PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 27 MARS 2022 - 16:20 Écrit par Doomberg via doomberg.substack.com,
C'était une période effrayante d'être en mer au large de la côte est des États-Unis à Halloween en 1991. Un puissant système de tempête sur les provinces maritimes du Canada a fusionné avec les restes de l'ouragan Grace, formant un nouveau nord-est épique et dangereux. Les vents de cette nouvelle tempête ont atteint 70 milles à l'heure et une vague aussi haute que 100 pieds a été mesurée au large des côtes de la Nouvelle-Écosse, mais la tempête n'a pas été renommée tempête tropicale ou ouragan - au lieu de cela, elle n'est connue que familièrement. comme simplement la tempête parfaite. Six pêcheurs du Massachusetts ont péri lorsque leur navire Andrea Gail a coulé en pleine mer, et l'histoire de la tempête et de cette tragédie est devenue le sujet d'un livre à succès et d'un long métrage à succès.
Alors que le concept de tempête parfaite est souvent attribué de manière trop désinvolte dans la culture populaire, il est difficile de trouver une description plus appropriée de ce qui s'est déroulé sur les marchés agricoles mondiaux au cours des derniers mois. La tempête provoquée par la catastrophe énergétique européenne a fusionné avec l'ouragan de conséquences découlant de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, formant la genèse d'une crise alimentaire générationnelle qui laissera peu de personnes indemnes. Bien que nous ayons mis en garde contre un tel scénario depuis un certain temps, après avoir passé les deux dernières semaines à voyager à travers le Midwest américain et à discuter avec nos contacts dans le secteur agricole, même nous sommes un peu effrayés par ce que nous avons appris. Lors d'un krach financier, la corrélation entre toutes les classes d'actifs converge vers une. Le crash à venir de l'approvisionnement alimentaire mondial sera provoqué par un phénomène similaire dans pratiquement tous les intrants de l'agriculture - ils atteignent tous des sommets historiques simultanément, la disponibilité de l'approvisionnement diminue dans tout le spectre et le temps d'inverser les pires conséquences à venir est court rapidement.
A part ça, les choses sont super.
Nous commençons par le prix des engrais, qui a atteint des niveaux record à travers le monde. Les principales sources d'azote, de potassium et de phosphore - des apports importants pour la fertilité des sols, le rendement des cultures et l'entretien des plantes - sont toutes devenues verticales. L'ammoniac est dérivé directement du gaz naturel, et le prix du gaz naturel en dehors des États-Unis est devenu vertical. Il n'est pas surprenant que le prix de l'ammoniac ait triplé au cours des douze derniers mois. La Biélorussie est le troisième fournisseur de potasse au monde et sa société minière d'État, Belaruskali, a déclaré un cas de force majeure après l'imposition de sanctions par les États-Unis et l'Europe. Le deuxième fournisseur mondial de potasse ? Russie. Peut-être à l'avant-garde de la décision russe sur l'Ukraine, la Chine a interrompu les exportations de phosphate l'automne dernier dans le but d'assurer un approvisionnement intérieur adéquat. L'impact combiné de ces événements peut être vu dans l'indice des engrais nord-américains de Green Markets, qui suit un mélange de prix des engrais à l'échelle mondiale :
Le contrôle des mauvaises herbes est un élément important de l'agriculture et les herbicides sont un outil irremplaçable dans le répertoire de l'agriculteur. L'herbicide le plus utilisé au monde est la molécule controversée du glyphosate, largement connue sous sa marque de commerce Roundup. Inventé par Monsanto (qui appartient maintenant à Bayer) dans les années 1970, le glyphosate a été lié à certains cancers du sang et est ciblé pour être éliminé par de nombreux groupes environnementaux. Malgré ces préoccupations, le glyphosate reste une molécule d'importance systémique - de nombreuses graines ont été génétiquement modifiées pour y résister, permettant son utilisation généralisée tout en minimisant les dommages aux cultures, et les génériques ont élargi le marché à mesure qu'il est sorti du brevet de Monsanto.
Le glyphosate n'est en fait rien de plus qu'un engrais élégamment modifié, contenant à la fois du phosphore et de l'azote. Il est dérivé de matières premières similaires - y compris l'ammoniac - et, en tant que tel, son prix a grimpé en flèche dans un contexte de pénuries chroniques d'approvisionnement. Cela a fait grimper le prix d'autres herbicides alors que les agriculteurs cherchent désespérément des substituts, comme le décrit cet article dans The Western Producer (emphase ajoutée tout au long):
"La pénurie de glyphosate tant vantée n'est que le premier domino à tomber, selon une entreprise leader dans le domaine de la protection des cultures.
"L'effet d'entraînement sur pratiquement toutes les autres molécules d'herbicide commence à se manifester", a déclaré Cornie Thiessen, directrice générale d'ADAMA Canada. "Nous constatons un effet domino sur le marché en raison des défis du glyphosate."
Bayer avertissait déjà ses clients fin 2021 d'une éventuelle pénurie de glyphosate.
Si les agriculteurs lésinent sur les herbicides pour s'en sortir cette saison, cela ne fera que rendre la lutte contre les mauvaises herbes plus difficile à l'avenir. Comme nous l'a prévenu un expert, il suffit d'un an de négligence pour causer plusieurs années de dégâts à un champ.
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Le diesel est un autre intrant important dans l'agriculture, et il fait également face à une pénurie mondiale d'approvisionnement. Javier Blas, chroniqueur énergie et matières premières chez Bloomberg dont le compte Twitter est à suivre absolument, a récemment publié un éditorial sonnant l'alarme :
« La situation désastreuse de l'approvisionnement en diesel est antérieure à l'invasion russe de l'Ukraine. Alors que la demande mondiale de pétrole n'a pas encore atteint son niveau d'avant la pandémie, la consommation mondiale de diesel a atteint un nouveau sommet historique au quatrième trimestre de 2021. Le boom reflète la reprise économique déséquilibrée de Covid, avec une demande de transport en hausse pour faciliter l'offre- désordres de la chaîne.
Les raffineries européennes peinent à faire face à ce regain de la demande. L'une des principales raisons est le prix élevé du gaz naturel. Les raffineries utilisent du gaz pour produire de l'hydrogène, qu'elles utilisent ensuite pour éliminer le soufre du diesel. La flambée des prix de l'essence à la fin de 2021 a rendu ce processus d'un coût prohibitif, réduisant la production de diesel. »
Une fois de plus, nous découvrons le rôle vital que joue le gaz naturel dans de nombreuses verticales en aval, un thème clé de nombreuses pièces de Doomberg. Avec des stocks à des niveaux record et des approvisionnements limités, le prix de détail du diesel aux États-Unis a battu les records précédents. En Europe, qui dépend fortement des importations russes pour le diesel et son précurseur de pétrole semi-transformé, le marché de gros est sur le point de se rompre. Voici une version mise à jour du graphique dans l'éditorial de Blas :
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Aussi coûteux qu'il soit d'alimenter l'équipement de terrain nécessaire à l'agriculture, le maintenir opérationnel devient un défi de plus en plus difficile. La même pénurie de copeaux limitant la production automobile a frappé l'industrie du matériel agricole, rendant plus difficile l'obtention de nouveaux équipements et de pièces de rechange. Les agriculteurs de l'Iowa ont récemment exprimé leur frustration lors d'un forum républicain sur l'agriculture :
« … ils ont déploré la disponibilité aléatoire de pièces pour réparer leur équipement – le résultat de perturbations pandémiques dans la production de ces pièces. Le représentant de l'Iowa, Ross Paustian, R-Walcott, est un agriculteur qui a déclaré que son voisin avait été contraint d'acheter une pompe hydraulique pour son tracteur auprès d'un concessionnaire du Nebraska, car c'était le seul endroit du pays qui l'avait en stock.
Jim Boyer, un fermier du comté d'Emmet, avait une anecdote personnelle similaire. Il attend un capteur lié aux émissions de 40 $ pour son tracteur, et il ne sait pas s'il arrivera bientôt.
"Je ne peux pas conduire ce tracteur - un équipement d'un quart de million de dollars - parce que je ne peux pas obtenir ce capteur", a-t-il déclaré.
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À ces défis liés aux machines s'ajoute une pénurie de main-d'œuvre croissante qui ajoute rapidement de la pression à cette catastrophe brassicole. Bien que les problèmes de main-d'œuvre aux États-Unis s'étendent bien au-delà de l'agriculture, certains aspects exacerbent l'impact sur les agriculteurs, notamment l'intensité du travail physique et la saisonnalité de nombreux rôles, ainsi que la dépendance à l'égard des travailleurs étrangers pour occuper des postes clés que les citoyens américains ont historiquement évités. Cela est particulièrement difficile à la lumière des mandats de vaccination aux postes frontaliers. Voici un rapport récent de Wisconsin Public Radio qui décrit bien les défis :
«Alors que certaines fermes emploient des travailleurs toute l'année, Strader a déclaré que de nombreux emplois sont saisonniers, commençant en mars et avril et se poursuivant jusqu'à la fin de l'automne, lorsque la récolte se termine.
Les producteurs étant sur le point d'embaucher pour cette année, Strader a déclaré que de nombreuses fermes avaient commencé à recruter plus tôt que d'habitude et avaient élaboré un plan d'urgence pour savoir comment passer la saison sans employés. Cela pourrait signifier l'arrêt de certains marchés ou la réduction de la variété de produits qu'ils cultivent. »
Les agriculteurs sont également en concurrence avec d'autres secteurs pour un bassin de main-d'œuvre limité. L'écart entre les offres d'emploi et les travailleurs sans emploi mais volontaires dans l'ensemble des États-Unis continue de se creuser :
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Même en supposant généreusement que les agriculteurs peuvent bricoler suffisamment d'engrais, d'herbicides, de machines et de main-d'œuvre pour produire une bonne récolte cet automne, ils pourraient devoir faire face à une autre crise d'approvisionnement que peu de gens hors champ ont sur leur radar : le propane. Alors que Tracy Schuchart – encore un autre incontournable absolu sur Twitter – est en berne depuis plusieurs mois, les États-Unis sortent de l'hiver 2021-2022 avec des niveaux d'inventaire de propane inquiétants, bien en deçà des moyennes typiques pour cette période de l'année :
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Voici la situation de l'offre sous forme de graphique, la région ombrée indiquant les niveaux de stocks élevés et faibles au cours des sept dernières années :
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Qu'est-ce que l'approvisionnement en propane a à voir avec l'agriculture ? Séchage des grains. Voici une introduction sur l'importance du séchage, tirée de Wikipedia :
« Des centaines de millions de tonnes de blé, de maïs, de soja, de riz et d'autres céréales telles que le sorgho, les graines de tournesol, le colza/canola, l'orge, l'avoine, etc., sont séchées dans des séchoirs à céréales. Dans les principaux pays agricoles, le séchage consiste à réduire l'humidité d'environ 17 à 30 % p/p à des valeurs comprises entre 8 et 15 % p/p, selon le grain. La teneur en humidité finale pour le séchage doit être adéquate pour le stockage.
De nombreuses fermes sont situées dans des zones rurales sans accès facile au gaz naturel, et donc environ 80 % des séchoirs à grains aux États-Unis, par exemple, dépendent du propane comme carburant. Dans un article que nous avons écrit en décembre intitulé Un appel urgent sur la ligne 5, nous avons raconté comment des politiciens progressistes et des groupes environnementaux ciblaient une importante artère de pipeline qui part du Canada, sous le détroit de Mackinac et à travers l'État du Michigan. La canalisation 5 est cruciale pour la stabilité de l'approvisionnement américain en propane, et pourtant - malgré la crise énergétique catastrophique dans laquelle nous nous trouvons - le procureur général du Michigan a récemment été capturé sur vidéo débitant des bêtises sans gravité :
"Reconnaissant que la bataille juridique qu'elle mène contre la ligne 5 est une bataille difficile et impopulaire, le procureur général du Michigan, Dana Nessel, a blâmé la" propagande "du propriétaire du pipeline, qui, selon elle, a" vraiment changé la perception et l'opinion du public ".
Nessel a promis de poursuivre la lutte contre la ligne 5 et a défendu les tentatives de l'administration du gouverneur Gretchen Whitmer de fermer le pipeline vieux de près de 70 ans lors d'une conversation vidéo enregistrée avec le Royal Oak Area Democratic Club. Le groupe conservateur Michigan Rising Action a partagé la vidéo avec Breitbart.
Nous croyons que nous sommes au début d'une famine mondiale aux proportions historiques. Dans un défi stupéfiant à la logique, de nombreux politiciens américains continuent d'attaquer l'élément vital de notre propre infrastructure de production d'énergie, cherchant à marquer des points politiques contre « l'autre équipe », blâmant les producteurs de prix des matières premières mondiales pour avoir abusé, menaçant les producteurs d'énergie avec impôts sur les bénéfices exceptionnels, résistant aux appels à supprimer les obstacles bureaucratiques à une nouvelle production et refusant d'ouvrir un manuel d'introduction à la physique pour les guider à travers la série de choix politiques qui nécessitent un véritable leadership pour réussir. Ils restent coincés dans une boucle sans fin de platitudes, de blâme, de corruption et d'ignorance.
Comme Eisenhower l'identifie avec justesse dans notre citation d'ouverture, la distance a un effet anesthésiant sur l'observateur de tout événement. On se demande combien de personnes mourront de faim avant que nos politiciens ne deviennent sérieux. Les populations les plus à risque de tomber du bord sont à l'autre bout du monde et nous craignons que ce nombre ne soit trop élevé.
Chez Doomberg, nous sommes fiers de voir les tendances tôt et d'avoir des mois d'avance sur le flux de nouvelles. Nous sommes constamment centrés sur l'humain. Jamais nous n'avons été aussi sûrs de nos croyances tout en souhaitant ardemment avoir tort. Une famine mondiale n'est pas une blague, et la prévoir correctement n'apporterait aucune joie.
Les échanges sont indispensables pour tout le monde. Le pétrole, le café, le blé, la viande, les métaux et surtout les connaissances. Le savoir est indispensable mais trop de gens délèguent cette option à leur cerveau extérieur ! la télé ! la radio ou les journaux ! C'est pourquoi le con s'étonnera toujours de ce qui arrive.
Rares sont les bestioles qui immigrent pour bouffer, quelques oiseaux, quelques poissons et aujourd'hui de plus en plus d'êtres humains cherchent à voir si l'herbe est plus verte ailleurs alors qu'ils ne connaissent rien à l'agriculture et demeurent aussi cons à l'arrivée qu'au départ. Le plus grave a été toutes ces ordures de 'chefs d’États' qui ont tout fait durant des siècles pour empêcher les fruits et légumes d'être arrosés ! Aujourd'hui encore ce sont ces mêmes merdes qui crient à qui veulent les entendre que l'eau va manquer ! Ou, qu'il ne faut pas labourer et semer sur le sol dur !! Ou empêcher l'usage de désherbants car les champs de blé sont fait pour être envahi par des herbes ou qu'il ne faut pas traiter car d'apporter des remèdes aux maladies des plantes tue de précieux insectes ravageurs !! Ce sont ces mêmes qui portent des masques anti-poussières d'un écart de mailles de 150 microns quand la poussière (virus) ne mesure que 0,1 à 0,5 micron ! HAHAHAHA ! Les cons vont crever. On circulera mieux sur les routes.
Buchanan : La victoire de l'Ukraine vaut-elle le risque d'une guerre nucléaire ?
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 26 MARS 2022 - 21:30 Écrit par Pat Buchanan,
Pendant les 70 années d'existence de l'Union soviétique, l'Ukraine faisait partie intégrante de la nation.
Pourtant, cette réalité géographique et politique ne représentait aucune menace pour les États-Unis.
Une Russie et une Ukraine, toutes deux à l'intérieur de l'URSS, étaient une réalité acceptée qui n'était pas considérée comme une menace pendant les sept décennies où elles étaient unies.
