- ENTREE de SECOURS -



samedi 13 mars 2021

Fukushima, dix ans déjà ! J'y étais : récit



Alain-Sam Fédérowski

France-soir

ven., 12 mar. 2021 23:01 UTC 


Vendredi 11 mars 2011, 7 heures du matin : le rédacteur en chef du service reportages de TF1 m'appelle pour me demander, sur un ton narquois, si j'ai toujours... mes bottes en caoutchouc.

Des gens prient à Sendai, dans le nord-est du Japon, le 11 mars 2021, date du 10e anniversaire de la catastrophe du tremblement de terre et du tsunami.

Je comprends immédiatement ce qu'il veut puisque quelques minutes auparavant, je viens d'entendre, sur une radio d'information en continu, qu'un violent séisme vient de secouer la côte Pacifique du Japon et qu'un tsunami est redouté.

Un quart d'heure avant l'appel de mon chef, à presque 10 000 kilomètres de là, le directeur de la centrale nucléaire de Fukushima- Daiichi est affreusement surpris par la puissance de ce tremblement de terre : le mobilier autour de lui et les faux plafonds tombent au sol, impossible pour lui de marcher.

Il vit la secousse la plus violente jamais enregistrée dans l'archipel nippon, d'une magnitude de 9,1 sur l'échelle de Richter (graduée de 1 à 12).

Le dirigeant ne se doute pas que 51 minutes plus tard, une vague de 12 à 15 mètres va se fracasser sur les murs d'enceinte de la centrale. Ces derniers, dimensionnés à 10 mètres, par l'opérateur d'électricité TEPCO, seront submergés et engendreront la catastrophe nucléaire la plus importante de l'Histoire, sans doute à égalité avec celle de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en 1986.

Vers 12h30, nous embarquons pour Tokyo. 13 heures plus tard, le vol est détourné vers Osaka, car les pistes de l'aéroport de Tokyo ont souffert du séisme.

Impossible de louer un véhicule, nos permis de conduire internationaux n'étant pas traduits en japonais. Nos téléphones portables, bien que dotés d'un abonnement international, ne fonctionnent pas dans ce pays.

C'est alors que la chance nous sourit : un jeune Japonais, qui venait de séjourner deux ans en France, nous rejoint après avoir été contacté par l'Alliance française...

Nous traversons, de nuit, l'île de Honshu, du sud vers le nord. L'autoroute principale est fermée et réservée aux véhicules de secours, tant civils que militaires.

Après avoir parcouru 900 km, nous atteignons, au petit matin, Seindaï (non loin de l'épicentre du tremblement de terre), où nous effectuons notre premier reportage qui montre des habitants très disciplinés faisant la queue pour obtenir de l'eau en bouteille; la plupart des maisons et les bâtiments sont écroulés ou gravement fissurés.

Une impressionnante scène de guerre et de désolation s'offre à ma caméra...

Le lendemain, nous accédons au port de Soma. Devant nos yeux, un décor apocalyptique : des amas de matériaux en tous genres, maisons détruites, voitures, camions, arbres, rochers, bateaux... La vague géante avait pénétré jusqu'à 10 kilomètres à l'intérieur des terres. Selon certains observateurs, sa hauteur maximum aurait pu dépasser les 30 mètres (soit 11 étages d'un immeuble construit d'après les standards européens) et une moyenne de 15 mètres (7 étages) sur près de 600 k de côtes !

Le port de pêche de Soma est pratiquement rayé de la carte. Je revois les rescapés hagards qui errent dans la boue et la ferraille.

Imaginons des villes côtières françaises rebâties après la Seconde Guerre mondiale, comme Dunkerque, Calais ou Boulogne-sur-Mer, envahies par l'océan.

Le 14 mars, en fin de matinée, nous nous trouvons à quelques dizaines de km de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, dans un hôtel sommé de fermer. Le journaliste-rédacteur et l'interprète tentent d'obtenir des rendez-vous avec des responsables de la production électrique, tandis que l'ingénieur du son et moi interviewons la réceptionniste.

En tournant la tête, j'aperçois un panache de fumée blanche qui s'élève dans le ciel... bleu : le cœur du réacteur numéro 3 vient d'entrer en fusion, provoquant une explosion soufflant le toit de l'édifice. Simultanément, la télévision japonaise NHK annonce un nouveau séisme dans le Pacifique et une alerte majeure d'un probable tsunami. Nous quittons précipitamment les lieux pour rejoindre un point haut. Nous nous retrouvons sur un pont au-dessus d'un bras de mer avec des citoyens disciplinés, au sang-froid déroutant. Quelques minutes après, un grondement de plus en plus proche et menaçant laisse présager un déferlement dévastateur, mais, entravé par les montagnes de détritus, il termine fort heureusement sa course non loin de nous. Tout cela devant mon objectif...

Une rédactrice en chef nous envoie un message quelque peu surréaliste : "Quittez immédiatement cette zone car il y a une catastrophe nucléaire mais avant de partir, faites-nous un sujet pour le journal de 20 heures". Ce soir-là, nous logeons dans un des rares hôtels encore ouverts à Fukushima Préfecture, capitale de la province du même nom, établie à 125 kms au nord de la centrale. Des journalistes du monde entier quittent l'hôtel et la région. Des confrères de la télévision russe équipés de combinaisons et d'appareils de mesure de type compteur Geiger testent notre véhicule et nous indiquent que la radioactivité des roues est dix fois supérieure aux normes acceptables pour l'Homme. Nous regagnons Sendaï : plus d'hébergement, plus de restaurant, distributeurs de billets hors d'usage, carburant réservé aux secours...

J'avais acheté des chips au poisson et du coca en quantité, quelques jours auparavant. L'équipe m'avait alors demandé pourquoi une telle quantité...? Les événements m'avaient hélas donné raison...

Une nuit de cauchemar nous attend sur la route entre Sendaï et Yamagata, car en-dehors des répliques sismiques qui faisaient ressembler notre break à une nacelle de fête foraine, la neige s'invitait au bal. 12 heures de galère pour franchir un col sans pneus neige. Après une longue journée de patience à l'aéroport de Yamagata, nous embarquons pour Osaka, puis quelques jours plus tard, atterrissage à Roissy-Charles de Gaulle où la totalité de nos effets personnels et notre matériel de tournage sont pris en charge par une société spécialisée dans la décontamination.

La semaine suivante, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) nous soumet à un examen médical afin de déterminer le taux de radiation auquel nous avons été exposés.

J'ai eu l'opportunité de revenir dans la province de Fukushima, six mois après la catastrophe avec une autre équipe et là, dans le port de Soma, le reportage que nous devions effectuer m'a particulièrement bouleversé : la plupart des sinistrés étaient relogés dans des cités préfabriquées, parfaitement alignées, d'une propreté exemplaire. La discipline, l'organisation et la capacité de résilience des Japonais sont exceptionnelles pour se relever d'un tel malheur le tremblement de terre et le tsunami ont fait , et près de 140 000 réfugiés.

Alain-Sam Fédérowski est journaliste - grand Reporter/caméraman

Auteur(s): Alain-Sam Fédérowski journaliste pour FranceSoir

https://fr.sott.net/article/36688-Fukushima-dix-ans-deja-J-y-etais-recit

70 commentaires:

  1. Il y a 20 ans, ce 11 mars 2011 à 14h46 (heure locale), un raz de marée succédant à un tremblement de terre (magn.9,1) à 1000 km des côtes japonaises propage ses ondes hydrauliques vers la commune de Fukushima. Cette explosion magmatique va balayer de ses hautes vagues toute la cité et ses terres jusqu'aux montagnes.

    Si toute la ville va être emportée par ce coup de butoir (et ressac), un seul bâtiment va résister: la centrale nucléaire dotée de réacteurs qui vont 'tenir le coup' (seul, le réacteur n°4 s'inclinera par affaissement du terrain).
    En extérieurs, cette catastrophe fragmentera toute la partie des tuyaux (fer & PVC) destinée à l'alimentation des réacteurs par eau pompée dans le Pacifique.

    L'erreur monumentale de la TEPCO (chargée de la centrale électrique) a été que les tuyaux d'approvisionnement en eau des réacteurs n'ont été précédemment montés sur vérins ! Toute l'erreur vient de là.

    Les réacteurs - faute d'être alimentés en eaux - subiront donc une baisse d'eau dangereuse en bassins (4 pour 'Fukushima Daiichi') ce qui entraînera une hausse intérieure de la température passant de 300°C à 3000°C en quelques heures !
    Cette température portera les crayons (tubes en zirconium hauts de 4 m contenant près de 400 pastilles empilées 'bout-gommes cylindriques de 7 gr (1t. équiv. pétrole) de 1 cm sur 1 cm env.') à fondre créant un corium (Uranium + zirconium) en cuvier de réacteurs.

    Cette 'confiture' brûlante attaquera forcément les parois du dit réacteur (cylindre de 30 m x 30 m) et s'écoulera donc vers le sol (carrelé/cimenté) de la centrale puis descendant vers la terre de sous-bassement.

    Parallèlement à cette action, les tubes fondus en paniers vont relâcher du gaz hydrogène qui, sous forte température, va produire l'explosion intérieure des réacteurs en les déchapeautant.
    Les particules radioactives vont donc sortir et s'élever dans l'atmosphère. Elles seront emportées par le Jet-Stream vers le Nord-Pacifique puis vers le Canada et Nord-Etats-Unis, Nord-Atlantique pour finir vers l'Angleterre, France, Allemagne puis l'Autriche où il effectue un virage Sud sur la Turquie, Grèce, Italie et se termine en Espagne/Maroc.

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    Une centrale électrique sert à produire de l'électricité.

    L'on distingue des centrales électrique à bois, charbon, pétrole ou gaz qui sont assises sur le foyer (pour faire bouillir la 'marmite' d'où s'échappe l'eau sous forme de vapeurs et entraînant un rotor horizontal qui tournoie (comme une roue de bicyclette munie d'une dynamo).

    La centrale nucléaire ('cocotte-minute') elle, a son feu intérieur (!). Sortes de résistances plongées dans l'eau des bassins. Des pastilles d'Uranium (ou Plutonium) sont disposées en tubes verticaux rangés en paniers (plaques perforées). L'eau circulera donc entre les crayons.

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    1. (...) Il y a 20 ans, ce 11 mars 2011 à 14h46 (...)

      Il fallait lire IL Y A 10 ANS ! (Merci)


      PS: Les vagues du tsunami vont emporter les lignes électriques aériennes et noyer les pompes... entreposées en sous-sol ! D'où l'impossibilité pour la TEPCO de ravitailler les réacteurs en eaux !
      Autre erreur, des pompiers vont 'tenter de freiner la chaleur sortie des réacteurs ! (3000°C !) en aspergeant les réacteurs dont le toit s'est envolé.
      Cette eau (même larguée par hélicoptères !!) va donc disparaître immédiatement vers le ciel et lester les becquerels (comme les virus 'corona' lors de pluies ou brouillards) qui retomberont forcément sur Terre.

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  2. Nucléaire : l’étude RTE entre analyse et hypothèses loufoques

    L’abandon de l’énergie nucléaire dans notre pays conduirait fatalement à restreindre de gré ou de force les besoins et le niveau de vie des Français.


    Par Dominique Grenèche et Michel Gay.
    13 MARS 2021


    RTE (Réseau de transport d’électricité français) a consulté les Français sur son analyse techniquement approfondie « Futurs énergétiques 2050 ».

    Hélas, dans cette étude sérieuse, le postulat de départ visant à éradiquer le nucléaire « quoi qu’il en coûte », probablement imposé par le gouvernement, est loufoque.

    CONSULTATION SUR LE NUCLÉAIRE OU CAUTION ?

    L’appel à une consultation publique sur ce document technique analysant des scénarios (ou « trajectoires ») apparaît bien étrange.

    Quelles sont donc les véritables motivations des commanditaires d’un tel exercice de communication revendiqué comme démocratique ? Ne serait-ce pas la recherche d’une caution populaire masquée pour les énergies renouvelables contre le nucléaire ?

    Ainsi, derrière cette consultation se cacherait une intention moins avouable, celle de démontrer la faisabilité d’une France sans nucléaire, cautionnée par le peuple qui aura donné son avis sur les hypothèses prises en compte dans cette étude. Cette dernière ne retiendra probablement, comme souvent, que les avis politiquement corrects (dans la ligne du parti…).

    Certes, RTE envisage quelques trajectoires parmi lesquelles figure encore une part d’énergie nucléaire dans le mix énergétique. Mais il semble que ce soit presque à regret, pour éviter le reproche d’un manque de pluralisme dans le processus d’analyse. Le seul but qui semble imposé à RTE est de fournir au gouvernement des arguments pour convaincre les Français qu’il est possible d’éliminer l’énergie nucléaire.

    Les résultats de ce travail mené par RTE (dont la compétence est reconnue au-delà de nos frontières) pourraient servir de vitrine à certains ténors politiques dogmatiques pour afficher sans état d’âme le triomphe du soleil et du vent sur le diable incarné par le nucléaire… en n’ayant lu que le titre !

    Ainsi, dès la publication le 27 janvier 2021 du rapport conjoint de RTE et de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), madame la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili, antinucléaire viscérale et notoire, n’a pas pu s’empêcher de déclarer que « c’est un rapport qui fera date dans l’histoire énergétique », et d’ajouter, avant même la réalisation de l’étude de faisabilité, que « … le scénario 100 % renouvelables entre dans le champ des possibles », alors que ce rapport de 180 pages (!) émet des conditions… inatteignables. La ministre de l’Écologie l’a-t-elle lu ?

    Et le communiqué officiel du 27 janvier 2021 qui l’accompagne est une « tromperie ». Il précise en effet que « La France s’est engagée dans la neutralité carbone pour 2050 et que tous les scenarios nationaux envisagent à cette échéance davantage d’électricité décarbonée et des volumes importants d’ENR… ».

    Mais combien de temps durera cette « tromperie » ?

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  3. TONDRE UN CHAUVE…

    La production d’électricité est aujourd’hui presque totalement décarbonée à plus de 90 % grâce essentiellement au nucléaire et à l’hydraulique, comme l’indique ce rapport de RTE (page 6).

    Il est donc impossible de décarboner davantage ce mix électrique français ; ce serait vouloir tondre un chauve.

    Au contraire, les scénarios qui s’appuient sur une large domination des énergies renouvelables (éolien et solaire) conduisent même vers un accroissement des émissions de gaz à effet de serre car elles en émettent davantage que le nucléaire sur l’ensemble du cycle de vie (6 g/kWh pour le nucléaire environ 15 g/kWh pour l’éolien et environ 50 g/kWh pour le solaire).

    Ces résultats, même s’ils dérangent, devront être soulignés dans les études.

    L’Académie des Sciences affirmait déjà en 2017 :

    … Il y a une véritable contradiction à vouloir diminuer les émissions de gaz à effet de serre tout en réduisant à marche forcée la part du nucléaire.

    LES INCONVÉNIENTS DES ÉNERGIES RENOUVELABLES CONTRE LE NUCLÉAIRE

    Les surfaces d’occupation des sols exprimées en nombre d’hectares occupés par térawattheure produit sont de 8 pour le nucléaire, 1600 pour le solaire (PV) et 14 000 pour l’éolien.

    Et il conviendra également d’analyser les problèmes soulevés par la gestion des déchets issus des énergies renouvelables (panneaux solaires et pales d’éoliennes) et par le stockage massif d’électricité (batteries par exemple).

    Pour le nucléaire, des documents militants répandent des informations erronées anxiogènes sur les déchets dont on ne saurait pas quoi faire, ce qui est faux.

    L’évaluation économique de l’éolien et des panneaux solaires intègre des hypothèses exagérément optimistes sur la réduction future des coûts liés à des évolutions technologiques incertaines.

    Par exemple, l’investissement dans le projet d’éoliennes marines en cours de réalisation en Baie de Saint Brieuc s’élève à 2,4 milliards d’euros, pour une puissance installée de 0,5 gigawatt (GW).

    Dans de telles conditions, le parc de 60 GW d’éoliennes de plus de 200 mètres de hauteur (envisagé dans le scénario M3 du rapport de RTE) conduirait à un investissement colossal proche de 300 milliards d’euros ! C’est plus de quatre fois le coût de construction de la totalité des 58 réacteurs nucléaires (62,3 GW aujourd’hui) du parc EDF (73 milliards selon la Cour des comptes, page 23) qui produit annuellement trois fois plus d’électricité. Le rapport coût d’investissement/énergie effectivement produite est donc… 12 fois plus élevé pour l’éolien en mer !

    Même les projections les plus audacieuses sur la réduction des coûts d’investissement des éoliennes marines n’arriveront pas à compenser un tel écart, d’autant plus qu’il faut aussi tenir compte du stockage et des moyens pilotables d’appoint pour jongler avec la production aléatoire et intermittente de l’éolien.

    Avec l’explosion de la dette en cours, c’est le moment de faire des économies sur les énergies les moins efficaces et les plus subventionnées, à savoir les renouvelables, pour soulager la France des poids morts.

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  4. ACCEPTATION SOCIÉTALE ?

    Le volet sociétal des évaluations devra intégrer les problèmes soulevés par l’acceptation de plus en plus difficile des parcs éoliens.

    Un rapport de l’Académie Nationale de Médecine adopté le 9 mai 2017 sur les nuisances sanitaires des éoliennes terrestres indique :

    … si l’éolien terrestre ne semble pas induire directement des pathologies organiques, il affecte au travers de ses nuisances sonores et surtout visuelles la qualité de vie d’une partie des riverains et donc leur « état de complet bien-être physique, mental et social » lequel définit aujourd’hui le concept de santé.

    L’énergie nucléaire émet très peu gaz à effet de serre, son impact sur l’environnement est négligeable, y compris en tenant compte de la gestion de ses déchets.

    C’est aussi une industrie sûre, fiable, pilotable, presqu’entièrement nationale avec de fortes implantations qui irriguent tout le territoire, créatrice d’un grand nombre d’emplois (220 000 aujourd’hui en France), compétitive, et elle est même exportatrice. C’est un domaine d’excellence de la France envié dans le monde entier.

    Qui dit mieux ?

    Il en résulte que vouloir à tout prix éradiquer l’énergie nucléaire est un non-sens et un gâchis impardonnable du gouvernement. C’est un diktat idéologique ne reposant sur aucune donnée objective.

    Il est donc injustifié et contre-productif d’examiner uniquement des scénarios dans lesquels les énergies renouvelables dominent le paysage énergétique français.

    Et pourquoi ne pas étudier un possible scénario 100 % nucléaire en 2050 ?

    Le rapport de RTE « Futurs énergétiques 2050 » précise (page 60) : « … la flexibilité de certains usages électriques dépend fortement des modes de vie et des comportements des consommateurs ».

    Dit autrement, « énoncez vos besoins… et RTE vous dira comment vous en passer ».

    L’abandon de l’énergie nucléaire dans notre pays conduirait fatalement à restreindre de gré ou de force les besoins et le niveau de vie des Français et représenterait un suicide collectif.

    https://www.contrepoints.org/2021/03/13/393012-nucleaire-letude-rte-entre-analyse-et-hypotheses-loufoques

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    1. Pareillement qu'il en est pour le virus 'corona' aux imitations fabriquées en laboratoires et larguées par drones chaque mois, les scientifiques ne sont pas invités à exposer leur savoir aux merdias ou à répondre/discuter avec les ministres ! Ainsi, les trisomiques qui dirigent les pays, inventent-ils le 'port du masque' alors qu'un masque dit 'antivirus' NE PEUT PAS EXISTER ! (because que le maillage serait si étroit qu'il empêcherait de respirer toutes les personnes qui le portent !). Et, les attardés-mentaux d'en rajouter une couche avec l'obligation de l'emprisonnement à domicile de la totalité de la population mondiale !!! Puis, les criminels iront jusqu'à interdire les remèdes et de n'entrer à l'hôpital QUE pour mourir et être étiquetés faussement 'mort du corona' !

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  5. Fukushima n’a pas provoqué de morts, et ça fait enrager les écolos

    Encore une fois, les prédictions apocalyptiques des écolos ne se sont pas réalisées, ce qui les rend amers.


    12 MARS 2021


    Mars 2011, un tsunami frappe les côtes japonaise, tue plus de 19 000 personnes et va, par le truchement d’une centrale nucléaire mal sécurisée, alimenter l’hystérie écologique.

    Il faut admettre que le côté spectaculaire est au rendez-vous : dans l’un des pays les plus avancés technologiquement, alors que toutes les caméras de télévision du monde sont rapidement pointées vers Fukushima, deux des bâtiments hébergeant les réacteurs nucléaires explosent. Les systèmes de refroidissement sont tombés en panne quelques jours auparavant suite au tsunami qui a noyé les générateurs diesel destinés à garantir la continuité de leur service…

    Sur le moment, tout le monde, journalistes en premier, imagine le pire : on va revivre un scénario à la Tchernobyl, avec gros nuage radioactif bien épais qui va se répandre partout sur nos campagnes (ou au moins sur les campagnes japonaises puis alentours, ne boudons pas notre effroi).

    Assez rapidement, les experts qui, pourtant, pointent les différences essentielles de sécurité entre Fukushima et Tchernobyl et se montrent mesurés devant la panique et les yeux spasmodiques des présentateurs télés, disparaissent des plateaux au profit des écologistes qui, eux, ne ménagent pas leurs effets de manche et leurs petits couinements véhéments sur le mode « On vous l’avait bien dit qu’on allait tous mourir irradiés avec un bras et deux jambes en plus ! » On n’évoquera Cécile Duflot, conviée à pérorer sur le sujet, que pour se rappeler qu’armée de son diplôme de géographe, elle placera hardiment Fukushima dans l’hémisphère sud.

    Pendant ce temps, le gouvernement nippon décide d’évacuer les civils se trouvant dans un rayon de 20 km de la centrale. Rapidement, des interdits préfectoraux sont lancés pour éviter le ramassage des fruits et légumes de la zone potentiellement contaminée, ainsi que les poissons et fruits de mers du Pacifique exposés au surcroît de radiations provoqué par l’accident.

    Les semaines et les mois s’écoulent, puis les années.

