- ENTREE de SECOURS -



mercredi 17 mars 2021

Hold-Up+, la version augmentée du documentaire censuré

à 1h47 : Laboratoire chinois: 
 Zheng-Li-Shi (virologue) = 675 (zoonose),
Li-Meng Yan (MD, PhD) = 680 génie génétique ! fab. humaine !
- 1h50:15 (675-680) 

 - Hold-up version intégrale (16 nov. 2020)

lundi 8 mars 2021

2:48:05

https://huemaurice5.blogspot.com/2021/03/hold-up-version-integrale-16-nov-2020.html


- Film documentaire hold-up+

17 févr. 2021

2:52:58

https://www.youtube.com/watch?v=yHc5mAvfQp0&t=567s


Les Éditeurs

Sott.net

mar., 16 mar. 2021 11:37 UTC

Le documentaire est — pour le moment — visible depuis ce compte YouTube (depuis environ un mois). Nous conseillons toutefois à nos lectrices et lecteurs d'effectuer leur propre sauvegarde de la vidéo avant que la censure n'abatte à nouveau son couperet.

Selon Pierre Barnérias, la campagne contre son documentaire est « abjecte. » Et il pose la question : « Qui fabrique le mensonge ? Qui ? »

Il ajoute ce qui suit dans un entretien donné à FranceSoir en novembre dernier :

« L'épidémie et son traitement ont tout d'une intrigue dramatique. Cet événement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l'état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu'un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d'expression ou d'information.

L'issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l'humanisme ou l'épopée d'un renouveau. Gageons qu'elle débouche sur le renouveau. D'autres y voient une dimension biblique.

C'est donc une question de choix, d'élan instinctif, d'appel ce qui m'a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu'il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c'est ce qui se passe sous nos yeux. »

C'est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l'ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l'intituler « Coup d'Etat ».

https://fr.sott.net/article/36721-Hold-Up-la-version-augmentee-du-documentaire-censure

50 commentaires:

  1. La société de vaccins Moderna Inc. a annoncé qu'elle allait tester son nouveau vaccin expérimental à ARNm sur de jeunes enfants et des bébés


    mardi 16 mars 2021


    *La folie n'a plus de limites. C'est dégoûtant et doublement révoltant de savoir que plusieurs de nos "anges gardiens" vont cautionner une telle folie.

    "Aujourd'hui, la société de vaccins Moderna Inc. a annoncé qu'elle allait tester son nouveau vaccin expérimental à ARNm sur de jeunes enfants.

    La firme pharmaceutique affirme que cette nouvelle phase des tests sur les humains consiste simplement à évaluer l'innocuité et l'efficacité de leur nouveau vaccin COVID-19.

    👉 Cependant, il s'agit d'une pratique d'entreprise sans précédent - jamais auparavant les régulateurs gouvernementaux n'avaient permis à une technologie expérimentale de renoncer à des années d'expérimentation animale et d'essais sur l'homme et à des études de suivi minutieuses normalement menées avant qu'un nouveau vaccin ne soit libéré dans la population générale.

    👉 De plus, Moderna prendra de jeunes enfants par ailleurs en parfaite santé qui ne courent aucun risque de tomber malade de la maladie COVID-19, puis les exposera à une technologie expérimentale de vaccin d'ARNm basée sur des gènes.

    Selon le communiqué de presse de la société, l'expérience de vaccin à grande échelle est la deuxième phase de leur «Kid COVE Study». Elle devrait recruter pas moins de 6 750 enfants en bonne santé aux États-Unis et au Canada âgés 👉 de six mois à 11 ans.

    Moderna a commencé à administrer aux bébés et aux enfants son vaccin expérimental Covid-19, l'ARNm-1273, censé «évaluer l'innocuité et l'efficacité» de deux doses administrées à 28 jours d'intervalle.

    Cette utilisation sans précédent d'enfants par l'industrie pharmaceutique n'est que la dernière phase d'une campagne de vaccination de plus en plus agressive qui a été autorisée par le gouvernement américain sous le couvert d'une dérogation spéciale «d'urgence» - même si, selon les propres données du gouvernement, des décès de COVID ont cessé depuis longtemps.

    Communiqué de presse de Moderna:

    https://investors.modernatx.com/news-releases/news-release-details/moderna-announces-first-participants-dosed-phase-23-study-0

    Source de l'article:

    https://21stcenturywire.com/2021/03/16/moderna-now-dosing-children-as-young-as-six-month-old-with-experimental-mrna-vaccine-as-part-of-study/

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/03/la-societe-de-vaccins-moderna-inc.html

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  2. Le temps de la science va au-delà d'une épidémie et de la politique politicienne


    Xavier Azalbert — FranceSoir
    Sott.net
    lun., 15 mar. 2021 15:26 UTC


    Depuis l'annonce du Pr Raoult en mars 2020 au sujet du traitement précoce contre la Covid-19, la bithérapie, trithérapie ou cocktail de médicaments en phase précoce afin de renforcer les défenses immunitaires et de prévenir l'inflammation sévère (orage de cytokines), l'hydroxychloroquine, l'azithromycine, le zinc, les vitamines D et C, l'ivermectine ont fait couler beaucoup d'encre, alimenté beaucoup de débat sur les plateaux télévision, donné lieu à beaucoup d'études publiées, ainsi qu'à de nombreux communiqués de presse des laboratoires.

    L'hydroxychloroquine. Jamais une molécule n'aura déclenché une telle polémique, enflammé les dîners en villes, opposé des camps de médecins et scientifiques en France et dans les pays occidentaux. Chacun y allant qui de sa question, qui de sa croyance, qui de son « je suis sûr ». Mais la science n'est pas faite de cela. Son timing n'est pas le même que celui d'une épidémie ou de la politique politicienne. La science a un calendrier différent qui dépasse tous les clivages traditionnels des frontières, des religions, des croyances, et des liens d'intérêts.

    Revenons un instant sur le traitement précoce. Il paraît de bon sens que pour prévenir le pire, on fasse usage d'un traitement précoce. On peut d'ailleurs étendre ce principe à d'autre domaine où l'obscurantisme sévit. Il est inscrit dans nos principes fondamentaux que l'éducation est un traitement précoce contre la pauvreté : le FMI appelait déjà en 2015 à « améliorer l'éducation pour échapper à la pauvreté ». Quand une personne se coupe le doigt, elle fait usage d'un désinfectant anti-microbien pour éviter l'infection avant de mettre un pansement comme protection ou barrière. En cas d'infection, elle peut faire appel à un antibiotique afin d'endiguer la maladie. Jusque-là, rien d'anormal que d'utiliser un traitement précoce afin de prévenir, car mieux vaut prévenir que guérir. Ainsi, tout le monde entendra qu'il vaut mieux apprendre à lire et à compter en vue de ne pas sombrer dans la pauvreté... Dans le cadre du Covid, malgré les efforts dans les études en phase précoce, une constante apparaît, les plus grands experts en infectiologies le disent, les pays comme l'Inde utilisent des traitements précoces avec succès. Les épidémiologistes l'écrivent et le publient dans des revues à comité de lecture. Le traitement précoce au travers d'un cocktail de médicaments fonctionne.

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  3. Cependant, soi-disant aucune étude clinique « gold standard » (randomisée en double aveugle contrôlée avec un groupe placebo) ne le démontre. Le ministre de la Santé et le premier ministre l'ont confirmé à plusieurs reprises «il n'y a pas de traitement précoce qui fonctionne ». Le jour de l'audience au Conseil d'Etat dans la requête de Me Teissedre sur l'ivermectine, M. Alban Dhanani directeur par intérim de la direction des vaccins, des médicaments anti-infectieux de l'ANSM l'a même déclaré au juge « il n'y a pas de traitement précoce ». Tour à tour, les agences nationales de santé et du médicament, le HCSP (Haut Conseil à la santé publique) le HAS (Haute autorité de santé), le CNOM (Conseil national de l'ordre des médecins), la société savante d'infectiologie (SPILF) l'ont déclaré : « il n'y a pas de traitement précoce contre le Covid ». Le Dr Peiffer Smadja, un jeune infectiologue, le crie haut et fort, de façon plus que diffamatoire, sur les réseaux sociaux « le protocole de traitement précoce est dangereux, les médecins qui l'utilisent sont criminels ». Le Dr Karine Lacombe l'a répété à maintes reprises sur les plateaux télévisés, sans argumentation contradictoire, cautionnés par les directeurs de la publication des divers médias « mainstream », que ce soit BFMTV, Libération, Le Monde, l'AFP. Bref, pour le monde entier il n'y a pas de traitement précoce qui fonctionne. « Traitement précoce end of story ».

    Pourtant certains autres sont prompts à faire valoir que l'absence officielle de traitement précoce arrange les laboratoires afin d'obtenir une autorisation de mise sur le marché pour un vaccin. L'ANSM le dit sur son site, la FDA (Federal Drug Administration) aux États-Unis le dit aussi, « il ne faut pas qu'un traitement existe ». Spéculation ou complotisme, diront les détracteurs pro-vaccination.

    La science n'appartient à personne. Nous ne sommes plus au Moyen-Âge où croyance et science étaient gouvernées de concert. Nous sommes à l'heure ou la science doit éclairer et amener réponse à certains débats. Parfois sous des calendriers différents.

    La « fervente opposition » de certains aux traitements précoces n'aura pas échappée au grand public abasourdi devant la multiplicité d'arguments d'autorité professés par des médecins comme Karine Lacombe et consorts de façon pontifiante : « le débat sur l'hydroxychloroquine est tranché, on passe à autre chose ». Voilà ce que l'on devrait croire, à entendre beaucoup de journalistes ou de très nombreux médias. De même, les investigateurs en chef de l'étude britannique Recovery ont mis fin aux espoirs de l'hydroxychloroquine le 5 juin 2020, après la rétractation de l'étude frauduleuse du Lancet du Dr Mehra, de la Harvard Medical School. A l'époque, le Collectif citoyen de France Soir se doutait que l'étude du Lancet était l'arbre qui cachait la forêt. Il fallait regarder ailleurs et chercher la « vraie étude ».

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  4. En France, l'IHU du professeur Raoult pouvait paraître isolé, cependant la science n'a pas de frontière et c'est bien à l'étranger en Inde, en Argentine, au Brésil, en Afrique, en Asie que les médecins échangent leur expérience et utilisent des traitements précoces qui donnent des résultats. Le Collectif Santé Libre, formé de 30 000 médecins généralistes a présenté un protocole pour divers types de patients. Il se sont fait rabrouer, insulter et criminaliser sur Twitter par le Dr Peiffer-Smadja. Triste cirque médiatique et des réseaux sociaux qui n'amplifie que la haine et le pire. La science ne se fait pas sur les plateaux de télévision, mais dans le calme et la sérénité des laboratoires, ou des hôpitaux avec des patients que l'on doit soigner. Croyez-vous que les médecins qui traitent leurs patients en préventif le font à mauvais dessein ?

    Revenons à l'étude Recovery conduite sur des patients hospitalisés en phase avancée. Le principe d'un traitement précoce est d'éviter l'aggravation d'une maladie, de prévenir afin d'éviter l'hospitalisation. On peut encore considérer avec raison que désinfecter une plaie pour prévenir un début d'infection diminuera le risque d'infection généralisée en permettant au système immunitaire de faire mieux son travail.

    Recovery a administré de l'hydroxychloroquine à des patients à un stade assez avancé de la maladie à des doses toxiques (2 400 mg les premières 24h). Cela avait provoqué la réaction de l'Indian Council of Medicine qui avait envoyé un courrier à l'Organisation Mondiale de la Santé en avril 2020. Courrier ignoré. Du racisme scientifique, comme nous dit le Dr Andrew Hill à propos des pays à faible revenu qui n'ont pas les moyens de faire des études Gold Standard ; de l'aveuglement ? Idem pour l'IHU-Méditerranée qui s'était élevé contre ce surdosage ou le professeur Perronne qui nous disait le 6 juin que l'investigateur en chef Martin Landray avait probablement confondu deux maladies.

    « Cet homme, qui se dit médecin, est incompétent et dangereux. Il faut dénoncer ce scandale. »
    Le Vidal, la bible médicale française le dit aussi, le surdosage commence au-dessus de 25 mg/kg chez l'adulte. et en cas d'intoxication grave il faut une prise en charge pré-hospitalière rapide (urgence) avec un lavage d'estomac et soutien cardiaque par adrénaline et ventilation assistée.

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  5. Et pourtant aucun des médecins des plateaux de télévision, aucun journaliste scientifique n'en a parlé. Cette information capitale est passée à la trappe. À FranceSoir, nous avons continué à investiguer tour à tour regardant le protocole d'administration de l'HCQ, la justification approximative du dosage de l'HCQ dans cette étude (dont seule une étude celle de Borba au Brésil, avait un dosage supérieur et a entrainé que les chercheurs et médecins soient aujourd'hui sur le banc de accusés). Nous avons aussi obtenu les documents de régulation administrative (caviardés) sur Revovery au travers du Freedom of Information Act qui au Royaume-Uni est l'équivalent de notre système de CADA : commission d'accès aux documents administratifs. Le temps de la science n'est pas celui des médias et nous écrivions que les investigateurs principaux de l'essai devraient un jour répondre de leurs actes devant la justice avec a minima une commission d'enquête indépendante. Nous n'avons eu de cesse de dénoncer ce scandale. Nous avons analysé dans le moindre détail le sudoku scientifique que Recovery représentait en utilisant des techniques mathématiques avancées pour démontrer les problèmes et la fausseté de cette étude. Les investigateurs de Recovery n'auront eu de cesse de masquer leurs erreurs en présentant des informations parcellaires et incomplètes. Ce n'était pas de la science. Cette mise en question nous a valu un "fact-checking" erroné de Libération qui s'essaya à justifier les dires de Martin Landray sur le dosage en faisant parler son investigateur principal adjoint, Peter Horby, à sa place.

    L'aveuglement collectif vers une solution vaccinale incertaine et non prouvée n'aura échappé à personne. La vaccination est un des traitements à prendre en considération dans la gestion d'une épidémie virale. Cependant, cela est incertain comme par exemple pour le vaccin contre la grippe au taux d'efficacité variable, et surtout vu le temps de développement long pour tester l'innocuité d'un vaccin. Cependant la terre tourne bien autour du soleil, elle est bien de forme ronde, certaines croyances ont pris du temps à faire leur chemin pour être remplacées par des faits. Et pourtant des vies ont été sacrifiés sur l'autel des croyances.

