Big Pharma est en train d'enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
Xavier Bazin Santé Corps Esprit mer., 10 mar. 2021 22:58 UTC
Longue lettre de Xavier Bazin, qui contient quelques preuves supplémentaires, pour ceux qui douteraient encore ! Big Pharma est en train d'enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
Cher(e) ami(e) de la Santé, Si vous pensez encore qu'il n'y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit. Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d'un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement. Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :
Il n'a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ; Les tests préliminaires ne montrent pas d'efficacité probante... et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ; Il doit être prescrit à l'hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu'il n'a de chances d'être efficace qu'au début de l'infection ; Et pour couronner le tout, c'est le genre de médicament qui favorise l'apparition de nouveaux variants[1]. Bref, il n'y a vraiment aucune bonne raison d'accorder une « autorisation temporaire d'utilisation » à ce médicament.
Mais c'est pourtant ce que vient de faire l'Agence du Médicament. « Une autorisation temporaire d'utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c'est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux. Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?
Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.
Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés. Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui. Mais ici, on en a appris de belles !
Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.
Or, tenez-vous bien[3] : Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d'Emmanuel Macron ; Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l'Elysée ; Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex. Comme cela a été résumé sur twitter : « Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l'épouse d'un député LREM (3), la mère de l'adjoint au chef de cabinet de l'Élysée (4) et de sa conseillère santé (5). » [4] Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l'agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France !! Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.
Mais ce qui est beaucoup plus grave, c'est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies. Et « en même temps », le gouvernement refuse l'efficace ivermectine à 8 euros !
Croyez-le ou non, mais l'ivermectine n'a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d'utilisation » (RTU). Elle ne peut donc toujours pas être prescrite largement par les médecins contre la Covid-19.
Comme je vous le dis depuis des mois, c'est pourtant un remède à l'efficacité extraordinaire contre la Covid-19.
Plus de 40 études scientifiques ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon, à tous les stades de la maladie : en prévention, dès le début de l'infection, et même à l'hôpital.
Des grands médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur : L'Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l'efficacité hors norme de l'ivermectine devant le Sénat américain[5] ; Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d'expert de 105 pages en faveur de l'ivermectine[6] ; Le Dr Andrew Hill, consultant pour l'Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d'études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %[7] ; Au Japon, l'association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament[8]. En France, c'est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l'efficacité de l'ivermectine[9].
Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d'excellents résultats : L'État indien Uttar Pradesh, qui a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d'ivermectine et de zinc ; Au Mexique, l'État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l'épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l'ivermectine ; Tout récemment, dans l'Union européenne, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement. Mais dans la plupart de pays occidentaux, sous influence de Big Pharma, RIEN.
Il y a quelques semaines, à l'Assemblée nationale, le ministre Olivier Véran s'est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet.
La député Wonner avait courageusement interpellé le Ministre sur l'ivermectine... et Olivier Véran lui a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l'eau de javel, en référence à Trump !
Il a fallu que des associations traînent l'Agence du Médicament devant les tribunaux pour qu'elle daigne accepter d'examiner le dossier de l'ivermectine[10] !
Et le pire, c'est que je pense déjà connaître la réponse de l'Agence, prévue pour fin mars : malgré l'avalanche de preuves scientifiques en faveur de l'ivermectine, il est à craindre que l'Agence du Médicament lui oppose un refus - comme elle a opposé un refus injustifié pour l'hydroxychloroquine.
Car les mêmes manipulations sont à l'œuvre : corruption au plus haut niveau et manipulation de la science.
Lisez-bien ce qui suit : ce qui s'est passé sur l'hydroxychloroquine est en train de se reproduire, sous nos yeux !!!
Je suis sincèrement sidéré, en plus d'être révolté, car l'ivermectine était une cible beaucoup plus difficile à balayer que l'hydroxychloroquine.
Je vais vous expliquer pourquoi.
Il était pourtant beaucoup plus difficile de nier l'intérêt de l'ivermectine !
Mais commençons par les points communs entre l'hydroxychloroquine et l'ivermectine : Les deux sont des vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l'OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde ; Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées - dans certains pays, ils sont même en vente libre, sans ordonnance ; Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, parce que ce sont des médicaments génériques : aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits avec ces molécules ; Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l'hôpital, donc une fois que l'état du patient s'est détérioré, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine peuvent être données par des médecins généralistes dès les premiers symptômes ; Et, contrairement aux vaccins et autres médicaments « innovants » et hors de prix, ces deux médicaments peuvent être facilement fabriqués en masse et distribués à toute la planète très vite, sans retard ni discrimination. Bref, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine sont, sur le papier, des remèdes parfaits pour faire face à une épidémie mondiale comme la Covid-19.
Mais l'ivermectine présente aussi des qualités assez nettement supérieures à l'hydroxychloroquine : L'ivermectine est encore plus sûre que l'hydroxychloroquine L'hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage... ce qui n'est pas le cas de l'ivermectine : avec ce médicament, on n'a même pas décelé d'effet indésirable à 10 fois la dose habituelle[11] !
Par ailleurs, dans de très rares cas (1/10 000), l'hydroxychloroquine peut provoquer un trouble du rythme cardiaque - on ne connaît pas de problème de ce type pour l'ivermectine !
Il n'y a donc strictement rien à perdre et tout à gagner (des hospitalisations à éviter et des vies à sauver !) à prescrire massivement l'ivermectine en cas d'infection au coronavirus. L'ivermectine est nettement plus efficace que l'hydroxychloroquine Quoi qu'en disent BFM TV ou l'AP-HP, il est clair que l'hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement. C'est la conclusion qui ressort de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde[12], sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille.
Mais cette efficacité n'est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l'hôpital.
C'est déjà beaucoup mieux que rien, évidemment, et il était criminel d'interdire ce médicament.
Mais avec l'ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires : En prévention, l'ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n'importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d'infection ; En traitement, l'ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu'à 75 % ! C'est la conclusion des méta-analyses qui ont été réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill[13] comme celle du Dr Pierre Kory[14].
Il y a même eu quelques articles de presse sur cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times[15] :
- voir sur site -
Ou dans le Daily Mail[16] :
- voir sur site -
(Un médicament qui traite les poux et la gale pourrait réduire la mortalité du Covid jusqu’à 75 %, selon une étude) Et l'ivermectine a un dernier atout dans sa manche : L'ivermectine montre, sans doute possible, une réduction de la charge virale Cerise sur le gâteau, contrairement à l'hydroxychloroquine qui agit de façon différente sur la Covid-19, l'ivermectine a un effet direct et évident sur la « charge virale ».
Or la charge virale est un indicateur d'efficacité que les biologistes aiment bien, car on peut facilement le mesurer : cela permet de savoir si, grâce au médicament, vous avez moins de virus dans votre corps - et si c'est le cas, c'est la preuve qu'il a une action bénéfique !
Or sur ce sujet, TOUTES LES ÉTUDES montrent un effet majeur et sans équivoque de l'ivermectine.
J'invite les spécialistes à jeter un œil au tableau ci-dessous :
- voir sur site -
Toutes ces études randomisées montrent une réduction de la charge virale, statistiquement significative. Il est donc évident pour toute personne de bon sens, qu'il faut prescrire massivement l'ivermectine, sans attendre une seconde.
Il y a encore quelques semaines, les sceptiques de mauvaise foi disaient se méfier des études menées dans des pays comme l'Égypte, la Turquie, l'Argentine, le Nigeria ou le Bangladesh. Mais tout récemment en Israël, pays phare de la médecine moderne, une étude parfaitement menée, par un professeur renommé (le Pr Schwartz), a montré une réduction de la charge virale multipliée par 3 au 6ème jour, un résultat extraordinaire[17] !
Bref, en apparence, il paraît difficile de nier l'efficacité et l'innocuité de l'ivermectine... et IMPOSSIBLE de faire croire à son inefficacité et à sa dangerosité, comme cela a été fait avec l'hydroxychloroquine.
Et pourtant, c'est ce qui est en train de se passer.
Comme en 2020 avec l'hydroxychloroquine, interdite au profit du remdésivir inefficace à 2 000 euros... l'année 2021 commence par l'autorisation du bamlanivimab inefficace à 1 000 euros... et le refus de l'ivermectine !
C'est fou, mais les méthodes qui ont permis d'écarter l'hydroxychloroquine sont méthodiquement appliquées contre l'ivermectine :
Méthode 1 : censurer les études favorables !
Le complot - j'ose le mot - est évident avec ce qui est arrivé au Dr Kory.
Le Dr Kory et plusieurs de ses collègues ont rédigé un article de synthèse sur l'ivermectine, concluant bien sûr à sa très forte efficacité contre la Covid-19. Ils ont transmis leur article pour publication à un journal médical de premier rang, Frontiers of Pharmacology. Leur article a été évalué de façon très stricte, par trois grands experts mondiaux, dont deux membres de l'autorité de santé américaine (FDA). Ces évaluateurs ont examiné l'article et donné leur feu vert à sa publication, car sa rigueur scientifique était incontestable. En janvier, la revue Frontiers of Pharmacology a donc annoncé la publication prochaine de l'article, et affiché le résumé de cet article sur son site Internet. Normalement, à partir du moment où les experts commandités par la revue ont validé l'article, plus rien ne peut s'opposer à sa publication.
Plus rien... sauf des pressions et du lobbying au plus haut niveau.
De façon hallucinante, la revue Frontiers of Pharmacology a annoncé il y a quelques jours qu'elle ne publierait pas cet article !
C'est du jamais vu.
Le Dr Kory est sous le choc.
Lui qui refusait depuis le début d'accorder du crédit aux « théories du complot » impliquant Big Pharma, il a été forcé de se rendre à l'évidence ! « J'ai essayé jusque-là d'être juste et généreux (NDLR : c'est-à-dire de ne pas voir de « complot » contre l'ivermectine), mais là, c'est clairement de la censure, il n'y a pas d'autre explication possible.
Il est indéfendable en science de rejeter un article revu par les pairs et accepté pour publication après trois cycles d'examen par des experts du sujet.
C'est inadmissible. Inadmissible. »[18] J'aimerais que vous mesuriez l'importance et l'ignominie de ce qui est en train de se passer. Un traitement ultra-efficace contre la Covid-19 est en train d'être censuré, à nouveau. Il faut bien comprendre les conséquences de la censure de cet article.
Le processus « normal » est de publier des essais dans des revues médicales de premier plan - et c'est généralement sur ces articles que se basent les autorités pour trancher.
Donc si les grands journaux médicaux, sous influence de Big Pharma, refusent de publier les articles favorables à un médicament, cela a énormément de poids dans la décision finale des autorités.
Et c'est exactement ce qui se passe avec l'ivermectine.
Méthode 2 : éviter de publier les études favorables !
Comme l'a expliqué la Dr Tess Lawrie, chercheuse indépendante et sans conflit d'intérêts : « Il y a tout un tas d'étude sur des sites de pré-publication et les chercheurs ont toutes les peines du monde à faire publier leurs études sur l'ivermectine.
Ce qui est arrivé avec l'étude du Dr Kory est sans précédent.
Il se passe donc quelque chose de très très louche. Des personnes ou des organisations très puissantes empêchent la diffusion des informations sur l'ivermectine. »[19] Dans le cas du journal Frontiers of Pharmacology, il leur a fallu censurer en catastrophe un article favorable à l'ivermectine, déjà approuvé pour publication. Mais habituellement, la manipulation est plus facile et moins visible : il suffit de ne pas approuver une étude pour publication ! Comme ça, les auteurs peuvent difficilement crier à la censure : il y a toujours des raisons valables d'accepter ou refuser une étude.
C'est ce qui s'était passé avec le Pr Raoult. Il a réalisé une étude montrant l'intérêt de son protocole sur près de 7 000 patients et a essayé de la publier dans The Lancet, journal très prestigieux (mais corrompu).... lequel a non seulement refusé de le publier, mais choisi à la place de publier le fameux article frauduleux concluant faussement à l'inefficacité et même à la dangerosité de l'hydroxychloroquine.
Dans le cas le Pr Raoult, grâce à sa réputation internationale, il a fini par pouvoir publier ses études dans un autre journal médical. Mais dans le cas des études sur l'ivermectine, dont beaucoup ont été réalisées par des pays en développement (Egypte, Iran, Pakistan, etc.), il est très facile aux journaux médicaux de refuser leur publication, sous des prétextes plus ou moins fallacieux.
Et c'est ainsi que vous avez des idiots utiles, journalistes ou médecins, qui vous disent que l'ivermectine ne marche pas, simplement parce que les essais cliniques favorables n'ont pas tous été publiés dans des revues médicales de premier plan.
C'est ce qu'a fait « AFP factuel »[20], par exemple, dans un article d'une incroyable mauvaise foi, qui cite la Société française de pharmacologie et de thérapeutique : parmi les arguments évoqués contre l'ivermectine, il est indiqué que les essais cliniques sont « dans la grande majorité des prépublications non validées par leurs pairs »[21].
Je répète que c'est un argument fallacieux : n'importe quel expert digne de ce nom est capable d'analyser une étude tout seul, sans avoir besoin qu'elle soit publiée dans une revue.
Et ce n'est pas fini.
Pour enterrer définitivement l'ivermectine, il faut aussi publier très vite, dans de grands journaux, des études qui lui sont défavorables, au moins en apparence !
Méthode 3 : vite publier des études « défavorables » dans des journaux prestigieux
Rappelez-vous qu'il s'est passé la même chose avec l'hydroxychloroquine.
Toutes les études en traitement précoce aboutissaient à des résultats favorables à l'hydroxychloroquine.
Mais faute de patients en nombre suffisant, ces résultats n'étaient pas statistiquement significatifs - ce qui veut dire qu'on ne pouvait pas conclure avec certitude à leur efficacité. Mais plutôt que de dire cela - « le signal est positif mais on ne peut pas conclure avec certitude » - les auteurs en conflit d'intérêts concluaient à l'inefficacité du traitement !
Et ces articles-là étaient immédiatement publiés, dans les revues les plus prestigieuses, et cités comme la preuve que l'hydroxychloroquine ne marchait pas.
Avec l'ivermectine, cela recommence.
Il faut dire qu'il est très facile d'obtenir un résultat « négatif » en apparence.
Il existe une recette simple, déjà éprouvée avec l'hydroxychloroquine : il suffit de tester un remède sur des patients jeunes et en bonne santé.
Comme tous, ou presque, vont guérir de la Covid-19 sans problème, il est impossible d'avoir un résultat probant.
Et c'est ce qui vient de se passer avec un essai clinique colombien publié dans le JAMA, journal prestigieux mais corrompu par Big Pharma. Les auteurs de l'article eux-même sont en conflit d'intérêts majeurs, avec de l'argent reçu par plusieurs grands laboratoires. Dans leur étude, ces chercheurs ont donné de l'ivermectine a des patients positifs à la Covid-19 âgés de 37 ans en moyenne - donc très jeunes, et peu à risque. Puis, ils ont regardé l'état des patients au bout de 21 jours et... sans la moindre surprise, ils n'ont pas trouvé de différence majeure entre ceux qui ont reçu le médicament et les autres.
Forcément, la plupart ont guéri sans problème ! Et les auteurs concluent faussement à l'inefficacité de l'ivermectine !
Immédiatement, cette fausse étude a été bien relayée : le New York Times a publié un article sur « l'échec » de l'ivermectine, et sera sans doute suivi par les journaux français... ainsi qu'Olivier Véran pourra lui aussi brandir cette étude, comme il le faisait avec les études contre l'hydroxychloroquine !
Mais une fois de plus, cette « étude » est une énorme manipulation.
Sans même parler de ses défauts méthodologiques énormes, cet essai clinique est en réalité favorable à l'ivermectine car les patients sous ivermectine : Ont été moitié moins nombreux à connaître une « détérioration » de leur état, selon 8 indicateurs ; Et ont été moitié moins nombreux à recevoir de l'oxygène (à domicile). Comme toujours, ces résultats ne sont pas « significatifs statistiquement », faute de patients en nombre suffisant.
Mais ils sont positifs et parfaitement cohérents avec les autres études sur l'ivermectine !
Problème : une fois de plus, on monte en épingle comme « négative » une étude peu concluante statistiquement, mais globalement positive !
Et tous les corrompus et idiots utiles du système vont pouvoir vous dire en chœur, « vous voyez, il n'y a pas de complot, l'ivermectine ne marche pas ! ».
Alors qu'il ne fait aucun doute que l'ivermectine est très efficace contre la Covid-19 !
Plus de 20 études randomisées le prouvent !
Des médecins du monde entier observent de leurs yeux son efficacité, avec des patients qui s'améliorent en quelques heures, après la prise du traitement !
La mortalité a chuté dans les États et les régions qui ont massivement utilisé ce médicament. Cette omerta, cette censure et ce sabotage, c'est CRIMINEL, HONTEUX, INSUPPORTABLE. Transmettez cette lettre autour de vous.
On ne peut pas accepter, une nouvelle fois, la censure d'un traitement qui marche.
Bonne santé,
PS : DERNIÈRE MINUTE - les médecins courageux commencent à se multiplier, c'est heureux !
Tout récemment, le Pr Pierre-Jean Guillausseau, ancien chef de service à l'hôpital Lariboisière et professeur émérite à l'université Paris 7, a examiné les études en présence et conclu[22] : « Je termine une revue sur Ivermectine et COVID-19 à paraître dans Horizons&Thérapies.
Les résultats des trois méta-analyses sont tous concordants et mon analyse critique de 3 essais randomisés et contrôlés de prévention et de 20 essais randomisés et contrôlés de traitement permet de conclure sans discussion à une diminution de 92% du risque de transmission en prophylaxie par l'ivermectine et à une diminution de la mortalité de 75%, ainsi qu'à une diminution significative de la durée d'hospitalisation et du délai de guérison grâce au traitement par l'ivermectine de patients atteints d'une COVID-19... et pourtant ce traitement n'est ni recommandé ni même autorisé (quoi que nous ayons le droit de prescrire hors AMM sous certaines conditions).
Il faut savoir que l'Ivermectine n'a pas d'effets secondaires.
Message à nos politiques et à nos autorités de santé: de grâce, d'urgence donnez ou faites donner une RTU (Recommandation Temporaire d'Utilisation) à l'Ivermectine ! »
Pourquoi le virus (corona) ne peut être qu'à perpétuité ? Parce qu'il existe depuis 10 000 ans et existera encore dans 10 000 ans !
Mais il y a virus et virus comme il y a corona et corona. Ils se ressemblent tous ! Et, comme les laboratoires n'ont pas de compteur Geiger capable de tester la microscopie, ils leur est impossible de savoir lequel est actif et lequel est inactif.
Reprenons: Le virus est une poussière irradiante dont le pouvoir d'émission (comme une pile ou batterie) est limité à 3 semaines. Or, il y a des kilomètres de milliards de virus qui flottent dans l'air et, les 'plus vieux' ont l'âge du monde ! Et, même s'ils sont inactifs et donc parfaitement inoffensifs comme le sont les poussières de terre ou les grains de sable, ils sont dans l'air. Ils tombent au sol en cas de pluie, de neige ou de brouillards puis, dès que le sol est sec, l'eau évaporée, ils s'envolent au premier coup de vent ! Ils font ainsi des millions de fois le tour de la Terre.
L'objectif du Plan Dépopulation n'est pas le nouveau-nouveau-nouveau virus (qui change chaque mois) et qui n'arrive pas (en létalité) à la cheville d'une grippe saisonnière mais d'entretenir la peur. La peur pour que des idiots se fassent vacciner (vaccin létal) et maintenir que les morts ne sont pas suite aux vaccins mais aux virus !
Le virus coupable (appelé 'corona' par ressemblance) n'a TOUJOURS PAS ÉTÉ IDENTIFIE ! Donc: IMPOSSIBILITÉ DE PRODUIRE UN VACCIN SUSCEPTIBLE DE L’ÉLIMINER ! C'est pourquoi la TOTALITÉ des vaccins proposés échoue. Ils échouent aussi parce qu'il est impossible de mettre au point un vaccin en moins de 3 semaines et, de plus, chaque mois c'est un NOUVEAU virus (qui n'a rien à voir avec les précédents) qui est largué !
Du jamais vu dans l'histoire de l'humanité ! Des virus qui descendent même par temps secs (été) !
Je rappelle qu'il n'EXISTE PAS de masque ANTIVIRUS, le masque dit 'le plus fin' est le N95 ou FFP2 ('bec de canard') et a un maillage de TROIS MICRONS tandis que le virus ne mesure que ZÉRO MICRON VIRGULE UN à ZÉRO MICRON VIRGULE CINQ ! Donc: Il passe librement !
Nous respirons toutes et tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 virus ou microbes par minute et 2 MILLIONS en activité physique. D'où l'inutilité de superposer des masques ! 3µ + 3µ + 3µ + 3µ + 3µ + 3µ = 3 MICRONS !
Donc, lors de 'tests' RT-PCR, sont examinés des millions (milliards ?) de virus ou microbes et, comme vous avez forcément respiré du corona (même vieux de 10 000 ans), ils vous diront forcément que vous êtes porteur ou porteuse du virus ! Car, ils ne peuvent pas dire si le virus est actif ou inactif ! C'est donc: à la tête du client et du chiffre (quota journalier) demandé !
Bactéries et virus: un réseau de relations dans nos intestins
Adrien techno-science.net jeu., 11 mar. 2021 16:00 UTC
L'équilibre du microbiote intestinal humain est crucial pour la santé. Il se compose de centaines d'espèces bactériennes et de phages (des virus qui n'infectent que les bactéries).
- voir dessin sur site -
Réseau d'interactions entre les phages (en bleu) et les bactéries (en vert) présent dans un microbiote humain. Les traits représentent l'assignation d'un phage à son hôte bactérien.
Une équipe de recherche, comprenant des scientifiques du CNRS et de l'Institut Pasteur, a caractérisé avec une précision sans précédent les réseaux d'interaction phages-bactéries du microbiote de dix individus sains. Les scientifiques ont détecté plusieurs centaines de génomes de bactéries et de phages et identifié les milliers d'interactions les liant grâce à la quantification des contacts entre les molécules d'ADN des virus et de leurs hôtes.
Cette méthode a l'avantage de fournir des données exhaustives à partir de très peu d'échantillons biologiques. Les résultats ont ensuite été analysés avec des algorithmes semblables à ceux appliqués à l'étude des communautés d'individus sur les réseaux sociaux. La mise en lumière de ce panorama de relations entre bactéries et phages pourrait s'appliquer à des thérapies impliquant le microbiote intestinal, telles que la transplantation fécale et la phagothérapie.
L'approche utilisée dans l'étude, récemment parue dans eLife, pourrait également déboucher sur des analyses plus précises des écosystèmes terrestres et marins.
Bibliographie :
MetaHiC phage-bacteria infection network reveals active cycling phages of the healthy human gut. Martial Marbouty, Agnès Thierry, Gaël A. Millot et Romain Koszul. eLife, le 26 février 2021. DOI: 10.7554/eLife.60608.
Au Québec, des parents d'élèves se rebiffent contre le port du masque obligatoire pour leurs enfants
13 mars 2021, 22:58
Depuis le 8 mars au Québec, des parents refusent d'envoyer leurs enfants à l'école pour protester contre le port du masque obligatoire pour les mineurs âgés de 6 à 12 ans. En France, des familles ont saisi le Conseil d'Etat sur cette question.
Au Québec, depuis le 8 mars, des parents d'élèves protestent ouvertement contre le port du masque chez les élèves du primaire (enfants âgés de 6 à 12 ans) en refusant d’envoyer leurs enfants à l’école. A l’origine de cette mobilisation : le Collectif-Parents Québec qui regroupe environ 2 500 parents d'élèves et qui a lancé le mouvement «Après la relâche, je garde mon enfant à la maison».
Réagissant le 9 mars sur cette décision de ne pas envoyer leurs enfants à l'école, le Premier ministre du Québec, François Legault, a déclaré qu'il trouvait ça «tellement triste» que des parents d'élèves puissent priver leurs enfants d'aller à l'école parce que des parents ne sont pas d'accord avec «les mesures de santé publique». Interrogée le 10 mars par le Journal de Québec, l'une des fondatrices de l'organisation parentale, Pascale Montesano, a expliqué que «plusieurs de nos membres vont rester en grève jusqu’à la fin de la semaine, mais il y en a d’autres qui ont déjà entrepris les démarches pour faire de l’école à la maison».
Le collectif ne «comprend pas» pourquoi le Premier ministre ne répond pas sur les mesures alternatives jugées moins néfastes sur la santé des jeunes comme l'installation de purificateurs d'air, l'installation de capteurs de CO2 ou encore la possibilité de faire des demi-classes ou des cours en ligne. Dans son intervention, Pascale Montesano précise également qu'en Grande-Bretagne, pays du variant britannique, le port du masque dans les écoles primaires n'est pas obligatoire.
«On aimerait bien savoir où sont les études qui prouvent que le port du masque ne serait pas nuisible chez les enfants, que ça ne va pas causer des problèmes sur leur santé physique, mentale, ou leur apprentissage», plaide-t-elle en citant l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui explique dans un document que «l’intérêt supérieur de l’enfant, sa santé et son bien doivent être au cœur des préoccupations». Sur internet, des parents d'élèves publient les tests d'oxygénation de leurs enfants
En France, le 13 mars 2021, des parents ont manifesté pour protester contre le port du masque obligatoire à l'école pour les enfants âgés de 6 à 11 ans. Deux collectifs (Les Parents atterrés et Enfance et libertés) ont décidé de déposer un recours en référé devant le Conseil d'Etat contre le port du masque obligatoire pour les enfants de 6 à 11 ans. Ce recours prend notamment appui, selon ces associations, sur «des déclarations de spécialistes faisant autorité dans le domaine scientifique et allant dans le sens des requérants». Un autre phénomène de contestation du port du masque à l'école est apparu sur la toile ces dernières semaines avec la publication, par des parents d'élèves inquiets, des tests d'oxygénation de leurs enfants via un appareil électronique (un oxymètre) qui mesure la saturation en oxygène dans le sang.
Les parents qui publient ces résultats s'alarment d'une chute drastique du taux d'oxygénation du sang de leurs enfants. C'est notamment le cas de l'économiste Philippe Murer, qui s'est étonné le 9 mars sur Twitter, ce qu'il pense être une chute importante de l'oxygénation du sang de sa fille après 3 heures de port du masque. Une méthode de contrôle de l'oxygénation du sang qui semble toutefois perfectible lorsqu'elle est mal utilisée.
Ma fille de retour après 3 heures de cours avec un masque teste sa saturation en oxygène. 75%! Après 5 minutes sans masque 95 %. Il semble que le docteur @cab2626 ait raison. Quand le ministre @olivierveran vérifiera s’il y a bien un gros problème ? RT massif pic.twitter.com/GLu6lObjnx— Philippe Murer 🇫🇷 (@PhilippeMurer) March 9, 2021 De son côté, l'OMS certifie toutefois que les masques ne peuvent provoquer de tels effets même s'ils sont portés durablement : « L’utilisation prolongée de masques médicaux peut être inconfortable, mais elle n’entraîne ni intoxication au gaz carbonique ni manque d’oxygène.» avait-t-elle indiqué.
Le Dr Wodarg et le Dr Yeadon demandent l'arrêt de toutes les expérimentations de vaccination corona et appellent à cosigner la pétition
1 décembre 2020
Le 1er décembre 2020, l'ancien responsable de la recherche respiratoire chez Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le spécialiste des poumons et ancien chef du département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé une demande auprès de l'EMA, l'Agence européenne du médicament responsable de l'ensemble de l'UE. l'approbation du médicament, pour la suspension immédiate de toutes les études vaccinales contre le SRAS CoV 2, en particulier l'étude BioNtech / Pfizer sur BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).
Le Dr Wodarg et le Dr Yeadon exigent que les expérimentations - pour la protection de la vie et de la santé des volontaires - ne soient pas poursuivies jusqu'à ce qu'un plan d'étude soit disponible, adapté pour répondre aux préoccupations importantes en matière de sécurité exprimées par un nombre croissant de scientifiques contre le vaccin et la conception de l’étude.
D'une part, les pétitionnaires exigent que, en raison du manque de précision connu du test PCR dans une étude sérieuse, un séquençage dit de Sanger soit utilisé. C'est le seul moyen de faire des déclarations fiables sur l'efficacité d'un vaccin contre Covid-19.
Sur la base des nombreux tests PCR différents de qualité très variable, ni le risque de maladie ni un éventuel bénéfice vaccinal ne peuvent être déterminés avec la certitude nécessaire, c'est pourquoi tester le vaccin sur des humains est contraire à l'éthique en soi.