    Petit à petit, les données radiologiques, médicales, sociologiques s’accumulent et permettent de mieux déterminer l’impact réel de l’accident sur la population. Et tout aussi progressivement, une vérité se fait jour : non seulement les radiations ont été fort limitées, mais tout indique que la population n’a en rien souffert d’une exposition à celles-ci. Dix ans après, le constat est même sans appel : l’accident nucléaire de Fukushima n’a provoqué aucun décès par radiation, et n’a même causé aucun effet néfaste sur la santé.

    Le rapport de l’IAEA (l’Agence internationale de l’énergie atomique) est sans ambiguïté (p 143). Celui de l’UNSCEAR (le Comité Scientifique de l’ONU sur les effets des radiations) est tout aussi limpide et indique même dans son Annexe B qu’avec le recul, les doses reçues par les civils, énoncées dans les premiers rapports, ont été surestimées, notamment celles concernant les ingestions. Celui du NCBI n’est pas moins clair.

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  6. Les écolos sont consternés : les mêmes qui en appellent à la science pour justifier le clouage au sol des avions, la décroissance de toutes les activités humaines et pourquoi pas des confinements sévères et réguliers pour sauver Gaïa, refusent maintenant âprement de valider cette même science qui arrive pourtant à la conclusion que, non, décidément, Fukushima n’a pas déclenché de vagues de cancers partout sur l’île nippone.

    Beaucoup de journalistes, la lippe parcourue de petits tremblements nerveux, relisent plusieurs fois les dépêches résumant ces épais rapports d’experts qui s’accumulent et pointent tous dans la même direction : non et non, il n’y a pas eu de centaines de morts par radiations à cause de l’accident de Fukushima.

    Forcés de devoir écrire l’exact opposé de ce qu’ils prédisaient en tremblotant quelques années plus tôt, les voilà faisant assaut d’inventivité dans leurs articles pour bien faire comprendre que ces affirmations sont non seulement hardies mais à prendre avec moult pincettes, donnant alors lieu à quelques croquignolettes pignouferies de presse.

    Par exemple, dans celle fournie en lien, depuis le titre jusqu’au contenu en passant par l’exergue, tout est savamment disposé pour bien faire comprendre au lecteur qu’il y a grossière manipulation : l’ONU dirait qu’il n’y a eu aucun effet, « mais on ne nous la fait pas, à nous, journalistes ».

    Une lecture attentive des épais conditionnels dont sont barbouillées ces dépêches permet de comprendre le mécanisme à l’œuvre : rien n’est certain, tout n’est que compromis politique… Et puis, peut-on vraiment avoir confiance dans les chiffres nippons (réputés fourbes) ? Ainsi, puisqu’après Tchernobyl, on avait observé une augmentation des cancers de la thyroïde, il est évident que toute observation équivalente au Japon devra être reliée à Fukushima. Forcément. Peu importe qu’il existe un surcroît de tests, une amélioration des dépistages et une attention particulière (logique) à ce cancer.

    La tournure des phrases est mise à contribution : outre le conditionnel et des « selon » que ces mêmes journalistes n’emploieraient jamais lorsqu’il s’agit de certains faits divers ou politiques (qui n’auront plus que de l’indicatif et aucune source identifiée), on notera dans l’article précédent la dernière salve, véritablement magique sur le plan grammatical :

    Consécutif à un séisme, l’accident de Fukushima avait provoqué le rejet d’importantes émissions radioactives dans l’air, les eaux et les sols. Une centaine de milliers de personnes avaient dû quitter leur domicile et environ 19 000 personnes ont été tuées par cette catastrophe naturelle.

    Il aurait été trop exact d’écrire « Consécutif à un séisme qui provoqua la mort de 19 000 personnes, (etc.) ». Cela aurait été dommage de se priver d’une confusion facile laissant encore planer l’idée (fausse mais ancrée) que l’accident de Fukushima serait responsable de 19 000 morts.

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  7. Idée dont beaucoup (trop) de Français sont encore persuadés et que certains journalistes honnêtes – mais de plus en plus rares et pourchassés par la meute des bien-pensants – (ici, Géraldine Woessner) tentent de combattre en rappelant quelques évidences, quelques faits et le résultat de cette décennie d’études sanitaires sur ces populations.

    En réalité, qu’on compare les doses reçues grâce au petit graphique éclairant visible ici ou qu’on en revienne à la Dose Équivalent Banane, le constat est le même : les populations n’ont pas été blessées par Fukushima.

    En revanche, ce qui n’est guère (ou pas) mentionné par toute l’armée de scribouillards Fuku-sceptiques, ce sont bien les dégâts sociaux et psychologiques de la gestion bien étatique de cet accident : si Fukushima n’a pas tué, l’avalanche de paperasse administrative, de bureaucratie pesante, les retombées de règlementations en volumes énormes, l’impréparation et la gestion sanitaire typiques du Léviathan hobbesien ont provoqué vagues de suicides et dépressions.

    Alors qu’il a été clair assez rapidement qu’il n’y avait plus de danger, le temps pris pour autoriser les populations à retourner vers leurs lieux normaux de vie a largement contribué à un affaissement notable (et noté) de l’espérance de vie des individus concernés.

    Toute ressemblance avec la gestion étatique de l’actuelle pandémie n’a ici rien de fortuit et devrait servir de leçon (rassurez-vous, il n’en sera rien).

    En outre, les barils de moraline écolo, les tonnes de littérature anti-nucléaire déversées dans ce qui sert de débat public ont largement provoqué les réflexes débiles maintenant habituels à la sauce politicienne.

    Les conséquences très palpables et très directes de Fukushima, des peurs irrationnelles voire hystériques de l’époque provoquées par les éternels vendeurs d’antiprogrès et d’antiscience, ce sont justement les programmes idiots d’énergique transition vers les pénuries et le néant.

    Ce sont ces déclarations politiciennes et démagogiques visant à faire de la France un nouveau tiers-monde énergétique fier de sa pauvreté confite de peur, pendant que Russie, Inde, Chine et États-Unis, eux, augmentent sans sourciller leurs constructions nucléaires : d’ici 2030, le nombre de réacteurs nucléaires devrait augmenter de 60 % dans le monde, mais rassurez-vous, pas en France qui a sciemment choisi de se cailler les miches en hiver en attendant le vent ou une trouée de nuages laissant passer un peu de soleil.

    Et même si on peut avoir une petite consolation en découvrant qu’une majorité de Français comprend l’attrait du nucléaire malgré le lavage de cerveau permanent des écolos médiatiques, on ne peut s’empêcher de penser à tout ce temps de perdu, tout le savoir-faire disparu, toutes les occasions (notamment commerciales) manquées pour avoir orienté tout un pays vers des moulins à vent moches et inefficaces.

    https://www.contrepoints.org/2021/03/12/393037-fukushima-na-pas-provoque-de-morts-et-ca-fait-enrager-les-ecolos

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  8. Pourquoi un New Deal vert coûte plus cher que ne le pense Joe Biden


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 19:00
    Rédigé par Charlie Deist via The Mises Institute,


    L’une des premières actions exécutives du président Biden a été de déclarer le 27 janvier «Journée du climat». Cette fête ad hoc a été l'occasion pour son administration de célébrer la dernière justification de la planification économique centrale.

    Les festivités de la journée ont commencé par trois décrets sur le changement climatique, la science et la technologie.

    Dans ses remarques, Biden a regroupé son programme environnemental avec un programme pour l'emploi, ainsi qu'une politique plus large pour lutter contre les inégalités sociales et les injustices environnementales. Parmi les objectifs ambitieux du Green New Deal de Biden de 2 billions de dollars figurent 1 million de nouveaux emplois syndicaux bien rémunérés dans l'industrie automobile, un demi-million de bornes de recharge pour voitures électriques et un secteur électrique 100% sans pollution carbone d'ici 2035.

    L'objectif de faire passer le réseau électrique à zéro émission de carbone dans les quinze prochaines années apparaît comme un effort singulièrement malavisé. Même en admettant l'hypothèse non évidente selon laquelle nous devons immédiatement abandonner les énergies fossiles, la refonte de l'infrastructure énergétique américaine est un problème de calcul vaste et complexe. Pour être vraiment durables, les individus et les entreprises devraient agir sur la base des connaissances locales, en évaluant où et quels types d'énergies renouvelables pourraient répondre à leurs besoins énergétiques.

    Le concept d '«énergie nette» illustre pourquoi le remplacement des combustibles fossiles par des énergies renouvelables à grande échelle est souvent contre-productif. Dans Carbon Shift, un livre de 2009 sur le pic pétrolier et le changement climatique, David Hughes le résume comme suit:

    Une éolienne de deux mégawatts contient 260 tonnes d'acier nécessitant 170 tonnes de charbon à coke et 300 tonnes de minerai de fer, tous extraits, transportés et produits par des hydrocarbures. La question est: combien de temps une éolienne doit-elle produire de l'énergie avant de créer plus d'énergie qu'il n'en a fallu pour la construire ? Dans un bon site éolien, le jour de récupération d'énergie pourrait être dans trois ans ou moins; dans un endroit pauvre, la récupération d'énergie peut ne jamais être. Autrement dit, une éolienne pourrait tourner jusqu'à ce qu'elle s'effondre et ne jamais générer autant d'énergie que celle investie dans sa construction.

    Cette comptabilité du cycle de vie du «retour d'énergie sur l'énergie investie» (EROEI) décrit succinctement les multiples étapes du capital intermédiaire au sein d'une structure de production à base d'hydrocarbures. Hughes fait également allusion aux questions fondamentales auxquelles sont confrontés tous les entrepreneurs, à savoir où placer leurs investissements et comment ils doivent configurer le capital hétérogène pour récupérer les coûts initiaux plus un profit ou une «aubaine».

    Les éoliennes et les panneaux solaires bénéficient d'un large marché dans les applications hors réseau, telles que les propriétés agricoles isolées et les voiliers océaniques, où l'abondance du vent et la rareté des produits pétroliers rendent l'investissement une évidence. Dans les régions ensoleillées du pays, l'énergie solaire a atteint la «parité du réseau». Des États comme le Texas, cependant, n'ont pas tenu compte des considérations à la fois d'énergie nette et d'offre et de demande en installant des parcs éoliens massifs aux frais des contribuables, où les combustibles fossiles seraient beaucoup moins chers et plus fiables. Faute de signaux de prix, le planificateur central est aveugle aux conséquences économiques de ses grands desseins.

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  9. Le président a révélé son ignorance du problème technologique et économique à portée de main quand il a déclaré en fait: «Nous savons quoi faire, nous devons le faire.» Au contraire, nous ne savons pas comment créer un réseau électrique non polluant sans émettre beaucoup plus de carbone dans le processus que ce que nous aurions autrement.

    Si le gouvernement investit des billions de dollars dans des investissements en capital à forte intensité énergétique - qu'il s'agisse de parcs éoliens, de stations de recharge solaires ou de postes de transformation -, il aura deux effets principaux.

    Premièrement, il introduira les émissions de carbone dans la phase de construction. Cela peut donner l'illusion de réduire la pollution alors qu'en fait, cela ne fait que ramener les émissions à un stade antérieur de production. Le train à grande vitesse de la Californie, par exemple, prendra environ soixante et onze ans pour compenser ses propres émissions de construction grâce aux voitures qu'il remplacera hypothétiquement (en supposant qu'il ne soit jamais achevé). De plus, les bornes de recharge électriques sont généralement alimentées au charbon ou au gaz naturel, et non par des panneaux solaires.

    Deuxièmement, et dans le même ordre d'idées, un Green New Deal financé par la dette faussera la structure du capital, orientant les investissements vers des immobilisations à long terme au détriment du maintien du capital intermédiaire de la structure globale de production. Théoriquement, nous pourrions brûler plus de charbon, de pétrole et de gaz naturel aujourd'hui pour construire une infrastructure électrique sans pollution pour demain. Mais quand viendra le temps de l'entretien des éoliennes offshore, les hélicoptères et les bateaux utilisés pour la maintenance seront-ils également alimentés à l'électricité ? Et quel type d'énergie alimentera les usines qui fabriquent les panneaux solaires et les éoliennes ? Prétendre qu'ils fonctionneront avec des énergies renouvelables est étrangement similaire au raisonnement circulaire et à la pensée magique utilisés par les partisans de la théorie monétaire moderne pour promouvoir l'illusion de dépenses sans imposition.

    Le Green New Deal est, en fait, une formule pour un nouvel âge sombre. Les récentes pannes de courant au Texas montrent la difficulté de la tâche des gestionnaires de réseau. Là, une tentative de transition prématurée vers une énergie éolienne peu fiable a exacerbé la tension sur le réseau lorsque les turbines ont gelé au moment crucial où elles étaient le plus nécessaires. Les gestionnaires de réseau n'ont pas réussi à maintenir un tampon suffisant, même sans le mandat supplémentaire d'assurer la création de nouveaux emplois verts et d'atténuer les effets discriminatoires du changement climatique. Il est ironique qu'un État et une nation si riches en ressources énergétiques naturelles mènent la charge pour annuler les combustibles fossiles au profit d'une technologie qui n'a jamais été prouvée efficace, ni même respectueuse de l'environnement, à grande échelle.

    Le stock de combustibles fossiles est important mais pas infini. Les études géologiques indiquent qu'il y a une énergie abondante dans le sol pour faire progresser la civilisation et développer de nouvelles sources d'énergie abondante et non polluante. Cependant, nous devons faire attention à ne pas gaspiller notre patrimoine pétrolier sur des stations de recharge inutilisées, des parcs éoliens peu fiables et des trains à moitié finis vers nulle part.

    https://www.zerohedge.com/energy/why-green-new-deal-more-expensive-joe-biden-realizes

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  10. Le patron de la patrouille de merde de San Francisco a gagné 380 000 $, n'a pas fait de merde et a été accusé de corruption


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 16:40
    Rédigé par Adam Andrzejewski via RealClearPolicy


    En 2019, nous avons mis en évidence un triplement des déchets humains déclarés de manière publique. Les citoyens ont déposé 10 644 plaintes en 2014 et le nombre de plaintes est passé à 30 996 en 2019.

    Nos auditeurs ont cartographié 118 352 cas de déchets humains dans les rues de la ville - de 2011 à 2019.

    Certes, la merde était profonde à San Francisco, mais les choses ont vraiment frappé le fan.

    Et le FBI est intervenu.

    Mohammed Nuru, le directeur des travaux publics et éponyme @MrCleanSF, était chargé de garder les rues de la ville propres et de superviser un budget de 500 millions de dollars. Il a été mis en examen par le ministère de la Justice (DOJ) en 2020.

    Nuru a été accusé d'un chef de corruption publique présumée et est innocent jusqu'à preuve du contraire. «La plainte décrit un réseau de corruption impliquant des pots-de-vin, des pots-de-vin et des accords parallèles par l’un des employés les plus hauts placés de la ville de San Francisco», a déclaré le procureur américain David L. Anderson. «Le public a droit à un travail honnête de la part d’agents publics, sans aucune manipulation pour son bénéfice et son profit personnels.»

    Nuru a été bien payé dans sa tentative futile de garder les rues de San Francisco propres. Sa rémunération totale en espèces financée par les contribuables en 2019 était de 380 120 $ et son salaire de base avait augmenté de 65 000 $ en huit ans. Nos auditeurs chez OpenTheBooks.com ont compilé la paie de Nuru sur la base des demandes de Freedom of Information Act déposées auprès de la ville de San Francisco.

    Actuellement, l'enquête fédérale qui a piégé Nuru a inculpé neuf personnes dont une avait déjà été condamnée.

    Il semble que les rues ne soient peut-être pas la seule chose sale dans la région de la baie.

    Le #WasteOfTheDay est présenté par les auditeurs légistes d'OpenTheBooks.com.

    https://www.zerohedge.com/political/san-franciscos-poop-patrol-boss-made-380k-didnt-do-crap-and-has-been-charged-corruption

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  11. DE LA DYNAMITE, 150 ANS APRÈS ?


    par ANTOINE MICHON
    15/03/2021


    Le déficit public a été de 248 milliards d'euros en 2020.

    Déjà à Versailles …
    Bien évidemment, peu de commentaires en ce triste anniversaire de la défaite de la guerre Franco-prussienne dite de 1870, et qui se solde par un Armistice le 26 janvier 1871 ! Bismarck, grand gagnant, va pousser le bouchon encore plus loin : la guerre avait uni tous les territoires allemands sous l'autorité de la couronne prussienne, dans le combat contre l'agresseur français. Le roi de Prusse fut proclamé empereur, le 18 janvier 1871, dans la galerie des Glaces du château de Versailles. La politique de Bismarck avait triomphé. Bismarck aurait choisi Versailles en représailles de la décision de Louis XIV de mettre à sac le Palatinat43.

    Encore Versailles…
    Très vite, les conditions de vie des parisiens et de la Garde Nationale, sous occupation de l’armée prussienne, se dégradent et la faiblesse du gouvernement issu de l’abdication de l’empereur Napoléon III, est de plus en plus manifeste ; une domination par les députés de la monarchie exaspère Paris et très violemment, la mèche de la dynamite s’enflamme :

    déception face à la défaite, et des 121.000 morts pour rien,

    l’hostilité vis-à-vis de l’Assemblée récemment élue, à majorité monarchiste

    ainsi que certaines mesures prises par celle-ci ou par le gouvernement renforcèrent un climat d’agitation, à Paris, au sein de la Garde nationale et des milieux populaires.

    Une insurrection éclata à Montmartre, le 18 mars 1871, alors que des troupes régulières essayaient, sur ordre du gouvernement, de saisir des canons de la Garde nationale. Une autorité insurrectionnelle se mit en place : la Commune de Paris. Avec l'accord tacite des Prussiens, elle fut combattue puis écrasée lors de la « Semaine sanglante » - 21 au 28 mai 1871- par le gouvernement investi par l'Assemblée nationale. Ce gouvernement présidé par Adolphe Thiers, chef du pouvoir exécutif, s’était déjà replié à Versailles depuis le 18 mars 1871 ! Déjà Versailles, il y a seulement 150 ans !

    Encore Versailles …en mars 2021 ?
    Oui, 150 ans après la Commune, les 3 bâtons de dynamite sont à nouveau réunis :

    une « défaite » économique face aux conséquences de la « Guerre » du COVID !

    Au moins 82.000 morts COVID, et au minimum 500.000 chômeurs attendus avec la fin des mécanismes d’aide et de chômage partiel…un déficit public de 248 milliards d’euros, du jamais vu à plus de 11,3 % du PIB ! Un endettement de la France à 120 % du PIB ou 2650 milliards d’euros !

    des mesures coercitives, couvre-feu, confinement, fermeture de tous les lieux types restaurants, bars, cinémas, théâtres, musées, festivals… et de nouveaux serrages de vis pour certaines villes…

    un gouvernement et des députés, jugés faibles, sans vision de l’avenir, et exaspérants les citoyens,

    Alors ? N’attendons pas que notre souverain se réfugie à Versailles, à la Lanterne, …écrivons notre exaspération et transmettons-la à nos députés ! Bibliographie à la LIBRAIRIE ANTOINE à Versailles !

    http://www.economiematin.fr/news-anniversaire-revolution-commune-monarchie-france-politique

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    1. 2 650 000 000 000 € : 67 000 000 d'hab. = 39 552 € à payer par CHAQUE français !
      Que n'inventerions-nous pas sur le clavier d'ordinateur ?!
      Tiens, je fais un effort, je vous envoie 2 650 000 000 000 avec tiens 3 zéros de plus ! 000 c'est offert !

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  12. Farmer Bill et la grande réinitialisation


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    13 mars 2021


    À l'insu de la plupart, Bill Gates a acheté des terres agricoles à travers les États-Unis par le biais de diverses filiales. À l'heure actuelle, il possède environ 242 000 acres (97 933 ha) de terres agricoles, plus 27 000 autres acres de terres non agricoles.

    Alors que de nombreux médias affirment que cela fait de Gates le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis1, cela peut être une exagération, vu qu'il y a au moins 50 autres familles qui possèdent des terres beaucoup plus vastes, y compris le fondateur d'Amazon Jeff Bezos.2 Selon USA Today enquête3 publiée en novembre 2019, Bezos possède une superficie respectable de 420 000 acres (169 968 ha), la plupart étant située au Texas.

    Bill Gates est-il trop puissant ?

    Quoi qu'il en soit, Gates possède certainement une grande partie des terres agricoles américaines, ce qui le place, encore une fois, en position d'avoir un impact significatif sur l'orientation de l'agriculture et de la production alimentaire américaines. Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand passe en revue certaines de ces controverses.

    Si Gates était un partisan des produits biologiques, sa propriété foncière serait probablement considérée comme une bonne chose, mais il est tout sauf. Au contraire, non seulement il est un partisan de longue date des OGM et des produits chimiques agricoles toxiques, il a également exhorté les pays occidentaux à passer à du bœuf imitation 100 % synthétique cultivé en laboratoire, et a dénoncé les tentatives législatives visant à s'assurer que les fausses viandes sont correctement étiquetés, car cela ralentira l'acceptation du public4.

    Il est également en faveur de la transition vers d’autres sources de nourriture fausses et non naturelles, comme un microbe trouvé dans un geyser de Yellowstone. Riche en protéines, ce microbe peut «être transformé en une variété d'aliments avec une faible empreinte carbone», dit Gates.5 Sans surprise, Gates est investi financièrement dans nombre de ses «solutions» proposées aux problèmes du monde, que ce soit la faim, maladies, pandémies virales ou changement climatique.

    Comme indiqué dans un article long et détaillé de The Defender sur plusieurs des efforts les plus discutables de Gates: 6

    «Thomas Jefferson pensait que le succès de la lutte exemplaire de l'Amérique pour supplanter le joug du féodalisme européen par une noble expérience d'auto-gouvernance dépendait du contrôle perpétuel de la base foncière de la nation par des dizaines de milliers d'agriculteurs indépendants, chacun ayant un intérêt dans notre la démocratie.

    Donc, au mieux, la campagne de Gates pour réduire l’immobilier agricole américain est un signal que la féodalité est peut-être à nouveau en vogue. Au pire, sa frénésie d'achat est le signe avant-coureur de quelque chose de bien plus alarmant - le contrôle des approvisionnements alimentaires mondiaux par un mégalomane avide de pouvoir avec un complexe Napoléon.

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  13. Maître et commandant de l'agriculture ratée

    Le Défenseur poursuit en détaillant la «stratégie à long terme de maîtrise de l'agriculture et de la production alimentaire dans le monde» de Gates, en commençant par son soutien aux OGM en 1994. Depuis lors, les approches «philanthropiques» de Gates face à la faim et à la production alimentaire ont été construit autour de ses partenaires technologiques, chimiques, pharmaceutiques et pétroliers, garantissant ainsi que pour chaque entreprise de sauvetage ratée, il s'enrichisse néanmoins.

