PAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 MARS 2022 - 03:40
Ces derniers jours, les prix du carburant ont grimpé en flèche pour atteindre des sommets historiques.
Selon l'American Automobile Association (AAA), le prix moyen national de l'essence sans plomb ordinaire a atteint 4,25 $ le gallon (3,87€ les 3,78 litres) au 21 mars 2022. C'est la première fois depuis 2008 que les prix de l'essence dépassent la barre des 4 $ le gallon.
Le prix du gaz augmentait déjà deux semaines avant l'invasion russe de l'Ukraine, en raison de l'augmentation de la demande due à la levée des restrictions COVID. Mais, comme le détaille Raul Amoros de Visual Capitalist ci-dessous, lorsque la guerre a éclaté, le prix de l'essence ordinaire a bondi de 41 ¢ au cours de la première semaine. Cette flambée des prix pourrait représenter jusqu'à 2 000 $ de coût annuel pour le ménage américain moyen.
Alors que le prix à la pompe se situe en moyenne à 4,25 $ le gallon, il convient de mentionner que les prix varient assez considérablement en fonction de l'état. La Californie a le prix moyen le plus élevé à 5,86 $ le gallon. À l'autre extrême, le Kansas a un prix moyen de 3,77 $ le gallon.
Où est le gaz le plus cher en Amérique ?
Il y a huit États où les prix de l'essence sont supérieurs à 4,50 $ le gallon et trois États où le prix est supérieur à 5 $ : la Californie, Hawaï et le Nevada.
Voici les 10 états ou districts avec les prix du gaz les plus élevés :
Où est le gaz le moins cher en Amérique ?
Il y a 16 États où les prix du gaz sont inférieurs à 4 $ le gallon. Voici les 10 États avec les prix du gaz les plus bas :
Il y a quelques raisons pour lesquelles les prix du gaz peuvent varier d'un État à l'autre. Les taxes d'État jouent un rôle important dans le prix final à la pompe et peuvent aller de 57,6 ¢ le gallon en Pennsylvanie à 8 ¢ le gallon en Alaska.
La proximité des raffineries est un autre facteur contribuant au prix du gaz moins cher. Des États comme le Texas, la Louisiane, le Mississippi et l'Alabama ont souvent des prix inférieurs à ceux d'autres régions.
Quand les prix du carburant vont-ils baisser ?
Les prix du gaz étaient à la hausse en raison d'une pénurie d'approvisionnement en pétrole. Lorsque la guerre a éclaté, il y a eu une flambée des prix supplémentaire en raison des sanctions ou des interdictions d'exportations de pétrole russe par l'Occident.
Il convient également de noter que même si le prix du pétrole recommence à baisser, il y a généralement un délai avant que les prix à la pompe ne commencent à baisser pour les consommateurs.
L'Energy Information Administration prévoit que le prix au comptant moyen du pétrole brut Brent sera de 105,22 $ le baril cette année, soit une différence de 22 $ par rapport à ses prévisions initiales de février. En conséquence, de nombreux experts s'attendent à ce que les prix de l'essence restent proches ou supérieurs à 4 $ le gallon (3,78 l.) pour le reste de l'année.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/mapped-gas-prices-across-america-reach-all-time-highs
Les surprenantes découvertes suite à l’autopsie de personnes vaccinées contre le Covid-19
RépondreSupprimervendredi 25 mars 2022
En cette période de guerre russo-ukrainienne, une peur a remplacé une autre, celle du Covid-19 qui a disparu des radars médiatiques. Elle revient un peu, au bénéfice d’une énième vague, d’un port du masque qui se profilerait de nouveau, et d’une quatrième dose pour les personnes âgées (pour l’instant). Le gouvernement, qui est presque certain d’être reconduit, prépare le bon peuple à l’après-élection.
Mais notre devoir d’informer est aussi celui de ne pas céder aux va-et-vient de l’actualité et de garder un œil vigilant sur l’immense escroquerie sanitaire qui a envahi nos vies pendant deux ans. Ne jamais oublier !
Dans cette vidéo, le professeur allemand Arne Burkhardt, docteur en médecine et anatomopathologiste, nous explique le résultat des nombreuses autopsies qu’il a effectuées sur des personnes vaccinées, en particulier ses études histologiques des complications en lien avec les injections anti-covid.
Dans un deuxième temps, l’ingénieur allemand Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque nous entretient sur les injections Covid-19 et les éventuels manquement aux conformités et aux règles de contrôle qualité qui pourraient permettre de poursuivre devant les tribunaux les sociétés pharmaceutiques productrices de ces vaccins.
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-surprenantes-decouvertes-suite-a-l-autopsie-de-personnes-vaccinees-contre-le-Covid-19-67665.html
(...) d’un port du masque qui se profilerait de nouveau,(...)
SupprimerIL N'EXISTE PAS DE MASQUE DIT 'ANTI VIRUS' OU 'ANTI MICROBES' ! Et ne peuvent exister au monde. Les masques dits 'chirurgicaux' (bleus-blancs) utilisés par le personnel hospitalier en salle d'opération quitte ces masques anti-gouttelettes sitôt sorti de salle d'opération. Ces masques ont un écart de mailles de 150 microns alors que le dit virus ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !!!!
(...) et d’une quatrième dose (...)
IL N'EXISTE PAS DE 'VACCIN' ANTI POUSSIÈRE ! Une poussière NE MUTE PAS ! ELLE N'A PAS DE 'PETITS'. Une poussière est un virus, à ne pas confondre avec un microbes qui lui seul transporte des maladies !
Voir le film complet (5h 44 mn 16 s.) sur:
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/04-Grand-Jury-FR:9
Deux semaines pour aplatir le monde
RépondreSupprimer25 mars 2022
Michel Bryant
« Tout cela est une digression. Le vrai pouvoir, le pouvoir pour lequel nous devons nous battre nuit et jour, n'est pas le pouvoir sur les choses, mais sur les hommes. Comment un homme affirme-t-il son pouvoir sur un autre ? …En le faisant souffrir. L'obéissance ne suffit pas. À moins qu'il ne souffre, comment pouvez-vous être sûr qu'il obéit à votre volonté et non à la sienne ? Le pouvoir consiste à infliger douleur et humiliation. Le pouvoir consiste à déchirer les esprits humains en morceaux et à les reconstituer sous de nouvelles formes de votre choix. Commencez-vous à voir, alors, quel genre de monde nous créons ?
Georges Orwell, "1984"
"Nous devenons esclaves dès que nous remettons entièrement les clés de la définition de la réalité à quelqu'un d'autre, qu'il s'agisse d'une entreprise, d'une théorie économique, d'un parti politique, de la Maison Blanche, de Newsworld ou de CNN."
Le COVID-19 a disparu comme par magie.
Après plus de deux ans de bombardement ininterrompu de "nouvelles" de Covid, il n'y en a pas eu du tout dans les gros titres depuis plus d'une semaine. Les médias donnent et les médias enlèvent.
Grâce à l'effacement immaculé de la «crise de Covid», les responsables de ces dommages tentent de nous faire oublier ce qu'ils nous ont fait, à nous, à nos familles, et les dommages permanents qu'ils ont causés à la société.
Repensez à ce qu'était la vie il y a deux ans et imaginez si quelqu'un vous disait qu'une « urgence sanitaire » nécessiterait une répression de toute la vie sociale et économique.
Remarquablement, les ordonnances de santé publique sont passées rapidement de «l'aplatissement de la courbe» et du «ralentissement de la propagation» au confinement, à la suppression, à la recherche des contacts, à l'isolement social, à la quarantaine, aux couvre-visages, à l'assignation à résidence de facto alias «lockdowns» (une prison / camp d'esclaves terme) et des injections expérimentales obligatoires.
Afin de «nous garder en sécurité», les politiques gouvernementales se sont multipliées d'instructions anodines en décrets draconiens.
La limitation du droit de s'engager dans des transactions économiques de base ; la limitation du droit à la liberté de mouvement ; les limitations du droit de pratiquer une religion ; la suspension du droit à l'éducation ; le déni du droit à un moyen de subsistance; la suppression du droit de recevoir ou de refuser des soins médicaux ; suspension des réunions publiques ; suspension des jurys; suppression du droit à la liberté d'expression; déni du droit de réunion; et bien d'autres sont devenus les nouveaux principes de fonctionnement de "The Covid World".
L'institution d'un État policier de biosécurité est née selon les autorités sanitaires et autres du pouvoir de mettre en quarantaine une personne considérée comme "infectée" ou simplement pour avoir été en contact avec un prétendu "cas".
RépondreSupprimerPour que cela paraisse nécessaire et acceptable, un assaut psychologique intensif à spectre complet sur nos sensibilités a été mis en œuvre. Covid-19 a été présenté comme la « nouvelle peste noire ».
Des « personnes importantes » nous ont dit que des millions de personnes mourraient, que la planète entière est en danger, qu'une réponse mondiale est nécessaire et que chacun doit s'aligner sur le programme tandis que des « héros » et des « experts » prennent en charge cette nouvelle guerre pour nous protéger.
Des slogans illogiques conçus pour hypnotiser le public dans un état mental malléable ont été répétés à maintes reprises dans tous les médias, dans pratiquement toutes les institutions sociales, et collés dans toutes les sphères de la sphère publique.
« Flatten the Curve », « The New Normal », « Social Distancing » et « Follow the Science » sont devenus les slogans Covid du pays. Les porte-voix des médias ont implacablement fait exploser le double langage dans la psyché publique. Les oxymores et les euphémismes dominaient les contours de tout discours «lié au Covid».
De telles manipulations linguistiques ont été facilement absorbées et adoptées de manière transparente par une grande partie du public et sont devenues la phraséologie Doublethink de l'ère Covid.
Les mantras de l'ère Covid ont été suivis d'une flotte de « règlements », de « conseils » et de « directives » psychologiquement désorientants et arbitraires qui ont été rapidement mis en place, appliqués de manière sélective et modifiés par la suite.
Personne n'a été épargné.
Les enfants ont fait l'objet d'attaques psychologiques soutenues, étiquetés "super épandeurs", et on leur a dit de se tenir à l'écart des grands-parents de peur qu'ils ne "tuent mamie".
Opérant dans un brouillard de traumatisme psychologique, tout le monde se déplaçait dans un monde dépourvu de sourires et de rires où les visages étaient cachés par des masques et étouffés dans des tissus.
Ce barrage de manipulations brutales a été conçu pour nous conditionner à accepter les impositions tyranniques de "The New Normal". Le bilan émotionnel, en raison de la campagne de peur du COVID et de l'hystérie des médias, a amené les citoyens à s'apprivoiser mentalement comme des prisonniers institutionnalisés qui viendraient mendier pour "une issue".
La sortie prédéterminée et seule « autorisée » de ce cauchemar viral exigeait que la société adopte le « remède » magique de l'inoculation « miracle ». Un miracle médical promettait d'être si efficace qu'il serait nécessaire année après année après année.
Lorsqu'il n'est pas adopté, il serait appliqué.
RépondreSupprimerL'une des caractéristiques frappantes de la blitzkrieg médiatique entourant la « pandémie » de Covid - ou, pour être plus précis, le reportage sur la « pandémie » - est qu'elle ressemblait si facilement à la « guerre contre le terrorisme » ou, en fait, à n'importe quelle guerre, quand considéré uniquement en fonction de son effet.
Le port du masque est devenu un devoir patriotique. Le « théâtre de la sécurité » est devenu une caractéristique de la vie quotidienne. Le vaste carnage des politiques de Covid a été rejeté comme un «dommage collatéral».
Perdus dans le bruit et la fureur de ce bombardement médiatique se trouvaient les preuves, l'observation et la mesure - 3 des piliers clés de la science.
Celles-ci ont été remplacées par des prévisions fictives, des estimations générées par ordinateur ou d'autres `` mesures scientifiques '' incontestées selon lesquelles les hôpitaux seraient dépassés, les morgues se répandraient dans les rues et les crématoriums manqueraient de carburant, éliminant tous les corps .
Même si l'observation directe et les données scientifiques réelles ont montré que rien de tout cela n'était vrai, l'appareil de santé publique et le mastodonte des médias ont assuré que le public ne serait pas exposé à une telle hérésie.
