- ENTREE de SECOURS -



dimanche 6 mars 2022

BRAQUAGE EN FAMILLE - Michel Aumont, Christophe Dechavanne

40 commentaires:

  1. « Une bande de drogués et de néo-nazis »


    par Thierry Meyssan.
    5 mars 2022


    En évoquant une bande de drogués et de néo-nazis au pouvoir à Kiev, le président Poutine a beaucoup choqué. La presse atlantisme s’est efforcée de le présenter comme un malade mental. Pourtant, les faits sont là : le pouvoir en Ukraine est bien occupé par une bande de drogués qui a volé les revenus du gaz. Une loi raciale a été votée. Des monuments au Collaborateur nazi Stepan bandera ont été érigés. Et deux bataillons nazis ont déjà été incorporés dans l’armée régulière.

    La stratégie militaire de la Russie est aujourd’hui impossible à décrypter car nous n’avons pas de relevé exact des opérations sur le terrain. Seuls les états-majors russe et otanien en ont. Ce qui est diffusé est clairement faux, dans le cas des journaux occidentaux et du gouvernement ukrainien, et invérifiable, dans le cas des armées de la Russie, de Donestz et de Lougansk.

    La seule chose qui est certaine, c’est que —pour le moment— les combats se limitent au territoire ukrainien alors que le conflit concerne la Russie et les États-Unis, et uniquement de manière incidente l’Ukraine.

    Nous nous attendons à ce que, le 5 mars 2022, la Russie hausse le ton et porte le conflit sur un second théâtre d’opération.

    En attendant, je vais expliquer ce dont le président Vladimir Poutine voulait parler en décrivant les autorités ukrainiennes comme «une bande de drogués et de néo-nazis», une expression extrêmement choquante, mais très étayée.

    Peut-être le président Poutine accorde-t-il trop d’importance à ces faits, ou peut-être est-ce nous, Occidentaux, qui les minimisons.

    «Une bande de drogués»

    Le gouvernement de Viktor Ianoukovytch (2010-14) tentait de maintenir l’Ukraine dans un juste milieu entre son voisin russe et son ami états-unien. Cependant selon le mot du président Bush fils, «Ceux qui ne sont pas avec nous, sont contre nous». Par conséquent, il était considéré par les Occidentaux comme «pro-Russe». Il fut renversé par les États-Unis, sous le commandement de l’assistante du secrétaire d’État pour l’Eurasie, la straussienne Victoria Nuland, à l’occasion de la «révolution de la dignité» sur la place Maïdan. Le régime transitoire était au mains d’émeutiers professionnels. On découvrit alors l’ampleur de la corruption de l’équipe Ianoukovytch et les Straussiens décidèrent de gagner plus d’argent encore.

    Le 3 avril, un des anciens conseillers du secrétaire d’État états-unien, John Kerry, l’escroc David Archer, et son camarade de défonce, le fils du vice-président Joe Biden, Hunter Biden, rencontrèrent le milliardaire Stephen Schwartman, directeur du fonds d’investissement Blackstone (à ne pas confondre avec Blackrock) en Italie, sur les bords du lac de Côme, à l’Ambrosetti Club.

    David Archer, fut placé au conseil d’administration de Burisma Holdings, une des principales sociétés gazières ukrainiennes dont le propriétaire était sous le coup de poursuites judiciaires du FBI et du MI5 en Occident. Les policiers états-uniens et britanniques avaient acquis la conviction que le propriétaire de Bursima, l’oligarque Mykola Zlochevsky, qui était le ministre des ressources naturelles du régime de Ianoukovytch s’était illégalement octroyé des licences pour ses sociétés gazières et pétrolières. Pour cette fonction d’homme de paille, Archer fut rémunéré 83~333~dollars par mois. Une photo de lui à la Maison-Blanche avec le vice-président Biden fut placée sur le site de la compagnie.

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  2. Puis le vice-président Joe Biden et ses conseillers Jake Sullivan et Antony Blinken arrivèrent à Kiev pour promettre l’aide des États-Unis au nouveau régime et organiser des élections crédibles. Cependant, les oblasts de Donestzk et de Lougansk rejetèrent le gouvernement provisoire qui comprenait cinq ministres nazis et, par référendum, proclamèrent leur indépendance. Le lendemain, 12 mai 2014, le fils du vice-président Biden, le junkie Hunter Biden, rejoignit le conseil d’administration de Burisma Holding. Par la suite, un troisième homme, le beau-fils du secrétaire d’État John Kerry, Christopher Heinz, rejoignit David et Hunter au conseil d’administration de Burisma.

    Durant le second semestre 2014, sur instructions de David Archet et Hunter Biden, Burisma a versé 7~millions de dollars de dessous de table au Procureur général d’Ukraine du nouveau régime Poroshenko pour rédiger des faux et clore les poursuites judiciaires contre elle et son oligarque de propriétaire. Une écoute téléphonique a permis d’entendre le président Petro Poroshenko confirmer au vice-président Biden que l’affaire était «arrangée». Les États-Unis avaient donc recyclé l’ancien ministre du «pro-Russe» Ianoukovytch. Par la suite, le procureur général, décidément très gourmand, fut évincé par un vote du Parlement provoqué par les États-Unis, l’Union européenne, le FMI et la Banque mondiale qui souhaitaient aussi sauver l’oligarque et ancienne Première ministre Yulia Tymoshenko, mais à moindre prix.

    Tous ces événements ont largement été relatés dans la presse ukrainienne. Ils ne sont que le sommet de l’iceberg. par exemple, selon le {Wall Street Journal}, le secrétaire à l’Énergie états-unien Rick Perry aurait fait pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky pour virer les administrateurs de la société gazière publique Naftogaz et les remplacer par d’autres dont le straussien Amos Hochstein.

    En juillet 2019, le président états-unien Donald Trump demande à son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, d’enquêter sur ces affaires de corruption (incluant celle de son propre secrétaire à l’Énergie), celui-ci refuse. Alors que Trump se fait de plus en plus pressant, un fonctionnaire du Renseignement US révèle le contenu de cette conversation et accuse le président Trump d’instrumenter l’Ukraine pour nuire à son rival, le candidat démocrate Joe Biden. Il s’en suivra une procédure de destitution du président Trump au Congrès, l’Ukrainegate.

    Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’un grand nombre de faits de corruption est avéré, qu’ils ont été perpétrés au bénéfice de personnalités ukrainiennes et états-uniennes, et qu’en définitive, des dizaines de milliards de dollars ont disparu et le niveau de vie de la population ukrainienne s’est effondré. Tout cela a été effectué grâce à des hommes de paille qui n’ont aucune compétence en matière de gaz, mais ont en commun de participer aux soirées de consommation de drogue d’Hunter Biden. C’est cela que le président russe Vladimir Poutine a évoqué à juste titre.

    D’un point de vue européen, chacun a constaté que depuis un an, le prix du gaz à la consommation a été multiplié par dix. Certes, l’augmentation de la demande est plus importante que celle de l’offre, mais cela ne peut absolument pas expliquer l’ampleur de cette hausse du prix. En réalité, les contrats de gaz à long terme sont toujours calculés à des prix un peu plus chers que par le passé, tandis que les contrats à court terme ont subits une envolée. La différence s’explique exclusivement par la spéculation. Et précisément, Blackstone et les amis du président Joe Biden ont été les premiers à spéculer. Ils s’attendaient à l’évidence à une crise dans un des pays producteur.

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  3. On comprend mieux pourquoi la presse atlantiste minimise l’affaire Hunter Biden, dans laquelle son père devenu président des États-Unis est mouillé jusqu’au cou. En définitive, l’opération militaire actuelle en Ukraine provoque une hausse supplémentaire des prix du gaz, toujours au profit des amis du président US et au détriment des Européens.

    Ces faits doivent être reliés à ce que j’écrivais dans l’article précédent de cette série. Jake Sullivan, Antony Blinken et Victoria Nuland, qui ont piloté ces combines, sont des Straussiens. Et comme l’écrivait le premier d’entre eux, Paul Wolfowitz, en 1992. Le premier rival des États-Unis, c’est l’Union européenne dont il faut empêcher le développement.

    Au demeurant, ces faits sont des affaires intérieures ukrainiennes et ouest-européenne. Ils ne justifient pas d’intervention extérieure.

    Une bande de néo-nazis»

    Le président Vladimir Poutine a également évoqué une bande de néo-nazis. Cette fois, il ne s’agit plus d’un petit groupe de quelques dizaines de personnes, mais de quelques milliers, entre 10 et 20~000.

    Pour comprendre, il faut se souvenir qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis et l’URSS ont chacun fait prisonnier de nombreux dignitaires nazis. Tous ont essayé de récolter leurs informations. Mais si, au bout de huit mois, les Soviétiques les ont renvoyés chez eux, les États-uniens en ont conservé un certain nombre et les ont recyclés. Chacun sait que, par exemple, le savant nazi qui imagina les V2, Werner von Braun, devint le directeur de la Nasa (opération «Paperclip»). Ou encore que le conseiller spécial du chancelier Adolf Hitler pour l’Ordre nouveau en Europe, Walter Hallstein, devint le premier président de la Commission européenne. Ou encore que l’alpiniste Heinrich Harrer fut chargé par la CIA d’élever le Dalaï-Lama. Ce que l’on sait mois, c’est que la CIA recycla aussi de nombreux SS et policiers de la Gestapo un peu partout dans le monde. Elle plaça par exemple le gestapiste Klaus Barbie à la tête de la Bolivie où il parvint à assassiner Che Guevara, ou le SS Alois Brunner en Syrie (alors alliée de Washington).

    Durant toute la Guerre froide, la CIA utilisa les nazis. Cependant, le président Jimmy Carter chargea l’amiral Stansfield Turner de remettre de l’ordre dans l’agence, d’y limiter le rôle de ces agents et d’en finir avec les dictatures. La plupart des nazis furent renvoyés, mais ceux qui pouvaient agir dans le Pacte de Varsovie furent conservés. Ainsi le président Ronald Reagan célébra les «nations captives» d’Europe de l’Est, créant une ribambelle d’associations pour déstabiliser les États membres du Pacte de Varsovie, voire l’URSS.

    C’est donc de manière tout à fait logique, qu’en 2007, la CIA organisa à Ternopol (Ukraine) un congrès pour rassembler les néo-nazis européens et les jihadistes moyen-orientaux anti-Russes. Il fut présidé par le nazi ukrainien Dmitro Yarosh et l’émir tchétchène Dokou Umarov. Toutefois ce dernier, recherché par Interpol, ne put pas se rendre sur place. Il envoya donc un message vidéo de soutien. par la suite, les néo-nazis et les jihadistes se battirent ensemble pour imposer l’Émirat islamique d’Itchkérie à la place de la République tchétchène.

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  4. En 2013, l’Otan forma au combat de rue les hommes du même Dmitro Yarosh en Pologne. De la sorte, ils furent opérationnels lors du changement de régime diligenté par Victoria Nuland en Ukraine : la «révolution de la dignité» dite aussi «EuroMaïdan». La plupart des journalistes sur place ont remarqué la présence inquiétante de ces nazis, mais les personnalités occidentales qui venaient participer à cette «révolution», comme Bernard-Henri Lévy étaient aveugles.

    Dans les mois qui suivirent, la présence de cinq ministres nazis dans le gouvernement de transition provoqua les référendums d’indépendance des oblasts de Donestz et Lougansk. Le président Petro Porochenko, sur les conseils des amis d’Hunter Biden, les organisa en unités militaires qu’il plaça à la frontière des nouvelles Républiques populaires de Donestz et de Lougansk. Les groupes néo-nazis étaient financés par le parrain de la mafia locale Ihor Kolomoïsky. Le fait que ce dernier soit président de la Communauté juive d’Ukraine ne l’a pas empêché de choisir ainsi ses hommes de main. Cependant lorsque Kolomoïsky tenta de prendre le contrôle des organisations juives européennes grâce à son argent et par la menace, il se fit éjecter.

