- ENTREE de SECOURS -



lundi 22 mars 2021

Louis Fouché, acte 1 : Santé et néolibéralisme

https://www.youtube.com/watch?v=TlB-JR_0UT0

Louis Fouché, acte 2 : Permaculture humaine 

80 commentaires:

  1. Oui, les vaccins sont expérimentaux


    Dr. Nicole Delépine
    mondialisation.ca
    dim., 21 mar. 2021 19:25 UTC


    Dans une « fast check » [Note : non pas « fact check » qui signifierait « vérification de faits », mais « fast check » pour « vérification rapide » ou hâtive] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l'AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d'affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

    Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

    Juliette Mansour et l'AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués ». Cette affirmation est totalement fausse !

    Pour connaître l'état d'avancement d'un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov1 » chargé de les lister. En l'interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

    En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l'essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

    L'essai phase 3 de Pfizer est donc loin d'être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

    - voir doc sur site -

    Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l'avancement des essais phase 3, la fin de l'essai phase 3 est prévue en février 2023 :

    - voir doc sur site -

    Pour le Janssen, l'essai ne se terminera pas avant 2024 :

    - voir doc sur site -

    Malheureusement la journaliste de l'Agence France Presse n'a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

    Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n'existent pas

    Juliette Mansour aurait pu aussi s'étonner de l'absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l'homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »2 qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

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  2. Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results », PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d'un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l'accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n'en a pas pris le temps ?

    Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l'éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

    Mais où sont passés les journalismes d'investigation d'antan ?

    Nous réaffirmons que les essais n'ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

    Jusqu'à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d'arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

    Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d'attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

    Essais précliniques

    Depuis le Code de Nuremberg (1947), les essais sur l'homme doivent être précédés d'expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l'homme, mais permet d'éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d'en souffrir. Prétextant l'urgence de la crise actuelle ou le manque d'animaux adéquats3, le développement très rapide de plusieurs vaccins anti-covid n'a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

    La presse anglo-saxonne l'a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais « sautaient » cette phase, sans que l'AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D'autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l'humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

    Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d'anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

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  3. Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l'aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d'essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l'accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

    Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

    Les essais thérapeutiques nécessaires à l'obtention de l'Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l'homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d'optimiser la suivante.

    La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l'homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin.

    La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d'administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l'infection et s'il empêche la transmission du virus.

    La phase III visant à préciser l'efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d'emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d'étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d'Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l'Agence du Médicament.

    La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée).

    Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l'ANSM, Agence française du Médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l'expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

    Les insuffisances majeures des essais des vaccins anti-covid menacent la sécurité sanitaire
    Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux
    Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d'utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

    Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d'avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l'immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti-grippe H1N1 ne sont apparues qu'après plusieurs mois).

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  4. Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d'estimer leurs complications à moyen terme.

    Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu'elles constitueraient l'indication préférentielle d'un vaccin qui serait efficace et sûr.
    Critères de jugement non pertinents
    Le but d'un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux).

    Aussi, lorsque l'Agence nationale du Médicament prétend que : « l'AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d'une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients », elle nous rappelle tristement les affirmations de l'agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l'affaire du médiator (entre autres ...).
    Présentation biaisée des résultats provisoires
    Un avis du BMJ4 souligne que Pfizer/BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n'ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

    L'insuffisance des essais est d'autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

    Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d'anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l'affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d'antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l'aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l'augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

    Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d'antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

    OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

    On sait depuis une cinquantaine d'années, que jusqu'à 10 % de notre patrimoine génétique est d'origine virale. Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d'une inclusion dans l'ADN de mécanismes différents pour l'instant inconnus.

    Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n'a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n'a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

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  5. Nos contradicteurs cités par l'AFP ont oublié de citer leurs liens d'intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n'a jamais vacciné quelqu'un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu'un médicament à ARN injecté dans l'organisme ne va pas circuler dans l'ensemble du corps qu'il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l'oxygène, le glucose...et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu'aux testicules ?

    Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

    Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n'ont pas été analysés et publiés, l'utilisation d'un vaccin ou d'un médicament est expérimentale.

    Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l'attribution d'AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

    Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d'ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

    Alerte de l'agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin AstraZeneca par l'Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l'utilisation de ce même vaccin par l'Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l'utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

    Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid-19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l'alerte de l'Agence française du Médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d'une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités5,6,7, la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône8 après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination...

    OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

    Ne pouvant pas contester les chiffres d'Eudravigilance de 2 500 morts survenues après vaccination, l'AFP avance l'absence de preuve de liens de causalité.

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  6. Pourtant lorsqu'une personne entre à l'hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu'elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Covid-19 même si aucun signe clinique ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid-19 positif.

    Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les agences. Présomption d'innocence en cas de vaccination anti-covid.

    Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg9 a statué :

    En cas de complication post vaccinale grave « même en l'absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s'appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur » et ces éléments, s'ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l'existence d'un défaut du vaccin et à celle d'un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

    Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l'analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

    Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

    Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l'injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d'aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

    OUI la vaccination a partout été suivie d'une augmentation de la mortalité

    - voir doc sur site -

    Qu'il s'agisse des Émirats Arabes Unis :
    mortalité vaccins
    D'Israël :
    mortalité vaccins
    Ou en Grande-Bretagne :
    mortalité vaccins

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  7. La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles-ci sont d'autant plus graves qu'elles touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n'est qu'incertain.

    Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu'on nous impose et la censure des opposants ne font qu'aggraver la méfiance.

    Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu'illustre la tribune de Juliette Mansour et de l'AFP.

    Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février10 :
    « La véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid-19 ».
    Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l'ont-ils pas écouté au lieu de suivre l'exemple totalitaire chinois ?

    Notes

    1. La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l'article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d'achèvement (voir date d'achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

    2. Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

    3. « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain The Atlantic.

    4. Ronald B. Brown - « Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 » - Medicina 2021, 57 (3), 199

    5. France Info - « Vaccins AstraZeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des « syndromes grippaux de forte intensité » après leur injection d'après l'ANSM », 5/2/2021

    6. FR3 Normandie - « Pourquoi l'hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? » 12/2/2021

    7. FR3 Normandie - « Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection » : Sur les 20 soignants de l'établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d'importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

    8. par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération nationale des Sapeurs-Pompiers de France.

    9. village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien

    10. Victor (Lin) Pu - « L'épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire », Le Diplomat, 27 février 2020

    https://fr.sott.net/article/36760-Oui-les-vaccins-sont-experimentaux

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  8. De la psychologie des adeptes du déni de conspiration


    Tim Foyle — Reporting For Beauty
    Sott.net
    ven., 19 mar. 2021 10:52 UTC


    Comment se fait-il que des personnes par ailleurs parfaitement intelligentes, réfléchies et rationnelles reculent devant l'idée que les psychopathes conspirent pour les manipuler et les tromper ? Et pourquoi défendent-ils avec autant de véhémence cette position sans fondement ?

    L'histoire elle-même regorge de machinations commises par des menteurs, des voleurs, des tyrans et des narcissiques et décrit leurs effets dévastateurs. Les preuves de corruption et d'inouïes fourberies abondent également à l'époque moderne.

    Nous savons, sans la moindre équivoque, que les hommes politiques mentent et occultent les relations qu'ils ont entre eux et que les entreprises témoignent couramment d'un mépris total pour les normes morales — en bref, nous baignons dans la corruption.

    Nous savons que le jeu des chaises musicales entre les entreprises et les sphères politiques, le système de lobbying, les régulateurs corrompus, les médias et le système judiciaire signifie que les actes répréhensibles ne sont pratiquement jamais soumis à un semblant de véritable justice.

    Nous savons que la presse évoque bruyamment ces questions de temps à autre, mais sans jamais les examiner avec une véritable vigueur.

    Nous savons que les actes répréhensibles commis par les services de renseignement et les forces de police sont, dans des proportions stupéfiantes, monnaie courante et que, là encore, la justice n'est jamais rendue.

    Nous savons que les gouvernements ne cessent d'ignorer ou de piétiner les droits des citoyens, et qu'ils abusent et maltraitent les populations de manière répétée. Rien de tout cela ne porte à controverse.

    Alors, que refusent exactement les adeptes du déni de conspiration avec la ferveur, la droiture et la condescendance qui sont les leurs ? Pourquoi, contre toute évidence, en viennent-ils à défendre d'un ton narquois et méprisant le mythe en décrépitude selon lequel « les puissants » sont quelque part un peu comme nous, qu'ils ont la situation bien en main, n'ont que notre intérêt à cœur et sont scrupuleux, sages et sincères ? Que la presse est au service du peuple et de la vérité plutôt qu'à celui des escrocs ? Que les injustices successives résultent d'erreurs et d'oublis, et qu'elles ne peuvent jamais procéder de ce concept redoutable : la conspiration ?

    Quelle personne raisonnable continuerait à croire à un monde à ce point illusoire ?

    Le point de désaccord ici porte uniquement sur la question de la proportion. Une personne véritablement curieuse des desseins élaborés par de puissants psychopathes élargira le périmètre de ses recherches au-delà d'une entreprise ou d'une nation. Pourquoi ne le ferait-elle pas ? Une telle personne part du principe que les mécanismes observés à une petite échelle sont susceptibles d'être les mêmes à tous les niveaux du pouvoir. Mais les adeptes du déni de conspiration insistent sur le fait que c'est absurde.

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  9. Pourquoi ?

    Le fait que les structures sociétales et juridiques pyramidales que l'humanité a laissé se développer sont précisément le type de hiérarchies de dominance qui avantagent indubitablement le psychopathe est cruellement évident. Un être humain doté d'un esprit de coopération normal et sain s'avère peu enclin à se lancer dans les combats nécessaires à une ascension sociale ou politique.

    Alors, que s'imaginent les individus qui réfutent l'existence des conspirations ? Selon eux, que font chaque jour les 70 millions ou plus de psychopathes dans le monde, tous nés dans un « jeu » où la richesse et le pouvoir se concentrent au sommet de la pyramide, et dans lequel les attributs les plus efficaces pour atteindre la « victoire » sont la cruauté et l'amoralité ? N'ont-ils jamais joué au Monopoly ?

    Les psychopathes ne choisissent pas leur conception du monde grâce à leur conscience, et sont tout simplement incapables de comprendre pourquoi les gens normaux se mettraient dans une situation aussi désavantageuse en se limitant à la conscience et à l'empathie, vertus dont l'existence échappe à la compréhension du psychopathe et qui est à la mesure de ce que serait pour l'être humain un monde qui en serait dénué.

    Le psychopathe n'a besoin que d'une seule chose pour gagner : mentir publiquement tout en conspirant en privé. Quoi de plus simple ? En 2021, continuer à imaginer que le monde dans lequel nous vivons n'est pas largement déterminé par cette dynamique relève d'une naïveté téméraire qui confine à la folie. Quelle est la source d'une pulsion à ce point malencontreusement destructrice ?

    L'enfant en bas âge accorde une confiance innée aux personnes qui l'entourent — une confiance qui, le plus souvent, s'avère par nature justifiée. Si ce n'était pas le cas, l'enfant ne pourrait pas survivre.

    Au sein d'une société saine et équilibrée, cet instinct profond évolue au rythme du développement de la psyché. Au fur et à mesure de l'évolution chez un individu de la conscience de soi, des facultés cognitives et logiques et du scepticisme, cette instinct de confiance innée continuerait à être compris comme un besoin central de la psyché. L'évolution et le développement conscients de cette tendance enfantine serait favorisées par l'existence de systèmes de croyances partagées qui placeraient consciemment cette foi dans des valeurs et des croyances porteuse d'une signification et d'une valeur durables pour la société, l'individu ou, idéalement, les deux.

    La déférence et le respect de la tradition, des forces naturelles, des ancêtres, de la raison, de la vérité, de la beauté, de la liberté, de la valeur innée de la vie, ou de l'esprit initiateur de toutes choses, peuvent tous être considérés comme des qualités indispensables au sein desquelles nous pouvons en toute conscience placer notre confiance et notre foi — tout comme celles qui découlent de systèmes de croyance plus formalisés.
    Indépendamment du chemin emprunté pour évoluer et développer une foi personnelle, l'apport de sa propre conscience et de sa propre connaissance à cette élan naturel en constitue le point clé. Je pense que développer et cultiver une foi mature représente une responsabilité fondamentale dont beaucoup — ce qui est compréhensible — ne sont pas conscients.

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  10. Que se passe-t-il lorsque subsiste en nous un besoin enfantin qui n'a jamais évolué au-delà de sa fonction originelle de survie et qui consiste à faire confiance à ceux qui, dans notre environnement, sont simplement les plus puissants, les plus présents et les plus actifs ? Lorsque nous n'avons jamais vraiment exploré notre propre psyché, et n'avons jamais profondément questionné ce en quoi nous croyons vraiment et pourquoi ? Lorsque la raison pour laquelle nous accordons notre confiance à quelque chose ou à quelqu'un n'est pas remise en question ? Quand la philosophie est laissée aux philosophes ?

    Je pense que la réponse est simple, et que les preuves de ce phénomène et des ravages qu'il provoque sont visibles partout autour de nous : le besoin inné de faire confiance à la mère n'évolue jamais, ne rencontre ni n'entre jamais en contact avec sa contrepartie, la raison (ou la foi mature), et reste en permanence sur son réglage infantile « par défaut ».

    Alors que cette psyché immature ne dépend plus des parents pour son bien-être, la puissance motivationnelle du principe fondamental que je viens de décrire reste intact : incontesté, négligé et non développé. Et, dans un monde où la stabilité et la sécurité sont de lointains souvenirs, ces instincts de survie, plutôt que d'être bien affûtés, réfléchis, pertinents, discernés et actualisés, restent, littéralement, ceux d'un bébé. Parce que l'instinct décrète que la survie en dépend, la confiance est dès lors accordée à l'influence la plus importante, la plus bruyante, la plus présente et la plus indéniable.

    Et, dans cette grande « pépinière mondiale », la force la plus omniprésente est celle des institutions interconnectées qui projettent en permanence une image de pouvoir, de calme, d'expertise, d'intérêt et de stabilité.