Un rideau numérique de censure de masse à la McCarthy est descendu sur ce "Brave New World" d'hystérie sans faits.
Aucune quantité de preuves n'a pu ralentir la machine de propagande qui est restée à la vitesse supérieure en crachant un flot incessant de slogans moralisateurs et de décomptes de morts exagérés.
L'effet recherché était une panique généralisée, entraînant une psychose collective qui annihilait toute pensée.
"Nous n'avons pas le temps !"
"Nous devons agir maintenant!"
« Écoutez les « experts ! »
"Suivez la science !"
"Nous n'avons pas le "luxe" de la pensée critique !"
Et, surtout:
"Tous ceux qui remettent en question le récit "officiel" doivent être condamnés."
En termes simples, le Covid-19 n'était pas un événement épidémiologique, c'était une opération psychologique.
RépondreSupprimerDeux ans plus tard, alors que les bureaucrates et les politiciens réduisent les restrictions de Covid afin d'apaiser les troubles croissants, nous pouvons être assurés qu'ils insisteront pour conserver le «droit» de les réimposer à volonté.
Tant que "de nouvelles variantes se cachent au coin de la rue", les bureaucrates de la santé publique et les profiteurs de la pandémie peuvent inventer la prochaine "urgence sanitaire" pour imposer davantage de fermetures pour tout "événement viral" qui convient à leurs objectifs politiques et financiers.
Alors que la propagande Covid a disparu, il est impératif que nous surveillions la montagne de mensonges et continuions à dévoiler la corruption massive qui définit «l'ère Covid». C'est la seule voie vers la justice et elle est nécessaire pour se défendre contre de futurs épisodes d'hystérie « pandémique ».
En fin de compte, il ne peut y avoir de débat approfondi et de compréhension complète des conséquences dévastatrices des politiques de la « crise du Covid » sans une analyse historique et actualisée du rôle de l'industrie médicale dans la promotion des programmes socio-économiques et politiques qui profitent aux élites dirigeantes.
Il est essentiel de comprendre que l'industrie de la santé publique est désormais directement liée aux marchés mondiaux et fonctionne en fonction des exigences de ces conglomérats financiers. Les pandémies fabriquées sont désormais des opportunités d'investissement gigantesques qui augmentent la richesse des milliardaires et consolident davantage leur pouvoir.
Il faut aussi reconnaître que la vocation première de l'industrie médicale n'est plus « l'art de guérir », mais plutôt comme un instrument financier au profit des investisseurs.
« Nous, le peuple », devons également reconnaître que l'industrie médicale a maintenant été entièrement transformée en un système punitif conçu pour traiter, déshumaniser et contrôler chaque personne dans le système. Sous nos yeux, nous avons vu de près comment la simple existence biologique est criminalisée par ce système.
L'acte magique de la disparition de Covid de la vue des médias et de la perception du public n'est pas dû à un miracle médical ou à la trajectoire naturelle d'un virus perdant sa puissance. Il a été exécuté par ceux qui ont fabriqué cette réalité et commis d'innombrables crimes, coordonnés dans une tentative de se glisser par la porte dérobée, d'éviter une enquête publique plus approfondie et d'échapper à toute conséquence juridique.
Bien que l'histoire du virus soit presque terminée, la sorcellerie qui l'a créé n'a pas été exorcisée.
Le message urgent que nous devons retenir de ces deux dernières années est que nous sommes en proie à une guerre psychologique soutenue et ce depuis un certain temps.
Nous n'aurons pas vraiment gagné tant qu'il ne sera pas universellement établi que la liberté médicale n'est pas une marchandise négociable contrôlée par des bureaucrates d'État, des opportunistes politiques ou le cartel médical.
RépondreSupprimerRien n'a été gagné tant que l'idéologie selon laquelle l'État contrôle notre autonomie corporelle n'a pas été complètement répudiée.
Cette histoire n'est pas terminée tant que les individus et les institutions qui ont trompé le public et censuré et persécuté les voix dissidentes au cours des deux dernières années ne sont pas tenus publiquement responsables.
Ce combat n'est pas terminé.
Michael Bryant est un journaliste indépendant/activiste et chercheur qui se concentre actuellement principalement sur les questions entourant la liberté de la santé. Son travail est apparu sur HealthFreedomDefense.org
https://off-guardian.org/2022/03/25/two-weeks-to-flatten-the-world/
Sous l'apparence anodine de 'protection' (alors que DÉS LE DÉPART sa justification n'existait pas et n'existera JAMAIS) a été mis en place l'obligation du port du masque !! (de carnaval durant 2 ans !!). Il n'a jamais eu de 'côté criminel' à porter un masque de Zorro, de Mickey ou de Donald, mais celui-là si ! Si parce qu'il n'est pas un masque dit 'chirurgical' !! Il n'est PAS chirurgical car POUR LA PREMIÈRE FOIS AU MONDE il est imprégné de nano-particules d'oxyde de graphène !! (poison mortel violent qui peut aussi servir d'antenne-relais).
SupprimerCette mise en place dès le début aurait dû attirer l'attention des scientifique, docteurs et professeurs, mais, comme l'ont fait Raoult et Fouché ils disent la vérité oui mais... ILS NE LA DISENT PAS TOUTE !!
Complicité ?
D'abord, si c'est TOUS les pays du monde qui ont accepté cette escroquerie démontrée par les scientifiques, ce ne sont pas tous les pays du monde qui en ont appliqué les mêmes règles. Dans chaque pays était testée une méthode différente, puis, voyant que les devenus-cons étaient bien des cons-devenus, ont été mis en place des manifestations avec ou sans masque puis, arrivée de 'La guerre en Ukraine' où les actions, les mouvements et les initiatives autant burlesques qu'irresponsables ont été découvertes !
Çà y est ils sont cons ! Ils sont mûrs pour la xième dose ! YOUPIE !! Car, depuis 2 ans ces cons ont porté le masque, utilisé les gels hydroalcoolisés, les écouvillons interdits dans le milieu médical et même... même de faux vaccins dit 'vaccins anti-poussières' !! HAHAHAHA ! Là, la dose était la surdose à l'overdose !
LA réussite totale ! LE transhumanisme souhaité était et est en place ! Votre voisin, votre parent, votre épouse peut recevoir l'ordre de vous tuer ! Pas belle la vie ? Incroyable mais vrai ! Nos assassins ont du talent !
'PERSONNE' ne se serait aperçu que le 'covide machin19deltaCharlieBravo' N'EXISTE PAS ET N'A JAMAIS EXISTÉ ! Personne sauf les scientifiques avertis et n'ayant pas été achetés.
Les usines chinoises mettent en place des "bulles" autonomes pour maintenir la production malgré les blocages
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 MARS 2022 - 02:20
Quiconque a vu la vidéo (censurée en Chine mais disponible gratuitement en Occident) de Shanghaiens frustrés et d'autres protestant contre les blocages draconiens anti-COVID de la Chine comprend probablement qu'après plus de deux ans de politique chinoise « Zéro COVID », les travailleurs du pays ont ont presque atteint leur point de rupture.
Malheureusement pour eux, les meilleurs efforts du PCC n'ont pas réussi à maîtriser le nombre quotidien de cas de COVID, qui a continué d'augmenter en fin de semaine, le décompte quotidien d'hier approchant à nouveau les 5 000.
Craignant le chaos économique que davantage de blocages pourraient déclencher, le président Xi a récemment demandé aux autorités locales de passer à une approche plus « ciblée » des restrictions COVID, l'objectif étant de trouver un milieu sain qui équilibre la priorité déclarée du PCC de protéger la vie des ses citoyens sans sacrifier la croissance économique.
Plus récemment, cela a conduit les autorités chinoises à essayer une nouvelle approche. Selon le FT, les fabricants de toute la Chine se préparent à transformer leurs usines en « bulles » isolées qui peuvent continuer à fonctionner pendant des semaines, même pendant les fermetures ordonnées par le gouvernement, en forçant les travailleurs à se mettre en quarantaine au travail plutôt qu'à la maison.
La pratique aurait commencé dans le sud de la province du Guangdong et se répand actuellement dans toute la Chine. Dans certains cas, des centaines de travailleurs ont été essentiellement contraints de vivre dans des dortoirs sur place - tout cela pour maintenir les chaînes de production en marche.
Bosch Unipoint, l'un des plus grands fabricants de pièces automobiles au monde, a pu maintenir la production dans son usine du district de Longgang à Shenzhen, car environ 200 travailleurs ont accepté de vivre dans des dortoirs sur place pendant une semaine de confinement ce mois-ci. "Leur engagement à aider l'entreprise à survivre cette semaine était incroyable", a déclaré Marco Morea, directeur général de Bosch Unipoint en Chine, ajoutant que l'usine avait coopéré avec ses fournisseurs les plus critiques pour mettre en place des stocks de matériaux essentiels avant le début du verrouillage.
"Les gens ont appelé pour demander comment nous produisions encore", a déclaré Morea. Bosch Unipoint a maintenant lancé des préparatifs similaires dans des usines d'autres villes pour faire face à de futurs verrouillages potentiels. Morea a déclaré que l'entreprise visait à garantir que son usine de plaquettes de frein dans l'est de la ville de Nanjing, qui compte 500 employés, serait en mesure de fonctionner pendant quatre semaines, même dans un confinement aussi strict que celui de Shenzhen. "Nous avons déjà commencé à obtenir des matières premières et à organiser des lits pour le personnel afin d'être préparés", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLorsqu'aucun dortoir n'était disponible, certains ouvriers étaient simplement obligés de dormir sur le sol de l'usine...
À Shanghai, où il y a eu des restrictions de mouvement localisées sur les complexes résidentiels individuels, certains travailleurs ont choisi de dormir dans les usines afin de s'assurer qu'ils peuvent se rendre au travail et ainsi continuer à être payés.
...avec seulement un mince morceau de carton comme matelas.
Une ouvrière de Dongguan Fuqiang qui a choisi de rester à l'usine a déclaré qu'au lieu d'une tente, elle avait trouvé de l'espace sur le sol de l'usine pendant six jours. "Nous avons tous dormi à l'usine avec du carton servant de matelas", a-t-elle déclaré au Financial Times.
Comme l'a expliqué une équipe d'analystes de Goldman plus tôt cette semaine, l'alternative pourrait être la perte d'un point de pourcentage entier de croissance annuelle du PIB - ou pire.
https://www.zerohedge.com/markets/chinese-factories-set-self-contained-bubbles-keep-production-rolling-despite-lockdowns
(...) le nombre quotidien de cas de COVID, qui a continué d'augmenter en fin de semaine, le décompte quotidien d'hier approchant à nouveau les 5 000. (...)
Supprimer5000 sur 1 milliard 402 millions d'habitants !
Ce qui sont appelés 'des cas' ne sont PAS des personnes malades ou infectées mais seulement des constatations que "OUI, vous avez bien respiré des poussières' ! HAHAHAHAHAHAHA !
AAAAAAAA savoir que : AVEC ou SANS masque, nous respirons toutes & tous 200 000 virus (poussières) ou microbes (vivants) par minute ! soit DES milliards depuis ce matin et, DES montagnes de milliards depuis notre naissance et... NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E)S !! Çà alors !!
Ainsi, chaque pays a l'obligation de 'quotas'. Si demain on vous demande de trouver 500 000 personnes qui ont osé respirer de la poussière: VOUS LES TROUVEREZ !!
Ou, si demain on vous demande de trouvez une (1) personne qui a osé respirer des poussières (voire qu'une seule ce qui est impossible): VOUS LA TROUVEREZ !!
Âh oui au fait... Je vous rappelle (en passant) que la Chine a une station 'HAARP' comme l'a l'Inde, l'Angleterre, USA, bref, ils sont 15. Si çà peut vous aider à comprendre le pourquoi du pourquoi.
Regardez: Rand Paul déclare Fauci "une menace" à la société
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 MARS 2022 - 17:04
Écrit par Steve Watson via Summit News,
Le sénateur Rand Paul a déclaré mercredi qu'Anthony Fauci est une "menace" pour la société et refuse d'admettre qu'il s'est trompé sur presque tous les fronts concernant la pandémie parce qu'il est toujours obsédé par le contrôle des gens.
