PAR TYLER DURDEN
LUNDI 08 MAR 2021 - 16:45
Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,
Vendredi après-midi, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis (toujours appelés CDC, même s'ils ont ajouté un «P») ont publié un rapport hérétique sur le port de masque et le COVID-19.
Le rapport, rédigé par au moins une douzaine de médecins, de chercheurs en doctorat et, bizarrement, d'une poignée d'avocats, a examiné comment les mandats de masque à travers les États-Unis affectaient les cas de COVID et les taux de mortalité.
Vous pensez avec toute la propagande médiatique sur l'efficacité des masques… et toute la signalisation de la vertu, avec des politiciens et des journalistes apparaissant à la télévision en direct portant des masques… que les données prouveraient de manière incontestable et écrasante que les masques ont sauvé le monde.
Mais ce n’est pas ce que dit le rapport.
Selon l’analyse du CDC, entre le 1er mars et le 31 décembre de l’année dernière, des mandats masques à l’échelle de l’État étaient en vigueur dans 2 313 des 3 142 comtés des États-Unis.
Et, en examinant les données comté par comté, le CDC conclut que les mandats de masque étaient associés à une diminution moyenne de 1,32 % des taux de croissance des cas de COVID-19 et des décès au cours des 100 premiers jours après la mise en œuvre de la politique de masque.
Attends quoi ? Seulement 1,32 % ?
Vous avez bien lu, ils n'ont pas égaré la décimale: selon l'agence gouvernementale fédérale chargée de gérer la pandémie COVID-1984, la différence entre les mandats de masque et pas de mandat de masque n'est littéralement qu'une différence de 1,32 %.
Et gardez à l’esprit, il est tout à fait possible que le chiffre réel soit encore plus bas, compte tenu de toutes les statistiques COVID discutables.
Par exemple, le CDC rapporte que les cas de grippe aux États-Unis ont chuté à presque zéro au cours de la saison grippale 2020-2021, contre 56 MILLIONS l'année précédente.
C'est incroyable qu'ils s'attendent à ce que quiconque prenne ces données au sérieux.
Sommes-nous censés croire honnêtement que la grippe a été éradiquée ?
Ou est-il possible que, peut-être juste peut-être, au moins certains cas de grippe aient été diagnostiqués à tort comme COVID ?
Si tel est le cas, l’impact réel des masques sur les taux de croissance des COVID est potentiellement bien inférieur à 1,32 %.
Même le CDC semble comprendre cela, car à la fin de son rapport, ils concluent avec inspiration en déclarant que les mandats masques «ont le potentiel de ralentir la propagation du COVID-19. . . » [le gras est à moi, évidemment]
Ah bon? "Potentiel" ? C’est HÉRÉSIE! Et une contradiction évidente avec les directives de l'OMS. On se demande si Google et Facebook se préparent à censurer ce rapport, étant donné qu'ils se sont autoproclamés ministère de la Vérité.
Franchement, il est assez incroyable que les données soient trop faibles pour que le CDC puisse affirmer clairement les avantages des mandats de masque.
(même si j'ai dit qu'il y avait quelques avocats qui ont co-écrit cet article ... et utiliser un langage non contraignant comme «potentiel» sonne certainement comme un langage typique d'avocat de belette.)
Maintenant, ne vous méprenez pas sur l’intérêt de cette lettre. Je ne suis pas ici pour dénigrer les masques ou dire qu’ils ne fonctionnent pas, ni pour faire une diatribe anti-masque.
Le fait est que je suis pro-data. Et pro-raison.
Les politiques de santé publique ont des conséquences. Il y a toujours des coûts et il y a (espérons-le) des avantages.
Le CDC vient de publier une analyse officielle des bénéfices, quantifiée précisément à 1,32%.
Quels sont les coûts de leurs décisions? Eh bien, il y a aussi beaucoup de données à ce sujet.
Par exemple, une étude récente publiée plus tôt ce mois-ci dans la principale revue scientifique Nature montre que les Américains qui portent des masques sont plus susceptibles de se livrer à des activités plus risquées, comme, vous savez, quitter la maison.
L'étude conclut que les mandats de masque «conduisent à un comportement de compensation du risque» et que les porteurs de masque «passent en moyenne 11 à 24 minutes de moins à la maison et augmentent le nombre de visites dans certains lieux commerciaux, notamment les restaurants, qui sont des lieux à haut risque.»
D'autres conséquences sont plus sombres.
Il y a eu plusieurs études qui font état de l'augmentation alarmante des problèmes de santé mentale graves, y compris un pic de suicide chez les jeunes, à la suite de diverses politiques de santé publique, y compris les mandats de masque et les verrouillages.
Par exemple, une autre étude publiée dans Nature début janvier a rapporté qu'à la fin de 2020, les taux de suicide chez les enfants au Japon ont bondi de 49 %.
Et le Service de lutte contre les toxicomanies et la santé mentale (SAMHSA) du gouvernement américain a signalé une augmentation incroyable de 890 % du volume d'appels à sa hotline nationale pour le suicide en avril dernier.
Ensuite, il y a les conséquences économiques à prendre en compte: les mandats masqués stimulent-ils l'économie en donnant aux gens plus de confiance pour sortir et dépenser? Ou les mandats de masques obligent-ils plus de personnes à rester à la maison pour éviter les tracas et, par conséquent, réduire l'activité économique ?
Il n’y a toujours pas d’analyse concluante sur le sujet. Mais vous pensez que les décideurs voudraient le savoir.
On pourrait penser qu’ils examineraient toutes les données, tous les avantages et inconvénients, les conséquences économiques, les conséquences sur la santé publique, etc., et prendraient une décision éclairée et rationnelle.
Mais cela ne semble plus se produire.
Il ne peut y avoir de discours rationnel sur le sujet. Vous n'êtes pas autorisé à poser des questions ou à exprimer une dissidence intellectuelle, sinon vous serez dénoncé comme un théoricien du complot.
Vous avez un travail: obéir. Il ne s’agit même plus de «faire confiance à la science», comme on nous a dit de le faire maintes et maintes fois pendant la pandémie. Parce que maintenant, la science nous dit que les mandats masques «ont le potentiel» de réduire les taux de croissance de Covid de seulement 1,32 %.
Non pas que vous l’entendrez dans les médias.
Il y a eu en fait une bonne couverture au cours du week-end sur le nouveau rapport du CDC.
Le titre du Washington Post disait: «Après les restrictions de levée des États, le CDC affirme que les mandats de masque peuvent réduire les décès».
Le New York Times a rapporté que «le port de masques, selon l'étude [CDC], était lié à moins d'infections par le coronavirus et les décès de Covid-19.»
NBC a qualifié le rapport de «preuve solide que les mandats de masque peuvent ralentir la propagation du coronavirus. . . »
Mais très peu de la couverture médiatique a pris la peine de mentionner les données réelles, c'est-à-dire la réduction marginale de 1,32 % des taux de croissance.
Tout comme les données sur la grippe du CDC, il est incroyable que les médias s’attendent à être pris au sérieux ou qu’ils se font passer pour une source d’information objective et impartiale.
https://www.zerohedge.com/political/cdc-about-be-canceled-google-facebook-covid-heresy
Notez bien que d'année en année le nombre de décès ne change pas ou demeure lié à la croissance de la population. Donc, preuve apportée: LE PORT DU MASQUE NE SERT A RIEN !
RépondreSupprimerLa PREUVE est faite (et non inventée) par la largeur du maillage des 'masques' (FFP2/N95) dits 'les plus fins' qui présente un écart de fils de 3 MICRONS tandis que le virus (corona) n'a que... 0,1 à 0,5 MICRON ! HAHAHAHA !
Pas de doute ! Nous respirons bien (AVEC ou SANS masque) 200 000 microbes ou virus chaque minute et 2 millions en activité physique.
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
mardi 20 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
Mon enquête sur le VIH / SIDA et les parallèles au canular COVID
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
9 mars 2021
Dans ma série d’articles sur les fausses épidémies - Ebola, Zika, grippe porcine - j’ai établi que tous les symptômes de ces soi-disant maladies peuvent s’expliquer sans invoquer un virus.
Ceci est une clé.
C'était ma méthode, quand j'ai écrit mon premier livre, AIDS INC., En 1988.
À ce moment-là, j'ai examiné les «groupes à haut risque» du sida répertoriés par les CDC - Africains, Haïtiens, toxicomanes intraveineux, homosexuels, hémophiles et transfusés - et j'ai montré que caractéristique du SIDA) dans ces groupes pourrait être expliquée sans qu'il soit nécessaire de se référer du tout au VIH.
Le «sida» n’était pas une condition.
C'était une déficience immunitaire causée, chez diverses personnes, par divers facteurs. L'astuce médicale hypnotique consistait à souder tous ces malades et mourants sous une seule étiquette: «SIDA».
Mais la vérité était que - selon le «groupe du sida» et les personnes que vous examiniez - vous aviez des médicaments débilitants et des drogues illicites détruisant le système immunitaire; vous aviez une faim et une famine dévastatrices; manque d'assainissement de base; la pauvreté et la guerre écrasantes; campagnes de vaccination; collapsus surrénalien…
De même, aujourd'hui, avec un vaste effort de réétiquetage, tout patient souffrant de tout type de problème pulmonaire ou de maladie pseudo-grippale peut être diagnostiqué et reconditionné comme un cas de «COVID-19». L'ensemble lâche de soi-disant symptômes COVID permet un tel diagnostic frauduleux et trompeur.
C'est le con central.
En 1988, après avoir parcouru des revues médicales, j'ai découvert que la cause numéro un de l'épuisement des lymphocytes T (effondrement du système immunitaire) dans le monde était la malnutrition / la faim / la famine. Pourtant, en Afrique et en Haïti, et même chez certains patients occidentaux survivant avec des régimes de malbouffe, l'épuisement des lymphocytes T était couramment appelé VIH / SIDA.
Soudain, un virus a été invoqué pour se substituer à la malnutrition.
En fait, en Afrique, la première étiquette du sida était «maladie mince». Cette idée stupide a été inventée par une enquête profondément imparfaite en Ouganda, où les patients étaient «minces» simplement parce qu'ils souffraient de malnutrition et de faim, et par conséquent perdaient du poids.
À New York et à San Francisco, des homosexuels inhalaient une drogue de rue brutalement dangereuse appelée «poppers». Les lésions pulmonaires graves n’étaient que l’un des nombreux effets dévastateurs du médicament. Une déficience profonde du système immunitaire suivra certainement.
RépondreSupprimerDans AIDS INC., Je présente toute une parade de destructeurs du système immunitaire dans les groupes à haut risque; et aucun de ces destructeurs n'a rien à voir avec un virus.
- Tout comme à Wuhan, en 2019, la pollution atmosphérique chronique mortelle qui planait sur la ville et provoquait une pneumonie - la caractéristique originale du soi-disant COVID-19 - n'avait rien à voir avec un virus.
Ainsi, lorsque des personnes non informées bêlent: «Les gens meurent, ce doit être le virus», qu’elles parlent de sida ou de COVID, elles sont complètement déraillées et sur la mauvaise voie.
Voici un autre parallèle entre SIDA et COVID: le test du virus.
J'ai passé de nombreux articles à détailler comment le test PCR pour le SRAS-CoV-2 crache des résultats faussement positifs comme l'eau d'un tuyau d'incendie. Un médecin dira à un patient qu'il est infecté simplement parce que la sensibilité du test est tellement élevée qu'il sera positif sur un grain de poussière sur la lune. Il s'agit de la construction artificielle de numéros de cas à son meilleur.
Eh bien, en 1988, il y avait une situation similaire. Le test des anticorps anti-VIH se révélait un Niagara de résultats faussement positifs. J'ai consacré un chapitre de mon livre aux résultats de ma recherche approfondie dans les revues médicales.
La preuve était indéniable. Les deux types de base de tests d'anticorps anti-VIH - l'Elisa et le Western Blot - étaient, certes, profondément imparfaits. Il n'y avait pas d'étalon-or pour les tests.
Les réactions croisées étaient abondantes: le test de dépistage du VIH se révélait positif pour toute une série de raisons qui n'avaient rien à voir avec le VIH ou tout autre virus. Une raison? Une personne avait reçu le vaccin contre l'hépatite B. Eh bien, dans les années 1980, une campagne a été lancée pour recruter des hommes homosexuels dans une vaste étude sur le nouveau vaccin.
Un troisième parallèle entre le SIDA et le COVID: élargir la définition de la «maladie» afin d'accueillir le plus de patients possible, et d'accumuler autant de cas que possible.
La définition CDC du SIDA de 1987, que j'ai imprimée dans mon livre dans son intégralité, a pris 15 pages. Avec un peu de rigmarole, un médecin pouvait diagnostiquer le SIDA chez une personne qui avait presque n'importe quel type d'infection bactérienne.
La définition CDC du COVID-19 permet un diagnostic lorsque le patient n'a rien de plus qu'une toux, ou des frissons et de la fièvre, accompagnés d'un test PCR positif.
Il y a d'autres parallèles entre le SIDA et le COVID que je pourrais énumérer, mais vous voyez l'image. Dans les deux cas, le canular est endémique.
Quelques années après avoir publié AIDS INC., J'ai pris conscience d'un nouvel argument: l'existence même du VIH était mise en doute. En consultant la littérature indépendante sur le sujet, je suis devenu convaincu que personne n'avait prouvé que le VIH existait. Dans ces pages, j’ai publié à plusieurs reprises une interview éclairante que la journaliste Christine Johnson a menée avec la biophysicienne australienne Eleni Papadopulos sur l’isolement du VIH. Papadopulos fait valoir de manière convaincante que, selon des règles rigoureuses établies par des chercheurs traditionnels, le VIH n’a pas été isolé.
RépondreSupprimerComme mes lecteurs le savent, depuis un an, j’apporte des preuves convaincantes que l’existence du SRAS-COV-2 n’a jamais été prouvée. Les chercheurs déforment et inversent le sens du mot «isolement», afin de «démontrer» que le virus est réel.
L’absence du VIH et du SRAS-CoV-2 ne me surprend pas. Après tout, les soi-disant symptômes des deux «conditions» peuvent être expliqués sans référence à un virus.
Dans les deux cas, la réalité, qui s'illumine comme une enseigne géante au néon dans l'obscurité, c'est la FRAUDE.
SOURCES:
(forthcoming)
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/03/jon-rappoport/my-hiv-aids-investigation-and-the-parallels-to-the-covid-hoax/
Effectivement, comme nous respirons toutes & tous 200 000 microbes ou virus par minute et 2 millions en activité physique et il bien difficile pour le laborantin de savoir lequel est le fautif et (c-à-d) lequel irradie (car en laboratoires ils n'ont pas de nano compteur Geiger pour tester les poussières radioactives).
