse la plus raisonnable est qu'ils ont peur de ce que nous pourrions trouver. Ce qui rend d'autant plus important d'avoir au moins un flacon à examiner.
RépondreSupprimerD'autres ont eu des flacons à regarder, mais l'analyse que je veux faire sera assez différente et, espérons-le, plus révélatrice.
En savoir plus sur : SteveKirsch.Substack.com
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Le Dr Jane Ruby dit à Mike Adams : Les grandes sociétés pharmaceutiques gèrent les tables dans le monde entier et savent ce qu'elles font – Brighteon.TV
Les mélanges à crêpes vendus chez Walmart et Kroger ont été rappelés en raison d'une possible contamination par des fragments de câble
Le sang des personnes vaccinées contre le COVID a un étrange artefact… le mien inclus
Le sang de personnes vaccinées contre le COVID contenait d'étranges artefacts (oxyde de graphène ?)
https://www.naturalnews.com/2022-03-29-blood-covid-vaccinated-people-has-strange-artifact.html
Alors qu'IL EST STRICTEMENT INTERDIT DE VACCINER QUICONQUE DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU PANDÉMIE, les dictateurs ont donné l'ordre de "TUEZ-LES TOUS !"
SupprimerAttendriez vous qu'il y ait la rage pour vous faire vacciner ?
Attendriez vous qu'il y ait la poliomyélite pour vous faire vacciner ?
Attendriez vous qu'il y ait le choléra pour vous faire vacciner ?
Non ! Car on se fait vacciner AVANT et non PENDANT !
Le Dr Carrie Madej a examiné le contenu de Moderna, Pfizer et J&J Shot au microscope
RépondreSupprimer25 OCTOBRE 2021
Une interniste qui a examiné plusieurs piqûres de COVID au microscope tire la sonnette d'alarme après sa découverte d'objets étranges et non identifiés dans les prises de vue, y compris des fragments métalliques, des structures "ressemblant à du graphène" dans chaque piqûre et une créature ressemblant à un organisme tentaculaire et en mouvement dans le jab Moderna.
- voir photo sur site -
Le Dr Carrie Madej, qui a déclaré avoir examiné le contenu grossi des clichés de Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson, a trouvé "très bouleversant" de voir des choses dans chaque coup que les fabricants n'ont pas été franches - si bouleversant qu'elle a dit qu'elle a pleuré après avoir vérifié avec un deuxième lot de clichés ce qu'elle avait vu dans le premier.
Elle a expliqué dans l'émission Stew Peters qu'un laboratoire local de Géorgie lui avait d'abord demandé d'examiner au microscope le contenu d'un flacon Moderna « frais », dont elle a vérifié qu'il n'avait pas été modifié avant d'être placé sur une lame de verre sous un microscope composé. "Rien n'a été ajouté à la solution, rien n'a été dilué", a-t-elle déclaré.
- voir clip sur site -
Dr Carrie Madej : le premier laboratoire américain examine des flacons de « vaccins »
"Au début, il avait l'air juste translucide. Et puis au fur et à mesure du temps, plus de deux heures, des couleurs sont apparues. Je n'avais jamais rien vu de tel. Il n'y a pas eu de réaction chimique. C'était un bleu brillant et un violet royal, du jaune et parfois du vert », a-t-elle déclaré.
Plus tard, elle a partagé que lorsqu'elle a demandé aux ingénieurs en nanotechnologie d'où pourraient provenir les couleurs brillantes émergentes, les ingénieurs ont dit que la "seule chose qu'ils savaient qui pouvait faire cela" était une lumière blanche, au fil du temps, provoquant une réaction sur "un matériau supraconducteur". .” Dans ce cas, a noté Madej, la lumière blanche provenait du microscope lui-même.
Elle a souligné qu'un exemple de substance supraconductrice serait "un système informatique injectable".
Madej a poursuivi : « Ces fibres apparaissaient de plus en plus. Certaines fibres avaient une petite structure cubique, je ne sais pas ce que c'était. Et aussi des fragments métalliques étaient là-dedans. Ce n'étaient pas des fragments métalliques que j'ai l'habitude de voir. Ils étaient exotiques. Ils étaient très opaques.
Avec le temps, a déclaré Madej, "toutes les particules, toutes ces couleurs ont commencé à se déplacer vers le bord" de la diapositive de couverture. «Il y avait de l'auto-assemblage, les choses grandissaient. Ils avaient l'air synthétique.
- voir photo sur site -
RépondreSupprimerMadej a remarqué autre chose d'assez étrange : « Il y avait un objet ou un organisme particulier, je ne sais pas comment l'appeler, qui avait des tentacules qui en sortaient. Il a pu se soulever de la lame de verre. Il semblait être conscient de lui-même, ou être capable de grandir ou de se déplacer dans l'espace.
Elle a trouvé cela dérangeant mais a dit qu'elle pensait: "Peut-être que c'était un coup de chance d'une certaine manière, peut-être que c'était juste ce flacon."
Quelque temps plus tard, le même laboratoire a obtenu plus de flacons d'un lot différent de coups de Moderna, ainsi qu'un flacon J&J. Madej était inquiète de voir les mêmes choses qu'elle avait observées dans le premier flacon.
"Une autre de ces structures en forme de tentacule est apparue", a-t-elle déclaré. "C'était maintenant complètement sous la lamelle, donc il n'y avait aucun mouvement parce que ce n'était pas sur le bord, mais je ne pouvais tout simplement pas croire que j'en ai vu un autre. Même chose." Madej a également vu apparaître les « mêmes couleurs » au fil du temps, ainsi que les fibres.
Dans le flacon de J&J, a déclaré Madej, il y avait «certainement une substance qui ressemblait à du graphène. Ils avaient tous des structures de type graphène là-dedans. Qu'ils l'aient été ou non, je n'ai pas la capacité de les tester pour le savoir dans ce laboratoire, mais c'est ce qu'ils semblaient être.
Le contenu du flacon contenait également «des substances grasses, une substance collante semblable à de la colle qui serait considérée comme un hydrogel dans les deux».
Le flacon J&J "avait également des couleurs apparaissent." « Leurs couleurs étaient différentes, comme une sorte de couleur pastel fluorescente. Encore une fois, il y a aussi beaucoup de structures synthétiques là-dedans. Madej a également remarqué de nombreuses "structures d'anneaux sphériques" dans le contenu de J&J.
"Je n'ai jamais rien vu de tel auparavant. Ils ne sont pas censés être dans ces injections. Qu'est-ce qu'ils vont faire à quelqu'un ? Que vont-ils faire à un enfant ? J'ai commencé à pleurer quand je les ai vus pour la deuxième fois au microscope, car c'était la confirmation de tout ce que j'avais vu la première fois », a déclaré Madej.
Madej est de nouveau apparue dans l'émission Stew Peters le 20 octobre pour discuter de ses découvertes d'un flacon de jab Pfizer ainsi que d'un autre flacon J&J. "Ce que je vois chez tous ces fabricants, ce sont des substances synthétiques, de type graphène, ainsi que ces tubes en nano-carbone", a déclaré Madej.
"Dans ce flacon particulier de J&J", Madej a vu "des sphères rondes, qui n'étaient pas des bulles d'air". Elle a poursuivi: «Il y a beaucoup de ces anneaux, et au fil du temps, ils devenaient de plus en plus minces et se dilataient, puis finalement extrudaient un matériau gélatineux – je ne sais pas ce que c'était, mais différents types de choses étaient à l'intérieur de ceux-ci. sphères. Donc, ils sont presque comme une structure de livraison, c'est ce qu'ils faisaient.
Sur l'un de ces anneaux, Madej a vu ce qui "ressemblait à un organisme translucide qui faisait le tour et faisait des allers-retours". Madej a d'abord "pensé qu'il s'agissait d'un autre parasite aquatique", mais après avoir continué à observer ses mouvements, "a pensé qu'il se déplaçait peut-être de manière plus robotique".
RépondreSupprimerMadej a vu le «même genre de choses synthétiques» dans le jab Pfizer, ainsi que «quelque chose qui ressemble à la teslaphorèse. C'est alors que ces petites particules métalliques noires ressemblant à du graphite commencent à fusionner en cordes, comme une toile d'araignée. Ils le font par le biais de n'importe quelle force externe - cela peut être de la lumière, cela peut être une force magnétique, cela peut être une impulsion, comme une fréquence. Quoi qu'il en soit, toutes ces petites particules fusionneraient alors et formeraient leur propre réseau neuronal, ou leurs propres fibres, ou fils.
Après avoir écouté les découvertes de Madej et vu la documentation photo et vidéo qu'elle a fournie, Peters a commenté: "C'est comme si je regardais un très mauvais film B, un thriller d'horreur." Voir aussi ceci : Le Vax : le Dr Zalewski découvre des œufs de parasites à couver ; Le test PCR : collecte de votre ADN.
Les créatures tentaculaires du jab Moderna sont-elles des expériences d'hydre "immortelles" ?
Madej pense que l'entité tentaculaire qu'elle a trouvée dans les jabs de Moderna a un lien avec l'organisme hydra vulgaris. « C'est l'un des organismes modèles que les transhumanistes aiment étudier et observer. Ils pensent que c'est un organisme incroyable pour l'humanité », a déclaré Madej, en partie parce qu'« il est immortel en laboratoire » et « produit en permanence ses propres cellules souches ».
« Ça ne s'arrête jamais. Vous pouvez le couper en petits morceaux, le mettre dans une boîte de Pétri et il se reforme encore et encore », a-t-elle poursuivi. "Ils pensent, ne serait-ce pas formidable si nous pouvions mettre cela à l'intérieur du génome d'un corps humain, et puis si votre main était coupée par un traumatisme, vous pourriez développer une nouvelle main."
L'autre raison pour laquelle les transhumanistes s'intéressent à l'hydre, a déclaré Madej, est qu'elle "a son propre réseau neuronal", qui ressemble à un nerf humain, et quand [rassemblés] "peuvent former un réseau maillé, ils peuvent en fait communiquer entre eux". les uns des autres, presque comme si vous aviez votre propre intranet à l'intérieur de votre corps. Elle a noté qu'alors "quelque chose d'extérieur pourrait l'affecter, comme une impulsion, une fréquence, quelque chose de la 5G, une lumière, un aimant. Et si quelque chose avait influencé ce réseau de communication ? »
Le 21 octobre, Karen Kingston a souligné dans l'émission Stew Peters que les National Institutes of Health (NIH), qui détiennent une participation de 50 % dans le vaccin mRNA-1273 de Moderna et qu'il a aidé à développer sous l'égide du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID ) dirigé par le Dr Anthony Fauci, "parraine la recherche sur l'hydre depuis plus de deux décennies".
En fait, le NIH a une sous-section entière de son site Web consacrée au projet Hydra 2.0 Genome.
RépondreSupprimerKingston a également souligné une étude qui a révélé qu'Hydra a "à peu près le même nombre de gènes que les humains, partageant plusieurs des mêmes", et qu'ils ont également trouvé dans les gènes Hydra "liés à la maladie de Huntington" et à la formation de plaques observées dans La maladie d'Alzheimer. Elle a comparé les symptômes associés à ces maladies avec ceux ressentis par certains qui ont reçu les injections de COVID, comme les tremblements corporels, chez ceux qui ont « perdu le contrôle de leur système neurologique ».
Elle pense que les gens sont injectés par le biais des injections COVID avec une « hydre transgénique », qu'elle décrit comme un organisme avec de l'ADN d'un autre organisme incorporé.
Les conclusions d'un autre médecin sur la "structure de livraison" dans Johnson & Johnson jab
Madej n'est pas le premier à observer des objets métalliques non identifiés, des substances de type graphène, des particules d'auto-assemblage et des entités de type organisme dans les jabs COVID.
Le Dr Jane Botha a rapporté dans l'émission Stew Peters du 4 octobre que lorsqu'elle a mis une goutte d'un flacon de J&J sous le microscope et a laissé la gouttelette découverte, elle a vu "des disques noirs très symétriques" qui "semblent être réunis". par ce que Peters a noté semblait être des connecteurs métalliques.
Botha ne savait pas quoi penser de ce qu'elle voyait, mais a noté qu'ils réfléchissaient la lumière lorsqu'ils étaient observés dans un champ sombre, et qu'ils semblaient « s'auto-assembler ». Elle a vu les mêmes disques quatre fois différentes, en utilisant quatre gouttelettes différentes du même flacon.
Lorsque l'échantillon a séché, a déclaré Botha, elle ne pouvait plus voir les structures du disque, mais "des lignes noires ont commencé à se former".
Botha a été particulièrement troublée par ce qu'elle a trouvé parce que lorsqu'elle a vu le liquide de piqûre à travers une technique de microscope différente, des «structures noires» plus amorphes semblaient être «exactement la même structure» qu'elle a observée dans le sang de ses patients piquées qui étaient présenter des symptômes après les injections de COVID. Ces symptômes comprenaient des caillots sanguins, un essoufflement, des douleurs nerveuses, une thrombose grave, des embolies graves et des difficultés cognitives, notamment une perte de mémoire et une dépression.
La chercheuse pharmaceutique, la Dre Jane Ruby, a déclaré à l'émission Stew Peters du 6 octobre que les gens avaient effectué des "recherches inversées" et avaient "regroupé de nombreuses données scientifiques différentes pour montrer qu'il s'agit d'une technologie appelée micro-bulles". est un système de livraison utilisé pour le corps humain.
Ruby a déclaré que le Dr Botha « émet l'hypothèse » que la raison pour laquelle elle ne pouvait plus voir les disques, mais seulement les lignes noires une fois que l'échantillon de jab J&J s'est tari, est que « peut-être qu'ils ont été programmés pour s'ouvrir » et « déborder sur leur contenu, leur charge utile.
Cette hypothèse correspondrait à l'observation du Dr Madej dans l'échantillon d'"anneaux" de J&J selon lequel "au fil du temps, ils deviendraient de plus en plus minces et se dilateraient puis extruderaient finalement une matière gélatineuse", qu'elle a décrite comme "presque comme une structure de livraison.