    À mon avis, c'est ce qui permet aux adeptes du déni de conspiration de s'agripper au, et de défendre d'une manière agressive le fantasme totalement illogique selon lequel — au-delà d'un certain niveau indéfini de la hiérarchie sociétale — la corruption, la tromperie, la malveillance et le narcissisme s'évaporent mystérieusement, d'une manière ou d'une autre. Que, contrairement à la maxime, plus une personne a de pouvoir, plus elle fera inévitablement preuve d'intégrité. Ces âmes fragiles et bercées d'illusions sont intimement persuadées que, là où l'expérience personnelle et les connaissances préalables ne sauraient combler les lacunes de leur vision du monde — en d'autres termes, tous les endroits dont l'accès est interdit — papa et maman seront toujours là pour veiller à ce que leur petit trésor soit à l'aise, heureux et en sécurité pour toujours.

    Il s'agit là de l'illusion fondamentale et réconfortante qui sous-tend l'état d'esprit des adeptes du déni de conspiration, le socle délabré sur lequel ils érigent un monumental édifice de justifications et à partir duquel ils peuvent de manière pompeuse ridiculiser et railler toutes les personnes dont la vision est différente.

    On comprend dès lors pourquoi ces adeptes du déni de conspiration combattent la moindre suggestion selon laquelle l'archétype du soignant n'existe plus — que des psychopathes se trouvent derrière chaque accès interdit, et qu'ils nous traitent avec le plus grand mépris voire nous ignorent complètement. Ces adeptes du déni de conspiration s'en prendront à toute suggestion similaire aussi violemment que si leur survie en dépendait — ce qui, dans la composition de leur psyché inconsciente et précaire, est, d'une certaine manière, le cas.

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  11. Leur sentiment de bien-être, de sécurité, de confort, voire même d'avenir, est complètement — et de manière totalement inconsciente — investi dans ce fantasme. L'enfant en eux n'a jamais mûri et, parce qu'ils n'en sont pas conscients, si ce n'est sous la forme d'un attachement profond à leur sécurité personnelle, ils attaqueront férocement toute menace envers cet aspect inconscient et central de leur vision du monde.

    Leur refrain épuisant de banalité est le suivant : « une conspiration d'une telle ampleur ne peut exister ».

    La réponse simple à un tel expert autoproclamé des conspirations est évidente : quelle ampleur ?

    Les plus grandes entreprises « médicales » du monde peuvent, depuis des décennies, considérer comme de simples dépenses commerciales les amendes considérables dont elles écopent pour des crimes qui vont de la dissimulation d'effets indésirables liés à aux tests de leurs produits à des meurtres multiples provoqués par des expérimentations non déclarées, en passant par des crimes environnementaux colossaux.

    Sans être le moins du monde inquiétés, les gouvernements mènent sur leurs propres populations les « expériences » — les crimes — les plus viles et les plus impensables.

    Les politiciens ont coutume de nous mentir ouvertement, sans conséquence.

    Et ainsi de suite. À quel moment, exactement, une conspiration devient-elle à ce point considérable qu'elle constitue pour « eux » une limite, et pourquoi ? Je pense que le point de rupture se produit lorsque leur capacité cognitive faiblit et que leur instinct de survie inconscient se déclenche. Le moment même où l'intellect est submergé par l'ampleur des événements et où l'instinct se replie sur la foi familière et réconfortante qu'ils connaissent et ont cultivé depuis leur toute première tétée. La foi selon laquelle quelqu'un d'autre s'en occupe — qu'au moment où le monde devient inconnu, il suffit de placer une foi absolue dans l'existence d'une autorité humaine puissante et bienveillante pour être assuré d'une sécurité émotionnelle éternelle.

    Cette dangereuse illusion pourrait bien être le facteur clé qui remet entre les mains des psychopathes la sécurité physique et l'avenir de l'humanité.

    À tous ceux qui ont l'habitude de rejeter les personnes qui posent des questions, enquêtent et sont sceptiques — comme peuvent l'être les partisans de Trump, qui nient la science, sont paranoïaques et portent un chapeau en aluminium — je pose la question suivante : en quoi croyez-vous ? Où avez-vous placé votre foi et pourquoi ? Comment pouvez-vous, alors que personne ne fait confiance aux autorités, vous fier de manière absolue aux organisations de gouvernance mondiale naissantes ? En quoi est-ce rationnel ?

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  12. Si vous accordez votre confiance en de telles organisations, considérez qu'à l'ère de la mondialisation, ces organisations — aussi extraordinaires puissent-elles paraître — ne sont que des émanations plus ambitieuses des versions locales auxquelles nous savons ne pas pouvoir nous fier. Elles ne sont pas nos parents et ne font preuve d'aucune loyauté envers les valeurs humaines. Il n'existe aucune raison d'accorder une quelconque confiance à ne serait-ce qu'une seule d'entre elles.

    Si vous n'avez pas développé consciemment une foi ou si vous ne vous êtes pas, dans une certaine mesure, interrogé sur les raisons pour lesquelles vos croyances sont animées d'une telle ferveur, une telle position peut sembler misanthropique, mais en vérité, c'est le contraire. L'argent des relations publiques et les mensonges mielleux sont les deux seules formules qui ont permis à ces organisations de gagner votre confiance. Le véritable pouvoir reste, comme toujours, entre les mains du peuple.

    Ce n'est pas pour rien si les bouddhistes recommandent vivement de placer sa foi dans le Dharma, ou loi naturelle de la vie, plutôt que dans les personnes, et que des préceptes similaires sont courants au sein d'autres systèmes de croyance.

    Le pouvoir corrompt. Et, dans le monde d'aujourd'hui, la confiance mal placée et non fondée pourrait bien être l'une des plus grandes sources de pouvoir qui soit.

    Les conspirations criminelles monumentales existent. Les preuves sont accablantes. L'ampleur de celles en cours actuellement est inconnue, mais rien, dans la nouvelle ère mondiale, ne permet d'imaginer une diminution de la quête psychopathique du pouvoir ou la possession des ressources nécessaires pour y parvenir. En tout cas, pas tant que la dissidence est tournée en dérision et réduite au silence par les gardiens, les « idiots utiles » et les adeptes du déni de conspiration, lesquels, par leurs attaques incessantes contre ceux qui voudraient faire la lumière sur les malversations, sont en fait les complices directs du programme des psychopathes.

    Il est de la responsabilité urgente de chaque être humain d'exposer les agendas psychopathiques peu importe où ils se manifestent — et de ne jamais attaquer ceux qui cherchent à le faire.

    Plus que jamais, il est temps aujourd'hui de mettre de côté les futilités et les pulsions enfantines, et de réagir en adultes afin de protéger l'avenir des enfants qui n'ont d'autre choix que de nous confier leur vie.

    Cet essai s'est concentré sur ce que je considère comme le moteur psychologique le plus profond du déni de conspiration.

    Il en existe certainement d'autres, comme le désir d'être accepté ; fuir la connaissance et le combat des zones d'ombre intérieure et extérieure ; préserver une image positive et juste de soi qui constitue une version généralisée du phénomène d'« abus par procuration », dans lequel une classe sociale intéressée et vicieuse se protège en se regroupant autour du tyran ; adopter de manière subtile et inconsciente la vision psychopathique du monde (par exemple, « l'humanité est un virus pour la planète ») ; développer une addiction à l'indignation, au complexe de supériorité et aux jeux de prestige ; entretenir un intellect rabougri ou sans ambition qui octroie au maintien du statu quo sa raison d'être ; adopter un mécanisme de protection dissociatif en imaginant que les crimes et les horreurs commis à plusieurs reprises au cours de notre vie ne se produisent pas maintenant, pas « ici », et enfin la bonne vieille paresse et la lâcheté.

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  13. Je pense que, dans une certaine mesure, tous ces mécanismes reposent sur les fondements de la cause principale que j'ai décrite ici.

    Source de l'article initialement publié en anglais le 6 mars 2021 : Reporting For Beauty
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/36752-De-la-psychologie-des-adeptes-du-deni-de-conspiration

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    1. La bombe, lâchée y a un an par les merdias sur toute la planète, a mis au pas tous les dirigeants politique de se conformer aux obligations de meurtres dont ils seraient tenus responsables au cas où ils refuseraient d'assassiner !! Seule issue: le mensonge. Z'avez qu'à lire les journaux, écoutez les radios ou regardez la télé !
      Recommandation: NE JAMAIS ECOUTER LES SCIENTIFIQUES QUI EUX NE SAVENT RIEN. Nous, on s'occupe de les censurer.

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  14. Samedi 20 Mars
    Louis Fouché " A vous là parole" - Les masques aux enfants, les mesures sanitaires

    a été censuré en moins de 48 h !
    Le clip fait partie de quelques centaines censurés sur le site LE VERT BAVOIR.

    Dès la publication: ENREGISTREZ sur votre ordi !

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  15. Le CDC ignore l'enquête sur l'augmentation du nombre de décès et de blessures signalés après les vaccins COVID

    Les données du VAERS publiées aujourd'hui ont montré 38444 rapports d'événements indésirables suite aux vaccins COVID, dont 1739 décès et 6286 blessures graves depuis le 14 décembre 2020.


    Par Megan Redshaw
    Défense de la santé des enfants
    22 mars 2021


    Les données publiées aujourd'hui par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sur le nombre de blessures et de décès signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) suite aux vaccins COVID ont montré 38444 rapports d'événements indésirables depuis le 14 décembre 2020.

    Le 8 mars, The Defender a contacté le CDC pour lui poser des questions sur la manière dont l'agence enquêtait sur les rapports de décès et de blessures après les vaccins COVID. Nous avons fourni une liste écrite de questions demandant l'état des enquêtes sur les décès rapportés dans les médias, si des autopsies sont effectuées, la norme pour déterminer si une blessure est causalement liée à un vaccin et les problèmes connus avec VAERS - à savoir si les prestataires de soins de santé sont signaler toutes les blessures et tous les décès qui pourraient être liés au vaccin COVID, et quelles initiatives d'éducation sont en place pour encourager et faciliter des rapports appropriés et précis. Nous avons demandé une réponse dans les deux jours.

    À ce jour, 11 jours plus tard, le CDC n'a pas répondu à nos questions. Au lieu de cela, lorsque nous les appelons, ils répondent en disant: "Ils ont reçu notre e-mail, ils vont le faire remonter et c'est dans le système." Lorsque nous avons demandé si nous pouvions parler à la personne qui examinait le courriel, on nous a dit que l'information ne pouvait pas être fournie. Lorsque nous leur avons envoyé un e-mail pour faire un suivi, nous n'avons reçu aucune réponse.

    Tous les vendredis, le VAERS rend publics tous les rapports de blessures dus aux vaccins reçus par le système le vendredi de la semaine précédente. Les 34 444 événements indésirables signalés entre le 14 décembre 2020 et le 11 mars comprennent 1 739 décès et 6 286 blessures graves.

    Les données de cette semaine comprenaient des rapports de 478 cas de paralysie de Bell. Parmi ceux-ci, 66% des cas ont été signalés après la vaccination Pfizer-BioNTech - presque deux fois plus que rapporté (36%) après la vaccination avec le vaccin Moderna.

    Le premier vaccin COVID de Johnson & Johnson (J&J) a été administré aux États-Unis le 2 mars. Au 11 mars, neuf réactions anaphylactiques associées au vaccin de J&J avaient été signalées au VAERS. Comme The Defender l'a rapporté plus tôt ce mois-ci, le vaccin J&J contient du polysorbate 80, connu pour déclencher des réactions allergiques, les vaccins Moderna et Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG), également connu pour déclencher des réactions anaphylactiques.

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  16. Aux États-Unis, 98,2 millions de doses de vaccin COVID avaient été administrées au 11 mars.

    - voir tableau sur site -

    Le VAERS est le principal mécanisme de déclaration des réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis.Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu'une relation causale puisse être confirmée.

    Pour la plupart, les données d’aujourd’hui reflètent les tendances qui se sont dégagées depuis que The Defender a commencé à suivre les rapports VAERS liés aux vaccins COVID.

    Les données VAERS de cette semaine montrent:

    Sur les 1 739 décès signalés au 11 mars, 30 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination, 21 % sont survenus dans les 24 heures et 46 % sont survenus chez des personnes qui sont tombées malades dans les 48 heures suivant la vaccination. À titre de comparaison, au cours de la même période, seuls 85 décès ont été signalés suite à des vaccins contre la grippe.
    19 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
    53 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n'incluaient pas le sexe du défunt.
    L'âge moyen de ceux qui sont décédés était de 77,9 ans et le plus jeune décès était de 18 ans.

    Au 11 mars, 289 femmes enceintes avaient signalé des événements indésirables liés aux vaccins COVID, y compris 90 rapports de fausse couche ou de naissance prématurée. Aucun des vaccins COVID approuvés pour une autorisation d'utilisation d'urgence n'a été confirmé sûr ou efficace pour les femmes enceintes, bien que J&J ait déclaré plus tôt ce mois-ci qu'il commencerait à être testé sur les femmes enceintes, les nourrissons et les immunodéprimés.
    Il y a eu 1 689 rapports d'anaphylaxie, avec 59 % des cas attribués au vaccin Pfizer-BioNTech et 41 % à Moderna.
    L'âge moyen du décès signalé reste de 77,9 ans, mais le décès le plus récent signalé cette semaine est passé de 23 à 18 ans. Selon VAERS, l'adolescent a développé de la fatigue, des courbatures et des maux de tête un jour après avoir reçu le vaccin Moderna le 3 mars. Le 5 mars il se plaignit de douleurs thoraciques et mourut dans son sommeil plus tard dans la journée.

    Les dernières données comprennent également le rapport d'une femme de 22 ans souffrant d'une «condition médicale sous-jacente importante et permanente» qui est décédée 24 jours après le vaccin.

    Selon le site Web du CDC, "le CDC fait le suivi de tout rapport de décès pour demander des informations supplémentaires et en savoir plus sur ce qui s'est passé et pour déterminer si le décès était le résultat du vaccin ou non."