SupprimerEt, comme en plus ILS SE RESSEMBLENT TOUS ! ON EST PAS DANS LA M*RDE !
Pfizer Bullies Nations va offrir des garanties pour les poursuites judiciaires
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
9 mars 2021
Tel que rapporté par World Is One News (WION), basé à New Delhi 1, Pfizer demande aux pays de constituer des actifs souverains en garantie des poursuites pour blessures liées aux vaccins résultant de son inoculation au COVID-19. En d'autres termes, il veut que les gouvernements garantissent que l'entreprise sera indemnisée pour toutes les dépenses résultant de poursuites judiciaires contre elle.
WION rapporte que l’Argentine et le Brésil ont rejeté les demandes de Pfizer. Initialement, la société a exigé la promulgation d'une législation d'indemnisation, telle que celle dont elle jouit aux États-Unis. L'Argentine a proposé une législation qui limiterait la responsabilité financière de Pfizer pour les blessures à celles résultant de la négligence ou de la malveillance.
Pfizer a rejeté la proposition. Il a également rejeté une proposition réécrite qui comprenait une définition plus claire de la négligence. Pfizer a ensuite demandé au gouvernement argentin de mettre en place des actifs souverains - y compris ses réserves bancaires, ses bases militaires et ses bâtiments d'ambassade - en garantie. L'Argentine a refusé. Une situation similaire s'est produite au Brésil. Pfizer a demandé au Brésil:
«Renoncer à la souveraineté de ses actifs à l'étranger au profit de Pfizer»
Ne pas appliquer ses lois nationales à l'entreprise
Ne pas pénaliser Pfizer pour les retards de livraison des vaccins
Exonère Pfizer de toute responsabilité civile pour les effets secondaires
Le Brésil a rejeté les demandes de Pfizer, les qualifiant d '«abusives». Comme l'a noté WION, Pfizer a développé son vaccin avec l'aide d'un financement gouvernemental, et maintenant, une entreprise privée, elle demande aux gouvernements de remettre des actifs souverains pour s'assurer que l'entreprise ne perdra pas un centime si son produit blesse les gens, même si ceux-ci les blessures sont le résultat de pratiques de l'entreprise négligentes, de fraude ou de malveillance.
Une certaine protection en matière de responsabilité est garantie, mais certainement pas en cas de fraude, de négligence grave, de mauvaise gestion ou de non-respect des bonnes pratiques de fabrication. Les entreprises n'ont pas le droit de demander une indemnité pour ces choses. ~ Lawrence Gostlin, professeur de droit
Outre l'Argentine et le Brésil, neuf autres pays d'Amérique du Sud auraient négocié des accords avec Pfizer. On ne sait pas s'ils ont effectivement renoncé à des actifs nationaux en retour2.
Un fabricant de vaccins accusé d'abuser de son pouvoir
Selon STAT News 3, «des experts juridiques ont exprimé des inquiétudes quant au fait que les demandes de Pfizer constituent un abus de pouvoir.» Lawrence Gostin, professeur de droit à l’Université de Georgetown et directeur du Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé sur le droit national et mondial de la santé, a déclaré à STAT: 4
«Les sociétés pharmaceutiques ne devraient pas utiliser leur pouvoir pour limiter les vaccins vitaux dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. [Cela] semble être exactement ce qu’ils font… Une certaine protection en matière de responsabilité est justifiée, mais certainement pas en cas de fraude, de négligence grave, de mauvaise gestion ou de non-respect des bonnes pratiques de fabrication. Les entreprises n'ont pas le droit de demander une indemnité pour ces choses. »
RépondreSupprimerMark Eccleston-Turner, maître de conférences en droit de la santé mondiale à l'Université de Keele en Angleterre, a ajouté: 5
«[Pfizer] essaie de réaliser autant de profits et de minimiser ses risques à chaque étape de ce développement de vaccin que de ce déploiement de vaccin. Maintenant, le développement du vaccin a déjà été fortement subventionné. Il y a donc un risque très minime pour le fabricant impliqué ici. »
Ne vous attendez pas à une indemnisation si vous êtes blessé par le vaccin COVID-19
Aux États-Unis, les fabricants de vaccins bénéficient déjà d'une indemnisation complète contre les blessures résultant de ce vaccin ou de tout autre vaccin pandémique en vertu de la loi PREP. Si vous êtes blessé, vous devrez déposer une demande d'indemnisation auprès du Countermeasures Injury Compensation Program (CICP) 6, qui est financé par les contribuables américains via un crédit du Congrès au ministère de la Santé et des Services sociaux (DHHS).
Bien que similaire au Programme national d'indemnisation des blessures liées aux vaccins (NVICP), qui s'applique aux vaccins non pandémiques, le CICP est encore moins généreux en matière d'indemnisation. Par exemple, alors que le NVICP paie une partie des coûts associés à une réclamation donnée, le CICP ne le fait pas. Cela signifie que vous serez également responsable des honoraires d'avocat et des honoraires des témoins experts.
Un problème important avec le CICP est qu’il est administré au sein du DHHS, qui parraine également le programme de vaccination contre le COVID-19. Ce conflit d'intérêts fait que le CICP est peu susceptible de critiquer le vaccin.
Votre seule voie d'appel est au sein du DHHS, où votre cas serait simplement examiné par un autre employé. Le DHHS est également chargé d'effectuer le paiement, de sorte que le DHHS agit effectivement en tant que juge, jury et défendeur. Comme l'a rapporté le Dr Meryl Nass 7, le paiement maximal que vous pouvez recevoir - même en cas d'invalidité permanente ou de décès - est de 250 000 $ par personne; cependant, vous devrez épuiser votre police d’assurance privée avant que le PCCI ne vous donne un sou.
CICP ne paiera que la différence entre ce que couvre votre assurance et le montant total du paiement établi pour votre cas. Pour une invalidité permanente, même 250 000 $ n'iront pas loin. Le CICP a également un délai de prescription d'un an, vous devez donc agir rapidement.
C'est aussi un problème important, car personne ne sait vraiment quelles blessures pourraient résulter du vaccin COVID-19, ni quand, et cela rend difficile de lier la blessure à la vaccination. Les employeurs qui imposent le vaccin COVID-19 seront également indemnisés de toute responsabilité pour les effets secondaires. Au lieu de cela, les réclamations seront acheminées via les programmes d’indemnisation des travailleurs.
RépondreSupprimerSi les vaccins COVID-19 sont aussi sûrs que le prétendent les fabricants, pourquoi insistent-ils sur autant d'indemnisation ? Est-ce qu'ils soupçonnent ou savent quelque chose qu'ils refusent d'admettre publiquement ?
Les effets secondaires sont inévitables
Bien sûr, ceux d'entre nous qui ont étudié la science derrière la technologie de l'ARNm utilisée pour créer ces nouveaux «vaccins» se sont depuis longtemps rendu compte qu'il y avait des risques énormes impliqués. Pour commencer, les vaccins à ARNm sont plus précisément appelés thérapies géniques, car c'est ce qu'ils sont.
Ils transforment efficacement vos cellules en bioréacteurs qui produisent des protéines virales pour déclencher une réponse immunitaire, et il n'y a pas d'interrupteur.8 Sur la base de preuves historiques et préliminaires, des effets secondaires importants à court et à long terme sont, très franchement, inévitables.
Pour commencer, votre corps considère l'ARNm synthétique comme un «non-soi», ce qui peut amener les auto-anticorps à attaquer vos propres tissus. Judy Mikovits, Ph.D., a expliqué cela dans son interview, présentée dans «Comment les vaccins COVID-19 peuvent détruire la vie de millions de personnes».
L'ARNm libre est également à l'origine de maladies inflammatoires, c'est pourquoi rendre l'ARNm synthétique thermostable - c'est-à-dire ralentir la dégradation de l'ARN en l'enveloppant dans des nanoparticules lipidiques - est susceptible d'être problématique. Les nanoparticules elles-mêmes présentent également un risque. Les vaccins COVID-19 utilisent des nanoparticules lipidiques PEGylées, connues pour provoquer des réactions allergiques et une anaphylaxie.9,10
De plus, les tentatives précédentes de développement d'un médicament à base d'ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées car lorsque la dose était trop faible, le médicament n'avait aucun effet et, lorsqu'il était dosé trop haut, le médicament devenait trop toxique.11 Une évidence La question est: qu'est-ce qui a changé qui rend cette technologie suffisamment sûre pour une utilisation de masse ?
Comme détaillé dans mon entretien avec Mikovits, l'ARN synthétique influence le gène syncytine, ce qui peut entraîner:
Inflammation du cerveau
Communication dérégulée entre les microglies de votre cerveau, qui sont essentielles pour éliminer les toxines et les agents pathogènes
Système immunitaire dérégulé
Système endocannabinoïde dérégulé (qui calme l'inflammation)
Amorçage pathogène et amélioration dépendant des anticorps
Un autre problème important est que nous ne savons pas si la production d’anticorps est protectrice ou pathogène dans les infections à coronavirus. S'ils sont pathogènes, les individus vaccinés peuvent courir un risque accru de maladie grave s'ils sont exposés au SRAS-CoV-2 à l'avenir. Comme indiqué dans un article du 11 décembre 2020, Vaccine: X: 12
RépondreSupprimer«Le (s) premier (s) vaccin (s) contre le SRAS-CoV-2 sera probablement homologué sur la base d'anticorps neutralisants dans les essais de phase 2, mais l'utilisation de la réponse anticorps dans les infections à coronavirus comme seule mesure de l'immunité protectrice suscite des inquiétudes importantes.
La réponse des anticorps est souvent un mauvais marqueur d'une infection antérieure à coronavirus, en particulier dans les infections légères, et est de plus courte durée que les cellules T réactives au virus… Une forte réponse en anticorps est corrélée à une maladie clinique plus grave tandis que la réponse des cellules T est corrélée à une maladie moins grave ; et une amélioration dépendante des anticorps de la pathologie et de la gravité clinique a été décrite.
En effet, on ne sait pas si la production d'anticorps est protectrice ou pathogène dans les infections à coronavirus. Les premières données sur le SRAS-CoV-2 soutiennent ces résultats. Les données sur les infections à coronavirus chez les animaux et les humains soulignent la génération d'une réponse des lymphocytes T de haute qualité dans l'immunité protectrice. »
Un certain nombre de rapports dans la littérature médicale ont en effet mis en évidence le risque d'amorçage pathogène et de rehaussement dépendant des anticorps (EAD). Comme expliqué dans «Hors de la poêle et dans le feu? Diligence raisonnable garantie pour ADE dans COVID-19 ": 13
«L'EAD est un phénomène immunologique par lequel une réponse immunitaire antérieure à un virus peut rendre un individu plus vulnérable à une infection analogue ultérieure.
Plutôt que la reconnaissance et la clairance virales, le développement préalable d'anticorps spécifiques du virus à un niveau non neutralisant peut faciliter l'absorption virale, améliorant la réplication; une stratégie d'évasion immunitaire possible évitant les capteurs immunitaires innés intracellulaires, ou les récepteurs de reconnaissance de formes…
Les effets indésirables du SARS-CoV ont également été décrits14 par le biais d'un nouveau mécanisme d'entrée cellulaire dépendant de FcyRII et indépendant de l'ACE2. Les auteurs déclarent15 que cela justifie des inquiétudes dans l'évaluation de l'innocuité de tout candidat vaccin humain contre le SRAS-CoV. »
De même, «L'amorçage pathogène contribue probablement à la maladie grave et critique et à la mortalité dans le COVID-19 via l'auto-immunité», publié dans le Journal of Translational Autoimmunity, avertit que: 16
«L'échec des vaccins contre le SRAS et le MERS dans les essais sur les animaux impliquait une pathogenèse compatible avec un amorçage immunologique qui pourrait impliquer une auto-immunité dans les tissus pulmonaires en raison d'une exposition antérieure à la protéine de pointe du SRAS et du MERS. La pathogenèse de l'exposition au SRAS-CoV-2 dans le COVID-19 conduira probablement à des résultats similaires. »
Donc, pour être clair, tout cela signifie que si vous vous faites vacciner, vous pouvez en fait courir un risque accru de maladie grave si / lorsque vous êtes exposé à un certain nombre de souches mutées du SRAS-CoV-2 dans le futur.
RépondreSupprimerC'est pourquoi la recommandation de vacciner les personnes qui ont déjà été infectées par le SRAS-CoV-2, ou qui ont une infection active du SRAS-CoV-2, peut en fait être assez dangereuse. Le Dr Hooman Noorchashm a récemment envoyé une lettre publique17 au commissaire de la Food and Drug Administration des États-Unis détaillant ces risques.
Comment les injections d'ARNm peuvent déclencher une maladie à prions
De plus, dans un article18 intitulé «COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease», publié dans Microbiology & Infectious Diseases, le Dr Bart Classen avertit qu'il existe également des preuves troublantes suggérant que certaines des injections d'ARNm pourraient causer des maladies à prions comme la maladie d'Alzheimer et la SLA. Il écrit:
«Dans le présent article, on s'inquiète du fait que les vaccins COVID à base d'ARN ont le potentiel de provoquer plus de maladies que l'épidémie de COVID-19. Cet article se concentre sur un nouveau mécanisme potentiel d'événement indésirable provoquant une maladie à prion qui pourrait être encore plus courante et débilitante que l'infection virale que le vaccin est conçu pour prévenir…
L'analyse du vaccin Pfizer contre le COVID-19 a identifié deux facteurs de risque potentiels d'induction de la maladie à prion chez l'homme. La séquence d'ARN dans le vaccin contient des séquences censées induire l'agrégation du TDP-43 et du FUS dans leur conformation à base de prions conduisant au développement de maladies neurodégératives courantes.
En particulier, il a été montré que les séquences d'ARN GGUA, les séquences riches en UG, les répétitions en tandem UG et les séquences en quadruplex G, ont une affinité accrue pour se lier à TDP-43 et / ou FUS et peuvent amener TDP-43 ou FUS à prendre leurs configurations pathologiques dans le cytoplasme.
Dans l'analyse actuelle, un total de seize répétitions en tandem UG ont été identifiées et des séquences supplémentaires riches en UG ont été identifiées. Deux séquences GGΨA ont été trouvées. G Des séquences quadruplex sont peut-être présentes mais des programmes informatiques sophistiqués sont nécessaires pour les vérifier.
