PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 26 MAR 2021 - 19:00
Rédigé par Meiling Lee via The Epoch Times,
Après deux semaines de levée de son mandat de masque et de permettre aux entreprises d'ouvrir à pleine capacité, le Texas ne voit pas de flambée de nouveaux cas de COVID-19.
Le gouverneur Greg Abbott, un républicain, a publié un décret (pdf) qui est entré en vigueur le 10 mars pour assouplir les restrictions relatives au COVID-19. Bien que le mandat de masque à l’échelle de l’État ait été levé, les entreprises individuelles étaient toujours en mesure de «limiter la capacité» ou d’imposer des mandats de masque à leur guise.
Mais à Austin (Capitale du Texas. 950 000 hab.) et dans le comté de Travis, les résidents de 10 ans ou plus doivent toujours porter un masque à l'extérieur de leur domicile après qu'un juge de district a refusé d'accorder au procureur général Ken Paxton une ordonnance restrictive qui aurait mis fin à un mandat de masque imposé par les responsables du comté de Travis et de la ville d'Austin. Le procès devrait avoir lieu le 26 mars.
Le Texas avait été témoin d'une tendance à la baisse des cas de COVID-19 et des hospitalisations avant l'annonce d'Abbott mettant fin aux restrictions.
Le COVID-19 est la maladie causée par le virus du PCC (Parti communiste chinois).
Les services de santé du département d'État du Texas (DSHS) ont publié sur Twitter hier que le Texas a vu une diminution moyenne de sept jours du nombre quotidien de nouveaux cas, d'hospitalisations et de décès.
Au moment de la publication du décret, le 2 mars, les nouveaux cas de COVID-19 dans l'État s'élevaient à 7 240 cas, avec une moyenne de 7 259 cas sur sept jours. Ce nombre est tombé à 5 350 cas le 10 mars lorsque le décret est entré en vigueur et que l'économie s'est complètement ouverte.
Deux semaines plus tard, le 24 mars, le nombre de nouveaux cas quotidiens s'élève à 3 827, avec une moyenne de 7 jours de 3 401 cas.
Abbott a inclus dans son ordonnance une disposition autorisant les juges de comté des 22 régions hospitalières de l'État à «utiliser des stratégies d'atténuation du COVID-19» si les hospitalisations dépassent 15 % de la «capacité des lits d'hôpital» pendant sept jours consécutifs.
«Les juges de comté ne peuvent pas imposer de peine de prison pour ne pas avoir suivi les ordonnances du COVID-19 et aucune sanction ne peut être imposée pour avoir omis de porter un masque facial. Si des restrictions sont imposées au niveau du comté, ces restrictions peuvent ne pas inclure la réduction de la capacité à moins de 50 % pour tout type d'entité », a-t-il ajouté.Le retour en arrière du mandat du masque d'Abbott avait suscité les critiques de personnalités de haut niveau, notamment le gouverneur de Californie Gavin Newsom et le Dr Anthony Fauci, l'un des principaux conseillers du président Joe Biden.
«Nous comprenons que les gens ont besoin de revenir à la normale, et nous allons dans cette direction. Mais lorsque vous commencez à faire des choses comme mettre complètement de côté toutes les mesures de santé publique comme si vous éteigniez un interrupteur, c'est assez risqué », a déclaré Fauci lors d'une apparition sur CNN plus tôt ce mois-ci.
"Nous ne voulons pas voir une autre vague, et c'est une invitation quand vous faites cela."
Le Mississippi a également annoncé qu'il levait les restrictions liées au COVID-19 le 2 mars.
«À partir de demain, nous lèverons tous nos mandats de masque de comté et les entreprises pourront fonctionner à pleine capacité sans aucune règle imposée par l'État», a déclaré le gouverneur républicain Tate Reeves sur Twitter. «Nos hospitalisations et le nombre de cas ont chuté, et le vaccin est rapidement distribué. C'est le moment !
Au Mississippi, les nouveaux cas de COVID-19 ont également diminué régulièrement, mais pas autant qu'au Texas.
Il y avait 301 cas avec une moyenne de sept jours de 582 le 2 mars. Deux semaines plus tard, le Mississippi avait 387 nouveaux cas et une moyenne de sept jours de 289 cas.
Le nombre de morts dans l’État est nettement inférieur à celui du Texas, avec quatre décès le 24 mars et une moyenne de six décès sur sept jours.
Le Texas (28 995 000 hab) a enregistré 163 décès le même jour, avec une moyenne de 123 sur sept jours. C'est une baisse par rapport au 10 mars, qui a enregistré 202 décès et une moyenne de 190 décès sur sept jours. Le Texas compte environ dix fois la population du Mississippi (2 976 000 hab.).
Au moment de la publication, plus de six millions de résidents texans et 720 607 Mississippiens ont reçu au moins une dose du vaccin COVID-19.
https://www.zerohedge.com/covid-19/no-surge-covid-two-weeks-after-mask-mandate-lifted-texas
Vous avez vu le film:
RépondreSupprimerFilm des filaments vivants ! à -9 mn (Dr Lorraine Day)
Les ordres donnés par la 5G "Levez-vous ! Allez tuer ! Jetez-vous par la fenêtre ! Écrasez le champignon et roulez à gauche !"
RÉVÉLATION SUR LE TEST PCR: FILAMENTS VIVANTS DE NANO-PARTICULES IMPLANTÉES DANS VOTRE CERVEAU ! POUR VOUS CONTRÔLER ! POUR VOUS RENDRE FOU !
https://www.facebook.com/OuvreTesYeuxx/videos/177598024175132
Au fait... qui vous dit que les masques n'en contiennent pas ?
Homme égorgé par une schizophrène: une plainte vise le suivi psychiatrique
RépondreSupprimerle 27/03/2021 à 13:16 - Mise à jour à 13:18
JEAN PIERRE CLATOT / AFP/Archives
Les proches d'un quinquagénaire égorgé en février à Grenoble ont déposé plainte contre X pour homicide involontaire après avoir découvert que la suspecte, schizophrène, faisait l'objet d'un suivi psychiatrique ancien en raison d'une dangerosité potentielle, selon leur avocat.
Ce suivi sur décision des autorités avait été mis en place de longue date après un passage à l'acte violent dans son milieu familial, a précisé samedi Me Hervé Gerbi, confirmant des informations du Parisien.
Fin février, la victime, âgée de 52 ans, a été tuée d'un coup de cutter. Une femme de 57 ans avait ensuite reconnu les faits, évoquant "des voix" qui l'auraient poussée à agir, selon le parquet. Elle a fait l'objet d'une hospitalisation sous contrainte.
Elle était suivie précédemment en milieu ouvert par un centre médico-psychologique géré par le centre hospitalier Alpes-Isère de Saint-Egrève (Isère), un établissement de santé mentale. Le jour des faits, la suspecte avait assisté aux obsèques de sa fille.
"On sait que la situation vécue par cette femme, confrontée à la maladie de sa fille, avait été parfaitement identifiée comme un risque de déstabilisation", indique Me Gerbi, qui s'interroge dès lors sur les mesures d'accompagnement de la patiente mises en oeuvre par les psychiatres dans ce contexte.
"Un suivi SDRE (Soins sur décision du représentant de l'Etat, NDLR) a deux conditions cumulatives: des troubles mentaux et des risques pour la sécurité des personnes. Et la responsabilité en matière d'appréciation de cette dangerosité ne s'arrête pas aux portes de l'hôpital, elle est encore plus importante à l'extérieur", estime Me Gerbi.
En 2008 à Grenoble, un étudiant avait été poignardé dans la rue par un patient schizophrène de l'hôpital de Saint-Egrève, qui s'était échappé du parc où il était autorisé à sortir. Sa famille, représentée par Me Gerbi, a obtenu en 2019 la condamnation définitive (à 18 mois de prison avec sursis) du psychiatre qui suivait le meurtrier, pour homicide involontaire. Cette affaire avait fait grand bruit dans le milieu de la psychiatrie.
https://www.francesoir.fr/actualites-france/homme-egorge-par-une-schizophrene-une-plainte-vise-le-suivi-psychiatrique
La Terreur sanitaire s'installe en France : prison ferme pour violation des règles sanitaires
RépondreSupprimersamedi 27 mars 2021
Plus que du Covid, les gens doivent avoir peur, désormais, de leur Gouvernement. La justice et la police, malheureusement, deviennent le bras armé de ce système déviant, à vocation totalitaire, qui ouvertement lutte contre l'homme et non contre un virus. L'incarcération pour violation des règles de confinement n'est pas uniquement théorique : des gens, pour être allé au magasin ou être sorti prendre l'air, doivent passer 2 voire 3 mois en prison. Ils en sortiront brisés. Cette Terreur sanitaire remplit in fine deux objectifs : écraser psychiquement les résistants au nouveau dogme mortifère et faire peur au reste de la population.
L'on aurait pu penser que l'inscription d'un étrange délit de violation des règles confinement avec la mise en place d'un régime liberticide sous excuse sanitaire, au pays de Diderot, du libéralisme, des droits de l'homme, que ces excès normatifs sortis d'esprits malades resteraient lettre morte. Notre culture aurait dû nous sauver de cette barbarie.
Il est triste de constater que la corruption des esprits est encore plus grave que celle des corps à l'heure covidienne, et même les corps de l'Etat ont sombré, encore une fois, rongés de l'intérieur depuis longtemps, le vernis a craqué, ils se sont effondrés. Il ne reste plus rien de la culture politique française.
Les procès-verbaux pleuvent sur les "dissidents", ceux qui ont mal rempli leur autorisation de sortie, ceux qui ne sont pas rentrés à l'heure, ceux qui ont le masque trop baissé et risqueraient de respirer alors que les confinements s'enchaînent, pour finalement que le Gouvernement ne déclare que prendre l'air est très bon pour la santé.
Mais la justice, elle, si l'on peut encore l'appeler ainsi, suit son chemin, elle condamne les prises d'air non autorisées ramassées dans les rues de notre beau pays par une police, qui semble être focalisée sur le terrorisme sanitaire.
Le 20 novembre 2020, à Dunkerque, la police renforce les contrôles, interpelle ceux qui n'ont pas une autorisation de sortie dans les règles et derrière la justice condamne les dangereux récidivistes. Qui sont-ils ? L'un, 22 ans, trafiquant de drogue notoire, condamné à deux mois de prison ferme... pour ne pas avoir d'attestation de déplacement valable. Les interpellations sanitaires, vont-elles maintenant servir à compenser l'inefficacité de la politique pénale laxiste ? Ce jeune homme avait eu déjà 12 condamnations. Non, il paraît que ce sera une exception, car la dissidence sanitaire est autrement dangereuse que le trafic de drogue pour le nouvel ordre public :
"« La condamnation à une peine de prison est une exception qui s’adresse aux cas les plus compliqués et aux casiers les plus lourds », précise au Monde le procureur de Dunkerque, Sébastien Piève."