En outre, ils exigent qu'il soit exclu, par ex. au moyen d'expérimentations animales, que les risques déjà connus des études précédentes, qui proviennent en partie de la nature des virus corona, peuvent être réalisés. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants:
La formation d'anticorps dits «non neutralisants» peut conduire à une réaction immunitaire exagérée, en particulier lorsque la personne testée est confrontée au vrai virus «sauvage» après la vaccination. Cette amplification dite dépendante des anticorps, ADE, est connue depuis longtemps par des expériences avec des vaccins corona chez le chat, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus sauvage. Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que les humains. Il doit être absolument exclu qu'un vaccin contre le SRAS-CoV-2 puisse déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sinon l'infertilité de durée indéfinie pourrait entraîner des femmes vaccinées.
Les vaccins à ARNm de BioNTech / Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance - cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques potentiellement mortelles à la vaccination.
La durée beaucoup trop courte de l'étude ne permet pas une estimation réaliste des effets tardifs. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d'urgence était accordée et la possibilité d'observer les effets tardifs de la vaccination suivrait. Néanmoins, BioNTech / Pfizer a apparemment soumis une demande d'approbation d'urgence le 1er décembre 2020. APPEL À L'AIDE: Dr. Wodarg et Dr. Yeadon demandent au plus grand nombre de citoyens européens de cosigner leur pétition en envoyant l'e-mail préparé ici à l'EMA.
Nachtrag: Wegen teilweiser Überlastung der Server hier der Inhalt der E-Mail und die Kontaktadressen zum späteren Selbst-Versenden:
Betreff: cosignataire de la pétition du Dr Wodarg, Allemagne, et du Dr Yeadon, Royaume-Uni (soumise le 1er décembre 2020)
Madame, Monsieur, Je cosigne par la présente la pétition du Dr Wodarg et du Dr Yeadon pour soutenir leur demande urgente de suspendre le ou les essais cliniques de phase III du BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42) et d'autres essais. Le texte complet de la pétition du Dr Wodarg et du Dr Yeadon peut être trouvé ici: https://2020news.de/wp-content/uploads/2020/12/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned request with_Exhibits.pdf du Dr Wodarg et du Dr Yeadon immédiatement. Salutations
«Pratiquement tous les indicateurs» montrent que la pandémie fait reculer le développement de l’enfance: UNICEF
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 14 MAR 2021 - 9:55
Il ne fait aucun doute que la pandémie de virus a eu un impact sur la jeune génération, ce qui pourrait les marquer profondément, mentalement et physiquement, pendant des années. Plus d'un an après le début de la pandémie, avertit l'UNICEF, «les progrès ont régressé dans pratiquement toutes les mesures clés de l'enfance».
<< Le nombre d'enfants affamés, isolés, maltraités, anxieux, vivant dans la pauvreté et contraints de se marier a augmenté. Parallèlement, leur accès à l'éducation, à la socialisation et aux services essentiels, notamment la santé, la nutrition et la protection, a diminué >>, Henrietta Fore, Directrice générale de l'UNICEF, a déclaré dans un communiqué.
«Les signes que les enfants porteront les cicatrices de la pandémie pour les années à venir sont indéniables», a poursuivi Fore.
Les dernières données de l'UNICEF rappellent brutalement que la fermeture de l'économie et des écoles pendant une période prolongée est une décision politique erronée. Dans un rare moment mercredi, Anthony Fauci a déclaré à CNN qu'il n'y avait aucune raison scientifique pour laquelle les personnes qui ont reçu le vaccin COVID-19 voient encore leurs libertés restreintes. En outre, il existe de nombreuses preuves montrant que la réponse immunitaire des enfants au virus est meilleure que celle des adultes ». Mais quand même, de nombreuses écoles sont fermées dans le monde ...
Fore a demandé aux gouvernements de placer les enfants «au cœur des efforts de relèvement», notamment en «donnant la priorité aux écoles dans les plans de réouverture».
Voici les résultats de l'UNICEF qui montrent que «pratiquement tous les indicateurs» de progrès pour les enfants se sont inversés sous les verrouillages:
Dans les pays en développement, la pauvreté des enfants devrait augmenter d'environ 15 pour cent. On prévoit également que 140 millions d’enfants supplémentaires dans ces pays appartiennent déjà à des ménages vivant en dessous du seuil de pauvreté.
Les écoles de plus de 168 millions d'écoliers dans le monde sont fermées depuis près d'un an. Les deux tiers des pays ayant des fermetures totales ou partielles se trouvent en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Au moins 1 écolier sur 3 n'a pas été en mesure d'accéder à l'apprentissage à distance pendant que leur école était fermée.
Environ 10 millions de mariages d'enfants supplémentaires pourraient survenir avant la fin de la décennie, menaçant des années de progrès dans la réduction de la pratique. Au moins 1 enfant et jeune sur 7 a vécu dans le cadre de politiques de maintien à la maison pendant la majeure partie de l'année écoulée, ce qui a entraîné des sentiments d'anxiété, de dépression et d'isolement.
En novembre 2020, 6 à 7 millions d'enfants supplémentaires de moins de 5 ans pourraient avoir souffert d'émaciation ou de malnutrition aiguë en 2020, entraînant près de 54 millions d'enfants émaciés, une augmentation de 14% qui pourrait se traduire par plus de 10000 décès d'enfants supplémentaires par mois. - principalement en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. Avec une baisse de 40 pour cent des services de nutrition pour les enfants et les femmes, de nombreux autres résultats nutritionnels peuvent empirer.
Les politiciens et les fonctionnaires non élus ont expérimenté les verrouillages, la distanciation sociale et les retards scolaires sans tenir compte des conséquences à long terme. Jusqu'à présent, selon les recherches ci-dessus, l'impact sur les jeunes générations a été horrible. Nous l'avons déjà mentionné - cela a produit une explosion de la santé mentale au ralenti.
Alors que des milliards de personnes se préparent à une vaccination généralisée contre le COVID-19, un autre problème a surgi. Trois variantes majeures du COVID-19 ont émergé à travers le monde - et des recherches préliminaires suggèrent que ces variantes peuvent être préoccupantes.
Mais, comme l'explique Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, qu'est-ce qui les différencie de la souche originale ?
Les visualisations suivantes répondent à certaines questions clés, notamment quand ces variantes ont été découvertes pour la première fois, dans quelle mesure elles se sont répandues dans le monde et, surtout, leur impact potentiel sur la population.
Un peu de contexte: qu'est-ce qu'une variante ? Avant de plonger, il est important de comprendre pourquoi les virus mutent en premier lieu.
Pour infecter quelqu'un, un virus prend le contrôle d'une cellule hôte et l'utilise pour se répliquer. Mais la nature n'est pas parfaite et parfois, des erreurs sont commises pendant le processus de réplication - ces erreurs sont appelées mutations.
Un virus avec une ou plusieurs mutations est appelé variant. La plupart du temps, les variantes n’affectent pas la structure physique d’un virus et, dans ces cas, elles finissent par disparaître. Cependant, il existe certains cas où une mutation affecte une partie de la constitution génétique d’un virus qui modifie son comportement.
Selon les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis, un changement de comportement peut modifier:
Taux de transmission
Mortalité
Capacité à potentiellement infecter une personne avec une immunité naturelle ou induite par un vaccin
Des recherches préliminaires ont détecté certains de ces changements dans les trois principales variantes du COVID-19 — B.1.1.7, B.1.351 et P.1.
Les 3 principales variantes du COVID-19 Les trois principales variantes sont apparues à des époques différentes et dans différentes parties du monde. Voici un aperçu de chaque variante, quand elles ont été découvertes et dans quelle mesure elles se sont répandues jusqu'à présent.
B.1.1.7 La variante B.1.1.7 a été détectée au Royaume-Uni à l'automne 2020. En décembre 2020, elle s'était répandue dans le monde entier, des cas émergeant en Europe, en Amérique du Nord et en Asie.
- voir tableau sur site -
Actuellement, la variante a été signalée dans environ 94 pays.
Les premières recherches suggèrent qu'il est 50 % plus transmissible que les autres variantes, et potentiellement 35 % plus mortel que le virus standard. Heureusement, des études suggèrent que certains des vaccins existants fonctionnent bien contre cela.
B.1.351 En octobre 2020, la deuxième variante majeure a été découverte - B.1.351. Il a été identifié pour la première fois en Afrique du Sud, mais à la fin de l'année, il s'était propagé au Royaume-Uni, en Suisse, en Australie et au Japon.
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Il y a environ 48 pays avec des cas rapportés, et la recherche suggère que plusieurs des vaccins COVID-19 existants pourraient ne pas être aussi efficaces contre cette variante.
P.1 La variante P.1 a été la dernière à arriver sur les lieux.
Il a été découvert pour la première fois en janvier 2021, lorsque le Japon a signalé quatre cas de la variante, qui a été trouvée chez des voyageurs arrivés du Brésil.
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Environ 25 pays ont signalé des cas de la variante P.1, et les premières recherches suggèrent que cette variante est non seulement plus contagieuse, mais pourrait également avoir la capacité d'infecter des personnes immunisées naturelles qui s'étaient déjà rétablies de la souche d'origine.
Bien qu'il y ait eu des études préliminaires montrant une baisse de l'efficacité des vaccins, certains experts soulignent qu'il est trop tôt pour le dire avec certitude. Plus de données sont nécessaires pour acquérir une compréhension plus approfondie et plus précise.
En attendant, les experts soulignent l'importance de suivre nos stratégies actuelles de santé publique, qui incluent la distance physique, la vaccination, le lavage des mains et l'utilisation de masques.
Contrairement aux microbes (bactéries) qui sont vivants, le virus est une nano-poussière expulsée du magma qui remonte à la surface des eaux par l'air produit/soufflé par la masse ferrique incandescente. Ces nano-particules sont irradiées mais ne conservent leur charges que durant 3 semaines. Il y a donc des milliards de kilomètres de milliards de virus inactifs depuis 10 000 ans qui sont dans l'air que nous respirons.
Nous respirons toutes & tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 microbes ou virus par minute et 2 millions en activité physique.
Mais, là où la nature se questionne est pourquoi y aurait-il de 'nouvelles' nano-particules ? Là où est intervenue Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD), est qu'elle a pu analyser les coronas proposés et décrire que ces 'nouveaux virus' étaient en fait modifiés en laboratoires afin que chacun (qui n'ont qu'une durée de radiation que de 3 semaines) puisse infecter différemment sans qu'un vaccin soit susceptible d'être créé en moins de 3 semaines. Il y en aurait (d'après J.J.Crevecoeur) plus de 3300 différents susceptibles d'être créé sur la même souche. D'où la présence 365 j par an de ces nouveaux virus largués par drones ici ou là.
😎 Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
34 000 tremblements de terre secouent l'Islande en quelques semaines alors que la menace volcanique augmente
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 14 MAR 2021 - 7:35
Le nombre de tremblements de terre augmente rapidement depuis le 4 mars, lorsque nous avons annoncé pour la première fois aux lecteurs qu'une éruption volcanique pourrait se préparer en Islande. Selon le Financial Times, au cours des dernières semaines, plus de 34 000 tremblements de terre ont été enregistrés dans la péninsule de Reykjanes alors que le pays est en «état d'alerte» pour la prochaine éruption volcanique.
- voir carte sur site -
"Jamais auparavant autant de personnes en Islande n'avaient connu autant d'activité sismique", a déclaré à FT Thorbjorg Agustsdottir, sismologue à l'Islande GeoSurvey, gérée par le gouvernement. "Ils en ont assez d'être réveillés et demandent: quand est-ce que ça va s'arrêter ?"
La plupart des tremblements de terre se produisent autour de la péninsule sud-ouest de Reykjanes qui comprend Reykjavík, la capitale de l'Islande, qui abrite 122 000 habitants, l'aéroport international de Keflavík et des infrastructures essentielles.
34 000 tremblements de terre frappent l'Islande en semaines
- voir carte sur site -
Melissa Anne Pfeffer, volcanologue atmosphérique au Bureau météorologique islandais (l'agence nationale de surveillance des volcans), a déclaré que le magma se trouve à un ou deux kilomètres sous la surface; une éruption peut survenir à tout moment.
«L'intrusion de magma faisait environ 7 km de long, jusqu'à 2 km de profondeur mais seulement 1 mètre de large», a-t-elle déclaré.
Evgenia Ilyinskaya, volcanologue à l'Université de Leeds au Royaume-Uni, a déclaré que les tremblements de terre en essaim se produisaient près de Reykjavik et du principal aéroport du pays. Elle a déclaré que les infrastructures essentielles telles que les centrales électriques sont également à proximité.
Le dernier essaim de tremblements de terre a énervé les habitants qui sont constamment réveillés au milieu de la nuit.
"C'est assez ennuyeux ... d'avoir votre maison en mouvement tout le temps", a déclaré Agustsdottir à propos des habitants de la ville de Grindavik qui est la plus touchée par les tremblements de terre.
Le dernier incident majeur a été l'éruption d'Eyjafjallajökull en 2010, qui a provoqué un arrêt massif de l'industrie aérienne mondiale alors que des panaches de cendres circulaient dans l'atmosphère. Si une éruption se produit, cela pourrait être désastreux pour l'industrie alors qu'elle tente de se remettre du ralentissement pandémique.
Voici comment 30 préparateurs se sont adaptés et ce qu'ils prévoient de se passer ensuite
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 MAR 2021 - 22:30 Rédigé par Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,
Il y a beaucoup plus de fou et beaucoup moins d'argent que d'habitude, et comme je l'ai déjà écrit, le visage de la préparation a changé. Il est beaucoup plus difficile (et coûteux) de sortir et de stocker comme nous l'avons fait il y a quelques années, et l'événement auquel nous avons été confrontés a été un événement SHTF à combustion lente qui a lentement et insidieusement enlevé la sécurité financière à des centaines de milliers de personnes. des Américains.
Je me suis demandé comment les autres avaient changé leur façon de se préparer à s'adapter à cette époque. J'ai donc demandé aux membres de notre groupe Moi-Nous s'ils avaient changé leur façon de se préparer et, dans l'affirmative, quels changements ils avaient apportés. Si vous souhaitez rejoindre le groupe, allez ici, répondez à quatre questions et assurez-vous de changer votre photo de profil à partir des images de base de Me-We. Nous ne nous soucions pas non plus de ce que vous modifiez, nous essayons simplement d’éviter que le trafic «bot» ne rôde dans notre groupe.
Voici comment les lecteurs ont changé leur façon de préparer. Avec certains des commentaires, j'ai ajouté un commentaire ou un lien en italique pour plus d'informations.
Eileen:
Je travaille à faire encore plus avec encore moins. J'ai été licencié au début de Covid. Le chèque de paie de mon mari est un peu en baisse. Nous avons observé une fois de plus que le coût des articles régulièrement utilisés montait en flèche. M'apprendre à cultiver plus de produits alimentaires à long terme cette année. À ce stade, Daisy, ne pas abandonner donne l'impression de se préparer, même si c'est juste pour se lever demain et réessayer.
Voici un article sur la façon de continuer lorsque les choses se sentent désespérées. ~ D
Lynn:
Nous nous préparons à bouger. J'utilise mes préparations alimentaires pour voir ce dont nous avons vraiment besoin et ce qui a été difficile à utiliser. Se rapportant principalement à la nourriture et aux produits de première nécessité. Économiser de l'argent pour acheter des préparations fraîches après le déménagement. Nous avons déménagé il y a un an et j'avais un énorme stock qui a dû être déplacé deux fois en deux mois. Je pense qu'il est préférable de l'utiliser plutôt que de le déplacer et de le remplacer par de la nourriture fraîche et de l'eau.
C'est un excellent moyen de faire tourner votre stock et de toujours disposer de produits plus frais. Faites juste attention aux choses qui manquent ou qui sont difficiles à acquérir. Vous ne voudrez peut-être pas encore passer par cet approvisionnement. ~ D
J'ai accumulé au moins un an d'articles essentiels comme du détergent à lessive, du shampoing, du savon pour les mains, du dentifrice, etc. J'utiliserai le test de relance pour ajouter à mon inventaire d'aliments lyophilisés (principalement des protéines) depuis que j'ai 1k livres de nourriture sèche rangées. Je ne sais pas si l’hyperinflation, la guerre ou une autre pandémie peuvent frapper, mais si c’est le cas, l’objectif est de pouvoir passer au moins un an sans quitter la maison.
C'est un objectif fantastique !
Tami:
Après la tempête de neige au Texas, je me prépare principalement à vivre sans électricité. J’ai vécu hors de la grille avant, mais je me suis arrêté, alors je vais y revenir. J'ai également réalisé mon besoin de plus d'eau stockée.
Voici un article sur la préparation des pannes de courant à plus long terme. C’est un excellent point de départ si vous débutez dans la préparation ou si vous avez simplement besoin de vous assurer que vous disposez des éléments dont vous avez besoin. ~ D
Christina:
Se préparer principalement aux bouleversements économiques. Nous avons augmenté le stockage des aliments (un garde-manger en état de marche) en janvier 2020, mais ce n'était pas un problème pour l'épicerie de ma région, alors je me suis un peu relâché. Août 2020, nous avons rassemblé 6 mois de nourriture (encore une fois un garde-manger fonctionnel que j'utilise et que je reconstitue), rembourser les dettes, économiser de l'argent, acheter de l'argent, des munitions, des armes à feu, etc. ou nos revenus diminuent. Jusqu'à présent, nos revenus ont augmenté depuis l'année dernière, mais on ne sait jamais. J'ajouterai que mon garde-manger comprend également des articles personnels / personnels.
Faire le plein de choses autres que la nourriture est vraiment important. Voici une liste d'articles non alimentaires qui peuvent vous inciter à ajouter à vos propres fournitures. ~ D
Vicki:
Nous nous préparons aux troubles civils et à la montée en flèche de l'inflation. Je regarde les courses que j’achète d’habitude monter beaucoup. Nous prévoyons de cultiver plus de légumes et d'ajouter plus d'arbres fruitiers. Nous nous assurons également d'avoir des extras d'outils que nous utilisons et suffisamment de fournitures pour réparer les choses (outils, machinerie, plomberie, électricité, etc.) qui pourraient se briser. Le bois a également augmenté énormément, alors nous en achetons également un supplément.
Avoir des pièces de rechange pour les outils et les équipements essentiels est une préparation vitale et souvent négligée. ~ D
Diane: Tout ce à quoi je peux penser, de la nourriture à la sécurité.
Il est conseillé de garder vos préparations équilibrées et de ne pas vous concentrer trop spécifiquement sur un seul aspect. Toby parle de l'équilibre vital dans cet article. ~ D
Max:
Construire des réseaux et des relations. Le terrain humain n'est pas un «truc».
Voici des conseils pour créer une communauté même pendant une pandémie et assurez-vous de consulter le webinaire à la demande de Selco sur le renforcement de la communauté. ~ D
Susan:
Je pense que l'hyperinflation et l'effondrement possible du dollar sont plus possibles que jamais. J'ajoute des stocks d'aliments en conserve et séchés à mes préparations, en particulier des articles qui devraient devenir exorbitants comme le maïs et le café. J'observe aussi avec impatience mon jardin en attendant qu'il dégèle. La plupart de la neige et de la glace ont disparu, sauf dans les bois.
Voici ce que vous pouvez faire dès maintenant pour vous préparer pour la saison des jardins et voici quelques conseils sur la façon de commencer à planifier votre jardin. ~ D
Je transforme une plus grande partie de ma cour en jardins de légumes / herbes et je conserverai la plupart des produits. Ajout aux produits non périssables quand je vois une bonne vente. Acquérir des compétences de base en matière de survie et d'autosuffisance. Passer à un style de vie plus simple, donc vivre sans les commodités modernes sera moins un choc.
C'est précisément pourquoi mes préparations sont low-tech. ~ D
Stacy:
J'ai survécu au Texas sans blâmer le gouverneur ou le président de m'avoir laissé dans le froid. Nous avons besoin de plus d'eau stockée. J'en avais assez mais j'ai vu que j'avais besoin de plus pour le nettoyage. Besoin de plus grands pots. Nourris 7 personnes facilement car ma maison n'était qu'une avec une table de cuisson à gaz. Besoin d'ustensiles de cuisine pour nourrir 20… et se prépare à faire ma propre soupe populaire. Besoin d'un pot de secours ! Ai-je 100 bougies ? Plus d'huile de lampe. La petite bougie chauffe-plat sous le pot de fleurs a contribué à rendre la pièce plus confortable. Stockez pour cela. Une façon de laver les vêtements. Une façon de prendre une douche chaude et de se laver les cheveux. Préparez un menu, des recettes et des rangements pour les repas sur la cuisinière. Préparez-vous à partager avec la famille. (Je vis sur un complexe familial de 20 membres.) Un moyen de recharger le téléphone. Piles de taille c pour écouter des CD… .plus de CD. Hootch. OTC
Expérience d'apprentissage impressionnante. Je peux certainement vous aider avec des instructions pour ce pot de litière pour chat hors réseau pour les humains. ~ D
Ezra:
Nous travaillons au remboursement des dettes (Dave Ramsey) et des matériaux à vie sans électricité. Nous avons perdu de l'électricité pendant 4 jours pendant la tempête hivernale ici au Texas
Voici quelques articles que vous pourriez trouver utiles concernant la dette (l’un provient directement des stratégies de Dave) et voici un livre électronique sur la gestion des pannes de courant. ~ D
Lynn:
Nous nous concentrons sur notre jardin cette année. Notre objectif est d'être le plus autosuffisant possible en matière de production. Je veux conserver les graines du jardin pour l'avenir. Cependant, nous ne cultivons pas de céréales, de blé et d’avoine. C'est un projet futur.
Voici notre source préférée de semences - vous pouvez également obtenir un planificateur de jardin gratuit à ce lien et c'est une petite entreprise familiale. ~ D
L’argent n’a pas changé pour moi dans le Grand Nord Blanc. J'ai réalisé, cependant, que se préparer pour un événement comme un EMP, c'est essayer de jouer à la loterie de l'apocalypse; mieux vaut considérer les conséquences de tout ce qui vous préoccupe et vous y préparer. Cela vous empêche de faire des hypothèses. (Fait un âne de U et umptions). C'est à dire. au lieu de me préparer pour un PGE, je me prépare à un effondrement de la communication et du transport de marchandises comme la nourriture, quelle qu'en soit la cause. Je suis encore en train d'agrandir mon stockage à l'épreuve des EMP, mais je suis plus préparé à gérer, par exemple, une pénurie de nourriture alors qu'avant mes plans alimentaires ne consistaient qu'à quitter la ville et à rejoindre une ferme complète.
Je pense qu’il y a beaucoup de sagesse dans ce que vous avez dit ici. Beaucoup de gens se concentrent sur une seule chose alors qu'en fait, la plupart des catastrophes sont une série entière de mauvaises choses. Certains liens utiles pourraient être celui-ci sur la fabrication d'une cage de Faraday, celui-ci sur un effondrement des communications et celui-ci sur la pression exercée sur notre système de transport de marchandises.
Meilleur petit pays:
Salut Daisy, je regarde tout depuis début 2018, et le plus frappant est la corrélation entre Q et la Bible !! J'ai fait la plupart de mes préparatifs à l'époque. Nourriture durable, graines (j'ai appris à cultiver des légumes). Tout est fait sous le radar, en particulier Crypto et PM. Les compétences seront le VRAI atout. J’espère qu’un spectateur local de ma chaîne me «kidnappera» parce que les idiots qui n’écouteront pas frapperont à ma porte
OpSec est plus important que jamais! Voici un article qui pourrait aider d'autres personnes qui pensent comme vous à faire des choses sous le radar. ~ D
Kamay:
Pas beaucoup de changement, le cas échéant. Préparé l'effondrement de la société, les pénuries alimentaires et la possibilité d'une panne du réseau. Nous essayons de faire toute l'agriculture, le jardinage, la conservation sans utiliser d'électricité et de gadgets sophistiqués. Nous recyclons, recyclons, faisons avec et vivons en dehors des sentiers battus.
La simplicité est la clé! J'aime ton style :). ~ D
Letia:
J'ai besoin de me préparer pour un jardin! Les fraises reviendront et je recommencerai à mettre en conserve. J'ai besoin de vérifier mes pots. J'ai quelques cas, mais je dois vérifier si les gens reviennent à la normale ou sont encore en conserve. J'ai besoin de pratiquer le tir! Je dois travailler sur la sécurité avec plus de caméras et changer le bouton de verrouillage de ma porte arrière. 🙄
Entraînez-vous définitivement au tir. C'est une compétence périssable. Voici un article sur la création d'un coffre-fort à un prix raisonnable qui pourrait être utile pour l'aspect sécurité. ~ D
Kris:
Prendre soin de mes animaux et prévoit d'élever plus de poulets de chair - donc plus à nourrir. Achat d'aliments en vrac et prix de différentes options d'alimentation, etc.
Avez-vous vérifié la méthode fourragère? J'ai suivi un cours là-dessus quand j'habitais en Californie, mais je n'ai pas mis en place mon propre système parce que nous étions en train de déménager. Voici un très bon article à ce sujet. Le gars avec qui j'ai suivi le cours avait des poulets exclusivement sur le fourrage et en plein air. ~ D
Nous nous préparons à peu près à notre retraite. Ensuite, nous aurons un revenu beaucoup plus faible. Nous avons remboursé toutes nos dettes, sauf ce que nous utilisons sur nos cartes de crédit que nous remboursons tous les mois. Nous avons vendu beaucoup de choses dont nous n’avions pas besoin pour nous débarrasser de la dette. Nous pensons que nous pourrions envisager une autre dépression ou d’autres problèmes économiques. J'ai essayé de cultiver différents légumes pour apprendre à bien le faire. J'ai aussi déshydraté ce que je pouvais et les scellés sous vide dans de grands pots Mason. Je prévois d’apprendre à faire pression sur le bidon cette année afin de pouvoir profiter des ventes dans les magasins de viandes et de légumes qui ne poussent pas ici.
Voici un guide pratique pour la mise en conserve sous pression, et si vous avez un réchaud à dessus en verre, certaines options de mise en conserve sous pression qui fonctionneront pour vous.
Chauffage:
Nous, des Down Under, sommes parfaitement conscients que la politique de votre famille dirigeante ne nous importe plus. La Chine est désormais une menace bien plus grave dans la région du Pacifique. Nous ne raffinons plus non plus le carburant ici, une grande partie provient de Singapour. Nous nous préparons au blocus / interruption des lignes d'approvisionnement, car cela paralyserait à peu près le pays. Nous avons des jardins, des arbres fruitiers et nous nous approvisionnons un peu plus en conserves. Nous ne sommes pas autorisés à stocker plus de deux bidons de carburant. De plus, je me suis assuré de tenir à jour les examens médicaux et dentaires pour la famille, car on ne sait jamais quand ces choses ne seront tout simplement pas disponibles.
Vous soulevez un excellent point concernant les soins médicaux et dentaires. Au cours de l'année écoulée sous les restrictions de Covid, de nombreuses personnes ont vu leurs problèmes de santé s'aggraver car elles n'étaient pas en mesure de rechercher des soins préventifs, ni même de s'occuper des conditions qui se présentaient. Gérer ces choses pendant que nous sommes est vital. ~ D
Shannon:
Je me prépare à l'hyperinflation, aux problèmes de réseau électrique (en raison de catastrophes naturelles) et aux troubles civils. Je vis dans le PNW, donc nous avons eu notre part d’émeutes, de troubles et de mauvais temps. Préparer de la nourriture, des fournitures pour faire face à l'absence d'électricité, essayer d'apprendre à faire face sans électricité. Nous avons vendu une propriété à Ca. et a déménagé ici et a acheté une propriété avec un terrain.
Avec les modifications que vous avez apportées, vous recherchez probablement des suggestions pour devenir plus autonome avec les terres et les nouvelles ressources dont vous disposez. Consultez le manifeste d'autonomie ici. (Certains liens ne fonctionnent plus - nous nous efforçons de suivre!) ~ D
Kate:
Nous prévoyons d'acheter une maison / propriété au cours des prochaines années. Nous avons donc économisé dans la mesure du possible. Heureusement, le covid n’a pas affecté nos revenus. Réduire les voyages en ville. Attendre que le jardin se dessèche et aussi attendre l'arrivée de mes graines. Je vais cultiver principalement pour le stockage en cave cette année… .pommes de terre, courges, carottes, navets, etc. Continuer à acheter des livres papier sur la médecine naturelle, l'artisanat, la recherche de nourriture.