La protéine de pointe codée par le vaccin se lie à l'enzyme de conversion 2 de l'angiotensine (ACE2), une enzyme qui contient des molécules de zinc. La liaison de la protéine de pointe à ACE2 a le potentiel de libérer la molécule de zinc, un ion qui amène le TDP-43 à assumer sa transformation pathologique du prion. »
La technologie de l'ARNm a le potentiel de provoquer des lésions microvasculaires
RépondreSupprimerDe plus, le Dr J. Patrick Whelan, un rhumatologue pédiatrique spécialisé dans le syndrome inflammatoire multisystémique, a soumis un commentaire public19 à la FDA en décembre 2020, dans lequel il s'est dit préoccupé par le fait que les vaccins à ARNm ont «le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, cœur, foie et reins d'une manière qui n'a pas été évaluée dans les essais d'innocuité. »
Il a cité des recherches montrant que «la protéine de pointe dans les cellules endothéliales cérébrales est associée à la formation de microthrombi (caillots)» et que, comme aucun ARN viral n'a été trouvé dans l'endothélium cérébral, «les protéines virales semblent causer des lésions tissulaires sans répliquer activement le virus. "
«Est-il possible que la protéine de pointe cause elle-même les lésions tissulaires associées au Covid-19?» il demande. «Chez 13/13 cerveaux de patients atteints de COVID-19 mortel, des pseudovirions (protéines de pointe, d'enveloppe et de membrane) sans ARN viral sont présents dans l'endothélie des microvaisseaux cérébraux…
Il semble que la protéine de pointe virale qui est la cible des principaux vaccins contre le SRAS-CoV-2 est également l'un des principaux agents causant des dommages aux organes distants qui peuvent inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins.
Avant que l'un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l'homme, il est important d'évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur… Les patients vaccinés pourraient également être testés pour des lésions tissulaires à distance dans les biopsies cutanées de la zone deltoïde… »
Les rapports d'effets secondaires se multiplient rapidement
Partout dans le monde, des rapports affluent maintenant de personnes décédant peu de temps après avoir reçu le vaccin COVID-19. Dans de nombreux cas, ils meurent subitement quelques heures après avoir été vaccinés. Dans d'autres, la mort survient en l'espace de quelques semaines.
À la suite de 29 décès de personnes âgées, 20 la Norvège envisagerait d'exclure les personnes très âgées et en phase terminale du vaccin AstraZeneca. Selon l'Agence norvégienne des médicaments: 21
«La plupart des gens ont ressenti les effets secondaires attendus du vaccin, tels que nausées et vomissements, fièvre, réactions locales au site d'injection et aggravation de leur état sous-jacent.»
L'Institut norvégien de santé publique a en outre noté que «pour les personnes les plus fragiles, même les effets secondaires du vaccin relativement légers peuvent avoir des conséquences graves», et que «pour ceux qui ont de toute façon une durée de vie très courte peut être marginale ou non pertinente. »22
En Suède, les hôpitaux de Sörmland et de Gävleborg ont suspendu le vaccin AstraZeneca à la mi-février 2021 après qu'un quart complet du personnel hospitalier vacciné ait signalé des effets secondaires. Pour éviter les pénuries de personnel et mener une enquête, la campagne de vaccination a été temporairement suspendue.23 Voici des exemples d'effets secondaires signalés après la vaccination avec les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca du monde entier:
RépondreSupprimerAu Royaume-Uni, 49 472 effets secondaires du vaccin Pfizer et 21 032 réactions au vaccin AstraZeneca ont été signalés au 24 janvier 2021. Comme indiqué par Principia Scientific International, 46 «Pour les deux vaccins, cela équivaut à 1 personne sur 333 souffrant d'un réaction indésirable. Ce taux pourrait en fait être plus élevé car certains cas n'ont peut-être pas été signalés… »
Le plus grand risque de tous: la mort subite
Le plus préoccupant de tous est peut-être le nombre croissant de cas de mort subite 47,48,49,50,51,52, principalement chez les personnes âgées, mais aussi chez des personnes beaucoup plus jeunes et en bonne santé. Aux États-Unis, les vaccins COVID-19 représentaient 70% des décès liés aux vaccins entre janvier 2020 et janvier 2021.
Au 12 février 2021, le nombre d'effets secondaires signalés au VAERS s'élevait à 15923, dont 929 décès.53 Sur les 799 décès signalés aux États-Unis, un tiers est survenu dans les 48 heures suivant la vaccination et 21% d'entre eux étaient d'origine cardiaque. .
Le vaccin de Pfizer était le plus dangereux en termes de décès, étant responsable de 58% des décès tandis que le vaccin de Moderna représentait 41% des décès. Le vaccin de Pfizer était également responsable de 75% des cas de paralysie de Bell, comparé à celui de Moderna à 25% .54
Curieusement, sur la base des données soumises à la FDA, le vaccin de Moderna a un taux de mortalité 5,41 fois supérieur à celui de Pfizer, mais les deux sont considérablement inférieurs à la moyenne nationale. Comme le note The Defender, l'écart dramatique des taux de mortalité «mérite d'être signalé et doit être expliqué», ajoutant: 55
«Si le taux de mortalité sous vaccin de Moderna est jusqu'à présent bien inférieur au taux de mortalité national et simultanément plus de cinq fois supérieur au taux de mortalité sous vaccin de Pfizer, alors l'échantillon de l'étude de Pfizer apparaît encore moins représentatif de l'ensemble de la population ...
Le processus de dépistage et les critères d'exclusion de Moderna dans l'essai ont conduit à la preuve que la population générale meurt à un taux 6,3 fois supérieur au taux de mortalité dans l'essai Moderna - ce qui signifie l'étude Moderna, y compris son taux d'efficacité estimé et le profil d'innocuité présumé du vaccin. - ne peut pas être pertinent pour la plupart de la population américaine.
Les cohortes super-saines étudiées par Moderna ne sont en aucun cas représentatives de la population américaine. La plupart des décès dus au COVID-19 impliquent des problèmes de santé préexistants des types exclus des essais Pfizer et Moderna ...
RépondreSupprimerCeux qui s'inscrivent dans les études de surveillance post-commercialisation méritent de connaître l'absence abjecte de toute information pertinente sur leur efficacité et leur risque. Dans leur zèle pour aider l'humanité, ou pour s'aider eux-mêmes, ces personnes pourraient très bien se retrouver dans une situation qui provoquera une auto-immunité due à un amorçage pathogène, conduisant potentiellement à une aggravation de la maladie si elles devenaient infectées après la vaccination.
Faites une analyse risques-avantages avant de vous décider
Pour éviter de devenir une triste statistique, je vous exhorte à revoir la science très attentivement avant de vous décider sur cette thérapie génique expérimentale. Rappelez-vous également que la létalité du COVID-19 est en fait étonnamment faible. Il est inférieur à la grippe pour les moins de 60 ans.56
Si vous avez moins de 40 ans, votre risque de mourir du COVID-19 n'est que de 0,01%, ce qui signifie que vous avez 99,99% de chances de survivre à l'infection. Et vous pouvez l'améliorer à 99,999% si vous êtes métaboliquement flexible, sensible à l'insuline et riche en vitamine D.
Alors, vraiment, contre quoi nous protégeons-nous avec un vaccin COVID-19? Ces vaccins à ARNm ne sont même pas conçus pour prévenir l’infection, mais uniquement pour réduire la gravité des symptômes. Pendant ce temps, ils pourraient potentiellement vous rendre plus malade une fois que vous êtes exposé au virus et / ou provoquer des effets secondaires graves persistants tels que ceux examinés ci-dessus.
Bien que je ne dise à personne quoi faire, je vous exhorte à prendre le temps de revoir la science et de peser les risques et les avantages potentiels en fonction de votre situation individuelle avant de prendre une décision que vous pourriez regretter pour le reste de votre vie. , qui peut en fait être raccourcie avec ce vaccin. Sans aucun doute, Pfizer et d'autres fabricants de vaccins le soupçonnent également, c'est pourquoi Pfizer intimide les pays pour qu'ils couvrent toutes ses erreurs.
Sources and References
RépondreSupprimer1 WION February 24, 2021
2, 3, 4, 5 STAT News February 23, 2021
6 HRSA.gov CICP
7 Antraxvaccine.blogspot.com December 4, 2020
8 Technology Review February 5, 2021
9 Bioregulatory Medicine Institute December 28, 2020
10 Science Magazine December 21, 2020
11 Stat News January 10, 2017
12 Vaccine: X December 11, 2020; 6: 1000076
13 Microbes Infect. October 2020; 22(9): 405-406
14, 15 Hong Kong Medical Journal 2016; 22(Suppl 4): S25-31 (PDF)
16 Journal of Translational Autoimmunity 2020; 3: 100051
17 Medium February 15, 2021
18 Microbiology & Infectious Diseases 2021; 5(1): 1-3 (PDF)
19 University of California Public Comment related to consideration of vaccines against SARS-CoV-2, December 8, 2020 (PDF)
20, 21, 22 Bloomberg January 16, 2021
23 The Local February 13, 2021
24 Facebook Haley Nelson December 30, 2020
25 Facebook Tara Sekikawa December 27, 2020
26 Mirror December 11, 2020
27, 36, 42, 44, 51 Gov.UK Weekly Summary of Yellow Card Reporting February 25, 2021
28, 37, 43, 45, 46, 52 Principia Scientific International February 9, 2021
29 Facebook Karl Dunkin case January 5, 2021
30 RT December 26, 2020
31 The Defender December 21, 2020
32 CDC.gov Anaphylaxis following mRNA COVID-19 vaccine receipt (PDF)
33 The New York Times February 8, 2021 (Archived)
34 Newsweek February 10, 2021
35 The Defender January 12, 2021
38 Facebook, Shawn Skelton January 7, 2021
39 WioNews January 2, 2021
40 Facebook, Alanna Tonge-Jelley January 9, 2021
41 The Defender February 16, 2021
47 Daily Star December 30, 2020
48 RT January 4, 2021
49 The Defender January 7, 2021
50 The Vaccine Reaction January 24, 2021
53, 54 The Defender February 19, 2021
55 The Defender January 25, 2021
56 Annals of Internal Medicine September 2, 2020 DOI: 10.7326/M20-5352
https://www.lewrockwell.com/2021/03/joseph-mercola/pfizer-bullies-nations-to-put-up-collateral-for-lawsuits/
Les chiffres ne mentent pas, mais les menteurs
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
Homme international
9 mars 2021
C’est un vieux dicton, mais jamais plus vrai qu’aujourd’hui, lorsque des chiffres profondément faux sont utilisés pour alimenter l’hystérie COVID.
En moins d'un an, les dirigeants des États-Unis et de nombreux autres pays ont réussi à fermer des entreprises, à décimer les interactions sociales, à fermer ceux qui cherchaient à trouver un réconfort de groupe dans leur foi, à saccager les économies et à s'emparer de force du pouvoir, remplaçant la structure démocratique par l'exécutif. décret.
Ceci a été réalisé uniquement par la création de la peur sur un virus de la grippe.
Mother Jones a déclaré: «Le nombre impressionnant de morts était à la fois évitable et entièrement prévisible. Même en dehors de sa vaste incompétence personnelle ... Trump a allègrement mis en pratique des principes conservateurs chéris qui sont incompatibles avec une réponse décente à une pandémie. Fustiger et délégitimer les institutions gouvernementales, diaboliser les communautés minoritaires et jouer dans les griefs blancs peuvent aider les républicains à remporter les élections, mais lorsqu'il s'agit de repousser une catastrophe de santé publique massive, ce qui est primordial, ce sont des agences publiques robustes, un système de santé solide et une attention particulière aux personnes vulnérables. À bien des égards, nous étions condamnés dès le début.
Assez cinglant. Comme on peut le voir, les médias ne se contentent pas de commenter, mais distribuent des fourches aux villageois. Comme dans tous les appels irrationnels aux armes, l'ancien président a déjà été condamné pour génocide devant le tribunal de l'opinion publique. En comparaison, le Dr Fauci, qui a été le médecin expert du gouvernement, n’a pas été pris en compte; pourtant aucun sourcil n'est levé.
Certaines personnes aux États-Unis ne jureront que par les déclarations ci-dessus, tandis que d'autres diront que ce sont des exagérations et des interprétations erronées.
Fait intéressant, cependant, la plupart des Américains semblent tout à fait disposés à accepter le décompte de 400 000 morts comme étant exact.
Et pourtant, nous pouvons obtenir le A.M.A. et / ou les statistiques annuelles des décès toutes causes confondues des CDC / NCHS et les deux sources offrent une image très différente.
Regardons:
Population par année de décès
ANNEES - MORTS - POPULATION
2010 - 2 468 435 - 309 346 863
2011 - 2 515 458 - 311 718 857
2012 - 2 543 279 - 314 102 623
2013 - 2 596 993 - 316 427 395
2014 - 2 626 418 - 318 907 401
2015 - 2 712 630 - 321 418 820
2016 - 2 744 248 - 323 071 342
2017 - 2,813,503 - 325,147,121
2018 - 2.839.205 - 327.167.439
2019 - 2.854.838 - 329.110.439
2020 - 2 916 492 - 332 103 290
Nous pouvons voir que le nombre de décès semble augmenter d'environ 1 % chaque année - de manière prévisible, car la population augmente également. Par conséquent, s'il n'y avait pas eu de coronavirus, nous aurions pu nous attendre à un nombre de décès toutes causes confondues d'environ 2 883 386, mais le nombre réel pour 2020 était de 2 916 492, soit une augmentation par rapport à la norme de 33 106, et non de 400 000. Sur la base d'une population totale de 330 849 169 personnes, si chacun de ces décès supplémentaires était dû à la covid-19, cela signifierait un taux de mortalité de 0,01%.
RépondreSupprimerCe taux de mortalité n'est manifestement pas en phase avec une pandémie. Mais c'est en fait tout à fait conforme au taux standard de la saison grippale.
La seule façon dont le coronavirus pourrait être responsable de 400 000 décès aux États-Unis en 2020 serait qu'au moins 367 000 personnes cessent de mourir d'autres causes, telles que l'insuffisance cardiaque, les accidents de voiture et le cancer.
Le chercheur Thomas Di Ferdinando, en passant en revue l'augmentation extraordinaire du nombre de décès déclarés, a commenté:
«Sans ces décès supplémentaires, il n'y aurait aucune preuve d'une pandémie de Covid. Cette triangulation des faits: essentiellement pas de décès excédentaire au-delà du dénombrement annuel normal; absolument AUCUNE relation entre les cas «confirmés» de Covid et les décès «confirmés» de Covid; et le mystérieux déversement de dernière minute de 268 259 décès toutes causes confondues dans les totaux de décès toutes causes confondues de fin d'année 2020; démolir complètement tout prétexte d'avoir été une pandémie virale de 2020, qu'elle soit causée par un nouveau coronavirus ou par quoi que ce soit d'autre et qu'il n'y a donc aucune raison rationnelle de masquer les enfants, d'isoler les aînés, de détruire les entreprises, de verrouiller les populations et de briser le confiance publique."