    «Comme pour l'entreprise africaine de vaccins de Gates, il n'y a eu ni évaluation interne ni responsabilité publique», écrit The Defender.7 «L'étude 20208 'False Promises: The Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA)' est le bilan L'effort de 14 ans du cartel de Gates.

    L'enquête conclut que le nombre d'Africains souffrant de la faim extrême a augmenté de 30 pour cent dans les 18 pays ciblés par Gates. La pauvreté rurale s'est métastasée de façon dramatique…

    Sous le système de plantation de Gates, les populations rurales africaines sont devenues esclaves sur leurs propres terres d'un servage tyrannique d'intrants de haute technologie, de mécanisation, d'horaires rigides, de conditionnalités lourdes, de crédits et de subventions… Les seules entités bénéficiant du programme de Gates sont son entreprise internationale. les partenaires."

    Gates est un mondialiste d'entreprise, pas un philanthrope

    L'AGRA a été lancée en 2006 grâce à un financement de la Fondation Bill & Melinda Gates et de la Fondation Rockefeller. Cependant, tout en vantant une approche de «révolution verte» pour soulager la faim en Afrique, il est difficile d’imaginer une solution moins durable ou destructrice. Comme indiqué dans «Fausses promesses»: 9

    «[AGRA] a promis de doubler les rendements agricoles et les revenus de 30 millions de ménages de petits producteurs alimentaires d'ici 2020, réduisant ainsi de moitié la faim et la pauvreté dans les pays cibles. Pour atteindre ces objectifs, l'AGRA a reçu plus d'un milliard de dollars américains - principalement de la Fondation Bill et Melinda Gates, mais aussi de gouvernements comme les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Allemagne.

    L'étude délivre à l'AGRA un bilan résolument négatif: les augmentations de rendement des principales cultures de base dans les années précédant l'AGRA étaient aussi faibles que pendant l'AGRA. Au lieu de réduire de moitié la faim, la situation dans les 13 pays cibles s'est aggravée depuis le lancement de l'AGRA…

    L'AGRA nuit en fait aux petits producteurs alimentaires, par exemple en les soumettant à des niveaux d'endettement élevés. En Zambie et en Tanzanie, les petits producteurs alimentaires n'ont pas été en mesure de rembourser les prêts pour les engrais et les semences hybrides après la première récolte.

    Les projets AGRA restreignent également la liberté de choix des petits producteurs alimentaires de décider eux-mêmes de ce qu'ils veulent cultiver. Cela a des effets dramatiques sur la diversité des cultures. L’AGRA se concentre sur la culture unilatérale du maïs. Les cultures traditionnelles résistantes au climat et riches en nutriments ont donc décliné…

    De plus, l'AGRA fait pression sur les gouvernements au nom des sociétés agricoles pour qu'ils adoptent une législation qui profitera aux producteurs d'engrais et aux entreprises semencières au lieu de renforcer la production alimentaire à petite échelle et les structures alternatives.

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  14. Des technologies de sauvetage qui ne le sont pas

    C’est ce genre d’efforts intéressés qui ont valu à Gates le titre officieux de philanthrope le plus dangereux du monde. Comme l’ont noté AGRA Watch, 10 Vandana Shiva, Ph.D., et d’autres, la philanthropie de Gates crée plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’il promet de résoudre, et peut être mieux décrite comme du «philanthrocapitalisme».

    Comme indiqué dans l’article d’AGRA Watch, «Philanthrocapitalisme: les programmes africains de la Fondation Gates ne sont pas de la charité», philanthrocapitalistes: 11

    «… S'attendent souvent à des rendements financiers ou à des avantages secondaires à long terme de leurs investissements dans les programmes sociaux. La philanthropie devient un autre élément du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de «développement» de la Fondation Gates promeut en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises. »

    Dans la vidéo présentée, Brand cite également Shiva, cofondatrice de Regeneration International, qui a dit ce qui suit sur les efforts de Gates pour améliorer l'agriculture en Inde:

    «Lorsque Bill Gates a imposé ses technologies de« sauvetage »aux agriculteurs indiens, le seul à en bénéficier était Gates et ses partenaires multinationaux. Il a donné de l'argent au gouvernement et à une entreprise appelée Digital Green, et a fait des promesses extravagantes pour transformer numériquement l'agriculture indienne.

    Puis, avec la coopération de ses représentants du gouvernement achetés, Gates a installé des caméras et des capteurs électroniques dans les maisons et les champs des agriculteurs indiens. Il a utilisé leurs téléphones portables, qu'il leur a donnés gratuitement, et ses installations de fibre optique et 5G, qu'il a persuadé l'Indian Telecom Company de financer - pour cataloguer, étudier et voler gratuitement les données sur les récoltes des agriculteurs, les pratiques autochtones et les connaissances agricoles.

    Puis il leur a revendu en tant que nouvelles données. Au lieu de transformer numériquement les fermes comme il l'avait promis, il a transformé les agriculteurs indiens en informations numériques. Il a privatisé leurs semences et récolté le travail du système public.

    Il a arraché leurs connaissances et leur héritage génétique, et a installé des semences OGM et d'autres pratiques ridicules. Son programme clair était de chasser les petits agriculteurs de la terre et finalement de mécaniser et de privatiser la production alimentaire.

    La durabilité et le mondialisme sont en contradiction

    À maintes reprises, l’approche mondialiste de l’agriculture de Gates a eu des conséquences dévastatrices sur la durabilité alimentaire et environnementale en général et sur la sécurité alimentaire locale en particulier. L'Inde et l'Afrique ne sont que deux des exemples les plus évidents. Cela ne fonctionne tout simplement pas. Cependant, cela est rentable pour Gates et ses alliés corporatifs et favorise le plan technocratique de contrôler le monde en possédant toutes les ressources du monde.

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  15. Le Forum économique mondial financé par Gates, fondé par Klaus Schwab, figure de proue technocrate, n’est que l’une des agences non gouvernementales mondiales qui contribuent à promouvoir l’agenda destructeur de l’agriculture et de la fausse alimentation de Gates. Tel que rapporté par The Defender, la grande réinitialisation a été officiellement dévoilée lors d'un sommet du Forum économique mondial en mai 2020: 12

    «C'est une vision pour transférer le monde dans un État de surveillance totalitaire et autoritaire manipulé par des technocrates pour gérer des populations traumatisées, pour déplacer la richesse vers le haut et servir les intérêts des oligarques milliardaires d'élite.

    Tous les aspects imaginables de la vie et de la société doivent être «réinitialisés» conformément à leur plan, y compris les politiques alimentaires mondiales. À la tête de cette charge se trouve une organisation appelée EAT Forum, qui se décrit comme le «Davos pour la nourriture». EAT Forum est cofondé par le Wellcome Trust, une organisation financée et stratégiquement liée à GlaxoSmithKline, un fabricant de vaccins dans lequel Gates lui-même est investi financièrement.

    La plus grande initiative du Forum EAT s'appelle FReSH, qui vise à transformer le système alimentaire dans son ensemble. Les partenaires du projet dans cette entreprise comprennent Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever et Google. Selon The Defender, «Le Forum EAT travaille avec ces entreprises pour« ajouter de la valeur aux entreprises et à l’industrie »et pour« définir l’agenda politique ».»

    Si la durabilité et la sécurité alimentaire sont l'objectif - sans parler de la liberté individuelle et de la liberté - alors nous devons démanteler la machine mondialiste et revenir à des méthodes historiquement éprouvées qui sont durables et productives.
    EAT collabore également avec près de 40 administrations municipales d’Europe, d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Nord, d’Amérique du Sud et d’Australie, et aide le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), financé par Gates, à mettre à jour des directives diététiques.

    «Selon Frédéric Leroy, professeur de sciences alimentaires et de biotechnologie à l'Université de Bruxelles, le réseau EAT travaille en étroite collaboration avec certaines des plus grandes sociétés d'imitation de viande, y compris Impossible Foods et d'autres sociétés de biotechnologie, pour remplacer les aliments nutritifs sains par le laboratoire génétiquement modifié de Gates. concoctions », écrit The Defender.13

    Démanteler la machine mondialiste qui sape le succès

    Si la durabilité et la sécurité alimentaire sont l'objectif - sans parler de la liberté individuelle et de la liberté - alors nous devons démanteler la machine mondialiste et revenir à des méthodes historiquement éprouvées qui sont durables et productives. Tel que noté par The Defender: 14

    «Les pratiques agricoles africaines ont évolué à partir de la terre pendant plus de 10 000 ans sous des formes qui favorisent la diversité des cultures, la décentralisation, la durabilité, la propriété privée, l'auto-organisation et le contrôle local des semences. La liberté personnelle inhérente à ces systèmes localisés laisse les familles paysannes prendre leurs propres décisions: les maîtres sur leurs terres, les souverains de leur destin.

    L'innovation continue par des millions de petits agriculteurs a maximisé les rendements durables et la biodiversité. Dans sa réinvention impitoyable du colonialisme, Gates a dépensé 4,9 milliards de dollars pour démanteler cet ancien système et le remplacer par une agriculture corporatisée et industrialisée de haute technologie, des monocultures chimiquement dépendantes, une centralisation extrême et un contrôle descendant.

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  16. Il a forcé les petites fermes africaines à passer aux semences commerciales importées, aux engrais pétroliers et aux pesticides. Gates a construit l'infrastructure de la chaîne d'approvisionnement pour les produits chimiques et les semences et a fait pression sur les gouvernements africains pour qu'ils dépensent d'énormes sommes en subventions et qu'ils utilisent des sanctions draconiennes et un contrôle autoritaire pour forcer les agriculteurs à acheter ses intrants coûteux et à se conformer à ses diktats.

    Le résultat final aurait dû être prévisible, mais Gates a néanmoins continué. En remplaçant les cultures nutritives traditionnelles par des cultures commerciales industrielles - des produits de base dans la fabrication d'aliments transformés, tels que le maïs et le soja - les négociants mondiaux de produits de base et les fabricants de malbouffe ont profité tandis que les habitants avaient peu à manger.

    En plus de cela, l'accent mis sur les produits chimiques a détruit les sols, entraînant une baisse de la nutrition et de la productivité. Pendant tout ce temps, les organisations qui réussissent réellement à promouvoir des stratégies agricoles avec une durabilité prouvée n'ont pas reçu un seul centime de Gates.

    En même temps que Gates encourage la destruction de nos systèmes climatiques naturels avec ses politiques agricoles téméraires, il a investi dans une variété de technologies de changement climatique visant à réduire la quantité de lumière solaire qui atteint la terre, 15,16 les effets secondaires de qui ont le potentiel de causer beaucoup plus de dommages à l'agriculture mondiale que tout ce que nous avons vu jusqu'à présent.

    L'alimentation et l'agriculture régénératives sont la réponse

    Comme le note Shiva, «L'agriculture régénérative apporte des réponses à la crise des sols, à la crise alimentaire, à la crise climatique et à la crise de la démocratie.» 17 Alors, qu'est-ce que l'agriculture régénérative? Selon Ronnie Cummins, fondateur et directeur de l'Organic Consumers Association:

    «L'agriculture et l'élevage régénératifs sont l'étape suivante et supérieure de l'alimentation et de l'agriculture biologiques, non seulement exempte de pesticides toxiques, d'OGM, d'engrais chimiques et de production agricole industrielle, et donc bonne pour la santé humaine; mais aussi régénérateur en termes de santé du sol, de l'environnement, des animaux, du climat et des moyens de subsistance ruraux.

    Regeneration International 18, qui compte actuellement 400 affiliés dans plus de 60 pays, est l'une des principales organisations de ce mouvement. Ils s’efforcent d’identifier les «meilleures pratiques» dans le monde entier pour faciliter le développement de l’agriculture régénérative partout dans le monde.

    En fin de compte, l’objectif est de faire de l’agriculture régénérative la norme plutôt qu’une alternative de niche au système dégénératif d’alimentation, d’agriculture et d’utilisation des terres à base de produits chimiques qui domine actuellement.

    Vous pouvez contribuer à et accélérer ce processus en étant sélectif sur l'endroit où vous achetez votre nourriture et les types d'aliments que vous achetez, et / ou en créant votre propre jardin régénérateur. Pour obtenir des conseils sur le jardinage et des conseils généraux, consultez «Jardinage et vie régénératifs, un programme en ligne».

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  17. Regeneration International a une carte de ferme régénérative pratique qui peut vous aider à trouver des producteurs locaux de diverses denrées alimentaires dans le monde entier. Si vous vivez aux États-Unis, les organisations suivantes peuvent également vous aider à trouver des sources locales d'aliments frais de la ferme.

    • Demeter USA - Demeter-USA.org fournit un répertoire des fermes et des marques certifiées biodynamiques.

    • Fondation Weston A. Price - Weston A. Price a des sections locales dans la plupart des États, et beaucoup d'entre elles sont liées à des clubs d'achat dans lesquels vous pouvez facilement acheter des aliments biologiques, y compris des produits laitiers crus nourris à l'herbe comme le lait et le beurre.

    • L'Institut Cornucopia - L'Institut Cornucopia maintient des outils en ligne évaluant toutes les marques certifiées biologiques d'œufs, de produits laitiers et d'autres produits de base, en fonction de leur approvisionnement éthique et de pratiques agricoles authentiques séparant la production «biologique» CAFO des pratiques biologiques authentiques.

    • American Grassfed Association (AGA) - Le but de l'American Grassfed Association est de promouvoir l'industrie de l'herbe à travers les relations gouvernementales, la recherche, le marketing conceptuel et l'éducation du public.

    Leur site Web vous permet également de rechercher des producteurs agréés par l'AGA et certifiés selon des normes strictes qui incluent le fait d'être élevé avec un régime alimentaire à 100% de fourrage; élevé au pâturage et jamais confiné à un parc d'engraissement; jamais traité avec des antibiotiques ou des hormones; et est né et a grandi dans des fermes familiales américaines.

    • Grassfed Exchange - Le Grassfed Exchange a une liste de producteurs vendant des viandes biologiques et nourries à l'herbe à travers les États-Unis.

    Organic Food Directory (Australia)
    Organic Explorer (New Zealand)
    Farm Match (United States)
    Weston A. Price Foundation (United States)
    Demeter USA
    Eat Wild (Canada)
    Eat Well Guide (United States and Canada)
    Local Harvest (United States)
    The Cornucopia Institute
    American Grassfed Association
    Monsanto, Bayer et leurs alliés veulent que vous pensiez qu'ils contrôlent tout, mais ce n'est pas le cas. C’est vous, les masses, qui détenez le pouvoir entre vos mains. Travaillons tous ensemble pour renverser le château de cartes de l’industrie biotechnologique. N'oubliez pas que tout commence par faire des achats intelligents et faire les meilleurs achats alimentaires pour vous et votre famille.

    Sources and References

    1 New York Post February 27, 2021
    2, 3 USA Today November 25, 2019
    4 Technology Review February 15, 2021
    5 ZeroHedge February 16, 2021
    6, 7, 12, 13, 14 The Defender February 4, 2021
    8, 9 False Promises: The Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA)
    10, 11 Third World Network, Philanthrocapitalism: The Gates Foundation’s African Programs Are Not Charity
    15 Nature November 27, 2018
    16 Forbes January 11, 2021
    17 Organic Consumers Association May 22, 2019
    18 Regeneration International

    https://www.lewrockwell.com/2021/03/joseph-mercola/farmer-bill-and-the-great-reset/

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  18. Greenwald: critiquer des personnalités publiques, y compris des journalistes influents, n'est pas du harcèlement ou des abus


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021-20: 20
    Rédigé par Glenn Greenwald via greenwald.substack.com,


    Le journal le plus puissant et le plus influent des États-Unis, sans doute l'Occident, est le New York Times. Les journalistes qui écrivent pour lui, en particulier ceux dont le travail est présenté sur sa première page ou dans sa section d'opinion, exercent un pouvoir immense pour façonner le discours public, influencer la pensée, définir l'agenda politique de la nation la plus puissante de la planète, dénoncer les injustices, ou ruiner la vie des personnalités publiques et des citoyens privés. C'est un pouvoir énorme entre les mains d'une institution médiatique et de ses employés. C’est pourquoi il s’appelle le document officiel.

    L’un des journalistes vedettes du Paper of Record, Taylor Lorenz, a fait l’objet de nombreuses discussions ces derniers temps. Il en est ainsi pour trois raisons. Le premier est que le journaliste spécialisé dans les technologies et la culture, âgé de 36 ans, a contribué à innover dans un nouveau type de rythme de reportage qui semble avoir plusieurs objectifs. Elle publie des articles explorant en détail la culture en ligne des adolescents et des très jeunes adultes, ce que, en tant que père de deux jeunes enfants utilisant Tik-Tok, j'ai trouvé occasionnellement et légèrement intéressant. Elle cherche également à attraper des personnes célèbres et non célèbres en utilisant de mauvais mots ou en étant à proximité numérique de mauvaises personnes afin d'alerter le reste du monde sur ces découvertes importantes. Il est naturel que les journalistes qui ont lancé une nouvelle forme de reportage de cette manière soient débattus.

    La deuxième raison pour laquelle Lorenz fait l'objet de discussions récentes est qu'elle a été surprise à plusieurs reprises en train de fabriquer des affirmations sur des personnes influentes et de tenter de ruiner la réputation et la vie de personnes décidément non célèbres. Au cours des six dernières semaines seulement, elle a menti deux fois publiquement à propos du fondateur de Netscape, Marc Andreessen: une fois, affirmant qu'il avait utilisé le mot «retardé» dans une salle du Clubhouse dans laquelle elle se cachait (il ne l'avait pas fait), puis l'accusant d'avoir comploté avec un nationaliste blanc. dans une autre pièce du Clubhouse pour l'attaquer (lui, en fait, n'avait rien dit).

    Elle utilise également souvent sa vaste et puissante plate-forme publique pour calomnier les citoyens privés sans pouvoir ni statut public en les accusant de nourrir de mauvaises croyances et / ou de s'associer à d'autres qui le font. (Elle est actuellement poursuivie par une citoyenne nommée Arya Toufanian, qui affirme que Lorenz a utilisé son compte Twitter privé pour détruire sa réputation et son entreprise, en particulier avec un tweet que Lorenz a gardé épinglé en haut de sa page Twitter pendant huit mois, tandis que plusieurs d'autres personnalités non publiques se plaignent que Lorenz ait «rendu compte» de leurs activités non publiques). Il faut s'attendre à ce qu'une journaliste du New York Times qui se fasse prendre à mentir comme elle l'a fait contre Andreessen et essayant de détruire la réputation de personnalités non publiques sera un sujet de conversation.

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  19. La troisième raison pour laquelle cette journaliste du New York Times retient l'attention est qu'elle est devenue l'un des principaux défenseurs et symbole d'une tactique toxique maintenant fréquemment utilisée par des personnalités publiques riches et influentes (comme elle) pour délégitimer les critiques et même interdire toute tentative de les tenir responsables. Plus précisément, elle et ses alliés des médias confondent constamment les critiques de personnes comme elles avec «harcèlement», «abus» et même «violence».

    C'est ce que Lorenz a fait mardi lorsqu'elle a coopté la Journée internationale de la femme pour annoncer qu '«il n'est pas exagéré de dire que la campagne de harcèlement et de dénigrement que j'ai dû endurer au cours de l'année écoulée a détruit ma vie.» Elle a commencé son histoire en proclamant: «Pour la journée internationale de la femme, pensez à soutenir les femmes victimes de harcèlement en ligne.» Elle l'a terminé avec ceci: "Personne ne devrait avoir à subir ça." En particulier, elle ou ses nombreux défenseurs des médias n’ont fait aucune mention des vies qu’elle a blessées ou affectées de manière délétère avec sa plate-forme journalistique massive.

    C'est délibéré. Selon cette formulation, si vous critiquez la façon dont Lorenz utilise sa perche médiatique très influente - notamment en soulignant qu'elle devrait probablement arrêter de fabriquer des accusations contre des personnes et de surveiller les actes privés de personnes non publiques - alors vous êtes coupable de harceler un «jeune femme »et lui infligeant de la douleur émotionnelle et de la violence (c'est une dynamique assez bizarre, qu'il vaut mieux laisser aux psychologues, comment ses partisans insistent pour infantiliser cette journaliste à succès adulte, proche de la cinquantaine, en parlant d'elle comme si elle était une femme fragile. lycéen; c'est particulièrement effrayant quand ses bons alliés masculins parlent d'elle de cette façon).

    Cela vaut la peine de se concentrer précisément parce qu’il est désormais si courant au sein de l’élite politique et médiatique du pays. Cette tactique n’est en aucun cas propre à Lorenz. Elle ne l'a pas pionnière. Elle s'y accroche, l'exploite, afin de se protéger des critiques de sa mauvaise conduite journalistique destructrice et de dépeindre ses critiques comme de violents harceleurs et agresseurs. Avec ce cadre implanté, il n'y a aucun moyen d'exprimer des critiques du travail de Taylor Lorenz et de l'utilisation et de l'abus de sa plate-forme journalistique sans être largement accusé d'avoir incité par malveillance une foule de misogynes violents à ruiner sa vie - c'est un bouclier assez puissant contre la responsabilité pour quelqu'un d'aussi influent dans la vie publique.

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  20. Mais c’est désormais une tactique courante parmi les personnalités publiques les plus riches, les plus puissantes et les plus influentes de la société. L'avènement d'Internet a permis aux riff-raff, aux paysans, aux non-licenciés et aux non accrédités - ceux qui dans le passé étaient parfaitement silencieux et invisibles - d'être entendus, souvent avec irrévérence et même mépris pour ceux qui détiennent les plus grands privilèges de la société. , comme un journaliste vedette du New York Times. En se refondant comme opprimés, abusés et impuissants plutôt que ce qu'ils sont (de puissants oppresseurs qui abusent parfois de leur pouvoir), les élites politiques et médiatiques cherchent à inverser complètement la dynamique.