Apparaissant sur Fox News, Paul a déclaré: «Le fait est que si vous croyez au Dr Fauci, ce que vous devriez faire immédiatement est d'aller chercher des autocollants et de vous assurer qu'ils sont sur le sol, et un critère pour que vous sachiez que vous êtes à 6 pieds des gens.”
"Et le plexiglas", a ajouté Paul, "emportez du plexiglas avec vous parce que le Dr Fauci pense que d'une manière ou d'une autre, vous savez, reflète le virus loin de vous."
"Rien de ce pour quoi il a été n'a fonctionné", a affirmé Paul concernant les restrictions COVID.
Le sénateur a en outre insisté, « la chose intéressante est – et il ne l'admettra pas au public – si vous prélevez un échantillon de sang de 1 000 personnes aux États-Unis, et que vous mesurez pour voir s'ils avaient des anticorps contre le virus ou des anticorps contre le vaccin, c'est plus de 95 %. C'est pourquoi nous faisons mieux avec cela.
« Le virus a muté en une forme moins virulente ou moins mortelle. Mais il ne l'admettra pas parce qu'il est tellement occupé à mettre des autocollants sur votre sol, à mettre des masques sur votre visage, à vous mettre des lunettes », a poursuivi Paul.
"Le gars est une menace, et il n'a pas eu raison sur quoi que ce soit depuis le début", a insisté Paul.
Paul a également noté que Fauci a supervisé la suspension des traitements COVID efficaces, y compris les anticorps monoclonaux.
« Si vous attendez d'être malade à l'hôpital, ils ne vous les donneront pas. Anthony Fauci et les médecins du gouvernement ont dicté que vous ne pouvez pas obtenir d'anticorps monoclonaux en tant que patient hospitalisé, c'est une véritable tragédie. Mais il existe des traitements et les gens doivent savoir ce qu'ils sont.
Regardez:
Paul a tenté de présenter un amendement au Sénat la semaine dernière pour empêcher quiconque de redevenir un «dictateur en chef» de la santé comme Fauci.
Avant le vote, Paul a écrit que "Personne ne devrait avoir le pouvoir exclusif de dicter la science, surtout quand cette personne n'a jamais suivi la science", soulignant en outre que "Pendant deux ans, nos vies ont été retenues captives par de petits tyrans et bureaucrates avides de pouvoir.
Alors que les efforts de Paul pour forcer un vote sur la suppression des mandats de masque ont réussi au Sénat, l'amendement Fauci a échoué car tous les démocrates et six républicains, dont Mitt Romney, ont voté contre.
https://www.zerohedge.com/political/watch-rand-paul-declares-fauci-menace-society
L'avenir serait en 'homme-grenouilles' ! La combi, le tuba et les bouteilles. Pour la reproduction... allumez un cierge ! HAHAHAHA !
SupprimerDÉPEUPLEMENT: Grâce en partie aux piqûres COVID, la plupart des comtés américains ont perdu de la population en 2021
RépondreSupprimerVendredi 25 mars 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Presque tous les comtés des États-Unis ont perdu plus de personnes qu'ils n'en ont gagnés en 2021, et les médias contrôlés par les entreprises le blâment sur la plandémie.
La vérité, bien sûr, est que 2021 est celle où des dizaines de millions d'Américains ont également retroussé leurs manches pour des «vaccins» expérimentaux de thérapie génique dont nous savons maintenant qu'ils sont responsables d'une vague de blessures graves et de décès, ce qui représente au moins une partie des ces pertes de population.
Étant donné que les décès post-«vaccination» sont rarement, voire jamais, autopsiés, l'établissement blâme simplement le coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour cette augmentation massive des décès par rapport à la croissance démographique réelle.
Le Census Bureau a publié de nouveaux chiffres montrant qu'en plus de nombreuses personnes qui meurent, moins de personnes ont des enfants - et pourquoi seraient-elles dans cet environnement odieux de corruption incessante et de mal de toutes parts ?
Selon Kenneth M. Johnson, professeur de sociologie et démographe à l'Université du New Hampshire, les États-Unis connaissent actuellement la plus faible augmentation de population en 100 ans.
Johnson dit qu'il s'attend à ce que les données les plus récentes montrent une diminution naturelle de la population, mais a été surpris par son ampleur. Soit dit en passant, une diminution naturelle se produit lorsque les registres de la population indiquent plus de décès que de naissances.
"Je pense que l'une des découvertes les plus importantes est le fait que près de 2 300 comtés ont enregistré plus de décès que de naissances", a déclaré Johnson. "C'est du jamais vu dans l'histoire américaine."
La grippe Fauci a créé « une tempête parfaite » pour le dépeuplement
Johnson reproche au nouveau coronavirus d'avoir vraiment poussé ces tendances à long terme par-dessus bord, l'appelant "une tempête parfaite" et quelque chose qu'il faudrait remonter jusqu'à la pandémie de grippe espagnole de 1918 pour voir quelque chose de proche en ressemblance.
Une autre chose que les données montrent est que tout au long de la pandémie, des millions d'Américains ont quitté les plus grandes villes du pays, y compris Washington, D.C.
RépondreSupprimer"Que ce soit pour la sécurité contre les maladies infectieuses ou la commodité pendant les fermetures, des millions de villes ont échangé des villes contre des banlieues ou des banlieues plus grandes contre des plus petites", a rapporté le Washington Post.
"Beaucoup ont migré plus loin dans les comtés ruraux ou se sont réinstallés dans des résidences secondaires dans des zones de vacances, telles que les montagnes Catskill ou la péninsule de Delmarva."
Le comté de Los Angeles a perdu le plus de personnes depuis le début de la pandémie, avec quelque 179 757 personnes ayant quitté la région pendant cette période. Le comté de New York (Manhattan) a également perdu 113 642 personnes.
La Californie, l'Oregon et le Mississippi ont les comtés les plus touchés négativement par les pertes migratoires internationales, tandis que l'Alaska, la Louisiane et l'Illinois ont enregistré le plus de pertes dues à la migration intérieure aux États-Unis.
L'un des grands gagnants a été le comté de Maricopa en Arizona (Phoenix), qui a enregistré le plus grand afflux de 46 866 personnes.
"Je suis très surpris par cela parce que je ne pensais pas que cela allait être aussi dramatique, la migration intérieure", a commenté William H. Frey, chercheur principal au Brookings Institute, qui a analysé les données et son impact. sur la capitale nationale.
"C'est peut-être un blip, et je pense que c'est le cas, mais c'est certainement remarquable. Je pense que c'est le modèle démographique le plus important ici.
Même avant la pandémie, de nombreux Américains quittaient déjà les grandes villes pour s'installer dans des villes rurales ou même petites ou moyennes comme alternative plus lente au mode de vie des grandes villes.
Une fois que les mandats et les restrictions ont commencé à s'effondrer, beaucoup d'entre eux ont ramassé et sont partis vers des pâturages plus verts, ce qui est une tendance qui se poursuivra probablement alors que la société américaine continue de s'effondrer aux mains des extrémistes de gauche.
Au total, plus de 73% des comtés américains ont connu une diminution naturelle de la population l'année dernière, contre seulement 55% en 2020 et 45% en 2019.
"Dans quatre États – Delaware, Maine, New Hampshire et Rhode Island – la diminution naturelle de la population s'est produite dans chaque comté", a ajouté le Post.
D'autres nouvelles connexes peuvent être trouvées sur Genocide.news.
Les sources comprennent :
MSN.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-25-thanks-covid-jabs-most-counties-lost-population.html
Aujourd'hui, combien d'être humains sur Terre ? 7 milliards ? 5 milliards ? 3 milliards ?
SupprimerNe pas oublier que les masses migrantes sont gigantesques afin que les grandes villes ne se dépeuplent. Oui mais ailleurs... ailleurs ? Y a rien ! Personne ! Ils et elles sont partis !
L'Espagne et l'Italie pourraient perdre la moitié de leur population d'ici à 2100
Supprimerhttps://www.dailymotion.com/video/x7v0ssi
Les procureurs de district progressistes rendent nos villes dangereuses
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 MARS 2022 - 22:00
Écrit par Jason Miyares via RealClearPolitics.com,
Alors que la plupart des Américains se concentraient sur la polarisation partisane à Washington, D.C., le système de justice pénale américain a été discrètement transformé par un groupe de milliardaires et de millionnaires radicalement libéraux. Ils ont attaqué notre système de justice à sa racine, finançant les campagnes de candidats activistes du ministère public qui promettent de donner aux criminels des peines légères au nom de la soi-disant justice sociale et de l'équité.
Désormais, les procureurs de district progressistes autoproclamés, dont beaucoup ont renversé les opposants démocrates conventionnels à travers le pays en se présentant à leur gauche, appliquent leur propre sens déformé de la justice sociale au lieu de la loi actuelle. Sans surprise, la criminalité a augmenté dans nos villes - le Council on Criminal Justice a constaté qu'en 2021, les meurtres avaient augmenté dans toutes les grandes villes des États-Unis. Mon propre État de Virginie connaît actuellement son taux de meurtres le plus élevé depuis deux décennies.
L'idée qu'être indulgent envers les criminels violents créera une société plus juste est à la fois naïve et contre-intuitive. L'élimination de la justice pénale n'est pas une réforme de la justice pénale.
Un nouveau rapport de Capital Research a révélé que les progressistes ont dépensé près de 30 millions de dollars pour soutenir les procureurs de district militants libéraux dans plus de 20 communautés, y compris de grandes villes comme Los Angeles et New York, des banlieues du nord de la Virginie à l'extérieur de Washington, DC, et des communautés rurales de Géorgie et du Mississippi.
À Manhattan, la gauche radicale a dépensé plus d'un million de dollars pour élire Alvin Bragg qui, peu de temps après avoir prêté serment, a publié une note déclarant que son bureau ne demanderait aucune peine de prison pour des crimes tels que vol à main armée, trafic de drogue et cambriolages. Par conséquent, 72 des 77 postes de police ont connu une augmentation de la criminalité ; à Manhattan, les chiffres NYPD CompStat révèlent que les cambriolages, les vols à main armée et les agressions criminelles augmentent à un rythme rapide. Ces crimes violent non seulement la décence dans la vie quotidienne, mais constituent également des infractions de porte d'entrée pour les personnes qui deviennent des criminels de carrière.
Pendant ce temps, dans la banlieue nord de la Virginie, à l'extérieur de Washington, D.C., des avocats militants libéraux ont été élus dans le comté d'Arlington, le comté de Fairfax et le comté de Loudoun. Le procureur du comté de Fairfax, Steve Descano, a récemment décidé de ne pas poursuivre plus de 20 catégories différentes de crimes. Descano essaie d'usurper le rôle légitime du législateur de décider ce qui est illégal et ce qui ne l'est pas - et il met le public en danger dans le processus. Depuis l'élection de Descano, le taux de meurtres dans le comté de Fairfax a doublé, provoquant une pétition de rappel.
RépondreSupprimerEn fait, le tueur en série présumé responsable du meurtre et des tentatives de meurtre de plusieurs hommes sans abri à D.C. et à New York a déjà été arrêté dans le comté de Fairfax. Steve Descano s'est battu pour réduire sa peine et l'a renvoyé dans la rue.
Ces meurtres n'auraient pas dû avoir lieu. L'état d'esprit «criminel d'abord, victime en dernier» derrière cette tragédie est un danger pour le public.
Dans un effort pour rendre nos villes et nos banlieues plus sûres, nous avons besoin de procureurs de district qui respecteront la loi au lieu de donner une tape sur les doigts aux criminels. L'application arbitraire et incohérente crée le dangereux précédent qu'il n'y a pas de conséquences en cas d'infraction à la loi.
La grande ironie est que la grande majorité des élites libérales qui financent ce programme de soft-on-crime vivent dans des quartiers riches et fermés et ne connaîtront jamais les conséquences de leur plaidoyer. Les victimes de ce programme sont les pauvres, la classe ouvrière et les marginalisés.