Tout à fait. Je n’aurais pas pu mieux le formuler.
Mais si toute la misère qui s'est produite au cours de l'année écoulée était inutile - c'est-à-dire s'il ne s'agissait que d'un autre dans la série des coronavirus qui ont causé une nuisance périodique pendant plus de soixante-cinq ans - pourquoi tous les verrouillages, la perte de emplois, perte de libertés personnelles, etc., ont-ils été imposés aux gens ?
Eh bien, en fait, cette question peut être facilement répondue. Tout ce que nous devons vraiment faire, c'est nous demander ce qu'un gouvernement accomplirait en imposant des exigences aussi draconiennes.
Ce que nous voyons tout autour de nous, c'est un peuple qui a été soumis. Les droits «inaliénables» dont nous sommes censés jouir ont été supprimés. A leur place se trouve un état de domination tyrannique. Toutes les demandes qui ont été faites par le gouvernement, aussi irrationnelles soient-elles, ont été instituées par la force et la population a cédé à tout cela.
Ce qui aurait autrement pu prendre des décennies de dépréciation progressive des droits a été accompli en très peu de temps.
Et juste à temps aussi. Car des changements spectaculaires sont en attente sous la forme d'une règle sous laquelle le pays vivra très bientôt. Une litanie de nouveaux plans a été proposé pour éliminer efficacement les libertés de tous types.
RépondreSupprimerÀ la place de l'ancien système, il y aura un état de régime collectiviste totalitaire. Sans emploi ? L'État fournira un revenu de base universel. Vous n’avez pas les moyens de payer vos études ? L'État annulera toutes les dettes étudiantes. Vous n’avez pas les moyens de payer votre plan de santé ? L'État fournira des soins de santé universels.
Je doute que ce soit une prédiction irréfléchie à faire, qu'un plan collectiviste global se déroulera très bientôt. Et que la peur qui a été fabriquée sera maintenue jusqu'à ce que le plan soit bien engagé.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/figures-dont-lie-but-liars-figure/
Après les escroqueries du '11 Septembre', 'Global Warming', OGM-BIO-ROUND'UP, voici qu'arrive l'escroquerie 2020 'La Corona'. Va t-on sortir les guillotines sur la place publique pour émincer la dictature ? Le gibet ? le peloton d'exécution ? Le supplice de la roue ? L’écartèlement ? La cage aux lions ? Le bûcher ? La noyade ? Le passage au rouleau-compresseur ? L'explosion par ingestion de dynamite ?
SupprimerUn millier de personnes confinées à bord d’un navire de luxe géant à cause du Covid, selon Bild
RépondreSupprimer22:02 08.03.2021
Une flambée de Covid-19 a été enregistrée à bord d’un navire de croisière en Allemagne où des travaux de finition étaient en cours en prévision de sa mise en service en avril. Près de 1.000 personnes ne peuvent pas quitter le bateau, d’après Bild.
Un millier de personnes – membres d’équipage et ouvriers – se sont retrouvées en quarantaine à bord du bateau de croisière Odyssey of the Seas, qui se trouve dans la ville allemande de Bremerhaven, où au moins sept personnes sont positives au Covid-19, a annoncé ce lundi 8 mars Bild.
Selon le journal, deux personnes ont été testées positives la semaine dernière et cinq autres personnes ce lundi 8 mars. Il est prévu d’évacuer les personnes infectées vers un hôtel où elles seraient confinées. Des tests de dépistage sont organisés tous les jours à bord du navire.
«Nous ne pensons pas qu’il y ait d’autres personnes positives», a indiqué le ministère de la Santé de la ville de Brême au Bild.
Construit par le chantier naval Meyer Werft à Papenburg, en Allemagne, le bateau Odyssey of the Seas de la compagnie Royal Carribean est l’un des plus grands construits jusqu’ici en Allemagne, d’après la revue en ligne Mer et Marine.
Il mesure 347 mètres de long, ainsi que peut accueillir un maximum de 4.284 passagers et 1.551 membres d'équipage.
Le navire devait au départ accueillir ses premiers passagers le 5 novembre en Floride. Ensuite, sa mise en service commercial a été reportée au 17 avril. Ce report de livraison était lié aux retards pris durant la crise sanitaire, mais aussi aux dégâts provoqués par un départ de feu durant l’été 2020 et aux difficultés financières des armateurs dont l’activité est quasiment intégralement arrêtée depuis le mois de mars, a expliqué Mer et Marine.
Fin février, les chantiers navals Meyer Werft ont déclaré dans un communiqué que le bateau était en route vers Bremershaven en vue de procéder à des essais techniques et nautiques.
«Les derniers travaux sont en cours à bord de l’Odyssey of the Seas pour remettre un bateau de croisière impeccable et moderne à la compagnie maritime dans quelques semaines», a indiqué la société.
Ce n'est pas d'aujourd'hui, mais le 'journaliste' (débarqué d'une école de cons) s'étonne que des croisiéristes puissent attraper le corona ! HAHAHAHA !
SupprimerUn bateau (par définition) vogue SUR UN OCEAN DE VIRUS !
Un virus (par définition) est une nano-poussière radioactive émise par le magma et remontée à la surface par les productions de gaz de la masse ferrique incandescente.
Mais si les marins sont donc les premières victimes avant même les terriens il y a les poissons qui en consomment en 'avant-première' ! Et, après tout, si un poisson meurt: on s'en fout, il est bouffé par les autres et on en parle plus. D'ailleurs au Japon ils ont vidangé des cuves d'eau radioactive dans le Pacifique et personne n'en est mort.
Alors, question à 50 balles: Qu'est-ce que les poissons ont de plus que nous (à part le corona) ? Sont-ils plus ou moins lointainement affiliés à la raie manta ou l'anguille pour que d'une décharge électrique se défassent de cette énergie intrusive ? Fabriquent-ils un court-jus court-bouillon de derrière leurs écailles ? Comment se font-ils sauter les plombs sans foutre en l'air leur batterie ?
Le plus récent navire de Royal Caribbean coincé au port après que des travailleurs aient attrapé le 'COVID'
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 08 MAR 2021-21: 05
L'Europe a enregistré plus d'un million de cas de 'COVID-19' la semaine dernière, une augmentation de 9 % par rapport à la semaine précédente et une inversion dans une baisse de six semaines. On craint que de nouvelles variantes se répandent à travers le continent. Il n'est donc pas surprenant que les membres du tout nouveau navire de croisière de Royal Caribbean International, l'Odyssey of the Seas, aient récemment été testés positifs pour le virus, obligeant le navire à rester amarré à Bremerhaven, en Allemagne, a rapporté le site d'information allemand NDR.
Plusieurs journaux allemands ont rapporté que «deux employés de l'Odyssey of the Seas» ont été testés positifs pour le virus le 3 mars et ont été confirmés le 4 mars par des tests PCR. L'équipage et les travailleurs estimés à 500 ont été mis en quarantaine sur le navire.
Selon NDR, le service médical portuaire de Bremerhaven a ordonné au navire de rester à Bremerhaven jusqu'à nouvel ordre.
Le chantier naval Meyer Werft a déjà effectué les premiers tests du navire en mer du Nord. D'autres essais en mer devaient être achevés plus tard ce mois-ci, mais NDR a déclaré qu'il n'était "pas clair quand il pourra décoller pour les essais routiers prévus". Le chantier naval devrait livrer l'Odyssey à Royal Caribbean le mois prochain avant son premier départ de Haïfa, une ville portuaire du nord d'Israël, en mai.
Cela survient alors que la variante dite du Royaume-Uni s'est répandue dans toute l'Europe. Selon les experts de l'OMS, la nouvelle variante est 50 % plus transmissible que le virus qui a bondi au début de l'année dernière.
Alors que l'industrie mondiale du voyage et du tourisme se prépare pour une année record alors que les déploiements de vaccins et les mesures de relance budgétaire et monétaire sans précédent ont conduit certains économistes à croire qu'il existe une "demande refoulée" massive, il semble que la pandémie virale continue de provoquer des goulots d'étranglement dans le retour à la normalité pour des industries spécifiques.
https://www.zerohedge.com/covid-19/royal-caribbeans-newest-ship-stuck-port-after-workers-catch-covid
Partez en croisière en avions ! vous survolerez les nuages !
SupprimerTexas : les causes des problèmes énergétiques
RépondreSupprimerAvec les démocrates au pouvoir, un vent de pessimisme va souffler sur quiconque veut se chauffer en hiver et se rafraîchir en été.
Par Pierre-Guy Veer.
9 MARS 2021
Durant la semaine de la Saint-Valentin, le Texas a été frappé d’une vague de froid et de chutes de neige exceptionnelles pour sa latitude. Les records à ce sujet sont tombés comme des mouches. Bien sûr, il n’en fallait pas moins pour que la gauche américaine en fasse ses gorges chaudes, allant de la punition divine aux accusations anticapitalistes habituelles, bien que les tablettes sont presque revenues à la même densité en deux semaines.
Mais surtout, on s’en donne à cœur joie pour diaboliser le libre-marché de l’électricité au Texas. L’égérie démocrate Alexandria Ocasio-Cortez affirme même que la situation texane est un exemple probant de ce qui se passe quand on n’adopte pas son ruineux new deal vert.
Il faudrait peut-être lui rappeler à quoi ressemble la Californie à longueur d’année grâce à son obsession pour les énergies dites renouvelables. Au moins, elle a racheté ses inepties en organisant une grande levée de fonds à Houston.
UN ÉCHEC LAMENTABLE DES PRÉVISIONS ET DES RÉSERVES AU TEXAS
Pour en revenir aux problèmes d’électricité, les traces du gouvernement sont partout, à commencer par la NOAA. L’agence qui gère les satellites météo et prédit les tendances de températures s’est mis le doigt dans l’œil jusqu’au coude. D’une probabilité de 70 % de températures supérieures à la moyenne à cause de La Nina, on a enregistré des basses températures jamais vues (sous les -10, quand la moyenne quotidienne est de 15) dans le Texaplex en 70 ans. Ensuite, l’agence nous fera croire que ses prévisions à long terme sur le #rechauffementchangementderangementclimatique sont parole d’Évangile.
De plus, un plan de l’administration Trump aurait pu fortement diminuer la crise n’eût été des fabulations vertes des agences bureaucratiques. Son secrétaire à l’Énergie, un ancien gouverneur du Texas, avait proposé d’augmenter les réserves de charbon et d’uranium des centrales d’énergies pour éviter des problèmes causés par une autre vague de froid, comme celle de 2014. Les bureaucrates fédéraux ont refusé, affirmant qu’il n’y avait aucune preuve que l’arrêt des centrales nucléaires et au charbon fragilisait le réseau électrique.
UN RÉSEAU DÉPENDANT DES ÉNERGIES INTERMITTENTES
Finalement, n’en déplaise aux vérificateurs de faits, l’énergie éolienne doit recevoir une grande partie du blâme pour les pannes majeures de février. Début février, elle ne fournit pas 7 % de l’énergie mais bien 30 %. Lorsque le gel a (prévisiblement) gelé la plupart des éoliennes, cette part est descendue à 8 % ; l’agence qui gère le réseau n’a pas eu d’autre choix que de provoquer des pannes sectorielles pour éviter l’effondrement complet du réseau.
J’ai été assez chanceux car vivant à proximité d’une caserne de pompiers, je n’ai presque pas manqué d’électricité. Mais l’eau courante a failli durant les trois derniers jours chez moi. Il y avait bien de la neige pour la toilette, mais il a fallu fortement rationner le reste.
Et quelles sont les propositions pour remédier à cette situation ? Davantage d’éoliennes et de panneaux solaires ! Avec une nouvelle administration à Washington qui compte des éoliennes avant de dormir, ce cauchemar se répétera à la prochaine vague de froid massive ou de canicule.
RépondreSupprimerBref, c’est à cause d’incitatifs pervertis par le gouvernement que les Texans se les sont gelés royalement et qu’ils manquent encore d’eau potable. Si l’économie de marché régnait vraiment sur le réseau électrique du Texas, alors les efforts auraient porté sur des énergies nettement plus efficaces et fiables comme le gaz naturel et le nucléaire, moins polluantes et plus efficaces que le charbon.
Mais avec les démocrates au pouvoir, un vent de pessimisme va souffler sur quiconque veut se chauffer en hiver et se rafraîchir en été.
https://www.contrepoints.org/2021/03/09/392736-texas-les-causes-des-problemes-energetiques
De combien d'argent avez-vous besoin pour rejoindre le top 1 % ?
RépondreSupprimerBY TYLER DURDEN
MONDAY, MAR 08, 2021 - 22:25
Knight Frank a publié son 15e rapport annuel sur la richesse qui a révélé que la pandémie de Covid-19 s'est avérée une bonne nouvelle pour les super riches du monde, principalement en raison de la flambée des prix des actifs qui est due à la baisse des taux d'intérêt et à la relance budgétaire.
Comme le note Niall McCarthy de Statista, la population mondiale UHNWI (un individu très fortuné a une valeur nette de 30 millions de dollars ou plus) a grimpé de 2,4 % au cours de l'année écoulée, la croissance la plus forte en Asie étant de 12 %. L'inégalité croissante est de plus en plus considérée comme la plus grande menace pour l'accumulation future de la richesse et le soutien aux impôts sur la fortune augmente dans de nombreuses régions du monde avec de tels plans déjà proposés ou en place en Argentine, au Canada et en Corée du Sud avec des mesures similaires susceptibles d'être introduites ailleurs .
Compte tenu de l'écart énorme et croissant entre les super riches et le reste du monde, combien faudrait-il gagner à quelqu'un pour rejoindre le club exclusif et souvent décrié d'un pour cent ? Le rapport sur la richesse comprenait une sous-section intéressante qui utilisait le modèle de dimensionnement de la richesse de l'entreprise pour comparer les exigences pour accéder aux 1% les plus riches.
- voir graphique sur site -
Infographie: De combien d'argent avez-vous besoin pour rejoindre le top 1 % ? | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Ils varient considérablement d'un pays à l'autre et les gens auraient besoin des poches les plus profondes de Monaco. La minuscule principauté est bien connue comme un terrain de jeu pour les super riches et elle possède l'une des populations UHNWI les plus denses de la planète. Le point d'entrée de la communauté est le plus élevé de la planète avec 7,9 millions de dollars. La Suisse est connue pour sa richesse et il faudrait 5,5 millions de dollars pour être comptée parmi les 1% les plus riches du pays. Les États-Unis ont la plus grande population UHNWI du monde avec environ 180 000 personnes détenant une fortune de 30 millions de dollars ou plus en 2020. Quelque 4,4 millions de dollars gagneraient l'entrée au club américain d'un pour cent.
