Je répond aux questions du vaccins et des ADE dans ce vidéo avec isabelle.
1- L’effet ADE c’est comme si le vaccin au lieu de fabriquer des anticorps contre le virus , il fabriquerait des anticorps contre nous ? Une sorte de réaction auto immune ??
2- Le phénomène ade est il seulement pour le vaccin de la covid ou peu importe le vaccin ?
3- Toutes les vaccins font augmenter les anticorps chez les gens et risque d ade ?
4- Ade c’est quand on vaccine quelqu’un qui a déjà attrapé le virus pour lequel on vaccine est ce bien ça
5- Si tu n'avais pas le choix de te faire vacciner mais si tu avais le choix du vaccin, choisirais tu le vaccin à ARN ? Dans combien de temps (mois, années) considères tu qu'on aura assez de recul pour vérifier l'innocuité d'un vaccin ?
6- On a toujours expliqué qu'en Virologie,les mutations d'un virus sont plus contagieuses mais moins létales,comment expliquer que les variants sont non seulement plus contagieux mais aussi plus virulents ?!
7- Est ce que le vaccin est dangereux pour les gens ayant attrapé le covid
8- Les gens vacciner sont ils contagieux si oui combien de temps
9- Les gens seront ils les vecteurs des variantes ?
10 - Comment arriver à se protéger contre ceux qui se font vaccinés ?
11- Bonjour Monsieur Guay, je me demandais si vous alliez parler de ce sujet qui peut-être préoccupant: est-ce que les vaccinés peuvent devenir un danger pour les non-vaccinés et si oui comment s'en protéger ? 🙁
12- Salut ,est-ce que la prise d'ivermectine, quercitine, vitamine D +zinc, diminue les risques ADE ?
13- Pourquoi la vaccination si 3/4 ont des anticorps Est ce que les gouvernements cherchent à créer le covid21
14- Si je comprends bien, va xxins ou non, il y aura des ADE. Parcontre, la va xxination de masse augmentera dramatiquement les cas catastrophes...?
Le nucléaire est le meilleur pour le climat : 6 g de gaz carbonique/kWh !
RépondreSupprimerMême l’ancien ministre de l’Écologie, François de Rugy, commence à déclarer le nucléaire bon pour la planète. Peur de l’effet de serre ? Passons au nucléaire !
Par Dominique Grenèche et Michel Gay.
23 MARS 2021
La production d’électricité d’origine nucléaire émet beaucoup moins de gaz à effet de serre (GES) que l’éolien et que le photovoltaïque (PV) !
Le tableau libertin L’origine du monde du peintre Gustave Courbet semble avoir autant scandalisé les pudibonds en 1866 que le chiffre de 6 g de gaz carbonique/kWh (6 grammes d’émission d’équivalent gaz carbonique par kilowattheure) émis par l’électricité d’origine nucléaire effraie aujourd’hui les antinucléaires : « Non, ce n’est pas possible ?! » crient-ils en chœur.
Pourtant, si ! C’est vrai !…
Les chiffres sont de 6 g gaz carbonique/kWh pour le nucléaire, de 15 g gaz carbonique/kWh pour l’éolien (trois fois plus) et même de 55 g gaz carbonique/kWh pour le PV (presque 10 fois plus !) selon l’ADEME.
UN PRÉCÉDENT RAPPORT FAUX DE L’ADEME SUR LE NUCLÉAIRE
Dans son rapport « base carbone » de 2014, l’ADEME indiquait pourtant des émissions de 66 g gaz carbonique/kWh (page 93) pour le nucléaire en se référant à une étude de 2008 de Sovacool et affectait une valeur de seulement 10 g gaz carbonique/kWh à l’éolien et 32 g gaz carbonique/kWh au PV.
Dans ce rapport de 2014, les émissions de gaz carbonique du soleil et du vent étaient donc bien inférieures à ceux du nucléaire… selon ces données (fausses) à l’appui !
Toutefois, les émissions de gaz carbonique fournies par l’ADEME aujourd’hui ont considérablement varié sur son site : le nucléaire n’émet plus que 6 g gaz carbonique/kWh et l’éolien (sur terre ou en mer) émet environ 15 g gaz carbonique/kWh.
Pour le PV, « la valeur retenue sera arrondie à 55 g gaz carbonique/kWh avec une incertitude de 30 %. Les valeurs issues des ACV (analyse des cycles de vie) sur les différentes technologies de mises en œuvre des systèmes photovoltaïques varient entre 35 et 85 g équivalent gaz carbonique par kWh du sud au nord et selon les technologies ».
UNE MOYENNE SANS AUCUN SENS
La valeur proposée de 66 g gaz carbonique/kWh dans la précédente étude de l’ADEME en 2014 était simplement le résultat d’une moyenne arithmétique entre de multiples études dans le monde (une bonne quarantaine) disponibles sur ce sujet, et non une analyse du cycle de vie (ACV) en France.
Les résultats de ces études sont tellement disparates qu’une simple moyenne arithmétique n’a aucun sens !
En effet, les valeurs s’étalent entre 1,4 et 288 g gaz carbonique/kWh ! Soit un étalement multiplié par 200 !
Un étudiant présentant un tel résultat sur des bases aussi ridicules serait recalé à son examen…
L’un des postes qui pèse le plus dans ces écarts énormes est celui de l’amont du cycle, notamment les étapes d’enrichissement, avec des valeurs variant de 0,68 à 118 g gaz carbonique/kWh !
L’explication réside dans deux raisons principales :
RépondreSupprimerLa technologie de diffusion gazeuse (qui n’est plus guère utilisée aujourd’hui) consomme 50 fois plus d’électricité que la centrifugation actuelle.
L’électricité plus ou moins « carbonée » (issue du charbon, du gaz, ou du nucléaire) consommée par ces installations selon les pays.
LE NUCLÉAIRE : SIX GRAMMES OU 66 G de gaz carbonique/KWH ?
La question des 6 g gaz carbonique/kWh ou des 66 g gaz carbonique/kWh émis par le nucléaire français a été posée officiellement au gouvernement le 21 février 2019 par le Sénateur Gérard Longuet.
L’ADEME a répondu qu’il y avait eu une « erreur typographique »…
Mais à la lecture de son rapport, cette explication est une tromperie. Cette agence de l’État français a sciemment essayé de faire admettre cette valeur « par effraction ». Elle fut d’ailleurs reprise avec délectation dans de nombreux articles visant à pourrir l’image du nucléaire.
Aujourd’hui, ce chiffre de 6 g gaz carbonique/kWh apparaît deux fois dans des écrits :
1) Dans un gigantesque tableau EXCEL (35 colonnes et 14387 lignes…) de l’ADEME. Ce chiffre apparaît à la case « AH-1873 », ainsi que dans son étude « bilan des gaz à effet de serre » (GES) qui précise simplement que « Pour le calcul du facteur d’émissions moyen de la France, on réalise un mix des ACV des diverses centrales de production d’électricité au prorata de leur contribution ». Muni de ce tableau EXCEL, il est certainement possible de retrouver analytiquement ce chiffre de 6 g gaz carbonique/kWh,
2) Dans un article du CEA de mai 2014 indiquant précisément l’origine des données utilisées et des hypothèses faites, et présentant le tableau ci-dessous où apparait le résultat de 5,29 g gaz carbonique/kWh (qui peut-être arrondi à 6 g gaz carbonique/kWh).
Selon cette étude du CEA, les émissions totales de GES pour l’ensemble du cycle du combustible nucléaire sont donc estimées à 5,29 g gaz carbonique/kWh.
Ce résultat est dans la plage inférieure des données de référence internationales habituelles (1) (2) (3) (4).
Les principales contributions proviennent de l’exploitation des réacteurs (40 %), des activités minières (32 %) et de l’enrichissement (12 %).
Les opérations d’élimination, de conversion, et de retraitement du combustible représentent respectivement 2 %, 5 %, et 7 %. La fabrication du combustible et le démantèlement, qui n’est jamais pris en compte pour aucune source d’énergie, y compris renouvelable, ont un impact négligeable.
DES RÉSULTATS ENFIN COHÉRENTS
Ces résultats sont cohérents avec ceux de la littérature scientifique, à l’exception de l’étape d’enrichissement pour laquelle les chiffres sont beaucoup plus faibles en France (entre 1,8 et 16 g gaz carbonique / kWh) qu’ailleurs dans le monde.
Cet écart s’explique par le fait que les usines d’enrichissement française ont toujours été alimentées avec de l’électricité d’origine nucléaire émettant très peu de gaz à effet de serre. L’ancienne usine EURODIF (fermée en 2012) nécessitait trois réacteurs nucléaires alors que l’actuelle utilise une nouvelle technologie dite « par centrifugation » qui consomme 50 fois moins d’électricité, et toujours majoritairement d’origine nucléaire.
À titre d’exemple, si la fabrication de l’uranium enrichi utilisait de l’électricité produite uniquement par des centrales au charbon, les émissions de gaz carbonique de l’étape d’enrichissement augmenteraient jusqu’à 55 g gaz carbonique/kWh (4).
Même l’ancien ministre de l’Écologie François de Rugy commence à déclarer le nucléaire bon pour la planète. En résumé :
RépondreSupprimerPeur de l’effet de serre ?
Passons au nucléaire !
En plus de produire une coûteuse électricité intermittente et aléatoire, l’éolien et le PV sont également nuisibles pour le climat.
Hors hydroélectricité, à quoi servent donc les énergies « renouvelables » !?
Références :
(1) Dones R, Bauer C, Bollinger R, Faist Emmenegger M, Frischknecht R. Life cycle inventory of energy systems in Switzerland and other UCTE countries. Data V2.0. Ecoinvent Report n5. Villigen: PSI; 2007.
(2) Vattenfall. Nuclear power certified environmental product declaration EPD of electricity from Forsmark nuclear power plant; 2010. Sweden.
(3) Lenzen M. Life cycle energy and greenhouse gas emissions of nuclear energy: a review. Energy Convers Manag 2008;49(8):2178e99.
(4) Stamford L, Azapagic A. Sustainability indicators for the assessment of nuclear power. Energy 2011;36(10):6037e57.
https://www.contrepoints.org/2021/03/23/393602-le-nucleaire-est-le-meilleur-pour-le-climat-6-g-co2-kwh
L'emprisonnement à vie pour les sinistrés de la dictature a fait grimper les factures d'électricité et de chauffage au plafond. Le pire étant maintenant qui faille payer le gaz carbonique respiré !!! Et oui, je n'ai pas dit 'expiré' mais inspiré car, lorsque l'on respire on aspire tous les gaz environnants ! De l'azote, du méthane, du gaz carbonique et de l'oxygène. Nos poumons se chargent de faire le tri et de ne faire passer que l'oxygène aux urgences et de rejeter tous les sans papier inutile à l'organisme. Or, c'est à propos du mandat d'expulsion qu'interviennent certains organismes nazies en leur offrant un 'passeport européen' ajouté d'une rente à vie !!! aux frais de ceux qui osent encore respiré en France !!
SupprimerVive le gaz carbonique !
RépondreSupprimerLe gaz carbonique nous «serre» !
vendredi 24 mai 2013
Alors que la législation prévoit de mettre en place une taxe gaz carbonique avec pour objectif de réduire les dépenses énergétiques de 10 %, voici quelques éléments de réflexion quant à la conception des installations techniques de serres et leur mode de fonctionnement pour utiliser au mieux le gaz carbonique. Commençons par les intérêts agronomiques du gaz carbonique.
Article
A la base de la croissance des plantes, on trouve la photosynthèse, qui combine gaz carbonique et eau pour fabriquer les sucres qui serviront à construire la plante en exploitant l'énergie lumineuse disponible.
Les plantes, grâce à la photosynthèse, sont les seuls êtres vivants capables d'exploiter le gaz carbonique atmosphérique pour fabriquer des acides aminés et protéines. Les animaux et l'homme dépendent des plantes pour cette fonction. La photosynthèse augmente avec la lumière ainsi qu'avec le gaz carbonique disponible c'est-à-dire que si le niveau de gaz carbonique est trop faible, la lumière est mal exploitée.
Exemples:
- à 350 ppm, niveau atmosphérique, et 200 W/m², la plante assimile 20 kg de gaz carbonique par hectare et par heure.
- si la teneur en gaz carbonique tombe à 100 ppm, la plante n'assimile plus que 10 kg de gaz carbonique par hectare et par heure. C'est comme si on ne disposait plus que de 80 W/m² de lumière; la perte est de 120 W/m2.
Un hectare de serre contient environ 40'000 m3 d'air, soit 14 m3 de gaz carbonique ou 27.5 kg de gaz carbonique, soit une heure de photosynthèse à 350 W/m2 sans ventilation.
Pour capter la lumière et le gaz carbonique nécessaires à la photosynthèse, la plante a besoin de surface foliaire. Cette surface sert aussi à la transpiration, qui est le moteur de l'absorption hydrique et minérale. Pour la tomate, 30 % de la biomasse sont alloués aux parties végétatives, feuilles, tiges et racines alors que les 70 % restant sont alloués aux fruits.
Comme la serre limite les échanges gazeux avec l'extérieur suivant la ventilation, il est intéressant d'apporter du gaz carbonique aux plantes pour favoriser la photosynthèse. Les concentrations peuvent être de 650 à 1000 ppm en hiver, soit 3 à 20 kg /ha/h, et de 400 à 500 ppm en été pour éviter les pertes trop importantes par ventilation, soit 25 à 40 kg/ha/h injecté.
Dans tous les cas, une concentration plus faible mais durant plus longtemps fournit plus d'efficacité, le matin de préférence.
Maîtrise des installations
L'usage du gaz naturel en chaufferie permet la production gratuite de gaz carbonique. Ce gaz est composé essentiellement de méthane (CH4) dont la combustion complète produit du gaz carbonique et de la vapeur d'eau.
La combustion d'1 m3 de gaz nécessite 2 m3 d'oxygène soit 10 m3 d'air. Cette combustion va produire environ 11 m3 de produits contenant 2 kg de gaz carbonique pouvant être injectés en serre après refroidissement et condensation de la vapeur d'eau.
L'énergie thermique récupérée après condensation atteint 11 kWh.
RépondreSupprimerLes besoins thermiques d'une serre sont extrêmement variables au cours de l'année et au cours d'une journée. Alors qu'une puissance thermique en chaufferie de 300 à 500 kW/ha est suffisante pour assurer la production de gaz carbonique nécessaire, soit 70 à 100 kg/ha/h, une puissance de 3000 kW/ha sera exigée durant quelques jours par an pour passer les pointes de froid hivernales.
Il y a donc au minimum un facteur 6 entre la puissance thermique installée en chaufferie et la puissance thermique suffisant à produire le gaz carbonique.
Une chaufferie bien conçue pour la production de gaz carbonique comportera deux chaudières fonctionnant en cascade. L'une fonctionne prioritairement pour les besoins en gaz carbonique et l'autre vient en complément pour assurer les besoins thermiques. Dans la pratique, on trouve fréquemment des chaufferies équipées de deux chaudières de puissance similaire (1500 kW/ha chacune), équipées de brûleurs modulants.
Nous conservons toutefois le principe d'une chaudière de base produisant le gaz carbonique et d'une chaudière assurant la modulation thermique.
En équipement complémentaire, on trouvera des ballons de stockage d'eau chaude. En effet, la photosynthèse se fait en présence de lumière, donc le jour.
Or, la serre, qui est un capteur d'énergie, voit par conséquent ses besoins thermiques diminuer le jour. Pour permettre les injections de gaz carbonique, les chaudières fonctionnent le jour sans demande énergétique et l'eau chaude produite est stockée dans un ballon.
Cette eau chaude sera restituée préférentiellement la nuit lors d'une demande thermique. Le stockage d'eau chaude permet donc à la fois d'optimiser les besoins en gaz carbonique et la demande énergétique de la serre.
Exemple concret de l'utilisation du gaz carbonique
Faisons une comparaison de trois types d'installations existantes (voir tableau ci-dessus):
- serre sans équipement d'injection de gaz carbonique
- serre équipée pour l'injection de gaz carbonique sans stockage d'eau chaude
- serre équipée pour l'injection de gaz carbonique avec stockage d'eau chaude.
Ces chiffres méritent quelques explications.
Tout d'abord, les dépenses énergétiques sont plus importantes lorsqu'on injecte du gaz carbonique sous serre. L'écart de 16 % d'énergie supplémentaire entre une serre sans gaz carbonique et une serre avec gaz carbonique est dû à la pratique du minimum tuyau, c'est-à-dire que nous conservons une température d'eau de chauffage de l'ordre de 30 à 35°C en permanence pour faire fonctionner la chaudière et donc injecter du gaz carbonique.
Par contre, on note un écart thermique de 3 % entre une serre avec gaz carbonique et une serre avec gaz carbonique plus stockage d'eau chaude.
Cet écart est dû aux déperditions thermiques du stockage d'eau chaude.
On constate donc qu'un stockage d'eau chaude n'engendre pas de sur-consommation d'énergie, mais permet d'injecter plus de gaz carbonique dans les serres puisque dans ce cas on découple le fonctionnement de la chaudière en l'activant le jour.
Simulation de la réduction énergétique Supposons des besoins en chauffage de 330 kWh/m²/an. L'année n+1, je m'engage a réduire ma consommation de 10 %, comme le prévoit la loi c'est-à-dire que je décide de dépenser 297 kWh/m²/an en posant par exemple des écrans thermiques ou en choisissant une variété moins exigeante en température. La réduction correspondante de gaz consommé atteint alors 3 m3, soit 6 kg de gaz carbonique (équivalent à 33 kWh/m²/an). C'est ce que prévoit la loi pour une serre sans gaz carbonique.
RépondreSupprimerOr, si l'on injecte du gaz carbonique sous serre, la comparaison précédente montre que l'on a certes augmenté les dépenses énergétiques à 323 kWh/m²/an, mais l'on a ramené les rejets de gaz carbonique dans l'atmosphère à 44,3 kg (58,8 – 14,5 kg), soit en dessous de la réduction prévue par la loi. Dans ce cas, l'objectif est déjà atteint et l'on peut faire beaucoup mieux avec un stockage d'eau chaude.
La serre sans injection de gaz carbonique peut être comparée à n'importe quelle entreprise qui consomme de l'énergie pour ses besoins spécifiques. Et les serristes disposent des moyens de mettre en avant les installations ou équipements spécifiques réalisés pour utiliser au mieux le gaz carbonique et par là-même, limiter les rejets dans l'atmosphère.
Tous les chiffres mentionnés dans cet article ont fait l'objet d'une étude menée par Gaz de France en collaboration avec l'AIREL de Sainte-Livrade région Sud-Ouest et une journée Top Gaz en mars 1998.
Intervenants: M.Tchamitchian, INRA-Avignon, Intérêts agronomiques du gaz carbonique , M.Leroy, expert gaz industrie Gaz de France, Maîtrise des installations, I . Bertrand, direction de recherche Gaz de France, Stockage eau chaude, F.Carmelez, AIREL, gestion du gaz carbonique sous serre, conduite des facteurs climatiques, résultats agronomiques.
http://www.legumes.ch/public/index.php?cid=100&articleid=560
Voir aussi: http://www.pensee-unique.fr/effetdeserre.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/05/vive-le-gaz-carbonique.html
Comment les «effets de serre» sont mathématiquement artificiels
RépondreSupprimer23.05.2013
Par Gary Novak
L'affirmation selon laquelle les GES ajouter de la chaleur à la charnière de l'atmosphère sur le Stephan-Boltzmann. Logic montre que les allégations sont absurdes. La constante de Stephan-Boltzmann quantifie la quantité de chaleur radiante est émise par une surface à une température donnée. Des observations simples indiquent que 10-20 fois trop de rayonnement est projeté par la Stephan-Boltzmann. Sans un tel rayonnement excessive, l'effet de serre réclamé n'existerait pas.
Depuis de nombreuses autres lignes de la logique montrent également que l'effet de serre ne peut pas exister, ils montrent l'absurdité des quantités produites par la Stephan-Boltzmann. La Stephan-Boltzmann indique que tant de radiation est émise par la surface de la terre qui il abandonnerait toute l'énergie du soleil à une température ridiculement basse de -18 ° C (0 ° F), si tout rayonnée dans l'espace. Mais puisque la température moyenne de la surface de la terre est de 15 ° C (59 ° F), seuls à effet de serre pourraient ajouter de la chaleur supplémentaire nécessaire pour arriver à présenter des températures de surface, selon les alarmistes du réchauffement climatique. Cependant, si le Stefan-Boltzmann étaient réduit à un vingtième, à 15 ° C (59 ° F) à environ 5-10% du quitter la surface de la terre la chaleur serait rayonnement, tandis que le reste serait de laisser que la conduction, la convection et évaporation, ce qui est plus conforme à ce que qui se passe vraiment.
Pas de gaz à effet de serre serait impliqué avec la constante Stephan-Boltzmann utilisée par les climatologues, la surface de la terre dégagerait 390 watts par mètre carré de rayonnement à une température moyenne de 15 ° C (59 ° F).
Pour obtenir leurs numéros d'équilibre, les climatologues ont seulement 24 W / m² en laissant la surface par conduction et convection. C'est 6% de la quantité de conduction et de convection sous forme de rayonnement, même si la surface de la terre a beaucoup de déplacement d'air à travers elle. Si ces conditions existaient vraiment, les ventilateurs de refroidissement ne seraient jamais utilisées. Pour obtenir une augmentation de 6% en refroidissement ? Ce n'est pas ce que les fans font. Les fans suppriment environ 10-20 fois plus de chaleur sous forme de rayonnement à lui seul. Les climatologues alarmistes ont été contraints de déclarer ces conditions absurdes à équilibrer des équations. Pour tenir compte de la très forte radiation indiqué par la Stephan-Boltzmann, il devait y avoir beaucoup de rayonnement interagissant avec surface spécifique 324 W de la terre / m² allant de l'atmosphère à la surface.