    Au cours de la malheureuse campagne présidentielle de 2016 d'Hillary Clinton, l'une des tactiques les plus couramment utilisées par ses partisans politiques et médiatiques était de la critiquer (en grande partie de la part des partisans de Bernie Sanders) non pas comme idéologiques ou politiques mais comme misogynes, convertissant ainsi l'un des les personnalités politiques les plus riches et les plus puissantes du monde en une sorte de victime, exactement au moment où elle cherchait à obtenir pour elle-même le poste politique le plus puissant de la planète. Il n'y avait aucun moyen de critiquer Hillary Clinton - il n'y en a toujours pas - sans être qualifié de misogyne.

    Une tactique très similaire a été utilisée quatre ans plus tard pour calomnier quiconque critiquait la sénatrice Elizabeth Warren (D-MA) - également l'une des figures les plus riches et les plus puissantes du monde - alors qu'elle cherchait le pouvoir du bureau ovale. Un thème médiatique majeur était qu'elle était brutalement agressée par des partisans de Sanders qui utilisaient des émojis de serpent pour exprimer son mécontentement face à ce qu'ils croyaient être sa campagne moins que scrupuleuse, comme s'appuyer sur des millions de dollars d'argent noir d'une Silicon Valley anonyme. milliardaire pour rester dans la course longtemps après que l'immense échec de sa campagne ait été manifeste et avoir tenté de dépeindre Sanders comme un crétin qui déteste les femmes. Lorsque Warren s'est finalement retirée de la course après ne pas avoir mieux placé que troisième dans n'importe quel État, y compris le sien, Rachel Maddow a consacré une bonne partie de son entretien avec le sénateur et auteur à succès à explorer le traumatisme profond qu'elle a subi des émojis de serpent.

    Lorsque Joe Biden a annoncé son choix de Janet Yellen comme secrétaire au Trésor et que divers organes de presse ont rapporté qu'elle avait passé les dernières années à collecter des millions de dollars en frais de parole auprès des banques de Wall Street sur lesquelles elle exercerait désormais un pouvoir immense, les journalistes qui a révélé ces faits et ceux qui se sont dits préoccupés à leur sujet ont été accusés de sexisme. D'une manière ou d'une autre, un récit a été colporté selon lequel l'un des titans multimillionnaires de l'ordre néolibéral mondial a été réduit à une victime impuissante, tandis que les personnes beaucoup moins puissantes qui remettaient en question l'éthique et l'intégrité de sa conduite devenaient ses persécuteurs.

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  21. L'une des nombreuses ironies de ces tentatives farfelues pour protéger les personnes les plus puissantes du monde de la critique est qu'elles s'appuient fondamentalement sur les stéréotypes exacts qui, dans les générations précédentes, avaient été déployés pour refuser aux femmes, aux minorités raciales et aux LGBT des chances équitables et égales d'ascension. à des positions puissantes. Ceux qui prétendent être des partisans de Lorenz ne parlent pas d'elle comme de ce qu'elle est - une femme professionnelle prospère et riche d'une trentaine d'années qui a accumulé une grande influence et a choisi une carrière dont le but est censé être de confronter des gens puissants - mais plutôt comme une fleur jeune et délicate, incapable de résister aux critiques:

    Dans le paradigme colporté par Maddow, Elizabeth Warren a été instantanément transformée d'un professeur de droit franc et intrépide de Harvard, d'un défenseur des consommateurs et d'un législateur influent en une victime d'abus vulnérable. Les partisans anonymes de Sanders étaient ceux qui détenaient le pouvoir et la force réels dans ce cadre déformé et égoïste. Afin de se protéger du même examen minutieux et de la même responsabilité que toutes les autres personnalités publiques puissantes reçoivent, ils ressuscitent les mythes les plus discrédités et les plus désuets sur qui est fort et faible, qui a besoin de protection et de considérations spéciales et qui ne le fait pas.

    Aucune discussion sur cette tactique ne serait complète sans noter sa forte composante idéologique: sa militarisation à des fins partisanes. Dites ce que vous voulez des journalistes comme Laura Ingraham ou Mollie Hemingway ou Briahna Joy Gray ou des personnalités politiques comme Kellyanne Conway, Susan Collins ou Kirstjen Nielsen. Allez-y: le ciel est la limite. Laissons tout voler sans la moindre inquiétude pour les accusations de misogynie, qui, soyez tranquille, ne se concrétiseront pas, aussi grossières ou misogynes que soient les attaques.

    Il ne faut pas non plus s'inquiéter des accusations d'antisémitisme si l'on s'oppose à la quête historique de Bernie Sanders pour devenir le premier président juif ou même exprime un mépris amer à son égard. Aucune allégation de sectarisme ne sera appliquée aux critiques de Clarence Thomas, Tim Scott, Nikki Haley, Richard Grenell ou Ben Carson.

    Cette tactique transparente fait partie intégrante de l'exploitation de plus en plus idéologique de la politique identitaire pour protéger l'ordre néolibéral et ses gardiens de la critique populaire. Faites un pas à la légère si vous voulez critiquer le bombardement de la Syrie parce que le Pentagone est maintenant dirigé par un secrétaire afro-américain à la Défense et Biden vient de promouvoir deux femmes générales. Pas d'objection à la proximité entre le secrétaire au Trésor et les banques de Wall Street, car cela est une tentative misogyne de limiter la façon dont les femmes peuvent être payées. La politique des transports ne devrait être remise en question que dans les tons les plus polis, de peur qu’une personne ne soit accusée d’héberger une animosité anti-gay pour le secrétaire du département.

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  22. La CIA et le FBI célèbrent sa main-d'œuvre diversifiée de la même manière et pour la même raison que les grandes entreprises: pour placer un vernis joli mais très mince sur le rôle néfaste qu'ils jouent dans le monde. Les bénéficiaires de cette tactique sont pratiquement toujours les puissants, tandis que les méchants sont leurs critiques, en particulier lorsque ces critiques sont marginalisés. C'est un renversement majestueux de la dynamique du pouvoir.

    Ceux qui invoquent ce bouclier en leur propre nom le font en affirmant qu'ils reçoivent des messages abusifs et sectaires et même des menaces en ligne. Je n'ai aucun doute qu'ils disent la vérité. À l'ère des médias sociaux, toute personne disposant d'une plate-forme publique importante sera inévitablement soumise au vilain vitriol. Souvent, les agressions verbales sont conçues en fonction du sexe, de la race, de l’orientation sexuelle, de la religion, de l’ethnie et d’autres aspects de leur identité démographique afin d’être aussi blessantes que possible.

    En réponse à l'utilisation par Lorenz de la Journée internationale de la femme pour élever sa souffrance au centre de la scène, la journaliste du Guardian Julia Carrie Wong a décrit sa propre expérience personnelle pour affirmer que les condamnations verbales de lecteurs en colère peuvent provoquer «une angoisse mentale grave et me faire craindre pour ma propre sécurité et celle de ma famille. Elle a reconnu que «ce n'est pas un préjudice physique ou matériel» et «ce n'est pas une persécution légale», mais, a-t-elle dit, c'est néanmoins «une force très réelle, constante et négative dans ma vie, à laquelle je dois penser tout le temps, et ça craint.

    Il est difficile de contester les affirmations de Wong. Non seulement des études démontrent qu'un barrage de critiques en ligne peut nuire à la santé mentale d'une personne, mais je peux parler d'expérience personnelle - une expérience personnelle vaste, soutenue et intense - de ce que c'est que d'être la cible d'attaques coordonnées, sectaires et menaçantes. à cause de ses rapports.

    Lorsque Jair Bolsonaro était au milieu de son candidat à la présidence en 2017, il m'a lancé une insulte anti-gay en utilisant son compte Twitter à ses millions d'adeptes. En 2019, il a publiquement revendiqué mon mariage avec mon mari et l'adoption de deux enfants brésiliens était frauduleuse, faite uniquement pour empêcher mon expulsion. Faut-il de l'imagination pour imaginer à quoi ressemblaient ma boîte de réception et mes messages en ligne pendant des mois après chacun de ces épisodes ?

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  23. Depuis le moment où mes collègues et moi-même de The Intercept Brazil avons commencé notre exposé en plusieurs parties sur la corruption de la part de hauts fonctionnaires de Bolsonaro à la mi-2019, mon nom a évolué sur Twitter brésilien pratiquement quotidiennement pendant des semaines, voire plus, accompagné de demandes d'expulsion et d'arrestation. Une grande partie du vitriol était anti-gay dans le thème, pour le dire légèrement. Mon mari, l'un des seuls membres du Congrès ouvertement homosexuels de l'histoire du Brésil, et moi-même avons reçu un déluge ininterrompu de menaces de mort très spécifiques visant notre famille et nos enfants. En conséquence, aucun d’entre nous - lui, moi ou nos deux enfants - n’avons quitté notre domicile depuis près de deux ans sans sécurité armée ni véhicule blindé. Et tout cela a abouti à la tentative de me poursuivre au pénal l'année dernière sur plus de 100 chefs d'accusation.

    Ce n’est certainement pas la première fois que je rencontre de telles critiques et attaques, et ce ne sera certainement pas la dernière, je le dis avec confiance. Je n'ai pas pu quitter le Brésil pendant près d'un an après mon retour de Hong Kong où j'ai rencontré Edward Snowden et publié nos premiers rapports sur la NSA en raison de menaces de poursuites pénales exprimées publiquement et en privé de la part de responsables américains.

    Je suis si loin d’être unique dans tout cela. Ces types de récriminations sont inhérents au journalisme (lorsqu'il est bien fait), à la confrontation avec les personnes au pouvoir, à l'insinuation dans des débats et controverses politiques controversés et polarisants. Les journalistes aiment se vanter de «dire la vérité au pouvoir», mais pensent rarement à ce que cela signifie réellement.

    Si vous faites bien le journalisme, alors vous allez mettre les gens en colère, et si vous mettez les gens en colère, alors ils vont dire des choses désagréables et blessantes à votre sujet. Si vous avez de la chance, c’est tout ce qui arrivera. Plus votre plate-forme est grande, plus les gens seront en colère et plus ils seront en colère. Plus les personnes irritées par votre travail sont puissantes, plus les représailles sont intenses. C'est ce que signifie appeler quelqu'un de «puissant»: il a la capacité d'infliger des punitions à ceux qui les empêchent.

    Des menaces de mort comme celle-ci arrivent dans ma boîte de réception chaque semaine au moins. Lorsqu'un événement d'actualité lié à notre travail se produit et met en colère un grand nombre de personnes - comme l'annonce de cette semaine selon laquelle les condamnations pénales de l'ancien président Lula da Silva ont été invalidées et ses droits politiques rétablis, le rendant ainsi éligible à se présenter contre Bolsonaro en 2022 - ces menaces et messages vicieux s'intensifient considérablement et nous sommes contraints de renforcer nos mesures de sécurité.

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  24. Quiconque ne peut pas supporter cela, ou qui ne le veut pas, est bien avisé de ne pas chercher une plate-forme publique et d'essayer de devenir une figure influente qui contribue à façonner le discours, le débat et les résultats politiques, et surtout de ne pas devenir un journaliste dévoué à révélant la corruption secrète par de puissantes factions. Ce serait évidemment mieux si tout cela ne se produisait pas, mais souhaiter que cela s'arrête, c'est comme espérer qu'il ne pleut plus jamais: non seulement c'est futile, mais - comme la pluie - il y a des aspects nettoyants et sains à avoir ceux qui exercent de l'influence. et le pouvoir doit entendre ceux qu'ils affectent, et la colère.

    Mais avec ce coût, qui peut être substantiel, vient un énorme avantage. C'est un immense privilège d'avoir une grande plate-forme que vous pouvez utiliser pour façonner la société qui vous entoure, atteindre un grand nombre de personnes et mettre en évidence les injustices que vous pensez être négligées. Ceux qui en ont, et qui gagnent leur vie en poursuivant leur passion pour l'utiliser, sont incroyablement chanceux. Les journalistes assassinés, emprisonnés ou poursuivis pour leur travail sont victimes de véritables persécutions. Les journalistes qui sont décriés par des mots ne le sont pas, en particulier lorsque ces mots ne proviennent pas de puissants fonctionnaires de l’État, mais de personnes au hasard sur Internet.

    Et même lorsque de telles critiques émanent de puissants fonctionnaires, cela n'atteint toujours pas le niveau de la persécution: lorsque Jair Bolsonaro m'a lancé une insulte anti-gay en ligne, puis a décrié notre famille lors d'une conférence de presse, ce n'était même pas dans le même univers de difficulté que d'être menacé de poursuites par les gouvernements américain ou brésilien ou de recevoir des menaces de mort crédibles. J'ai également dit beaucoup de choses critiques à son sujet. C'est pourquoi j'ai toujours trouvé si absurde de traiter les tweets méchants de Trump sur Chuck Todd ou Jim Acosta comme une grave menace pour la liberté de la presse. Emprisonner Julian Assange pour avoir publié des documents est une dangereuse attaque contre la liberté de la presse; se moquer de l'intellect de Wolf Blitzer ne l'est pas. Et si les paroles méchantes du président américain à propos des journalistes ne constituent pas une attaque contre la liberté de la presse - et ce n'est pas le cas - alors il en va sûrement de même pour les internautes aléatoires et impuissants.

    C'est pourquoi je ne me considère pas comme victime à distance: j'ai choisi de faire ce travail en sachant ce que cela impliquerait si je le faisais bien, et je continue à le faire, plutôt que de faire autre chose, car c'est un prix à payer. C'est un travail épanouissant et gratifiant pour moi, et je vois les récriminations comme la preuve de son efficacité. Tout le monde n'aura pas le même calcul, c'est pourquoi différentes personnes font des choix différents pour leur vie en fonction de leurs évaluations des coûts et des avantages qui leur sont inhérents, mais le cadre est essentiellement le même pour tout le monde.

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  25. Ce que je trouve finalement le plus répugnant et le plus offensant dans cette auto-victimisation incessante de la part des acteurs les plus puissants et privilégiés de la société, c'est la vanité qu'ils sont en quelque sorte uniques ou spéciaux dans le traitement qu'ils reçoivent, comme si cela n'arrivait qu'à des gens comme eux. C'est exactement le contraire de la réalité: tout le monde avec une plate-forme publique reçoit des abus et des attaques laides, et il y a des membres de chaque faction qui les lancent. Si vous avez des doutes à ce sujet, allez critiquer Kamala Harris et voyez quel genre d'abus incroyablement sectaire et haineux vous obtenez en retour.

    Chaque fois que cette tactique est écartée pour défendre les dirigeants néolibéraux - pour affirmer que les partisans de Sanders sont uniquement abusifs, ou que les partisans de Corbyn le sont, ou que les partisans de Trump le sont: fondamentalement, tout le monde est coupable de comportement abusif à l'exception des néolibéraux et de leurs fidèles partisans - le vrai son but devient clair. C'est une technique de contrôle des foules, conçue pour construire un gigantesque fossé et un pont-levis pour protéger ceux qui se trouvent à l'intérieur de la cour royale des hordes en colère à l'extérieur.

    La semaine dernière, j'ai participé à un débat sur Al Jazeera sur la censure en ligne avec le journaliste libéral britannique Yasmin Alibhai-Brown. Elle était une défenseure assez raisonnable et sincère de la nécessité de la censure en ligne et j'ai trouvé la discussion éclairante en conséquence, en particulier parce qu'elle était si directe sur ce qu'elle pense être le véritable problème que la censure en ligne doit résoudre. Écoutez ce qu'elle a dit:

    Précisément. "Ce n'est plus comme avant." Le problème est que "ce n'est pas un discours civilisé" pour eux parce que "il vient souvent de certains des moins éduqués et des plus en colère." C’est pourquoi la censure en ligne est nécessaire. C’est pourquoi les personnalités des médias doivent s’unir pour diaboliser et discréditer leurs détracteurs. C'est parce que des gens comme Taylor Lorenz - élevé à Greenwich, Connecticut, éduqué dans un pensionnat suisse, écrivant en première page du New York Times - entend désormais parler de «les moins éduqués et les plus en colère». C'est la crise sociétale - une crise de caste - qu'ils sont déterminés à arrêter.

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  26. Taylor Lorenz et ses alliés médiatiques savent qu'elle est plus privilégiée et influente que vous. C'est précisément pourquoi ils se sentent justifiés de créer des paradigmes qui rendent illégitime de la critiquer. Ils pensent que seuls eux-mêmes et leurs semblables méritent de participer au discours public. Comme ils ne peuvent pas contrôler pleinement la technologie qui permet à tout le monde d'être entendu (ils la contrôlent partiellement en faisant pression sur les monopoles technologiques pour censurer leurs adversaires), ils doivent créer des scénarios et des scripts conçus pour contraindre leurs critiques au silence.

    Savoir que vous serez vilipendé comme une sorte d'agresseur brutal si vous critiquez un journaliste du New York Times est, pour beaucoup de gens, un prix trop élevé à payer pour le faire. Alors les gens s'abstiennent plutôt, se taisent, et c'est l'objectif évident de cette modeste stratégie.

    https://www.zerohedge.com/political/greenwald-criticizing-public-figures-including-influential-journalists-not-harassment-or

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  27. Le syndicat des enseignants de LA qui déclare «dangereux» de retourner à l'école, exhorte les membres à cacher leurs plans de vacances


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 17:00
    Rédigé par Simon Black via SovereignMan.com,


    Êtes-vous prêt pour l’absurdité de cette semaine ? Voici notre récapitulatif du vendredi des histoires les plus ridicules du monde entier qui sont des menaces pour votre liberté, des risques pour votre prospérité… et, à l'occasion, inspirent une justice poétique.

    Cette boîte Amazon vous ressemble-t-elle à Hitler ?
    Le logo d'Amazon est censé ressembler à un sourire. Mais lorsque la société a ajouté une bande dentelée de ruban bleu au-dessus du sourire, l'imagination s'est déchaînée.

    La foule de Twitter a rapidement vu Hitler dans le nouveau logo - avec la bande ressemblant prétendument à ses cheveux, et le sourire ressemblant en quelque sorte à sa fameuse moustache.

    En conséquence, Amazon a rapidement changé le logo en un morceau de ruban adhésif décollé à la place. (Mais si vous plissez les yeux, vous pouvez peut-être voir Oussama Ben Laden dans le nouveau logo?)

    Cela demande beaucoup d'imagination, mais vous pouvez trouver des images offensantes n'importe où si vous cherchez constamment des moyens d'être indignés.

    Par exemple, après la CPAC (Conservative Political Action Conference) du mois dernier, certains internautes ont affirmé que la scène ressemblait à un symbole nazi.

    Cliquez ici pour lire l'histoire complète.


    Un professeur d'éthique gouvernementale a joué un rôle clé dans la dissimulation des décès dans les foyers de soins
    Au printemps dernier, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a ordonné aux maisons de retraite d'admettre des patients qui avaient récemment été traités pour Covid-19.

    Cela a conduit à une augmentation des décès de Covid dans les maisons de soins infirmiers, qui sont remplies de personnes âgées dans la catégorie à risque le plus élevé de cas graves de Covid-19.

    Lorsque le Département de la santé d’État a publié un rapport sur les décès dans les maisons de retraite, l’un des collaborateurs de Cuomo l’a réécrit pour supprimer le décompte total de 9 250 décès liés à la politique.

    Le raisonnement était que le nombre de décès dépassait celui du New Jersey - avec le deuxième taux de mortalité dans les foyers de soins infirmiers le plus élevé du comté - de près de 3 000 personnes.

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  28. L'assistant qui a réécrit le rapport avec l'intention d'induire le public en erreur a travaillé comme professeur d'éthique gouvernementale à la faculté de droit de NYU, avant de rejoindre l'administration Cuomo pour «les questions d'éthique et d'application de la loi».

    Il y a une éthique gouvernementale pour vous.

    Cliquez ici pour lire l'histoire complète.


    Les enseignants contre le retour en classe cachent leurs plans de vacances
    Le syndicat des enseignants de Los Angeles (connu sous le nom d'UTLA) a été fanatique sur le fait qu'il est dangereux de retourner à l'enseignement en personne en raison de Covid-19.

    Ils préféreraient que tous les étudiants continuent de souffrir du stress mental et émotionnel de l'isolement au foyer.

    Mais apparemment partir en vacances n'est pas du tout risqué. Un message d'un groupe Facebook privé pour les membres de UTLA se lit comme suit:

    «Rappel amical: si vous prévoyez des voyages pour la semaine de relâche, veuillez ne pas les consulter sur les médias sociaux. Il est difficile de dire qu’il n’est pas sécuritaire de donner des cours en personne si les parents et le public voient des photos de vacances et des voyages internationaux. »

    Juste wow.

    L’objectif n’est même pas de décourager les voyages non essentiels, étant donné que ces personnes sont supposées germophobes. Il s’agit de cacher la vérité aux parents et au public.

    Comment ces personnes sont-elles encore jugées aptes à éduquer nos enfants ?

    Cliquez ici pour lire l'histoire complète.


    Plusieurs pays interrompent la distribution du vaccin AstraZeneca Covid
    Au cours des dernières 24 heures, un certain nombre de gouvernements nationaux, dont le Danemark, la Norvège, la Thaïlande et l'Islande, ont annoncé qu'ils arrêteraient temporairement l'utilisation du vaccin COVID-19 développé par AstraZeneca et l'Université d'Oxford.

    Le ministère danois de la Santé a déclaré que la suspension était une mesure de précaution à la suite de dizaines de rapports de coagulation sanguine par des patients qui avaient été vaccinés. Il y a eu au moins un décès.

    Comme je l’ai écrit à maintes reprises, je ne suis pas anti-vaccin. Mais je suis pro-data… et pro-raison.

    Et il semble judicieux de faire une pause et d'évaluer les données lorsqu'un vaccin tout nouveau et comparativement non testé peut être lié à des effets secondaires graves.

    Le problème, bien sûr, est que cette histoire n'est pas conforme au récit que les médias veulent que vous croyiez. Donc, soit ils ne font PAS rapport à ce sujet, soit ils lancent des contre-histoires pour renforcer leur programme.

    Newsweek est déjà venu à la rescousse avec un article déclarant sans équivoque qu'il n'y a «aucune preuve montrant que les vaccins COVID ont causé des décès ou des maladies graves. . . » y compris les caillots sanguins.

    Un autre article intitulé «Ce qu'il faut savoir sur les réactions graves au vaccin Covid» a écarté toute réaction potentielle, y compris la mort, en déclarant «qu'aucun lien avec les vaccins n'a été établi».