    À ce jour, la seule information publiée par le CDC concernant l'enquête sur les décès liés au vaccin COVID et la manière dont ces enquêtes ont été menées est une mise à jour sur la sécurité des vaccins COVID-19 via le Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) publiée le 27 janvier.

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  17. La mise à jour sur l'innocuité n'a analysé que les 198 décès signalés survenus dans le premier mois suivant l'administration du premier vaccin COVID aux États-Unis.On ne sait pas si le CDC a enquêté sur l'un des 1541 décès signalés depuis ou, si des enquêtes ont été menées, quels sont les résultats montré.

    Le 16 mars, The Defender a rapporté que plus de 20 pays avaient suspendu l’utilisation du vaccin COVID d’AstraZeneca après avoir signalé des caillots sanguins, certains entraînant la mort, chez des personnes en bonne santé qui avaient reçu le vaccin. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré qu'une analyse en cours par son comité consultatif sur les vaccins n'avait pas établi de lien de causalité entre le vaccin et les caillots sanguins et que les pays devraient continuer à l'utiliser.

    Le 18 mars, l'Agence européenne du médicament (EMA) a publié les résultats de son enquête sur le vaccin AstraZeneca. L'EMA a déclaré jeudi que le vaccin «pourrait être associé à de très rares cas de caillots sanguins», mais l'agence le considère toujours comme «sûr et efficace» et les pays devraient continuer à l'utiliser.

    L’EMA a déterminé que le vaccin d’AstraZeneca n’était pas associé à un «risque global» de caillots sanguins chez les personnes vaccinées et qu’il n’y avait aucune preuve d’un problème lié à des lots spécifiques du vaccin ou à des sites de fabrication, a rapporté The Defender.

    Selon Reuters, une douzaine de pays ont repris aujourd'hui l'utilisation du vaccin COVID d'AstraZeneca, dont l'Allemagne, l'Indonésie et la France, les régulateurs européens et britanniques ayant déclaré que les avantages l'emportaient sur les risques de caillots sanguins potentiels. Le vaccin d’AstraZeneca n’est pas encore approuvé pour une utilisation d’urgence aux États-Unis.

    Le 18 mars, The Defender a rapporté que le directeur financier de Pfizer avait déclaré aux analystes et aux investisseurs lors d'un récent appel aux résultats que la société envisageait de transformer son vaccin COVID avec la société allemande BioNTech en une vache à lait encore plus grande une fois la pandémie terminée.

    Le vaccin de Pfizer est déjà le deuxième médicament générateur de revenus le plus élevé au monde. Le fabricant de vaccins s'attend à des revenus de 15 milliards de dollars en 2021 sur la base des contrats actuels pour son vaccin COVID, mais ce nombre pourrait doubler, car Pfizer affirme qu'il peut potentiellement fournir 2 milliards de doses cette année.

    Des documents divulgués obtenus à la suite d'une cyberattaque contre l'EMA et examinés par le BMJ ont révélé que les régulateurs avaient des préoccupations majeures concernant des quantités étonnamment faibles d'ARNm intact dans des lots de vaccin COVID de Pfizer développé pour la production commerciale, comme rapporté cette semaine par The Defender.

    Un courrier électronique divulgué a identifié «une différence significative de% d'intégrité de l'ARN / d'espèces tronquées» entre les lots cliniques et les lots commerciaux proposés - d'environ 78 % à 55 %. Pfizer ne fabriquait pas de vaccins selon les spécifications attendues, et l'impact de cette perte d'intégrité de l'ARN sur la sécurité et l'efficacité du vaccin n'a pas été identifié, selon le courriel. L'EMA a répondu en déposant deux «objections majeures» auprès de Pfizer, ainsi qu'une foule d'autres questions qu'elle souhaitait aborder. On ne sait pas si les préoccupations de l’agence ont été satisfaites.

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  18. La défense de la santé des enfants demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à tout vaccin, de déposer un rapport en suivant ces trois étapes.

    https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/cdc-ignores-inquiry-into-increasing-number-of-deaths-injuries-reported-after-covid-vaccines/

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  19. Planet Lockdown: Interview de Catherine Austin Fitts

    22 mars 2021

    Interview en anglais

    https://www.lewrockwell.com/2021/03/no_author/planet-lockdown-catherine-austin-fitts-interview/

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  20. L'ère du Covid-19 — Sommes-nous 2 heures moins le quart avant le fascisme ?


    J. Dominique Michel — Anthropo-logiques
    Sott.net
    dim., 21 mar. 2021 15:54 UTC


    Alain Berset vient à son tour d'annoncer que la Confédération renonçait à tout allégement dans sa gestion (imposée mondialement par la dictature chinoise) de la syndémie de Covid. Avec un argument consternant de plus : trois indicateurs sur quatre seraient négatifs, ose-t-il avancer.

    Le hic étant que le seul indicateur réel (le nombre d'hospitalisations dues au Covid) est quant à lui parfaitement stable. Les trois autres (ceux donc qui sont invoqués) étant de purs produits de la spéculation qui remplace désormais la science dans les « cercles d'experts » : « le taux de reproduction du virus, l'incidence et la positivité des tests » sont de la foutaise pour parler français puisque comme cela a été abondamment souligné sur ce blog ainsi que par les experts connaissant quelque chose à la santé publique comme désormais par l'OMS, il s'agit de projections basées sur tout un « système » qui ne devrait même pas exister (tests PCR sur-gonflés sans diagnostic clinique, n'ayant aucune valeur nosologique ni épidémiologique) et induisant systématiquement les autorités en erreur.

    On aurait tort bien sûr de voir là de l'imbécilité chronique. Nous sommes face à un véritable coup d'état généralisé à tous les pays d'Occident et Alain Berset n'est que la version locale d'un profil de fossoyeur de nos moyens d'existence et libertés tel qui se décline dans tous les pays occidentaux : Olivier Véran en France, différents zozos en Belgique, et de tristes sires comme Anthony Fauci (un des pontes de la corruption systémique en santé mondiale) aux États-Unis et ailleurs.

    J'avais encore des doutes il y a une année ou même six mois sur les contours et la nature fondamentale de la magouille en cours. Si l'appât criminel du gain de la part de l'industrie pharmaco-vaccinale n'a jamais fait aucun pli (orchestré par ses sbires infiltrés comme on le sait dans tous les étages décisionnels de nos politiques publiques d'extorsion de fond appelées à tort « politiques de santé »), le motif ultime de cette entreprise de spoliation généralisée est sans doute à trouver ailleurs, comme le propose le physicien Philippe Guillemant, expert en « intelligence artificielle » :

    « Le but de la dictature sanitaire se dévoile enfin petit à petit : un QR code pour entrer dans les restaurants et les lieux culturels. Il permettra de crypter avec votre identité des données sanitaires vous concernant. Le fait qu'il ne s'en suive aucune obligation (d'être vague ciné, testé ou autre) montre bien que la protection de la santé n'est pas le but, mais seulement le prétexte. De toute façon, avec un vague saint et des tests non fiables ou non réalisables sur tout le monde, il aurait été difficile d'imposer ces conditions sanitaires pour avoir le droit de circuler librement. Mais comme vous le voyez, le flou considérable sur la question de la légitimité d'un tel traçage n'empêchera pas ce traçage d'essayer de s'imposer à nous, parce que son but n'est pas sanitaire mais financier.

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  21. L'information sanitaire contenue dans le QR code sera plus ou moins bidon, mais ça n'aura pas d'importance. Le principal sera que tout le monde croit que c'est utile, ou fasse comme si ça l'était, et le doute jouera en faveur de la télévision qui nous rebattra les oreilles sur cette utilité, j'ai confiance en eux.

    Comprenez donc bien que la dictature sanitaire n'a pas d'autre objectif que celui de vous coller une identité numérique forte, associée à la fabrication du QR code. Le stade suivant, lorsque tout le monde aura pris l'habitude de se balader avec, sera d'authentifier vos paiements avec, pour fortement monter le plafond du sans contact et ensuite, le développement des objets connectés fournira d'autres alternatives plus pratiques et sécures que le QR code (bagues, bracelets, CI ou montres à puces...), et la monnaie numérique mondiale s'imposera ainsi naturellement, sauvant ainsi le système financier en conservant l'esclavage de la dette et les intérêts des plus grandes fortunes.

    Ce programme n'est pas un complot mais une instrumentalisation mondialiste imaginée depuis très longtemps pour devoir être déclenchée à l'occasion d'une crise sanitaire. C'est le contrôle numérique qui est en jeu, pas la santé. Si ça avait été la santé, il y a longtemps qu'on aurait éradiqué le virus à l'aide de traitements et de mesures privilégiant le bien-être et l'équilibre humain avant toute chose. »

    Voilà plus que probablement l'agenda que servent réellement nos gouvernements au prix de la souffrance et de la destruction massive infligée à leurs populations. Ce qui me conduit à énoncer avec clarté que nous trouvons dans une situation ubuesque où nos gouvernements sont devenus les « ennemis publics numéro 1 » de nos démocraties agonisantes et se livrent à une opération littéralement de haute trahison.

    Pour résumer (une fois de plus) l'étendue de l'arnaque, je donne à lire infra un texte de M. Alain Tortosa intitulé « Et il faudrait les croire ?! ». Cet auteur, que je suis depuis une année, a eu des presciences immédiates des dessous criminels de la soi-disant « crise sanitaire », qu'il a résumés sous le titre 7 milliards d'esclaves et demain ? Cet intitulé m'apparaissait alors un peu trop affirmé (il s'agissait pour moi encore d'une hypothèse). Un an plus tard, je n'ai plus le moindre doute ni la moindre réserve sur la nature criminelle de la dérive en cours.

    Une auteure et analyste politique américaine, Mme Naomi Wolf, a récemment été auditionnée par l'équipe de Mes Rainer Fuellmich et Robert Kennedy, qui portent plainte pour crimes contre l'humanité à l'encontre du World Economic Forum et différents gouvernements en lien avec l'instrumentalisation dévastatrice de l'épidémie de Covid. Selon Mme Wolf, nous avons atteint maintenant un point de bascule dans le retour du fascisme au sens le plus littéral du terme. Voici par exemple les réponses qu'elles a énoncées le 19 mars sur la plateforme Corona-transition.org.

    Dans son livre « How to Destroy a Democracy« , Wolf décrit dix étapes que les personnes au pouvoir utilisent pour éliminer les démocraties. L'auteur pense que nous avons maintenant atteint ce point. Voici ses commentaires :
    « En 2008, j'ai écrit un livre intitulé « Comment détruire une démocratie ». Dans ce document, basé sur mon étude des démocraties en faillite tout au long du 20e siècle, j'avertissais que l'Amérique devait se méfier d'un glissement possible vers le totalitarisme.

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  22. J'ai expliqué que les tyrans en puissance, qu'ils soient de gauche ou de droite, utilisent toujours la même feuille de route pour mettre fin aux démocraties, et qu'ils accomplissent toujours les mêmes dix étapes...

    Bien que je n'aie pas explicitement prédit en 2008 qu'une pandémie médicale serait le moyen de faire passer le monde entier à l'étape 10, j'ai mis en garde à divers endroits contre les dangers des crises médicales que les tyrans peuvent utiliser pour justifier la suppression des libertés civiles.

    Aujourd'hui, une crise sanitaire hypertrophiée sert de prétexte pour nous priver de nos libertés fondamentales, ce que la peur du terrorisme n'a finalement pas réussi à faire, malgré 20 ans d'efforts...

    Immédiatement après l'annonce de cette pandémie, de nombreux éléments d'un totalitarisme absolu et généralisé ont été promulgués dans la plupart des pays occidentaux, même dans ceux qui étaient auparavant des modèles de démocratie. Tout cela s'est passé très rapidement et de manière exhaustive.

    Aux États-Unis, nous avons maintenant :

    Des mesures d'urgence dans de nombreux États qui l'emportent sur une procédure légale régulière.
    Des fermetures d'écoles qui rompent le contrat social avec la prochaine génération.
    Les projets de loi sur le passeport vaccinal qui sapent le quatrième amendement en permettant au gouvernement et aux entreprises Big Tech d'envahir la vie privée médicale et de créer un état de surveillance numérique complet.

    Des fermetures forcées d'entreprises. En intervenant directement dans l'économie et en permettant à certaines entreprises - Amazon, Walmart, Target - de prospérer au détriment des petites entreprises, des magasins, des restaurants et des propriétaires uniques en général, l'État a fusionné le gouvernement et les entreprises d'une manière caractéristique du fascisme italien et du communisme chinois moderne.

    Des restrictions du droit de rassemblement. Certains États, comme la Californie, punissent les gens qui rencontrent leurs amis chez eux, et interdisent aux enfants d'aller jouer avec leurs amis...
    La couverture forcée du visage. Dans le Massachusetts, les gens sont condamnés à une amende s'ils ne portent pas de masque à l'extérieur - même les enfants de cinq ans sont obligés de le faire par la loi.
    Suppression de la liberté d'expression. Les grandes entreprises technologiques censurent les critiques de COVID-19 et des politiques de vaccination, ainsi que les opinions qui se situent à droite de l'échiquier politique.
    La science est dévoyée dans l'intérêt du biofascisme. Grâce au financement massif de commentateurs scientifiques tels que le Dr Fauci aux États-Unis, l'Imperial College et SAGE au Royaume-Uni, et le Dr Christian Drosten en Allemagne, les politiques dominantes dont les déclarations sur le COVID-19 profitent à un petit groupe de mauvais acteurs - en particulier les acteurs techniques et pharmaceutiques agissant en collusion avec les gouvernements - ont construit une armée de partisans sûrs et crédibles.

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  23. Les données sont dévoyées pour servir les intérêts du biofascisme.
    Des attaques contre les minorités religieuses. La communauté juive orthodoxe de Brooklyn et les églises chrétiennes de Californie ont été punies lorsqu'elles n'ont pas suivi les règles du COVID-19...
    Des politiques qui affaiblissent les liens entre les personnes et la famille sont mises en place et contrôlées. C'est le développement le plus grave de tous.
    Le nouveau biofascisme, poussé très fort par les dirigeants de Big Tech, est une guerre contre les humains et les qualités qui nous rendent humains.