En tant qu'ancien procureur de la ville, j'ai tenu les mains des victimes. Je sais que leur pire peur est d'être oubliée et que la personne qui les a blessés blessera quelqu'un d'autre. C'est pourquoi je suis fier d'annoncer que je serai président honoraire du Protecting Americans Project Action Fund.
Cette organisation servira de nouveau pare-feu pour arrêter l'avancement des dangereux procureurs de gauche et leur sens déformé de la justice. Nous soutiendrons les personnes lors des élections nationales et locales clés qui s'engagent à faire respecter la loi, à organiser des bals et des grèves et à donner la priorité à la sécurité de nos communautés.
Ensemble, Protecting Americans Project Action Fund s'efforcera d'élire des responsables qui croient que notre système judiciaire doit être cohérent et impartial, plutôt que de servir de fief aux procureurs de district activistes libéraux administrant la loi comme ils l'entendent. Nous travaillerons pour rétablir la responsabilité dans le processus judiciaire et la confiance que les procureurs appliqueront la loi et feront le travail pour lequel ils ont été élus.
https://www.zerohedge.com/political/progressive-district-attorneys-are-making-our-cities-unsafe
Grâce aux politiques bidennistes mises en place - les criminels sont dehoooooooors ! Youpie ! Bang-Bang !
SupprimerLe voici : un nouvel ordre monétaire mondial « basé sur les matières premières » bientôt en route
RépondreSupprimerVendredi 25 mars 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le dollar américain perd rapidement de la valeur en raison de l'inflation galopante. Et il sera plus que probablement remplacé, selon le Credit Suisse, par un nouveau système monétaire «basé sur les matières premières».
"Cette crise ne ressemble à rien de ce que nous avons vu depuis que le président Nixon a retiré le dollar américain de l'or en 1971 - la fin de l'ère de la monnaie basée sur les matières premières", déclare l'ancien responsable de la Réserve fédérale et du département du Trésor américain devenu stratège en investissement du Credit Suisse. Zoltan Pozsar.
"Quand cette crise (et cette guerre) sera terminée, le dollar américain devrait être beaucoup plus faible et, d'un autre côté, le renminbi beaucoup plus fort, soutenu par un panier de matières premières."
Une fois la guerre en Ukraine terminée, maintient Pozsar, l'argent tel que nous le connaissons actuellement aura disparu. À sa place, il y aura quelque chose soutenu par quelque chose d'autre qui a réellement de la valeur.
"De l'ère de Bretton Woods soutenue par des lingots d'or, à Bretton Woods II soutenue par de l'argent intérieur (Trésor avec des risques de confiscation non couverts), à Bretton Woods III soutenu par de l'argent extérieur (lingots d'or et autres matières premières)", explique Pozsar à propos de la progression.
Bitcoin a une chance de s'imposer, dit-il, mais il doit d'abord survivre. Le système monétaire actuel fondé sur le fiat doit également lui céder la place, ce qui a déjà commencé le 24 février lorsque les pays du G7 ont saisi les réserves de change de la Russie à la suite de l'invasion de l'Ukraine.
"Nous assistons actuellement à un changement de régime sur les marchés de financement (qui, comme toujours, passera) et à un changement radical dans la dynamique de l'inflation et les pratiques de gestion des réserves de change", a écrit Pozsar dans un rapport publié plus tôt ce mois-ci.
La guerre en Ukraine est-elle conçue pour inaugurer un nouveau paradigme socio-économique pour le monde ?
Pozsar a déclaré que les sanctions américaines contre la Russie, qui est le plus grand producteur de matières premières au monde et le pays qui "vend pratiquement tout", ont vraiment poussé les choses à bout.
"Les produits de base non russes sont plus chers en raison du choc d'approvisionnement provoqué par les sanctions qui a essentiellement mis les produits de base russes hors ligne", a-t-il déclaré. "Si vous êtes un négociant en matières premières (avec effet de levier), vous devez emprunter davantage auprès des banques pour acheter des matières premières afin de les déplacer et de les vendre. N'importe qui dans le monde des matières premières connaît une tempête parfaite alors que les corrélations sont soudainement montées à 1, ce qui n'est jamais une bonne chose.
RépondreSupprimerEn d'autres termes, ce que les États-Unis ont fait à la Russie revient comme un boomerang pour détruire notre propre système financier et la stabilité économique qu'il offrait autrefois.
Le chaos que l'on observe actuellement sur les marchés sonne le glas de l'ordre mondial actuel, qui s'effondre comme jamais auparavant. Un nouveau système renaîtra de ses cendres, ou ce que Joe Biden a récemment annoncé comme un nouvel ordre mondial.
"Si vous pensez que l'Occident peut élaborer des sanctions qui maximisent la douleur pour la Russie tout en minimisant les risques pour la stabilité financière et les risques pour la stabilité des prix en Occident, vous pouvez également croire aux licornes", a averti Pozsar.
Le pape François a également appelé à un nouvel ordre mondial, qui dans son esprit ne sera occupé que par les «entièrement vaccinés» qui ont obéi tout au long de la pandémie du coronavirus de Wuhan (COVID-19).
À bien des égards, la plandémie faisait partie de l'effondrement économique mondial organisé. La guerre en Ukraine est la deuxième partie, et les choses sont sur le point de devenir vraiment moche alors que cette transition forcée vers le nouvel ordre mondial passe à la phase suivante.
"Ce que Zoltan veut dire, bien sûr, c'est que lorsque cette fausse guerre en Ukraine sera terminée, le nouvel ordre monétaire mondial multipolaire sera en place et c'est exactement le temps qu'il durera", a écrit un commentateur de Kitco.
"C'est comme ça que vous savez que tout n'est que fumée et miroirs. Il ne s'agissait pas de souveraineté nationale, de réunification russe ou d'invasion. Il s'agit d'établir le nouveau paradigme socio-économique.
Plus de nouvelles connexes peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources comprennent :
Kitco.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-25-new-commodity-global-monetary-order-coming.html
(...) Une fois la guerre en Ukraine terminée, maintient Pozsar, l'argent tel que nous le connaissons actuellement aura disparu. À sa place, il y aura quelque chose soutenu par quelque chose d'autre qui a réellement de la valeur.
Supprimer"De l'ère de Bretton Woods soutenue par des lingots d'or, à Bretton Woods II soutenue par de l'argent intérieur (Trésor avec des risques de confiscation non couverts), à Bretton Woods III soutenu par de l'argent extérieur (lingots d'or et autres matières premières)", explique Pozsar à propos de la progression. (...)
TOUTES les Matières Premières affichent un FAUX prix car il est fixé par un bureau dictateur qui ne tient pas compte des transactions. Le prix de l'or peut demain être affiché à 1 milliard de $ l'once ou à 1 $ la tonne !
La SEULE valeur existante est l'ÊTRE HUMAIN.
Médecins & avocats perplexes envoient une lettre à la FAA concernant les pilotes qui ont reçu le vaccin COVID
RépondreSupprimerANGELO
12 JANVIER 2022
Les faits:
Les directives de la Federal Aviation Administration (FAA) exigent généralement qu’un nouveau médicament approuvé par la FDA soit sur le marché pendant un an avant d’être donné aux pilotes.
Cela permet de s’assurer qu’il n’y a pas d’effets indésirables inattendus qui pourraient être dangereux en vol.
Un groupe d’avocats et de médecins a envoyé une lettre décrivant cela à la FAA.
Réfléchissez sur: Si voler peut déjà augmenter les risques de coagulation du sang, dans quelle mesure est-il sûr que les pilotes prennent un vaccin qui a signalé des effets indésirables impliquant une coagulation du sang, un accident vasculaire cérébral, des problèmes cardiaques, etc.
Un groupe d’avocats et de médecins a envoyé une lettre à la Federal Aviation Administration (FAA), ainsi qu’au ministère des Transports, au ministère de la Justice et à différentes compagnies aériennes décrivant les préoccupations concernant les pilotes qui ont reçu le vaccin COVID-19.
La lettre souligne que, selon les réglementations de la FAA, les pilotes ne doivent pas prendre de médicaments approuvés par la FDA depuis moins de 12 mois. Il informe également légalement ces autorités que des pilotes ont en fait été grièvement blessés ou sont décédés après avoir reçu le vaccin.
Dans un cas, le pilote agricole Cody Flint ne se souvient même pas de l’atterrissage de son avion après s’être évanoui en volant trois jours après avoir reçu le vaccin COVID. Il avait hâte de se faire vacciner le 1er février 2021, mais lorsqu’il a reçu le vaccin, il se souvient d’avoir ressenti un mal de tête extrême qui lui a descendu le cou.
Flint pensait que ce qu’il ressentait n’étaient que des effets secondaires normaux qui disparaîtraient, mais lorsqu’il est allé travailler le 3 février alors qu’il volait, il a ressenti une douleur extrême et une vision en tunnel.
« C’était comme si une bombe avait explosé dans ma tête. J’ai eu le vertige, désorienté, nauséeux. Juste trembler de façon incontrôlable. C’était le 3 février et il faisait très froid dehors, mais j’ai mis le climatiseur en marche pour essayer de me calmer. La dernière chose dont je me souviens, c’est d’avoir essayé d’atterrir sur une autoroute à quatre voies sous moi, mais trop de voitures arrivaient alors j’ai pensé que je vais essayer de revenir sur notre piste. »
Bien qu’il n’ait aucun souvenir de l’atterrissage de l’avion, il l’a fait sans incident. Des hommes au sol ont dû l’aider à sortir de l’avion et il s’est réveillé sur le canapé.
RépondreSupprimerMême si son médecin de famille l’a vu depuis qu’il a deux ans, Flint n’a jamais eu de problème de santé grave dans le passé. On lui a d’abord diagnostiqué des vertiges et de graves crises de panique.
Rejoignez la résistance sur Telegram !
Plus tard, un médecin a confirmé que c’était une blessure due au vaccin qui avait causé la rupture de ses deux oreilles internes.
https://www.divulgation.fr/sante/medecins-avocats-perplexes-envoient-une-lettre-a-la-faa-concernant-les-pilotes-qui-ont-recu-le-vaccin-covid/
Il est bien de ce soucier du pilote (voire du co-pilote), voire des hôtesses de l'air qui sont elles-mêmes à la même altitude que le pilote et co-pilote ! Çà alors et, de plus; il y a des passagers !
SupprimerSi le pilote piqué meurt à 3000 pieds, les 200 ou 300 passagers feront pareil ! (Y ajouter le nombre de morts au sols causé par la chute de l'aéroplane).
L'UE se retire de l'embargo pétrolier imposé par la Russie : Kemp
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 MARS 2022 - 13:10
Par John Kemp, analyste de marché senior chez Reuters
Les dirigeants de l'UE ont renoncé à imposer un embargo immédiat sur les importations russes de brut et de produits pétroliers, car l'impraticabilité de la politique est devenue évidente. Imposer un embargo immédiat sur les combustibles fossiles de la Russie "du jour au lendemain reviendrait à plonger notre pays et l'ensemble de l'Europe dans une récession", a déclaré cette semaine le chancelier Olaf Scholz aux législateurs allemands.
Les exportations russes de brut et de produits pétroliers vers l'Europe constituent le deuxième flux bilatéral de pétrole entre deux partenaires commerciaux dans le monde, derrière les États-Unis et le Canada, selon les données de BP.
La Russie a fourni 29 % des importations de brut de l'Europe et 51 % des importations de produits pétroliers du continent en 2019, la dernière année avant la pandémie ("Statistical review of world energy", BP, 2020).
- voir graph sur site -
Aucun autre partenaire commercial ne s'est approché de la part de la Russie, ce qui la rendrait extrêmement difficile à remplacer à court terme.
Ainsi, même les spéculations sur une éventuelle interdiction ont fortement augmenté les prix du pétrole cette semaine, alors que les commerçants pesaient les difficultés pratiques, avant que les prix ne reculent car il est devenu clair que les décideurs politiques de l'UE reculaient devant cette idée.
Nouvelle commande pétrolière ?