    L'Associated Press a écrit: «La grande majorité des personnes vaccinées en ce moment sont des personnes âgées ou ont des maladies sous-jacentes», et qu'il «serait difficile de déterminer si une injection de vaccin est responsable» des caillots sanguins.

    (N'oubliez pas que vous pourriez appliquer le même argument aux décès COVID, c'est-à-dire que la grande majorité des décès COVID sont des personnes âgées ou des personnes atteintes de maladies sous-jacentes, nous devrions donc simplement ignorer ces données lors de la prise de décisions politiques ...)

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  29. Il est certain que la plupart des vaccinations dans le monde ont montré, du moins à court terme, peu d'effets secondaires. Et il est évidemment possible que les problèmes de caillot sanguin ne soient pas liés au vaccin.

    Mais il est extraordinaire que les médias soient disposés à ignorer délibérément tout signe ou toute donnée qui pourrait nuire à ce qu’ils veulent que vous croyiez.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/la-teachers-union-says-unsafe-return-school-urges-members-hide-vacation-plans

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  30. Suisse : l’interdiction de se dissimuler le visage l’a emporté

    L’interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public en Suisse a été votée. Ce sont la burqa et le niqab qui sont visés en premier lieu par cette interdiction, mais pas seulement.


    13 MARS 2021
    Par Francis Richard.


    Le 7 mars 2021, l’interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public en Suisse a été votée, avec un taux de participation de 51,40 %, à la majorité des votants (51,21 %) et à la majorité des cantons (16 sur 20 cantons et 4 sur 6 demi-cantons).

    L’initiative populaire Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage a été déposée le 15 septembre 2017. Le Conseil fédéral l’a rejetée le 15 mars 2019 et le Parlement a recommandé de la rejeter le 19 juin 2020 en lui opposant un contre-projet indirect…

    Maintenant les cantons ont deux ans pour la mettre en application…

    LE CONTRE-PROJET DU PARLEMENT SUISSE

    Si l’initiative n’avait pas abouti, le contre-projet proposé par le Parlement aurait été adopté. Il prévoyait non pas l’interdiction de se dissimuler le visage, mais l’obligation de le montrer en cas de vérification d’identité sous peine d’amende ou de refus de prestation.

    De plus, il visait à renforcer le droit des femmes : il prévoyait dans les domaines de l’intégration, de l’égalité et de la coopération au développement, des modifications de loi qui [auraient permis] à la Confédération de soutenir des programmes d’encouragement et de contribuer ainsi à améliorer l’égalité entre les sexes.

    UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ RELIGIEUSE EN SUISSE ?

    C’est le réflexe que la plupart des médias en Suisse et à l’étranger ont eu en apprenant la nouvelle. Mais ce n’est pas si simple. Certes, il est évident que ce sont la burqa et le niqab qui sont visés en premier lieu par cette interdiction. Mais pas seulement.

    L’interdiction vise également les personnes qui dissimulent leur visage pour commettre des crimes et délits, ou encore des actes de destruction terroristes. Il s’agit de renforcer les organes de sécurité dans leur lutte contre les malfaiteurs masqués.

    Aussi la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter, chef du Département Justice et Police, pourtant opposée à l’initiative, a pu déclarer le soir de la votation :

    Il ne s’agit pas d’un vote contre les 400 000 musulmanes et musulmans vivant en Suisse.

    LES MUSULMANS ET LE VOILE

    De plus, il faut rappeler que si le voile est imposé aux femmes sous une forme ou une autre en Arabie saoudite et en Iran, le voile complet est interdit en Algérie, en Égypte et au Maroc. Il n’y a donc même pas unanimité à ce sujet dans les pays musulmans.

    En Suisse même, la fondatrice du Forum pour un Islam progressiste, Saïda Keller-Messahli a fait campagne pour le Oui à l’initiative : pour elle, la burqa est un uniforme d’asservissement de la femme. Elle est rejointe en cela par des féministes telles que Géraldine Savary, rédactrice en chef de Femina.

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  31. LES EXCEPTIONS À L’INTERDICTION SUISSE

    L’interdiction de se dissimuler le visage est admise dans les lieux de culte, pour des raisons de sécurité ou de santé (casque de moto ou masque d’hygiène), pour des raisons climatiques (cagoule) ou lorsqu’elle fait partie intégrante d’une coutume locale (masque de carnaval).

    Aucune autre exception n’est admise (par exemple en faveur des touristes voilées). Or, c’est là que se pose la question de l’opportunité de cette modification de la Constitution en son article 10a du fait du nombre de personnes qui se dissimulent le visage en Suisse.

    L’OPPORTUNITÉ DE L’INTERDICTION

    En effet, bien qu’on se demande comment un tel dénombrement a pu être effectué par l’Université de Berne, se basant sur une étude de celle-ci, la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a déclaré en substance à la RTS le 2 février 2021 que seules 20 à 30 femmes portent le voile intégral en Suisse par conviction propre…

    De plus, deux cantons, le Tessin et Saint-Gall, ont déjà interdit le port de pièces vestimentaires dissimulant le visage, telles que la burqa ou le niqab, tandis que quinze autres l’interdisent lors de manifestations ou d’événements sportifs.

    LES PRINCIPES

    Interdire de se dissimuler le visage dans l’espace public (rue, transports publics, services administratifs, stades de football, magasins ou en pleine nature) est donc plutôt une question de principes selon le comité d’initiative :

    L’égalité

    Le principe de l’égalité – élémentaire s’il en est – veut que les femmes aient le droit de montrer en tout temps l’intégralité de leur visage en public, comme les hommes.

    La liberté

    Des femmes du monde entier se battent pour conquérir cette liberté et tentent, au prix de grands sacrifices, d’échapper à l’obligation qui leur est faite de se dissimuler le visage et de faire acte de soumission.

    À ces principes, la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter en opposait un autre le 2 février :

    Dans une société libérale, on n’interdit pas tout ce qu’on n’apprécie pas…

    https://www.contrepoints.org/2021/03/13/393014-suisse-linterdiction-de-se-dissimuler-le-visage-la-emporte

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  32. Comment la Californie adopte une étude obligatoire sur l'injustice raciale pour l'ensemble de ses 1,7 million de lycéens


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 22:20
    Rédigé par John Murawski via RealClearInvestigations (nous soulignons),


    La Californie a lutté pendant cinq ans pour créer un programme d '«études ethniques» politiquement acceptable qui enseignerait aux lycéens comment le racisme systémique, le capitalisme prédateur, l'hétéropatriarchie et d'autres «structures d'oppression» sont à la base de la société américaine.

    Maintenant, après plus de 82 000 commentaires publics et quatre réécritures majeures, le Conseil national de l'éducation devrait approuver la dernière version la semaine prochaine, ouvrant ainsi la voie aux législateurs pour faire d'un cours d'un semestre sur la matière une exigence de diplomation pour tous Les 1,7 million d'élèves du secondaire en Californie.

    Le dernier programme, même réduit, partage toujours des similitudes avec un projet antérieur et rejeté qu'un haut responsable de l'État a déclaré ne pas se conformer à la loi de l'État, et le comité de rédaction du Los Angeles Times a qualifié de fouillis de «déclarations politiquement correctes». "Un exercice de pensée de groupe, conçu pour faire du prosélytisme et inculquer plus que pour informer et ouvrir les esprits."

    En fin de compte, le matériel mettant l’accent sur l’assujettissement des Blancs aux non-Blancs n’est pas un sujet conventionnel, mais une idéologie avec un programme politique activiste. Les révisions ne satisferont peut-être jamais les parents et les enseignants qui estiment que les écoles publiques ne devraient pas avoir pour objectif d’enseigner aux enfants comment développer une «conscience sociale» ou d’utiliser le temps de classe pour identifier l’identité intersectionnelle d’un élève afin de déterminer sa place dans une hiérarchie de pouvoir.

    Dans le même temps, les militants des études ethniques sont furieux que leurs efforts de promotion de la justice sociale et de centrage des «voix de couleur» soient dilués par, comme ils le disent, des structures de pouvoir telles que la «blancheur», le sionisme et l'assimilationnisme.

    L'adoption du programme historique lors de la réunion prévue du conseil le 18 mars devrait marquer une victoire acharnée pour le mouvement des études ethniques vieux d'un demi-siècle et aider les défenseurs à promouvoir leur mouvement à travers le pays. Mais cela ne mettra pas fin au conflit en Californie, où la question sera forcée au niveau local d'être tranchée par les commissions scolaires locales ou dans des classes individuelles.

    La raison: les directives de l’État accordent aux enseignants une grande flexibilité dans la manière dont ils enseignent la matière. Les militants des études ethniques - y compris ceux qui ont rédigé la première version rejetée du programme - affirment que les enseignants du secondaire auront une clause de sauvegarde pour enseigner une version édulcorée que les militants se moquent de «Foods, Heroes & Holidays» et «all la vie compte »pabulum. Ces défenseurs insistent pour se tourner vers un récit héroïque sur la façon dont les gens de couleur ont souffert et se sont battus contre le capitalisme européen, le colonialisme et l'impérialisme.

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  33. Privilège des Blancs, tel que défini par le Liberated Ethnic Studies Model Curriculum Institute

    Les pratiquants ont formé leur propre organisation - le Liberated Ethnic Studies Model Curriculum Institute - pour promouvoir des études ethniques «authentiques», une discipline née à la fin des années 1960 des manifestations étudiantes menées par le Front de libération du Tiers Monde pour mettre fin à l'eurocentrisme dans l'éducation.

    Au cours de l'année écoulée, ces militants se sont réunis dans des sessions en ligne pour élaborer une stratégie, exposer leur idéologie «libératrice» et «transformationnelle» et encourager les éducateurs à enseigner le programme complet que l'État a raté. Leurs commentaires non gardés dans de nombreuses vidéos traduisent le ton combatif et l'esprit des études ethniques déjà évidents dans certaines salles de classe de Californie, et susceptibles d'être adoptés par beaucoup plus d'enseignants quel que soit le programme modèle approuvé par l'État.

    «À l'intérieur des États-Unis, les autochtones mènent activement une longue guerre pour démanteler les États-Unis», a déclaré Stevie Ruiz, qui enseigne au département des Études de Chicana et Chicano à la California State University, Northridge, lors d'une conférence en ligne de mai 2020. séance de stratégie.

    «Ainsi, nous pouvons réellement réfléchir à ce qui se passera si nous honorons les remerciements des autochtones et commençons à déchirer les États-Unis en interne», a poursuivi Ruiz, qui figurait sur la liste des dirigeants du groupe libéré jusqu'en février. «Et si nous décidions de ne plus appeler cet endroit les États-Unis ?»

    'Une façon de vivre'

    Le groupe d'études ethniques libérées comprend de nombreux auteurs originaux du programme d'études modèle d'études ethniques 2019 que l'État a vidé, ainsi que 50 universitaires, enseignants, praticiens et étudiants, selon Allyson Tintiangco-Cubales, professeur d'études asiatiques américaines à San Francisco State University, s'exprimant lors d'un événement en ligne le 2 février. Les partisans disent que de nombreux responsables de l'État ne parviennent pas à comprendre que les études ethniques ne sont pas une matière scolaire traditionnelle, mais un mouvement et une philosophie mieux décrits comme «médecine narrative», «guérison radicale» et même «mode de vie». Il se distingue de l'enseignement traditionnel en classe par sa pédagogie émotionnelle et immersive conçue pour déprogrammer les enfants des hypothèses culturelles européennes, pour rendre les adolescents conscients des inégalités systémiques et pour les reconnecter avec des connaissances ancestrales oubliées.

    Selon l’une des dirigeantes de l’institut libéré, Theresa Montaño, professeure d’études de chicana et de chicano à l’État de Californie, à Northridge, les plans de cours de la maternelle à la 12e année du groupe devraient être disponibles gratuitement en ligne ce printemps.

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  34. Selon le site Web du groupe, le matériel sera basé sur cinq thèmes: l’identité intersectionnelle racialisée, les récits collectifs, les systèmes de pouvoir et d’oppression, la résilience et la résistance et la solidarité entre les personnes de couleur. Et l'institut Liberated est ouvert aux affaires: «Nous avons des packages et des experts qui peuvent vous aider avec vos besoins d'apprentissage professionnel en études ethniques.»

    «Nous savons que lorsque les districts commenceront à mettre en œuvre leurs programmes d'études ethniques, ils n'iront pas dans l'État de Californie pour dire: 'Excusez-moi, État de Californie, pouvez-vous venir à Los Angeles et m'aider à mettre en œuvre mon programme d'études ethniques? ? », A déclaré Montaño en août dernier. «Non, ils vont venir chez nous. Et donc nous continuons le travail que nous devons faire pour développer des études ethniques tout en gardant en même temps l'espoir critique que nous pouvons encore influencer ce que fait l'état de Californie. "

    Dans des expressions répétées de frustration, les partisans attribuent les compromis politiques de l’État à un ennemi commun: la «blancheur» - ce qu’ils appellent la force oppressive que leur mouvement et ses précurseurs cherchent à démanteler depuis 500 ans. «Toutes les attaques contre l'ESMC [Ethnic Studies Model Curriculum] provenaient des royaumes de la blancheur et du blanchiment autoritaire», lit-on dans une déclaration de Guadalupe Carrasco Cardona, conseillère en intervention dans les écoles publiques de Los Angeles, lors de sa présentation de mai sur les études ethniques et la préparation des enseignants.

    «Les tentatives bien financées de blanchiment de l'ESMC allaient des nationalistes blancs de droite à Breitbart, aux capitalistes blancs du Wall Street Journal qui nient la crise climatique, aux modérés blancs qui, superficiellement, peuvent dire qu'ils soutiennent les études ethniques, mais seulement si cela est fait de la manière. ils «en tant que modérés blancs gardiens de la porte» disent que cela doit être fait. »

    Le programme d'études modèle que Cardona, Montaño, Tintiangco-Cubales et d'autres ont écrit en 2019 a frappé un fil avec des références à la résistance palestinienne à l'État d'Israël comme exemple d'études ethniques en action. La suppression de ces références du programme révisé de l’État et l’ajout de leçons sur l’antisémitisme sont considérées par les défenseurs comme emblématiques de la façon dont les structures de pouvoir blanc effacent l’histoire de ceux qu’elles oppriment.

    Cardona, l'un des membres fondateurs du groupe Liberated Ethnic Studies, a déclaré par téléphone qu'elle s'attend à ce qu'une leçon anti-israélienne sur le boycott, le désinvestissement et les sanctions soit incluse dans le matériel libéré que le groupe est en train de développer.

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  35. Cardona est une enseignante de longue date dans les écoles publiques et un vétéran des escarmouches d'études ethniques de Californie, après avoir été renvoyé d'un poste d'enseignant il y a trois ans après que certains parents ont découvert qu'elle était membre d'une organisation marxiste qui prône la révolution politique, imite Fidel Castro de Cuba et Hugo Chavez du Venezuela, et jure «d'écraser toutes les formes d'oppression et de tendances réactionnaires».

    Rejetant le penchant assimilationniste de l’État, Cardona a suggéré que les études ethniques ont un objectif totalement différent de la poussée actuelle d’équité pour amener les personnes de couleur à des postes de direction intermédiaire.

    «Ils veulent juste que les petits jeunes veuillent ce petit morceau de ce gâteau américain parce que c'est ce qu'ils pensent être la justice sociale: mettre des corps noirs, bruns et autochtones à l'université, les mettre dans ces positions corporatives et leur faire faire la même vieille chose que cette », a-t-elle déclaré dans un podcast de mai.« Et nous disons: Non, il y a quelque chose qui ne va pas avec ce système. Nous voulons que les organismes noirs, bruns et autochtones dans les universités en prennent connaissance, transforment et mettent fin à tout cela l'oppression, de ne pas continuer les rôles de l'oppresseur. "

    Un autre point éclair dans le programme modèle de 2019 était l'accent exclusif mis sur les personnes de couleur, sans aucune mention des ethnies européennes soumises à la discrimination et au génocide. Les expériences des groupes européens, y compris les Juifs et les Arméniens, méritent d'être étudiées, disent les partisans, mais elles n'ont aucun lien avec le mouvement des études ethniques, dont le véritable objectif est la vision du monde et la lutte des personnes de couleur contre la suprématie blanche.

    Les plus de 1 000 pages du programme d’études et des annexes révisés de l’État ont atténué le langage de la version originale, mais les commentaires du public évoquent un certain nombre de préoccupations.

    Judea Pearl, père de feu Daniel Pearl, un journaliste du Wall Street Journal décapité par des terroristes d'Al-Qaïda, a écrit: «Je suis particulièrement alarmé par sa tentative de dépeindre les relations interethniques comme une lutte [n] irréconciliable entre des« opprimés »définis par la race. 'et ['] oppresseurs », et par la manière dont il associe« blancheur »à« l'oppression »et au« colonialisme ».»

    Selon l'une des nombreuses définitions de la «race» fournies, la société américaine comprend deux factions raciales opposées: «Aux États-Unis aujourd'hui, les races se décomposent très largement en personnes de couleur (POC) et en blanc.» Cette définition provient de Rethinking Ethnic Studies, une introduction co-éditée par R. Tolteka Cuauhtin, un consultant et l'un des auteurs de la version 2019 rejetée du programme modèle.

    Percer un nouveau terrain

    Le ministère de l’Éducation de l’État a décrit son entreprise d’études ethniques dans le projet précédent comme «un projet révolutionnaire - le premier du genre parmi les 50 États». Et étant donné l’influence démesurée de la Californie dans l’industrie des manuels scolaires et les tendances de l’éducation, de nombreux acteurs du domaine partent du principe que les normes californiennes pourraient servir de modèle national pour les années à venir.

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  36. La volonté de la Californie de faire d'une classe d'études ethniques d'un semestre une exigence d'obtention du diplôme pour l'ensemble de ses 1,74 million d'élèves du secondaire dans 1322 lycées serait une expansion exponentielle d'un cours dispensé à 20500 élèves dans 314 lycées au cours de l'année scolaire 2018-2019. .

    Les partisans des études ethniques estiment qu'après quatre ans de président Donald Trump, une pandémie qui a durement frappé les minorités et un été de manifestations Black Lives Matter, les Américains sont prêts à s'attaquer aux implications morales des origines et de l'histoire de la nation.

    "Toute la merde horrible que les Blancs nous ont faite a maintenant commencé à les hanter", a déclaré Ruiz à ses collègues dans la vidéo de mai. "Parce qu'ils expérimentent sur nous depuis 500 ans, ce n'est plus quelque chose que vous pouvez contenir."

    Ils voient également des signes encourageants dans le choix du président Biden du secrétaire à l’éducation, Miguel Cardona, considéré comme un champion de la cause qui sera bien placé pour mettre la force fédérale derrière elle. En tant que commissaire à l’éducation du Connecticut l’année dernière, Cardona a supervisé l’adoption par cet État d’une exigence voulant que toutes les écoles secondaires offrent des cours d’études afro-américaines, noires, portoricaines et latino-américaines.

    «Pour les défenseurs des études ethniques, c'est vraiment encourageant et suggère que nous pourrions peut-être voir des efforts nationaux qui encouragent les gens à mettre en œuvre des études ethniques dans le cadre de la maternelle à la 12e année», a déclaré Ravi Perry, président du département de sciences politiques de l'Université Howard et président sortant. de l'Association pour les études ethniques.

    «L'éducation est un problème local», a déclaré Perry. «Mais peut-être comme ils l'ont fait avec les directives relatives aux toilettes transgenres dans l'administration Obama, ils peuvent fournir des incitations, un langage fortement formulé aux districts, pour les encourager à adopter ce programme tout en travaillant dans les coulisses à la Chambre et au Sénat pour obtenir un projet de loi adopté qui exigerait peut-être cela [au niveau national]. »

    Il n'y a aucun moyen de contourner le fait que les études ethniques vont mettre certaines personnes mal à l'aise.

    «C’est une confrontation explicite et directe avec le pouvoir», a déclaré Ron Scapp, professeur de sciences humaines et de formation des enseignants au College of Mount Saint Vincent, à New York, et ancien président de l’Association for Ethnic Studies. «Et le pouvoir aux États-Unis repose sur le système de caste capitaliste suprémaciste blanc, nationaliste chrétien et sans entraves.»

    Scapp, qui a été rédacteur en chef de la revue Ethnic Studies Review pendant une décennie jusqu'à l'année dernière, a déclaré que le ton strident de certains partisans peut sembler extrême, mais que la rhétorique fait partie de l'esprit de résistance.

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  37. «Ils expriment l'indignation, la douleur, la souffrance et le désir de rentrer chez eux, le désir de validité et de légitimité», a-t-il dit. "Mais dans cette expression de douleur et de douleur - et peut-être un peu comme," Va te faire foutre, homme blanc "- je pense en fait qu'ils rendent un mauvais service parce qu'ils finissent par participer à un discours de violence."

    À l’inverse, la culture du mouvement est capable d’exprimer une exubérance presque utopique. Les partisans disent à plusieurs reprises que les études ethniques ont «sauvé» leur vie et qu'elles «sauvent» la vie des étudiants.

    Lors d'une session d'organisation en ligne le 2 février, Jeff Duncan-Andrade, professeur d'études latino-américaines et d'études sur la race et la résistance à l'Université d'État de San Francisco, a déclaré de manière hyperbolique que les connaissances occidentales sont émerveillées par la sagesse contenue dans les études ethniques.

    "Il n'y a même pas de débat dans le domaine médical, en neurobiologie, en psychologie, en épidémiologie sociale et en santé publique, sur l'importance d'un cadre et d'un projet d'études ethniques pour le bien-être de la nation", a-t-il déclaré.

    Pourtant, faire face à la complicité ou à la victimisation du colonialisme européen, de l’impérialisme et du génocide peut avoir des conséquences néfastes sur les adolescents, et la proposition du Département de l’éducation de Californie a initialement conseillé aux écoles de former des conseillers en attente pour aider les élèves désemparés. En effet, le libellé du troisième projet de proposition californien se lit comme l'avertissement d'un chirurgien général: "Les sujets engageants sur la race, la classe, le sexe, l'oppression, etc. peuvent évoquer des sentiments de vulnérabilité, de malaise, de tristesse, de culpabilité, d'impuissance ou d'inconfort."

    Le quatrième projet a supprimé les avertissements, disant à la place: «Compte tenu du matériel et des discussions uniques et souvent sensibles qui peuvent se dérouler dans un cours d'études ethniques, il est essentiel de pouvoir établir la confiance et bâtir une communauté au sein de la classe.»