    Les masques empêchent les gens de se voir face à face et de profiter du contact humain, des sourires et des plaisanteries. Les masques limitent l'efficacité de la « technologie » humaine en nous empêchant de « lire » les autres et de repérer les signaux sociaux.

    L'interdiction de rassemblement nous empêche de former des alliances humaines contre ces intérêts monstrueux. Interdire aux gens de se rassembler empêche également l'émergence de nouvelles cultures, de nouveaux héros et de nouveaux modèles économiques. Nous sommes tous coincés avec les idées que nous avions en mars 2020.

    Forcer les enfants à se dissocier et à porter des masques à l'école garantit une génération d'Américains qui ne savent pas comment former des alliances humaines et qui ne font pas confiance à leurs propres instincts humains. Ce sont des techniques d'entraînement contre-révolutionnaires.

    En transférant l'ensemble de l'apprentissage vers des plates-formes d'enseignement à distance - déjà préparées - on s'assure que les enfants ne savent pas comment se comporter dans l'espace interpersonnel, un espace non médiatisé par la technologie.

    De nombreuses politiques Covid-19 semblent conçues pour que les gens n'aient plus d'espace ou de culture « analogique » - aucun moyen de se réunir dans une pièce, de se toucher amicalement ou de se lier...

    Cette fois, il ne s'agit pas seulement d'une guerre contre la liberté. Cette fois, nous avons affaire à une guerre contre les êtres humains et contre tout ce qui fait de nous des êtres humains. »
    Ne nous y trompons pas. Sous leurs airs débonnaires de politiciens suisses, Alain Berset et le Conseil fédéral réalisent un véritable coup d'État en imposant un agenda mondialisé et en y soumettant la population sous des prétextes sanitaires fallacieux. Bradant les fondements de notre état de droit et de notre démocratie semi-directe au passage pour une épidémie équivalente à une grippe sévère.

    Jusqu'où iront-ils et quels obstacles trouveront-ils sur leur chemin ?

    C'est difficile à prévoir tant la docilité du citoyen moyen (helvétique comme ailleurs) est abyssale. À semer la désolation avec une telle brutalité et un tel arbitraire (les restaurants ne sont pas plus dangereux que d'autres lieux que dans des études d'une faiblesse méthodologique crasse !) il est toutefois incontournable que la façade du putsch craquelle du fait de la maltraitance extrême exercée sur les populations, et les poussant inévitablement au désespoir.

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  24. Pour rappel, voici un résumé sans langue de bois de M. Tortola au sujet des putritudes sans vergogne que nos gouvernements putschistes nous infligent en continu, au mépris de tout bon sens et de toute vraie science pour notre perte.

    Ah oui, dans son refus de mettre fin à la torture délibérée qu'il inflige aux restaurateurs, M. Berset a affirmé qu'il fallait attendre quatre semaines de plus et qu'aucune autre option ne serait défendable. Faut-il lui rappeler que le premier confinement était présenté comme un effort exceptionnel à faire pendant seulement quelques semaines (« pour tasser la courbe » alors que la courbe n'a été en réalité tassée que dans des pays n'ayant pas confiné !).
    Stop dictature sanitaire


    Commentaire : À ceux qui n'écoutent pas vraiment ou pensent avoir tout compris de la supposée gravité de la situation, Jean Castex a déclaré lors de son dernier discours, jeudi 18 mars 2021, que même si la France avait 12 000 lits de réanimation, il faudrait quand même mettre en place toutes ces mesures « dites sanitaires ». Aveu implacable d'hypocrisie, de mensonge, de mépris qui présage de l'aube d'un fascisme déguisé en crise de santé publique et mondiale...


    Lui rappeler aussi (mais il n'est pas sourd, l'hypothèse forte est qu'il ne veut pas le savoir) que des pays ou régions qui n'ont pas confiné, pas fermé les restaurants, pas imposé un masque qui ne sert à rien ? Je vous l'ai dit : il n'est pas intéressé à le savoir.
    Et il faudrait les croire ?

    Qu'est-ce qui est vrai dans la parole gouvernementale que nous subissons depuis des mois ?

    Le taux d'incidence est un FAUX qui n'est pas caché par le gouvernement.

    D'une part parce qu'il est calculé par rapport à des positifs et non des malades. En effet quand le réseau sentinelle (1) indique 10 malades pour 100 000 habitants le gouvernement est capable d'annoncer 200 positifs pour 100 000 habitants. D'autre part le PCR génère d'autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d'amplification est important... Puis, plus on teste de personnes et évidemment plus on trouve de positifs. Enfin parce que le PCR ne renseigne ni sur la charge virale, ni sur le fait qu'il a détecté le virus ou des traces de virus, ni si la personne est contagieuse ou pas et ni si une personne asymptomatique sera malade ou pas.

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Le nombre de personnes hospitalisées est un FAUX.

    Parce qu'une personne ayant un rendez-vous programmé à l'hôpital pour se faire enlever un ongle incarné, puis testée (parfois de force par chantage) positive, alors même qu'elle est 100 % asymptomatique, sera comptabilisée dans les hospitalisations pour Covid de la journée ! Cette donnée n'est pas cachée par les autorités qui reconnaissent être dans l'incapacité de différencier les vraies et les fausses hospitalisations. Cette tricherie est ainsi assumée dans un document officiel du gouvernement (2).

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Le pourcentage de personnes en réanimation est un FAUX.

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  25. Cette information est fournie sur le site du gouvernement. Pour la simple raison que le gouvernement nomme « nombre de personnes en réanimation » non pas les personnes en réa mais la somme des personnes en réa + soin intensif + surveillance continue (3). Soit environ 19 000 lits disponibles en France et non 5 000 lits. Au 6 mars, 3 689 patients sont officiellement en (fausse) réanimation selon le gouvernement et il affiche 72,9 % de taux d'occupation de (fausse) réanimation. En réalité ce n'est pas 3 689 patients en réanimation mais 3 689 patients en soin critique. De fait le taux d'occupation réel de patients en soin critique au 6 mars (seule donnée connue) est donc de 20 % (3 689 / 19 300 lits de soin critique en France). Et oui, nous sommes à demi confinés, privés de liberté, obligés de porter une muselière, pour un taux d'occupation de 20 % des lits de soin critique pour cause officielle de Covid !

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Le nombre de décès pour Covid est un FAUX.

    Sont comptabilisés comme le demande officiellement l'OMS (4), les personnes décédées qui sont ou étaient positives au Covid, quand bien même ils n'étaient pas malades ou pas décédés du Covid. Toujours selon l'OMS une personne décédée d'un cancer en phase terminale et pour laquelle il n'y aurait qu'un soupçon de Covid, DOIT être comptabilisée comme décédée du Covid. D'autre part, comment Santé Publique France fait pour comptabiliser 87 246 décès alors qu'il n'a reçu que 37 680 certificats de décès ?

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Les confinements qui seraient efficaces ?

    Jamais, je dis bien JAMAIS dans l'histoire du monde un confinement n'a permis de contrôler une épidémie dès lors qu'un virus circulait déjà dans la zone à contrôler. Il suffisait d'un seul individu pour tout foutre en l'air ! Jamais dans l'histoire du monde on a placé en quarantaine dans un même lieu les personnes saines et les personnes contaminées. L'usage voulait que l'on ne confine que les malades, pas les bien-portants. À noter que les pays qui ont confiné ont plutôt les pires résultats en termes de mortalité. Les études publiées avant 2020 ne font pas apparaître la moindre efficacité de la mesure. Et soudain au 21e siècle, par un miracle, les confinements deviendraient efficaces alors même que nous vivons désormais dans un monde global dans lequel il n'y a plus la moindre autosuffisance ! La présence de variants Sud-Africains à Nice n'est-il pas une preuve de l'inefficacité totale des confinements ?

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Les masques qui seraient efficaces pour prévenir les contaminations ?

    Jamais dans l'histoire du monde les masques ont permis de contrôler une épidémie. Avant 2020, aucune étude n'a pu prouver l'efficacité de la mesure. Avant 2020, comme pour un confinement, la moindre erreur dans le port du masque annihile totalement son efficacité et les études suggèrent que les groupes masqués seraient plus contaminés que les autres comme l'évoque l'OMS (5). Avant 2020, nous savions que les masques avaient pour objet de bloquer les bactéries mais pas les virus. Et avec le « succès » tout relatif que nous connaissons au regard des millions d'infections nosocomiales dans les hôpitaux chaque année...

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  26. Le seul « masque » efficace est nos défenses immunitaires et le gouvernement a mis en œuvre une politique ne pouvant que conduire à leur amenuisement. Ici encore, en 2020-2021, il n'est pas possible de montrer l'efficacité du port du masque en comparant avec les pays qui n'ont pas rendu le masque obligatoire. Enfin c'est un virus aéroporté qui est expectoré par notre système respiratoire. De fait, comment imaginer que des personnes asymptomatiques pourraient être contagieuses comme cela a été notamment prouvé par une étude chinoise sur des millions de personnes suivies. Sans compter que les modes de transmission sont multiples, par gouttelettes, microgouttelettes aéroportées qui peuvent rester des heures en suspension et bien sûr par contact d'objets contaminés. Rappelons que filtrer un virus avec un masque est de même nature que de ramasser du sable fin avec une épuisette ayant des trous de 3 cm !

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Les masques seraient inoffensifs ?

    Comment pourrait-on imaginer que le port 8 à 12 heures par jour d'un dispositif perturbant les échanges gazeux serait inoffensif ? Comment peut-on croire que ce dispositif dont les humains ne sont pas pourvus à la naissance ne pourrait pas entraîner de contre-indications ? Baisse de l'oxygénation, augmentation du rythme cardiaque, fatigue respiratoire pour compenser les effets du masque, augmentation du gaz carbonique ne serait que fakenews ?

    Si ces effets n'existaient pas, ils seraient la preuve de l'inefficacité du masque dont l'objet est de filtrer. Plus le masque est efficace et plus il est dangereux. Et si nous voulions nous protéger de TOUS les virus il faudrait un masque 100 % étanche ! Et passer ses journées à respirer les composés chimiques volatiles des masques ne présenterait aussi aucun danger ? Sans compter que le masque est une pouponnière à virus et bactéries. Que fait-on de toutes les recommandations de l'OMS qui souligne les différentes contre-indications et dangerosité du port du masque dans une population générale ? Que fait-on de l'étude allemande sur des milliers d'enfants qui soulignent les effets secondaires ? Sans compter les effets délétères sur la communication et sur les apprentissages. Et bien sûr les effets catastrophiques sur la relation à autrui.

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Les vaccins Anti-Covid seraient efficaces contre le coronavirus ?

    Les coronavirus mutent par nature. Nous savons tous qu'il faut un nouveau vaccin contre la grippe tous les ans et que son efficacité est de moins de 50 % et qu'il est d'autant moins efficace que nos défenses immunitaires sont défaillantes. Et les vaccins Covid seraient « par miracle » efficaces contre les mutants ? Un vaccin n'injecte pas des anticorps mais provoque une réponse immunitaire. Comment les personnes à risque pourraient être protégées par un vaccin dès lors que les personnes à risque sont « immuno-défaillantes » ? Comment peut-on parler d'efficacité dès lors que rien ne prouve que ces vaccins bloquent les contaminations et la contagion ? Comment peut-on aussi parler d'efficacité dès lors que le risque d'anticorps facilitant est d'autant plus important que les personnes sont vaccinées contre la souche du mois de mars ? De fait les personnes vaccinées pourraient avoir des anticorps facilitants et feraient des formes beaucoup plus graves de la maladie que si elles n'avaient pas été vaccinées.

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  27. De plus aucune étude ne prouve que les vaccins anti-Covid sont ou seraient efficaces pour diminuer la mortalité de personnes en fin de vie (cible ultra majoritaire du Covid) et d'autant plus versus des protocoles de protection ciblés uniquement sur les personnes à risque ou de renforcement du système immunitaire.

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Les vaccins seraient sans danger ?

    Comment les autorités de santé pourraient être certaines que les vaccins seraient sans danger alors que les personnes vaccinées sont des cobayes d'une phase III ? Comment peut-on dire que les milliards injectés (offerts à l'industrie) seraient de nature à comprimer le temps ? Une phase III dure au moins plusieurs années avant une commercialisation d'un vaccin. Comment peut-on vouloir vacciner des milliards de personnes avec une technologie expérimentale à ARN messager pratiquée par le passé uniquement sur des personnes avec un cancer et en fin de vie et JAMAIS déployée à grande échelle ? Comment peut-on surveiller l'ampleur des effets secondaires dès lors que les autorités de santé ont décidé de ne surveiller QUE les effets secondaires qui n'étaient pas répertoriés dans les études de laboratoires publiées par le fabricant (6) ? Comment les autorités de santé peuvent affirmer l'innocuité des vaccins sur les seules données et affirmations fournies par les laboratoires pharmaceutiques ?

    D'autant plus lorsque que l'on sait que Pfizer a préféré négocier 2,3 milliards d'amende en 2009 pour publicité mensongère et corruption massive de médecins que de prendre le risque d'un procès. Comment peut-on ignorer la dangerosité induite par la vaccination qui pourrait, en bloquant les virus proches de la souche du mois de mars, favoriser l'apparition de mutants plus résistants ? Raison pour laquelle on ne vaccine JAMAIS une population pendant une épidémie !

    Comment peut-on ignorer la dangerosité des anticorps facilitant ? Comment peut-on espérer des études objectives dès lors que les laboratoires bénéficient d'un cadeau pour lequel c'est l'État qui indemniserait les victimes éventuelles et non le laboratoire ? L'État n'a pas vraiment intérêt à étudier les effets secondaires. Comment peut-on espérer des données objectives dès lors que la pensée unique affirme que nous n'en sortirons que par la vaccination qui est de fait l'UNIQUE voie mais aussi que tous les traitements possibles, HCQ ou Ivermectine, pour ne citer qu'eux, sont balayés ainsi que des produits préventifs comme la vitamine D ou le Zinc ? Qui pourrait imaginer, alors que la décision de vacciner la population mondiale a été prise avant même la sortie de vaccins et avec le concours de la fondation Bill Gates, que l'on puisse faire marche arrière ?