Le second est en effet un cas également grave :
RépondreSupprimer"Hakim S., un autre Dunkerquois âgé de 29 ans, a été arrêté le 12 novembre après un quatrième contrôle pour violation du confinement en quelques jours. Lui aussi a été placé en détention le lendemain, à l’issue de sa comparution selon la procédure de plaider-coupable. Il avait déjà été condamné à trois mois de prison ferme lors du premier confinement, en avril, pour les mêmes faits. Cette fois il a été condamné à deux mois ferme."
Lui aussi est récidiviste - il enfreint régulièrement les règles sanitaires. Ca ressemblerait à du terrorisme sanitaire que l'on s'y méprendrait ...
Et qu'ont fait les autres plus récemment ?
25 ans, interpellé par les policiers d'Agde ce 9 mars, on ne traîne plus, comparution immédiate, trois mois de prison ferme pour avoir violé le couvre-feu en étant en voiture après 18 h ... et avoir"donné des explications fantaisistes". Il avait déjà été verbalisé 3 fois, un dangereux récidiviste, il ne semble pas y avoir de délinquants plus dangereux ces derniers temps. Et le procureur confirme :
""Le parquet de Béziers continuera à faire preuve de fermeté à l'encontre des personnes ayant décidé de violer délibérément et de manière réitérée les règles sanitaires ayant pour objet de lutter contre la pandémie", affirmait le procureur Raphaël Balland"
Le pire, tenez-vous bien, est à venir. Il est des salauds, des vrais, alors que le pays tremble, que dis-je, que le monde tremble de peur, qui osent vouloir fêter leur anniversaire et qui en plus osent aller au magasin pour cela. Ils mériteraient vraiment un camp de rééducation, mais la France étant une démocratie, ils seront simplement incarcérés :
" L’un des mis en cause est contrôlé par les gendarmes à Lure alors qu’il se rend dans un supermarché. C’est le jour de son anniversaire qu’il entend fêter avec un ami. Problème : l’horaire figurant sur son attestation de déplacement est erroné. Les militaires estiment que le document n’est pas conforme."
Comme c'est un coutumier du fait, déféré devant la justice, qui sans états d'âme puisqu'elle n'en a pas, le condamne à deux mois de prison ferme.
Le second, c'est encore pire, il ose souffrir de la solitude en restant enfermé chez lui - alors que le bonheur intégral de ne plus avoir à se déplacer, à pouvoir tout faire de son canapé, à ne plus avoir la peine de vivre lui est accordée, il ose en souffrir - c'est indécent. Un véritable déviant. Condamné lui aussi ce 25 mars à deux mois de prison ferme. L'on ne plaisante pas avec l'ordre public et le procureur ni le juge n'ont le temps de l'humanisme, voire simplement du bon sens - de toute manière, ce serait beaucoup trop dangereux en ce moment pour leur carrière et leurs nuits de sommeil :
"Le procureur de la République a pointé une difficulté à respecter le cadre légal pour l’un, une défiance à l’égard des gendarmes et de l’institution judiciaire pour l’autre. Le magistrat a demandé, pour chacun d’eux, des peines de deux mois de prison ferme. Des réquisitions suivies par le tribunal."
RépondreSupprimerLa défiance se paie, elle se paie cher ! Car qui sait jusqu'où l'on pourrait aller sinon ...
L'on appréciera, dans tous ces cas, la parfaite retenue des médias, de ces journalistes qui doivent préserver l'illusion d'informer, sans rien dénoncer, sans jamais oser une critique, voire une réflexion qui pourrait interroger le bien-fondé de ces pratiques. Rien. Une accumulation de mots sortis d'encéphalogrammes plats, une légitimation sous couvert de neutralité. Ainsi, les médias, avec la police et la justice, sont devenus un des piliers de ce nouveau régime liberticide. Et comme les corps de l'Etat, ils ont chus.
Et la prison, pour des personnes qui ne sont pas des délinquants, est un excellent moyen pour littéralement broyer leur personnalité, leur résistance. Citation du rapport de l'ONU sur l'effet du surpeuplement des prisons :
"La détention sape la dignité humaine, amoindrit la santé physique et mentale des détenus et compromet leurs perspectives de réinsertion."
Or, les prisons françaises sont surpeuplées et les chiffres de mars 2021 montrent une aggravation de la situation :
Il y avait 62 673 détenus au 1er janvier. La hausse a été de 1 129 personnes entre janvier et février. Avec 60 783 places opérationnelles dans les 188 prisons de France, la densité carcérale globale s’établit au 1er février à 105 %, contre 103,4 % le mois précédent. Cette densité est de 122,7 % dans les maisons d’arrêt, où sont incarcérés les prisonniers en attente de jugement et ceux condamnés à de courtes peines.
Ce qui a valu à la France une condamnation par la CEDH en raison des conditions inhumaines de détention. Et les conditions de vie y sont vraiment déplorables :
Au 1er février, 740 détenus étaient contraints de dormir sur un matelas par terre. Ce nombre, qui permet de mesurer la surpopulation, est en hausse depuis plusieurs mois (422 matelas posés au sol le 1er juillet, 587 le 1er octobre et 688 le 1er janvier).
Donc, l'on condamne à de la prison ferme des "délinquants sanitaires", alors que les consignes avaient été données de favoriser les libérations anticipées de véritables délinquants pour éviter la contamination en prison, dont l'on ne parle plus miraculeusement.
La seule explication logique, car il serait trop facile de toujours tout mettre sur le dos d'une incompétence chronique, est que de cette manière la Terreur sanitaire peut être organisée en écrasant les plus indisciplinés et en faisant peur à ceux qui oseraient la désobéissance. Aucune dictature ne peut tenir sans terreur, la dictature sanitaire ne fait pas exception.
http://russiepolitics.blogspot.com/2021/03/la-terreur-sanitaire-sinstalle-en.html
Le contrôle mental à l'ère du Covid
RépondreSupprimerJ.Dominique Michel — Anthropo-loqiques
Sott.net
mar., 23 mar. 2021 13:26 UTC
C'est une grande joie pour moi d'accueillir sur ce blog un nouveau texte du Dr Frédéric Badel. Cet auteur nous avait déjà gratifiés de deux excellents articles sur la manipulation mentale que l'on doit bel et bien observer dans la gestion catastrophique de la crise sanitaire en Occident.
Les lectrices et lecteurs désireux d'en savoir plus ou de creuser cette question pourront bien sûr se tourner vers les travaux de Mme Ariane Bilheran, docteure en psychopathologie, ou la suite d'entretiens donnés à Ema Krusi par M. Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, sur le thème de l'ingénierie sociale.
Ici, le Dr Badel pose des questions qui sont hélas reléguées hors de la sphère publique — ce qui est non seulement dommage mais aussi hautement dommageable.
Avec une conclusion pas chouette à laquelle tous les esprits un peu avertis sont déjà parvenus : nous sommes non seulement maltraités mais aussi délibérément manipulés par nos gouvernements.
* * * * *
Le contrôle mental
Comment parvient-on à faire porter le masque à toute une population sans qu'aucune preuve ne soit apportée d'une quelconque utilité du port de celui-ci ? Comment en vient-on à proposer le principe d'un passeport vaccinal pour un virus peu létal, mutant, qui tue essentiellement des personnes de plus de 80 ans ?
Et comment se fait-il que ces propositions, solutions ou injonctions déclenchent si peu de réactions auprès des populations concernées ?
Certaines techniques de manipulation de masse permettent d'expliquer l'évolution rapide des contenus de pensée à l'échelle de la population et l'adhésion d'une grande partie de cette population à un nouveau programme.
La manipulation de masse ne date pas d'hier. Les outils pour la mettre en place se sont modernisés et ont gagné en rapidité. La manipulation va permettre de disséminer à grande échelle une propagande visant à modifier les repères et les croyances habituels, puis à les remplacer par de nouveaux, sans qu'aucune supercherie ne soit détectée.
De nos jours, la propagation rapide de la propagande d'État est réalisée via la télévision qui reste l'outil d'information quotidien principal pour une majorité de Français. Cette véritable « institution » qu'est cet outil de communication et d'information occupe généralement une place centrale dans un salon ou une pièce où sont pris les repas. La télévision capte les regards et les conversations. Des expériences datant de la fin des années 60 (Thomas Mulholland, Herbert Krugman) montrent qu'après seulement une minute d'écoute, l'activité cérébrale du spectateur se modifie et passe de fréquences bêta à des fréquences alpha. Ce passage signe l'émoussement de la pensée logique et critique pour une détente proche de l'hypnose, ce qui peut expliquer bien des endormissements devant la télé. La propagande va donc employer l'activité hypnotique de cet outil omniprésent.
La télé propose actuellement des programmes en continu. Deux éléments sont utilisés :
RépondreSupprimerLa répétition d'informations identiques auprès de populations en état semi hypnotique permet de mieux ancrer ces informations dans le cerveau. La population recevant les mêmes informations acquiert un mode de pensée unique qui crée une pression sociale, peer pressure, un mécanisme d'auto-régulation du peuple par lui-même. Une fonction naturelle de l'homme est en effet de se calquer inconsciemment sur le modèle social ; à l'échelle de l'individu, un nouveau modèle s'installe pour correspondre à la pensée dominante. L'instinct grégaire et l'obéissance à la règle transforment les citoyens en gardiens de l'ordre établi.
La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion, la diffusion de programmes de télé-réalité faisant appel à la distraction, permettent de détourner l'attention et d'abêtir le peuple en l'éloignant des vrais problèmes sociaux.
Les programmes proposent donc une alternance d'informations inquiétantes et de programmes aliénants permettant la détente.
La télé est le média le plus performant pour conditionner les populations. Les journaux, débats d'idées lors de rencontres par exemple sont moins performants car non hypnotiques. Les lecteurs ou auditeurs gardent un esprit critique, une réflexion, qui permettent plus difficilement d'accéder au subconscient pour y introduire de nouveaux concepts.
Le matraquage médiatique télévisuel utilise certaines stratégies visant à favoriser la modification des croyances. L'ingénierie sociale s'est développée dès les années 30 et plus particulièrement après-guerre. Elle a connu une accélération avec l'arrivée de la télévision qui a permis de s'introduire rapidement dans tous les foyers.
Sur une population hypnotisée, le but est d'effacer progressivement certains programmes mentaux existants et les remplacer par de nouveaux. Comme sur un ordinateur.
La stratégie des chocs a pour objet d'initier et maintenir un chaos social. Le choc créé par une annonce, une image, un commentaire peut provoquer un état de sidération (se rappeler le visionnage en boucle d'images du World trade center). Les images d'hôpitaux submergés, de malades évacués par convois spéciaux, les commentaires alarmants spéculant sur le nombre de morts à venir, les messages sonores, ont favorisé le conditionnement sur un modèle pavlovien. Les chocs successifs ont été distillés de façon aléatoire et assez rapprochée. Les masses, par conditionnement progressif, ont attendu avec anxiété le choc suivant fourni par les interventions de l'exécutif.