Pourtant, aujourd'hui, à cause d'une guerre vieille d'un mois entre la Russie et l'Ukraine, pour savoir qui contrôlera la Crimée, le Donbass et les côtes ukrainiennes de la mer Noire et d'Azov, l'Amérique semble plus proche d'une guerre nucléaire qu'à tout autre moment depuis la crise des missiles cubains. de 1962.
Pourquoi ?
Il est temps de prendre du recul et de réfléchir à ce qui est en jeu.
Quelle menace exactement l'invasion de l'Ukraine par la Russie nous présente-t-elle si grave que nous envisagerions une action militaire qui pourrait conduire à la troisième guerre mondiale et à l'utilisation par la Russie d'armes nucléaires sur le champ de bataille contre nous ?
Le président russe Vladimir Poutine a fait allusion à plusieurs reprises à l'utilisation de telles armes, si l'OTAN devait intervenir dans la guerre en Ukraine et que la Russie devait faire face à la défaite, ou en cas de menace « existentielle » pour la nation russe.
Nous entendons de nos élites morales que la morale nous commande d'intervenir pour sauver le peuple ukrainien des ravages d'une guerre qui a déjà coûté la vie à des milliers d'Ukrainiens.
Mais quelle serait la justification d'une intervention militaire américaine en Ukraine, en l'absence d'une autorisation du Congrès ou d'une déclaration de guerre ?
Considérer. L'année où l'heure libérale est arrivée en Amérique avec le New Deal, 1933, un Franklin D. Roosevelt nouvellement inauguré a officiellement reconnu le régime meurtrier de Joseph Staline comme le gouvernement légitime d'une URSS dirigée par la Russie.
FDR a rencontré personnellement le ministre soviétique des Affaires étrangères Maxime Litvinov alors même que l'Holodomor, la famine forcée des paysans ukrainiens et des petits agriculteurs, des koulaks et de leurs familles, était bien avancée.
Walter Duranty, le journaliste du New York Times à Moscou, a remporté un Pulitzer pour avoir dissimulé ce crime du siècle avec ses 4 millions de morts estimés.
La question demeure : quand les relations entre la Russie et l'Ukraine sont-elles devenues une question d'un intérêt si vital pour les États-Unis que nous risquerions une guerre, une éventuelle guerre nucléaire, avec la Russie dessus ?
Nous sommes arrivés là en exploitant notre victoire de la guerre froide comme une opportunité pour déplacer l'OTAN, notre alliance de la guerre froide, dans une douzaine de pays d'Europe centrale et orientale, jusqu'aux frontières de la Russie. Ensuite, nous avons commencé à faire entrer l'Ukraine dans l'OTAN, la république constituante de l'ancienne Union soviétique avec l'histoire la plus longue et la plus profonde avec la Mère Russie.
Ainsi, alors que Poutine a commencé cette guerre, les États-Unis ont mis la table pour cela.
Nous avons poussé notre alliance militaire, l'OTAN, créée en 1949 pour contenir et, si nécessaire, combattre la Russie, à 1 000 milles à l'est, droit dans le visage de la Russie.
Dans les années 1930, lorsqu'on a demandé à la Britannique Lady Astor si elle savait où Hitler était né, elle a répondu : « Versailles ».
Lors de la Conférence de paix de Paris de 1919, qui a produit le Traité de Versailles, des millions de peuples germaniques et les terres qu'ils avaient habitées ont été séparés de la domination allemande et distribués à une demi-douzaine de nations à travers l'Europe.
Quand nous nous remettrons sur pied, nous reprendrons tout ce que nous avons perdu, a déclaré le général Hans von Seeckt de l'état-major allemand.
Nous entendons des avertissements selon lesquels si la Russie utilise des armes chimiques en Ukraine, l'OTAN réagira militairement. Mais si aucun allié de l'OTAN n'est attaqué, pourquoi l'OTAN répondrait-elle à une attaque russe contre l'Ukraine ?
Bien qu'interdites aujourd'hui, les armes chimiques ont été utilisées par tous les principaux participants à la Première Guerre mondiale, y compris les Américains.
Quant aux armes atomiques, seuls les Américains les ont utilisées.
Et bien que nous n'ayons pas introduit le bombardement des villes - les Britanniques et les Allemands l'ont fait - nous avons perfectionné le bombardement en tapis de villes comme Cologne, Hambourg, Berlin, Dresde et Tokyo.
La guerre d'Ukraine, qui a maintenant un mois, a démontré l'utilité des armes nucléaires. La menace crédible de Poutine de les utiliser a poussé les États-Unis et l'OTAN à refuser catégoriquement la demande de Kiev de mettre en place une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine.
Et comme la menace de la Russie d'utiliser des armes nucléaires a dissuadé l'OTAN d'intervenir aux côtés de l'Ukraine dans cette guerre, les autres nations ne manqueront pas le message : la possession d'armes nucléaires peut dissuader même les plus grandes puissances nucléaires.
Plus cette guerre dure, plus les souffrances et les pertes sont grandes de tous les côtés. Des milliers de soldats et de civils ukrainiens sont déjà morts, 10 millions d'entre eux ont été déracinés de chez eux, un tiers de ce nombre ayant fui vers les États voisins d'Europe de l'Est.
Plus la guerre dure, plus il est probable que Poutine ait recours à des bombardements et à des bombardements aveugles pour tuer la résistance, et plus grande est la possibilité que la guerre s'étende à l'Europe de l'OTAN.
Pendant ce temps, dans la patrie américaine sécurisée, à 5 000 miles de Kiev, les spécialistes de la politique étrangère ne manquent pas pour une «victoire» sur la Russie de Poutine et sont prêts à se battre pour remporter cette victoire - jusqu'au dernier Ukrainien.
Ne rêvons pas ! lorsque Vladimir Poutine parle de réplique il ne parle pas qu'il a des arcs et des flèches ou des lance-pierres et des frondes ! Il parle de ce qu'il a et de la performance inégalable de ses missiles. Aucun pays au monde ne fait peur à la Russie.
Quand on voit des dirigeants mener une politique de merde à vendre des éoliennes et panneaux solaires... là, faut être tombé bien bas pour oser parler de performances !!
C'est à l'actualité présente dans le monde que l'on se rend compte d'où est l'intelligence ! Où sont les cerveaux qui investissent dans la vérité ? Réponse: La Chine et la Russie !
Et, qui dit fuite des cerveaux dit fuite des...
La fortune secrète de Raymond Barre découverte en Suisse
https://www.dailymotion.com/video/x7celdo
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8. * Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros. Ce nombre équivaut à dix sexdécilliards. https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux Etats-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
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Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
La nouvelle langue de Covid a apporté des changements de définition à des mots comme « pandémie », « vaccin » et « immunité collective »
Samedi 26 mars 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, la pandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) a tout changé, y compris les définitions de mots qui signifiaient quelque chose de complètement différent avant même que quiconque n'ait jamais entendu le mot "covid".
Prenez le mot « pandémie », par exemple. Celui-ci a en fait été modifié en 2009 pour le H1N1 lorsque l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a tenté de le rendre plus «inclusif».
Avant 2009, le mot pandémie était défini comme suit :
"Une pandémie de grippe se produit lorsqu'un nouveau virus grippal apparaît contre lequel la population humaine n'a aucune immunité, entraînant plusieurs épidémies simultanées dans le monde entier avec un nombre énorme de décès et de maladies."
Après 2009, il a été remplacé par ceci :
"Une pandémie de grippe peut survenir lorsqu'un nouveau virus grippal apparaît contre lequel la population humaine n'a aucune immunité."
Comme vous pouvez le voir, la condition préalable à la maladie et aux décès en grand nombre a été entièrement supprimée. Maintenant, il ne s'agit que de «cas», qui, comme nous le savons, peuvent être définis comme à peu près n'importe quoi en raison de résultats de test faussement positifs générés par le système PCR frauduleux.
Le terme «immunité collective» a également été modifié pour n'inclure que les troupeaux de personnes vaccinées.
« Pour vendre des vaccins, soit on ignore complètement la notion d'immunité naturelle, soit on la prétend inférieure à l'immunité induite par un vaccin », rapporte le Daily Exposé.
La définition originale de l'immunité collective avant 2020 la définissait comme une protection dérivée d'une maladie infectieuse qui est dérivée lorsqu'une population devient immunisée "soit par la vaccination, soit par l'immunité développée par une infection antérieure".
Désormais, l'immunité collective est définie exclusivement en termes de vaccins. Il n'y a plus d'immunité à avoir de son propre système immunitaire naturel.
"'L'immunité collective', également connue sous le nom d''immunité de la population', est un concept utilisé pour la vaccination, dans lequel une population peut être protégée contre un certain virus si un seuil de vaccination est atteint", indique la nouvelle définition.
"L'immunité collective est obtenue en protégeant les gens d'un virus, et non en les y exposant."
En d'autres termes, vous ne pouvez plus faire confiance à votre propre système immunitaire naturel pour vous protéger contre les infections. Vous devez vous faire injecter des produits chimiques mystérieux de Big Pharma pour que cela se produise.
Le monde a été tellement stupide que tout est désormais qualifié de "vaccin" Le mot « vaccin » signifie aussi autre chose à l'ère post-covid.
Auparavant, un vaccin devait, vous savez, fournir un certain type de protection contre la maladie – mais plus maintenant. Maintenant, il suffit de "diminuer les symptômes" ou quelque chose comme ça.
La définition de vaccin a en fait été altérée pendant de nombreuses années, car elle a été redéfinie en 2015 à partir des éléments suivants :
"Injection d'un organisme infectieux tué ou affaibli afin de prévenir la maladie."
Entre 2015 et 2021, cette définition a été modifiée pour :
"Le fait d'introduire un vaccin dans le corps pour produire une immunité contre une maladie spécifique."
Maintenant, un vaccin est défini comme ceci :
"L'acte d'introduire un vaccin dans le corps pour produire une protection contre une maladie spécifique."
En d'autres termes, l'immunité n'est plus le but de la vaccination. Tout ce qu'un tir doit faire est de fournir un vague niveau de "protection", quelle que soit sa définition à un moment donné, pour être admissible.
Ensuite, un politicien n'a qu'à se précipiter à toute allure sous le couvert d'une urgence de santé publique et le tour est joué : de l'argent facile pour Big Pharma et ses acolytes politiques.
"N'oubliez pas de 'suivre la science' mais seulement la 'science' stipulée par les dictateurs de la santé mondiale", dit l'Exposé. "La" science "qu'ils fabriquent pour s'adapter à leur programme complet avec la novlangue orwellienne. Si vous ne le faites pas, vous êtes un théoricien du complot portant un chapeau en papier d'aluminium.
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur Fascism.news.
Je trouve que ce qualificatif est plutôt gratifiant car il signifie que je ne suis en aucun cas imprégné par la propagande occidentale mensongère. L’Occident s’énerve avec les USA qui mènent la danse car ils ne sont pas arrivés à intégrer l’Ukraine dans l’OTAN. Un tel projet aurait constitué un casus belli pour le Kremlin. Pourquoi la Russie a décidé d’intervenir dans la zone russophone de l’Ukraine après avoir reconnu les républiques indépendantistes russophones du Donbass ? Parce la Russie savait que l’armée néo-nazie de Kiev s’amassait le long de la ligne de démarcation entourant le Donbass depuis le milieu du mois de février. L’autre fait qui a motivé l’intervention russe sur le terrain n’est qu’une réaction de solidarité avec ce peuple sauvagement bombardé depuis la fin de l’année 2014, puni par des mesures ressemblant à une épuration ethnique : arrêt du paiement des retraites et des salaires des employés de l’Etat, interdiction de l’enseignement de la langue russe, coupures de l’alimentation en eau et en gaz (provenant de la Russie), massacres d’enfants, viols des jeunes filles …
Quand la préparation de l’assaut destructeur final a été détecté la Russie a réagi, c’est aussi simple que cela.
Les Occidentaux prétendent que l’armée russe s’enlise. C’est une fausse nouvelle : près de 80 % de la ville de Marioupol est libérée et les commandos spéciaux des Tchétchènes aguerris pour déloger les jihadistes en combat urbain ont été déployés pour nettoyer la ville des néo-nazis. Il s’agit maintenant de quelques jours. Le gros de l’armée ukrainienne néo-nazie est encerclé. Ils seront bientôt à court de munitions et devront se rendre. Ils iront probablement finir leurs jours en Sibérie.
Alors viendra le temps des négociations, certainement pas avec l’actuel président ukrainien cocaïnomane réputé et totalement corrompu dont le nom figure dans les Pandora papers, mais avec un nouveau gouvernement issu de nouvelles élections. La reconnaissance de l’indépendance des républiques russophones du Donbass ainsi que le rattachement de la Crimée devront être entérinés. La neutralité de l’Ukraine sera exigée par Moscou. Tout un programme !
Puisque j’ai été traité de poutinolâtre je voudrais prendre un exemple pour décrire ce qui se passe depuis 8 ans en Ukraine. Supposons que la Wallonie francophone soit assiégée et bombardée par la population flamande de Belgique qui veut en finir avec cette erreur linguistique et religieuse. Comment réagirait la France ? Les Wallons sont francophones et catholiques, ce sont des « frères » de la France. Moralement la France devrait réagir militairement pour mettre fin au supplice des Wallons. La Belgique deviendrait alors un Etat fédéral ou alors disparaîtrait en tant qu’Etat avec la Flandre rattachée aux Pays-Bas, la Wallonie intégrée à la France et un petit pays englobant la région majoritairement francophone de Bruxelles émergerait, un peu comme le Luxembourg ou le Lichtenstein. Ci-dessous se trouvent des liens que mes lecteurs connaissent surement pour bien se faire une idée objective des événement ukrainiens.
Le parc éolien victorien perd son procès à cause du bruit, doit éteindre les turbines la nuit !
March 27th, 2022
À la Cour suprême de Victoria, un juge vient d'ordonner que le parc éolien de Bald Hills s'éteigne la nuit. Après sept ans de douleur et de souffrance, deux ménages vivant à proximité recevront enfin un soulagement nocturne et des paiements de 92 000 $ et 168 000 $.
"Le bruit du parc éolien a été une nuisance de droit commun dans les deux propriétés."
Cela pourrait tout changer. Ces installations industrielles proches des habitations sont devenues encore moins rentables car elles ne peuvent pas fonctionner la nuit. Ils doivent également payer des dommages-intérêts aux personnes touchées par le bruit et faire plus d'entretien pour réduire le bruit - comme réparer les boîtes de vitesses plus souvent, et ils peuvent avoir à payer pour apporter des modifications aux maisons à proximité pour atténuer la nuisance, ou payer une compensation. De nombreuses propriétés à proximité des tours ont renoncé à y construire de nouvelles maisons.
Ce qui ressort de cette décision, c'est à quel point les tentatives du gouvernement qui a approuvé les centrales éoliennes, ou des entreprises qui en ont profité, de mesurer et d'évaluer le bruit et de répondre aux plaintes étaient tout à fait inadéquates. Malgré la construction de dizaines de milliers de parcs éoliens, la science des perturbations acoustiques qui en découlent est pratiquement un vide. Si les entreprises qui ont construit ces machines étaient des acteurs environnementaux attentifs, elles disposeraient de nombreuses mesures, ainsi que de données accessibles au public. Ils connaîtraient l'effet des différentes vitesses et directions du vent, ainsi que des températures et de l'humidité. Dans leur propre intérêt, ils identifieraient les pires conditions et éteindraient certaines turbines de manière préventive afin d'éviter des cas exactement comme celui-ci (et juste pour montrer qu'ils étaient de bons citoyens du monde).
Les déclarations des témoins incluent des effets intermittents si graves que les gens prennent des analgésiques, installent du double vitrage et même dorment ailleurs dans leur voiture en désespoir de cause. Même pendant la journée, regarder la télévision ou parler devient parfois si difficile qu'un témoin envoie des SMS pour avoir une conversation.
Personne ne le mentionne même ici - si ce bruit est parfois si épouvantable pour les humains autour de ces tours, qu'en est-il pour les animaux ?
Une décision historique rend justice aux victimes : la Cour suprême ordonne la fermeture totale du parc éolien par Stopthesethings
Dans une première mondiale, des voisins tourmentés par le bruit des éoliennes ont remporté une victoire historique, obligeant l'exploitant à arrêter toutes ses éoliennes la nuit.