    Mais revenons à l'étude multi-bras Recovery avec ses 12 000 patients enrôlés pour évaluer sept traitements, un nombre important qui devait permettre d'avoir la puissance statistique requise. Puissance statistique n'entraîne pas absence d'erreur. Le rapport scientifique présenté au Conseil d'État italien sépare les études en deux groupes : celles pour les patients en phase précoce et celles pour les patients à l'hôpital. Il conclut que les signaux d'efficacité sont présents. Et même s'ils étaient contestés ou contestables par manque de puissance statistique, le rôle du régulateur n'est pas d'empêcher un traitement sur la base d'une généralisation, mais l'État a bien conféré une ordonnance au médecin. Le choix repose donc sur le médecin qui est compétent dans ce cadre-là. Première victoire donc pour le traitement précoce devant un tribunal. Bien des pays qui n'ont pas de structures administratives complexes de régulation, nous envient notre infrastructure hospitalière car la leur est spartiate. Cependant, les médecins de ces pays agissent avec leur bagage scientifique en respectant le serment d'Hippocrate.

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  6. La science est faite de rebondissements et, ce jour, nous apprenons que le Docteur Lacout, le Dr Lounnas et le Professeur Perronne ont publié une « letter of concern » (lettre de signalement d'un problème) dans un des plus prestigieux journaux, le New England Journal of Medicine (NEJM), indiquant que l'étude Recovery a fait usage de dose toxique d'hydroxychloroquine pouvant avoir entraîné l'aggravation de la maladie. Un travail de longue haleine puisque entre le moment ou le Professeur Perronne déclarait dans nos colonnes ce problème et sa publication il s'est écoulé huit mois et demi. Cette lettre a été revue par des pairs, un comité de lecture formé de médecins et scientifiques internationaux ; ce débat a dépassé le cadre de la France. La science a parlé.

    Ce que disent les auteurs de cette lettre : Le « SURDOSAGE DANS L'ETUDE RECOVERY A PU CAUSER DES DÉCÈS TOXIQUES »
    Note de Sott : La phrase exacte des auteurs est :
    « La dose utilisée dans l'essai RECOVERY, la deuxième plus élevée après celle de l'essai mené par Borba et al. suscite des inquiétudes car elle a pu constituer un facteur d'aggravation de la maladie annulant l'effet thérapeutique. »
    Les conséquences de cette lettre

    Cela veut dire que l'essai Recovery conduite sur des patients hospitalisés a fait un usage excessif d'HCQ entraînant un surdosage qui à des niveaux peut être considéré comme extrêmement toxique (voire mortel sur des sujets âgés ou affaiblis) par le Vidal. Nos autorités ayant pris la décision de bannir l'HCQ sur la base de cette étude doivent donc revoir leurs jugement. Rappelons que cette lettre a été revue par des pairs et qu'il ne s'agit plus ici d'en débattre et il a fallu quatre mois pour que le temps de la science passe et que cette lettre soit publiée. Le NEJM est un des journaux les plus prestigieux.

    Comment avez-vous fait ? Les auteurs répondent :
    « Seul le journal FranceSoir qui a interviewé un des investigateurs Martin Landray a soulevé le surdosage et la mort potentielle par surdosage. J'avais d'ailleurs apporté un commentaire dans un article de juin ou j'expliquais que le Dr Landray avait sûrement confondu les dosages pour diverses maladies. 2 400 mg les premières 24h, c'est criminel.

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  7. Par la suite, les experts de FranceSoir avaient fait un travail d'investigation scientifique pour établir les documents démontrant une grave erreur au niveau dosage ainsi que des incohérences mathématiques dans l'analyse des données de survie de l'essai Recovery. Tout cela pour dire que leur travail a été déterminant dans l'analyse du sur dosage. Sans oublier le ministère de la Santé indien qui avait envoyé une lettre à l'OMS sur ce surdosage sans qu'elle ne soit suivi d'effet. »
    Quelles sont les conséquences pour la science médicale ?

    La science médicale a ici pris le temps nécessaire pour affirmer une vérité, les auteurs déplorent le fait que les scientifiques et médecins ne se soient pas saisis de ce problème comme ils l'ont fait pour l'étude du Lancet.

    Quelles conséquences pour les agences gouvernementales ?

    Elles sont très importantes, car l'étude Recovery est utilisée partout pour expliquer qu'un essai randomisé à grande échelle, conduit exclusivement sur des patients hospitalisés, est supposé avoir démontré l'inefficacité de l'HCQ. Les agences qui sont habituellement si promptes à regarder les problèmes de pharmacovigilance ou les effets secondaires devront prendre cela en considération.

    Si elles persistent sans modifier leurs conclusions, cela voudra dire qu'elle commettent une faute grave en persistant dans l'erreur.

    Les autres conséquences porteront sur les méta analyses qui ont inclus cette étude. Elles devraient en principe être revues, amendées ou retirées. Ce point est d'autant plus crucial que Recovery est la seule étude randomisée conduite exclusivement sur patients hospitalisés. Par exemple, dans l'étude de Fiolet et al., montée en épingle par la presse, le surdosage n'a pas été considéré comme un problème.

    En conclusion, l'ANSM devrait revoir sans tarder sa position sur le règlement temporaire d'utilisation demandé par une multitude de praticiens y compris à l'IHU du Pr Raoult. Contactée ce jour pour évoquer ce sujet, l'ANSM n'était pas disponible pour répondre. L'Inserm qui par l'intermédiaire de Dominique Costagliola, Directrice de Recherche, a adoubé l'étude Fiolet devrait aussi revoir sa position sur la fiabilité de cette étude qui a été contestée depuis le début.

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  8. Le temps d'en tirer les conséquences commence. Tout d'abord pour les médecins et les patients, puis pour les agences administratives (ANSM, HCSP, HAS, Conseil Scientifique), puis pour les directeurs de publication des médias qui devront sans nul doute revoir leur position afin de s'assurer que le message communiqué au grand public soit correct.

    La France historiquement reconnue comme le pays de la liberté d'expression, vient d'être récemment déclassé au rang de démocratie défaillante par The Economist. Avec cette lettre parue dans une prestigieuse revue internationale, la science et médecine française démontrent que sur le plan international, le débat n'est plus oblitéré.

    La science est un sport de combat, titre le professeur Raoult.

    À FranceSoir nous demandons à voir comment les médecins, chroniqueurs journalistes, administrateurs vont commenter ce round.

    Erreur ou Faute ?

    « La faute due à une erreur répétée est difficilement pardonnable ».

    https://fr.sott.net/article/36707-Le-temps-de-la-science-va-au-dela-d-une-epidemie-et-de-la-politique-politicienne

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  9. L’inventeur du test COVID qualifie Fauci de menteur, disant qu’il «ne vous dit pas que vous êtes malade»


    Mercredi 17 mars 2021
    par: Rédacteurs en chef


    (Natural News) L'inventeur du test PCR, qui a été largement utilisé pour détecter le COVID-19, avait précédemment critiqué le Dr Anthony Fauci en le traitant de menteur. Il a également vivement critiqué la compréhension de Fauci de la science, tout en révélant que le test PCR ne convient pas comme outil de diagnostic, de la manière dont il est utilisé pour COVID-19.

    (Article de Michael Haynes republié sur LifeSiteNews.com)

    Le Dr Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993, avec le Dr Michael Smith, pour avoir inventé le test de réaction en chaîne par polymérase (PCR), qui est récemment passé au premier plan des conversations à travers le monde, en raison de son utilisation importante. comme moyen de détecter COVID-19.

    Les tests PCR ont été poussés à la hâte dans la sphère mondiale lorsque quelques jours seulement après la publication des premiers rapports sur le COVID-19, l'article de Corman-Drosten a été soumis à la revue médicale Eurosurveillance, faisant la promotion de leur utilisation. À peine deux jours plus tard, l'article a été publié le 23 janvier 2020. En fait, même avant cela, une copie de l'article a été publiée sur le site Web de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le 13 janvier, un jour après que des scientifiques chinois aient partagé la séquence du virus.

    Depuis lors, il est devenu une méthode de test standard pour le virus, proposée par les gouvernements et les agences de santé du monde entier, y compris le Dr Anthony Fauci, américain. Fauci est le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et, avant de devenir le conseiller médical en chef de Joe Biden, il était le principal conseiller COVID de l'ancien président Donald Trump.

    Cependant, Mullis n'a pas caché son opinion sur Fauci, et récemment un clip vidéo de Mullis est réapparu sur les réseaux sociaux, tiré d'une interview plus ancienne qu'il avait donnée dans les années 1990.

    L'inventeur du test PCR, lauréat du prix Nobel, Kary Mullis sur Anthony Fauci pic.twitter.com/duFm2qwD7d

    - An0maly (@LegendaryEnergy) 10 mars 2021

    «Des gars comme Fauci montent là-haut et commencent à parler, tu sais, il ne sait vraiment rien de quoi que ce soit, et je le lui dirais en face. Rien. L'homme pense que vous pouvez prélever un échantillon de sang et le mettre au microscope électronique, et s'il y a un virus là-dedans, vous le saurez. "

    Mullis a poursuivi son attaque contre la compréhension scientifique de Fauci: «Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine et il ne devrait pas être dans une position comme dans laquelle il est. La plupart de ces gars là-haut ne sont que des administrateurs. et ils ne savent rien de ce qui se passe dans le corps.

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  10. «Vous savez, ces gars-là ont un programme, ce que nous ne voudrions pas qu'ils aient étant que nous payons pour qu'ils prennent soin de notre santé d'une manière ou d'une autre. Ils ont un ordre du jour personnel. Ils élaborent leurs propres règles au fur et à mesure. Ils les changent quand ils le veulent, et ils sont suffisants - comme, Tony Fauci ne craint pas d'aller à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentent directement devant la caméra.

    Il a mentionné que «le principal problème de la science au cours de ce siècle» était que «la science est jugée par les gens, le financement est fait par des gens qui ne la comprennent pas».

    «À qui avons-nous confiance ? Fauci, répondit-il avec un mépris évident. «Fauci n'en sait pas assez pour, tu sais…»

    Mullis est décédé en août 2019, il est intéressant de noter que quelques mois seulement avant que son invention ne soit utilisée pour tester le COVID et ses résultats pour déterminer le verrouillage de nations entières. Pourtant, avant sa mort, il s'est prononcé contre les tests PCR utilisés de la manière dont ils ont été utilisés, quelques mois seulement après sa mort.

    Dans un autre clip vidéo, Mullis a noté comment les tests de PCR peuvent être amplifiés au point de les rendre peu fiables pour les tests de diagnostic: "Avec la PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque tout chez n'importe qui."

    «Parce que si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu'à quelque chose que vous pouvez vraiment mesurer, ce que la PCR peut faire, alors il n'y a que très peu de molécules que vous n'en avez pas au moins une seule dans votre corps. Cela pourrait donc être considéré comme une mauvaise utilisation de celui-ci, simplement pour affirmer que cela a du sens. "

    "Cela vous permet de prendre une très petite quantité de n'importe quoi et de le rendre mesurable, puis d'en parler ... comme si c'était important ... voyez que c'est juste une mauvaise interprétation", a déclaré Mullis.

    Il a décrit les tests PCR comme «un processus utilisé pour faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. C’est ce que c’est. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade et cela ne vous dit pas que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vraiment vous blesser ou quelque chose du genre. "

    Comme Mullis n'est plus en vie pour répéter ses arguments, le test PCR a été promu par des individus tels que Fauci, les agences de santé et les politiciens apparemment aveugles aux preuves croissantes de faux positifs résultant des tests PCR.

    Cependant, Mullis a été confirmé par un groupe de 22 scientifiques internationaux, appelé le Consortium international des scientifiques en sciences de la vie (ICSLS), qui ont identifié «dix problèmes mortels» avec l'article de Corman-Drosten (CD) qui a été utilisé en janvier 2020 pour promouvoir les tests PCR en tant qu'outil de diagnostic du COVID-19. Chacune des failles est suffisante pour rendre le test «inutile en tant qu'outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus SRAS-CoV-2», et le groupe souligne «l'erreur de diagnostic mondial des infections», qui a résulté des tests PCR pour COVID- 19.

    Comme Mullis l'a lui-même noté, l'ICSLS a observé que les tests PCR sont incapables de faire la distinction entre «le virus entier et les fragments viraux», ce qui signifie qu'un test dit positif, comme mentionné dans le document CD, ne peut pas déterminer si une personne est infectée par le virus. , mais "indique simplement la présence de molécules d'ARN viral."

    Une fois de plus, comme Mullis l’avait mentionné, le groupe a déclaré que les tests de PCR peuvent être amplifiés à un niveau qui rend les résultats «totalement non fiables», et a fait écho aux mots mêmes de Mullis - «les produits de PCR amplifiés peuvent être n'importe quoi».

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  11. Un article du New York Times de l'année dernière a admis que les tests PCR peuvent amplifier une petite quantité de virus à un point tel qu'il n'a aucun sens.

    «Dans trois ensembles de données de test comprenant des seuils de cycle, compilés par des responsables du Massachusetts, de New York et du Nevada, jusqu'à 90% des personnes testées positives ne portaient pratiquement aucun virus», a constaté le New York Times en examinant les données.

    Au lieu d'utiliser 37 à 40 cycles, ce qui est une pratique courante à l'heure actuelle, l'article suggérait tout ce qui était inférieur à 30 à 35 cycles pour indiquer un résultat positif.

    "Des tests avec des seuils si élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants, mais aussi des fragments génétiques, des restes d'infection qui ne présentent pas de risque particulier - un peu comme trouver un cheveu dans une pièce longtemps après le départ d'une personne", a déclaré un médecin, selon l'article.

    Read more at: LifeSiteNews.com and Lies.news

    https://www.naturalnews.com/2021-03-17-inventor-calls-fauci-a-liar.html

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  12. Fauci admet qu'il n'y a aucune science derrière un verrouillage continu


    Mardi 16 mars 2021
    par: Ramon Tomey


    (Natural News) Le Dr Anthony Fauci, spécialiste américain des maladies infectieuses, a admis qu'aucune science ne justifiait un verrouillage continu. Il a déclaré lors d'une apparition à la télévision le 10 mars que maintenir les mandats de verrouillage en place était un «appel au jugement» en l'absence de données et de preuves réelles. Mais malgré le manque de preuves, Fauci a insisté sur le fait que les Américains devraient faire confiance aux conseils des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

    Le présentateur de nouvelles, John Berman, a demandé à Fauci s'il existait une science permettant d'empêcher les personnes entièrement vaccinées de voyager. Le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) a répondu: «Lorsque vous n’avez pas les données et… les preuves réelles, vous devez émettre un jugement.» Fauci a poursuivi que les Américains devront simplement faire confiance aux conseils de l'organisme de santé publique pour le COVID-19.

    Les commentaires de Fauci font suite à un rapport selon lequel les CDC «accordent gracieusement» aux Américains qui ont déjà reçu des vaccins COVID-19 certaines «libertés limitées». Beaucoup n'ont pas pris le rapport avec trop de gentillesse, soulignant sur les réseaux sociaux que l'organisme de santé publique n'est pas en mesure d'accorder les libertés données par Dieu.