Les chocs successifs ont été accompagnés d'une stratégie visant à faire croire que les sacrifices étaient douloureux mais nécessaires et que tout irait mieux demain. Cette stratégie a permis d'amplifier la cohésion sociale autour du narratif officiel.
Elle a été accompagnée également d'un outil particulièrement redoutable de manipulation qu'est l'infantilisation. Par exemple, s'autoriser à soi-même un déplacement à moins d'un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée, à condition de porter un masque est infantilisant, humiliant et très conditionnant ; cela place le gendarme en chacun de nous et oblige à la transgression en conscience. Les demandes stupides imposées font partie de la charte de coercition de Biderman.
La stratégie des petits pas : depuis les premières annonces, insensiblement, les libertés ont été réduites. Une bonne annonce pour la population aujourd'hui réside dans l'absence de privations nouvelles. Un an après le début de la crise, nous sommes en état d'urgence, sous le coup d'un couvre-feu, avec surveillance des frontières, tests systématiques et sous la menace d'une vaccination obligatoire. Insensiblement, nos libertés se réduisent, le gouvernement réglant avec habileté le curseur pour minimiser les risques de sortie de l'hypnose.
RépondreSupprimerLes techniques utilisées, une fois la peur instillée pour obtenir le chaos, consistent à fausser volontairement la réflexion en l'orientant de façon délibérée vers de nouveaux concepts ou un nouveau langage. Dans un temps ultérieur, un sauveur pourra proposer un ordre nouveau pour résoudre la crise.
Le gouvernement au cours de la crise sanitaire a utilisé largement des techniques visant à faire croire que la situation était entièrement nouvelle.
Un néo-langageLa notion de cluster est apparue dès le début de la crise. La population découvrant ce mot lui a attribué la tonalité émotionnelle dramatique du moment et l'a conservée. En résumant, cluster égale danger. Les clusters se sont multipliés, véhiculant avec eux la peur. Il en a été de même pour le patient zéro, les tests PCR, les plateaux montants, les variants etc. La présentation pseudo-scientifique, donc crédible, de ces notions a bâti jour après jour un monde effrayant.
Des pseudo concepts :
« Le monde d'après » — Quelques semaines à peine après le début de l'épidémie, la présentation du « monde d'après » a été utilisée pour donner une coloration dramatique à la virose. Le monde d'après renvoie dans l'inconscient aux grandes catastrophes, qu'elles soient naturelles, atomiques ou virales, dont raffolent les films catastrophes. Ce concept élimine de fait tout retour possible à l'ordre ancien.
« Il va falloir vivre avec le virus » — Le public non averti a pensé que nous n'avions pas, jusqu'à présent, à vivre avec les virus de façon durable, que ceux-ci disparaissaient après les épidémies, et qu'il ne nous restait donc plus comme espoir que la vaccination pour nous en débarrasser, (puisqu'il n'existe officiellement en France aucun traitement).
« Objectif zéro covid » — En contradiction avec le concept précédent, il rend impossible toute sortie de crise. La présence côte-à-côte de ces deux énoncés rend compte du non-sens, très prisé dans la communication gouvernementale. L'objectif étant irréalisable, il prépare le concept suivant.
« La seule sortie de crise possible est la vaccination » — Cette affirmation court-circuite des questions de bon sens sur la nécessité d'un tel traitement, ses conditions d'élaboration etc. Couplée à la menace de pérennisation des restrictions de déplacement auxquelles la vaccination pourrait mettre un terme, beaucoup pensent à se vacciner, permettant sans le savoir qu'une telle mesure soit mise en place. En effet, sans vaccination massive, le passeport sanitaire ou un équivalent serait impossible. On se situe clairement ici dans la fabrique du consentement.
Ces procédés ne permettent pas de débattre des vrais sujets de façon sereine et confisquent toute discussion constructive. La sidération des esprits ne permet plus à chacun de rétablir le sens commun qui aurait permis de demander par exemple : « comment avons-nous fait avec les épidémies précédentes ? » ou « pourquoi parler si tôt d'un monde d'après ou d'une guerre pour un virus ? », « pourquoi se précipiter sur la recherche d'un vaccin sans savoir si un vaccin est une solution pour l'épisode actuel ? » « pourquoi de nombreux pays disposent-ils d'un traitement ? ». Les questions de fond qui permettraient de construire une réflexion structurée et argumentée ont donc soigneusement été éludées.
RépondreSupprimerNéo-langage et pseudo-concepts, renouvelés à l'envi, permettent de maintenir la terreur et de supprimer le sens de l'information. Progressivement, un fait ou une situation seront nommés par des mots galvaudés détournés de leur signification première.
De ce nouveau langage ont disparu les mots « soigner » et » malades » puisqu'il faut disjoindre le concept d'épidémie de l'idée de malades à soigner. L'épidémie devient une épidémie de cas positifs à isoler et de contacts à identifier. Le peuple passe d'une peur d'être malade à une peur d'être « positif », voire « contact » et accepte docilement les tests et les isolements.
L'exaltation de certaines valeurs morales : la solidarité et le sens de l'éthique.
Le port du masque, tout comme la vaccination, deviennent des actes dont on peut être fier car ils sont philanthropes. Ils sont même filmés par les médias pour être mieux mis en valeur.
Les confinements, les fermetures d'établissements, le déclin de l'économie, les dépressions, les suicides, les retards de prise en charge d'autres pathologies, sont justifiables car nous protégeons les personnes fragiles. L'hypnose des écrans permet d'éluder la catastrophe sanitaire créée par ces mesures prétendument salvatrices. En protégeant les plus fragiles, la vie de millions de personnes est estropiée sans que cela ne pose de problème de logique.
Ce chaos social est organisé par une « cellule » (ici conseil de défense, conseil scientifique) proposant de façon non transparente les mesures liberticides à mettre en place. De façon arbitraire, sans recours à des arguments scientifiques pourtant disponibles, sans tenir compte des nombreuses voix qui s'élèvent pour dénoncer l'inefficacité et la nocivité de ces mesures, cette cellule n'a pas hésité à faire varier l'intensité des chocs délivrés à toute la population, confinements et couvre-feux alternant, sans que personne ou presque ne s'interroge plus réellement sur le terme de ces mesures. Cette cellule a usé des non-sens pour déconnecter encore plus la population de tout raisonnement (combien de débats sur le port du masque debout, assis, les distances de sécurité, et combien de mesures ineptes comme la fermeture des espaces conviviaux en préservant l'accès aux lieux les plus fréquentés).
Les chocs successifs permettent d'anéantir la capacité de réflexion des masses et de les sidérer, d'effacer tous les repères antérieurs. Sur ce fond de turbulence, de désorganisation, il est possible de greffer n'importe quel programme visant à résoudre le chaos et à proposer/ organiser/ imposer le retour au calme.
RépondreSupprimerLe programme actuel est un programme de terreur dont le scénario est basé sur la propagation d'un ou plusieurs virus.
La transe hypnotique dans laquelle est plongée une partie du peuple ne permet plus de rectifier l'information par l'observation. Le monde chaotique proposé à l'écran est entré dans le subconscient de chacun et il est sans cesse renforcé par les mesures visibles au quotidien, telles le port du masque.
Sur la table rase cognitive réalisée en peu de temps par la puissance médiatique et les techniques de manipulation mentale, un nouveau monde apparaît dans lequel il est nécessaire de se protéger de tout, quitte à dissoudre les libertés fondamentales.
Des comportements qui auraient été jugés aberrants hier règnent en règle sociale établie aujourd'hui. Les meilleurs gardiens de ces nouvelles règles sont les personnes ayant subi ce lavage de cerveau. Une manipulation réussie laisse croire à la masse manipulée qu'elle a elle-même décidé de son comportement. Elle passe d'un monde à un autre en traversant une crise déclenchée et résolue par d'autres (stratégie du pyromane).
Le monde d'après se met en place comme annoncé. Le virus en a été le prétexte, la manipulation des masses le moyen. Aujourd'hui, et sans contrôle ou presque, les gens portent le masque y compris dans les zones où il n'est pas obligatoire, ils se reprennent entre eux pour non-respect de la règle, il est normal que les enfants portent des masques à l'école, que les plus vieux soient isolés en Ehpad, le passeport vaccinal ne choque plus que la moitié de la population et est considéré comme une sortie de crise possible, voire souhaitée.
En résumé, nous avons connu une épidémie saisonnière dont le traitement politique et médiatique a permis de réduire nos droits fondamentaux, de bousculer tous les repères antérieurs et d'instaurer de nouvelles normes, en décalage complet avec la réalité.
La puissance de feu de la dyade politico-médiatique a fabriqué le consentement.
Note : la charte de coercition de Biderman définit huit critères de torture. Les techniques sont employées par les parents ou conjoints maltraitants, les sectes, et à grande échelle tous les régimes totalitaires ; elles permettent de créer l'asservissement et de briser toute résistance.
Une comparaison avec les mesures prises pour la crise est instructive.
RépondreSupprimerIsolement (privation du soutien social qui donnerait la capacité de résister) ;
Monopolisation de la perception (effets recherchés, fixer l'attention sur une situation difficile, éliminer les informations en compétition) ;
Épuisement induit ;
Menaces (pour induire l'impuissance et augmenter la soumission) ;
Indulgences occasionnelles (empêche l'accoutumance aux privations, stratégie des chocs) ;
Démonstration de toute puissance ;
Dégradation ;
Demandes stupides imposées (pour développer la soumission).
Commentaire : voir aussi nos récents articles liés :
Les quatre étapes du discours pervers qui, en une année, a établi son emprise sur le peuple français
Emmurés dans les mensonges — Le Bon, Bernays, Ellul : de la propagande et du consentement
La psychopathie et les origines du totalitarisme
L'ère du Covid — Décryptage des « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace
Source de l'article publié le 22 mars 2021 : Anthropo-logiques
https://fr.sott.net/article/36777-Le-controle-mental-a-l-ere-du-Covid
Exclusif - Laurent Toubiana publie une étude édifiante sur la surmortalité, «relativement faible», en 2020
RépondreSupprimerSud Radio
ven., 26 mar. 2021 19:51 UTC
Vieillissement de la population et négligence des comorbidités comme causes principales de décès dans certains cas sont autant de raisons qui relativisent soudainement la surmortalité liée à l'épidémie. Des chercheurs publient une étude qui atteste d'un excès de mortalité de 3,66 % par rapport aux chiffres attendus en 2020. Cette surmortalité concerne, par ailleurs, uniquement les personnes âgées.
Des chercheurs affiliés à l'Inserm, l'IRSAN, le CNRS, l'INSEE et l'AP-HP - Laurent Toubiana, Laurent Mucchieli, Pierre Chaillot et Jacques Bouaud -, sont formels : "L'épidémie de Covid-19 a eu un impact relativement faible sur la mortalité en France". L'année 2020 n'ayant connu aucune surmortalité chez les personnes âgées de moins de 65 ans, notamment.