    Si d'aventure, ce qui semble le cas notamment en Israël, la mortalité augmentait du fait de la vaccination, les variants (facilités par la vaccination ?) seraient obligatoirement désignés comme les coupables et certainement pas la vaccination elle-même et d'autant plus que toutes les personnes impliquées dans cette promotion macabre pourraient être pénalement poursuivies.

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Les vaccins auraient un rapport bénéfice risque positif pour l'ensemble de la population générale ?

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  28. Le gouvernement communique-t-il sur le fait que seules 7 personnes en bonne santé de moins de 30 ans seraient mortes du Covid en France ? Le gouvernement communique-t-il sur le fait que moins de 2 000 personnes, a priori en bonne santé, de moins de 70 ans seraient décédées du Covid ? Comment un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de décès de la maladie est statistiquement nul ? Savez-vous que si vous avez moins de 30 ans, vous avez 2 fois plus de risque de mourir frappé par la foudre que du Covid ? Savez-vous que Pfizer affirme que sa vaccigénie permettrait aux personnes qui ne sont pas à risque de ne pas faire de formes graves de Covid alors même que les personnes en bonne santé ne font PAS de formes graves !?

    Comment un rapport bénéfice / risque serait positif pour les personnes en bonne santé alors même que le risque de faire une forme grave est quasi nul, le risque de décès statistiquement nul tandis que le vaccin pourrait provoquer des anticorps facilitants et des formes graves chez les personnes en bonne santé ? Comment un rapport bénéfice / risque collectif pourrait être favorable dès lors que plus l'on vaccine, plus le risque d'apparition de variants plus résistants augmenterait ? Comment un rapport bénéfice / risque collectif pourrait être favorable dès lors qu'aucune étude ne prouve que le vaccin serait de nature à diminuer la contagion et donc protéger les personnes à risque ? Comment un rapport bénéfice / risque pourrait être favorable dès lors que la protéine spike a des ressemblances avec la syncytine et qu'il pourrait provoquer infertilité et fausses couches chez des populations jeunes en âge de procréer (raison pour laquelle les femmes enceintes ou sans contraception ont été totalement écartées des protocoles) ?

    Comment un rapport bénéfice / risque pourrait être favorable dès lors que celui-ci n'a pas été étudié et d'autant plus que le coronavirus mute par nature et que plus il y a de mutations et plus le vaccin sera inefficace et à renouveler ?

    Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Il faudra vacciner 70 % de la population pour retrouver ses libertés ?

    Que dites-vous aux personnes âgées vaccinées en Ehpad qui, malgré leur vaccin, sont toujours prisonnières et à qui l'on dit que même vaccinées elles peuvent contaminer les non vaccinés ! Que dites-vous aux millions d'israéliens vaccinés qui doivent continuer à respecter les gestes barrières et porter le masque malgré leur vaccination ? Que pensez-vous d'une liberté retrouvée qui vous obligera à présenter votre certificat de vaccination pour accéder à des activités de la vie courante comme aller au supermarché ? Savez-vous que votre vaccination ne sera valable que quelques mois et que non seulement vous devrez être vaccinés mais vaccinés contre les derniers variants pour bénéficier du sésame ? Vous avez déjà la preuve que votre vaccination ne redonne strictement aucune liberté à l'heure actuelle, qu'elle ne vous empêche pas de tomber malade, et vous croyez que si vos voisins seront vaccinés vous la retrouverez ? Savez-vous qu'il est mathématiquement IMPOSSIBLE que 70 % de la population soit immunisée quand bien même le vaccin serait efficace à 90 % car il faudrait vacciner TOUS les français qui n'ont pas de contre-indication y compris les nouveau-nés, ce qui est IMPOSSIBLE donc. Il n'y aura de fait JAMAIS 70 % de la population immunisée permettant officiellement d'éradiquer un virus qui mute tout le temps.

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  29. Et il faudrait les croire pour ceci et pour le reste ?

    Et vous, vous les croyez ?
    Merci.

    Alain Tortosa,
    Le 10 mars de l'an II de la dictature sanitaire

    Auteur de 7 milliards d'esclaves, et demain ? : Vers un capitalisme de l'humain
    Notes

    (1) Réseau Sentinelle https://www.sentiweb.fr/document/5224

    (2) Parcours hospitalier des patients atteints de la Covid-19 lors de la première vague de l'épidémie https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2020-10/DD67.pdf

    (3) https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees

    (4) https://www.who.int/classifications/icd/Guidelines_Cause_of_Death_COVID-19-20200423_FR.pdf

    (5) OMS - Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

    (6) « L'objectif du suivi de pharmacovigilance est de détecter des effets indésirables nouveaux et/ou graves non identifiés dans les essais cliniques. » ANSM Santé

    https://fr.sott.net/article/36762-L-ere-du-Covid-19-Sommes-nous-2-heures-moins-le-quart-avant-le-fascisme

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  30. La santé, compétence européenne ou ingérence ?


    le 22/03/2021 à 11:02 - Mise à jour à 11:04


    La plupart des pays ont souffert d'un phénomène de mimétisme dans leurs décisions sanitaires.

    Les pays de l’Union européenne sont souverains et responsables des mesures appliquées pour gérer la crise sanitaire. Mais dans certains secteurs, les décisions prises au niveau Européen paraissent avoir plus de poids. Finalement, les pays sont-ils donc vraiment souverains ? L’impact des décisions européennes dans plusieurs aspects de la gestion de la crise du coronavirus peut donner l’impression contraire.

    Vaccins, Remdesivir, passeport...L’UE n’a pas cessé d’intervenir dans cette crise

    Avec le déclenchement de la pandémie, la France a découvert qu’elle n'était pas si souveraine en matière de santé. Lors du débat autour du remdesivir, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) s’est par exemple conformée aux recommandations de l’EMA, l'Agence européenne des médicaments, sans demander une nouvelle analyse complète des données et des éléments de toxicité de ce médicament. Au niveau des vaccins , l’EMA, basée à Amsterdam, contrôle les autorisations de mise sur le marché des vaccins pour tous les pays membres du consortium (Covid-ETF, pour EMA Task Force) créé pour l’occasion. Malgré les craintes de plusieurs pays européens, l'UE a déclaré, jeudi 18 mars, qu'elle était toujours convaincue des avantages du vaccin Covid-19 d'AstraZeneca à la suite d'une enquête sur les rapports de troubles sanguins qui ont incité plus d'une douzaine de pays à suspendre son utilisation.

    Concernant le passeport de santé, ignorant une très forte opposition des Français, le passeport vert sera appliqué sur l’ensemble du territoire européen.
    Mais existe-t-il un organisme décisionnel en matière de santé au niveau européen ? Alors que le 27 janvier dernier, le Conseil de l'Europe recommandait que les vaccinations ne soient pas obligatoires, le projet de «passeports vaccinaux» s’est finalement imposé. Comment cela a-t-il été décidé?

    Une vraie « Autorité sanitaire européenne » aurait-elle un intérêt ?

    Le Conseil de l'Europe est une "vigie" des droits de l'homme mais ses recommandations ne sont pas contraignantes. Jusqu’en 2020, l’Europe n’avait pas de politique sanitaire, la santé relevait de la compétence stricte des États. Comme l’explique Anne Sénéquier, médecin et chercheuse, co-directrice de l’Observatoire de la santé mondiale à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), le traité sur le fonctionnement de l’UE (TFUE) lui donne une base pour intervenir dans le domaine de la santé. Pour l'instant, l’Union européenne n'a pas d’organisme dédié à la santé, et la commission se serait limitée à défendre des intérêts économiques (comme la relance du tourisme à l’aide d’un passeport vert ou la production de vaccins sur le sol européen). Pourtant, les décisions européennes en matière de santé devraient aller au delà des intérêts économiques, prenant en compte, outre les produits médicaux, l’information, les bases de données de santé, le personnel de santé (pour faciliter la mobilité des doctorants et chercheurs), la prestation de services (travailler à la décentralisation de la pratique médicale), le budget (en prévoyant un financement commun et innovant) et surtout, une gouvernance européenne. Seulement une telle autorité sanitaire permettrait la mutualisation des points forts de chacun des États européens tout en rendant le coût de santé plus abordable.

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  31. “L’effet domino” : tout le monde copie son voisin

    Italie, Espagne, Allemagne, Suède, tous ces pays font partie de l’Union européenne, et pourtant, tous ont géré la crise et les différentes vagues de façons différentes, voire très différentes. Malgré cela, la plupart des pays ont souffert d'un phénomène de mimétisme dans leurs décisions sanitaires. Le mimétisme européen, explique Jean-Marc Four, se caractérise par une force irrationnelle d’aversion au risque.

    Le Brexit et la gestion de la crise sanitaire au Royaume Uni, un modèle à suivre ?

    Le Royaume-Uni fait la course en tête, aux côtés d’Israël, et bat des records de vaccination. Mi-mars, 11 millions de Britanniques étaient vaccinés avec le sérum d’Oxford, soit près de la moitié des personnes vaccinées depuis décembre dans le pays. Les Britanniques font preuve d'originalité et se montrent confiants dans leur vaccin. Outre la vaccination de masse, le confinement de plus deux mois pourrait expliquer une chute libre au mois de mars de leur courbe des contaminations. Leur gestion de la crise, exempte de l'ingérence européenne, pourrait expliquer comment le pays semble échapper à une troisième vague. Le modèle du Brexit, et la gestion sanitaire associée, va-t-il discréditer le modèle fédéraliste européen ?

    https://www.francesoir.fr/politique-france/la-sante-competence-europeenne-ou-ingerence

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  32. Vaccin AstraZeneca : deux nouveaux décès en Norvège, la défiance augmente en Europe


    Publié le 22/03/2021 à 09:28 - Mise à jour à 09:30


    Vaccin AstraZeneca : deux nouveaux décès rapportés par l’Agence norvégienne– 55% des français le jugent peu sûr et 61 % des allemands le jugent « dangereux »

    Dans un communiqué de presse de ce 21 mars 2021, l’Agence norvégienne des médicaments fait état de deux nouveaux décès.

    « Cinq patients présentant une combinaison de thrombose, d'hémorragie et de faible numération plaquettaire admis à l'OUS après une vaccination avec le vaccin AstraZeneca ont déjà été rapportés. Un est décédé plus tôt cette semaine, maintenant deux autres décès ont été signalés. »

    L'Agence norvégienne des médicaments ne peut exclure que ces cas puissent être liés au vaccin AstraZeneca. Le comité de sécurité de l'EMA (PRAC) a décidé que de tels cas seront désormais examinés dans le résumé des caractéristiques du produit et la notice.

    Les cas rares sont examinés de manière spécifique

    L'Agence norvégienne des médicaments et l'Agence européenne des médicaments (EMA) continuent d'examiner les rapports d'effets indésirables similaires en Europe pour voir si ces cas peuvent être liés à la vaccination avec le vaccin AstraZeneca. L'Agence norvégienne des médicaments signale tous les cas en Norvège à l'Agence européenne des médicaments (EMA) et à l'OMS.

    Le tableau inhabituel de la maladie avec des caillots sanguins, des saignements et une faible numération plaquettaire n'a pas été observé après la vaccination avec les autres vaccins coronariens utilisés en Norvège. L'Agence norvégienne des médicaments, l'Institut national de la santé publique et l'hôpital universitaire d'Oslo collaborent actuellement à des enquêtes approfondies sur ces cas.

    En France – situation de plus en plus confuse

    Rappelons que ce vaccin avait été temporairement suspendu en France suite à la décision d’une dizaine d’autres pays de suspendre la vaccination le 15 mars 2021 avant d’être confirmé par l’Agence Européenne du médicament.

    La vaccination a donc repris en France avec le Premier ministre Castex qui se faisait vacciner devant les caméras avec le vaccin AstraZeneca vendredi 20 mars afin d’apporter un soutien à cette thérapie.

    Cependant la Haute Autorité de Santé a décidé vendredi de réserver le vaccin AstraZeneca aux plus de 55 ans. Cela risque de faire hésiter les candidats à la vaccination avec 61 % des personnes sondées par YouGov qui le jugent peu sûr contre 23 % qui le jugent sûr. En Italie et en Espagne 54 % et 59 % le jugent sûr, alors qu’en Allemagne c’est même 55 % des sondés qui le jugent dangereux.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccin-astrazeneca-deux-nouveaux-deces-rapportes-par-lagence-norvegienne-55-des

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  33. Réanimation : des chiffres et des ombres


    le 20/03/2021 à 10:38 - Mise à jour à 10:45


    Principal indicateur sur lequel s'appuie le gouvernement pour justifier ses décisions sanitaires, le nombre de personnes en réanimation pour cause de covid reste empreint d'une grande opacité. Explications.

    Différences entre réanimation et soins critiques

    Le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour cause de covid qui nous est indiqué chaque jour par les chaînes d'info en continu et par le gouvernement est issu de Santé Publique France, site recensant toutes les statistiques officielles concernant la pandémie en France. Selon ces statistiques, le nombre de personnes en réanimation était de 4246 au 18 mars 2021.

    Cependant, lorsque l'on se rend sur Santé Publique France, on constate que ce chiffre correspond à la somme des personnes en « réanimation », en « soins intensifs » et en « surveillance continue ». Ces trois services de soins critiques sont différents et ne correspondent pas aux mêmes types de lits hospitaliers. Par exemple, une personne sous oxygénothérapie n'est ni intubée, ni sédatée, et n'occupe pas un lit de réanimation mais un lit de soins intensifs. Elle sera néanmoins comptabilisée comme étant en réanimation alors que ce n'est pas le cas. Il en est de même pour une personne gardée en observation sans assistance respiratoire : elle occupera un lit de surveillance continue mais sera recensée comme étant en réanimation.