RépondreSupprimerL'International Journal of Pharmaceutical Sciences and Research a publié un "aperçu" du "concept de microbulles en tant que système d'administration de médicaments", décrivant les microbulles comme un "petit type de bulle sphérique" "capable de pénétrer même dans les plus petits capillaires sanguins et de libérer des médicaments ou des gènes, incorporés à leur surface, sous l'action des ultrasons.
Découvertes répétées de substances de type oxyde de graphène dans les piqûres
D'autres ont observé des substances dans les jabs COVID qu'ils croient être de l'oxyde de graphène, dont diverses expériences ont montré qu'elles avaient des effets toxiques.
La première découverte de ce type à être mise en évidence a été l'observation du Dr Pablo Campra Madrid, publiée sur le blog espagnol La Quinta Columna, selon laquelle le contenu de ce qui était étiqueté comme un jab Pfizer, vu au microscope électronique, "présent[ed ] une grande similitude avec les images d'oxyde de graphène de la littérature obtenues par la même technique TEM, avec des grossissements similaires.
- voir photo sur site -
Ils ont ajouté que dans les deux images "une matrice ou un maillage complexe de feuilles flexibles translucides pliées peut être observé". Les chercheurs ont conclu que bien que la "microscopie ne fournisse pas de preuves concluantes", elle "fournit des preuves solides de la présence probable de dérivés de graphène".
L'oxyde de graphène, l'un des nombreux dérivés du graphène, est loué pour ses qualités qui se prêtent bien aux applications biomédicales telles que les biocapteurs, l'administration de médicaments et le transfert de matériel génétique. Par exemple, le Conseil consultatif scientifique décrit la conception par des chercheurs du Centre national des neurosciences et de la technologie en Chine d'un "hydrogel contenant un vaccin à ARN" qui utilisait de l'oxyde de graphène, favorisé au moins en partie pour sa "haute efficacité de chargement de médicament". en raison de sa "grande surface".
En fait, toute une étude a été consacrée au "potentiel des matériaux à base de graphène pour lutter contre le COVID-19", qui stipule que "le graphène et les matériaux liés au graphène (GRM) présentent d'extraordinaires propriétés physicochimiques, électriques, optiques, antivirales, antimicrobiennes, et d'autres propriétés fascinantes qui les justifient en tant que candidats potentiels pour la conception et le développement de composants et de dispositifs hautes performances nécessaires à la pandémie de COVID-19 et à d'autres calamités futuristes.
Dr Robert Young, un Ph.D. et naturopathe, a également examiné chaque jab COVID disponible avec la microscopie et la spectroscopie à rayons X, trouvant des objets dans l'échantillon Pfizer qui présentent une similitude avec les images d'oxyde de graphène. Les images au microscope et le contenu chimique / élémentaire qu'il a trouvé par spectroscopie à rayons X l'amènent à croire que le jab Pfizer contient de l'oxyde de graphène.
RépondreSupprimerLe Dr Ruby a noté que diverses études ont révélé des effets toxiques de l'oxyde de graphène, notamment sa tendance à entraîner la coagulation du sang.
Une étude de 2016 intitulée "Toxicité des nanoparticules de la famille des graphènes : un examen général des origines et des mécanismes a noté qu'"en raison de leur taille nanométrique, les GFN peuvent atteindre des organes plus profonds en traversant les barrières physiologiques normales", telles que "le système hémato-encéphalique". barrière et barrière hémato-placentaire.
L'étude a révélé que "l'oxyde de graphène (GO) peut entraîner une réponse inflammatoire aiguë et des blessures chroniques en interférant avec les fonctions physiologiques normales d'organes importants". "De nombreuses expériences ont montré que les GFN ont des effets secondaires toxiques dans de nombreuses applications biologiques", a-t-il conclu.
La publication officielle de la Food and Drug Administration de Taiwan (TFDA) a également noté les effets toxiques de l'oxyde de graphène.
Il convient de noter que le Graphene Flagship, financé par l'Union européenne, a décrit l'un des développements majeurs de l'utilisation du graphène comme sa contribution aux "émetteurs et récepteurs" 5G : "Les émetteurs et récepteurs à très haute capacité utilisant du graphène offrent une solution unique pour futures communications 5G », lit le développement de 2018 sur la chronologie du graphène.
La contribution du graphène aux "émetteurs et récepteurs de données" 5G a également été discutée par le portail d'actualités scientifiques de la radiodiffusion publique estonienne Novaator.
https://www.algora.com/Algora_blog/2021/10/25/dr-carrie-madej-took-a-look-at-the-moderna-pfizer-and-jj-shot-contents-under-a-microscope
Mettez vos ceintures de sécurité " : le PDG de BlackRock met en garde contre "l'inflation de la pénurie"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 30 MARS 2022 - 16:05
La génération Y (née entre 1981 et 1996) a passé une grande partie de sa vie dans une utopie économique où les biens sont bon marché et abondants. Contrairement aux générations précédentes, ces jeunes n'ont pas encore connu une inflation rapide et des pénuries jusqu'à présent.
Mardi, le président de BlackRock Inc., Rob Kapito, a déclaré à un public à Austin, au Texas, organisé par la Texas Independent Producers and Royalty Owners Association, que toute une jeune génération découvre rapidement ce que signifie souffrir de pénuries, selon Bloomberg.
"Pour la première fois, cette génération va entrer dans un magasin et ne pourra pas obtenir ce qu'elle veut", a déclaré Kapito. "Et nous avons une génération très autorisée qui n'a jamais eu à se sacrifier."
Il a déclaré que l'économie souffrait d'une "inflation de pénurie" en raison des retombées de la pénurie de main-d'œuvre, du manque de fournitures agricoles et de logements abordables et des prix élevés de l'énergie.
Peut-être que les dernières données de la confiance des consommateurs du Conference Board reflètent l'humeur de la génération Y, qui, soit dit en passant, n'est pas très bonne pour le moment. Leur confiance dans les attentes économiques futures s'effondre.
- voir graph sur site -
L'inflation, à son plus haut niveau depuis quatre décennies, entrave la capacité des ménages à dépenser. Leurs gains salariaux réels sont négatifs lorsqu'on tient compte de l'inflation, et leurs anticipations d'inflation en mars ont atteint un niveau record. Les craintes d'inflation ne disparaissent pas.
- voir graph sur site -
L'affaiblissement du sentiment et l'inflation inquiétante sont dus au fait que tout le monde ne peut pas facilement naviguer dans la tourmente économique actuelle. Les jeunes générations ont tendance à être locataires, à ne rien posséder et à avoir des économies limitées car elles dépensent bien au-delà de leurs limites.
Kapito a averti: "Je mettrais vos ceintures de sécurité parce que c'est quelque chose que nous n'avons pas vu."
Certaines personnes ne sont pas entièrement enthousiasmées par les commentaires de Kapito...
https://www.zerohedge.com/markets/put-your-seatbelts-blackrock-ceo-warns-over-scarcity-inflation
De tout y en a. Mais, ils veulent faire l'expérience (du haut de leur QI de trisomique) d'augmenter les prix jusqu'au non-accessible ! Mettez le pain à 1000 $ ou €, ferez vous du boulanger un millionnaire ? NON ! Non parce qu'à ce prix il n'aura pas de client !
SupprimerLe choix du jeu 'Guerre en Ukraine' est de faire croire que sans l'Ukraine le monde s'arrête de tourner, 7 milliards de morts de faim, etc, etc ! Mais les gens ne sont pas des idiots, ils savent, ils voient, ils écoutent les ministres, chefs d’États et les candidats aux prochaines élections qui leur mentent les yeux dans les yeux !
Un enregistrement d'un début de campagne de Nicolas Sarkosy: "80 % des gens sont des cons. Adressez-vous à eux comme à des classes CM1 CM2." Cette phrase dit bien ce qu'elle veut dire ! Ils sort de 'grandes écoles' où des psychopathes l'ont formé, moulé, formaté à penser que tous les gens autour de lui sont des cons. Cela suffit à se croire supérieur alors qu'il n'a même pas le niveau CM1 ! (Regardez son passage au gouvernement et présidence !! UNE MERDE !).
Humilitainment : comment contrôler les citoyens à travers les distractions de la télé-réalité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 30 MARS 2022 - 06:05
Rédigé par John W. Whitehead et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,
« Big Brother ne nous regarde pas, par son choix. Nous le surveillons, par le nôtre…. Quand une population est distraite par des anecdotes, quand la vie culturelle est redéfinie comme une ronde perpétuelle de divertissements, quand la conversation publique sérieuse devient une forme de bavardage, quand, en somme, un peuple devient un public et ses affaires publiques un acte de vaudeville , alors une nation se trouve en danger ; la mort de la culture est une possibilité évidente.
- Professeur Neil Postman
Encore une fois, la programmation a changé.
Comme sur des roulettes, la couverture médiatique de la dernière crise a changé de vitesse.
Nous sommes passés des verrouillages de COVID-19 au drame électoral Trump-Biden à la crise russo-ukrainienne aux audiences de confirmation de Ketanji Brown Jackson à l'agression devant la caméra par Will Smith du comédien Chris Rock lors de la cérémonie des Oscars.
Les distractions, les distorsions et le théâtre politique ne cessent d'arriver.
L'émission de téléréalité en cours qui est la vie dans l'État policier américain alimente l'appétit vorace des citoyens pour les feuilletons télévisés excitants.
Tout comme l'univers fabriqué dans le film The Truman Show de Peter Weir en 1998, dans lequel la vie d'un homme est à la base d'une émission télévisée minutieusement mise en scène visant à vendre des produits et à obtenir des cotes d'écoute, la scène politique aux États-Unis s'est transformée au fil des ans en une exercice soigneusement calibré sur la façon de manipuler, polariser, propager et contrôler une population.
C'est la magie de la télé-réalité qui passe pour de la politique aujourd'hui : tant que nous serons distraits, amusés, parfois indignés, toujours polarisés mais largement désintéressés et contents de rester à la place du spectateur, nous ne parviendrons jamais à présenter une vision unifiée front contre la tyrannie (ou la corruption et l'incompétence du gouvernement) sous quelque forme que ce soit.
Plus cela nous rayonne, plus nous sommes enclins à nous installer dans nos fauteuils confortables et à devenir des spectateurs passifs plutôt que des participants actifs à mesure que des événements troublants et effrayants se déroulent.
Nous n'avons même pas besoin de changer de chaîne lorsque le sujet devient trop monotone. Cela est pris en charge pour nous par les programmeurs (les médias d'entreprise).
« Vivre est facile les yeux fermés », a observé John Lennon, et c'est exactement ce que la télé-réalité qui se fait passer pour la politique américaine programme les citoyens à faire : naviguer dans le monde les yeux fermés.
Tant que nous serons des spectateurs, nous ne serons jamais des faiseurs.
Des études suggèrent que plus les gens regardent la télé-réalité – et je dirais que tout est télé-réalité, actualités de divertissement incluses – plus il devient difficile de faire la distinction entre ce qui est réel et ce qui est une farce soigneusement conçue.
RépondreSupprimer« Nous, le peuple », regardons beaucoup la télévision.
En moyenne, les Américains passent cinq heures par jour à regarder la télévision. Au moment où nous atteignons l'âge de 65 ans, nous regardons plus de 50 heures de télévision par semaine, et ce nombre augmente à mesure que nous vieillissons. Et la programmation de télé-réalité capte systématiquement le plus grand pourcentage de téléspectateurs chaque saison avec un rapport de près de 2 contre 1.
Cela n'augure rien de bon pour une population capable de passer au crible une propagande magistralement produite afin de réfléchir de manière critique aux problèmes du jour, qu'il s'agisse de fausses nouvelles colportées par des agences gouvernementales ou des entités étrangères.
Ceux qui regardent des émissions de téléréalité ont tendance à considérer ce qu'ils considèrent comme la «norme». Ainsi, ceux qui regardent des émissions caractérisées par le mensonge, l'agressivité et la méchanceté en viennent non seulement à considérer un tel comportement comme acceptable et divertissant, mais aussi à imiter le médium.
Cela est vrai, que la programmation de téléréalité porte sur les bouffonneries de célébrités à la Maison Blanche, dans la salle du conseil ou dans la chambre à coucher.
C'est un phénomène appelé "l'humilité".
Terme inventé par les spécialistes des médias Brad Waite et Sara Booker, "l'humilité" fait référence à la tendance des téléspectateurs à prendre plaisir à l'humiliation, à la souffrance et à la douleur de quelqu'un d'autre.
«L'humilité» explique en grande partie non seulement pourquoi les téléspectateurs américains sont si obsédés par la programmation de télé-réalité, mais comment les citoyens américains, largement isolés de ce qui se passe réellement dans le monde qui les entoure par des couches de technologie, de divertissement et d'autres distractions, sont programmés pour accepter la brutalité, la surveillance et le traitement déshumanisant du gouvernement comme des choses qui arrivent à d'autres personnes.
Les ramifications pour l'avenir de l'engagement civique, du discours politique et de l'autonomie gouvernementale sont incroyablement déprimantes et démoralisantes.
Cela explique comment nous continuons d'être aux prises avec des chefs de gouvernement qui n'ont aucune idée de la Constitution et sont déconnectés des besoins des personnes qu'ils ont été nommés pour représenter.
C'est aussi ce qui se passe lorsqu'une nation entière - bombardée par des émissions de télé-réalité, de la propagande gouvernementale et des nouvelles de divertissement - devient systématiquement désensibilisée et acclimatée aux pièges d'un gouvernement qui fonctionne par décret et parle dans un langage de force.
RépondreSupprimerEn fin de compte, les émissions de téléréalité, les nouvelles de divertissement, la société de surveillance, la police militarisée et les spectacles politiques ont un objectif commun : nous garder divisés, distraits, emprisonnés et incapables de jouer un rôle actif dans les affaires de l'autonomie gouvernementale. .
Regardez derrière les spectacles politiques, les théâtralités de la télé-réalité, les distractions et les détournements de passe-passe, et le drame qui vous ronge l'estomac et vous ronge les ongles, et vous découvrirez qu'il y a une méthode à la folie.
Nous sommes devenus des cobayes dans une expérience impitoyablement calculée, soigneusement orchestrée et de sang-froid sur la façon de contrôler une population et de faire avancer un programme politique sans trop d'opposition de la part des citoyens.
C'est le contrôle de l'esprit dans sa forme la plus sinistre.