Invité d'André Bercoff sur Sud Radio, le chercheur Laurent Toubiana décrypte en exclusivité cette étude disponible sur le site de l'Irsan.
"La surmortalité, on en a beaucoup parlé dès la canicule de 2008." Surmortalité, oui, mais relative. Pour la population française dans son ensemble, les auteurs estiment à 3,66 %, l'excès par rapport à la mortalité attendue en 2020, soit 23 000 morts au-delà de la moyenne des années précédentes.
Un indéniable vieillissement de la population cumulé à un coronavirus qui impacte surtout les personnes âgées
"Il ne faut pas oublier également que la population française vieillit", ajoute le chercheur. Il faudra également s'attendre à une surmortalité dans les années à venir pour ces raisons démographiques. "Par ailleurs, l'âge médian au décès à l'hôpital des malades de l'épidémie de coronavirus est de 85 ans et près de 92,5 % des personnes avaient 65 ans et plus", rappelant que cette maladie tue principalement des personnes âgées.
La mortalité comme alpha et oméga de l'analyse épidémiologique, loin des "tests positifs"
C'est précisement ce critère de la mortalité qui intéresse les rédacteurs de cette étude, parlant de "référence absolue" en termes d'épidémiologie et d'évaluation de la gravité d'une épidémie. Alors pourquoi ce chiffre de 93 378 morts du Covid-19 à dater du 26 mars 2021 ? Les deux tiers des certificats de décès notés Covid recensés par Santé Publique France comportaient en parallèle des mentions de "comorbidités importantes connues". "Ainsi, les individus décédés sont-ils morts à la suite d'une forme grave de la maladie ou bien, sont-ils morts des suites d'une autre maladie mais ayant été testé positif récemment ?", dit le rapport.
"Entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020, 654 016 individus sont morts toutes causes confondues. Pendant la même période, 64 632 individus ont été comptabilisés comme morts attribués à la maladie Covid-19", soit 9,88 % des décès en France, sans même prendre en compte la notion de comorbidités.
https://fr.sott.net/article/36803-Exclusif-Laurent-Toubiana-publie-une-etude-edifiante-sur-la-surmortalite-relativement-faible-en-2020
Le Léviathan se mobilise pour la bataille décisive
RépondreSupprimerAlastair Crooke
Strategic Culture
lun., 15 mar. 2021 21:18 UTC
Les forces globalistes sont mobilisées pour gagner une dernière bataille dans cette » longue guerre « , cherchant à frapper partout.
Dans The Revolt of the Public [La révolte du public], Martin Gurri, un ancien analyste de la CIA, affirme que les élites occidentales connaissent un effondrement de leur autorité dû à l'incapacité de faire la distinction entre la critique légitime et ce qu'il appelle la rébellion illégitime. Une fois que le contrôle du mythe justificatif de l'Amérique a été perdu, le masque est tombé. Et la disparité entre le mythe et le comportement public de celle-ci n'est devenue que trop évidente.
En 2014, Gurri prévoyait déjà que l'Establishment allait rétorquer en prétendant que toutes les preuves du mécontentement public qu'on leur montrait n'étaient que des mensonges et de la désinformation. L'Establishment serait, selon Gurri, tellement enfermé dans sa « bulle » qu'il serait incapable d'accepter la perte de son monopole sur sa propre « réalité » inventée. Ce déni de l'Establishment se manifesterait, selon lui, de manière autoritaire, délirante et maladroite. Ses prédictions ont été confirmées par la dissidence Trumpiste, dénoncée comme une menace pour « notre démocratie », et pourtant confrontée à une censure des médias et des plateformes sociales. Une telle réponse n'a donc fait que confirmer les soupçons du public, enclenchant ainsi un cercle vicieux de « méfiance et de perte de légitimité », conclut Gurri.
Telle est l'idée maîtresse de Gurri. Cependant, la caractéristique la plus frappante de ce livre est qu'il semble parfaitement correspondre à l'ère qui allait venir [en 2014], celle de Trump et du Brexit - et à l'impulsion « anti-système » qui les sous-tend. En Amérique, c'est cette impulsion qui a trouvé Trump, et non l'inverse. Le point essentiel ici est que l'Amérique ne perçoit plus les Rouges [les Républicains] et les Bleus [les Démocrates] comme les deux ailes dépliées de la démocratie libérale. Pour environ la moitié des Américains, le « système » est truqué en faveur des 0,1% qui en profitent, et en défaveur du peuple.
Le point clé ici est sans doute de savoir si le Grand Reset des élites - qui consiste à se réinventer en tant que leaders des valeurs « relookées » du libéralisme, recouvertes par une post-modernité nouvellement mise à jour, dirigée par l'IA et les robots - a des chances de réussir, ou pas.
La poursuite de l'« occidentalisation » du globe - principale composante de l'« ancien »mondialisme libéral - bien que ternie et largement discréditée, reste obligatoire, comme le montre clairement le raisonnement convaincant récemment avancé par Robert Kagan : En l'absence du mythe justifiant « l'implantation de la démocratie dans le monde » autour duquel l'empire s'étend, la logique morale de toute cette entreprise commence à s'effondrer, affirme Kagan (avec une franchise surprenante). Il prétend donc que l'empire américain à l'étranger est bien nécessaire - principalement pour préserver le mythe de la « démocratie » à l'intérieur du pays. Une Amérique qui perdrait son hégémonie mondiale, affirme-t-il, ne posséderait plus la cohésion nécessaire pour préserver la démocratie libérale chez elle.
Gurri est ambivalent sur la capacité de l'élite à tenir bon. Il affirme à la fois que « le centre ne peut pas tenir », mais ajoute ensuite que la périphérie n'a « aucune idée de ce qu'il faut faire ». Des révoltes publiques exploseraient mais sans être soutenues par des plans cohérents, poussant la société dans des cycles interminables d'affrontements à somme nulle entre des autorités myopes et des sujets de plus en plus furieux. Il appelle cela une « paralysie due à la méfiance », où des groupes de population peuvent « neutraliser, mais pas remplacer le centre » et où « les groupes sociaux peuvent protester et même renverser, mais pas gouverner ».
RépondreSupprimerIl peut y avoir une part de vérité dans cette dernière observation, mais ce qui se passe aujourd'hui aux États-Unis n'est qu'une « bataille » (bien qu'elle soit essentielle) dans une guerre stratégique plus longue, qui remonte à loin. La notion de Nouvel Ordre Mondial n'est pas nouvelle. Imaginée par les mondialistes aujourd'hui comme hier, elle reste un processus téléologique « d'occidentalisation » du globe (valeurs universelles occidentales), poursuivi sous la rubrique du modernisme (scientifique).
La particularité de l'actuelle Grand Reset réside toutefois dans le fait qu'il s'agit d'une version ultérieure, plus actualisée, des valeurs occidentales - et non des mêmes valeurs occidentales qu'hier. L'odeur du colonialisme a été exorcisée du projet impérial et cachée derrière le lancement d'une guerre contre la « suprématie blanche » et l'injustice raciale et sociale. Le leadership mondial a été reformulé pour « sauver la planète » du changement climatique, sauver l'humanité de la pandémie et nous protéger tous de la crise financière mondiale à venir. Du vrai lait maternel. Qui pourrait résister à un programme aussi bien intentionné ?
L'actuel Grand Reset est un processus de métamorphose - un changement dans les valeurs et le paradigme occidentaux. Comme l'écrit le professeur Douguine : « Et c'est important - il s'agit d'un double processus visant à actualiser l'Occident lui-même - et [en même temps] à projeter cette version actualisée vers le monde extérieur. C'est une sorte de combinaison postmoderne de l'Occident et du Moderne ».
Mais son essence - la racine de cette lutte méta-historique - a toujours été l'ordre mondial, la société ouverte axée sur la désolidarisation des humains de toute forme d'identité collective. Tout d'abord sa désolidarisation, au temps de l'homme de la Renaissance, de la notion de microcosme interpénétré dans un vaste macrocosme vivant qui l'entoure (cet objectif a été largement atteint grâce à l'avènement du scientisme empirique) ; puis son découplage du catholicisme latin (via l'individualisme protestant) ; et dernièrement, sa désolidarisation de l'État-nation séculaire (via le mondialisme). Enfin, nous arrivons à la « phase tardive » de cette mue - son détachement de toute identité et histoire collective, y compris son ethnicité et son sexe (qu'il devra désormais définir par lui-même).
C'est le passage à un nouveau type de libéralisme, qui fait du genre et de l'identité une fluidité totale et liquide. Ce dernier aspect n'est pas accessoire, ou un simple ajout, c'est « quelque chose » d'essentiellement intégré à la logique du libéralisme. Cette logique est inéluctable. Et la fin logique ultime à laquelle elle mène ? Eh bien, à la désincorporation du soi subjectif dans le transhumanisme. (Mais n'allons pas dans cette direction ; elle est sombre - c'est-à-dire qu'être humain, c'est imposer le subjectif à l'objectif - « Nous devons libérer les objets des sujets, de l'humanité, et explorer les choses telles qu'elles sont - sans l'homme, sans être un outil de l'homme »).
RépondreSupprimerEt ici la perspicacité de Gurri devient saillante : Le plan est hors de contrôle, et devient progressivement de plus en plus bizarre. L'époque unipolaire américaine est « terminée ». Elle subit des oppositions de toutes sortes, tant à l'étranger qu'à l'intérieur du pays. Les impulsions conservatrices et traditionnelles ont réagi contre ce programme idéologique radical et, surtout, la crise financière de 2008 et le quasi-effondrement du système ont annoncé aux élites la fin prochaine de l'hégémonie financière des États-Unis et, par conséquent, de la primauté de l'Amérique. Cela a entrainé une période critique.
Maintenant ils sont dans une impasse cruciale. Quand ils parlent de Reset, cela signifie un retour forcé à la poursuite de leur agenda. Mais ce n'est pas aussi simple qu'il y paraît. Tout semblait presque prêt à se mettre en place il y a vingt ans ; pourtant, aujourd'hui, l'Establishment doit se battre pour chaque élément de sa stratégie car partout il rencontre une résistance croissante. Et ce n'est pas une résistance insignifiante. Rien qu'en Amérique, quelque 74 millions d'Américains rejettent la guerre culturelle qui est menée contre eux.
Fyodor Dostoevsky a bien décrit dans Les Démons la conséquence de toute cette rupture de sens, telle qu'elle a été découverte aux niveaux les plus profonds de la psyché humaine collective. La transcender ? On ne peut pas tout simplement s'en débarrasser. Le désir de donner du sens, de savoir qui nous sommes, est profondément ancré dans la psyché humaine. Dans Les Démons, il montre que nier et rejeter cela ne mène qu'à une violence gratuite (y compris le viol d'enfants), une destruction cynique et à d'autres comportements pathologiques extrêmes.