    Le "prosélytisme '' dans les écoles publiques
    Certains préviennent que le programme d'études ethniques équivaut à un endoctrinement politique, enfreint la politique anti-discrimination de l'État et frôle parfois la maltraitance des enfants.

    Ces critiques craignent que les enfants ne soient pas obligés d'étudier simplement le matériel, de passer un test à choix multiples, d'écrire un article et de passer à autre chose; ils peuvent être tenus d'épouser la politique progressiste comme condition pour réussir la classe et obtenir leur diplôme d'études secondaires.

    «C’est une vision du monde totalitaire qui est tout autant une communauté de foi que toute religion», a déclaré Tammi Rossman-Benjamin, directrice de AMCHA Initiative, un groupe de surveillance de l’antisémitisme à Santa Cruz, en Californie.

    «Dans une école publique, c'est vraiment l'imposition d'une religion d'État», a-t-elle déclaré. «Ce genre de prosélytisme n'a pas sa place dans les écoles publiques.»

    Même si la Californie offre une flexibilité dans l'enseignement du matériel, les partisans disent qu'un programme d'État reflétant leurs perspectives fournirait un avantage tactique important: la couverture politique nécessaire pour faire avancer leur programme contre la réaction publique attendue.

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  38. «Si c'est édulcoré dans ce programme, oui, ce n'est qu'un modèle, vous pouvez l'ajuster», a déclaré Cardona dans une interview de podcast en décembre. "Mais vous n'avez pas ce genre de couverture politique que vous pourriez avoir si elle était déjà dans le programme modèle."

    Cardona parle d'expérience personnelle. En 2018, elle était soupçonnée d'enseigner l'idéologie marxiste et communiste et a été renvoyée d'un poste d'enseignante au El Rancho Unified School District, qui est à environ 98% hispanique et détient la distinction d'être le premier district scolaire de Californie à adopter, en 2014. , une exigence d'obtention du diplôme d'études secondaires d'études ethniques.

    Selon la couverture médiatique locale, les résidents locaux ont commencé à exprimer leurs inquiétudes quant à l’implication de Cardona dans plusieurs organisations militantes, dont Unión del Barrio. Selon le site Web de l'organisation et le manifeste politique de 17 pages, le groupe s'est engagé à déloger les impérialistes européens de l'hémisphère occidental et à regagner la souveraineté politique des personnes de couleur de la Terre de Feu à l'Alaska, formant une unité géopolitique unique appelée Nuestra America, "en fin de compte faire progresser le rêve de Simón Bolívar d'un continent unifié.

    «Nous ne nous unirons jamais aux bourgeois, capitalistes, néocolonialistes, qui s'unissent activement à l'impérialisme, exploitent leur propre peuple et choisissent de faire progresser leur propre intérêt individuel sur les intérêts de tous les autres», déclare le groupe.

    Cardona a déclaré par téléphone qu'elle souscrivait à la philosophie révolutionnaire de Unión del Barrio, mais qu'elle ne mélange pas ses activités politiques parascolaires avec son travail de jour en tant qu'enseignante. Et elle ne le cache pas: à ce jour, son site Web personnel déclare: «Elle est fière d'être membre de l'organisation politique socialiste, Union del Barrio.

    Guillermo Gómez, qui enseigne les études ethniques au Lincoln High School de San Diego, s'est déclaré en mai 2020 comme "réellement responsable et responsable" à Unión del Barrio, qui a "développé mon idéologie politique afin de poursuivre le travail que nous faisons".

    Lors du webinaire de mai, Gómez a présenté un compte rendu détaillé du processus étape par étape utilisé pour présenter aux enseignants et aux étudiants la vision du monde des études ethniques. «Il est important de se fonder sur ce concept d’amour, d’amour révolutionnaire», a-t-il décrit l’initiation.

    La formation commence par établir que les études ethniques sont fondées sur la justice sociale, a déclaré Gómez, notant astucieusement: "Qui peut plaider contre la justice sociale, n'est-ce pas ?"

    Le processus progresse à travers des étapes progressives d'adhésion.

    Par exemple, on apprend aux élèves à se voir non pas comme des individus mais à travers leur identité. Et après avoir commencé à se voir à travers le prisme de la race, du sexe et d'autres modes intersectionnels de pouvoir et d'oppression, on leur apprend que leur identité est exposée et vulnérable aux forces extérieures malveillantes.

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  39. "Une fois qu'ils sont ancrés et qu'ils sont très forts sur ce qu'est leur identité, alors nous commençons à amener les enseignants et les élèves dans des idées et des attaques contre leur identité", a-t-il expliqué. «Et une fois qu’ils sont capables d’analyser et d’identifier les systèmes d’oppression, la question devient: que pouvons-nous faire maintenant ?»

    Certains enseignants et étudiants deviennent totalement engagés.

    "Les études ethniques ne sont pas seulement une discipline académique - c'est comme toute votre vie - c'est la vie, point final", a déclaré Gómez dans le webinaire. Gómez n'a pas répondu à un e-mail, mais Scapp a déclaré que Gómez représentait quelque chose de très encourageant dans les études ethniques: il utilise le langage de l'amour plutôt que de la confrontation, et il aide les étudiants à désencombrer leur esprit d'idées toxiques.

    «C'est le contraire de l'endoctrinement», a déclaré Scapp. «Le point de départ est que les gens sont déjà endoctrinés, même s'ils ne sont pas blancs, par la suprématie blanche.»

    Dans la vidéo, Gómez a déclaré que l'enseignement efficace se résume en fin de compte à la confiance. «Une fois que vous avez une communauté aimante forte et positive dans la classe», a déclaré Gómez, «vous pouvez pratiquement tout enseigner.

    Email: jmurawski@realclearinvestigations.com

    Twitter: @johnmurawski

    https://www.zerohedge.com/political/how-california-embracing-mandatory-racial-injustice-study-all-its-17-million-high

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  40. Le cinéma hollywoodien autorise un pic de 43% en février


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021-15: 44


    Il semblait qu'hier encore, nous écrivions sur la façon dont l'industrie cinématographique était embourbée dans de profonds retards dus à Covid. Nous avons beaucoup écrit sur la façon dont les studios envisageaient d'abandonner complètement le box-office, comment les récompenses seraient minces ou inexistantes en 2020 et comment le tournage de nombreux projets était repoussé ou annulé complètement.

    La production n'a redémarré qu'en juin 2020 et quand elle l'a fait, elle a été lente. Mais maintenant, il semble qu'Hollywood est enfin de retour sur une reprise.

    Les demandes de permis de films à Los Angeles ont augmenté de 43% en février après que FilmLA, l'organisation qui suit la production dans la ville, ait déclaré avoir reçu 777 demandes de permis de films en février. Le pic était dû à une augmentation des permis à la fin du mois, suggérant que mars pourrait afficher des chiffres encore plus impressionnants, selon The Hollywood Reporter.

    Malgré la crise, l'activité de production reste encore environ 40% en dessous de la normale pour cette période de l'année. En fait, comme le note le journaliste, il n'y avait pas beaucoup de signes de vie à l'approche de la fin de 2020: "Les demandes de permis de film avaient diminué de novembre à janvier - d'un pic de 880 en octobre à 813 en novembre, 613 en décembre et puis seulement 543 en janvier. "

    Il semble que le pire pourrait être passé maintenant. Depuis le redémarrage de la production, 5 533 demandes de permis de films pour 3 789 projets ont été traitées.

    Le président de FilmLA, Paul Audley, a déclaré: «Alors que le nombre de nouveaux cas de COVID-19 diminue et que de plus en plus de projets redémarrent la production, nous sommes optimistes que l'économie cinématographique locale sera bientôt de nouveau sur les rails. Le tournage sur place, pendant des mois, mené en toute sécurité dans le respect de protocoles de santé stricts, augmentera sûrement à nouveau avec la réouverture des entreprises et l'augmentation de la disponibilité des vaccins.

    Parmi les émissions qui ont redémarré le tournage, il y a des noms comme Curb Your Enthusiasm, Grey’s Anatomy et This is Us.

    https://www.zerohedge.com/markets/hollywood-film-permits-spike-43-february

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  41. Le passeport vaccinal est-il légal ?


    David Guyon
    Le Grand Soir
    ven., 12 mar. 2021 22:09 UTC


    La Covid-19 a conduit le monde pharmaceutique a développer extrêmement rapidement un nouveau type de vaccin qui a mené le gouvernement à proposer d'instaurer dans notre droit positif un passeport vaccinal ou en d'autres termes de légaliser une discrimination pour motif de santé. Cela est dangereux et critiquable juridiquement pour plusieurs raisons.

    « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme » disait Rabelais.

    L'instauration d'un « passeport vaccinal », c'est-à-dire l'exigence de la détention d'un document officiel justifiant de la réalisation d'un vaccin en vue de pouvoir échapper à certaines restrictions de liberté, constitue une pente dangereuse qui pourrait bien sonner le glas de l'âme démocratique de notre société moderne et civilisée.

    La France est le berceau de la vaccination avec Louis Pasteur. Depuis leur création, les vaccins ont permis d'éradiquer un grand nombre de maladies contagieuses touchant surtout les enfants. La politique vaccinale d'un pays constitue donc une composante essentielle de sa politique sanitaire laquelle constitue l'un des triptyques de l'ordre public.


    Commentaire : Le mythe de Pasteur a fait long feu. Nous vous invitons à lire ces articles qui révèlent l'imposture pasteurienne :
    L'imposture vaccinale dénoncée par Marc Jaspard, biochimiste
    Pasteur versus Béchamp - La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    L'empereur Pasteur est nu ! Ou la diabolisation des germes


    Selon l'OMS, un vaccin est une préparation administrée pour provoquer l'immunité contre une maladie en stimulant la production d'anticorps. La couverture vaccinale correspond à la proportion de personnes vaccinées dans une population à un moment donné.

    Afin de clarifier rapidement les choses, ce passeport vaccinal n'a pas encore d'existence légale. En effet, il résulte d'un projet de loi déposé le 21 décembre 2020 à l'Assemblée nationale.

    Il n'est donc pas très orthodoxe de parler « d'illégalité » pour un projet de loi dès lors que d'une part, ce texte n'est pas encore dans le droit positif, c'est-à-dire applicable, d'autre part, parce que le terme « illégal » renvoi à la méconnaissance de la loi. Or, une loi est au même niveau que les autres dans la hiérarchie des normes.

    En revanche, ce projet de loi, s'il entrait tel qu'elle dans le droit positif, pourrait méconnaître des textes hiérarchiquement supérieurs à lui tel que des conventions internationales et la Constitution.

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  42. Ce projet prévoit que
    « 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l'exercice de certaines activités à la présentation des résultats d'un test de dépistage établissant que la personne n'est pas affectée ou contaminée, au suivi d'un traitement préventif, y compris à l'administration d'un vaccin, ou d'un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l'étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d'application s'agissant notamment des catégories de personnes concernées »
    Le vaccin ne sera pas obligatoire, mais pour se déplacer, accéder aux transports ou à certaines activités celui-ci sera nécessaire. En d'autres termes, Liberté, égalité, si vous êtes vaccinés !

    Il convient d'indiquer de suite que le débat ne portera pas sur la question de savoir si l'on est pour ou contre ce vaccin mais bien de savoir si notre société est prête à accepter de légaliser une discrimination pour motif de santé en acceptant d'exclure de la vie sociale les individus qui refuseraient de s'y soumettre.

    Cette question soulève des difficultés juridiques qu'il convient d'analyser.

    I- La méconnaissance des principes d'égalité et de liberté :

    Il ne s'agit pas des seules libertés méconnues. Cependant, compte tenu de leur importance, il semble intéressant d'indiquer en quoi ce passeport vaccinal vient fracasser les principes fondant nos sociétés modernes.
    L'atteinte à la liberté :
    La liberté constitue le droit de pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. La liberté se retrouve ici réduite dans l'hypothèse où le vaccin n'est pas réalisé ou non justifié par un document officiel.

    Indirectement mais sûrement, les citoyens non vaccinés se trouveront privés du droit d'entreprendre, de travailler, de la liberté d'aller et venir ou encore du droit au respect de la vie privée et familiale. Cela aura aussi un impact sur le droit de propriété de certain qui pourront s'en trouver privé du fait de cette exclusion sociale [1].

    Sur le plan du droit international, on évoquera les dispositions de l'article 8 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme. Ce texte protège le droit à la vie privée et familiale. A ce titre, la Cour Européenne des Droits de l'Homme a développé une jurisprudence très protectrice de la sphère privée laquelle comporte notamment le droit à l'autodétermination et la santé.

    En effet, en vertu de l'article 8 de la Convention EDH, il a été reconnu de longue date qu'il existait un droit de consentir aux soins [2].

    Le projet envisagé par le gouvernement vient donc porter atteinte à toutes ces libertés en pérennisant le concept des restrictions là où en démocratie, la liberté doit être la règle. Les citoyens qui refuseraient de se faire vacciner, se retrouveront privés de facto de toutes les libertés qu'ils seraient normalement en droit de pouvoir revendiquer en leur seule qualité de citoyen.

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  43. Quid de la liberté des individus qui refuseront de se faire vacciner et qui se retrouveront exclus totalement de la société ? Quelle liberté est laissée à celui qui ne pourra plus vivre en société et se retrouvera traité comme un paria ?
    Quand il n'y a plus de choix il n'y a plus de liberté !
    Ce texte constituerait un changement de paradigme.
    L'atteinte à l'égalité :
    Le principe d'égalité trouve sa source dans le droit constitutionnel et irrigue tout notre droit. Il implique d'une part, que toutes les personnes placées dans une situation identique soient traitées de la même manière, ce qui permet en retour que des situations différentes fassent l'objet d'un traitement différent ; d'autre part, qu'il soit possible de déroger à l'égalité lorsqu'un motif d'intérêt général le justifie.

    Dans ces deux situations la différence de traitement qui peut en résulter doit être en rapport direct avec l'objet de la norme qui l'établit et ne doit pas être manifestement disproportionnée au regard des motifs susceptibles de la justifier.

    En droit international on parle plutôt du droit à la non-discrimination qui est protégé à l'article 14 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme.

    Pour la Cour Européenne des droits de l'homme, il y a discrimination lorsqu'une personne est, sans justification objective et raisonnable, traitée moins favorablement qu'une autre personne placée dans une situation analogue.

    « Analogue » ne signifie pas en tous points identique : il faut que, eu égard à la nature de ses griefs, le requérant soit dans une situation comparable ou similaire sur un plan pertinent à celle de personnes mieux traitées que lui.

    Il résulte de ce passeport vaccinal qu'un élément de la santé des individus conduira à une exclusion sociale d'une partie de la population. Il y aura des citoyens vaccinés et des citoyens non vaccinés ou en d'autres termes, des supra citoyens et des sous citoyen. Or, le droit français ne reconnaît qu'un peuple français. Il y aura un peuple et un sous-peuple !

    Les lois ne sont plus les mêmes pour tous puisque le vaccin les réduit pour certain et les étend pour d'autres (article 6 de la DDHC).

    A l'heure où le législateur a combattu durant des décennies des différences de traitement fondées sur des distinctions juridiques arbitraires et notamment le handicap et l'égalité homme/femme, ce passeport vaccinal laisse pantois.

    II- La disproportionnalité de l'instauration du passeport vaccinal :

    « En tout domaine, l'excès est un vice » disait Sénèque. Parce qu'une mesure dite remède, poussée à son extrême, peut conduire à un résultat pire que le mal contre lequel elle lutte. La protection de la santé publique constitue un motif légitime pouvant justifier une restriction de liberté. Cependant, comme toute restriction elle doit être strictement proportionnée au but légitime qu'elle poursuit.

    A vouloir protéger la vie biologique on peut finir par nier l'ensemble des droits que la vie procure.

    Sans entrer dans le débat des pro ou anti vaccin, qui constitue le faux débat de ce sujet, il convient de s'intéresser à la proportionnalité de l'instauration d'un passeport vaccinal.

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  44. Bien avant la crise sanitaire le Conseil d'Etat avait déjà donné quelques éléments de réflexion sur la question des vaccins obligatoires.

    Ainsi le 6 mai 2019, le Conseil d'Etat avait déjà pu juger que l'extension de la liste des vaccinations obligatoires à onze vaccins, dont huit étaient précédemment seulement recommandés, ne méconnaît pas le droit à l'intégrité physique et au respect de la vie privée, compte tenu de la gravité des maladies, de l'efficacité de ces vaccins et de la nécessité de les rendre obligatoires pour atteindre une couverture vaccinale satisfaisante pour l'ensemble de la population.

    Egalement, le Conseil d'Etat avait validé la légalité de la décision par laquelle les autorités sanitaires avaient pu refuser de retirer les vaccins obligatoires contenant des sels d'aluminium destinés à favoriser la réponse immunitaire, qui présentent un rapport entre bénéfices et risques favorable.

    Conseil d'Etat 6 mai 2019 n°415694 ;

    Le Conseil d'Etat fait preuve de pragmatisme et effectue une véritable balance du coût avantage/inconvénient de l'instauration de tels vaccins mettant en œuvre sa jurisprudence applicable habituellement en matière d'urbanisme.
    Plusieurs éléments ressortent de cette décision riche d'enseignement pour apprécier la proportionnalité d'un vaccin obligatoire :
    - La gravité des maladies contre laquelle il lutte ;
    - L'efficacité des vaccins et notamment ses effets indésirables ;
    - La couverture vaccinale satisfaisante visant à protéger la population et notamment les plus fragiles.

    Il convient aussi de noter que ces vaccins existent depuis de nombreuses années, qu'il existe un recul suffisant qui a conduit les requérants à contester uniquement les adjuvants contenus dans le vaccin afin de le conserver et non le vaccin lui-même.
    Il résulte de ce qui précède que la situation actuelle n'est aucunement comparable à la politique vaccinale habituelle.

    En effet, depuis le début de la crise sanitaire de covid-19, le vaccin a été avancé comme LE seul remède contre ce mal de nature à nous permettre de retrouver la vie d'avant.

    Après de nombreux mois de recherches, un prototype de vaccin est prêt à être mis sur le marché à compter de décembre 2020. La rapidité de la création de ce vaccin surprend et à la fois inquiète à juste titre une grande partie de la population.

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  45. Plusieurs arguments permettent légitimement à une partie de la population de ne pas souhaiter être vaccinée :

    - L'absence de recul sur les potentiels effets secondaires du vaccin ;
    - La nouveauté du vaccin appelé ARN ;
    - La faible létalité du virus établit à 0,05% ;
    - La détermination précise des catégories de personnes susceptibles de faire une forme grave de la maladie devant conduire à des traitements ciblés et non généralisé à la population ;
    - L'absence de certitude quant à la possibilité d'être malade bien que vacciné ;
    - L'absence de certitude quant à la possibilité de transmettre la maladie bien que vacciné ;
    - Les enjeux financiers gigantesques pouvant légitimement interrogés sur l'impartialité des entreprises pharmaceutiques ayant conçu le produit.

    Le principe de précaution résultant de l'article 5 de la charte de l'environnement, lequel a valeur constitutionnelle, concerne essentiellement le droit de l'environnement. Cependant par le biais de son article 1er, la santé et l'environnement sont liés. Et puis ne protègent ont pas l'environnement en vue d'y favoriser la vie et notamment la santé des êtres vivants ? Les deux sont liés et une application extensive est souhaitable.

    Selon Monsieur Bedjaoui, ancien juge à la Cour internationale de justice de la Haye
    « le principe est simple et sage : si l'homme ne peut pas mesurer les effets négatifs possibles d'une de ses activités sur son environnement, il a le devoir de renoncer à l'entreprendre ».
    En l'espèce, l'urgence a commandé l'arrivée d'un vaccin présenté comme la seule solution miracle sans qu'aucune garantie ne soit apportée pour autant. L'urgence n'est pas bonne conseillère. De plus l'existence de scandale pharmaceutiques et de politique de santé ayant conduit à des scandales sanitaires fondent des craintes légitimes.

    Un tel projet de loi, visant à imposer insidieusement un vaccin dans ces conditions ne favorisent pas la confiance que devrait avoir le public dans cet antidote.

    Si l'Etat peut légitimement s'armer d'un vaccin pour endiguer une pandémie mondiale, « l'obligation sanction » visant à contraindre une population saine à s'injecter un produit nouveau, avec des risques inconnus, des avantages incertains, pour faire face à une maladie très faiblement létale au risque de se retrouver exclue de la société peut apparaître disproportionnée et éloigné du but légitime poursuivi.

    Cette question ne pourra obtenir de réponse qu'au prix d'une lutte qui s'avère longue. Si l'Etat ne renonce pas de suite à ce projet mortifère violant manifestement les fondements de nos sociétés modernes, alors les partisans de la liberté devront mener un combat juridique acharné.

    Il serait temps de revenir à un peu plus de raison pour ne pas dire un peu plus de conscience dans cette science qui justifie un recul de toutes nos libertés.

    David Guyon
    Avocat

    https://fr.sott.net/article/36687-Le-passeport-vaccinal-est-il-legal

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    1. Dès lors qu'une nano-particule radioactive n'émet que durant 3 semaines après son expulsion du magma et qu'il ne peut y avoir de remède proposable en moins de 3 semaines: il ne peut y avoir de vaccin !

      Le test (RT-PCR) identifiant la présence de ces nano-particules NE PEUT DÉTERMINER SI LA NANO-PARTICULE EST ACTIVE OU INACTIVE. D'où la NON-POSSIBILITÉ D'ÉTABLIR un quelconque remède !

      Ces nano-particules en suspension dans notre atmosphère se comptent par des milliards de kilomètres de milliards depuis 10 000 ans.

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  46. Le professeur Peyromaure lâche une bombe à propos des réa (soi-disant) saturées !


    Planetes360
    ven., 12 mar. 2021 21:22 UTC


    Sur CNews, le professeur Peyromaure, chef du service d'urologie de l'hôpital Cochin, a déclaré qu'« il est possible que des mécontents saturent à dessein certains services de réanimation. » On nous mentirait sur les chiffres ?