J'ai vraiment eu de la chance et j'ai obtenu des livres d'occasion sur ces sujets lors de ventes. Une fois, j'ai dépensé 100 $ à la vente à un mètre pour acheter chaque livre que la personne vendait parce que son parent décédé avait été dans la conservation des aliments et l'herboristerie. Parlez d'un Motherlode. Une autre mine d'or potentielle pour vous est Thriftbooks, qui a des millions de livres d'occasion à vendre. Si vous êtes nouveau dans la cave à vin, cet article peut être utile. ~ D
J’ai passé l’année dernière à me concentrer sur des situations SHTF potentielles plus petites (de type semaine à mois). Je me sens comme si je suis en bonne forme dans la mesure où cela va. Maintenant, mon objectif est plus à long terme. Je veux mettre en place une production alimentaire durable et continuer à harceler mes enfants sur le changement probable de la monnaie numérique dans les prochaines années, ainsi que sur une augmentation de l'inflation. J'ai prêché pendant des années que notre dépendance à l'égard de la nourriture provenant de l'extérieur de nos régions allait être un problème à l'avenir. C’est mon objectif maintenant.
Quelques articles sur deux sujets que vous avez mentionnés sont celui-ci sur la façon dont notre vie quotidienne changerait dans une société sans numéraire et celui-ci sur les raisons pour lesquelles les préparateurs doivent localiser leurs sources de nourriture. ~ D
James:
Malchance économique, (perte d'emplois, ralentissements économiques) troubles civils, réseau électrique / catastrophes naturelles. Je suis fixé pour deux ans financièrement, environ 6 mois pour les produits comestibles, et une auto-défense décente mise en place bien que je travaille toujours à durcir la maison. Je suis également dans une moindre mesure prêt à sortir à la maison si les choses vont vraiment mal, mais comme je suis actuellement OCONUS, je suis probablement foutu sur cette partie.
Cela rend définitivement les choses difficiles. Je pense que ce sur quoi je me concentrerais dans vos chaussures, c'est de m'assurer que les membres de votre famille sont capables de rester là-dedans pendant un certain temps en attendant que vous rentriez chez vous. Vous ne voulez pas qu’ils se trouvent dans une situation où vous seul savez comment faire quelque chose d’important. Les licenciements sont essentiels. ~ D
Rita:
Nous nous sommes davantage attachés à être autonomes et autosuffisants. Nous approvisionnons nos besoins localement autant que possible. BEAUCOUP plus silencieux sur les réalisations et les acquisitions. Pour la plupart, nous n’avons plus d’opinions publiques fortes à propos de quoi que ce soit. Nous devenons de plus en plus intériorisés et gris. En vieillissant, l'esprit combatif est toujours là, mais la réalité dit de s'approvisionner et de se taire. Nous voyons des troubles civils et des temps difficiles, sinon un effondrement économique et une guerre civile. Les États-Unis sont une poudrière en ce moment et des dumba ** vont allumer le match
Survivre à cette période folle a beaucoup à voir avec le fait de garder vos pensées plus privées. Et parfois, le combat que vous gagnez est celui auquel vous ne participez pas. ~ D
Valérie:
L'effondrement économique est ma plus grande préoccupation. Nous plantons un plus grand jardin et nous approvisionnons en aliments non périssables. J'ai l'intention d'en faire plus cette année. En fait, aujourd'hui, j'ai marqué une marmite All American 910 légèrement utilisée à la bonne volonté. 5,99 $. Grattez ça de ma liste de choses à faire!
Oh mon Dieu, quel SCORE !!!!!! Je suis sûr que beaucoup d’entre nous lisons qui sont positivement verts de jalousie. Et la bonne chose à propos du All American est qu'il n'y a pas de pièces ou de joints qui pourraient avoir besoin d'être remplacés. ~ D
Je ne peux pas me débarrasser du sentiment que nous aurons une situation de panne dans un proche avenir, donc me préparer à cela a été ma priorité absolue. Viennent ensuite les pénuries alimentaires et l'hyperinflation. Un plus grand jardin et plus de conserves sont sur ma liste pour cette saison. Je voulais aussi acheter des tapis chauffants et des lumières cette année, mais je n’avais pas les fonds supplémentaires, alors j’essaye le semis hivernal dans des litres d’eau et des cruches à lait. J'ai fait plus de 20 cruches à ce jour avec beaucoup plus à faire. Croisons les doigts, c’est un succès!
Je serai vraiment intéressé de savoir comment se déroulent vos semis d’hiver! S'il-vous-plaît nous garder en alertes. Voici un lien vers mon livre sur Amazon, Soyez prêt pour tout. Il donne beaucoup de détails sur les pannes d'électricité à long terme en été et en hiver. ~ D
Martha:
Bien que ma région ne connaisse normalement pas de températures très basses, il fait froid en hiver, et après avoir vu ce qui s'est passé au Texas, j'ajoute un radiateur portable (au propane ou au kérosène) à ma liste de fournitures dès que possible. Je souhaite juste que la climatisation soit aussi facile à préparer si le réseau tombe en panne. Envisager de faire de l'énergie solaire avec une batterie de secours pour garder le réfrigérateur, le congélateur en marche aussi et même 1 unité de climatisation pour fenêtre pour garder la maison au moins supportable lorsqu'elle est 115 en été.
Wow, cela ressemble à un temps misérable pour perdre de l’énergie. Voici un article sur la gestion des pannes de courant par temps chaud, un article sur la façon de calculer la puissance que vous
Laura:
À la lumière du récent piratage de PLUSIEURS systèmes de sécurité nationale, je pense que la panne de réseau est la plus grande menace. L'effondrement financier serait le deuxième après cela. J'utilise une partie des fonds de relance pour acheter des billets plus volumineux. Un respirateur / masque à gaz est le prochain sur ma liste. De plus, j'ai acheté des coussins chauffants et des lampes fluorescentes pour planter des graines cette année. Je viens également d'acheter cinq barils d'eau de 55 gallons qui doivent être lavés et installés. Temps occupé pour moi à essayer de suivre tout cela.
Voici quelques réflexions sur la préparation d'une cyberattaque majeure et un article sur les respirateurs et les masques à gaz - j'espère que vous les trouverez utiles. ~ D
Ouais, c’est moi. Ce que j’ai changé au cours de l’année écoulée au sujet de ma préparation, c’est de prêter attention aux gouvernements locaux et à la manière dont ils ont réagi. J'ai vécu dans 3 endroits différents au cours des verrouillages et chaque endroit a géré la réponse au covid très différemment. Il est important de comprendre comment votre propre gouvernement local réagit aux choses, car une fois que vous le faites, vous pouvez commencer à prédire ce qu’ils feront dans une situation différente. Je me suis également beaucoup amélioré pour obtenir des informations des autres sans qu'ils se rendent compte que je le fais, et je me suis fait des amis qui peuvent être utiles dans une variété d'événements. (En savoir plus dans cet article.)
En voyageant d’un endroit à l’autre, j’ai appris à me préparer rapidement et j’ai appris à me débrouiller avec ce qui est disponible, au lieu d’être si exigeants. J'ai l'intention de continuer à travailler sur mes niveaux d'adaptabilité, car je crois que c'est ma compétence la plus importante. Mon objectif principal est d’éviter les problèmes en premier lieu et mon objectif secondaire est de survivre si je ne peux pas. Je prévois plus de restrictions après un bref sursis et beaucoup plus de difficultés pour ceux qui veulent juste être laissés seuls à le faire sans sauter à travers les cerceaux.
Un «avion routier» pourrait enfin décoller dans le New Hampshire
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 MAR 2021 - 20:00
Le plus prometteur pour une «voiture volante» qui serait à la fois digne de la route et de l'air est venu en janvier de cette année lorsque Terrafugia, basée à Woburn, dans le Massachusetts, a reçu un certificat de navigabilité de la Federal Aviation Authority. Mais, comme le note Bloomberg, en février, il semble que les espoirs ont été déçus lorsque l'entreprise a licencié 43 employés et déclaré qu'elle travaillait sur une «nouvelle entreprise».
Pour le moment, le New Hampshire semble être le seul État qui perpétue le rêve de faire voler des véhicules routiers. Le New Hampshire "est devenu le premier État américain à rendre les voitures volantes légales sur la route" grâce à un projet de loi appelé "Jetsons bill". Si les machines passent les tests avec la FAA et que les propriétaires paient des frais de 2000 $, leurs chauffeurs / pilotes sont invités à les conduire à l'aéroport - avant de décoller dans le ciel.
L'État est connu pour ses lois libérales sur les transports en commun - les motocyclistes n'ont pas besoin de casques et les voitures n'ont pas besoin de ceintures de sécurité. «Vivez sans mourir», lisaient les plaques d'immatriculation de l'État. Terrafugia effectue des vols d'essai dans l'État depuis 2018. La société Pal-V vend également un produit, appelé Liberty, à partir de l'aéroport de Manchester, dans le New Hampshire.
Kevin Colburn, vice-président et directeur général de Terrafugia, a déclaré que le projet de loi du New Hampshire «ouvre des possibilités intéressantes pour les voyages de loisirs dans les îles». Il a poursuivi: «Le gain de temps dans un endroit comme le New Hampshire, où la topographie montagneuse permet des déplacements très indirects et à faible vitesse, pourrait être substantiel.»
«Vous devez construire quelque chose de sûr à la fois dans les airs et au sol. Dans les airs, vous voulez minimiser le poids, et sur terre, vous devez être résistant aux chocs si vous heurtez un mur de briques. Il s’agit d’enfiler l’aiguille », a déclaré Colburn.
Mais le New Hampshire pourrait être l'endroit où cela se produit. «Je peux voir de nombreux développeurs s'y rendre pour tester des avions sur route», a déclaré Laurie Garrow, spécialiste de la mobilité aérienne urbaine et régionale au Georgia Institute of Technology.
Keith Ammon, un représentant des ventes pour Pal-V, a aidé à rédiger la facture des Jetsons. Il a déclaré à propos de Liberty de son entreprise: «C'est un gyrocoptère. La puissance va directement aux lames. Les lames se replient et sur la route, elle est à trois roues, ce qui signifie que vous pouvez vous pencher dans les virages comme un motocycliste. "
Le Liberty coûte 390 000 $. Ammon fait partie d'un groupe de l'État appelé «Free State Project» qui vise à «établir une résidence dans un petit État et à prendre le contrôle du gouvernement de l'État». Le fil libertaire à travers l'État pourrait encourager l'innovation et l'expérimentation continues.
Les véhicules hybrides routiers / aériens tentent de mûrir en même temps que les véhicules électriques à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL). Les eVTOL sont surtout connus sous le nom de taxis volants - une industrie qui, selon Morgan Stanley, pourrait atteindre 1,5 billion de dollars d'ici 2040. Des noms comme Porsche et Boeing se sont déjà associés sur les eVTOL. Le propriétaire de Terrafugia, Geely, y travaille également avec Tencent.
Comparativement, les avions routiers peuvent sembler maladroits. Mais ne comptez pas l'esprit d'innovation du New Hampshire. «Quand j’ai pris connaissance des licenciements de Terrafugia, cela m’a époustouflé», a déclaré Ammon. «Mais cette industrie a mis du temps à démarrer, et nous avancerons.»
Il a conclu: «Nous ne sommes pas des fourmis dans une colonie. Il est important que nous reconnaissions l’esprit de chaque individu, et il est important que nous donnions des choix aux gens. Les libertariens ne sont pas égoïstes parce qu'ils veulent que chacun explore ses propres excentricités, sa propre créativité. Si tout le monde peut faire cela, nous aurons une société plus libre et plus heureuse. »
Comment la politique partisane pourrit votre cerveau
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 MAR 2021 - 17:30 Rédigé par David D'Amato via Libertarian Institute & Libertarianism.org,
Des recherches récentes utilisant des techniques d'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) nous permettent de scruter les connexions, pourtant enveloppées de mystère, entre l'activité cérébrale locale, les processus cognitifs et l'attachement partisan. Ce corpus de connaissances en développement a révélé l'importance profonde de l'évolution pour façonner la manière dont notre cerveau traite toutes sortes d'informations, en particulier les informations politiques. Au centre de ce voyage évolutif se trouve l'importance des groupes - d'être initiés et acceptés en eux, de s'aligner sur eux, de leur être fidèles indépendamment des considérations philosophiques. La dynamique sociale de l'appartenance à un groupe et de la participation est programmée plus profondément dans notre cerveau que la philosophie abstraite. "En d'autres termes, les gens suivront le groupe, même si les idées s'opposent à leurs propres idéologies - l'appartenance peut avoir plus de valeur que les faits." Parce que nous avons déjà déménagé d'un endroit à l'autre en tant que nomades, ces groupes sont nos maisons encore plus que n'importe quel endroit physique.
Nous avons maintenant des décennies de recherche suggérant - sinon prouvant - «l'ubiquité du raisonnement motivé biaisé par l'émotion», un raisonnement qui est qualitativement différent de celui qui opère lorsque les sujets sont engagés dans un «raisonnement froid», où les enjeu émotionnel »des sujets en cause. Couplé à une littérature croissante sur le caractère surprenant et l'étendue de l'ignorance politique, l'état actuel a des implications désastreuses pour la liberté humaine. Les enjeux sont importants: dans leur étude de 2018 sur les raisons et la manière dont la partisanerie nuit à la capacité du cerveau à traiter les informations de manière objective, les chercheurs de NYU, Jay J. Van Bavel et Andrea Pereira, notent que «la partisanerie peut altérer la mémoire, l'évaluation implicite et même les jugements perceptifs».
Une étude récente, publiée l'automne dernier par une équipe de Berkeley, Stanford et Johns Hopkins, a tenté de mieux comprendre comment les préjugés partisans se développent dans le cerveau. Les chercheurs ont demandé aux sujets de regarder une série de vidéos, utilisant l'IRMf pour explorer les «mécanismes neuronaux qui sous-tendent le traitement biaisé du contenu politique du monde réel». Les résultats ont montré que les membres de l'équipe partisane traitent des informations identiques de manière très biaisée et motivée. Les chercheurs localisent cette polarisation neurale dans la partie du cerveau connue sous le nom de cortex préfrontal dorsomédial, une région associée à la compréhension et à la formulation de récits. L'étude a également révélé, peut-être sans surprise, que dans la mesure où l'activité cérébrale d'un participant donné pendant les vidéos correspondait à celle du «libéral moyen» ou du «conservateur moyen», le participant était plus susceptible de prendre la position de ce groupe.
L'étude concorde avec des années de recherches antérieures montrant que les opinions des partisans sur des questions sociales, politiques et économiques importantes sont affectées par des processus cérébraux subconscients - des processus dont ils ne sont ni conscients ni contrôlent. Cela devrait être profondément préoccupant pour tous ceux qui appartiennent à une équipe politique: des processus se déroulent dans votre cerveau, sous ou au-delà du niveau de conscience directe, qui éclairent vos conclusions sur des questions sociales et politiques importantes. Réfléchir à cela ne serait-ce qu'un instant devrait remplir quiconque aspire à la pensée critique ou à la rationalité d'une sorte de crainte, car la loyauté envers l'équipe semble l'emporter sur les facultés supérieures de l'esprit.
Mais, les auteurs prennent soin de noter, il est important de ne pas interpréter ces résultats comme indiquant une sorte de déterminisme, par lequel nous ne pouvons pas choisir comment penser ou ce que nous croyons. Comme l'un des auteurs de l'étude, le psychologue de Stanford Jamil Zaki, dit: "De manière critique, ces différences n'impliquent pas que les gens sont câblés pour être en désaccord." Au contraire, ces voies neuronales semblent être en grande partie sculptées par les types et les sources des médias que nous consommons. À partir des données fournies par ces recherches, parmi de nombreuses autres études similaires, une image commence à émerger de la partisanerie comme une sorte d'empoisonnement de l'esprit, une infection qui conduit à des troubles cognitifs graves et, surtout, mesurables. Les preuves suggèrent que, sous l’influence de la partisanerie, nous ne pouvons même pas comprendre nos propres pensées et opinions.
Dans une autre expérience importante et récente, les chercheurs voulaient comprendre la précision relative des constructions introspectives des participants. Les chercheurs ont cherché à évaluer la capacité des gens à comprendre leurs propres choix, à voir clairement «les éléments d’argumentation interne qui mènent à [leurs] choix». En particulier, les chercheurs voulaient savoir comment les sujets géreraient les choix qui avaient été manipulés - c'est-à-dire s'ils «remarqueraient des inadéquations entre leur choix prévu et le résultat qui leur est présenté». Les sujets reconnaîtraient-ils que quelque chose n'allait pas? S'ils ne remarquaient pas la manipulation, offriraient-ils des justifications pour des choix qu'ils n'avaient même pas faits? L'hypothèse est que les sujets qui ne remarquent pas les inadéquations ne doivent pas vraiment comprendre les raisons de leurs choix ou «les processus internes conduisant à un jugement moral ou politique».
Les résultats ont révélé un «aveuglement introspectif évident à l'égard des processus internes conduisant à un jugement moral ou politique». Les gens ne semblaient pas comprendre pourquoi ils avaient pris les décisions qu'ils avaient prises (ou n'avaient pas prises), bien que certains aient présenté ce que les chercheurs appellent «une détection inconsciente de l'auto-tromperie» - ces sujets étaient incapables de détecter les manipulations de leurs réponses, mais ils ont enregistré une confiance plus faible dans les choix manipulés, ce qui, selon les auteurs, indique «l'existence d'un mécanisme neuronal surveillant inconsciemment nos propres pensées».
Une fois que l'on a choisi et rejoint une équipe, elle a très peu de contrôle sur ses propres pensées. Lorsqu'elles sont introduites, les nouvelles données sont déformées, mal interprétées ou rejetées en fonction de leur cohérence avec ce que nous pouvons décrire comme un programme fonctionnant en arrière-plan: la partisanerie conduit le membre de l'équipe dans une position cognitive d'auto-illusion inconsciente. Peu d’entre nous, s’ils comprennent pleinement ce phénomène, le choisiraient eux-mêmes - du moins c’est l’espoir de beaucoup de ceux qui étudient ce domaine. Comme l'observent les auteurs, «réfléchir à nos croyances peut aider à développer des sociétés libres». Ils suggèrent que si les citoyens comprenaient mieux les mécanismes cérébraux de la déficience cognitive et de l'auto-illusion provoqués par la partisanerie, ils seraient en mesure de prendre de meilleures décisions. La recherche a montré que «réfléchir à la manière dont nous prenons des décisions conduit à de meilleures décisions».
Des recherches similaires sur l'auto-tromperie en politique ont également confirmé la présence de l'effet Dunning-Kruger (pour résumer, les gens pensent en savoir beaucoup plus qu'ils ne le font réellement). De plus, l'effet est exagéré dans le contexte de la politique, les participants à faible savoir se décrivant comme étant encore plus informés que d'habitude une fois que la partisanerie est devenue un facteur évident. Vitor Geraldi Haase et Isabella Starling-Alves postulent que le genre d'auto-tromperie qui est "une caractéristique majeure de la partisanerie politique ... a probablement évolué comme une stratégie adaptative évolutive pour faire face à la dynamique intra-groupe-extragroupe de l'évolution humaine". La vérité objective, c'est-à-dire à peu près un modèle précis de la réalité, n'est pas importante, du moins pas aussi importante que la conformité et même la soumission, que nous pouvons associer à la réalité sociale.
Quels que soient ses défauts, la psychologie évolutionniste nous offre plusieurs pistes prometteuses sur la question de savoir pourquoi le cerveau n'est pas capable de faire preuve de partisanerie. Cette notion de réalité sociale est un indice important. À ce stade, il est important de souligner le fait que lorsque nous parlons de partisanerie, nous ne parlons pas d'idéologie; la relation entre l'identification partisane et l'idéologie politique est compliquée, la relation entre les deux n'est pas particulièrement forte. Les idéologues ont tendance à penser systématiquement, et le contenu philosophique de leurs croyances est profondément important pour eux. Ce qui est important pour le partisan, ce n’est pas ce qu’elle croit, mais le fait qu’elle aligne ses convictions avec celles de son équipe ou de son groupe - ou bien, comme cela peut être le cas, qu’elle soit fidèle et soutienne le groupe du parti malgré tout non-concurrences idéologiques réelles ou perçues.
Les Américains ont tendance à surestimer largement les différences d'idéologie politique et de préférences politiques entre démocrates et républicains. En fait, la plupart des Américains ne sont pas du tout idéologiques, ne peuvent pas décrire les idéologies avec précision (comme leurs partisans les décriraient) et n'ont presque aucune information sur l'histoire des idées ou sur les preuves empiriques qui portent sur des questions politiques ou politiques particulières. Il est intéressant de noter que la partisanerie ne semble pas nécessairement concerner la politique au sens normatif ou philosophique, car «les gens placent la loyauté au parti sur la politique, et même sur la vérité». Il existe en fait des corrélations relativement faibles entre l'identité partisane et les préférences politiques concrètes. «L'affect artisanal [P] est fondé de manière incohérente (et peut-être de manière artificielle) sur des attitudes politiques».
En effet, une forte partisanerie est nécessairement un obstacle à la pensée idéologique dans la mesure où l'idéologie repose sur une approche intégrée et cohérente des questions de politique, par opposition à l'approche aveugle et ancrée en équipe associée dans la littérature à la partisanerie. Les idéologues, quels que soient leurs défauts, demandent des comptes aux acteurs politiques et aux instances gouvernementales. Les partisans changent de position facilement et sans vergogne, en fonction de tout, de qui vit à la Maison Blanche, aux caprices des chefs de parti, à ce qui est perçu comme populaire en ce moment. En outre, les opinions politiques individuelles des Américains sont remarquablement instables au fil du temps, oscillant entre des contradictions flagrantes, reposant sur un amalgame confus d’opinions d’élite. La partisanerie telle que nous la connaissons semble plutôt être un vestige de l’histoire de la loyauté tribale de l’humanité, avec «des pressions sélectives qui ont façonné l’esprit humain pour devenir tribal». C'est-à-dire que l'évolution est sélectionnée uniquement pour les types de biais cognitifs que nous trouvons chez les partisans des deux côtés aujourd'hui (ce qui est important, aucune «équipe» n'est immunisée).
Un article récent publié par l'American Psychological Association suggère que d'un point de vue cognitif et psychoneurologique, les partisans de la gauche et de la droite se ressemblent beaucoup plus qu'ils ne sont comme des non-partisans. Comme l'écrit Leor Zmigrod, coauteur de l'étude, "Indépendamment de l'orientation et du contenu de leurs convictions politiques, les partisans extrêmes avaient un profil cognitif similaire." Plus précisément, les partisans de tous bords montrent des niveaux inférieurs de flexibilité cognitive; Surtout, même lorsqu'ils traitent des informations qui n'ont pas de caractère politique, ils sont plus dogmatiques, moins adaptables et moins capables d'accomplir des tâches qui nécessitent une «capacité à s'adapter à des environnements nouveaux ou changeants et une capacité à basculer entre les modes de pensée».
La partisanerie rend littéralement stupide - ou est-ce que les gens stupides sont simplement plus susceptibles d'être des partisans engagés ? Zmigrod prend soin de souligner que l’étude ne peut pas nous donner la réponse à cette question, qu’il faudrait des études longitudinales pour mieux comprendre la direction causale et les phénomènes causaux en jeu. Dès que la partisanerie est introduite, dès qu'une question mentionne un politicien ou un parti politique, les sujets sont incapables d'évaluer avec précision les faits de base. En effet, il est remarquable que le fait de donner à une question une nuance politique rend de nombreux sujets incapables de répondre à une question simple même quand on leur donne la réponse. De même, des études ont montré que ses affiliations politiques affectent même sa capacité à effectuer des calculs de base: étant donné une opération qui produit une statistique contredisant la vision partisane d'un sujet, le sujet aura tendance à remettre en question le résultat plutôt que de mettre à jour sur la base des preuves ou de tenter de réconcilier la nouvelle information avec sa politique.
Dans une étude révolutionnaire publiée l'été dernier, une équipe de chercheurs dirigée par Darren Schreiber de l'Université d'Exeter a tenté de remédier au manque de recherche en imagerie cérébrale visant spécifiquement à mieux comprendre les non-partisans, un groupe qui a été négligé car presque toutes ces recherches se sont concentrées sur les différences entre les cerveaux des partisans de la gauche et de la droite. L'étude a révélé que les cerveaux des non-partisans sont différents de ceux de leurs frères soumis au lavage de cerveau, en particulier dans «les régions qui sont généralement impliquées dans la cognition sociale».
Il se peut que la prochaine étape de l'évolution humaine impliquera de recâbler notre cerveau pour accepter le fait que les groupes actuels sont définis artificiellement et arbitrairement - que tous les êtres humains sont un seul peuple. Car tout comme il y a un tribalisme nocif et toxique, il y a aussi un cosmopolitisme socialement bénéfique, coopératif. Comme l'écrit l'expert en politique sociale Elizabeth A. Segal, "En fin de compte, notre objectif devrait être de bâtir la tribu à laquelle nous appartenons tous: celle de l'humanité." Les libertariens prennent cette leçon très au sérieux, car nous avons tendance à nous considérer comme faisant partie d'une communauté mondiale commune d'individus connectés qui sont parfaitement capables de traiter les uns avec les autres par des interactions pacifiques et mutuellement avantageuses. Nous célébrons les différences sociales, culturelles, religieuses et linguistiques comme le piment de la vie plutôt que de les considérer comme des lignes de division ou des obstacles à une collaboration volontaire. Si nous pouvons comprendre et penser clairement à travers la partisanerie, nous pouvons commencer à construire un monde plus libre basé non pas sur des divisions arbitraires et un raisonnement compromis, mais sur le respect mutuel et un accent renouvelé sur une pensée critique rigoureuse.
OTAN 2030 : " Il faut stopper ce train fou avant qu'il ne soit trop tard !"
Grégoire Diamantidis Capital dim., 14 mar. 2021 20:34 UTC
Dans une lettre ouverte à Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, plusieurs haut gradés de l'Armée regroupés au sein du Cercle de Réflexion Interarmées s'insurgent contre le projet OTAN 2030 qui affaiblit la souveraineté de la France selon eux. Nous la reproduisons ici.
« Le jeudi 18 février 2021 l'étude "OTAN 2030", produite à votre demande, vous a été présentée. Elle indique ce que doivent être les missions de l'OTAN pour les dix prochaines années. D'entrée, il apparaît que toute l'orientation de l'OTAN repose sur le paradigme d'une double menace, l'une russe, présentée comme à l'œuvre aujourd'hui, l'autre chinoise, potentielle et à venir. Deux lignes de force majeures se dégagent de cette étude.
La première, c'est l'embrigadement des Européens contre une entreprise de domination planétaire de la Chine, en échange de la protection américaine de l'Europe contre la menace russe qui pèserait sur elle.
La deuxième, c'est le contournement de la règle du consensus, de plusieurs manières: opérations en coalitions de volontaires; mise en oeuvre des décisions ne requérant plus de consensus; et surtout la délégation d'autorité au SACEUR (Commandant Suprême des Forces Alliées en Europe, officier général américain) au motif de l'efficacité et de l'accélération de la prise de décision.
Mais la lecture de ce projet « OTAN 2030 » fait clairement ressortir un monument de paisible mauvaise foi, de tranquille désinformation et d'instrumentalisation de cette "menace Russe", « menace » patiemment créée puis entretenue, de façon à « mettre au pas » les alliés européens derrière les États-Unis, en vue de la lutte qui s'annonce avec la Chine pour l'hégémonie mondiale.
C'est pourquoi, Monsieur le Secrétaire général, avant toute autre considération sur l'avenir tel qu'il est proposé dans le projet OTAN 2030, il est important de faire le point sur les causes et la réalité de cette menace russe, par les quelques rappels historiques ci-dessous.
En effet, l'histoire ne commence pas en 2014, et c'est faire preuve d'une inébranlable mauvaise foi historique concernant les relations euro et américano-russes, que de passer en une seule phrase (au tout début du paragraphe "Russie") directement du "partenariat constructif" lancé par l'Otan au début des années 90 à l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014, comme s'il ne s'était rien passé entre 1991 et 2014, entre « la gentille Russie » de l'époque, et le méchant « Ours russe » d'aujourd'hui.
C'est bien l'OTAN qui, dès les années 1990, s'est lancée à marche forcée dans son élargissement vers l'est, certes à la demande des pays concernés, mais malgré les assurances données à la Russie en 1991 lors de la signature du traité de Moscou (2), et qui d'année en année a rapproché ses armées des frontières de la Russie, profitant de la décomposition de l'ex URSS.