Comment changez-vous la façon dont les gens pensent ? Vous commencez par changer les mots qu'ils utilisent.
Dans les régimes totalitaires où la conformité et la conformité sont imposées au bout d'une arme chargée, le gouvernement dicte quels mots peuvent et ne peuvent pas être utilisés.
Dans les pays où la tyrannie se cache derrière un masque bienveillant et se déguise en tolérance, les citoyens s'autocensurent, contrôlent leurs paroles et leurs pensées pour se conformer aux diktats de l'esprit de masse.
Même lorsque les motifs derrière cette réorientation rigidement calibrée du langage sociétal semblent bien intentionnés – décourager le racisme, condamner la violence, dénoncer la discrimination et la haine –, inévitablement, le résultat final est le même : intolérance, endoctrinement, infantilisme, refroidissement de la liberté d'expression et diabolisation des points de vue qui vont à l'encontre de l'élite culturelle.
Comme l'a reconnu George Orwell, "En période de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
Orwell ne comprenait que trop bien le pouvoir du langage pour manipuler les masses.
Dans 1984 d'Orwell, Big Brother supprime tous les mots et significations indésirables et inutiles, allant même jusqu'à réécrire systématiquement l'histoire et punir les "crimes de pensée". Dans cette vision dystopique du futur, la Police de la Pensée sert d'yeux et d'oreilles à Big Brother, tandis que le Ministère de la Paix s'occupe de la guerre et de la défense, le Ministère de l'Abondance s'occupe des affaires économiques (rationnement et famine), le Ministère de l'Amour s'occupe de la loi et de l'ordre (torture et lavage de cerveau), et le ministère de la Vérité s'occupe de l'actualité, du divertissement, de l'éducation et de l'art (propagande). Les devises de l'Océanie : LA GUERRE EST LA PAIX, LA LIBERTÉ EST L'ESCLAVAGE et L'IGNORANCE EST LA FORCE.
RépondreSupprimerLe grand frère d'Orwell s'est appuyé sur la novlangue pour éliminer les mots indésirables, dépouiller les mots qui restaient de sens peu orthodoxes et rendre totalement inutile la pensée indépendante et non approuvée par le gouvernement.
Nous nous situons maintenant à la jonction de l'ancien langage (où les mots ont un sens et où les idées peuvent être dangereuses) et du novlangue (où seul ce qui est « sûr » et « accepté » par la majorité est autorisé).
La vérité est souvent perdue lorsque nous ne parvenons pas à faire la distinction entre l'opinion et les faits, et c'est le danger auquel nous sommes maintenant confrontés en tant que société. Quiconque se fie exclusivement aux animateurs de télévision/câble et aux commentateurs politiques pour une connaissance réelle du monde commet une grave erreur.
Malheureusement, depuis que les Américains sont devenus en grande partie des non-lecteurs, la télévision est devenue leur principale source de soi-disant « nouvelles ». Cette dépendance à l'égard des informations télévisées a donné naissance à des personnalités de l'information si populaires qui attirent de vastes auditoires qui s'accrochent pratiquement à chacun de leurs mots.
À l'ère des médias, ce sont les nouveaux pouvoirs en place.
Pourtant, alors que ces personnalités dispensent souvent les nouvelles comme les prédicateurs dispensaient la religion, avec puissance et certitude, elles ne sont guère plus que des conduits de propagande et de publicités diffusées sous le couvert de divertissements et d'informations.
Compte tenu de la prépondérance des programmes d'information en tant que divertissement, il n'est pas étonnant que les téléspectateurs aient largement perdu la capacité de penser de manière critique et analytique et de faire la différence entre la vérité et la propagande, en particulier lorsqu'ils sont diffusés par de faux crieurs et politiciens.
Bien que les nouvelles télévisées ne puissent pas – et ne doivent pas – être complètement évitées, les suggestions suivantes vous aideront à mieux comprendre la nature des nouvelles télévisées.
1. Les informations télévisées ne sont pas ce qui s'est passé. C'est plutôt ce que quelqu'un pense mérite d'être signalé. Bien qu'il existe encore de bons journalistes de télévision, l'art ancien du journalisme d'investigation a été largement perdu. Alors que les téléspectateurs sont souvent enclins à prendre pour argent comptant ce qui est rapporté par les animateurs de « nouvelles » télévisées, il est de votre responsabilité de juger et d'analyser ce qui est rapporté.
2. Les informations télévisées sont un divertissement. Il y a une raison pour laquelle les programmes que vous regardez sont appelés "émissions" d'actualités. C'est un signal que les soi-disant nouvelles sont diffusées comme une forme de divertissement. "Dans le cas de la plupart des émissions d'actualités", écrivent Neil Postman et Steve Powers dans leur livre perspicace, How to Watch TV News (1992), "le package comprend des ancres attrayantes, un thème musical passionnant, un relief comique, des histoires placées pour contenir le public, la création de l'illusion d'intimité, etc.
RépondreSupprimerBien sûr, le but de tout ce faste et de ce glamour est de vous garder collé à l'ensemble afin qu'un produit puisse vous être vendu. (Même les animateurs de nouvelles télévisées se lancent dans l'action en colportant leurs propres produits, de leurs derniers livres aux tasses et peignoirs.) Bien que les nouvelles qui vous sont données à la cuillère puissent avoir une certaine valeur, elles sont avant tout une marchandise audience, qui sera à son tour vendue aux annonceurs.
3. Ne sous-estimez jamais le pouvoir des publicités, en particulier pour les téléspectateurs. Dans un ménage moyen, le téléviseur est allumé plus de sept heures par jour. La plupart des gens, s'estimant maîtres de leur consommation de médias, ne sont pas vraiment gênés par cela. Mais la télévision est une attaque à double sens : non seulement elle livre la programmation à votre domicile, mais elle vous livre également (le consommateur) à un sponsor.
Les gens qui regardent les nouvelles ont tendance à être plus attentifs, éduqués et ont plus d'argent à dépenser. Ils constituent donc un marché privilégié pour les annonceurs. Et les sponsors dépensent des millions pour des publicités bien produites. Ces publicités sont souvent plus longues que la plupart des reportages et coûtent plus cher à produire que les reportages eux-mêmes. De plus, le contenu de nombreuses publicités, qui contredit souvent les messages des reportages, ne peut être ignoré. La plupart des publicités visent des intérêts lubriques en prônant le sexe, l'abus, la drogue, etc., ce qui a un effet démoralisant sur les téléspectateurs, en particulier les enfants.
4. Il est d'une importance vitale de connaître les intérêts économiques et politiques de ceux qui possèdent les médias « d'entreprise ».
Il existe désormais peu de sources d'informations indépendantes. Les principaux organes d'information appartiennent à des empires commerciaux.
5. Portez une attention particulière à la langue des bulletins de nouvelles. Parce que les séquences de films et autres images visuelles sont si attrayantes dans les journaux télévisés, les téléspectateurs sont susceptibles de laisser le langage - ce que le journaliste dit à propos des images - ne pas être examiné. Le langage d'un animateur de nouvelles télévisées encadre les images et, par conséquent, le sens que nous tirons de l'image est souvent déterminé par le commentaire de l'animateur. La télévision, de par sa nature même, manipule les téléspectateurs. Il ne faut jamais oublier que chaque minute de télévision a été montée. Le spectateur ne voit pas l'événement réel mais la forme modifiée de l'événement. Par exemple, présenter un segment d'une à deux minutes d'un discours politique de deux heures et faire critiquer un animateur de talk-show télévisé peut être malhonnête, mais de telles séquences montées sont un incontournable des émissions d'information. Ajoutez à cela le fait que les journalistes qui montent le film ont un point de vue subjectif - parfois déterminé par leurs patrons d'entreprise - qui entre en jeu.
RépondreSupprimer6. Réduisez au moins de moitié la quantité de nouvelles télévisées que vous regardez. Les journaux télévisés sont généralement constitués de « mauvaises » nouvelles : guerres, tortures, meurtres, scandales, etc. Cela ne peut pas vous faire de mal de vous excuser chaque semaine d'une grande partie du chaos qui vous est projeté aux informations. Ne formez pas votre concept de réalité basé sur la télévision. Le journal télévisé, il faut le rappeler, ne reflète pas la vie quotidienne normale. Des études indiquent qu'une écoute intensive des informations télévisées fait penser aux gens que le monde est beaucoup plus dangereux qu'il ne l'est en réalité.
7. L'une des raisons pour lesquelles beaucoup de gens sont accros aux informations télévisées est qu'ils sentent qu'ils doivent avoir une opinion sur presque tout, ce qui donne l'illusion de participer à la vie américaine. Mais une « opinion » est tout ce que nous pouvons gagner du journal télévisé car il ne présente que les informations les plus rudimentaires et fragmentées sur quoi que ce soit. Ainsi, sur la plupart des questions, nous ne savons pas vraiment grand-chose de ce qui se passe réellement. Et, bien sûr, on s'attend à ce que nous considérions ce que dit l'animateur du journal télévisé sur une question comme une vérité d'évangile. Mais ne vaut-il pas mieux penser par soi-même ? Ajoutez à cela que nous devons réaliser que nous n'avons souvent pas assez d'informations provenant de la source "d'actualités" pour nous forger une véritable opinion. Comment cela peut-il être fait ? Étudiez une grande variété de sources, analysez attentivement les problèmes afin d'être mieux informé et remettez tout en question.
L'essentiel est simplement ceci : les Américains doivent se méfier de laisser les autres – qu'ils soient animateurs de journaux télévisés, commentateurs politiques ou sociétés de médias – penser à leur place.
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, une population qui ne peut pas penser par elle-même est une population dos aux murs : muette face aux élus qui refusent de nous représenter, impuissants face à la brutalité policière, impuissants face aux tactiques et technologies militarisées qui nous traitent comme des combattants ennemis sur un champ de bataille, et nus face à la surveillance gouvernementale qui voit et entend tout.
RépondreSupprimerIl est temps de changer de chaîne, de couper l'émission de télé-réalité et de repousser la véritable menace de l'État policier.
Sinon, si nous continuons à nous asseoir et à nous perdre dans la programmation politique, nous resterons un public captif d'une farce qui devient de plus en plus absurde de minute en minute.
https://www.zerohedge.com/political/humilitainment-how-control-citizenry-through-reality-tv-distractions
Peter Schiff: Les solutions gouvernementales pour les prix élevés du gaz ne feront qu'empirer les choses
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 29 MARS 2022 - 15:20
Via SchiffGold.com,
Comme Peter Schiff l'a dit dans un podcast récent, les solutions gouvernementales aggravent tous les problèmes.
Les solutions proposées pour aider les Américains à faire face aux prix élevés de l'essence ne font pas exception.
Une proposition est de donner aux Américains 100 $ par mois pour aider à soulager la douleur à la pompe. Peter a appelé cela "un schéma insensé".
Où le gouvernement va-t-il trouver ces 100 $ par mois d'argent supplémentaire à envoyer à chaque Américain ? Eh bien, ils vont juste l'imprimer. Ils vont l'obtenir de la Réserve fédérale. Ils vont avoir des déficits plus importants, ce qui signifie qu'ils vont devoir créer plus d'inflation pour résoudre le problème d'une trop grande inflation.
L'inflation est la cause sous-jacente de la hausse des prix du pétrole. Nous avons vu le prix du pétrole augmenter pendant un an, ainsi que le coût de tout le reste. Cela a été causé par le gouvernement et la vague d'impressions monétaires pendant la pandémie.
La flambée la plus récente des prix du gaz est due à la restriction de l'approvisionnement provoquée par les sanctions économiques imposées à la Russie.
Avec une offre insuffisante, vous ne voulez pas simplement distribuer de l'argent pour que les gens puissent "se permettre" des prix de l'essence plus élevés. Il faut que les gens réduisent leur consommation. Vous avez besoin de gens pour économiser. Le marché doit protéger l'offre limitée.
C'est ce que la solution du marché libre est aux prix élevés. C’est trouver un moyen de réduire la consommation. Mais non. Le gouvernement veut donner de l'argent aux gens pour qu'ils puissent continuer à consommer ce qui est rare, ce qui fait grimper encore plus le prix.
Une autre proposition est une taxe sur les «bénéfices exceptionnels» pour les compagnies pétrolières. Peter a appelé cette idée encore plus stupide.
Un démocrate au Congrès veut prélever une taxe de 50 % sur les bénéfices « excédentaires » que les compagnies pétrolières gagnent alors que le prix est élevé. Ensuite, le gouvernement peut distribuer cet argent aux Américains pour les aider à payer les prix plus élevés de l'essence. Certes, cela ne serait pas inflationniste car l'argent proviendrait des compagnies pétrolières.
Mais si vous voulez plus de pétrole, si les prix du pétrole sont élevés parce que nous n'avons pas assez de pétrole, les dernières entreprises que vous voulez taxer sont les compagnies pétrolières. Parce que, si nous devons obtenir plus de pétrole, d'où viendra-t-il ? Cela viendra des compagnies pétrolières. Eh bien, où les compagnies pétrolières vont-elles trouver l'argent pour développer des sources alternatives de pétrole ? De leurs bénéfices. Si nous imposons leurs profits, si nous diminuons leurs profits, alors nous diminuons la capacité des compagnies pétrolières à faire des investissements dans l'exploration et le développement qui augmenteraient l'approvisionnement en pétrole. Donc, nous ajoutons en fait au problème en le rendant plus difficile pour les seules personnes du pays qui sont capables de produire plus de pétrole, en rendant moins probable qu'elles le fassent en le rendant plus difficile en les privant de leurs ressources.
Non seulement cela, vous découragez l'ensemble de l'industrie en envoyant un message. Le message est que si vous investissez là-dedans et que vous gagnez de l'argent, nous allons simplement vous le retirer. Alors, pourquoi s'embêter à produire du pétrole ?
RépondreSupprimerPourquoi prendre le risque si le gouvernement va confisquer la récompense ?
En même temps, le gouvernement donnerait de l'argent aux consommateurs pour continuer à payer l'essence afin qu'ils n'aient pas à réduire leur consommation.
Ainsi, le gouvernement stimule la demande de pétrole tout en décourageant une augmentation de l'offre de pétrole – faisant le contraire de ce que ferait le marché libre.