    Pour renverser le président Porochenko, Ihor Kolomoïsky fabriqua de toutes pièces un nouvel homme politique en produisant une série de télévision, {Serviteur du peuple}, dont l’acteur principal était un certain Volodymyr Zelensky. Lorsque celui-ci fut élu président et que les Straussiens accédèrent à nouveau à la Maison-Blanche, il accepta toutes leurs suggestions. Il dressa des monuments en hommage à Stepan Bandera, le chef des Collaborateurs nazis durant la Seconde Guerre mondiale. En définitive, il soutint son idéologie selon laquelle la population ukrainienne a deux origines, d’une part scandinave et proto-germanique, d’autre part slave, seuls les premiers sont de véritables Ukrainiens, les seconds ne sont que des Russes, des sous-hommes. Il promulgua alors une «Loi sur les peuples autochtones» qui prive les Ukrainiens d’origine salve de la jouissance des Droits de l’homme et des libertés fondamentales. Cette loi n’a pas encore été appliquée.

    Durant sept ans, les groupes nazis ont massacré des habitants du Donbass, au hasard. L’Allemagne et la France, garants des accords de Minsk, n’ont rien fait . Les Nations unies elles mêmes ont fermé les yeux. Pendant sept ans, ces groupes se sont développés. Ils sont passés de centaines de soldats à des milliers.

    A la demande de Victoria Nuland, le président Zelensky nomma Dmitro Yarosh conseiller spécial du chef des armées. Ce dernier, manifestement gêné, refusa de commenter cet étrange duo pour des questions de «sécurité nationale». Yarosh réorganisa les néo-nazis en deux bataillons et en groupes urbains. Il lança une vaste attaque des oblasts séparatistes le week-end de la Conférence sur la sécurité de Munich, déclenchant ainsi la réponse russe.

    Le 3 mars, le bataillon nazi Aïdar fut vaincu par l’armée russe. Le président Zelensky nomma alors son commandant gouverneur d’Odessa avec pour mission d’empêcher les armées russes de faire la jonction entre la Crimée et la Transnistrie.

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  5. Tous ces faits sont indiscutables. On peut estimer que la réponse de la Russie est disproportionnée et inappropriée, mais pas qu’elle soit injustifiée.

    Il faut garder à l’esprit que la Seconde Guerre Mondiale a été vécue différemment à l’Ouest et à l’Est. En Europe de l’Ouest, le nazisme était une dictature qui s’en est prise à des minorités, les Tsiganes et les Juifs, qu’elle a enlevé et exterminé par millions dans des camps. En Europe de l’Est, le projet était tout autre. Il s’agissait de de libérer un espace vital en exterminant la population slave. Il n’y avait pas besoin de camp. Il fallait tuer tout le monde. Les destructions ne sont pas coupables. La seule URSS a compté 27 millions de morts. La Russie moderne s’est construite sur le souvenir de cette Grande Guerre patriotique contre le nazisme. Pour les Russes, il est inacceptable de porter des croix gammées et de voter une loi raciale. Il faut agir sans attendre qu’elle soit appliquée.

    https://reseauinternational.net/une-bande-de-drogues-et-de-neo-nazis/

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    1. L'ONU comme Bruxelles a toujours soutenue la nazional socialiste. Il est donc tout-à-fait normal qu'ils se disent anti-russe. Pourquoi les billets en euros n'affichent-ils pas leur emblème croix gammée alors que le dollar affiche la pyramide de Ponzi ?

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  6. L’affaire ukrainienne pour les nuls


    5 mars 2022
    par BARDAMU.


    Cette impression de crier dans le désert est frustrante, on en vient à se demander si on n’a pas fait fausse route et si Poutine est bien le nouvel Hitler (ding ! vous avez gagné un point Godwin !). Mais en me repassant les faits et les circonstances, en faisant mon examen de conscience, j’en arrive toujours au même point : la Russie n’avait plus d’autre solution que de renverser la table.

    Il y a quelques années j’étais pratiquement aussi nul que mes interlocuteurs russophobes. Mais les affaires d’Irak (Epoque à la quelle il existait encore en France des politiciens honorables), de Libye, et surtout de Syrie m’ont ouvert les yeux.

    Ce qui surprend toujours, c’est le sens de la justice à deux vitesses qui semble devenu la norme générale, au moins dans les pays occidentaux. On apprend qu’à la demande du gouvernement ukrainien, la Cour Pénale Internationale ouvre un dossier contre la Russie (ou contre Poutine lui-même on ne sait pas). Mais où était cette CPI lorsque des snipers (payés par qui ?) tiraient indifféremment sur les Berkout (équivalent de nos CRS) et sur les manifestants de la place Maïdan ? Où était-elle lorsque les extrémistes du Pravi Sector commettaient des exactions contre les opposants à Maïdan, culminant dans le « barbecue » de la Maison des Syndicats à Odessa où plus de 40 personnes, femmes et enfants compris, furent brûlés vifs, les ukro-nazis armés tirant sur ceux qui essayaient de sortir. Ah, vous n’étiez pas au courant ? Ou vous avez glissé ça sous le tapis de votre mémoire historique ? Où était cette CPI durant les huit ans de bombardements punitifs sur les territoires de Donetsk et Lougansk ?1 On pourrait compléter l’acte d’accusation par les multiples enlèvements, assassinats et tortures pratiqués par les ukro-nazis et le SBD, le terrifiant service secret ukrainien2.

    Il est impossible d’avoir une vue suffisamment holistique du problème de l’Ukraine sans revenir à la longue histoire.
    Historiquement l’Ukraine a deux origines, l’une scandinave et l’autre slave. Les groupes qui se définissent comme « nationalistes ukrainiens », ne défendent pas l’Ukraine en tant que nation, mais se référent à son origine scandinave contre les Russes.

    Passons rapidement sur les débuts avec la Rus de Kiev fondée au 9ième siècle par une tribu viking, les Varègues, convertis au christianisme par la prédication des Saints Cyril et Méthode. La princesse Anne de Kiev viendra au 11ième siècle épouser Henri 1er Roi de France, ce qui en dit long sur l’ampleur des vues de nos anciens monarques. Puis ce sera le long intermède de l’invasion mongole, la Horde d’Or qui dominera la région jusqu’en 1480. Il faudra même attendre la fin du 16ième siècle et le fran]chissement de l’Oural par les chasseurs de fourrures et les affrontements armés qui découleront de l’expansion russe pour que cesse le versement du tribut au Grand Khan3 (3).

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  7. Avec l’annexion de la Crimée par la Grande Catherine en 1783, l’empire Russe de l’Ouest prend sa physionomie actuelle, guère modifiée par les quelques annexions de Staline à la fin de la guerre. Les principales modifications sont, le détachement du territoire transformé en république socialiste par Lénine, et le rattachement de la Crimée à la République Socialiste d’Ukraine par Kroutchev : encore des problèmes à retardement pour le futur ! « Le processus a commencé presque immédiatement après la révolution de 1917, et Lénine et ses compagnons d’armes l’ont fait d’une manière très grossière vis-à-vis de la Russie elle-même – par la sécession, en arrachant des parties de ses propres territoires historiques. Personne, bien sûr, n’a demandé quoi que ce soit aux millions de personnes qui y vivaient. »4

    - voir carte sur site -

    Ayant subi de nombreuses invasions par les Tatars qui iront jusqu’à Moscou pour ramener au retour environ 100.000 esclaves (slaves), les Russes en ont gardé un fort ressentiment envers ces alliés de la Sublime Porte. Vers 1850, l’empire russe était en position de n de malheurs. Le pire ayant peut-être été la famine organisée par le pouvoir soviétique pour éradiquer les Koulaks, petits propriétaires terriens. Dans J’ai Choisi la Liberté, Victor Kravchenko, à l’époque fonctionnaire soviétique, et qui l’a vécu de l’intérieur, nous fait une description de cette horreur que l’on connaît maintenant sous le nom d’Holodomor ; au moins 4 millions d’Uprendre Istamboul pour s’assurer ainsi un accès aux mers chaudes par le détroit du Bosphore. C’eût été une promenade de santé, mais la Sublime Porte, ayant déjà une dette importante vis-à-vis des banquiers de la City, demanda l’aide du Royaume Uni et, comme l’expansion Russe déplaisait aussi à la City, un corps expéditionnaire franco-anglais alla faire le siège de Sébastopol.

    Mais depuis un siècle, l’histoire de l’Ukraine est une successiokrainiens périront. Cet épisode monstrueux est resté gravé dans la mémoire de nombreux habitants de l’Ukraine. Ceci explique que les armées Allemandes furent ensuite accueillies comme des libérateurs ; mais cela ne durera pas longtemps, d’autant plus que les milices ukro-nazies de Stepan Banderas auront vite fait de dépasser leurs maîtres germains côté crimes de guerre. La guerre de partisans, que tout chrétien doit condamner, n’arrangera pas les choses.

    Après la victoire soviétique, qui aura coûté à la Russie (Ukraine comprise) peut-être 25 millions de tués civils et militaires, la République Socialiste Soviétique d’Ukraine se verra augmentée de la Crimée comme rappelé plus haut. Après 50 ans de guerre froide, c’est l’effondrement de l’URSS sur lequel nous ne nous étendrons pas, mais qui accumulera des points de friction sur lesquels s’appuiera la thalassocratie anglo-saxonne pour déstabiliser ” l’Ile Monde ”. Pour tenter de préserver la paix future, la Russie essayera d’obtenir des garanties que l’OTAN – lequel n’a pas été dissout comme le Pacte de Varsovie – n’ira pas plus loin que la ligne Oder-Neisse. Cette garantie fut donnée verbalement, comme en témoignent les déclarations de plusieurs acteurs (Cf Roland Dumas, Gorbatchev…), ainsi que les minutes de la réunion dans les diverses chancelleries, et ce, malgré les dénégations des dirigeants occidentaux. Cette promesse ne cessera d’être violée, jusqu’à ce que le dernier tampon de sécurité de la Russie, l’Ukraine, soit transformée en pitbull russophobe. Des forces politiques se réclamant plus ou moins clairement du nazisme furent financées et instrumentalisées par les services spéciaux anglo-saxons5 pour aboutir, après plusieurs tentatives Orange, à la tragi-comédie du Maïdan.

    Ayant connaissance d’un projet anglo-saxon de s’emparer de Sébastopol6, ce qui aurait coincé la marine russe derrière le détroit de Kertch, le gouvernement russe réagit rapidement, d’autant que la population de Crimée, Tatars compris, était largement favorable à un rattachement à la Russie. L’opération se fit sans avoir à tier un coup de fusil.

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  8. Réalisant les intentions agressives envers les populations russophones du nouveau gouvernement, les oblast de Donetsk et Louhansk y firent opposition, mais rapidement la situation tourna à l’aigre, et, n’ayant pu maintenir leur ligne de défense à Slaviansk, les deux républiques auto-proclamées durent se replier dans un réduit adossé à la frontière russe, avant qu’une aide matérielle organisée, le Ventorg, ne leur permettent de tenir face à l’assaut des forces kiéviennes, composées principalement des bataillons néo-nazis Aïdar et Azov. Tentant de percer la défense des russophones, ces forces s’engagèrent profondément à Debaltsevo et furent piégées dans un chaudron. En passe d’être totalement anéanties, elles furent sauvées par un cesser le feu et les accords de Minsk.

    Ces accords pouvaient aboutir à un statut-quo pacifique, avec une relative autonomie pour les régions russophones, lesquelles sont assez étendues.

    - voir carte sur site - (1/5 parlent ukrainien, presque 50 % parlent le russe)

    Mais, Kiev n’a jamais voulu appliquer ces accords, et a continué durant 8 ans à bombarder les républiques auto-proclamées de façon plus ou moins épisodique.