Ce montant reste presque rien pour la conduction, la convection et évaporation. Le 390 étant émis par la surface inclus 40 aller dans l'espace et 350 va dans l'atmosphère. Le 324 revient sur l'atmosphère et sur la surface devait être inférieure à la 350. En conséquence, la 324 reste presque plus d'espace pour la conduction, la convection et évaporation, car la plupart d'entre eux ont dû être utilisée pour créer le 390. En d'autres termes, l'équilibrage chiffres ridicules était plus important pour les climatologues alarmistes d'une logique crédible. Tout au long de la question du réchauffement climatique, la logique est sacrifié à des affirmations absurdes et fausses mathématiques, y compris des données falsifiées (comme dans les graphiques de bâton de hockey et des mesures de température, voir www.nov79.com ). Cela signifie que les physiciens en Stephan-Boltzmann sur le haut de leurs têtes sans rapport avec la réalité objective. Ils rationalisent les fausses mathématiques et les chiffres de serre, mais en contradiction avec la logique et la preuve.
Gary Novak
de scientifique indépendant
http://english.pravda.ru/science/earth/23-05-2013/124645-greenhouse_gases-0/
Crise climatique : une taxe-carbone sur l’alimentation ?
RépondreSupprimerle 10 décembre 2016
Avant d’entrer dans le vif du sujet de ce billet il est opportun de faire un petit rappel sur la composition de l’atmosphère. L’air sec est constitué de 78 % d’azote, de 21 % d’oxygène et 0,9 % d’argon. Le reste, soit 0,1 % du total représente des gaz dont la vapeur d’eau sous forme de traces. Si la vapeur d’eau au niveau des océans dans les zones tropicales peut atteindre une teneur de plus de 4 % il n’en est pas de même au dessus des terres et en altitude où l’air est essentiellement sec. Les nuages ne sont pas de la vapeur d’eau sous forme de gaz mais de fines gouttelettes d’eau ou des cristaux de glace. La contribution de la vapeur d’eau à l’effet de serre (encore faut-il prouver que ce phénomène physique existe réellement) est de ce fait pratiquement réduite à peu de chose.
Restent les fameux gaz à effet de serre tant décriés pour culpabiliser l’ensemble des bipèdes de la planète Terre. Le gaz carbonique ne représente que 0,04 % de la composition de l’atmosphère. Quant aux autres gaz classés dans la catégorie « effet de serre » le méthane représente 0,00018 % des gaz atmosphériques, pas de quoi fouetter un chat et l’oxyde nitreux (N2O), ça vient de sortir, c’est aussi un horrible gaz à effet de serre qui met le climat en danger, il représente 0,000032 % de l’ensemble de l’atmosphère, vous avez bien lu, il n’y a pas de zéro subrepticement glissé dans ce nombre infinitésimal. Là aussi pas de quoi se faire nerveux.
Néanmoins, devant ces données d’une limpidité indiscutable, des activistes viennent d’imaginer qu’il fallait taxer tous les aliments dont la production contribue à l’accroissement du taux de gaz à effet de serre atmosphériques, une sorte de taxe-carbone sur l’alimentation ! Je n’invente rien, c’est l’Oxford Martin Programme sur le futur de la nourriture qui vient de sortir l’idée ( http://www.futuroffood.ox.ac.uk ) et c’est tout simplement délirant. Il faut absolument taxer la viande et les produits laitiers ainsi que les oeufs, ce sont des aliments dont la production relargue des quantités « massives » de méthane et de gaz carbonique dans l’atmosphère pour les bovins, des oxydes d’azote pour les fientes de poulets et c’est très mauvais pour le climat. Les enfants mal-nourris apprécieront, eux pour qui un verre de lait est parfois leur seul repas. Il y a un enfant sur six souffrant de malnutrition aux USA et plus de 60 millions de personnes bénéficient de tickets d’alimentation pour survivre dans ce pays ! Faudra-t-il aussi surtaxer le vin, le champagne, le whisky et la bière (qui dégagent du gaz carbonique lors de la fermentation des moûts sucrés) ainsi que les sodas dans lesquels on rajoute du gaz carbonique qui part finalement dans l’atmosphère ? L’Oxford Futur of Food Program ne le dit pas …
Sources : wattsupwiththat.com pour les données atmosphériques et Oxford University, lien ci-dessus.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/12/10/crise-climatique-une-taxe-carbone-sur-lalimentation/
Nouvelles du Coronavirus en Espagne et plus particulièrement aux Canaries
RépondreSupprimerle 23 mars 2021
Depuis que j’ai été en contact avec le SARS-CoV-2 il y a maintenant presque une année je souffre toujours de problèmes épidermiques variés. Jusqu’à ce jour je me suis auto-traité avec un stéroïde pour tempérer ces inflammations entrainant des démangeaisons. Il est apparu qu’aucune amélioration notable n’avait pu être observée et ceci depuis près de cinq mois. Si l’infection par le SARS-CoV-2 a provoqué l’apparition d’anticorps dirigés contre des phospholipides constituants de la membrane basale de la peau, une sorte de maladie auto-immune alors je devrai m’y habituer.
Cependant comme je suis curieux de nature je suis allé voir ma pharmacienne et je lui ai déclaré sans aucune gène que je souffrais peut-être de sarcoptes, en d’autres termes de la gale. Je rappelle ici à mes lecteurs que près de 3 % des personnes vivant dans des pays développés au sens de l’OCDE souffrent de gale (scabies en anglais) à un instant t et 17 % des personnes dans ces mêmes pays ont souffert ou souffriront de gale et il n’y a rien de honteux comme on avait encore coutume de le penser au XIXe siècle alors qu’il n’existait aucune action curative adéquate. Or l’un des traitements presque miracle pour traiter la gale est l’ivermectine. J’ai donc demandé à la pharmacienne de me vendre de l’ivermectine qui comme on le sait maintenant est l’un des traitements les plus efficaces pour traiter en phase précoce l’infection par le SARS-CoV-2.
« Ah non Monsieur, l’ivermectine est interdite à la vente en Espagne ! ».
Réponse sans appel … Je me suis donc contenté d’une pommade contenant de la permethrine, un pyrethroïde largement utilisé en agriculture et pour éradiquer les poux. Lorsque j’ai souffert de giardiase une pilule d’ivermectine suffisait pour guérir et il en est de même pour la gale et pour les poux. Je n’ai pas pu obtenir d’information claire sur cette interdiction de vente en Espagne. La seule explication est d’ôter aux médecins de ville la possibilité de traiter les malades du SARS-CoV-2 avec ce produit pour le plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques. Ce n’est qu’une hypothèse de ma part pour ne pas être accusé de complotisme.
Voilà les péripéties épidermiques qui me préoccupent en ces temps incertains durant lesquels les politiciens jouent au chat et à la souris avec la population. En effet il est impératif de faire durer cette épidémie afin que les laboratoires pharmaceutiques réalisent le maximum de profits avec des vaccins préparés dans l’urgence selon des technologies qui n’avaient été auparavant utilisés qu’avec des malades de cancers incurables. Non ! L’ivermectine est interdite en Espagne parce que l’ultra-gauchiste Sanchez est vendu aux intérêts du lobby « Big-Pharma » comme l’est l’ensemble du gouvernement français et de gouvernements de bien d’autres pays européens. Finalement la démocratie est morte et les nations sont gouvernées par les puissances financières, point final.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/03/23/nouvelles-du-coronavirus-en-espagne-et-plus-particulierement-aux-canaries/
SORTIE DE LA PANDÉMIE VERS L'ESCLAVAGE ?
RépondreSupprimerpar LUDOVIC GRANGEON
22/03/2021
La crise de la Covid-19 aurait coûté 160 milliards d'euros en 2020.
La dette de la France a franchi le mur du son. Officiellement à 2800 milliards en 2021, son montant réel est désormais abyssal entre 4000 et 5000 milliards d’euros. Mais surtout la sortie du Covid va inaugurer un curieux système de pouvoir entre finances, gouvernement et citoyens avec une addition qui en cache une autre, bien pire, plus salée, plus indigeste encore.
Déjà en 2013, la Cour des Comptes avait rappelé un cumul des engagements avec "hors bilan" à 5 200 milliards, rappelant que la dette publique avait triplé en 8 ans seulement. Cette estimation de la dette publique est encore en dessous de la réalité 2021. Entre Dexia, le logement social, la SNCF, la dette FMI, et bien d'autres, l'ardoise supplémentaire avait été chiffrée à 3 300 milliards en sus de la dette officielle lors de la dernière élection présidentielle (cab Archer). Le hors bilan a atteint en 2019 4 300 milliards supplémentaires selon le Rapport de Loi de Finances du Sénat 2020 sur la dette publique alors qu'il n'était "que" de 1300 milliards en 2006. L'année dernière nous étions environ deux fois plus endettés que l'Allemagne. En réalité, près de 300 % du PIB sont engagés et non 120 % pourtant déjà énormes. Les informations de l'administration sont tellement brouillonnes que les Parlementaires craignent de découvrir encore d'autres trous financiers non maitrisés selon leur Rapporteur Spécial la Sénatrice Nathalie Goulet. (Rapport 140 21 nov 2019). Il est vrai que le ministre des finances, très cher Bruno, avait dû avouer dans une émission sur Canal Plus qu’il ne savait pas ce qu’était un hectare, ni multiplier 100 par 100. C’est gênant pour ce poste.
Le gouvernement vient « généreusement » de dépenser 160 milliards, mais avec notre carnet de chèques et en signant à notre place. Alors que les absurdités se succèdent avec des confinements qui tournent au sketch hilarant ou au déni parisien, les autorités auraient pu embaucher temporairement en renfort et pour le même prix les personnes humiliées à mi salaire et cloitrées. Leur dignité aurait été préservée. Au moins cette mesure aurait contribué au PIB au lieu de l’alourdir. Elle aurait aussi soulagé la surcharge des personnels de santé et des services publics, plutôt que de les applaudir en oubliant de leur verser les primes promises. Un long désastre parcourt le gâchis des innombrables allers retours masque ou non, confinement ou non, commerce ou non, vaccin ou non, restaurant ou non, attestation invérifiable, etc…. Les exodes provoqués par les pseudo confinements amplifient les contagions au lieu de les résorber et accroissent encore nos coûts et nos difficultés.
Le catalogue est long : tourisme, hôtellerie, restauration, sport, événementiel, culture, transport aérien, remontées mécaniques, hôtels, campings, commerces de détail biens personnels, coiffeurs, esthétique, restaurants, cafétérias, débits de boissons, cinémas, agences de voyage, foires ou de salons, bureaux de change, disciplines sportives, loisirs, spectacles, musées, guides, jardins et zoos, salles de sports, parcs d’attractions, casinos, cars et bus touristiques, transport maritime, enseignement culturel, …
Désormais il faut ajouter aussi les prêts garantis par l’Etat pour près de 400 milliards dont certains accordés curieusement à des grands groupes ou à des secteurs spéculatifs proches du pouvoir. Comptons aussi 200 milliards pour la Sécu. Les critères de Maastricht sont enterrés, et le Peuple Français une fois de plus est trahi. La finance internationale nous prête volontiers en temps de crise pour nous contrôler totalement à la sortie à peu de frais. Plus nous dégradons notre rating, plus nous sommes vulnérables, plus on nous prête pour devenir l'otage absolu de la finance internationale qui pourra s'autoriser toutes les prétentions sur notre économie.. La France dégringole de son flamboyant AAA vers un A simple qui pourrait même tourner rapidement au douteux BBB.
RépondreSupprimerLe Finance Stability Board, organisme mondial de surveillance financière, vient de publier son rapport 2020. Les échanges privés mondiaux (NBFI) ont pour la première fois dépassé ceux des banques centrales et gouvernements, à plus de 200 trillions de dollars. En comparaison, la « force de frappe » mondiale du FMI est 500 fois inférieure (440 milliards) ou 200 fois inférieure (1 trillion) avec les lignes des Etats mondiaux (200 et 350 milliards en plus). Ceci signifie que la finance privée mondiale a pris le pouvoir absolu. Les Etats endettés sont ses créanciers et n’auront comme choix que celui de faire payer …leurs concitoyens…à vie. Un seul exemple : le poids de la France dans ce système privé est de moins de 0.2 %,
Si le Gouvernement gère ce problème par l'absurdité, comme le Covid, alors, ce que nous avons connu avec les Gilets Jaunes ne sera qu'une plaisanterie à côté d'une contestation généralisée, en pleine élection présidentielle de 2022. La conséquence de l'endettement actuel serait de doubler encore la fiscalité actuelle sur au moins deux générations avec fiscalité exceptionnelle, impôt Covid, TVA majorée, remboursement des prêts Covid garantis, déficit Sécu, etc... Cette issue est impensable. Il est temps de mettre l'imagination au pouvoir avant qu'il ne soit trop tard, et le pouvoir semble vraiment en manquer. Il lui reste moins de six mois pour le faire. Sinon, le pouvoir ne sera plus au pouvoir, d'une façon ou d'une autre.
http://www.economiematin.fr/news-pandemie-mesures-esclavage-liberte-societe-france-grangeon
Le citoyen ne doit d'argent A PERSONNE ! S'il n'y a pas d'argent, comment peut-il se faire que des personnes puissent en prêter ? HAHAHAHA !
SupprimerHÔPITAL : L'ORGANISATION « COVID » N'EST PAS VIABLE, POINTE LA COUR DES COMPTES
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
22/03/2021
Au plus fort de la crise sanitaire, grâce à l'ouverture de lits de réanimation « éphémères », la France a pu disposer de 20 lits de réanimation pour 100.000 habitants, contre 16,3 en temps normal.
Face à l’urgence, au printemps 2020 les unités de soins critiques des hôpitaux français ont pu tenir uniquement au prix d’une improvisation organisationnelle et de déprogrammations massives. Mais une telle situation n’est pas viable et va au détriment tant des patients que des personnels, pointe la Cour des comptes dans son rapport annuel.
Unités de soins critiques : une organisation qui mérite d’être repensée
Connaissant déjà une forte activité avant l’arrivée du Covid-19, dès le printemps 2020 les unités de soins critiques (ou unités de réanimation, comme on les appelle communément) ont été mises à rude épreuve. Avec, à la clé, un résultat médiocre : au plus fort de la crise sanitaire, seuls 20 lits de réanimation pour 100.000 habitants étaient disponibles en France, contre 33,9 lits pour 100.000 habitants en Allemagne.
Comme le révèle la Cour des comptes dans son rapport annuel, cette situation aurait pu être évitée si ces unités de soins critiques avaient été organisées différemment. Premier constat : dans le modèle français, une partie des lits de soins critiques (à savoir 6.000 lits) n’est pas placée sous la responsabilité de médecins réanimateurs, mais majoritairement de cardiologues ou de neurologues. Si ce choix de spécialiser les soins intensifs s’avère intéressant en temps normal, il s’est révélé pénalisant pendant la première vague de Covid-19 car ces lits n’ont pas pu être mobilisés pour la prise en charge des patients Covid.
Le rythme d’ouverture de lits de réanimation ne suit pas le vieillissement de la population
Autre faille organisationnelle : malgré le vieillissement de la population, de nouveaux lits de réanimation ne sont pas ouverts au même rythme. D’après les calculs de la Cour des comptes, si la France avait conservé son ratio « nombre de lits/population de plus de 65 ans » de 2013, elle aurait disposé, au début de la crise Covid, de 5.949 lits de réanimation adultes, contre 5.080 constatés au 1er janvier 2020. Dans les 20 années à venir, le nombre de personnes âgées de plus de 60 ans va progresser de près de 5,2 millions. Il est donc essentiel de procéder à des ouvertures de lits et ce, de toute urgence.
Enfin, la Cour des comptes salue le mode de financement particulier auquel répondent les unités de soins critiques, à savoir une rémunération forfaitaire et pas uniquement à l’activité, un choix de bon sens censé tenir compte des coûts fixes importants inhérents à ces unités. Mais cette moindre dépendance à la tarification à l’activité mériterait d’être développée encore car malgré tout, les unités de soins critiques restent trop dépendantes de la tarification à l’activité, ce qui les pousse à maximiser le taux d’occupation (80 à 85% en temps normal), remettant en question la disponibilité de lits en cas de crise majeure.
http://www.economiematin.fr/news-hopital-unites-soins-critiques-reanimation-cour-comptes-reforme
Analyse des études scientifiques sur les méfaits causés par les masques faciaux dans la population générale, y compris chez les enfants
RépondreSupprimerDenis Rancourt — ResearchGate
Sott.net
lun., 22 mar. 2021 10:16 UTC
Le port du masque imposé avec succès dans la population générale pendant l'ère du Covid-19 constitue un témoignage du pouvoir de la propagande, de la mainmise des institutions et du désir de conformité sociale. Les préjudices de cette mesure obligatoire sont palpables, et potentiellement gargantuesques sur le long terme, à commencer par le conditionnement psychologique du public à se conformer à une mesure absurde dont les effets négatifs personnels sont directs. Voici l'examen des preuves croissantes de ce qui est évident : le port du masque généralisé nuit aux personnes et à la société, sans aucun avantage détectable.
Introduction — Il incombe au gouvernement d'évaluer la sécurité
Conformément au principe de précaution, il incombe au gouvernement de démontrer, avant d'imposer une mesure, l'absence de dommages significatifs qui auront été anticipés, en particulier dans le cas d'une mesure médicale personnelle appliquée à la population générale en bonne santé.
Pour les masques, le principe de précaution n'a pas été suivi lors de la pandémie de Covid-19. Dans les provinces canadiennes, les mesures relatives au port obligatoire du masque généralisé ont été encore plus agressives que les recommandations certifiées par l'OMS. 1
Les récents commentaires scientifiques n'ont pas manqué de faire état de cette imprudence du gouvernement. En voici quelques exemples.
Dès le 20 avril 2020, Lazzarino et al. s'opposaient directement à une perversion de la logique autour du principe de précaution qui a été appliqué par certains scientifiques et de nombreux législateurs (à savoir que les gouvernements devraient agir « sans preuve définitive, juste au cas où ») : 2
« Bien qu'aucune formulation unique de ce principe n'ait été universellement adoptée, (réf) le principe de précaution vise à empêcher les chercheurs et les décideurs politiques de négliger les effets secondaires potentiellement néfastes des interventions. [...]
La plupart des articles scientifiques et des directives dans le contexte de la pandémie de Covid-19 mettent en évidence deux effets secondaires potentiels du port de masques chirurgicaux dans le public [faux sentiment de sécurité, utilisation inappropriée du masque], mais nous pensons qu'il y en a d'autres qui méritent d'être pris en considération avant la mise en œuvre de toute politique mondiale de santé publique impliquant des milliards de personnes. [...]
[...] Il est nécessaire de quantifier les interactions complexes qui pourraient bien s'opérer entre les effets positifs et négatifs du port de masques chirurgicaux au niveau de la population. Ce n'est pas le moment d'agir sans preuves. »
RépondreSupprimerLe 13 août 2020, les chirurgiens Frountzas et al. ont averti que l'enthousiasme autour du Covid-19 pour imposer des équipements de protection individuelle (EPI) aux chirurgiens pourrait mettre en danger les patients opérés (on peut dire la même chose des conducteurs de train, de tram et de bus, et d'un large secteur de travailleurs au service du public) : 3
« Que ce soit dans le cas d'un deuxième confinement ou non, la sécurité de l'utilisation des EPI contre le Covid-19 pour les chirurgiens devrait être étudiée. Toutes les éléments de l'EPI augmentent la température corporelle et la transpiration du chirurgien, ce qui entraîne une diminution de son confort, en particulier lors d'interventions chirurgicales prolongées et compliquées. Comme mentionné ci-dessus, les EPI semblent être associés à des effets secondaires importants, comme des dermatoses et des maux de tête pour les professionnels de la santé. L'inconfort et les effets secondaires associés aux EPI pendant l'opération peuvent accroître l'anxiété et la fatigue des chirurgiens lors d'opérations difficiles. »
Le 22 novembre 2020, le Dr Vainshelboim tenait des propos sans plus aucune ambiguïté : 4
« Résumé : [...] Bien que les preuves scientifiques de l'efficacité des masques fassent défaut, les effets néfastes sur la physiologie, la psychologie et la santé sont établis. L'hypothèse a été émise que les masques faciaux ont un profil de sécurité et d'efficacité compromis et qu'il faut en éviter l'utilisation. Le présent article résume de manière exhaustive les preuves scientifiques concernant le port des masques à l'ère du Covid-19...
Conséquences à long terme du port de masques sur la santé : La pratique à long terme du port de masques faciaux a un fort potentiel de conséquences sanitaires dévastatrices. L'état hypoxique-hypercapnique prolongé compromet l'équilibre physiologique et psychologique normal, détériore la santé et favorise le développement et la progression des maladies chroniques existantes (10 références).
Conclusion : [...] Il a été démontré que le port de masques a des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ces effets comprennent l'hypoxie, l'hypercapnie, l'essoufflement, l'augmentation de l'acidité et de la toxicité, l'activation de la peur et de la réaction au stress, l'augmentation des hormones de stress, l'immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la diminution des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l'anxiété et la dépression. Les conséquences à long terme du port d'un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et une mort prématurée. »
En effet, les méfaits du port du masque prolongé sont de plus en plus documentés dans de nombreuses études scientifiques, en particulier pour les professionnels de la santé, les écoliers, les nouveau-nés et avec des infections bactériennes dans la population générale, comme décrit ci-dessous.
Contexte — Analyse des risques, des avantages et des dommages
RépondreSupprimerDans une perspective politique générale, trois questions sont pertinentes :
Quel est le risque lié au Covid-19 ?
Existe-t-il des preuves que les masques faciaux peuvent réduire le risque lié au Covid-19 ?
Les masques faciaux sont-ils nocifs ?
En ce qui concerne la première question (Quel est le risque lié au Covid-19 ?), à ce stade — presque une année civile complète depuis que l'OMS a déclaré la pandémie le 11 mars 2020 — il existe une limite supérieure au risque de décès lié au Covid-19 (« par an »), sur la base des statistiques mondiales :
Risque = nombre de décès dans une année complète de propagation de la pandémie / population
Risque < 2,43 millions / 7,8 milliards = 0,03 % (statistiques actuelles de l'OMS, février 2021)
Le risque mondial annuel ainsi calculé (0,03 %) est une limite supérieure surestimée parce que les décès déclarés à l'OMS par les États-nations sont des décès « avec » le Covid-19, et non des décès déterminés comme étant « causés par » le Covid-19, et parce que le test RT-PCR recommandé n'est pas fiable, et parce que l'attribution du Covid-19 peut être basée sur les seuls symptômes déclarés, sans identification virale en laboratoire, dans un contexte mondial de forte probabilité de biais de déclaration.