Ces idées "tête d'os" ne se limitent pas à Capitol Hill. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsome, veut distribuer des cartes de débit de 400 $ que les Californiens peuvent utiliser pour payer l'essence. Cela créerait les mêmes incitations perverses, encourageant la consommation de quelque chose qui manque.
Et où la Californie va-t-elle trouver tout cet argent ? Il empruntera probablement l'argent, ce qui signifie qu'encore plus de dettes pèsent sur les épaules des Californiens.
Ce sont des solutions qui ne fonctionneront pas. … La solution au problème n'est pas plus de gouvernement. La solution au problème est moins de gouvernement.
Dans ce podcast, Peter parle également du yo-yoing sur le marché boursier, de l'intervention du gouvernement sur le marché obligataire et du bitcoin, des actions technologiques et des actions memes prises dans un rallye baissier.
https://www.zerohedge.com/political/peter-schiff-government-solutions-high-gas-prices-will-just-make-things-worse
Guerre hybride et absurdité gazeuse
RépondreSupprimer29 MARS 2022
BLOG ALGORA
La RF a exigé le paiement en roubles. La réponse des États de l'UE est de refuser cette demande. Le FR a indiqué qu'il mettra fin à l'approvisionnement en GNL pour non-paiement. L'UE suggère qu'elle cherchera un approvisionnement en GNL de substitution. La position de l'UE représente un élément absurde de la guerre hybride. Ce billet expose quelques-uns des problèmes.
Selon l'AIE, l'UE a consommé 155 milliards de mètres cubes de GNL en 2021. De cet approvisionnement, 45 % provenaient de la Russie ( https://www.iea.org/news/how-europe-can-cut-natural-gas- importations-de-russie-significativement-en-un-an ).
La part des importations RF 2021 de l'UE était de 69,75 milliards de mètres cubes par an ou 5,8 milliards de mètres cubes de GNL par mois. Si l'UE cherche à se substituer au GNL RF, il s'agit de la quantité mensuelle approximative requise.
Les plus grands méthaniers sont de la classe QMAX. Ceux-ci peuvent transporter 266 000 mètres cubes de GNL ( https://en.wikipedia.org/wiki/Q-Max ).
Un simple calcul montre que le transport mensuel de 5,8 milliards de mètres cubes de GNL par des navires d'une capacité de 266 000 mètres cubes de GNL nécessite un total de 21 852 expéditions par mois, soit environ 705 expéditions par jour.
Ce volume de transport saturera les ports de déchargement de GNL de l'UE existants. Ces ports sont déjà dédiés au traitement d'autres importations de GNL. Le temps de déchargement d'une cargaison de GNL est d'environ une journée. Cela implique la nécessité de construire 705 nouveaux ports de déchargement de GNL, car immédiatement après l'arrivée le jour 1 de 705 navires, il y aura l'arrivée le jour 2 de 705 autres navires avec le même trafic de navires pour le jour 3 et tous les jours suivants. Le transit de Houston à Rotterdam prend 18 jours à l'aller et 18 jours à vide au retour. Avec une journée consacrée au chargement et une journée supplémentaire au déchargement, chaque navire passera 28 jours en voyage. Ces chiffres ne tiennent pas compte des temps d'arrêt des navires pour les intervalles de maintenance requis.
Le transport du volume mensuel requis de GNL nécessitera donc 705 QMAX x 31 jours ou une flotte QMAX totale de 21 855 navires. Étant donné que les chantiers disponibles sont entièrement réservés, il n'est pas clair quand la construction complète de la flotte requise aura lieu. Mon expérience dans l'industrie offshore est qu'il faut environ deux ans pour construire une plate-forme de forage offshore (MODU). La complexité d'un QMAX peut être légèrement inférieure à celle d'un MODU, mais même si la construction ne devait pas nécessiter plus d'un an, le temps requis pour l'achèvement de la flotte serait de 5 463 ans si 4 chantiers étaient impliqués dans la construction. A l'heure actuelle, le seul chantier compétent dans la construction de ces navires se trouve en Corée du Sud ; les trois autres chantiers requis devraient être modernisés ou construits. Les méthaniers ont besoin d'un acier spécial pour résoudre les problèmes de contraintes thermiques. Cet acier a une forte teneur en nickel ; La Russie est un important fournisseur mondial de nickel.
RépondreSupprimerÉtant donné que l'UE a exprimé son intention d'éliminer complètement le besoin de GNL russe d'ici 2030, le temps nécessaire pour récupérer l'investissement dans les navires et les infrastructures de GNL connexes est extrêmement limité. D'ici 8 ans, l'UE cherche à remplacer entièrement le volume total de GNL représenté par les importations russes. La feuille de route AIE Net Zero Emissions by 2050 contribue à la réalisation du Green Deal européen, un plan ambitieux visant à éliminer toutes les émissions de FF en 28 ans.
En 2020, la production de gaz naturel aux États-Unis était d'environ 10 % supérieure à la consommation totale de gaz naturel aux États-Unis. Le volume de gaz produit excédentaire par rapport à la demande américaine s'élève à 91,5 milliards de pieds cubes par jour ou 2,5 milliards de mètres cubes de gaz naturel par jour. Cet excédent est déjà contracté dans les pays suivants :
LES 10 PRINCIPALES DESTINATIONS D'EXPORTATION AUX ÉTATS-UNIS
CORÉE DU SUD………………453 483
CHINE………………………449 667
JAPON……………………354 948
BRÉSIL…………………..307 714
ESPAGNE……………………215 062
INDE………………………196 218
Royaume-Uni………………………195 046
TURQUIE…………………..188 849
TNL………………………174 339
FRANCE…………………..170 780
Les États-Unis sont donc dans la position de retirer l'approvisionnement de certains des pays susmentionnés pour les punir de ne pas se conformer aux exigences américaines et pour récompenser les États vassaux. En regardant la liste, quels pays pensez-vous seront défavorisés ?
La liste complète des exportations américaines de GNL étranger par pays se trouve ici :
https://www.eia.gov/dnav/ng/NG_MOVE_EXPC_S1_A.htm
Toute marchandise gravite vers le prix le plus élevé. Le prix de pointe est fixé par l'acheteur marginal. On s'attend à ce que la tentative de l'UE de déplacer l'approvisionnement russe en GNL soit impossible à réaliser à court terme sans un impact extrême sur les prix. Ces impacts sur les prix n'affecteront pas seulement les consommateurs de l'UE, ils auront un impact sur tous les consommateurs, y compris ceux des États-Unis.
RépondreSupprimerL'UE remplacera la dépendance vis-à-vis de la Russie par une dépendance vis-à-vis de "l'ordre international fondé sur des règles" tel qu'interprété par l'hégémonie mondiale.
https://www.algora.com/Algora_blog/2022/03/29/hybrid-warfare-and-gaseous-absurdity
« Je ne veux pas devenir idiot, donc je suis complotiste »
RépondreSupprimerle 30 mars 2022
Le Professeur Didier Raoult organise ce jour et demain jeudi un colloque au sein de l’IHU de Marseille intitulé « Covid-19 : Premier bilan des connaissances et des controverses scientifiques ». De grosses pointures de la biologie interviendront telles que Robert Malone, Harvey Risch, Laurent Toubiana, Pierre Kory, Peter Mc Cullough … Ce colloque est donc une sorte de testament du Professeur Raoult. Prenez le temps de regarder ou de regarder à nouveau son exposé hebdomadaire au cours duquel il prononce cette phrase mise en titre de ce billet et qui me convient parfaitement.
- voir clip sur site :
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/30/je-ne-veux-pas-devenir-idiot-donc-je-suis-complotiste/
Notez bien que depuis deux ans (2 !) le Pr Raoult n'a JAMAIS dit qu'il était interdit de piquer durant une épidémie !!
SupprimerINCRIMINANT: Moderna, NIAID, la Fondation Bill & Melinda Gates ont aidé à développer le SRAS-CoV-2 et lancé des expériences de vaccins prédateurs bien avant COVID-19
RépondreSupprimerWednesday, March 30, 2022
by: Lance D Johnson
(Natural News) Le complot psychopathique derrière la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) continue de se défaire, avec de nouvelles preuves incriminantes liant Moderna, les Instituts nationaux des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill (UNC ), et la Fondation Bill & Melinda Gates au développement d'armes biologiques prédatrices et de vaccins.
Six ans avant le COVID-19, ces entités ont conspiré pour développer une séquence génétique qui pourrait être insérée dans un virus pour provoquer une nouvelle maladie à coronavirus. Ces entités ont également préparé un consortium d'injections expérimentales d'ARNm (modélisées d'après l'arme biologique) qui pourraient être utilisées pour exploiter et tirer profit des populations humaines. Ces «vaccins COVID-19» ont été développés et transférés avant que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'annonce l'agent causal du COVID-19. Ces «vaccins COVID-19» ont été préparés bien avant que les autorités sanitaires mondiales ne déclarent même une «pandémie mondiale».
La Fondation Gates a créé Moderna pour expérimenter la génétique humaine pour les années à venir
Comment Bill Gates a-t-il prédit une future pandémie des années avant le scandale du COVID-19 ? Comment Bill Gates a-t-il su que 2020 serait une excellente année pour investir dans de nouveaux vaccins ? Pourquoi Bill Gates était-il si catégorique sur le verrouillage de l'économie et la prise en otage des gens chez eux ?
En 2016, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé 20 millions de dollars à une société de biotechnologie peu connue nommée Moderna. Les fonds ont été utilisés pour soutenir leur "projet initial lié à l'évaluation de la combinaison d'anticorps dans un cadre préclinique ainsi que la conduite d'un premier essai clinique de phase 1 sur l'homme d'un médicament potentiel à base d'ARNm".
En vertu de l'accord-cadre, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé à Moderna jusqu'à 100 millions de dollars de financement pour des «projets de suivi» qui ne peuvent être approuvés que par la Fondation Gates. Dans le cadre de l'accord, Moderna est obligé d'accorder à la Fondation Gates certaines licences non exclusives. Ces licences non exclusives permettent à la Fondation Gates d'exploiter les technologies d'ARNm créées par Moderna pour permettre à d'autres licenciés de bénéficier de cette même propriété intellectuelle. Bill et Melinda Gates profitent donc des injections d'ARNm Moderna qu'ils ont financées. Ces inventions ont été développées bien avant le COVID-19 et ont même été lancées avant qu'une pandémie mondiale ne soit déclarée.
En fait, Moderna a été utilisé comme vaisseau pour breveter des séquences génétiques précises de l'arme biologique SARS-CoV-2. Des scientifiques de Suisse, d'Inde, d'Italie et des États-Unis ont publié un article montrant que Moderna a breveté une séquence spécifique de nucléotides à 19 codes qui a donné au SRAS-CoV-2 ses propriétés améliorées d'infectivité. Les auteurs ont écrit qu'il n'y a qu'une chance sur trois billions que cette séquence de nucléotides à 19 codes apparaisse naturellement et contienne le site unique de clivage de la furine.
RépondreSupprimerModerna a breveté cette séquence génétique (US9587003B2) le 4 février 2016. Ces brevets Moderna incluent également les brevets US9149506B2, US9216205B2, US9255129B2 et US9301993B2 du 16 décembre 2013. Le coronavirus amélioré a été développé six ans avant le COVID-19 et a été rapidement généré. avec des fonds de la Fondation Bill et Melinda Gates.
Le dernier codon breveté par Moderna est le suivant : "CTCCTCGGCGGGCA". Le site de clivage de la furine codé CGG est le suivant : "CCTCGGCGGGCACGT". Ces séquences ne se produisent pas naturellement dans les virus, mais elles se produisent naturellement chez les vaches, les plantes, les bactéries et les humains. Étant donné que les bactéries ne peuvent pas insérer naturellement leurs gènes dans les virus, il n'y a qu'une seule façon dont cet ADN bactérien précis pourrait se retrouver à l'intérieur du virus SARS-CoV-2. Il ne pouvait être inséré que par interférence de laboratoire en utilisant des techniques de gain de fonction de précision telles que des passages en série ou des manipulations sans voir.
Moderna et NIAID ont transféré des candidats vaccins ARNm à l'UNC avant que l'agent causal ne soit officiellement identifié pour les épidémies de Wuhan
Au début du scandale COVID-19, une pneumonie de "cause inconnue" a été découverte le 31 décembre 2019. Le 9 janvier 2020, l'OMS a déterminé que l'épidémie de pneumonie à Wuhan en Chine était le résultat d'un nouvel agent causal, SRAS-CoV-2. Étonnamment, les candidats vaccins contre le coronavirus à ARNm développés par Moderna ont été transférés à l'Université de Caroline du Nord trois semaines auparavant (le 12 décembre 2019). Cela faisait plusieurs années qu'un coronavirus ne constituait pas une menace pour l'homme, mais Moderna était prête avec un "vaccin" pour répondre aux épidémies à Wuhan, en Chine, avant qu'un agent causal ne puisse être identifié, avant qu'une pandémie ne puisse être quantifiée.
Un accord confidentiel entre Moderna et le NIAID de Fauci (daté du 12 décembre 2019) a convenu de transférer des «candidats vaccins contre le coronavirus à ARNm» aux destinataires de l'UNC. Le NIH, la FDA et le CDC étaient également de la partie. Ralph Baric et Jacqueline Quay ont signé l'accord les 12 et 16 décembre, respectivement. Il a également été signé le 12 décembre 2019 par les représentants du NIAID, Amy F. Petrik et Barney Graham. L'enquêteur de Moderna, Sunny Himansu, et l'avocat général adjoint de Moderna, Shaun Ryan, ont également signé l'accord de transfert de vaccin à ARNm le 17 décembre 2019.
Les séquences génétiques, les preuves brevetées et les horodatages des transferts de vaccins indiquent la réalité qu'il y avait une conspiration bien financée derrière COVID-19. Il y avait un programme de développement de vaccins prédateurs qui reposait sur la libération intentionnelle d'une arme biologique et les verrouillages et la tyrannie médicale qui ont suivi. Depuis le début de cette collusion, Moderna a profité de milliards de dollars de ce développement de vaccins prédateurs et de ce racket pharmaceutique. Plusieurs titulaires de licence ont également profité de cette technologie d'ARNm, initialement financée et approuvée par la Fondation Bill & Melinda Gates, et imposée aux populations utilisant le NIAID et les violations des droits de l'homme de Fauci.