    Après l’affaire Géorgienne réglée assez rapidement par la Russie, on pouvait penser que les provocations atlantistes cesseraient, mais la révolution du Maïdan montra qu’il n’en était rien. Pourtant, à de nombreuses reprises, Vladimir Poutine mettra en garde les USA et leurs alliés ou caniches européens. En dernier lieu, il demandera de façon solennelle des garanties de sécurité juridiquement contraignantes. Les chancelleries occidentales ont opposé pour la plupart une fin de non recevoir à ces demandes. Entretemps, l’OTAN, sans être officiellement présent en Ukraine, ne cessait de fournir des armes et de l’appui sous diverses formes. Plusieurs centaines de militaires, principalement étatsuniens, canadiens ou anglais, formaient les troupes de Kiev.

    A la mi février, les forces de Kiev redoublèrent leurs bombardements sur Donetsk et Louhansk tuant un certain nombre de civils, puis tentèrent sans succès une percée du côté de Gorlovka. C’est à peu près à ce moment que le gouvernement russe décida d’attaquer après la reconnaissance des deux républiques.

    On pourra compléter ces informations avec l’exposé parfaitement cynique de Friedman sur la doctrine US vis-à-vis de la Russie :

    https://odysee.com/@sesezeze:9/Les-règles-du-jeu-ou-le-cirque-géopolitique:9d

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    1. C'est un peu comme si les régions françaises qui n'ont pas voté pour Macron étaient bombardées tous les jours ! et que... personne en parle durant huit ans (8 !).

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  9. JEUX D'ESPRIT : la guerre en Ukraine est conçue pour détourner les gens de la pandémie de COVID et des décès par vaccin


    samedi 05 mars 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Il est intéressant de noter qu'au moment où les pouvoirs en place ferment le chapitre du masque et du verrouillage de la pandémie du coronavirus de Wuhan (COVID-19), le conflit russo-ukrainien arrive juste au bon moment.

    Maintenant que la plupart des gens en Occident sont «entièrement vaccinés» avec les vaccins contre la grippe Fauci, et maintenant que les dommages à la santé commencent vraiment à se manifester, Vladimir Poutine arrive pour envahir l'Ukraine, provoquant une campagne d'indignation mondiale qui détourne tous les yeux de Big Pharmacie.

    Mais les yeux de tout le monde devraient être tournés vers Big Pharma en ce moment, et vers les gens qui poussent leurs produits expérimentaux sur tout le monde au nom de la lutte contre un « virus ». Partout, des enfants meurent à cause de ces choses, et les médias n'en font pas tant d'histoires.

    Le blog COVID le fait, cependant. En fait, ce véritable média fait des vagues en décortiquant le nouveau chapitre de guerre de la pandémie et son objectif.

    « Le monde entier est une scène », ont déclaré les rédacteurs du blog COVID.

    "C'est une pensée effrayante à digérer. Mais pensez-y. La guerre est connue sous le nom de « théâtre » dans les livres d'histoire et les dictionnaires. Les émissions de télévision sont appelées des « programmes ». La plupart des lois aux États-Unis sont appelées des « actes ».

    Et si le conflit russo-ukrainien était un événement conçu pour couvrir les blessures du COVID vaxx et inaugurer un nouvel ordre mondial ?
    Il s'avère qu'une grande partie de ce qui est rapporté sur l'Ukraine en ce moment est complètement faux. Images, vidéos, prétendus reportages « sur le terrain » : il s'agit en grande partie de propagande conçue à la fois pour induire en erreur et distraire.

    Ce sur quoi les pouvoirs en place ne veulent pas que vous vous concentriez, c'est le nombre de décès, en particulier chez les jeunes, qui se produisent grâce aux injections de l'Opération Warp Speed ​​de Donald Trump.

    « L'invasion russe de l'Ukraine est réelle. Les personnes jeunes et âgées qui meurent subitement des injections d'ARNm et d'ADN vecteur viral sont bien réelles. La propagande et la manipulation des médias grand public sont réelles », a rapporté le blog COVID.

    « L'objectif de ce dernier est de normaliser et d'enterrer ces morts massives dues aux injections. De plus, les médias grand public commencent maintenant à rapporter quelque chose sur lequel nous avons écrit pour la première fois le mois dernier – que Moderna détient le brevet pour le SRAS-CoV-2. La guerre est le seul moyen de détourner complètement et de détourner l'attention de la vérité.

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  10. Bien qu'il soit certainement tragique de penser que des gens meurent en Ukraine et ailleurs, le fait est que beaucoup plus de personnes meurent des injections «sûres et efficaces» que notre propre gouvernement impose aux gens depuis plus de une année.

    Ne vous laissez pas tromper par cette dernière campagne de propagande. Restez vigilant et continuez à faire vos devoirs. Continuez à encourager vos amis et les membres de votre famille non vaccinés à le rester à tout prix.

    Nous savons maintenant que les injections d'ARN messager (ARNm) de Pfizer (et probablement aussi de Moderna) pénètrent dans le foie et reprogramment en permanence l'ADN humain. On nous a tous dit que c'était impossible, mais nous y sommes. Et maintenant, le conflit russo-ukrainien est entré dans l'étape gauche-droite alors que les choses atteignent leur paroxysme ? Suspect, hein ?

    "Ce qui se passe en Ukraine est la manière démodée pour les pouvoirs en place de tuer et de manipuler les gens en masse", a averti le blog COVID.

    « Pfizer, Moderna, etc. sont les nouveaux venus, tuant les masses lentement, silencieusement et volontairement. Ce qui se passe en Ukraine se passe depuis 100 ans avec toutes les joutes de « l'Union soviétique ». Des prières pour tout le monde dans le monde avec tout ce qui se passe. Mais vous voudrez peut-être prier spécifiquement pour votre famille, vos amis et vos voisins vaxxés, car ils pourraient être les prochains.

    Vous trouverez plus d'informations sur l'holocauste mondial du "vaccin" COVID sur Genocide.news.

    Les sources comprennent :

    LeCovidBlog.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-03-05-ukraine-war-distract-focus-from-covid-plandemic.html

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    1. Ce qui n'est PAS montré dans les merdias ce sont les drapeaux accrochés aux fenêtres en Ukraine qui arborent l'insigne juive de la croix gammée (qui représente le cœur de l'étoile jaune). Faut dire que l'ONU et Bruxelles soutiennent 100 % les troupes nazies combattues par la Russie salvatrice.

      Bon, disons que, "à TOUS les extraterrestres de l'univers extra-dimensionnel et super-galactique de QUITTER LEURS PLANÈTES (à la con !) parce que CA VA PÉTER" !!

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  11. Dr Andrew Hill - Combien de personnes sont mortes parce que vous avez aidé à leur refuser l'ivermectine ?
    Il y a un an, un homme a vendu son âme.


    March 6th, 2022


    Des gens mouraient, les hôpitaux débordaient, mais même en janvier 2021, nous savions déjà que l'ivermectine pourrait sauver les trois quarts des personnes décédées. Des essais randomisés portant sur 2 282 personnes ont montré que seulement 2 % des personnes sous ivermectine sont décédées, contre près de 10 % des personnes malheureuses qui ont raté, mais il a choisi la voie « ratée ».

    Tout pointait dans la bonne direction. Le résultat de la méta-étude était hautement significatif (p=0,0002 !), les risques étaient presque nuls, le résultat était extraordinaire, l'effet dépendait de la dose et les marqueurs sanguins de l'inflammation étaient également réduits, car nous avions attendre. Pourtant, la conclusion du même article était que nous avions besoin d'essais plus importants avant même que les résultats puissent être examinés. Et cette seule ligne qui contredisait presque tout dans le journal, était citée partout pour dire que les preuves n'étaient « pas concluantes ».

    C'était du même homme qui a dit que l'ivermectine était "la voie à suivre" et qu'il donnerait de l'ivermectine à son propre frère. Puis soudain, il bascula.

    ….

    Une analyse médico-légale de cet étrange document contradictoire montre qu'il y avait deux ou trois autres voix qui ont influencé le libellé. Ils n'étaient pas nommés. Lorsqu'il a été pressé, le Dr Andrew Hill a admis que même l'association caritative Unitaid avait son mot à dire dans les conclusions… C'est ainsi que fonctionne le nom de marque ScienceTM. Ce ne sont pas les données qui comptent.

    Regardez-le se tortiller pendant que le Dr Tess Lawrie le grille :

    Dr Andrew Hill : « Je ne vais pas laisser ça durer longtemps »… (il sait que c'est faux).

    Il savait que 15 000 personnes mouraient chaque jour. "Ce n'est que six semaines", a déclaré Hill. Cela équivaut à près d'un demi-million de personnes qui auraient pu être sauvées. Et cela a fini par durer beaucoup plus que six semaines. C'était une occasion manquée. Le papier a été utilisé pour licencier de bons médecins, ralentir la recherche et donner aux entreprises des milliards de dollars pour des traitements qui n'ont pas fonctionné.

    Suivez le réalisateur de documentaires sur Telegram : t.me/OracleFilms

    L'abstrait:

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  12. L'ivermectine est un médicament antiparasitaire à l'étude pour une réorientation vers le SRAS-CoV-2. In vitro, l'ivermectine a montré une activité antivirale limitée et un modèle animal COVID-19 a démontré des avantages pathologiques mais aucun effet sur l'ARN viral. Cette méta-analyse a étudié l'ivermectine dans 18 essais cliniques randomisés (2282 patients) identifiés par des recherches systématiques dans PUBMED, EMBASE, MedRxiv et les registres d'essais. L'ivermectine a été associée à des marqueurs inflammatoires réduits (protéine C-réactive, d-dimères et ferritine) et à une clairance virale plus rapide par PCR. La clairance virale était dépendante de la dose et de la durée du traitement. Dans six essais randomisés d'infection modérée ou sévère, il y a eu une réduction de 75 % de la mortalité (risque relatif = 0,25 [IC à 95 % 0,12-0,52] ; p = 0,0002) ; 14/650 (2,1 %) décès sous ivermectine ; 57/597 (9,5 %) décès chez les témoins) avec une récupération clinique favorable et une hospitalisation réduite. De nombreuses études incluses n'ont pas été évaluées par des pairs et les méta-analyses sont sujettes à des problèmes de confusion. L'ivermectine doit être validée dans des essais randomisés plus vastes et contrôlés de manière appropriée avant que les résultats ne soient suffisants pour être examinés par les autorités réglementaires.

    RÉFÉRENCE

    Méta-analyse d'essais randomisés sur l'ivermectine pour traiter l'infection par le SRAS-Cov-2.

    https://joannenova.com.au/2022/03/dr-andrew-hill-how-many-people-died-because/

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    1. (...) Il y a un an, un homme a vendu son âme. (...)

      L'expression 'vendre son âme' est très employée dans le sens où 'vendre quelque chose n'appartient plus au producteur ! Or, donner un renseignement ne signifie en rien s'en déposséder !

      Attention aussi aux 'réducteurs d'anti-poisons' proposés, ils réduisent mais s’estompent pas ! Seul l'anti-dote (contre-poison) peut être efficace.

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  13. Suis-je suspecté d’ultracrépidarianisme ?


    le 6 mars 2022


    Ce mot compliqué dérive d’une locution latine citée par Pline l’Ancien « Sutor, ne supra crepidam » qui peut se traduire par « cordonnier, pas au dessus de tes sandales ». En d’autres termes il ne faut pas tenter de briller en conversant à propos de sujets qu’on ne connaît pas ou qu’on ne comprend pas. Et je me suis souvent la question de savoir pourquoi j’osais aborder toutes sortes de sujets son mon blog car je ne suis pas omniscient, loin de là. Lorsqu’il s’agit d’actualité on peut toujours exposer son point de vue tant que la liberté d’expression est respectée. Quand on parle de changement ou de réchauffement du climat la situation devient un peu plus compliquée car il faut posséder de quelques notions de thermodynamique et pendant quelques mois j’ai lu un nombre considérable d’articles relatifs à l’évolution passée du climat avant la tenue de la COP21, l’apothéose de la carrière de Laurent Fabius, ce sinistre individu méprisable pour de nombreuses raisons. Disposant d’une solide formation universitaire j’ai vite compris qu’il y avait un énorme problème avec cette histoire de gaz carbonique. Pour oser écrire un article sur le climat il faut en effet savoir de quoi on parle et connaître le mieux possible le sujet.