Plus important encore, la limite supérieure du risque ainsi calculée (0,03 %) est encore surestimée parce qu'elle ne tient pas compte de l'importante susceptibilité connue au décès par le Covid-19 en fonction de l'âge. Un risque supérieur corrigé de la sensibilité en fonction de l'âge peut être estimé comme suit. (La correction est nécessaire parce qu'un décès par le Covid-19 ne cause pas autant d'années de vie perdues qu'un décès moyen dû à une cause qui ne discrimine pas selon l'âge).
Âge moyen global = 29,6 ans ;
Espérance de vie globale à la naissance = 71,5 ans ;
Population mondiale = 7,8 milliards ;
Total globalisé d'années de vie = (7,8 milliards) x (71,5 - 29,6 ans) = 327 milliards années de vie ;
Perte moyenne d'années de vie par décès du fait du Covid-19 = 0,5 à 5 années, disons 2,75 années ;
Perte globale d'années de vie dues au Covid-19 par an = (2,43 millions par année) x (2,75 années) = 6,68 millions d'années de vie par année (de pandémie de Covid-19) ;
Risque ajusté < 6,68 millions / 327 milliards = 0,002 %.
La surestimation non corrigée du risque global maximum par an de mourir du Covid19 (0,03 %) est, au Canada, cinq fois moins élevée que le risque annuel de mourir du cancer. La surestimation du risque annuel maximum corrigé de la sensibilité à l'âge (corrigé des années de vie perdues) du Covid-19 (0,002 %) est cinq fois moins élevée que le risque annuel de mourir d'un accident de voiture aux États-Unis.
En ce qui concerne la deuxième question (Existe-t-il des preuves que les masques faciaux peuvent réduire le risque de Covid-19 ?), conformément aux données : 5 6 7
RépondreSupprimerLa seule façon de mesurer scientifiquement l'efficacité des masques est d'utiliser un essai contrôlé randomisé (ECR) avec « résultat vérifié » (infection confirmée en laboratoire) car : (a) l'efficacité est faible par rapport à d'autres facteurs connus et inconnus, (b) les variations d'infectiosité et de sensibilité d'une personne à l'autre sont connues pour être importantes par rapport aux moyennes, et (c) il existe, dans toute étude inférieure aux normes, un fort potentiel de biais dans la collecte/sélection des données et dans l'interprétation.
Il n'y a pas eu moins de 15 ECR de qualité suffisante et dont les résultats ont été vérifiés pour informer la classe politique, dans des contextes de soins de santé, de communauté et de population générale. Tous, sauf le plus récent, ont été analysés dans des revues systématiques formelles officielles publiées. Les 15 études constatent toutes qu'aucune réduction du risque d'infection ne peut être détectée avec une signification statistique. Cela signifie que tout bénéfice est trop faible pour être détecté par la science.
La prétention du gouvernement que les masques réduisent la transmission est en fait une propagande fallacieuse, s'appuyant à tort sur des études non pertinentes et de qualité inférieure.
Par conséquent, la présomption selon laquelle les masques fonctionnent est incorrecte. Elle est réfutée par la science : toute réduction des risques est trop faible pour être détectée à l'aide des critères statistiques habituels et établis.
Il n'existe aucune preuve fiable ou de qualité suffisante pour informer la classe politique que les masques faciaux peuvent réduire le risque de Covid-19.
En ce qui concerne la troisième question (Les masques faciaux causent-ils des dommages ?), comme indiqué ci-dessus, il existe actuellement une vague de rapports scientifiques sur les dommages causés par les masques faciaux, que je décris ci-dessous.
Il ne fait aucun doute que le port prolongé d'un masque provoque des dommages et des handicaps importants chez les personnes en bonne santé. Des études récentes ont porté sur :
les professionnels de la santé ;
les écoliers ;
les nouveau-nés ;
des adultes en bonne santé.
Le premier examen (19 juin 2020) de Bakhit et al. portait sur les méfaits des masques faciaux dans tous les milieux (domicile, lieu de travail, etc.). Ils ont passé en revue 5 471 articles potentiels et ont identifié 37 études qui ont rapporté de manière fiable les méfaits des masques. Ces 37 études ont été publiées dès 2004, et comprenaient deux études publiées en 2020. Dans ces 37 études (leur tableau 1) :
20 ont fait état d'une « gêne et d'une irritation » ;
4 ont fait état d'une « dyspnée et autres » ;
6 ont fait état d'un « impact psychologique » ;
9 ont fait état d'un « impact sur la communication » ;
et une étude a fait état d'une « contamination par les masques ». La conclusion de Bakhit et al. (dans le résumé) est la suivante : 8
« Il n'y a pas suffisamment de données pour quantifier tous les effets néfastes qui pourraient réduire l'acceptabilité, l'adhésion et l'efficacité des masques. De nouvelles recherches sur les masques faciaux devraient évaluer et rapporter les inconvénients et les effets secondaires. Des recherches urgentes sont également nécessaires sur les méthodes et les conceptions visant à atténuer les inconvénients du port des masques, en particulier l'évaluation des alternatives telles que les écrans faciaux. »
RépondreSupprimerProfessionnels de la santé
A peine huit mois plus tard, à la suite de l'étude de Bakhit et al. Galanis et al. (5 février 2021, prépublication) ont publié une étude systématique et une méta-analyse pour « évaluer l'impact de l'utilisation des EPI sur la santé physique des professionnels de la santé pendant la pandémie de Covid-19 ». Leur « revue comprenait 14 études portant sur 11 746 travailleurs de la santé de 16 comtés » 9 :
Voici neuf études récentes importantes portant sur les professionnels de la santé :
1 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Un total de 343 professionnels de la santé sur les lignes de front de la pandémie de Covid-19 ont participé à cette étude à New York City. 314 répondants ont signalé des effets indésirables liés à l'utilisation prolongée de masques, les maux de tête étant la plainte la plus fréquente pour 245 personnes. 175 personnes interrogées ont souffert de lésions cutanées, et 182 ont déclaré avoir souffert d'acné. Des troubles cognitifs ont été signalés par 81 répondants. [...] Certaines personnes interrogées ont ressenti des effets secondaires résolus une fois les masques retirés, tandis que d'autres ont eu besoin d'une intervention physique ou médicale.
Conclusion (Résumé) : L'utilisation prolongée du N95 et des masques chirurgicaux par les professionnels de la santé lors de la pandémie de Covid-19 a provoqué des effets indésirables tels que des maux de tête, des éruptions cutanées, de l'acné, des lésions cutanées et des troubles cognitifs chez la majorité des personnes interrogées. [...] 10
2 — ➤➤ Résumé : [...] Tous les participants portaient soit des masques chirurgicaux, soit des respirateurs N95 pendant au moins 4 heures par jour [Inde]. [...] Un total de 250 travailleurs de la santé ont participé à l'étude [...] Les résultats obtenus étaient une transpiration excessive autour de la bouche représentant 67,6 %, des difficultés respiratoires à l'effort 58,2 %, de l'acné 56,0 % et des démangeaisons nasales 52,0 %. Cette étude suggère que l'utilisation prolongée de masques faciaux induit une difficulté à respirer à l'effort et une transpiration excessive autour de la bouche chez les professionnels de la santé, ce qui se traduit par une moins bonne observance et un risque accru de susceptibilité à l'infection. 11
3 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Un total de 158 professionnels de la santé ont participé à l'étude [Singapour]. [...] Sur les 158 personnes interrogées, 128 (81,0 %) ont développé de novo des maux de tête associés aux EPI. Un diagnostic de céphalée primaire préexistant (OR = 4,20, 95 % CI 1,48-15,40 ; P = 0,030) et l'utilisation combinée d'EPI pendant plus de 4 heures par jour (OR 3,91, 95 % CI 1,35-11,31 ; P = 0,012) ont été indépendamment associés à des céphalées de novo associées aux EPI. Depuis l'épidémie de Covid-19, 42/46 (91,3 %) des personnes interrogées ayant un diagnostic de céphalée préexistant étaient « d'accord » ou « tout à fait d'accord » pour dire que l'utilisation accrue de l'EPI avait affecté le contrôle de leurs céphalées de fond, ce qui a affecté leur niveau de performance au travail.
Conclusion (Résumé) : La plupart des professionnels de la santé développent de novo des maux de tête associés aux EPI ou une exacerbation de leurs troubles préexistants de maux de tête. 12 13 14
RépondreSupprimer4 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Au total, 400 prestataires de soins de santé ont rempli le questionnaire, dont 383 remplissaient les critères d'inclusion [Italie]. La majorité d'entre eux étaient des médecins, avec un âge moyen de 33,4 ± 9,2 ans. Parmi les 166/383 sujets, qui n'avaient pas de maux de tête au départ, 44 (26,5 %) ont développé des maux de tête de novo. En outre, 217/383 ont déclaré avoir déjà reçu un diagnostic de céphalée primaire : 137 étaient atteints de migraine et 80 souffraient de céphalées de type tension. Une proportion (31,3 %) de ces céphalées primaires ont vu leur céphalée préexistante s'aggraver, principalement en ce qui concerne la fréquence des migraines et la durée moyenne des crises.
Conclusions (Résumé) : Nos données ont montré l'apparition de céphalées associées de novo à un masque facial chez des sujets n'ayant jamais eu de céphalées et une exacerbation des céphalées primaires préexistantes, principalement chez les personnes souffrant de migraines. 15
5 — ➤➤ Conclusion (Résumé) : L'utilisation accrue des EPI, en particulier des masques filtrants lors de l'épidémie de Covid-19, est responsable de la génération de maux de tête chez les professionnels de la santé en première ligne (62 %), soit de novo (33 %), soit comme une aggravation d'un problème préexistant (29 %). Ce sont les conditions de travail qui ont le plus d'impact sur la génération de ce type de maux de tête, plus que toute comorbidité préexistante. [...] 16
6 — ➤➤ Résultats (Résumé) : (315 participants, Turquie) [...] Le taux de nouveaux symptômes était de 66 % (n=208). Le symptôme le plus fréquent était le mal de tête (n=115, 36,5 %), suivi par les difficultés respiratoires - palpitations (n=79, 25,1 %) et la dermatite (n=64, 20,3 %). L'utilisation prolongée d'EPI, le tabagisme et le surpoids ont été associés indépendamment à l'apparition de nouveaux symptômes. Une nette majorité de participants symptomatiques ont souligné l'impact sur les performances professionnelles (193/208, 92,7 %). 17
7 — ➤➤ Résultats (Résumé) : Les sujets sont n=306, 244 femmes (79,7 %), avec une moyenne d'âge de 43 ans (fourchette 23-65) [Espagne]. Sur le total, 129 (42,2 %) étaient des médecins, 112 (36,6 %) des infirmières et 65 (21,2 %) d'autres agents de la santé. 208 (79,7 %) utilisaient des masques chirurgicaux et 53 (20,3 %) des masques filtrants. Sur l'ensemble des personnes interrogées, 158 (51,6 %) présentaient un mal de tête « de novo ». L'apparition d'un mal de tête était indépendamment associée à l'utilisation d'un masque filtrant, RC 2,14 (IC 95 % 1,07 à 4,32) ; au fait d'être infirmière, RC 2,09 (IC 95 % 1,18 à 3,72) ou un autre professionnel de la santé, RC 6,94 (IC 95 % 3,01 à 16,04) ; ou à des antécédents d'asthme, RC 0,29 (IC 95 % 0,09 à 0,89). Selon le type de masque utilisé, il y avait des différences dans l'intensité des maux de tête, et l'impact d'un mal de tête chez les sujets ayant utilisé un masque filtrant était pire dans tous les aspects évalués.
Conclusion (Résumé) : L'apparition de maux de tête « de novo » est associée à l'utilisation de masques filtrants et elle est plus fréquente chez certains professionnels de la santé, entraînant un impact professionnel, familial, personnel et social plus important. 18
RépondreSupprimer8 — ➤➤ Résultats : [...] Sur 241 [Pakistan], 68 participants (28,2 %) ont déclaré des maux de tête de novo depuis le début de la pandémie, la majorité d'entre eux décrivant le mal de tête comme bilatéral dans sa localisation (n = 47, 69 %), avec une pression/lourdeur dans sa qualité (n = 31, 45,5 %) et d'intensité modérée (n = 45, 66 %). [...] Sur les 68 participants souffrant de maux de tête d'apparition récente, 16 (23,5 %) ont déclaré que le mal de tête avait commencé plus de 2 heures après avoir mis l'EPI, tandis que 19 (27,9 %) ont déclaré que le mal de tête s'était terminé entre 1 et 2 heures après avoir enlevé l'EPI. Cinquante-trois répondants (77,9 %) ont eu des maux de tête pendant 4 jours ou moins par mois. [...] 19
9 — ➤➤ [...] Plusieurs dermatoses [défauts ou lésions cutanées] ont été signalées en raison de l'utilisation d'EPI, comme les escarres, les dermatites de contact, l'urticaire de pression et l'exacerbation de maladies cutanées préexistantes, y compris la dermatite séborrhéique et l'acné (2 références). Du 24 mars 2020 au 16 avril 2020, nous avons rencontré 43 patients comprenant des médecins, des infirmières et du personnel paramédical qui ont participé (directement/indirectement) à la gestion des patients atteint du Covid-19 [Inde]. [...] Les dermatoses les plus fréquentes étaient les dermatites de contact irritant (DCI ; 39,5%), suivies des dermatites de friction (25,5%). Les lunettes de protection étaient l'agent responsable le plus fréquent parmi tous les EPI à l'origine de l'une des dermatoses (51,92 %), suivies des masques N95 (30,77 %) et des écrans faciaux (17,31 %). Le pont nasal (63 %) est le site anatomique le plus souvent touché par les dermatoses, suivi par les joues et le menton (26 %).
Cependant, on a constaté un chevauchement considérable des différentes dermatoses avec l'atteinte de plusieurs sites. Le symptôme le plus fréquent rencontré par les patients était le prurit (67,44 %), tandis que l'érythème (53,49 %) était le signe le plus fréquent observé. Il est intéressant de noter que nous avons observé deux dermatoses distinctes, à savoir l'érythème du visage entier (suffocation ; 21 %) attribué au déshabillage après un long quart de travail et la dermatite due au léchage constant des lèvres, en raison de la sensation de soif intense due à la restriction de l'apport en liquide après avoir revêtu un EPI. La durée du port des lunettes et du masque, la transpiration excessive et les masques mal ajustés ont tous été associés à une sensation d'irritation accrue. La plupart de ces dermatoses ont bien répondu à l'hydratant topique, à la lotion de calamine et aux antihistaminiques oraux. Dans l'ensemble, 21 % des patients ont souffert d'un absentéisme au travail dû à l'une de ces dermatoses. Les dermatoses induites par les équipements de protection individuelle sont principalement dues à l'effet d'occlusion et d'hyper-hydratation des EPI et à la rupture de l'intégrité épidermique due aux frottements (réf.) Récemment, en Chine, des auteurs ont noté une très forte prévalence, à savoir 97 % des lésions cutanées pour les porteurs d'EPI qui sont en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 (réf.). 20
Impacts physiologiques des masques faciaux chez les adultes en bonne santé
RépondreSupprimerOutre l'accent mis sur les professionnels de la santé, un nombre important d'études récentes s'accumulent sur les préjudices subis par les nourrissons et les écoliers (décrits ci-dessous). Des études sur les effets physiologiques mesurés des masques faciaux chez les adultes en bonne santé commencent également à être menées. En 2005, Li et al. ont fait état des températures de type microclimats et d'humidité des masques faciaux ; et apparemment, les premières mesures physiologiques sur des adultes masqués en bonne santé ont été rapportées en 2020 par Fikenzer et al :
1 — ➤➤ Discussion (Résumé) : Nous discutons de la manière dont le N95 et les masques faciaux chirurgicaux induisent des différences significatives de température de type microclimats et d'humidité dans les masques, qui ont des influences profondes sur la fréquence cardiaque et le stress thermique et la perception subjective de l'inconfort. 21
2 — ➤➤ Discussion : Cette première étude croisée randomisée évaluant les effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d'exercice cardiopulmonaire donne des résultats clairs. Les deux masques ont un impact négatif marqué sur les paramètres d'exercice tels que la puissance maximale de sortie (Pmax) et l'absorption maximale d'oxygène (VO2max/kg). Les masques FFP2/N95 présentent des effets négatifs plus prononcés que les masques chirurgicaux. Les deux masques réduisent considérablement les paramètres pulmonaires au repos (CVF, VEMS, DEP) et à la charge maximale (VE, BF, TV). [...]
Fonction pulmonaire : [...] Les données de cette étude sont obtenues chez de jeunes volontaires en bonne santé, la déficience est susceptible d'être sensiblement plus importante, par exemple chez les patients atteints de maladies pulmonaires obstructives (réf). D'après nos données, nous concluons que le port d'un masque médical a un impact significatif sur les paramètres pulmonaires, tant au repos que pendant l'exercice maximal, chez des adultes en bonne santé.
Fonction cardiaque : [...] Ces données suggèrent une compensation myocardique [relative au tissu musculaire du cœur] pour la limitation pulmonaire chez les volontaires en bonne santé. Chez les patients dont la fonction myocardique est altérée, cette compensation peut ne pas être possible. 22
Les dommages psychologiques dans la population générale
Un domaine de recherche qui, dans l'examen des méfaits des masques, semble totalement absent est le large impact psychologique (et donc social) des politiques de port du masque obligatoire appliquées à la population en général.
La connaissance actuelle des besoins psychologiques fondamentaux de l'individu qui déterminent son bien-être est exprimée dans la théorie moderne connue sous le nom de « théorie de l'autodétermination » (TAD), qui est également la base scientifique de la motivation personnelle :
« La théorie de l'autodétermination » (TAD) propose que certains besoins psychologiques évolués doivent être satisfaits pour que les individus puissent se développer au maximum de leur potentiel, de la même manière que les plantes ont besoin de nutriments clés pour prospérer (refs). La TAD pose trois besoins universels : l'autonomie, la compétence et la relation.
L'autonomie implique le besoin de faire l'expérience de son comportement comme étant librement choisi et volontaire, plutôt qu'imposé par des forces extérieures ;
RépondreSupprimerLa compétence implique le besoin de se sentir capable et efficace dans ses actions ;
La relation implique le besoin d'appartenance, d'intimité et de connexion avec les autres.
Les théoriciens de la TAD considèrent ces besoins comme des tendances motivationnelles générales qui s'étendent à tous les domaines de la vie et affirment que la satisfaction de ces trois besoins, et non pas seulement d'un ou deux, est essentielle au bien-être. Bien que l'expression ou les moyens de satisfaire ces besoins puissent varier selon les cultures, leur satisfaction est considérée comme essentielle pour le bien-être dans toutes les cultures. » 23
Il ne fait guère de doute que le port du masque obligatoire de la population en général risque fort de détériorer les trois besoins psychologiques fondamentaux de l'individu : l'autonomie, la compétence et la relation. Ce préjudice pour les individus et les implications sociétales n'ont pas été étudiés. L'impact peut être gargantuesque.
Jusqu'à présent, seuls les nourrissons et les écoliers ont été pris en compte dans la perspective de l'impact psychologique et développemental (comme décrit ci-dessous).
Le commentaire du 11 août 2020 de Scheid et al. n'est pas utile, car il néglige à tort les impacts physiologiques et examine la psychologie uniquement sous l'angle de la conformité au masque. 24
Nourrissons et écoliers
Pour savoir si un monde d'adultes et d'enfants masqués, à une période cruciale de la vie d'un bébé ou d'un enfant, peut avoir des effets psychologiques et de développement préjudiciables à long terme, je soumets ci-dessous une séquence hiérarchique d'expériences de réflexion qui pourrait s'avérer utile :
Les bébés et les enfants entièrement élevés par des robots mécaniques seraient-ils affectés négativement ?
Les bébés et les enfants entièrement élevés par des adultes masqués, et eux-mêmes forcés d'être masqués au-delà de l'âge de deux ans, seraient-ils affectés négativement ?
Quelles périodes, durées et circonstances du port du masque, d'éloignement et de protection pourraient avoir des conséquences négatives à long terme sur le plan psychologique ou du développement ?
Étant donné l'impact important connu des mesures gouvernementales sur les écoliers du monde entier (voir ci-dessous), il devrait être préoccupant pour nous tous qu'apparemment la première analyse scientifique à prendre en compte l'analyse des risques et des bénéfices pour les écoliers ait été publiée en août 2020. Le 6 août 2020, M. Spitzer a soumis plusieurs propositions centrales :
➤➤ Résumé : [...] couvrir la moitié inférieure du visage réduit la capacité à communiquer, à interpréter et à imiter les expressions de ceux avec qui nous interagissons. Les émotions positives deviennent moins reconnaissables, et les émotions négatives sont amplifiées. Le mimétisme émotionnel, la contagion et l'émotivité en général sont réduits et (par conséquent) les liens entre les enseignants et les apprenants, la cohésion du groupe et l'apprentissage - dont les émotions sont un moteur majeur.
RépondreSupprimer1. Introduction : [...] parallèlement à d'autres mesures d'éloignement physique et de confinement économique, des fermetures d'écoles ont été mises en œuvre en mars 2020, touchant plus de 1,5 milliard d'élèves (enfants et adolescents) dans le monde entier (réf). Ces fermetures d'écoles ont duré de quelques semaines seulement (comme au Danemark) à plusieurs mois (en Italie et dans de nombreux autres pays ; (réf.)) et ont entraîné une diminution marquée des apports en matière d'éducation (réf.), de la faim (parce que les repas scolaires n'étaient plus servis), une augmentation des abus envers les enfants (parce que les enfants n'étaient plus surveillés par le personnel scolaire) et, en général, le risque de « compromettre les chances de réussite dans la vie de toute une génération de jeunes » (réf.) (en raison du fardeau psychologique, physiologique, éducatif et même économique à long terme (réf.), que les sociétés font peser sur leurs membres les plus vulnérables ; (réf.)) .
[...] le port de masques peut avoir des effets secondaires physiques ;
Les masques faciaux nuisent à la reconnaissance et à l'identification des visages ;
Les masques faciaux nuisent à la communication verbale et non verbale ;
Les masques faciaux bloquent les signaux émotionnels entre l'enseignant et l'apprenant.