Hier, la juge Melinda Richards de la Cour suprême de Victoria a imposé une injonction à un parc éolien parce que le bruit qu'il génère rend les voisins fous depuis sept ans et que l'exploitant n'a absolument rien fait pour leur souffrance.
Son Honneur a également ordonné des dommages-intérêts, y compris des dommages-intérêts majorés pour la manière autoritaire dont l'exploitant a traité ses victimes. Depuis mars 2015, la communauté entourant le parc éolien de Bald Hills est torturée par le bruit à basse fréquence et les infrasons générés par 52, 2 mégawatts Senvion MM92.
Après un procès meurtrier (où l'opérateur a dissimulé des preuves critiques aux plaignants et son consultant en acoustique a été surpris en train de "filtrer" - c'est-à-dire de détruire - des tonnes de données sur le bruit) et un procès âprement disputé, ces messieurs très courageux ont établi ce qui a été connu depuis le début : chacun a le droit juridiquement exécutoire de dormir profondément la nuit dans sa propre maison ; et l'industrie éolienne détruit ce droit en toute impunité depuis bien trop longtemps.
Ce que Noel Uren et John Zakula ont réalisé n'est pas seulement remarquable et noble, cela reflète l'adage selon lequel le mal prévaut lorsque les hommes bons ne font rien.
Refusant de se laisser effrayer par les menaces, les brimades et l'intimidation de l'opérateur, ces hommes ont fait quelque chose et, par conséquent, chaque victime de l'industrie éolienne leur doit une dette de gratitude éternelle pour ce qu'ils ont accompli et rendu public. Enfin. Enfin. Justification. Douce justification.
Indemnité à payer
(23) Quelle est la mesure appropriée de la perte et du dommage de chaque demandeur, compte tenu des réponses aux questions 15 à 22 ci-dessus ?
M. Uren recevra des dommages-intérêts d'un montant de 92 000 $, comprenant 46 000 $ pour la perte passée d'agrément et 46 000 $ pour des dommages-intérêts aggravés. M. Zakula recevra des dommages-intérêts de 168 000 $, dont 84 000 $ pour la perte passée d'agrément et 84 000 $ pour des dommages-intérêts aggravés.
Je trouve que le bruit des turbines du parc éolien a réveillé M. Zakula ou l'a tenu éveillé à des centaines de reprises depuis juin 2015. Il y a eu des nuits où il était incapable de dormir du tout. Il y en avait d'autres quand il a quitté la maison et a dormi dans sa voiture à la plage de Walkerville pour échapper au bruit. À tous égards, cela équivaut à une ingérence substantielle dans la jouissance de sa propriété par M. Zakula la nuit - en particulier, sa capacité à dormir sans être dérangé dans son propre lit dans sa propre maison sur sa propre propriété rurale. L'interférence est intermittente, mais continue. Bien que M. Zakula soit agacé par le bruit des turbines pendant la journée, cela n'interfère pas substantiellement avec sa jouissance de sa propriété.
[après examen du témoignage de Noel Uren, Son Honneur a conclu] :
Je constate que le bruit des éoliennes a perturbé le sommeil de M. Uren, le réveillant ou le gardant éveillé, ou les deux, à environ 100 reprises entre mai 2015 et décembre 2018.
C'est de la science douteuse du début à la fin L'exploitant du parc éolien a affirmé avoir mesuré le bruit de fond avant et après la construction du parc éolien. Cependant, ils ont constaté que les niveaux de bruit étaient improbablement inférieurs après le fonctionnement des éoliennes.
"Il est possible que les niveaux sonores enregistrés aient été affectés par les activités de construction, y compris les véhicules lourds sur Buffalo-Waratah Road."
[La cause la plus probable est que MDA a fait ce qu'elle fait toujours : elle a placé ses enregistreurs de bruit à proximité de grands arbres et/ou sous des buissons lors de la collecte de données sur le bruit avant la construction (augmentant ainsi les niveaux de bruit moyens à toutes les vitesses de vent) et, lorsque il est revenu pour recueillir des données sur le bruit opérationnel, il a placé ses enregistreurs de bruit loin des arbres, des buissons et d'autres objets solides (réduisant ainsi les niveaux de bruit moyens à toutes les vitesses de vent, même avec la contribution des éoliennes, si, en effet, l'un d'entre eux était , en fait, opérant à l'époque). C'est le tour le plus ancien du livre et il est utilisé par MDA et d'autres depuis des années, dans toute l'Australie. L'autre astuce jouée par l'opérateur, dans ce cas, a été de retenir les données brutes des experts en acoustique des plaignants, le Dr Bob Thorne et Les Huson. Alors qu'ils étaient heureux de fournir les données brutes à leur propre garçon, Chris Turnbull, les experts acoustiques des plaignants ont été délibérément privés de la possibilité d'évaluer et d'examiner ces données. Son Honneur était cinglant à propos de cette conduite]
Le MDA ne fournirait pas les données (même en cas de découverte de documents) et n'expliquerait pas le "filtrage" qu'ils utilisaient sur les données. Les demandeurs ont été « stupéfaits » de constater que les données qu'ils avaient demandées existaient et étaient maintenant utilisées contre eux :
Le Dr Thorne et M. Huson ont tous deux déclaré qu'ils ne savaient pas comment MDA avait filtré ses données de base, car ils n'avaient jamais vu les ensembles de données de MDA. M. Turnbull a déclaré qu'il avait demandé et analysé les données de base brutes pour les emplacements 19, 61 et 66, et s'était assuré qu'ils avaient appliqué le même filtrage aux données de pré-construction et d'exploitation. Le Dr Thorne a été « stupéfait » d'apprendre que ces données brutes avaient été fournies à M. Turnbull, alors qu'il avait demandé les mêmes informations 18 mois auparavant et qu'elles n'avaient jamais été fournies. Les données de base brutes n'ont apparemment pas été découvertes par Bald Hills, ni produites par MDA en réponse à une assignation à comparaître qui lui a été signifiée en mai 2020.
Le juge a décrit cela comme "insatisfaisant" et n'a pas accepté l'avis de M. Turnbull, étant donné que les demandeurs n'avaient pas accès aux données.
De nombreux témoins décrivent les effets du bruit des éoliennes :
M. Jelbart a déclaré que son expérience était "bien pire" à l'intérieur de sa maison qu'à l'extérieur, et qu'elle était particulièrement mauvaise la nuit. Parfois, les turbines font plus de bruit que sa télévision, même après avoir monté le volume. Il porte souvent des bouchons d'oreille au lit, mais il est toujours réveillé pendant la nuit. Il attribue cette perturbation du sommeil — qu'il dit avoir subie depuis environ six ans — au bruit des éoliennes. Il se réveille parfois avec un mal de tête. Pour tenter de bloquer une partie du bruit, il a déménagé dans une pièce à l'arrière de sa maison et a planté des arbres.
Selon M. Jelbart, le bruit au Tenement A est "horrible pendant la journée". Il a dit que s'il devait y passer quelques heures, il mettrait des bouchons d'oreille ou quitterait complètement la propriété. Il a décrit le bruit au Tenement A comme un " battement pulsé ", parfois avec un " whoosh ", et souvent avec un " bruit de boîte de vitesses ", une " sorte de grincement de bruit mécanique ", qui signale qu'il y a une boîte de vitesses qui a besoin d'attention. . Le bruit varie en fonction de l'endroit où il se trouve sur la propriété et de la direction dans laquelle le vent souffle. M. Jelbart a déclaré que bien qu'il puisse toujours entendre le bruit lorsque le vent souffle, il est particulièrement mauvais lorsque la brise est douce et que le vent vient du sud ou du sud-ouest. Il a dit que le bruit semble être pire pendant les mois d'hiver.
Mme Jelbart a déclaré que lorsqu'elle est chez elle la nuit, lorsque le vent s'est calmé, les sons du parc éolien peuvent être très audibles – «cela peut être un bruit sourd, un gémissement, un vrombissement, un grincement; vous pouvez obtenir tous ces sons en cinq minutes, puis c'est juste en boucle, en boucle, en boucle ». Elle a décrit le bruit comme ayant «une nuance profonde qui en quelque sorte – ça vous rentre en quelque sorte dans la tête». Ça vibre juste à travers vous. » Comme M. Jelbart, elle peut entendre les turbines par-dessus le son de leur télévision, même si le volume est élevé. Le bruit la réveille régulièrement pendant la nuit et au petit matin. Au réveil, elle a souvent mal à la tête. Parce qu'elle ressent tellement de tension, elle a pris l'habitude de porter un protège-dents au lit pour protéger ses dents.
Dorothy Fairbrother et son mari Don vivent et travaillent sur leur propriété agricole sur Buffalo-Waratah Road, Tarwin Lower. La propriété est située entre la maison de M. Zakula et l'endroit où vivait M. Uren. Mme Fairbrother a décrit le son des éoliennes comme "un bruit sifflant et lancinant qui n'a tout simplement pas disparu". Elle a dit que le bruit est plus important le soir. Il peut parfois être entendu à la télévision, et elle augmente donc le volume de la télévision pour camoufler le bruit. Elle a décrit le bruit comme étant similaire au « syndrome du robinet qui goutte » qui continue de « va et vient et continue » la nuit et interrompt son sommeil. Elle n'entend pas le bruit tous les soirs. C'est pire quand le vent souffle du nord-ouest, ce qui se produit davantage en automne et en hiver. Pendant les mauvaises périodes, qui peuvent durer jusqu'à trois semaines, son sommeil est interrompu chaque nuit.
Mme Fairbrother souffre de « mauvais maux de tête » en raison du bruit des turbines la nuit, pour lesquels elle prend du paracétamol et des médicaments plus puissants si nécessaire. Elle ne prend rien pour l'aider à s'endormir - elle essaie de "juste le supporter". Elle et M. Fairbrother ont essayé d'atténuer le bruit en doublant les fenêtres de leur maison, mais cela n'a pas beaucoup aidé.
Don Fairbrother : …se réveillait tôt le matin avec un très gros mal de tête, et quand il mettait son appareil auditif, il réalisait ce qui se passait. Lorsqu'il se réveillait la nuit avec un mal de tête, il prenait du Panadol, mais avait toujours du mal à se rendormir. Même avec son appareil auditif sorti, il se tournait et se retournait, ayant rompu son sommeil, sentant le bruit. M. Fairbrother a déclaré que le bruit est moins audible en été et non le problème qu'il pose en hiver.
La famille de Stuart Kilsby vivait sur leur ferme à Tarwin Lower jusqu'à ce qu'ils déménagent en 2012 ou 2013. Le père de M. Kilsby ne pensait pas qu'ils pourraient rester sur la ferme une fois que le parc éolien a commencé à fonctionner en raison du «problème de bruit». Avant cela, M. Kilsby avait prévu de construire une maison sur la propriété et avait choisi un site surplombant toute la ferme, avec vue sur le détroit de Bass, l'entrée d'Inverloch et le promontoire de Wilsons. Il n'a plus l'intention de construire cette maison.
Après que les turbines ont commencé à tourner, le père de M. Kilsby n'a pas pu supporter le bruit et a laissé l'agriculture à son fils. M. Kilsby avait hâte de venir travailler à la ferme, sachant qu'il entendrait le bruit toute la journée. A la ferme, il avait du mal à se concentrer. Il avait du mal à chasser le bruit de sa tête, même après avoir quitté la ferme. Parfois, il devait quitter la ferme lorsque le bruit devenait vraiment mauvais. Il avait l'habitude d'emmener sa femme et ses jeunes enfants à la ferme pour faire du camping ou des pique-niques, mais il ne le fait plus car il s'inquiète du bruit des éoliennes.
Robert Soler… a décrit les sons les plus forts comme étant, "quand vous êtes à côté d'une route bondée de voitures, vous savez, de la circulation ou d'une rivière, quelque chose comme ça." Il a dit que, quand le son est fort, il aura souvent des problèmes entendre ce que disent les autres et devra élever la voix, appeler la personne ou lui envoyer un SMS. Il a dit que le bruit est pire quand le vent souffle de l'est. Le bruit monte dans sa tête et est constant; il en a « marre parce que c'est tout le temps le même bruit ».
h/t to Paul Miskelly
REFERENCES StopTheseThings has a much longer description and more information.
Un essaim de 12 000 tremblements de terre secoue l'île des Açores et suscite des spéculations sur une éruption volcanique
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 27 MARS 2022 - 19:00
Les résidents d'une île volcanique portugaise de l'océan Atlantique sont évacués alors que des milliers d'essaims de tremblements de terre ont été détectés et pourraient indiquer une activité éruptive à l'avenir.
Aux Açores, certains habitants de Sao Jorge ont fait leurs valises et quitté la petite île alors que la crainte d'une catastrophe potentiellement plus importante se profile après plus de 12 000 secousses enregistrées depuis samedi dernier, selon Daily Express.
Les essaims de tremblements de terre "sont probablement causés par une intrusion magmatique à 10-15 km de profondeur et pourraient indiquer une activité éruptive renouvelée à l'avenir", a déclaré VolcanoDiscovery. Environ 200 des tremblements de terre ont enregistré une magnitude allant jusqu'à 3,3.
- voir cartes sur site -
Mercredi, le Centre d'information et de surveillance sismovolcanique des Açores (CIVISA) a augmenté l'alerte volcanique au niveau 4, ce qui signifie une "possibilité réelle" que le volcan entre en éruption pour la première fois depuis 1808.
Le sismologue Joao Fontiela a déclaré à l'agence de presse Lusa que "Sao Jorge a peu de tremblements de terre" chaque année, mais "nous parlons maintenant de milliers". Il met en place des stations de surveillance sismique autour de l'île pour surveiller les développements.
La CIVISA a déclaré qu'il n'y avait "aucune preuve qu'une éruption volcanique était imminente". Mais l'agence a déclaré qu'une éruption ne devrait pas être négligée. Il a souligné que les essaims de tremblements de terre sont anormaux.
Les lecteurs se souviendront peut-être que nous avons signalé des centaines d'essaims de tremblements de terre juste avant une éruption massive sur l'île volcanique de La Palma dans les îles Canaries en Espagne l'automne dernier.
En général, une batterie de smartphone peut fonctionner correctement pendant 18 mois à 2 ans.
Autour de nous, de plus en plus d’appareils sont électriques, mais surtout, alimentés par une batterie. Voici comment ils fonctionnent.
Des batteries sur tous nos appareils électriques
Le premier d’entre eux, c’est bien évidemment votre smartphone, que vous rechargez tous les soirs. L’ordinateur est quant à lui de plus en plus souvent portable et donc également équipé d’une batterie, tout comme la tablette ou la Switch des enfants. Même les montres dites “intelligentes” se rechargent désormais. Vous me voyez sans doute venir. Oui, la question qui revient souvent pour tous ces appareils, c’est : est-il risqué de les charger à 100 % ? Est-ce que cela abîme la batterie ?
Les batteries de nos appareils observent nos habitudes
Et bien, rassurez-vous : désormais, ce genre de souci, c’est le plus souvent votre appareil qui le gère comme un grand. À votre insu, les smartphones comme les ordinateurs portables récents optimisent en effet la charge pour préserver le plus possible la batterie. Pour faire simple, la plupart du temps, ces appareils chargent d’abord jusqu’à 80 % de leur autonomie quand vous les branchez le soir. Ensuite, ils marquent une pause. Enfin, un peu avant que vous les débranchiez, car ils vous observent, n’en doutez pas une seconde, ils vont stocker le reste d’énergie dans leur batterie afin d’être fin prêts pour passer la journée avec vous.
Conséquence, si un matin vous partez à 5 h plutôt qu’à 7, vous pourriez avoir la mauvaise surprise de découvrir que votre batterie n’est pas chargée à 100 %. Sauf si... sauf si votre rendez-vous matinal figure dans votre agenda électronique ! Auquel cas votre appareil en aura sûrement tenu compte. Je sais, c’est un peu flippant.