    L’admission du directeur du NIAID selon laquelle il n’y avait aucune science derrière la poursuite des verrouillages ne l’a pas dissuadé d’avertir les États qui ont assoupli les restrictions relatives aux coronavirus. Fauci a exhorté les Américains à s'en tenir aux mesures de santé publique existantes au milieu de nouveaux pics d'infection en Europe, a rapporté CNBC le 14 mars. L'expert en maladies infectieuses a également averti que la bataille des États-Unis contre le coronavirus de Wuhan `` n'est pas encore dans la zone des buts ''.

    «Quand j'entends [les États] se retirer complètement des mesures de santé publique, en disant plus de masques, non rien de tout cela, c'est une affaire risquée», a-t-il déclaré lors d'un entretien avec Meet the Press. S'éloigner des mesures de santé publique pourrait prolonger la pandémie, a-t-il poursuivi. Lors d'une apparition ultérieure de Fox News, Fauci a expliqué que l'assouplissement des mesures de sécurité avait joué un rôle dans la récente augmentation des cas de COVID-19 dans toute l'Europe. (Connexes: le Fauci affirme que les quarantaines obligatoires du coronavirus de Wuhan sont «justifiées» - mais pas celles d'Ebola.)

    Pendant ce temps, d'autres experts ont déconseillé les verrouillages pour lutter contre le COVID-19
    L'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui avait initialement préconisé des verrouillages, a finalement fait un virage complet à 180 degrés après avoir vu l'impact économique de ces mandats. L'envoyé spécial de l'OMS sur le COVID-19, le Dr David Nabarro, a déclaré que l'organisme mondial de la santé «ne préconise pas les verrouillages comme principal moyen de contrôle de ce virus». (En relation: l'OMS renverse le cap, encore une fois: les verrouillages en tant que réponse principale au COVID-19 sont désormais considérés comme «dommageables».)

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  13. Certains responsables de l’organisme mondial de la santé avaient précédemment déclaré que des verrouillages étaient nécessaires pour contenir la pandémie. En avril 2020, le directeur régional de l'OMS pour le Pacifique occidental, le Dr Takeshi Kasai, a déclaré que les verrouillages allaient devenir la «nouvelle norme» et que les gens devaient adapter leur vie et leurs systèmes de santé à la situation actuelle. Le directeur exécutif du programme OMS pour les urgences sanitaires, le Dr Michael Ryan, a averti en juillet 2020 que les pays qui ne parviennent pas à traiter les premiers signes de résurgence des flambées de COVID-19 pourraient avoir un verrouillage complet comme «seule option» disponible.

    Selon Nabarro, le seul moment où un verrouillage devrait être justifié est lorsque les pays doivent réorganiser leurs efforts, rééquilibrer leurs ressources et protéger leurs agents de santé épuisés. Sinon, il a suggéré que les pays développent de «meilleurs systèmes» pour contrôler la pandémie, «travaillent ensemble» et «apprennent les uns des autres».

    Un autre expert a épousé les sentiments de Nabarro contre les verrouillages stricts. Le professeur Jay Bhattacharya de l'Université de Stanford a qualifié les verrouillages COVID-19 de «la pire erreur de santé publique des 100 dernières années». Il a commenté: «Nous compterons les dommages catastrophiques sur la santé et les troubles psychologiques imposés à presque tous les pauvres sur la surface de la terre pendant une génération.»

    Selon Bhattacharya, les zones qui ont imposé les lois de verrouillage les plus draconiennes n'ont ironiquement pas réussi à contenir la propagation du COVID-19. Citant les États-Unis à titre d’exemple, le professeur a déclaré que les verrouillages «protégeaient la classe« non essentielle »du COVID tout en exposant la classe ouvrière essentielle à la maladie.» Une meilleure option aurait été de mettre en œuvre des politiques conçues pour protéger les personnes vulnérables telles que les personnes âgées au lieu de mettre des populations entières en état d'arrestation, a ajouté Bhattacharya.

    «Les verrouillages eux-mêmes font beaucoup de mal aux gens: [Ils] ne sont pas un mode de vie naturel et normal», a finalement remarqué le professeur de l'Université de Stanford.

    Visit MedicalTyranny.com to read more about the negative impact of coronavirus lockdowns.

    Sources include:

    Summit.news 1
    CNBC.com
    WesternJournal.com
    Reuters.com
    BusinessInsider.com
    Summit.news 2

    https://www.naturalnews.com/2021-03-16-fauci-admits-no-science-behind-continued-lockdown.html

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  14. Trump prévient que la crise frontalière "va s'aggraver" alors que Biden plaide auprès des migrants "Ne venez pas"


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 17 MARS 2021-08: 21


    Les clips vidéo de files massives de migrants attendant de traverser la frontière sud sont devenus viraux, alors même que le MSM maintient son étrange silence sur le nombre croissant d'enfants qui se retrouvent dans des centres de détention frontaliers - appelés «cages».

    Alors que la crise frontalière déclenchée par l'administration Biden s'aggrave - incitant même le président à implorer les migrants de ne pas continuer à venir lors d'une interview d'ABC News publiée hier soir - le président Trump est revenu pour une interview avec l'animatrice de Fox Business, Maria Bartiromo, où il s'est entretenu avec Biden. pour aggraver la crise frontalière en rétablissant les captures et remise à l'eau et en annulant d'autres formes de contrôle

    Au cours de l'interview aux heures de grande écoute, Trump a déclaré à Bartiromo que lui et le président mexicain AMLO avaient favorisé une "excellente relation" (AMLO a également dénoncé la situation à la frontière, critiquant Biden pour avoir encouragé l'immigration illégale), et qu'AMLO et il avait partagé un intérêt commun dans le contrôle de la migration illégale à la frontière.

    Trump a averti que la vague de migration "détruirait notre pays" si nous ne faisons rien pour y remédier.

    «[Lopez Obrador] est un grand gentleman. Nous avions une très bonne relation. Ils avaient 28 000 soldats à notre frontière pendant que nous construisions le mur ... et ils les arrêtaient également à leur frontière nord par le Honduras, le Salvador et Guatemala », a déclaré Trump.

    "Aujourd'hui, ils arrivent. Jetez un œil. Ils viennent de pays étrangers. Je vois qu'ils arrivent du Yémen. Ils viennent du Moyen-Orient. Ils viennent de partout", a-t-il dit. "Ils les déposent et ils affluent dans notre pays. C'est une honte."

    "Ils vont détruire notre pays si nous ne faisons rien pour y remédier."

    [...]

    "Franchement, notre pays ne peut pas gérer [l'augmentation du nombre de migrants]. C'est une crise comme nous l'avons rarement eue et certainement que nous n'avons jamais eue à la frontière. Mais elle va s'aggraver."

    Les lecteurs peuvent regarder l'interview ci-dessous:

    - voir sur site -

    Pendant ce temps, dans une interview accordée à ABC News, le président Joe Biden a reconnu que la situation à la frontière se détériorait et a transmis le message suivant aux migrants cherchant à entrer illégalement aux États-Unis.

    En réponse à une question de George Stephanopoulos pour savoir s'il avait un message pour les migrants, Biden a répondu: "Oui, je peux dire très clairement: ne venez pas ... ne quittez pas votre ville ou votre communauté."

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  15. Auparavant, Biden avait rejeté l'idée qu'il avait d'une manière ou d'une autre encouragé les migrants à envahir la frontière avec son retour en arrière des politiques d'immigration sévères de Trump.

    Les lecteurs peuvent regarder un extrait de cette interview ci-dessous:

    - voir sur site -

    Plus tôt cette semaine, l'attachée de presse de Biden, Jen Psaki, a déclaré aux journalistes que l'administration faisait tout son possible pour damner le flot de migrants.

    «Nous reconnaissons cela comme un problème. Nous nous efforçons d’y remédier. Ce ne sont que cinq étapes que nous prenons, et nous continuons d'évaluer quelles mesures supplémentaires peuvent être prises pour remédier à la situation à la frontière », a-t-elle déclaré, en éliminant les récentes mesures administratives, notamment en renforçant la capacité des responsables de la santé à héberger les mineurs non accompagnés. , ou les enfants qui entrent illégalement dans le pays sans un adulte. "

    Ils font tout ce qu'ils peuvent pour résoudre le problème ... sauf pour relancer les politiques qui ont fonctionné il y a quelques mois à peine.

    https://www.zerohedge.com/political/trump-warns-border-crisis-will-get-much-worse-biden-pleads-migrants-dont-come-over

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  16. Des profileurs criminels experts parlent de «fraude électorale à l'échelle souveraine» aux États-Unis



    March 18th, 2021


    Expert profileurs criminels qui travaillent pour les compagnies d'assurance ont regardé les élections de 2020 et ont vu un «crime au niveau souverain». Un crime si grave que certaines parties du gouvernement doivent avoir été «un participant, actif ou passif, permettant la fraude électorale». Celles-ci faisaient partie de l’équipe qui n’a pas enquêté sur le portable de Hunter Bidens pendant près d’un an….

    Les profileurs criminels estiment que le crime était si bien développé que de petites séries de fraudes devaient déjà être au travail, lors de tests lors d'élections précédentes, et ils veulent rechercher ces preuves maintenant ...

    Et ils préviennent qu'à moins d'être pris, les fraudeurs ne feront que croître. La bonne nouvelle est qu'il existe déjà un logiciel d'assurance qui peut vérifier et attraper les électeurs morts, déplacés et hors de l'État sur place alors qu'ils tentent de voter. Mais les législatures et le FBI ne feront pas cela à moins que le peuple ne parle fort et ne parle maintenant ...

    Si ces experts peuvent prédire où et quand la pire fraude électorale future est la plus susceptible de se produire, nous espérons simplement que, d'une manière ou d'une autre, les prédictions pourront être utilisées pour y mettre un terme.

    Le crime souverain de la fraude électorale à l'échelle industrielle

    Par Jay Valentine, penseur américain

    Les membres de notre équipe ont été les principaux constructeurs de l’un des systèmes de profilage criminel les plus sophistiqués au monde actuellement utilisés par les forces de l’ordre. Nous avons brisé les réseaux de fraude aux enchères eBay et déployé une technologie jamais utilisée auparavant pour mettre fin à la fraude aux enchères en tant que catégorie de criminalité émergente. Nous avons identifié de nombreux réseaux de fraude Medicaid et avons été embauchés par la plupart des 10 plus grandes sociétés d'assurance de biens et de dommages pour résoudre les réseaux de collision automobile qui échappaient au FBI et à toutes les technologies de fraude.
    C’est ce que les agences gouvernementales n’ont pas fait qui révèle l’implication souveraine.

    Le gouvernement national refusant d'enquêter sur les exemples les plus flagrants de fraude électorale comme des centaines de milliers de bulletins de vote de plus que les électeurs dans plusieurs États, c'est un assez bon indicateur qu'ils sont des participants passifs à la fraude électorale au niveau industriel.

    Le refus du FBI d'enquêter pleinement sur le camion de Jesse Morgan avec les centaines de milliers de bulletins de vote allant de New York à la Pennsylvanie - mais l'envoi d'agents à un emplacement NASCAR pour enquêter sur un garage qu'ils espéraient être un nœud coulant - eh bien, c'est un bon indicateur, aussi.

    Assez clairement, les preuves s'accumulent que le FBI n'avait aucun intérêt pour les camions avec des bulletins de vote traversant les lignes de l'État, les bulletins de vote déchiquetés dans le comté de Maricopa, des dizaines de milliers de bulletins reçus avant d'être envoyés par la poste et toutes sortes d'autres indices que tout organisme d'application de la loi compétent ferait. au moins enquêter.

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  17. Les experts n'étaient cependant pas intéressés par l'élection de 2020 - c'était «trop évident»:

    Il n’y avait aucun intérêt de la part de nos profileurs à enquêter sur la fraude électorale massive. Ils ont estimé que c'était tellement évident et que le travail actuel effectué par les citoyens et publié sur des blogs difficiles à trouver était à la pointe de la technologie et aucune autre enquête ne permettrait de trouver beaucoup plus. Leurs commentaires ont été frappants car ils ont déclaré que les données facilement disponibles montraient que les schémas de fraude électorale avaient deux caractéristiques très alarmantes: ce n'était pas la première fois que cela était essayé, et cela sera répété, à grande échelle, lors des prochaines élections.

    Le comportement de fraude évolue - ce qui signifie qu'il ne vient pas de nulle part et que les directions futures peuvent être prédites.
    La sociologie de la fraude a un début, des essais, des techniques et des équipes qui se développent. Les sous-branches réussies prennent le relais:

    Les réseaux de fraude, une fois organisés, se développent. Ils continuent de se développer avec de nouveaux entrants, des profils légèrement différents, corrompant plus de gens avec de l'argent qui éclipse ce que l'on pourrait faire honnêtement. Les techniques de fraude sont comme une espèce organique: ce qui fonctionne, prospère; et ce qui échoue s'éteint. Des modèles émergent. Les modèles sont égaux à la prédiction et à la prédiction permettant l'éradication.

    L'équipe de profilage n'était pas intéressée par l'élection de 2020 où la fraude était si évidente. Ils préfèrent parcourir les élections passées pour trouver les premiers tours dont ils sont maintenant sûrs qu'il doit y avoir:

    L'équipe, formée à certaines des tactiques de fraude organisées les plus sophistiquées, a émis l'hypothèse qu'il ne s'agissait pas d'une course à vide. Leur thèse est que si l'on devait évaluer sérieusement le scrutin dans de nombreux Etats pour 2014, 2016 et 2018, on trouvera des traces de ce qui s'est passé en 2020. Ce projet est en discussion.

    L'inaction de la Cour suprême des États-Unis invite à plus de fraude
    Sans aucune sanction ni conséquence, il est impossible que cette fraude ne soit pas utilisée en 2022 et ainsi de suite.

    Les fraudeurs sont avides et lorsqu'ils sont laissés à commettre des fraudes, pour lesquelles il y avait probablement des millions de dollars de rémunération actuellement ou à l'avenir, ils ne vont pas s'arrêter. Comme les fraudeurs reconnaissent que les forces de l'ordre nationales refusent d'enquêter et que les tribunaux ne se pencheront pas sur les preuves, ils sont enhardis. Qui ne le serait pas ?

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  18. Nos tribunaux et nos forces de l'ordre disent: "Venez, commettez toutes les fraudes que vous voulez, nous n'enquêterons pas, et s'il y a un litige, nous le rejetterons pour des raisons de procédure."

    Si quelqu'un proteste, le FBI peut attaquer leur maison avec un véhicule d'assaut. Ne me croyez pas, eh bien, rencontrez Christopher Worrell.

    Une grande partie de la fraude au niveau standard pourrait être stoppée en direct si seulement il y avait la volonté de le faire

    C’est presque comme si les responsables électoraux faisaient tout leur possible pour éviter d’attraper des tricheurs:

    Nous avons des technologies qui peuvent identifier les électeurs morts au moment où ils votent. Nous pouvons identifier les personnes qui sont hors de l'État, qui ont voté deux fois, qui sont mineures, qui vivent dans un terrain vague ou dans une boîte postale UPS ou FedEx. Nous pouvons même montrer une photo de ce terrain vacant afin que vous puissiez voir où votre faux voisin prétend vivre.