Ailleurs, le seuil est considérablement plus bas, en particulier dans les pays en développement où la communauté très riche reste relativement clairsemée. Alors que la Chine devrait voir ses exigences d'entrée augmenter considérablement dans les années à venir, 850 000 $ étaient suffisants pour être comptés parmi sa communauté d'un pour cent en 2020. L'Inde a vu sa population super riche croître régulièrement ces dernières années, mais son seuil reste extrêmement bas moins que un pour cent de Monaco. Un simple 60 000 $ compterait quelqu'un parmi les plus hauts revenus de l'Inde, même si le statut ne durerait pas longtemps. Knight Frank prédit que le seuil d'entrée de l'Inde doublera au cours des cinq prochaines années.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/how-much-money-do-you-need-join-top-1
Bêh oui, çà s'appelle le 'pouvoir d'achat'. Boire en terrasse un café à 200 dollars (sucre compris) çà fait la différence du fait-chez-soi à 5 centimes !
SupprimerConfier l’alimentation électrique aux énergies renouvelables intermittentes est irresponsable
RépondreSupprimerOn veut faire croire que les énergies renouvelables pourront remplacer les Térawattheures produits par les centrales nucléaires. Ce n’est pas une solution crédible.
Par André Berger, Samuel Furfari, Pierre Kunsch, Christiane Leclercq‐Willain, Ernest Mund, Georges Van Goethem et Jacques Marlot1.
10 MARS 2021
C’en est fait. Engie a retiré la prise nucléaire en Belgique. Elle a décidé d’acter la dépréciation de ses réacteurs nucléaires belges pour 2,9 milliards d’euros. Avant la formation du gouvernement De Croo, nombreux étaient ceux dans le monde énergétique qui savaient qu’il était impossible d’abandonner le nucléaire — du moins rationnellement — car il n’y avait pas de solution crédible de rechange et que, l’outil étant amorti, ce serait une erreur économique monumentale d’arrêter les centrales en 2025.
Nous avons entendu un haut responsable de l’électricité en Belgique dire que « vers Noël 2024 le ministre va courir à Paris demander que l’on prolonge les centrales nucléaires » (sic) laissant entendre que pour être politiquement correct il fallait se résigner à l’illusion de l’abandon du nucléaire jusqu’à l’admission publique que c’est impossible.
Mais à présent — et on doit l’admettre — c’est Engie qui y met fin. On imagine que la promesse de l’accord de gouvernement selon laquelle, en novembre 2021, « si [un] monitoring montre qu’il y a un problème inattendu de sécurité d’approvisionnement, le gouvernement prendra des mesures adéquates comme l’ajustement du calendrier légal pour une capacité pouvant aller jusqu’à 2 GW », doit laisser bien marri le MR qui s’était battu pour introduire cette clause de sauvegarde. Ceux qui pensent encore à un retour du nucléaire en Belgique se trompent, c’est hélas une triste réalité.
TRISTE RÉALITÉ : PAS DE RETOUR AU NUCLÉAIRE EN BELGIQUE
Triste, parce que le savoir-faire scientifique et technique internationalement reconnu va disparaitre.
Triste, parce que les jeunes Belges ne vont plus se former à une technologie d’avenir, un monde peuplé de bientôt 9 milliards d’individus ne pouvant produire les quantités astronomiques de TWh dont il aura besoin pour quantités d’applications indispensables, sans recourir au nucléaire.
Triste, parce que le fleuron qu’est le projet Myrrha n’aura plus le support nécessaire pour assurer sa poursuite.
Triste, parce que la Belgique ne participera pas au développement du nucléaire de Génération-IV dont certaines composantes sont plus aptes que les renouvelables intermittentes à produire de l’hydrogène comme vecteur énergétique.
Mais, dans l’immédiat, le plus triste est qu’aucune solution crédible ne pourra compenser la fermeture du parc nucléaire.
On veut faire croire que les énergies renouvelables pourront remplacer les Térawattheures (TWh) produits par les centrales nucléaires.
Éliminons l’hydroélectricité quasi inexistante en Belgique et l’électricité engendrée par la biomasse au faible pouvoir calorifique, qui ne peut survivre que grâce à des subsides dans des petites installations, le transport de la biomasse (essentiellement du bois) sur de longues distances requérant beaucoup d’énergie ; sans parler de l’impact néfaste des particules fines et autres polluants qui font que l’Allemagne devient très réticente envers cette production.
ALIMENTATION ÉLECTRIQUE EN BELGIQUE : IL RESTE L’ÉOLIEN ET LE SOLAIRE PHOTOVOLTAÏQUE
RépondreSupprimerPour vanter cette solution, la presse belge a repris l’annonce de l’APERe, ASBL de promotion des renouvelables, selon laquelle le parc photovoltaïque d’une puissance crête de 6036 MW a contribué à produire 5 TWh de l’électricité consommée en Belgique en 2020.
Est-ce par manque de maitrise des sigles que les auteurs de l’information n’ont pas réalisé ce qu’une simple division leur aurait montré, à savoir que le facteur de capacité de ces installations (la fraction des 8760 heures d’un an pendant lesquelles elles fournissent de l’énergie) n’est que de 9,4 % ?
Les éoliennes terrestres et maritimes souffrent du même défaut mais en proportions plus faibles (18 % et 38 % respectivement).
Les énergies renouvelables intermittentes n’ont pu se développer qu’avec des subsides et parce qu’il existe des centrales thermiques et/ou nucléaires qui produisent de l’énergie électrique de manière régulière. Une des raisons pour lesquelles les pays en développement installent peu d’éoliennes et panneaux solaires — sauf s’ils sont payés par des gouvernements ou des ONG de l’Union européenne — est que ces équipements doivent être accompagnés d’une puissance assurant la fourniture d’électricité lorsque la nature fait défaut.
Le comble est la diffusion de cette phrase surréaliste, exemple caricatural de déni, voire d’ignorance, des réalités physique et technique :
« Si on considère le standard international de 80 % de disponibilité nucléaire, le solaire belge permet de compenser 75 % de la production annuelle d’un gros réacteur nucléaire .»
Comparer la disponibilité des centrales nucléaires et celle des panneaux solaires frise la malhonnêteté intellectuelle ou la bêtise.
QUE RETENIR DE CE QUI PRÉCÈDE ?
La question énergétique est devenue à ce point idéologique que l’on en arrive, volontairement ou par ignorance, à transformer une faiblesse congénitale en avantage. Il est plus que temps de revenir à la raison.
L’existence d’énergies pilotables, dont l’électricité nucléaire, sans trace carbone, est absolument indispensable pour compenser l’intermittence des renouvelables. Leur suffisance à satisfaire la demande d’électricité est un leurre qui n’a que trop duré : l’intermittence ne dépend ni d’une décision politique, ni de la multiplication des panneaux solaires et des éoliennes fussent-elles placées en mer.
En conséquence, la consommation d’électricité en Belgique à partir de 2025 proviendra de l’importation d’électricité nucléaire française, ou d’électricité allemande produite à partir de lignite rhénan ; ou encore de production subsidiée par les « mécanismes de rémunération de capacité », à partir de gaz naturel russe (moyennant des droits de transit en Allemagne) ou qatari, enrichissant encore un peu plus ce pays.
Le résultat particulièrement hypocrite de cette stratégie, si l’on considère que c’est au nom du bien de la planète qu’elle est poursuivie, sera une augmentation substantielle des émissions de CO2 de la Belgique. Pourtant, pour l’instant celle-ci, grâce au nucléaire, n’en produit que 78,9 millions de tonnes par an. S’y ajoutera aussi, bien sûr, une augmentation de la facture d’électricité.
André Berger et Ernest Mund, Professeurs UCLouvain, Samuel Furfari, Pierre Kunsch et Christiane Leclercq‐Willain, Professeurs ULB, Georges Van Goethem et Jacques Marlot, Ingénieurs, membres de 100TWh ↩
https://www.contrepoints.org/2021/03/10/392797-confier-lalimentation-electrique-aux-energies-renouvelables-intermittentes-est-irresponsable
Suffit d'un hiver sans chauffage pour connaître l'Europe des morts.
SupprimerDes pirates informatiques infiltrent des milliers de caméras de sécurité dans les prisons, les hôpitaux et Tesla
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 09 MAR 2021-20: 25
Dans le dernier incident de piratage embarrassant qui a touché les géants américains de la technologie, une équipe de pirates informatiques a volé ce que Bloomberg a décrit comme un "trésor massif de données de caméras de sécurité collectées par la start-up de la Silicon Valley Verkada" dans le but de faire valoir les dangers et les inconvénients de surveillance de masse.
En utilisant des informations d'identification d'administrateur prétendument trouvées sur l'Internet public, les pirates ont eu accès à des flux en direct liés à quelque 150 000 caméras de sécurité situées à l'intérieur des hôpitaux, des entreprises, des services de police, des prisons, des écoles et - bizarrement - du siège de Tesla. Selon le rapport, des images appartenant à Tesla et à la société de logiciels Cloudflare ont été volées lors du piratage. Les pirates ont également pu voler des images prises à l'intérieur des cliniques de santé pour femmes, des hôpitaux psychiatriques, ainsi que des images des bureaux de Verkada.
Les caméras administrées par Verkada, qui se présente comme un fabricant de «caméras de sécurité d'entreprise», utilisent la technologie de reconnaissance faciale pour identifier les personnes. Et les hackers qui ont volé le trésor de données disent avoir accès à «l'archive vidéo complète» des clients de Verkada. En théorie, cela pourrait donner aux hackers une vision panoptique de centaines de milliers - voire de millions - de personnes.
Le groupe à l'origine de la violation se présente comme un "collectif international de hackers" et a déclaré qu'il avait volé les images pour aider à faire valoir les dangers et l'omniprésence de la vidéosurveillance. Peut-être pour aider à souligner ce point, le groupe a partagé des images particulièrement sensibles avec Bloomberg, notamment ...
Des images capturées à l'intérieur de l'hôpital de Floride, Halifax Health, montrent ce qui semble être huit membres du personnel de l'hôpital s'attaquant à un homme et le clouant à un lit. Halifax Health est présenté sur le site Web de Verkada dans une étude de cas intitulée: «Comment un fournisseur de soins de santé de Floride a facilement mis à jour et déployé un système de sécurité évolutif conforme HIPAA».
Vidéo tournée à l'intérieur d'un entrepôt Tesla à Shanghai montrant des travailleurs sur une chaîne de montage. Les pirates ont déclaré avoir eu accès à 222 caméras dans les usines et entrepôts Tesla.
Une vidéo montrant des policiers à l'intérieur d'un poste de police à Stoughton, dans le Massachusetts, interrogeant un homme menotté.
Images de caméras de sécurité prises à l'intérieur de l'école élémentaire Sandy Hook à Newtown, dans le Connecticut, où le tireur Adam Lanza a tué plus de 20 personnes en 2012.
Les pirates informatiques disposaient également de 330 caméras de sécurité à l'intérieur de la prison du comté de Madison à Huntsville, en Alabama.
Et des caméras de plusieurs endroits de la chaîne de gymnases de luxe Equinox.
Les pirates ont pu télécharger la liste complète de milliers de clients Verkada, ainsi que le bilan de la société, qui répertorie les actifs et les passifs. En tant que société fermée, Verkada ne publie pas ses états financiers.
Tillie Kottmann, l'un des hackers qui a revendiqué le crédit pour avoir enfreint la Verkada de San Mateo, en Californie, agit comme une sorte de représentant du collectif. Kottmann, qui utilise leurs pronoms, a précédemment revendiqué le crédit pour le piratage du fabricant de puces Intel et du constructeur automobile Nissan Ils auraient dit à Bloomberg que les raisons de ce piratage étaient "beaucoup de curiosité, se battant pour la liberté d'information et contre la propriété intellectuelle, une énorme dose d'anti- capitalisme, un soupçon d'anarchisme - et c'est aussi trop amusant de ne pas le faire. "
RépondreSupprimerKottmann a déclaré que les pirates étaient en mesure d'obtenir un accès "root" aux caméras, ce qui signifie qu'ils pouvaient utiliser les caméras pour exécuter leur propre code. Dans certains cas, cela leur permettait de pivoter et d'accéder au réseau d'entreprise plus large des clients de Verkada, ou détourner les caméras et les utiliser comme plate-forme pour lancer de futurs hacks. L'obtention de ce degré d'accès à la caméra n'a pas nécessité de piratage supplémentaire, car il s'agit d'une fonctionnalité intégrée. Les méthodes des pirates étaient peu sophistiquées: ils avaient accès à Verkada via un compte «Super Admin», leur permettant de regarder dans les caméras de tous ses clients. Kottmann dit avoir trouvé un nom d'utilisateur et un mot de passe pour un compte administrateur publiquement exposé sur Internet.
Un représentant de Verkada a déclaré que la société avait désactivé tous les contrôles administratifs internes pour empêcher tout accès non autorisé. L'individu a ajouté que «notre équipe de sécurité interne et notre société de sécurité externe étudient l'ampleur et la portée de ce problème potentiel».
Une autre source de la Verkada a déclaré à Bloomberg que le responsable de la sécurité de l'information de la société, une équipe interne et une société de sécurité externe enquêtaient sur l'incident. La société s'efforce d'informer les clients et de mettre en place une ligne d'assistance pour répondre aux questions, a déclaré la personne, qui a demandé l'anonymat pour discuter d'une enquête en cours. Cette technologie de reconnaissance faciale est utilisée pour suivre le personnel et les détenus à l'intérieur des prisons aux États-Unis, de nombreuses caméras responsables de cela étant cachées à l'intérieur des évents et d'autres endroits.
Verkada propose à ses clients une fonctionnalité appelée "People Analytics" qui permet à un client de "rechercher et filtrer en fonction de nombreux attributs différents, y compris les traits de genre, la couleur des vêtements et même le visage d'une personne", selon un article de blog Verkada. Bien que ce ne soit pas un nom familier, en octobre 2020, Verkada a attiré l'attention de la presse après avoir licencié trois employés qui auraient utilisé ses caméras pour prendre des photos de collègues féminines à l'intérieur du bureau de la Verkada et faire des blagues sexuellement explicites à leur sujet. Le PDG de Verkada, Filip Kaliszan, a déclaré dans une déclaration à Vice à l'époque que la société avait "licencié les trois personnes qui étaient à l'origine de cet incident, se sont livrées à un comportement flagrant visant des collègues ou ont négligé de signaler le comportement malgré leurs obligations en tant que managers".