    En économie, j’avoue que ce n’est pas une science exacte car les facteurs humains sont omniprésents et rétrospectivement, il m’arrive de constater après avoir écrit un billet avec confiance que celui-ci n’avait aucune valeur. Je ne m’en veux pas car une multitude d’analystes économiques et financiers se trompent trop souvent pour leur accorder une confiance aveugle. On ne peux pas me taxer d’ultracrépidarianisme lorsque j’écris un article sur l’énergie nucléaire car j’ai travaillé pendant plus de 3 ans au sein d’un service d’EDF qui était en charge de promouvoir à l’international les technologies nucléaires françaises. Je connais exactement le fonctionnement d’une centrale nucléaire type PWR et j’ai même compris la complexité du pilotage de la puissance d’un réacteur qui est en partie lié à l’effet Doppler du flux de neutrons. Mais je n’ai pas la prétention de m’étendre sur ce sujet car je plongerais alors dans l’ultracrépidarianisme pur.

    J’ai toujours écrit des articles qu’on peut classer dans la biologie ou la chimie. C’est normal, c’était mon métier. J’ai lu des centaines d’articles sur le coronavirus et bien que non spécialiste j’en ai compris la totalité bien qu’ils soient souvent complexe et faisant appel à des techniques que je n’ai fait qu’aborder au cours des années 1990 alors que la biologie n’en était qu’à ses balbutiements. Mais quand il m’est arrivé d’écouter par erreur des médecins de plateau télé exposer leur « savoir » au sujet du virus alors la locution de Pline l’Ancien s’applique pleinement à ces individus. La plupart d’entre eux ne savent même pas ce qu’est un ARN messager ou un ribosome, ils ignorent tout de l’immunologie, bref ce sont des adeptes de l’ultracrépidarianisme chimiquement pur doublé de propagande gouvernementale, la pire situation imaginable. Et dans la même veine, quand il s’agit de vrais médecins, exerçant dans la vie réelle, il leur arrive trop souvent de tenir un discours sur des pathologies dont ils ignorent tout. J’ai souvent disserté à ce sujet sur mon blog. Dans ce registre considérons les OGMs, ces plantes génétiquement modifiées pour résister à des attaques par les insectes ravageurs. Par pur ultracrépidarianisme les autorités politiques occidentales ont interdit ces plantes en Europe en se soumettant aux louables exigences des écologistes. Pas de chance, j’ai travaillé pendant 13 ans dans un laboratoire privé dont la spécialité était la mise au point de plantes transgéniques. J’ajouterai qu’aux écologistes ont pourrait décerner chaque année le prix Nobel de l’ultracrépidarianisme car ils défendent des causes dont ils ne connaissent pas le moindre commencement du début de savoir scientifique.

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  14. Il reste un vaste sujet : la géopolitique. Je me suis documenté pour comprendre les raisons profondes qui ont animé la Russie à intervenir en Ukraine que je ne peux pas m’empêcher de rapprocher des 78 jours de bombardement de la Serbie par les forces de l’OTAN pour finalement rapprocher le Kosovo de l’Albanie. Je résume mais les Occidentaux seraient bien avisés de se calmer à propos de la Russie. À ce propos je suggère vivement à mes lecteurs anglophones de regarder le film documentaire d’Oliver Stone au sujet des évènements d’Ukraine pour ne pas tomber dans l’ultracrépidarianisme, il y a tellement de journalistes et de chefs d’Etat occidentaux qui ne savent pas de quoi ils parlent que c’est tout simplement stupéfiant. L’émission de ce samedi 5 mars de TVL expose clairement les faits et vous remarquerez que la journaliste n’a posé aucune question idiote à son invité ce qui n’est pas le cas des « stars » féminines de plateau télé qui, chaque fois qu’elles ouvrent la bouche, font preuve d’ignorance ou ont pour mission de contredire leur interlocuteur car elles reçu de leur rédaction l’ordre de se comporter ainsi. Liens : https://fr.sott.net/article/31713-Le-documentaire-d-Oliver-Stone-Ukraine-on-Fire-ou-comment-les-Etats-Unis-et-non-la-Russie-ont-detruit-l-Ukraine

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-avec-romain-bessonnet-russie-otan-ukraine-la-guerre-a-nos-portes et l’explication d’Etienne Klein :

    - voir clip sur site :

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/06/suis-je-suspecte-dultracrepidarianisme/

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  15. La guerre en Ukraine : un futur inquiétant pour l’agriculture

    La récente invasion de l’Ukraine par les troupes russes vient de mettre à mal l’agriculture française.


    Armand Paquereau
    le 7 mars 2022


    L’homme n’étant pas conçu pour vivre isolé, la vie harmonieuse est basée sur l’équilibre des échanges. Depuis le troc du temps des cavernes jusqu’au commerce moderne, la paix, la stabilité et la sécurité de la vie quotidienne ne peuvent subsister que par des échanges équitablement consentis dont les clauses sont réciproquement respectées.

    La récente invasion de l’Ukraine par les troupes russes vient de mettre à mal ce fragile équilibre pour une durée qu’il serait présomptueux d’évaluer. Les dispositions de coercition envisagées contre la Russie et leurs conséquences vont donc bouleverser le quotidien du monde de manière difficilement estimable, mais dont on peut présager la réalité de beaucoup d’entre elles.

    L’agriculture française (et européenne), dépendante de la Russie
    Selon l’AGPB :

    30 % des importations d’engrais de l’UE sont d’origine russe
    Russie et Ukraine sont les premiers exportateurs mondiaux de blé et deuxième exportateurs d’orge
    La Russie et l’Ukraine fournissent également 79 % des exportations mondiales en huile de tournesol
    L’Ukraine est le troisième exportateur de maïs
    La Russie est le premier exportateur d’engrais azotés
    Russie et Biélorussie sont le premier exportateur d’engrais potassiques.
    La Russie représente désormais 28 % des importations françaises de produits pétroliers raffinés (12 % en 2002) et 17 % des importations de gaz

    En maîtrisant les matières premières, gaz naturel et engrais azotés, mais aussi les produits alimentaires, la Russie se trouve en position d’arbitrage de notre autonomie alimentaire.

    L’Union européenne a abandonné durant les années 1990 son objectif d’autosuffisance alimentaire au profit de mesures privilégiant le pouvoir d’achat du consommateur et la défense de l’environnement.

    Cette politique a pour effet d’augmenter les importations de produits agricoles à bas prix et qui ne respectent pas les normes européennes.

    L’impact de l’embargo prévisible des exportations russes et ukrainiennes de céréales sur les prix reste temporairement différé par notre stock existant, mais ce stock est tombé à un niveau bas fin 2021.

    A contrario, après les sanctions occidentales adoptées qui avaient suivi l’annexion de la Crimée en 2014, la Russie a renforcé ses investissements dans l’agriculture, en devenant autosuffisante en céréales et quasiment en viande porcine et poulets !

    L’arrêt de l’importation de céréales russes et ukrainiennes

    Les embargos sur les échanges en provenance des pays en guerre vont désorganiser le marché des céréales.

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  16. Dans un premier temps, cela va supprimer la concurrence des produits habituellement importés donc diminuer l’offre et influer à la hausse sur les prix. Cela pourrait être temporairement bénéfique pour les céréaliers français. Cependant, l’augmentation des prix des fertilisants, notamment azotés, sera probablement supérieure aux gains obtenus par la hausse des cours induite par la diminution de l’offre.

    De plus la pénurie d’approvisionnement d’azote qui se fait déjà sentir fait que de nombreux agriculteurs ne peuvent couvrir leurs besoins de fertilisation. Cela se traduira par une baisse significative des rendements des futures récoltes. Sans compter sur la baisse de la valeur boulangère des blés panifiables, un taux de protéines trop bas dépendant de la fertilisation azotée, déclenchant un déclassement du grain récolté.

    L’augmentation du prix des céréales sera fatale pour nombre d’éleveurs, étranglés par les prix élevés de l’aliment et l’aval des filières qui ne jurent que par des prix bas aux consommateurs.

    À tout cela s’ajoute l’augmentation drastique du prix des carburants qui, sans un ajustement du prix des produits alimentaires issus de l’agriculture, ne permettra pas à un très grand nombre d’exploitations de subsister. Toutes les productions seront impactées.

    Les exportations vers les pays en guerre

    Les producteurs français seront impactés par l’arrêt des exportations. Cela avait été le cas en 2014 lors de l’embargo russe décidé par le Premier ministre Medvedev en réponse aux sanctions occidentales contre Moscou.

    Les producteurs de champagne qui ont exporté en 2020 1,9 million de bouteilles en Russie sont doublement pénalisés, la Russie leur ayant interdit d’apposer le mot champagne sur leurs bouteilles et devant se contenter de la mention vin pétillant.

    Les producteurs de cognac, ont exporté en 2020 pour 12 970 000 euros de cognac vers la Russie, en baisse de 21,8 % par rapport à 2019 (source BNIC).

    En 2021, la Russie a importé pour presque 198 millions d’euros de vins depuis notre territoire. Cela en fait le quinzième marché pour les producteurs français, d’après le magazine Réussir qui s’appuie sur les chiffres de la Fédération des exportateurs de vins et spiritueux de France (FEVS).

    Toutes ces ventes qui seront probablement interrompues pendant le conflit, et peut-être plus longtemps, vont aggraver le déficit de notre balance commerciale et affaiblir notre économie.

    Un risque de déstabilisation mondiale de l’agriculture

    Le conflit en Ukraine va fortement perturber la production de céréales dans ce pays et diminuer de façon significative la disponibilité des céréales alimentaires dans les pays importateurs.

    À l’instar des émeutes de la faim qui avaient embrasé en 2008 les populations de l’Égypte, du Burkina Faso, de la Mauritanie, de la Côte d’Ivoire, du Mexique, de la Thaïlande, du Sénégal, de Madagascar, d’Haïti qui avaient pour origine l’augmentation soudaine et importante du prix des denrées alimentaires de base, la conjonction d’une pénurie de denrées et de l’augmentation de leur prix pourrait avoir des conséquences explosives. À titre d’exemple, le Liban importe la moitié de son blé d’Ukraine et de Russie. Et selon le porte-parole des importateurs de cette filière, le Liban a seulement un mois et demi de stock pour l’instant. En Tunisie, 50 % du blé vient d’Ukraine.

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  17. Quelques raisons d’espérer ?

    Les producteurs les moins impactés pourraient être les agriculteurs bio. N’étant pas dépendants des fertilisants azotés chimiques, ils seraient exemptés des inconvénients précités. Mais ils seraient eux aussi impactés par la hausse des prix des carburants. Par conséquence de la pénurie occasionnée par l’arrêt des importations et de la hausse des prix de l’énergie, les prix des produits conventionnels pourraient égaler ceux des produits bio. Mais il n’est pas certain que les producteurs conventionnels abandonneraient pour autant les produits de protection des cultures pour se convertir en bio. Les producteurs bio ont besoin des effluents des productions animales pour la fertilisation azotée dans leurs terres. Mais les associations du bien-être animal sont opposées à l’exploitation de l’animal par l’Homme…

    Et la généralisation de la bio risque d’avoir les mêmes effets qu’au Sri Lanka qui a dû faire rapidement marche arrière sur sa décision du 100 % bio.

    La baisse de rendements induite par le manque ou la cherté des fertilisants se traduira par une hausse générale des prix à la consommation fatale pour les consommateurs aux bas revenus.

    Une économie dépendante de l’énergie et des échanges

    Au regard de la progression de l’armée russe en Ukraine et de la volonté affichée de son dirigeant de mettre en œuvre des moyens effrayants, notre économie pourrait être rapidement paralysée par des frappes de missiles sur nos centrales électriques. Plus d’électricité, cela signifie plus d’informatique, plus de distribution d’eau, de carburants, de nourriture, engorgement des réseaux d’eaux usées, etc.