    Littéralement, à la seconde où leur bulletin de vote est compté, ils peuvent être signalés comme une fraude probable.

    Oui, nous pouvons déployer cette technologie aujourd'hui. Nous le faisons dans le secteur de l'assurance depuis des décennies.

    Nous pouvons prédire où se produira la fraude électorale. Nous pouvons prédire comment cela va être fait. Nous pouvons déployer des technologies pour identifier les fraudes probables en quelques secondes.

    La question est la suivante: si le gouvernement est assez impliqué dans la fraude électorale, est-ce vraiment important ?

    Site de Jay Valentine.
    https://jayvalentine.com

    https://joannenova.com.au/2021/03/expert-criminal-profilers-talk-about-sovereign-scale-vote-fraud-in-the-us/#more-76609

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  19. ABC est une agence de publicité de gauche d'un milliard de dollars pour laquelle la plupart des Australiens ne veulent pas payer


    March 17th, 2021


    Quatre Australiens sur cinq ne paieraient pas pour ABC TV s'il s'agissait d'un service d'abonnement

    C’est à quel point nous apprécions notre diffuseur public. Mais dans l'état actuel des choses, à 1 milliard de dollars par an, en moyenne 70 dollars sont prélevés chaque année sur chaque homme, femme et enfant * contribuable * en Australie, ou 280 dollars pour une famille de quatre personnes.

    Dans une enquête menée auprès de 500 Australiens cette semaine, plus de la moitié (52 %) ne voulaient pas payer un centime. La situation a empiré quand on leur a demandé s'ils s'abonneraient «comme Netflix»? À ce stade, le nombre de non-conformistes est passé de 52 % à 79 %.

    À vrai dire, nous méritons tous un remboursement, et antidaté de 30 ans
    Le coût pour la nation de leur ABC n'est pas seulement un milliard de dollars perdus par an, mais leur part coupable au prorata des milliards de dollars gaspillés en politiques qui étaient pratiquement une sorcellerie païenne que l'ABC a dissimulée. En tant que principaux échecs du quatrième état, l'ABC a systématiquement caché l'incompétence des universités, des professeurs et des institutions comme la BoM.

    Biais médiatique, comportement de vote des journalistes.
    Mais selon l’ABC, 72 % des Australiens se disent «la source d’actualité la plus fiable d’Australie». (Je suppose que cela dépend de la façon dont vous posez la question, de la confiance par rapport à quoi - le KGB?) Avec un questionnement plus minutieux, il s'avère qu'environ 70 % des adultes pensent que l'ABC ne peut pas être digne de confiance pour raconter le côté droit de l'histoire .

    Deux personnes sur trois disent qu’il est biaisé vers la gauche. Même 60 % des électeurs travaillistes pensaient qu'il penchait vers la gauche. Même, wow, par crikey, 78 % des électeurs Verts ont estimé qu'il «penchait à gauche». Étaient-ce eux qui parlaient le non-dit à haute voix ? Sont-ils fiers que les radiodiffuseurs nationaux utilisent les fonds des contribuables pour ne représenter que 5 % de l'Australie ? Cela pourrait être une petite fenêtre sur la vérité. Dans les prochaines enquêtes, les Verts apprendront à dire, «l'ABC est biaisé à droite» et à blâmer Murdoch.

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  20. Dans l'ensemble, la plupart des gens ne paieraient rien, et ceux qui pourraient payer n'étaient prêts à payer que 3 $ par mois - ce qui signifie que le budget d'ABC pourrait être réduit de 75 %.

    L'étude a été financée par le Menzies Research Center, un groupe de réflexion de droite. Dans les commentaires sur The Australian, la seule réponse des défenseurs de l'ABC est d'accuser le Menzies Research Center d'être aligné sur les libéraux. Mais nous savons tous pourquoi l’ABC n’a pas mené d’enquêtes exactement comme celle-ci.

    Le temps de protester contre le marais ABC arrive.

    La plupart glissent vers la gauche sur ma chère tante
    James Madden, l'Australien

    La majorité des Australiens pensent que la télévision ABC ne vaut pas la peine de payer un seul centime.

    Selon une étude indépendante menée par True North Strategy, plus de la moitié (52,6 %) des personnes interrogées ont déclaré que si elles avaient le choix, elles ne seraient pas prêtes à payer quoi que ce soit pour accéder au contenu télévisuel du diffuseur national dans sa forme actuelle, tandis que les autres répondants ont déclaré qu'ils ne seraient prêts à payer (en moyenne) que 2,94 $ par mois.

    L'ABC a-t-elle publié ces questions d'enquête les plus fiables? J'aimerais les voir si quelqu'un peut les trouver.

    LES RÉFÉRENCES

    Rapport annuel ABC, états financiers pages 116 et suivantes.

    Le rapport annuel d'ABC, statistiques «Most Trusted» p18

    ABC: Chris Berg et Sinclair Davidson, Against Public Broadcasting: Pourquoi et comment privatiser ABC.

    h / t Sam sceptique

    *Corrigée. Pour être plus précis, il y a 13,5 millions de contribuables en Australie, donc le coût est de 74 $ / contribuable. h / t Lawrie

    https://joannenova.com.au/2021/03/abc-is-a-billion-dollar-leftist-advertising-agency-that-most-australians-dont-want-to-pay-for/

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  21. Electricité : la note était-elle assez salée ?


    Auteur(s): Philippe Simonnot, journaliste pour FranceSoir


    Il est étrange que la « note de synthèse » publiée le 15 janvier dernier par France Stratégie ait eu si peu d’écho dans les media. En effet, cette note, intitulée "Quelle sécurité d’approvisionnement électrique en Europe à horizon 2030 ?" fait apparaître clairement que notre pays risque une gigantesque panne électrique dans les prochaines années si la politique énergétique actuelle est maintenue. Il est vrai que le Covid-19 met tout le monde la tête dans le guidon. Mais tout de même !

    "France Stratégie" n’est pas une obscure officine d’économistes et de statisticiens en mal de prospective. Cette institution rattachée au Premier ministre a pour objectif le même rôle que feu le Commissariat général au Plan qu’il a remplacé : concourir à la détermination des grandes orientations. Si donc un tel organisme laisse entrevoir la possibilité d’une catastrophe de ce genre, on peut en déduire a minima que les princes qui nous gouvernent ont ou devraient avoir des doutes sur la politique énergétique qu’ils sont en train de mener.

    Qu’est-ce qui permet à France Stratégies d’être aussi alarmiste ? Tout simplement ceci : la part croissante d’énergies « intermittentes » dans notre mix (pour reprendre le jargon actuel) de production d’électricité nous fait courir le risque d’une rupture brutale d’approvisionnement dans certaines circonstances.

    Rappelons les données du problème que la Fée Electricité nous pose :

    1) Les énergies tirées du vent ou du soleil sont intermittentes dans la mesure où elles ne sont pas disponibles par temps calme (éoliennes) ou la nuit (solaire).

    2) L’électricité n’est pas stockable dans l’état actuel de la technique sauf à un coût prohibitif.

    3) Donc, les énergies intermittentes doivent être complétées par des énergies dites « pilotables », telles que celles que l’on tire de nos bonnes vieilles centrales au charbon, au fuel, au gaz, nucléaires et hydrauliques, dont on peut augmenter ou réduire la production en appuyant sur un bouton.

    Du fait de l’accroissement de la part de l’éolien et du solaire dans notre mix électrique, cette complémentarité sera de plus en plus difficile à assurer, ce qui risque de déstabiliser le réseau électrique jusqu'à tomber dans une panne complète.

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  22. Comme le rappelle Marc Fontecave dans son dernier et excellent ouvrage[1] , « le fonctionnement d’un système électrique repose sur un principe fondamental : la production doit s’adapter en temps réel à la demande ». Si on ne respecte pas cette contrainte, c’est-à-dire si on n’a pas assez d’énergies pilotables disponibles pour compléter minute par minute la diminution, voire l’absence des énergies intermittentes, la fréquence du courant électrique sort de sa norme (50 Hz), et « très vite, certains équipements se mettent en sécurité en se déconnectant du réseau et, par une réaction en chaîne, on peut arriver au black-out total, au chaos ».

    On dira que le réseau français n’est pas isolé, et que si une panne menace, on peut s’approvisionner auprès de nos voisins. Problème : ces voisins, nommément l’Allemagne et la Belgique, suivent un chemin identique, et même ont précédé la France dans l’arrêt des centrales nucléaires. Par conséquent, la méga panne que l’on peut redouter ne sera pas seulement française mais européenne.

    C’est exactement le constat que fait France Stratégies dans sa note de synthèse : « La stabilité du système, nécessaire pour éviter son effondrement en cas de demande supérieure à l’offre, ne pourra être assurée que par des importations, rendues difficiles car nos voisins ont des marges de plus en plus négatives, cela pour les mêmes raisons de course aux énergies renouvelables et de suppression de capacités pilotables, ou par le redémarrage de centrales thermiques (gaz et charbon). »

    En février dernier, on a pu avoir un avant-goût de ce qui nous attend. La Suède, engagée dans un mix très écolo (développement des énergies renouvelables, en particulier de l’éolien, et arrêt des centrales au charbon et au nucléaire), s’est vue contrainte par la météo de remettre en marche une vieille centrale au fioul à Karlshamn et d’importer de l’électricité produite, chez ses voisins du Sud, l’Allemagne, la Pologne, la Lituanie, par des centrales à charbon, les plus nocives pour l’environnement !

    De même, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont subi des quasi black-out respectivement les 21 avril et 23 mars 2020, en pleine crise du Covid, les gestionnaires de réseau s’étant trouvés à court de moyens permettant de conserver l’équilibre du système. La France elle-même a manqué de vent au début de janvier 2017 où le facteur de charge des parcs éoliens a été ponctuellement de 1 %, mettant en danger tout le système.

    Nos experts auraient pu citer aussi le drame qu’ont vécu en février dernier les quelque 5 millions de foyers au Texas qui ont subi des ruptures de courant à cause d’un mix énergétique trop intermittent.

    Au vu de tous ces éléments, France Stratégies se risque à cette prévision : dès 2030 et vraisemblablement à une date plus rapprochée, si les tendances actuelles se maintiennent, les seuls moyens pilotables ne seront pas en mesure de satisfaire toutes les demandes de pointe d’électricité imposées par la météo, alors même que l’offre des intermittents de l’énergie ne sera pas à un niveau suffisant.

    Conclusion : le gouvernement doit revoir sa copie le plus vite possible, étant donné l’inertie de tout système énergétique.

    [1] Marc Fontecave, Halte au catastrophisme ! Les vérités de la transition énergétique, Flammarion 2020.

    https://www.francesoir.fr/vers-une-mega-panne-delectricite

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    1. Plus il y a de monde quelque part plus il y a d'électricité consommée. Oui mais, après visionnage du film 'Hold-Up la version augmentée', et après chemtraillage on se ferait seringuer, nous deviendrions toutes & tous des machines 'marche-arrêt' ou robots à tout faire sans pouvoir de l'ouvrir. C'est pourquoi, il est plus que souhaitable que l'EMP entre en jeu !
      Désolé de vous le dire mais vive l'Impulsion ElectroMagnétique qui fermerait toutes possibilité de se faire abattre par la dictature en place.

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  23. Tourisme en van et camping-car: le moyen le plus adapté aux restrictions sanitaires ?


    le 17/03/2021 à 12:29 - Mise à jour à 19:33


    L'été dernier, les locations de camping-car ont été multipliées par deux par rapport à l'année dernière

    Avec l'arrivée du beau temps et du printemps, les retraités mais aussi de plus en plus de salariés en télétravail ou de travailleurs indépendants, voyagent hors saison en camping car ou van aménagé, désireux de rencontrer liberté, nature et évasion. Cette solution semble idéale en ces temps incertains de pandémie mondiale: alors que les hôtels et restaurants sont fermés ou limitent leur capacité d'accueil, le tourisme nomade est un bon compromis permettant recherche de liberté et d'autonomie, tout en respectant les restrictions sanitaires.

    Il est toujours possible de se déplacer en camping car malgré le couvre feu

    Alors que les restrictions sanitaires sont de plus en plus difficiles à supporter, après un an d’une épidémie qui n’en finit pas, le tourisme nomade, en van ou camping car, est pour certains une manière de reconquérir leur liberté, et, surtout, de pouvoir partir en voyage malgré les restrictions. En effet, les “camping-caristes” peuvent dormir à bord de leur véhicule, sur une aire de services ou un parking autorisé, et ce même pendant le couvre-feu. Comme l’indique le site camping-car.com il faut toujours respecter le couvre-feu, en restant a l'intérieur du vehicle. Comme pour toute personne résidant à domicile, pour promener son chien ou sortir, il faudra se munir de l'attestation dérogatoire de déplacement.

    Une façon de voyager revalorisée par la crise sanitaire

    Le voyage nomade et les escapades itinérantes en véhicule aménagé sont plébiscitées par beaucoup de français depuis de nombreuses années, entre autres pour échapper aux circuits du tourisme conventionnel. Mais, selon Rodolphe Christin, auteur du Manuel de l’antitourisme (Écosociété, 2008) le confinement aurait agi comme “un catalyseur” .
    Les voyageurs itinérants, bien équipés et à l’abri dans leurs véhicules, sont amenées à croiser moins de gens, et à fréquenter moins d’espaces publics et pour cela, ils respectent plus facilement les consignes sanitaires. « Pour respecter la distanciation sociale et la sécurité sanitaire, le van est un moyen de locomotion idéal. Et puis cet espace mobile permet de garder le contrôle sur le rythme du voyage,» explique le sociologue.
    En outre, le tourisme en camping est une bonne réponse à la massification du tourisme: « Si le tourisme de masse et l’avion font l’objet de critiques, le voyage nomade constitue une expérience socialement valorisante,» ajoute-t-il.

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  24. Pourquoi des néophytes se convertissent-ils à cette manière de voyager ?

    Selon des spécialistes du secteur, cette forme de tourisme est à la hausse et compte de plus en plus d’adeptes. Fabien Caujolle, responsable marketing d’Indie Campers, détaille: « Les demandes ont bondi de 174 % entre 2019 et 2020, ralliant de nombreux néophytes qui n’avaient jamais voyagé en van auparavant ». L'été dernier, les locations de camping-car ont été multipliées par deux par rapport à l'année dernière.
    L’intérêt grandissant pour ce mode de transport s’explique, selon Charlotte Argaud, directrice des opérations chez Hertz Trois Soleils, un réseau de 26 agences de location de camping-car en France, par un type de tourisme qui offre une autonomie nécessaire en cette période ou les services sont rares : «Le camping-car est un trois-en-un : il sert à la fois de moyen de transport, d'hébergement et de lieu de vie», explique-t elle. Alors que de nombreux français ont dû annuler leurs projets à cause des mesures sanitaires, qui empêchent aussi les réservations à l'avance, le voyage itinérant est aussi «un moyen d'être à la fois chez soi et en pleine nature et de voyager sans rien planifier», explique Marion Woirhaye, cofondatrice et directrice de Wikicampers.