À l'origine, Dostoïevski envisageait Les Démons comme une polémique politique, mais, horrifié par les reportages sur l'orchestration d'un meurtre politique inutile par un leader nihiliste russe, il a romancé l'histoire, dans l'espoir de montrer comment les libéraux laïques russes des années 1840, sensibles, bienveillants et bien intentionnés, avaient préparé le terrain à la génération de leurs enfants, dans les années 1860, composée d'enfants radicalisés, obsédés par leur idéologie et déterminés à détruire le monde.
Dans un sens, l'exploration par Dostoïevski de la psychologie des Russes libéraux laïques des années 1840 (qui ont transmis leurs critiques de l'establishment à la génération suivante) était en quelque sorte le précurseur de la génération Woodstock des années 1960 - une jeunesse gâtée et voulant vivre, en quête de sens et de transcendance par rapport à l'ennuyeuse « réalité », par la musique, le sexe et les drogues. Tous deux ont donné naissance à une génération d'enfants en colère, animés par la haine d'un monde qui conspire sans cesse à contrarier leur vision de ce que les choses « devraient être ».
Si l'on demandait à Dostoïevski pourquoi la culture occidentale est piégée dans une dynamique oscillant entre le libéralisme et le radicalisme nihiliste depuis environ deux siècles sans que l'on puisse en voir la fin, il répondrait probablement que c'est à cause de notre déconnexion des niveaux les plus profonds de ce que signifie être un humain. Cette perte de connexion crée inévitablement des pathologies. (Carl Jung est arrivé à la même conclusion).
RépondreSupprimerAlors, le Reset se réalisera-t-il ?
Les élites s'accrochent toujours à l'occidentalisation du monde (« America is back » - bien que personne ne soit très enthousiaste à cette idée). Les obstacles sont nombreux et croissants. Obstacles et crises à l'intérieur du pays - où Biden perd visiblement son autorité. Le processus décisionnel américain semble dépourvu d'un « président », ou plutôt d'un maître du jeu qui assume son rôle. Qui est en charge de la politique étrangère ? On ne sait pas très bien. Et l'Amérique elle-même est irréconciliablement divisée et affaiblie. Mais aussi, pour la première fois, les États-Unis et l'UE sont de plus en plus perçus à l'étranger comme incapables de gérer les affaires les plus simples.
Néanmoins, l'appel aux armes des globalistes est évident. Le monde a clairement changé au cours des quatre dernières années. Les forces globalistes sont donc mobilisées pour gagner la dernière bataille dans cette « longue guerre » - en cherchant à frapper partout. Vaincre Trump est le premier objectif. Discréditer toutes les variétés de populisme européen en est un autre. Les États-Unis pensent pouvoir imposer une défaite psychologique, technologique et économique cuisante à l'alliance Russie-Chine-Iran. Dans le passé, l'issue en était prévisible. Cette fois, l'Eurasie pourrait très bien se dresser solidement contre une Océana affaiblie (et une Europe pusillanime). Cela ébranlerait le Léviathan jusque dans ses fondations. Qui sait ce qui pourrait alors émerger des ruines de sa post-modernité.
Alastair Crooke
Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone
https://fr.sott.net/article/36804-Le-Leviathan-se-mobilise-pour-la-bataille-decisive
Un sujet qui n'a encore jamais été abordé est celui des merdias. Ils polarisent la haine des propriétaires des journaux, radios et télés sur le Peuple (7 milliards) alors que celui-ci occupe une part de plus en plus importante dans l'intelligence humaine grâce à cette 'Démocratie' qu'est l'Internet. Ce rival est au cœur des conflits où il est traité de tout par les hackers postés de partout.
SupprimerDernièrement, c'est une nano-épidémie qui est surévaluée en pandémie avec pour la première fois le port du masque inutile par toutes les populations !
Pire encore l'arrivée de faux-vaccins qui ne peuvent apporter de réel remède suivit des fameux 'tests PCR' où sont introduit des nano-technologies mortelles destinée à prendre le contrôle total de chaque être humain !
L'introduction de bipèdes meurtriers ou esclaves télécommandés jette un froid glacial et la pire peur de l'autre qui n'est jamais été !
Qui est celui qui demain vous tuera ? Qui ?!
Lassé de l'enfermement covidesque, le claveciniste François Grenier s'est suicidé
RépondreSupprimerArnaud Florac
bvoltaire.fr
ven., 26 mar. 2021 17:50 UTC
François Grenier, claveciniste brillant, codirecteur d'un ensemble de musique ancienne (Hemiolia), s'est donné la mort le 17 mars. Selon son amie et codirectrice, Claire Lamquet, le deuxième confinement l'avait rendu dépressif. Le Figaro nous l'apprend et s'en est fait l'écho, le 25 mars 2021.
On pourra dire ce qu'on voudra sur cet événement en apparence anodin. On pourra évoquer le cliché de l'artiste maudit, toujours à fleur de peau, à qui la souffrance existentielle accorde autant de bénédictions que de tortures. On pourra dire que le suicide (qu'il faudrait peut-être appeler « mort volontaire sans assistance » pour la distinguer de l'euthanasie, qu'en pensez-vous ?) est toujours une conjonction de facteurs, qu'on ne s'ôte pas la vie simplement à cause d'un régime particulièrement punitif.
Il n'empêche. Cette mort a valeur de symbole. Il ne s'agit pas de la récupérer mais simplement d'essayer de dire de quoi elle est le nom.
C'est d'abord la mort de la culture : fermeture des théâtres, des salles de concert, des cinémas - tandis que les McDo de la France entière sont ouverts, bien sûr. À cette fermeture fait écho la perte progressive des repères classiques, réécrits pour les idiots, réarrangés si l'on veut (Molière, Club des cinq, chiffres romains... Boulevard Voltaire en a déjà parlé). La mort d'un claveciniste, ce n'est pas la mort d'un rappeur : ceux-ci s'entre-tuent sur fond de trafic de drogue et de provocations sur les réseaux sociaux, celui-là est mort en silence dans l'indifférence.
C'est ensuite la mort d'une certaine sociabilité, celle que permet l'art. Comme dans la physique quantique, en effet, c'est le regard de l'observateur qui donne la vie à la création artistique. On écrit, on filme, on joue, on chante pour être lu, regardé, écouté. Plus encore, un spectacle vivant est à chaque fois différent. C'est un petit miracle provisoire, qui se déploie de scène en scène. En ces temps où la terrible peste noire fauche des milliards de personnes, comme chacun sait, on ne peut pas imaginer revenir à une vie normale : alors, on télécharge, on regarde en streaming, on ouvre des livres. Quand Roselyne Bachelot sortira de l'hôpital, il faudra lui présenter cette affaire.
Que François Grenier repose en paix, terrassé comme des millions de Français par la cotonneuse camisole d'un gouvernement absurde, livré à ses idées noires, dans une solitude sans musique.
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l'on n'a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
https://fr.sott.net/article/36802-Lasse-de-l-enfermement-covidesque-le-claveciniste-Francois-Greniers-est-suicide
La mort de la culture comme celle des festivités fait partie des programmes du 'Grand Reset'.
Supprimer10 milliards de dollars de marchandises bloquées dans le canal de Suez
RépondreSupprimervendredi 26 mars 2021
La chaîne d'approvisionnement est fragile et cette "vulnérabilité du commerce mondial" a été soulevée maintes fois par le Forum économique mondial.
Leur solution: "De nombreuses chaînes d'approvisionnement reposent encore sur des processus obsolètes. 👉C'est l'occasion de construire des réseaux d'approvisionnement numériques interconnectés capables d'anticiper et de répondre aux futurs chocs de la chaîne d'approvisionnement et de minimiser leur impact."
👉 La numérisation de la chaîne d'approvisionnement, en investissant dans l'intelligence artificielle et l'automatisation intelligente, peut créer des chaînes d'approvisionnement intelligentes et agiles capables de changer rapidement les stratégies de production."
https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/la-chaine-dapprovisionnement-mondiale-perturbee-par-le-blocage-du-canal-de-suez-1301588
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/03/10-milliards-de-dollars-de-marchandises.html
Faites-vous vite envoyer de Chine à chez vous les codes pour imprimer vos ordis et téléphones en 3D !
SupprimerPandémie coronavirale : une « fake-news » ?
RépondreSupprimerle 27 mars 2021
Le 23 Janvier 2020 l’OMS préconisait le test RT-PCR (Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction) comme moyen de diagnostic du SARS-CoV-2 en s’inspirant des recommandations d’un virologiste de l’hôpital universitaire Charité de Berlin, personnage dont les recherches sont financées par la fondation Bill & Melinda Gates. Exactement un an plus tard, le 20 Janvier 2021, l’OMS se rétracte sans vraiment reconnaître qu’elle a fait une erreur et préconise alors un « Re-testing » matériellement impossible à mettre en œuvre. Ce Re-testing consiste à mettre le prélèvement nasal dans une culture de cellules sensibles au SARS-CoV-2 et de quantifier la croissance éventuelle du virus. Autant dire que ce type d’approche ne peut être réalisée que dans des conditions particulières réservées aux laboratoires de virologie spécialisés comme en France l’IHU de Marseille pour étudier par exemple la séquence des ribo-nucléotides du matériel génétique du virus.
Dans son communiqué du 20 janvier dernier l’OMS précise que le nombre de cycles d’amplification ne doit pas être supérieur à 25-30 cycles et qu’au delà de 30 Ct (« Cycle amplification threshold ») le test n’a plus aucune signification. En conséquence l’OMS déclare que tous les cas confirmés positifs au cours des 14 derniers mois sont invalides puisque les pays occidentaux ont utilisé en routine des Ct supérieurs à 35 !
L’OMS est donc très claire, toutes les estimations de recrudescence de la pandémie basées sur le nombre de « positifs » par RT-PCR sont elles-mêmes sans aucune valeur. Toutes les statistiques sont donc fausses et il n’existe aucune preuve scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie ! En conséquence toutes les mesures décidées par les dirigeants politiques, confinements, couvre-feu, restrictions économiques qui ont eu pour conséquence une panique sociale, l’augmentation de la pauvreté et du chômage, sont toutes injustifiées !
Plus de 2 mois après cette mise en garde de l’OMS rien n’a changé, les politiciens et leurs conseils scientifiques d’opérette (pas seulement en France) continuent d’effrayer les populations et de ruiner les économies. Dans quel but, se demande le Professeur Michel Chossudovsky (lien en fin de billet). Pour l’OMS dans sa déclaration du 20 janvier dernier il s’agit de maintenir un nombre de « cas positifs » suffisamment élevé pour justifier l’obligation de vaccination puisque selon les pouvoirs politiques il n’existe aucun traitement préventif ou curatif à ce jour, ce qui est faux. Pour l’OMS aussi plus de 97 % des « cas positifs » sont des faux positifs. La supercherie est donc gigantesque : les pouvoirs politiques, pour bien terroriser les populations prédisent une troisième vague ou une quatrième vague ou pire encore une persistance indéfinie du SARS-CoV-2 pour bien faire comprendre aux populations que la vaccination est la seule alternative existant à l’heure actuelle pour maîtriser cette pandémie. Inutile de tourner autour du pot, il y a comme un lourd relent de corruption qui affecte tous les gouvernements des pays occidentaux, mais je m’égare …
RépondreSupprimerPour le conseiller scientifique de l’OMS Pieter Borger toutes les mesures de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire, de déplacements limités, de fermeture de magasins non essentiels et de violation des espaces privés sont adossés sur une fraude basée sur un usage abusif des tests RT-PCR avec des Ct non appropriés.