    L’agriculture serait rapidement impactée, les groupes électrogènes ayant vite consommé les citernes de carburant.

    À terme, l’agriculture pourrait se libérer au moins partiellement de la dépendance énergétique en affectant des surfaces aux cultures énergétiques pour produire du bio-carburant.

    Mais ces surfaces viendraient en déduction des surfaces consacrées aux productions alimentaires, ce qui aggraverait la pénurie alimentaire décrite plus haut.

    La production de biogaz est un autre volet de l’indépendance énergétique de l’agriculture, mais le rendement en biomasse qui alimente les digesteurs est lui aussi tributaire de la fertilisation azotée.

    Conclusion

    La mondialisation, qui a séduit les populations en proposant aux citoyens des pays pauvres des débouchés rémunérateurs et à ceux des pays riches de pouvoir acheter à des prix bas trouve dans ce conflit l’illustration de ses limites.

    La perte de notre autonomie déjà illustrée par le manque de masques, de médicaments, de composants électroniques, va atteindre un niveau critique supérieur, car manger ne se diffère pas et ventre affamé n’a plus d’oreilles. Les affrontements ont toujours existé, depuis les clans des cavernes jusqu’à nos économies modernes. Le meilleur moyen d’éviter la guerre, c’est de s’y préparer (Patricia Mirallès, LREM).

    https://www.contrepoints.org/2022/03/07/422769-la-guerre-en-ukraine-un-futur-inquietant-pour-l-agriculture

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    1. (...) 30 % des importations d’engrais de l’UE sont d’origine russe
      Russie et Ukraine sont les premiers exportateurs mondiaux de blé et deuxième exportateurs d’orge
      La Russie et l’Ukraine fournissent également 79 % des exportations mondiales en huile de tournesol
      L’Ukraine est le troisième exportateur de maïs
      La Russie est le premier exportateur d’engrais azotés
      Russie et Biélorussie sont le premier exportateur d’engrais potassiques.
      La Russie représente désormais 28 % des importations françaises de produits pétroliers raffinés (12 % en 2002) et 17 % des importations de gaz (...)

      Vous remarquerez bien que ce n'est pas l'Ukraine qui est citée dans la liste mais la Russie et la Biélorussie (au Nord de l'Ukraine et entre Pologne et Russie). Et que même si l'Ukraine a une importante surface de blé, la France exporte le sien et n'en a donc pas besoin.

      Mais, NE PANIQUONS PAS ! car il y a mille et une façon de contourner un embargo ! Suffit que la Russie vende son engrais à la Chine ou à n'importe quel autre pays puis, la France importera cet engrais réemballé du pays en question. Çà c'est toujours passé comme çà.

      Mais, là encore, là n'est pas la question ! Idem après l'escroquerie du 'virus corona19' qui n'est disponible qu'en seringues, voilà une 'famine-à-venir' en France ! (voir la guerre du Vietnam privant le monde de noix de coco, la guerre en Afghanistan privant le monde de poudre blanche et la guerre des boutons privant l'être humain de pantalons !). De plus, alors que le pétrole est cher et que tous les pays producteurs tirent à tout-va, le prix du baril ne descend pas !!

      Y a comme un défaut quelque part !

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  18. LE PÉTROLE FRÔLE LES 140 DOLLARS, LE RECORD ABSOLU BIENTÔT FRANCHI ?


    par PAOLO GAROSCIO
    07/03/2022


    Le record absolu pour le prix du pétrole a été de 147 dollars le baril.

    La Russie ne semble pas vouloir céder sur le front de la guerre en Ukraine, l’Ukraine et l’Occident non plus. De nouvelles menaces de sanctions ont été faites, et notamment la possibilité qu’elles touchent le secteur du pétrole et du gaz, jusque-là épargné. Si rien n’a été décidé et que l’annonce provient surtout des États-Unis, la Bourse s’est emballée dimanche 6 mars 2022.

    Le pétrole russe boycotté… et bientôt interdit ?

    Dès le début de l’annonce des sanctions massives contre la Russie de la part du monde occidental, le pétrole russe semblait réussir à passer entre les mailles du filet. Nécessaire pour le bon fonctionnement de l’économie, il était, comme le gaz, exempté de sanctions. Que ce soit au niveau des interdictions de commerce, du système de paiement SWIFT ou tout simplement au niveau de la logistique, pétrole et gaz étaient achetés à la Russie.

    Du moins, en théorie : dès vendredi 4 mars 2022, les premières mauvaises nouvelles tombaient : le pétrole russe était boycotté, à défaut d’être sanctionné. Par peur de représailles de la part des régulateurs occidentaux, mais aussi pour éviter des critiques de la part de leurs clients, le pétrole russe ne trouvait pas preneur, même bradé.

    En Bourse, cela représente une forte baisse de l’offre, alors que la demande augmente. Et le prix s’est emballé, sans surprise.

    139 dollars le baril, le record absolu à portée de main

    Un nouveau coup de stress a frappé la Bourse lorsque les États-Unis ont annoncé leur intention d’interdire les importations de pétrole russe, tout simplement. Aucune décision n’aurait été prise par l’administration Biden, mais elle aurait contacté le Vénézuela, parmi les plus gros producteurs de brut au monde, pour compenser les exportations russes.

    L’annonce a fait atteindre au baril de Brent un nouveau record : les échanges, dimanche 6 mars 2022 dans la soirée, ont atteint un pic à 139,13 dollars. Un niveau jamais vu depuis 2008, lorsque le brut affichait 140 dollars. Le record absolu pour le baril de pétrole est même désormais à portée de main : il avait été établi en juillet 2008 lorsque les échanges avaient connu un pic à 147,50 dollars.

    Les Européens coincés entre les deux blocs

    Si le baril de brut a ensuite baissé, il ne coûtait plus « que » 129 dollars pour le Brent lundi 7 mars 2022 en début de matinée, la hausse est constante depuis le début de la crise en Ukraine et vient s’ajouter à l’augmentation déjà subie par les prix de l’énergie depuis l’été 2021.

    Pour l’Europe, le problème grandi : contrairement aux États-Unis qui sont également un gros producteur de pétrole brut, le Vieux Continent est totalement dépendant de l’importation. Une guerre des prix entre la Russie et les États-Unis risque de faire très mal au portefeuille des Français et des européens en général.

    http://www.economiematin.fr/news-petrole-brut-prix-record-ukraine-russie-guerre

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  19. Aide-mémoire sur les céréales : 1re partie


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 07 MARS 2022 - 04:00

    Partie 1 sur 3 d'une mini-série hebdomadaire, par Macro Ops Substack

    Résumé rapide

    L'année commerciale commence le 1er septembre et se termine le 31 août.
    Les céréales ne sont presque jamais un Buy and Hold (pour un portefeuille à long terme).
    Corn Dec, Soybean Nov sont les contrats à terme de la nouvelle récolte.
    Au cours d'une année normale, le 1er octobre ou le premier vendredi d'octobre est le point le plus bas du prix du marché du soja et du maïs.
    La météo a un effet asymétrique sur les cultures. Il n'a pas à se matérialiser pour influencer les prix.
    Weather Risk Premium est la hausse des prix due aux inquiétudes sur la production.
    Les prix des céréales ont une tendance saisonnière, mais cela ne signifie pas que les prix sont faciles à prévoir chaque année.
    Soyez conscient des interdictions d'exportation et des lois telles que les quotas d'éthanol pour le maïs.
    En février, à cause du Nouvel An chinois, les prix du soja baissent pendant les festivités, puis remontent à mesure qu'ils reviennent sur le marché.
    Ratio maïs/soja : s'il est supérieur à 3, il vaut la peine de cultiver du soja.
    Si le Contango est trop raide, il pourrait y avoir une opportunité pour une propagation du calendrier de l'ancienne récolte / de la nouvelle récolte
    Les coûts de stockage et les jeux d'arbitrage expliquent la forme de la courbe à terme de contango.
    Si le marché est en retard, il y a un problème d'approvisionnement et les gens ont besoin de céréales maintenant.
    WASDE sort la deuxième semaine de chaque mois.
    L'USDA est une référence, mais soyez conscient du consensus.
    Ne vous concentrez pas sur les chiffres prévisionnels, concentrez-vous sur les réactions des prix.
    Ne suivez pas le piège des récoltes record.
    Lorsque l'intérêt ouvert est à la baisse, il est temps de revenir en arrière.
    Résumé de la volatilité

    Prix ​​en hausse, volatilité en hausse.
    Prix ​​en baisse, volatilité en baisse.
    Ratio stock/utilisation élevé, volatilité faible.
    Ratio stock/utilisation faible, volatilité élevée.
    Résumé de la saisonnalité

    - voir graph sur site -

    Le prix moyen hebdomadaire doit être considéré comme la référence d'une campagne commerciale normale sans chocs significatifs d'offre ou de demande. Il capture le modèle de saisonnalité des grains.

    Calendrier des cultures

    - voir graph sur site -

    Si nous suivons les prix avec le calendrier des cultures, il est plus facile de savoir à quel stade de l'année commerciale nous nous trouvons à tout moment. Si les prix ne suivent pas la saisonnalité normale, cela signifie qu'il existe de nouvelles informations pertinentes du côté de la demande ou de l'offre. Vous devez vous attendre à une année commerciale où les prix ne suivent pas leur schéma de saisonnalité habituel.

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  20. Blocs de construction

    Les facteurs les plus importants utilisés dans l'analyse des produits agricoles sont les suivants :

    La fourniture

    Production de l'année en cours.
    Les stocks excédentaires de l'année précédente, également appelés stocks de report ou stocks.
    Importations d'autres pays.
    Demande

    Usage domestique.
    Exportations.
    L'année commerciale est la clé

    L'année commerciale du soja et du maïs commence le 1er septembre. L'année commerciale 2015-2016 commence le 1er septembre 2015 et se termine le 31 août 2016. Une astuce mineure mais importante consiste à organiser toutes vos données, telles que les exportations, les données sur l'engagement des commerçants et les données sur les prix, de sorte qu'elles commencent toutes sur une base d'année commerciale. au lieu de l'année civile. Les grands acteurs comme les producteurs, les silos et les transformateurs de céréales prendront la plupart de leurs décisions commerciales de cette façon.

    Saisonnalité des céréales

    Vous avez probablement entendu dire que les prix des matières premières suivent un modèle de saisonnalité, les céréales ne font pas exception à cela. Il est logique que les prix soient bas lorsque la récolte vient de se terminer et qu'il n'y a pas assez de place pour stocker tout le grain. La seule option laissée à un producteur est de vendre ses boisseaux.

    Notez également que les agriculteurs ont des factures à payer. Ils doivent également payer des intérêts sur les prêts qu'ils ont contractés pour financer la récolte de l'année. Ainsi, la première partie de la récolte destinée au marché paiera probablement tous leurs coûts de production. Mais puisque tout le monde fait cela, l'offre dépasse la demande et les prix baissent.

    De l'autre côté du spectre, le mois précédant la récolte, seules les céréales en stock de la récolte de l'année dernière sont disponibles, l'offre est serrée et si quelque chose tourne mal avec la récolte de l'année en cours, les prix devraient monter en flèche.

    Gardez à l'esprit que la saisonnalité des céréales n'est pas un indicateur parfait. Toutes les années ne suivront pas ce comportement des prix.

    Les céréales comme histoire : comment suivre les récits d'une année commerciale

    Saison de plantation - avril à juin

    Tout commence le dernier jour de mai avec le rapport de plantation prospective de l'USDA. Les producteurs révéleront leur intention pour la nouvelle récolte. Il s'agit de la première information clé que le marché recevra concernant la récolte de cette année.

    Ensuite, tout le monde suivra le rythme de plantation sur le rapport Crop Progress qui est publié tous les lundis par l'USDA. Si le rythme est dans la moyenne, rien ne se passe. Mais si la pluie ou d'autres types de retards se produisent, le rythme de plantation commence à s'écarter de la moyenne et les problèmes de production commenceront à s'aggraver.