C'est bien l'OTAN qui , sans aucun mandat de l'ONU, a bombardé la Serbie (3) pendant 78 jours, avec plus de 58 000 sorties aériennes, et ceci sur la base d'une vaste opération de manipulation et d'intoxication de certains services secrets de membres importants de l'Alliance, (le prétendu plan serbe « Potkova » et l'affaire de Racak ), initiant ainsi, contre toute légitimité internationale, la création d'un Kosovo indépendant en arrachant une partie de son territoire à un état souverain, au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, humiliant ainsi la Russie à travers son allié serbe.
Ce principe serait-il à géométrie variable, lorsqu'il s'agit de la Crimée composée à plus de 90% de Russes, et rejoignant la Russie sans un coup de feu ?
C'est bien l'OTAN qui en 2008, forte de sa dynamique « conquête de l'est », refusa la main tendue par la Russie pour un nouveau « Pacte de sécurité européen » qui visait à régler les conflits non résolus à l'est de l'Europe (Transnistrie, Abkhazie, Ossétie du Sud), en échange d'une certaine neutralité de la Géorgie, de l'Ukraine, de la Moldavie - c'est à dire de l'immédiat « hinterland » russe - vis-à-vis de l'OTAN.
Et c'est toujours avec ce même esprit conquérant, perçu comme un réel étranglement par la Russie, qu'il a été choisi, en 2010, d'encourager les graves troubles de l'« Euromaïdan », véritable coup d'état qui a abouti à l'élimination du président ukrainien légalement élu, jugé trop pro-russe, en vue de continuer la politique de rapprochement de l'Ukraine avec l'OTAN.
On connaît la suite, avec les sécessions de la Crimée et du Donbass.
C'est bien l'OTAN qui au début des années 2000, après avoir associé la Russie à une défense anti-missiles de théâtre censée « protéger les États-Unis et ses alliés, dont la Russie » , d'une attaque de missiles tirés par des « États voyous » , notamment l'Iran et la Corée du Nord (sic), transforma de facto en 2010 lors du sommet de Lisbonne, ce système en une architecture globale de défense antimissile balistique en Europe (BMDE), non plus de théâtre, mais en un véritable bouclier tourné cette fois-ci contre la Russie et non pas la protégeant.
C'est encore l'OTAN qui donna l'assurance à la Russie que les sites de lancement des missiles antimissiles balistiques (ABM) ainsi déployés devant sa porte ne pourraient jamais être retournés en sites offensifs contre son territoire tout proche, « oubliant de préciser » qu'en réalité ces lanceurs (MK 41) de missiles ABM pouvaient tout aussi bien servir à tirer des missiles offensifs Tomahawk contre son territoire (nucléaires ou conventionnels de portées supérieures à 2000 km selon les versions) en contradiction flagrante avec le traité INF toujours en vigueur à l'époque de leur déploiement; on dépassait là, et de loin la question de savoir si le 9M729 russe portait à 480 km ou à 520 !
La menace potentielle ainsi exercée sur la capacité de frappe en second de la Russie, base de sa dissuasion nucléaire, a sérieusement remis en cause l'équilibre stratégique américano-russe , poussant alors la Russie à suspendre toute coopération au sein du COR (Conseil OTAN-Russie) fin 2013, donc dès avant l'affaire de la Crimée de 2014, laquelle sera ensuite utilisée par l'OTAN pour justifier - a posteriori - la protection BMDE de l'Europe face à la nouvelle « menace russe » !
Alors oui, Monsieur le Secrétaire général, au terme de ces vingt années d'efforts soutenus de la part de l'OTAN pour recréer « l'ennemi russe», indispensable à la survie d'une organisation théoriquement purement défensive, oui, la Russie a fini par se raidir, et par chercher à l'Est la coopération que l'Ouest lui refusait.
L'entreprise de séparation de la Russie d'avec l'Europe, patiemment menée au fil des années, par vos prédécesseurs et par vous-même sous l'autorité constante des États-Unis, est aujourd'hui en bonne voie, puisque la Russie, enfin redevenue « la menace russe » , justifie les exercices les plus provocateurs comme Defender 2020 reporté à 2021, de plus en plus proches de ses frontières, de même que les nouveaux concepts d'emploi mini-nucléaires les plus fous sur le théâtre européen sous l'autorité de...l'allié américain qui seul en possède la clef.
Mais non, Monsieur le Secrétaire général, aujourd'hui, et malgré tous vos efforts, la Russie avec son budget militaire de 70 Md€ (à peine le double de celui de la France), ne constitue pas une menace pour l'OTAN avec ses 1000 Md€ , dont 250 pour l'ensemble des pays européens de l'Alliance! Mais là n'est pas votre souci car ce qui est visé désormais à travers ce nouveau concept OTAN 2030, est un projet beaucoup plus vaste: à savoir impliquer l'Alliance atlantique dans la lutte pour l'hégémonie mondiale qui s'annonce entre la Chine et les États-Unis.
La vraie menace, elle réelle, est celle du terrorisme. L'étude y consacre bien un développement, mais sans jamais se départir du mot « terrorisme », ni en caractériser les sources, les ressorts, les fondements idéologiques et politiques.
Autrement dit, on n'aurait comme menace, en l'occurrence, qu'un mode d'action, puisque telle est la nature du « terrorisme ». On élude donc une réalité dérangeante, celle de l'islamisme radical et de son messianisme qui n'a rien à envier à celui du communisme d'antan. Le problème est que ce même messianisme est alimenté par l'immense chaos généré par les initiatives américaines post Guerre Froide , et qu'il est même porté au plan idéologique tant par la Turquie d'Erdogan, membre de l'Otan, que par l'Arabie Saoudite, allié indéfectible des États-Unis.
Comme on pouvait s'y attendre, il apparaît dès les premières lignes que ce document n'augure rien de bon pour l'indépendance stratégique de l'Europe, son but étant clairement de reprendre en mains les alliés européens qui auraient seulement pu imaginer avoir une once d'un début d'éveil à une autonomie européenne.
Ce n'est pas tout, car non seulement vous projetez de transformer l'OTAN, initialement alliance défensive bâtie pour protéger l'Europe face à un ennemi qui n'existe plus, en une alliance offensive contre un ennemi qui n'existe pas pour l'Europe, (même si nous ne sommes pas dupes des ambitions territoriales de la Chine, de l'impact de sa puissance économique et du caractère totalitaire de son régime) , mais ce rapport va plus loin, carrément vers une organisation à vocation politique mondiale, ayant barre sur toute autre organisation internationale.
- L'OTAN devrait instaurer une pratique de concertation entre Alliés avant les réunions d'autres organisations internationales (ONU, G20, etc..) , ce qui signifie en clair « venir prendre les instructions la veille» pour les imposer le lendemain massivement en plénière !
- L'OTAN doit avoir une forte dimension politique, qui soit à la mesure de son adaptation militaire. L'Organisation devrait envisager de renforcer les pouvoirs délégués au secrétaire général, pour que celui-ci puisse prendre des décisions concrètes concernant le personnel et certaines questions budgétaires.
- L'OTAN devrait créer, au sein des structures existantes de l'Alliance, un mécanisme plus structuré pour la formation de coalitions. L'objectif serait que les Alliés puissent placer de nouvelles opérations sous la bannière OTAN même si tous ne souhaitaient pas participer à une éventuelle mission.
- L'OTAN devrait réfléchir à l'opportunité de faire en sorte que le blocage d'un dossier par un unique pays ne soit possible qu'au niveau ministériel.
- L'OTAN devrait approfondir les consultations et la coopération avec les partenaires de l'Indo-Pacifique : l'Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande et la République de Corée,
- L'OTAN devrait commencer de réfléchir en interne, à la possibilité d'établir un partenariat avec l'Inde.
Monsieur le Secrétaire général,
C'est parce que cette organisation lorsqu'elle a perdu son ennemi, n'a eu de cesse que de se lancer à corps perdu dans la justification politique de la préservation de son outil militaire, en se reforgeant son nouvel ennemi russe, qu'elle tend aujourd'hui à devenir un danger pour l'Europe.
Car, non contente d'avoir fait manquer à l'Europe l'occasion d'une véritable paix durable souhaitée par tous, y compris par la Russie, l'OTAN animée du seul souci de sa survie, et de sa justification par son extension, n'a fait que provoquer un vaste réarmement de part et d'autre des frontières de la Russie , de la Baltique à la Mer Noire, mettant en danger la paix dans cette Europe, qu'elle ne considère plus désormais que comme son futur champ de bataille,
Et maintenant, à travers ce document OTAN 2030, et contre la logique la plus élémentaire qui veut que ce soit la mission qui justifie l'outil et non l'inverse - les Romains ne disaient-ils pas déjà « Cedant arma togae » ? - vous voudriez, pour l'avenir, justifier l'outil militaire de cette alliance en le transformant en un instrument politique, incontournable, de gestion de vastes coalitions internationales, au profit d'une véritable gouvernance planétaire, allant même jusqu'à passer outre les décisions de l'ONU et écrasant les souverainetés nationales !
Alors non, Monsieur le Secrétaire général! Il faut stopper ce train fou, avant qu'il ne soit trop tard ! La France, quant à elle, dans le droit fil des principes énoncés voici plus d'un demi-siècle par le général de Gaulle, ne saurait, sans faillir gravement, se prêter à cette entreprise d'une acceptation aventureuse de la tutelle américaine sur l'Europe. »
Pour le Cercle de Réflexion Interarmées (4), le Général de Brigade aérienne (2S) Grégoire Diamantidis Notes.
1- Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, structure militaire de l'Alliance Atlantique.
2- Traité de Moscou: ou « traité deux plus quatre », signé le 12 septembre 1990 à Moscou, entre les représentants des deux Allemagnes et ceux des quatre puissances alliées de la Seconde Guerre Mondiale, est le «traité portant règlement définitif concernant l'Allemagne» qui a ouvert la voie à la réunification allemande et fixé le statut international de l'Allemagne unie.
3- Opération «Force Alliée» . Cette opération, décidée par l'OTAN, après l'échec des négociations entre les indépendantistes kosovars et la Serbie sous l'égide de l'OSCE (Conférence de Rambouillet 6 février-19 mars 1999) , fut déclenchée sans mandat de l'ONU, le 24 mars sur la base d'une vaste campagne dans les médias occidentaux, concernant un plan d'épuration ethnique (plan Potkova) mené à grande échelle au Kosovo par la Serbie. Plan qui se révéla par la suite, avoir été fabriqué de toute pièce par les services secrets bulgares et allemands .
4- Le Cercle de Réflexion Interarmées (CRI), est un organisme indépendant des instances gouvernementales et de la hiérarchie militaire. Il regroupe des officiers généraux et supérieurs des trois armées ayant quitté le service et quelques civils et a pour objectif de mobiliser les énergies, afin de mieux se faire entendre des décideurs politiques, de l'opinion publique et contribuer ainsi à replacer l'Armée au cœur de la Nation dont elle est l'émanation.
Il y a dix ans, au Japon, un tsunami faisait plus de 20 000 morts en quelques heures.
Par Michel Negynas. 15 MARS 2021
Les media n’ont pratiquement pas parlé de ce triste anniversaire.
LA CATASTROPHE
Le 11 mars 2011, un séisme de magnitude 7, le niveau le plus élevé de l’échelle, s’est produit au large de l’île principale du Japon. Bien que très important, le séisme a peu endommagé les infrastructures de la région, centrales électriques comprises, du fait des normes antisismiques en vigueur au Japon.
Les régions touchées, le Tōhoku et le Kantō, comptaient pour respectivement 8 et 40 % du produit intérieur brut du Japon, alors troisième économie mondiale.
Mais le séisme a engendré un tsunami dont les vagues ont atteint une hauteur estimée à plus de 30 mètres par endroits. Celles-ci ont parcouru jusqu’à 10 km à l’intérieur des terres, ravageant près de 600 km de côtes et détruisant partiellement ou totalement de nombreuses villes et zones portuaires.
Le bilan est estimé à 23 500 morts. Les effets se sont prolongés bien après la catastrophe, par suite de la détresse psychologique et de la dureté des conditions de vie des 400 000 personnes déplacées. À ce jour, il y aurait encore 70 000 réfugiés, mais ce chiffre est probablement sous-estimé.
VOUS N’EN ENTENDEZ PAS PARLER ? ET SI JE VOUS DIS FUKUSHIMA ?
En effet, de la catastrophe, nos media, dans une large majorité, ne retiennent que les conséquences du tsunami sur les réacteurs nucléaires de Fukushima 1 (à noter qu’à Fukushima 2, le long de la cote à 12 km, il ne s’est rien passé.)
Le Monde titrait :
« Récit : Le tsunami qui a ravagé la centrale de Fukushima Daiichi le 11 mars 2011, puis entraîné l’explosion de trois réacteurs, a laissé des séquelles douloureuses. Retour sur les réactions en chaîne qui ont suivi le raz-de-marée et les dissimulations sur l’état des infrastructures. »
La Tribune a fait pire ; c’est surprenant, de la part d’un journal qui a une orientation économique, et qui devrait s’attacher à une certaine objectivité :
« Dix ans après Fukushima, le Japon rend hommage à ses victimes par Eimi Yamamitsu
IWAKI, Japon (Reuters) – Un instant de silence, des prières et des manifestations antinucléaire ont jalonné la journée du souvenir organisée jeudi, dix ans après la catastrophe de Fukushima qui a fait près de 20 000 morts et d’immenses dégâts environnementaux.
Dans l’après-midi du 11 mars 2011, un séisme de magnitude 9 a provoqué un immense tsunami qui a ravagé les côtes nord-est de la principale île du Japon et détruit la centrale nucléaire de Fukushima dont les réacteurs sont entrés en fusion, conduisant plus de 160000 à fuir pour échapper aux radiations.
À 14 h 46, l’heure exacte du séisme, l’empereur Naruhito et son épouse ont présidé à Tokyo une cérémonie en hommage aux morts tandis que d’autres étaient organisées partout sur l’archipel.
Dix ans après le pire désastre nucléaire enregistré dans le monde depuis celui de Tchernobyl en 1986, certains survivants n’ont toujours pas achevé leur deuil. »
Les journaux régionaux ne sont pas en reste, cf le Journal du Centre :
« Dix ans après Fukushima, les leçons françaises de la catastrophe (note de l’auteur : avec photo de décombres qui ne sont pas ceux des centrales !)
Au-delà de la tragédie humaine et environnementale, le retour d’expérience de Fukushima a permis au parc nucléaire français de se doter d’outils pour appréhender d’éventuelles catastrophes.
11 mars 2011. Il y a dix ans, le nom de Fukushima est entré dans nos mémoires. Dans le tiroir obscur des événements sur lesquels nous n’avons pas de prise mais qui, en écho à notre quotidien, nous somment de prendre conscience. Un séisme de magnitude 9 l’un des plus importants que la planète ait connu avec celui de 2004, suivi d’un tsunami qui a submergé une région du nord-est du Japon et ravagé la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Classé 7, le plus haut degré, sur l’échelle internationale des événements nucléaires (INES), l’accident a été d’une gravité comparable, mais pas totalement égale, à celle de Tchernobyl en 1986. »
Alors là, on n’est même plus dans l’ordre du sous-entendu, on est carrément dans le mensonge. La catastrophe, ce serait l’accident nucléaire, pas le tsunami.
QUE DIT L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ ?
L’OMS a publié des études rassurantes dès 2013. Il n’y a pas de morts à déplorer sur le coup. Il est possible qu’à la longue, soient découvertes des maladies chez les travailleurs qui ont été les plus exposés au tout début, quelques dizaines tout au plus. Mais les populations ont été exposées à des doses minimes. Par contre, leur évacuation a eu des effets négatifs sur les personnes les plus fragiles.
Les conséquences sanitaires seront à l’évidence très faibles ; sur le long terme, les rejets en mer ne seront pas supérieurs, en définitive, à n’importe quelle centrale nucléaire.
Mais gageons que dans vingt ans, ces répercussions feront l’objet encore de débats féroces de la part des anti nukes.
Il n’est pas question ici de soutenir que l’accident est anodin. Ses conséquences économiques, entre autres, ont été considérables. Mais elles sont à replacer dans le contexte global du désastre d’origine naturelle.
Ces réacteurs sont les plus anciens du Japon, et la tranche la plus ancienne devait être décommissionnée quelques mois plus tard. On peut supposer que l’entretien n’était pas à son optimum. Ces réacteurs sont du type à eau bouillante, réputés moins sécurisants, avec une enceinte de confinement plus fragile, et surtout, ils étaient démunis de valves de surpression en cas de dégagement d’hydrogène : c’est ce qui a provoqué les explosions. Tepko, l’opérateur, est réputé pour ne pas être au top des mesures d’entretien et de sécurité. En particulier, il semble qu’il ait négligé de faire des exercices d’entraînement à des crises sévères. La gestion de l’accident dans les premiers jours a été catastrophique, la direction de Tepko, qui n’était pas sur place, donnant des ordres mal à propos. Pour sauver la situation, le directeur de la centrale a dû prendre sur lui de désobéir, chose impensable pour un Japonais. Le tsunami était énorme, bien plus important que les hypothèses ayant servi à dimensionner les installations, avec une vague de 14 mètres au droit de la centrale. La situation ne pouvait guère être pire. Or, on ne déplore aucune victime ! Évidemment, il est indispensable d’analyser tous les dysfonctionnements pour en tire des leçons à appliquer sur toutes les centrales nucléaires en fonctionnement, ce qui a été fait, en particulier en France. Mais on aurait pu penser que le constat global aurait dû être plutôt rassurant.
Eh bien c’est l’inverse qui s’est produit. L’Allemagne a presque immédiatement décidé de précipiter l’arrêt de ses réacteurs, alors même qu’ils n’avaient jamais fait l’objet du moindre incident sérieux. Et on ne cesse de brandir le totem de Fukushima pour dénoncer les dangers du nucléaire.
La France s’est dotée d’un parc de réacteurs à eau pressurisée. Il existe 300 réacteurs de ce type dans le monde, certains vieux de plus de 40 ans. Un seul accident est à signaler, celui de Three Miles Island, aux USA, qui a conduit à la fusion du réacteur ; pas un poil de radioactivité n’a été dispersé dans l’environnement.
Tchernobyl est un cas à part, c’est davantage une catastrophe du communisme que du nucléaire, tant on y était éloigné de normes élémentaires de sécurité.
ALORS POURQUOI ?
Oui, pourquoi on ne retient que Fukushima, alors que c’est l’épiphénomène d’un désastre considérable ? Outre le militantisme anti nuke, il existe peut-être une explication purement phonémique. Certains mots sont souvent à l’origine d’une médiatisation par leur contenu phonétique, devenant en quelque sorte des totems : agent orange (étrange), dioxine (toxine), métaux lourds…
Ici, le shima de Fukushima, fait mouche, car il est associé à Hiro dans notre inconscient. Avec nucléaire et Japon, tout est réuni pour que la bombe explose dans nos pauvres petits cerveaux, dans la partie intuitive de nos neurones, comme dirait Daniel Kahneman. Tohoku et Kanto, ça ne dit rien.
Les activistes le savent, ils sont d’habiles utilisateurs du nudge, qui résulte directement de ces considérations.
Le séisme principal a engendré un tsunami avec des vagues jusqu’à 15 mètres de hauteur selon les observations par Port and Airport Research Institute, et avec des pics jusqu’à 39 mètres enregistrés à Miyako.
Les régions touchées, le Tōhoku et le Kantō, comptent pour respectivement 8 et 40 % du produit intérieur brut du Japon, alors troisième économie mondiale, et les trois préfectures les plus touchées, Iwate, Miyagi et Fukushima.
La centrale est équipée de réacteurs nucléaires baptisés « réacteurs à eau bouillante » (REB). Le fluide qui traverse le cœur est de l’eau déminéralisée qui, portée à ébullition au contact des barres de combustible, se transforme en vapeur et actionne des turbo-alternateurs pour produire de l’électricité.
Fukushima I est équipée de six réacteurs, mis en service entre 1971 et 1979, dont cinq selon l’architecture Mark 1. Ils ont été construits par General Electric,Toshiba et Hitachi.
Un scandale qui éclate en 2002 révèle que durant les années 1980 et 1990, TEPCO a falsifié une trentaine de rapports d’inspection constatant des fissures ou des corrosions sur les enveloppes des réacteurs dont ceux de la centrale de Fukushima. La direction de TEPCO doit démissionner et plusieurs réacteurs sont alors fermés. En 2007, on apprend que TEPCO a en fait dissimulé 199 incidents entre 1984 et 2002.
Dans un rapport remis le 28 février 2011 à l’Agence japonaise de sûreté nucléaire, TEPCO admet avoir de nouveau falsifié plusieurs rapports d’inspection : elle n’a en réalité pas contrôlé 33 éléments des six réacteurs de Fukushima-Daiichi. Parmi ceux-ci figurent un moteur et un générateur électrique d’appoint pour le réacteur numéro 1, ainsi qu’un tableau électrique qui n’avait pas été vérifié depuis 11 ans.
Le 31 mars, le Wall Street Journal révèle que les plans de gestion d’urgence de TEPCO, bien que conformes à la législation japonaise, ne correspondent qu’à des incidents mineurs, ce qui n’a pas permis à l’opérateur de réagir efficacement durant les premiers jours de la crise. Interrogé sur cette question, un porte-parole de l’Agence japonaise de sûreté nucléaire déclare : « Nous sommes douloureusement conscients que ces plans étaient insuffisants. »
Après l’irradiation de trois sous-traitants le 24 mars, l’Agence japonaise de sûreté nucléaire notifie immédiatement à l’opérateur de revoir ses mesures de radioprotection sur le site. Malgré cela la chaîne de télévision japonaise NHK révèle le 31 mars que la dosimétrie des travailleurs sur le site n’est pas précisément suivie car TEPCO n’a plus assez de dosimètres. Cela déclenche des réactions furieuses de la part des autorités japonaises.
Le 29 décembre 2011, NHK World révèle que les générateurs de secours, tombés en panne lors de l’accident nucléaire de Fukushima, avaient déjà subi une inondation 20 ans plus tôt à la suite d’une fuite d’eau. À cette occasion, deux des générateurs de secours étaient tombés en panne. Malgré cet incident, TEPCO avait seulement fait installer des portes étanches mais n’avait cependant pas déménagé en hauteur ces générateurs.
Au 11 mai 2011, le bilan du séisme et du tsunami est de 14 981 morts et environ 9850 disparus selon la police japonaise. Au 11 juin 2011, trois mois après la catastrophe, on dénombre 23 500 morts et disparus, sans plus d’espoir de retrouver des disparus survivants. Plus de 90 000 personnes sont toujours sans domicile, réfugiées dans des centres d’accueil. Le 11 août, 5 mois après la catastrophe, le bilan était de 15 689 morts et 4744 disparus, d’après l’Asahi Shimbun.
Sur la préfecture de Fukushima, le bilan officiel et provisoire de la gestion post-accidentelle de cette catastrophe, tenu par l’Agence à la reconstruction japonaise, s’élève à 1656 morts en février 2014 (1415 morts en juin 2013, 1263 morts en août 2012), surtout liées aux évacuations et à la relative fragilité des évacués, soit plus que les 1607 morts dus au séisme et au tsunami, et plus de 150 000 déplacés, indifféremment pour le séisme, le tsunami ou pour l’accident nucléaire.
Il n'y aurait PAS eu de catastrophe nucléaire à Fukushima ce 11 Mars 2011, si seulement les tuyauteries d'approvisionnement en eau des réacteurs avaient été montrées sur vérins !! Cette catastrophe vient UNIQUEMENT de cette négligence (mondiale ! sur le même modèle !!/Un ou une ministre à l'époque avait parler d'un certain budget très élevé pour chaque centrale pour 'renforcer la sécurité de la centrale', tournure de phrase pour dissimuler que les tuyaux d'approvisionnement ne sont nulle part montés sur vérins !!).
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Bêh oui, quand on est con on est con ! les 'sortis de grandes écoles' (à coups de pieds au cul ?) sont des cons de naissances formatés par la dictature pour en faire des cons supérieurs. AUCUN ministre du budget ne sait maîtriser les finances ou l'inflation ! AUCUN ministre de l'agriculture n'a semé, planté ou élevé quoi que ce soit à la campagne et est nommé 'ministre de l'agriculture' !!!
Regardez cette trisomie consternante depuis plus d'un an à propos du 'corona' !! Ils refusent d'écouter les scientifiques et disent qu'ils en savent plus que les scientifiques sans jamais avoir fait une heure d'étude scientifique !!!
James Corbett n'est probablement pas longtemps pour le monde YouTube, après avoir reçu son deuxième avertissement, sa chaîne est sur le billot.
Il existe encore de nombreuses plateformes sur lesquelles vous pouvez suivre son travail (détaillé dans la vidéo ci-dessus), surtout son site Web. Nous vous suggérons de vous abonner par e-mail ou RSS. (Voici également une liste des vidéos de Corbett que YouTube a déjà supprimées).
Pour les créateurs, c'est un rappel opportun: ayez TOUJOURS des sauvegardes sur papier de votre travail et inscrivez-vous sur plusieurs plates-formes. Les plates-formes indy augmentent à la fois en nombre et en taille. De BitChute à LBRY.tv en passant par les réseaux sociaux comme Gab et Parler.
Corbett n'est pas le seul média indépendant confronté à une censure et un déni de service accrus. Whitney Webb, une grande chercheuse indépendante et journaliste qui a écrit pour de nombreux points de vente et dirige UnlimitedHangout.com, risque également de voir son Patreon fermé.
Big Pharma est en train d'enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
RépondreSupprimerXavier Bazin
Santé Corps Esprit
mer., 10 mar. 2021 22:58 UTC
Longue lettre de Xavier Bazin, qui contient quelques preuves supplémentaires, pour ceux qui douteraient encore !
Big Pharma est en train d'enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine
Cher(e) ami(e) de la Santé, Si vous pensez encore qu'il n'y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit. Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d'un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement. Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :
Il n'a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
Les tests préliminaires ne montrent pas d'efficacité probante... et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;
Il doit être prescrit à l'hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu'il n'a de chances d'être efficace qu'au début de l'infection ;
Et pour couronner le tout, c'est le genre de médicament qui favorise l'apparition de nouveaux variants[1].
Bref, il n'y a vraiment aucune bonne raison d'accorder une « autorisation temporaire d'utilisation » à ce médicament.
Mais c'est pourtant ce que vient de faire l'Agence du Médicament.
« Une autorisation temporaire d'utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c'est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.
Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?
Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.
Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés. Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui. Mais ici, on en a appris de belles !
Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve.
Or, tenez-vous bien[3] :
Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d'Emmanuel Macron ;
Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l'Elysée ;
Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.
Comme cela a été résumé sur twitter :
« Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l'épouse d'un député LREM (3), la mère de l'adjoint au chef de cabinet de l'Élysée (4) et de sa conseillère santé (5). » [4]
Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent patron de l'agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France !! Et voilà comment un médicament à 1 000 euros, inefficace et risqué a été approuvé par nos autorités.
C'est honteux.
RépondreSupprimerMais ce qui est beaucoup plus grave, c'est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies.
Et « en même temps », le gouvernement refuse l'efficace ivermectine à 8 euros !
Croyez-le ou non, mais l'ivermectine n'a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d'utilisation » (RTU). Elle ne peut donc toujours pas être prescrite largement par les médecins contre la Covid-19.
Comme je vous le dis depuis des mois, c'est pourtant un remède à l'efficacité extraordinaire contre la Covid-19.
Plus de 40 études scientifiques ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon, à tous les stades de la maladie : en prévention, dès le début de l'infection, et même à l'hôpital.
Des grands médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :
L'Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l'efficacité hors norme de l'ivermectine devant le Sénat américain[5] ;
Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d'expert de 105 pages en faveur de l'ivermectine[6] ;
Le Dr Andrew Hill, consultant pour l'Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d'études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %[7] ;
Au Japon, l'association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament[8].
En France, c'est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l'efficacité de l'ivermectine[9].
Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d'excellents résultats :
L'État indien Uttar Pradesh, qui a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d'ivermectine et de zinc ;
Au Mexique, l'État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l'épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l'ivermectine ;
Tout récemment, dans l'Union européenne, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.
Mais dans la plupart de pays occidentaux, sous influence de Big Pharma, RIEN.
Il y a quelques semaines, à l'Assemblée nationale, le ministre Olivier Véran s'est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet.
La député Wonner avait courageusement interpellé le Ministre sur l'ivermectine... et Olivier Véran lui a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l'eau de javel, en référence à Trump !