    Le voyage itinérant est-il adapté à tout le monde ?

    Il existe autant de types de camping car et de véhicules aménagés qu’il existe de types de voyageurs. Selon le budget et l’exigence de confort de la personne, elle peut trouver des options plus ou moins sophistiquées. Mais malgré les choix de plus en plus variés, le voyage itinérant n’est pas pour tout le monde. Les voyageurs nomades doivent faire face aux contraintes propres de ce type de tourisme et faire preuve de flexibilité pour s’adapter. En France on ne peut pas toujours s’arrêter où l’on veut, et, comme l’explique le site parenthesenomade.com il y a beaucoup de contraintes imposées par les municipalités en France, surtout celles qui sont très touristiques. Il faut donc aussi exceller en originalité. Si vous voulez visiter certaines côtes prisées, vous serez frustré de voir que cela est souvent impossible, et notamment pendant la haute saison.

    Et vous, vous lanceriez-vous dans cette manière de voyager ?

    Oui, je suis tenté, j’en ai marre du manque de liberté imposé par la crise
    Je voyage déjà comme ça, j'espère néanmoins, ne pas avoir trop de concurrence cette année pour les places
    Non, et je pense que les camping cars devraient être plus contrôlés, car il y en a déjà trop

    https://www.francesoir.fr/lifestyle-tourisme/tourisme-en-van-et-camping-car-le-moyen-le-plus-adapte-aux-restrictions

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  25. Covid : traitements, les masques tombent (2)


    le 17/03/2021 à 19:15 - Mise à jour à 19:23
    Auteur(s): Dr Gérard Maudrux, pour FranceSoir


    Les billets du Dr Gérard Maudrux sont repris avec son accord. Celui-ci est particulièrement important car il reprend un travail de longue haleine sur l’ivermectine

    Après les déboires des vaccins, voici maintenant le scandale de l’Ivermectine. Beaucoup de questions sur le rôle joué par certains et certains organismes dans l’autorisation ou non d’un médicament, où les critères médicaux et les malades sont bien peu de choses.

    Tout d’abord un grand merci à France Soir (voici son article complet que je vais résumer), du grand journalisme d’investigation, et un grand merci à la Docteure Tess Lawrie, un grand médecin d’abord au service des patients. Sa dernière interview de France Soir où elle dénonce la manipulation. Traaduite par mes amis suisses de ivermectine-covid.ch.

    Vous vous rappelez la méta-analyse de Andrew Hill, fin 2020 ? Enthousiaste, il a même déclaré dans les journaux de la City :

    « dépêchez-vous, l’Ivermectine arrive, on va en manquer ».

    Il est ensuite chargé par l’OMS d’un rapport qui sera remis le 18 mars, l’OMS devant se prononcer fin mars. Tout le monde était optimiste.

    Et puis dans les réunions à l’OMS, lors des dernières réunions de travail, les participants sentent un revirement de Hill. Il est interviewé par France Soir qui trouve qu’il y a des choses qui clochent. Et puis il y a le rapport, surtout ses conclusions, qui cloche aussi. Alors on creuse, des deux côtés de la Manche pour comprendre. La syntaxe est bizarre, comme une traduction Google. Des essais sont faits, traduction du français ou de l’espagnol. Et Tess interroge l’auteur, qui avoue un co-auteur masqué, notamment pour les conclusions, ce qui est une faute grave s’il n’est pas cité comme auteur, tout comme il y a des signataires inconnus, et pas de déclaration de conflits d’intérêts, pourtant obligatoire. Il dit également avoir eu des contacts avec Madame Dominique Costagliola, de l’Inserm (cf mon billet précédent). Tess Lawrie, choquée, est prête à répéter cela sous serment.

    Pendant que l’on réfléchit, dimanche après-midi, Mme Costagliola tweete sur l’Ivermectine. Et qu’écrit-elle ? Mot à mot la conclusion du rapport Hill ! Est-ce elle, la rédactrice ? Coïncidence ?

    Maintenant vous me direz que tout ceci est incohérent : que fait cette dame, farouche opposante à l’Ivermectine depuis le premier jour, avec Hill, il y a peu encore fortement défenseur du traitement ? Pas si incohérent que cela :

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  26. Le financier, le patron de Hill, c’est UNITAID. Qui est la président d’UNITAID ? C’est Marisol Touraine. Est-ce que Marisol connaît l’INSERM ? Bien entendu, en tant qu’ancienne ministre de tutelle de l’organisme. Est-ce que Marisol connaît dame Costagliola ? Réponse ci-dessous. La boucle est bouclée.

    Voilà, ce sont des faits, rien que des faits, et il y a des enregistrements des conversations. A vous d’en tirer vos conclusions, moi je me pose des questions :

    Qui a rédigé les conclusions du rapport de Hill ? Quel est le donneur d’ordre ? Pourquoi ? Comment et pourquoi on va pouvoir refuser une autorisation pour un médicament dont tous les critères médicaux et scientifiques sont plus que favorables ? Il y a innocuité, et présomption d’efficacité, alors que ces autorités ont validé des produits infiniment plus toxiques et sans les mêmes présomptions d’efficacité.

    Quant aux conclusions modifiées d’Andrew Hill, elles n’ont qu’un but : donner des arguments à l’OMS pour gagner quelques mois.

    L’OMS préparerait-elle le lancement d’un appel de fonds, ne voulant pas déplaire à ses bailleurs ?

    Les conclusions du rapport sont ci-dessous

    - voir sur site -

    Et la traduction

    Premier paragraphe, de Hill : « Cette méta-analyse de 18 ECR portant sur 2282 patients a montré une amélioration de 75 % de la survie, un délai de récupération clinique plus rapide et des signes d’un effet dose-dépendant de la clairance virale chez les patients recevant l’ivermectine par rapport au traitement témoin. » RAS, affaire conclue, eh bien non, pas suffisant.

    Suivants, probablement auteur fantôme : « Malgré la tendance encourageante que démontre cette base de données existante, il ne s’agit pas encore d’une base de données suffisamment solide pour justifier l’utilisation ou l’approbation réglementaire de l’ivermectine. Cependant, le manque actuel de preuves de haute qualité ne fait que souligner le besoin évident d’essais cliniques supplémentaires, de meilleure qualité et à plus grande échelle, justifiés pour enquêter davantage sur l’utilisation de l’ivermectine.

    La dose efficace maximale d’ivermectine doit être clarifiée et les nouveaux essais cliniques doivent utiliser un régime posologique cohérent sur plusieurs jours, avec au moins 0,4 mg / kg / jour. La dose et le calendrier appropriés d’ivermectine doivent encore être évalués et les essais cliniques randomisés en cours sur l’ivermectine doivent être poursuivis jusqu’à ce qu’ils soient prêts pour un examen rigoureux par les organismes de réglementation. »

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  27. Voilà ce qu’on fait à un traitement qui peut guérir de la Covid. Voilà ce que font ceux qui prétendent s’occuper de notre santé, au plus haut niveau sur la planète. Qui va décider pour l’ANSM ? l’OMS ? UNITAID ? L’INSERM ? COSTAGLIOLA ? Si c’est le cas, à quoi sert l’ANSM ?

    Est-ce que dans cette histoire quelqu’un s’est préoccupé des malades ? Des morts ? Est-ce que l’on veut vraiment traiter la Covid ?

    Auteur(s): Dr Gérard Maudrux, pour FranceSoir

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-traitements-les-masques-tombent-2

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  28. Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber


    GÉRARD MAUDRUX
    Le quotidien du médecin
    mer., 17 mar. 2021 22:26 UTC


    Le vaccin Astra Zeneca bat de l'aile. Est-ce la petite goutte d'eau qui va faire déborder le vase ? C'en est une, il va y en avoir d'autres, dans les semaines et les mois à venir, et encore dans quelques années on découvrira des secrets bien gardés.

    On a mis des années pour admettre que le nuage de Tchernobyl ne s'était pas arrêté à la frontière, et que le discours rassurant des autorités de l'époque était mensonger, et de plus dangereux car a empêché de prendre les précautions qu'il fallait.

    L'histoire se répète car rien n'a changé dans notre pays. Cette fois, c'est la gestion, et surtout le traitement de l'épidémie de Covid-19 qui va exploser en montrant ses dessous. Christian Perronne écrivait il y a 9 mois « Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise ? ». Oui, et il pourrait en écrire un second car il y en a eu d'autres, notamment la gestion des traitements, de la recherche à la validation.

    Le vaccin Astra Zeneca n'est que la partie émergée de l'iceberg des traitements. Vous l'avez lu partout : de plus en plus d'accidents avoués, de plus en plus d'accidents cachés, mais encore hier, nos gouvernants, nos scientifiques, la presse, nous expliquaient qu'il ne fallait pas céder au complotisme. Il a fallu que le reste du monde bouge, car sans eux, nous aurions toujours le même discours, les mêmes mensonges. On tente encore de nous rassurer, l'OMS, l'Europe vont nous rassurer et dire que nous avions raison. Ce discours montre que nos autorités sont incapables de voir ce qui se passe sur le terrain, d'en tirer des conclusions, et d'agir. Ils s'en remettent aux autres pour observer, pour décider. Que va-t-il sortir de ces décisions Européennes ? Un discours rassurant, mais croyez-vous que les pays qui ont décidé d'arrêter, en leur âme et conscience, sans attendre les autres, vont se déjuger ? Face à cette situation, même si on redonne l'autorisation, croyez-vous que les gens vont accepter de l'Astra ?

    Le problème Astra révèle nombre de problèmes, et vous verrez que cela va suivre avec les autres traitements qui ont été bloqués systématiquement. Pour l'Ivermectine, vous apprendrez bientôt bien pire. Nous allons apprendre aussi que les antibiotiques, ça marche, et vous saurez un jour pourquoi et qui a bloqué tout cela depuis le début. D'autres masques vont tomber progressivement. La vérité finit toujours par sortir un jour.

    Astra, après le Remdesivir, le Bambalaba, le refus de certaines RTU, c'est la faillite de nos autorités sanitaires. Chargées de vérifier, de certifier, elles ont montré qu'elles en étaient incapables. Le Boeing 737 Max est un autre exemple de ces « certifications ». Le dossier, la certification ont été faits par Boeing, les autorités « compétentes » n'ont fait que valider. Il a fallu des morts pour voir comment cela se passait en réalité. Cela se passe exactement de la même manière avec les médicaments. Le labo fait le dossier, ceux qui sont chargés de vérifier ne vérifient pas (d'ailleurs on a vu que maintenant on commandait avant de savoir si cela allait être certifié). Pourquoi les effets secondaires actuels, ne sont pas apparus dans les études ayant servi à la certification ? Tout est là. On n'est même pas sûrs de l'immunité, de sa durée, mais on valide quand même, sans précautions. Et quand il n'y a pas de labo pour monter leur propre dossier de validation, comme pour l'Ivermectine, les autorités ont des problèmes, on dirait qu'elles ne savent pas faire.

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  29. Nos autorités, pour traiter le Covid ne font rien, elles s'en remettent à l'industrie pharmaceutique. « Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche », disait le Général De Gaulle. 50 ans après, on cherche toujours.

    Pour revenir à l'Ivermectine, et à d'autres traitements qui pourraient rendre service, tombés dans le domaine public, avez-vous remarqué d'où viennent les études ? Inde, Bangladesh, Iran, Irak, Colombie, Pérou, république Dominicaine, Argentine, etc. Rien, strictement rien chez nous. On n'a plus de chercheurs ? Regardez pour les vaccins, 2O0 dans le monde, combien au pays de Pasteur ? Nous sommes tombés très très bas. Non seulement nous sommes très bas, mais nous refusons de voir ce qui se passe dans ces pays qui ne méritent pas notre attention. Ce sont des « petits », nous nous somme un grand pays, qui a marqué le monde avec sa médecine, nous n'avons de leçons à recevoir de personne.

    Pourtant il y a des médecins qui cherchent à traiter, qui demandent à tester ici et là, mais on leur refuse, c'est pour cela que nous ne publions rien. Et quand il y en a un qui passe outre, qui a les moyens de le faire, tout le monde lui tombe dessus et le traite de charlatan. Alors où est-ce que cela s'arrête ? Connaissez-vous l'Inserm ? Le comité REACTing ? C'est là que passent une bonne partie des bonnes volontés qui se font casser.

    C'est là qu'est passé un de nos confrères qui après avoir constaté les bienfaits d'une cure d'Ivermectine en Ehpad (avant la même histoire en Seine et Marne), a voulu reproduire la chose dans d'autres Ehpads pour vérifier, prouver. Il avait les fonds, un groupe prêt à suivre, réponse : non, on ne vérifie pas, on ne cherche pas de traitement. Pire ces gens ne savaient pas ce qui se passait dans les Ehpads, ne voulaient pas le croire, ne connaissaient pas l'Ivermectine, l'Onchocercose. Tout ce qu'ils ont sorti comme excuse, c'est l l'étude frauduleuse de 1997 (patients badigeonnés avec 2 insecticides mortels en sus de Ivermectine). « Vous allez tuer les patients », avec un médicament qu'ils ne savaient pas avoir le meilleur rapport bénéfice/risque au monde. Ils ont refusé de regarder.

    Franz-Olivier-Giesbert dans Le Point du 11 mars, racontait que du temps des communistes, il racontait à un cadre du PC avoir vu des prostituées en bas de son hôtel. « C'est impossible, lui a-t-on répondu, il n'y a pas de prostituées en Union Soviétique ». « Si, si, j'ai bien vu, venez vérifier avec moi ». « C'est inutile, le communisme a mis fin à la prostitution ». Pas besoin d'aller voir, c'est comme ça. Eh bien il en est de même avec l'Ivermectine. Allez voir Mme Castigliola de l'Inserm, membre du comité REACTing, que l'on voit partout, qui écrit partout contre l'Ivermectine. Pas la peine de faire des essais pour savoir si cela marche, parce que cela ne marche pas, point. Voilà pourquoi on n'essaie pas de trouver un traitement pour le Covid.

    Et ces gens-là, pendant qu'on rame sur le terrain avec les patients, s'auto-congratulent, se distribuent des médailles, comme pour les 7 d'or. Les Grands prix de l'Inserm 2020 ont récompensé ceux qui ont œuvré pour le traitement de l'épidémie du Covid. De Gaulle aurait bien aimé savoir ce qu'ils ont trouvé pour justifier ces prix.

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  30. Voici les lauréats des prix 2020 décernés en décembre :
    Grand Prix, Dominique Costagliola, qui « a mis son expertise de la recherche anti-VIH au service de la lutte anti-Covid dans le cadre de REACTing ».