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  21. (Le maïs et le soja ont une fenêtre de plantation idéale. S'ils ne sont pas dans le sol à ce moment-là, les rendements en souffriront.)

    Cela continuera jusqu'à ce que les rapports de l'USDA sur les superficies soient publiés en juin. À ce moment-là, le marché sait combien d'acres de maïs et combien de soja sont effectivement sur le terrain.

    Grains au sol - juillet à août

    La prochaine grande chose sera le rendement. Si vous savez combien d'acres sont plantés et si vous savez également combien de maïs chaque acre vous rapportera, vous pourrez calculer la taille de la production de cette année.

    La progression de la récolte indiquera si les grains sont en bon, bon ou mauvais état. C'est le moment où les céréales sont les plus sensibles aux intempéries, le risque numéro un sur ce marché.

    Cette période de l'année est celle où vous pouvez vous attendre à des niveaux élevés de volatilité. Les commerçants ont plus d'occasions de spéculer puisque les prix peuvent changer rapidement. L'actualité météo est vraiment importante durant cette période.

    La récolte - septembre à novembre

    Vient ensuite la saison des récoltes. Le rapport d'avancement des cultures indiquera le rythme auquel le grain est ramassé du sol. Tout comme pour le rythme de plantation, le marché s'attend à ce qu'il soit proche de la moyenne. Si cela va trop vite, cela pourrait impliquer une surabondance d'approvisionnement à court terme. Et si cela va trop lentement, cela pourrait entraîner des problèmes de qualité.

    Les pluies ne sont pas amicales à ce stade, en plus de ralentir le rythme de la récolte, elles pourraient endommager une récolte parfaitement bonne ou nuire à sa qualité, et comme d'habitude, le marché se concentrera sur la météo.

    Marché de la demande - décembre à janvier

    Maintenant que la récolte est terminée, le marché axé sur l'offre se transformera en un marché axé sur la demande. Tout le monde se concentrera sur le rapport hebdomadaire des exportations.

    On s'attend à de bons chiffres et à un bon début d'année commerciale. Si les exportations sont fortes, cela signifie que le marché est sain et que tout se passe bien.

    Si le mauvais temps a un impact sur la distribution et les exportations, cela est en fait baissier pour les contrats de céréales CME. Puisque le grain ne peut pas être livré, les gens l'achèteront à d'autres sources.

    Plus d'informations - février à mars

    Le marché gardera un œil sur la demande jusqu'en février. À ce stade, tout est connu, comme la taille de la récolte et l'évolution de la demande. À moins qu'une nouvelle histoire n'entre en jeu, aucune nouvelle information clé ne sera publiée avant un certain temps. Les marchés ont tendance à être calmes jusqu'à ce que ce soit à nouveau la saison des semailles.

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  22. Tout le cycle se répète alors.

    Les céréales ne sont presque jamais achetées et conservées

    Chaque fois que vous négociez des céréales, vous négociez l'état spécifique de la récolte pour cette année. (Prévisions de l'offre et de la demande pour cette année.)

    Lorsque vous achetez une entreprise, elle sera (espérons-le) toujours là après un an, 5 ans, 10 ans, etc. Ce n'est pas comme si leurs bâtiments et leurs infrastructures disparaissaient soudainement de nulle part. Les conditions du marché peuvent changer, comme de nouveaux concurrents ou de nouvelles préférences des consommateurs, mais une entreprise peut s'adapter et être toujours en activité. S'il a ajouté de la valeur au fil du temps, vous devriez être récompensé par un prix plus élevé pour les actions que vous possédez.

    Les grains, en revanche, sont littéralement détruits chaque année. Cette condition est connue sous le nom de "fongible" et est une propriété de la plupart des produits de base. Cela signifie que pour être utilisé, il doit être détruit. Si vous voulez plus de maïs, il doit être créé à nouveau à partir du sol. Vous ne pouvez pas réutiliser une ancienne récolte.

    Chaque fois qu'une récolte est détruite ou (utilisée), vous échangerez tout ce qui reste dans les stocks ainsi que les conditions et les attentes de la prochaine récolte. La nouvelle récolte aura un ensemble de circonstances complètement différent de ce qui s'est passé un an auparavant.

    Pour la nouvelle récolte, la demande pourrait augmenter à un rythme plus rapide que la production. Ou peut-être qu'il y a une énorme menace météorologique cette année qui n'existait pas l'année dernière.

    Ce sont ces caractéristiques qui confèrent aux prix des céréales leur caractère saisonnier.

    Ainsi, contrairement à une entreprise qui se développe et ajoute de la valeur, le maïs ne peut pas ajouter de valeur. Par conséquent, cela n'a aucun sens de conserver du maïs dans un portefeuille pendant des années à la fois.

    Il est important de se rappeler que chaque fois que vous entrez sur ce marché, vous négociez les conditions et les attentes spécifiques pour la récolte de cette année ainsi que ce qui est disponible en stockage.

    La seule fois où vous voudrez conserver des céréales pendant plus d'un an, c'est lorsqu'une crise alimentaire survient. Une très mauvaise crise peut prendre des années à être résolue du côté de la production.

    Astuces de saisonnalité

    Au cours d'une année normale, le 1er octobre ou le premier vendredi d'octobre est le prix le plus bas pour le soja et le maïs.

    https://www.zerohedge.com/commodities/grains-cheatsheet-part-1

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  23. L’homme qui a vendu l’Ukraine


    Par Mike Whitney
    Mondialisation.ca, 05 mars 2022



    Ce qui se passe en Ukraine a de très graves implications géopolitiques. Cela pourrait nous conduire à un scénario de troisième guerre mondiale.

    Il est important qu’un processus de paix soit engagé afin d’éviter une escalade.

    Mondialisation.ca n’est pas en faveur de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Un accord de paix bilatéral est nécessaire.

    * * *

    Volodymyr Zelensky est l’actuel président de l’Ukraine. Il a remporté une victoire écrasante à l’élection de 2019 sur la promesse d’apaiser les tensions avec la Russie et de résoudre la crise dans les républiques séparatistes de l’est de l’Ukraine. Il n’a pas même essayé de tenir aucune de ces deux promesses. Au contraire, il a considérablement exacerbé la crise interne de l’Ukraine, tout en provoquant sans relâche la Russie. Zelensky a eu de nombreuses occasions d’aplanir les difficultés avec Moscou et d’empêcher le déclenchement des hostilités. Au lieu de cela, il a constamment aggravé la situation en suivant aveuglément les directives de Washington.

    Zelensky est adulé par l’Occident et loué pour sa bravoure personnelle. Mais, dans les faits, il a échoué à rétablir l’unité nationale et à mettre en œuvre l’accord de paix crucial qui est la seule voie vers la réconciliation. Le président ukrainien n’aime pas le protocole dit de Minsk et a refusé d’en respecter les exigences fondamentales. En conséquence, la guerre fratricide à forte connotation ethnique qui a embrasé l’Ukraine au cours des huit dernières années se poursuit aujourd’hui sans qu’aucune issue ne soit en vue. Le président Vladimir Poutine a fait référence à l’obstination de Zelensky dans un récent discours prononcé au Kremlin. Il a déclaré :

    « Lors de l’événement d’hier… les dirigeants ukrainiens ont déclaré publiquement qu’ils n’allaient pas respecter ces accords. Qu’ils ne les respecteraient pas. Eh bien, que peut-on dire de plus ? » (Vladimir Poutine)

    La plupart des Américains ne réalisent pas que le rejet de Minsk par Zelensky a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Les responsables russes avaient travaillé pendant huit ans sur Minsk, élaborant des conditions acceptables pour toutes les parties. Puis, à la onzième heure, Zelensky a mis le holà à l’accord d’un simple geste de la main. Pourquoi ? Qui a dit à Zelensky d’abandonner l’accord ? Washington ?

    Bien sûr.

    Et pourquoi Zelensky a-t-il déployé 60 000 soldats le long de la ligne de contact (dans l’est de l’Ukraine), d’où ils pouvaient lancer des obus meurtriers sur les villes et villages des Russes ethniques qui y vivaient ? De toute évidence, le message envoyé à la population était qu’une invasion était imminente et qu’elle devait sortir immédiatement des maisons et/ou s’abriter dans ses caves. Quel objectif Zelensky espérait-il atteindre en forçant ces gens à se tapir dans leurs maisons en craignant pour leur vie ? Et quel message entendait-il envoyer à Moscou, dont les dirigeants étaient absolument horrifiés par ce qui se passait ?

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  24. Savait-il que ses actions allaient déclencher l’alerte en Russie, forçant Poutine à mobiliser son armée et à la préparer à une éventuelle invasion pour protéger son peuple de ce qui semblait être une opération massive de nettoyage ethnique ?

    Il le savait.

    Alors, ces actions sont-elles cohérentes avec les promesses de campagne de Zelensky de restaurer l’unité nationale et de résoudre pacifiquement les problèmes de l’Ukraine avec la Russie ?

    Elles ne sont pas du tout cohérentes, elles sont diamétralement opposées. En fait, Zelensky semble fonctionner sur la base d’un scénario totalement différent. Prenez, par exemple, son refus absolu de prendre en compte les préoccupations minimales de la Russie en matière de sécurité. Zelensky savait-il que Poutine avait déclaré à plusieurs reprises que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était une « ligne rouge » pour la Russie ? Savait-il que Poutine n’a cessé de répéter la même chose depuis 2014 ? Savait-il que Poutine avait averti que si l’Ukraine prenait des mesures pour rejoindre l’OTAN, la Russie serait obligée de prendre des mesures « militaro-techniques » pour assurer sa propre sécurité ? Zelensky sait-il que l’OTAN est une alliance contrôlée par Washington qui s’est livrée à de nombreuses agressions contre d’autres États souverains. Voici une courte liste des haut-faits de l’OTAN :

    La destruction de la Yougoslavie

    La destruction de l’Afghanistan

    La destruction de la Libye

    La destruction de l’Irak

    La destruction de la Syrie

    Zelensky sait-il que l’OTAN est ouvertement hostile à la Russie et considère la Russie comme une menace sérieuse pour ses ambitions expansionnistes ?

    Oui, il sait tout cela. Pourtant, il a exprimé publiquement son souhait de développer des armes nucléaires. Qu’est-ce que cela signifie ? Imaginez le problème que cela poserait à la Russie. Imaginez qu’une marionnette soutenue par les États-Unis, comme Zelensky, ait des missiles nucléaires sous la main. Comment pensez-vous que cela pourrait affecter la sécurité de la Russie ? Pensez-vous que si Poutine ignorait tous ces développements, il serait fidèle à son devoir de protéger le peuple russe ?

    Et pourquoi Zelensky a-t-il accepté que soient livrées à l’Ukraine des cargaisons successives d’armes létales s’il recherchait sincèrement la paix avec la Russie ? Pensait-il que Poutine était trop stupide pour voir ce qui se passait juste sous son nez ? Pensait-il qu’il normalisait ses relations en développant son arsenal, en menaçant son propre peuple et en se pliant à toutes les exigences de Washington ?

    Ou pensait-il que les demandes de garanties de sécurité de Poutine étaient déraisonnables ? C’est cela ? Pensait-il que, si la situation était inversée, les États-Unis permettraient au Mexique d’installer des bases militaires, des pièces d’artillerie et des missiles le long de la frontière sud des Etats-Unis ? Y a-t-il un président dans l’histoire étasunienne qui n’aurait pas fait la même chose que Poutine ? Y a-t-il un président dans l’histoire étasunienne qui n’aurait pas lancé une attaque préventive sur ces armes mexicaines et vaporisé tout être vivant dans un rayon de 30 km ?

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  25. Non, les demandes de Poutine étaient tout à fait raisonnables, mais Zelensky les a quand même ignorées. Pourquoi ?