Certains partisans de l'embargo ont suggéré que l'UE pourrait interdire les importations de pétrole russe, puis encourager la redirection des flux internationaux afin de minimiser la perte nette d'approvisionnement résultant d'une flambée des prix. Dans ce scénario, le brut russe sanctionné serait laissé aux acheteurs en Chine et en Inde, libérant du brut du Moyen-Orient pour être livré aux raffineries en Europe.
Du côté des produits, le mazout et les distillats russes pourraient être envoyés en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie, tandis que l'Europe achète davantage de produits non autorisés en provenance des États-Unis, de la Chine, de l'Inde et du Moyen-Orient.
Mais il existe de nombreux obstacles sérieux à la réalisation de ce travail, ce qui explique probablement pourquoi il a été reporté pour le moment.
RépondreSupprimerPour les producteurs et les consommateurs, les routes d'approvisionnement deviendraient beaucoup plus longues, ce qui augmenterait le nombre de tonnes-milles de fret, augmenterait la demande de pétroliers et augmenterait considérablement les coûts de transport. Plus important encore, les pétroles bruts ne sont que semi-fongibles. La plupart des raffineries sont optimisées pour travailler avec des qualités de pétrole spécifiques. Échanger des bruts russes et du Moyen-Orient réduirait l'efficacité, augmentant les coûts et les prix.
La redirection des flux perturberait les relations clients et contractuelles de longue date. Les spécialistes du marketing du Moyen-Orient ont investi du temps et des efforts pour établir des relations à long terme avec des raffineurs en Chine, en Inde et dans le reste de l'Asie. L'Asie est perçue comme le marché en croissance du futur, tandis que l'Europe est le marché en déclin du passé, notamment avec son plan de transmission accélérée vers le zéro émission nette.
Rompre des contrats à long terme et abandonner les marchés de croissance lucratifs de l'Asie pour approvisionner les raffineurs d'une Europe en déclin, peut-être seulement pour quelques mois ou années, n'aurait guère de sens stratégique. De même, les raffineurs nord-américains ont des marchés lucratifs et semi-captifs en Amérique centrale et du Sud qu'ils hésiteront à échanger contre les marchés russes en Europe.
Pour les raffineurs en Asie, il y a peu d'incitations à perturber les relations à long terme avec des fournisseurs sûrs du Moyen-Orient pour devenir dépendants des exportateurs russes si ces exportations pourraient faire l'objet de sanctions extraterritoriales américaines et européennes plus tard.
Web complexe
Les flux de brut et de produits dans le monde forment un réseau ou une matrice interconnectée dense. La reprogrammation forcée des exportations russes via des sanctions implique des changements dans toutes les autres relations avec les fournisseurs et les clients. Pour des raisons commerciales, la plupart des exportateurs et des raffineurs de brut expédient vers le marché d'exportation disponible le plus proche et achètent auprès de la source d'importation appropriée la plus proche.
Jusqu'à présent, la Russie a approvisionné en grande majorité l'Europe, le principal importateur le plus proche, bien que les flux aient été lentement réorientés vers l'Asie, le marché à la croissance la plus rapide, avant même l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Pour les mêmes raisons de distance, l'Europe a acheté la plupart de ses importations de brut et de produits de Russie et d'autres pays de l'ex-Union soviétique.
RépondreSupprimerL'impératif politique de mettre fin à ces flux et à cette co-dépendance entre désormais en conflit avec les raisons commerciales et géographiques de les maintenir. Les impératifs politiques peuvent l'emporter, mais il est peu probable qu'ils le fassent rapidement. En 2019, les exportations de la Russie vers l'Europe représentaient plus de 6% de tout le brut commercialisé dans le monde et plus de 8% de tous ses produits commercialisés au niveau international, selon les données de BP. Reprogrammer une part aussi énorme du commerce mondial en l'espace de quelques semaines ou mois créerait un énorme bouleversement.
Des collants comme un tambour
Les marchés pétroliers mondiaux étaient tendus avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, avec des stocks inférieurs à la moyenne quinquennale d'avant la pandémie et une tendance à la baisse. Même si l'imposition d'un embargo ou d'autres sanctions n'entraînait qu'une faible réduction des exportations nettes de la Russie, pour priver le pays de revenus, cela créerait toujours un risque élevé de flambée des prix.
Les précédents embargos imposés à l'Irak dans les années 1990 et à l'Iran et au Venezuela dans les années 2010 ont été compensés par des approvisionnements supplémentaires d'autres producteurs, réduisant leur impact global sur les prix. À l'heure actuelle, ni l'Arabie saoudite ni les entreprises américaines de schiste ne semblent vouloir augmenter leur production pour compenser les pertes d'approvisionnement russes, et la Maison Blanche n'a pas encore conclu d'accord pour lever les sanctions contre l'Iran et le Venezuela.
Avec peu de capacité de réserve, les décideurs politiques de l'UE ont conclu que les risques de prix liés à l'embargo sur les exportations pétrolières russes sont trop élevés et ont abandonné cette idée pour le moment.
https://www.zerohedge.com/markets/eu-steps-back-impractical-russia-oil-embargo-kemp
Seuls les navires de fort tonnage, paquebots et porte-containers utilisent du pétrole lourd.
SupprimerLà où les gouvernements ont la meilleure emprise sur Internet
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 MARS 2022 - 12:35
Selon l'indice Freedom House Freedom on the Net de 2021, la Chine était le pays avec l'Internet le plus contrôlé sur 70 pays évalués, n'obtenant que 10 points d'indice sur 100 possibles.
Compte tenu du bombardement constant d'annulations et de déplateformes, il est intéressant de noter que le rapport trouve l'Internet aux États-Unis "gratuit" avec un score de 75 (classé seulement 12e au monde cependant) avec le Canada, l'Estonie et le Costa Rica se classant les meilleurs pour la liberté d'Internet .
- voir carte sur site -
Comme Katharina Buchholz de Statista s'effondre dans l'infographie ci-dessous, certains des autres pays les moins libres sur Internet sont des régimes restrictifs comme l'Iran, le Myanmar et Cuba.
- voir graph sur site -
Infographie : Là où les gouvernements ont la plus grande emprise sur Internet | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Le Vietnam au rang 5 s'inspire également de son proche allié la Chine, qui affirme le contrôle d'Internet via le soi-disant Grand Pare-feu, un ensemble de passerelles qui contrôle tout le trafic Internet entrant et sortant du pays, permettant au gouvernement chinois de filtrer ce. L'Iran et la Corée du Nord utilisent également cette méthode. L'idée est devenue populaire parmi les pays d'Asie du Sud-Est, le Cambodge et la Thaïlande envisageant récemment l'introduction de cette mesure draconienne de contrôle d'Internet.
Des contrôles stricts d'Internet sont également courants au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, les Émirats arabes unis, l'Arabie saoudite, l'Égypte et Bahreïn étant très appréciés.
La Russie est arrivée à une 11e place partagée sur les 70 pays du classement. Le rapport indique que le blocage de contenus et de plateformes, des campagnes de désinformation, des cyberattaques et la persécution des utilisateurs ainsi qu'un durcissement de certaines lois sur la cybercriminalité se produisaient dans le pays.
Enfin, le rapport constate que les autorités gouvernementales ont enquêté, arrêté ou condamné des personnes pour leurs publications sur les réseaux sociaux dans au moins 55 pays.
- voir graph sur site -
En fait, un marché commercial en plein essor pour la surveillance a donné aux gouvernements plus de capacité que jamais pour bafouer l'État de droit et surveiller les communications privées à leur discrétion.
https://www.zerohedge.com/technology/where-governments-have-tightest-grip-internet-0
Seuls les sites qui dépassent le million de vues au quotidien sont attaqués. LE VERT BAVOIR c'est tous les jours !! (depuis plus de 10 ans !!)
Supprimer« Les Français doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet mondialiste pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique »
RépondreSupprimerRobert F. Kennedy, Jr.
mars 25, 2022
Bonjour, c’est Robert F. Kennedy, Jr. J’ai un message pour tous nos frères et sœurs en France. Je suis là pour vous annoncer la publication en langue française de mon livre ‘Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique’. J’ai écrit ce livre pour que les gens puissent comprendre ce qui est arrivé à notre monde, ce coup d’état global contre la démocratie qui s’est produit dans toutes les démocraties libérales du monde au cours de ces 20 derniers mois. A la place d’une réponse sanitaire à une crise sanitaire, nous avons eu une réponse militarisée et financiarisée qui profite aux ambitions mercantiles des entreprises pharmaceutiques et à la soif de pouvoir des technocraties, des agences de renseignement et du complexe militaro-industriel. [Dans mon livre] j’explique comment nous en sommes arrivés là… Tony Fauci est le plus ancien fonctionnaire en place de la santé publique de l’histoire des États-Unis. Il est au NIH [Institut National de la Santé] depuis plus de 50 ans. Il est le principal architecte de la capture institutionnelle des agences et du transfert de leurs préoccupations de santé publique vers l’unique promotion des ambitions financières et du pouvoir des sociétés pharmaceutiques. Il travaille côte à côte avec les agences militaires et du renseignement pour y parvenir. Il est important pour le reste du monde de comprendre comment nous en sommes arrivés là, et c’est ce que j’essaie de faire dans ce livre. Je veux faire comprendre aux Français qu’il s’agit d’un projet mondialiste et d’une entreprise visant à mettre fin à la démocratie, à éroder les droits constitutionnels dans le monde entier pour créer une technocratie permanente qui nous gouvernera au profit des grandes entreprises plutôt que pour l’esprit humain, l’âme et la dignité humaines et la santé publique.
L’attaque vient des mondialistes et la réponse doit se faire dans le monde entier. Je le sais, nous avons vu en France l’esprit de rébellion, suivi les manifestations colossales et les protestations dans les rues. Nous prions pour vous. Nous vous soutenons et nous voulons que vous sachiez que, lorsque vous agissez, lorsque vous organisez votre résistance, vous pouvez parfois vous sentir seuls mais vous devez savoir que vous avez des amis dans tous les coins du monde. Bienvenue dans le mouvement. J’espère que ce livre deviendra un outil et une arme pour le peuple de France et dans son combat pour la liberté. La France a toujours été un modèle. Nous comptons sur votre capacité à prendre la tête du combat. Nous vous attendons. A bientôt sur les barricades.
https://childrenshealthdefense.eu/fr/union-europeenne/robert-f-kennedy-jr-les-francais-doivent-comprendre-quil-sagit-dun-projet-mondialiste-pour-creer-une-technocratie-permanente-qui-nous-gouvernera-au-profit-des-grandes-entreprises-plutot-que/
Depuis le début du commencement à la première ligne de départ, les personnes armées (ou mieux armées que les autres) ont fait demeurer l'hégémonie, le carnage, le crime organisé dans le monde afin que le nombre de prisonniers ne dépassassent pas le nombre de gardiens. Puis, l'évolution, le progrès dans les armes laissa au Peuple l'autorisation de s'établir en plus grand nombre jusqu'à ce que, en l'an 2000, apparaisse l'information comme quoi il y aurait plus de 4 % (280 millions !) de personnes surdouées dans le monde !
SupprimerÔH PUTAIN !
Et que, plus de 20 ans plus tard ce chiffre serait à multiplier par 4 ou 5 !!
Là, les 'familles' (consanguines de père en fils) se regardèrent un petit peu. "C'est foutu ! Ces cons en savent désormais plus que nous !!"
Oui mais demeurait la guerre. "La guerre ? Pfft ! çà fait quoi ? Au bas mot qq millions de morts, et après ?"
Oui mais avec la bombe atomique... "La... hahahaha ! et nous ? T'y penses à nous ? 10 ans après on sort des 'abris anti atomique' et pfft ! Niqués."
Avec 'HAARP' on peu faire... "Des tremblements de terre ? Des ouragans ? Des vents violents, des inondations, des feux de forêts et tout le tralala ?"