    Prix recherche, Florence Ader, « qui a piloté Discovery » (avec succès, on attend toujours le résultat). « Si à ce jour, les premiers traitements proposés n'ont pas fait preuve d'efficacité, le formidable réseau de recherche clinique créé à cette occasion est opérationnel pour permettre d'essayer de nouveaux traitements candidats contre la covid-19. » (Sic)

    France Mentré, « responsable méthodologie de Discovery ». Méthode, on l'a vu, efficace.

    Prix OPECST-INSERM, Yazdan Yazdanpanah. Tête pensante de REACTting avec La Castafiore.

    Prix innovation, Frédérique Lesaulnier. Déléguée à la protection des données.

    Hélène Espérou. Chargée des projets de recherches cliniques.

    Jean Christophe Hébert, montages juridiques des projets de recherche.
    Voilà pour la brochette de chercheurs récompensés pour leur « excellence scientifique au service de la lutte contre la pandémie de Covid-19 », ce n'est pas moi qui le dit, c'est l'Inserm, c'est le titre du communiqué. Moi en matière d'excellence, je n'ai pas vu de traitement sortir, et n'ai vu que des blocages et des échecs. J'ai dû rater quelque chose.
    Il fut un temps où l'on récompensait la réussite et les résultats, maintenant on récompense ceux qui bloquent, cachent et échouent.
    Pourquoi ont-ils échoué ? Tout comme les soviets niaient les prostituées en refusant de regarder dans la rue, nos « excellents scientifiques » nient l'existence de traitements car ils refusent de regarder. Les pays étrangers refusent Astra après avoir vu ce qui se passait sur le terrain, nous avons continué à le saluer parce que notre « élite » refuse de regarder ce qui se passe sur le terrain. Et si leurs décisions ne sont guidées que par ce qui se passe chez nos voisins, à l'OMS ou à l'Agence Européenne du médicament, à quoi servent toutes nos agences, comités et fonctionnaires ?

    Avec un Président qui depuis 2 mois ne peut plus voir ces « conseils scientifiques » (j'en ai 2 preuves matérielles), ne supporte plus son ministre de la Santé, a dû prendre la main sur Astra ; avec un Ministère qui asphyxié par le nombre de (hauts) fonctionnaires énarques est obligé d'avoir recours systématiquement à des agences étrangères pour des expertises (on paye des gens pour faire le boulot, et on le fait faire à d'autres, cf les 28 études commandées) ; avec des agences qui ne savent que suivre les avis des agences étrangères et des gros labos ; avec nos nombreuses institutions de chercheurs qui ne cherchent pas et refusent que d'autres cherchent, chez nous, on n'a pas de prostituées (des labos), mais le bordel. Maintenant, vous me direz que ce n'est pas vrai, il n'y a plus de bordel depuis la Loi Marthe Richard du 13 avril 1946, je vous répondrais si, si, regardez par la fenêtre et vous verrez, encore faut-il que vous regardiez.

    https://fr.sott.net/article/36727-Vaccins-et-traitements-les-masques-tombent-et-vont-tomber

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  31. Pour votre cerveau, vous êtes votre personnage de fiction préféré - c'est la science qui le dit


    Julia Mothu
    Neon
    mer., 17 mar. 2021 18:15 UTC


    S'identifier à un personnage de fiction est un réflexe naturel. Mais chez certaines personnes, ce phénomène va plus loin : le cerveau réagit comme si nous étions le héros de notre série du moment.


    Commentaire : Ou de notre roman du moment. Ce phénomène est peut-être encore plus exacerbé lorsque nous lisons des ouvrages de fiction, car au lieu d'être passifs et de « subir » les images d'un film ou d'une série, nous sommes actifs, et notre capacité d'imagination ainsi que d'autres processus cognitifs sont mis à contribution lors de la lecture.

    Plutôt Joey ou Chandler ? Buffy la tueuse de vampires ou Willow la sorcière ? Quand on est mordu d'une série, on a tendance à se prendre d'affection pour l'un des personnages et à s'y identifier (certains vont même jusqu'à tomber amoureux d'un personnage fictif, mais c'est une autre histoire). Quand notre héros souffre, on souffre. Quand il lui arrive des péripéties, notre coeur bondit avec lui. Bref, notre degré d'implication dans un programme télévisuel est souvent influencé par notre amour des personnages. À tel point que certains vont même « devenir » le personnage de fiction qu'ils portent dans leur coeur.

    Alors non, on ne se réveille pas un beau matin de l'autre côté de l'écran perché sur un dragon, mais notre cerveau, lui, réagit comme si nous étions le personnage de notre série préférée du moment. C'est ce que révèle une étude américaine récente publiée dans la revue scientifique Social Cognitive and Affective Neuroscience. « Lorsqu'une personne pense à son personnage fictif préféré, il se passe la même chose dans une partie de son cerveau que lorsqu'elle pense à elle-même », résume Timothy Broom, l'auteur principal de l'étude.

    De la capacité à s'identifier aux personnages

    Cette drôle de connexion a été examinée dans la boîte crânienne de 19 fans de la série à succès Game of Thrones (2011-2019). Les chercheurs leur ont demandé d'identifier leur chouchou parmi une liste de 9 personnages récurrents tirés des livres et de la série : l'ultra charismatique Bronn, Catelyn Stark (plus agaçante qu'iconique, m'enfin), Cersei Lannister (qui aurait clairement dû régner sur Westeros pour toujours), Davos Seaworth, Jaime Lannister, Jon Snow, Petyr Baelish, Sandor Clegane (who else ?) et la sauvageonne Ygritte.

    Les répondants ont ensuite rempli un questionnaire concernant leur capacité naturelle à s'identifier à un personnage de fiction. Par exemple, « Je m'implique vraiment dans les sentiments des personnages de roman. Oui ou non ? ».
    « Les gens qui ont un haut potentiel d'identification sont non seulement absorbés par une histoire, mais aussi très absorbés par un personnage en particulier, précise Timothy Broom. Ils racontent que leur façon de penser est similaire à celle du personnage, qu'ils pensent ce que le personnage pense et ressentent ce que le personnage ressent. Ils entrent dans la peau de leur héros. »
    Se choisir une nouvelle identité

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  32. Au cours de l'expérience, un scanner a examiné le cerveau des bénévoles, l'objectif étant d'étudier l'activité du cortex préfrontal (une région du cerveau qui s'active quand on pense à soi-même). Les chercheurs ont ensuite montré au hasard plusieurs noms aux participants : le leur, celui de leur personnage de fiction préféré, et celui d'un ami proche. Ces noms ont été associés à des traits de caractère spécifiques, comme l'intelligence ou la tristesse.

    Chez les personnes avec un faible potentiel d'identification, le cortex préfrontal s'est surtout activé quand leur nom a été mentionné. Un peu moins lorsque celui d'un ami est apparu et encore moins quand il s'agissait du nom de leur personnage de fiction favori. La tendance s'est inversée chez les autres (ceux qui ont tendance à s'identifier naturellement). Les chercheurs ont remarqué que leur cerveau était particulièrement actif à la mention de leur personnage préféré.

    « Pour certaines personnes, la fiction est une chance de prendre de nouvelles identités, de voir le monde à travers les yeux de quelqu'un d'autre et de ressortir changé par ces expériences, explique Dylan Wanger, co-auteur de l'étude et professeur de psychologie. Des études précédentes ont montré que lorsque les gens vivent des histoires en se mettant dans la peau d'un héros, une connexion se fait avec ce personnage, qui va comme s'imbriquer dans la personne. Nous démontrons que c'est vrai en analysant le cerveau. »
    Alors, vous êtes plutôt Joey, ou Chandler ?

    Commentaire : Ci-dessous, un extrait traduit de l'étude susmentionnée : « Becoming the King in the North: identification with fictional characters is associated with greater self - other neural overlap » (Devenir le Roi du Nord : l'identification à des personnages de fiction est associée à un plus grand chevauchement neural entre le soi et l'autre] :
    Les résultats présentés dans cette étude montrent l'importance de la fiction pour certaines personnes. Pour celles-ci, « les livres sont une chance de trouver une nouvelle identité, de voir le monde à travers les yeux d'une autre personne, et peut-être même de changer, à la suite de l'expérience qu'elles ont vécue en lisant », déclare Dylan Vanger, l'un des auteurs de l'étude.

    Cette étude démontre que la représentation neurale des personnages de fiction dans le cortex préfrontal ventromédian présente une différence entre les personnes qui font, avec facilité et régularité, l'expérience de récits et d'histoires du point de vue des personnages, et celles qui ne le font pas.

    Pour les personnes qui ont une forte capacité d'identification, qui intériorisent les expériences des personnages de fiction, l'accès aux connaissances relatives à ces personnages ressemble davantage à l'accès à la connaissances de soi, et cela peut être particulièrement vrai pour les personnages dont elles se sentent les plus proches et qu'elles aiment le plus.

    Les données présentées ici montrent que la fusion du soi et de l'autre qu'entraîne l'identification aux personnages de fiction peut perdurer au-delà des limites de l'expérience narrative elle-même. Lorsque des personnages de fiction sont rappelés à la mémoire ultérieurement en dehors du contexte narratif, les individus diffèrent néanmoins dans les niveaux de chevauchement neural qu'ils présentent entre le soi d'une part, et l'autre d'autre part.

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  33. Il existe d'innombrables exemples de fictions narratives qui modifient le cours de la vie des gens en influençant leurs attitudes, leurs valeurs et, dans certains cas extrêmes, certaines décisions de vie majeures, comme le choix d'une carrière. Lorsque les individus vivent ces histoires comme s'ils étaient l'un des personnages, un lien avec ce personnage se forme et, ainsi que le suggèrent nos résultats, ce dernier devient intimement lié au soi.
    « Un lecteur vit mille vies avant de mourir. L'homme qui ne lit pas n'en vit qu'une. » - Georges RR Martin

    https://fr.sott.net/article/36726-Pour-votre-cerveau-vous-etes-votre-personnage-de-fiction-prefere-c-est-la-science-qui-le-dit

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    1. C'est ce que font toutes les écrivaines et tous les écrivains, scénaristes.

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  34. « Il y a quelqu'un dans ma tête, mais ce n'est pas moi »


    François Héliodore
    Sott.net
    dim., 15 juil. 2012 17:06 UTC


    Piotr Ouspenski disait en 1947 qu'un fait d'une importance prodigieuse avait échappé à la psychologie occidentale, à savoir que l'homme ne se rappelait pas lui-même, qu'il vivait, agissait et raisonnait dans un profond sommeil, dans un sommeil non pas métaphorique mais absolument réel. Depuis les développements récents en neurosciences et en sciences cognitives, la psychologie occidentale vient de rattraper son retard, et le tableau qu'elle dresse s'accorde parfaitement avec l'ésotérisme chrétien ravivé par Gurdjieff et Mouravieff. L'homme est effectivement une machine gouvernée par les influences extérieures.

    Pour le psychologue Daniel Kahneman, notre mode de réflexion est composé de deux systèmes. Le premier, la pensée rapide (le Thinking fast) ou système 1 (l'inconscient adaptatif de Timothy Wilson), est inconscient, intuitif, ne demande pas trop d'effort, est incontrôlable et non-intentionnel. Ce système n'est pas sujet au doute. Il simplifie les événements, supprime les ambiguïtés, saute sur les conclusions et utilise un système d'association d'idées pour produire un rapide croquis d'une situation donnée, ainsi que pour construire une histoire la plus cohérente possible. Le système 1 reconnaît instantanément des modèles de situation et permet « de produire des solutions adéquates » :

    « La recherche sur l'inconscient adaptatif suggère que la plupart de ce que nous voulons voir est invisible. L'esprit est un outil merveilleusement sophistiqué et efficace, bien plus que le plus puissant des ordinateurs jamais construit. Une source importante de cette énorme puissance est sa capacité à accomplir des analyses non-conscientes rapides à partir d'une grande quantité d'informations entrantes et de réagir à ces informations de manières efficaces. Même quand notre esprit conscient est occupé à autre chose, nous pouvons interpréter, évaluer et sélectionner des informations qui servent nos objectifs. »

    ~ Timothy D. Wilson, Strangers to Ourselves: Discovering the Adaptive Unconscious
    Cet étranger à l'intérieur de nous-même, pour reprendre le titre de l'ouvrage de Wilson, contrôle la majorité de ce que vous faites, bien que vous n'ayez aucune conscience de cela. L'inconscient adaptatif, ou le système 1, fournit les impressions qui bien souvent fondent vos croyances, et est la source de vos impulsions qui deviennent vos choix et vos actions. Il offre une représentation de ce qui se passe autour de vous et à l'intérieur de vous, liant le présent avec le passé récent et avec les attentes du futur. Il est la source de vos jugements rapides et intuitifs.

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  35. Le système 1 intervient dans les prises de décision, les émotions, la motivation, les buts, le contrôle, la métacognition, le libre arbitre, les intentions, ainsi que pour donner du sens à soi-même et aux autres. Après un tour d'horizon des facultés du nouvel inconscient, la question qui se pose est : que reste-t-il de conscient chez un humain ? Pas grand chose. Loin de servir seulement à analyser rapidement son environnement et à accomplir les gestes de tous les jours, le nouvel inconscient permet à des personnes d'accomplir des tâches et adopter des comportements complexes, et d'accomplir d'autres processus mentaux supérieurs indépendamment de l'esprit conscient. En d'autres mots, une personne peut vivre une existence entière en auto-pilote. Certains scientifiques estiment que nous sommes conscients d'environ 5 pour cent de nos fonctions cognitives. Les 95 pour cent restant se déroulent en dehors de la conscience et exercent un rôle fondamental dans nos vies. Pour faire une description imagée, la conscience représente une balle de golf posée sur la partie immergée de l'immense iceberg qu'est l'inconscient.

    Le système 1 a aussi la fâcheuse tendance à croire tout ce qu'on lui dit. Vous vous demandez encore comment les gens peuvent croire qu'un mec mort depuis 10 ans a pu se faire tuer par des commandos américains au Pakistan avant d'être balancé à la mer, ou qu'un banlieusard qui aimait les filles et les voitures a pu résister pendant une dizaine d'heures à des commandos surarmés dans un appartement de 38 m² avant de passer à travers plus de 300 balles, avec un final tonitruant où il s'est jeté du balcon en tirant avec deux armes automatiques, et où il est mort non des tirs des policiers mais de sa chute du balcon au rez-de-chaussée (1re version qu'on nous a sortie). Vous vous demandez comment les gens peuvent gober ça ? Demandez au système 1.

    Ce nouvel inconscient n'a rien à voir avec celui de Freud rempli de pulsions, d'érotisme, d'hallucinations et qui est irrationnel et primitif. Dans la nouvelle vision de l'inconscient, les processus mentaux sont pensés comme inconscients, car ce sont des portions de l'esprit qui sont inaccessibles à la conscience à cause de l'architecture du cerveau, plutôt qu'en raison de mécanismes tels que le refoulement ou les pulsions. Pour en finir avec Freud, la psychanalyse freudienne fonctionne, c'est certain, mais comme le souligne Michel Onfray, seulement pour Freud. C'est une bonne description du paysage intérieur d'un individu pathologique. Les visées universelles de la psychanalyse ne sont que les projections psychopathiques de son fondateur, qui projette sa propre pathologie sur le reste de l'humanité.