RépondreSupprimerSources include:
DailyExpose.uk
ModernaTX.com
Frontierin.org
NaturalNews.com
WHO.int
https://www.naturalnews.com/2022-03-30-moderna-niaid-gates-foundation-developed-covid-virus.html
La FDA corrompue tente d'interdire le NAC, qui détoxifie le corps et éloigne le COVID
RépondreSupprimerMercredi 30 mars 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) En raison de son efficacité contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et vraisemblablement d'autres armes biologiques, la n-acétyl-cystéine (NAC) est dans le collimateur de la Food and Drug Administration (FDA) américaine, qui essaie pour l'interdire.
Puissant antioxydant (vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans l'un de nos articles précédents), le NAC aide à détoxifier le corps des composés nocifs, y compris potentiellement les protéines de pointe associées à la grippe Fauci.
La première phase de la détoxification consiste à oxyder les toxines nocives afin de les décomposer et de les déplacer à travers les voies de détoxification du corps. Consommer des aliments riches en antioxydants, tels que les vitamines B, la vitamine C et le magnésium, aide à activer ces voies.
La deuxième phase de la désintoxication consiste à déplacer les toxines décomposées hors du corps. C'est là que le NAC (et le glutathion, qui est fabriqué par le NAC) entrent en jeu.
"La NAC est un activateur sélectif du système immunitaire et, comme mentionné ci-dessus, aide à éliminer les radicaux libres, qui contribuent aux maladies neurogénératives et au vieillissement", explique l'Alliance for Natural Health USA (ANH-USA).
« La NAC est également un précurseur du glutathion, l'un des antioxydants les plus importants de l'organisme. Le glutathion joue un rôle crucial dans la santé humaine, en particulier dans la désintoxication.
Appelez ou écrivez à vos représentants et dites-leur d'empêcher la FDA d'interdire le NAC
L'argument de la FDA contre le NAC est qu'il était censé être un "médicament" avant d'être un supplément. À vrai dire, la NAC est un nutriment naturel, malgré ce que prétend la FDA.
Malgré tout, Big Pharma veut transformer la NAC en un médicament coûteux en utilisant une nouvelle indication. Et comme l'industrie pharmaceutique a les poches pleines, la FDA tente de retirer la NAC du marché des suppléments.
"C'est scandaleux sur plusieurs fronts", soutient ANH-USA. "Considérez que la NAC est utilisée dans les hôpitaux pour traiter l'empoisonnement à l'acétaminophène précisément parce qu'elle aide à détoxifier - pourtant la FDA menace de supprimer la NAC en tant que supplément et de la rendre plus difficile à obtenir pour les consommateurs ?"
Afin d'interdire réellement la NAC, la FDA devrait délibérément mal interpréter la loi conformément aux directives de la Dietary Supplement Health and Education Act de 1994, également connue sous le nom de DSHEA.
Cette loi stipule que si un ingrédient fait l'objet d'une enquête en tant que médicament avant d'être vendu en tant que supplément ou qu'une notification de «nouveau supplément» a été déposée, cette substance ne peut pas être désignée comme un supplément.
RépondreSupprimer« Mais la DSHEA n'est pas censée avoir d'effet rétroactif ; c'est-à-dire que la loi à partir de la promulgation de la DSHEA est que si un ingrédient est étudié en tant que médicament après 1994, et que cet ingrédient n'a pas été vendu en tant que supplément avant d'être étudié, il ne peut pas être un supplément », révèle en outre l'ANH-USA.
« Il serait injuste et incompatible avec l'intention du Congrès d'appliquer rétroactivement cette disposition à toutes les substances étudiées en tant que médicaments depuis le début de l'approbation des médicaments. Sinon, les suppléments qui étaient légaux avant 1994 (comme le NAC) et vendus pendant des décennies peuvent soudainement et absurdement devenir illégaux.
Parce que la NAC est un nutriment essentiel pour de nombreuses choses au-delà du covid, aidant à protéger notre corps contre une attaque constante de toxines et de polluants provenant de diverses sources, il est impératif que la FDA cesse de l'interdire.
ANH-USA a créé une page d'alerte d'action à travers laquelle vous pouvez écrire au Congrès et exhorter ses membres à empêcher la FDA de mettre en œuvre une interdiction.
"Il s'agit d'une menace directe pour un supplément sur lequel de nombreux médecins et patients intégratifs comptent pour traiter divers problèmes de santé", prévient l'ANH-USA. "Nous ne pouvons pas laisser la FDA s'en tirer en retirant ces suppléments du marché."
Plus d'informations sur la FDA corrompue peuvent être trouvées sur FDA.news.
Les sources comprennent :
ANH-USA.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-30-fda-trying-ban-nac-detoxification-prevent-covid.html
Dr David Martin : Les vaccins COVID sont des armes biologiques conçues pour le génocide
RépondreSupprimermercredi 30 mars 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Le Dr David Martin a averti le public qu'un génocide se déroule actuellement sous le couvert d'une vaccination de masse.
« Il s'agit d'une pandémie de biomilitarisation de l'organisme humain. Ce n'est pas la santé publique. Et Anthony Fauci est l'architecte de ce génocide », a déclaré Martin lors de son apparition dans l'épisode du 24 mars de « The Stew Peters Show ». Au cours du programme, Martin a parlé du modèle chimérique des protéines de pointe et de la façon dont cela affecte le corps.
La science traditionnelle a annoncé que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) persistent dans le corps humain pendant une période indéterminée et survivront jusqu'à huit semaines dans le système lymphatique, où ils produiront continuellement la protéine de pointe. Les scientifiques voient des preuves que les protéines de pointe apparaissent dans les flux de déchets à des taux alarmants.
C'est ce qui se passe lorsque vous injectez dans le corps un modèle chimérique d'une protéine de pointe synthétique, et lorsque ce type de thérapie génique n'a pas été correctement testé. Il s'avère que personne ne sait combien de temps chaque individu vacciné injecté fabriquerait les agents pathogènes dans son corps.
Pourquoi y a-t-il des concentrations aussi élevées de protéines de pointe dans les flux de déchets ?
"La raison est très simple", a déclaré Martin. "L'organisme humain est maintenant modifié et il est modifié pour produire perpétuellement une protéine toxique connue et programmée pour nuire à l'humanité." (En relation: Karen Kingston dit à Michele Swinick: Le but du vaccin COVID-19 est d'être un outil d'édition génétique - Brighteon.TV.)
Martin a ajouté que ces protéines sont connues pour être nocives et sont soumises aux armes biologiques et chimiques, aux traités et aux lois qui ont été appliquées aux États-Unis. Ces virus chimériques résultaient de la manipulation délibérée du SRAS-CoV-2, pour incorporer des acides nucléiques dans le virus, ce qui est illégal.
Avec le quatrième tir de COVID-19 actuellement en cours aux États-Unis, Fauci parle de faire éventuellement une autre série de verrouillages, et il semble que de nombreux Américains participeront car beaucoup ont subi un lavage de cerveau par les soi-disant experts.
Virus chimériques SARS-CoV-2 résultant d'une manipulation délibérée
RépondreSupprimerLes virus chimériques SARS-CoV-2 sont le résultat de toute manipulation délibérée du virus pour incorporer des acides nucléiques pour les facteurs de virulence SARS-CoV-2. Cela apparaît en fait dans trois sections du Code des réglementations fédérales soumises au programme des agents biologiques et toxiques défini dans le chapitre 18 de la section 178 du Code américain.
En tant qu'agent biologique, il est également soumis à 18 U.S. Code Section 175, ou l'interdiction des armes biologiques. La loi stipule que ce que fait Big Pharma sous la direction de Fauci est un crime passible de 99 ans de prison et jusqu'à 100 millions de dollars par chef d'accusation.
Les déclarations des "autorités" sont si flagrantes en la matière qu'il n'est pas nécessaire d'inventer un complot car tout ce qu'elles ont fait a été enregistré et publié. Selon Martin, ils enfreignent également les lois sur le complot criminel et le racket et l'ont admis.
Selon les documents déposés par le fabricant de vaccins Pfizer, "il n'y a aucun précédent actuel pour qu'une immunothérapie à base d'ARNm, telle que le type que nous développons, soit approuvée pour la vente par la FDA [Food and Drug Administration], la Commission européenne ou toute autre agence de réglementation. ailleurs dans le monde. »
"Ce n'est pas un vaccin de santé publique. Il s'agit d'une alternative chimérique synthétique générée par ordinateur au facteur de virulence du SRAS-CoV-2 », a insisté Martin.
"C'est la réalité qui dit que nous sommes soumis à une dépendance perpétuelle à un agent pathogène et toxique connu. Et la raison pour laquelle Anthony Fauci plaide maintenant pour la prochaine série de boosters. » (En relation: les Drs Peter Daszak et Anthony Fauci doivent être ARRÊTÉS, alors que de nouvelles informations émergent documentant l'amélioration et le déploiement prévus du coronavirus.)
Entre-temps, des documents ont révélé que le zoologiste Peter Daszak et ses collaborateurs avaient prévu de libérer des nanoparticules susceptibles de pénétrer dans la peau. Ces particules contiennent de «nouvelles protéines de pointe chimériques» de coronavirus de chauve-souris, qui peuvent pénétrer dans la peau lorsqu'elles sont améliorées. Les documents ont en outre révélé que COVID-19 est plus qu'un virus. C'est une arme biologique qui a été stratégiquement développée et dont le déploiement est prévu.
Ils prévoyaient également de créer des virus chimériques, génétiquement améliorés pour infecter plus facilement les humains, et ont demandé 14 millions de dollars à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) pour financer les travaux. La DARPA a refusé la demande.
Daszak est le président d'EcoHealth Alliance, une organisation à but non lucratif qui a reçu un financement de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci pour étudier les coronavirus de chauve-souris avec des scientifiques de l'Institut de virologie de Wuhan.
Suivez Vaccines.news pour plus d'informations sur les vaccins contre le coronavirus.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo ci-dessous pour savoir comment un corps humain est devenu lui-même une usine d'armes biologiques.
This video is from the FalconsCAFE Sharing is caring channel on Brighteon.com.
More related stories:
Dr. David Martin exposes the ‘the great reset and COVID-19 vaccines’ agenda.
Karen Kingston and Dr. Eric Nepute denounce COVID vaccinations for kids – Brighteon.TV.
Pfizer CEO pushes for more boosters just as studies show vaccines actually make people MORE likely to catch Omicron after 90 days.
Former Pfizer VP Mike Yeadon declares covid vaccines are “toxic by design” – they’re weapons to reduce global population.
Pfizer admits in confidential document that COVID-19 vaccine causes Vaccine-Associated Enhanced Disease (same thing as Antibody Dependent Enhancement).
Sources include:
Brighteon.com
Telegraph.co.uk
https://www.naturalnews.com/2022-03-30-covid-vaccines-are-bioweapons-designed-for-genocide.html
VRAI objectif du programme de vaccination : affaiblir la population
RépondreSupprimerMercredi 30 mars 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) Il y a un mème qui se répand sur Internet de personnes montrant le nombre de vaccins qu'elles ont reçus tout au long de leur vie. La plus âgée était une femme de 70 ans qui a déclaré avoir reçu deux vaccins. Le plus jeune est encore un enfant, qui a eu jusqu'à 98 ans.
Kate Dalley, invitée à animer le « Alex Jones Show » le 24 mars, a posé une question douloureusement évidente : comment se fait-il qu'une femme de 70 ans soit encore en vie et debout alors qu'elle n'a reçu que deux injections ?
À une époque où l'assainissement est le meilleur aux États-Unis, le gouvernement et Big Pharma ont lancé un programme de vaccination massif. Pourquoi?
"Parce que nous y avons cru", a déclaré Dalley. «Nous avons toujours eu l'impression que tout le monde attrapait la polio, nous devions donc en faire partie et le faire. Les gens affluaient pour aller chercher ces clichés, sans vraiment se rendre compte que ce n'était qu'un pour cent que cela affectait vraiment.
Elle a poursuivi : « Nous avons fait venir des sociétés pharmaceutiques et nous avons lancé un programme de vaccination qui nous a affaiblis. Et c'était vraiment l'objectif du programme de vaccination. (Connexe: FAKE SCIENCE: Les revues médicales sont payées pour répandre des mensonges sur les «avantages» des vaccins.)
Trois préoccupations courantes lors de la vaccination des enfants
Les parents craignent que les calendriers de vaccination des enfants soient si complexes et contraignants qu'ils se lisent comme un code fiscal. Il y avait trois préoccupations communes concernant la vaccination des enfants :
Les enfants reçoivent trop de vaccins. Il y a cent ans, les enfants n'étaient vaccinés que pour prévenir une seule maladie : la variole. Cela signifie qu'ils n'ont reçu qu'une seule dose au cours de leurs premières années de vie. Aujourd'hui, cependant, les enfants reçoivent des vaccins pour prévenir 14 types de maladies, et ils peuvent recevoir jusqu'à 26 vaccins au début de leur vie, parfois environ cinq à la fois. (Connexe: Infographie: Les mensonges scientifiques de l'industrie des vaccins ne sont rien de plus que des mensonges scientifiques recyclés de Big Tobacco.)
Les enfants sont trop jeunes. Dès leur naissance, les bébés sont bombardés d'environ 100 billions de bactéries vivant sur la peau des gens ainsi que sur les muqueuses de leur nez, de leur gorge et de leurs intestins. Chacune de ces bactéries contient environ 2 000 et 6 000 composants immunologiques, pour lesquels les enfants doivent produire une réponse immunitaire. Big Pharma a appris aux gens que s'ils ne parvenaient pas à immuniser les enfants, ces bactéries pourraient pénétrer dans leur circulation sanguine et causer des dommages. Selon Big Pharma, les enfants sont vaccinés pour se « protéger » des maladies qui surviennent tôt dans la vie malgré le fait qu'ils ont une réponse immunitaire dès leur naissance.