    Zelensky sait-il qu’il y a des membres du Secteur droit, des néo-nazis au sein du gouvernement, de l’armée et des services de sécurité. Sait-il que, même s’ils sont peu nombreux, ils constituent une force avec laquelle il faut compter et qui joue un rôle important dans la haine et la persécution des Russes ethniques ? Sait-il que ces éléments d’extrême droite participent à des défilés aux flambeaux, impriment des croix gammées ou des tatouages SS sur leurs bras, et vénèrent l’idéologie racialiste d’Adolph Hitler ? Se rend-il compte que nombre de ces nazis se sont livrés à des actes criminels d’une grande violence, qu’ils ont notamment brulé 40 civils dans le bâtiment des syndicats à Odessa en 2014 ? Se figure-t-il que les programmes secrets de la CIA pour armer et former ces militants d’extrême droite renforcent la confiance mutuelle ou se figure-t-il que cela rappelle à Moscou une guerre catastrophique au cours de laquelle 27 millions de Russes ont été exterminés par la Wehrmacht allemande ?

    N’est-il pas évident que tout ce que Zelensky a fait, a été fait dans l’intention de provoquer la Russie ?

    Toutes les discussions sur l’adhésion à l’OTAN, toutes les discussions sur le développement d’armes nucléaires, l’accumulation constante d’armes létales, le mouvement des troupes vers l’est, le refus d’appliquer le traité de Minsk et le rejet des demandes de sécurité de Poutine. Tout cela était des provocations délibérées. Mais pourquoi ? Pourquoi « appâter l’ours » (1), telle est la question ?

    Parce que Washington veut attirer la Russie dans une guerre pour pouvoir diaboliser davantage Poutine, isoler la Russie, lancer une opération de contre-insurrection contre l’armée russe et imposer des sanctions économiques sévères qui infligeront un maximum de dommages à l’économie russe. C’est en deux mots la stratégie de Washington, et Zelensky aide Washington à atteindre ses objectifs. Il se fait l’outil de Washington. Il sacrifie son propre pays pour faire avancer les intérêts des États-Unis.

    Tout cela contribue à souligner un point qui n’est jamais pris en compte par les médias et jamais discuté par les experts des chaînes câblées, à savoir que l’Ukraine va perdre la guerre, et Zelenskyy le sait. Il sait que les forces armées ukrainiennes ne font pas le poids face à l’armée russe. C’est comme écraser une mouche avec un marteau. L’Ukraine est la mouche. Les gens doivent le savoir mais personne ne le leur dit. Au lieu de cela, on les abreuve de blablas sur des Ukrainiens héroïques qui combattent l’envahisseur russe. Mais ce sont des absurdités, des absurdités dangereuses qui encouragent les gens à sacrifier leur vie pour une cause perdue. L’issue de ce conflit n’a jamais fait de doute : L’Ukraine va perdre. C’est certain. Et si vous lisez entre les lignes, vous verrez que la Russie est en train de gagner la guerre haut la main ; ils écrasent l’armée ukrainienne à chaque pas, et ils continueront à les écraser jusqu’à ce que l’Ukraine se rende. Regardez cette brève interview du colonel Douglas MacGregor sur Tucker Carlson et vous comprendrez ce qui se passe réellement :

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  26. Tucker : « Où en est la guerre ce soir ? » (1er mars)

    Colonel McGregor : « Eh bien, les 5 premiers jours, nous avons assisté à un mouvement très lent et méthodique des forces russes entrant en Ukraine… Elles se sont déplacées lentement et prudemment et ont essayé de réduire les pertes parmi la population civile, en essayant de donner aux forces ukrainiennes l’opportunité de se rendre. C’est terminé. Et dans la phase dans laquelle nous nous trouvons maintenant, les forces russes ont manœuvré pour encercler et entourer les forces ukrainiennes restantes et les détruire par une série de frappes massives de roquettes d’artillerie, de frappes aériennes avec les blindés russes qui se rapprochent lentement mais sûrement et anéantissent ce qui reste. Donc, c’est le début de la fin de la résistance ukrainienne.

    Tucker : Quel est l’objectif de Poutine ici ? »

    Colonel McGregor : « Poutine est en train de remplir la promesse qu’il a faite en 2007 à la Conférence sur la sécurité de Munich : ‘Nous ne permettrons pas l’expansion de l’OTAN jusqu’au point où l’OTAN touche notre frontière, en particulier en Ukraine et Géorgie’. Nous considérons ces pays comme des chevaux de Troie de la puissance militaire de l’OTAN et de l’influence des États-Unis… ». Il a répété cet avertissement à maintes reprises, dans l’espoir de ne pas avoir à nettoyer l’est de l’Ukraine de toute force d’opposition, quelle qu’elle soit, et de ne pas avoir à placer ses forces dans une position, par rapport à l’OTAN, qui nous dissuaderait de toute nouvelle tentative d’influencer l’Ukraine ou d’en faire un tremplin pour projeter la puissance américaine et occidentale en Russie.

    Son objectif – à ce jour – est de s’emparer de toute cette zone de l’est de l’Ukraine (à l’est de la rivière Dniepr) et il a traversé la rivière et il se prépare à entrer et à capturer entièrement cette ville (Kiev).

    À ce stade, Poutine doit décider de ce qu’il veut faire d’autre. Je ne pense pas qu’il veuille aller plus à l’ouest. Mais il veut s’assurer que quelle que soit la forme que prendra ensuite l’Ukraine… elle sera « neutre », non alignée et, de préférence, amicale envers Moscou. Cela ll l’acceptera. S’il ne l’obtenait pas, sa guerre n’aurait servi à rien. »(« Colonel Douglas MacGregor avec Tucker Carlson« , Rumble)

    Lien vidéo [en anglais

    Que pouvons-nous déduire de cette courte interview :

    1. La Russie va l’emporter et l’Ukraine va perdre.

    2. L’Ukraine va être divisée. Poutine va créer le tampon dont il a besoin pour assurer la sécurité de son pays.

    3. Quiconque gouvernera la partie occidentale de l’Ukraine devra déclarer sa « neutralité » (par écrit) et rejeter toute offre d’adhésion à l’OTAN. S’ils violent cette promesse, ils seront démis par la force.

    Mais la chose la plus importante est que tous les principaux acteurs de ce fiasco savaient dès le départ que l’Ukraine n’avait aucune chance de vaincre l’armée russe. C’était couru d’avance.

    Ce que nous voulons savoir, c’est pourquoi Zelensky n’a pris aucune mesure pour éviter la tragédie avant qu’elle ne se produise ?

    La réponse à cette question permet de comprendre « qui est vraiment Zelensky ».

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  27. Posez-vous cette question : Pourquoi Zelensky n’a-t-il pas négocié avec Poutine quand il pouvait le faire ? Pourquoi n’a-t-il pas retiré ses 60 000 soldats de l’Est ? Pourquoi n’a-t-il pas arrêté les livraisons d’armes de Washington ? Pourquoi n’a-t-il pas appliqué le traité de Minsk ? Pourquoi n’a-t-il pas rejeté l’offre d’adhésion à l’OTAN ?

    Enfin, pourquoi était-il si déterminé à faire exactement ce qui allait mettre Moscou en colère et accroître la probabilité d’une guerre ?

    Il n’est pas difficile de répondre à ces questions.

    Zelensky a agi sur les ordres de Washington depuis le début. Nous le savons. Il a également mis en œuvre l’agenda de Washington, pas le sien et certainement pas celui de l’Ukraine. Nous le savons aussi. Mais cela ne l’exonère pas de sa responsabilité. Après tout, c’est un adulte capable de distinguer le bien du mal. Il sait ce qu’il fait, et il sait que c’est mal ; pire que mal, c’est impardonnable. Il envoie des hommes mourir dans une guerre qu’il sait qu’ils ne peuvent pas gagner ; il inflige des souffrances et des blessures incalculables à son propre peuple sans aucune raison ; et – le pire de tout – il a ouvert la voie à la dissolution de l’Ukraine elle-même, le pays qu’il avait juré de défendre. Ce pays va être brisé en morceaux dans le cadre d’un règlement final avec la Russie, et Zelensky aura une bonne part de responsabilité.

    Comment un homme tel que lui peut-il se regarder dans un miroir ?

    Mike Whitney

    Article original en anglais : The Man Who Sold Ukraine, The Unz Review, le 4 mars 2022.
    Traduction : Dominique Muselet

    Notes :

    1 L’appâtage d’ours est un sport sanglant impliquant l’encouragement/la force d’un chien et des combats d’ours enchaînés. Il peut également s’agir de dresser un ours contre un autre animal (Wikipedia).

    Michael Whitney est un analyste géopolitique et social renommé qui vit dans l’État de Washington. Il a débuté sa carrière en tant que journaliste-citoyen indépendant en 2002 avec un véritable engagement en faveur d’un journalisme honnête, de la justice sociale et de la paix dans le monde.

    Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la Mondialisation (CRM).

    https://www.unz.com/mwhitney/the-man-who-sold-ukraine/

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  28. "J’ai demandé au barreau du Québec d’indiquer que ce vaccin est expérimental" Me Gloriane Blais


    le 06/03/2022 à 15:25


    Cet espace d’opinion permet la libre expression des idées et d’engendrer le débat. Les articles et vidéos publiés dans cette rubrique peuvent parfois ne pas faire consensus, en savoir plus →

    Au Canada, Me Gloriane Blais, avocate au Québec depuis 23 ans et spécialiste du droit de la santé et de la corruption, a récupéré en appel le dossier judiciaire d’un père de famille inquiet d’être contraint de vacciner ses enfants. Après sa plaidoirie qui s’appuyait sur les rapports d’expertises du Pr Perronne, de la généticienne Henrion-Caude, de l’épidémiologiste Laurent Toubiana et de la biostatisticienne Christine Cotton, l’avocate s’est vue adressée un refus le 4 février par la Cour.

    Voir aussi : Me Gloriane Blais risque son titre d'avocat face à une justice qui "bafoue le droit à la défense"

    Après cette décision, le conseil d’administration du Barreau du Québec l’a sommé de se soumettre à une expertise psychiatrique sous peine de suspension de son titre d’avocat. L’audience avec l’instance juridique, qui l’a entendu sur les affaires du jugement frauduleux en première instance et sur sa plaidoirie relative au vaccin contre le Covid-19, s’est tenue le 2 mars. Nous avons de nouveau reçu Me Gloriane Blais qui nous confie sa satisfaction suite à l’audition, jugeant une ouverture de la part des membres du Conseil, puisque ces derniers ont pris connaissance des éléments de preuve apportés lors de audience avec la Cour, informations qu’ils n’avaient pas étudiées au moment de l’envoi de l’ordonnance.

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/demande-au-barreau-du-quebec-dindiquer-que-le-vaccin-est-experimental

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    1. Imaginez-vous contre un mur face à un peloton d'exécution. Vous savez qu'un fusil sur dix est chargé à blanc. Whôaw !

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  29. Le CDC admet discrètement que les vaccins COVID-19 provoquent des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux ; Les médias de Big Pharma tentent de rejeter la faute sur autre chose


    dimanche 06 mars 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont discrètement admis que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) provoquent une inflammation cardiaque, une crise cardiaque et un accident vasculaire cérébral.

    Plus précisément, le CDC a admis que les vaccins provoquent une myocardite et une myopéricardite. Le premier se produit lorsque le muscle cardiaque - également connu sous le nom de myocarde - devient enflammé. Ce dernier se produit lorsque le muscle cardiaque et le sac qui entoure le cœur - connu sous le nom de péricarde - deviennent enflammés.

    La myocardite peut affaiblir la capacité du cœur à pomper le sang et provoquer des arythmies. Les cas graves de myocardite peuvent tellement affaiblir le cœur qu'il devient incapable de pomper suffisamment de sang dans tout le corps. Cela peut également entraîner la formation de caillots dans le cœur, ce qui peut provoquer des accidents vasculaires cérébraux ou des crises cardiaques. (Connexe: les protéines de pointe du vaccin COVID-19 se détachent, provoquant des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et plus encore.)

    "Les preuves de plusieurs systèmes de surveillance de la sécurité dans plusieurs pays appuient la découverte d'un risque accru de myocardite et de myopéricardite après la vaccination par ARNm COVID-19", a lu un rapport du CDC intitulé "COVID-19 Vaccine Safety Updates", rédigé par un membre du CDC. Groupe de travail sur les vaccins COVID-19.