Compte tenu de ces avantages et de ces inconvénients, il n'est pas certain qu'en cette période de pandémie virale les masques faciaux jouent un rôle majeur dans les établissements scolaires. [...] Cette question doit être examinée d'urgence, car elle touche directement plus de 1,5 milliard d'élèves, d'enseignants et de personnel scolaire dans le monde, et indirectement leurs familles.
6. Les masques faciaux bloquent les signaux émotionnels entre les enseignants et les élèves : [...] En résumé, la reconnaissance et la réaction aux manifestations émotionnelles extérieures des visages de ses pairs est un élément essentiel et nécessaire de l'interaction sociale dans les écoles. Elle aide les élèves et les enseignants à modifier leur comportement afin de s'aligner sur les normes de communication sociale et de comportement. Lorsque ces manifestations émotionnelles sont inhibées par des masques faciaux, notre capacité à communiquer efficacement les uns avec les autres est réduite et nous nous retrouvons principalement à imiter des émotions négatives (froncement de sourcils). Tout cela se produit principalement en dehors de la conscience, et il est donc difficile de le contrôler consciemment ou même de le corriger. Comme les émotions sont un moteur important de la cohésion du groupe, la diminution de l'émotivité, et en particulier de l'émotivité positive, peut interférer avec le bon déroulement des activités en classe. Étant donné que le processus même d'apprentissage est facilité par les émotions (c'est leur principale raison d'être), les masques faciaux sont susceptibles de provoquer une certaine interférence avec la pédagogie. 25
Plus tard encore, deux études ont mis en évidence la probabilité que les bébés soient gravement touchés par les pratiques générales de port du masque. En particulier, l'étude de Green et al. du 22 septembre 2020 nous a alerté sur « les effets négatifs potentiels des masques sur le développement à long terme liés à l'attachement et aux liens humains » :
RépondreSupprimer➤➤ Résumé : [...] Dans le cadre néonatal, le Covid-19 a changé la manière dont les nouveau-nés sont soignés en raison de l'introduction de la distanciation sociale et du port de masques faciaux pour limiter la propagation de l'infection. Il existe des implications potentielles liées au développement normal des liens et des connexions avec les autres. Cet article traite de l'importance des interactions face à face pour l'attachement précoce entre les bébés et les parents dans le contexte du concept fondamental du développement psychomoteur [de l'enfant]. [...] 26
De même, le 11 février 2021, Lewkowicz a fait remarquer ce qui suit à propos de l'acquisition du langage par les bébés :
➤➤ [...] la pandémie de Covid-19 a mis à nu notre besoin fondamental de voir des visages entiers. Se pourrait-il que les bébés et les jeunes enfants, qui doivent apprendre la signification de la myriade de signaux communicatifs normalement disponibles sur les visages de leurs partenaires sociaux, soient particulièrement vulnérables à leur déformation sur des visages partiellement visibles ? [...] dans mon laboratoire [...] Nous avons découvert que les bébés commencent à lire sur les lèvres vers l'âge de 8 mois. [...] Il est essentiel de noter qu'une fois que la lecture labiale apparaît en bas âge, elle devient le mode de traitement de la parole par défaut lorsque la compréhension est difficile. [...]
Dans l'ensemble, les recherches menées à ce jour démontrent que les articulations visibles que les bébés voient normalement lorsque les autres parlent, jouent un rôle clé dans l'acquisition de leurs compétences en matière de communication. Les recherches montrent également que les bébés qui lisent davantage sur les lèvres ont de meilleures compétences linguistiques lorsqu'ils sont plus âgés. Si tel est le cas, cela suggère que les masques entravent probablement l'acquisition de la parole et du langage par les bébés. 27
Le 20 août 2020, Karvounides et al. ont soutenu que le port du masque est un déclencheur potentiel pour les jeunes souffrant de migraines chroniques :
➤➤ De nombreux déclencheurs courants tels que la déshydratation, le jeûne, les problèmes de sommeil et les facteurs de stress ont été abordés ci-dessus. Ici, nous mettons en évidence l'utilisation d'un écran [d'ordinateur] et le port d'un masque comme déclencheurs potentiels supplémentaires liés à l'école. [...] La pression créée par le masque ou ses courroies contre divers points de contact sur le visage ou le cuir chevelu pourrait déclencher des maux de tête. 28
RépondreSupprimerL'idée d'un masque est de respirer à travers le matériau et de ne pas avoir de grands interstices avec la peau. Cela implique des bandes de fixation et un ajustement serré, ce qui engendre une pression sur la tête, les oreilles, le nez et le visage. Les points de pression provoquent à leur tour un inconfort, à tout le moins, qui est aggravé par une longue durée et des effets micro-environnementaux, psychologiques et physiologiques. Supprimer la pression ou découvrir la bouche et du nez va à l'encontre de l'objectif du masque, car on pense que les masques permettent d'empêcher la transmission du virus. Et il y a toujours des effets négatifs imprévus, comme par exemple celle qui provoque une protrusion permanente des oreilles :
➤➤ Résumé : [...] Parmi ceux qui existent sur le marché, les masques chirurgicaux à boucles élastiques sont ceux que les parents choisissent le plus pour leurs enfants. Ces élastiques provoquent une compression constante sur la peau et, par conséquent, sur le cartilage du pavillon de l'oreille, ce qui entraîne des lésions érythémateuses et douloureuses de la peau rétro-auriculaire lorsque les masques sont utilisés pendant de nombreuses heures par jour. Les enfants pré-adolescents ont un cartilage auriculaire peu développé et moins résistant à la déformation ; une pression prolongée des boucles élastiques du masque au niveau du creux ou, pire encore, au niveau de l'anthélix peut influencer la croissance et l'angulation correctes de l'oreille externe. En fait, contrairement à l'utilisation de méthodes conservatrices pour le traitement des oreilles décollées, cette pression prolongée peut augmenter l'angle céphalo-auriculaire du pavillon de l'oreille externe. Il est important que les autorités qui fournissent les masques soient conscientes de ce risque potentiel et que des solutions alternatives soient trouvées [...] 29
Mais surtout, alors que la plupart des professionnels de la santé publique et des chercheurs en santé répugnent à se lancer dans une analyse objective des risques et des bénéfices, les parents allemands ont répondu à l'appel d'un récent groupe de recherche pour fournir des observations sur les masques des enfants. Le 18 décembre 2020, Schwarz et al. ont fait état de résultats frappants. Voici le résumé complet (v2) de leur préimpression :
➤➤ Abstract
RépondreSupprimerContexte : Les récits sur les plaintes d'enfants et d'adolescents causées par le port d'un masque s'accumulent. Il n'existe, à ce jour, aucun registre des effets secondaires des masques.
Méthodes : L'université de Witten/Herdecke a mis en place un registre en ligne où les parents, les médecins, les pédagogues et d'autres personnes peuvent inscrire leurs observations. Le 20.10.2020, 363 médecins ont été invités à y inscrire leurs observations et à informer les parents et les enseignants de l'existence de ce registre.
Résultats : Au 26.10.2020, le registre avait été utilisé par 20 353 personnes. Dans cette publication, nous présentons les résultats des parents, qui ont saisi des données sur un total de 25 930 enfants. La durée moyenne de port du masque était de 270 minutes par jour. Les déficiences causées par le port du masque ont été signalées par 68 % des parents. Il s'agissait notamment d'irritabilité (60 %), de maux de tête (53 %), de difficultés de concentration (50 %), d'un sentiment de joie amoindri (49 %), de réticence à aller à l'école/au jardin d'enfants (44 %), de malaise (42 %), de difficultés d'apprentissage (38 %) et de somnolence ou de fatigue (37 %).
Discussion : Ce premier registre au monde permettant d'enregistrer les effets du port de masques chez les enfants est consacré à une nouvelle proposition de recherche. Les préjugés concernant la documentation préférentielle des enfants qui sont particulièrement touchés ou qui critiquent fondamentalement les mesures de protection ne peuvent être écartés. La fréquence d'utilisation du registre et le spectre des symptômes enregistrés indiquent l'importance du sujet et appellent à des enquêtes représentatives, des essais contrôlés randomisés avec différents masques et une nouvelle évaluation des risques et des avantages pour le groupe vulnérable des enfants : les adultes doivent réfléchir collectivement aux circonstances dans lesquelles ils seraient prêts à prendre un risque résiduel pour eux-mêmes afin de permettre aux enfants d'avoir une meilleure qualité de vie sans avoir à porter un masque. 30
Infections microbiennes pathogènes dues aux masques
Enfin, en ce qui concerne les dangers potentiels des masques, un aspect notoirement sous-étudié est l'impact potentiel sur la santé des populations et des individus par le développement de bactéries et autres agents pathogènes sur les masques en tissu chaud et humide 31 32 33. Matuschek et al. l'ont brièvement rapporté de cette manière, sans référence ni démonstration :
➤➤ Si les masques ne sont pas changés régulièrement (ou bien lavés correctement lorsqu'ils sont en tissu), les agents pathogènes peuvent s'accumuler dans le masque. En cas de mauvaise utilisation, le risque de propagation de l'agent pathogène - y compris le Sras-CoV-2 - peut être considérablement augmenté. (p. 5) 34
RépondreSupprimerEn novembre 2020, Borovoy et ses collaborateurs ont publié une étude approfondie des connaissances biologiques et médicales qui leur a permis de déduire que le port du masque, par le biais des défis microbiens qu'il impose, peut avoir des effets néfastes importants. Ils soulignent à juste titre le rôle connu mais sous-estimé des bactéries dans les pandémies virales, et passent également en revue les maladies respiratoires dues aux bactéries buccales, qui peuvent être amenées par le port du masque à pénétrer et à infecter les voies respiratoires et les poumons. 35
Denis G. Rancourt
Chercheur, Association des libertés civiles de l'Ontario
L'auteur présente ci dessous ses compétences pour examiner les données scientifiques sur le Covid-19
Je suis retraité et ancien professeur titulaire de physique à l'université d'Ottawa. Le poste de professeur titulaire est le plus haut grade universitaire. Au cours de mes 23 ans de carrière en tant que professeur d'université, j'ai développé de nouveaux cours et j'ai enseigné à plus de 2 000 étudiants universitaires, à tous les niveaux, et dans trois facultés différentes (sciences, ingénierie, arts). J'ai supervisé plus de 80 stages de recherche ou diplômes à tous les niveaux, du post-doctorant aux étudiants de troisième cycle en passant par les chercheurs de premier cycle du CRSNG. J'ai dirigé un laboratoire de recherche interdisciplinaire de renommée internationale, et j'ai attiré d'importants fonds de recherche pendant deux décennies.
J'ai été invité une quarantaine de fois à participer à des conférences scientifiques majeures, que ce soit en séance plénière, en tant que conférencier principal ou en session spéciale. J'ai publié plus de 100 articles de recherche dans des revues scientifiques de premier plan évaluées par des pairs, dans les domaines de la physique, de la chimie, de la géologie, de la bio-géochimie, de la science des mesures, de la science du sol et de la science environnementale.
Mon facteur d'impact de l'indice H scientifique est de 40, et mes articles ont été cités plus de 5 000 fois dans des revues scientifiques à comité de lecture (profil sur Google Scholar).
Mes connaissances personnelles et ma capacité à évaluer les faits présentés dans cet article sont fondées sur mon éducation, ma recherche, ma formation et mon expérience, comme suit :
En ce qui concerne les nanoparticules environnementales. Les maladies respiratoires virales sont transmises par la plus petite fraction de taille des particules d'aérosols chargées de virions, qui sont des nanoparticules environnementales réactives. Par conséquent, les stabilités chimiques et physiques et les propriétés de transport de ces particules d'aérosol sont à la base du mécanisme dominant de contagion par l'air. Mes travaux approfondis sur les nanoparticules environnementales réactives sont reconnus au niveau international et portent sur les aspects suivants : précipitation et croissance, réactivité de surface, agglomération, charge de surface, transformation de phase, décantation et sédimentation, et dissolution réactive. En outre, j'ai enseigné la dynamique des fluides (l'air est un fluide compressible) et la sédimentation gravitationnelle au niveau universitaire, et j'ai effectué des recherches sur les applications industrielles de la technologie de filtration (les masques faciaux sont des filtres).
RépondreSupprimerEn ce qui concerne la science moléculaire, la dynamique moléculaire et la complexation de surface. Je suis un expert en structures, réactions et dynamiques moléculaires, y compris la complexation moléculaire des surfaces biotiques et abiotiques. Ces processus sont à la base de la fixation des virus, de la fixation des antigènes, de la réplication moléculaire, de la fixation aux fibres des masques, de la charge des particules, de la perte et de la croissance des particules d'aérosol, et de tous ces phénomènes impliqués dans la transmission et l'infection virale, et dans les mesures de protection. J'ai enseigné pendant de nombreuses années la mécanique quantique au niveau universitaire avancé, qui est la théorie fondamentale des atomes, des molécules et des substances ; et dans mes recherches publiées, j'ai développé la théorie et la méthodologie de la diffraction des rayons X pour la caractérisation des petites particules de matériaux.
En ce qui concerne les méthodes d'analyse statistique. L'analyse statistique des études scientifiques, y compris l'analyse robuste de la propagation des erreurs et les estimations robustes des biais, fixe la limite de ce qui peut être déduit de manière fiable de toute étude d'observation, y compris les essais contrôlés randomisés en médecine, et y compris les mesures sur le terrain pendant les épidémies. Je suis un expert en analyse d'erreurs et en analyse statistique de données complexes, au niveau de la recherche dans de nombreux domaines scientifiques. Les méthodes d'analyse statistique sont à la base de la recherche médicale.
En ce qui concerne la modélisation mathématique. Une grande partie de l'épidémiologie est basée sur des modèles mathématiques de transmission et d'évolution des maladies dans la population. J'ai des connaissances et une expérience au niveau de la recherche en matière de modèles mathématiques prédictifs et exploratoires et de méthodes de simulation. J'ai des connaissances d'expert liées aux incertitudes des paramètres et aux dépendances des paramètres dans ces modèles. J'ai réalisé des simulations approfondies de la dynamique épidémiologique, en utilisant des modèles compartimentaux standard (SIR, MSIR) et de nouveaux modèles.
En ce qui concerne les méthodes de mesure. En science, il existe cinq grandes catégories de méthodes de mesure :
RépondreSupprimer(1) la spectroscopie (y compris la spectroscopie nucléaire, électronique et vibratoire),
(2) l'imagerie (y compris la microscopie optique et électronique, et l'imagerie par résonance),
(3) la diffraction (y compris la diffraction des rayons X et des neutrons, utilisée pour élaborer des structures moléculaires, des défauts et des structures magnétiques),
(4) les mesures de transport (y compris les taux de réaction, les transferts d'énergie et les conductivités), et
(5) les mesures des propriétés physiques (y compris la densité spécifique, les capacités thermiques, la réponse aux contraintes, la fatigue des matériaux...). J'ai enseigné ces méthodes de mesure dans un cours interdisciplinaire de troisième cycle que j'ai développé et donné à des étudiants de troisième cycle (M.Sc. et Ph.D.) en physique, biologie, chimie, géologie et ingénierie pendant de nombreuses années. J'ai fait des découvertes et des progrès fondamentaux dans les domaines de la spectroscopie, de la diffraction, de la magnétométrie et de la microscopie, qui ont été publiés dans des revues scientifiques de premier plan et présentés lors de conférences internationales. Je connais la science des mesures, la base de toutes les sciences, au plus haut niveau.
Notes
1 - 2020-Hickey et Rancourt : « Lettre du 21 juin 2020 au directeur exécutif de l'OMS. OBJET : L'OMS conseille l'utilisation de masques dans la population générale pour prévenir la transmission de COVID-19 ». Hickey, J et Rancourt DG. Association des libertés civiles de l'Ontario (21 juin 2020). http://ocla.ca/ocla-letter-who, Saker Francophone
2 - 2020-Lazzarino : « Réponse rapide : Covid-19 : importants effets secondaires potentiels du port de masques chirurgicaux que nous devrions garder à l'esprit ». Antonio Lazzarino, A Steptoe, M Hamer, S Michie. 20 avril 2020. BMJ. https://www.bmj.com/content/369/bmj.m1435/rr-40
3 - 2020-Frountzas : M. Frountzas, C. Nikolaou, D. Schizas et autres, « Équipement de protection individuelle contre le Covid-19 : Vital pour les chirurgiens, nocif pour les patients », The American Journal of Surgery. 13 août 2020. https://doi.org/10.1016/j.amjsurg.2020.09.014
4 - 2021-Vainshelboim : Vainshelboim B. « Les masques à l'ère du Covid-19 : Une hypothèse de santé ». Hypothèses médicales. 2021;146:110411. doi:10.1016/j.mehy.2020.110411 - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7680614
5 - 2020-Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour du Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 000 de lectures, puis a été déplateformé, selon ce rapport : https://archive.org/details/covid-censorship-at-research-gate-2 . Maintenant à : https://vixra.org/abs/2006.0044, et à : https://www.rcreader.com/commentary/masks-dont-work-covid-a-review-of-science-relevant-to-covide-19-social-policy. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l'article : « Digi Debates ; The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, https://youtu.be/AQyLFdoeUNk, et à l'adresse suivante : https://www.digi-debates.com
6 - 2020-Rancourt : « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges, et fonctionnaires de la santé publique : Un ensemble croissant de preuves ». ResearchGate (3 août 2020). DOI : 10.13140/RG.2.2.25042.58569 - https://www.researchgate.net/publication/343399832_Face_masks_lies_damn_lies_and_public_health_officials_A_growing_body_of_evidence
RépondreSupprimer7 - 2020-Rancourt : « Les mesures n'empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n'apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux : Révision et mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique du Covid-19 ». Rancourt, DG (28 décembre 2020). Republié, PANDA (3 janvier 2021). https://www.pandata.org/science-review-denis-rancourt, Saker Francophone
8 - 2020-Bakhit : « Les inconvénients des masques faciaux et les stratégies d'atténuation possibles : une étude systématique et une méta-analyse ». Mina Bakhit, Natalia Krzyzaniak, Anna Mae Scott, Justin Clark, Paul Glasziou, Chris Del Mar. medRxiv 2020.06.16.20133207 ; doi : https://doi.org/10.1101/2020.06.16.20133207. Maintenant accepté pour publication dans BMJ Open. — - https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.06.16.20133207v1
9 - 2021-Galanis : Galanis P, Vraka I, Fragkou D, Bilali A, Kaitelidou D. « Impact de l'utilisation des équipements de protection individuelle sur la santé physique des travailleurs de la santé pendant la pandémie de Covid-19 : une revue systématique et une méta-analyse ». medRxiv ; 2021. DOI: 10.1101/2021.02.03.21251056. — - https://www.medrxiv.org/content/medrxiv/early/2021/02/05/2021.02.03.21251056.full.pdf
10 - 2020-Rosner : Elisheva Rosner E (2020) « Effets indésirables de l'utilisation prolongée des masques chez les professionnels de la santé pendant le Covid-19 ». Journal of Infectious Disease and Epidemiology 6:130. doi.org/10.23937/2474-3658/1510130 — - https://clinmedjournals.org/articles/jide/journal-of-infectious-diseases-and-epidemiology-jide-6-130.php
11 - 2021-Purushothaman : Purushothaman, P.K., Priyangha, E. & Vaidhyswaran, R. « Effets de l'utilisation prolongée de masques sur les travailleurs de la santé dans les hôpitaux de soins tertiaires pendant la pandémie de Covid-19 ». Indian J Otolaryngol Head Neck Surg 73, 59-65 (2021). https://doi.org/10.1007/s12070-020-02124-0
12 - 2020-Ong : Ong JJY, Bharatendu C, Goh Y, Tang JZY, Sooi KWX, Tan YL, Tan BYQ, Teoh HL, Ong ST, Allen DM, Sharma VK. « Maux de tête associés aux équipements de protection individuelle - Une étude transversale parmi les travailleurs de la santé en première ligne pendant le Covid-19 ». Maux de tête : Le journal des maux de tête et des douleurs faciales. 2020 May;60(5):864-877. doi : 10.1111/head.13811. Epub 2020 12 avril. PMID : 32232837. — - https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837
13 -2020-Magnavita (critique de Ong, 2020) : Magnavita, N. et Chirico, F. (2020), « Maux de tête, équipement de protection individuelle et facteurs psychosociaux associés à la pandémie de Covid-19 ». Maux de tête : Le journal des maux de tête et des douleurs faciales, 60 : 1444-1445. https://doi.org/10.1111/head.13882
14 - 2020-Goh (réponse à la critique de Ong, 2020) : Goh Y, Ong JJY, Bharatendu C, Tan BYQ, Sharma VK. « Maux de tête dus aux équipements de protection individuelle pendant la pandémie de COVID-19 : un commentaire ». Maux de tête : Le journal des maux de tête et des douleurs faciales. 2020;60(7):1446-1447. doi:10.1111/head.13879 — - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7323331
RépondreSupprimer15 - 2021-Rapisarda : Rapisarda, L., Trimboli, M., Fortunato, F. et al. « Céphalée avec masque facial : une nouvelle entité nosographique parmi les prestataires de soins de santé à l'ère du Covid-19 ». Sciences neurologiques (2021). https://doi.org/10.1007/s10072-021-05075-8
16 - 2020-Hajjij : Hajjij A, Aasfara J, Khalis M, et al « Équipement de protection individuelle et maux de tête : étude transversale parmi les travailleurs de la santé marocains pendant la pandémie de Covid-19 ». Cureus. 2020 Dec;12(12):e12047. DOI : 10.7759/cureus.12047. — - https://europepmc.org/article/med/33447477
17 - 2020- Çağlar : Çağlar, A., Kaçer, İ, Hacımustafaoğlu, M., Öztürk, B., & Öztürk, K. (2020). « Symptômes associés aux équipements de protection individuelle chez les professionnels de santé de première ligne pendant la pandémie de Covid-19 ». Disaster Medicine and Public Health Preparedness, 1-15. doi:10.1017/dmp.2020.455 — - https://www.cambridge.org/core/journals/disaster-medicine-and-public-health-preparedness/article/symptoms-associated-with-personal-protective-equipment-among-frontline-healthcare-professionals-during-the-covid19-pandemic/FD3DF0B1437D8E4C9C577D09A2295C68
18 - 2020-Ramirez-Moreno : Ramirez-Moreno JM, Ceberino D, Gonzalez Plata A, et al « Max de tête associés aux masques de novo pour les travailleurs de la santé pendant la pandémie de Covid-19 ». Médecine du travail et de l'environnement. Publié en ligne pour la première fois le 30 décembre 2020. doi : 10.1136/oemed-2020-106956 — - https://oem.bmj.com/content/early/2020/12/29/oemed-2020-106956