    Pour résumer, ce chiffre de 4246 est surévalué puisqu'il comptabilise les patients en soins intensifs et en surveillance continue qui eux ne sont pas en réanimation. Cette confusion sémantique serait sans importance si elle s'appliquait également au nombre de lits de réanimation. Sauf que ce n'est pas le cas : les lits de réanimation n'englobent pas les lits de soins intensifs et de surveillance continue. Il existe environ 5 800 lits de réanimation et 14 000 lits de soins intensifs et de surveillance continue. Les taux d'occupation des services de réanimation sont donc faussés puisque les 4246 patients ne devraient pas être rapportés aux 5 800 lits de réanimation, mais à l'ensemble des lits de soins critiques, soit environ 20 000 lits.

    La répartition entre réanimation, soins intensifs et surveillance continue est inconnue

    La répartition exacte des patients entre les trois services de soins critiques reste mystérieuse ce qui empêche de connaître le véritable nombre de personnes en réanimation. Il est également difficile de savoir à quel niveau se réalise la fusion des effectifs. Est-ce Santé Publique France qui décide sciemment de ne pas donner cette information ou bien les hôpitaux qui livrent un chiffre global non détaillé ? La question reste entière. Un autre chiffre qu'il serait judicieux de connaître est le nombre de « personnes en réanimation et en soins intensifs hors-covid » afin d'évaluer la réelle saturation des hôpitaux. Mais là encore, aucune communication gouvernementale sur ce paramètre qui pourrait, s'il était élevé, être d'une grande aide pédagogique pour dissiper le scepticisme d'une partie de la population.

    Un nombre de lits de réanimation minoré

    L'hôpital public compte 5 800 lits de réanimation en capacité initiale. Cependant, il a la possibilité de transformer certains de ses lits de soins intensifs et de surveillance continue en lits de réanimation (il le fait déjà actuellement). Et c'est là qu'un nouveau problème intervient : les taux d'occupation en réanimation ne prennent pas en compte cette augmentation. Si par exemple 2 000 lits de réanimation étaient ouverts, le taux d'occupation réel devrait être calculé par rapport à la nouvelle quantité totale de lits, soit 7 800. Or, depuis le début de la crise, les organismes officiels calculent cet indicateur par rapport à la capacité initiale de 5 800 lits ce qui induit inévitablement un gonflement de cette statistique.

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  34. Les cliniques privées inégalement sollicitées

    Selon Lamine Gharbi, le président de la Fédération de l'hospitalisation privée, environ 2 000 lits de réanimation (en plus des 5800 du secteur public) sont mis à disposition par les établissements privés pour prendre en charge les patients covid depuis novembre 2020. A l'heure actuelle, une partie des cas graves nécessitant une hospitalisation en réanimation a déjà été redirigée vers ces établissements. Mais il existe des inégalités territoriales : dans certaines régions, le privé prend en charge 20 à 30 % des patients tandis que dans d'autres seulement 7 à 8 %. Ces disparités géographiques seraient dues à la frilosité qu'ont certaines ARS (agences régionales de santé) à faire appel au secteur privé.

    - voir graphique sur site -
    occupation réanimation
    Source : Gouvernement.fr

    Bilan : les chiffres de réanimation peuvent être trompeurs

    Pour le grand public, 4246 patients covid sont actuellement en réanimation en France ce qui représenterait un taux d'occupation des lits de réanimation d'environ 73% juste pour le covid. La réalité est pourtant différente. Parmi ces 4246 personnes, certaines ne sont tout simplement pas en réanimation mais bien en soins intensifs ou en surveillance continue ce qui n'est pas la même chose. Le nombre de patients covid occupant un lit de réanimation est donc inférieur à 4246. Dans quelles proportions ? Seuls les hôpitaux ont accès à cette information. De la même façon, le taux d'occupation des lits de réanimation est en réalité plus faible que les 73% annoncés. En premier lieu parce qu'il prend en compte ce nombre de 4246 qui est surévalué, mais aussi parce qu'il sous-évalue le nombre total de lits de réanimation en excluant les lits temporaires et les lits du secteur privé qui sont pourtant sollicités.

    « Méthodologie de calcul alambiquée »

    Une « méthodologie de calcul alambiquée », c’est ainsi que le service « CheckNews » du quotidien Libération décrivait le décompte des patients en « réanimation » dans un article du 30 octobre 2020 : « les communications officielles utilisent le terme «patients en réanimation» pour désigner tous les patients atteints du Covid-19, placés en soins critiques. C'est-à-dire dans les services de réanimation à proprement parler, mais aussi en unités de soins intensifs (SI) ou en unités de surveillance continue (SC). (…) On connaît, chaque jour, le nombre de patients Covid en soins critiques (…). Mais pas la répartition. Et donc pas le nombre de patients Covid occupant des lits en réanimation.»

    Un des autres problèmes posés par cette méthode de calcul est qu’elle génère des aberrations statistiques comme des taux d’occupation en réanimation supérieurs à 100% (par exemple 120% dans les Hauts-de-France selon un article de FranceInfo du 17 mars dernier). Comment ? Imaginez un hôpital comptant dix lits en réanimation, dix lits en soins intensifs et dix de plus en surveillance continue. Imaginez 5 patients covid dans chacun de ces services, donc 15 patients en tout, et donc 5 patients pour 10 lits en réanimation réelle, soit un taux d’occupation de 50% dans ledit service. Avec la méthode de calcul des autorités sanitaires, on décompte 15 patients covid pour 10 lits, soit 150% d’occupation.

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  35. La saturation comme seul horizon ?

    « Si la situation le nécessite, 12.000 lits de réanimation pourront être disponibles » avait annoncé Olivier Véran le 27 aout 2020. On en est pourtant officiellement à 5800 sept mois plus tard, le Canard Enchainé avait d’ailleurs de son côté relevé dans un article du mois d’octobre (qui a refait surface récemment) qu’en Ile-de-France la capacité d’accueil en « soins critiques » était passé de 2500 à 1700 en six mois, soit une baisse de 30%. Quoiqu’il en soit on ne se privera pas de noter que comme le montre ce graphique publié par CNEWS les seuils de saturation ont été allègrement franchis en 2017, 2018 et 2019 sans que cela ne provoque de réponse sanitaire particulière.

    - voir graphique sur site -

    Pour ajouter encore à la confusion sur ces indicateurs pourtant brandis par l'exécutif pour justifier ses choix, certains médecins médiatiques ont relativisé la saturation, expliquant qu'elle pouvait être un effet pervers du fonctionnement de l'hôpital public (professeur Peyromaure sur CNews, voir ci-après), ou bien que la tension était réelle mais que la saturation n'était pas acquise (Dr Kierzek sur LCI, voir ci-après).

    Le tableau ainsi dressé devrait ajouter au désarroi des Français qui semblent de plus en plus réservés à l'égard des chiffres qu'on leur assène. Malgré la transparence revendiquée par l'exécutif, l'opinion publique apparaît en effet sujette à un certain scepticisme, adoptant le fameux "les chiffres sont comme les gens : si on les torture assez, on peut leur faire dire n'importe quoi".

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/reanimation-covid-les-chiffres-sont-ils-fiables

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  36. Un monde sous ivermectine, essai d’anticipation


    le 22/03/2021 à 09:57 - Mise à jour à 14:42
    Dr. Eric Ménat et Dr. Vincent Reliquet AIMSIB repris sur FranceSoir


    Dans un nouvel article paru sur le site de l’AIMSIB (Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante), les Docteurs Vincent Reliquet et Eric Menat nous présentent leur analyse sur la thérapie à base d’ivermectine contre la Covid-19. C’est un article complet qui vient après celui de Capital et les divers articles que l’on peut trouver sur le site de FranceSoir ou du Docteur Maudrux. Etant donné l’importance de ce traitement nous le reproduisons. Ce 21 mars nous reproduisions l’article de Capital pour saluer le fait qu’un média dit mainstream s’intéressait enfin à ce traitement.

    Au Japon, le Pr Omura, prix Nobel de médecine et qui a découvert l’ivermectine a fait une déclaration « urgeant les autorités à donner une recommandation d’usage pour ce traitement ». Ce professeur hors norme nous a répondu :

    « La problématique n’est pas nécessairement reliée à la science, et je ne suis pas en mesure d’accepter les demandes d’entrevues pour le moment, car je ne voudrais pas que ma position influence la décision au Japon. » Il a rajouté : « le Dr Yagisawa de notre groupe est responsable des communications concernant la situation actuelle au Japon. »

    L’AIMSIB ne vous propose pas d’essayer une nouvelle drogue à la mode, mais de vous projeter dans un monde parallèle. Face à la théorie inéluctablement vouée à l’échec du « tout-vaccin » qui nie par nature l’existence même des traitements préventifs et curatifs, imaginons quelques secondes que l’ANSM attribue en fin de mois une RTU( 1) à l’ivermectine en traitement de la Covid-19. Que se passerait-il alors en France ? Quelques éléments de réponse dans cet article rédigé par les Docteurs Vincent Reliquet (2) et Éric Ménat (3), propre à pouvoir nous apporter un retour incroyablement rapide vers la vie normale. Bonne lecture.

    Introduction

    Notre propos consiste à imaginer ce que deviendrait la France (et le monde) si l’ANSM attribuait en cette fin de mois une RTU à l’Ivermectine. Rêvons plus fort : Et si dans un bel ensemble la HAS, la DGS voire l’Académie de Médecine édictaient toutes la même recommandation, traiter précocement tous les malades fragiles avec cette molécule sans danger…

    Naturellement rien ne doit changer quant à une supplémentation systématique en vitamine D3 de toute la population en fonction de sa non-exposition aux UV du soleil.

    On sortirait alors immédiatement du concept de solution vaccinale seule salvatrice, ce mythe infernal ayant cours partout à ce jour. Au lieu d’attendre qu’on arrive « enfin » à vacciner 40 millions de Français, de s’empêtrer dans un passeport sanitaire qui ne changera ni la vie de la population ni l’évolution de l’épidémie, au lieu de rester répétitivement cloitrés des mois encore en attendant que ces décisions politiques puissent un jour être efficaces,

    « nous pourrions nous libérer quasi-immédiatement de cette somme de brimades invraisemblables et retrouver le cours habituel de nos vies. »

    Notre raisonnement part d’un constat simplissime : Cette maladie peut aussi se prendre en charge… par la thérapeutique. Désolés si nos propos sont susceptibles d’affoler les vaccino-obsédés et les milieux financiers internationaux, car en plus le médicament que nous proposons ne coûte pas grand-chose.

    Oublier le principe de la vaccination salvatrice

    On a bien compris le concept du « tout vaccin anti-Covid » actuel, il s’agit de vacciner préventivement la population la plus large possible (patients très fragiles, enfants et femmes enceintes inclus) avec un « produit » dont le rapport bénéfice/risque est très loin d’être bien évalué et dont on peut penser que la supposée efficacité ne peut guère durer plus de quelques semaines vue la rapidité d’apparition des variants résistants.

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  37. Cette pseudo-solution nécessitera d’imposer des rappels vaccinaux semestriels à tous (4), le graal absolu pour leurs fabricants, mais est-ce une solution humainement raisonnable et scientifiquement valide ?

    En effet, tous les vaccins actuellement mis sur le marché visent à créer des anticorps dirigés contre une composante particulière du Sars-CoV-2, la protéine Spike, présente sur le virus apparu fin 2019 à Wuhan. Or, il n’échappe à personne que 18 mois plus tard le SARS-CoV-2 initial a déjà considérablement muté en une multitude de variants différents. Pour ceux qui en doutent, nous vous conseillons chaudement le visionnage en temps réel du site nextstrain.org dont voici une des illustrations les plus éclairantes :

    - voir graphique & carte sur site -

    Figure 1 : Évolution phylogénétique de SARS-CoV-2 réalisée à partir de 3847 analyses génomiques proposées à l’étude (à g.) et leurs distributions proportionnelles dans le monde à partir de décembre 2019-janvier 2021 (à d.). Les clades représentent des génotypes, ou sous-groupes, ici de 19A à 20J. Tous ces virus sont d’inégales agressivités comme de contagiosités. Certains disparaitront rapidement, certains formeront de nouveaux clades, jusqu’à extinction possible de l’ensemble des CoV-2 si aucune pression de sélection (certains vaccins, par exemple) ne les aide à devenir plus résistants à l’avenir.

    Tous les virologues objectifs nous expliquent qu’il suffit de contraindre un coronavirus par la vaccination pour que celui-ci mute encore plus inexorablement et finisse par être résistant au vaccin. Que les sceptiques se penchent sur la mésaventure des pays qui ont testé le vaccin AstraZeneca pendant leurs phases préindustrielles : Ils ont tous, USA (Ohio), Brésil (Manaus), Afrique du Sud, Angleterre et Japon vu apparaître un variant plus ou moins résistant à la vaccination (5)(6).

    Bien peu de journalistes viennent nous informer de l’apparition inexorable de variants particulièrement inquiétants, tel que le B.1.525 encore appelé un temps « le virus écossais » (7) et qui pourrait présenter la particularité d’avoir tellement varié qu’aucun vaccin n’aurait plus la moindre efficacité antigénique contre sa protéine S mutée (8)… Et que penser du nouveau « variant breton » (9), tellement muté qu’il ne serait même pas reconnu par les tests RT-PCR actuels et qui aurait tué huit patients peut-être tous vaccinés anti-covid ?

    - voir graphique sur site -

    On rappelle enfin ce que Jacques Testart, un scientifique pourtant bienveillant vis-à-vis de cette technique, a écrit au sujet des dangers majeurs encourus par le fait de vacciner une énorme partie de la population contre ce coronavirus en pleine période épidémique :

    – « Alors l’argument responsabilisant « Si tu ne te fais pas vacciner, tu fais courir un risque aux autres » se retourne, en faisant de chaque vacciné un nouveau foyer potentiel ! Se vacciner, à coup sûr bénéfique pour soi, peut être irresponsable pour l’espèce…/… Le choix de ne pas se vacciner pourrait illustrer l’inversion de la responsabilité telle que définie par les injonctions officielles, au nom du souci des autres… » (10)

    L’exemple israélien nous le rappelle sans cesse, malgré les messages télévisuels de liesse épidémiologique souhaitant nous faire conclure à l’inverse de la réalité objective : (11)

    - voir graphique sur site -

    Figure 2: JHU, 02/03/2021

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  38. Au final, malgré une vaccination massive des populations les plus à risque, la mortalité générale en Israël ne se retrouve en rien améliorée par rapport aux pays qui ne vaccinent pas (Afrique du Sud) ou peu (Suède).