    Le rapport a souligné que le risque de myocardite et de myopéricardite est le plus élevé chez les adolescents et les jeunes adultes. Les hommes sont également plus susceptibles de souffrir de l'une ou l'autre condition que les femmes.

    Les conditions sont plus susceptibles de se produire après la deuxième dose qu'après la première, et l'apparition des symptômes survient quelques jours après la vaccination, jusqu'à une semaine.

    Les médias traditionnels font des heures supplémentaires pour blâmer les maladies causées par les vaccins sur d'autres choses
    Les médias grand public détournent l'attention des gens des vaccins COVID-19 en essayant de blâmer les maladies cardiaques et leurs symptômes sur d'autres facteurs. Shane St. Pierre, l'animateur de l'émission "Anti-Disinformation", l'a souligné dans l'épisode du 3 mars de l'émission.

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  30. St. Pierre a d'abord noté que la plupart des médias grand public les plus importants et les plus influents du monde occidental ont des liens étroits avec - s'ils ne sont pas directement contrôlés par - les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Les médias grand public sont liés à Big Pharma par l'intermédiaire de deux des plus grandes sociétés de gestion d'investissements au monde - BlackRock et The Vanguard Group. Ensemble, leurs avoirs en portefeuille valent plus de 17 000 milliards de dollars.

    "Plus important encore, ils sont les propriétaires et les contrôleurs de l'industrie Big Pharma. Et plus important encore que cela, BlackRock et Vanguard possèdent les médias grand public du monde », a déclaré St. Pierre. "En d'autres termes, Big Pharma possède les médias grand public."

    Cela donne aux médias grand public une forte incitation à publier un déluge d'articles affirmant que certains facteurs de la vie et non les vaccins expérimentaux et mortels contre le COVID-19 augmentaient les risques de développer différentes conditions de santé. Il a ensuite souligné que tous ces articles n'ont commencé à sortir que lorsque les vaccins COVID-19 ont commencé à se répandre.

    Un article publié par le Daily Express le 12 décembre 2021 affirmait que sauter le petit-déjeuner pouvait augmenter le risque de crise cardiaque "bien que le jeûne intermittent soit le plus grand avantage prouvé pour la santé de tous les temps", a déclaré St. Pierre. "Maintenant, tout à coup, sauter le petit-déjeuner provoque des crises cardiaques."

    "Mais si vous ne sautez pas le petit-déjeuner, tout à coup, l'aliment le plus populaire au monde pour le petit-déjeuner - les œufs - augmente votre risque de caillots sanguins", a-t-il ajouté. St. Pierre fait référence à un autre article du Daily Express, publié le 22 janvier, qui affirmait qu'une substance dans les œufs est en fait la raison pour laquelle les gens ont un risque accru de caillots sanguins, de crises cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux.

    St. Pierre a ensuite souligné à quel point ces affirmations étaient devenues ridicules lorsqu'il a partagé un article de Wales Online affirmant qu'il existe un lien entre la facture d'énergie d'une personne et son risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral.

    "Ils nous disent que ces augmentations de la facture énergétique pourraient même entraîner des problèmes de santé chez nos enfants. Parce que nous demandons tous à nos enfants d'ouvrir nos factures d'énergie, puis de leur demander comment ils vont payer sans emploi », a commenté St. Pierre d'un ton ironique.

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  31. D'autres facteurs qui, selon les médias grand public, peuvent causer des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux comprennent le fait de fumer de la marijuana, le froid, l'utilisation d'objets sexuels et même de respirer trop souvent.

    St.Pierre ne pense pas que ce soit une coïncidence si les médias grand public appartenant à Black Rock et Vanguard ont soudainement imputé les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques et les décès à beaucoup de choses autres que les vaccins COVID-19 à peu près au même moment où ces sociétés de gestion d'investissement ont pris contrôle de Big Pharma.

    Plus d'histoires liées :

    Un document Pfizer top secret divulgué montre que le vaccin COVID-19 est BEAUCOUP PLUS DANGEREUX que le monde ne le sait.

    La FDA veut publier lentement les documents sur les vaccins Pfizer tandis que l'attention se concentre loin de la pandémie.

    Des études confirment que l'ARNm de la protéine de pointe dans les vaccins COVID modifie l'ADN humain dans les heures qui suivent l'injection.

    Les personnes entièrement vaccinées PERDENT DU GRAPHÈNE et infectent les personnes non vaccinées, entraînant de graves complications pour la santé.

    Un chercheur sonne l'alarme après avoir trouvé des PARASITES, des nanobots et du graphène dans les vaccins COVID-19.

    Regardez l'épisode du 3 mars de "Anti-Disinformation" alors que l'animateur Shane St. Pierre parle de la tentative des médias grand public de blâmer les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux sur autre chose que les vaccins COVID-19.

    Cette vidéo provient de la chaîne Anti-Disinformation sur Brighteon.com.

    Découvrez la vérité sur les vaccins COVID-19 en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.

    Sources include:

    Brighteon.com
    CDC.gov [PDF]
    Express.co.uk 1
    Express.co.uk 2

    https://www.naturalnews.com/2022-03-06-cdc-admits-vaccines-cause-heart-attacks-strokes.html

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  32. La fonction principale des médias contrôlés par l'industrie pharmaceutique est de fabriquer des HIT PIECES sur quiconque dit la vérité sur les vaccins


    dimanche 06 mars 2022
    par : Lance D. Johnson


    (Natural News) L'une des principales fonctions des médias d'entreprise contrôlés par l'industrie pharmaceutique est de fabriquer des HIT PIECES contre quiconque dit la vérité sur l'échec des vaccins, la fraude aux vaccins et les dommages causés aux vaccins. Lors du rassemblement « Vaincre les mandats » du 23 janvier à Washington D.C., plusieurs orateurs sont montés sur scène et ont fustigé la coercition contraire à l'éthique derrière les mandats de vaccination d'aujourd'hui. Les conférenciers, dirigés par Robert F. Kennedy, Jr., ont identifié des exemples spécifiques de blessures et de décès liés au vaccin et ont relaté ces crimes historiques contre l'humanité. Les médias contrôlés par l'industrie pharmaceutique ont ignoré la véracité de l'événement et ont eu recours à HIT PIECES pour fermer la réalité de la mort induite par le vaccin.

    Le Times refuse de reconnaître la réalité de l'échec des vaccins et des blessures, recourt plutôt à des tactiques de honte sociale
    Le New York Times a été l'un des premiers médias d'entreprise à cibler l'événement. Le Times a enrôlé l'un de ses principaux écrivains, Adam Nagourney, pour écrire un article à succès contre Kennedy, pour salir son message et essayer de l'ostraciser socialement. L'article en première page du Time n'a fourni AUCUN argument rationnel contre les conclusions de Kennedy. L'article n'abordait PAS les positions et les observations bien citées de Kennedy, ni n'abordait respectueusement les cas de blessures, de coercition et de fraude liées aux vaccins. L'écrivain n'a interviewé personne du rassemblement "Defeat the Mandates" et le Times n'a pas non plus tenté de rapporter ce qui se passe réellement avec les vaccins covid-19 et toutes les personnes blessées et fatiguées.

    Au lieu de cela, Adam Nagourney a interviewé les RELATIVES de RFK Jrs., affirmant que les positions de Kennedy sont une déception pour sa famille, ce qui n'a bien sûr aucune pertinence. Au lieu de débattre de la science et de discuter de faits importants, Nagourney a fait appel à l'opinion sociale et a tenté de faire honte à Kennedy de cette manière. Ces tactiques sournoises ont déjà été essayées, mais elles ne suppriment pas Kennedy et la vérité. Les arguments de Kennedy sont intelligemment articulés et étayés par des preuves, et il ne peut pas être socialement censuré et banni de la société, comme le voudraient les médias contrôlés par l'industrie pharmaceutique.

    En fait, Kennedy's Children's Health Defence a résisté à d'innombrables attaques de censure et dé-plateforme de la part des vérificateurs de faits contrôlés par l'industrie pharmaceutique et des censeurs Big Tech. Cette organisation de défense des droits humains a même résisté aux attaques du gouvernement fédéral. En 2021, le régime Biden a tenté de qualifier Kennedy de source de «désinformation sur le vaccin Covid-19». Le régime de Biden a annoncé que Kennedy faisait partie d'une «douzaine de désinformation». Le gouvernement a conspiré avec les entreprises Big Tech pour arrêter la diffusion de toute information (qui disait la vérité) sur les vaccins covid-19.

    Les médias contrôlés par l'industrie pharmaceutique menacent les moyens de subsistance des gens et refusent d'aborder les problèmes actuels

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  33. Dans cette guerre de l'information, les médias d'entreprise sont fidèles à un récit - un système de croyances - motivé par la peur et le contrôle. Tout au long de ce scandale, les données n'ont jamais été vraiment évaluées et la fraude n'a jamais été discutée parce que les médias d'entreprise valorisent la position sociale plutôt que les discussions et les débats fondés sur des preuves. Les médias d'entreprise mesurent leur succès sur la façon dont ils peuvent impressionner les «experts» et rester obéissants à la $cience.

    Maintes et maintes fois, ces morceaux à succès faisaient référence à une figure d'autorité usée comme les Drs. Anthony Fauci, Peter Hotez et Paul Offit – qui ont tous des liens financiers avec l'industrie des vaccins. Les médias d'entreprise n'ont pas osé s'écarter de la main qui les nourrit, de peur d'être socialement ostracisés et coupés. C'est pourquoi le Times et le reste des médias contrôlés par l'industrie pharmaceutique utilisent des tactiques de honte sociale contre les diseurs de vérité ; ils craignent d'être ceux qui seront ostracisés et coupés, alors ils font honte à ceux qui ne se conforment pas. Les fautes professionnelles journalistiques et la pensée de groupe s'ensuivent. L'intimidation prend forme à travers la censure et la honte sociale.

    Mais au fur et à mesure que de plus en plus de gens parlent de leur expérience et déclarent la vérité sur les vaccins, ces soi-disant experts et contrôleurs narratifs deviennent les parias des temps modernes, se humiliant dans un coin de dépravation - peur, contrôle et abus. Cependant, l'époque où les journalistes menaçaient les moyens de subsistance des gens à cause des passeports et des mandats de vaccination ; l'époque des présentateurs de nouvelles cheerleading pour Big Pharma et la division sociétale ; l'époque où les journalistes ignoraient les blessés du vaccin DOIT toucher à sa fin, alors que ces propagandistes disparaissent psychologiquement - comme des parias en exil.

    Frappez le Times en envoyant une lettre à l'éditeur. Exigez que le Times pratique un vrai journalisme et aborde les problèmes qui se posent.

    Le New York Times peut être contacté à : letters@nytimes.com
    L'International New York Times peut être contacté à : inytletters@nytimes.com

    Dean Baquet
    Executive Editor
    The New York Times Company
    620 Eighth Avenue
    New York, NY 10018
    dean.baquet@nytimes.com

    Joseph Kahn
    Managing Editor
    The New York Times Company
    620 Eighth Avenue
    New York, NY 10018
    joe.kahn@nytimes.com

    Adam Nagourney’s contact info:
    Adam.Nagourney@nytimes.com
    Twitter: @adamnagourney
    Facebook: @AdamNagourneyNYT

    Sources include:

    ChildrensHealthDefense.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-03-06-primary-function-pharma-controlled-media-fabricate-hit-pieces-truth-about-vaccines.html

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  34. C'EST TOUS LES JOURS QUE DES COMMENTAIRES OU BLOGS SONT SUPPRIMÉS PAR DES ORDURES PÉDÉRASTES !

    * * * * *

    🚨 L'UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet 🔥


    By lejournaldusiecle
    14 février 2013


    Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.

    C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.

    Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.

    Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".

    Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".

    Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.

    En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.

    Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".

    Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle

    http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet

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