Ah, dernier point : et la voiture électrique ? Là encore, rassurez-vous : leurs batteries sont garanties 8 ans. Vous avez le temps d’avoir des soucis d’autonomie avec, ce n’est pas pour tout de suite !
A la phrase (...) NOS APPAREILS ÉLECTRIQUES NOUS OBSERVENT-ILS ? (...) il faut ajouter OUI pour TOUS les écrans plats ! C-à-d les télés, les ordis et smartphones. Elles et ils sont toutes et tous dotés de caméras et micros qui fonctionnent... même éteints ! Çà alors !
le mars 25, 2022 par hervek Par Dmitry Orlov – Le 21 mars 2022 – Source Club Orlov
Selon Reuters, le gouvernement australien a annoncé aujourd’hui l’arrêt immédiat des exportations d’alumine et de bauxite vers la Russie en guise de punition pour l’action militaire russe en Ukraine. Il a également annoncé qu’il s’efforcerait d’expédier du charbon à l’Ukraine et, bien sûr, des armes et peut-être même de l’aide humanitaire – la seule chose dont les Ukrainiens ont réellement besoin. Étant donné que mes lecteurs australiens subsistent dans des conditions de censure d’État totalitaire, il est peu probable qu’ils trouvent une interprétation raisonnable de l’impact de ces décisions de la part de quelqu’un de chez eux, d’autant plus que cela donnerait à leurs dirigeants intrépides l’air particulièrement stupide, et je suis donc impatient de m’obliger à combler cette lacune.
L’alumine et la bauxite sont utilisées pour fabriquer de l’aluminium, qui est un métal industriel d’importance critique. De tous les minerais industriels, ce sont les seuls qui ne sont pas du tout en danger d’épuisement. Il en existe de multiples sources et le choix de celle à utiliser est une question de commodité. Le principal ingrédient de la fabrication de l’aluminium n’est pas le minerai mais l’énergie – l’électricité, plus précisément, et ce sont les prix de l’électricité très bas de la Russie qui en font un fabricant d’aluminium très compétitif. Environ un quart du prix d’une pièce d’aluminium produite en Russie est directement lié au coût de l’électricité ; ailleurs dans le monde, ce pourcentage serait beaucoup plus élevé.
Le gouvernement australien a annoncé qu’il travaillerait en étroite collaboration avec les représentants de l’industrie pour trouver d’autres marchés pour sa terre peu coûteuse. Il a également annoncé qu’il avait l’intention d’expédier 70 000 tonnes de charbon en Ukraine. Whitehaven Coal a déjà mis ce charbon à disposition et l’on cherche un moyen de le livrer en Pologne puis en Ukraine. Enfin, il a annoncé qu’il fournirait des armes et aussi, ce dont l’Ukraine a réellement besoin : de l’aide humanitaire.
Le Premier ministre australien, Scott Morrison, a déclaré que l’interdiction d’exportation empêchera la Russie de fabriquer de l’aluminium, qui (selon lui) est un produit d’exportation d’une importance capitale pour elle. Il a tort. La Russie peut très bien se passer des exportations d’aluminium, mais l’Europe, les États-Unis et le Japon seraient certainement confrontés à de grandes difficultés s’ils étaient privés d’importations d’aluminium, car une grande partie de leur industrie fermerait. Les actionnaires occidentaux de Rusal, l’un des principaux producteurs d’aluminium russes, détenu à 57% par En+ Group International PJSC, seront également touchés par cette mesure.
La Russie s’approvisionne également en minerais auprès de l’Irlande [Il semble que l’Irlande soit plutôt un gros consommateur d’aluminium notamment russe, NdT] (et s’attend à ce que ces expéditions cessent également) et auprès d’un certain nombre de producteurs nationaux, qui vont sans doute augmenter leur production pour compenser la perte des importations, même si cela prendra un certain temps. À moyen terme, il n’y a absolument aucun problème pour que la Russie obtienne suffisamment de bauxite et d’aluminium sur son territoire pour répondre à tous ses besoins. De plus, la Russie importe ces minerais d’une usine située à Nikolaev, une ville portuaire d’Ukraine, et nous pouvons donc nous attendre à ce que cette production reprenne assez rapidement.
Néanmoins, nous devrions nous attendre à ce que les exportations d’aluminium de la Russie diminuent et peut-être cessent complètement. Il s’agirait d’une réaction typique de la Russie : dès que les prix à la production augmentent en Russie, le gouvernement russe interdit temporairement les exportations, ce qui fait baisser les prix sur le marché intérieur et les fait grimper sur le marché international. Cela s’est déjà produit avec les engrais et le blé, précipitant des crises internationales majeures. La Russie et le Belarus, qui fait également l’objet de sanctions occidentales après avoir réprimé une récente tentative de révolution colorée, sont d’importants fabricants d’engrais et pourraient bientôt être les seuls à subsister, car les prix élevés de l’énergie obligent leurs concurrents étrangers à fermer boutique.
Si les pénuries d’engrais et de blé mettent immédiatement la vie en danger – elles signifient la faim pour des millions de personnes -, l’aluminium est également assez important et une interdiction des exportations russes obligerait de nombreuses chaînes de production dans le monde à s’arrêter, ce qui mettrait des centaines de milliers de travailleurs au chômage. Ainsi, un arrêt de l’exportation de certains minerais pas particulièrement rares ou chères pourrait entraîner des pertes de plusieurs centaines de milliards, mais pas pour la Russie. Pensez-vous que Scott Morrison soit capable de suivre tout ce cheminement de pensée, ou est-il simplement trop stupide ?
Passons au charbon. Tout d’abord, 70 000 tonnes, c’est une goutte d’eau dans l’océan. Deuxièmement, tous les charbons ne sont pas identiques : l’Australie ne produit que du charbon bitumineux de faible qualité et du lignite (qui est en fait de la terre qui brûle). Les centrales électriques ukrainiennes de l’ère soviétique, quant à elles, ont été construites pour brûler spécifiquement du charbon anthracite (la plus haute qualité) extrait dans la région ukrainienne du Donbass. Avant l’« opération spéciale » russe, le régime de Kiev (ou plutôt les nazis soutenus par l’Occident qui le tenaient en otage) bloquait les livraisons directes en provenance du Donbass pour des raisons politiques (ce qui obligeait le gouvernement à se procurer ce même charbon par l’intermédiaire de la Russie, avec une majoration), mais ce n’est plus le cas, de sorte que l’approvisionnement des centrales ukrainiennes peut désormais se faire comme il avait été initialement conçu par les planificateurs centraux soviétiques – par rail, directement de la mine à la centrale.
Maintenant, juste pour rire, examinons la logistique de la livraison d’un minuscule morceau de charbon australien à l’Ukraine (en ignorant le fait qu’il est de la mauvaise qualité et donc inutile). L’ensemble du littoral ukrainien, le long des côtes de la mer d’Azov et de la mer Noire, est sous contrôle russe et la livraison directe par voie maritime ne serait donc pas possible. Au lieu de cela, le charbon devrait être livré en Pologne via la mer Baltique, chargé sur des wagons de chemin de fer et acheminé jusqu’à la frontière ukrainienne. Là, il devrait être transféré dans des wagons différents en raison de la différence d’écartement des rails (l’écartement russe de 1520 mm au lieu des 1435 mm utilisés plus à l’ouest). Tout cela pour l’acheminer vers une centrale électrique qui… refusera cette livraison parce qu’il ne s’agit pas de la bonne marchandise. Il s’agirait d’un événement décisif en quelque sorte, car l’ensemble de l’opération serait la première à atteindre un retour énergétique sur l’énergie investie de zéro exactement. Vous pensez que Morrison peut comprendre tout ça ?
Enfin, il y a la question des livraisons d’armes et de l’aide humanitaire. De nombreuses armes sont expédiées en Ukraine, notamment des missiles antiaériens et antichars assez puissants. Comme les Russes suivent ces cargaisons et les détruisent à l’aide de munitions à guidage de précision une fois qu’elles sont stockées en Ukraine, elles ne feront pas une grande différence dans la campagne russe. Mais il peut y avoir des effets secondaires amusants. Il est extrêmement probable qu’un grand nombre d’entre eux, en particulier les missiles antiaériens Stinger, se retrouveront entre les mains de terroristes, notamment de divers groupes djihadistes qui infestent actuellement l’Europe occidentale, qui pourraient utiliser ces missiles pour abattre des avions de ligne. Une fusion entre les nazis ukrainiens et les djihadistes est loin d’être impossible ; tout récemment, j’ai vu sur YouTube un type à l’allure de djihadiste débiter une rhétorique nazie, en se cachant derrière une croix gammée, pour ainsi dire. Nous pouvons être sûrs que tous ces animaux terroristes abandonnés par l’Amérique finiront par infester les rues d’Europe – tous ceux que les Russes ne tuent pas – et c’est Morrison qu’il faudra remercier pour avoir assurer leur armement.
Oh, et enfin, mais pas des moindres, il y a l’aide humanitaire qui fait cruellement défaut. Quelle aide humanitaire ? Nous ne le savons pas. Morrison ne le sait probablement pas non plus.
S’il y a une leçon générale à tirer de tout cela, c’est peut-être que, lorsqu’on s’interroge sur les sanctions anti-russes liées à l’Ukraine, il semble superflu de se demander si elles sont stupides ; il faut plutôt se demander : A quel point sont-elles stupides ?
Dmitry Orlov
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Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations. Il vient d’être réédité aux éditions Cultures & Racines.
Il vient aussi de publier son dernier livre, The Arctic Fox Cometh.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
« La supériorité militaire de la Russie est bien réelle » Jean-Pierre Petit
27/3/2022 à 12:10
Un ponte de la science ostracisé par ses confrères en France, dont les découvertes ont pourtant permis à la Russie d'acquérir une supériorité militaire incontestable. Ce scientifique, c'est Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS et astrophysicien. Il est non moins que le pionnier de la magnétohydrodynamique (MHD), technologie qu'il a imaginée et conceptualisée dans les années-70. Dénigrée dans l'hexagone en raison d'un esprit d'immobilisme structurel, cette innovation scientifique sera récupérée et dévelopée par la Russie, désormais dotée de missiles hypersoniques. Encore aujourd'hui, ce chercheur avant-gardiste de 85 ans reste confronté à un mur du silence. Aussi, nous lui avons donné la parole dans ce debriefing :
- voir clip sur site -
La compréhension de la technologie hypersonique est essentielle pour saisir les raisons qui assurent à la Russie une domination militaire sur une France ignorante de sa propre infériorité, que Jean-Pierre Petit se plait à railler : « C'est une technologie qu'on a négligée pendant 20 ans, [les experts militaires des plateaux de télé] ne savent même pas de quoi il s'agit ».
Se définissant comme une « Cassandre » scientifique « en avance sur son temps », l'astrophysicien explique avoir œuvré à la conceptualisation de cette technologie pas moins de 47 ans plus tôt. Mais en 1988, face au désintérêt de la communauté scientifique française, il a décidé de jeter l'éponge. « On est consterné devant la rigidité des structures étatiques », déplore le chercheur, autrefois considéré comme un « fou » par ses collègues du CNRS, ce qui n'est pas sans rappeler les péripéties rencontrées par un certain Pr Luc Montagnier. A contrario, les Russes ont tôt fait de repérer le potentiel de cette technologie. Mais trop tard pour la France. Selon Jean-Pierre Petit, nos instituts de recherche ne pourront jamais rattraper le retard accumulé au cours des dernières décennies.
Histoire de la MHD
En 2018, Jean-Pierre Petit avait mis en ligne trois vidéos qui expliquent les tenants et aboutissants de la MHD.
La première, datant du 17 avril 2018, est en français : Poutine dévoile les nouvelles armes stratégiques MHD russes.
Les deux vidéos suivantes, qui comprennent toutes les illustrations susceptibles d'illustrer la MHD, sont en anglais. Devant l'indifférence totale en France sur ce sujet, il ne les a pas traduites.
21 mai 2018 : Putin's new Russian MHD weapons explained (première partie)
17 juin 2018 : Putin's new Russian MHD weapons explained (seconde partie)
Vu dans la presse qu'il y aurait (...) COVID-19 : DE PLUS EN PLUS DE NOUVEAUX CAS EN FRANCE (...) !!
Premièrement, depuis deux (2 !) ans les faux tests RT-PCR aux écouvillons interdits qui déposent des nano-particules d'oxyde de graphène en cavité nasale ne font AUCUNE analyse car CETTE POUSSIÈRE (appelée virus corona19DeltaCharlieBravo) N'EXISTE PAS DANS L'AIR !! Elle est réservée aux petits veinards et veinardes qui vont se faire inoculer ! Et celles-là et ceux-là l'ont ! bien profond ! Car, la nano-particule d'oxyde de graphène (poison mortel violent) compose entre 95 et 99 % des flacons injectables !! Houlala ! Vous en avez de la chance !! Et, comme ces nano-particules sont enrobées vous ne crevez pas tout de suite ! (Ouf !) mais seulement qq heures ou qq semaines après (ce qui vous laisse le temps de réfléchir à ce que vous allez faire dans vos derniers instants). Car, si elles sont enrobées elles peuvent aussi se déshabiller ! Et là, gare au strip-tease ! vous tombez foudroyé ! On appelle çà le 'coup de foudre'. Donc, la 'soluce' serait-elle d'acheter un paratonnerre ?
Pour les non-piqués (rappel): Vous ne risquez rien ! ce n'est pas dans l'air.
Une surmortalité des jeunes liée aux vaccins partout en Europe : Partie 2
Par Pierre Lécot Mondialisation.ca, 27 mars 2022
Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021 le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne.
Premièrement, le produit injecté n'est PAS un vaccin mais une expérimentation génique d'essai. Deuxièmement, il n' y a AUCUNE posologie qui accompagne le flacon injectable !! Troisièmement, On ne vaccine PERSONNE lors d'une maladie, épidémie ou pandémie ! Quatrièmement, doivent être faites obligatoirement des sérologies AVANT et APRÈS l'injection.
Je rappelle que le 'virus' EST UNE POUSSIÈRE (voir dictionnaire) à ne pas confondre avec un microbe qui lui apporte des maladies. Une poussière NE MUTE PAS ! N'a PAS de 'petits', n'est pas 'fille' ou 'garçon'
Donc: comme il n'existe pas de vaccin anti-poussières, l'on doit appeler l'injection comme étant un antidote face au poison. Or, comme ce poison (poussière) n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT disponible en flacons & seringues, il ne peut s'agir que de piqûres létales administrées sous la contrainte.
Les agriculteurs au bord du gouffre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 MARS 2022 - 16:20
Écrit par Doomberg via doomberg.substack.com,
C'était une période effrayante d'être en mer au large de la côte est des États-Unis à Halloween en 1991. Un puissant système de tempête sur les provinces maritimes du Canada a fusionné avec les restes de l'ouragan Grace, formant un nouveau nord-est épique et dangereux. Les vents de cette nouvelle tempête ont atteint 70 milles à l'heure et une vague aussi haute que 100 pieds a été mesurée au large des côtes de la Nouvelle-Écosse, mais la tempête n'a pas été renommée tempête tropicale ou ouragan - au lieu de cela, elle n'est connue que familièrement. comme simplement la tempête parfaite. Six pêcheurs du Massachusetts ont péri lorsque leur navire Andrea Gail a coulé en pleine mer, et l'histoire de la tempête et de cette tragédie est devenue le sujet d'un livre à succès et d'un long métrage à succès.
Alors que le concept de tempête parfaite est souvent attribué de manière trop désinvolte dans la culture populaire, il est difficile de trouver une description plus appropriée de ce qui s'est déroulé sur les marchés agricoles mondiaux au cours des derniers mois. La tempête provoquée par la catastrophe énergétique européenne a fusionné avec l'ouragan de conséquences découlant de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, formant la genèse d'une crise alimentaire générationnelle qui laissera peu de personnes indemnes. Bien que nous ayons mis en garde contre un tel scénario depuis un certain temps, après avoir passé les deux dernières semaines à voyager à travers le Midwest américain et à discuter avec nos contacts dans le secteur agricole, même nous sommes un peu effrayés par ce que nous avons appris. Lors d'un krach financier, la corrélation entre toutes les classes d'actifs converge vers une. Le crash à venir de l'approvisionnement alimentaire mondial sera provoqué par un phénomène similaire dans pratiquement tous les intrants de l'agriculture - ils atteignent tous des sommets historiques simultanément, la disponibilité de l'approvisionnement diminue dans tout le spectre et le temps d'inverser les pires conséquences à venir est court rapidement.