    Le pronostic de la maladie avant et après l’ivermectine

    Imaginez deux secondes : L’ANSM accepte une RTU pour la molécule dans les jours qui viennent. Cette « Recommandation Temporaire d’Utilisation » représenterait naturellement une forme de reconnaissance de la place de l’IVM dans la prise en charge de la Covid. Et TOUS les médecins traitants se trouveraient incités à l’utiliser chaque fois qu’apparaitrait un nouveau Covid symptomatique dans leurs consultations.

    L’ivermectine est efficace quel que soit le variant. Il n’y a plus à craindre une nouvelle épidémie liée à un nouveau variant puisque tous ces virus sont empêchés de prolifération cellulaire par la molécule.

    Et mieux encore : l’ivermectine ne favorise pas l’émergence de nouveaux variants. On peut donc espérer une meilleure maitrise de l’épidémie à moyen terme et donc sa disparition « naturelle » d’ici un an ce qui ne sera sûrement pas le cas si on continue à vacciner sans réserve comme on le fait actuellement.

    Fini le « rentrez chez vous, prenez un Doliprane et appelez le 15 quand vous ne pourrez plus respirer. » Ne croyez surtout pas que nous caricaturons la position du Ministère français de la Santé, voici ce que les nouveaux « cas » reçoivent toujours dans leurs boites mail cette semaine 11, un an après le début de cette maladie il n’est toujours pas expressément demandé aux médecins de traiter précocement leurs malades :

    - voir doc sur site -

    L’écrasante majorité des malades serait rapidement soulagée de leurs symptômes et empêchée d’évoluer vers des formes graves de la maladie. D’après toutes les études internationales parues sur ce sujet on peut penser que le nombre de personnes nécessitant une hospitalisation serait divisé au moins par trois. (12)

    Du coup, plus aucune surcharge hospitalière. Aucun besoin de déprogrammer des consultations ou des interventions, la pression exercée sur les soignants baisserait considérablement, la qualité globale des soins comme des pronostics augmenteraient significativement.

    Naturellement, puisque les chiffres de saturation des réanimations conditionnent les contraintes sanitaires imposées par le gouvernement, on pourrait rapidement supprimer à peu près toutes les interdictions et ineptes obligations : Réouverture de tous les lieux culturels, les bars et restaurants, suppression immédiate du port des masques…

    Un monde sous ivermectine, ce serait…

    Un monde sous ivermectine c’est donc la fin des masques, partout, pour tous et en tout lieu, peu importe les contaminations des uns ou des autres si toutes les catégories de population (enfants, femmes enceintes, vieillards, immunodéprimés, etc…) peuvent être traités avec une efficacité absolue et sans le moindre danger. (13)

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  39. On rappelle à dessein les propositions de la Coordination Santé Libre (CSL) concernant le TAP (Traitement Ambulatoire Précoce) qui a tant fait hurler les défenseurs de la vaccination et des contraintes sanitaires sans limite :

    - voir tableau sur site -

    Figure 3: Coordination Santé Libre, le TAP

    Un monde sous ivermectine c’est aussi la liberté la plus absolue d’aller et de venir, de visite et de réunion, y compris dans toutes les EHPAD et autres centres gériatriques de par le monde.

    Pour tous les patients à risques de présenter une forme grave comme certaines personnes en EHPAD on peut même envisager, d’après les études déjà réalisées (14) , un traitement préventif basé sur la prise hebdomadaire d’ivermectine puis, au fur et à mesure du recul de l’épidémie, évoluer vers une prise décadaire, bimensuelle puis l’arrêt de cette prévention puisque l’ivermectine marche parfaitement chez les personnes âgées contrairement à la vaccination qui est toujours moins efficiente chez les séniors et toute personne présentant une dépression immunitaire.

    Un monde sous ivermectine c’est enfin la réouverture immédiate de tous les lieux de réunion, théâtres, stades, cinémas, restaurants, cafés, boites de nuit, qu’importe puisque la molécule n’oublie personne.

    Dans un premier temps la pratique des tests de dépistage gratuits pourrait du coup être pérennisée si on encadre strictement la réalisation des RT-PCR à l’annonce du nombre de cycles, en cas de positivité de celle-ci.

    Comprendre les niveaux de preuve liés à l’utilisation de l’ivermectine

    Dès le 3 janvier 2021 l’AIMSIB avait publié un article complet relatant les résultats exceptionnels de cette vieille molécule antiparasitaire (15) puis une semaine plus tard l’association relayait le travail du Dr Gérard Maudrux (16), tout aussi favorable quant aux qualités sans faille de ce produit :


    L’ivermectine (IVM) est utilisée dans de nombreux pays contre la Covid-19 et parfois même officiellement reconnue comme faisant partie du traitement de cette maladie. Evidemment, ce n’est pas le cas en France bien que l’IVM soit considérée comme un des produits les plus dénués d’effets secondaires et doté d’un seuil toxique positionné à des années-lumière de la dose thérapeutique.

    L’interdiction systématique de toute thérapeutique anti-Covid, un an ininterrompu de corruption sanitaire

    1- Souvenez-vous de l’exécution sommaire portée à l’hydroxychloroquine en Juin 2020, sur fond de fraude scientifique aussi écœurante que grossière. (17)

    2- N’oublions surtout pas le sort qui a également été réservé aux travaux de recherche menés par l’Institut Pasteur de Lille, extraordinairement prometteurs autour d’une molécule ancienne, mais abandonnée depuis des lustres par les industriels, le clofoctol : L’administration sanitaire française a ruiné toute velléité de développement ultérieur du projet par ensevelissement de l’équipe sous des tonnes de tracasseries administratives inutiles . (18)

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  40. 3- On rappelle que le remdesivir, molécule absolument inefficace contre la Covid-19 et abominablement hépato-néphrotoxique, a été éjecté de tous les protocoles thérapeutiques en vigueur dans les services hospitaliers libres de toute influence "Yazdanpanesque", se retrouve à nouveau qualifiée par l’EMA (19) « pour un usage étendu d’ici l’été 2021 ». (20)

    4- L’ivermectine est démolie par son propre laboratoire, Merck™, mais il faut dire que celui-ci vient de signer un contrat très secret avec Johnson&Johnson™ pour une co-production de leurs vaccins anti-Covid. La revue « Prescrire », dont les relations avec la firme Merck™ sont de tout temps plus que troubles, a emboité le pas de la désinformation anti-ivermectine d’une manière absolument éhontée. (21)

    On pensait sensément avoir touché le fond avec ces quatre lamentables histoires de corruption sanitaire, mais en la matière le fond est comme l’espace, infini et insondable.

    5- Voici qu’on nous annonce aujourd’hui que le bamlavinimab des laboratoires Eli Lilly™, un anticorps monoclonal à usage hospitalier destiné à des formes non sévères de la Covid-19 (pourquoi hospitaliser ces patients alors ?), vient de recevoir une ATU (22) de l’ANSM. (23)

    Comme décrit dans la définition de l’ATU cette autorisation donnée au bamlavinimab scelle probablement le destin de l’ivermectine, traitement curatif authentique, qui par définition ne pourra donc plus se faire reconnaître une RTU dans le traitement de la Covid-19 puisque l’ANSM s’évertue encore à promouvoir des molécules sans le moindre intérêt.

    Peu importe que ce produit puisse générer de manière parfaitement assumée une foule de variants éventuellement abominablement pathogène.

    La molécule est distribuée par le laboratoire pharmaceutique Lilly™, dont une des directrices se trouve être l’épouse d’un député LREM pendant que son fils est conseiller technique à l’Élysée, sa fille est cheffe du pôle santé auprès du Premier Ministre Castex et son gendre occupe le poste de Directeur de l’ARS d’Ile -de-France. (24)

    Pour Xavier Bazin, journaliste scientifique absolument indépendant de toute influence des firmes pharmaceutiques, c’en est trop, il est temps de lancer la charge contre la corruption endémique qui ronge la crise du Covid depuis bientôt deux ans, sur ce thème (23) :

    Pour Xavier la messe est dite, mieux vaut du dangereux bamlavinimab à 1000 euros la dose, que de la salvatrice ivermectine à quelques centimes…

    Mais pire encore, vous devez savoir que si un médicament est reconnu pour le traitement préventif et curatif de la Covid-19, cela impliquerait automatiquement que toutes les AMM conditionnelles attribuées aux vaccins seraient retirées et renverraient les industriels à la fin de leurs périodes d’évaluation de phase III. Un manque à gagner énorme pour ceux qui commercialisent déjà leurs produits sans aucun risque financier à la clé.

    Et que dire de tous les experts et décideurs qui ont refusé l’utilisation du TAP, que ce soit le protocole du Pr Raoult ou de l’Ivermectine ? Si nous avions raison dans notre démonstration, alors cela voudrait dire que ces gens auraient la mort de dizaines de milliers de Français sur la conscience. Sans parler de la situation socio-économique désastreuse dans laquelle ils ont mis le pays par leurs choix de ne pas traiter et d’attendre le vaccin comme le messie !

    L’heure n’est absolument pas à la détente et à la recherche des solutions non vaccinales, mais plutôt à celle de la reprise en main de l’industrie sur les voix médicales discordantes françaises, comme le montre la rafale de convocations ordinales qui frappe les médecins français depuis quelques semaines. Les plus populaires sont réduits au silence médiatique forcé comme c’est le cas pour le Dr Gérard Maudrux, la publication de son blog hébergé par l’entreprise « Le Quotidien du Médecin » venant de se trouver brutalement interdite… (24)

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/un-monde-sous-ivermectine-essai-danticipation

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  41. SORTIE DE LA PANDÉMIE VERS L'ESCLAVAGE ?


    par LUDOVIC GRANGEON
    22/03/2021


    La crise de la Covid-19 aurait coûté 160 milliards d'euros en 2020.

    La dette de la France a franchi le mur du son. Officiellement à 2800 milliards en 2021, son montant réel est désormais abyssal entre 4000 et 5000 milliards d’euros. Mais surtout la sortie du Covid va inaugurer un curieux système de pouvoir entre finances, gouvernement et citoyens avec une addition qui en cache une autre, bien pire, plus salée, plus indigeste encore.

    Déjà en 2013, la Cour des Comptes avait rappelé un cumul des engagements avec "hors bilan" à 5 200 milliards, rappelant que la dette publique avait triplé en 8 ans seulement. Cette estimation de la dette publique est encore en dessous de la réalité 2021. Entre Dexia, le logement social, la SNCF, la dette FMI, et bien d'autres, l'ardoise supplémentaire avait été chiffrée à 3 300 milliards en sus de la dette officielle lors de la dernière élection présidentielle (cab Archer). Le hors bilan a atteint en 2019 4 300 milliards supplémentaires selon le Rapport de Loi de Finances du Sénat 2020 sur la dette publique alors qu'il n'était "que" de 1300 milliards en 2006. L'année dernière nous étions environ deux fois plus endettés que l'Allemagne. En réalité, près de 300% du PIB sont engagés et non 120% pourtant déjà énormes. Les informations de l'administration sont tellement brouillonnes que les Parlementaires craignent de découvrir encore d'autres trous financiers non maitrisés selon leur Rapporteur Spécial la Sénatrice Nathalie Goulet. (Rapport 140 21 nov 2019). Il est vrai que le ministre des finances, très cher Bruno, avait dû avouer dans une émission sur Canal Plus qu’il ne savait pas ce qu’était un hectare, ni multiplier 100 par 100. C’est gênant pour ce poste.

    Le gouvernement vient « généreusement » de dépenser 160 milliards, mais avec notre carnet de chèques et en signant à notre place. Alors que les absurdités se succèdent avec des confinements qui tournent au sketch hilarant ou au déni parisien, les autorités auraient pu embaucher temporairement en renfort et pour le même prix les personnes humiliées à mi salaire et cloitrées. Leur dignité aurait été préservée. Au moins cette mesure aurait contribué au PIB au lieu de l’alourdir. Elle aurait aussi soulagé la surcharge des personnels de santé et des services publics, plutôt que de les applaudir en oubliant de leur verser les primes promises. Un long désastre parcourt le gâchis des innombrables allers retours masque ou non, confinement ou non, commerce ou non, vaccin ou non, restaurant ou non, attestation invérifiable, etc…. Les exodes provoqués par les pseudo confinements amplifient les contagions au lieu de les résorber et accroissent encore nos coûts et nos difficultés.

    Le catalogue est long : tourisme, hôtellerie, restauration, sport, événementiel, culture, transport aérien, remontées mécaniques, hôtels, campings, commerces de détail biens personnels, coiffeurs, esthétique, restaurants, cafétérias, débits de boissons, cinémas, agences de voyage, foires ou de salons, bureaux de change, disciplines sportives, loisirs, spectacles, musées, guides, jardins et zoos, salles de sports, parcs d’attractions, casinos, cars et bus touristiques, transport maritime, enseignement culturel, …

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  42. Désormais il faut ajouter aussi les prêts garantis par l’Etat pour près de 400 milliards dont certains accordés curieusement à des grands groupes ou à des secteurs spéculatifs proches du pouvoir. Comptons aussi 200 milliards pour la Sécu. Les critères de Maastricht sont enterrés, et le Peuple Français une fois de plus est trahi. La finance internationale nous prête volontiers en temps de crise pour nous contrôler totalement à la sortie à peu de frais. Plus nous dégradons notre rating, plus nous sommes vulnérables, plus on nous prête pour devenir l'otage absolu de la finance internationale qui pourra s'autoriser toutes les prétentions sur notre économie.. La France dégringole de son flamboyant AAA vers un A simple qui pourrait même tourner rapidement au douteux BBB.