    - voir clip sur site :

    https://fr.sott.net/article/36685-Le-professeur-Peyromaure-lache-une-bombe-a-propos-des-rea-soi-disant-saturees

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  47. Occupation des théâtres, déshabillage aux Césars… le monde de la culture réclame la réouverture


    14:43 13.03.2021


    Sur fond de mouvement d’occupation des théâtres dans une vingtaine de salles dans le but d’obtenir la réouverture des lieux culturels fermés depuis le 30 octobre, la comédienne Corinne Masiero s’est dénudée lors de la 46e cérémonie des Césars, révélant les phrases «No culture, no future» et «Rend nous l’art, Jean» dessinées sur son corps.

    Afin d’attirer l’attention sur la détresse des lieux culturels fermés depuis quatre mois pour des raisons sanitaires, car considérés comme non-essentiels, les acteurs du secteur tentent divers moyens subversifs.

    Parmi les dernières actions les plus marquantes, figure l’intervention de la comédienne Corinne Masiero qui s’est entièrement déshabillée sur scène lors de la 46e cérémonie des Césars, le 12 mars.

    «Maintenant, on est comme ça, tout nus», a-t-elle lancé, en enlevant son costume de Peau d’Âne sanguinolent et sa robe rouge, en soutien aux intermittents du spectacle.

    Sur son ventre et sa poitrine, les mots «No culture, no futur [sic]» ont été inscrits, alors que la phrase «Rend nous l’art, Jean [sic]», semble être visiblement adressée au Premier ministre, un jeu de mots faisant également référence au mème «Rends l’argent, François [Fillon, ndlr]» devenu célèbre au plus fort de sa campagne présidentielle en 2017.

    Cette intervention a eu lieu dans le cadre de la remise du prix des meilleurs costumes à l'Olympia.

    La nécessité de rouvrir les cinémas a été pointée également par le réalisateur Stéphane Demoustier:

    «Mes enfants peuvent aller chez Zara et pas au cinéma... C'est incompréhensible ! On a besoin d'une volonté politique pour que le cinéma continue d'évoluer, vous devez porter cette responsabilité en tant que ministre», a-t-il déclaré à l'intention de la ministre de la Culture en recevant le César du meilleur scénario pour «La fille au bracelet».

    Lieux culturels occupés

    Ces déclarations sont survenues sur scène alors que de plus en plus de théâtres, opéras et scène musicales rejoignent le mouvement d’occupation des lieux culturels lancé à l’Odéon à Paris, le 4 mars, réclamant la réouverture.

    La vague de protestations s’est soulevée également pour demander une nouvelle prolongation de l’année blanche des droits des intermittents du spectacle jusqu'en août 2022. Initialement mise en place en mai 2020, elle étire la durée d'indemnisation de l'ensemble des intermittents jusqu'au 31 août 2021.

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  48. «On lèvera l’occupation quand on aura toutes les garanties que le gouvernement a accédé à nos revendications. On ne sort pas d’ici tant qu’on n’a pas sur la table un plan précis de mise en place de ces mesures», a déclaré au micro de Sputnik un harmoniciste, participant à l’occupation du théâtre de l’Odéon.
    Au moins 21 salles à travers la France sont touchées par ce mouvement, indique l’AFP.

    Parmi elles, se trouvent le théâtre du Nord à Lille, l’Équinoxe à Châteauroux, le théâtre Graslin à Nantes, le Centre dramatique national de Besançon, le théâtre de la cité à Toulouse, le théâtre de Merlan à Marseille, l'Opéra de Rennes, le Quartz à Brest, ainsi que le Grand Théâtre de Tours, le CDN de Rouen, le Centre chorégraphique national de Montpellier et le cirque Jules Verne à Amiens.

    «Nous envisageons un mouvement dans la durée. Le but c'est que ça fasse tache d'huile et que davantage de théâtres nous rejoignent. On ne lâchera pas avant d'avoir une date de réouverture et un véritable plan de relance de l'activité et de l'emploi», a fait savoir à France Bleu Loire Océan la comédienne Kristine Maerel, membre de la CGT spectacle.

    Réaction du gouvernement

    La ministre de la Culture Roselyne Bachelot s’était rendue à l’Odéon samedi dernier, le 6 mars, pour mener des négociations avec les employés du théâtre et «poursuivre la protection de l’emploi artistique autant que nécessaire».

    Quelques jours plus tard, la ministre avait qualifié ces occupations d’«inutiles» et de «dangereuses», menaçant «des lieux patrimoniaux fragiles». Le lendemain, 20 millions d’euros supplémentaires destinés au secteur de la culture ont été débloqués par le gouvernement.

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  49. Actrice nue sur scène, hommage à Adama Traoré : les Césars 2021 se transforment en tribune politique


    13 mars 2021, 10:04


    Plusieurs comédiens ont profité de la cérémonie des récompenses du cinéma français pour passer des messages politiques. Corinne Masiero s'est déshabillée pour soutenir les intermittents, Jean-Pascal Zadi a quant à lui rendu hommage à Adama Traoré. Un an après une cérémonie 2020 très agitée en raison de manifestations anti-Polanski, l'édition 2021 des Césars – les récompenses du cinéma français – était placée sous le signe des revendications, le 12 mars à Paris.

    La crise sanitaire et la fermeture des cinémas ont nourri la soirée, la scène de l'Olympia servant à plusieurs reprises de tribune pour le monde de la culture. L'image qui restera de l'événement, organisé en comité restreint du fait des restrictions sanitaires, est celle de Corinne Masiero. La comédienne, qui incarne capitaine Marleau à la télévision, a en effet marqué les esprits en ôtant un costume de Peau d'Ane sanguinolent, se retrouvant entièrement nue au moment de remettre le prix du meilleur costume.

    ATTENTION LA VIDEO SUIVANTE COMPORTE DES SCENES DE NUDITE

    «No culture, no future» sur le ventre, «rends-nous l'art, Jean» sur le dos, avait-elle inscrit à l'attention du gouvernement de Jean Castex. «Maintenant, on est comme ça, tout nus», a-t-elle expliqué, tampons hygiéniques usagés aux oreilles, pour soutenir notamment les intermittents du spectacle.

    J’ai envie de parler d’Adama Traoré Autre moment de revendication lors du sacre de Jean-Pascal Zad, désigné meilleur espoir masculin pour la comédie Tout simplement noir (qu'il a écrit et réalisé avec John Wax) dont il tient le rôle principal. «Je remercie ceux qui ont ouvert la brèche avant moi», a-t-il déclaré à propos d'autres personnalités noires du cinéma français, citant notamment Omar Sy (César du meilleur acteur en 2012 pour Intouchables) et Ladj Ly (César du meilleur réalisateur en 2020 pour Les Misérables). Jean-Pascal Zadi a expliqué que son film, qui a l'ambition de s'attaquer aux clichés racistes, parle «avant tout d'humanité». «Quand on parle d’humanité, on est en droit de se poser la question si l’humanité de certaines personnes n’est pas remise en cause […] J’ai envie de parler d’Adama Traoré, de Michel Zecler», a-t-il poursuivi.

    Connu des forces de l’ordre, Adama Traoré avait été interpellé le 19 juillet 2016 à Beaumont-sur-Oise (Oise). Il était décédé d’un syndrome asphyxique au cours de son arrestation, alors que les trois gendarmes avaient reconnu que le jeune homme avait «pris le poids de [leurs] trois corps au moment de son interpellation». Michel Zecler est un producteur de musique noir violemment frappé par des policiers en novembre 2020, une affaire qui avait relancé le débat sur les violences policières. Lire aussi Adama Traoré : la justice a indemnisé son ancien co-détenu, qui l'accuse de viol «On peut se demander si notre humanité compte lorsque l’esclavage a été retenu comme crime contre l’humanité en 2001 et qu’aujourd’hui, dans l’espace public, certaines personnes qui ont activement participé aux crimes contre l’humanité sont glorifiées par des statues», a développé Jean-Pascal Zadi. Après son passage sur scène, le comédien a expliqué à l'AFP que «c’était important pour moi de parler pour foutre la merde».

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  50. «La scène des Césars est l’occasion de relancer ces histoires. On veut des réponses concrètes de la part de la justice, car j’ai l’impression que ça passe un peu sous les radars», a ajouté le lauréat. Concernant le palmarès de cette 46e cérémonie, le film d'Albert Dupontel Adieu les cons a été le grand gagnant avec sept récompenses, dont celle du meilleur film, du meilleur réalisateur, du meilleur scénario original, du meilleur second rôle masculin (Nicolas Marié) et le choix des lycéens. La statuette de meilleur acteur est revenue à Sami Bouajila pour Un Fils, celle de meilleure actrice à Laure Calamy pour Antoinette dans les Cévennes, et celle de meilleure actrice dans un second rôle à Emilie Dequenne dans Les Choses qu'on dit, les choses qu'on fait.

    https://francais.rt.com/france/84672-actrice-nue-sur-scene-hommage-adama-traore-les-cesars-2021-se-transforment-en-tribune-politique

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  51. Désertification annulée: le changement climatique ne fera pas grandir les déserts


    March 13th, 2021


    Après qu'un millier de titres nous ont dit que le changement climatique ferait pousser les déserts, une nouvelle étude suggère que ce ne sera pas le cas. C’est une découverte qui ne choque personne qui savait que les modèles climatiques n’ont aucune compétence prédictive des précipitations et qu’un monde plus chaud signifie des précipitations mondiales plus élevées. De plus, il y a l’indice gênant que ces quarante dernières années, les régions arides du monde sont devenues plus vertes au lieu de plus de misère.

    Ça a l'air un peu différent ?

    La carte du haut (ci-dessous) montre les déserts en expansion - mais ce sont les anciennes prévisions qui ne sont basées que sur des «données atmosphériques» telles que la température et les précipitations. La carte du bas est le nouveau travail qui utilise également des données sur le sol et la végétation. Le rouge signifie la croissance des déserts. Le bleu signifie rétrécir.

    N'oubliez pas que toutes les conclusions contradictoires sont basées sur des opinions d'experts utilisant les meilleures pratiques mondiales et réalisées par des personnes lauréates du prix Nobel. Honte à tous les agriculteurs et investisseurs qui prennent des décisions basées sur des modèles de poubelle.

    - voir cartes sur site -

    Les déserts se développaient jusqu'à ce que les experts obtiennent un meilleur modèle.

    La nouvelle étude est également basée sur la modélisation, elle est donc toujours erronée, mais moins inutile que les études précédentes.

    Les prévisions extrêmement différentes montrent à quel point la ruine et la morosité du passé étaient vaporeuses et combien de gros titres ont été générés par une omission banale d'un modèle inadéquat.

    Annulez les photos de couverture de la Terre fissurée
    Nouvelles indépendantes. Le désert du Sahara s'agrandit.
    Ou non. | The Independent et presque tous les autres médias sur Terre.

    Maintenant ils nous disent ?

    Nous constatons maintenant que toutes les prédictions passées des experts ont été faites avec des modèles qui n'utilisaient que des «informations atmosphériques» comme la pluie et la température - pour prédire l'état des plantes et du sol. Vous pensez qu’ils ont peut-être mentionné cela. Maintenant qu'ils ont des données réelles sur l'humidité du sol et la flore impliquées, les choses semblent très différentes. Comme tous les bons sceptiques le savent (mais apparemment pas les journalistes scientifiques), l'augmentation du gaz carbonique signifie que les plantes ont besoin de moins d'eau. Ainsi, plus de gaz carbonique rend les plantes «résistantes à la sécheresse».

    Notez l'attention qui fait le gros titre:

    Le changement climatique ne peut pas étendre les zones arides
    Des études antérieures ont utilisé des informations atmosphériques, y compris les précipitations et la température, pour faire des projections sur les conditions futures des terres. La vraie image est plus compliquée que cela, a déclaré Kaighin McColl, professeur adjoint de sciences de la Terre et des planètes et de science et génie de l'environnement à SEAS et auteur principal de l'article.

    «Historiquement, nous avons des enregistrements relativement bons de précipitations et de températures, mais des enregistrements vraiment médiocres de la surface du sol, des choses comme l'humidité du sol et la végétation», a déclaré McColl. «En conséquence, les définitions précédentes des zones arides sont basées uniquement sur le comportement de l'atmosphère, en tant qu'approximation de la surface terrestre. Mais les modèles peuvent désormais simuler les conditions atmosphériques et terrestres. En regardant directement la surface terrestre dans les modèles climatiques, nous constatons que les modèles ne montrent pas une nette augmentation des zones arides au fil du temps et qu'il existe une énorme incertitude quant à l'état moyen mondial des zones arides à l'avenir. "

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  52. Les plantes ont besoin de moins d'eau lorsqu'il y a plus de gaz carbonique:

    Alors que les modèles climatiques se sont historiquement concentrés sur l'atmosphère, les modèles climatiques modernes simulent désormais également le comportement de la végétation et l'hydrologie des terres.

    Par exemple, lorsque les plantes absorbent du gaz carbonique, elles perdent de l'eau. S'il y a plus de gaz carbonique dans l'air, les plantes peuvent libérer moins d'eau et devenir plus économes en eau. Plus de gaz carbonique se traduit également par plus d'engrais pour les plantes, ce qui les aide à grandir et réduit le stress hydrique.

    Ces effets sont connus depuis longtemps, mais les précédents indicateurs atmosphériques des zones arides ne captaient tout simplement pas ces effets de surface terrestre.

    Que signifie de toute façon «confiance élevée»

    La grande nouvelle ici, c'est moins sur les déserts que sur ce qu'elle dit sur les consensus et la couverture médiatique passée. L'IPCC déclare à propos de la «désertification» que les risques liés à la désertification devraient augmenter en raison du changement climatique (degré de confiance élevé). » Ils savaient que le gaz carbonique faisait pousser les plantes, mais pensaient que la réduction de la pluie était plus importante. Le problème était, et est toujours, qu'aucun de leurs modèles ne fonctionne pour les précipitations.

    Postes antérieurs:

    Les régions arides du monde sont 11% plus vertes, principalement grâce au gaz carbonique
    18 millions de kilomètres carrés de verdure supplémentaires en raison de la «pollution par le carbone» que les Verts détestent
    h / t Willie Soon - rejoignez-le sur son compte Parler.

    RÉFÉRENCE

    Berg et McColl (2021) Aucune expansion mondiale prévue des zones arides sous l'effet du réchauffement de la serre, Nature Climate Change.

    Le code R personnalisé écrit pour lire et analyser les données et générer les chiffres est disponible sur GitHub à https://doi.org/10.5281/zenodo.4490414 (réf.51).

    https://joannenova.com.au/2021/03/desertification-cancelled-climate-change-wont-make-the-deserts-grow/#more-76513

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  53. Huile dans les photooxydes de l'océan en quelques heures à quelques jours, selon une nouvelle étude


    13 MARS 2021
    par University of Miami


    Une nouvelle étude menée par des scientifiques de la Rosenstiel School of Marine and Atmospheric Science de l'Université de Miami (UM) démontre que, dans des conditions environnementales réalistes, le pétrole dérivant dans l'océan après le déversement de pétrole DWH s'est photooxydé en composés persistants en quelques heures à quelques jours, plutôt que sur de longues périodes. du temps comme on l’avait pensé lors du déversement de pétrole de Deepwater Horizon en 2010. Ce sont les premiers résultats du modèle à soutenir le nouveau paradigme de la photooxydation qui a émergé de la recherche en laboratoire.

    Après un déversement d'hydrocarbures, les gouttelettes de pétrole à la surface de l'océan peuvent être transformées par un processus d'altération connu sous le nom de photooxydation, qui entraîne la dégradation du pétrole brut par exposition à la lumière et à l'oxygène en nouveaux sous-produits au fil du temps. Le goudron, un sous-produit de ce processus d'altération, peut rester dans les zones côtières pendant des décennies après un déversement. Malgré les conséquences importantes de cette voie d'altération, la photooxydation n'a pas été prise en compte dans les modèles de déversement d'hydrocarbures ou dans les calculs du bilan pétrolier lors du déversement de Deepwater Horizon.

    L'équipe de recherche de l'école UM Rosenstiel a développé le premier algorithme de modèle de déversement d'hydrocarbures qui suit la dose de rayonnement solaire que les gouttelettes d'hydrocarbures reçoivent lorsqu'elles s'élèvent de la mer profonde et sont transportées à la surface de l'océan. Les auteurs ont constaté que l'altération des gouttelettes de pétrole par la lumière solaire s'est produite en quelques heures à quelques jours, et qu'environ 75% de la photooxydation lors du déversement de pétrole de Deepwater Horizon s'est produite dans les mêmes zones où des dispersants chimiques ont été pulvérisés par les avions. L'huile photooxydée est connue pour réduire l'efficacité des dispersants aériens.

    "Comprendre le moment et l'emplacement de ce processus d'altération est très important. A déclaré Claire Paris, une faculté de l'école UM Rosenstiel et auteur principal de l'étude." Cela permet d'orienter les efforts et les ressources sur le pétrole frais tout en évitant de stresser l'environnement avec des dispersants chimiques sur le pétrole. qui ne peut pas être dispersé. "

    "Les composés photooxydés comme le goudron persistent plus longtemps dans l'environnement, donc la modélisation de la probabilité de photooxydation est d'une importance cruciale non seulement pour guider les décisions de première intervention lors d'un déversement d'hydrocarbures et les efforts de restauration par la suite, mais elle doit également être prise en compte dans les évaluations des risques avant l'exploration. activités »a ajouté Ana Carolina Vaz, assistante scientifique à l'Institut coopératif de l'UM pour les études marines et atmosphériques et auteur principal de l'étude.

    L'étude, intitulée «Un modèle de système couplé lagrangien-terre pour prédire la photooxydation du pétrole», a été publiée en ligne le 19 février 2021 dans la revue Frontiers in Marine Science. Les auteurs de l'article sont: Ana Carolina Vaz, Claire Beatrix Paris et Robin Faillettaz.

    https://phys.org/news/2021-03-oil-ocean-photooxides-hours-days.html

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    1. C'est aussi ce qui se passe pour les plastiques (pétrole) qui se désagrègent au fil des semaines et des mois lorsque (par exemple) des îlots se forment en Pacifique Nord et sont continuellement réapprovisionnés par les courants du Golf-Stream.

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  54. Avant COVID, Gates prévoyait la censure des médias sociaux des défenseurs de la sécurité des vaccins avec l'industrie pharmaceutique, les CDC, les médias, la Chine et la CIA


    Vendredi 12 mars 2021
    par: Rédacteurs en chef


    (Natural News) Au cours des deux dernières semaines, Facebook et d'autres sites de médias sociaux m'ont déplatformé ainsi que de nombreux autres critiques de la corruption réglementaire et des politiques autoritaires de santé publique. Alors, voici du fourrage pour ceux d'entre vous qui ont le sentiment étrange que la réponse gouvernement / industrie à la pandémie semble avoir été planifiée - avant même qu'il y ait une pandémie.

    (Article de Robert F. Kennedy, Jr. republié de ChildrensHealthDefense.org)

    Le document ci-joint montre qu'une cabale d'individus puissants a en effet commencé à planifier l'expulsion massive des sceptiques vaccinés des médias sociaux en octobre 2019, une semaine ou deux avant que COVID ne commence à circuler. Ce mois-là, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, a organisé un exercice de quatre simulations «de table» d'une pandémie mondiale de coronavirus avec d'autres panjandrums «Deep State» de haut rang. L'exercice a été appelé événement 201.

    Les co-conspirateurs de Gates comprenaient des représentants de la Banque mondiale, du World Economic Forum (Great Reset), du Bloomberg / Johns Hopkins University Populations Center, des Centers for Disease Control and Prevention, de diverses puissances médiatiques, du gouvernement chinois, d'une ancienne agence centrale de renseignement. / Directeur de l'Agence de sécurité nationale (il n'y a pas un ancien officier de la CIA), le fabricant de vaccins Johnson & Johnson, les industries de la finance et de la biosécurité et Edelman, la principale société de relations publiques au monde.

    Sous la direction de Gates, ces éminences ont joué le rôle des membres d’un Conseil de contrôle de la pandémie, combattant les stratégies gouvernementales pour contrôler la pandémie, le récit et la population. Il va sans dire que l'on parlait peu de renforcement des systèmes immunitaires, de remèdes prêts à l'emploi ou de médicaments thérapeutiques et de vitamines non brevetés, mais beaucoup de discussions sur la promotion de l'adoption de nouveaux médicaments antiviraux et vaccins brevetables.

    Mais les participants se sont principalement concentrés sur la planification de stratégies d'État policier, centrées sur l'industrie et alarmistes pour gérer une contagion mondiale imaginaire de coronavirus aboutissant à une censure de masse des médias sociaux.

    Curieusement, Gates prétend maintenant que la simulation ne s'est pas produite. Le 12 avril 2020, Gates a déclaré à la BBC: «Maintenant, nous y sommes. Nous n'avons pas simulé cela, nous n'avons pas pratiqué, donc tant les politiques de santé que les politiques économiques, nous nous trouvons en territoire inconnu. "

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  55. Malheureusement pour cette rumeur, les vidéos de l'événement sont toujours disponibles sur Internet. Ils montrent que Gates et son équipe ont effectivement simulé des politiques sanitaires et économiques. Il est difficile d’avouer que Gates a oublié.

    L’épidémie simulée de COVID de l’événement Gates 201 a causé 65 millions de morts au bout de 18 mois et un effondrement économique mondial qui a duré jusqu'à une décennie. Par rapport à la simulation de Gates, par conséquent, la crise réelle du COVID-19 est un peu ratée, ayant imposé à peine 2,5 millions de décès «attribués au COVID» au cours des 13 derniers mois.

    Les décès «attribués au COVID» dans la situation réelle sont très discutables et doivent être replacés dans le contexte d'une population mondiale de 7,8 milliards d'habitants, avec environ 59 millions de décès attendus chaque année. Les prédictions d'un effondrement économique d'une décennie se révéleront probablement plus précises - mais uniquement à cause du verrouillage draconien promu par Gates.

    Le script de l’événement 201 de Gates imagine de vastes émeutes contre les vaccins déclenchées par des publications sur Internet. La présomption universelle et résolue parmi ses participants était qu'une telle crise serait une opportunité de commodité pour promouvoir de nouveaux vaccins et resserrer les contrôles par un État de surveillance et de censure.

    Le quatrième segment du scénario - sur la manipulation et le contrôle de l'opinion publique - est le plus révélateur. Il prédit étrangement la crise actuelle de la démocratie:

    Les participants ont discuté des mécanismes de contrôle de la «désinformation» et de la «désinformation», en «inondant» les médias de propagande («bonne information»), en imposant des sanctions pour diffusion de mensonges et en discréditant le mouvement anti-vaccination.