Il a fallu que des associations traînent l'Agence du Médicament devant les tribunaux pour qu'elle daigne accepter d'examiner le dossier de l'ivermectine[10] !
Et le pire, c'est que je pense déjà connaître la réponse de l'Agence, prévue pour fin mars : malgré l'avalanche de preuves scientifiques en faveur de l'ivermectine, il est à craindre que l'Agence du Médicament lui oppose un refus - comme elle a opposé un refus injustifié pour l'hydroxychloroquine.
Car les mêmes manipulations sont à l'œuvre : corruption au plus haut niveau et manipulation de la science.
RépondreSupprimerLisez-bien ce qui suit : ce qui s'est passé sur l'hydroxychloroquine est en train de se reproduire, sous nos yeux !!!
Je suis sincèrement sidéré, en plus d'être révolté, car l'ivermectine était une cible beaucoup plus difficile à balayer que l'hydroxychloroquine.
Je vais vous expliquer pourquoi.
Il était pourtant beaucoup plus difficile de nier l'intérêt de l'ivermectine !
Mais commençons par les points communs entre l'hydroxychloroquine et l'ivermectine :
Les deux sont des vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l'OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde ;
Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées - dans certains pays, ils sont même en vente libre, sans ordonnance ;
Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, parce que ce sont des médicaments génériques : aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits avec ces molécules ;
Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l'hôpital, donc une fois que l'état du patient s'est détérioré, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine peuvent être données par des médecins généralistes dès les premiers symptômes ;
Et, contrairement aux vaccins et autres médicaments « innovants » et hors de prix, ces deux médicaments peuvent être facilement fabriqués en masse et distribués à toute la planète très vite, sans retard ni discrimination.
Bref, l'hydroxychloroquine et l'ivermectine sont, sur le papier, des remèdes parfaits pour faire face à une épidémie mondiale comme la Covid-19.
Mais l'ivermectine présente aussi des qualités assez nettement supérieures à l'hydroxychloroquine :
L'ivermectine est encore plus sûre que l'hydroxychloroquine
L'hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage... ce qui n'est pas le cas de l'ivermectine : avec ce médicament, on n'a même pas décelé d'effet indésirable à 10 fois la dose habituelle[11] !
Par ailleurs, dans de très rares cas (1/10 000), l'hydroxychloroquine peut provoquer un trouble du rythme cardiaque - on ne connaît pas de problème de ce type pour l'ivermectine !
Il n'y a donc strictement rien à perdre et tout à gagner (des hospitalisations à éviter et des vies à sauver !) à prescrire massivement l'ivermectine en cas d'infection au coronavirus.
L'ivermectine est nettement plus efficace que l'hydroxychloroquine
Quoi qu'en disent BFM TV ou l'AP-HP, il est clair que l'hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement. C'est la conclusion qui ressort de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde[12], sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille.
Mais cette efficacité n'est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l'hôpital.
RépondreSupprimerC'est déjà beaucoup mieux que rien, évidemment, et il était criminel d'interdire ce médicament.
Mais avec l'ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires :
En prévention, l'ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n'importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d'infection ;
En traitement, l'ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu'à 75 % !
C'est la conclusion des méta-analyses qui ont été réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill[13] comme celle du Dr Pierre Kory[14].
Il y a même eu quelques articles de presse sur cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times[15] :
- voir sur site -
Ou dans le Daily Mail[16] :
- voir sur site -
(Un médicament qui traite les poux et la gale pourrait réduire la mortalité du Covid jusqu’à 75 %, selon une étude)
Et l'ivermectine a un dernier atout dans sa manche :
L'ivermectine montre, sans doute possible, une réduction de la charge virale
Cerise sur le gâteau, contrairement à l'hydroxychloroquine qui agit de façon différente sur la Covid-19, l'ivermectine a un effet direct et évident sur la « charge virale ».
Or la charge virale est un indicateur d'efficacité que les biologistes aiment bien, car on peut facilement le mesurer : cela permet de savoir si, grâce au médicament, vous avez moins de virus dans votre corps - et si c'est le cas, c'est la preuve qu'il a une action bénéfique !
Or sur ce sujet, TOUTES LES ÉTUDES montrent un effet majeur et sans équivoque de l'ivermectine.
J'invite les spécialistes à jeter un œil au tableau ci-dessous :
- voir sur site -
Toutes ces études randomisées montrent une réduction de la charge virale, statistiquement significative. Il est donc évident pour toute personne de bon sens, qu'il faut prescrire massivement l'ivermectine, sans attendre une seconde.
Il y a encore quelques semaines, les sceptiques de mauvaise foi disaient se méfier des études menées dans des pays comme l'Égypte, la Turquie, l'Argentine, le Nigeria ou le Bangladesh. Mais tout récemment en Israël, pays phare de la médecine moderne, une étude parfaitement menée, par un professeur renommé (le Pr Schwartz), a montré une réduction de la charge virale multipliée par 3 au 6ème jour, un résultat extraordinaire[17] !
Bref, en apparence, il paraît difficile de nier l'efficacité et l'innocuité de l'ivermectine... et IMPOSSIBLE de faire croire à son inefficacité et à sa dangerosité, comme cela a été fait avec l'hydroxychloroquine.
Et pourtant, c'est ce qui est en train de se passer.
RépondreSupprimerComme en 2020 avec l'hydroxychloroquine, interdite au profit du remdésivir inefficace à 2 000 euros... l'année 2021 commence par l'autorisation du bamlanivimab inefficace à 1 000 euros... et le refus de l'ivermectine !
C'est fou, mais les méthodes qui ont permis d'écarter l'hydroxychloroquine sont méthodiquement appliquées contre l'ivermectine :
Méthode 1 : censurer les études favorables !
Le complot - j'ose le mot - est évident avec ce qui est arrivé au Dr Kory.
Le Dr Kory et plusieurs de ses collègues ont rédigé un article de synthèse sur l'ivermectine, concluant bien sûr à sa très forte efficacité contre la Covid-19. Ils ont transmis leur article pour publication à un journal médical de premier rang, Frontiers of Pharmacology. Leur article a été évalué de façon très stricte, par trois grands experts mondiaux, dont deux membres de l'autorité de santé américaine (FDA). Ces évaluateurs ont examiné l'article et donné leur feu vert à sa publication, car sa rigueur scientifique était incontestable. En janvier, la revue Frontiers of Pharmacology a donc annoncé la publication prochaine de l'article, et affiché le résumé de cet article sur son site Internet. Normalement, à partir du moment où les experts commandités par la revue ont validé l'article, plus rien ne peut s'opposer à sa publication.
Plus rien... sauf des pressions et du lobbying au plus haut niveau.
De façon hallucinante, la revue Frontiers of Pharmacology a annoncé il y a quelques jours qu'elle ne publierait pas cet article !
C'est du jamais vu.
Le Dr Kory est sous le choc.
Lui qui refusait depuis le début d'accorder du crédit aux « théories du complot » impliquant Big Pharma, il a été forcé de se rendre à l'évidence !
« J'ai essayé jusque-là d'être juste et généreux (NDLR : c'est-à-dire de ne pas voir de « complot » contre l'ivermectine), mais là, c'est clairement de la censure, il n'y a pas d'autre explication possible.
Il est indéfendable en science de rejeter un article revu par les pairs et accepté pour publication après trois cycles d'examen par des experts du sujet.
C'est inadmissible. Inadmissible. »[18]
J'aimerais que vous mesuriez l'importance et l'ignominie de ce qui est en train de se passer. Un traitement ultra-efficace contre la Covid-19 est en train d'être censuré, à nouveau. Il faut bien comprendre les conséquences de la censure de cet article.
Le processus « normal » est de publier des essais dans des revues médicales de premier plan - et c'est généralement sur ces articles que se basent les autorités pour trancher.
Donc si les grands journaux médicaux, sous influence de Big Pharma, refusent de publier les articles favorables à un médicament, cela a énormément de poids dans la décision finale des autorités.
Et c'est exactement ce qui se passe avec l'ivermectine.
Méthode 2 : éviter de publier les études favorables !
RépondreSupprimerComme l'a expliqué la Dr Tess Lawrie, chercheuse indépendante et sans conflit d'intérêts :
« Il y a tout un tas d'étude sur des sites de pré-publication et les chercheurs ont toutes les peines du monde à faire publier leurs études sur l'ivermectine.
Ce qui est arrivé avec l'étude du Dr Kory est sans précédent.
Il se passe donc quelque chose de très très louche. Des personnes ou des organisations très puissantes empêchent la diffusion des informations sur l'ivermectine. »[19]
Dans le cas du journal Frontiers of Pharmacology, il leur a fallu censurer en catastrophe un article favorable à l'ivermectine, déjà approuvé pour publication. Mais habituellement, la manipulation est plus facile et moins visible : il suffit de ne pas approuver une étude pour publication ! Comme ça, les auteurs peuvent difficilement crier à la censure : il y a toujours des raisons valables d'accepter ou refuser une étude.
C'est ce qui s'était passé avec le Pr Raoult. Il a réalisé une étude montrant l'intérêt de son protocole sur près de 7 000 patients et a essayé de la publier dans The Lancet, journal très prestigieux (mais corrompu).... lequel a non seulement refusé de le publier, mais choisi à la place de publier le fameux article frauduleux concluant faussement à l'inefficacité et même à la dangerosité de l'hydroxychloroquine.
Dans le cas le Pr Raoult, grâce à sa réputation internationale, il a fini par pouvoir publier ses études dans un autre journal médical. Mais dans le cas des études sur l'ivermectine, dont beaucoup ont été réalisées par des pays en développement (Egypte, Iran, Pakistan, etc.), il est très facile aux journaux médicaux de refuser leur publication, sous des prétextes plus ou moins fallacieux.
Et c'est ainsi que vous avez des idiots utiles, journalistes ou médecins, qui vous disent que l'ivermectine ne marche pas, simplement parce que les essais cliniques favorables n'ont pas tous été publiés dans des revues médicales de premier plan.
C'est ce qu'a fait « AFP factuel »[20], par exemple, dans un article d'une incroyable mauvaise foi, qui cite la Société française de pharmacologie et de thérapeutique : parmi les arguments évoqués contre l'ivermectine, il est indiqué que les essais cliniques sont « dans la grande majorité des prépublications non validées par leurs pairs »[21].
Je répète que c'est un argument fallacieux : n'importe quel expert digne de ce nom est capable d'analyser une étude tout seul, sans avoir besoin qu'elle soit publiée dans une revue.
Et ce n'est pas fini.
Pour enterrer définitivement l'ivermectine, il faut aussi publier très vite, dans de grands journaux, des études qui lui sont défavorables, au moins en apparence !
Méthode 3 : vite publier des études « défavorables » dans des journaux prestigieux
RépondreSupprimerRappelez-vous qu'il s'est passé la même chose avec l'hydroxychloroquine.
Toutes les études en traitement précoce aboutissaient à des résultats favorables à l'hydroxychloroquine.
Mais faute de patients en nombre suffisant, ces résultats n'étaient pas statistiquement significatifs - ce qui veut dire qu'on ne pouvait pas conclure avec certitude à leur efficacité. Mais plutôt que de dire cela - « le signal est positif mais on ne peut pas conclure avec certitude » - les auteurs en conflit d'intérêts concluaient à l'inefficacité du traitement !
Et ces articles-là étaient immédiatement publiés, dans les revues les plus prestigieuses, et cités comme la preuve que l'hydroxychloroquine ne marchait pas.
Avec l'ivermectine, cela recommence.
Il faut dire qu'il est très facile d'obtenir un résultat « négatif » en apparence.
Il existe une recette simple, déjà éprouvée avec l'hydroxychloroquine : il suffit de tester un remède sur des patients jeunes et en bonne santé.
Comme tous, ou presque, vont guérir de la Covid-19 sans problème, il est impossible d'avoir un résultat probant.
Et c'est ce qui vient de se passer avec un essai clinique colombien publié dans le JAMA, journal prestigieux mais corrompu par Big Pharma. Les auteurs de l'article eux-même sont en conflit d'intérêts majeurs, avec de l'argent reçu par plusieurs grands laboratoires. Dans leur étude, ces chercheurs ont donné de l'ivermectine a des patients positifs à la Covid-19 âgés de 37 ans en moyenne - donc très jeunes, et peu à risque. Puis, ils ont regardé l'état des patients au bout de 21 jours et... sans la moindre surprise, ils n'ont pas trouvé de différence majeure entre ceux qui ont reçu le médicament et les autres.
Forcément, la plupart ont guéri sans problème ! Et les auteurs concluent faussement à l'inefficacité de l'ivermectine !
Immédiatement, cette fausse étude a été bien relayée : le New York Times a publié un article sur « l'échec » de l'ivermectine, et sera sans doute suivi par les journaux français... ainsi qu'Olivier Véran pourra lui aussi brandir cette étude, comme il le faisait avec les études contre l'hydroxychloroquine !
Mais une fois de plus, cette « étude » est une énorme manipulation.
Sans même parler de ses défauts méthodologiques énormes, cet essai clinique est en réalité favorable à l'ivermectine car les patients sous ivermectine :
Ont été moitié moins nombreux à connaître une « détérioration » de leur état, selon 8 indicateurs ;
Et ont été moitié moins nombreux à recevoir de l'oxygène (à domicile).
Comme toujours, ces résultats ne sont pas « significatifs statistiquement », faute de patients en nombre suffisant.
Mais ils sont positifs et parfaitement cohérents avec les autres études sur l'ivermectine !
Problème : une fois de plus, on monte en épingle comme « négative » une étude peu concluante statistiquement, mais globalement positive !
RépondreSupprimerEt tous les corrompus et idiots utiles du système vont pouvoir vous dire en chœur, « vous voyez, il n'y a pas de complot, l'ivermectine ne marche pas ! ».
Alors qu'il ne fait aucun doute que l'ivermectine est très efficace contre la Covid-19 !
Plus de 20 études randomisées le prouvent !
Des médecins du monde entier observent de leurs yeux son efficacité, avec des patients qui s'améliorent en quelques heures, après la prise du traitement !
La mortalité a chuté dans les États et les régions qui ont massivement utilisé ce médicament. Cette omerta, cette censure et ce sabotage, c'est CRIMINEL, HONTEUX, INSUPPORTABLE. Transmettez cette lettre autour de vous.
On ne peut pas accepter, une nouvelle fois, la censure d'un traitement qui marche.
Bonne santé,
PS : DERNIÈRE MINUTE - les médecins courageux commencent à se multiplier, c'est heureux !
Tout récemment, le Pr Pierre-Jean Guillausseau, ancien chef de service à l'hôpital Lariboisière et professeur émérite à l'université Paris 7, a examiné les études en présence et conclu[22] :
« Je termine une revue sur Ivermectine et COVID-19 à paraître dans Horizons&Thérapies.
Les résultats des trois méta-analyses sont tous concordants et mon analyse critique de 3 essais randomisés et contrôlés de prévention et de 20 essais randomisés et contrôlés de traitement permet de conclure sans discussion à une diminution de 92% du risque de transmission en prophylaxie par l'ivermectine et à une diminution de la mortalité de 75%, ainsi qu'à une diminution significative de la durée d'hospitalisation et du délai de guérison grâce au traitement par l'ivermectine de patients atteints d'une COVID-19... et pourtant ce traitement n'est ni recommandé ni même autorisé (quoi que nous ayons le droit de prescrire hors AMM sous certaines conditions).
Il faut savoir que l'Ivermectine n'a pas d'effets secondaires.
Message à nos politiques et à nos autorités de santé: de grâce, d'urgence donnez ou faites donner une RTU (Recommandation Temporaire d'Utilisation) à l'Ivermectine ! »
Sources
RépondreSupprimer[1] https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/anticorps-monoclonaux-imbroglio-autour-d-un-medicament-risque-mais-pousse-par-l-etat_2145966.html
[2] https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/anticorps-monoclonaux-imbroglio-autour-d-un-medicament-risque-mais-pousse-par-l-etat_2145966.html
[3] https://www.liberation.fr/checknews/traitement-contre-le-covid-19-y-a-t-il-un-conflit-dinteret-entre-le-labo-lilly-et-certains-conseillers-du-gouvernement-20210302_2YJH2PU7XFHQNBBUS5YOYGPEAI/
[4] https://twitter.com/Celine_at_Paris/status/1366017884489732098
[5] https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/11/FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf
[6] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf
[7] https://www.researchsquare.com/article/rs-148845/v1
[8] https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=en&u=https://www.nikkei.com/article/DGXZQOFB25AAL0V20C21A1000000/
[9] https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/250221/pourquoi-l-ivermectine-est-probablement-le-meilleur-traitement-de-la-covid
[10] https://www.francesoir.fr/societe-sante/ivemectine-pret-du-lansm-verdict-avant-fin-mars
[11] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12362927/
[12] https://hcqmeta.com/
[13] https://www.researchsquare.com/article/rs-148845/v1
[14] https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_8cb655bd21b1448ba6cf1f4c59f0d73d.pdf
[15] https://www.thetimes.co.uk/article/ivermectin-tests-show-cheap-drug-may-reduce-covid-19-death-toll-zb27lx8wt
[16] https://www.dailymail.co.uk/news/article-9297449/Drug-used-treat-lice-scabies-drug-cut-Covid-deaths-75-research-suggests.html
[17] https://trialsitenews.com/randomized-double-blinded-clinical-trial-at-sheba-medical-center-ivermectin-materially-reduces-covid-19-viral-shedding/
[18] https://twitter.com/GabinJean3/status/1366724628526354441
[19] https://twitter.com/GabinJean3/status/1366724628526354441
[20] https://factuel.afp.com/lefficacite-de-livermectine-contre-le-covid-nest-pas-scientifiquement-demontree
[21] https://sfpt-fr.org/component/tags/tag/evaluation-de-nouveaux-traitements
[22] https://www.linkedin.com/posts/guillausseau-pierre-jean-3199a745_ivermectine-covid19-politiquesanitaire-activity-6772978982917808128-pzqc/
https://fr.sott.net/article/36697-Big-Pharma-est-en-train-d-enterrer-methodiquement-la-tres-efficace-ivermectine
Pourquoi le virus (corona) ne peut être qu'à perpétuité ? Parce qu'il existe depuis 10 000 ans et existera encore dans 10 000 ans !
SupprimerMais il y a virus et virus comme il y a corona et corona. Ils se ressemblent tous ! Et, comme les laboratoires n'ont pas de compteur Geiger capable de tester la microscopie, ils leur est impossible de savoir lequel est actif et lequel est inactif.
Reprenons: Le virus est une poussière irradiante dont le pouvoir d'émission (comme une pile ou batterie) est limité à 3 semaines. Or, il y a des kilomètres de milliards de virus qui flottent dans l'air et, les 'plus vieux' ont l'âge du monde ! Et, même s'ils sont inactifs et donc parfaitement inoffensifs comme le sont les poussières de terre ou les grains de sable, ils sont dans l'air. Ils tombent au sol en cas de pluie, de neige ou de brouillards puis, dès que le sol est sec, l'eau évaporée, ils s'envolent au premier coup de vent ! Ils font ainsi des millions de fois le tour de la Terre.
L'objectif du Plan Dépopulation n'est pas le nouveau-nouveau-nouveau virus (qui change chaque mois) et qui n'arrive pas (en létalité) à la cheville d'une grippe saisonnière mais d'entretenir la peur. La peur pour que des idiots se fassent vacciner (vaccin létal) et maintenir que les morts ne sont pas suite aux vaccins mais aux virus !
Le virus coupable (appelé 'corona' par ressemblance) n'a TOUJOURS PAS ÉTÉ IDENTIFIE ! Donc: IMPOSSIBILITÉ DE PRODUIRE UN VACCIN SUSCEPTIBLE DE L’ÉLIMINER ! C'est pourquoi la TOTALITÉ des vaccins proposés échoue. Ils échouent aussi parce qu'il est impossible de mettre au point un vaccin en moins de 3 semaines et, de plus, chaque mois c'est un NOUVEAU virus (qui n'a rien à voir avec les précédents) qui est largué !
Du jamais vu dans l'histoire de l'humanité ! Des virus qui descendent même par temps secs (été) !
Je rappelle qu'il n'EXISTE PAS de masque ANTIVIRUS, le masque dit 'le plus fin' est le N95 ou FFP2 ('bec de canard') et a un maillage de TROIS MICRONS tandis que le virus ne mesure que ZÉRO MICRON VIRGULE UN à ZÉRO MICRON VIRGULE CINQ ! Donc: Il passe librement !
Nous respirons toutes et tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 virus ou microbes par minute et 2 MILLIONS en activité physique. D'où l'inutilité de superposer des masques ! 3µ + 3µ + 3µ + 3µ + 3µ + 3µ = 3 MICRONS !
Donc, lors de 'tests' RT-PCR, sont examinés des millions (milliards ?) de virus ou microbes et, comme vous avez forcément respiré du corona (même vieux de 10 000 ans), ils vous diront forcément que vous êtes porteur ou porteuse du virus ! Car, ils ne peuvent pas dire si le virus est actif ou inactif !
C'est donc: à la tête du client et du chiffre (quota journalier) demandé !
Vous êtes bonne poire n'est-ce pas ?
Bactéries et virus: un réseau de relations dans nos intestins
RépondreSupprimerAdrien
techno-science.net
jeu., 11 mar. 2021 16:00 UTC
L'équilibre du microbiote intestinal humain est crucial pour la santé. Il se compose de centaines d'espèces bactériennes et de phages (des virus qui n'infectent que les bactéries).
- voir dessin sur site -
Réseau d'interactions entre les phages (en bleu) et les bactéries (en vert) présent dans un microbiote humain. Les traits représentent l'assignation d'un phage à son hôte bactérien.
Une équipe de recherche, comprenant des scientifiques du CNRS et de l'Institut Pasteur, a caractérisé avec une précision sans précédent les réseaux d'interaction phages-bactéries du microbiote de dix individus sains. Les scientifiques ont détecté plusieurs centaines de génomes de bactéries et de phages et identifié les milliers d'interactions les liant grâce à la quantification des contacts entre les molécules d'ADN des virus et de leurs hôtes.
Cette méthode a l'avantage de fournir des données exhaustives à partir de très peu d'échantillons biologiques. Les résultats ont ensuite été analysés avec des algorithmes semblables à ceux appliqués à l'étude des communautés d'individus sur les réseaux sociaux. La mise en lumière de ce panorama de relations entre bactéries et phages pourrait s'appliquer à des thérapies impliquant le microbiote intestinal, telles que la transplantation fécale et la phagothérapie.
L'approche utilisée dans l'étude, récemment parue dans eLife, pourrait également déboucher sur des analyses plus précises des écosystèmes terrestres et marins.
Bibliographie :
MetaHiC phage-bacteria infection network reveals active cycling phages of the healthy human gut.
Martial Marbouty, Agnès Thierry, Gaël A. Millot et Romain Koszul.
eLife, le 26 février 2021. DOI: 10.7554/eLife.60608.
https://fr.sott.net/article/36690-Bacteries-et-virus-un-reseau-de-relations-dans-nos-intestins
Au Québec, des parents d'élèves se rebiffent contre le port du masque obligatoire pour leurs enfants
RépondreSupprimer13 mars 2021, 22:58
Depuis le 8 mars au Québec, des parents refusent d'envoyer leurs enfants à l'école pour protester contre le port du masque obligatoire pour les mineurs âgés de 6 à 12 ans. En France, des familles ont saisi le Conseil d'Etat sur cette question.
Au Québec, depuis le 8 mars, des parents d'élèves protestent ouvertement contre le port du masque chez les élèves du primaire (enfants âgés de 6 à 12 ans) en refusant d’envoyer leurs enfants à l’école. A l’origine de cette mobilisation : le Collectif-Parents Québec qui regroupe environ 2 500 parents d'élèves et qui a lancé le mouvement «Après la relâche, je garde mon enfant à la maison».
Réagissant le 9 mars sur cette décision de ne pas envoyer leurs enfants à l'école, le Premier ministre du Québec, François Legault, a déclaré qu'il trouvait ça «tellement triste» que des parents d'élèves puissent priver leurs enfants d'aller à l'école parce que des parents ne sont pas d'accord avec «les mesures de santé publique». Interrogée le 10 mars par le Journal de Québec, l'une des fondatrices de l'organisation parentale, Pascale Montesano, a expliqué que «plusieurs de nos membres vont rester en grève jusqu’à la fin de la semaine, mais il y en a d’autres qui ont déjà entrepris les démarches pour faire de l’école à la maison».
Le collectif ne «comprend pas» pourquoi le Premier ministre ne répond pas sur les mesures alternatives jugées moins néfastes sur la santé des jeunes comme l'installation de purificateurs d'air, l'installation de capteurs de CO2 ou encore la possibilité de faire des demi-classes ou des cours en ligne. Dans son intervention, Pascale Montesano précise également qu'en Grande-Bretagne, pays du variant britannique, le port du masque dans les écoles primaires n'est pas obligatoire.
«On aimerait bien savoir où sont les études qui prouvent que le port du masque ne serait pas nuisible chez les enfants, que ça ne va pas causer des problèmes sur leur santé physique, mentale, ou leur apprentissage», plaide-t-elle en citant l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui explique dans un document que «l’intérêt supérieur de l’enfant, sa santé et son bien doivent être au cœur des préoccupations». Sur internet, des parents d'élèves publient les tests d'oxygénation de leurs enfants
En France, le 13 mars 2021, des parents ont manifesté pour protester contre le port du masque obligatoire à l'école pour les enfants âgés de 6 à 11 ans. Deux collectifs (Les Parents atterrés et Enfance et libertés) ont décidé de déposer un recours en référé devant le Conseil d'Etat contre le port du masque obligatoire pour les enfants de 6 à 11 ans. Ce recours prend notamment appui, selon ces associations, sur «des déclarations de spécialistes faisant autorité dans le domaine scientifique et allant dans le sens des requérants». Un autre phénomène de contestation du port du masque à l'école est apparu sur la toile ces dernières semaines avec la publication, par des parents d'élèves inquiets, des tests d'oxygénation de leurs enfants via un appareil électronique (un oxymètre) qui mesure la saturation en oxygène dans le sang.
Les parents qui publient ces résultats s'alarment d'une chute drastique du taux d'oxygénation du sang de leurs enfants. C'est notamment le cas de l'économiste Philippe Murer, qui s'est étonné le 9 mars sur Twitter, ce qu'il pense être une chute importante de l'oxygénation du sang de sa fille après 3 heures de port du masque. Une méthode de contrôle de l'oxygénation du sang qui semble toutefois perfectible lorsqu'elle est mal utilisée.
RépondreSupprimerMa fille de retour après 3 heures de cours avec un masque teste sa saturation en oxygène. 75%! Après 5 minutes sans masque 95 %. Il semble que le docteur @cab2626 ait raison. Quand le ministre @olivierveran vérifiera s’il y a bien un gros problème ? RT massif pic.twitter.com/GLu6lObjnx— Philippe Murer 🇫🇷 (@PhilippeMurer) March 9, 2021
De son côté, l'OMS certifie toutefois que les masques ne peuvent provoquer de tels effets même s'ils sont portés durablement : « L’utilisation prolongée de masques médicaux peut être inconfortable, mais elle n’entraîne ni intoxication au gaz carbonique ni manque d’oxygène.» avait-t-elle indiqué.
https://francais.rt.com/international/84688-quebec-parents-deleves-se-rebiffent-contre-port-masque-enfants
Le Dr Wodarg et le Dr Yeadon demandent l'arrêt de toutes les expérimentations de vaccination corona et appellent à cosigner la pétition
RépondreSupprimer1 décembre 2020
Le 1er décembre 2020, l'ancien responsable de la recherche respiratoire chez Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le spécialiste des poumons et ancien chef du département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé une demande auprès de l'EMA, l'Agence européenne du médicament responsable de l'ensemble de l'UE. l'approbation du médicament, pour la suspension immédiate de toutes les études vaccinales contre le SRAS CoV 2, en particulier l'étude BioNtech / Pfizer sur BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).
Le Dr Wodarg et le Dr Yeadon exigent que les expérimentations - pour la protection de la vie et de la santé des volontaires - ne soient pas poursuivies jusqu'à ce qu'un plan d'étude soit disponible, adapté pour répondre aux préoccupations importantes en matière de sécurité exprimées par un nombre croissant de scientifiques contre le vaccin et la conception de l’étude.
D'une part, les pétitionnaires exigent que, en raison du manque de précision connu du test PCR dans une étude sérieuse, un séquençage dit de Sanger soit utilisé. C'est le seul moyen de faire des déclarations fiables sur l'efficacité d'un vaccin contre Covid-19.