19 - 2020-Zaheer : Rumeesha Zaheer, Maheen Khan, Ahmed Tanveer, Amal Farooq, Zohaib Khurshid. « Association des équipements de protection individuelle aux maux de tête de novo chez les travailleurs de la santé de première ligne pendant la pandémie de Covid-19 : une étude transversale ». Journal européen d'odontologie. 2020 Dec;14(S 01):S79-S85. doi : 10.1055/s-0040-1721904. Epub 2020 Dec 26. PMID : 33368069 ; PMCID : PMC7775222. — - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7775222
20 - 2020-Singh : Singh, M., Pawar, M., Bothra, A., Maheshwari, A., Dubey, V., Tiwari, A. et Kelati, A. (2020), « Les dermatoses faciales induites par les équipements de protection individuelle chez les travailleurs de la santé prenant en charge des malades du coronavirus 2019 ». Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology, 34 : e378-e380. https://doi.org/10.1111/jdv.16628
21 - 2005-Li : Li Y, Tokura H, Guo YP, et autres « Effets du port du N95 et des masques chirurgicaux sur la fréquence cardiaque, le stress thermique et les sensations subjectives ». Int Arch Occupy Environ Health. 2005;78(6):501-509. doi:10.1007/s00420-004-0584-4 — - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7087880
22 - 2020-Fikenzer : Fikenzer S, Uhe T, Lavall D, Rudolph U, Falz R, Busse M, Hepp P, Laufs U. « Effets des masques chirurgicaux et des masques FFP2/N95 sur la capacité d'exercice cardio-pulmonaire ». Clin Res Cardiol. 2020 Dec;109(12):1522-1530. doi : 10.1007/s00392-020-01704-y. Epub 2020, 6 juillet. PMID : 32632523 ; PMCID : PMC7338098. - https://link.springer.com/article/10.1007/s00392-020-01704-y
RépondreSupprimer23 - 2013-Church : Church AT, Katigbak MS, Locke KD, et al. « Besoin de satisfaction et de bien-être : mise à l'épreuve de la théorie de l'autodétermination dans huit cultures ». Journal of Cross-Cultural Psychology. 2013;44(4):507-534. doi:10.1177/0022022112466590 — - https://www.webpages.uidaho.edu/klocke/publications/2013%20Church%20etal%20JCCP.pdf
24 - (Scheid JL, Lupien SP, Ford GS, West SL. « Commentaire : Impact physiologique et psychologique de l'utilisation des masques pendant la pandémie de Covid-19 ». Int J Environ Res Public Health. 2020 Sep 12;17(18):6655. doi : 10.3390/ijerph17186655. PMID : 32932652 ; PMCID : PMC7558090. — - https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32932652
25 - 2020-Spitzer : Spitzer M. « Une éducation masquée ? Les avantages et les inconvénients du port du masque dans les écoles pendant l'actuelle pandémie de Corona ». Tendances en neurosciences et en éducation. 2020;20:100138. doi:10.1016/j.tine.2020.100138 — - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7417296
26 - 2021-Vert : Green, Janet et al. « Les implications des masques faciaux pour les bébés et les familles pendant la pandémie de Covid-19 : un document de travail ». Journal of neonatal nursing : JNN vol. 27,1 (2021) : 21-25. doi:10.1016/j.jnn.2020.10.005 - https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7598570
27 - 2021-Lewkowicz : « Les masques peuvent être préjudiciables au développement de la parole et du langage des bébés ». David J. Lewkowic. Scientific american. Cognage, Opinion. 11 février 2021. — - https://www.scientificamerican.com/article/masks-can-be-detrimental-to-babies-speech-and-language-development
28 - 2021-Karvounides : Karvounides, D., Marzouk, M., Ross, A.C., VanderPluym, J.H., Pettet, C., Ladak, A., Ziplow, J., Patterson Gentile, C., Turner, S., Anto, M., Barmherzig, R., Chadehumbe, M., Kalkbrenner, J., Malavolta, C.P., Clementi, M.A., Gerson, T. et Szperka, C.L. (2021), « L'intersection du Covid-19, de l'école et des maux de tête : Problèmes et solutions ». Maux de tête : Le journal des maux de tête et des douleurs faciales, 61 : 190-201. https://doi.org/10.1111/head.14038
29 - 2020-Zanotti : Zanotti, B., Parodi, P.C., Riccio, M. et al. « L'élasticité des masques chirurgicaux peut-elle stimuler la saillie des oreilles chez les enfants » - Aesth Plast Surg 44, 1947-1950 (2020). https://doi.org/10.1007/s00266-020-01833-9 - https://link.springer.com/article/10.1007/s00266-020-01833-9
30 - 2021-Schwarz : Silke Schwarz, Ekkehart Jenetzky, Hanno Krafft, Tobias Maurer, David Martin. « Les enfants de Corona étudient le « Co-Ki » : Premiers résultats d'un registre allemand sur la couverture de la bouche et du nez (masque) chez les enfants ». 18 décembre 2020. DOI : 10.21203/rs.3.rs-124394/v1 - https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v1 — - v2 (5 janvier 2021) : https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v2
RépondreSupprimer31 - 2020-Hickey et Rancourt : « Lettre du 21 juin 2020 au directeur exécutif de l'OMS. OBJET : L'OMS conseille l'utilisation de masques dans la population générale pour prévenir la transmission de COVID-19 ». Hickey, J et Rancourt DG. Association des libertés civiles de l'Ontario (21 juin 2020). http://ocla.ca/ocla-letter-who
32 - 2020-Rancourt : « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la Covid-19 ». Rancourt, DG (11 avril 2020) ResearchGate, a obtenu 400 K de lectures, puis a été déplateformé, selon ce rapport : https://archive.org/details/covid-censorship-at-research-gate-2 . Maintenant à : https://vixra.org/abs/2006.0044, et à : https://www.rcreader.com/commentary/masks-dont-work-covid-a-review-of-science-relevant-to-covide-19-social-policy. Et voir les Digi-Debates sur les critiques de l'article : « Digi Debates ; The Face Mask Debate », Digi Debates YouTube Channel, 25 juillet 2020, https://youtu.be/AQyLFdoeUNk, et à l'adresse suivante : https://www.digi-debates.com
33 - 2020-Rancourt : « Les mesures n'empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n'apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux : Révision et mise à jour des données scientifiques récentes concernant la politique de la COVID-19 ». Rancourt, DG (28 décembre 2020). Republié, PANDA (3 janvier 2021). https://www.pandata.org/science-review-denis-rancourt
34 - 2020-Matuschek : Matuschek, C., Moll, F., Fangerau, H. et al. « Masques faciaux : avantages et risques pendant la crise de Covid-19 ». European Journal of Medical Research 25, 32 (2020). https://doi.org/10.1186/s40001-020-00430-5
35 - 2020-Borovoy : Boris Borovoy, Colleen Huber, Maria Crisler. « Masques, fausse sécurité et dangers réels, Partie 2 : Défis microbiens des masques ». Primary Doctor Medical Journal. Novembre 2020. - https://pdmj.org
Source de l'article publié initialement en anglais le 22 février 2021 : ResearchGate
Traduction : Hervé pour Le Saker Francophone — Corrections : Sott.net
https://fr.sott.net/article/36766-Analyse-des-etudes-scientifiques-sur-les-mefaits-causes-par-les-masques-faciaux-dans-la-population-generale-y-compris-chez-les-enfants
APRES LES 'VACCINS'
RépondreSupprimerL'OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n'a aucune base scientifique
Michel Chossudovsky
Mondialisation.ca
lun., 22 mar. 2021 11:14 UTC
Le test du polymérase de transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) fut appliqué par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en date du 23 janvier 2020 afin de détecter le virus SARS-COV-2, suivant les recommandations d'un groupe de recherche en virologie (basé à l'hôpital universitaire Charité de Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l'étude Drosten ) Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l'OMS se rétracte. Ils ne disent pas «Nous avons fait une erreur». La rétraction est soigneusement formulée.
Alors que l'OMS ne nie pas la validité de ses « directives trompeuses » en date de janvier 2020, elle suggère néanmoins de « Retester », ce qui dans la pratique est une impossibilité. La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d'amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :
Le nombre de cycles d'amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détecte uniquement les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire... (en anglais, Critique de l'étude Drosten )
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) admet implicitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d'amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c'est ce qu'ils ont recommandé au point de départ en janvier 2020, en liaison avec l'équipe de virologie de l'hôpital Charité de Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui fut recommandé par l'OMS), les segments du virus SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant «cas positifs» confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois sont erronés (n'ont aucune validité du point de vue scientifique ).
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct> 35 a été la norme «dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis».
Vous trouverez ci-dessous la «rétractation» soigneusement formulée par l'OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe:
Le document d'orientation de l'OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d'amplification des acides nucléiques identique ou différente.
L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d'une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu'une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. (emphase ajoutée par l'auteur).
Estimations Erronées
RépondreSupprimerCe n'est pas une question de «faibles positifs» ou de «risque de faux positifs». L'enjeu relève au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l'OMS d'une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n'ont aucune base scientifique.
Ce que cette déclaration contradictoire de l'OMS confirme, c'est que l'estimation du covid positif à partir d'un test PCR (avec un seuil d'amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l'OMS recommande de répéter le test PCR: «il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test...».
Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n'a aucun sense. C'est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s'agit néanmoins de conclure que la recommendation contradictoire de l'OMS de « retester » confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA COVID SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES
Je dois mentionner qu'il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky : The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d'État and the Great Reset (Chapitre II). Egalement disponible en français.
Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nation Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l'évolution de la dite «pandémie». Au-dessus d'un cycle d'amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les segments du virus . Par conséquent, ces chiffres n'ont aucun sens.
Il s'ensuit qu'il n'y a aucune base scientifique pour confirmer l'existence d'une pandémie.
Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l'extrême pauvreté et le chômage (dont l'objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique Pieter Borger et al. :
« Si quelqu'un est testé par PCR positif lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3% , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97% (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97% » : il s'ensuit que l'utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
RépondreSupprimerAu moment d'écrire ces lignes (mi-mars 2021), malgré le mea culpa de l'OMS, le test PCR continue à être utilisé afin de faire augmenter les chiffres en flèche.
L'objectif consiste à justifier les politiques de verrouillage en cours.
Ces estimations erronées sont à leur tour manipulées afin d'assurer une tendance à la hausse des positifs Covid. De plus, ces tests PCR ne sont pas accompagnés d'un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les gouvernements dans plusieurs pays ont émis des avertissements d'une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin Covid-19.
Et ces déclarations trompeuses se basent sur des statistiques qui sont le résultat d'une méthodologie totalement erronée. Par ailleurs, il n'y a absolument aucune base scientifique pour mettre en œuvre le vaccin Covid-19.
L'OMS et l'évaluation scientifique de Pieter Borger , et al. (cité ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests R-PCR adoptés par les gouvernements afin de justifier le verrouillage et la déstabilisation des économies nationales sont (selon l'OMS) totalement ERRONÉES.
Il s'agit de comprendre qu'il y a un jeu de chiffres (basées sur des estimations qui au point de départ sont trompeuses). Ces chiffres sont cités sans relâche 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements.
Il s'agit d'une vérité mensongère dont l'objectif est d'alimenter la campagne de la peur. L' objectif est de «justifier» TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
verrouillage, confinement,
fermeture de l'activité économique, chômage, pauvreté et banqueroutes,
distanciation sociale,
masque facial,
couvre-feu,
programme de vaccination.
Données et statistiques mensongères.
Réfléchissez avant de vous faire vacciner.
Et maintenant, nous sommes entrés dans une soi-disant « troisième vague ». (où sont les données ??).
C'est « un paquet de mensonges ».
C'est un crime contre l'humanité.
Commentaire : Lire aussi :
L'ère du Covid-19 — Sommes-nous 2 heures moins le quart avant le fascisme ?
La joie mauvaise, la revanche de l'impuissance
https://fr.sott.net/article/36767-L-OMS-confirme-que-le-test-Covid-19-PCR-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-Le-confinement-n-a-aucune-base-scientifique
Vous dites « surmortalité en 2020 en France » ?
RépondreSupprimerPhilippe Huysmans
agoravox.fr
lun., 22 mar. 2021 15:07 UTC
Si vous êtes intéressé à connaître les sources de données qui ont servi à l'élaboration de cet article, ou que vous souhaitez procéder à vos propres vérifications, tout figure dans cet article.
Tout comme moi sans doute, vous aurez remarqué que désormais on ne parle plus trop de la surmortalité spécifique due au covid sur l'année 2020. La raison à ça est toute simple, elle n'a pas tué à hauteur des espérances des Cassandre de pacotille. On parle d'une différence brute de 55.000 personnes par rapport à 2019 qui était une année exceptionnellement clémente en termes de mortalité des personnes âgées.
Et ce qu'il faut bien comprendre c'est qu'on parle bien de personnes très âgées, la moyenne d'âge des décès covid se situant autour de 84 ans.
Ainsi, regardons l'impact covid sur la mortalité des moins de 70 ans en comparaison des années précédentes. Les données utilisées ne portent que sur la France métropolitaine, et les années sont ramenées à 365 jours pour être comparables :
- voir graphique sur site -
mortalité moins de 70 ans
On constate qu'à part 2019, la mortalité jusqu'à cet âge a été supérieure sur toutes les autres années considérées. On parle en 2020 d'une population de 55.528.921 personnes de moins de 70 ans à comparer au total de 65.182.326, soit 85,19%. Pour faire clair, on a incarcéré à domicile l'ensemble de la population et on a ruiné l'économie pour une maladie qui n'a eu pratiquement aucun impact pour 85,19% de la population totale. Inutile de prétendre que les mesures de confinement auraient changé quoi que ce soit, on voit bien que la Suède a eu un nombre de morts parfaitement comparable sans avoir jamais confiné à aucun moment.
Comparons ce qui est comparable
C'est à dessein qu'au point précédent j'ai utilisé comme méthode de comptage celle qui nous est servie chaque jour par les médias dominants pour faire peur. Mais en pratique, on ne peut pas simplement comparer des cumuls de décès d'une année sur l'autre, parce que la population est bien différente dans chaque tranche d'âge chaque année. Cela revient à additionner des fractions sans les mettre préalablement au même dénominateur. On mélange les pommes et les bananes. Pour la suite, nous allons procéder à des projections des taux de mortalité des différentes années sur différentes populations de 2020, par tranches d'âge.
En pratique cela revient à examiner ce qui se serait passé pour ces tranches d'âge en 2020, si l'on avait connu la mortalité spécifique à chacune de ces années.
Mortalité de 70 à 85 ans en France métropolitaine
- voir graphique sur site -
mortalité france 70-85 ans
Nous observons une très légère surmortalité 2020 dans cette tranche d'âge en comparaison de la projection 2015, à hauteur de 867 unités. On observe aussi une brutale hausse de la mortalité immédiatement après l'instauration de chacun des confinements, et aucun rebond après la fin du premier, au contraire, on observe l'habituel infléchissement en cette période.
Mortalité des plus de 85 ans en France métropolitaine
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
mortalité 85 ans et +
Dans cette tranche, c'est 2015 qui repasse largement devant 2020 avec une surmortalité de 4.938 unités. Et on est juste au dessus de 2017.
Décès en France métropolitaine, tous âges confondus
- voir graphique sur site -
mortalité tout âge
Encore une fois, 2015 reste largement en tête en termes de mortalité tous âges confondus. Cela signifie, en clair, qu'avec une mortalité parfaitement ordinaire (celle de 2015), et en l'absence du covid, on aurait eu à déplorer encore 1,40 % de mortalité en plus sur 2020, soit environ 9.165 décès supplémentaires pour la seule France métropolitaine.
Cette simple projection détruit totalement le mythe d'une pandémie mortelle, le covid n'a pas tué plus qu'une vulgaire grippe, il se trouve seulement que 2020 était une année moisson et que la population vieillit. Eh oui, c'est ce que vous ne voyez pas dans les chiffres de mortalité, la proportion de la population dans chaque tranche d'âge.
À ce train-là, on peut garder la population confinée durant les 35 prochaines années puisque c'est seulement à ce moment-là qu'on atteindra la fin de l'effet du baby boom sur la démographie : pour le dire autrement, les boomers seront tous morts ou presque.
Il est grand temps d'en finir avec cette comédie qui n'a que trop duré. Oui les anciens vont continuer à mourir, oui il y en aura considérablement plus dans les années qui viennent, c'est une simple conséquence de la démographie des années d'après-guerre, et non, on ne peut rien y faire. Ce qui se passe aujourd'hui, sous le faux prétexte d'une épidémie qui n'a vraiment rien de particulier, c'est l'instauration d'une dictature sanitaire qui se transformera bientôt en dictature tout court.
Chaque jour les droits constitutionnels des citoyens sont bafoués, n'a-t-on pas été, en France, jusqu'à achever au Rivotril les malades dans les ehpad ? Depuis quand pareille action n'est plus constitutive d'un meurtre ? Un décret n'y change rien, sinon qu'il engage lourdement la responsabilité de son signataire pour complicité et incitation au crime.
De même pour l'entrave à la liberté de mouvement, la liberté de respirer, la liberté de manifester, de travailler, de voyager. Où sont passés nos droits, et où sont passés ceux qui étaient chargés de faire respecter nos constitutions ?
Ah, on me souffle dans l'oreillette qu'en dernier ressort, l'ultime garant de la constitution c'est le peuple. Peut-être temps de vous en souvenir ?
https://fr.sott.net/article/36769-Vous-dites-surmortalite-en-2020-en-France
IL Y A UN AN: LE (SEMI)CONFINEMENT:
RépondreSupprimerLe jour où on nous a garanti qu’il n’y aurait pas de pénurie de PQ
La pandémie a déclenché l’irrationnelle ruée sur le papier toilette. Coop et Migros ont alors dû rassurer la population sur l’état de leurs stocks. C’était le 23 mars 2020.
par Laurent Flückiger
23 mars 2021, 06:44
Un an plus tard, nos besoins sont assouvis mais nous sommes au bout du rouleau.
Le papier toilette, le papier hygiénique, le papier à chiottes, le papier cul… Appelez le quatre couches ouatiné comme vous voulez, il est l’un des symboles du début de la pandémie. Souvenez-vous, il y a un an: les rayons des grandes surfaces sont dévalisés. À croire que ce n’est pas le coronavirus qui nous est tombé dessus mais une gigantesque gastro-entérite. Au même moment on note un assaut sur les raviolis en boîte, mais sans rapport avec le manque de PQ. Paraît-il.
Les grandes enseignes appellent la population à éviter de faire des «achats de hamster»; sur les réseaux sociaux, on ironise sur la situation ou on dénonce ces clients que l’on a vus «avec un chariot qui déborde – pensez aux autres, merde!»; dans le même temps, on lit qu’un vol à main armée de papier toilette a eu lieu à Hong Kong et qu’une femme a reçu un coup de poing d’une autre acheteuse rendue hystérique en Belgique. Nous étions au bout du rouleau et la guerre du Lotus menaçait d’être déclenchée. Jusqu’à ce que les deux meilleurs ennemis rassurent: il n’y a pas de pénurie de papier toilette.
Le 23 mars 2020, Coop déclare qu’il peut garantir l’approvisionnement de base et promet que ses étagères sont constamment remplies, Migros affirme que ses filiales sont réapprovisionnées quotidiennement, le stock de sa centrale de distribution étant largement suffisant pour répondre «aux besoins de la population». Ouf, on a eu chaud aux fesses!
Reste un mystère: pourquoi cette ruée sur le papier hygiénique ? Certains chercheurs avaient fait un lien avec une sensation de dégoût liée à la pandémie. Mais les conclusions sont autres. Selon une étude menée notamment par un chercheur de l’université de Saint-Gall et publiée en juin, le stockage excessif de PQ provient avant tout de la peur de la pandémie. Qui est amplifiée par une émotivité supérieure à la moyenne.
Un an après, on a beau savoir que c’était irrationnel, on s’en fiche: on a fini par tous les consommer ces rouleaux. En ce qui concerne les dizaines de boîtes de raviolis achetées à l’époque, c’est une autre histoire.
Dans notre série «Il y a un an: le (semi)confinement», retrouvez les épisodes précédents:
Lundi 22 mars: «Quand Thomas Wiesel a commencé à suivre toutes les conférences de presse»
Vendredi 19 mars: «Quand les marquages au sol ont commencé à envahir nos villes»
Jeudi 18 mars: «Quand les concerts au balcon réchauffaient les cœurs»
Mercredi 17 mars: «Le jour où l’Euro a été reporté d’une année»
Mardi 16 mars: «Le jour où la Suisse a été plongée en «situation extraordinaire»
Lundi 15 mars: «Le soir où nous avons commencé à faire du boucan aux fenêtres»
Dimanche 14 mars: «Le jour où les stations de ski ont fermé en Suisse mais pas en France»
Samedi 13 mars: «Le jour où le Conseil fédéral a pris des mesures historiques»
https://www.lematin.ch/story/le-jour-ou-on-nous-a-garanti-quil-ny-aurait-pas-de-penurie-de-pq-666236383063
Le jour où la Suisse s'est suississonée et découpée en ronds d'elle
SupprimerCovid contre la grippe, revisité
RépondreSupprimerPneumonie et mortalité grippale par âge au cours des années précédentes de la pandémie (Glezen, 1996) par rapport à 2020 surmortalité par âge, principalement due au covid-19, dans l'ensemble et à l'exclusion des maisons de retraite (SPR basé sur les données des CDC)
21 mars 2021
- voir graphique sur site -
La légitimité de la comparaison du covid-19 et de la «grippe» a été un sujet vivement débattu au cours de la pandémie actuelle. Pour clarifier la situation, le graphique ci-dessus montre la mortalité due à la grippe et à la pneumonie aux États-Unis par âge au cours des années précédentes de la pandémie par rapport à la surmortalité aux États-Unis en 2020, qui consistait principalement (> 75%) de décès confirmés et soupçonnés de covid-19, selon le CDC.