A part ça, les choses sont super.
Nous commençons par le prix des engrais, qui a atteint des niveaux record à travers le monde. Les principales sources d'azote, de potassium et de phosphore - des apports importants pour la fertilité des sols, le rendement des cultures et l'entretien des plantes - sont toutes devenues verticales. L'ammoniac est dérivé directement du gaz naturel, et le prix du gaz naturel en dehors des États-Unis est devenu vertical. Il n'est pas surprenant que le prix de l'ammoniac ait triplé au cours des douze derniers mois. La Biélorussie est le troisième fournisseur de potasse au monde et sa société minière d'État, Belaruskali, a déclaré un cas de force majeure après l'imposition de sanctions par les États-Unis et l'Europe. Le deuxième fournisseur mondial de potasse ? Russie. Peut-être à l'avant-garde de la décision russe sur l'Ukraine, la Chine a interrompu les exportations de phosphate l'automne dernier dans le but d'assurer un approvisionnement intérieur adéquat. L'impact combiné de ces événements peut être vu dans l'indice des engrais nord-américains de Green Markets, qui suit un mélange de prix des engrais à l'échelle mondiale :
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Le contrôle des mauvaises herbes est un élément important de l'agriculture et les herbicides sont un outil irremplaçable dans le répertoire de l'agriculteur. L'herbicide le plus utilisé au monde est la molécule controversée du glyphosate, largement connue sous sa marque de commerce Roundup. Inventé par Monsanto (qui appartient maintenant à Bayer) dans les années 1970, le glyphosate a été lié à certains cancers du sang et est ciblé pour être éliminé par de nombreux groupes environnementaux. Malgré ces préoccupations, le glyphosate reste une molécule d'importance systémique - de nombreuses graines ont été génétiquement modifiées pour y résister, permettant son utilisation généralisée tout en minimisant les dommages aux cultures, et les génériques ont élargi le marché à mesure qu'il est sorti du brevet de Monsanto.
RépondreSupprimerLe glyphosate n'est en fait rien de plus qu'un engrais élégamment modifié, contenant à la fois du phosphore et de l'azote. Il est dérivé de matières premières similaires - y compris l'ammoniac - et, en tant que tel, son prix a grimpé en flèche dans un contexte de pénuries chroniques d'approvisionnement. Cela a fait grimper le prix d'autres herbicides alors que les agriculteurs cherchent désespérément des substituts, comme le décrit cet article dans The Western Producer (emphase ajoutée tout au long):
"La pénurie de glyphosate tant vantée n'est que le premier domino à tomber, selon une entreprise leader dans le domaine de la protection des cultures.
"L'effet d'entraînement sur pratiquement toutes les autres molécules d'herbicide commence à se manifester", a déclaré Cornie Thiessen, directrice générale d'ADAMA Canada. "Nous constatons un effet domino sur le marché en raison des défis du glyphosate."
Bayer avertissait déjà ses clients fin 2021 d'une éventuelle pénurie de glyphosate.
Si les agriculteurs lésinent sur les herbicides pour s'en sortir cette saison, cela ne fera que rendre la lutte contre les mauvaises herbes plus difficile à l'avenir. Comme nous l'a prévenu un expert, il suffit d'un an de négligence pour causer plusieurs années de dégâts à un champ.
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Le diesel est un autre intrant important dans l'agriculture, et il fait également face à une pénurie mondiale d'approvisionnement. Javier Blas, chroniqueur énergie et matières premières chez Bloomberg dont le compte Twitter est à suivre absolument, a récemment publié un éditorial sonnant l'alarme :
« La situation désastreuse de l'approvisionnement en diesel est antérieure à l'invasion russe de l'Ukraine. Alors que la demande mondiale de pétrole n'a pas encore atteint son niveau d'avant la pandémie, la consommation mondiale de diesel a atteint un nouveau sommet historique au quatrième trimestre de 2021. Le boom reflète la reprise économique déséquilibrée de Covid, avec une demande de transport en hausse pour faciliter l'offre- désordres de la chaîne.
Les raffineries européennes peinent à faire face à ce regain de la demande. L'une des principales raisons est le prix élevé du gaz naturel. Les raffineries utilisent du gaz pour produire de l'hydrogène, qu'elles utilisent ensuite pour éliminer le soufre du diesel. La flambée des prix de l'essence à la fin de 2021 a rendu ce processus d'un coût prohibitif, réduisant la production de diesel. »
RépondreSupprimerUne fois de plus, nous découvrons le rôle vital que joue le gaz naturel dans de nombreuses verticales en aval, un thème clé de nombreuses pièces de Doomberg. Avec des stocks à des niveaux record et des approvisionnements limités, le prix de détail du diesel aux États-Unis a battu les records précédents. En Europe, qui dépend fortement des importations russes pour le diesel et son précurseur de pétrole semi-transformé, le marché de gros est sur le point de se rompre. Voici une version mise à jour du graphique dans l'éditorial de Blas :
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Aussi coûteux qu'il soit d'alimenter l'équipement de terrain nécessaire à l'agriculture, le maintenir opérationnel devient un défi de plus en plus difficile. La même pénurie de copeaux limitant la production automobile a frappé l'industrie du matériel agricole, rendant plus difficile l'obtention de nouveaux équipements et de pièces de rechange. Les agriculteurs de l'Iowa ont récemment exprimé leur frustration lors d'un forum républicain sur l'agriculture :
« … ils ont déploré la disponibilité aléatoire de pièces pour réparer leur équipement – le résultat de perturbations pandémiques dans la production de ces pièces. Le représentant de l'Iowa, Ross Paustian, R-Walcott, est un agriculteur qui a déclaré que son voisin avait été contraint d'acheter une pompe hydraulique pour son tracteur auprès d'un concessionnaire du Nebraska, car c'était le seul endroit du pays qui l'avait en stock.
Jim Boyer, un fermier du comté d'Emmet, avait une anecdote personnelle similaire. Il attend un capteur lié aux émissions de 40 $ pour son tracteur, et il ne sait pas s'il arrivera bientôt.
"Je ne peux pas conduire ce tracteur - un équipement d'un quart de million de dollars - parce que je ne peux pas obtenir ce capteur", a-t-il déclaré.
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À ces défis liés aux machines s'ajoute une pénurie de main-d'œuvre croissante qui ajoute rapidement de la pression à cette catastrophe brassicole. Bien que les problèmes de main-d'œuvre aux États-Unis s'étendent bien au-delà de l'agriculture, certains aspects exacerbent l'impact sur les agriculteurs, notamment l'intensité du travail physique et la saisonnalité de nombreux rôles, ainsi que la dépendance à l'égard des travailleurs étrangers pour occuper des postes clés que les citoyens américains ont historiquement évités. Cela est particulièrement difficile à la lumière des mandats de vaccination aux postes frontaliers. Voici un rapport récent de Wisconsin Public Radio qui décrit bien les défis :
«Alors que certaines fermes emploient des travailleurs toute l'année, Strader a déclaré que de nombreux emplois sont saisonniers, commençant en mars et avril et se poursuivant jusqu'à la fin de l'automne, lorsque la récolte se termine.
Les producteurs étant sur le point d'embaucher pour cette année, Strader a déclaré que de nombreuses fermes avaient commencé à recruter plus tôt que d'habitude et avaient élaboré un plan d'urgence pour savoir comment passer la saison sans employés. Cela pourrait signifier l'arrêt de certains marchés ou la réduction de la variété de produits qu'ils cultivent. »
Les agriculteurs sont également en concurrence avec d'autres secteurs pour un bassin de main-d'œuvre limité. L'écart entre les offres d'emploi et les travailleurs sans emploi mais volontaires dans l'ensemble des États-Unis continue de se creuser :
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Même en supposant généreusement que les agriculteurs peuvent bricoler suffisamment d'engrais, d'herbicides, de machines et de main-d'œuvre pour produire une bonne récolte cet automne, ils pourraient devoir faire face à une autre crise d'approvisionnement que peu de gens hors champ ont sur leur radar : le propane. Alors que Tracy Schuchart – encore un autre incontournable absolu sur Twitter – est en berne depuis plusieurs mois, les États-Unis sortent de l'hiver 2021-2022 avec des niveaux d'inventaire de propane inquiétants, bien en deçà des moyennes typiques pour cette période de l'année :
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Voici la situation de l'offre sous forme de graphique, la région ombrée indiquant les niveaux de stocks élevés et faibles au cours des sept dernières années :
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Qu'est-ce que l'approvisionnement en propane a à voir avec l'agriculture ? Séchage des grains. Voici une introduction sur l'importance du séchage, tirée de Wikipedia :
« Des centaines de millions de tonnes de blé, de maïs, de soja, de riz et d'autres céréales telles que le sorgho, les graines de tournesol, le colza/canola, l'orge, l'avoine, etc., sont séchées dans des séchoirs à céréales. Dans les principaux pays agricoles, le séchage consiste à réduire l'humidité d'environ 17 à 30 % p/p à des valeurs comprises entre 8 et 15 % p/p, selon le grain. La teneur en humidité finale pour le séchage doit être adéquate pour le stockage.
De nombreuses fermes sont situées dans des zones rurales sans accès facile au gaz naturel, et donc environ 80 % des séchoirs à grains aux États-Unis, par exemple, dépendent du propane comme carburant. Dans un article que nous avons écrit en décembre intitulé Un appel urgent sur la ligne 5, nous avons raconté comment des politiciens progressistes et des groupes environnementaux ciblaient une importante artère de pipeline qui part du Canada, sous le détroit de Mackinac et à travers l'État du Michigan. La canalisation 5 est cruciale pour la stabilité de l'approvisionnement américain en propane, et pourtant - malgré la crise énergétique catastrophique dans laquelle nous nous trouvons - le procureur général du Michigan a récemment été capturé sur vidéo débitant des bêtises sans gravité :
"Reconnaissant que la bataille juridique qu'elle mène contre la ligne 5 est une bataille difficile et impopulaire, le procureur général du Michigan, Dana Nessel, a blâmé la" propagande "du propriétaire du pipeline, qui, selon elle, a" vraiment changé la perception et l'opinion du public ".
Nessel a promis de poursuivre la lutte contre la ligne 5 et a défendu les tentatives de l'administration du gouverneur Gretchen Whitmer de fermer le pipeline vieux de près de 70 ans lors d'une conversation vidéo enregistrée avec le Royal Oak Area Democratic Club. Le groupe conservateur Michigan Rising Action a partagé la vidéo avec Breitbart.
Nous croyons que nous sommes au début d'une famine mondiale aux proportions historiques. Dans un défi stupéfiant à la logique, de nombreux politiciens américains continuent d'attaquer l'élément vital de notre propre infrastructure de production d'énergie, cherchant à marquer des points politiques contre « l'autre équipe », blâmant les producteurs de prix des matières premières mondiales pour avoir abusé, menaçant les producteurs d'énergie avec impôts sur les bénéfices exceptionnels, résistant aux appels à supprimer les obstacles bureaucratiques à une nouvelle production et refusant d'ouvrir un manuel d'introduction à la physique pour les guider à travers la série de choix politiques qui nécessitent un véritable leadership pour réussir. Ils restent coincés dans une boucle sans fin de platitudes, de blâme, de corruption et d'ignorance.
RépondreSupprimerComme Eisenhower l'identifie avec justesse dans notre citation d'ouverture, la distance a un effet anesthésiant sur l'observateur de tout événement. On se demande combien de personnes mourront de faim avant que nos politiciens ne deviennent sérieux. Les populations les plus à risque de tomber du bord sont à l'autre bout du monde et nous craignons que ce nombre ne soit trop élevé.
Chez Doomberg, nous sommes fiers de voir les tendances tôt et d'avoir des mois d'avance sur le flux de nouvelles. Nous sommes constamment centrés sur l'humain. Jamais nous n'avons été aussi sûrs de nos croyances tout en souhaitant ardemment avoir tort. Une famine mondiale n'est pas une blague, et la prévoir correctement n'apporterait aucune joie.
https://www.zerohedge.com/commodities/farmers-brink
Les échanges sont indispensables pour tout le monde. Le pétrole, le café, le blé, la viande, les métaux et surtout les connaissances. Le savoir est indispensable mais trop de gens délèguent cette option à leur cerveau extérieur ! la télé ! la radio ou les journaux ! C'est pourquoi le con s'étonnera toujours de ce qui arrive.
SupprimerRares sont les bestioles qui immigrent pour bouffer, quelques oiseaux, quelques poissons et aujourd'hui de plus en plus d'êtres humains cherchent à voir si l'herbe est plus verte ailleurs alors qu'ils ne connaissent rien à l'agriculture et demeurent aussi cons à l'arrivée qu'au départ.
Le plus grave a été toutes ces ordures de 'chefs d’États' qui ont tout fait durant des siècles pour empêcher les fruits et légumes d'être arrosés ! Aujourd'hui encore ce sont ces mêmes merdes qui crient à qui veulent les entendre que l'eau va manquer ! Ou, qu'il ne faut pas labourer et semer sur le sol dur !! Ou empêcher l'usage de désherbants car les champs de blé sont fait pour être envahi par des herbes ou qu'il ne faut pas traiter car d'apporter des remèdes aux maladies des plantes tue de précieux insectes ravageurs !!
Ce sont ces mêmes qui portent des masques anti-poussières d'un écart de mailles de 150 microns quand la poussière (virus) ne mesure que 0,1 à 0,5 micron ! HAHAHAHA !
Les cons vont crever. On circulera mieux sur les routes.
Buchanan : La victoire de l'Ukraine vaut-elle le risque d'une guerre nucléaire ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 MARS 2022 - 21:30
Écrit par Pat Buchanan,
Pendant les 70 années d'existence de l'Union soviétique, l'Ukraine faisait partie intégrante de la nation.
Pourtant, cette réalité géographique et politique ne représentait aucune menace pour les États-Unis.
Une Russie et une Ukraine, toutes deux à l'intérieur de l'URSS, étaient une réalité acceptée qui n'était pas considérée comme une menace pendant les sept décennies où elles étaient unies.
Pourtant, aujourd'hui, à cause d'une guerre vieille d'un mois entre la Russie et l'Ukraine, pour savoir qui contrôlera la Crimée, le Donbass et les côtes ukrainiennes de la mer Noire et d'Azov, l'Amérique semble plus proche d'une guerre nucléaire qu'à tout autre moment depuis la crise des missiles cubains. de 1962.
Pourquoi ?
Il est temps de prendre du recul et de réfléchir à ce qui est en jeu.
Quelle menace exactement l'invasion de l'Ukraine par la Russie nous présente-t-elle si grave que nous envisagerions une action militaire qui pourrait conduire à la troisième guerre mondiale et à l'utilisation par la Russie d'armes nucléaires sur le champ de bataille contre nous ?
Le président russe Vladimir Poutine a fait allusion à plusieurs reprises à l'utilisation de telles armes, si l'OTAN devait intervenir dans la guerre en Ukraine et que la Russie devait faire face à la défaite, ou en cas de menace « existentielle » pour la nation russe.
Nous entendons de nos élites morales que la morale nous commande d'intervenir pour sauver le peuple ukrainien des ravages d'une guerre qui a déjà coûté la vie à des milliers d'Ukrainiens.
Mais quelle serait la justification d'une intervention militaire américaine en Ukraine, en l'absence d'une autorisation du Congrès ou d'une déclaration de guerre ?
Considérer. L'année où l'heure libérale est arrivée en Amérique avec le New Deal, 1933, un Franklin D. Roosevelt nouvellement inauguré a officiellement reconnu le régime meurtrier de Joseph Staline comme le gouvernement légitime d'une URSS dirigée par la Russie.