Sur la base des nombreux tests PCR différents de qualité très variable, ni le risque de maladie ni un éventuel bénéfice vaccinal ne peuvent être déterminés avec la certitude nécessaire, c'est pourquoi tester le vaccin sur des humains est contraire à l'éthique en soi.
En outre, ils exigent qu'il soit exclu, par ex. au moyen d'expérimentations animales, que les risques déjà connus des études précédentes, qui proviennent en partie de la nature des virus corona, peuvent être réalisés. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants:
La formation d'anticorps dits «non neutralisants» peut conduire à une réaction immunitaire exagérée, en particulier lorsque la personne testée est confrontée au vrai virus «sauvage» après la vaccination. Cette amplification dite dépendante des anticorps, ADE, est connue depuis longtemps par des expériences avec des vaccins corona chez le chat, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus sauvage.
Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que les humains. Il doit être absolument exclu qu'un vaccin contre le SRAS-CoV-2 puisse déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sinon l'infertilité de durée indéfinie pourrait entraîner des femmes vaccinées.
Les vaccins à ARNm de BioNTech / Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). 70% des personnes développent des anticorps contre cette substance - cela signifie que de nombreuses personnes peuvent développer des réactions allergiques potentiellement mortelles à la vaccination.
RépondreSupprimerLa durée beaucoup trop courte de l'étude ne permet pas une estimation réaliste des effets tardifs. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d'urgence était accordée et la possibilité d'observer les effets tardifs de la vaccination suivrait. Néanmoins, BioNTech / Pfizer a apparemment soumis une demande d'approbation d'urgence le 1er décembre 2020.
APPEL À L'AIDE: Dr. Wodarg et Dr. Yeadon demandent au plus grand nombre de citoyens européens de cosigner leur pétition en envoyant l'e-mail préparé ici à l'EMA.
Nachtrag: Wegen teilweiser Überlastung der Server hier der Inhalt der E-Mail und die Kontaktadressen zum späteren Selbst-Versenden:
An: press@ema.europa.eu; petitionEMA@corona-ausschuss.com
Betreff: cosignataire de la pétition du Dr Wodarg, Allemagne, et du Dr Yeadon, Royaume-Uni (soumise le 1er décembre 2020)
Madame, Monsieur, Je cosigne par la présente la pétition du Dr Wodarg et du Dr Yeadon pour soutenir leur demande urgente de suspendre le ou les essais cliniques de phase III du BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42) et d'autres essais. Le texte complet de la pétition du Dr Wodarg et du Dr Yeadon peut être trouvé ici: https://2020news.de/wp-content/uploads/2020/12/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned request with_Exhibits.pdf du Dr Wodarg et du Dr Yeadon immédiatement. Salutations
https://2020news.de/en/dr-wodarg-and-dr-yeadon-request-a-stop-of-all-corona-vaccination-studies-and-call-for-co-signing-the-petition/
«Pratiquement tous les indicateurs» montrent que la pandémie fait reculer le développement de l’enfance: UNICEF
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 14 MAR 2021 - 9:55
Il ne fait aucun doute que la pandémie de virus a eu un impact sur la jeune génération, ce qui pourrait les marquer profondément, mentalement et physiquement, pendant des années. Plus d'un an après le début de la pandémie, avertit l'UNICEF, «les progrès ont régressé dans pratiquement toutes les mesures clés de l'enfance».
<< Le nombre d'enfants affamés, isolés, maltraités, anxieux, vivant dans la pauvreté et contraints de se marier a augmenté. Parallèlement, leur accès à l'éducation, à la socialisation et aux services essentiels, notamment la santé, la nutrition et la protection, a diminué >>, Henrietta Fore, Directrice générale de l'UNICEF, a déclaré dans un communiqué.
«Les signes que les enfants porteront les cicatrices de la pandémie pour les années à venir sont indéniables», a poursuivi Fore.
Les dernières données de l'UNICEF rappellent brutalement que la fermeture de l'économie et des écoles pendant une période prolongée est une décision politique erronée. Dans un rare moment mercredi, Anthony Fauci a déclaré à CNN qu'il n'y avait aucune raison scientifique pour laquelle les personnes qui ont reçu le vaccin COVID-19 voient encore leurs libertés restreintes. En outre, il existe de nombreuses preuves montrant que la réponse immunitaire des enfants au virus est meilleure que celle des adultes ». Mais quand même, de nombreuses écoles sont fermées dans le monde ...
Fore a demandé aux gouvernements de placer les enfants «au cœur des efforts de relèvement», notamment en «donnant la priorité aux écoles dans les plans de réouverture».
Voici les résultats de l'UNICEF qui montrent que «pratiquement tous les indicateurs» de progrès pour les enfants se sont inversés sous les verrouillages:
Dans les pays en développement, la pauvreté des enfants devrait augmenter d'environ 15 pour cent. On prévoit également que 140 millions d’enfants supplémentaires dans ces pays appartiennent déjà à des ménages vivant en dessous du seuil de pauvreté.
Les écoles de plus de 168 millions d'écoliers dans le monde sont fermées depuis près d'un an. Les deux tiers des pays ayant des fermetures totales ou partielles se trouvent en Amérique latine et dans les Caraïbes.
RépondreSupprimerAu moins 1 écolier sur 3 n'a pas été en mesure d'accéder à l'apprentissage à distance pendant que leur école était fermée.
Environ 10 millions de mariages d'enfants supplémentaires pourraient survenir avant la fin de la décennie, menaçant des années de progrès dans la réduction de la pratique.
Au moins 1 enfant et jeune sur 7 a vécu dans le cadre de politiques de maintien à la maison pendant la majeure partie de l'année écoulée, ce qui a entraîné des sentiments d'anxiété, de dépression et d'isolement.
En novembre 2020, 6 à 7 millions d'enfants supplémentaires de moins de 5 ans pourraient avoir souffert d'émaciation ou de malnutrition aiguë en 2020, entraînant près de 54 millions d'enfants émaciés, une augmentation de 14% qui pourrait se traduire par plus de 10000 décès d'enfants supplémentaires par mois. - principalement en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud. Avec une baisse de 40 pour cent des services de nutrition pour les enfants et les femmes, de nombreux autres résultats nutritionnels peuvent empirer.
Les politiciens et les fonctionnaires non élus ont expérimenté les verrouillages, la distanciation sociale et les retards scolaires sans tenir compte des conséquences à long terme. Jusqu'à présent, selon les recherches ci-dessus, l'impact sur les jeunes générations a été horrible. Nous l'avons déjà mentionné - cela a produit une explosion de la santé mentale au ralenti.
https://www.zerohedge.com/political/virtually-every-indicator-shows-pandemic-sets-back-childhood-development-unicef
Expliqué: Les 3 principales variantes du COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 MAR 2021 - 23:00
Alors que des milliards de personnes se préparent à une vaccination généralisée contre le COVID-19, un autre problème a surgi. Trois variantes majeures du COVID-19 ont émergé à travers le monde - et des recherches préliminaires suggèrent que ces variantes peuvent être préoccupantes.
Mais, comme l'explique Carmen Ang de Visual Capitalist ci-dessous, qu'est-ce qui les différencie de la souche originale ?
Les visualisations suivantes répondent à certaines questions clés, notamment quand ces variantes ont été découvertes pour la première fois, dans quelle mesure elles se sont répandues dans le monde et, surtout, leur impact potentiel sur la population.
Un peu de contexte: qu'est-ce qu'une variante ?
Avant de plonger, il est important de comprendre pourquoi les virus mutent en premier lieu.
Pour infecter quelqu'un, un virus prend le contrôle d'une cellule hôte et l'utilise pour se répliquer. Mais la nature n'est pas parfaite et parfois, des erreurs sont commises pendant le processus de réplication - ces erreurs sont appelées mutations.
Un virus avec une ou plusieurs mutations est appelé variant. La plupart du temps, les variantes n’affectent pas la structure physique d’un virus et, dans ces cas, elles finissent par disparaître. Cependant, il existe certains cas où une mutation affecte une partie de la constitution génétique d’un virus qui modifie son comportement.
Selon les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis, un changement de comportement peut modifier:
Taux de transmission
Mortalité
Capacité à potentiellement infecter une personne avec une immunité naturelle ou induite par un vaccin
Des recherches préliminaires ont détecté certains de ces changements dans les trois principales variantes du COVID-19 — B.1.1.7, B.1.351 et P.1.
Les 3 principales variantes du COVID-19
Les trois principales variantes sont apparues à des époques différentes et dans différentes parties du monde. Voici un aperçu de chaque variante, quand elles ont été découvertes et dans quelle mesure elles se sont répandues jusqu'à présent.
B.1.1.7
La variante B.1.1.7 a été détectée au Royaume-Uni à l'automne 2020. En décembre 2020, elle s'était répandue dans le monde entier, des cas émergeant en Europe, en Amérique du Nord et en Asie.
- voir tableau sur site -
Actuellement, la variante a été signalée dans environ 94 pays.
Les premières recherches suggèrent qu'il est 50 % plus transmissible que les autres variantes, et potentiellement 35 % plus mortel que le virus standard. Heureusement, des études suggèrent que certains des vaccins existants fonctionnent bien contre cela.
B.1.351
En octobre 2020, la deuxième variante majeure a été découverte - B.1.351. Il a été identifié pour la première fois en Afrique du Sud, mais à la fin de l'année, il s'était propagé au Royaume-Uni, en Suisse, en Australie et au Japon.
- voir tableau sur site -
Il y a environ 48 pays avec des cas rapportés, et la recherche suggère que plusieurs des vaccins COVID-19 existants pourraient ne pas être aussi efficaces contre cette variante.
P.1
La variante P.1 a été la dernière à arriver sur les lieux.
Il a été découvert pour la première fois en janvier 2021, lorsque le Japon a signalé quatre cas de la variante, qui a été trouvée chez des voyageurs arrivés du Brésil.
- voir tableau sur site -
Environ 25 pays ont signalé des cas de la variante P.1, et les premières recherches suggèrent que cette variante est non seulement plus contagieuse, mais pourrait également avoir la capacité d'infecter des personnes immunisées naturelles qui s'étaient déjà rétablies de la souche d'origine.
Encore les premiers jours
RépondreSupprimerBien qu'il y ait eu des études préliminaires montrant une baisse de l'efficacité des vaccins, certains experts soulignent qu'il est trop tôt pour le dire avec certitude. Plus de données sont nécessaires pour acquérir une compréhension plus approfondie et plus précise.
En attendant, les experts soulignent l'importance de suivre nos stratégies actuelles de santé publique, qui incluent la distance physique, la vaccination, le lavage des mains et l'utilisation de masques.
https://www.zerohedge.com/covid-19/explained-3-major-covid-19-variants
Contrairement aux microbes (bactéries) qui sont vivants, le virus est une nano-poussière expulsée du magma qui remonte à la surface des eaux par l'air produit/soufflé par la masse ferrique incandescente. Ces nano-particules sont irradiées mais ne conservent leur charges que durant 3 semaines. Il y a donc des milliards de kilomètres de milliards de virus inactifs depuis 10 000 ans qui sont dans l'air que nous respirons.
SupprimerNous respirons toutes & tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 microbes ou virus par minute et 2 millions en activité physique.
Mais, là où la nature se questionne est pourquoi y aurait-il de 'nouvelles' nano-particules ?
Là où est intervenue Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD), est qu'elle a pu analyser les coronas proposés et décrire que ces 'nouveaux virus' étaient en fait modifiés en laboratoires afin que chacun (qui n'ont qu'une durée de radiation que de 3 semaines) puisse infecter différemment sans qu'un vaccin soit susceptible d'être créé en moins de 3 semaines. Il y en aurait (d'après J.J.Crevecoeur) plus de 3300 différents susceptibles d'être créé sur la même souche.
D'où la présence 365 j par an de ces nouveaux virus largués par drones ici ou là.
😎 Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD)
jeudi 8 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html
34 000 tremblements de terre secouent l'Islande en quelques semaines alors que la menace volcanique augmente
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 14 MAR 2021 - 7:35
Le nombre de tremblements de terre augmente rapidement depuis le 4 mars, lorsque nous avons annoncé pour la première fois aux lecteurs qu'une éruption volcanique pourrait se préparer en Islande. Selon le Financial Times, au cours des dernières semaines, plus de 34 000 tremblements de terre ont été enregistrés dans la péninsule de Reykjanes alors que le pays est en «état d'alerte» pour la prochaine éruption volcanique.
- voir carte sur site -
"Jamais auparavant autant de personnes en Islande n'avaient connu autant d'activité sismique", a déclaré à FT Thorbjorg Agustsdottir, sismologue à l'Islande GeoSurvey, gérée par le gouvernement. "Ils en ont assez d'être réveillés et demandent: quand est-ce que ça va s'arrêter ?"
La plupart des tremblements de terre se produisent autour de la péninsule sud-ouest de Reykjanes qui comprend Reykjavík, la capitale de l'Islande, qui abrite 122 000 habitants, l'aéroport international de Keflavík et des infrastructures essentielles.
34 000 tremblements de terre frappent l'Islande en semaines
- voir carte sur site -
Melissa Anne Pfeffer, volcanologue atmosphérique au Bureau météorologique islandais (l'agence nationale de surveillance des volcans), a déclaré que le magma se trouve à un ou deux kilomètres sous la surface; une éruption peut survenir à tout moment.
«L'intrusion de magma faisait environ 7 km de long, jusqu'à 2 km de profondeur mais seulement 1 mètre de large», a-t-elle déclaré.
Evgenia Ilyinskaya, volcanologue à l'Université de Leeds au Royaume-Uni, a déclaré que les tremblements de terre en essaim se produisaient près de Reykjavik et du principal aéroport du pays. Elle a déclaré que les infrastructures essentielles telles que les centrales électriques sont également à proximité.
Le dernier essaim de tremblements de terre a énervé les habitants qui sont constamment réveillés au milieu de la nuit.
"C'est assez ennuyeux ... d'avoir votre maison en mouvement tout le temps", a déclaré Agustsdottir à propos des habitants de la ville de Grindavik qui est la plus touchée par les tremblements de terre.
Le dernier incident majeur a été l'éruption d'Eyjafjallajökull en 2010, qui a provoqué un arrêt massif de l'industrie aérienne mondiale alors que des panaches de cendres circulaient dans l'atmosphère. Si une éruption se produit, cela pourrait être désastreux pour l'industrie alors qu'elle tente de se remettre du ralentissement pandémique.
https://www.zerohedge.com/weather/34000-earthquakes-rock-iceland-weeks-volcano-threat-elevated
Voici comment 30 préparateurs se sont adaptés et ce qu'ils prévoient de se passer ensuite
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 MAR 2021 - 22:30
Rédigé par Daisy Luther via le blog The Organic Prepper,
Il y a beaucoup plus de fou et beaucoup moins d'argent que d'habitude, et comme je l'ai déjà écrit, le visage de la préparation a changé. Il est beaucoup plus difficile (et coûteux) de sortir et de stocker comme nous l'avons fait il y a quelques années, et l'événement auquel nous avons été confrontés a été un événement SHTF à combustion lente qui a lentement et insidieusement enlevé la sécurité financière à des centaines de milliers de personnes. des Américains.
Je me suis demandé comment les autres avaient changé leur façon de se préparer à s'adapter à cette époque. J'ai donc demandé aux membres de notre groupe Moi-Nous s'ils avaient changé leur façon de se préparer et, dans l'affirmative, quels changements ils avaient apportés. Si vous souhaitez rejoindre le groupe, allez ici, répondez à quatre questions et assurez-vous de changer votre photo de profil à partir des images de base de Me-We. Nous ne nous soucions pas non plus de ce que vous modifiez, nous essayons simplement d’éviter que le trafic «bot» ne rôde dans notre groupe.
Voici comment les lecteurs ont changé leur façon de préparer.
Avec certains des commentaires, j'ai ajouté un commentaire ou un lien en italique pour plus d'informations.
Eileen:
Je travaille à faire encore plus avec encore moins. J'ai été licencié au début de Covid. Le chèque de paie de mon mari est un peu en baisse. Nous avons observé une fois de plus que le coût des articles régulièrement utilisés montait en flèche. M'apprendre à cultiver plus de produits alimentaires à long terme cette année. À ce stade, Daisy, ne pas abandonner donne l'impression de se préparer, même si c'est juste pour se lever demain et réessayer.
Voici un article sur la façon de continuer lorsque les choses se sentent désespérées. ~ D
Lynn:
Nous nous préparons à bouger. J'utilise mes préparations alimentaires pour voir ce dont nous avons vraiment besoin et ce qui a été difficile à utiliser. Se rapportant principalement à la nourriture et aux produits de première nécessité. Économiser de l'argent pour acheter des préparations fraîches après le déménagement. Nous avons déménagé il y a un an et j'avais un énorme stock qui a dû être déplacé deux fois en deux mois. Je pense qu'il est préférable de l'utiliser plutôt que de le déplacer et de le remplacer par de la nourriture fraîche et de l'eau.
C'est un excellent moyen de faire tourner votre stock et de toujours disposer de produits plus frais. Faites juste attention aux choses qui manquent ou qui sont difficiles à acquérir. Vous ne voudrez peut-être pas encore passer par cet approvisionnement. ~ D
Jeff:
RépondreSupprimerJ'ai accumulé au moins un an d'articles essentiels comme du détergent à lessive, du shampoing, du savon pour les mains, du dentifrice, etc. J'utiliserai le test de relance pour ajouter à mon inventaire d'aliments lyophilisés (principalement des protéines) depuis que j'ai 1k livres de nourriture sèche rangées. Je ne sais pas si l’hyperinflation, la guerre ou une autre pandémie peuvent frapper, mais si c’est le cas, l’objectif est de pouvoir passer au moins un an sans quitter la maison.
C'est un objectif fantastique !
Tami:
Après la tempête de neige au Texas, je me prépare principalement à vivre sans électricité. J’ai vécu hors de la grille avant, mais je me suis arrêté, alors je vais y revenir. J'ai également réalisé mon besoin de plus d'eau stockée.
Voici un article sur la préparation des pannes de courant à plus long terme. C’est un excellent point de départ si vous débutez dans la préparation ou si vous avez simplement besoin de vous assurer que vous disposez des éléments dont vous avez besoin. ~ D
Christina:
Se préparer principalement aux bouleversements économiques. Nous avons augmenté le stockage des aliments (un garde-manger en état de marche) en janvier 2020, mais ce n'était pas un problème pour l'épicerie de ma région, alors je me suis un peu relâché. Août 2020, nous avons rassemblé 6 mois de nourriture (encore une fois un garde-manger fonctionnel que j'utilise et que je reconstitue), rembourser les dettes, économiser de l'argent, acheter de l'argent, des munitions, des armes à feu, etc. ou nos revenus diminuent. Jusqu'à présent, nos revenus ont augmenté depuis l'année dernière, mais on ne sait jamais. J'ajouterai que mon garde-manger comprend également des articles personnels / personnels.
Faire le plein de choses autres que la nourriture est vraiment important. Voici une liste d'articles non alimentaires qui peuvent vous inciter à ajouter à vos propres fournitures. ~ D
Vicki:
Nous nous préparons aux troubles civils et à la montée en flèche de l'inflation. Je regarde les courses que j’achète d’habitude monter beaucoup. Nous prévoyons de cultiver plus de légumes et d'ajouter plus d'arbres fruitiers. Nous nous assurons également d'avoir des extras d'outils que nous utilisons et suffisamment de fournitures pour réparer les choses (outils, machinerie, plomberie, électricité, etc.) qui pourraient se briser. Le bois a également augmenté énormément, alors nous en achetons également un supplément.
Avoir des pièces de rechange pour les outils et les équipements essentiels est une préparation vitale et souvent négligée. ~ D
Diane: Tout ce à quoi je peux penser, de la nourriture à la sécurité.
Il est conseillé de garder vos préparations équilibrées et de ne pas vous concentrer trop spécifiquement sur un seul aspect. Toby parle de l'équilibre vital dans cet article. ~ D
Max:
Construire des réseaux et des relations. Le terrain humain n'est pas un «truc».
Voici des conseils pour créer une communauté même pendant une pandémie et assurez-vous de consulter le webinaire à la demande de Selco sur le renforcement de la communauté. ~ D
Susan:
Je pense que l'hyperinflation et l'effondrement possible du dollar sont plus possibles que jamais. J'ajoute des stocks d'aliments en conserve et séchés à mes préparations, en particulier des articles qui devraient devenir exorbitants comme le maïs et le café. J'observe aussi avec impatience mon jardin en attendant qu'il dégèle. La plupart de la neige et de la glace ont disparu, sauf dans les bois.
Voici ce que vous pouvez faire dès maintenant pour vous préparer pour la saison des jardins et voici quelques conseils sur la façon de commencer à planifier votre jardin. ~ D
Sheri:
RépondreSupprimerJe transforme une plus grande partie de ma cour en jardins de légumes / herbes et je conserverai la plupart des produits. Ajout aux produits non périssables quand je vois une bonne vente. Acquérir des compétences de base en matière de survie et d'autosuffisance. Passer à un style de vie plus simple, donc vivre sans les commodités modernes sera moins un choc.
C'est précisément pourquoi mes préparations sont low-tech. ~ D
Stacy:
J'ai survécu au Texas sans blâmer le gouverneur ou le président de m'avoir laissé dans le froid. Nous avons besoin de plus d'eau stockée. J'en avais assez mais j'ai vu que j'avais besoin de plus pour le nettoyage. Besoin de plus grands pots. Nourris 7 personnes facilement car ma maison n'était qu'une avec une table de cuisson à gaz. Besoin d'ustensiles de cuisine pour nourrir 20… et se prépare à faire ma propre soupe populaire. Besoin d'un pot de secours ! Ai-je 100 bougies ? Plus d'huile de lampe. La petite bougie chauffe-plat sous le pot de fleurs a contribué à rendre la pièce plus confortable. Stockez pour cela. Une façon de laver les vêtements. Une façon de prendre une douche chaude et de se laver les cheveux. Préparez un menu, des recettes et des rangements pour les repas sur la cuisinière. Préparez-vous à partager avec la famille. (Je vis sur un complexe familial de 20 membres.) Un moyen de recharger le téléphone. Piles de taille c pour écouter des CD… .plus de CD. Hootch. OTC
Expérience d'apprentissage impressionnante. Je peux certainement vous aider avec des instructions pour ce pot de litière pour chat hors réseau pour les humains. ~ D
Ezra:
Nous travaillons au remboursement des dettes (Dave Ramsey) et des matériaux à vie sans électricité. Nous avons perdu de l'électricité pendant 4 jours pendant la tempête hivernale ici au Texas
Voici quelques articles que vous pourriez trouver utiles concernant la dette (l’un provient directement des stratégies de Dave) et voici un livre électronique sur la gestion des pannes de courant. ~ D
Lynn:
Nous nous concentrons sur notre jardin cette année. Notre objectif est d'être le plus autosuffisant possible en matière de production. Je veux conserver les graines du jardin pour l'avenir. Cependant, nous ne cultivons pas de céréales, de blé et d’avoine. C'est un projet futur.
Voici notre source préférée de semences - vous pouvez également obtenir un planificateur de jardin gratuit à ce lien et c'est une petite entreprise familiale. ~ D
Rob:
RépondreSupprimerL’argent n’a pas changé pour moi dans le Grand Nord Blanc. J'ai réalisé, cependant, que se préparer pour un événement comme un EMP, c'est essayer de jouer à la loterie de l'apocalypse; mieux vaut considérer les conséquences de tout ce qui vous préoccupe et vous y préparer. Cela vous empêche de faire des hypothèses. (Fait un âne de U et umptions). C'est à dire. au lieu de me préparer pour un PGE, je me prépare à un effondrement de la communication et du transport de marchandises comme la nourriture, quelle qu'en soit la cause. Je suis encore en train d'agrandir mon stockage à l'épreuve des EMP, mais je suis plus préparé à gérer, par exemple, une pénurie de nourriture alors qu'avant mes plans alimentaires ne consistaient qu'à quitter la ville et à rejoindre une ferme complète.
Je pense qu’il y a beaucoup de sagesse dans ce que vous avez dit ici. Beaucoup de gens se concentrent sur une seule chose alors qu'en fait, la plupart des catastrophes sont une série entière de mauvaises choses. Certains liens utiles pourraient être celui-ci sur la fabrication d'une cage de Faraday, celui-ci sur un effondrement des communications et celui-ci sur la pression exercée sur notre système de transport de marchandises.
Meilleur petit pays:
Salut Daisy, je regarde tout depuis début 2018, et le plus frappant est la corrélation entre Q et la Bible !! J'ai fait la plupart de mes préparatifs à l'époque. Nourriture durable, graines (j'ai appris à cultiver des légumes). Tout est fait sous le radar, en particulier Crypto et PM. Les compétences seront le VRAI atout. J’espère qu’un spectateur local de ma chaîne me «kidnappera» parce que les idiots qui n’écouteront pas frapperont à ma porte
OpSec est plus important que jamais! Voici un article qui pourrait aider d'autres personnes qui pensent comme vous à faire des choses sous le radar. ~ D
Kamay:
Pas beaucoup de changement, le cas échéant. Préparé l'effondrement de la société, les pénuries alimentaires et la possibilité d'une panne du réseau. Nous essayons de faire toute l'agriculture, le jardinage, la conservation sans utiliser d'électricité et de gadgets sophistiqués. Nous recyclons, recyclons, faisons avec et vivons en dehors des sentiers battus.
La simplicité est la clé! J'aime ton style :). ~ D
Letia:
J'ai besoin de me préparer pour un jardin! Les fraises reviendront et je recommencerai à mettre en conserve. J'ai besoin de vérifier mes pots. J'ai quelques cas, mais je dois vérifier si les gens reviennent à la normale ou sont encore en conserve. J'ai besoin de pratiquer le tir! Je dois travailler sur la sécurité avec plus de caméras et changer le bouton de verrouillage de ma porte arrière. 🙄
Entraînez-vous définitivement au tir. C'est une compétence périssable. Voici un article sur la création d'un coffre-fort à un prix raisonnable qui pourrait être utile pour l'aspect sécurité. ~ D
Kris:
Prendre soin de mes animaux et prévoit d'élever plus de poulets de chair - donc plus à nourrir. Achat d'aliments en vrac et prix de différentes options d'alimentation, etc.
Avez-vous vérifié la méthode fourragère? J'ai suivi un cours là-dessus quand j'habitais en Californie, mais je n'ai pas mis en place mon propre système parce que nous étions en train de déménager. Voici un très bon article à ce sujet. Le gars avec qui j'ai suivi le cours avait des poulets exclusivement sur le fourrage et en plein air. ~ D
Roxanne:
RépondreSupprimerNous nous préparons à peu près à notre retraite. Ensuite, nous aurons un revenu beaucoup plus faible. Nous avons remboursé toutes nos dettes, sauf ce que nous utilisons sur nos cartes de crédit que nous remboursons tous les mois. Nous avons vendu beaucoup de choses dont nous n’avions pas besoin pour nous débarrasser de la dette. Nous pensons que nous pourrions envisager une autre dépression ou d’autres problèmes économiques. J'ai essayé de cultiver différents légumes pour apprendre à bien le faire. J'ai aussi déshydraté ce que je pouvais et les scellés sous vide dans de grands pots Mason. Je prévois d’apprendre à faire pression sur le bidon cette année afin de pouvoir profiter des ventes dans les magasins de viandes et de légumes qui ne poussent pas ici.
Voici un guide pratique pour la mise en conserve sous pression, et si vous avez un réchaud à dessus en verre, certaines options de mise en conserve sous pression qui fonctionneront pour vous.
Chauffage:
Nous, des Down Under, sommes parfaitement conscients que la politique de votre famille dirigeante ne nous importe plus. La Chine est désormais une menace bien plus grave dans la région du Pacifique. Nous ne raffinons plus non plus le carburant ici, une grande partie provient de Singapour. Nous nous préparons au blocus / interruption des lignes d'approvisionnement, car cela paralyserait à peu près le pays. Nous avons des jardins, des arbres fruitiers et nous nous approvisionnons un peu plus en conserves. Nous ne sommes pas autorisés à stocker plus de deux bidons de carburant. De plus, je me suis assuré de tenir à jour les examens médicaux et dentaires pour la famille, car on ne sait jamais quand ces choses ne seront tout simplement pas disponibles.