Ce ne sont que les dernières nouvelles liées au piratage à secouer les États-Unis, car la presse économique a couvert intensément une autre faille où des pirates travaillant pour le gouvernement chinois ont réussi à exploiter des failles dans le logiciel de messagerie Outlook de Microsoft pour accéder à potentiellement des milliers de produits de grande valeur. cibles.
https://www.zerohedge.com/technology/hackers-infiltrate-thousands-security-cameras-inside-jails-hospitals-tesla
(...) Le groupe à l'origine de la violation se présente comme un "collectif international de hackers" et a déclaré qu'il avait volé les images pour aider à faire valoir les dangers et l'omniprésence de la vidéosurveillance. (...)
Supprimer(...) Images de caméras de sécurité prises à l'intérieur de l'école élémentaire Sandy Hook à Newtown, dans le Connecticut, où le tireur Adam Lanza a tué plus de 20 personnes en 2012. (...)
Hum-hum ! Là, c'est LA faille. LA faille du montage de l'article ! Car, désolé mais les enfants 'morts' ne l'étaient pas ! Leurs parents n'étaient pas les leurs et, cette putain de mise-en-scène contre les armes a fait UNE victime. Un gosse choisi pour jouer le rôle du tireur fou abattu réellement !
Ce lieux de tournage 'Sandy Hook' a depuis été rasé afin qu'aucun journaliste ou metteur-en-scène ne puisse recomposer le parcours qu'aurait fait le tueur.
Le chef de la frontière de l'Arizona avertit que l'immigration illégale est sur la bonne voie pour dépasser les 3 dernières années combinées
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 09 MAR 2021 - 11:15
Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times,
Un responsable de la patrouille frontalière américaine a averti que l'immigration illégale était en passe de dépasser les trois dernières années combinées au milieu d'une vague de migrants à la frontière américano-mexicaine.
"Donc, pour le moment, nous sommes à cent pour cent environ où nous en étions cette fois, ce dernier exercice", a déclaré John Modlin, le chef par intérim en charge du secteur de Tucson de la patrouille frontalière, à la journaliste indépendante Sharyl Attkisson.
«Nous avons déjà dépassé au cours des quatre premiers mois de cet exercice. Nous avons déjà dépassé la totalité de 2018. Si le flux se poursuit au rythme où il est ici, à la fin de cet exercice, nous aurons dépassé les 18, 19 et 20, tous combinés. "
Modlin a déclaré que la hausse pouvait être imputée au renversement des ordres d'immigration du président Donald Trump par l'administration Biden, y compris l'arrêt de la construction du mur frontalier, la fin de la politique de Trump «Rester au Mexique», etc.
«À la fin de 2018, 2 000 immigrants par jour étaient interceptés à la frontière sud, suscitant des problèmes de sécurité et une crise humanitaire. Début 2019, l'administration Trump a invoqué des «protocoles de protection des migrants» [Rester au Mexique] forçant les demandeurs d'asile à attendre au Mexique », a-t-il déclaré.
«Puis en 2020, le« Titre 42 »- une ordonnance sanitaire d'urgence - a permis aux autorités frontalières de refouler immédiatement les immigrants illégaux à cause du COVID-19.»
Modlin a déclaré que ces ordres avaient un impact significatif et qu'en mai 2020, environ 90% des migrants capturés à la frontière sud-ouest avaient été expulsés.
«Le nombre intercepté est passé d'environ un million en 2019 à environ la moitié en 2020», a-t-il déclaré.
Ces derniers jours, un certain nombre de responsables qui représentent ou supervisent des zones le long de la frontière ont tiré la sonnette d'alarme, affirmant qu'une crise se profilait.
Parmi eux, le représentant Henry Cuellar (D-Texas), a publié un communiqué de presse sur la flambée, disant: «Au cours des 7 derniers jours dans la vallée, ils ont arrêté 10 000 personnes et 2 500 personnes au cours des deux derniers jours et beaucoup sont relâchés. »Dans le pays.
Pendant ce temps, Cuellar a exhorté l'administration Biden à écouter et à travailler avec les communautés frontalières confrontées à une vague de migrants.
Le secrétaire du département de la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas, a déclaré aux journalistes la semaine dernière qu'il n'y avait pas de crise à la frontière. Le président Joe Biden a également publié une déclaration similaire il y a environ une semaine, disant aux journalistes qu’il n’y avait pas de crise.
«Les hommes et les femmes du Département de la sécurité intérieure travaillent 24 heures sur 24, sept jours sur sept, pour nous assurer que nous n’avons pas de crise à la frontière - que nous gérons le défi, aussi aigu soit-il», a déclaré Mayorkas.
The Epoch Times a contacté Homeland Security pour obtenir ses commentaires.
https://www.zerohedge.com/political/arizona-border-chief-warns-illegal-immigration-track-surpass-past-3-years-combined
La guerre du gouvernement contre la liberté d’expression: des lois de protestation qui sapent le premier amendement
RépondreSupprimerL'Institut Rutherford
10 mars 2021
«Si la liberté d'expression est enlevée, alors muets et silencieux, nous pourrions être conduits, comme des moutons, à l'abattage.» - George Washington
C’est un fait que le gouvernement est corrompu, irresponsable et a outrepassé son autorité.
Alors, que pouvons-nous faire à ce sujet ?
Le premier remède implique la parole (protestation, réunion, discours, prière et publicité), et beaucoup d'autres, afin de dire la vérité au pouvoir.
Le premier amendement, qui est la pierre angulaire de la Déclaration des droits, affirme le droit de «nous le peuple» de prier librement au sujet de nos griefs concernant le gouvernement. Nous pouvons nous rassembler pacifiquement pour protester contre ces griefs. Nous pouvons faire connaître ces griefs. Et nous pouvons exprimer notre mécontentement (pacifiquement) en paroles et en actes.
Malheureusement, les tyrans n’aiment pas les gens qui disent la vérité au pouvoir.
L'État policier américain s'est montré particulièrement intolérant à l'égard des activités de liberté d'expression qui défient son autorité, résistent à ses prises de pouvoir et l'obligent à fonctionner selon les règles de la Constitution.
Cible la montée des lois de protestation, les méthodes de référence de l’État policier pour museler le mécontentement.
Ces lois de protestation, dont certaines semblent encourager la violence contre les manifestants pacifiques en accordant l'immunité aux individus qui conduisent leur voiture dans des manifestants entravant la circulation et utilisent une force préventive meurtrière contre des manifestants qui pourraient être impliqués dans une émeute, prennent l'intolérance pour un discours avec lequel on pourrait en désaccord à un tout autre niveau.
Depuis les manifestations du Capitole le 6 janvier 2021, les législatures des États ont introduit un large éventail de ces lois visant à criminaliser les activités de protestation. Pourtant, alors que le nombre croissant de lois de protestation qui surgissent à travers le pays sont commercialisées comme nécessaires pour protéger la propriété privée, les routes publiques ou la sécurité nationale, il s'agit d'un loup déguisé en mouton, un complot à peine déguisé visant à décourager quiconque de contester l'autorité gouvernementale à la aux frais de nos droits du premier amendement.
Peu importe la source de ce mécontentement (brutalité policière, résultats des élections, mandats COVID-19, environnement, etc.): lois de protestation, zones de liberté d'expression, zones de bulles, zones d'intrusion, législation anti-intimidation, les politiques de tolérance zéro, les lois sur les crimes haineux, etc., visent à museler chacun d'entre nous.
Cependant, comme le souligne Human Rights Watch, ces attaques contre la liberté d'expression ne sont pas nouvelles. «Divers États tentent depuis longtemps de restreindre le droit de manifester. Ils le font en légiférant sur des définitions larges de ce qui constitue un «rassemblement illégal» ou une «émeute» et en augmentant les peines. Ils permettent également à la police d'utiliser des infractions publiques fourre-tout, telles que l'intrusion, l'entrave à la circulation ou la perturbation de la paix, comme prétexte pour ordonner des dispersions, utiliser la force et procéder à des arrestations. Enfin, ils permettent aux entreprises et à d’autres d’intenter plus facilement des poursuites contre les organisateurs de manifestations. »
RépondreSupprimerNe vous y trompez pas: alors que beaucoup de ces lois prétendent être dans l'intérêt de «la sécurité publique et de limiter les dommages économiques», ces tentatives législatives de redéfinir et de criminaliser le discours sont une tentative détournée de réécrire la Constitution et de rendre nulles et solides garanties du premier amendement. annuler.
Par exemple, au moins 205 propositions de lois sont envisagées dans 45 États qui restreindraient le droit de se rassembler pacifiquement et de manifester en élargissant la définition des émeutes, en augmentant les peines pour les infractions existantes ou en créant de nouveaux crimes associés au rassemblement.
Peu importe la façon dont vous présentez ces lois, aussi bien intentionnées qu'elles puissent paraître, peu importe à quel point vous êtes en désaccord avec les manifestants ou que vous sympathisez avec les objets de la manifestation, ces lois proposées visent une seule chose: décourager la dissidence.
En Alabama, les législateurs font pression pour permettre aux individus d'utiliser la force meurtrière près d'une émeute. Le Kentucky, le Missouri et le New Hampshire envisagent également des lois de base similaires pour justifier l'utilisation de la force meurtrière en cas d'émeutes.
En Arizona, les législateurs veulent classer les manifestations impliquant sept personnes ou plus comme des crimes passibles de deux ans de prison. En vertu d'une telle loi, les formes traditionnelles et non violentes de désobéissance civile - sit-in, boycotts et marches - seraient illégales.
Dans l'Arkansas, des manifestants pacifiques qui se livrent à la désobéissance civile en occupant n'importe quelle propriété du gouvernement après avoir reçu l'ordre de partir pourraient faire face à six mois de prison et à une amende de 1000 dollars.
Dans le Minnesota, où les militants continuent de protester contre la mort de George Floyd, qui a été tué après que la police s'est agenouillée sur son cou pendant huit minutes, les personnes reconnues coupables de tout type d'infraction en relation avec une manifestation pacifique pourraient se voir refuser une gamme d'avantages, y compris l'aide alimentaire, les prêts et bourses d'études et l'assistance chômage.
Les législateurs de l'Oregon voulaient «obliger les collèges communautaires et les universités publics à expulser tout étudiant reconnu coupable d'avoir participé à une émeute violente». Dans l'Illinois, les étudiants qui enfreignent à deux reprises les droits d'autrui à se livrer à des activités expressives pourraient être suspendus pendant au moins un an.
Des lois proposées dans au moins 25 États, dont l'Oklahoma, le Mississippi et la Floride, donneraient aux conducteurs le feu vert pour écraser «accidentellement» des manifestants qui les empêchent de fuir une émeute. Washington veut imposer des peines plus sévères aux manifestants qui «envahissent» un véhicule, les punissant pour une récidive avec jusqu'à 40 ans de prison et une amende de 100 000 dollars.
RépondreSupprimerEn réponse aux protestations contre le pipeline Keystone, le Dakota du Sud a permis à son gouverneur et aux shérifs d'interdire les rassemblements de 20 personnes ou plus sur les terres publiques si le rassemblement risquait d'endommager les terres. Au moins 15 autres États ont également adopté ou envisagent une législation qui imposerait des sanctions plus sévères pour les manifestations environnementales à proximité des oléoducs et des gazoducs.
Dans l'Iowa, il suffit qu'une personne dans un groupe de trois personnes ou plus utilise la force ou cause des dommages matériels, et l'ensemble du groupe peut être puni de 5 ans de prison et d'une amende de 7500 $.
Obstruez l'accès aux infrastructures essentielles du Mississippi et vous pourriez être passible d'une amende de 10 000 $ et d'une peine de sept ans de prison.
Une loi de Caroline du Nord aurait érigé en crime le chahut des représentants de l'État. En vertu de cette loi, crier sur un ancien gouverneur constituerait un crime.
Dans le Connecticut, vous pourriez être condamné à cinq ans de prison et à une amende de 5 000 $ pour avoir perturbé la législature de l'État en faisant du bruit ou en utilisant un langage dérangeant.
Les législateurs de l'Indiana voulaient autoriser la police à utiliser «tous les moyens nécessaires» pour dissoudre les rassemblements de masse qui bloquent la circulation. Les législateurs ont depuis concentré leurs efforts sur l'élargissement de la définition d'une «émeute» et la punition de quiconque porte un masque pour une manifestation pacifique, même un masque médical, avec 2,5 ans de prison et une amende de 10 000 dollars.
La Géorgie veut interdire toutes les assemblées spontanées protégées par le premier amendement et refuser à toute personne reconnue coupable d'avoir violé l'interdiction de bénéficier des avantages sociaux de l'État ou locaux.
Virginia veut soumettre les manifestants qui se livrent à un «rassemblement illégal» après «avoir été légalement avertis de se disperser» avec jusqu'à un an de prison et une amende pouvant aller jusqu'à 2 500 dollars.
Le Missouri a interdit aux fonctionnaires de prendre part à des grèves et à des piquets de grève, seulement pour que la loi soit déclarée inconstitutionnelle dans son intégralité.
L'Oklahoma a créé une échelle mobile pour les manifestants dont les actions ont un impact ou entravent les infrastructures critiques (y compris un poteau téléphonique). Les peines vont de 1 000 $ et six mois dans une prison de comté à 100 000 $ et jusqu'à 10 ans de prison. Et si vous faites partie d'une organisation, cette amende peut atteindre 1 000 000 $.
Parlez des tactiques d'intimidation.
Posez-vous la question: s'il existe déjà des lois dans les livres dans tous les États qui traitent des comportements criminels ou illégaux tels que le blocage des routes publiques, l'intrusion sur une propriété privée ou le vandalisme de propriétés - parce que de telles lois sont déjà en vigueur - alors pourquoi le gouvernement le fait-il ? faut-il adopter des lois criminalisant les activités déjà interdites ?
Que se passe-t-il vraiment ici ?
RépondreSupprimerPeu importe ce que les politiciens pourraient dire, le gouvernement ne se soucie pas de nos droits, de notre bien-être ou de notre sécurité.
Chaque mesure despotique utilisée pour nous contrôler et nous faire reculer et nous conformer aux diktats du gouvernement a été présentée comme étant à notre avantage, tout en ne bénéficiant en vérité qu'à ceux qui profitent, financièrement ou autrement, de la transformation des citoyens par le gouvernement en un classe criminelle.
De cette façon, le gouvernement conspire à miner nos libertés fondamentales prétendument pour notre propre bien, mais vraiment pour son propre bénéfice.