FDR a rencontré personnellement le ministre soviétique des Affaires étrangères Maxime Litvinov alors même que l'Holodomor, la famine forcée des paysans ukrainiens et des petits agriculteurs, des koulaks et de leurs familles, était bien avancée.
Walter Duranty, le journaliste du New York Times à Moscou, a remporté un Pulitzer pour avoir dissimulé ce crime du siècle avec ses 4 millions de morts estimés.
La question demeure : quand les relations entre la Russie et l'Ukraine sont-elles devenues une question d'un intérêt si vital pour les États-Unis que nous risquerions une guerre, une éventuelle guerre nucléaire, avec la Russie dessus ?
Comment on est venu ici ?
RépondreSupprimerNous sommes arrivés là en exploitant notre victoire de la guerre froide comme une opportunité pour déplacer l'OTAN, notre alliance de la guerre froide, dans une douzaine de pays d'Europe centrale et orientale, jusqu'aux frontières de la Russie. Ensuite, nous avons commencé à faire entrer l'Ukraine dans l'OTAN, la république constituante de l'ancienne Union soviétique avec l'histoire la plus longue et la plus profonde avec la Mère Russie.
Ainsi, alors que Poutine a commencé cette guerre, les États-Unis ont mis la table pour cela.
Nous avons poussé notre alliance militaire, l'OTAN, créée en 1949 pour contenir et, si nécessaire, combattre la Russie, à 1 000 milles à l'est, droit dans le visage de la Russie.
Dans les années 1930, lorsqu'on a demandé à la Britannique Lady Astor si elle savait où Hitler était né, elle a répondu : « Versailles ».
Lors de la Conférence de paix de Paris de 1919, qui a produit le Traité de Versailles, des millions de peuples germaniques et les terres qu'ils avaient habitées ont été séparés de la domination allemande et distribués à une demi-douzaine de nations à travers l'Europe.
Quand nous nous remettrons sur pied, nous reprendrons tout ce que nous avons perdu, a déclaré le général Hans von Seeckt de l'état-major allemand.
Nous entendons des avertissements selon lesquels si la Russie utilise des armes chimiques en Ukraine, l'OTAN réagira militairement. Mais si aucun allié de l'OTAN n'est attaqué, pourquoi l'OTAN répondrait-elle à une attaque russe contre l'Ukraine ?
Bien qu'interdites aujourd'hui, les armes chimiques ont été utilisées par tous les principaux participants à la Première Guerre mondiale, y compris les Américains.
Quant aux armes atomiques, seuls les Américains les ont utilisées.
Et bien que nous n'ayons pas introduit le bombardement des villes - les Britanniques et les Allemands l'ont fait - nous avons perfectionné le bombardement en tapis de villes comme Cologne, Hambourg, Berlin, Dresde et Tokyo.
La guerre d'Ukraine, qui a maintenant un mois, a démontré l'utilité des armes nucléaires. La menace crédible de Poutine de les utiliser a poussé les États-Unis et l'OTAN à refuser catégoriquement la demande de Kiev de mettre en place une zone d'exclusion aérienne au-dessus de l'Ukraine.
Et comme la menace de la Russie d'utiliser des armes nucléaires a dissuadé l'OTAN d'intervenir aux côtés de l'Ukraine dans cette guerre, les autres nations ne manqueront pas le message : la possession d'armes nucléaires peut dissuader même les plus grandes puissances nucléaires.
Plus cette guerre dure, plus les souffrances et les pertes sont grandes de tous les côtés. Des milliers de soldats et de civils ukrainiens sont déjà morts, 10 millions d'entre eux ont été déracinés de chez eux, un tiers de ce nombre ayant fui vers les États voisins d'Europe de l'Est.
Plus la guerre dure, plus il est probable que Poutine ait recours à des bombardements et à des bombardements aveugles pour tuer la résistance, et plus grande est la possibilité que la guerre s'étende à l'Europe de l'OTAN.
RépondreSupprimerPendant ce temps, dans la patrie américaine sécurisée, à 5 000 miles de Kiev, les spécialistes de la politique étrangère ne manquent pas pour une «victoire» sur la Russie de Poutine et sont prêts à se battre pour remporter cette victoire - jusqu'au dernier Ukrainien.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/buchanan-victory-ukraine-worth-risking-nuclear-war
Ne rêvons pas ! lorsque Vladimir Poutine parle de réplique il ne parle pas qu'il a des arcs et des flèches ou des lance-pierres et des frondes ! Il parle de ce qu'il a et de la performance inégalable de ses missiles. Aucun pays au monde ne fait peur à la Russie.
SupprimerQuand on voit des dirigeants mener une politique de merde à vendre des éoliennes et panneaux solaires... là, faut être tombé bien bas pour oser parler de performances !!
C'est à l'actualité présente dans le monde que l'on se rend compte d'où est l'intelligence ! Où sont les cerveaux qui investissent dans la vérité ? Réponse: La Chine et la Russie !
Et, qui dit fuite des cerveaux dit fuite des...
La fortune secrète de Raymond Barre découverte en Suisse
https://www.dailymotion.com/video/x7celdo
🚨🚨 🚨 Nota: (...) Le Topol* M ICBM est le missile le plus rapide du monde à Mach 21 (16 000 miles à l'heure, soit: 25.749,50 km/h) ; contre lui, il n'y a aucune défense. Lancé depuis Moscou, il frappe New York City en 18 minutes et L.A. en minutes 22,8.
* Ne pas confondre avec 'gogol': nombre avec 100 zéros. Ce nombre équivaut à dix sexdécilliards.
https://www.youtube.com/watch?v=6X8a39agFjE
Les sous-marins russes – ainsi que les sous-marins chinois – sont en mesure de lancer au large des côtes aux Etats-Unis, en frappant des cibles côtières dans une minute. (...) !!
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Le Secrétaire à la défense suggère que Poutine pourrait envoyer un missile ou bombe nucléaire sur l'Amérique, dit volonté américaine « Défendre l'ordre International »
dimanche 8 novembre 2015
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/11/secretaire-la-defense-suggere-poutine.html
La nouvelle langue de Covid a apporté des changements de définition à des mots comme « pandémie », « vaccin » et « immunité collective »
RépondreSupprimerSamedi 26 mars 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, la pandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19) a tout changé, y compris les définitions de mots qui signifiaient quelque chose de complètement différent avant même que quiconque n'ait jamais entendu le mot "covid".
Prenez le mot « pandémie », par exemple. Celui-ci a en fait été modifié en 2009 pour le H1N1 lorsque l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a tenté de le rendre plus «inclusif».
Avant 2009, le mot pandémie était défini comme suit :
"Une pandémie de grippe se produit lorsqu'un nouveau virus grippal apparaît contre lequel la population humaine n'a aucune immunité, entraînant plusieurs épidémies simultanées dans le monde entier avec un nombre énorme de décès et de maladies."
Après 2009, il a été remplacé par ceci :
"Une pandémie de grippe peut survenir lorsqu'un nouveau virus grippal apparaît contre lequel la population humaine n'a aucune immunité."
Comme vous pouvez le voir, la condition préalable à la maladie et aux décès en grand nombre a été entièrement supprimée. Maintenant, il ne s'agit que de «cas», qui, comme nous le savons, peuvent être définis comme à peu près n'importe quoi en raison de résultats de test faussement positifs générés par le système PCR frauduleux.
Le terme «immunité collective» a également été modifié pour n'inclure que les troupeaux de personnes vaccinées.
« Pour vendre des vaccins, soit on ignore complètement la notion d'immunité naturelle, soit on la prétend inférieure à l'immunité induite par un vaccin », rapporte le Daily Exposé.
La définition originale de l'immunité collective avant 2020 la définissait comme une protection dérivée d'une maladie infectieuse qui est dérivée lorsqu'une population devient immunisée "soit par la vaccination, soit par l'immunité développée par une infection antérieure".
Désormais, l'immunité collective est définie exclusivement en termes de vaccins. Il n'y a plus d'immunité à avoir de son propre système immunitaire naturel.
"'L'immunité collective', également connue sous le nom d''immunité de la population', est un concept utilisé pour la vaccination, dans lequel une population peut être protégée contre un certain virus si un seuil de vaccination est atteint", indique la nouvelle définition.
"L'immunité collective est obtenue en protégeant les gens d'un virus, et non en les y exposant."
En d'autres termes, vous ne pouvez plus faire confiance à votre propre système immunitaire naturel pour vous protéger contre les infections. Vous devez vous faire injecter des produits chimiques mystérieux de Big Pharma pour que cela se produise.
Le monde a été tellement stupide que tout est désormais qualifié de "vaccin"
RépondreSupprimerLe mot « vaccin » signifie aussi autre chose à l'ère post-covid.
Auparavant, un vaccin devait, vous savez, fournir un certain type de protection contre la maladie – mais plus maintenant. Maintenant, il suffit de "diminuer les symptômes" ou quelque chose comme ça.
La définition de vaccin a en fait été altérée pendant de nombreuses années, car elle a été redéfinie en 2015 à partir des éléments suivants :
"Injection d'un organisme infectieux tué ou affaibli afin de prévenir la maladie."
Entre 2015 et 2021, cette définition a été modifiée pour :
"Le fait d'introduire un vaccin dans le corps pour produire une immunité contre une maladie spécifique."
Maintenant, un vaccin est défini comme ceci :
"L'acte d'introduire un vaccin dans le corps pour produire une protection contre une maladie spécifique."
En d'autres termes, l'immunité n'est plus le but de la vaccination. Tout ce qu'un tir doit faire est de fournir un vague niveau de "protection", quelle que soit sa définition à un moment donné, pour être admissible.
Ensuite, un politicien n'a qu'à se précipiter à toute allure sous le couvert d'une urgence de santé publique et le tour est joué : de l'argent facile pour Big Pharma et ses acolytes politiques.
"N'oubliez pas de 'suivre la science' mais seulement la 'science' stipulée par les dictateurs de la santé mondiale", dit l'Exposé. "La" science "qu'ils fabriquent pour s'adapter à leur programme complet avec la novlangue orwellienne. Si vous ne le faites pas, vous êtes un théoricien du complot portant un chapeau en papier d'aluminium.
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur Fascism.news.
Les sources de cet article incluent :
DailyExpose.fr
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-26-covid-newspeak-definition-pandemic-vaccine-herd-immunity.html
J’ai été traité de poutinolâtre !
RépondreSupprimerle 27 mars 2022
Je trouve que ce qualificatif est plutôt gratifiant car il signifie que je ne suis en aucun cas imprégné par la propagande occidentale mensongère. L’Occident s’énerve avec les USA qui mènent la danse car ils ne sont pas arrivés à intégrer l’Ukraine dans l’OTAN. Un tel projet aurait constitué un casus belli pour le Kremlin. Pourquoi la Russie a décidé d’intervenir dans la zone russophone de l’Ukraine après avoir reconnu les républiques indépendantistes russophones du Donbass ? Parce la Russie savait que l’armée néo-nazie de Kiev s’amassait le long de la ligne de démarcation entourant le Donbass depuis le milieu du mois de février. L’autre fait qui a motivé l’intervention russe sur le terrain n’est qu’une réaction de solidarité avec ce peuple sauvagement bombardé depuis la fin de l’année 2014, puni par des mesures ressemblant à une épuration ethnique : arrêt du paiement des retraites et des salaires des employés de l’Etat, interdiction de l’enseignement de la langue russe, coupures de l’alimentation en eau et en gaz (provenant de la Russie), massacres d’enfants, viols des jeunes filles …
Quand la préparation de l’assaut destructeur final a été détecté la Russie a réagi, c’est aussi simple que cela.
Les Occidentaux prétendent que l’armée russe s’enlise. C’est une fausse nouvelle : près de 80 % de la ville de Marioupol est libérée et les commandos spéciaux des Tchétchènes aguerris pour déloger les jihadistes en combat urbain ont été déployés pour nettoyer la ville des néo-nazis. Il s’agit maintenant de quelques jours. Le gros de l’armée ukrainienne néo-nazie est encerclé. Ils seront bientôt à court de munitions et devront se rendre. Ils iront probablement finir leurs jours en Sibérie.
Alors viendra le temps des négociations, certainement pas avec l’actuel président ukrainien cocaïnomane réputé et totalement corrompu dont le nom figure dans les Pandora papers, mais avec un nouveau gouvernement issu de nouvelles élections. La reconnaissance de l’indépendance des républiques russophones du Donbass ainsi que le rattachement de la Crimée devront être entérinés. La neutralité de l’Ukraine sera exigée par Moscou. Tout un programme !
Puisque j’ai été traité de poutinolâtre je voudrais prendre un exemple pour décrire ce qui se passe depuis 8 ans en Ukraine. Supposons que la Wallonie francophone soit assiégée et bombardée par la population flamande de Belgique qui veut en finir avec cette erreur linguistique et religieuse. Comment réagirait la France ? Les Wallons sont francophones et catholiques, ce sont des « frères » de la France. Moralement la France devrait réagir militairement pour mettre fin au supplice des Wallons. La Belgique deviendrait alors un Etat fédéral ou alors disparaîtrait en tant qu’Etat avec la Flandre rattachée aux Pays-Bas, la Wallonie intégrée à la France et un petit pays englobant la région majoritairement francophone de Bruxelles émergerait, un peu comme le Luxembourg ou le Lichtenstein. Ci-dessous se trouvent des liens que mes lecteurs connaissent surement pour bien se faire une idée objective des événement ukrainiens.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/27/jai-ete-traite-de-poutinolatre/
Le parc éolien victorien perd son procès à cause du bruit, doit éteindre les turbines la nuit !
RépondreSupprimerMarch 27th, 2022
À la Cour suprême de Victoria, un juge vient d'ordonner que le parc éolien de Bald Hills s'éteigne la nuit. Après sept ans de douleur et de souffrance, deux ménages vivant à proximité recevront enfin un soulagement nocturne et des paiements de 92 000 $ et 168 000 $.
"Le bruit du parc éolien a été une nuisance de droit commun dans les deux propriétés."
Cela pourrait tout changer. Ces installations industrielles proches des habitations sont devenues encore moins rentables car elles ne peuvent pas fonctionner la nuit. Ils doivent également payer des dommages-intérêts aux personnes touchées par le bruit et faire plus d'entretien pour réduire le bruit - comme réparer les boîtes de vitesses plus souvent, et ils peuvent avoir à payer pour apporter des modifications aux maisons à proximité pour atténuer la nuisance, ou payer une compensation. De nombreuses propriétés à proximité des tours ont renoncé à y construire de nouvelles maisons.
Ce qui ressort de cette décision, c'est à quel point les tentatives du gouvernement qui a approuvé les centrales éoliennes, ou des entreprises qui en ont profité, de mesurer et d'évaluer le bruit et de répondre aux plaintes étaient tout à fait inadéquates. Malgré la construction de dizaines de milliers de parcs éoliens, la science des perturbations acoustiques qui en découlent est pratiquement un vide. Si les entreprises qui ont construit ces machines étaient des acteurs environnementaux attentifs, elles disposeraient de nombreuses mesures, ainsi que de données accessibles au public. Ils connaîtraient l'effet des différentes vitesses et directions du vent, ainsi que des températures et de l'humidité. Dans leur propre intérêt, ils identifieraient les pires conditions et éteindraient certaines turbines de manière préventive afin d'éviter des cas exactement comme celui-ci (et juste pour montrer qu'ils étaient de bons citoyens du monde).
Les déclarations des témoins incluent des effets intermittents si graves que les gens prennent des analgésiques, installent du double vitrage et même dorment ailleurs dans leur voiture en désespoir de cause. Même pendant la journée, regarder la télévision ou parler devient parfois si difficile qu'un témoin envoie des SMS pour avoir une conversation.
Personne ne le mentionne même ici - si ce bruit est parfois si épouvantable pour les humains autour de ces tours, qu'en est-il pour les animaux ?
Une décision historique rend justice aux victimes : la Cour suprême ordonne la fermeture totale du parc éolien
par Stopthesethings
Dans une première mondiale, des voisins tourmentés par le bruit des éoliennes ont remporté une victoire historique, obligeant l'exploitant à arrêter toutes ses éoliennes la nuit.