Comme on peut le voir, jusqu'à environ 75 ans, la mortalité en 2020 variait entre la «grippe asiatique» de 1957 et la grippe de 1936. Au-dessus de 75 ans, et surtout au-dessus de 85 ans, la mortalité en 2020 a fortement augmenté et a même dépassé la grippe de 1918. Cette très forte augmentation était principalement due aux décès dans les maisons de soins infirmiers (lignes rouges pleines ou pointillées), qui représentaient environ 40% de tous les décès liés au covid-19 aux États-Unis. La combinaison d'une mortalité très élevée chez les personnes âgées et d'une proportion élevée de personnes âgées dans les sociétés occidentales modernes a conduit à un impact de mortalité global très élevé de la covid-19.
De toute évidence, 2020 n'a pas englobé tous les décès de covid-19 aux États-Unis (le pic de la deuxième vague a été atteint à la mi-janvier 2021), mais les pandémies antérieures se sont également prolongées sur deux à trois ans. En outre, en 2020, il y a eu des «verrouillages» dans de nombreux États américains; cependant, lors des pandémies précédentes, des mesures telles que des masques faciaux et la fermeture d'écoles avaient également été employées. De plus, une comparaison de la mortalité du covid-19 en Californie et en Floride, par exemple, indique que la plupart des mesures anti-pandémiques en 2020 étaient d'une utilité très limitée. Enfin, contre les virus de la grippe pandémique de 1957 et de 1968, un vaccin efficace était disponible en quelques mois.
Un autre aspect notable est que la grippe de 1918 a eu en fait un impact très limité sur la mortalité des personnes âgées de plus de 45 ans environ (voir figure ci-dessous); on pense généralement que ces personnes ont bénéficié d'un certain degré d'immunité en raison de l'exposition à un virus grippal similaire qui circulait au 19e siècle, avant la pandémie de 1890. En fait, 99% des décès dus à la grippe en 1918 concernaient des personnes de moins de 65 ans. De même, la pandémie de grippe de 1957 a eu un impact limité sur les personnes de plus de 70 ans en raison d'un certain degré d'immunité antérieure acquise au XIXe siècle.
En revanche, aucune immunité antérieure de ce type n'existait contre le nouveau coronavirus du SRAS. En conséquence, le profil d'âge de la mortalité du covid-19 ressemble le plus à la pandémie de 1889-1892 (voir figure ci-dessus), qui, selon certains chercheurs, était également causée par un nouveau coronavirus (OC43).
Voir aussi: Mortalité Covid-19: un aperçu mondial
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Mortalité grippale de 1918 par âge par rapport à la valeur initiale (Taubenberger & Morens, 2006)
Addenda
1) Niveau d'infection à coronavirus par État américain
La carte suivante montre le niveau total d'infection à coronavirus par État américain à la fin de février 2021, tel que projeté (c'est-à-dire non mesuré) par les projections Covid19. Le taux d'attaque d'infection était le plus bas dans les coins nord-ouest et nord-est (5% à 15%) et le plus élevé dans le Dakota du Sud (47%).
- voir carte sur site -
Taux d'attaque d'infection à coronavirus projeté dans les États américains d'ici février 2021 (covid19-projections.com)
2) Mortalité ajustée selon l'âge, 1900-2020
Le graphique suivant montre la mortalité ajustée selon l'âge aux États-Unis de 1900 à 2020. Pour tenir compte du vieillissement de la population, la mortalité de chaque année a été appliquée à la population standard américaine de l'année 2000. La mortalité ajustée en fonction de l'âge aux États-Unis en 2020 était similaire à la mortalité en 2004.
- voir graphique sur site -
Mortalité ajustée selon l'âge aux États-Unis, 1900-2020 (Norwood / CDC)
3) Décès de Covid par groupe d'âge
Le graphique suivant montre le nombre de décès aux États-Unis dus ou avec covid (bleu) et de toutes les autres causes (gris), par groupe d'âge, de février 2020 à février 2021, sur la base des données des CDC:
- voir graphique sur site -
États-Unis: Décès par covid et toutes autres causes, par groupe d'âge, février 2020 à février 2021 (Heritage / CDC)
https://swprs.org/covid-versus-the-flu-revisited/
L'attentat au co-vide (abréviation de 'complètement vide') fait encore parler de lui un an après malgré que les terroristes au pouvoir aient des noms et adresses et ne soient inquiétés d'être jugés !
SupprimerIl serait dans la foule mais n'a pas encore été isolé ! Des vaccins 'gilets-anti-balles' contre les tirs de roquettes, obus de 75 et bombes atomiques seraient en voie d'être proposés.
Si vous devez absolument vous vacciner contre Covid-19 par peur ou par coercition, attendez ce vaccin déjà éprouvé
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
23 mars 2021
Il y a une raison pour laquelle les fabricants de vaccins et les politiciens rachetés se précipitent pour vacciner 100 millions d'Américains d'ici le 4 juillet. Si des études de population antérieures sont une indication, d'ici juillet 2021, il est probable qu'un vaccin plus sûr et plus efficace que les vaccins à ARN (Pfizer / Moderna) sera révélé dans une étude en grand groupe placebo vs inoculum menée au Canada.
Si vous êtes dans la tourmente de savoir si vous devez vacciner contre le COVID-19 ou non, ou si vous êtes obligé de réfléchir à la vaccination parce que votre employeur vous demande de vous soumettre à la vaccination comme condition d'emploi, attendez, au moins jusqu'en juillet 2021, lorsque les résultats d'un une étude majeure sur les vaccins sera probablement révélée. Bien que les données existantes soient si convaincantes, on se demanderait pourquoi quiconque craint le COVID19 hésiterait à se faire vacciner immédiatement.
Un inconvénient majeur des vaccins à ARN actuellement imposés aux Américains méfiants est qu'ils posent le problème de l'amélioration dépendante des anticorps (ADE) - vos propres anticorps attaquent vos poumons et d'autres organes internes. L'EAD est généralement une réaction retardée. Et l'ADE commence à se produire parmi les populations vaccinées. L'ADE frappe les populations plus jeunes. Selon certains rapports, les anticorps induits par le vaccin contre le COVID-19 ne confèrent pas une immunité durable.
Les chercheurs suggèrent qu'une réponse au problème de l'ADE est de concevoir des thérapies qui ciblent les lymphocytes T plutôt que les anticorps. Les vaccins à ARN activent largement les anticorps.
Les lymphocytes T sont connus pour protéger contre les infections graves et la réinfection. La mémoire des lymphocytes T offre une immunité durable. Les vaccins dirigés contre les lymphocytes T stimulent la clairance des virus et évitent une maladie accrue dépendant des anticorps.
Ces mêmes chercheurs révèlent qu'il existe déjà un vaccin sûr et efficace prouvé qui protège contre le COVID-19 via l'activation des cellules T - - le vaccin Bacille Calmette-Guérin (BCG) pour une autre maladie pulmonaire infectieuse - la tuberculose. Il est dérivé d'une mycobactérie (mycobacterium bovis) trouvée chez les bovins. C'est une bactérie «vivante» mais atténuée.
Mécanisme du vaccin BCG: immunité formée
Le vaccin BCG n'est pas largement utilisé aux États-Unis.
Bien que le vaccin BCG active les cellules T, il fonctionne également indépendamment des cellules B ou T. Le vaccin BCG confère une «immunité entraînée». Cela fonctionne via la reprogrammation épigénétique, c'est-à-dire la fabrication de protéines géniques, ce que les vaccins à ARN prétendent faire essentiellement. C'est ce qu'on appelle la mémoire épigénétique.
Ce type d'immunité entraînée est indépendant de l'activation des lymphocytes B et T et est réalisé via les globules blancs (monocytes, macrophages, cellules tueuses naturelles). Pour les médecins qui doivent savoir précisément comment il fonctionne, le vaccin BCG cible les récepteurs connus de la surface des cellules (TLR2 et TLR4 de type péage; récepteurs du complément CR3-CR4; récepteurs de type NOD).
RépondreSupprimerLe vaccin BCG est si sûr qu'il est approuvé pour une utilisation chez les nouveau-nés, les enfants et les adultes depuis près de 100 ans.
Le vaccin BCG confère également une immunité contre les organismes Staphylococcus et Candida dans d'autres bacilles de la tuberculose. Le vaccin BCG est également utile pour prévenir la sclérose en plaques et le cancer.
Vaccin BCG et COVID-19
Les preuves du vaccin BCG pour réprimer les infections au COVID-19 sont convaincantes.
Une étude publiée en novembre 2020 confirme que le vaccin BCG protège les travailleurs de la santé de l'infection au COVID-19. Les travailleurs de la santé précédemment inoculés avec le vaccin BCG ont connu une diminution marquée de l'infection au COVID-19.
Les études de population révèlent le potentiel de la vaccination par le BCG. Les épidémiologistes prévoient une diminution de 37% de la mortalité par COVID-19 entre l'Allemagne de l'Est qui a été vaccinée avec le vaccin BCG et non l'Allemagne de l'Ouest.
Les statisticiens affirment qu'il y aurait eu 80% de décès par COVID-19 en moins aux États-Unis d'ici le 29 mars 2020 si le pays avait utilisé la vaccination BCG obligatoire depuis 2000.
Dans le monde, la tuberculose tue plus de personnes que le COVID-19. Maintenant, "deux oiseaux pourraient être assommés d'une pierre."
Les fabricants de vaccins doivent inoculer des milliers de personnes avec leurs vaccins COVID-19 non éprouvés alors que les études de population montrent déjà que le BCG est supérieur et plus abordable.
Prochain essai de vaccin BCG bientôt terminé
Un vaste essai contrôlé par le BCG de 3626 participants qui compare le vaccin BCG à un placebo et devrait être terminé en avril 2021 et le rapport en juillet 2021. Cette étude canadienne comprend des mesures de l'incidence des infections, des hospitalisations, de la détresse respiratoire, des infections secondaires et de la mortalité , ainsi que les événements indésirables et l'immunité formée, parmi les agents de santé.
Un essai de six mois du vaccin BCG parmi les travailleurs de la santé est également en cours de lancement par le MD Anderson Cancer Center / Baylor College of Medicine et le Cedars Sinai Medical Center.
Les vaccins COVID-19 actuels d'improbabilité surmonteront l'ADE
Le Dr Kevin D Morris de la ville de Hope dit qu'il est improbable que la médecine moderne développe un jour un vaccin contre le COVID-19 car un tel vaccin doit surmonter l'amélioration des anticorps qui attaque et se réplique dans les cellules mêmes (macrophages) qui sont produites pour " tuer »le virus.
Les vaccins génétiques à ARN fantaisie peuvent déclencher la production d'anticorps sans avoir à introduire un virus pathogène comme le font les vaccins courants, ce qui est avantageux. La menace d'infection induite par le vaccin est supprimée. Mais il n'y a pas de signe d'arrêt pour le développement de l'amélioration des anticorps destructeurs d'organes. C'est pourquoi les efforts antérieurs pour vaincre les infections à coronavirus via la vaccination ont échoué.
RépondreSupprimerLes fabricants de vaccins admettent qu’une seule inoculation ne produira pas d’effet durable. Deux doses sont maintenant employées et une troisième est envisagée. Les vaccinologues implorent une amélioration problématique des anticorps en suggérant des injections de rappel annuelles.
Comment le virus pénètre dans les cellules
Il appartiendrait à tout le monde d'apprendre comment les virus pénètrent dans les cellules vivantes.
Les virus ne sont pas vivants. Ils ont besoin d'entrer dans des cellules vivantes pour se répliquer. L'entrée virale est limitée aux cellules qui ont une protéine de surface à laquelle le virus peut se fixer, dans ce cas, l'enzyme de clivage de l'angiotensine-2 (ACE2), une protéine impliquée dans la régulation de la pression artérielle. L'ACE2 est abondant dans les yeux, la gorge, les poumons, les reins, le foie, le cœur et les intestins. C'est pourquoi ce virus affecte d'autres organes que les poumons.
Plusieurs virus (dengue, VIH et coronavirus COVID-19) peuvent infecter les cellules via un processus alternatif appelé amélioration dépendante des anticorps (ADE).
Depuis 1986, on sait que les cellules T, et non les anticorps, jouent un rôle primordial dans la production d'immunité. Les défenses naturelles contre les virus, les anticorps, sont dirigées contre le système immunitaire. Le virus se fixe aux globules blancs (monocytes, macrophages). Les anticorps se lient normalement aux protéines de surface virales et bloquent l'entrée dans les cellules. Cependant, les anticorps infectés par le COVID-19 peuvent aggraver les lésions pulmonaires. Si un vaccin induit des niveaux élevés d'anticorps potentiellement neutralisants, il réduira la réplication virale, mais cela pourrait également entraîner des lésions pulmonaires. La structure et la concentration de ces anticorps déterminent leur pouvoir destructeur.
Les coronavirus respiratoires humains n'induisent pas une immunité durable. Les réinfections sont courantes. C'est une autre raison pour laquelle les vaccins contre les coronavirus n'ont jamais été homologués. Les réponses d'anticorps et l'immunité protectrice sont éphémères et peu efficaces.
«Les coronavirus respiratoires vexent le système immunitaire adaptatif humain
et peut revenir à la même personne à chaque fois "
dit le Dr Andrea Branch de l'école de médecine Icahn
au mont. Sinaï à New York.
«Les coronavirus respiratoires agacent le système immunitaire adaptatif humain et peuvent revenir à la même personne à maintes reprises», explique le Dr Andrea Branch de l'école de médecine Icahn du mont. Sinaï à New York.
Au début, les virus sont rencontrés par des tueurs naturels - - les neutrophiles et les macrophages, qui tuent les cellules infectées par des virus. Quelques jours après l'infection initiale, une défense plus spécifique est façonnée par les cellules B et T produites dans la moelle osseuse et le thymus. Ces cellules B et T sont adaptées à l'agent pathogène invasif particulier, dans ce cas un coronavirus, et produisent une mémoire ou une immunité de longue durée. C'est pourquoi les individus doivent souffrir des symptômes du virus du rhume pendant quelques jours avant que cette réponse immunitaire spécifique ne soit activée.
RépondreSupprimerLes anticorps contre le virus antécédent du SRAS-CoV-1 qui a éclaté en 2002 en Chine n'ont pas duré longtemps. Ils ont plongé au bout de deux ans. Les lymphocytes B ne sont pas restés mais les lymphocytes T mémoire ont duré.
Théoriquement, un coronavirus comme le COVID-19 peut provoquer des cycles interminables de maladies, ce qui serait une aubaine pour les fabricants de vaccins. Façonner des vaccins contre le COVID-19 serait alors comme chasser le vent.
Dans une étude, seulement 14% des patients infectés par le COVID-19 ont développé une concentration élevée d'anticorps neutralisants. Curieusement, il a également été constaté que certains patients infectés par le COVID-19 qui se sont complètement rétablis n'ont pas développé d'anticorps neutralisants détectables, ce qui suggère que des anticorps neutralisants peuvent ne pas être nécessaires pour éliminer les infections bénignes. En raison de la limitation des vaccins contre les coronavirus, des alternatives aux vaccins doivent être recherchées, ce qui sera le sujet de mon prochain rapport.
L'origine des vaccins à ARN
Pour comprendre comment la médecine moderne a fait fausse route, nous devons remonter aux origines des vaccins à ARN. Les réactions immunitaires aux injections d’ARN messager chez les animaux n’étaient pas sans danger. Les expériences sur les animaux l'ont prouvé. Mais en 2005, des chercheurs ont annoncé qu'ils avaient remplacé l'un des quatre éléments constitutifs de l'ARN messager, l'uridine, par de la pseudo-uridine, qui échappe aux capteurs immunitaires.
Les cellules dendritiques (cellules qui produisent l'interféron naturel) baignées dans ce pseudo-ARN modifié produisent moins d'inflammation (cytokines) que lorsqu'elles sont exposées à de l'ARN non modifié. Voila! La possibilité de thérapies à l'ARN a commencé.
Construire un vaccin imparfait
RépondreSupprimerLes vaccins qui atténuent les symptômes d'une maladie infectieuse mais n'empêchent pas sa propagation (appelés vaccins «qui fuient») peuvent entraîner davantage de maladies et des souches plus virulentes du virus. Cela a déjà été observé chez des poulets inoculés avec un vaccin contre la maladie de Marek. Une vaccination imparfaite peut améliorer la transmission des virus. N'est-ce pas ce que les chercheurs ont fait en 2005 - - développer intentionnellement un vaccin imparfait pour éviter une réponse immunitaire trop agressive?
Des chercheurs écrivant dans le Journal of Clinical & Experimental Hepatology disent: «La plus grande crainte parmi les développeurs de vaccins est de créer un vaccin qui ne protège pas de l'infection mais provoque une exacerbation de la maladie, une morbidité et une mortalité accrues. Certains vaccins peuvent monter
amélioration dépendante des anticorps (ADE),
ce qui nie l’objectif fondamental de la vaccination. »
Les vaccins à ARN sont conçus pour produire un antigène qui déclenche une réponse immunitaire à un coronavirus muté appelé COVID-19. Mais le COVID-19 est en train de muter, comme le font tous les rhumes, grippes et coronavirus. Il semble que la vaccination accélère ces mutations. Maintenant quoi?
Les vaccins à ARN laissent les individus sans défense
Les vaccins à ARN actuellement utilisés contre le COVID-19 ne sont pas aussi efficaces contre les variantes génétiques. Par conséquent, une réinfection peut en résulter. Cela est connu depuis un certain temps. Cela laisse l'humanité à la case départ, où elle était au début de la pandémie, face à un coronavirus nouvellement muté contre lequel l'humanité n'avait aucune immunité (à l'exception de ceux qui avaient été vaccinés contre la tuberculose avec le vaccin BCG).
Les fabricants de vaccins envisagent de faire des vaccinations contre le COVID-19 une affaire annuelle, tout comme les vaccins contre la grippe qui sont conçus pour les trois souches de grippe les plus susceptibles d'être en circulation au cours d'une année donnée. En d'autres termes, la médecine moderne admet qu'elle a créé des vaccins à ARN qui ne sont pas efficaces contre les nouvelles souches en évolution. Le virus échappe à la vaccination.
Ces faits révèlent que la médecine moderne et les responsables de la santé publique ne sont pas intéressés par les remèdes car il existe déjà un vaccin sûr et efficace. Les gouvernements et l’industrie médicale ne sont pas intéressés par les remèdes, ils s’intéressent aux profits, au contrôle politique et même au dépeuplement.
Si vous perdez le sommeil à cause de la vaccination, apportez peut-être ce rapport à votre médecin et demandez-lui de vous vacciner avec le vaccin BCG. Peut-être que le vaccin BCG suffira également aux employeurs qui doivent être informés à ce sujet.
Je sais qu'on me posera la question, alors la réponse à la question, est-ce que je vais chez le médecin pour me faire vacciner par le BCG ? Non, je ne suis pas. Plus de 96 % de toutes les personnes infectées par le COVID-19 se rétablissent d'elles-mêmes, sans vaccins.
Pourtant, même avec un vaccin sûr et efficace, tous les vaccins reposent sur un système immunitaire intact. L'objectif pour les personnes qui ont été immunisées avec un virus à ARN est de normaliser leur réponse immunitaire. Certains nutriments essentiels sont nécessaires pour contrecarrer le développement de l'ADE si vous faites partie des millions qui ont déjà été vaccinés avec un virus à ARN. C'est le sujet de mon prochain rapport.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/if-you-absolutely-must-vaccinate-against-covid-19-out-of-fear-or-coercion-hold-out-for-this-already-proven-vaccine/
L'UE veut que tous nos messages, e-mails et conversations privées soient vérifiés grâce à l'IA pour détecter tout « contenu suspect »
RépondreSupprimerJonathan — ExoPortail
Sott.net
lun., 22 mar. 2021 15:41 UTC
L'UE souhaite que tous les chats, messages et e-mails privés recherchent automatiquement le contenu suspect, de manière générale et sans discrimination. Objectif déclaré: poursuivre la pornographie juvénile. Le résultat : une surveillance de masse grâce à la messagerie en temps réel entièrement automatisée et au contrôle du chat et à la fin du secret de la correspondance numérique.
Les membres du Parlement européen accueillent favorablement les projets de la Commission européenne visant à obliger les fournisseurs de services de courrier électronique, de messagerie et de chat à fouiller dans les conversations privées des utilisateurs et à signaler tout « matériel illégal », selon l'eurodéputé Patrick Breyer.
En 2020, la Commission européenne a proposé une législation « temporaire » visant à permettre la recherche de tous les chats, messages et e-mails privés à la recherche de représentations illégales de mineurs et de tentatives d'initiation de contacts avec des mineurs. Cela permet aux fournisseurs de Facebook Messenger, Gmail, et consorts, d'analyser chaque message à la recherche de texte et d'images suspects. Cela se déroule dans un processus entièrement automatisé et en utilisant une « intelligence artificielle » sujette aux erreurs. Si un algorithme considère un message comme suspect, son contenu et ses métadonnées sont divulgués automatiquement et sans vérification humaine à une organisation privée basée aux États-Unis et de là aux autorités policières nationales du monde entier. Les utilisateurs signalés ne sont pas notifiés.
Certains fournisseurs de services américains tels que Gmail et Outlook.com effectuent déjà de tels contrôles automatisés de messagerie et de chat. Par le biais d'un deuxième texte législatif, la Commission européenne entend obliger tous les fournisseurs de services de chat, de messagerie et de courrier électronique à déployer cette technologie de surveillance de masse.
Comment cela vous affecte-t-il ?
Toutes vos conversations de chat et e-mails seront automatiquement recherchés pour le contenu suspect. Rien ne reste confidentiel ou secret. Il n'y a aucune exigence d'ordonnance du tribunal ou de suspicion initiale pour rechercher vos messages. Cela se produit en permanence et automatiquement.
Si un algorithme classe le contenu d'un message comme suspect, vos photos privées ou intimes peuvent être vues par le personnel et les sous-traitants des sociétés internationales et des autorités policières. Vos photos de nus privées peuvent également être regardées par des personnes inconnues de vous, entre les mains desquelles vos photos ne sont pas en sécurité.