Mais alors... comment faire pour éliminer ces 7 milliards 900 millions d'habitants sans que l'on ne soit touché ? "Facile ! THE virus ! Un nouveau truc du genre 'dernier sorti ferme la porte' et hop ! Oui mais cette poussière ne serait PAS dans l'air ! Elle ne serait disponible qu'en flacons ! (sous la fausse appellation de 'vaccins'). Les merdias répandent l'info: La planète est attaquée ! Branle-bas de combat, tous à vos postes et 'qui vivra verra' ! Ils et elles se font seringuer LA dite soluce à la soluce et tous et toutes tombent raides morts au sol !"
Oui mais, piquer 7 milliards 900 millions de personnes demande beaucoup de piqueurs et seringuatrices. Donc, établir un plan par étape: Un, les gens courent porter un masque pour se protéger du 'truc dans l'air' ! (HAHAHAHA !), deux, l'air respiré entre les mailles du masque emporte avec lui des nano-particules d'oxyde de graphène. Ces nano-particules étant conductrices et antennes-relais vers le cerveau, elles reçoivent et renvoient les info du "Allez vous faire inoculer !" Ils et elles y courent et là: Paf ! Le nombre dans chaque organisme est subitement multiplié par mille ou millions ! Les info tombent en direct ! Vous êtes déjà dans le journal ! Vous faites parti du nombre de gros cons sélectionnés ! Hourra ! Maintenant, si on vous dit "Lêve-toi et va travailler !" T'y vas ! Si on te dit "Tue ton voisin de palier..." tu fais ! Et si on te demande gentiment de te jeter par la fenêtre: T'obéis ! Pas belle la vie ?
Les scientifiques cherchent à créer des vaccins à ARNm chimériques pouvant être déployés dans les aliments
RépondreSupprimerVendredi 25 mars 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) Les scientifiques ont fait des recherches pour créer de l'ARNm chimérique et le délivrer par la nourriture. Des recherches de l'Université de Californie à Irvine et de l'Université de Californie à Riverside ont révélé que l'avenir des vaccins ressemblerait davantage à une salade qu'à une injection dans le bras.
Oui, les scientifiques étudient maintenant s'ils peuvent ou non transformer des plantes comestibles en usines de vaccins à ARNm. Dans l'épisode du 24 mars de "War Room", la dénonciatrice de Pfizer, Karen Kingston, a parlé du développement de vaccins par la consommation alimentaire.
"Ce que [le président Joe] Biden dit, c'est que dans le Nouvel Ordre Mondial, ils vont réduire la population, que nous nous y conformions ou non", a déclaré Kingston. Elle a ajouté qu'il existe des preuves disponibles qui montrent que les scientifiques ont pris un ARNm armé par une chimère et l'ont rendu comestible dans les laitues, les tomates et d'autres formes d'aliments.
«Donc, ce que vous verrez dans les médias, c'est comme Medicago, qui vient d'être approuvé au Canada comme vaccin à base de plantes. Cela signifie qu'ils utilisent en fait le cytoplasme de la plante pour produire l'ARNm », a expliqué Kingston.
La chimère est essentiellement un organisme unique composé de cellules de deux ou plusieurs "individus". En d'autres termes, il contient deux ou plusieurs ensembles d'ADN.
Les chercheurs ont parlé d'obtenir une subvention d'un demi-million de dollars de la National Science Foundation. Bien que l'on ne sache pas grand-chose des recherches en cours, il y a eu un travail publié en 2006, en collaboration avec des scientifiques de Hong Kong, pour la vaccination contre le SRAS et la protéine de pointe.
L'étude indique que la génération de plantes transgéniques - dans lesquelles elles prennent des plantes et les combinent avec des virus d'autres espèces et animaux - a produit avec succès des vaccins contre le choléra, le virus de Norwalk, l'hépatite B et la fièvre aphteuse par transmission côtière.
Il existe également des études et des financements remontant à 2011, qui peuvent être consultés sur le site Web des National Institutes of Health, où l'agence a financé le développement de vaccins à base de tomate contre le virus respiratoire syncytial (VRS). L'étude a déclaré qu'ils vont faire une différence et un impact durable sur la santé humaine en créant un vaccin peu coûteux. (Connexe : les produits chimiques alimentaires, le HFCS et même les vaccins contre la rougeole sont beaucoup plus dangereux pour le public que le virus de la rougeole.)
Cependant, le mot «vaccin» dans ce cas se traduit par l'inoculation du virus chimérique, de sorte qu'ils sont simplement infectés par le virus à ARNm multi-espèces. En termes plus simples, a expliqué Kingston, "ils mettent essentiellement l'ARNm dans les plantes. Ils prennent juste un virus créé par l'homme et le mettent dans les plantes.
RépondreSupprimerDe nombreuses questions techniques doivent être résolues
Les partisans affirment que les vaccins produits dans des plantes comestibles seraient peu coûteux et ne nécessiteraient pas de réfrigération, ce qui les rendrait plus accessibles aux habitants des pays en développement.
Les vaccins qui utilisent des plantes comestibles comme véhicule d'administration pourraient les produire sans aiguille sans nécessiter d'adjuvants (ou de produits chimiques qui stimulent une réponse immunitaire). Lorsque la plante est ingérée, les parois cellulaires de la plante peuvent protéger les antigènes vaccinaux de la dégradation par les acides gastriques et les enzymes digestives. Les vaccins comestibles stimuleraient également l'immunité muqueuse et systémique qui offre un niveau de protection plus élevé par rapport aux vaccins injectables traditionnels.
Cependant, ces vaccins n'ont pas encore été approuvés pour la commercialisation car il y a de nombreuses questions techniques auxquelles il faut répondre avant qu'ils ne puissent être une option viable. (En relation: Les vaccins COVID obligatoires chez Tyson Foods entraînent le départ de certains travailleurs au milieu de la crise de l'approvisionnement alimentaire et de la résistance croissante à la tyrannie médicale.)
Par exemple, même si les pommes de terre sont des options viables, il n'y a pas beaucoup de gens qui mangeront une pomme de terre crue. Si, par exemple, les aliments sont cuits, les vaccins resteraient-ils viables et efficaces ? Comment assurer l'uniformité des produits ou déterminer la dose appropriée ?
D'autres scientifiques ont également pensé à produire des vaccins comestibles dans des bananes ou des pommes de terre et à les transformer en poudre pour les rendre plus utilisables et plus cohérents, mais on ne sait pas non plus si cette approche est commercialement viable.
Suivez Vaccines.news pour plus d'informations sur les vaccins et leur développement.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur le plan d'utilisation des aliments comme vaccins.
- voir clip sur site -
This video is from the InfoWars channel on Brighteon.com.
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Sources include:
Brighteon.com
BioSecurity.FAS.org
https://www.naturalnews.com/2022-03-25-scientists-to-create-chimeric-mrna-vaccines-food.html
Bientôt les fruits, légumes et viandes autorisés à être piqués à la mort-aux-rats !
SupprimerC'est bientôt possible ! Youpie !
CONCLUSION: Les masques priveront silencieusement les humains d'oxygène pendant des années à cause de la pollution microplastique
RépondreSupprimervendredi 25 mars 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) Pour la première fois, des scientifiques ont détecté une pollution microplastique dans le sang humain. L'étude, publiée dans Environment International, a détecté des particules de plastique chez près de 80 % des personnes testées. Ces microplastiques peuvent être consommés ou inhalés. Ces microplastiques peuvent se fixer aux globules rouges, ce qui nuit à l'utilisation de l'oxygène dans le sang. Ils interfèrent également avec la fonction glandulaire, provoquant des changements hormonaux dans le corps humain.
L'étude a révélé que les microplastiques non seulement pénètrent dans le corps, mais qu'ils voyagent également dans la circulation sanguine et se logent dans les organes humains. Dans des études en laboratoire, les microplastiques endommagent les cellules humaines, perturbent les hormones et contribuent à la mort prématurée. Les bouteilles en plastique, les contenants d'aliments et de boissons en styrène et les sacs à provisions en plastique contribuent tous à cette menace omniprésente pour la santé, et ce n'est pas tout.
Les masques causeront des dommages à long terme à l'utilisation de l'oxygène chez les humains
Aujourd'hui, les gens respirent volontiers ces microplastiques en attachant des masques sur leur visage. Et, comme les masques faciaux sont jetés en masse, les microplastiques se décomposent dans l'air, le sol et l'eau, avant de se retrouver dans le sang et les organes humains. Les masques fatiguent, étouffent et empoisonnent les gens de manière aiguë, et à long terme, les microplastiques se décomposent dans l'environnement, s'infiltrant silencieusement dans le sang et privant les globules rouges d'oxygène. Dans une étude, les microplastiques se sont accrochés à la membrane externe des globules rouges, entravant leur capacité à transporter l'oxygène partout.
Au plus fort de l'hystérie du mandat du masque, la population mondiale consommait 129 milliards de masques jetables chaque mois, soit environ trois millions de masques par minute. Beaucoup de ces masques sont jetés dans l'environnement ou jetés dans des décharges, où ils se décomposeront et pollueront le sol pendant des années.
Les masques faciaux jetables contiennent une couche interne de polymères thermoplastiques qui sont fondus ensemble en feuilles poreuses. Lorsqu'ils se décomposent dans l'environnement, ces polymères et tissus en polypropylène se décomposent en petites particules de plastique appelées microplastiques. Ces microplastiques pénètrent dans le sol et l'eau et finissent par se retrouver dans le sang, les tissus et les organes humains. Ces particules voyagent également dans l'air et sont souvent absorbées par les poumons. Les effets à long terme sur l'environnement et la santé humaine causés par les mandats de masque ne sont pas encore pleinement réalisés. Ces impacts négatifs seront mesurés dans le sang humain sous forme de contamination microplastique.
La pollution plastique, exacerbée par les masques, affecte les hormones humaines, le développement de l'enfant
RépondreSupprimerDans l'étude d'Environment International, la moitié des échantillons de sang contenaient du plastique PET, du type qui provient des bouteilles de soda en plastique. Un tiers des échantillons de sang contenaient du polystyrène, le produit chimique perturbateur hormonal utilisé pour fabriquer des contenants en polystyrène. Un quart des échantillons de sang contenaient du polyéthylène, qui est couramment utilisé dans les sacs d'épicerie. Le chercheur principal, le professeur Dick Vethaak de la Vrije Universiteit Amsterdam, a déclaré que c'était la "première indication que nous avons des particules de polymère dans notre sang". Il dit que d'autres études sont nécessaires pour évaluer la présence de beaucoup plus de polymères plastiques et comprendre ce que ces microplastiques font au corps humain.
"Les particules sont là et sont transportées dans tout le corps", a-t-il dit, il est donc "certainement raisonnable de s'inquiéter". Dans ses travaux précédents, Vethaak a découvert que la contamination microplastique était dix fois plus élevée chez les bébés parce qu'ils sont nourris avec des biberons en plastique. Les bébés sont particulièrement vulnérables aux effets négatifs ; des études montrent que les particules traversent les poumons et pénètrent dans le cœur et le cerveau, affectant le développement neurologique. D'autres études sur la santé devraient être menées sur les personnes qui portent régulièrement des masques faciaux. Comment l'inhalation de microplastiques peut-elle affecter la capacité d'une personne à transporter l'oxygène dans son sang au fil du temps ? Comment cette exposition pourrait-elle affecter ses hormones et son risque de cancer ?
La quantité et le type de microplastiques détectés dans l'étude variaient considérablement, car il s'agissait de la première étude à détecter des microplastiques aussi petits que 0,0007 mm. Vethaak a déclaré que les différences dans les niveaux de microplastiques pourraient refléter des expositions au plastique à court terme qui se sont produites avant que les échantillons de sang ne soient prélevés, comme boire dans une tasse en polystyrène ou porter un masque facial jetable.
« La grande question est de savoir ce qui se passe dans notre corps ? » dit Véthaak. « Les particules sont-elles retenues dans le corps ? Sont-ils transportés vers certains organes, comme franchir la barrière hémato-encéphalique ? » Et ces niveaux sont-ils suffisamment élevés pour déclencher la maladie ? Nous devons de toute urgence financer des recherches supplémentaires afin de pouvoir le découvrir.
This video is from the Health Ranger Report on Brighteon.com.