N'oubliez pas que le USA Patriot Act ne nous a pas rendu plus sûrs. Il a simplement transformé les citoyens américains en suspects et, dans le processus, a donné naissance à toute une industrie - privée et gouvernementale - dont le profit dépend de sa capacité à saper nos droits du quatrième amendement.
De la même manière que le Patriot Act a été utilisé comme un front pour faire progresser l'état de surveillance, permettant au gouvernement d'établir un programme d'espionnage national de grande envergure qui a transformé chaque citoyen américain en un suspect criminel, le programme anti-extrémisme du gouvernement criminalise autrement. activités légales et non violentes telles que les manifestations pacifiques.
De toute évidence, la liberté ne signifie plus ce qu'elle faisait autrefois.
Cela est vrai que vous parliez du droit de critiquer le gouvernement en paroles ou en actes, le droit de ne pas être surveillé par le gouvernement, le droit de ne pas soumettre votre personne ou vos biens à des fouilles sans mandat par des agents du gouvernement, le droit de procédure régulière, le droit d'être à l'abri des soldats envahissant votre maison, le droit d'être innocent jusqu'à ce que sa culpabilité soit prouvée et tout autre droit qui renforçait autrefois la conviction des fondateurs que ce serait «un gouvernement du peuple, par le peuple et pour la gens."
Non seulement nous n’avons plus de domination sur nos corps, nos familles, nos biens et nos vies, mais le gouvernement continue de bafouer les quelques droits dont nous disposons encore de parler librement et de penser par nous-mêmes.
Pourtant, la liberté tacite consacrée dans le premier amendement est le droit de penser librement et de débattre ouvertement des questions sans être muselé ou traité comme un criminel.
En d'autres termes, si nous n'avons plus le droit d'exprimer des inquiétudes concernant les mandats de COVID-19, si nous n'avons plus le droit de dire à un agent de recensement de quitter notre propriété, si nous n'avons plus le droit d'en informer un policier d'obtenir un mandat de perquisition avant qu'ils n'osent franchir notre porte, si nous n'avons plus le droit de nous présenter devant la Cour suprême avec une pancarte de protestation ou d'approcher un représentant élu pour partager nos points de vue, si nous n'avons plus le droit pour protester contre les lois injustes ou les politiques gouvernementales en exprimant nos opinions en public ou sur les réseaux sociaux ou devant un organe législatif - peu importe à quel point ces opinions peuvent être politiquement incorrectes ou socialement inacceptables - alors nous n'avons pas la liberté d'expression.
RépondreSupprimerNous avons plutôt un discours réglementé et contrôlé, et c’est ce que ceux qui ont fondé l’Amérique ont appelé la tyrannie.
Sur le papier, nous pouvons être techniquement libres.
En réalité, cependant, nous ne sommes aussi libres que ce qu'un fonctionnaire du gouvernement peut permettre.
Comme le faisait remarquer à juste titre le grand George Carlin: «Les droits ne sont pas des droits si quelqu'un peut les enlever. Ce sont des privilèges. C’est tout ce que nous avons jamais eu dans ce pays, c’est une facture de privilèges temporaires. Et si vous lisez encore mal les actualités, vous savez que chaque année, la liste devient de plus en plus courte. Tôt ou tard, les habitants de ce pays se rendront compte que le gouvernement… ne se soucie pas de vous, de vos enfants, de vos droits, de votre bien-être ou de votre sécurité… Il s’intéresse à son propre pouvoir. C’est la seule chose. Gardez-le et développez-le dans la mesure du possible. »
En d'autres termes, nous pensons vivre uniquement dans une république constitutionnelle, régie par des lois justes créées à notre avantage.
Comme je le dis clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, nous vivons dans une dictature déguisée en démocratie où tout ce que nous possédons, tout ce que nous gagnons, tout ce que nous disons et faisons - nos vies mêmes - dépend de la bienveillance des agents du gouvernement et des actionnaires corporatifs pour qui le profit et le pouvoir l'emporteront toujours sur les principes. Et maintenant, le gouvernement plaide et légifère pour entrer dans un nouveau cadre où les diktats des petits bureaucrates pèsent plus lourd que les droits inaliénables des citoyens.
N'oubliez pas: si le gouvernement peut contrôler la parole, il peut contrôler la pensée et, à son tour, il peut contrôler l'esprit des citoyens.
https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/the-governments-war-on-free-speech-protest-laws-that-undermine-the-first-amendment/
J'ai même lu des articles où les nazies expliquaient que plus il y avait du monde sur Terre plus ils tassaient la terre et plus elle s'affaissaient (pour expliquer la 'montée du niveau des océans') toujours sans expliquer pourquoi depuis des millions d'années il y a des milliards de km3 d'eau (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont jetés dans les mers & les océans (et continuent à le faire tous les jours !) sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !!
SupprimerLa nouvelle Amérique: bio-"éthique'', panneaux de la mort et tuer les bébés et les vieux
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
10 mars 2021
«Tuer un enfant défectueux n'est pas moralement équivalent à tuer une personne. Parfois, ce n'est pas du tout faux. »
~ «Peter Singer» par Ed Vulliamy, www.theguardian.com. 14 février 2009.
«La vision traditionnelle du caractère sacré de la vie humaine s'effondrera sous la pression des développements scientifiques, technologiques et démographiques.»
«Tuer un nouveau-né n’équivaut jamais à tuer une personne, c’est-à-dire un être qui veut continuer à vivre»
~ Peter Singer, philosophe «moral» et professeur de bioéthique à l'Université de Princeton
Si les masses regardaient la réalité qui les regarde en face, elles devraient en venir à la conclusion que la vie individuelle n'est plus considérée comme sacrée, qu'elle ne vaut pas la peine d'être protégée et qu'elle ne devrait être respectée que dans le sentiment de nécessité utilitaire. Ces observations ne consomment pas encore pleinement la population totale, mais absorbent l'esprit de ceux qui dirigent et contrôlent actuellement cette population. En d'autres termes, la «nouvelle normalité» recherchée est celle où le caractère sacré de la vie n'est plus une force motrice du comportement moral, mais n'est considéré comme un privilège que pour ceux qui en sont dignes par quelques technocrates.
Le dépeuplement est bel et bien vivant, mais contrôler tout ce qui reste dans cette société après l'abattage des indésirables est poursuivi avec la même vigueur. Le résultat final de telles politiques axées sur l'agenda serait la mort des vieux nouveau-nés faibles et mentalement instables, et bien sûr de tous les dissidents qui remettent en question cette tyrannie. Une fois ce démocide accompli, le contrôle du reste pourrait être obtenu par la destruction de l’esprit et du corps par la «vaccination» et la force brutale par les hommes de main de l’État. Tout ce qui resterait serait la classe dirigeante, ceux qui étaient des statistes transhumains robotiques et une population d'esclaves.
Considérez que ce complot, bien que planifié depuis des décennies, a avancé en un an à un point tel qu'il menace tous nos moyens de subsistance, nos passions, nos familles, nos libertés et même nos vies mêmes. Rien n'a été laissé intact et une oppression épuisante s'est emparée de ce pays et de ses habitants, laissant peu de place à l'évasion. Chaque aspect de la vie a changé, car tout est basé sur la frauduleuse «pandémie de Covid». Aucun «virus» n’a jamais été prouvé, donc ce pays a été détruit à cause d’un mensonge créé dans ce but précis. L'aspect le plus pathétique de ce coup d'État est que le troupeau continue d'agir comme un seul, alors que la plupart ne sont rien de plus que des drones sans visage et sans expression, recroquevillés de peur des monstres imaginaires. La famille, l'histoire et la tradition sont effacées de la psyché humaine, et cela ne peut conduire qu'à la servitude dans un enfer totalitaire.
Sans résistance de masse, les Américains devraient se préparer à vivre dans un cauchemar dystopique où la classe dirigeante; ceux au pouvoir qui ont été volontairement choisis et acceptés par les brebis, ne montreront aucune pitié et n'auront aucun remords pour leur brutalité planifiée calculée et sans conscience. Cette brutalité commencera par le rationnement considérable des soins médicaux. Le terme «triage» prendra un tout nouveau sens, car les gens du monde entier seront refoulés et laissés à la mort au lieu d'être traités. Le terme «soins de santé universels» prendra un tout nouveau sens, car seuls les élus recevront des soins. Alors, qui va choisir?
RépondreSupprimerEzekiel Emanuel est le conseiller en chef de Joe Biden pour les questions médicales et membre de son comité consultatif de santé publique («Covid-19»). C'est le gars qui a fait valoir que tous les plus de 75 ans devraient mourir, et voici comment il a expliqué ses «idées de rationnement»:
«Il existe donc deux types de« rationnement », pourriez-vous dire. La première est la rareté absolue conduisant au rationnement et c’est alors que nous n’avons pas assez de quelque chose et que vous devez choisir entre les gens. Nous faisons cela avec des organes destinés à la transplantation. Nous n’en avons pas assez. Certaines personnes l'obtiendront, d'autres non et, tragiquement, des gens mourront. De même, si jamais nous avons une pandémie de grippe - pas si, mais quand nous avons une pandémie de grippe - nous n’aurons pas assez de vaccins, nous n’aurons pas assez de respirateurs, nous n’aurons pas assez de lits d’hôpital. . Nous allons simplement devoir choisir entre des personnes. "
Il semble que ce processus ait commencé sérieusement cette année, alors que les personnes âgées et infirmes étaient déplacées, enfermées ensemble, malades et non malades, et emprisonnées dans des `` maisons de retraite '' sans soins médicaux appropriés, sans nourriture et eau adéquates, et parmi de nombreuses personnes infectieuses. autres. Le pourcentage de décès prétendument à tort provenir de «Covid» dans ces prisons pour personnes âgées était comparativement astronomique. Était-ce par conception? En tuant les personnes âgées qui dépendent de ressources «rares», les richesses volées du gouvernement et de leur partenaire fasciste ont été moins affectées du fait de ne pas fournir de soins médicaux, de l’élimination de la pension de retraite pour tous ceux qui sont morts et en même temps de la réduction de la population. Ces tactiques, associées à une «vaccination» de masse, pourraient conduire à la stérilisation des jeunes, à la mort de certaines classes de bébés et de nourrissons, et à «vacciner» le reste pour obtenir un contrôle à long terme, ce qui serait considéré comme une victoire par l’État.
Un autre signe révélateur que ce «rationnement» a déjà été mis en œuvre est le fait que de nombreux hôpitaux ont été fermés pendant la soi-disant hauteur de cette fausse «pandémie», et la plupart des procédures médicales, traitements, dépistages préventifs, chirurgies et diagnostics étaient effectivement annulé pendant des mois, causant de nombreux décès et des problèmes de santé néfastes à long terme. Était-ce par conception ? Comment cela n’aurait-il pas été possible, étant donné que la plupart des hôpitaux étaient vides ou fermés à dessein en raison d’une «pandémie» qui ne s’est jamais matérialisée que dans l’esprit de lavage de cerveau des pathétiques destinataires américains de la propagande alarmiste de l’État ?
Ce qui s'est passé à ce jour a été atroce, mais ce qui s'en vient sera bien pire, et à bien d'autres niveaux. La surveillance et la censure augmenteront, tandis que les libertés seront distribuées moins fréquemment et pour des périodes plus courtes, car l'acquiescement sera continuellement testé. Il s'agit d'une attaque à multiples facettes contre la population de ce pays. Cette guerre contre la population ne fait que commencer, car chaque étape apportera plus de mal et plus de terreur, car les mesures draconiennes prescrites jusqu'à présent ne se poursuivront pas seulement par étapes ou par vagues, mais deviendront finalement plus agressives et plus appliquées à mesure que toute répression s'intensifie.
RépondreSupprimerNotre seul espoir tel que je le vois est la désobéissance et la dissidence de masse; à tel point que l'État n'aura d'autre choix que d'utiliser une force extrême, et cela signifiera la chute de ce coup d'État totalitaire mené contre nous. Une fois que les dirigeants revendiqués devront montrer leur main en ne comptant que sur une agression et une violence pures, ils auront perdu leur capacité à contrôler par le mensonge et la tromperie, et seront exposés comme les oligarques pervers et criminels qu'ils ont toujours été.
La liberté est l'essence de la vie; ce n'est pas un état d'esprit ou un privilège. Il ne provient d'aucune constitution ou déclaration des droits, ni d'aucun décret gouvernemental. Il est inhérent aux âmes de l'homme, et s'il n'est pas défendu, il sera à jamais perdu. Vivre libre signifie que chacun doit être prêt à défendre sa liberté à tout prix, même la mort. Les Américains sont maintenant prisonniers de leur propre fait, le choix est donc clair; soit combattez pour enlever les chaînes qui vous lient, soit restez esclave de vos maîtres choisis.
Source links:
Bioethics and the New Eugenics
Fair allocation of Scarce Medical Resources
How the High Death Rate in Care Homes Was Created
Ezekiel Emanuel–Bioethics ?
Biden’s Covid-19 and Death Panel Doctor Connection
What Else Is in the Covid Vaccine
https://www.lewrockwell.com/2021/03/gary-d-barnett/the-new-america-bio-ethics-death-panels-and-killing-babies-and-the-old/
Les criminels au pouvoir (qui se qualifient eux-mêmes des mots doux de 'dictateurs psychopathes') sont face au mur de plus en plus haut, large et d'épaisseur de la Démocratie découverte par l'Internet. En 20 ans 7 milliards de personnes ont plus appris de choses que depuis les débuts de l'humanité !
SupprimerLorsque les directives relatives aux masques faciaux ne sont pas fondées scientifiquement, le gouvernement recourt à l'ostracisme social
RépondreSupprimerDécouvrir la fraude au masque facial en utilisant les propres données définitives des CDC
Par Bill Sardi
10 mars 2021
Au moment où j'écris ce bref rapport, je pense que la plupart des Américains sensés se demandent si les faits comptent plus. Le gouvernement fédéral, de concert avec les médias d'information complices, enfonce l'enjeu de la peur dans le cœur des Américains, en utilisant des données artificielles et une petite armée d'experts qui doivent suivre la ligne pour garder leur emploi. L'objectif caché est d'induire la peur de masse, de contraindre les Américains à vacciner et à détruire les entreprises américaines afin que les masses implorent la monnaie numérique pour remplacer le papier-monnaie. La contrainte à porter des masques pour éviter la transmission de maladies infectieuses n'est qu'un exercice de contrôle social. Qu'y a-t-il derrière tout ça ?
Gardez le mouton sous contrôle
La crise cachée est que le gouvernement fédéral ne peut plus maintenir son contrat social avec les Américains pour payer la sécurité sociale et l'assurance-maladie. Le COVID-19 sert de couverture à l'implosion de l'économie américaine. Il n'y a que des IOU (bons du Trésor américain) dans les fonds fiduciaires de la sécurité sociale et de l'assurance-maladie. Une augmentation des impôts ne peut pas compenser ces déficits budgétaires.