Les médias aux ordres du pouvoir politique, ressassent 24 heures sur 24 la dangerosité du virus alors que pour l’OMS il n’y a pas d’épidémie ! Pour Chodussovsky il s’agit d’un mélange complexe de mensonges, il s’agit d’un crime contre l’humanité. Ce diabolique projet émanant des sphères supérieurs de l’establishment financier (y compris le World Economic Forum) détruit la vie des peuples à l’échelle mondiale. Il faut rappeler ici que seule la Tanzanie a refusé le « corona consensus » de l’OMS du 20 Janvier 2020 parmi les 193 membres de cette organisation onusienne.
Source : https://www.globalresearch.ca/nucleic-acid-testing-technologies-use-polymerase-chain-reaction-pcr-detection-sars-cov-2/5739959 .Mes honorables lecteurs anglophones peuvent visionner l’exposé de Chodussovsky qui est d’une clarté remarquable.
Relire aussi sur ce blog :
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/22/breve-les-fondement-de-la-dictature-sanitaire-en-europe-occidentale/ https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/10/14/retour-sur-lusage-abusif-des-tests-pcr/
Note. Je m’excuse auprès de mes lecteurs qui ont perdu un proche ces 12 derniers mois. Cependant chaque année les grippes saisonnières tuent des octogénaires car les problèmes pulmonaires sont la première cause de mortalité chez nos concitoyens de plus de 70 ans.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/03/27/pandemie-coronavirale-une-fake-news/
Tucker Carlson: À la mort de la comédie
RépondreSupprimerTucker Carlson: La comédie de fin de soirée est décédée pendant la présidence de Trump.
March 27th, 2021
Adam Carolla:
«Vous savez, ils ont à tout le monde quand ils ont des comédiens. Pensez-y, professeurs, flics et politiciens - ils ont cédé. Maintenant, le fait que les comédiens aient cédé signifie que tout le monde a peur du Woke Mob. "
- voir clip sur site -
Mais la comédie n'est pas complètement morte sur le câble de fin de nuit: vérifiez Mark Steyn - en particulier sur les médias américains serviles:
Biden a dit que nous devons élever chaque route de 3 pieds à cause du changement climatique, ... et ils ont pris cela, ces gens, la Cour Enuchs a accepté ...
Mark Steyn à propos de Joe Biden déclarant qu'il pourrait briguer un autre mandat:
… Je n'ai aucune idée de qui est le gouvernement des États-Unis, mais si l'État profond peut s'en tirer, il peut s'en tirer avec n'importe quoi.
L'État profond dit que si nous pouvons y parvenir, nous n'avons besoin de personne dans le bureau ovale.
Matt Taibbi: La mort de l'humour
Critique de "Killer Cartoons", édité par David Wallis, et "White", par Bret Easton Ellis
L'humour meurt partout, pour des raisons évidentes. Toute comédie est subversive et l'autoritarisme est à la mode. Les bandes dessinées existent pour nous empêcher de nous prendre trop au sérieux, et nous vivons à une époque où les gens croient avoir le droit constitutionnel d'être pris au sérieux, même si - surtout si - ils sont des idiots, répétant des pensées qu'ils viennent d'entendre seulement pour la première fois. il y a quelques minutes. Parce que l’humour dégonfle les idées stupides, les humoristes sont dénoncés dans toutes les cultures qui vénèrent des idées stupides, comme l’Espagne sous l’Inquisition, l’Afghanistan sous les talibans ou les États-Unis d’aujourd’hui.
https://joannenova.com.au/2021/03/tucker-carlson-on-the-death-of-comedy/
(...) Biden a dit que nous devons élever chaque route de 3 pieds à cause du changement climatique, ... et ils ont pris cela, ces gens, la Cour Enuchs a accepté (...)
SupprimerLa débilité alzheimerienne va obliger les entreprises de travaux public de surélever les routes d'1 mètre !!! HAHAHAHA !
Plus con que çà y a pas !
L'attardé mental ignore que depuis des millions d'années il y a des milliards de kilomètres cubes d'eaux (venues des pluies, fleuves & rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... sans que le niveau ne monte !! Çà alors !!
Mais pour le trisomique, si la glace des pôles venait à fondre le volume d'eau serait... supérieur à la glace !! HAHAHAHA !
Mise à jour de la situation, 26 mars: Les personnes vaccinées marchent des bombes à retardement biologiques et une menace pour la société
RépondreSupprimerVendredi 26 mars 2021
par: Mike Adams
(Natural News) Les personnes qui sont suffisamment ignorantes pour se faire injecter un vaccin expérimental qui accélère la génération de super souches hautement contagieuses dans leur propre corps sont des bombes à retardement biologiques et une menace pour la société.
Les mondialistes le savent et, conformément à leurs objectifs d'extermination de masse mondiale, ils donnent aux personnes les plus dangereuses et les plus contagieuses des «passeports vaccinaux» afin qu'elles puissent se déplacer librement dans la société, répandant leurs virus de très grande souche dans le monde entier. Encore une fois, tout cela est intentionnel.
Les personnes les plus sûres sont celles qui ont un système immunitaire inné fort et qui ont déjà construit des anticorps contre le coronavirus, sans aucune intervention médicale. Ceci est facilement accompli chez la plupart des gens avec l'aide de la vitamine D, du zinc, de la nutrition, d'un sommeil réparateur et de l'évitement des aliments et des médicaments toxiques.
Pourtant, toute l'industrie «scientifique» refuse de reconnaître le rôle que ce soit de l'immunité innée, et les anticorps que les individus créent eux-mêmes ne sont pas reconnus comme remplissant quelque fonction que ce soit. Par exemple, vous ne pouvez pas obtenir un «passeport d’anticorps» en montrant votre propre immunité innée, même si vous avez déjà vaincu le pathogène grâce à votre système immunitaire donné par Dieu.
La «science» moderne - si nous osons même l'appeler ainsi - veut que vous croyiez que vous n'avez aucun système immunitaire et que votre corps doit être détourné par des vaccins à ARNm pour fonctionner. C'est un mensonge gigantesque et dangereux, et il est répété par presque tous les médias, journaux médicaux et «autorités» médicales à travers le monde (dont la plupart travaillent pour le PCC pour détruire les nations occidentales, bien sûr).
Si des verrouillages, des quarantaines et des masques devaient être exigés pour quiconque, ce devrait être les vaccinés !
Ce sont les personnes vaccinées qui sont les plus dangereuses pour la société et les plus susceptibles d’infecter d’autres avec des super souches qui démontrent déjà une immunité complète aux vaccins existants. En d’autres termes, les vaccins sont déjà devenus largement obsolètes.
Seul le système immunitaire humain inné peut gérer les mutations rapides et les vaincre en quelques heures plutôt que d’attendre plus de 10 mois que l’industrie du vaccin déploie un autre «vaccin de rappel de covid».
L'industrie des vaccins poursuivra à jamais ces variantes et souches mutantes, exactement de la même manière que les antibiotiques chassent à jamais les superbactéries en milieu hospitalier. Pourtant, aujourd’hui, le monde entier est l’usine de super souches pour l’industrie des vaccins / armes biologiques, et en vérité, il y a quelque chose de bien plus sinistre en jeu ici.
Fauci, le NIH et le PCC avaient besoin de milliards d'humains pour servir d'usines d'armes biologiques afin d'accélérer leur ultime arme biologique génocidaire
RépondreSupprimerIl s'avère que Fauci, le NIH et le PCC n’ont pas réussi à construire une arme biologique mortelle qui anéantirait l’humanité. L'arme qu'ils ont construite - SARS-COV-2 - visait simplement à convaincre des milliards de personnes de prendre des vaccins qui transformeraient leur propre corps en usines d'armes biologiques afin que le développement de la mutation puisse ensuite se dérouler à l'échelle mondiale.
De cette manière, le complexe militaire centralisé du vaccin contre les armes biologiques a pu «décentraliser» son programme de développement d'armes biologiques en libérant une souche relativement légère dans la nature et en la suivant avec un vaccin pour accélérer les adaptations de la super souche. En effet, chaque être humain qui a pris le vaccin est maintenant une usine d'armes biologiques ambulantes, produisant des super souches et les «rejetant» dans toute la société à l'aide de leurs passeports vaccinaux.
Alors que les compagnies de croisière, les arènes sportives, les compagnies aériennes, les universités et d'autres organisations annoncent désormais des politiques «vaccinés uniquement» pour les personnes qu'ils autoriseront à reprendre leurs activités normales, elles créent des conditions de «tempête parfaites» pour la propagation de la prochaine souche virale meurtrière mondiale le résultat de mutations aléatoires chez une personne vaccinée, et non une ingénierie délibérée dans un laboratoire de génétique.
Le véritable objectif médical du vaccin est d'éliminer les souches les moins létales et de fournir des pressions d'adaptation virales qui accélèrent la création de souches plus mortelles.
Tout cela était intentionnel. Ils savaient qu’ils ne pouvaient pas concevoir l’arme parfaite dans le laboratoire… ils avaient besoin de faire travailler les êtres humains en tant qu’expériences de laboratoire ambulant. Et c’est exactement ce que le vaccin a accompli.
Les personnes vaccinées sont dangereuses dans les parages
Désormais, quiconque veut survivre à la vague de «super souche» meurtrière qui mute en ce moment dans le corps des vaccinés doit se rendre compte que rester à l’écart des personnes vaccinées peut être une question de vie ou de mort. Ce sont les vaccinés qui sont les plus dangereux et qui ont donc le plus accès à la société. Dans leur propre égoïsme et leur ignorance scientifique, ces volontaires volontaires des armes biologiques aident à commettre le plus grand crime contre l'humanité qui puisse être imaginé: un fléau mondial, alimenté par une formation génétique décentralisée, accélérée et adaptative qui repose sur des milliards de volontaires volontaires comme laboratoires de mutation.
L'ampleur de cette expérience médicale mondiale sur des sujets humains vivants fait honte à tout le régime nazi.
Lorsque la prochaine vague de mort surviendra, bien sûr, les médias blâmeront les non-vaccinés, même si les non-vaccinés ne sont pas autorisés à aller nulle part, de plus en plus. Ce sont les vaccinés qui se tueront eux-mêmes et les autres, c'est pourquoi je dis qu'ils font partie d'un «culte du suicide vaccinal».
Vous voyez déjà cela dans les médias: les super souches ont déjà commencé à émerger, et la liste actuelle de vaccins sera probablement entièrement obsolète plus tard cette année. Pfizer a déjà annoncé son intention de tirer profit des vaccins annuels contre la couronne, alors que les mutations et les souches s'inscrivent dans un modèle sans fin de répétition, le tout accéléré par le vaccin initial (par conception).