RépondreSupprimerLes vaccins ne sont pas toujours nécessaires. Beaucoup oublient aussi que les vaccins ne sont pas toujours nécessaires. Les virus et les bactéries tels que la rougeole, les oreillons, la varicelle, la grippe, le rotavirus, le tétanos et la coqueluche sont encore suffisamment courants pour qu'il soit risqué de ne pas se faire vacciner contre eux. Mais il existe également des maladies évitables par la vaccination qui sont extrêmement rares, comme la rubéole, la diphtérie et, comme l'a souligné Dalley, la poliomyélite – qui a été presque complètement éliminée aux États-Unis.
Suivez Vaccines.news pour plus d'informations sur les vaccins que le gouvernement et Big Pharma ne veulent pas que vous sachiez.
Regardez cette vidéo pour plus de commentaires de Kate Dalley sur les vaccins.
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Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Les sources comprennent :
Brighteon.com
TheDailyBeast.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-30-vaccine-program-true-goal-weaken-the-population.html
Préface d'un livre sur "la théorie du complot" avec J. D. Michel
RépondreSupprimerAriane Bilheran
15 mars
Aux racines de la « théorie du complot », un outil de contrôle de la pensée
La publication en français du présent ouvrage revêt littéralement un caractère de salut public. Tous les professeurs le savent : entreprendre de transmettre des savoirs portant sur des phénomènes que les étudiants n’ont jamais rencontrés rend, par l’abstraction que cela suppose, l’opération incertaine.
En revanche, si vous présentez des clés de lecture, peu après qu’ils en ont fait l’expérience (et possiblement souffert dans leur psychisme et leur chair), l’intégration des connaissances se fera comme celle d’un verre d’eau absorbé au sortir du désert.
Dans son ouvrage, Lance de Haven-Smith décrit et décode les tours et les manipulations qui ont mis nos sociétés sens dessus dessous depuis un funeste mois de janvier 2020.
Malgré l’envergure et la complexité de l’analyse, le propos est pourtant fort simple. Dans son acharnement à effacer des pans entiers de la réalité, notre civilisation en vient (entre autres) à nier l’un des principes les plus fondamentaux des systèmes de gouvernance : ainsi que notre espèce en a acquis la nécessaire conscience au cours des âges, ceux qui détiennent le pouvoir tendent naturellement à en abuser, et à ourdir toutes sortes de conspirations pour camoufler leurs agissements derrière de vertueuses professions de foi et des discours qui, comme on le dit, « ne mangent pas de pain ».
Ce repère évident constitue un garde-fou dont le déni – l’Histoire nous l’a montré encore et encore- ouvre la porte au pire.
Analysant l’exploitation politique de l’étiquette de « théorie du complot » aux États-Unis, de Haven-Smith relève ainsi que la Déclaration d’Indépendance, document fondateur de la démocratie américaine, identifie et nomme sans fausse pudeur cette tendance naturelle à la conspiration des gouvernants.
RépondreSupprimerToute la construction démocratique vise à prévenir ce danger à travers une triple ambition :
1° rendre impossible toute dérive tyrannique par la séparation des pouvoirs et la puissance des contre-pouvoirs, selon le vœu cher à Montesquieu ;
2° garantir la santé des processus décisionnels par la surveillance des gouvernants, lesquels doivent rendre des comptes de leurs actions en toute transparence, car ils sont les serviteurs du peuple, selon le « contrat social » de Rousseau, dans lequel le peuple est Souverain ;
3° instruire enfin les individus pour qu’ils deviennent des citoyens aptes à comprendre raisonnablement le monde et à effectuer des choix éclairés, sans se laisser aliéner par les premiers passionnés du pouvoir venu. Cette instruction était considérée comme indispensable par Condorcet.
La conclusion de l’auteur est d’une perspicacité géniale : le dénigrement a priori de certaines hypothèses, sans leur laisser le crédit de l’examen, au moyen de l’étiquette de « théories du complot » indique qu’une conspiration est en cours.
Entendons-nous bien : il existe évidemment des élucubrations qui présentent des caractéristiques psychopathologiques de délire de persécution. Ce phénomène est aujourd’hui bien connu, décrit et documenté dans la littérature de la psychopathologie, et cela a toujours existé, cela se nomme le délire de persécution, que l’on rencontre sous forme désorganisé dans la schizophrénie[1], et sous la forme systématisée d’une « folie raisonnante », dans la psychose paranoïaque[2].
Pour le résumer à l’essentiel, la complexité du monde, et l’illisibilité qui en découle, sont sources d’angoisse existentielle. La tentation peut donc apparaître de trouver des « explications » sous l’allure déguisée d’interprétations délirantes, dénuées de toute relation à la réalité et à l’expérience, pour réduire l’angoisse vécue, qui est de nature psychotique. L’individu se crée des justifications, peu importe qu’elles soient vraies ou fausses, pourvu qu’elles présentent l’apparence de la raison ; c’est bien de là que les psychiatres Sérieux et Capgras avaient tiré la qualification de « folie raisonnante », pour la paranoïa.
Cette évidence posée, nous pouvons relever que le terme « complotisme » relève de ce registre dénué de sens de la paranoïa. Il s’agit d’un néologisme, tout comme « conspirationniste », qui désigne tous ceux qui s’aventureraient à penser des complots, comme des fous, des hurluberlus, des gens à qui il ne faudrait pas accorder la moindre crédibilité. Ce faisant, on oublie l’essentiel : ces complots existent-ils ou non ? Sont-ils vrais ou faux ?
Cette absence de logique est caractéristique du délire. « Complotisme » est donc tout simplement un terme délirant, car il désigne tout à la fois quelque chose et son contraire. Parce que si ces complots sont vrais, celui qui affirme leur existence est un philosophe. Ou un résistant. Si ces complots sont faux, c’est un paranoïaque, qui voit des faux complots partout.
RépondreSupprimerEt le paranoïaque est l’inverse du philosophe, car le philosophe fonde sa pensée sur le principe logique de non-contradiction, tandis que le délire paranoïaque est truffé de paradoxes, et ne s’embarrasse pas de savoir si le discours correspond à la réalité de l’expérience, ou encore, à une quelconque vérité logique.
Voilà où nous en sommes réduits : à ce que l’immense philosophe italien Giorgio Agamben ait pu être traité de « complotiste », alors qu’il n’avait fait que rappeler des principes de base de la philosophie morale et politique, depuis Socrate. Car, devons-nous le rappeler ? La philosophie morale et politique, ainsi que la métaphysique, sont les disciplines des Sciences Humaines qui permettent d’organiser la vie des hommes en société, en tenant compte de la singularité de l’expérience humaine. Les mathématiques et les statistiques n’ont pas la légitimité de régir nos vies en société[3], sous peine de réduire la vie humaine à un + (cas positif) ou un – (cas négatif), et de justifier des soustractions de vies humaines si « la gestion » de l’ensemble le justifiait d’un point de vue arithmétique (politiques de stérilisation, génocides, au nom d’une nécessaire « dépopulation » mondiale, etc.). Koestler ne dénonçait pas autre chose, dans Le Zéro et l’Infini. Si l’on veut prétendre mathématiser l’existence humaine, elle ne peut correspondre qu’à ce qui ne se laisse pas saisir : le zéro, et l’infini. La philosophie politique et morale, ainsi que la métaphysique, ont en revanche toute légitimité de remettre au centre du débat le sacré de la vie humaine.
Il est un fait que les philosophes n’ont eu de cesse que de dénoncer les complots qui étaient faits contre les peuples. Il suffit de songer à la condamnation à mort de Socrate, à la suite d’un complot des oligarques qui étaient passablement indisposés par la propension du philosophe à transmettre les fondements de la pensée critique, en particulier à la jeunesse. Ou encore, pensons à Cicéron, qui dénonce en 63 av. J.C., devant le Sénat romain, la conjuration de Catilina : Quousque tandem abutere, Catilina, patientia nostra ? Jusqu’à quand enfin, Catilina, abuseras-tu de notre patience ? Catilina complote contre les intérêts de la République romaine, et Cicéron dénonce le complot. O tempora, o mores, Ô temps, ô mœurs, soupirait alors le consul romain Cicéron, qui aurait été aujourd’hui sacrifié sur l’autel du « complotisme », pour avoir insisté sur l’importance, en matière d’investigation criminelle, de toujours se demander : à qui profite le crime ?
Il est dans la nature du pouvoir de comploter : car il s’agit de se hisser au sommet, mais ensuite, de s’y maintenir. Et moins on est légitime pour s’y maintenir, plus il faudra s’agripper au sommet par différentes méthodes peu orthodoxes, qui impliquent de manipuler en coulisses. Pour les Médicis, qui régnèrent pendant des siècles sur Florence, aux prises avec des familles concurrentes, une certaine expertise en complot était nécessaire : le philosophe Machiavel fut l’un des conseillers de cette grande famille, qui l’envoyait régulièrement dans des missions diplomatiques où il devait obtenir des informations-clés, et deviner les intentions des autres dirigeants.
RépondreSupprimerTel est le renversement caractéristique de notre époque : pour évacuer (et donc éviter) de vraies questions, les tenants de l’idéologie dominante stigmatisent le questionnement. Ils construisent en quelque sorte une « théorie du complot » inverse pour éviter que nous puissions envisager l’hypothèse probable selon laquelle des conspirations aient lieu, et nous empêcher surtout de supposer leur existence. Or, dans la mesure où la passion pour le pouvoir consiste souvent à confisquer des privilèges dans son propre intérêt, il est bien logique que les passionnés du pouvoir se sentent persécutés par ceux qui ne disposent pas des privilèges, ou à qui ces privilèges ont été confisqués.
Aujourd’hui, la pensée sur les complots du pouvoir est immédiatement disqualifiée et criminalisée, par des Cerbères (toujours les mêmes, pensons aux Zététiciens, que nous avons subis à plusieurs reprises), dont le rôle est de renifler puis d’aboyer en cas de danger pour le pouvoir dominant. Il ne faudrait tout de même pas que la pensée ait l’audace de penser les crimes des puissants de ce monde. « Complotiste » et « conspirationniste » sont des néologismes qui traduisent la corruption de la langue et la perversion du discours actuel, qui s’accommode d’une confusion entre la vérité et le mensonge.
Circulez, il n’y a rien à penser.
Guy Debord, dans La société du spectacle, écrivait que « le secret généralisé se tient derrière le spectacle, comme le complément décisif de ce qu’il montre et, si l’on descend au fond des choses, comme sa plus importante opération. » Les complots du pouvoir sont liés au secret.
Circulez, il n’y a rien à voir.
Ils ne doivent pas être évidemment découverts. Plus il y a de secrets, plus les complots sont grands, et multiples. C’est le fameux secret pervers, ou encore, toujours en citant Debord : « notre société est bâtie sur le secret, depuis les « sociétés-écrans », qui mettent à l’abri de toute lumière les biens concentrés des possédants jusqu’au « secret-défense » qui couvre aujourd’hui un immense domaine de pleine liberté extrajudiciaire de l’État. »
Circulez, il n’y a rien à chercher.
RépondreSupprimerL’histoire est désormais connue : le procédé est une trouvaille habile de la CIA pour mettre en échec la contestation des conclusions du très douteux rapport Hoover portant sur l’assassinat du président Kennedy. En jetant ainsi a priori l’opprobre sur des remises en question non seulement censées mais encore nécessaires, les manipulateurs ont réussi à agglutiner l’opinion publique d’une manière dont ne peut que rêver toute tyrannie : en rendant taboue toute contestation.
L’auteur décrypte les exploitations de cette ficelle gigantesque se résumant à la formule : criminaliser la pensée pour que la pensée ne découvre pas des crimes. Et ce n’est pas nouveau ! Car cela permet d’accuser autre soi, et d’inverser l’accusation criminelle : Néron, lorsqu’il met en scène l’incendie de Rome, accuse les chrétiens, qui mettaient en danger, par leur foi en la vie éternelle, le pouvoir temporel de l’Empire romain. Bien pratique, d’être soi-même au sens littéral, le pyromane, le pompier, le persécuteur, le sauveur et le juge. Avec l’étiquette « complotiste », le messager est dépeint comme un criminel par les gouvernements pour que les crimes d’État (qu’il révèle) restent occultés. Telle est la mise en scène moderne du « bouc émissaire » : il faut faire taire celui par qui le scandale arrive.
Près de dix ans après la rédaction de ce livre, nous disposons d’une abondante matière à nous mettre sous la dent. Alors que la gestion « sanitaire » de l’épidémie de Covid a souffert d’emblée d’anomalies monstrueuses, les pouvoirs médiatico-politiques ont dégainé préventivement l’étiquette de « complotiste » pour mettre en échec tout questionnement ou même rappel des bonnes pratiques usuelles en la matière.
Les choses étaient (pour une fois) fort simples : cela fait plus de vingt ans que l’Occident se prépare à l’éventualité d’affronter une pandémie sévère. Nos autorités de santé ont donc élaboré au cours des ans des plans d’action pour pouvoir, le moment venu, y faire face, sur la base des connaissances accumulées en santé publique, lesquelles se sont ainsi trouvé résumées en 2006 par le Pr Donald Henderson, épidémiologiste célèbre crédité de l’éradication de la variole :
« L’expérience a montré que les communautés confrontées à des épidémies ou à d’autres événements indésirables réagissent mieux et avec moins d’anxiété lorsque le fonctionnement social normal de la communauté est le moins perturbé.
Une gouvernance politique et de santé publique forte, pour rassurer et garantir que les services de soins médicaux nécessaires sont fournis, sont des éléments essentiels.
Si l’un ou l’autre n’est pas optimal, une épidémie gérable peut se transformer en catastrophe[4]. »
Au lieu des bonnes réponses, nous avons assisté, pour une épidémie respiratoire de gravité moyenne (comparable selon les paramètres pertinents à une grippe un peu forte), à l’imposition de mesures qui n’avaient jamais été envisagées du fait de leur inutilité et de leur nocivité connues et avérées de longue date.
Pour en donner deux exemples, le confinement d’une population en bonne santé avait été abandonné après le dernier épisode de peste à Marseille à la fin du XVIIIème siècle et relégué avec les purges et les saignées au rang des superstitions sanitaires et médicales.