    Le deuxième système ou système 2, que Kahneman appelle pensée lente (Thinking slow), l'esprit conscient, utilise davantage la réflexion, le raisonnement, demande beaucoup plus d'efforts et est extrêmement fainéant. Évidemment la plupart des gens s'imaginent utiliser le système 2 bien plus rationnel. Erreur. C'est en réalité le système 1, celui de la pensée rapide, qui régit nos décisions. Il y a beaucoup trop de choses à analyser pour que le système 2 puisse tout prendre en charge. Ce système est bien plus difficile à faire fonctionner.

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  36. Pour faire simple, si l'on vous demande de multiplier 2 par 2, c'est le système 1 qui va se charger de vous fournir la réponse en quelques dixièmes de seconde. S'il s'agit de multiplier 17 par 24, vous allez prendre votre temps, et là, c'est le système 2 qui prend le relais.

    Inconscient adaptatif ou système 1 Conscience ou système 2
    * Systèmes multiples * Système unique
    * Détecte les schémas en ligne * Vérifie après les faits
    * S'occupe de l'ici-maintenant * Prend de la distance
    * Automatique (rapide, non intentionnel, sans effort) * Contrôlé (lent, intentionnel, beaucoup d'efforts)
    * Rigide * Flexible
    * Précoce * Plus lent à se développer
    * Sensible à l'information négative * Sensible à l'information positive

    Pour revenir au fait que l'inconscient adaptatif croit tout ce qui lui est présenté, si vous ne faites pas l'effort de penser avec votre système 2 pour séparer le bon grain de l'ivraie, la vérité du mensonge, si vous ne pensez pas avec un marteau — c'est-à-dire aborder l'objet d'étude sous tous les angles possibles en martelant vos préjugés et vos croyances et en étant critique de vos propres processus de pensées — votre système 1 avalera tous les mensonges et la propagande déversés à longueur de journée par les mass media. Vous croirez tout et n'importe quoi, jusqu'au jour ou vous vous mettrez au travail pour découvrir la vérité. .

    L'idée que nous ne contrôlons pratiquement rien de nos faits et gestes est assez effrayante. En réalité, c'est la définition exacte de la psychose, un sentiment de détachement de la réalité et le fait que vous ne contrôlez rien de vous-même.

    Le dénominateur commun qui ressort de ces nouvelles recherches est que l'homme se ment constamment à lui-même et ment constamment à ceux qui l'entourent. En d'autres termes, une personne est souvent totalement ignorante de ses motivations et crée des fictions pour expliquer ses motivations, ses émotions et son histoire. Les histoires que vous vous racontez, votre narration pour expliquer vos agissements, sont aussi « précises et proches de la réalité » qu'un reportage de TF1 sur la guerre contre le terrorisme.

    Prenons l'exemple de la mémoire. Quand nous nous remémorons un souvenir, nous pensons que nous regardons une image exacte du passé, comme une photographie, mais en réalité, nous ne voyons qu'une petite partie de cette image, le reste étant comblé par l'inconscient. Le système 1 a la fâcheuse tendance à combler les lacunes. Il prend les données incomplètes véhiculées par les sens, remplit « les trous » et le transmet à l'esprit conscient. Dans de nombreuses expériences réalisées par des psychologues, ceux-ci ont réussi à implanter de faux souvenirs à des personnes. Dans une de ces études, on a demandé à des sujets qui avaient été à Disneyland de lire et de réfléchir au sujet d'une fausse publicité pour un parc d'attractions. Dedans, on demandait aux sujets d'imaginer leur sentiment quand ils avaient vu Bugs Bunny, lui avaient serré la main, et pris une photographie avec lui. Plus tard, quand les chercheurs ont donné aux sujets un questionnaire sur leurs souvenirs personnels concernant leur visite à Disneyland, 62 pour cent d'entre eux se sont souvenus avoir rencontré Bugs Bunny. Seulement, ce n'était pas possible car Bugs Bunny est une propriété de Warner Bros, non de Disney :

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  37. « Dans une autre étude, Loftus (2003) a montré comment de faux souvenirs pouvaient être implantés à partir de la vision. Des étudiants ayant tous effectués un séjour à Disneyland dans leur enfance ont été exposés à une publicité décrivant une visite dans ce parc. Sur la photo présentée, on pouvait voir Bugs Bunny à coté d'un enfant qui lui serrait la main. Les participants ont ensuite été interrogés sur leurs souvenirs d'enfance. 35 pour cent de ces sujets indiquèrent se souvenir de leur rencontre avec Bugs Bunny à Disneyland et de lui avoir serré la main. Quand ces sujets ont été invités à décrire avec précision cette rencontre, 62 % se souvenaient lui avoir secoué le main 46 pour cent de l'avoir embrassé. Quelques personnes se rappelaient lui avoir touché les oreilles ou la queue. Une personne s'était même souvenu qu'il tenait une carotte (quelle mémoire!). Tout cela serait parfait sans l'existence d'un petit détail : Bugs Bunny est la propriété de Warner Bros et n'a donc jamais mis les pattes chez Disney... la publicité était fausse et les souvenirs des participants également. »

    Nous croyons que quand nous choisissions une voiture, une maison, que nous tombons amoureux ou que nous nous faisons de nouveaux amis, nous faisons ces choix consciemment. En réalité, rien n'est plus éloigné de la vérité. Dans la majorité des cas, nous sommes incapables d'expliquer pourquoi, dans une situation donnée, nous avons eu telle ou telle émotion. Pourtant, quand on demande à une personne d'expliquer sa réaction émotionnelle, après quelque temps de réflexion, elle n'aura aucun problème à en expliquer les raisons. Comment cela est-il possible ? Nous faisons simplement du storytelling. Quand nous nous posons à nous-mêmes ou à nos proches des questions du genre « pourquoi as-tu de l'aversion pour untel ? » ou « pourquoi aimes-tu cette maison ? », nous pensons que nous connaissons les réponses. Les recherches suggèrent que non. Nous nous engageons dans une sorte d'introspection pour trouver la vérité sur nos envies et nos aversions. Bien que nous soyons capables d'identifier nos sentiments, nous ne pouvons jamais identifier les origines inconscientes de ceux-ci. Nous créons alors des explications fausses ou partiellement vraies, que nous croyons. Le cerveau fait alors un tour de passe-passe assez surprenant : il cherche dans notre base de données mentale pour en extraire l'explication la plus plausible. Croire que vous comprenez vos motivations et vos désirs, vos « j'aime » et « j'aime pas », est appelé l'illusion de l'introspection. Les psychologues montrent que l'introspection n'est la plupart du temps qu'une fabrication et que vous n'avez aucun accès direct à la compréhension des origines de vos états mentaux. Le philosophe Daniel Dennett propose comme piste possible que lorsque vous vous expliquez vos émotions ou vos comportements, vous le fassiez comme si vous étiez en train d'écouter quelqu'un d'autre parler à votre place.

    Autre piste possible : écrire une autobiographie ou se lancer dans la rédaction d'un journal intime peuvent s'avérer être des activités plus efficaces pour apprendre à se connaître soi-même ou à guérir de traumatismes ou d'expériences émotionnelles :

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  38. Dans son livre Writing to Heal: A Guided Journal for Recovering from Trauma and Emotional Upheaval, Pennebaker propose aux gens troublés par une situation stressante ou des souvenirs douloureux cet exercice tout simple :

    Écrivez 20 minutes par jour pendant quatre jours.
    Relatez un conflit ou une crise grave, quelque chose de personnel et d'important qui vous a touché directement ; vous pouvez traiter du même sujet quatre fois ou en changer d'un jour sur l'autre.
    Écrivez d'une traite sans vous soucier des fautes de grammaire ou d'orthographe.
    Écrivez pour vous seulement.
    Si un sujet vous bouleverse, arrêtez d'écrire.

    L'inconscient est passé maître dans l'art d'utiliser des données limitées afin de construire une version de la réalité qui apparaît complète et cohérente à son partenaire, l'esprit conscient. Les perceptions visuelles, la mémoire ainsi que les émotions sont une construction de données incomplètes, mélangées et conflictuelles. Nous utilisons cette même méthode pour construire notre image de nous-mêmes. Le système 1 mélange faits et rêveries, en exagérant nos points forts et en minimisant ou occultant nos faiblesses, créant ainsi une sorte de séries de tableaux de Picasso où certaines parties sont disproportionnées (les parties de nous-mêmes que nous aimons) et où les autres sont réduites à l'invisibilité. Naïvement, l'esprit conscient admirera cet autoportrait en croyant que celui-ci est une représentation exacte de la réalité. Pour reprendre la terminologie de Gurdjieff, l'homme se crée des tampons lui empêchant de voir la différence entre ce qu'il pense être et ce qu'il est réellement. L'homme n'est rien de plus qu'une machine qui pense en boucles programmées et ment à son esprit conscient qui vit alors dans ces mensonges. Autrement dit, nous rêvons et dormons en pensant que nous sommes éveillés, ou, comme le dit Gurdjieff, des magiciens :
    « Un conte oriental parle d'un très riche magicien qui avait de nombreux troupeaux de moutons. Ce magicien était très avare. Il ne voulait pas prendre de bergers, et il ne voulait pas non plus mettre de clôture autour des prés où paissaient ses moutons. Les moutons s'égaraient dans la forêt, tombaient dans des ravins, se perdaient, et surtout s'enfuyaient à l'approche du magicien, parce qu'ils savaient que celui-ci en voulait à leur chair et à leurs peaux. Et les moutons n'aimaient pas cela.

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  39. À la fin, le magicien trouva le remède. Il hypnotisa ses moutons et leur suggéra tout d'abord qu'ils étaient immortels et que d'être écorchés ne pouvait leur faire aucun mal, que ce traitement était au contraire excellent pour eux et même agréable ; ensuite le magicien leur suggéra qu'il était un bon pasteur, qui aimait beaucoup son troupeau, qu'il était prêt à tous les sacrifices pour lui; enfin, il leur suggéra que si la moindre chose devait leur arriver, cela ne pouvait en aucun cas leur arriver dès maintenant, dès aujourd'hui, et que par conséquent ils n'avaient pas à se tracasser. Après quoi le magicien mit dans la tête de ses moutons qu'ils n'étaient pas du tout des moutons; à quelques-uns d'entre eux, il suggéra qu'ils étaient des lions, à d'autres qu'ils étaient des aigles, à d'autres encore qu'ils étaient des hommes ou qu'ils étaient des magiciens.

    Cela fait, ses moutons ne lui causèrent plus ni ennuis, ni tracas. Ils ne s'enfuyaient plus jamais, attendant au contraire avec sérénité l'instant où le magicien les tondrait ou les égorgerait. »

    ~ P.D. Ouspenski, Fragments d'un enseignement inconnu
    Nous sommes constamment sous l'effet du biais d'auto-complaisance, i.e. nous attribuons nos réussites à nos qualités personnelles tout en nous expliquant nos échecs en en rejetant la responsabilité sur les autres/le monde :
    « Quand vous comparez vos compétences, vos accomplissements, vos amitiés avec ceux des autres, vous tendez à accentuer le positif et à éliminer le négatif. Vous êtes un menteur par défaut, et c'est à vous-même que vous mentez le plus. Si vous échouez, vous oubliez. Si vous réussissez, vous le dites à tout le monde. »

    ~ David McRaney, You are not so smart
    Un autre point important à considérer est que, en raison des deux systèmes, nous pouvons penser deux choses complètement différentes sur un même sujet. L'Implicit Association Test est un test qui évalue les préjugés raciaux. On mesure le temps qu'un sujet prend pour associer des visages à des mots positifs ou négatifs. Si, par exemple, quelqu'un associe plus facilement des mots négatifs à des visages issus des minorités plutôt qu'à des Blancs, cela signifie qu'il aura tendance à avoir des préjugés.

    Il ressort de ce test que la majorité des sujets blancs interrogés qui affirmaient ne pas avoir de préjugés envers la population noire avaient en fait d'énormes biais inconscients envers celle-ci (le test devant être réalisé le plus vite possible, il fait intervenir le système 1). Cette étude révèle que nous pouvons être deux personnes en même temps : l'une, inconsciente, éprouve des sentiments négatifs envers les minorités à cause du conditionnement culturel forcé qui stéréotype les minorités comme étant négatives ; tandis que l'autre, l'esprit conscient, abhorre les préjugés. Le système 1 peut aimer une personne tandis que le système 2 la haït. Une personne peut se dire spirituelle tout en ayant un inconscient athée, et ainsi de suite.

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  40. Jeanne de Salzmann le disait déjà au siècle dernier :
    « Vous verrez que vous êtes deux. Un qui n'est pas, mais qui prend la place et joue le rôle de l'autre. Et un qui est, mais si faible, si intangible, que sitôt apparu, il disparaît immédiatement. Il ne peut supporter le mensonge. Le moindre mensonge le fait s'évanouir au loin. Il ne combat pas, il ne résiste pas, il est battu d'avance. Apprenez à regarder jusqu'à voir la différence entre vos deux natures, jusqu'à voir les mensonges, la tromperie en vous. Quand vous verrez vos deux natures, ce jour-là, en vous, la vérité naîtra. »
    « L'homme est une machine. Tout ce qu'il fait, toutes ses actions, toutes ses paroles, ses pensées, ses sentiments, ses convictions, ses opinions, ses habitudes, sont les résultats des influences extérieures, des impressions extérieures. De par lui-même un homme ne peut pas produire une seule pensée, une seule action. Tout ce qu'il dit, fait, pense, sent - tout cela arrive. L'homme ne peut rien découvrir, il ne peut rien inventer. Tout cela arrive. »

    ~ P.D. Ouspenski, Fragments d'un enseignement inconnu
    Dans le jargon psychologique moderne, on appelle cela l'effet d'amorçage : les pensées et le comportement d'une personne sont influencés par des stimuli auxquels elle ne prête aucune attention, ou qui lui sont complètement inconscients. Dans une expérience menée par le psychologue John Bargh, on a demandé à des étudiants d'assembler des phrases de quatre mots à partir de séries de cinq mots :
    « John Bargh et ses collègues de l'Université Yale ont montré que la démarche d'un individu jeune peut être subtilement modifiée et « vieillie », à condition de lui faire lire ou écouter des mots évoquant la vieillesse. Dans cette expérience, de jeunes étudiants effectuaient une première tâche consistant à reconstituer des phrases dont les mots étaient placés dans le désordre. Certains participants devaient manipuler des mots évoquant la vieillesse (vieux, seul, dépendant, prudent, grincheux, etc.). Lorsqu'ils avaient terminé, on mesurait la vitesse à laquelle ils quittaient le laboratoire, et on observait avec soin leur démarche. Il est ainsi apparu que les individus ayant manipulé des mots liés au concept de vieillesse ont marché plus lentement et en adoptant une posture plus courbée... Corps et démarche s'ajustent à son état d'esprit. »

    Une autre étude montre qu'on peut influencer l'achat de bouteilles de vin allemandes ou françaises exposées dans un supermarché, en faisant simplement passer en fond musical des chansons de ces deux pays. Les jours où la musique française était jouée, plus de 70% des bouteilles vendues venaient de l'Hexagone. Le même taux fut atteint pour la musique allemande.