RépondreSupprimerLa mise à jour de la situation d'aujourd'hui raconte l'histoire complète de ce qui se cache derrière tout cela et de sa destination:
Brighteon.com/ed06dd3e-5cf4-4001-b2e6-27b62bac359c
- voir clip sur site -
Catch a new Situation Update podcast each weekday at:
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2021-03-26-situation-update-mar-26-vaccinated-people-are-walking-biological-time-bombs.html
Pfizer prévoit d'augmenter les prix et de profiter chaque année de ses vaccins expérimentaux après que «pandémie» soit rebaptisée «maladie saisonnière endémique»
RépondreSupprimerVendredi 26 mars 2021
par: Lance D Johnson
(Natural News) Les dirigeants de Pfizer envisagent d'augmenter les prix de leur vaccin expérimental contre le covid une fois le message de pandémie terminé. Lorsque l'Organisation mondiale de la santé affirme que la pandémie est sous contrôle, Pfizer prévoit toujours de profiter du covid-19 chaque année, à perpétuité. Une conférence virtuelle organisée par Barclays a révélé les plans mal acquis des investisseurs et des hauts dirigeants de Pfizer, alors qu'ils continuent à planifier leurs prochaines activités commerciales.
Lors de la conférence virtuelle, Carter Lewis Gould, analyste senior chez Barclay's Biopharma Equity Research, a fait référence à une conversation avec des dirigeants de Pfizer qui a eu lieu à l'été 2020. Selon la conversation transcrite, les dirigeants de Pfizer sont impatients de faire grimper le prix. de leurs vaccins une fois que la «pandémie» devient endémique et est qualifiée de «maladie saisonnière».
Les vaccins expérimentaux et les tests PCR pour le coronavirus sont conçus pour des profits perpétuels, pas pour la santé publique
Les vaccins «pandémiques» à usage d'urgence ne sont pas conçus pour éradiquer complètement la covid-19. Selon l'ancien directeur de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, les conceptions de l'étude pour les nouveaux vaccins sont frauduleuses et ne diagnostiquent pas correctement la covid-19 à l'aide de la méthode de séquençage de Sanger. Cette fausse publicité sur l'efficacité des vaccins permet à Pfizer d'obtenir l'approbation des agences de réglementation du monde entier pour une utilisation d'urgence, même si les gens continuent de tomber malades (et meurent parfois) après la vaccination. Malgré ses promesses d’efficacité, cette fraude médicale ne parviendra pas à prévenir les infections respiratoires et, à terme, augmentera le besoin de mises à jour de vaccins et de rappels supplémentaires, garantissant des bénéfices à long terme pour Pfizer et les autres fabricants de vaccins. C'est aussi pourquoi le test PCR du coronavirus est incorporé comme rite de passage sur les compagnies aériennes, les événements, les croisières, etc. Les tests (et tous leurs faux positifs) garantissent un nombre défini de «cas de covid-19» qui permettront une peur continue des médias campagnes qui seront finalement utilisées pour répondre au besoin de vaccination saisonnière de routine.
Gould a remis en question les plans d’affaires de Frank A. D’Amelio, directeur financier et vice-président exécutif de l’approvisionnement mondial de Pfizer. D’Amelio a déclaré que Pfizer prévoyait une «opportunité significative» pour ses vaccins «du point de vue des prix» une fois que la situation passera «d’une situation pandémique à une situation endémique».
De l’embouchure d’Amelio:
RépondreSupprimer"Donc, si vous regardez comment la demande actuelle et les prix actuels sont déterminés, cela ne dépend clairement pas de ce que j'appellerai les conditions normales du marché, les forces normales du marché. Il est vraiment motivé par le type d’état pandémique dans lequel nous nous trouvons et par les besoins des gouvernements de vraiment sécuriser les doses des différents fournisseurs de vaccins », a expliqué D’Amelio. «Donc ce que nous croyons, ce que je crois est alors que nous passons d'un état pandémique, d'une situation pandémique à une situation endémique, les forces normales du marché, les conditions normales du marché commenceront à se manifester.»
D’Amelio a déclaré que l’efficacité du vaccin est un facteur qui «deviendra très important». Si l'efficacité est faible, il y aura des opportunités de vendre des injections de rappel. Il a dit que la «capacité de rappel» sera également un facteur très important. Il a déclaré que «l'efficacité, la capacité de rappel et l'utilité clinique» présentent «une opportunité significative pour notre vaccin du point de vue de la demande, du point de vue des prix, compte tenu du profil clinique de notre vaccin.» Il a dit qu'il y avait «plus à venir ici» parce que la pandémie sera finalement déclarée endémique, offrant plus d'opportunités à Pfizer de profiter à long terme.
Les dirigeants de Pfizer prévoient d'introduire des vaccins à ARNm saisonniers contre le coronavirus et la grippe
Le gouvernement fédéral a déjà redistribué plusieurs milliards de dollars en argent des contribuables à Pfizer afin que les Américains puissent obtenir des vaccins «gratuits» contre le covid-19. Pfizer est reparti avec 1,95 milliard de dollars en dollars des contribuables en juillet dernier après avoir passé un contrat avec le gouvernement fédéral. En décembre, Pfizer a signé un autre accord de 2 milliards de dollars, les contribuables étant contraints de subventionner davantage l'expérience.
Une fois que le déploiement progressif du vaccin par les CDC sera terminé, le ministère de la Santé et des Services sociaux décidera s'il convient de continuer à diffuser des messages sur la pandémie. Le candidat actuel à la tête du département, Xavier Becerra, sera obligé de mettre fin aux messages de pandémie afin que Pfizer et d'autres fabricants de vaccins puissent en profiter indéfiniment. Une fois le déploiement progressif des vaccins du CDC terminé, Pfizer aura besoin d’un nouveau moyen de garantir un flux de revenus, et ils sont en mesure de capitaliser.
Selon les transcriptions entre les dirigeants de Pfizer et les investisseurs, le fabricant de vaccins cherche également à se lancer sur le marché des vaccins contre la grippe en utilisant des vaccins expérimentaux à ARNm pour les souches grippales. En janvier 2021, l'OMS a mis à jour ses recommandations aux laboratoires du monde entier, leur demandant de réduire le nombre de cycles pour les tests PCR afin de réduire le nombre de faux positifs. Au fur et à mesure que cette nouvelle politique s'installe, le nombre de cas de covid diminuera, ouvrant la voie à la déclaration de «pandémie» de maladie saisonnière. Alors que les vaccinés continuent de demander une hospitalisation pour maladie respiratoire, Pfizer et le reste de l'industrie des vaccins continueront d'exploiter la population mondiale avec de nouvelles mises à jour de l'ARNm et des appels à la vaccination obligatoire via les passeports vaccinaux et les exemptions de décapage. C’est un cercle vicieux de fraude, de méfaits et d’exploitation humaine.
RépondreSupprimerSources include:
CBSNews.com
NaturalNews.com
DocumentsCloud.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-03-26-pfizer-plans-profit-annually-from-experimental-vaccines.html
Un juge de la Cour suprême du Royaume-Uni s'attend à ce que les gens soient obligés de porter des masques et de rester à la maison pendant dix ans
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 MARS 2021-09: 20
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
L'ancien juge britannique de la Cour suprême, Lord Sumption, a averti que les «contrôles sociaux» induits par la pandémie de coronavirus pourraient être maintenus en place par les gouvernements pendant une dizaine d'années.
«Il est politiquement irréaliste d’attendre du gouvernement qu’il fasse marche arrière maintenant», a commenté Sumption, qui a été très critique à l’égard des politiques de verrouillage «totalitaire» du gouvernement.
Le juge a comparé la réaction au rationnement après la Seconde Guerre mondiale, qui a duré neuf ans, ajoutant que cette fois «je pense que ce sera peut-être encore plus long».
«Un parallèle intéressant est la poursuite du rationnement alimentaire en temps de guerre après la dernière guerre. Les gens étaient en faveur de cela parce qu'ils étaient en faveur du contrôle social », a-t-il déclaré lors d'un podcast« Sketch notes on ».
«Lors des élections générales de 1951, le parti travailliste a entièrement perdu sa majorité parce que les gens qui avaient cinq ans d'expérience de plus en matière de contrôle social en avaient assez. Tôt ou tard, cela se produira dans ce pays », a-t-il ajouté.
L’avertissement de Sumption fait suite aux autorités de Public Health England déclarant que les restrictions resteront en place aussi longtemps que d’autres pays n’auront pas vacciné tout le monde, un processus susceptible de prendre des années.
Le médecin-chef de l’Angleterre a également affirmé récemment que les restrictions à la pandémie, qui sont en place de temps à autre depuis un an, ont «amélioré la vie» de certaines personnes.
RépondreSupprimerMalgré la promesse de mettre fin aux restrictions en juin, le gouvernement britannique a prolongé hier les lois d'urgence sur les COVID jusqu'en octobre, le ministre de la Santé Matt Hancock refusant de dire combien de temps elles resteront en place après cela.
Lord Sumption a également noté pendant le podcast que les scientifiques sceptiques quant aux politiques de verrouillage ont été «soumis à une campagne extrêmement désagréable d'abus personnels».
«Je connais beaucoup de gens qui préféreraient ne pas mettre la tête au-dessus du parapet», a-t-il poursuivi, ajoutant:
«À partir du moment où j'ai commencé à faire valoir ces points, j'ai commencé à recevoir des courriels de politiciens qui étaient d'accord avec ce que j'avais à dire mais qu'eux-mêmes n'osaient pas s'exprimer. Cela, je pense, est une situation très grave.
Le juge a également fait valoir que les gouvernements utilisent le virus politiquement, notant: «Ils ont constamment essayé de soutenir que le virus est aveugle alors qu'il est parfaitement établi qu'il affecte principalement les personnes présentant des vulnérabilités identifiables, en particulier les personnes âgées.
Parlant de la répression draconienne contre les manifestants anti-lockdown, Sumption a déclaré: «Les gens devraient avoir le droit d'exprimer leurs divergences (d'opinions)», ajoutant: «Si la seule façon de faire respecter la distance est de frapper les gens à la tête avec des matraques ça ne vaut pas le coup."
Maintenant que les Britanniques ont permis à la société d'être déformée en permanence, avec des sondages montrant régulièrement un soutien véhément au verrouillage et à d'autres règles de pandémie, les choses ne seront plus jamais les mêmes.
Après avoir permis au gouvernement de placer toute la population en résidence surveillée sur un coup de tête, cherchez à répéter la politique encore et encore avec des justifications différentes qui n'ont rien à voir avec le COVID-19.