RépondreSupprimerLe port du masque en population générale ne fait pareillement aucun sens pour contrer la propagation d’un virus respiratoire, sinon en tant que fétiche, au même titre que les gousses d’ail pour éloigner les vampires. Même en salle d’opération, porté selon un protocole très strict, le masque chirurgical ne sert au mieux qu’à limiter la circulation des bactéries, mais aucunement des virus…
Les mesures connues pour être utiles, comme de laisser les médecins généralistes soigner leurs patients avec les remèdes à disposition, d’insister sur les méthodes pour augmenter son immunité naturelle, ou de préserver le fonctionnement le plus normal possible de la société (comme cela a été fait en Suède et rapidement dans différents états américains, sans le moindre dommage évidemment), ont en revanche été mises en échec.
À ces absurdités majeures[5], dont le principe premier de considérer un virus comme un ennemi auquel il faut déclarer une guerre n’est pas la moindre aberration, s’est imposée une pensée unique étouffant tout débat. L’omerta a en particulier été écrasante dans les milieux médiatiques, académiques et scientifiques : les rares questionnements et contestations soulevés ont valu à leurs auteurs des attaques et une entreprise de « démolition de réputation » systématiques. Les rares audacieux qui en ont fait l’expérience ont servi comme il se doit d’exemples pour les autres, l’intimidation dissuadant d’autres vocations…
Ni la pertinence du propos, ni le niveau d’expertise ou les états de service n’y ont fait : des sommités mondiales comme les Pr John Ioannidis, Jay Bhattacharya, Peter McCullough, Martin Kulldorf, Sunetra Gupta ou, (en France), Christian Perronne et Didier Raoult ont été littéralement lapidés, pour avoir rappelé que la science n’était pas à confondre avec les slogans politiques ou les publicités (pompeusement appelées « articles scientifiques ») produites par l’industrie pharmaceutique.
Le soussigné, spécialiste notamment de ce qui est décrit sous le terme de « corruption systémique », a pu observer un phénomène fascinant. Le concept décrit une distorsion généralisée dans les décisions de politique publique favorisant des intérêts particuliers au détriment de la santé de la population – par un ensemble de procédés légaux et illégaux.
La dimension aujourd’hui générique de ces procédés est un constat qui a été unanimement posé au cours de la décennie écoulée, et par les meilleures sources. Citons (entre autres) le rapporteur à la santé devant la Commission des Droits de l’homme de l’ONU, la Commission européenne elle-même, des parlements comme la Chambre des communes britanniques ou le Sénat français, de nombreux ex-rédacteurs en chef des principales revues médicales (dénonçant la fraude massive qui y prévaut !), les centres d’éthique et de méthodologie scientifiques des plus prestigieuses universités, etc.[6].
De notoriété publique donc, l’industrie pharmaceutique truque massivement la recherche, influence (voire impose) ses politiques sanitaires aux États, et s’assure des revenus pharamineux en créant des marchés sans souci des conséquences (dégâts collatéraux) sur les populations. Le Pr Peter Goetzsche, auteur d’un ouvrage de référence sur le sujet[7] primé en 2014 par l’association médicale britannique, parle au sujet de cette industrie, preuves à l’appui, de « procédés identiques à ceux du crime organisé » révélant un « mépris répugnant pour la vie humaine ».
RépondreSupprimerLa prise en compte de ce constat, essentielle pour comprendre la crise sanitaire et protéger la population, a en réalité été niée et occultée depuis le début. Pas un organe de presse ne l’a rappelé, ni n’a conduit la moindre investigation au sujet d’événements clairement frauduleux (comme la parution de faux grossiers dans des revues « prestigieuses » … qui, contrairement à tous les usages, ne les ont même pas vérifiés – reviewed – avant publication). Ou l’autorisation, sans la moindre donnée probante, et l’achat massif par la Communauté européenne d’un médicament hors de prix, inefficace et même dangereux (le remdesivir) alors que des traitements disponibles et bon marché (comme l’ivermertine et la tri-thérapie mise au point à l’IHU Méditerranée-Infection) étaient interdits en dépit des centaines d’études de qualité publiées concluant à leur efficacité.
Le Bristih Medical Journal (la moins corrompue des principales revues) a tonné du mieux qu’il a pu, par exemple en novembre 2020 :
« La science est actuellement réprimée pour des raisons politiques et financières. Le Covid-19 a déclenché la corruption de l’État à grande échelle, et elle est nuisible à la santé publique. Les politiciens et l’industrie sont responsables de ce détournement opportuniste. Les scientifiques et les experts de la santé le sont également. La pandémie a révélé comment le complexe politico-médical peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de sauvegarder la science.
La politisation de la science a été déployée avec enthousiasme par certains des pires autocrates et dictateurs de l’histoire, et elle est maintenant malheureusement monnaie courante dans les démocraties. Le complexe médico-politique tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Le complexe politico-médical tend à supprimer la science pour engraisser et enrichir ceux qui sont au pouvoir. Et, à mesure que les puissants deviennent plus prospères, plus riches et plus intoxiqués par le pouvoir, les vérités dérangeantes de la science sont supprimées. Lorsque la bonne science est supprimée, les gens meurent.[8] »
Nouvelle tentative, après plusieurs autres, en janvier 2022 :
« Les entreprises pharmaceutiques engrangent d’énormes bénéfices sans que leurs allégations scientifiques ne fassent l’objet d’un examen indépendant adéquat. Le but des régulateurs n’est pas de danser au rythme des riches sociétés mondiales et de les enrichir davantage ; il est de protéger la santé de leurs populations. Nous avons besoin d’une transparence totale des données pour toutes les études, nous en avons besoin dans l’intérêt du public, et nous en avons besoin maintenant.[9] »
La répression préventive de toute mise en lumière des procédés de corruption a été assurée par cela même que Lance de Haven-Smith analyse magistralement dans le présent ouvrage : l’étiquette de « complotiste » a été diligemment dégainée et collée par des policiers de la pensée (journalistes et universitaires en tête, suivi de près par des politiciens flairant l’aubaine) sur le front de quiconque osait même questionner la « version autorisée » officielle. Le « complotiste » est l’équivalent moderne du « social-traître », à la différence que le « social-traître » était censé trahir les intérêts de la classe ouvrière, tandis que le « complotiste » trahit ceux de la classe dirigeante !
RépondreSupprimerL’autocritique préalable a été introjectée par la population : toute velléité de poser une question ou de soulever une objection aux mesures sanitaires (pourtant absurdes) s’accompagne systématiquement aujourd’hui de la précaution oratoire « je précise bien que je ne suis pas complotiste, mais… »
Tout comme son pendant « je ne suis pas antivax, mais… »
Il convient de mesurer la prouesse : les injections géniques expérimentales imposées mondialement ne sont pas des vaccins pour deux raisons.
En premier lieu, elles ne procurent aucune immunité contre le nouveau coronavirus, la définition normale d’un vaccin étant « préparation thérapeutique conférant une immunité contre un agent infectieux particulier ». Certes les « autorités de régulation » ont opportunément changé cette définition pour contourner l’obstacle, mais dans le « vrai monde » de la « vraie médecine », il ne s’agit simplement pas d’un vaccin.
En second lieu, son mode d’action est radicalement différent de celui de tous les autres vaccins précédemment créés. Faire passer ces produits géniques comme appartenant à la même catégorie n’est pas honnête. Identifier publiquement comme « antivax » les opposant à un produit expérimental qui n’a rien d’un vaccin est une réussite de propagande. Mais hélas aussi une tuerie psychique : lorsque l’on systématise les inversions sémantiques (avec au passage une tonalité accusatoire), on saccage les repères du psychisme individuel et collectif, en ouvrant la route à la dérive totalitaire.
Selon la fulgurante sagacité de l’auteur, il conviendrait à l’inverse de réfuter sans états d’âme la manœuvre : « le fait que vous m’accusiez d’être complotiste alors que tant de questions importantes se posent, suggère fortement l’existence d’une conspiration que vous cherchiez à couvrir consciemment ou inconsciemment. »
On mesure le chemin à parcourir…
Pour conclure par un petit bouquet de dévoilements, la manipulation décrite est d’autant plus cocasse (ou désespérante) que des conspirations apparaissent effectivement au grand jour. Pour en donner juste quelques exemples, l’inoxydable conseiller de la Maison-Blanche en matière d’épidémies, le Dr Anthony Fauci, a bel et bien conspiré au moins à quatre reprises depuis le début de la crise selon différents documents obtenus au titre de la loi sur l’accès à l’information (FOIA) :
Tout d’abord, il a bel et bien financé des expériences de « gains de fonction » sur les coronavirus de chauve-souris au laboratoire P4 de Wuhan au cours des dernières années (pour les rendre plus pathogènes et contagieux), malgré l’interdiction du gouvernement américain[10].
Au printemps 2020, le Dr Fauci ainsi que les principaux responsables américains ont été informés que l’hypothèse la plus probable au sujet du Sars-CoV-2 était qu’il s’agissait d’un virus expérimental échappé du labo de Wuhan. Ils ont alors orchestré la parution dans The Lancet (multirécidiviste dans la publication de papiers frauduleux) d’une tribune signée par une vingtaine de scientifiques niant cette possibilité et traitant l’hypothèse correspondante de « conspirationniste ». Un véritable cas d’école : quand une hypothèse scientifique est stigmatisée pour couvrir les agissements coupables de responsables, on est bien au cœur de ce que décrit Lance de Haven Smith.
RépondreSupprimerL’efficacité des traitements précoces disponibles a été établie dès le mois d’avril 2020. Une campagne internationale a été alors mise en œuvre, avec bien sûr la publication d’articles truqués, mais aussi le montage d’essais cliniques malhonnêtement montés pour arriver à la conclusion souhaitée. Alors que l’hydroxychloroquine par exemple démontre une efficacité précoce, lors de la première phase de l’infection, l’étude britannique Recovery l’a prescrite à des doses toxiques (et même potentiellement létales) à des patients intubés aux soins intensifs… Ceci permettant de conclure qu’aucune efficacité n’avait pu être observée ! Sophisme dont un enfant de huit ans est capable de comprendre la faille logique… mais vraisemblablement pas la « communauté scientifique », qui a pris cette truanderie – et pour cause- pour argent comptant[11].
Enfin, lorsque des épidémiologistes célèbres, œuvrant dans certaines des plus prestigieuses universités (Stanford, Harvard et Oxford) ont entrepris de rappeler les bons principes en santé publique et appelé les gouvernements à renoncer à la politique destructrice mis en œuvre, Fauci a conspiré avec le directeur des National Institutes of Health pour mener une campagne de dénigrement visant à décrédibiliser les auteurs et à les faire passer « pour des marginaux » (sic). Le patron de Facebook, Mark Zukenberg, a été directement sollicité pour aider à la manœuvre en menant une politique de censure et de « fact-checking » fallacieux sur ses réseaux sociaux, ainsi qu’il a dû finalement l’admettre devant un tribunal[12].
Tout ceci confirme (si besoin était) la pertinence des analyses du Pr Lance de Haven-Smith. Hélas, nous ne sommes plus en démocratie : lorsque le débat scientifique et démocratique est rendu impossible par la stigmatisation de certaines hypothèses, nous avons d’ores et déjà basculé dans un système totalitaire, lequel, par définition, ne tolère pas de « seconde opinion » : les choses sont comme les autorités le disent et les acteurs sociaux (« scientifiques », « politiques », « journalistes ») doivent se limiter au fait de confirmer qu’il en est bien ainsi. Ce faisant, ils se renient eux-mêmes dans leur qualité professionnelle pour n’être plus que les lampistes du pouvoir. Certes, non sans avantages (bien que, de notre point de vue, ces avantages puissent être en réalité très précaires). Mais avec une indignité rappelant hélas les heures les plus sombres de notre Histoire.
Rien de tout cela n’est ou n’a même été vraiment caché.
RépondreSupprimerNous avions été avertis : entre la « bête de l’événement » annoncé par Emmanuel Macron quelques mois avant le début de cette crise politique de gouvernance (et non pas sanitaire), les propos de Nicolas Sarkozy sur l’émergence inévitable d’une gouvernance mondiale, les prophéties cyniques de Jacques Attali, et les annonces candides en comparaison de Klaus Schwab sur le « Great Reset », grâce auquel « nous serons heureux mais n’aurons plus rien », tout ceci suit diligemment les annonces de ces oracles, nous précipitant semble-t-il à grande vitesse dans un « meilleur des mondes » stalino-capitaliste, avec un système de surveillance bio-informatique absolue et de crédit social à la chinoise, garantissant a priori l’ostracisation (ou pire) des rétifs.
Sans un sursaut de conscience radical de la part des « élites » (cette nomenklatura et cette pseudo-intelligentsia qui disposent encore, selon l’expression de Michel Maffesoli, du « pouvoir de dire et de faire »), il n’est pas dit que nous puissions éviter ce devenir annoncé et funeste.
La connaissance est pourtant là, pour comprendre le naufrage dans lequel nous nous trouvons embarqués, et le mettre en échec. Le problème est que rien n’est plus redoutable et in fine autodestructeur pour l’espèce humaine que son entêtement (soigneusement stimulé en certaines circonstances) à « ne pas vouloir savoir ».
De manière également prémonitoire, la soussignée donnait en 2017 déjà les clés de ce que nous n’aurons pour l’instant pas su éviter :
« En effet, savons-nous seulement que la clef d’un régime n’est ni dans sa Constitution, ni dans ses Chambres parlementaires, ni dans son mode d’élection ou de scrutin, ni dans ses forces de police, mais dans l’information ? Or, lorsque cette information se décline en une propagande mensongère, elle constitue l’une des formes les plus insidieuses de harcèlement. La privation d’information ou sa dissimulation est un élément essentiel des idéologies totalitaires qui contrairement aux idées reçues ne sont jamais proclamées comme telles. Une information impartiale est indispensable à l’exercice de la démocratie et à la détermination d’un libre choix que seul l’examen de toutes les données disponibles peut garantir. Il ne faudrait jamais perdre de vue que l’objectif d’une telle propagande, qui équivaut à harceler un peuple par des procédés rhétoriques pervers, est bien de supprimer la possibilité de choix, principe fondamental d’une démocratie. Ce seul exemple, qui pourtant tombe sous le sens, nous laisse entrevoir certains aspects du harcèlement que l’on ne soupçonnait même pas du seul fait que plus personne n’ose s’aventurer sur ce terrain-là (ce qui est déjà le signe de l’efficacité de ce type de harcèlement dont l’autocensure témoigne, car en régime démocratique, personne ne devrait craindre de quelconques représailles pour s’être exprimé librement). »[13]
C’est l’immense mérite du livre que vous tenez entre vos mains. Il donne l’information indispensable pour rétablir une possibilité de choix. Et donc de science. Et de démocratie.