Sources include:
TheGuardian.com
ScienceDirect.com
NIH.gov
NaturalNews.com
PNAS.org
Biomedcentral.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-03-25-masks-deprive-humans-of-oxygen-microplastic-pollution.html
Brèves réflexions sur l’âge de départ à la retraite en France
RépondreSupprimerle 26 mars 2022
C’est un débat stérile qui agite les prétendants au trône de président alors que les Français manifestent dans la rue pour défendre la retraite par répartition imaginée par le Comité National de la Résistance en 1945. Considérons que l’âge légal de départ à la retraite est à l’heure actuelle, je crois, de 62 ans en France. Or la population vieillit et il n’y aura un jour prochain pas suffisamment d’actifs pour maintenir ce système par répartition. Je m’excuse à nouveau de constater que les politiciens français refusent d’observer quels sont les systèmes de retraite dans les autres pays. Encore une fois je prendrai le système japonais. Comme beaucoup d’autres pays qui ont choisi un système de retraite par capitalisation les travailleurs japonais disposent d’une retraite directement liée au montant du capital qu’ils ont constitué au cours de leur vie professionnelle. Il faut ajouter qu’au Japon il n’y a pas d’âge légal de départ à la retraite. Les artisans et les petits entrepreneurs qui ont choisi pour diverses raisons de limiter le montant de leurs cotisations de capitalisation de leur retraite sont condamnés à continuer à travailler parfois jusqu’à 90 ans ! Un grand nombre de vieux Japonais sont ainsi condamnés à travailler au delà de 70 ans car leur prévention personnelle de retraite par capitalisation n’a pas été envisagée prudemment.
Il existe un immense avantage du système de capitalisation de la retraite au Japon qui bénéficie directement à l’économie du Japon. Je m’explique. Cette capitalisation des retraites des Japonais est très supérieure au PIB de la France. On dit que le montant des fonds de pensions japonais égalent les PIBs réunis de la France et de l’Allemagne. Ce gigantesque montant de capitaux est investi dans une multitude d’entreprises étrangères rentables (sinon rien), sur les places boursières et dans les émissions de dettes souveraines. La dette domestique du Japon est détenue par ces fonds de pension à hauteur de 90 % du montant total de cette dette. Ce mécanisme auquel tous les Japonais salariés au cours de leur carrière ou simples entrepreneurs à leur nom ont contribué par leurs cotisations pour capitaliser leur retraite les rend solidaires de la dette de leur pays. C’est leur pays et ils protègent celui-ci quitte à éventuellement faire des sacrifices.
Le système par répartition français imaginé par les communistes à l’issue de la seconde guerre mondiale ne peut pas fonctionner sainement et d’une manière rentable car les capitaux issus des cotisations sociales des salariés ne servent qu’à payer les retraites des actifs ayant quitté le marché du travail. Les lois françaises imposant une retraite à 60 ans ont créé un déséquilibre maintenant impossible à rattraper car les fonctionnaires en charge de l’Etat n’ont pas compris que la population vieillissait et que de surcroit l’espérance de vie augmentait. En conséquence le déficit du régime de retraite des employés de l’Etat a atteint des montants stratosphériques qui n’entrent pas dans le calcul du montant de la dette de l’Etat puisqu’il s’agit, selon le célèbre Juppé, de « hors-bilan ». Compte tenu de l’état des finances de la France ce poste « hors-bilan » est sensiblement égal aux deux tiers du PIB de l’Etat, rien que la retraite des employés de l’Etat qui n’est pas provisionnée !
RépondreSupprimerPour illustrer mon propos je voudrais relater ici mon expérience personnelle. J’ai été intégré au corps des chercheurs du CNRS peu de semaines avant la soutenance de ma première thèse de doctorat et en tant que contractuel de l’Etat j’ai été sollicité pour cotiser volontairement à la constitution de ma retraite complémentaire qui viendrai en sus de ma retraite « par répartition » le jour où je déciderai de cesser mon activité professionnelle. Au tout début de ma carrière je gagnais l’équivalent de 1000 euros par mois et le montant de la cotisation pour ma retraite complémentaire en tant qu’agent contractuel de l’Etat représentait l’équivalent de 85 euros par mois outre les prélèvements pour la protection sociale et la retraite par répartition. Les années passant et mon salaire augmentant, toutes ces charges ont augmenté proportionnellement au montant de mon salaire.
Aujourd’hui, au crépuscule de ma vie, alors que je ne coûte rien au système de protection sanitaire français depuis plus de 20 ans et que le montant de la retraite par répartition que je perçois ne représente même pas le montant du fameux « RSA », pourquoi alors ne pas avoir opté pour 100 % de retraite par capitalisation dès le début de ma carrière professionnelle ? Certes ma retraite complémentaire (donc constituée par capitalisation volontaire) est gérée par la Caisse des Dépôts et Consignations, un organisme de l’Etat en qui on peut encore faire confiance, mais si j’avais opté, illégalement, de ne constituer qu’une retraite par capitalisation dès le début de ma carrière, si cela avait été possible , je vivrais aujourd’hui beaucoup plus aisément. Or le système français est constitué d’une manière telle qu’il est impossible de faire ce choix. Dans le cas contraire on est hors la loi. Tout ce qu’a avancé le gouvernement français au sujet de cette réforme des retraites est stupide. Les points, les trimestres et autres inventions ressemblent à de la musique pour attirer les lemmings au sommet de la falaise.
Il faut tout simplement dire aux Français qu’il ont le droit de travailler jusqu’au jour où ils en auront assez et qu’ils prennent, surtout, leur sort entre leurs mains, ce qui signifie que l’Etat, à terme, ne sera plus l’ « Etat providence ».
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/03/26/breves-reflexions-sur-lage-de-depart-a-la-retraite-en-france/
Je ne vois pas où peut être le problème dès lors qu'il y a cotisation à une caisse ou une banque.
SupprimerSans que le poids des cotisations doivent être relevés il faut prendre en compte le calcul des esclaves qui nous entourent et nous servent tous les jours !
Nos esclaves d'aujourd'hui s'appellent machine-à-café, machine-à-laver, voiture, etc. Parfois certains appareils sont même programmables pour travailler la nuit !
Bref, avec l'arrivée des machines, des robots et des ordinateurs ON DEVRAIT TOUTES & TOUS ÊTRE RICHE ! Oui mais... on ne l'est pas. Pourquoi ? Parce que l’État prélève les gains apportés grâce aux machines. Il s'agit d'une gestion essentiellement tournée vers l'escroquerie.
Ancien temps, les esclaves s'appelaient animaux. Aujourd'hui ils s'appellent robots.
S'ils travaillent pour rien (ou presque) pourquoi s'en faire ?
De nos jours la pâte à pains n'est plus pétrie à la main. Les pétrins sont d'énormes machines qui brassent des tonnes de pâte ! Et, ce sont des millions de pâtons qui sortent tous les jours des usines sous forme congelées.
Ils sont dégelés et cuits en fours de supermarchés. Donc, en principe, le pain devrait être moins cher qu'avant. CE QUI N'EST PAS LE CAS !
Idem pour tout ! Même le pétrole devrait être vendu au prix d'y a 50 ans ! Pourquoi ce n'est pas le cas ? Parce qu'il y a des taxes ! Des taxes sur les taxes !
Qu'est-ce qui retient l'énergie nucléaire américaine ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 MARS 2022 - 00:30
Par Leonard Hyman et William Tilles de OilPrice.com
Les marchés mondiaux de l'énergie sont bouleversés par l'invasion de l'Ukraine par la Russie et les sanctions énergétiques imposées par les pays occidentaux. Comme nous l'écrivions récemment, les énergies renouvelables et les énergies nucléaires sont les deux bénéficiaires immédiats de ce conflit et de la réponse alliée qui y est associée. Par exemple, le 19 mars, la Belgique a annoncé un report de dix ans de la fermeture prévue de deux centrales nucléaires, Doel 4 et Tihange 3, tout en doublant son engagement dans l'éolien offshore. L'aspect le plus intéressant du communiqué de presse belge, en particulier pour ceux qui recherchent rapidement de grandes quantités d'énergie de base sans énergie fossile, était l'accent mis par le gouvernement sur le fait que les unités à durée de vie prolongée ne seraient pas disponibles pour la saison de chauffage d'hiver avant 2025.
Nous pensons que cela souligne une idée fausse répandue sur la rapidité avec laquelle les principales décisions d'allocation de capital et d'exploitation peuvent être inversées. La prolongation de la durée de vie de dix ans dans ce cas commence en 2026.
Le conflit ukrainien semble également avoir mis fin à une impasse sur le financement et la propriété de la construction nucléaire en République tchèque. Le gouvernement a finalement accédé à la demande du service public CEZ pour un financement gouvernemental complet et à ce qui semble être une somme à la britannique des différences tarifaires pour toute la production de l'usine. Cependant, dans le processus d'appel d'offres pour la nouvelle usine, les entreprises russes et chinoises seront exclues « pour des raisons de sécurité ». Jusqu'à présent en Europe, seuls les Allemands ont respecté leur promesse de non-nucléaire.
Mais ce qui nous a vraiment frappé, c'est la relative timidité des partisans du nucléaire américain à saisir ce moment d'évidence. Au lieu de cela, une grande partie de nos commentaires politiques concernant l'autosuffisance énergétique des États-Unis revient à « percer, bébé, percer ». Comparez cela avec l'annonce la semaine dernière par des responsables chinois qu'ils prévoyaient de construire 150 nouvelles centrales nucléaires dans les quinze prochaines années. Dans l'esprit de la réémergence de la concurrence de la guerre froide, notre question se résume à « que faudrait-il pour que les États-Unis fassent la même chose ? Ajoutons que le gouvernement chinois a estimé le prix de ces 150 nouveaux réacteurs à 440 milliards de dollars, soit environ 2,9 milliards de dollars chacun. (La centrale Vogtle à deux unités de la Southern Company coûterait 34 milliards de dollars ou 17 milliards de dollars par réacteur.)
Il existe trois risques commerciaux de base associés à l'énergie nucléaire pour un service public appartenant à un investisseur : le financement, l'exploitation et les ventes. (Quatre si vous ajoutez un nouveau risque de construction qui n'est pas sans conséquence.) La simple raison pour laquelle aucune entreprise de services publics appartenant à des investisseurs américains - à l'exception de l'usine Vogtle de Southern Company - ne construit ou n'envisage de nouveaux investissements nucléaires est le premier risque, le financement. Pour paraphraser un ancien candidat à la mairie de New York, les coûts d'investissement sont « trop sacrément élevés ». Quelle que soit la mesure, l'énergie nucléaire est économiquement non compétitive. Selon la récente étude Lazard comparant le coût de la nouvelle production d'électricité, celle-ci est environ trois fois plus coûteuse que le gaz naturel et cinq fois plus coûteuse que l'éolien et le solaire.
RépondreSupprimerCela soulève une question évidente. Comment pouvons-nous avoir plus de quelque chose s'il est sauvagement, économiquement non compétitif ? La réponse est simple : éliminer la prise en compte de l'économie dans le développement de nouvelles centrales électriques. Prenons par exemple un grand projet de construction nucléaire à la centrale nucléaire turque de quatre tranches d'Akuyu. Aux États-Unis, il s'agit d'un projet d'investissement de plus de 40 milliards de dollars. Aucun service public américain détenu par des investisseurs n'a le bilan nécessaire pour gérer des projets à unités multiples de cette taille. Seul le gouvernement américain a la capacité d'emprunt pour des projets de cette ampleur et de ce risque. Ceci, à son tour, suggère que le développement de nouvelles centrales nucléaires ne se produira aux États-Unis que si nous transigeons sur nos principes de libre entreprise et retirons entièrement le développement de nouvelles centrales nucléaires du secteur privé. Ces énormes risques de financement sont désormais impossibles à absorber confortablement dans un contexte d'entreprise où ils doivent être constamment mis en balance avec les intérêts des actionnaires.