Comme nous l'avons souligné précédemment, l'une de ces justifications sera le réchauffement climatique causé par l'homme, avec des verrouillages climatiques appelés à devenir une réalité régulière.
https://www.zerohedge.com/covid-19/uk-supreme-court-judge-expects-people-will-be-forced-wear-masks-stay-home-ten-years
Plus de 300 navires sont maintenant bloqués alors que le président de l'Autorité du canal de Suez déclare qu'une «erreur humaine» a contribué à l'écrasement
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 MARS 2021 - 11H00
Plus de 300 navires sont bloqués à chaque extrémité du canal de Suez samedi, bien qu'un nombre croissant de navires soient détournés vers la pointe sud de l'Afrique, également connue sous le nom de cap de Bonne-Espérance.
Le lieutenant-général Osama Rabie, président de l'Autorité du canal de Suez (SCA), a déclaré qu'au moins 14 remorqueurs et un navire de dragage travaillaient 24 heures sur 24 pour libérer le porte-conteneurs échoué «Ever Given».
Rabie a déclaré que 9 000 tonnes d'eau de ballast avaient été retirées du navire. Vendredi, les dragues avaient enlevé quelque 20 000 tonnes de sable autour de sa proue, et le gouvernail et le système d'hélices du navire ont été remis en marche.
Il a dit que la poupe du navire avait commencé à bouger en dernier avant que les efforts de renflouement ne s'arrêtent.
«La proue est vraiment coincée dans l'argile sableuse, mais la poupe n'a pas été complètement enfoncée dans l'argile, ce qui est positif. Nous pouvons essayer d'utiliser cela comme un levier pour le libérer », a déclaré Peter Berdowski, directeur général de Boskalis, qui possède Smit Salvage, qui a été amené cette semaine pour aider dans les efforts.
«Des remorqueurs lourds, d'une capacité combinée de 400 tonnes, arriveront ce week-end. Nous espérons qu'une combinaison de remorqueurs, de dragage de sable à la proue et d'une marée haute nous permettra de libérer le navire au début de la semaine prochaine.
Le président a déclaré qu'environ 321 navires attendaient de transiter par le canal samedi.
De nombreux navires coincés dans ou autour du canal de Suez transportent des milliards de dollars de marchandises, telles que du brut, des produits bruts, des automobiles, des appareils électroniques, du bétail, d'autres biens de consommation et d'autres produits de base.
Rabie a également déclaré que la vitesse du vent n'était pas la principale raison de l'échouement du navire sur le côté du canal. Il a déclaré qu'une erreur technique ou humaine aurait pu contribuer à l'incident.
Et le pire des cas pourrait se produire si le dragage en cours pour renflouer le navire avec l'aide de remorqueurs et la marée haute ne fonctionne pas, c'est-à-dire, comme l'explique le président, la possibilité d'alléger la charge du navire. Il espérait que l'équipe de sauvetage n'aurait pas à en venir là car, comme Marko Kolanovic de JPMorgan l'a dit aux clients vendredi, le déchargement du navire pourrait entraîner un "démantèlement du navire".
Comme le dit Kolanovic, "un autre développement intéressant de cette semaine a été le blocage du canal de Suez. Si nous croyons et espérons que la situation se résoudra sous peu, il y a des risques de rupture du navire".
RépondreSupprimerDe plus, Reuters rapporte que Boskalis et Smit Salvage ont averti qu'utiliser trop de force pour remorquer le navire pourrait l'endommager. Berdowski a déclaré qu'une grue terrestre serait amenée le week-end, ce qui pourrait alléger la charge d'Ever Given en retirant les conteneurs, bien que les experts aient averti qu'un tel processus pourrait être complexe et long.
"Si nous ne parvenons pas à le libérer la semaine prochaine, nous devrons retirer quelque 600 conteneurs de la proue pour réduire le poids", a-t-il déclaré.
«Cela nous fera reculer au moins des jours, car où laisser tous ces conteneurs sera tout un casse-tête.»
Rabie n'a donné aucun délai pour le renflouement du navire. Il a dit que le navire échoué devrait être inspecté après avoir été renfloué.
Il n'y a toujours pas de mot sur l'évaluation du navire par la marine américaine.
Le blocage de la voie de navigation la plus cruciale au monde a ajouté une pression significative sur la chaîne d'approvisionnement mondiale déjà étirée.
https://www.zerohedge.com/markets/suez-crisis
Le maire Pete, secrétaire aux transports, fait pression pour une "taxe sur le kilométrage des véhicules"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 MARS 2021 - 12:15
À quel moment les démocrates commencent-ils à se rendre compte qu'ils sont à court de choses à taxer ?
Pourrait-on aujourd'hui être un appel au réveil? Peut-être que le fait que le maire Pete, maintenant secrétaire aux transports, lance honnêtement l'idée d'une taxe sur le kilométrage des véhicules qui augmenterait à mesure que l'on voyage, pourrait réveiller certaines personnes à l'idée que nous sommes allés trop loin ?
Buttigieg a déclaré vendredi à CNBC que l'idée était sur la table d'aider à payer les plans d'infrastructure à venir du président Biden. "Il a parlé avec tendresse d'un prélèvement au kilométrage", a écrit CNBC.
Buttigieg a déclaré: «Quand vous pensez à l'infrastructure, c'est un exemple classique du type d'investissement qui a un retour sur cet investissement. C’est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles nous pensons que cela est si important. C'est une vision d'emploi autant qu'une vision d'infrastructure, une vision climatique et plus encore.
Il a poursuivi: «Une soi-disant taxe sur les véhicules-miles parcourus ou taxe sur le kilométrage, comme vous voulez l'appeler, pourrait être un moyen de le faire.»
«J’entends beaucoup d’appétit pour s’assurer qu’il existe des sources de financement durables. Une taxe kilométrique est très prometteuse si nous croyons en ce que l'on appelle le principe de l'utilisateur-payeur: l'idée selon laquelle une partie de la façon dont nous payons pour les routes est que vous payez en fonction de la quantité que vous conduisez », a déclaré Buttigieg. "Vous entendez beaucoup de" peut-être "ici parce que toutes ces choses doivent être équilibrées et pourraient faire partie du mélange."
Il envisage également d'émettre des «Build America Bonds» et dit qu'il y a «beaucoup de promesses quant à la façon dont nous tirons parti de ce type de financement. Il y a aussi eu des idées autour de choses comme une banque nationale des infrastructures. »
Il a conclu: «Il est presque universellement reconnu qu’une reprise plus large nécessitera un engagement national pour réparer et transformer l’infrastructure américaine.»
Les propositions d'infrastructure de Biden devraient totaliser 3 à 4 billions de dollars. Biden a déclaré la semaine dernière que la reconstruction de l'infrastructure du pays était essentielle pour restaurer l'économie et continuer à concurrencer la Chine.
https://www.zerohedge.com/markets/transportation-secretary-mayor-pete-pushing-vehicle-mileage-tax
Comme il en est pour tous système de déplacements, tous les véhicules sont en voie d'être contrôlés à distance.
SupprimerAvec l'ensemble des mails et conversations qui passe par la NSA, les transports de marchandises n'y sont pas de reste. Pourquoi cette idée de taxe au kilomètres parcourus ? Alors qu'existe depuis toujours de simples méthodes pour falsifier les compteurs, l'idée est d'en ajouter un qui ne le soit pas. C'est-à-dire qu'il y a encore des véhicules qui ne sont pas (heureusement) suivis au GPS, et qui demain le seront !
Ainsi, la prise de contrôle de tous mouvements sera satellitaire comme un pilotage automatique pouvant obliger un avion à s'écraser, un bateau se mettre en travers d'une voie d'eau, comme un être humain passé au test PCR qui sera gouverné/obligé de tuer tel un zombie lâché dans la foule ou réunion de criminels qui massacrent tout autour !
La Russie présente la route maritime glaciale de l'Arctique comme alternative supérieure au canal de Suez bloqué
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 27 MARS 2021-13: 05
Alors que le monde attend de voir si le personnel de la marine américaine dépêché sur le canal de Suez réussira à libérer le bateau (après un «renflouement partiel» réussi qui semble avoir été une course à vide pour un effort plus global une fois les Américains arrivés), la Russie voit une opportunité de promouvoir une alternative potentielle, car de plus en plus de porte-conteneurs sont redirigés autour du cap de Bonne-Espérance pour terminer leur voyage de l'Asie vers l'Europe.
En effet, comme le rapporte RT, le géant énergétique russe Rosatom fait la promotion d'une route de la mer du Nord (récemment débarrassée des coulées de glace dangereuses). L'effort a commencé par une série de tweets à moitié blagueur envoyés la nuit dernière. Dans le fil, Rosatom a présenté trois raisons pour lesquelles la route stratégique de navigation de la Russie à travers l'Arctique pourrait être une alternative viable au Suez, malgré le froid et la glace. Heureusement, comme l'a souligné Rosatom, si un porte-conteneurs est coincé dans la glace, un navire brise-glace pourrait être rapidement dépêché pour l'aider.
Le premier provenait de données de suivi qui montraient que le navire avait dessiné un phallus géant dans la mer Rouge avant de se coincer. La société d'État a souligné avec effronterie que la route maritime du Nord offre beaucoup plus d'espace pour dessiner des images coquines à l'aide d'un cargo géant.
Et quelle meilleure façon d'ouvrir son public à de nouvelles possibilités qu'avec une blague grossière ? Dans son premier tweet, Rosatom a déclaré qu'il y aurait beaucoup plus de place pour les navires pour dessiner des "images grossières" dans l'Arctique. Les tweets ont depuis été supprimés, mais le premier disait: "Thread: raisons de considérer la route maritime du Nord comme une alternative viable à la route du canal de Suez1. Beaucoup plus d'espace pour dessiner des images particulières à l'aide de vos navires géants."
Roasatom a poursuivi la blague sur le pénis avec un point plus sérieux (et valable) sur la rupture de la glace: "Si vous êtes bloqué par la glace, nous avons des brise-glaces, bien pour briser la glace."
Pour le troisième tweet, Rosatom a partagé un gif mettant en vedette le personnage principal du film d'espionnage américain de 1997 "Austin Powers" montrant Powers coincé dans une navette qui va et vient dans un tunnel étroit. Le gif est devenu le fourrage de l'un des mèmes les plus populaires sur la situation difficile actuelle de Ever Given.
La Russie a cité le développement de la route maritime du Nord comme l'une de ses principales priorités stratégiques. En janvier, le ministre des Ressources nationales et de l'Environnement, Dmitri Kobylkin, a déclaré que le transport de marchandises dans les eaux territoriales les plus septentrionales de la Russie dépasserait 80 millions de tonnes dès 2024.
RépondreSupprimerPourquoi ? Parce que l'Arctique russe offre la route la plus courte reliant l'Europe et l'Asie. Comme l'a souligné Rosatom, un voyage de Mourmansk au Japon sur la route maritime du Nord est de 5 770 miles, contre 12 840 miles si l'on devait emprunter la route du canal de Suez.
Peut-être que cette dernière crise aidera la Russie à atteindre son objectif plus rapidement que les officiels ne l'avaient prévu ?
https://www.zerohedge.com/geopolitical/russia-pitches-frosty-arctic-sea-route-superior-alternative-blocked-suez-canal