Vous soulevez un excellent point concernant les soins médicaux et dentaires. Au cours de l'année écoulée sous les restrictions de Covid, de nombreuses personnes ont vu leurs problèmes de santé s'aggraver car elles n'étaient pas en mesure de rechercher des soins préventifs, ni même de s'occuper des conditions qui se présentaient. Gérer ces choses pendant que nous sommes est vital. ~ D
Shannon:
Je me prépare à l'hyperinflation, aux problèmes de réseau électrique (en raison de catastrophes naturelles) et aux troubles civils. Je vis dans le PNW, donc nous avons eu notre part d’émeutes, de troubles et de mauvais temps. Préparer de la nourriture, des fournitures pour faire face à l'absence d'électricité, essayer d'apprendre à faire face sans électricité. Nous avons vendu une propriété à Ca. et a déménagé ici et a acheté une propriété avec un terrain.
Avec les modifications que vous avez apportées, vous recherchez probablement des suggestions pour devenir plus autonome avec les terres et les nouvelles ressources dont vous disposez. Consultez le manifeste d'autonomie ici. (Certains liens ne fonctionnent plus - nous nous efforçons de suivre!) ~ D
Kate:
Nous prévoyons d'acheter une maison / propriété au cours des prochaines années. Nous avons donc économisé dans la mesure du possible. Heureusement, le covid n’a pas affecté nos revenus. Réduire les voyages en ville. Attendre que le jardin se dessèche et aussi attendre l'arrivée de mes graines. Je vais cultiver principalement pour le stockage en cave cette année… .pommes de terre, courges, carottes, navets, etc. Continuer à acheter des livres papier sur la médecine naturelle, l'artisanat, la recherche de nourriture.
J'ai vraiment eu de la chance et j'ai obtenu des livres d'occasion sur ces sujets lors de ventes. Une fois, j'ai dépensé 100 $ à la vente à un mètre pour acheter chaque livre que la personne vendait parce que son parent décédé avait été dans la conservation des aliments et l'herboristerie. Parlez d'un Motherlode. Une autre mine d'or potentielle pour vous est Thriftbooks, qui a des millions de livres d'occasion à vendre. Si vous êtes nouveau dans la cave à vin, cet article peut être utile. ~ D
K:
RépondreSupprimerJ’ai passé l’année dernière à me concentrer sur des situations SHTF potentielles plus petites (de type semaine à mois). Je me sens comme si je suis en bonne forme dans la mesure où cela va. Maintenant, mon objectif est plus à long terme. Je veux mettre en place une production alimentaire durable et continuer à harceler mes enfants sur le changement probable de la monnaie numérique dans les prochaines années, ainsi que sur une augmentation de l'inflation. J'ai prêché pendant des années que notre dépendance à l'égard de la nourriture provenant de l'extérieur de nos régions allait être un problème à l'avenir. C’est mon objectif maintenant.
Quelques articles sur deux sujets que vous avez mentionnés sont celui-ci sur la façon dont notre vie quotidienne changerait dans une société sans numéraire et celui-ci sur les raisons pour lesquelles les préparateurs doivent localiser leurs sources de nourriture. ~ D
James:
Malchance économique, (perte d'emplois, ralentissements économiques) troubles civils, réseau électrique / catastrophes naturelles. Je suis fixé pour deux ans financièrement, environ 6 mois pour les produits comestibles, et une auto-défense décente mise en place bien que je travaille toujours à durcir la maison. Je suis également dans une moindre mesure prêt à sortir à la maison si les choses vont vraiment mal, mais comme je suis actuellement OCONUS, je suis probablement foutu sur cette partie.
Cela rend définitivement les choses difficiles. Je pense que ce sur quoi je me concentrerais dans vos chaussures, c'est de m'assurer que les membres de votre famille sont capables de rester là-dedans pendant un certain temps en attendant que vous rentriez chez vous. Vous ne voulez pas qu’ils se trouvent dans une situation où vous seul savez comment faire quelque chose d’important. Les licenciements sont essentiels. ~ D
Rita:
Nous nous sommes davantage attachés à être autonomes et autosuffisants. Nous approvisionnons nos besoins localement autant que possible. BEAUCOUP plus silencieux sur les réalisations et les acquisitions. Pour la plupart, nous n’avons plus d’opinions publiques fortes à propos de quoi que ce soit. Nous devenons de plus en plus intériorisés et gris. En vieillissant, l'esprit combatif est toujours là, mais la réalité dit de s'approvisionner et de se taire. Nous voyons des troubles civils et des temps difficiles, sinon un effondrement économique et une guerre civile. Les États-Unis sont une poudrière en ce moment et des dumba ** vont allumer le match
Survivre à cette période folle a beaucoup à voir avec le fait de garder vos pensées plus privées. Et parfois, le combat que vous gagnez est celui auquel vous ne participez pas. ~ D
Valérie:
L'effondrement économique est ma plus grande préoccupation. Nous plantons un plus grand jardin et nous approvisionnons en aliments non périssables. J'ai l'intention d'en faire plus cette année. En fait, aujourd'hui, j'ai marqué une marmite All American 910 légèrement utilisée à la bonne volonté. 5,99 $. Grattez ça de ma liste de choses à faire!
Oh mon Dieu, quel SCORE !!!!!! Je suis sûr que beaucoup d’entre nous lisons qui sont positivement verts de jalousie. Et la bonne chose à propos du All American est qu'il n'y a pas de pièces ou de joints qui pourraient avoir besoin d'être remplacés. ~ D
Romarin:
RépondreSupprimerJe ne peux pas me débarrasser du sentiment que nous aurons une situation de panne dans un proche avenir, donc me préparer à cela a été ma priorité absolue. Viennent ensuite les pénuries alimentaires et l'hyperinflation. Un plus grand jardin et plus de conserves sont sur ma liste pour cette saison. Je voulais aussi acheter des tapis chauffants et des lumières cette année, mais je n’avais pas les fonds supplémentaires, alors j’essaye le semis hivernal dans des litres d’eau et des cruches à lait. J'ai fait plus de 20 cruches à ce jour avec beaucoup plus à faire. Croisons les doigts, c’est un succès!
Je serai vraiment intéressé de savoir comment se déroulent vos semis d’hiver! S'il-vous-plaît nous garder en alertes. Voici un lien vers mon livre sur Amazon, Soyez prêt pour tout. Il donne beaucoup de détails sur les pannes d'électricité à long terme en été et en hiver. ~ D
Martha:
Bien que ma région ne connaisse normalement pas de températures très basses, il fait froid en hiver, et après avoir vu ce qui s'est passé au Texas, j'ajoute un radiateur portable (au propane ou au kérosène) à ma liste de fournitures dès que possible. Je souhaite juste que la climatisation soit aussi facile à préparer si le réseau tombe en panne. Envisager de faire de l'énergie solaire avec une batterie de secours pour garder le réfrigérateur, le congélateur en marche aussi et même 1 unité de climatisation pour fenêtre pour garder la maison au moins supportable lorsqu'elle est 115 en été.
Wow, cela ressemble à un temps misérable pour perdre de l’énergie. Voici un article sur la gestion des pannes de courant par temps chaud, un article sur la façon de calculer la puissance que vous
Laura:
À la lumière du récent piratage de PLUSIEURS systèmes de sécurité nationale, je pense que la panne de réseau est la plus grande menace. L'effondrement financier serait le deuxième après cela. J'utilise une partie des fonds de relance pour acheter des billets plus volumineux. Un respirateur / masque à gaz est le prochain sur ma liste. De plus, j'ai acheté des coussins chauffants et des lampes fluorescentes pour planter des graines cette année. Je viens également d'acheter cinq barils d'eau de 55 gallons qui doivent être lavés et installés. Temps occupé pour moi à essayer de suivre tout cela.
Voici quelques réflexions sur la préparation d'une cyberattaque majeure et un article sur les respirateurs et les masques à gaz - j'espère que vous les trouverez utiles. ~ D
Marguerite:
RépondreSupprimerOuais, c’est moi. Ce que j’ai changé au cours de l’année écoulée au sujet de ma préparation, c’est de prêter attention aux gouvernements locaux et à la manière dont ils ont réagi. J'ai vécu dans 3 endroits différents au cours des verrouillages et chaque endroit a géré la réponse au covid très différemment. Il est important de comprendre comment votre propre gouvernement local réagit aux choses, car une fois que vous le faites, vous pouvez commencer à prédire ce qu’ils feront dans une situation différente. Je me suis également beaucoup amélioré pour obtenir des informations des autres sans qu'ils se rendent compte que je le fais, et je me suis fait des amis qui peuvent être utiles dans une variété d'événements. (En savoir plus dans cet article.)
En voyageant d’un endroit à l’autre, j’ai appris à me préparer rapidement et j’ai appris à me débrouiller avec ce qui est disponible, au lieu d’être si exigeants. J'ai l'intention de continuer à travailler sur mes niveaux d'adaptabilité, car je crois que c'est ma compétence la plus importante. Mon objectif principal est d’éviter les problèmes en premier lieu et mon objectif secondaire est de survivre si je ne peux pas. Je prévois plus de restrictions après un bref sursis et beaucoup plus de difficultés pour ceux qui veulent juste être laissés seuls à le faire sans sauter à travers les cerceaux.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/heres-how-30-preppers-have-adapted-and-what-they-foresee-happening-next
Un «avion routier» pourrait enfin décoller dans le New Hampshire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 MAR 2021 - 20:00
Le plus prometteur pour une «voiture volante» qui serait à la fois digne de la route et de l'air est venu en janvier de cette année lorsque Terrafugia, basée à Woburn, dans le Massachusetts, a reçu un certificat de navigabilité de la Federal Aviation Authority. Mais, comme le note Bloomberg, en février, il semble que les espoirs ont été déçus lorsque l'entreprise a licencié 43 employés et déclaré qu'elle travaillait sur une «nouvelle entreprise».
Pour le moment, le New Hampshire semble être le seul État qui perpétue le rêve de faire voler des véhicules routiers. Le New Hampshire "est devenu le premier État américain à rendre les voitures volantes légales sur la route" grâce à un projet de loi appelé "Jetsons bill". Si les machines passent les tests avec la FAA et que les propriétaires paient des frais de 2000 $, leurs chauffeurs / pilotes sont invités à les conduire à l'aéroport - avant de décoller dans le ciel.
L'État est connu pour ses lois libérales sur les transports en commun - les motocyclistes n'ont pas besoin de casques et les voitures n'ont pas besoin de ceintures de sécurité. «Vivez sans mourir», lisaient les plaques d'immatriculation de l'État. Terrafugia effectue des vols d'essai dans l'État depuis 2018. La société Pal-V vend également un produit, appelé Liberty, à partir de l'aéroport de Manchester, dans le New Hampshire.
Kevin Colburn, vice-président et directeur général de Terrafugia, a déclaré que le projet de loi du New Hampshire «ouvre des possibilités intéressantes pour les voyages de loisirs dans les îles». Il a poursuivi: «Le gain de temps dans un endroit comme le New Hampshire, où la topographie montagneuse permet des déplacements très indirects et à faible vitesse, pourrait être substantiel.»
«Vous devez construire quelque chose de sûr à la fois dans les airs et au sol. Dans les airs, vous voulez minimiser le poids, et sur terre, vous devez être résistant aux chocs si vous heurtez un mur de briques. Il s’agit d’enfiler l’aiguille », a déclaré Colburn.
Mais le New Hampshire pourrait être l'endroit où cela se produit. «Je peux voir de nombreux développeurs s'y rendre pour tester des avions sur route», a déclaré Laurie Garrow, spécialiste de la mobilité aérienne urbaine et régionale au Georgia Institute of Technology.
Keith Ammon, un représentant des ventes pour Pal-V, a aidé à rédiger la facture des Jetsons. Il a déclaré à propos de Liberty de son entreprise: «C'est un gyrocoptère. La puissance va directement aux lames. Les lames se replient et sur la route, elle est à trois roues, ce qui signifie que vous pouvez vous pencher dans les virages comme un motocycliste. "
Le Liberty coûte 390 000 $. Ammon fait partie d'un groupe de l'État appelé «Free State Project» qui vise à «établir une résidence dans un petit État et à prendre le contrôle du gouvernement de l'État». Le fil libertaire à travers l'État pourrait encourager l'innovation et l'expérimentation continues.
Les véhicules hybrides routiers / aériens tentent de mûrir en même temps que les véhicules électriques à décollage et atterrissage verticaux (eVTOL). Les eVTOL sont surtout connus sous le nom de taxis volants - une industrie qui, selon Morgan Stanley, pourrait atteindre 1,5 billion de dollars d'ici 2040. Des noms comme Porsche et Boeing se sont déjà associés sur les eVTOL. Le propriétaire de Terrafugia, Geely, y travaille également avec Tencent.
Comparativement, les avions routiers peuvent sembler maladroits. Mais ne comptez pas l'esprit d'innovation du New Hampshire. «Quand j’ai pris connaissance des licenciements de Terrafugia, cela m’a époustouflé», a déclaré Ammon. «Mais cette industrie a mis du temps à démarrer, et nous avancerons.»
RépondreSupprimerIl a conclu: «Nous ne sommes pas des fourmis dans une colonie. Il est important que nous reconnaissions l’esprit de chaque individu, et il est important que nous donnions des choix aux gens. Les libertariens ne sont pas égoïstes parce qu'ils veulent que chacun explore ses propres excentricités, sa propre créativité. Si tout le monde peut faire cela, nous aurons une société plus libre et plus heureuse. »
https://www.zerohedge.com/markets/roadable-aircraft-could-finally-get-ground-new-hampshire
Comment la politique partisane pourrit votre cerveau
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 MAR 2021 - 17:30
Rédigé par David D'Amato via Libertarian Institute & Libertarianism.org,
Des recherches récentes utilisant des techniques d'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) nous permettent de scruter les connexions, pourtant enveloppées de mystère, entre l'activité cérébrale locale, les processus cognitifs et l'attachement partisan. Ce corpus de connaissances en développement a révélé l'importance profonde de l'évolution pour façonner la manière dont notre cerveau traite toutes sortes d'informations, en particulier les informations politiques. Au centre de ce voyage évolutif se trouve l'importance des groupes - d'être initiés et acceptés en eux, de s'aligner sur eux, de leur être fidèles indépendamment des considérations philosophiques. La dynamique sociale de l'appartenance à un groupe et de la participation est programmée plus profondément dans notre cerveau que la philosophie abstraite. "En d'autres termes, les gens suivront le groupe, même si les idées s'opposent à leurs propres idéologies - l'appartenance peut avoir plus de valeur que les faits." Parce que nous avons déjà déménagé d'un endroit à l'autre en tant que nomades, ces groupes sont nos maisons encore plus que n'importe quel endroit physique.
Nous avons maintenant des décennies de recherche suggérant - sinon prouvant - «l'ubiquité du raisonnement motivé biaisé par l'émotion», un raisonnement qui est qualitativement différent de celui qui opère lorsque les sujets sont engagés dans un «raisonnement froid», où les enjeu émotionnel »des sujets en cause. Couplé à une littérature croissante sur le caractère surprenant et l'étendue de l'ignorance politique, l'état actuel a des implications désastreuses pour la liberté humaine. Les enjeux sont importants: dans leur étude de 2018 sur les raisons et la manière dont la partisanerie nuit à la capacité du cerveau à traiter les informations de manière objective, les chercheurs de NYU, Jay J. Van Bavel et Andrea Pereira, notent que «la partisanerie peut altérer la mémoire, l'évaluation implicite et même les jugements perceptifs».
Une étude récente, publiée l'automne dernier par une équipe de Berkeley, Stanford et Johns Hopkins, a tenté de mieux comprendre comment les préjugés partisans se développent dans le cerveau. Les chercheurs ont demandé aux sujets de regarder une série de vidéos, utilisant l'IRMf pour explorer les «mécanismes neuronaux qui sous-tendent le traitement biaisé du contenu politique du monde réel». Les résultats ont montré que les membres de l'équipe partisane traitent des informations identiques de manière très biaisée et motivée. Les chercheurs localisent cette polarisation neurale dans la partie du cerveau connue sous le nom de cortex préfrontal dorsomédial, une région associée à la compréhension et à la formulation de récits. L'étude a également révélé, peut-être sans surprise, que dans la mesure où l'activité cérébrale d'un participant donné pendant les vidéos correspondait à celle du «libéral moyen» ou du «conservateur moyen», le participant était plus susceptible de prendre la position de ce groupe.
L'étude concorde avec des années de recherches antérieures montrant que les opinions des partisans sur des questions sociales, politiques et économiques importantes sont affectées par des processus cérébraux subconscients - des processus dont ils ne sont ni conscients ni contrôlent. Cela devrait être profondément préoccupant pour tous ceux qui appartiennent à une équipe politique: des processus se déroulent dans votre cerveau, sous ou au-delà du niveau de conscience directe, qui éclairent vos conclusions sur des questions sociales et politiques importantes. Réfléchir à cela ne serait-ce qu'un instant devrait remplir quiconque aspire à la pensée critique ou à la rationalité d'une sorte de crainte, car la loyauté envers l'équipe semble l'emporter sur les facultés supérieures de l'esprit.
RépondreSupprimerMais, les auteurs prennent soin de noter, il est important de ne pas interpréter ces résultats comme indiquant une sorte de déterminisme, par lequel nous ne pouvons pas choisir comment penser ou ce que nous croyons. Comme l'un des auteurs de l'étude, le psychologue de Stanford Jamil Zaki, dit: "De manière critique, ces différences n'impliquent pas que les gens sont câblés pour être en désaccord." Au contraire, ces voies neuronales semblent être en grande partie sculptées par les types et les sources des médias que nous consommons. À partir des données fournies par ces recherches, parmi de nombreuses autres études similaires, une image commence à émerger de la partisanerie comme une sorte d'empoisonnement de l'esprit, une infection qui conduit à des troubles cognitifs graves et, surtout, mesurables. Les preuves suggèrent que, sous l’influence de la partisanerie, nous ne pouvons même pas comprendre nos propres pensées et opinions.
Dans une autre expérience importante et récente, les chercheurs voulaient comprendre la précision relative des constructions introspectives des participants. Les chercheurs ont cherché à évaluer la capacité des gens à comprendre leurs propres choix, à voir clairement «les éléments d’argumentation interne qui mènent à [leurs] choix». En particulier, les chercheurs voulaient savoir comment les sujets géreraient les choix qui avaient été manipulés - c'est-à-dire s'ils «remarqueraient des inadéquations entre leur choix prévu et le résultat qui leur est présenté». Les sujets reconnaîtraient-ils que quelque chose n'allait pas? S'ils ne remarquaient pas la manipulation, offriraient-ils des justifications pour des choix qu'ils n'avaient même pas faits? L'hypothèse est que les sujets qui ne remarquent pas les inadéquations ne doivent pas vraiment comprendre les raisons de leurs choix ou «les processus internes conduisant à un jugement moral ou politique».
Les résultats ont révélé un «aveuglement introspectif évident à l'égard des processus internes conduisant à un jugement moral ou politique». Les gens ne semblaient pas comprendre pourquoi ils avaient pris les décisions qu'ils avaient prises (ou n'avaient pas prises), bien que certains aient présenté ce que les chercheurs appellent «une détection inconsciente de l'auto-tromperie» - ces sujets étaient incapables de détecter les manipulations de leurs réponses, mais ils ont enregistré une confiance plus faible dans les choix manipulés, ce qui, selon les auteurs, indique «l'existence d'un mécanisme neuronal surveillant inconsciemment nos propres pensées».
RépondreSupprimerUne fois que l'on a choisi et rejoint une équipe, elle a très peu de contrôle sur ses propres pensées. Lorsqu'elles sont introduites, les nouvelles données sont déformées, mal interprétées ou rejetées en fonction de leur cohérence avec ce que nous pouvons décrire comme un programme fonctionnant en arrière-plan: la partisanerie conduit le membre de l'équipe dans une position cognitive d'auto-illusion inconsciente. Peu d’entre nous, s’ils comprennent pleinement ce phénomène, le choisiraient eux-mêmes - du moins c’est l’espoir de beaucoup de ceux qui étudient ce domaine. Comme l'observent les auteurs, «réfléchir à nos croyances peut aider à développer des sociétés libres». Ils suggèrent que si les citoyens comprenaient mieux les mécanismes cérébraux de la déficience cognitive et de l'auto-illusion provoqués par la partisanerie, ils seraient en mesure de prendre de meilleures décisions. La recherche a montré que «réfléchir à la manière dont nous prenons des décisions conduit à de meilleures décisions».
Des recherches similaires sur l'auto-tromperie en politique ont également confirmé la présence de l'effet Dunning-Kruger (pour résumer, les gens pensent en savoir beaucoup plus qu'ils ne le font réellement). De plus, l'effet est exagéré dans le contexte de la politique, les participants à faible savoir se décrivant comme étant encore plus informés que d'habitude une fois que la partisanerie est devenue un facteur évident. Vitor Geraldi Haase et Isabella Starling-Alves postulent que le genre d'auto-tromperie qui est "une caractéristique majeure de la partisanerie politique ... a probablement évolué comme une stratégie adaptative évolutive pour faire face à la dynamique intra-groupe-extragroupe de l'évolution humaine". La vérité objective, c'est-à-dire à peu près un modèle précis de la réalité, n'est pas importante, du moins pas aussi importante que la conformité et même la soumission, que nous pouvons associer à la réalité sociale.
Quels que soient ses défauts, la psychologie évolutionniste nous offre plusieurs pistes prometteuses sur la question de savoir pourquoi le cerveau n'est pas capable de faire preuve de partisanerie. Cette notion de réalité sociale est un indice important. À ce stade, il est important de souligner le fait que lorsque nous parlons de partisanerie, nous ne parlons pas d'idéologie; la relation entre l'identification partisane et l'idéologie politique est compliquée, la relation entre les deux n'est pas particulièrement forte. Les idéologues ont tendance à penser systématiquement, et le contenu philosophique de leurs croyances est profondément important pour eux. Ce qui est important pour le partisan, ce n’est pas ce qu’elle croit, mais le fait qu’elle aligne ses convictions avec celles de son équipe ou de son groupe - ou bien, comme cela peut être le cas, qu’elle soit fidèle et soutienne le groupe du parti malgré tout non-concurrences idéologiques réelles ou perçues.
RépondreSupprimerLes Américains ont tendance à surestimer largement les différences d'idéologie politique et de préférences politiques entre démocrates et républicains. En fait, la plupart des Américains ne sont pas du tout idéologiques, ne peuvent pas décrire les idéologies avec précision (comme leurs partisans les décriraient) et n'ont presque aucune information sur l'histoire des idées ou sur les preuves empiriques qui portent sur des questions politiques ou politiques particulières. Il est intéressant de noter que la partisanerie ne semble pas nécessairement concerner la politique au sens normatif ou philosophique, car «les gens placent la loyauté au parti sur la politique, et même sur la vérité». Il existe en fait des corrélations relativement faibles entre l'identité partisane et les préférences politiques concrètes. «L'affect artisanal [P] est fondé de manière incohérente (et peut-être de manière artificielle) sur des attitudes politiques».
En effet, une forte partisanerie est nécessairement un obstacle à la pensée idéologique dans la mesure où l'idéologie repose sur une approche intégrée et cohérente des questions de politique, par opposition à l'approche aveugle et ancrée en équipe associée dans la littérature à la partisanerie. Les idéologues, quels que soient leurs défauts, demandent des comptes aux acteurs politiques et aux instances gouvernementales. Les partisans changent de position facilement et sans vergogne, en fonction de tout, de qui vit à la Maison Blanche, aux caprices des chefs de parti, à ce qui est perçu comme populaire en ce moment. En outre, les opinions politiques individuelles des Américains sont remarquablement instables au fil du temps, oscillant entre des contradictions flagrantes, reposant sur un amalgame confus d’opinions d’élite. La partisanerie telle que nous la connaissons semble plutôt être un vestige de l’histoire de la loyauté tribale de l’humanité, avec «des pressions sélectives qui ont façonné l’esprit humain pour devenir tribal». C'est-à-dire que l'évolution est sélectionnée uniquement pour les types de biais cognitifs que nous trouvons chez les partisans des deux côtés aujourd'hui (ce qui est important, aucune «équipe» n'est immunisée).
Un article récent publié par l'American Psychological Association suggère que d'un point de vue cognitif et psychoneurologique, les partisans de la gauche et de la droite se ressemblent beaucoup plus qu'ils ne sont comme des non-partisans. Comme l'écrit Leor Zmigrod, coauteur de l'étude, "Indépendamment de l'orientation et du contenu de leurs convictions politiques, les partisans extrêmes avaient un profil cognitif similaire." Plus précisément, les partisans de tous bords montrent des niveaux inférieurs de flexibilité cognitive; Surtout, même lorsqu'ils traitent des informations qui n'ont pas de caractère politique, ils sont plus dogmatiques, moins adaptables et moins capables d'accomplir des tâches qui nécessitent une «capacité à s'adapter à des environnements nouveaux ou changeants et une capacité à basculer entre les modes de pensée».
RépondreSupprimerLa partisanerie rend littéralement stupide - ou est-ce que les gens stupides sont simplement plus susceptibles d'être des partisans engagés ? Zmigrod prend soin de souligner que l’étude ne peut pas nous donner la réponse à cette question, qu’il faudrait des études longitudinales pour mieux comprendre la direction causale et les phénomènes causaux en jeu. Dès que la partisanerie est introduite, dès qu'une question mentionne un politicien ou un parti politique, les sujets sont incapables d'évaluer avec précision les faits de base. En effet, il est remarquable que le fait de donner à une question une nuance politique rend de nombreux sujets incapables de répondre à une question simple même quand on leur donne la réponse. De même, des études ont montré que ses affiliations politiques affectent même sa capacité à effectuer des calculs de base: étant donné une opération qui produit une statistique contredisant la vision partisane d'un sujet, le sujet aura tendance à remettre en question le résultat plutôt que de mettre à jour sur la base des preuves ou de tenter de réconcilier la nouvelle information avec sa politique.
Dans une étude révolutionnaire publiée l'été dernier, une équipe de chercheurs dirigée par Darren Schreiber de l'Université d'Exeter a tenté de remédier au manque de recherche en imagerie cérébrale visant spécifiquement à mieux comprendre les non-partisans, un groupe qui a été négligé car presque toutes ces recherches se sont concentrées sur les différences entre les cerveaux des partisans de la gauche et de la droite. L'étude a révélé que les cerveaux des non-partisans sont différents de ceux de leurs frères soumis au lavage de cerveau, en particulier dans «les régions qui sont généralement impliquées dans la cognition sociale».
RépondreSupprimerIl se peut que la prochaine étape de l'évolution humaine impliquera de recâbler notre cerveau pour accepter le fait que les groupes actuels sont définis artificiellement et arbitrairement - que tous les êtres humains sont un seul peuple. Car tout comme il y a un tribalisme nocif et toxique, il y a aussi un cosmopolitisme socialement bénéfique, coopératif. Comme l'écrit l'expert en politique sociale Elizabeth A. Segal, "En fin de compte, notre objectif devrait être de bâtir la tribu à laquelle nous appartenons tous: celle de l'humanité." Les libertariens prennent cette leçon très au sérieux, car nous avons tendance à nous considérer comme faisant partie d'une communauté mondiale commune d'individus connectés qui sont parfaitement capables de traiter les uns avec les autres par des interactions pacifiques et mutuellement avantageuses. Nous célébrons les différences sociales, culturelles, religieuses et linguistiques comme le piment de la vie plutôt que de les considérer comme des lignes de division ou des obstacles à une collaboration volontaire. Si nous pouvons comprendre et penser clairement à travers la partisanerie, nous pouvons commencer à construire un monde plus libre basé non pas sur des divisions arbitraires et un raisonnement compromis, mais sur le respect mutuel et un accent renouvelé sur une pensée critique rigoureuse.
https://www.zerohedge.com/political/how-partisan-politics-rots-your-brain
OTAN 2030 : " Il faut stopper ce train fou avant qu'il ne soit trop tard !"
RépondreSupprimerGrégoire Diamantidis
Capital
dim., 14 mar. 2021 20:34 UTC
Dans une lettre ouverte à Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, plusieurs haut gradés de l'Armée regroupés au sein du Cercle de Réflexion Interarmées s'insurgent contre le projet OTAN 2030 qui affaiblit la souveraineté de la France selon eux. Nous la reproduisons ici.
« Le jeudi 18 février 2021 l'étude "OTAN 2030", produite à votre demande, vous a été présentée. Elle indique ce que doivent être les missions de l'OTAN pour les dix prochaines années. D'entrée, il apparaît que toute l'orientation de l'OTAN repose sur le paradigme d'une double menace, l'une russe, présentée comme à l'œuvre aujourd'hui, l'autre chinoise, potentielle et à venir. Deux lignes de force majeures se dégagent de cette étude.