Face à une insolvabilité imminente, le gouvernement viendra à la rescousse et émettra de la «monnaie» électronique directement de Washington DC plutôt que de la Réserve fédérale. Les Américains seront ensuite surveillés en temps réel lorsqu'ils dépenseront cet argent numérique et tout achat non approuvé pour des voitures à essence ou des dons à des églises que le gouvernement qualifie d'organisations «racistes» ou «terroristes», ou même l'achat d'un steak de bœuf grillé, sera bloqué, dans une économie forcée du New Green Deal.
Viande synthétique
Par exemple, le Conseil économique mondial en dehors de l'Europe fixe les nouvelles règles de «réinitialisation économique» qui limiteraient la consommation de viande à une «friandise» ponctuelle puisque les animaux domestiques émettent du méthane (pets) qui contribuent aux gaz à effet de serre. . Les steakhouses appartiendraient évidemment au passé. Les "Bill Gates Burgers" synthétiques remplaceraient le Big Mac de McDonald.
Ne pas tenir compte du fait que la viande est une source majeure de fer, de zinc et de vitamines B1 et B12 qui ne peut pas être facilement remplacée par un régime alimentaire végétal et une interdiction de la viande laisserait les jeunes femmes fertiles dans un état chronique d'anémie et de fatigue, et les enfants en pleine croissance avec un retard de croissance, des handicaps de développement et une mauvaise santé ainsi qu'une faible immunité.
Non-non social
RépondreSupprimerIl y a deux nouveaux non-non sociaux: tousser et péter en public. Désormais, vous ne pouvez même plus tousser pour couvrir le son d’un pet sans ostracisme social.
La fraude au masque facial
Le 5 mars 2021, les Centers for Disease Control ont publié leur analyse la plus récente de l'efficacité des masques faciaux pour réduire la propagation et les taux de mortalité de l'infection à coronavirus COVID-19. Alors que le rapport conclut que «les mandats masques étaient associés à des diminutions statistiquement significatives des taux de croissance quotidiens des cas de COVID-19 et de la mortalité au niveau du comté», c'est le scandale officiel.
L'effet protecteur n'était que statistique (1 à 2%), non significatif et ne mesurait pas la conformité, les différences entre les repas à l'intérieur et à l'extérieur, ni l'adéquation de la ventilation.
L'ensemble de l'économie de détail aux États-Unis est en train de s'arrêter, voire de se détruire totalement, par la peur «statistique» induite par le gouvernement. Laissez ce masque facial tomber sous votre nez et il vous sera demandé de quitter un magasin de détail.
Graphiques gonflés
En faisant exploser des graphiques pour modifier de 1 à 2% les taux d’infection et de mortalité, il semble que certains refuseurs de masques soient des meurtriers, déclare le rapport (selon les propres mots du CDC):
«Autoriser les repas sur place dans les restaurants était associé à des augmentations de 0,9 (p = 0,02), 1,2 (p <0,01) et 1,1 (p = 0,04) point de pourcentage du taux de croissance des cas 41–60, 61–80 et 81 –100 jours, respectivement, après la levée des restrictions. "
La valeur p est une mesure de signification statistique. Tout nombre entre parenthèses de 0,5 ou moins indique que les nombres sont statistiquement significatifs (mieux que le hasard), mais franchement, pas significatifs.
En particulier parce que «le respect et l'application des politiques n'ont pas été mesurés» et «l'analyse n'a pas fait la distinction entre les repas à l'intérieur et à l'extérieur, l'adéquation de la ventilation ou le respect des exigences de distance physique et d'occupation.»
En réalité, il n'y a eu qu'une légère réduction des taux de croissance des cas et des décès liés au COVID-19 lorsque les mandats de masque facial étaient en vigueur et une légère augmentation des taux de mortalité et de croissance du COVID-19 dans les jours suivant la réouverture des restaurants.
Les taux d'infection au COVID-19 n'ont aucun sens et ne reflètent que l'étendue des tests, et non la véritable incidence de l'infection dans une population, à moins que presque tout le monde ne soit testé.
Le rapport, bien que précis numériquement, ne doit pas être utilisé pour établir une politique de santé publique.
La conclusion du rapport, selon laquelle «les mandats de masque d'État et l'interdiction de manger sur place dans les restaurants contribuent à limiter l'exposition POTENTIELLE au SRAS-CoV-2 (infection au COVID-19), réduisant la transmission communautaire du COVID-19», est précisément ce qu'il dit. - POTENTIELLEMENT significatif et ne correspond pas aux données.
RépondreSupprimerLe rapport du CDC, publié dans le numéro du 5 mars 2021 de Morbidity & Mortality Reports (Volume 70), concède:
«Les taux de croissance des cas de COVID-19 et des décès pourraient également avoir augmenté en raison de personnes engagées dans des activités de contact étroit autres que ou en plus des repas au restaurant sur place en réponse à un risque réduit perçu en raison des États autorisant la réouverture des restaurants.»
«Bien que les modèles contrôlaient les mandats de masques, les fermetures de restaurants et de bars, les commandes de séjour à la maison et les interdictions de collecte, les modèles ne contrôlaient pas les autres politiques susceptibles d'influer sur les taux de cas et de décès…»
«… La conformité et l'application des politiques n'ont pas été mesurées.»
CDC à deux faces
Alors, que recommande maintenant le CDC à deux faces? (Rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité, volume 70, 10 février 2021) Bien sûr, dans une expérience simulée, porter deux masques vaut mieux qu'un. Deux masques bloquaient mieux les particules en suspension qu'un masque (85,4% contre 56,1%). Bien sûr, la mise en garde du CDC disait:
«Les résultats de ces simulations ne doivent pas être généralisés à l’efficacité de tous les masques d’intervention médicale ou masques en tissu ni interprétés comme étant représentatifs de l’efficacité de ces masques lorsqu'ils sont portés dans le monde réel.»
Oublié le fait que vous avez besoin de respirer. Voici ce qui arrive à l'apport d'oxygène à vos poumons lorsque vous portez un masque. Le port d'un simple masque anti-poussière réduit l'apport d'oxygène en dessous des niveaux OSHA. Ischémie cérébrale de masse.
Recommandations> directives> mandats> normes sociales
Dans ce nouveau monde dans lequel nous vivons, les recommandations de santé publique ont une façon de devenir des lignes directrices qui ont une façon de devenir des mandats, qui ont une façon de devenir des normes sociales imposées par les détaillants quels que soient les faits.
Le gouvernement et les médias ont été complices en qualifiant quiconque s'oppose aux masques de visage de «Karen», terme péjoratif pour une femme qui semble avoir droit ou exiger au-delà de ce qui est normal. N'ose PAS porter de masque ! » Certains des extraits de films que vous verrez dans cette vidéo en ligne ont évidemment été mis en scène pour les caméras. Des acteurs étaient utilisés. Ostracisme social.
https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/when-face-mask-guidelines-are-not-found-to-be-substantiated-scientifically-government-resorts-to-social-ostracism/
Maltraitance infantile : les inquiétants résultats d'une étude réalisée sur l'impact du port du masque en accueil collectif
RépondreSupprimerMarion Cousin
La Maison des Maternelles
mar., 02 mar. 2021 06:44 UTC
Des enfants moins communicatifs, plus de difficultés langagières, problème de reconnaissance : une enquête menée auprès de 600 professionnels de la petite enfance pointe les conséquences du port du masque.
Anna Tcherkassof est docteur en psychologie, enseignante-chercheuse et spécialiste de la communication non-verbale. Elle a dirigé une enquête sur les effets du port du masque sur les pratiques professionnelles en lieux d'accueil collectif, aux côtés de Marie-Paule Thollon-Behar, psychologue du développement, docteur en psychologie et formatrice petite enfance, Marie-Hélène Hurtig, puéricultrice et formatrice et Monique Busquet, psychomotricienne-formatrice.
L'enquête reposait sur un questionnaire destiné aux professionnels de la petite enfance souhaitant y répondre, afin de définir :
Comment il ou elle se comportait par rapport au masque (quand est-ce qu'il/elle l'enlevait, par exemple) ?
Ainsi que 3 questions à réponse ouverte :
- Faire part des réactions des enfants qu'il ou elle voyait avec le port du masque permanent.
- Témoigner de ce qu'il ou elle pouvait observer chez les enfants lorsqu'il/elle devait enlever le masque.
- Témoigner sur l'utilisation du masque inclusif.
Cette enquête a été publiée sur le site Les pro de la petite enfance, et a recueilli près de 600 témoignages. Anna Tcherkassof explique :
« C'est un gros échantillon. Bien sûr, ce sont les témoignages de ces professionnels, mais on est assez confiantes de ce qui est rapporté, on a des observations très fines, pointues, nous avons un matériau solide. »
Mais alors, quelles sont les premières conclusions de cette étude ? Tout d'abord, il est à noter qu'1 quart des professionnels disent ne pas observer de réactions des enfants qui soient significatives. Pour les 3 quarts restant, ils.elles ont observé plusieurs comportements, avec le port du masque mais aussi aux moments où ils le retirent.
Des conséquences socio-affectives et langagières
Lors du port du masque, les réactions des enfants rapportées par les professionnels de santé sont :
Des conséquences socio-affectives : les professionnels ont observé que les enfants sont moins souriants, ils sont plus impassibles, ils ont moins de réactions affectives qu'ils n'ont habituellement.
Les professionnels remarquent des difficultés au niveau de la communication et des interactions langagières. Lorsque les enfants écoutent, ils regardent aussi beaucoup la bouche, car ils ont besoin de voir comment les mots sont articulés. N'ayant pas ces modèles d'imitations, certains enfants ont des problèmes pour prononcer des mots.
Dans l'articulation des sons, il n'y a pas que le langage en tant que tel. Les interactions où il y a les échanges -aux moments des histoires, chants, etc- sont aussi des moments de socialisation qui sont importants pour les enfants, et dont ils sont en partie privés.
RépondreSupprimerLorsque le masque est retiré
Fait intéressant dans l'enquête, les professionnels décrivent aussi les comportements des enfants lorsqu'ils retirent le masque (pendant les comptines, le biberon, la sieste, pour boire, lorsque l'enfant pleure, etc) :
On peut observer que les enfants eux-mêmes cherchent à enlever le masque : les bébés par exemple, tirent dessus au moment du biberon. Les plus grands questionnent « pourquoi tu portes toujours ton masque ? / est-ce que tu peux enlever ton masque ? »
Au moment où le masque est retiré, il y a des réactions fortes : les enfants se mettent à sourire, l'interaction revient. Au niveau du langage aussi, lorsque le masque est enlevé par exemple lors d'une histoire, les enfants sont davantage investis, concentrés, ils essayent plus de reproduire les sons, les chants, etc.
Le masque inclusif : peu satisfaisant
Le masque inclusif permet de voir la bouche mais empiète beaucoup sur le visage et s'embue très vite, il n'est pas la solution que beaucoup espérait, témoignent les professionnels interrogés dans l'étude.
La question de la reconnaissance
La question de la reconnaissance de l'identité des personnes est soulevée par certains professionnels de la petite enfance. En effet, au moment où le masque est retiré, un certain nombre d'enfants restent interloqués, fixent la bouche, ont un temps d'arrêt avant de reconnaitre l'adulte.
Pour les bébés qui sont nés pendant le Covid et n'ont connu que le visage masqué, lorsque l'adulte enlève son masque, certains ont des réactions fortes, s'alarment, pleurent, etc. On peut donc aussi se poser la question des processus de construction de l'identité, du visage, chez ces enfants, qui pour certains peuvent rester jusqu'à 50 heures par semaine en lieu d'accueil.
https://fr.sott.net/article/36652-Maltraitance-infantile-les-inquietants-resultats-d-une-etude-realisee-sur-l-impact-du-port-du-masque-en-accueil-collectif
Bien sûr que les enfants d'Europe comme ceux d'Amérique n'ont jamais connu les malheurs obligatoires en certains pays attardés, répulsifs et criminels où les femmes devaient se cacher derrière un voile et les hommes derrière une barbe ! Mais ils sont en train d'en vivre l'expérience où personne ne doit reconnaître personne ! La terreur doit être le quotidien et la mort jusqu'à l'être souhaitée !!
SupprimerAUDITION : LES FRANÇAIS SONT NOMBREUX À MAL COMPRENDRE LA PAROLE
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
09/03/2021
81 % des Français estiment que le port du masque complique la compréhension de la parole.
En fonction des situations, entre 19% et 39% des Français indiquent rencontrer des difficultés de compréhension de la parole, révèle l’association Journée nationale de l’Audition (JNA), célébrée le 11 mars de chaque année.
Un tiers des Français ont parfois du mal à entendre les autres lors d’interactions du quotidien
La perte auditive ne concerne pas que les personnes âgées. Tous âges confondus, dans les différentes situations testées, entre 19 % et 39 % des Français indiquent rencontrer des difficultés de compréhension de la parole… même si la fréquence de la survenue de ces difficultés est généralement peu élevée (« parfois » plus que « souvent »).
Ces difficultés surviennent particulièrement dans le cadre d’activités quotidiennes : lors d’interactions avec les autres dans la vie quotidienne (39 % des répondants dont 30 % « parfois »), lors des réunions de télétravail pour les actifs concernés (38 % dont 29 % « parfois ») et lors de conversations au téléphone (37 % dont 2 % « parfois »). Mais l’espace privé est aussi concerné. Dans les mêmes proportions, plus d’un tiers des répondants (35 %) sont concernés par des difficultés auditives dans le cadre privé lors de l’écoute de la télévision ou de la radio (dont 25 % « parfois ») et dans le cadre familial, lors des repas de famille (dont 26 % « parfois »).
4 Français sont 10 ont déjà réalisé un bilan auditif complet chez un médecin ORL
En 2021, les Français se sentent à la fois moins informés (44%, -4 points) et moins inquiets (33 %, -4 points) à propos de la surdité et des acouphènes. Seuls 13 % d’entre eux estiment que la crise sanitaire a renforcé leur envie de s’informer sur l’audition.
Mais, bonne nouvelle : 41 % des Français ont déjà réalisé un bilan auditif complet auprès d’un médecin ORL. Cette proportion monte à 67 % parmi les personnes qui télétravaillent quotidiennement. En effet, plus d’un tiers des télétravailleurs quotidiens ont déjà ressenti souvent des troubles auditifs en lien avec l’usage d’un casque, soit le triple de cette proportion en population générale.
http://www.economiematin.fr/news-audition-comprehension-parole-perte-auditive-orl