Les flirts et les sextos peuvent être lus par le personnel et les sous-traitants des sociétés internationales et des autorités policières, car les filtres de reconnaissance de texte à la recherche de « soins aux enfants » signalent souvent à tort les discussions intimes.
Vous pouvez faussement être dénoncé et faire l'objet d'une enquête pour avoir prétendument diffusé du matériel d'exploitation sexuelle d'enfants. Les algorithmes de messagerie et de contrôle du chat sont connus pour signaler des photos de vacances tout à fait légales d'enfants sur une plage, par exemple. Selon les autorités policières fédérales suisses, 90 % de tous les rapports générés par la machine s'avèrent sans fondement. 40 % de toutes les procédures d'enquête criminelle engagées en Allemagne pour « pornographie enfantine » ciblent des mineurs.
RépondreSupprimerLors de votre prochain voyage à l'étranger, vous pouvez vous attendre à de gros problèmes. Les rapports générés par la machine sur vos communications peuvent avoir été transmis à d'autres pays, tels que les États-Unis, où il n'y a pas de confidentialité des données - avec des résultats incalculables.
Les services de renseignement et les pirates peuvent être en mesure d'espionner vos chats et e-mails privés. La porte sera ouverte à toute personne disposant des moyens techniques de lire vos messages si le cryptage sécurisé est supprimé afin de pouvoir filtrer les messages.
Ce n'est que le début. Une fois la technologie de messagerie et de contrôle du chat établie, il devient très facile de les utiliser à d'autres fins. Et qui garantit que ces machines à incriminer ne seront plus utilisées à l'avenir sur nos téléphones intelligents et ordinateurs portables ?
Chronologie
Des négociations en trilogue sont en cours entre des représentants du Parlement européen et des gouvernements de l'UE avec la participation de la Commission européenne concernant la proposition législative . Les différentes positions des trois institutions sont énumérées en détail dans ce document à 4 colonnes divulgué (anglais, 5 mars 2021). Les organisations de protection de l'enfance exercent une pression massive. Tous les groupes parlementaires sont favorables à un contrôle aveugle des messages et du chat, à l'exception des Verts / ALE et de la gauche. L'adoption de la législation pourrait avoir lieu en mars.
En avril, la Commission européenne a l'intention de présenter une deuxième proposition législative, qui obligera tous les fournisseurs de services de courrier électronique, de messagerie et de chat à rechercher de manière exhaustive tous les messages privés en l'absence de tout soupçon.
Selon la jurisprudence de la Cour européenne de justice, l'analyse automatisée permanente et complète des communications privées viole les droits fondamentaux et est interdite (paragraphe 177). Pour cette raison, le député européen Patrick Breyer a déposé une plainte contre les entreprises américaines Facebook et Google auprès des autorités de protection des données pour violation du règlement général sur la protection des données.
Sources de l'article publié le 17 mars 2021 (et plus d'infos) : Patrick Breyer & Commission européenne
Traduction : Exoportail
https://fr.sott.net/article/36771-L-UE-veut-que-tous-nos-messages-e-mails-et-conversations-privees-soient-verifies-grace-a-l-IA-pour-detecter-tout-contenu-suspect
Le nouvel ordre mondial réussira-t-il ?
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
Homme international
23 mars 2021
Le concept du Nouvel Ordre Mondial a pris de l'importance pour la première fois au tournant du XXe siècle. Il est en cours depuis un certain temps, mais a considérablement augmenté au cours des dernières décennies. Sans surprise, alors que son intention autocratique est devenue plus évidente, les gens ont de plus en plus peur que sa venue se traduise par leur subjugation.
Ils ont raison.
À un moment donné, les magnats de l'économie, les dirigeants industriels et même les présidents ont fièrement déclaré leur soutien à un nouvel ordre mondial. En fait, comme on peut le voir sur l'image ci-dessus, David Rockefeller a déclaré (dans ses Mémoires en 2002) qu'il était pleinement d'accord avec le Nouvel Ordre Mondial.
Il a depuis déclaré,
Nous remercions le Washington Post, le New York Times, le Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans… Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est plus sophistiqué et préparé à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et des banquiers mondiaux est certainement préférable à l'autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés.
Et pourtant, de plus en plus, la pression pour le Nouvel Ordre Mondial est maintenant étouffée, alors même que sa mise en œuvre a maintenant commencé. Il est intéressant de noter que Wikipédia l'appelle désormais «Nouvel ordre mondial (théorie du complot)», où il a jadis laissé de côté le déni de responsabilité accablant.
Mais pourquoi cela devrait-il être ainsi ? Eh bien, si un peuple croit que les temps désagréables sont loin, ils ont tendance à les ignorer. Cependant, lorsqu'elles deviennent imminentes, les gens s'en aperçoivent soudainement. Et ici nous nous référons aux propos les plus récents de Mister Rockefeller:
«Nous sommes au bord d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est de la bonne crise majeure.
Cette crise majeure est maintenant arrivée à notre porte sous la forme d'un virus et le déploiement du Nouvel Ordre Mondial a commencé.
Les gens ont été trompés en pensant qu'une grippe saisonnière commune a en quelque sorte acquis des propriétés magiques, avec le potentiel de tuer quiconque ne reçoit pas le vaccin approuvé par le gouvernement. Bien que ce vaccin en soit au stade expérimental et n'ait pas, en fait, obtenu l'approbation de la FDA pour même être classé dans la catégorie des vaccins, la peur de la mort a poussé des millions de personnes à abandonner leur sens de la raison et à se conformer à tout ce que le gouvernement exige, indépendamment de combien cela peut être irrationnel.
Les enfants ne peuvent pas aller à l’école, même s’ils sont presque certains de ne pas être affectés par le virus. Ceux qui n’obtiennent pas le vaccin ne seront pas autorisés à voyager avec un passeport d’immunité, même si le vaccin ne garantit pas l’immunité. Et tout lieu où les gens se rassemblent pour discuter de problèmes - églises, bars ou événements sportifs - est fermé ou limité quant à son utilisation. Et pourtant, les émeutiers ont été tolérés - et même encouragés - dans une quarantaine d'États.
RépondreSupprimerL'hystérie COVID n'a pas été créée par les circonstances, mais par les gouvernements et les médias.
Tout cela (et bien plus encore) a accéléré l'avènement du Nouvel Ordre Mondial.
Au cours des nombreuses années que le Nouvel Ordre Mondial a été présenté par les élites, il a toujours eu une caractéristique constante: que lorsqu'il serait introduit, il serait uniforme, dans le monde entier.
Et donc, comme c’est l’aspect prédominant de sa présentation, il est compréhensible que nous supposions que l’Ordre est une donnée: que tous les pays s’engageront et resteront à bord.
Ce ne sera pas le cas.
Pour quiconque a étudié la psychologie humaine en profondeur, il est entendu que les sociopathes représentent environ quatre pour cent de toute population, partout dans le monde. Et que les rats alpha de toute société - ceux qui cherchent à dominer les autres - constituent la classe dirigeante, car ils la poursuivront avec plus de ferveur que les non-sociopathes.
Cela garantit, bien entendu, que les dirigeants de la plupart des pays, mais en particulier des plus grands, chercheront constamment à dominer leurs peuples et devraient donc adopter le concept du Nouvel Ordre Mondial.
Et c'est pour cette raison que nous pouvons supposer qu'un Nouvel Ordre Mondial réussira.
Mais il y a un défaut dans ce raisonnement.
Tout comme une bande de criminels peut se réunir pour réussir un vol, chacun acceptant le plan, cela a tendance à changer à la suite du vol. Une fois que cela a eu lieu, chaque voleur a tendance à révéler que, depuis le début, il avait un motif caché et avait l'intention de doubler les autres, de sorte que sa part du butin serait plus grande qu'il ne l'avait convenu.
Dans le monde, la tendance est la même. Tout ce qui est différent est la portée du plan.
En fait, le Nouvel Ordre Mondial est composé principalement des dirigeants des pays du Premier Monde. Leur espoir est de créer une cabale qui, après un effondrement économique dans le Premier Monde, l'Ordre ressuscitera en quelque sorte comme un phénix de ses cendres.
Mais cet ordre ne peut être complet sans la coopération des autres puissances.
Les pays du second monde - en particulier l'Asie - ont depuis de nombreuses années gardé leurs cartes près de leurs gilets. Ils ont suivi un chemin qui, à bien des égards, imite le Nouvel Ordre Mondial. Cependant, ils n'ont pas l'intention de céder leur pouvoir à l'Occident.
Un trait intéressant commun à tous les sociopathes est que, comme la bande de voleurs, ils peuvent s'entendre en surface sur un grand plan, mais, quand vient le temps de diviser le butin, il est révélé qu'ils avaient leur propre agenda depuis le début.
RépondreSupprimerAlors, qu'est-ce que cela signifie quant au succès ou à l'échec relatif du Nouvel Ordre Mondial?
Eh bien, le premier monde est économiquement sur les cordes. Ils ont atteint une condition de fin de partie et vont très certainement planter. Les premières étapes de cet accident sont maintenant en cours.
La tentative de créer un nouvel ordre mondial sera très coûteuse. Un état policier renforcé sera nécessaire dans le pays et une guerre élargie peut être anticipée loin de chez soi.
Le Premier Monde s'autodétruira à la suite d'une combinaison de dettes et de mésaventures dans la décennie à venir, ou à tout le moins tombera à genoux.
Quoi qu'il en soit, lorsque cela se produit, on peut s'attendre à ce que d'autres puissances plus fortes interviennent. (Historiquement, la politique mondiale a horreur du vide.) Le monde verra un changement de domination comme il le fait toujours lorsqu'un empire est relégué à la poubelle et d'autres. prendre sa place.
Cela prendra des années, mais lorsque la poussière sera retombée, le Nouvel Ordre Mondial sera l’actualité d’hier et la nouvelle préoccupation sera de savoir si les puissances émergentes seront en mesure de dominer le monde entier ou seulement une partie de celui-ci.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/will-the-new-world-order-succeed/
Avec la merde assise au fauteuil et couronnée d'un rouleau de pq, les mouches veulent tout savoir du qui çà qui la faite. Ainsi, ce sont les diarrhéiques qui en sont accusés mais qui désignent plutôt les constipés des extrêmes voire les négationnistes du "Moi, je ne vais jamais aux chiottes !" qui se vantent de porter des couche-culottes aux poches profondes !
SupprimerEnseignement à la maison (Québec)
RépondreSupprimerlundi 22 mars 2021
*Pour ceux et celles qui ont écouté notre LIVE de ce soir, voici l'information sur l'enseignement à domicile. Vous trouverez les procédures à suivre, les paramètres légaux qui encadrent l'école à la maison et un exemple de lettre à envoyer à votre centre de services et à la Direction de l'enseignement à la maison.
Enseignement à la maison
👉 Tout enfant qui est résident du Québec doit fréquenter une école :
- à compter du premier jour du calendrier scolaire de l’année scolaire suivant celle où il atteint l’âge de 6 ans;
- jusqu’au dernier jour du calendrier scolaire de l’année scolaire au cours de laquelle il atteint l’âge de 16 ans ou au terme de laquelle il obtient un diplôme décerné par le ministre de l’Éducation.
http://www.education.gouv.qc.ca/gouvernance-scolaire/aide-et-soutien/enseignement-a-la-maison/
👉 Procédures légales à suivre pour se prévaloir du droit de faire l'enseignement à la maison:
https://www.aqed.qc.ca/fr/obligations/vue-ensemble
👉 Exemple de lettre à envoyer à votre centre de services et à la Direction de l'enseignement à la maison (DEM) pour les informer de votre projet d'enseignement à domicile:
https://www.aqed.qc.ca/fr/obligations/avis-ecrit
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/03/enseignement-la-maison.html
Ivermectine : le complotisme de l’Agence européenne des médicaments
RépondreSupprimerle 23/03/2021 à 17:43
Ivermectine : le complotisme de l’EMA par le Dr Maudrux
Dr Gérard Maudrux, pour FranceSoir
L’EMA, Agence Européenne du Médicament, face à la polémique entachant le rapport de Andrew Hill vient de sortir d’urgence un communiqué déconseillant l’utilisation d’Ivermectine dans la Covid. Décryptage.
Aucune démonstration, aucune preuve, aucune analyse ne vient étayer cette affirmation. Elle ne cite aucune étude chez l’homme, aucune méta-analyse rassemblant les résultats de toutes les études mondiales. Et pourtant il y en a : Kory et Marik aux US, Hill et Lawrie en GB, Pr Guillausseau en France (eh oui, et en français, d’un ancien des commissions d’AMM !), Nardelly en Italie,… Quand j’affirme, j’apporte des éléments, des preuves, ici non. C’est comme cela, parce que je l’ai dit, et la presse va reprendre cette position, sans preuves, c’est le but.
Ensuite elle reconnaît n’avoir été saisie d’aucune demande concernant cette autorisation. Alors pourquoi ce communiqué ? Il y a bien quelqu’un qui lui a demandé de le faire, à défaut d’avoir été interrogée pour constituer un dossier ? Attitude plus qu’étrange, évoquant un communiqué télécommandé.
Près de 60 études de par le monde, et cela est insuffisant, il faut d’autres études, on entend cela partout dans ce complot contre l’Ivermectine. Combien d’études leur a-t-il fallu, aux mêmes pour valider le Remdesivir, le Bambalaba ? Avec moins de preuves d’efficacité, apportées par le seul labo commercialisant et non par des médecins indépendants sans conflits d’intérêts ? Avec plus d’effets secondaires minimisés par les labos et aucune expérience de l’innocuité de ces produits à long terme à l’inverse de l’Ivermectine ? De qui se moque-t-on quand on sort un tel argument ? Et tout le monde va gober cette manipulation des esprits et s’appuyer sur cette non démonstration.
De qui se moque-t-on quand on parle de toxicité possible de l’Ivermectine alors qu’il suffit d’aller voir la base de données des effets secondaires de l’OMS pour constater, que c’est de très loin un des produits le plus sûr au monde (200 fois moins mortel que le Doliprane sur 30 ans d’études) ? Même Merck, qui a dénigré son produit sur sa possible toxicité (car développe 2 nouveaux produits et un vaccin en partenariat) a oublié qu’en 2002 il avait fait une étude avec 10 fois la dose sans aucun souci.
Ce communiqué de l’EMA, pour appuyer son affirmation ne cite qu’une étude : celle faite in vitro, toujours la même. Je crois entendre le discours de dame Costagliola qui la cite toujours en premier et elle seule, sans jamais commenter les études comme celle de Carvallo avec 100% d’efficacité en prophylaxie chez 800 personnes exposées, contre 58% de contaminatiions dans le groupe témoin.
Alors que nous parlons, nous débattons d’études et d’efficacité chez l’homme, incapables d’en discuter, ces gens-là parlent d’études dans les boîtes de Pétri pour détourner le débat ! Ils sont en retard d’une guerre, nous ne sommes plus en phase d’expérimentation en labo, cette étude, qu’elle soit bonne ou mauvaise, a permis des études chez l’homme, et c’est sur ces études chez l’homme, leurs résultats qu’il faut se pencher ! Depuis hier la FDA cause AstraZeneca d’avoir utilisé des “données obsolètes” pour ses études, je ne sais pas de quoi ils parlent, mais ici, le terme de données obsolètes pour déformer la réalité est tout à fait adapté !
RépondreSupprimerAlors pourquoi ? Pourquoi cherche-t-on à gagner du temps alors qu’il y a un consensus indiscutable sur l’efficacité de l’Ivermectine ? Je ne sais pas si c’est vrai, mais j’ai entendu parler d’une levée de fonds (23 ou 28 milliards) en préparation pour ces organismes. Il ne faudrait pas déplaire aux bailleurs potentiels.
L’avenir nous dira si cette information est fondée ou non, en tous cas ce communiqué est bizarre, et a une odeur de complot contre l’Ivermectine.
Auteur(s): Dr Gérard Maudrux, pour FranceSoir
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ivermectine-le-complotisme-de-lema-par-le-dr-maudrux
L'ivermectine fonctionne, y compris pour le Covid long, dit un médecin/chercheur renommé de Yale
RépondreSupprimerle 23/03/2021 à 12:04
Dr Alessandro Santin
L’ivermectine fait vraiment parler d’elle comme traitement contre la Covid comme en atteste l’article du 22 mars de la journaliste d’investigation Mart Beth Pfeiffer, contributrice régulière au site Trial Site News. Hier nous avons eu la surprenante décision de l’EMA (agence européenne du médicament) de ne pas recommander l’ivermectine contre la covid alors que ce médicament est utilisé avec succès dans beaucoup de pays comme l’inde, le Mexique, l’Argentine, la Tchéquie et la slovaquie entre autres.
Nous reproduisons une traduction de cet article qui reprend les informations d’un professeur de l'Université de Yale et chercheur renommé sur le cancer ayant étudié la littérature sur le COVID-19 et traité plusieurs dizaines de patients. Ce dernier ne peut plus garder le silence.
Le Dr Alessandro Santin, oncologue et scientifique en exercice qui dirige un grand laboratoire à Yale, croit fermement que l'ivermectine pourrait réduire considérablement la maladie COVID-19. Santin rejoint un groupe croissant de médecins engagés à utiliser le médicament générique sûr à la fois comme traitement précoce à domicile pour prévenir l'hospitalisation et parallèlement aux traitements hospitaliers tels que les stéroïdes et l'oxygène.
«L'essentiel est que l'ivermectine fonctionne. J'ai vu cela chez mes patients ainsi que dans le traitement de ma propre famille en Italie » a déclaré Santin dans une interview, faisant référence à son père, 88 ans, qui a récemment souffert d'un grave épisode de COVID. «Nous devons trouver un moyen de l’administrer à grande échelle à un grand nombre de personnes.»
Les déclarations de Santin sont endorsées par le prestige de la position de leadership à la Yale School of Medicine et la gravité d'un chercheur de haut niveau sur le cancer de l'utérus, qui est l'auteur de plus de 250 articles de revues scientifiques et a été le pionnier du traitement, utilisé dans le monde entier, pour la forme la plus agressive de cancer de l'utérus. À Yale, il est professeur chef d'équipe en oncologie gynécologique au Smilow Comprehensive Cancer Center et co-chef de l'oncologie gynécologique.
Une amélioration à tous les niveaux
Lorsque la Covid-19 est arrivée, Santin a commencé à lire sur la meilleure façon d'aider ses patients cancéreux, dont 10 à 20% étaient infectés par le COVID. Il a commencé à utiliser l'ivermectine après que le NIH (National Institutes of Health) ait modifié son avis en janvier pour autoriser l'utilisation du médicament en dehors des essais COVID.
L'approbation de Santin est non seulement importante mais large. Il a déclaré avoir vu l'ivermectine agir à chaque étape du COVID - la prévenir, éliminer l'infection précoce, étouffer la tempête destructrice des cytokines en fin d'infection et aider jusqu'à présent une douzaine de patients qui ont souffert des mois après le COVID. L'une d'elles est une athlète et mère de deux enfants, 39 ans, qui avait été handicapée par des douleurs thoraciques post-COVID, un essoufflement et de la fatigue; Elle m'a confirmé dans un e-mail sa joie de pouvoir à nouveau gravir une colline et de mieux respirer dans les 72 heures suivant sa première dose.
«Lorsque vous avez des gens qui ne peuvent pas respirer pendant cinq, six, huit, neuf mois et qu'ils ont essayé plusieurs médicaments et suppléments sans succès, et que vous leur donnez de l'ivermectine», a déclaré le Dr Santin à propos des patients Covid long, «et vous voyez qu'ils commencent immédiatement à se sentir mieux, ce n'est pas un placebo. C'est réel. »
RépondreSupprimerLa majorité des patients se sont améliorés en un à trois jours, a-t-il dit, en particulier ceux qui ont des problèmes respiratoires, une fatigue débilitante et des douleurs thoraciques. Deux projets d' études du Pérou ont rapporté une amélioration avec l'ivermectine chez des patients Covid long; plusieurs médecins, comme Santin, ont également eu des succès anecdotiques.
Au-delà de ses patients externes, Santin a traité des membres de sa famille et des amis infectés par le COVID à la fois dans sa communauté d'origine dans le Connecticut et dans son Italie natale par télémédecine. Là, il a prescrit de l'ivermectine à plus de 15 familles, dans lesquelles des parents, des enfants ou d'autres avaient été infectés; l'objectif était à la fois de traiter précocement et de prévenir les COVID sévères, comme l'ont montré des études l'ivermectine.
«Je n'en ai pas un seul qui ait dû aller à l'hôpital pour recevoir de l'oxygène», a-t-il déclaré. «Je suis convaincu que l'ivermectine a sauvé la vie de mon père de 88 ans ». Son père a survécu au COVID malgré une pression artérielle élevée, une maladie cardiaque qui a conduit auparavant à sept stents et une chirurgie à cœur ouvert et des problèmes pulmonaires. «Si je peux vous sauver», dit-il en se référant à son père, «je peux vous dire que je sauve n'importe qui. »
Santin a déclaré qu'il avait également consulté sur les soins hospitaliers un collègue d'un hôpital de sa ville natale de Brescia, l'une des villes les plus durement touchées par le COVID en Italie.
Deux journaux italiens ont rapporté pour la première fois l'expérience du Dr Santin avec l'ivermectine, les 5 et 18 mars. Dans le premier article, il a déclaré au journal il Fatto Quotidiano: «L'ivermectine peut vraiment changer la donne contre le COVID-19.» Il a rapporté avoir vu des patients cancéreux «améliorer radicalement leur essoufflement et leur oxygénation» dans les 24 à 48 heures suivant leur première dose.
Dans un article subséquent dans le journal Affaritaliani, il a décrit sa surprise après avoir lu pour la première fois le corps de 40 études positives sur l'ivermectine, puis après avoir utilisé le médicament sur des patients. «Je ne m'attendais pas à ce qu'un médicament approuvé il y a plus de 35 ans avec d'autres indications [à savoir pour traiter les vers parasites et la gale] puisse vraiment être aussi efficace et bien toléré chez les patients COVID», a-t-il déclaré.