La première, c'est l'embrigadement des Européens contre une entreprise de domination planétaire de la Chine, en échange de la protection américaine de l'Europe contre la menace russe qui pèserait sur elle.
La deuxième, c'est le contournement de la règle du consensus, de plusieurs manières: opérations en coalitions de volontaires; mise en oeuvre des décisions ne requérant plus de consensus; et surtout la délégation d'autorité au SACEUR (Commandant Suprême des Forces Alliées en Europe, officier général américain) au motif de l'efficacité et de l'accélération de la prise de décision.
Mais la lecture de ce projet « OTAN 2030 » fait clairement ressortir un monument de paisible mauvaise foi, de tranquille désinformation et d'instrumentalisation de cette "menace Russe", « menace » patiemment créée puis entretenue, de façon à « mettre au pas » les alliés européens derrière les États-Unis, en vue de la lutte qui s'annonce avec la Chine pour l'hégémonie mondiale.
C'est pourquoi, Monsieur le Secrétaire général, avant toute autre considération sur l'avenir tel qu'il est proposé dans le projet OTAN 2030, il est important de faire le point sur les causes et la réalité de cette menace russe, par les quelques rappels historiques ci-dessous.
En effet, l'histoire ne commence pas en 2014, et c'est faire preuve d'une inébranlable mauvaise foi historique concernant les relations euro et américano-russes, que de passer en une seule phrase (au tout début du paragraphe "Russie") directement du "partenariat constructif" lancé par l'Otan au début des années 90 à l'annexion de la Crimée par la Russie en 2014, comme s'il ne s'était rien passé entre 1991 et 2014, entre « la gentille Russie » de l'époque, et le méchant « Ours russe » d'aujourd'hui.
C'est bien l'OTAN qui, dès les années 1990, s'est lancée à marche forcée dans son élargissement vers l'est, certes à la demande des pays concernés, mais malgré les assurances données à la Russie en 1991 lors de la signature du traité de Moscou (2), et qui d'année en année a rapproché ses armées des frontières de la Russie, profitant de la décomposition de l'ex URSS.
C'est bien l'OTAN qui , sans aucun mandat de l'ONU, a bombardé la Serbie (3) pendant 78 jours, avec plus de 58 000 sorties aériennes, et ceci sur la base d'une vaste opération de manipulation et d'intoxication de certains services secrets de membres importants de l'Alliance, (le prétendu plan serbe « Potkova » et l'affaire de Racak ), initiant ainsi, contre toute légitimité internationale, la création d'un Kosovo indépendant en arrachant une partie de son territoire à un état souverain, au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, humiliant ainsi la Russie à travers son allié serbe.
RépondreSupprimerCe principe serait-il à géométrie variable, lorsqu'il s'agit de la Crimée composée à plus de 90% de Russes, et rejoignant la Russie sans un coup de feu ?
C'est bien l'OTAN qui en 2008, forte de sa dynamique « conquête de l'est », refusa la main tendue par la Russie pour un nouveau « Pacte de sécurité européen » qui visait à régler les conflits non résolus à l'est de l'Europe (Transnistrie, Abkhazie, Ossétie du Sud), en échange d'une certaine neutralité de la Géorgie, de l'Ukraine, de la Moldavie - c'est à dire de l'immédiat « hinterland » russe - vis-à-vis de l'OTAN.
Et c'est toujours avec ce même esprit conquérant, perçu comme un réel étranglement par la Russie, qu'il a été choisi, en 2010, d'encourager les graves troubles de l'« Euromaïdan », véritable coup d'état qui a abouti à l'élimination du président ukrainien légalement élu, jugé trop pro-russe, en vue de continuer la politique de rapprochement de l'Ukraine avec l'OTAN.
On connaît la suite, avec les sécessions de la Crimée et du Donbass.
C'est bien l'OTAN qui au début des années 2000, après avoir associé la Russie à une défense anti-missiles de théâtre censée « protéger les États-Unis et ses alliés, dont la Russie » , d'une attaque de missiles tirés par des « États voyous » , notamment l'Iran et la Corée du Nord (sic), transforma de facto en 2010 lors du sommet de Lisbonne, ce système en une architecture globale de défense antimissile balistique en Europe (BMDE), non plus de théâtre, mais en un véritable bouclier tourné cette fois-ci contre la Russie et non pas la protégeant.
C'est encore l'OTAN qui donna l'assurance à la Russie que les sites de lancement des missiles antimissiles balistiques (ABM) ainsi déployés devant sa porte ne pourraient jamais être retournés en sites offensifs contre son territoire tout proche, « oubliant de préciser » qu'en réalité ces lanceurs (MK 41) de missiles ABM pouvaient tout aussi bien servir à tirer des missiles offensifs Tomahawk contre son territoire (nucléaires ou conventionnels de portées supérieures à 2000 km selon les versions) en contradiction flagrante avec le traité INF toujours en vigueur à l'époque de leur déploiement; on dépassait là, et de loin la question de savoir si le 9M729 russe portait à 480 km ou à 520 !
La menace potentielle ainsi exercée sur la capacité de frappe en second de la Russie, base de sa dissuasion nucléaire, a sérieusement remis en cause l'équilibre stratégique américano-russe , poussant alors la Russie à suspendre toute coopération au sein du COR (Conseil OTAN-Russie) fin 2013, donc dès avant l'affaire de la Crimée de 2014, laquelle sera ensuite utilisée par l'OTAN pour justifier - a posteriori - la protection BMDE de l'Europe face à la nouvelle « menace russe » !
Alors oui, Monsieur le Secrétaire général, au terme de ces vingt années d'efforts soutenus de la part de l'OTAN pour recréer « l'ennemi russe», indispensable à la survie d'une organisation théoriquement purement défensive, oui, la Russie a fini par se raidir, et par chercher à l'Est la coopération que l'Ouest lui refusait.
RépondreSupprimerL'entreprise de séparation de la Russie d'avec l'Europe, patiemment menée au fil des années, par vos prédécesseurs et par vous-même sous l'autorité constante des États-Unis, est aujourd'hui en bonne voie, puisque la Russie, enfin redevenue « la menace russe » , justifie les exercices les plus provocateurs comme Defender 2020 reporté à 2021, de plus en plus proches de ses frontières, de même que les nouveaux concepts d'emploi mini-nucléaires les plus fous sur le théâtre européen sous l'autorité de...l'allié américain qui seul en possède la clef.
Mais non, Monsieur le Secrétaire général, aujourd'hui, et malgré tous vos efforts, la Russie avec son budget militaire de 70 Md€ (à peine le double de celui de la France), ne constitue pas une menace pour l'OTAN avec ses 1000 Md€ , dont 250 pour l'ensemble des pays européens de l'Alliance! Mais là n'est pas votre souci car ce qui est visé désormais à travers ce nouveau concept OTAN 2030, est un projet beaucoup plus vaste: à savoir impliquer l'Alliance atlantique dans la lutte pour l'hégémonie mondiale qui s'annonce entre la Chine et les États-Unis.
La vraie menace, elle réelle, est celle du terrorisme. L'étude y consacre bien un développement, mais sans jamais se départir du mot « terrorisme », ni en caractériser les sources, les ressorts, les fondements idéologiques et politiques.
Autrement dit, on n'aurait comme menace, en l'occurrence, qu'un mode d'action, puisque telle est la nature du « terrorisme ». On élude donc une réalité dérangeante, celle de l'islamisme radical et de son messianisme qui n'a rien à envier à celui du communisme d'antan. Le problème est que ce même messianisme est alimenté par l'immense chaos généré par les initiatives américaines post Guerre Froide , et qu'il est même porté au plan idéologique tant par la Turquie d'Erdogan, membre de l'Otan, que par l'Arabie Saoudite, allié indéfectible des États-Unis.
Comme on pouvait s'y attendre, il apparaît dès les premières lignes que ce document n'augure rien de bon pour l'indépendance stratégique de l'Europe, son but étant clairement de reprendre en mains les alliés européens qui auraient seulement pu imaginer avoir une once d'un début d'éveil à une autonomie européenne.
Ce n'est pas tout, car non seulement vous projetez de transformer l'OTAN, initialement alliance défensive bâtie pour protéger l'Europe face à un ennemi qui n'existe plus, en une alliance offensive contre un ennemi qui n'existe pas pour l'Europe, (même si nous ne sommes pas dupes des ambitions territoriales de la Chine, de l'impact de sa puissance économique et du caractère totalitaire de son régime) , mais ce rapport va plus loin, carrément vers une organisation à vocation politique mondiale, ayant barre sur toute autre organisation internationale.
Ainsi, selon ce rapport:
RépondreSupprimer- L'OTAN devrait instaurer une pratique de concertation entre Alliés avant les réunions d'autres organisations internationales (ONU, G20, etc..) , ce qui signifie en clair « venir prendre les instructions la veille» pour les imposer le lendemain massivement en plénière !
- L'OTAN doit avoir une forte dimension politique, qui soit à la mesure de son adaptation militaire. L'Organisation devrait envisager de renforcer les pouvoirs délégués au secrétaire général, pour que celui-ci puisse prendre des décisions concrètes concernant le personnel et certaines questions budgétaires.
- L'OTAN devrait créer, au sein des structures existantes de l'Alliance, un mécanisme plus structuré pour la formation de coalitions. L'objectif serait que les Alliés puissent placer de nouvelles opérations sous la bannière OTAN même si tous ne souhaitaient pas participer à une éventuelle mission.
- L'OTAN devrait réfléchir à l'opportunité de faire en sorte que le blocage d'un dossier par un unique pays ne soit possible qu'au niveau ministériel.
- L'OTAN devrait approfondir les consultations et la coopération avec les partenaires de l'Indo-Pacifique : l'Australie, le Japon, la Nouvelle-Zélande et la République de Corée,
- L'OTAN devrait commencer de réfléchir en interne, à la possibilité d'établir un partenariat avec l'Inde.
Monsieur le Secrétaire général,
C'est parce que cette organisation lorsqu'elle a perdu son ennemi, n'a eu de cesse que de se lancer à corps perdu dans la justification politique de la préservation de son outil militaire, en se reforgeant son nouvel ennemi russe, qu'elle tend aujourd'hui à devenir un danger pour l'Europe.
Car, non contente d'avoir fait manquer à l'Europe l'occasion d'une véritable paix durable souhaitée par tous, y compris par la Russie, l'OTAN animée du seul souci de sa survie, et de sa justification par son extension, n'a fait que provoquer un vaste réarmement de part et d'autre des frontières de la Russie , de la Baltique à la Mer Noire, mettant en danger la paix dans cette Europe, qu'elle ne considère plus désormais que comme son futur champ de bataille,
Et maintenant, à travers ce document OTAN 2030, et contre la logique la plus élémentaire qui veut que ce soit la mission qui justifie l'outil et non l'inverse - les Romains ne disaient-ils pas déjà « Cedant arma togae » ? - vous voudriez, pour l'avenir, justifier l'outil militaire de cette alliance en le transformant en un instrument politique, incontournable, de gestion de vastes coalitions internationales, au profit d'une véritable gouvernance planétaire, allant même jusqu'à passer outre les décisions de l'ONU et écrasant les souverainetés nationales !
Alors non, Monsieur le Secrétaire général! Il faut stopper ce train fou, avant qu'il ne soit trop tard ! La France, quant à elle, dans le droit fil des principes énoncés voici plus d'un demi-siècle par le général de Gaulle, ne saurait, sans faillir gravement, se prêter à cette entreprise d'une acceptation aventureuse de la tutelle américaine sur l'Europe. »
Pour le Cercle de Réflexion Interarmées (4), le Général de Brigade aérienne (2S) Grégoire Diamantidis
Notes.
1- Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, structure militaire de l'Alliance Atlantique.
RépondreSupprimer2- Traité de Moscou: ou « traité deux plus quatre », signé le 12 septembre 1990 à Moscou, entre les représentants des deux Allemagnes et ceux des quatre puissances alliées de la Seconde Guerre Mondiale, est le «traité portant règlement définitif concernant l'Allemagne» qui a ouvert la voie à la réunification allemande et fixé le statut international de l'Allemagne unie.
3- Opération «Force Alliée» . Cette opération, décidée par l'OTAN, après l'échec des négociations entre les indépendantistes kosovars et la Serbie sous l'égide de l'OSCE (Conférence de Rambouillet 6 février-19 mars 1999) , fut déclenchée sans mandat de l'ONU, le 24 mars sur la base d'une vaste campagne dans les médias occidentaux, concernant un plan d'épuration ethnique (plan Potkova) mené à grande échelle au Kosovo par la Serbie. Plan qui se révéla par la suite, avoir été fabriqué de toute pièce par les services secrets bulgares et allemands .
4- Le Cercle de Réflexion Interarmées (CRI), est un organisme indépendant des instances gouvernementales et de la hiérarchie militaire. Il regroupe des officiers généraux et supérieurs des trois armées ayant quitté le service et quelques civils et a pour objectif de mobiliser les énergies, afin de mieux se faire entendre des décideurs politiques, de l'opinion publique et contribuer ainsi à replacer l'Armée au cœur de la Nation dont elle est l'émanation.
https://fr.sott.net/article/36702-OTAN-2030-Il-faut-stopper-ce-train-fou-avant-qu-il-ne-soit-trop-tard
Fukushima ? Et si on parlait du tsunami ?
RépondreSupprimerIl y a dix ans, au Japon, un tsunami faisait plus de 20 000 morts en quelques heures.
Par Michel Negynas.
15 MARS 2021
Les media n’ont pratiquement pas parlé de ce triste anniversaire.
LA CATASTROPHE
Le 11 mars 2011, un séisme de magnitude 7, le niveau le plus élevé de l’échelle, s’est produit au large de l’île principale du Japon. Bien que très important, le séisme a peu endommagé les infrastructures de la région, centrales électriques comprises, du fait des normes antisismiques en vigueur au Japon.
Les régions touchées, le Tōhoku et le Kantō, comptaient pour respectivement 8 et 40 % du produit intérieur brut du Japon, alors troisième économie mondiale.
Mais le séisme a engendré un tsunami dont les vagues ont atteint une hauteur estimée à plus de 30 mètres par endroits. Celles-ci ont parcouru jusqu’à 10 km à l’intérieur des terres, ravageant près de 600 km de côtes et détruisant partiellement ou totalement de nombreuses villes et zones portuaires.
Le bilan est estimé à 23 500 morts. Les effets se sont prolongés bien après la catastrophe, par suite de la détresse psychologique et de la dureté des conditions de vie des 400 000 personnes déplacées. À ce jour, il y aurait encore 70 000 réfugiés, mais ce chiffre est probablement sous-estimé.
VOUS N’EN ENTENDEZ PAS PARLER ? ET SI JE VOUS DIS FUKUSHIMA ?
En effet, de la catastrophe, nos media, dans une large majorité, ne retiennent que les conséquences du tsunami sur les réacteurs nucléaires de Fukushima 1 (à noter qu’à Fukushima 2, le long de la cote à 12 km, il ne s’est rien passé.)
Le Monde titrait :
« Récit : Le tsunami qui a ravagé la centrale de Fukushima Daiichi le 11 mars 2011, puis entraîné l’explosion de trois réacteurs, a laissé des séquelles douloureuses. Retour sur les réactions en chaîne qui ont suivi le raz-de-marée et les dissimulations sur l’état des infrastructures. »
La Tribune a fait pire ; c’est surprenant, de la part d’un journal qui a une orientation économique, et qui devrait s’attacher à une certaine objectivité :
« Dix ans après Fukushima, le Japon rend hommage à ses victimes par Eimi Yamamitsu
IWAKI, Japon (Reuters) – Un instant de silence, des prières et des manifestations antinucléaire ont jalonné la journée du souvenir organisée jeudi, dix ans après la catastrophe de Fukushima qui a fait près de 20 000 morts et d’immenses dégâts environnementaux.
Dans l’après-midi du 11 mars 2011, un séisme de magnitude 9 a provoqué un immense tsunami qui a ravagé les côtes nord-est de la principale île du Japon et détruit la centrale nucléaire de Fukushima dont les réacteurs sont entrés en fusion, conduisant plus de 160000 à fuir pour échapper aux radiations.
À 14 h 46, l’heure exacte du séisme, l’empereur Naruhito et son épouse ont présidé à Tokyo une cérémonie en hommage aux morts tandis que d’autres étaient organisées partout sur l’archipel.
Dix ans après le pire désastre nucléaire enregistré dans le monde depuis celui de Tchernobyl en 1986, certains survivants n’ont toujours pas achevé leur deuil. »
Les journaux régionaux ne sont pas en reste, cf le Journal du Centre :
RépondreSupprimer« Dix ans après Fukushima, les leçons françaises de la catastrophe (note de l’auteur : avec photo de décombres qui ne sont pas ceux des centrales !)
Au-delà de la tragédie humaine et environnementale, le retour d’expérience de Fukushima a permis au parc nucléaire français de se doter d’outils pour appréhender d’éventuelles catastrophes.
11 mars 2011. Il y a dix ans, le nom de Fukushima est entré dans nos mémoires. Dans le tiroir obscur des événements sur lesquels nous n’avons pas de prise mais qui, en écho à notre quotidien, nous somment de prendre conscience. Un séisme de magnitude 9 l’un des plus importants que la planète ait connu avec celui de 2004, suivi d’un tsunami qui a submergé une région du nord-est du Japon et ravagé la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Classé 7, le plus haut degré, sur l’échelle internationale des événements nucléaires (INES), l’accident a été d’une gravité comparable, mais pas totalement égale, à celle de Tchernobyl en 1986. »
Alors là, on n’est même plus dans l’ordre du sous-entendu, on est carrément dans le mensonge. La catastrophe, ce serait l’accident nucléaire, pas le tsunami.
QUE DIT L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ ?
L’OMS a publié des études rassurantes dès 2013. Il n’y a pas de morts à déplorer sur le coup. Il est possible qu’à la longue, soient découvertes des maladies chez les travailleurs qui ont été les plus exposés au tout début, quelques dizaines tout au plus. Mais les populations ont été exposées à des doses minimes. Par contre, leur évacuation a eu des effets négatifs sur les personnes les plus fragiles.
Les conséquences sanitaires seront à l’évidence très faibles ; sur le long terme, les rejets en mer ne seront pas supérieurs, en définitive, à n’importe quelle centrale nucléaire.
Mais gageons que dans vingt ans, ces répercussions feront l’objet encore de débats féroces de la part des anti nukes.
Il n’est pas question ici de soutenir que l’accident est anodin. Ses conséquences économiques, entre autres, ont été considérables. Mais elles sont à replacer dans le contexte global du désastre d’origine naturelle.
DES ENSEIGNEMENTS TIRÉS À CONTRESENS
RépondreSupprimerLe constat est plutôt rassurant :
Ces réacteurs sont les plus anciens du Japon, et la tranche la plus ancienne devait être décommissionnée quelques mois plus tard. On peut supposer que l’entretien n’était pas à son optimum.
Ces réacteurs sont du type à eau bouillante, réputés moins sécurisants, avec une enceinte de confinement plus fragile, et surtout, ils étaient démunis de valves de surpression en cas de dégagement d’hydrogène : c’est ce qui a provoqué les explosions.
Tepko, l’opérateur, est réputé pour ne pas être au top des mesures d’entretien et de sécurité. En particulier, il semble qu’il ait négligé de faire des exercices d’entraînement à des crises sévères.
La gestion de l’accident dans les premiers jours a été catastrophique, la direction de Tepko, qui n’était pas sur place, donnant des ordres mal à propos. Pour sauver la situation, le directeur de la centrale a dû prendre sur lui de désobéir, chose impensable pour un Japonais.
Le tsunami était énorme, bien plus important que les hypothèses ayant servi à dimensionner les installations, avec une vague de 14 mètres au droit de la centrale.
La situation ne pouvait guère être pire. Or, on ne déplore aucune victime ! Évidemment, il est indispensable d’analyser tous les dysfonctionnements pour en tire des leçons à appliquer sur toutes les centrales nucléaires en fonctionnement, ce qui a été fait, en particulier en France. Mais on aurait pu penser que le constat global aurait dû être plutôt rassurant.
Eh bien c’est l’inverse qui s’est produit. L’Allemagne a presque immédiatement décidé de précipiter l’arrêt de ses réacteurs, alors même qu’ils n’avaient jamais fait l’objet du moindre incident sérieux. Et on ne cesse de brandir le totem de Fukushima pour dénoncer les dangers du nucléaire.
La France s’est dotée d’un parc de réacteurs à eau pressurisée. Il existe 300 réacteurs de ce type dans le monde, certains vieux de plus de 40 ans. Un seul accident est à signaler, celui de Three Miles Island, aux USA, qui a conduit à la fusion du réacteur ; pas un poil de radioactivité n’a été dispersé dans l’environnement.
Tchernobyl est un cas à part, c’est davantage une catastrophe du communisme que du nucléaire, tant on y était éloigné de normes élémentaires de sécurité.
ALORS POURQUOI ?
Oui, pourquoi on ne retient que Fukushima, alors que c’est l’épiphénomène d’un désastre considérable ? Outre le militantisme anti nuke, il existe peut-être une explication purement phonémique. Certains mots sont souvent à l’origine d’une médiatisation par leur contenu phonétique, devenant en quelque sorte des totems : agent orange (étrange), dioxine (toxine), métaux lourds…
Ici, le shima de Fukushima, fait mouche, car il est associé à Hiro dans notre inconscient. Avec nucléaire et Japon, tout est réuni pour que la bombe explose dans nos pauvres petits cerveaux, dans la partie intuitive de nos neurones, comme dirait Daniel Kahneman. Tohoku et Kanto, ça ne dit rien.
Les activistes le savent, ils sont d’habiles utilisateurs du nudge, qui résulte directement de ces considérations.
TSUNAMI VS FUKUSHIMA
RépondreSupprimerLe séisme principal a engendré un tsunami avec des vagues jusqu’à 15 mètres de hauteur selon les observations par Port and Airport Research Institute, et avec des pics jusqu’à 39 mètres enregistrés à Miyako.
Les régions touchées, le Tōhoku et le Kantō, comptent pour respectivement 8 et 40 % du produit intérieur brut du Japon, alors troisième économie mondiale, et les trois préfectures les plus touchées, Iwate, Miyagi et Fukushima.
La centrale est équipée de réacteurs nucléaires baptisés « réacteurs à eau bouillante » (REB). Le fluide qui traverse le cœur est de l’eau déminéralisée qui, portée à ébullition au contact des barres de combustible, se transforme en vapeur et actionne des turbo-alternateurs pour produire de l’électricité.
Fukushima I est équipée de six réacteurs, mis en service entre 1971 et 1979, dont cinq selon l’architecture Mark 1. Ils ont été construits par General Electric,Toshiba et Hitachi.
Un scandale qui éclate en 2002 révèle que durant les années 1980 et 1990, TEPCO a falsifié une trentaine de rapports d’inspection constatant des fissures ou des corrosions sur les enveloppes des réacteurs dont ceux de la centrale de Fukushima. La direction de TEPCO doit démissionner et plusieurs réacteurs sont alors fermés. En 2007, on apprend que TEPCO a en fait dissimulé 199 incidents entre 1984 et 2002.
Dans un rapport remis le 28 février 2011 à l’Agence japonaise de sûreté nucléaire, TEPCO admet avoir de nouveau falsifié plusieurs rapports d’inspection : elle n’a en réalité pas contrôlé 33 éléments des six réacteurs de Fukushima-Daiichi. Parmi ceux-ci figurent un moteur et un générateur électrique d’appoint pour le réacteur numéro 1, ainsi qu’un tableau électrique qui n’avait pas été vérifié depuis 11 ans.
Le 31 mars, le Wall Street Journal révèle que les plans de gestion d’urgence de TEPCO, bien que conformes à la législation japonaise, ne correspondent qu’à des incidents mineurs, ce qui n’a pas permis à l’opérateur de réagir efficacement durant les premiers jours de la crise. Interrogé sur cette question, un porte-parole de l’Agence japonaise de sûreté nucléaire déclare : « Nous sommes douloureusement conscients que ces plans étaient insuffisants. »
Après l’irradiation de trois sous-traitants le 24 mars, l’Agence japonaise de sûreté nucléaire notifie immédiatement à l’opérateur de revoir ses mesures de radioprotection sur le site. Malgré cela la chaîne de télévision japonaise NHK révèle le 31 mars que la dosimétrie des travailleurs sur le site n’est pas précisément suivie car TEPCO n’a plus assez de dosimètres. Cela déclenche des réactions furieuses de la part des autorités japonaises.
Le 29 décembre 2011, NHK World révèle que les générateurs de secours, tombés en panne lors de l’accident nucléaire de Fukushima, avaient déjà subi une inondation 20 ans plus tôt à la suite d’une fuite d’eau. À cette occasion, deux des générateurs de secours étaient tombés en panne. Malgré cet incident, TEPCO avait seulement fait installer des portes étanches mais n’avait cependant pas déménagé en hauteur ces générateurs.
Au 11 mai 2011, le bilan du séisme et du tsunami est de 14 981 morts et environ 9850 disparus selon la police japonaise. Au 11 juin 2011, trois mois après la catastrophe, on dénombre 23 500 morts et disparus, sans plus d’espoir de retrouver des disparus survivants. Plus de 90 000 personnes sont toujours sans domicile, réfugiées dans des centres d’accueil. Le 11 août, 5 mois après la catastrophe, le bilan était de 15 689 morts et 4744 disparus, d’après l’Asahi Shimbun.
RépondreSupprimerSur la préfecture de Fukushima, le bilan officiel et provisoire de la gestion post-accidentelle de cette catastrophe, tenu par l’Agence à la reconstruction japonaise, s’élève à 1656 morts en février 2014 (1415 morts en juin 2013, 1263 morts en août 2012), surtout liées aux évacuations et à la relative fragilité des évacués, soit plus que les 1607 morts dus au séisme et au tsunami, et plus de 150 000 déplacés, indifféremment pour le séisme, le tsunami ou pour l’accident nucléaire.
https://www.contrepoints.org/2021/03/15/393153-fukushima-et-si-on-parlait-du-tsunami
Omission de Michel Negynas:
SupprimerIl n'y aurait PAS eu de catastrophe nucléaire à Fukushima ce 11 Mars 2011, si seulement les tuyauteries d'approvisionnement en eau des réacteurs avaient été montrées sur vérins !!
Cette catastrophe vient UNIQUEMENT de cette négligence (mondiale ! sur le même modèle !!/Un ou une ministre à l'époque avait parler d'un certain budget très élevé pour chaque centrale pour 'renforcer la sécurité de la centrale', tournure de phrase pour dissimuler que les tuyaux d'approvisionnement ne sont nulle part montés sur vérins !!).
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Bêh oui, quand on est con on est con ! les 'sortis de grandes écoles' (à coups de pieds au cul ?) sont des cons de naissances formatés par la dictature pour en faire des cons supérieurs. AUCUN ministre du budget ne sait maîtriser les finances ou l'inflation ! AUCUN ministre de l'agriculture n'a semé, planté ou élevé quoi que ce soit à la campagne et est nommé 'ministre de l'agriculture' !!!
Regardez cette trisomie consternante depuis plus d'un an à propos du 'corona' !!
Ils refusent d'écouter les scientifiques et disent qu'ils en savent plus que les scientifiques sans jamais avoir fait une heure d'étude scientifique !!!
YouTube et Patreon démontent le rapport Corbett
RépondreSupprimerOffGuardian
15 mars 2021
James Corbett n'est probablement pas longtemps pour le monde YouTube, après avoir reçu son deuxième avertissement, sa chaîne est sur le billot.
Il existe encore de nombreuses plateformes sur lesquelles vous pouvez suivre son travail (détaillé dans la vidéo ci-dessus), surtout son site Web. Nous vous suggérons de vous abonner par e-mail ou RSS. (Voici également une liste des vidéos de Corbett que YouTube a déjà supprimées).
Pour les créateurs, c'est un rappel opportun: ayez TOUJOURS des sauvegardes sur papier de votre travail et inscrivez-vous sur plusieurs plates-formes. Les plates-formes indy augmentent à la fois en nombre et en taille. De BitChute à LBRY.tv en passant par les réseaux sociaux comme Gab et Parler.
Corbett n'est pas le seul média indépendant confronté à une censure et un déni de service accrus. Whitney Webb, une grande chercheuse indépendante et journaliste qui a écrit pour de nombreux points de vente et dirige UnlimitedHangout.com, risque également de voir son Patreon fermé.
https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/youtube-and-patreon-taking-down-the-corbett-report/