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  41. Réfléchissez un moment. Si une personne est influencée par des stimuli aussi triviaux et banals qu'un fond musical lors de ses achats ou qu'une série de mots pour dicter sa vitesse de marche, que pouvons-nous attribuer à des choix conscients ? Nos amis, nos choix vestimentaires, nos goûts, nos pensées, nos partenaires romantiques sont-ils des choix conscients de notre part, ou réagissons-nous simplement à des influences extérieures et créons-nous une fiction pour nous expliquer à nous-mêmes ces choix ? Notons que des recherches en neuropsychologie démontrent les parallèles entre l'effet d'amorçage et l'hypnose. Dans les deux cas, la volonté est contrôlée par des forces extérieures.

    Ces recherches remettent en cause d'autres concepts bien ancrés dans la psyché humaine, i.e. la croyance que nous avons un libre arbitre. Roy Baumeister, psychologue à l'université de Floride résume la question :
    « Au centre de la question du libre arbitre est le débat à propos des causes psychologiques des actions. Une personne est-elle une entité autonome qui choisit consciemment ses actes parmi une multitude d'options possibles ? Ou n'est-elle qu'un lien dans une chaîne causale, de sorte que ses actions ne sont que le produit inévitable de causes légitimes découlant de faits antérieurs, et jamais personne n'aurait pu agir différemment d'elle ? »

    De même que nous sommes incapables d'identifier les causes de nos émotions, nous ne connaissons pas les causes qui provoquent nos actions. Daniel Wegner, professeur de psychologie à Harvard, soutient que le libre arbitre est une illusion. Quand nous faisons l'expérience d'une pensée suivie d'une action, nous présumons que la pensée a causé l'action. Cependant, Wegner fait intervenir une troisième variable, une intention inconsciente, qui pourrait produire à la fois la pensée consciente et l'action. Par exemple, voir une personne obèse peut être la cause de pensées sur la nécessité de consommer des aliments bénéfiques pour la santé. Au lieu d'acheter un sandwich, la personne optera pour une entrecôte. De ce fait, ce n'est pas la pensée consciente qui est la cause du comportement, malgré l'illusion qu'elle l'est. Toujours en suivant Wegner, le rôle causal des pensées conscientes a été surestimé : il semblerait que ce serait une explication après coup qui émanerait de l'inconscient. Wegner commente :

    « Imaginez pendant une minute que vous êtes un robot. Imaginez que toutes vos actions émanent d'un ensemble complexe de mécanismes. Imaginez aussi que ces mécanismes donnent naissance à des pensées au sujet de ce que nous allons faire dans le futur. En d'autres termes, tous les pièges sont présents pour nous permettre de faire l'expérience d'une causalité mentale apparente. »

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  42. ~ Ran R. Hassin, James S. Uleman et John A. Bargh, The New Unconscious
    Ce que veut dire Wegner est que ce mécanisme complexe qu'est le système 1 a déjà prévu de faire une action avant que l'esprit conscient ne pense à cette action. Des chercheurs ont découvert, lors d'une expérience où les sujets devaient appuyer sur un bouton, qu'un signal était déclenché dans le cerveau 7 secondes (oui, 7 secondes) avant que les sujets ne prennent conscience de leur choix :
    « En 2007, le Pr John-Dylan Haynes a mené une expérience qui a changé sa conception de l'existence. Ce neuroscientifique rattaché au centre Bernstein de neurosciences computationnelles (BCCN) de Berlin a placé des volontaires dans un caisson d'IRM devant un écran où défilaient des lettres au hasard. Il leur a demandé d'appuyer sur un bouton soit avec l'index droit, soit avec le gauche quand ils en ressentaient le besoin et de retenir la lettre affichée au moment où ils ont décidé d'appuyer sur le bouton. L'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle révélait leur activité cérébrale en temps réel. Les résultats ont été surprenants. "Notre premier réflexe a été de nous dire : il faut vérifier si cela tient la route, raconte Haynes. Nous avons procédé à plus de tests de validité que je n'en ai vu dans aucune autre étude."

    Les sujets prenaient la décision consciente d'appuyer sur le bouton environ une seconde avant de le faire, mais l'équipe de Haynes a découvert que leur activité cérébrale semblait anticiper cette décision avec sept secondes d'avance. Autrement dit, c'était comme si, bien avant que les sujets soient conscients de faire un choix, leur cerveau avait déjà pris une décision. »

    Source
    Nos décisions sont prédéterminées inconsciemment bien avant que la conscience n'entre en jeu. Pour reprendre Gurdjieff, le plus gros mensonge que l'homme se dit à lui-même est qu'il se dit doté de libre arbitre. En réalité, la majorité des actions humaines sont mécaniques et influencées par le temps, les besoins, l'humeur — en résumé, par les influences extérieures.

    Ce tableau de la machine humaine peint par la psychologie moderne montre la terreur de la situation, comme l'a dénommée Gurdjieff dans ses Récits de Belzébuth : des milliards d'humains qui s'illusionnent eux-mêmes en pensant être conscients, en croyant prendre des décisions, en croyant pouvoir faire des choix.

    Sur ce, je vous laisse avec une très jolie chanson de Pink Floyd dont les paroles ont inspiré le titre de cet article :

    Bibliographie :
    The New Unconscious, Ran R. Hassin, James S. Uleman et John A. Bargh
    Système 1 / Système 2. Les deux vitesses de la pensée, Daniel Kahneman
    Subliminal: How Your Unconscious Mind Rules Your Behavior, Leonard Mlodinow
    You Are Not So Smart: Why You Have Too Many Friends on Facebook, Why Your Memory Is Mostly Fiction, and 46 Other Ways You're Deluding Yourself, David McRaney
    Strangers to Ourselves: Discovering the Adaptive Unconscious, Timothy D. Wilson

    https://fr.sott.net/article/8717-Il-y-a-quelqu-un-dans-ma-tete-mais-ce-n-est-pas-moi

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    1. C'est du moins ce qu'ils ont tenté de faire avec les chemtrails et qu'ils recommencent avec de faux vaccins suite à la dissémination aérienne de virus fabriqués en laboratoires. Ces nano-particules à l'intérieur de chaque être qui respire mange et boit vont être dirigées grâce aux téléphones portables mais, comme ce n'est pas tout le monde qui en a un, ils montent dès à présent des tours de 5G (bientôt 6G) afin de pouvoir contrôler quiconque derrière un mur épais (ou chapeau d'aluminium ?).

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  43. Islamophobie ou chasse au blasphème ? Un collectif prend la défense de Mila


    21:42 17.03.2021


    Plus d’un an après le début de l’affaire Mila, l’adolescente a subi une nouvelle vague de harcèlements. Un collectif prend sa défense, voyant une chasse aux blasphémateurs derrière les reproches d’islamophobie qui lui sont adressés.

    L’adolescente Mila a été confrontée à de nouvelles injures et menaces sur Internet, doublées de la suspension temporaire de son compte par Twitter. Face à ce nouveau harcèlement dont elle fait l’objet, l’association laïque et humaniste Dernier espoir a publié une tribune dans Marianne.

    Le texte revient notamment sur les accusations d’islamophobie formulées à l’encontre de la lycéenne, qui avait déclaré en janvier 2020: «Le Coran il n’y a que de la haine là-dedans, l’islam c’est de la merde».

    Pour le collectif, cette notion d’islamophobie ne sert qu’à masquer la «pseudo-loi» des harceleurs, qui souhaitent en réalité rétablir le «délit de blasphème». L’association rappelle que la loi française peut seule fixer des limites à la liberté d’expression.

    «Que cela plaise ou non à ses détracteurs, la pseudo-loi qu’ils tentent d’imposer ne vaut rien aux yeux de nos valeurs républicaines. La soi-disant islamophobie dont elle est accusée n’est rien d’autre en réalité qu’une accusation de blasphème», écrivent les signataires de la tribune.
    Une position proche de celle d’Emmanuel Macron, qui avait lui aussi défendu le «droit au blasphème, à critiquer, à caricaturer les religions», dans un entretien au Dauphiné libéré, au sortir de l’affaire Mila.

    L’islam doit se soumettre à la République

    Dernier espoir dénonce encore un certain «islam politique», rétif à la loi républicaine et à la critique. Le collectif rappelle que la France est un pays laïc et que les religions n’y sont «que des idées parmi d’autres», susceptibles d’être discutées voire moquées.

    «Il faut que l’islam politique, comme toutes les autres religions, accepte cette place et se soumette enfin à la critique de la République. Aucun : "oui mais" ne peut aller au-delà de cette loi. Mila critique une idée, là où ses harceleurs s’en prennent à l’intégrité de sa personne, voilà où se trouve le problème», est-il écrit dans la tribune.
    En septembre, un sondage de l’Ifop pour Charlie Hebdo avait d’ailleurs mis à mal cette idée d’une prévalence de la République sur l’islam. Il révélait en effet que 74% des Français de moins de 25 ans faisait passer leurs convictions religieuses avant les valeurs républicaines.

    Responsabilités des réseaux sociaux

    Le collectif met enfin l’accent sur le volet technologique et soulève la question du signalement sur les réseaux sociaux. Après la suspension du compte de la lycéenne par Twitter, plusieurs voix s’étaient pareillement élevées pour demander à la plateforme américaine des éclaircissements sur ses méthodes de modération. Marlène Schiappa et Cédric O, secrétaire d'État chargé du Numérique, s’étaient notamment exprimé en ce sens.

    Dernier espoir s’interroge encore sur les suites judiciaires données à ces cas de harcèlements et s’étonne que les auteurs ne soient pas jugés alors que le cyberharcèlement est reconnu comme un délit.

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    Réponses
    1. Le pompon est que la dictature doit se soumettre à la dictature ! Hahaha !
      Si la Démocratie existait il n'y aurait jamais eu de religion dans le monde, mais les dictateurs les ont imposé.
      On est tous Mila.

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  44. Chine : Hong Kong « normalisée » par la dictature

    Le comportement de la Chine envers Hong Kong importe à tout le monde. Si les Chinois peuvent bafouer le traité avec les Britanniques, ils peuvent bafouer le monde entier.


    18 MARS 2021
    Par Douglas Blair.


    En 1984, après presque 150 ans, la Grande-Bretagne a signé un accord avec la Chine garantissant le retour de Hong Kong sous le contrôle chinois en 1997. L’accord avait une condition : Hong Kong serait autorisé à conserver son statut unique de région administrative capitaliste et aurait une certaine indépendance vis-à-vis la Chine pendant au moins 50 ans.

    LA PROSPÉRITÉ DE HONG KONG

    Chaque année, l’Heritage Foundation publie l’Indice de la liberté économique, qui classe les pays selon des catégories comme celle de l’État de droit et de l’efficacité de la réglementation. L’indice a systématiquement classé Hong Kong au premier rang depuis son lancement en 1995 jusqu’en 2020, quand Singapour l’a dépassé pour lui céder la seconde place du classement.

    Depuis 2021, Hong Kong a été supprimé de l’indice, la fondation ne considérant plus les pays qui ne sont pas entièrement autonomes.

    Quand les États-Unis ont révoqué le statut spécial de Hong Kong comme entité indépendante de la loi américaine, c’était un bon rappel des ambitions de la Chine pour cette région.

    Pour le parti communiste chinois, Hong Kong représentait un problème ne pouvant plus être ignoré. Les manifestations en faveur de la démocratie ont retenu l’attention internationale, et ont poussé la Chine à accorder à la région l’autonomie qu’elle avait promis. De plus, pour beaucoup au parti, Hong Kong était trop orienté vers les intérêts de la communauté internationale, au lieu de se concentrer davantage sur le renforcement de l’État chinois.

    Et c’est là le nœud du problème. Selon tous les critères, Hong Kong fait partie de la Chine. Oui, la ville a longtemps bénéficié d’une certaine autonomie grâce au traité entre les Britanniques et les Chinois. Mais depuis 1997, Hong Kong est bien un territoire chinois.

    Alors, que faut-il faire ? Les violations flagrantes des libertés civiles et politiques à Hong Kong exigent une réponse, car la Chine ne respecte évidemment pas le degré élevé d’autonomie énoncé dans les termes de l’accord de transfert.

    En plus des violations des droits civils, les efforts chinois pour réduire l’autonomie de Hong Kong menacent les intérêts américains et occidentaux. Le commerce et les capitaux qui traversaient Hong Kong devront être réévalués, car les frontières entre Hong Kong et la Chine continuent de s’effondrer.

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  45. IL N’Y A PAS DE SOLUTIONS SIMPLES

    Bien que Hong Kong soit une ville chinoise, il bénéficie toujours d’un statut unique et distinct à l’OMC : les violations des droits de Hong Kong par la Chine pourraient entraîner des poursuites judiciaires initiées par l’organisation internationale.

    Mais il se pourrait que la Chine ne relève pas les avertissements de l’OMC. Elle ne respectait pas déjà l’accord avec les Hongkongais ; pourquoi serait-ce différent avec l’OMC ?

    Peu importent les actions de l’Amérique et du monde, une politique chinoise efficace à Hong Kong doit trouver un équilibre à partir de cette réalité : Hong Kong est une ville chinoise et les libertés civiles de ses citoyens sont piétinées au mépris d’un traité international.

    Nous devons imposer à la Chine de payer le prix pour la violation de l’autonomie de Hong Kong et aider les Hongkongais.

    MAIS IL Y A DES LIMITES

    Selon Walter Lohman, directeur du centre des études asiatiques à l’Heritage Foundation :

    Les événements à Hong Kong sont l’occasion de poser une question fondamentale qui s’appliquera tout au long de la longue lutte avec la Chine dans laquelle les États-Unis se lancent maintenant : quelle responsabilité les Américains – et pas seulement leur gouvernement – doivent-ils comprendre, assumer, et franchir les limites de la puissance américaine ?

    Il n’y a pas de question à se poser, il faut agir, sinon les conséquences seront terribles.

    Le comportement de la Chine envers Hong Kong importe à tout le monde. Si les Chinois peuvent bafouer le traité avec les Britanniques, ils peuvent bafouer le monde entier.

    https://www.contrepoints.org/2021/03/18/393346-chine-hong-kong-normalisee-par-la-dictature

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    Réponses
    1. Hong Kong pour les chinois est comme Monaco ou Andorre pour les français, des dictatures qui se côtoient, se respectent mais qui comme les îles corse, Antilles ou polynésiennes n'ont jamais demandé à devenir... des Démocraties !! Hahahaha ! Même les indépendantistes

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