Dans les deux articles et dans mon entretien, Santin a souligné le plaidoyer crucial du Dr Pierre Kory, un spécialiste des soins intensifs et peut-être la voix la plus forte du pays pour l'ivermectine en tant que président de Frontline COVID-19 Critical Care Alliance .
Médecins: lisez la recherche
RépondreSupprimerKory a déclaré que l'expérience de Santin est typique des médecins qui prennent le temps de parcourir la nouvelle recherche sur l'ivermectine . «Je suis tellement encouragé que d'autres cliniciens réfléchis soient en mesure d'évaluer, d'enquêter, d'examiner les preuves et de porter un jugement sur l'analyse risques-avantages», a-t-il déclaré à propos de Santin.
Les deux médecins ont blâmé les médecins qui ne lisent pas la science émergente et suivent plutôt des protocoles hospitaliers rigides; ceux-ci omettent notamment l'ivermectine, même si le médicament a maintenant reçu la même recommandation NIH neutre que les anticorps monoclonaux et le plasma de convalescence.
En conséquence, on dit généralement aux patients nouvellement diagnostiqués de COVID, comme ils le font depuis un an: de rentrer chez eux, de prendre peut-être de l'acétaminophène et de se rendre à l'hôpital lorsque la respiration devient difficile. En d'autres termes, devenez plus malade avant de recevoir des soins.
Mais même les soins hospitaliers présentent d'énormes problèmes. «Quand vous êtes un patient hospitalisé avec COVID sévère en ce moment», a déclaré Santin, «vous leur donnez un stéroïde, vous leur donnez de l'héparine et du remdesivir. C'est tout. S'ils s'améliorent, tant mieux. S'ils s'aggravent, vous continuez malheureusement à les regarder mourir. »
«J'ai été très déçu, et je suis toujours très déçu, des protocoles de traitement que nous fournissons actuellement aux patients», a-t-il déclaré. C'est pourquoi, il a décidé de s'exprimer.
Kory et Santin diffèrent sur un point. Kory pense que le syndrome long-court est largement dû à l'inflammation; Santin voit un rôle important pour les infections persistantes, à savoir les virus vivants persistants.
Dans l'ordre des choses, c'est un petit problème. La clé pour arrêter le COVID est d'utiliser le médicament, les deux médecins sont d'accord. Au lieu de cela, la médecine traditionnelle, la presse et les responsables de la santé publique aux États-Unis et en Europe l'ignorent, tandis que l'Inde, le Bangladesh, le Pérou, la République tchèque et d'autres pays en récoltent les bénéfices.
Mettre l'accent sur les thérapies
RépondreSupprimerL'approche occidentale du COVID long en est un bon exemple. Les études menées dans de nombreux centres universitaires ne sont généralement pas axées sur les thérapies thérapeutiques, mais sur la définition du syndrome du long-courrier. En conséquence, a déclaré Kory, les patients souffrant de problèmes cognitifs, de douleurs, de problèmes respiratoires et cardiaques sont référés à des spécialistes disposant de peu d'outils pour les aider. Cela peut être compréhensible étant donné que la recherche à long terme est rare et brute.
Mais pour des médecins comme Santin et Kory, les données de sécurité existantes et la recherche clinique donnent de bonnes raisons d'essayer l'ivermectine à chaque étape, y compris chez les 10% qui présentent ce que le FLCCC appelle «des symptômes persistants, vexants et même invalidants après la guérison».
Fred Wagshul, pneumologue à Dayton, Ohio, a essayé l'ivermectine pendant cinq à sept jours dans ce qu'il a appelé de «vrais covid longs». La plupart ont signalé une amélioration significative en quelques jours. De même, le chercheur péruvien Gustavo Aguirre-Chang a fait état de 33 patients Covid long qui ont reçu de l'ivermectine un à trois mois après la résolution; 88 pour cent se sont améliorés avec deux doses quotidiennes.
L'histoire de Sam Dann
Sam Dann est l'affiche de ce que COVID peut faire à un jogger régulier, musclé, actif de 41 ans. Comme beaucoup d'autres patients, il a été renvoyé chez lui après un test positif en juillet dernier avec le conseil de «boire du Gatorade et de prendre du Tylenol». (la version américaine du « restez chez vous prenez du Doliprane »).
Au cours des mois suivants, «j'ai vécu un véritable enfer», m'a-t-il dit, c'était pire que trois tournées en Irak.
Après le premier acte de l’infection, il a connu une fatigue paralysante, de l'anxiété, de l'insomnie et des cauchemars, des tremblements incontrôlables, un rythme cardiaque accéléré et une incapacité à penser correctement ou à se souvenir des informations de base. Il ne pouvait pas travailler.
Quelque six mois après le début de son odyssée exténuante, Dann est allé voir le Dr Bruce Boros, un cardiologue et propriétaire d'un centre de soins d'urgence à Key West, en Floride, qui, après avoir traité environ 200 patients avec de l'ivermectine, l'offre maintenant à titre prophylactique. Là, Dann a obtenu une prescription de 10 jours d'ivermectine.
Le vertige est parti presque immédiatement. Les tremblements se sont calmés. Les nuits étaient difficiles mais se sont progressivement améliorées. La douleur est passée de 8, sur une échelle de 10, à 1 à 3. «J'ai encore des sentiments bizarres ici et là», m'a-t-il dit, «mais je me reconnais enfin.»
Malgré des histoires comme celle-ci, chaque jour aux États-Unis et ailleurs, nous rencontrons de nouveaux patients long, tout comme Sam Dann. Dann a déclaré: «Il y a beaucoup de morts parce qu'ils ont refusé de reconnaître l'usage de cette drogue.»
Le conseil de Santin aux médecins qui suivent sans aucun doute les protocoles COVID est le suivant:
RépondreSupprimer« Utilisez votre cerveau. Si votre patient est en train de mourir, changez quelque chose, essayez de faire quelque chose de plus. »
À propos de l'ivermectine, il a dit: «C'est sûr, bon marché et ça marche.»
https://www.francesoir.fr/societe-sante/livermectine-fonctionne-y-compris-pour-le-covid-long-dit-un-medecinchercheur-renomme
Le contrôle mental à l'ère du Covid
RépondreSupprimerJ.Dominique Michel — Anthropo-loqiques
Sott.net
mar., 23 mar. 2021 13:26 UTC
C'est une grande joie pour moi d'accueillir sur ce blog un nouveau texte du Dr Frédéric Badel. Cet auteur nous avait déjà gratifiés de deux excellents articles sur la manipulation mentale que l'on doit bel et bien observer dans la gestion catastrophique de la crise sanitaire en Occident.
Les lectrices et lecteurs désireux d'en savoir plus ou de creuser cette question pourront bien sûr se tourner vers les travaux de Mme Ariane Bilheran, docteure en psychopathologie, ou la suite d'entretiens donnés à Ema Krusi par M. Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, sur le thème de l'ingénierie sociale.
Ici, le Dr Badel pose des questions qui sont hélas reléguées hors de la sphère publique — ce qui est non seulement dommage mais aussi hautement dommageable.
Avec une conclusion pas chouette à laquelle tous les esprits un peu avertis sont déjà parvenus : nous sommes non seulement maltraités mais aussi délibérément manipulés par nos gouvernements.
* * * * *
Le contrôle mental
Comment parvient-on à faire porter le masque à toute une population sans qu'aucune preuve ne soit apportée d'une quelconque utilité du port de celui-ci ? Comment en vient-on à proposer le principe d'un passeport vaccinal pour un virus peu létal, mutant, qui tue essentiellement des personnes de plus de 80 ans ?
Et comment se fait-il que ces propositions, solutions ou injonctions déclenchent si peu de réactions auprès des populations concernées ?
Certaines techniques de manipulation de masse permettent d'expliquer l'évolution rapide des contenus de pensée à l'échelle de la population et l'adhésion d'une grande partie de cette population à un nouveau programme.
La manipulation de masse ne date pas d'hier. Les outils pour la mettre en place se sont modernisés et ont gagné en rapidité. La manipulation va permettre de disséminer à grande échelle une propagande visant à modifier les repères et les croyances habituels, puis à les remplacer par de nouveaux, sans qu'aucune supercherie ne soit détectée.
De nos jours, la propagation rapide de la propagande d'État est réalisée via la télévision qui reste l'outil d'information quotidien principal pour une majorité de Français. Cette véritable « institution » qu'est cet outil de communication et d'information occupe généralement une place centrale dans un salon ou une pièce où sont pris les repas. La télévision capte les regards et les conversations. Des expériences datant de la fin des années 60 (Thomas Mulholland, Herbert Krugman) montrent qu'après seulement une minute d'écoute, l'activité cérébrale du spectateur se modifie et passe de fréquences bêta à des fréquences alpha. Ce passage signe l'émoussement de la pensée logique et critique pour une détente proche de l'hypnose, ce qui peut expliquer bien des endormissements devant la télé. La propagande va donc employer l'activité hypnotique de cet outil omniprésent.
La télé propose actuellement des programmes en continu. Deux éléments sont utilisés :
RépondreSupprimerLa répétition d'informations identiques auprès de populations en état semi hypnotique permet de mieux ancrer ces informations dans le cerveau. La population recevant les mêmes informations acquiert un mode de pensée unique qui crée une pression sociale, peer pressure, un mécanisme d'auto-régulation du peuple par lui-même. Une fonction naturelle de l'homme est en effet de se calquer inconsciemment sur le modèle social ; à l'échelle de l'individu, un nouveau modèle s'installe pour correspondre à la pensée dominante. L'instinct grégaire et l'obéissance à la règle transforment les citoyens en gardiens de l'ordre établi.
La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion, la diffusion de programmes de télé-réalité faisant appel à la distraction, permettent de détourner l'attention et d'abêtir le peuple en l'éloignant des vrais problèmes sociaux.
Les programmes proposent donc une alternance d'informations inquiétantes et de programmes aliénants permettant la détente.
La télé est le média le plus performant pour conditionner les populations. Les journaux, débats d'idées lors de rencontres par exemple sont moins performants car non hypnotiques. Les lecteurs ou auditeurs gardent un esprit critique, une réflexion, qui permettent plus difficilement d'accéder au subconscient pour y introduire de nouveaux concepts.
Le matraquage médiatique télévisuel utilise certaines stratégies visant à favoriser la modification des croyances. L'ingénierie sociale s'est développée dès les années 30 et plus particulièrement après-guerre. Elle a connu une accélération avec l'arrivée de la télévision qui a permis de s'introduire rapidement dans tous les foyers.
Sur une population hypnotisée, le but est d'effacer progressivement certains programmes mentaux existants et les remplacer par de nouveaux. Comme sur un ordinateur.
La stratégie des chocs a pour objet d'initier et maintenir un chaos social. Le choc créé par une annonce, une image, un commentaire peut provoquer un état de sidération (se rappeler le visionnage en boucle d'images du World trade center). Les images d'hôpitaux submergés, de malades évacués par convois spéciaux, les commentaires alarmants spéculant sur le nombre de morts à venir, les messages sonores, ont favorisé le conditionnement sur un modèle pavlovien. Les chocs successifs ont été distillés de façon aléatoire et assez rapprochée. Les masses, par conditionnement progressif, ont attendu avec anxiété le choc suivant fourni par les interventions de l'exécutif.
Les chocs successifs ont été accompagnés d'une stratégie visant à faire croire que les sacrifices étaient douloureux mais nécessaires et que tout irait mieux demain. Cette stratégie a permis d'amplifier la cohésion sociale autour du narratif officiel.
Elle a été accompagnée également d'un outil particulièrement redoutable de manipulation qu'est l'infantilisation. Par exemple, s'autoriser à soi-même un déplacement à moins d'un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée, à condition de porter un masque est infantilisant, humiliant et très conditionnant ; cela place le gendarme en chacun de nous et oblige à la transgression en conscience. Les demandes stupides imposées font partie de la charte de coercition de Biderman.
La stratégie des petits pas : depuis les premières annonces, insensiblement, les libertés ont été réduites. Une bonne annonce pour la population aujourd'hui réside dans l'absence de privations nouvelles. Un an après le début de la crise, nous sommes en état d'urgence, sous le coup d'un couvre-feu, avec surveillance des frontières, tests systématiques et sous la menace d'une vaccination obligatoire. Insensiblement, nos libertés se réduisent, le gouvernement réglant avec habileté le curseur pour minimiser les risques de sortie de l'hypnose.
Les techniques utilisées, une fois la peur instillée pour obtenir le chaos, consistent à fausser volontairement la réflexion en l'orientant de façon délibérée vers de nouveaux concepts ou un nouveau langage. Dans un temps ultérieur, un sauveur pourra proposer un ordre nouveau pour résoudre la crise.
RépondreSupprimerLe gouvernement au cours de la crise sanitaire a utilisé largement des techniques visant à faire croire que la situation était entièrement nouvelle.
Un néo-langage
La notion de cluster est apparue dès le début de la crise. La population découvrant ce mot lui a attribué la tonalité émotionnelle dramatique du moment et l'a conservée. En résumant, cluster égale danger. Les clusters se sont multipliés, véhiculant avec eux la peur. Il en a été de même pour le patient zéro, les tests PCR, les plateaux montants, les variants etc. La présentation pseudo-scientifique, donc crédible, de ces notions a bâti jour après jour un monde effrayant.
Des pseudo concepts :
« Le monde d'après » — Quelques semaines à peine après le début de l'épidémie, la présentation du « monde d'après » a été utilisée pour donner une coloration dramatique à la virose. Le monde d'après renvoie dans l'inconscient aux grandes catastrophes, qu'elles soient naturelles, atomiques ou virales, dont raffolent les films catastrophes. Ce concept élimine de fait tout retour possible à l'ordre ancien.
« Il va falloir vivre avec le virus » — Le public non averti a pensé que nous n'avions pas, jusqu'à présent, à vivre avec les virus de façon durable, que ceux-ci disparaissaient après les épidémies, et qu'il ne nous restait donc plus comme espoir que la vaccination pour nous en débarrasser, (puisqu'il n'existe officiellement en France aucun traitement).
« Objectif zéro covid » — En contradiction avec le concept précédent, il rend impossible toute sortie de crise. La présence côte-à-côte de ces deux énoncés rend compte du non-sens, très prisé dans la communication gouvernementale. L'objectif étant irréalisable, il prépare le concept suivant.
« La seule sortie de crise possible est la vaccination » — Cette affirmation court-circuite des questions de bon sens sur la nécessité d'un tel traitement, ses conditions d'élaboration etc. Couplée à la menace de pérennisation des restrictions de déplacement auxquelles la vaccination pourrait mettre un terme, beaucoup pensent à se vacciner, permettant sans le savoir qu'une telle mesure soit mise en place. En effet, sans vaccination massive, le passeport sanitaire ou un équivalent serait impossible. On se situe clairement ici dans la fabrique du consentement.
Ces procédés ne permettent pas de débattre des vrais sujets de façon sereine et confisquent toute discussion constructive. La sidération des esprits ne permet plus à chacun de rétablir le sens commun qui aurait permis de demander par exemple : « comment avons-nous fait avec les épidémies précédentes ? » ou « pourquoi parler si tôt d'un monde d'après ou d'une guerre pour un virus ? », « pourquoi se précipiter sur la recherche d'un vaccin sans savoir si un vaccin est une solution pour l'épisode actuel ? » « pourquoi de nombreux pays disposent-ils d'un traitement ? ». Les questions de fond qui permettraient de construire une réflexion structurée et argumentée ont donc soigneusement été éludées.
Néo-langage et pseudo-concepts, renouvelés à l'envi, permettent de maintenir la terreur et de supprimer le sens de l'information. Progressivement, un fait ou une situation seront nommés par des mots galvaudés détournés de leur signification première.
RépondreSupprimerDe ce nouveau langage ont disparu les mots « soigner » et » malades » puisqu'il faut disjoindre le concept d'épidémie de l'idée de malades à soigner. L'épidémie devient une épidémie de cas positifs à isoler et de contacts à identifier. Le peuple passe d'une peur d'être malade à une peur d'être « positif », voire « contact » et accepte docilement les tests et les isolements.
L'exaltation de certaines valeurs morales : la solidarité et le sens de l'éthique.
Le port du masque, tout comme la vaccination, deviennent des actes dont on peut être fier car ils sont philanthropes. Ils sont même filmés par les médias pour être mieux mis en valeur.
Les confinements, les fermetures d'établissements, le déclin de l'économie, les dépressions, les suicides, les retards de prise en charge d'autres pathologies, sont justifiables car nous protégeons les personnes fragiles. L'hypnose des écrans permet d'éluder la catastrophe sanitaire créée par ces mesures prétendument salvatrices. En protégeant les plus fragiles, la vie de millions de personnes est estropiée sans que cela ne pose de problème de logique.
Ce chaos social est organisé par une « cellule » (ici conseil de défense, conseil scientifique) proposant de façon non transparente les mesures liberticides à mettre en place. De façon arbitraire, sans recours à des arguments scientifiques pourtant disponibles, sans tenir compte des nombreuses voix qui s'élèvent pour dénoncer l'inefficacité et la nocivité de ces mesures, cette cellule n'a pas hésité à faire varier l'intensité des chocs délivrés à toute la population, confinements et couvre-feux alternant, sans que personne ou presque ne s'interroge plus réellement sur le terme de ces mesures. Cette cellule a usé des non-sens pour déconnecter encore plus la population de tout raisonnement (combien de débats sur le port du masque debout, assis, les distances de sécurité, et combien de mesures ineptes comme la fermeture des espaces conviviaux en préservant l'accès aux lieux les plus fréquentés).
Les chocs successifs permettent d'anéantir la capacité de réflexion des masses et de les sidérer, d'effacer tous les repères antérieurs. Sur ce fond de turbulence, de désorganisation, il est possible de greffer n'importe quel programme visant à résoudre le chaos et à proposer/ organiser/ imposer le retour au calme.
Le programme actuel est un programme de terreur dont le scénario est basé sur la propagation d'un ou plusieurs virus.
La transe hypnotique dans laquelle est plongée une partie du peuple ne permet plus de rectifier l'information par l'observation. Le monde chaotique proposé à l'écran est entré dans le subconscient de chacun et il est sans cesse renforcé par les mesures visibles au quotidien, telles le port du masque.
Sur la table rase cognitive réalisée en peu de temps par la puissance médiatique et les techniques de manipulation mentale, un nouveau monde apparaît dans lequel il est nécessaire de se protéger de tout, quitte à dissoudre les libertés fondamentales.
RépondreSupprimerDes comportements qui auraient été jugés aberrants hier règnent en règle sociale établie aujourd'hui. Les meilleurs gardiens de ces nouvelles règles sont les personnes ayant subi ce lavage de cerveau. Une manipulation réussie laisse croire à la masse manipulée qu'elle a elle-même décidé de son comportement. Elle passe d'un monde à un autre en traversant une crise déclenchée et résolue par d'autres (stratégie du pyromane).
Le monde d'après se met en place comme annoncé. Le virus en a été le prétexte, la manipulation des masses le moyen. Aujourd'hui, et sans contrôle ou presque, les gens portent le masque y compris dans les zones où il n'est pas obligatoire, ils se reprennent entre eux pour non-respect de la règle, il est normal que les enfants portent des masques à l'école, que les plus vieux soient isolés en Ehpad, le passeport vaccinal ne choque plus que la moitié de la population et est considéré comme une sortie de crise possible, voire souhaitée.
En résumé, nous avons connu une épidémie saisonnière dont le traitement politique et médiatique a permis de réduire nos droits fondamentaux, de bousculer tous les repères antérieurs et d'instaurer de nouvelles normes, en décalage complet avec la réalité.
La puissance de feu de la dyade politico-médiatique a fabriqué le consentement.
Note : la charte de coercition de Biderman définit huit critères de torture. Les techniques sont employées par les parents ou conjoints maltraitants, les sectes, et à grande échelle tous les régimes totalitaires ; elles permettent de créer l'asservissement et de briser toute résistance.
Une comparaison avec les mesures prises pour la crise est instructive.
Isolement (privation du soutien social qui donnerait la capacité de résister) ;
Monopolisation de la perception (effets recherchés, fixer l'attention sur une situation difficile, éliminer les informations en compétition) ;
Épuisement induit ;
Menaces (pour induire l'impuissance et augmenter la soumission) ;
Indulgences occasionnelles (empêche l'accoutumance aux privations, stratégie des chocs) ;
Démonstration de toute puissance ;
Dégradation ;
Demandes stupides imposées (pour développer la soumission).
Commentaire : voir aussi nos récents articles liés :
Les quatre étapes du discours pervers qui, en une année, a établi son emprise sur le peuple français
Emmurés dans les mensonges — Le Bon, Bernays, Ellul : de la propagande et du consentement
La psychopathie et les origines du totalitarisme
L'ère du Covid — Décryptage des « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace
Source de l'article publié le 22 mars 2021 : Anthropo-logiques
https://fr.sott.net/article/36777-Le-controle-mental-a-l-ere-du-Covid
( ...) « Il va falloir vivre avec le virus » (...)
SupprimerDepuis 10 000 ans existe le corona et il existera encore dans 10 000 ans !
Nous respirons toutes & tous AVEC ou SANS masque 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et 2 millions en activité phyique, soit quelques brouettes de milliards depuis ce matin et des milliards de trains de brouettes depuis notre naissance ! Cà alors !! Et... et nous ne sommes pas morts ?! Bêh... non !
Comme le disait Aurore Bergé (députée) "La situation est douloureuse pour ceux qui ont perdu la vie". (Quand je pense à Fernande, je...)
Bien sûr il y a virus et virus. Il y a un an on parlait déjà (suite aux constatations) de 'virus ethnique*' d'où, l'éventuelle proposition de l'élévation d'un monument aux 'Virus morts pour la France'. Tombe à gerber chaque année.
*car, l'on appris l'an dernier par la virologue chinoise Li-Meng Yan que le virus du sida (VIH) avait lui-aussi été fabriqué en laboratoires comme le covide19, 20, 21 jusqu'à 310 807 (!). Oui mais la coquille vide fout les jetons ! Elle est couvée et l'on ne sait pas ce qui va éclore ! Vache folle ? Tremblante du mouton, diarrhée porcine, grippe aviaire, mildiou, atchoum ? Ch'sais pô. On a même peur qu'elle coule une bielle, vide la batterie ou fasse trembler le sol ! c'est tout dire !