    Jane Halton, de la banque australienne ANZ, l'un des auteurs de la politique oppressive de l'Australie «pas de jab, pas de salaire», a assuré aux participants que la Fondation Gates crée des algorithmes «pour passer au crible les informations sur ces plateformes de médias sociaux» afin de protéger le public des dangers pensées et informations.

    George Gao, le directeur prémonitoire du Centre chinois de contrôle des maladies, s'inquiète de la manière de supprimer les «rumeurs» selon lesquelles le virus est généré en laboratoire: «Les gens croient:« C'est un fait de l'homme »… [et que] une société pharmaceutique a fabriqué le virus. »

    Chen Huang, chercheur Apple, chercheur chez Google et le plus grand expert mondial en matière de suivi et de traçage et de technologie de reconnaissance faciale, joue le rôle du présentateur qui rend compte des contre-mesures gouvernementales. Il attribue les émeutes aux militants anti-vaccins et prédit que Twitter et Facebook coopéreront pour «identifier [ant] et supprimer [ant] un nombre inquiétant de comptes consacrés à la diffusion de la désinformation sur l'épidémie» et à mettre en œuvre «des fermetures Internet… pour étouffer la panique. . »

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  56. Le Dr Tara Kirk Sell, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security de la Bloomberg School of Health, craint que les sociétés pharmaceutiques soient accusées d'introduire le virus afin de pouvoir gagner de l'argent sur les médicaments et les vaccins: «[Nous] avons vu la foi du public dans leurs produits chutent. » Elle note avec inquiétude que «les troubles, dus à de fausses rumeurs et à des messages qui divisent, augmentent et aggravent la propagation de la maladie à mesure que les niveaux de confiance diminuent et que les gens cessent de coopérer avec les efforts de riposte. C'est un problème énorme, qui menace les gouvernements et les institutions de confiance. »

    Sell ​​rappelle à ses collègues collaborateurs: «Nous savons que les médias sociaux sont désormais le principal moyen par lequel de nombreuses personnes reçoivent leurs nouvelles, de sorte que les interruptions de ces plates-formes pourraient freiner la propagation de la désinformation.» Il existe de nombreuses façons, conseille Sell, pour le gouvernement et les alliés de l'industrie d'atteindre cet objectif: «Certains gouvernements ont pris le contrôle de l'accès national à Internet. D'autres censurent les sites Web et le contenu des médias sociaux et un petit nombre ont complètement fermé l'accès à Internet pour empêcher la propagation de la désinformation. Des sanctions ont été mises en place pour la diffusion de mensonges préjudiciables, y compris les arrestations. »

    Matthew Harrington, PDG d'Edelman Public Relations, convient que les médias sociaux doivent s'aligner pour promouvoir la politique gouvernementale: «Je pense aussi que nous sommes à un moment où les plateformes de médias sociaux doivent avancer et reconnaître le moment pour affirmer qu'elles une plate-forme technologique et non un diffuseur est terminée. Ils doivent en effet participer à la diffusion d'informations exactes et s'associer avec les communautés scientifiques et sanitaires pour contrebalancer, voire inonder la zone, d'informations précises. Car essayer de remettre le génie dans le flacon de désinformation et de désinformation n’est pas possible. »

    Stephen Redd, l'amiral du service de santé publique, a la sinistre notion selon laquelle le gouvernement devrait exploiter les données des médias sociaux pour identifier les personnes ayant des croyances négatives: «Je pense qu'avec les plates-formes de médias sociaux, il y a une opportunité de comprendre qui est susceptible ... la désinformation, donc je pense qu'il y a une opportunité de collecter des données à partir de ce mécanisme de communication. "

    Adrian Thomas de Johnson & Johnson annonce «quelques nouvelles importantes à partager de la part de certaines de« nos sociétés membres [Pharma] »: nous faisons des essais cliniques sur de nouveaux antirétroviraux et, en fait, sur des vaccins!» Il recommande une stratégie pour résoudre les problèmes de ces entreprises lorsque «des rumeurs se propageaient» selon lesquelles leurs produits mal testés «causent des décès et que les patients ne les prennent plus». Il suggère: «Peut-être que nous faisons l'erreur de signaler et de compter tous les décès et infections.»

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  57. L'ancienne directrice adjointe de la CIA, Avril Haines, a dévoilé une stratégie visant à «inonder la zone» de propagande provenant de «sources fiables», y compris «des leaders communautaires influents, ainsi que des agents de santé». Il met en garde contre «de fausses informations qui commencent à entraver notre capacité à faire face à la pandémie, alors nous devons être en mesure d’y réagir rapidement».

    Matthew Harrington (PDG d'Edelman) observe qu'Internet - qui promettait autrefois la décentralisation et la démocratisation de l'information - doit maintenant être centralisé: «Je pense juste pour construire un peu sur ce que Avril a dit, je pense comme dans les conversations précédentes où nous ' J'ai parlé de centralisation autour de la gestion de l'information ou des besoins de santé publique, il doit y avoir une réponse centralisée autour de l'approche de communication qui est ensuite en cascade vers des défenseurs informés, représentés dans les communautés d'ONG, les professionnels de la santé, etc.

    Tom Inglesby (conseiller expert John Hopkins en biosécurité auprès des National Institutes of Health, du Pentagone et de la Sécurité intérieure) convient qu'un contrôle centralisé est nécessaire: «Vous voulez dire un international centralisé ?»

    Matthew Harrington (Edelman) répond que l'accès à l'information doit être: «centralisé sur une base internationale, car je pense qu'il doit y avoir un référentiel central des données factuelles et des messages clés.»

    Hasti Taghi (conseiller média) résume: «Le mouvement anti-vaccin était très fort et c'est quelque chose qui s'est propagé spécifiquement à travers les médias sociaux. Alors que nous faisons la recherche pour trouver les bons vaccins pour aider à empêcher que cela continue, comment pouvons-nous obtenir les bonnes informations ? Comment pouvons-nous communiquer les bonnes informations pour nous assurer que le public a confiance dans les vaccins que nous créons ? »

    Kevin McAleese, chargé de communication pour les projets agricoles financés par Gates, observe que: «Pour moi, il est clair que les pays doivent faire de gros efforts pour gérer à la fois la désinformation et la désinformation. Nous savons que les entreprises de médias sociaux travaillent sans relâche pour lutter contre ces campagnes de désinformation. La tâche d'identifier chaque mauvais acteur est immense. C’est un problème énorme qui nous empêchera de mettre fin à la pandémie et qui pourrait même conduire à la chute des gouvernements, comme nous l’avons vu lors du printemps arabe. Si la solution passe par le contrôle et la réduction de l’accès à l’information, je pense que c’est le bon choix. »

    Tom Inglesby, directeur du Johns Hopkins Center for Health Security de Bloomberg, est d'accord, demandant si «Dans ce cas, pensez-vous que les gouvernements sont au point où ils doivent exiger des entreprises de médias sociaux qu'elles fonctionnent d'une certaine manière ?»

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  58. Lavan Thiru, le ministre des Finances de Singapour, suggère que le gouvernement pourrait donner des exemples de dissidents avec «des mesures gouvernementales ou coercitives contre les fausses informations. Certains d'entre nous, cette nouvelle réglementation est en place sur la façon dont nous traitons les fausses nouvelles. Le moment est peut-être venu pour nous de présenter certains cas où nous sommes en mesure de présenter de mauvais acteurs et de laisser le soin aux tribunaux de décider s'ils ont effectivement diffusé de fausses nouvelles. »

    Lisez la transcription ci-jointe pour voir comment Gates et son appareil gouvernemental, pharmaceutique et de renseignement ont télégraphié leurs plans de censure et de contrôle des médias pendant la pandémie. Dans une autre coïncidence étrange, le COVID-19 a commencé à circuler parmi les populations mondiales quelques jours après la réunion de Gates.

    Read more at: ChildrensHealthDefense.org and Conspiracy.news.

    https://www.naturalnews.com/2021-03-12-before-covid-gates-planned-social-media-censorship.html

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  59. Le fentanyl entre aux États-Unis à un volume record


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 13 MAR 2021 - 14:30
    Rédigé par Charlotte Cuthbertson via The Epoch Times,


    La quantité de fentanyl saisie lors de son passage par la frontière sud au cours des 5 premiers mois de l'année fiscale 2021 est déjà supérieure à l'ensemble de l'année fiscale 2020, selon les dernières statistiques de la douane et de la protection des frontières (CBP).

    - voir carte sur site -

    Le CBP a saisi plus de 5000 livres de fentanyl depuis le 1er octobre 2020, a déclaré le commissaire par intérim du CBP, Troy Miller, lors d'un appel aux médias le 10 mars.

    «Nous assistons à une augmentation spectaculaire des saisies de fentanyl cet exercice, plus de 360 ​​pour cent de plus qu'à la même période de l'année dernière», a déclaré Miller.

    «Les saisies de drogue dans tout le pays ont augmenté de 50 pour cent en février par rapport à janvier. Les interceptions de cocaïne ont augmenté de 13 pour cent, les saisies de méthamphétamine ont augmenté de 40 pour cent, les saisies d'héroïne ont augmenté de 48 pour cent. »

    Le fentanyl est l'opioïde synthétique attribué à l'augmentation du taux de mortalité par surdose aux États-Unis. Il est le plus souvent fabriqué au Mexique à l'aide de produits chimiques fournis par la Chine. Il est mélangé à d’autres stupéfiants pour augmenter la puissance et sert à fabriquer des analgésiques contrefaits communément appelés «oxys mexicains».

    «Les cartels dominent la distribution de ce poison et c’est vraiment, vraiment alarmant», a déclaré Derek Maltz, ancien chef de la division des opérations spéciales de la DEA, à Epoch Times.

    «Je prévois que la crise se poursuivra sur cette voie croissante. Et pour être honnête avec vous, c’est vraiment triste, car j’ai communiqué avec beaucoup de parents qui ont perdu leurs jeunes enfants, en particulier à cause des pilules contrefaites. Et tout cela vient du Mexique. "

    - voir carte sur site -

    Décès par surdose d'opioïdes synthétiques (autres que la méthadone) entre 2005 et 2018 (rapport DEA 2021)

    La station de patrouille frontalière de la ville de Rio Grande s'occupe d'une bande de 110 kilomètres de frontière internationale dans le sud du Texas. Il se trouve dans le secteur de la vallée du Rio Grande et était en 2019 le plus fréquenté des 135 stations du pays pour les saisies de drogue et le deuxième le plus fréquenté pour les appréhensions illégales d'étrangers.

    Raul Ortiz, alors chef adjoint de la patrouille frontalière pour le secteur de la vallée du Rio Grande, a déclaré en mars 2019: «Nous n'en attrapons même probablement pas environ 10% [de la drogue].»

    Les experts frontaliers ont déclaré qu'il est probable que les saisies de drogue par la patrouille frontalière diminueront à mesure que l'immigration illégale augmentera - les agents seront liés à de grands groupes de personnes plutôt que d'interdire des drogues. Les points de contrôle autoroutiers de la patrouille frontalière ferment également dans de nombreuses régions, car des agents sont envoyés à la frontière pour aider à traiter l'augmentation du nombre.

    L’administration Biden a déclaré qu’il n’y avait pas de crise à la frontière et exhorte les migrants potentiels à ne pas entrer illégalement. Mais les derniers chiffres des passages illégaux montrent que février a atteint un sommet de 14 mois avec plus de 100 000 appréhensions de patrouilles frontalières.

    Le président mexicain s’est dit préoccupé par le fait que les politiques du président Joe Biden encouragent l’immigration illégale et le trafic d’êtres humains le long de la frontière avec les États-Unis.

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  60. "Ils le voient comme le président des migrants, et beaucoup pensent qu'ils vont atteindre les États-Unis", a déclaré le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador à propos de Biden le matin après une réunion virtuelle avec son homologue américain le 1er mars, selon Reuters. .

    Maltz a déclaré: «la perception est la réalité. Les gens du monde entier considèrent Biden comme un softie sur l'immigration. »

    «La frontière ouverte est un désastre. Cela ne fait qu’accroître la capacité [des cartels] de transporter librement des drogues en Amérique », a-t-il déclaré.

    «De plus, plus important encore, cela leur permet de faire en sorte que leurs agents de commandement et de contrôle aux [États-Unis] établissent les cachettes, les points de distribution, les points de collecte d'argent, de sorte qu'ils ont beaucoup de gens en Amérique qui sont capables d'opérer. librement dans tout le pays. »

    - voir carte sur site -

    Zones d'influence du principal cartel mexicain aux États-Unis. (Rapport DEA 2021)

    Les cartels contrôlent le côté sud de la frontière américano-mexicaine et quiconque la traverse illégalement doit les payer. Beaucoup n’ont pas les moyens de payer les frais de contrebande et sont sous contrat avec les cartels une fois qu’ils atteignent les États-Unis. D'autres se rendent compte qu'il est plus lucratif de s'impliquer dans la criminalité transnationale plutôt que de trouver un emploi dans un restaurant de restauration rapide, par exemple, a déclaré Maltz.

    «Cela n’a pas commencé sous Donald Trump. Cela n’a pas commencé sous Barack Obama. Cela n’a pas commencé sous George Bush. Cette crise de la drogue s'intensifie depuis des années », a-t-il déclaré.

    "Mais ils le font à des niveaux que nous n'avons jamais vus dans l'histoire du pays."

    https://www.zerohedge.com/political/fentanyl-flowing-united-states-record-volume

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    1. Les 'démocrates' (anti-Démocratie) ont toujours tout fait contre la construction du mur de Trump. Désormais, la nazional-socialiste au pouvoir va 'éclaircir' les rangs vu que ceux qui en achètent sont plutôt des bronzés.

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  61. Sommes-nous pris dans des sables mouvants ?


    Marie-France de Meuron
    mondialisation.ca
    sam., 13 mar. 2021 16:37 UTC


    Voilà une année que nous sommes immergés dans la covidémie, dans une masse à la fois éthérée, dont on ne sait pas vraiment par quelles forces elle a été conçue tout à l'origine, et à la fois très dense par son importance, envahissant globalement les régions et individuellement les êtres humains dans plusieurs de leurs dimensions.

    Nous sommes empêtrés dans des conditions de vie tant sociales qu'économiques avec des mouvances variables induites par différents souffles qui animent ce magma au gré de leurs lois ou de leurs soumissions à des instances internationales.

    Sous l'apparence d'un début soudain, différents éléments existaient en fait depuis longtemps mais se sont amalgamés rapidement et exigent depuis lors des adaptations continuelles dans un cadre limité. La situation semble s'être installée à tel point que certains affirment : « Pourquoi la dictature sanitaire ne s'arrêtera plus . » Le journaliste l'explique par un Retour en arrière, c'était il y a juste un an : L'interdiction de déplacement en France, vulgarisée dans les médias en novlangue par « confinement », est mise en place pour la première fois du 17 mars 2020 à 12 h pour trois semaines... puis reconduit... jusqu'au 11 mai, soit les 55 jours de Pékin. Un galop d'essai pour mesurer la soumission de la population à ces mesures liberticides et leur degré d'acceptation. C'est un succès ! Depuis lors cette interdiction sera sans arrêt reconduite, partiellement ou totalement, jusqu'au couvre-feu militaire. Ainsi, la mouvance des décisions maintient le peuple en constant état d'alerte, se remuant, se débattant, se démenant au gré des poussées événementielles.

    Pour donner de l'animation dans ces « sables mouvants », nous avons les médias , eux qui trient ce qui doit influencer ce milieu bourbeux et attirer l'attention des gens coincés dedans : « Nous semblons désormais tous vivre sous la politique des géants de la Silicon Valley, qui fixent les règles et les limites du débat public. »

    Les informations sont ainsi très parcellaires, focalisant sur certains points qui donnent du poids à la politique en cours mais qui n'instruisent pas les lecteurs sur la réalité vivante et globale bien plus riche que des images microscopiques ou les décrets très définis. Ainsi, on use d'un langage approximatif pour parler du virus en parlant de rebonds plutôt que de nouvelles épidémies. Dans le même ordre d'idées, on brandit la notion de variants sans tenir compte des facteurs environnementaux qui les stimulent, ni de l'état de la population qui s'affaiblit au cours de ces nombreux mois de restrictions qui briment les conditions de construire sa santé. Il est évident que si ce ne sont pas les variants, ce sont d'autres pathologies qui atteignent les organismes.

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  62. Alors que les alchimistes du Moyen-Age s'attelaient à transformer le plomb en or, autrement dit le lourd et pesant en lumière, l'ambiance actuelle tend à nous maintenir dans le lourd, dans la pesanteur de la terre et des soucis matériels. Ainsi enfoncés, la majorité des individus développent le syndrome du mouton.Comme ils ne peuvent plus se nourrir par eux-mêmes, les animateurs de ce magma les entretiennent selon les aléas du moment, par un coup de pouce, des aides financières, tout en tentant de les rassurer : « Non, la dette ne va pas plomber la Suisse durant des générations ».

    Dans cette sombre ambiance où les mouvements sont réduits, d'autant plus dans des logements exigus, certaines catégories de la population souffrent davantage que d'autres : « Seuls face à l'ordi, le blues infini des étudiants. Depuis bientôt une année, les étudiants sont condamnés à suivre la majorité de leurs cours depuis la maison. Une situation qui pèse sur leur santé mentale. »

    La pesanteur touche d'autant plus les enfants dans leurs vulnérabilités fondamentales, leurs forces tant physiques que psychoaffectives n'étant pas encore matures : « les indicateurs mesurant le développement des enfants et adolescents ont presque tous «régressé», un recul annonciateur de séquelles durables pour toute une génération, alerte l'Unicef.....Leur accès à l'éducation, aux possibilités de socialisation et à des services essentiels tels que la santé, la nutrition et la protection a diminué.

    Évidemment, cette pesanteur écrase d'autant plus les gens fragiles psychiquement . Ainsi, pour l'Académie de médecine humaine (AMM), il faut faire également attention aux conséquences de la crise sur la santé mentale. Elle suscite une éclaircie dans cette ambiance pesante en demandant «une nouvelle conception complète de l'être humain dans la médecine et la société». Elle apporte des paramètres bien définis pour quitter le magma mouvant : « Pendant des décennies, la médecine s'est fixée sur le corps humain pour la compréhension de la santé et de la maladie. Les conséquences mentales de la pandémie montrent clairement que cette vision est loin d'être parfaite, indique mardi l'Académie de médecine humaine (AMM) basée à Zurich. » Elle précise des points dont on ne s'est que trop distancé : « Le traitement des patients et le soutien doivent être assurés par des équipes interdisciplinaires dans lesquelles la psychologie, la théologie et le travail social sont des composantes fixes. »

    Rien n'est plus pesant que les monnaies sonnantes et trébuchantes, même si elles sont devenues par la suites des billets - qu'il faut bien fabriquer avec des machines lourdes - et maintenant des systèmes numériques - qui apparaissent sous une forme immatérielle (comme le concept de pandémie!) mais qui dépendent de machines en plus issues de matériaux très denses. Nous sommes aux premières loges pour constater à quel point les personnalités qui nous dirigent ne seraient pas grand-chose sans une masse financière gigantesque : des milliards sont dépensés à chaque étape des mesures sanitaires - les études sur le coronavirus, les tests - on en arrive aux tests de masse - les masques, les traçages, les décomptes pour alimenter les statistiques, les vaccins - tant pour les frais des produits que pour les bâtiments et le personnel nécessaire, et ce phénomène n'est pas près de s'arrêter, même si on en tire déjà quelques leçons comme les bilans de gaspillages. Les aides donnent l'illusion d'apporter des éclaircissements mais elles sont loin d'être comparables à la luminosité de l'or, versus la lumière du soleil !

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  63. La matière pesante est appelée à s'alléger vers la lumière - comme le bois se transforme en feu- laquelle apporte la lucidité (de lux=lumière) à l'esprit et, dans une autre dimension de la joie, de la confiance et de l'amour au coeur. Quelle relation avec les sables mouvants ? Une citation de Nicolas Machiavel évoque bien ce choix laissé à notre libre-arbitre : "Puisque l'amour et la peur peuvent difficilement coexister, si nous devons choisir, il est préférable d'être craint que d'être aimé". Dans la dynamique de l'ambiance de la situation en cours, nous constatons bien que certains ont approfondi la question : « Comment manipuler l'opinion publique en démocratie : la politique de la peur. Et pourtant : « Nous n'avons jamais été, de toute l'histoire de l'humanité, en meilleure santé et mieux protégés. Pourtant, le XXIème siècle se caractérise par la multiplication des réactions irrationnelles. «

    Il est donc temps de nous hisser pour parvenir à la lumière. De même que l'enfant est destiné à croître, à s'allonger vers le ciel, de même l'adulte doit poursuivre sa croissance vers plus de lumière intérieure. Cet élan développe autant la subtilité sensible que les forces affectives aimantes. Il est intéressant de souligner que le mot aimant signifie à la fois un objet capable d'attirer une certaine matière mais et aussi le participe présent de aimer. En fait, les deux expriment bien la capacité à relier, que ce soit dans la dimension solide, subtile ou affective. Les mesures dites sanitaires proposent trop souvent l'inverse, la distanciation, l'isolement, la privation d'activités et incitent de la sorte à l'inverse de ce qui nous relie à une vie épanouie.

    https://fr.sott.net/article/36691-Sommes-nous-pris-dans-des-sables-mouvants

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    1. En principe, dès lors que la vérité est dite (par des scientifiques sur internet) les merdias des politichiens redoublent de dictature et de coups assénés au Peuple en l'enfermant !!! l'emprisonnement à domicile !! ajouté de l'obligation de porter un masque inutile (vu que le maillage est 100 fois trop grand) et ne peut donc JAMAIS empêcher un virus (0,1 à 0,5µ) de passer !

      Mais qu'à cela ne tienne ! Les nazis iront jusqu'à interdire les médicaments pour combattre le virus !!
      La Vertmarq proposera même des 'vaccins' (qui n'existent pas puisque 1°) le virus n'A PAS ÉTÉ ISOLÉ ! 2°) Ce ne sont QUE DES EXPÉRIMENTATIONS TRÈS DANGEREUSES qui sont injectées et 3°) le nombre de morts suivant les inoculations létales ne sera JAMAIS publié !).

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