Hier, la juge Melinda Richards de la Cour suprême de Victoria a imposé une injonction à un parc éolien parce que le bruit qu'il génère rend les voisins fous depuis sept ans et que l'exploitant n'a absolument rien fait pour leur souffrance.
RépondreSupprimerSon Honneur a également ordonné des dommages-intérêts, y compris des dommages-intérêts majorés pour la manière autoritaire dont l'exploitant a traité ses victimes. Depuis mars 2015, la communauté entourant le parc éolien de Bald Hills est torturée par le bruit à basse fréquence et les infrasons générés par 52, 2 mégawatts Senvion MM92.
Après un procès meurtrier (où l'opérateur a dissimulé des preuves critiques aux plaignants et son consultant en acoustique a été surpris en train de "filtrer" - c'est-à-dire de détruire - des tonnes de données sur le bruit) et un procès âprement disputé, ces messieurs très courageux ont établi ce qui a été connu depuis le début : chacun a le droit juridiquement exécutoire de dormir profondément la nuit dans sa propre maison ; et l'industrie éolienne détruit ce droit en toute impunité depuis bien trop longtemps.
Ce que Noel Uren et John Zakula ont réalisé n'est pas seulement remarquable et noble, cela reflète l'adage selon lequel le mal prévaut lorsque les hommes bons ne font rien.
Refusant de se laisser effrayer par les menaces, les brimades et l'intimidation de l'opérateur, ces hommes ont fait quelque chose et, par conséquent, chaque victime de l'industrie éolienne leur doit une dette de gratitude éternelle pour ce qu'ils ont accompli et rendu public. Enfin. Enfin. Justification. Douce justification.
Indemnité à payer
(23) Quelle est la mesure appropriée de la perte et du dommage de chaque demandeur, compte tenu des réponses aux questions 15 à 22 ci-dessus ?
M. Uren recevra des dommages-intérêts d'un montant de 92 000 $, comprenant 46 000 $ pour la perte passée d'agrément et 46 000 $ pour des dommages-intérêts aggravés. M. Zakula recevra des dommages-intérêts de 168 000 $, dont 84 000 $ pour la perte passée d'agrément et 84 000 $ pour des dommages-intérêts aggravés.
Je trouve que le bruit des turbines du parc éolien a réveillé M. Zakula ou l'a tenu éveillé à des centaines de reprises depuis juin 2015. Il y a eu des nuits où il était incapable de dormir du tout. Il y en avait d'autres quand il a quitté la maison et a dormi dans sa voiture à la plage de Walkerville pour échapper au bruit. À tous égards, cela équivaut à une ingérence substantielle dans la jouissance de sa propriété par M. Zakula la nuit - en particulier, sa capacité à dormir sans être dérangé dans son propre lit dans sa propre maison sur sa propre propriété rurale. L'interférence est intermittente, mais continue. Bien que M. Zakula soit agacé par le bruit des turbines pendant la journée, cela n'interfère pas substantiellement avec sa jouissance de sa propriété.
[après examen du témoignage de Noel Uren, Son Honneur a conclu] :
Je constate que le bruit des éoliennes a perturbé le sommeil de M. Uren, le réveillant ou le gardant éveillé, ou les deux, à environ 100 reprises entre mai 2015 et décembre 2018.
RépondreSupprimerC'est de la science douteuse du début à la fin
L'exploitant du parc éolien a affirmé avoir mesuré le bruit de fond avant et après la construction du parc éolien. Cependant, ils ont constaté que les niveaux de bruit étaient improbablement inférieurs après le fonctionnement des éoliennes.
"Il est possible que les niveaux sonores enregistrés aient été affectés par les activités de construction, y compris les véhicules lourds sur Buffalo-Waratah Road."
[La cause la plus probable est que MDA a fait ce qu'elle fait toujours : elle a placé ses enregistreurs de bruit à proximité de grands arbres et/ou sous des buissons lors de la collecte de données sur le bruit avant la construction (augmentant ainsi les niveaux de bruit moyens à toutes les vitesses de vent) et, lorsque il est revenu pour recueillir des données sur le bruit opérationnel, il a placé ses enregistreurs de bruit loin des arbres, des buissons et d'autres objets solides (réduisant ainsi les niveaux de bruit moyens à toutes les vitesses de vent, même avec la contribution des éoliennes, si, en effet, l'un d'entre eux était , en fait, opérant à l'époque). C'est le tour le plus ancien du livre et il est utilisé par MDA et d'autres depuis des années, dans toute l'Australie. L'autre astuce jouée par l'opérateur, dans ce cas, a été de retenir les données brutes des experts en acoustique des plaignants, le Dr Bob Thorne et Les Huson. Alors qu'ils étaient heureux de fournir les données brutes à leur propre garçon, Chris Turnbull, les experts acoustiques des plaignants ont été délibérément privés de la possibilité d'évaluer et d'examiner ces données. Son Honneur était cinglant à propos de cette conduite]
Le MDA ne fournirait pas les données (même en cas de découverte de documents) et n'expliquerait pas le "filtrage" qu'ils utilisaient sur les données. Les demandeurs ont été « stupéfaits » de constater que les données qu'ils avaient demandées existaient et étaient maintenant utilisées contre eux :
Le Dr Thorne et M. Huson ont tous deux déclaré qu'ils ne savaient pas comment MDA avait filtré ses données de base, car ils n'avaient jamais vu les ensembles de données de MDA. M. Turnbull a déclaré qu'il avait demandé et analysé les données de base brutes pour les emplacements 19, 61 et 66, et s'était assuré qu'ils avaient appliqué le même filtrage aux données de pré-construction et d'exploitation. Le Dr Thorne a été « stupéfait » d'apprendre que ces données brutes avaient été fournies à M. Turnbull, alors qu'il avait demandé les mêmes informations 18 mois auparavant et qu'elles n'avaient jamais été fournies. Les données de base brutes n'ont apparemment pas été découvertes par Bald Hills, ni produites par MDA en réponse à une assignation à comparaître qui lui a été signifiée en mai 2020.
Le juge a décrit cela comme "insatisfaisant" et n'a pas accepté l'avis de M. Turnbull, étant donné que les demandeurs n'avaient pas accès aux données.
De nombreux témoins décrivent les effets du bruit des éoliennes :
M. Jelbart a déclaré que son expérience était "bien pire" à l'intérieur de sa maison qu'à l'extérieur, et qu'elle était particulièrement mauvaise la nuit. Parfois, les turbines font plus de bruit que sa télévision, même après avoir monté le volume. Il porte souvent des bouchons d'oreille au lit, mais il est toujours réveillé pendant la nuit. Il attribue cette perturbation du sommeil — qu'il dit avoir subie depuis environ six ans — au bruit des éoliennes. Il se réveille parfois avec un mal de tête. Pour tenter de bloquer une partie du bruit, il a déménagé dans une pièce à l'arrière de sa maison et a planté des arbres.
Selon M. Jelbart, le bruit au Tenement A est "horrible pendant la journée". Il a dit que s'il devait y passer quelques heures, il mettrait des bouchons d'oreille ou quitterait complètement la propriété. Il a décrit le bruit au Tenement A comme un " battement pulsé ", parfois avec un " whoosh ", et souvent avec un " bruit de boîte de vitesses ", une " sorte de grincement de bruit mécanique ", qui signale qu'il y a une boîte de vitesses qui a besoin d'attention. . Le bruit varie en fonction de l'endroit où il se trouve sur la propriété et de la direction dans laquelle le vent souffle. M. Jelbart a déclaré que bien qu'il puisse toujours entendre le bruit lorsque le vent souffle, il est particulièrement mauvais lorsque la brise est douce et que le vent vient du sud ou du sud-ouest. Il a dit que le bruit semble être pire pendant les mois d'hiver.
RépondreSupprimerMme Jelbart a déclaré que lorsqu'elle est chez elle la nuit, lorsque le vent s'est calmé, les sons du parc éolien peuvent être très audibles – «cela peut être un bruit sourd, un gémissement, un vrombissement, un grincement; vous pouvez obtenir tous ces sons en cinq minutes, puis c'est juste en boucle, en boucle, en boucle ». Elle a décrit le bruit comme ayant «une nuance profonde qui en quelque sorte – ça vous rentre en quelque sorte dans la tête». Ça vibre juste à travers vous. » Comme M. Jelbart, elle peut entendre les turbines par-dessus le son de leur télévision, même si le volume est élevé. Le bruit la réveille régulièrement pendant la nuit et au petit matin. Au réveil, elle a souvent mal à la tête. Parce qu'elle ressent tellement de tension, elle a pris l'habitude de porter un protège-dents au lit pour protéger ses dents.
Dorothy Fairbrother et son mari Don vivent et travaillent sur leur propriété agricole sur Buffalo-Waratah Road, Tarwin Lower. La propriété est située entre la maison de M. Zakula et l'endroit où vivait M. Uren. Mme Fairbrother a décrit le son des éoliennes comme "un bruit sifflant et lancinant qui n'a tout simplement pas disparu". Elle a dit que le bruit est plus important le soir. Il peut parfois être entendu à la télévision, et elle augmente donc le volume de la télévision pour camoufler le bruit. Elle a décrit le bruit comme étant similaire au « syndrome du robinet qui goutte » qui continue de « va et vient et continue » la nuit et interrompt son sommeil. Elle n'entend pas le bruit tous les soirs. C'est pire quand le vent souffle du nord-ouest, ce qui se produit davantage en automne et en hiver. Pendant les mauvaises périodes, qui peuvent durer jusqu'à trois semaines, son sommeil est interrompu chaque nuit.
Mme Fairbrother souffre de « mauvais maux de tête » en raison du bruit des turbines la nuit, pour lesquels elle prend du paracétamol et des médicaments plus puissants si nécessaire. Elle ne prend rien pour l'aider à s'endormir - elle essaie de "juste le supporter". Elle et M. Fairbrother ont essayé d'atténuer le bruit en doublant les fenêtres de leur maison, mais cela n'a pas beaucoup aidé.
Don Fairbrother : …se réveillait tôt le matin avec un très gros mal de tête, et quand il mettait son appareil auditif, il réalisait ce qui se passait. Lorsqu'il se réveillait la nuit avec un mal de tête, il prenait du Panadol, mais avait toujours du mal à se rendormir. Même avec son appareil auditif sorti, il se tournait et se retournait, ayant rompu son sommeil, sentant le bruit. M. Fairbrother a déclaré que le bruit est moins audible en été et non le problème qu'il pose en hiver.
La famille de Stuart Kilsby vivait sur leur ferme à Tarwin Lower jusqu'à ce qu'ils déménagent en 2012 ou 2013. Le père de M. Kilsby ne pensait pas qu'ils pourraient rester sur la ferme une fois que le parc éolien a commencé à fonctionner en raison du «problème de bruit». Avant cela, M. Kilsby avait prévu de construire une maison sur la propriété et avait choisi un site surplombant toute la ferme, avec vue sur le détroit de Bass, l'entrée d'Inverloch et le promontoire de Wilsons. Il n'a plus l'intention de construire cette maison.
RépondreSupprimerAprès que les turbines ont commencé à tourner, le père de M. Kilsby n'a pas pu supporter le bruit et a laissé l'agriculture à son fils. M. Kilsby avait hâte de venir travailler à la ferme, sachant qu'il entendrait le bruit toute la journée. A la ferme, il avait du mal à se concentrer. Il avait du mal à chasser le bruit de sa tête, même après avoir quitté la ferme. Parfois, il devait quitter la ferme lorsque le bruit devenait vraiment mauvais. Il avait l'habitude d'emmener sa femme et ses jeunes enfants à la ferme pour faire du camping ou des pique-niques, mais il ne le fait plus car il s'inquiète du bruit des éoliennes.
Robert Soler… a décrit les sons les plus forts comme étant, "quand vous êtes à côté d'une route bondée de voitures, vous savez, de la circulation ou d'une rivière, quelque chose comme ça." Il a dit que, quand le son est fort, il aura souvent des problèmes entendre ce que disent les autres et devra élever la voix, appeler la personne ou lui envoyer un SMS. Il a dit que le bruit est pire quand le vent souffle de l'est. Le bruit monte dans sa tête et est constant; il en a « marre parce que c'est tout le temps le même bruit ».
h/t to Paul Miskelly
REFERENCES
StopTheseThings has a much longer description and more information.
The 152 page ruling.
https://joannenova.com.au/2022/03/victorian-windfarm-loses-court-case-on-noise-must-turn-off-turbines-at-night/#more-82889
Le noctambule Batman a gagné. Mais que pensent les diurnes
SupprimerQue pensent les animaux des humains ? Nous envient-ils d'avoir maison, nourriture, voiture, avion, bicyclette et parapluie ?
Un essaim de 12 000 tremblements de terre secoue l'île des Açores et suscite des spéculations sur une éruption volcanique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 MARS 2022 - 19:00
Les résidents d'une île volcanique portugaise de l'océan Atlantique sont évacués alors que des milliers d'essaims de tremblements de terre ont été détectés et pourraient indiquer une activité éruptive à l'avenir.
Aux Açores, certains habitants de Sao Jorge ont fait leurs valises et quitté la petite île alors que la crainte d'une catastrophe potentiellement plus importante se profile après plus de 12 000 secousses enregistrées depuis samedi dernier, selon Daily Express.
Les essaims de tremblements de terre "sont probablement causés par une intrusion magmatique à 10-15 km de profondeur et pourraient indiquer une activité éruptive renouvelée à l'avenir", a déclaré VolcanoDiscovery. Environ 200 des tremblements de terre ont enregistré une magnitude allant jusqu'à 3,3.
- voir cartes sur site -
Mercredi, le Centre d'information et de surveillance sismovolcanique des Açores (CIVISA) a augmenté l'alerte volcanique au niveau 4, ce qui signifie une "possibilité réelle" que le volcan entre en éruption pour la première fois depuis 1808.
Le sismologue Joao Fontiela a déclaré à l'agence de presse Lusa que "Sao Jorge a peu de tremblements de terre" chaque année, mais "nous parlons maintenant de milliers". Il met en place des stations de surveillance sismique autour de l'île pour surveiller les développements.
La CIVISA a déclaré qu'il n'y avait "aucune preuve qu'une éruption volcanique était imminente". Mais l'agence a déclaré qu'une éruption ne devrait pas être négligée. Il a souligné que les essaims de tremblements de terre sont anormaux.
Les lecteurs se souviendront peut-être que nous avons signalé des centaines d'essaims de tremblements de terre juste avant une éruption massive sur l'île volcanique de La Palma dans les îles Canaries en Espagne l'automne dernier.
https://www.zerohedge.com/weather/swarm-12000-earthquakes-rattles-azores-island-sparks-speculation-volcanic-eruption
NOS APPAREILS ÉLECTRIQUES NOUS OBSERVENT-ILS ?
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
21/03/2022
En général, une batterie de smartphone peut fonctionner correctement pendant 18 mois à 2 ans.
Autour de nous, de plus en plus d’appareils sont électriques, mais surtout, alimentés par une batterie. Voici comment ils fonctionnent.
Des batteries sur tous nos appareils électriques
Le premier d’entre eux, c’est bien évidemment votre smartphone, que vous rechargez tous les soirs. L’ordinateur est quant à lui de plus en plus souvent portable et donc également équipé d’une batterie, tout comme la tablette ou la Switch des enfants. Même les montres dites “intelligentes” se rechargent désormais. Vous me voyez sans doute venir. Oui, la question qui revient souvent pour tous ces appareils, c’est : est-il risqué de les charger à 100 % ? Est-ce que cela abîme la batterie ?
Les batteries de nos appareils observent nos habitudes
Et bien, rassurez-vous : désormais, ce genre de souci, c’est le plus souvent votre appareil qui le gère comme un grand. À votre insu, les smartphones comme les ordinateurs portables récents optimisent en effet la charge pour préserver le plus possible la batterie. Pour faire simple, la plupart du temps, ces appareils chargent d’abord jusqu’à 80 % de leur autonomie quand vous les branchez le soir. Ensuite, ils marquent une pause. Enfin, un peu avant que vous les débranchiez, car ils vous observent, n’en doutez pas une seconde, ils vont stocker le reste d’énergie dans leur batterie afin d’être fin prêts pour passer la journée avec vous.