RépondreSupprimerEn guise d’hommage à tous ceux qui, pour avoir dénoncé de vrais complots du pouvoir, ont pris des risques sur leur réputation, sur leurs carrières, et pour certains, l’ont payé au prix d’un harcèlement acharné, et même, de leur vie, nous laissons le dernier mot à Socrate lorsqu’il s’adresse à ses juges quelques heures avant sa mort : « Vous venez de me condamner dans l’espoir que vous serez quittes de rendre compte de votre vie ; or, c’est tout le contraire qui vous arrivera, je vous l’affirme. Vous verrez croître le nombre de ces enquêteurs, que j’ai retenus jusqu’à présent, sans que vous vous en aperceviez. Car si vous croyez qu’en tuant les gens, vous empêcherez qu’on vous reproche de vivre mal, vous êtes dans l’erreur. Cette façon de se débarrasser des censeurs n’est ni très efficace, ni honorable ; la plus belle et la plus facile, c’est, au lieu de fermer la bouche aux autres, de travailler à se rendre aussi parfait que possible. Voilà̀ les prédictions que je voulais vous faire, à vous qui m’avez condamné, sur quoi je prends congé de vous. »[14]
Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie, ancienne chargée de cours à l’Université.
Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé et expert en santé publique.
[1] Barthélémy, S., Bilheran, A. 2007. Le délire, Paris, Armand Colin.
[2] Bilheran, A. 2019. Psychopathologie de la paranoïa, Paris, Dunod.
[3] Bilheran, A. Pavan, V. 2022. Le débat interdit, Paris, Trédaniel.
[4] Inglesby TV, Nuzzo JB, O’Toole T, Henderson DA. Disease mitigation measures in the control of pandemic influenza. Biosecur Bioterror. 2006;4(4):366-75
[5] La liste en serait trop longue pour figurer dans une préface.
[6] Michel J.-D., Covid : anatomie d’une crise sanitaire, éditions Humensciences, 2020.
[7] Goetzsche P., Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, Presses de l’Université Laval, 2019.
[8] Abbasi K. Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science BMJ 2020; 371 :m4425
[9] Doshi P, Godlee F, Abbasi K. Covid-19 vaccines and treatments: we must have raw data, now BMJ 2022; 376 :o102
[10] https://brownstone.org/articles/the-lab-leak-the-plots-and-schemes-of-jeremy-farrar-anthony-fauci-and-francis-collins/
[11] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/01/20/comment-le-dr-fauci-et-des-fonctionnaires-de-washington-ont-cache-au-public-lefficacite-de-livermectine-et-de-lhydroxychloroquine/
[12] https://brownstone.org/articles/the-collins-and-fauci-attack-on-traditional-public-health/
[13] Bilheran, A. 2017. Harcèlement. Psychologie et psychopathologie.
http://arianebilheran.com/product-page/harcelement-psychologie-et-psychopathologie
[14] Platon, Apologie de Socrate.
https://www.arianebilheran.com/post/préface-d-un-livre-sur-la-théorie-du-complot-avec-j-d-michel
Le sénateur Roger Marshall prédit une "famine mondiale" dans 1-2 ans, alors que les prix des engrais et du carburant montent en flèche
RépondreSupprimermercredi 30 mars 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) En raison de la mondialisation, les pays sont devenus de plus en plus interdépendants les uns des autres. Lorsqu'il s'agit de produire et d'utiliser leurs propres matières premières et ressources naturelles, les États-Unis, le Canada et l'Europe ne sont PAS souverains. Ces pays dépendent de la Russie pour l'énergie, les produits agricoles, le maïs, le blé, l'huile de tournesol et les engrais, entre autres produits de base. Toute tentative de punir la Russie par des sanctions économiques se retournera inévitablement contre elle, provoquant des ruptures agricoles et des pénuries alimentaires qui mettront en danger les populations de chaque nation. Le sénateur Roger Marshall prédit une «famine mondiale» dans les 1 à 2 prochaines années, les sanctions faisant monter en flèche les prix des engrais et du carburant.
Les gouvernements américain et européen détruisent l'ordre mondial en utilisant des sanctions en temps de guerre qui appellent à la famine mondiale
Lorsque la Russie a lancé son opération militaire spéciale en Ukraine, ces pays occidentaux ont répondu par des sanctions en temps de guerre qui ont un impact sur l'énergie, l'agriculture, l'économie et la finance. Mais alors que ces pays de « libre-échange » mettent la pression sur la Russie et manquent à leurs obligations, ils tendent également des pièges à leurs propres pays respectifs, nuisant à leur propre peuple. L'Europe et les États-Unis sont beaucoup trop dépendants de la Russie et de la Chine, mais ils insistent sur des relations commerciales en temps de guerre qui ne feront qu'affaiblir leurs propres économies et appauvrir leur propre population.
Alors que les Américains sont distraits par de petits acteurs qui se giflent, Vladimir Poutine prépare la Russie à se libérer de l'euro et de la monnaie de réserve mondiale. À l'avenir, la Russie n'acceptera que les roubles, l'or ou le bitcoin comme moyen de paiement pour les exportations d'énergie. Le rouble russe sera soutenu par des matières premières, contrairement au dollar, qui est soutenu par de faux espoirs et des illusions.
Les prix des engrais et du carburant montent en flèche, ouvrant la voie à des pénuries alimentaires et à une famine mondiale
Le sénateur Roger Marshall, qui siège au Sénat pour l'agriculture, l'énergie et les ressources naturelles, comprend que ces sanctions en temps de guerre entraîneront un contrecoup. Il prédit qu'une «famine mondiale» commencera dans un an ou deux, alors que les gouvernements américain et européen blesseront leur propre peuple avec des sanctions en temps de guerre contre la Russie. Cette pente glissante a déjà commencé avec l'interdiction par le régime de Biden des importations de pétrole russe. Les prix de l'essence ont depuis atteint des niveaux historiques. Alors que l'Amérique et l'Europe perdent l'accès à l'approvisionnement en engrais de la Russie, l'agriculture sera touchée d'une manière qui rendra l'approvisionnement alimentaire encore plus vulnérable qu'elle ne l'est déjà.
"Il va en fait y avoir une famine dans un à deux ans", a déclaré Marshall dans une interview avec Maria Bartiromo sur Fox Business. "Je pense que dans deux ans, ce sera encore pire." La famine n'affectera pas seulement l'Europe. "Ce sera une famine mondiale", a déclaré Marshall. « 12 à 15 % des produits agricoles, maïs et blé, huile de tournesol passent par cette mer Noire. Les engrais proviennent également de cette région. Ces importations sont interrompues et restreintes. Alors que l'Occident essaie d'isoler la Russie, il y aura de graves conséquences pour les personnes vivant dans le monde entier.
RépondreSupprimerMarshall a déclaré que les agriculteurs auront "des problèmes pour obtenir des engrais" et "des problèmes pour obtenir des tracteurs dans les champs" d'ici l'année prochaine. "Tout le carburant diesel va à leurs efforts de guerre", a-t-il déclaré. Le doublement et le triplement des coûts de l'énergie ne feront que faire flamber les prix alimentaires dans les années à venir.
"Je pense que les agriculteurs américains font de leur mieux pour répondre", a déclaré Marshall, "mais nous ne pouvons pas obtenir d'engrais." "Les prix des engrais ont quadruplé, le carburant diesel a doublé", a-t-il ajouté, "Tellement d'engrais et d'herbicides que nous ne pouvons même pas obtenir en ce moment."
La Russie n'est PAS isolée dans ses efforts militaires, comme le suggèrent les grands médias. Des pays comme la Chine et l'Inde refusent de participer à ces sanctions dirigées par les États-Unis qui menacent le libre-échange, l'approvisionnement alimentaire et l'ordre mondial. D'autres dirigeants du monde entier comprennent à quel point leurs nations sont réellement interdépendantes et comment l'arrêt du commerce mondial a un impact sur la prospérité et la survie de leurs propres nations. La vérité est que les États-Unis dépendent de l'Ukraine et de la Russie pour la nourriture et l'énergie. Intervenir en Ukraine et intensifier la guerre entre ces nations ne fera que justifier la mission de la Russie et faire souffrir les populations mondiales, annonçant une famine mondiale.
Les sources comprennent :
Valiantnews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-30-senator-predicts-worldwide-famine-fertilizer-fuel-prices-skyrocket.html
Avec l'actualité anxiogène servie depuis 2 ans et plus, les gens font des provisions. Oui mais ces provisions durent combien de temps ? 1 mois ? 3 mois ? 6 mois ? et après ?
SupprimerLorsque la dictature empêche, interdit l'emploi de nourriture pour les plantes ! interdit l'emploi de remède contre les maladies des plantes et contre les bestioles qui ravagent les cultures, il y a de vaste terrains improductifs où même l'eau (qui sort gratuite aux sources et va se perdre en océans) doit être payée pour arroser les plantes !! (et donner à boire aux animaux).
C'est pourquoi ils ont tout intérêt à faire durer la 'guerre en Ukraine' le plus longtemps possible
L'Australie lance un programme d'un milliard de dollars pour "vacciner" les BÉBÉS et les jeunes enfants contre le covid
RépondreSupprimerMercredi 30 mars 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le gouvernement australien a prolongé son déploiement national de vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour inclure 1 milliard de dollars de financement supplémentaire pour l'injection de jeunes enfants et de bébés.
Alors que le Groupe consultatif technique australien sur la vaccination (ATAGI) n'a recommandé les injections que pour les enfants de cinq ans et plus, les politiciens australiens ont décidé qu'ils savaient mieux ce dont le système immunitaire des tout-petits a besoin.
"La pandémie mondiale n'est pas terminée", a déclaré le trésorier Josh Frydenberg, un expert autoproclamé en immunologie, lors d'un récent discours sur le budget.
À l'heure actuelle, aucun pays au monde n'a approuvé les vaccins contre la grippe Fauci pour les enfants de moins de cinq ans. L'Australie serait la première à le faire, et elle s'appuierait sur une extension du système d'assurance maladie du pays.
Une fois les essais internationaux terminés, l'Australie prévoit de se précipiter pour obtenir autant de tirs dans autant de petits bras que possible, le plus rapidement possible.
4,2 milliards de dollars supplémentaires ont été alloués dans le budget australien à d'autres mesures pandémiques en cours, y compris les «traitements» pour les patients et le soutien aux médecins généralistes (MG), aux prestataires de soins aux personnes âgées et aux hôpitaux.
Davantage d'équipements de protection individuelle (EPI) et de tests antigéniques rapides seront achetés et envoyés dans tout le pays, remplissant les poches des fabricants de ces articles.
L'Australie veut tuer tous ses enfants innocents
69 millions de dollars supplémentaires ont été désignés pour être dépensés sur deux ans pour le plan national contre le virus de l'encéphalite japonaise, qui comprend l'achat de 135 000 doses de vaccin contre cette maladie.
Les dépenses totales de santé pour l'exercice 2022-23 s'élèveront à 105,9 milliards de dollars, soit 16,8% des dépenses totales de l'Australie. Il s'agit en fait d'une baisse par rapport aux 111,5 milliards de dollars de l'exercice précédent, lorsque davantage d'argent a été versé dans les mesures de «réponse d'urgence» COVID.
Un total de 333 millions de dollars est acheminé vers des programmes de «santé des femmes», ainsi que 6,6 millions de dollars pour la chirurgie visant à réparer la séparation abdominale après la grossesse. Auparavant, cette procédure était considérée comme cosmétique, même si le fait de ne pas le faire laisse les femmes dans la douleur.
RépondreSupprimerD'autres mesures comprennent le financement de produits pharmaceutiques moins chers, de l'argent pour une «recherche» accrue sur le cancer et d'autres allocations pour les soins aux personnes âgées.
Le morceau le plus important et le plus inquiétant du budget, cependant, est que 1 milliard de dollars en espèces pour les jabs COVID pour enfants, avec lesquels l'Australie veut entrer dans l'histoire en étant le premier au monde à distribuer leur contenu aux tout-petits, aux nourrissons et aux proches de -les nouveau-nés.
Il est important de garder à l'esprit qu'une étude de l'automne dernier a révélé que neuf fois sur 10, les femmes enceintes qui prennent elles-mêmes des «vaccins» COVID finissent par perdre leur bébé au cours du premier trimestre.
On pourrait penser que cela pourrait dissuader les «autorités» d'essayer de pousser les mêmes coups sur les bébés qui réussissent à sortir de l'utérus. Peut-être que le but est d'éliminer cet enfant restant sur 10 qui arrive avec succès dans ce monde diabolique ?
Une autre chose qui suggère un méfait avec ce plan est le fait que les enfants ont zéro pour cent de chances de mourir du COVID. En d'autres termes, les enfants et les bébés n'ont besoin d'aucune injection chimique pour vivre une vie saine, dynamique et sans COVID.
"C'est effrayant", a écrit un lecteur de The Age. "Mes deux enfants ont eu le COVID (3 et 5) et ce n'était rien comparé aux autres virus qu'ils ont ramenés de la maternelle."
"Pourquoi un parent risquerait-il l'énorme liste d'effets secondaires et de blessures qui apparaissent maintenant ? Les risques potentiels l'emportent de loin sur toute équation d'avantages potentiels.
Un autre a accepté, soulignant qu'il est « inquiétant » de réfléchir aux effets secondaires potentiels que les jeunes enfants et les bébés subiront à cause de ce programme.
Les dernières nouvelles sur les vaccins contre la grippe Fauci peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources comprennent :
TheAge.com.au
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-30-australia-billion-program-vaccinate-children-babies-covid.html
Primo: il n'existe AUCUN vaccin anti-poussières
RépondreSupprimerSecundo: le poison EST DANS la seringue et non dans l'air.