Enfin, pour ceux qui disent que le coût du nouvel engagement nucléaire de la Chine est démesurément élevé, même pour le gouvernement américain, en supposant un coût de 10 milliards de dollars par nouveau réacteur. cette somme énorme équivaudrait à peine à deux ans du budget du département américain de la Défense avant allocations supplémentaires. Et une fois en service, les coûts de l'usine pourraient être répartis sur 40 à 60 ans. Qui remarquerait ?
https://www.zerohedge.com/commodities/what-holding-us-nuclear-energy-back
Pourquoi la flambée des prix de l'énergie n'empêchera pas les «villes en plein essor» du pétrole américain de devenir des «villes fantômes»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 MARS 2022 - 04:00
Comme nous l'avons souligné à maintes reprises au cours de l'année écoulée, les États-Unis commencent enfin à comprendre le véritable coût du programme vert des démocrates (un programme qui est également défini par les élites dirigeantes de Wall Street - il suffit de demander à Larry Fink ), car la flambée des prix de l'énergie comprime les consommateurs les moins à même de se le permettre.
Et maintenant, avec l'engagement du président Biden d'expédier plus de GNL vers l'Europe, on pourrait penser que l'industrie énergétique américaine serait à nouveau en plein essor.
Mais comme Bloomberg l'a souligné dans un article récent sur les risques existentiels auxquels sont confrontées les «villes en plein essor» énergétiques américaines (qui sont sur le point de devenir des «villes fantômes»), cela ne pourrait pas être plus éloigné du cas. Dans tout le bassin permien, les petites villes envisagent les conséquences à long terme de la diversification de l'industrie des combustibles fossiles qui les a soutenues pendant des décennies, beaucoup craignant que la révolution verte ne fasse qu'aggraver l'exode des travailleurs et des personnes de ces communautés, comme les emplois créés par le boom de l'énergie verte ne parviennent même pas à remplacer ceux perdus par l'industrie des combustibles fossiles.
Les prix de l'énergie s'envolent maintenant après des années de sous-investissement en capex qui ont laissé l'industrie énergétique américaine s'ossifier tout en étant affamée de capitaux par Wall Street. Cela a créé des problèmes structurels qui rendront à nouveau plus difficile la montée en puissance des investissements.
La « révolution verte » imminente a rendu les entreprises réticentes à investir trop lourdement, de peur que la guerre en Ukraine ne se termine soudainement et que les prix ne baissent rapidement. Et moins de travailleurs sont prêts à se recycler pour des emplois qui pourraient finir par disparaître quelques années plus tard.
RépondreSupprimerDans le passé, les périodes de faibles dépenses d'investissement dans le secteur de l'énergie ont été suivies d'une augmentation des flux de trésorerie. Mais il existe de sérieux obstacles structurels qui pourraient empêcher ce cycle de se reproduire aujourd'hui.
Certes, certains habitants - de nombreux vétérans de l'industrie de l'énergie - ne sont pas encore prêts à abandonner le combat. Alors que la jeune génération reste obsédée par la nécessité de "diversifier" l'économie locale loin des combustibles fossiles, les anciens restent sceptiques - et avec raison.
Dans son dernier article sur cette tendance, Bloomberg a interviewé Morse Haynes, un responsable local chargé du développement économique à Andrews, au Texas, qui a expliqué que l'énergie était l'épine dorsale de sa communauté. Et il pense que cela restera le cas pour les décennies à venir.
Les récentes fluctuations volatiles du marché pétrolier nous rappellent brutalement que même si les prix remontent, la prochaine chute pourrait être imminente. La situation géopolitique actuelle rend la contradiction encore plus aiguë. Si l'invasion de l'Ukraine par la Russie signifie des interruptions prolongées de l'approvisionnement énergétique dans les mois à venir, le monde deviendra encore plus dépendant du pétrole américain. Mais dans l'ensemble, les gouvernements du monde entier se sont engagés à se sevrer des combustibles fossiles, et certains analystes affirment que le pic de la demande de pétrole pourrait devenir une réalité d'ici une décennie.
Pour les petites communautés pétrolières américaines, trouver le bon moment peut faire la différence entre perdre le dernier grand boom et se transformer en ville fantôme. L'enjeu n'est pas seulement des centaines de milliers d'emplois aux États-Unis, mais aussi plus de 138 milliards de dollars générés chaque année par les recettes fiscales des localités, des États, des tribus et du gouvernement fédéral.
Morse Haynes, 63 ans, dirige le développement économique d'Andrews, au Texas. Ayant passé toute sa vie dans ou autour du bassin permien, Haynes sait ce que l'industrie signifie pour sa ville de près de 15 000 habitants, et il n'est pas prêt à passer à autre chose.
"Une grande partie de notre communauté, c'est juste qui nous sommes. Toutes ces entreprises, elles sont ici à cause du champ pétrolifère", a déclaré Haynes. "Nous pensons toujours que les combustibles fossiles seront là pendant un certain temps."
Mais à l'autre extrémité du spectre, nous avons le fils sportif de Haynes Apple Watch, qui a une vision radicalement différente de sa communauté qui est construite autour de la "preuve du futur" en apportant plus d'énergies renouvelables.
Mais le fils de Morse, Heath Haynes, voit les choses différemment. Il a suivi les traces de son père et est également en charge du développement économique d'une petite ville de l'ouest du Texas. Mais contrairement à papa, Heath a les yeux plus loin sur le terrain.
RépondreSupprimer"Nous avons tout le temps des conversations comme ça, des allers-retours", a déclaré Heath, 29 ans. Arborant une montre Apple et un pantalon gris, Heath ne s'habille pas vraiment comme un cow-boy. Ses yeux s'illuminent d'anticipation lorsqu'il parle de vouloir « pérenniser » sa communauté de Denver City, du nom d'une compagnie pétrolière, et non de la capitale du Colorado. Il est impossible de manquer les dizaines de puits bruts rouillés dispersés dans la ville, même se heurtant à l'hôtel de ville - au coucher du soleil, les têtes branlantes des pumpjacks se découpent à l'horizon, comme un troupeau d'ânes broutant dans les plaines ouvertes.
Le jeune Haynes voit un potentiel d'investissement dans des projets ESG comme les parcs éoliens. Bien sûr, ceux qui ont enduré la vague de froid du Texas en 2021 qui a tué des dizaines de personnes dans l'État alors que les températures glaciales ont fait des ravages sur l'infrastructure énergétique de l'État ne devraient que trop bien se rappeler comment cette stratégie a fonctionné jusqu'à présent.
- voir carte sur site - (localisation des nappes par technologie scalaire)
Source : Bloomberg
Pour la vieille garde, se concentrer sur les énergies renouvelables au détriment du pétrole et du gaz équivaut à « regarder dans l'abîme ».
Pour Heath, penser à passer au solaire ou à l'éolien et planifier le jour où le pétrole ne soutiendra plus ces coins des États-Unis peut ressembler un peu à une aventure. Pour son père, Morse, c'est plus comme regarder dans l'abîme.
"C'est en quelque sorte lui qui parle de:" Eh bien, cela n'arrivera jamais, nous n'allons jamais faire ça "", a déclaré Heath à propos de son père. "Je me dis : 'Il y a des opportunités là-bas.'"
Et alors que l'industrie des combustibles fossiles tente de se rallier pour « un dernier boom », la gravité de la dernière récession a créé des inefficacités structurelles, l'une des plus vexantes étant la pénurie de main-d'œuvre.
RépondreSupprimerPendant un siècle, le pétrole a essentiellement fait le bien dans ces régions (malgré les baisses occasionnelles). Et dans l'immédiat, les choses semblent toujours prospères.
Le géant pétrolier de Houston, Halliburton Co., prévoit un boom pluriannuel, et de nombreuses entreprises ont déclaré qu'il était difficile d'embaucher suffisamment de travailleurs. Les perturbations de l'énergie éolienne et solaire signifient que la transition énergétique a connu son premier grand revers. Et même l'administration du président Joe Biden, qui a fait campagne sur des promesses de lutte contre le changement climatique, a signalé qu'elle ne gênera pas les entreprises qui souhaitent augmenter la production de brut en ce moment.
Au milieu d'un boom, il est difficile de voir pourquoi une ville devrait commencer à tourner le dos au pétrole. Mais cette myopie pourrait laisser ces communautés destinées à subir le sort qui a frappé les villes charbonnières des années plus tôt, la transition énergétique mondiale menaçant d'aveugler cette bande des États-Unis avec un énorme et dramatique buste.
De tous les principaux États producteurs d'énergie aux États-Unis, le Texas a le plus à perdre d'une transition à long terme loin de l'industrie des combustibles fossiles. La révolution ESG planifiée par Fink et une coterie de banques de Wall Street (qui hésitent désormais à prêter à toute entreprise qui ne respecte pas leurs normes ESG strictes) pourrait priver l'État de milliards de dollars de recettes fiscales par an.
Mais c'est le Texas qui se démarque comme ayant le plus à perdre. Même après une diversification rapide de son économie au cours des dernières décennies, l'État génère toujours près de 15 milliards de dollars par an à partir de combustibles fossiles, le plus élevé du pays. Cela représente environ 7% de tous les revenus autonomes des États et des collectivités locales, selon les données de Resources for the Future.
Autrement dit, si le pétrole disparaît, cela laisserait le Texas avec des trous béants pour le financement qui irait normalement aux écoles, aux hôpitaux et aux services publics. D'ici 2050, le pire scénario pourrait signifier un déficit budgétaire annuel de 5,8 milliards de dollars pour la seule éducation de la maternelle à la 12e année, selon une étude du Baker Institute de l'Université Rice.
Déjà, les politiques de l'administration Biden contribuent à ces déséquilibres en rendant difficile le recrutement de travailleurs, qui craignent que l'administration n'ait aucune intention de tenir sa promesse qu'aucun emploi ne sera perdu pendant la transition loin des combustibles fossiles. La demande pour ces travailleurs est plus élevée qu'elle ne l'a été depuis des années. Et pourtant, les effectifs dans le secteur pétrolier américain restent encore environ 40 % en dessous des niveaux record de 2014, à 315 700 travailleurs aujourd'hui.
RépondreSupprimerPour empêcher leurs communautés de se transformer en "villes fantômes", des habitants plus âgés comme l'aîné Haynes - qui se souvient trop bien du crash énergétique des années 1980 - en sont venus à accepter que l'industrie des énergies renouvelables pourrait créer une bouée de sauvetage potentielle, même s'il ne le fait pas. Je suis d'accord avec le point de vue de la jeune génération selon lequel l'économie locale doit inévitablement se détourner des combustibles fossiles. L'aîné Haynes craint que la «révolution verte» ne fasse finalement paraître la crise des années 1980 douce en comparaison.
"Tout d'un coup, il y a 2 000 personnes de moins", a-t-il déclaré. "Cette ville s'est effondrée."
Mais l'un des problèmes majeurs des énergies renouvelables est qu'elles ne créent tout simplement pas autant d'emplois que les combustibles fossiles, même si de nombreuses communautés dominées par l'industrie des combustibles fossiles figurent également parmi les zones les plus compétitives pour la production d'énergies renouvelables.
- voir carte sur site - (localisation des nappes par technologie scalaire)
Source : Bloomberg
Alors que Wall Street utilise la guerre en Ukraine pour justifier une «diversification» supplémentaire loin du pétrole et du gaz, la vieille idée selon laquelle les prix élevés se corrigent d'eux-mêmes est confrontée à un sérieux test. Et à première vue, le peuple américain en paiera le prix.
https://www.zerohedge.com/energy/why-surging-energy-prices-wont-save-americas-energy-boom-towns-becoming-ghost-towns
Le pétrole est abiotique car sa combustion contribue à émettre des gaz qui en reconstituent la matière première. Tous les gaz (émission de notre magma) qui sont dans l'atmosphère et son partis du même endroit se recyclent et tous les gaz se ré-équilibrent autour de la planète depuis des milliards d'années.
SupprimerIl n'y a donc AUCUNE CRAINTE à voir une 'disparition' du pétrole comme du charbon, le pétrole sera toujours là. Malheureusement, certaine personnes (très fortunées) et atteintes d’Alzheimer (T. Boone Pickens) avait investi sa fortune colossale dans les éoliennes proposées par le kenyan ObamasquéÔhéÔhé ! Hahahaha ! Pchtt ! Tout perdu ! HAhahaha !