Conséquence, si un matin vous partez à 5 h plutôt qu’à 7, vous pourriez avoir la mauvaise surprise de découvrir que votre batterie n’est pas chargée à 100 %. Sauf si... sauf si votre rendez-vous matinal figure dans votre agenda électronique ! Auquel cas votre appareil en aura sûrement tenu compte. Je sais, c’est un peu flippant.
Ah, dernier point : et la voiture électrique ? Là encore, rassurez-vous : leurs batteries sont garanties 8 ans. Vous avez le temps d’avoir des soucis d’autonomie avec, ce n’est pas pour tout de suite !
http://www.economiematin.fr/news-appareils-electriques-observent-%20batteries
A la phrase (...) NOS APPAREILS ÉLECTRIQUES NOUS OBSERVENT-ILS ? (...) il faut ajouter OUI pour TOUS les écrans plats ! C-à-d les télés, les ordis et smartphones. Elles et ils sont toutes et tous dotés de caméras et micros qui fonctionnent... même éteints ! Çà alors !
SupprimerPhotos exclusives !
http://huemaurice7.blogspot.com
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-photos-exclusives-120909606.html
Les sanctions les plus bêtes du monde
RépondreSupprimerle mars 25, 2022
par hervek
Par Dmitry Orlov – Le 21 mars 2022 – Source Club Orlov
Selon Reuters, le gouvernement australien a annoncé aujourd’hui l’arrêt immédiat des exportations d’alumine et de bauxite vers la Russie en guise de punition pour l’action militaire russe en Ukraine. Il a également annoncé qu’il s’efforcerait d’expédier du charbon à l’Ukraine et, bien sûr, des armes et peut-être même de l’aide humanitaire – la seule chose dont les Ukrainiens ont réellement besoin. Étant donné que mes lecteurs australiens subsistent dans des conditions de censure d’État totalitaire, il est peu probable qu’ils trouvent une interprétation raisonnable de l’impact de ces décisions de la part de quelqu’un de chez eux, d’autant plus que cela donnerait à leurs dirigeants intrépides l’air particulièrement stupide, et je suis donc impatient de m’obliger à combler cette lacune.
L’alumine et la bauxite sont utilisées pour fabriquer de l’aluminium, qui est un métal industriel d’importance critique. De tous les minerais industriels, ce sont les seuls qui ne sont pas du tout en danger d’épuisement. Il en existe de multiples sources et le choix de celle à utiliser est une question de commodité. Le principal ingrédient de la fabrication de l’aluminium n’est pas le minerai mais l’énergie – l’électricité, plus précisément, et ce sont les prix de l’électricité très bas de la Russie qui en font un fabricant d’aluminium très compétitif. Environ un quart du prix d’une pièce d’aluminium produite en Russie est directement lié au coût de l’électricité ; ailleurs dans le monde, ce pourcentage serait beaucoup plus élevé.
Le gouvernement australien a annoncé qu’il travaillerait en étroite collaboration avec les représentants de l’industrie pour trouver d’autres marchés pour sa terre peu coûteuse. Il a également annoncé qu’il avait l’intention d’expédier 70 000 tonnes de charbon en Ukraine. Whitehaven Coal a déjà mis ce charbon à disposition et l’on cherche un moyen de le livrer en Pologne puis en Ukraine. Enfin, il a annoncé qu’il fournirait des armes et aussi, ce dont l’Ukraine a réellement besoin : de l’aide humanitaire.
Le Premier ministre australien, Scott Morrison, a déclaré que l’interdiction d’exportation empêchera la Russie de fabriquer de l’aluminium, qui (selon lui) est un produit d’exportation d’une importance capitale pour elle. Il a tort. La Russie peut très bien se passer des exportations d’aluminium, mais l’Europe, les États-Unis et le Japon seraient certainement confrontés à de grandes difficultés s’ils étaient privés d’importations d’aluminium, car une grande partie de leur industrie fermerait. Les actionnaires occidentaux de Rusal, l’un des principaux producteurs d’aluminium russes, détenu à 57% par En+ Group International PJSC, seront également touchés par cette mesure.
La Russie s’approvisionne également en minerais auprès de l’Irlande [Il semble que l’Irlande soit plutôt un gros consommateur d’aluminium notamment russe, NdT] (et s’attend à ce que ces expéditions cessent également) et auprès d’un certain nombre de producteurs nationaux, qui vont sans doute augmenter leur production pour compenser la perte des importations, même si cela prendra un certain temps. À moyen terme, il n’y a absolument aucun problème pour que la Russie obtienne suffisamment de bauxite et d’aluminium sur son territoire pour répondre à tous ses besoins. De plus, la Russie importe ces minerais d’une usine située à Nikolaev, une ville portuaire d’Ukraine, et nous pouvons donc nous attendre à ce que cette production reprenne assez rapidement.
RépondreSupprimerNéanmoins, nous devrions nous attendre à ce que les exportations d’aluminium de la Russie diminuent et peut-être cessent complètement. Il s’agirait d’une réaction typique de la Russie : dès que les prix à la production augmentent en Russie, le gouvernement russe interdit temporairement les exportations, ce qui fait baisser les prix sur le marché intérieur et les fait grimper sur le marché international. Cela s’est déjà produit avec les engrais et le blé, précipitant des crises internationales majeures. La Russie et le Belarus, qui fait également l’objet de sanctions occidentales après avoir réprimé une récente tentative de révolution colorée, sont d’importants fabricants d’engrais et pourraient bientôt être les seuls à subsister, car les prix élevés de l’énergie obligent leurs concurrents étrangers à fermer boutique.
Si les pénuries d’engrais et de blé mettent immédiatement la vie en danger – elles signifient la faim pour des millions de personnes -, l’aluminium est également assez important et une interdiction des exportations russes obligerait de nombreuses chaînes de production dans le monde à s’arrêter, ce qui mettrait des centaines de milliers de travailleurs au chômage. Ainsi, un arrêt de l’exportation de certains minerais pas particulièrement rares ou chères pourrait entraîner des pertes de plusieurs centaines de milliards, mais pas pour la Russie. Pensez-vous que Scott Morrison soit capable de suivre tout ce cheminement de pensée, ou est-il simplement trop stupide ?
Passons au charbon. Tout d’abord, 70 000 tonnes, c’est une goutte d’eau dans l’océan. Deuxièmement, tous les charbons ne sont pas identiques : l’Australie ne produit que du charbon bitumineux de faible qualité et du lignite (qui est en fait de la terre qui brûle). Les centrales électriques ukrainiennes de l’ère soviétique, quant à elles, ont été construites pour brûler spécifiquement du charbon anthracite (la plus haute qualité) extrait dans la région ukrainienne du Donbass. Avant l’« opération spéciale » russe, le régime de Kiev (ou plutôt les nazis soutenus par l’Occident qui le tenaient en otage) bloquait les livraisons directes en provenance du Donbass pour des raisons politiques (ce qui obligeait le gouvernement à se procurer ce même charbon par l’intermédiaire de la Russie, avec une majoration), mais ce n’est plus le cas, de sorte que l’approvisionnement des centrales ukrainiennes peut désormais se faire comme il avait été initialement conçu par les planificateurs centraux soviétiques – par rail, directement de la mine à la centrale.
Maintenant, juste pour rire, examinons la logistique de la livraison d’un minuscule morceau de charbon australien à l’Ukraine (en ignorant le fait qu’il est de la mauvaise qualité et donc inutile). L’ensemble du littoral ukrainien, le long des côtes de la mer d’Azov et de la mer Noire, est sous contrôle russe et la livraison directe par voie maritime ne serait donc pas possible. Au lieu de cela, le charbon devrait être livré en Pologne via la mer Baltique, chargé sur des wagons de chemin de fer et acheminé jusqu’à la frontière ukrainienne. Là, il devrait être transféré dans des wagons différents en raison de la différence d’écartement des rails (l’écartement russe de 1520 mm au lieu des 1435 mm utilisés plus à l’ouest). Tout cela pour l’acheminer vers une centrale électrique qui… refusera cette livraison parce qu’il ne s’agit pas de la bonne marchandise. Il s’agirait d’un événement décisif en quelque sorte, car l’ensemble de l’opération serait la première à atteindre un retour énergétique sur l’énergie investie de zéro exactement. Vous pensez que Morrison peut comprendre tout ça ?
RépondreSupprimerEnfin, il y a la question des livraisons d’armes et de l’aide humanitaire. De nombreuses armes sont expédiées en Ukraine, notamment des missiles antiaériens et antichars assez puissants. Comme les Russes suivent ces cargaisons et les détruisent à l’aide de munitions à guidage de précision une fois qu’elles sont stockées en Ukraine, elles ne feront pas une grande différence dans la campagne russe. Mais il peut y avoir des effets secondaires amusants. Il est extrêmement probable qu’un grand nombre d’entre eux, en particulier les missiles antiaériens Stinger, se retrouveront entre les mains de terroristes, notamment de divers groupes djihadistes qui infestent actuellement l’Europe occidentale, qui pourraient utiliser ces missiles pour abattre des avions de ligne. Une fusion entre les nazis ukrainiens et les djihadistes est loin d’être impossible ; tout récemment, j’ai vu sur YouTube un type à l’allure de djihadiste débiter une rhétorique nazie, en se cachant derrière une croix gammée, pour ainsi dire. Nous pouvons être sûrs que tous ces animaux terroristes abandonnés par l’Amérique finiront par infester les rues d’Europe – tous ceux que les Russes ne tuent pas – et c’est Morrison qu’il faudra remercier pour avoir assurer leur armement.
Oh, et enfin, mais pas des moindres, il y a l’aide humanitaire qui fait cruellement défaut. Quelle aide humanitaire ? Nous ne le savons pas. Morrison ne le sait probablement pas non plus.
S’il y a une leçon générale à tirer de tout cela, c’est peut-être que, lorsqu’on s’interroge sur les sanctions anti-russes liées à l’Ukraine, il semble superflu de se demander si elles sont stupides ; il faut plutôt se demander : A quel point sont-elles stupides ?
Dmitry Orlov
Soutenez mes efforts sur https://patreon.com/orlov ou https://subscribestar.com/orlov.
Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.
Il vient d’être réédité aux éditions Cultures & Racines.
Il vient aussi de publier son dernier livre, The Arctic Fox Cometh.
Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone
https://lesakerfrancophone.fr/les-sanctions-les-plus-betes-du-monde
« La supériorité militaire de la Russie est bien réelle » Jean-Pierre Petit
RépondreSupprimer27/3/2022 à 12:10
Un ponte de la science ostracisé par ses confrères en France, dont les découvertes ont pourtant permis à la Russie d'acquérir une supériorité militaire incontestable. Ce scientifique, c'est Jean-Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS et astrophysicien. Il est non moins que le pionnier de la magnétohydrodynamique (MHD), technologie qu'il a imaginée et conceptualisée dans les années-70. Dénigrée dans l'hexagone en raison d'un esprit d'immobilisme structurel, cette innovation scientifique sera récupérée et dévelopée par la Russie, désormais dotée de missiles hypersoniques. Encore aujourd'hui, ce chercheur avant-gardiste de 85 ans reste confronté à un mur du silence. Aussi, nous lui avons donné la parole dans ce debriefing :
- voir clip sur site -
La compréhension de la technologie hypersonique est essentielle pour saisir les raisons qui assurent à la Russie une domination militaire sur une France ignorante de sa propre infériorité, que Jean-Pierre Petit se plait à railler : « C'est une technologie qu'on a négligée pendant 20 ans, [les experts militaires des plateaux de télé] ne savent même pas de quoi il s'agit ».
Se définissant comme une « Cassandre » scientifique « en avance sur son temps », l'astrophysicien explique avoir œuvré à la conceptualisation de cette technologie pas moins de 47 ans plus tôt. Mais en 1988, face au désintérêt de la communauté scientifique française, il a décidé de jeter l'éponge. « On est consterné devant la rigidité des structures étatiques », déplore le chercheur, autrefois considéré comme un « fou » par ses collègues du CNRS, ce qui n'est pas sans rappeler les péripéties rencontrées par un certain Pr Luc Montagnier. A contrario, les Russes ont tôt fait de repérer le potentiel de cette technologie. Mais trop tard pour la France. Selon Jean-Pierre Petit, nos instituts de recherche ne pourront jamais rattraper le retard accumulé au cours des dernières décennies.
Histoire de la MHD
En 2018, Jean-Pierre Petit avait mis en ligne trois vidéos qui expliquent les tenants et aboutissants de la MHD.
La première, datant du 17 avril 2018, est en français : Poutine dévoile les nouvelles armes stratégiques MHD russes.
Les deux vidéos suivantes, qui comprennent toutes les illustrations susceptibles d'illustrer la MHD, sont en anglais. Devant l'indifférence totale en France sur ce sujet, il ne les a pas traduites.
21 mai 2018 : Putin's new Russian MHD weapons explained (première partie)
17 juin 2018 : Putin's new Russian MHD weapons explained (seconde partie)
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-pierre-petit
Vu dans la presse qu'il y aurait (...) COVID-19 : DE PLUS EN PLUS DE NOUVEAUX CAS EN FRANCE (...) !!
RépondreSupprimerPremièrement, depuis deux (2 !) ans les faux tests RT-PCR aux écouvillons interdits qui déposent des nano-particules d'oxyde de graphène en cavité nasale ne font AUCUNE analyse car CETTE POUSSIÈRE (appelée virus corona19DeltaCharlieBravo) N'EXISTE PAS DANS L'AIR !!
Elle est réservée aux petits veinards et veinardes qui vont se faire inoculer ! Et celles-là et ceux-là l'ont ! bien profond !
Car, la nano-particule d'oxyde de graphène (poison mortel violent) compose entre 95 et 99 % des flacons injectables !! Houlala ! Vous en avez de la chance !! Et, comme ces nano-particules sont enrobées vous ne crevez pas tout de suite ! (Ouf !) mais seulement qq heures ou qq semaines après (ce qui vous laisse le temps de réfléchir à ce que vous allez faire dans vos derniers instants). Car, si elles sont enrobées elles peuvent aussi se déshabiller ! Et là, gare au strip-tease ! vous tombez foudroyé !
On appelle çà le 'coup de foudre'. Donc, la 'soluce' serait-elle d'acheter un paratonnerre ?
Pour les non-piqués (rappel): Vous ne risquez rien ! ce n'est pas dans l'air.
Une surmortalité des jeunes liée aux vaccins partout en Europe : Partie 2
RépondreSupprimerPar Pierre Lécot
Mondialisation.ca, 27 mars 2022
Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021 le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?
C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.
On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne.
La source originale de cet article est Décoder L'éco (Odyssée)
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https://www.mondialisation.ca/une-surmortalite-des-jeunes-liee-aux-vaccins-partout-en-europe-partie-2/5666635
Premièrement, le produit injecté n'est PAS un vaccin mais une expérimentation génique d'essai.
SupprimerDeuxièmement, il n' y a AUCUNE posologie qui accompagne le flacon injectable !!
Troisièmement, On ne vaccine PERSONNE lors d'une maladie, épidémie ou pandémie !
Quatrièmement, doivent être faites obligatoirement des sérologies AVANT et APRÈS l'injection.
Je rappelle que le 'virus' EST UNE POUSSIÈRE (voir dictionnaire) à ne pas confondre avec un microbe qui lui apporte des maladies. Une poussière NE MUTE PAS ! N'a PAS de 'petits', n'est pas 'fille' ou 'garçon'
Donc: comme il n'existe pas de vaccin anti-poussières, l'on doit appeler l'injection comme étant un antidote face au poison. Or, comme ce poison (poussière) n'est PAS dans l'air mais UNIQUEMENT disponible en flacons & seringues, il ne peut s'agir que de piqûres létales administrées sous la contrainte.