    Le Finance Stability Board, organisme mondial de surveillance financière, vient de publier son rapport 2020. Les échanges privés mondiaux (NBFI) ont pour la première fois dépassé ceux des banques centrales et gouvernements, à plus de 200 trillions de dollars. En comparaison, la « force de frappe » mondiale du FMI est 500 fois inférieure (440 milliards) ou 200 fois inférieure (1 trillion) avec les lignes des Etats mondiaux (200 et 350 milliards en plus). Ceci signifie que la finance privée mondiale a pris le pouvoir absolu. Les Etats endettés sont ses créanciers et n’auront comme choix que celui de faire payer …leurs concitoyens…à vie. Un seul exemple : le poids de la France dans ce système privé est de moins de 0.2%,

    Si le Gouvernement gère ce problème par l'absurdité, comme le Covid, alors, ce que nous avons connu avec les Gilets Jaunes ne sera qu'une plaisanterie à côté d'une contestation généralisée, en pleine élection présidentielle de 2022. La conséquence de l'endettement actuel serait de doubler encore la fiscalité actuelle sur au moins deux générations avec fiscalité exceptionnelle, impôt Covid, TVA majorée, remboursement des prêts Covid garantis, déficit Sécu, etc... Cette issue est impensable. Il est temps de mettre l'imagination au pouvoir avant qu'il ne soit trop tard, et le pouvoir semble vraiment en manquer. Il lui reste moins de six mois pour le faire. Sinon, le pouvoir ne sera plus au pouvoir, d'une façon ou d'une autre.

    http://www.economiematin.fr/news-pandemie-mesures-esclavage-liberte-societe-france-grangeon

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    1. Ôh mais dites-moi... maintenant que j'y pense... S'il n' a plus d'argent comment se fait-il que des personnes puissent en prêter ? HAHAHAHAHA !

      Je vous DONNE (c'est OFFERT !): 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 €/$/£
      Faites une capture d'écran et glissez-là dans votre porte-monnaies !

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  43. "Brûlez vos masques !" Des manifestations massives contre le verrouillage font rage dans le monde entier


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 MAR 2021 - 13h30


    Des milliers, voire des dizaines de milliers de manifestants à travers l'Europe ont manifesté samedi contre la poursuite des verrouillages gouvernementaux et d'autres restrictions pandémiques fondées sur des données scientifiques douteuses - qui ont entraîné un chômage de masse, détruit de petites entreprises, attisé une dépression généralisée et des maladies mentales et coûté aux contribuables. trillions pour empêcher tout le navire de couler.

    Des manifestants à Londres, en Allemagne, en France, en Suède, aux Pays-Bas, en Australie, en Belgique, au Japon, à Vienne et ailleurs sont venus pour le rallye mondial pour la liberté.

    - voir photo sur site -
    Photo via PA

    Dans le centre de Londres, des milliers d'activistes anti-lockdown ont été vus marchant dans Hyde Park, scandant "Debout, reprenons notre liberté !"

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    En Allemagne, la police a utilisé du gaz poivré sur les manifestants dans la ville de Kassel, où 15 000 à 20 000 manifestants se sont présentés, selon le Daily Mail. Quelque 1 800 officiers ont été mis en attente à Berlin.

    Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées sur le principal site de manifestation sur une place du centre-ville de Kessel, serrées les unes contre les autres sans porter de masque facial, a constaté un journaliste de l'AFP.

    Des échauffourées ont éclaté lorsqu'un groupe de manifestants a tenté de franchir un cordon de police pour rejoindre d'autres manifestants, ce qui a poussé les policiers à utiliser du gaz poivré. -Courrier quotidien

    - voir photo sur site -

    Sur la photo: des manifestants participent à une marche exigeant le respect des droits fondamentaux et la fin des mesures restrictives contre les coronavirus à Kassel, dans le centre de l'Allemagne, le 20 mars

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    Les manifestants se sont affrontés avec la police en Allemagne et en Croatie samedi alors que de nouveaux verrouillages ont été introduits en France, en Pologne et en Ukraine pour lutter contre une troisième vague de coronavirus. Sur la photo: des manifestants affrontent la police à Kassel, dans le centre de l'Allemagne (via le Daily Mail)

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    À Melbourne, en Australie, des manifestants scandant «Libre de parler. Libre de respirer» sont sortis par milliers.

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    Suite:

    Les Pays-Bas:

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    Photo via @lkNet

    Japon:

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    Vienne:

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    Belgique:

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    C'est ce qui arrive lorsque vous détruisez des économies sur la base d'une science douteuse.

    - voir photo sur site -

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/burn-your-masks-massive-anti-lockdown-protests-rage-worldwide

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  44. "Il est temps de réfléchir sérieusement aux avantages d'un gouvernement fédéral mondial"


    dimanche 21 mars 2021


    *J'ai trouvé cet article via le "plan d'intelligence stratégique'' du Forum économique mondial, sous l'onglet VACCINATION. La "vaccination" n'est qu'UN onglet du plan...

    Vous comprendrez la véritable visée de la déclaration de l'OMS à l'effet que les Etats sont incompétents pour gérer la crise sanitaire: un gouvernement fédéral mondial est la seule réponse aux enjeux et aux problèmes suscités par la pandémie mondiale [déclencheur] et par des "systèmes nationaux désuets et corrompus"...

    Vous comprendrez aussi le prétendu litige entre l'Angleterre et l'Union Européenne concernant l'approvisionnement du vaccin AstraZeneca: de la poudre aux yeux !!!

    Voici quelques extraits qui en disent long sur la rhétorique qui est et sera utilisée pour ériger l'édifice de la gouvernance mondiale:

    "La pandémie de Covid-19 est une crise mondiale, mais 👉 elle a été largement gérée par des États agissant de manière indépendante. Arvind Ashta soutient qu'à la lumière de la pandémie, 👉 nous devrions sérieusement considérer les avantages potentiels de la transition vers un gouvernement fédéral mondial.

    Dans un précédent article d'EUROPP écrit pendant la première vague de la pandémie en Europe, j'ai examiné les moyens de financer des mesures pour lutter contre Covid-19 et la relance de l'économie mondiale. Dans le dernier paragraphe, 👉 j'ai proposé un gouvernement fédéral mondial.

    Le fédéralisme présente de nombreux avantages, comme l'expliquaient les Federalist Papers il y a plus de deux siècles, notamment la paix et la libre circulation des personnes et des capitaux à l'intérieur de frontières définies. 👉 L'incapacité des États à faire face à la pandémie devrait nous encourager à explorer de nouvelles approches de la gouvernance, en nous appuyant sur nos connaissances de ce qui a fonctionné dans le passé. 👉 Dans cet esprit, il y a au moins sept raisons pour lesquelles nous devrions maintenant envisager de passer à un gouvernement fédéral mondial.

    👉 Si un gouvernement fédéral mondial était élu démocratiquement, ce gouvernement serait aussi légitime qu'un gouvernement national. Il aurait le pouvoir de négocier avec les gouvernements nationaux et locaux et de l'emporter sur eux dans les domaines de sa compétence. Ce pouvoir réduirait les zones de corruption possible pour les gouvernements nationaux.

    👉 S'il y avait un gouvernement fédéral mondial et une autorité monétaire fédérale, il serait possible d'avoir une seule monnaie, éliminant ainsi le risque de change. Cela rendrait donc la circulation des capitaux plus libre. Cette monnaie unique pourrait être une crypto-monnaie. Cependant, la crise grecque a montré que lorsque la dévaluation n'est pas possible, comme dans le cas de l'euro, il est difficile pour les pays plus faibles d'atteindre le seuil de rentabilité. Pour résoudre cette tension, un mécanisme de péréquation est nécessaire pour garantir une répartition uniforme des gains issus du commerce.

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  45. Un troisième problème est celui de l'environnement - problème qui affectera également les générations futures.

    Le même problème est également vrai pour toute autre taxe sur le capital, comme la taxe Tobin sur les transactions financières, dont on parle tant. 👉 Si la compétence des impôts sur les sociétés était transférée à un gouvernement mondial, cela réduirait la capacité des propriétaires de capitaux à négocier avec leurs pieds. Peu importe où se trouve le siège social, l'impôt sur les sociétés serait le même et la comptabilité de transfert créative ne donnerait plus un avantage fiscal. Des taxes destinées à freiner la spéculation et les transactions financières inutiles pourraient également être perçues au niveau mondial, avec des résultats avantageux similaires. La tension sous-jacente est que les entreprises peuvent bloquer le passage à un gouvernement mondial précisément parce qu'elles anticipent cette évolution.

    Récemment, grâce à la nécessité de financer la relance de l'économie après la pandémie, l'Union européenne l'a reconnu et a commencé à collecter des fonds avant de les distribuer aux États membres. 👉 Un gouvernement mondial aurait un avantage encore plus grand dans ce processus de négociation et de redistribution.

    Une perspective démocratique, en revanche, partirait du principe que tous les humains sont égaux. 👉 Si les mesures de santé relevaient du gouvernement mondial, et s'il était élu démocratiquement, il serait dans l'intérêt de ce gouvernement de s'assurer que les gens partout dans le monde reçoivent les vaccins de manière équitable.

    👉 Enfin, dans un monde international, avec un accès mondial aux médias numériques, de nombreuses personnes dans les pays en développement aimeraient migrer vers les pays développés. Ils sont actuellement empêchés de le faire, ce qui a entraîné d'énormes pertes en vies humaines, ainsi que d'énormes paiements aux trafiquants d'êtres humains. 👉 Dans un monde fédéral, il y aurait libre circulation des travailleurs et ce problème serait résolu.

    Les innovations majeures en matière de gouvernance reposent souvent sur un changement d'exigences déclenché par un événement particulier. 🚨 Si le monde n'est pas déjà passé au fédéralisme mondial aujourd'hui, c'est en partie parce qu'il n'y a pas encore de déclencheur pour pousser les États dans cette direction.

    👉 Dans le passé, des crises telles que les deux guerres mondiales du 20 e siècle ont agi comme des déclencheurs de changement. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à une guerre contre un virus. Peut-être que la situation créée par Covid-19 pourrait servir à mettre en évidence les avantages particuliers du passage à un gouvernement fédéral mondial. 🚨 Cela pourrait déclencher un changement qui non seulement aiderait à atténuer les dommages causés par la pandémie, mais offrirait également une solution à nombre des autres défis auxquels l'humanité est actuellement confrontée.

    https://blogs.lse.ac.uk/europpblog/2021/03/18/it-is-time-to-seriously-consider-the-advantages-of-a-world-federal-government/

    http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/03/il-est-temps-de-reflechir-serieusement.html

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    1. Le Canada (comme l'Australie ou l'Angleterre) ne sera pas forcément libéré le jour où la reine claque ! Y a trop de merde derrière !

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  46. La fin de l'Amérique ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 22 MARS 2021 - 06:30
    Rédigé par Naomi Wolf via l'American Institute for Economic Research,


    En 2008, j'ai écrit un livre, The End of America: Letter of Warning to a Young Patriot. J'ai averti, en me basant sur mon étude de la fermeture des démocraties dans l'histoire du XXe siècle, que l'Amérique devait se méfier d'un glissement vers le totalitarisme.

    J'ai averti que les tyrans potentiels, qu'ils soient à gauche ou à droite, utilisent toujours une carte pour fermer les démocraties, et qu'ils font toujours les mêmes dix pas. Qu'il s'agisse de «Invoquer une menace terrifiante interne et externe», «Créer une caste de voyous», «Ciblez la presse» ou l'étape finale «Suspendre l'État de droit», ces étapes sont toujours reconnaissables. et ils travaillent toujours pour écraser les démocraties et établir des tyrannies. À cette époque, la «menace mondiale» du terrorisme était le spectre que les puissances invoquaient pour attaquer nos libertés.

    Le livre a été largement lu et discuté, à la fois au moment de sa publication et au cours des 12 dernières années. Périodiquement au cours de la dernière décennie, les gens me demandaient quand et si nous avions atteint la «dixième étape».

    Nous - mon courageux éditeur, Chelsea Green, et moi - publions les premier et dernier chapitres de The End of America maintenant, en 2021, gratuitement, et j'appelle la suite de ce livre, que j'écris maintenant, Step Ten - parce qu'en mars de l'année dernière, nous sommes en effet, je suis si triste à dire, arrivés à et commencé à habiter la dixième étape des dix étapes vers le fascisme.

    Bien qu'en 2008, je n'avais pas explicitement prévu qu'une pandémie médicale serait le moyen de faire passer le monde entier à la dixième étape, j'ai à plusieurs reprises mis en garde contre les dangers des crises médicales en tant que véhicules que la tyrannie peut exploiter pour justifier la suppression des droits civils. . Aujourd'hui, une crise médicale très médiatisée a pris le rôle d'être utilisée comme prétexte pour nous priver tous de libertés fondamentales, que les craintes du terrorisme n'ont finalement pas réalisées.

    En 2015, j'ai averti que les maladies infectieuses pourraient être utilisées pour justifier l'instauration d'une suppression des libertés, toujours sous couvert de mesures d'urgence. En 2019, un de mes livres, Outrages: Sex, Censorship and the Criminalization of Love, montrait à quel point de terribles épidémies de maladies infectieuses telles que le choléra et le typhus avaient été exploitées au XIXe siècle par l'État britannique, afin d'écraser les libertés et d'envahir les populations. intimité; J'ai écrit sur la naissance des premiers mouvements anti-vaccination chez les parents britanniques à l'époque victorienne. Ce livre a été initialement annulé et son message d'avertissement a été continuellement assailli.

    Mais ce livre aussi était prémonitoire. Début mars 2020, bien sûr, une pandémie mondiale a été annoncée: Covid-19.

    Dans le sillage immédiat de l'annonce et de la narrativisation de cette pandémie, la plupart des éléments d'un totalitarisme verrouillé à 360 degrés ont été mis en place dans la plupart des pays occidentaux, y compris dans des démocraties solides. Tout s'est passé très rapidement et globalement.

    Aux États-Unis, nous avons maintenant:

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  47. Mesures d'urgence dans de nombreux États, qui suspendent l'application régulière de la loi. C'est la marque d'un État policier. Covid-19 est invoqué comme la raison de l'introduction d'une loi d'urgence - mais il n'y a pas de point final pour lever ces lois d'urgence.

    Les fermetures d'écoles, qui rompent le contrat social avec la prochaine génération.

    Des projets de loi adoptés pour des «passeports vaccinaux», qui contournent le quatrième amendement de la constitution en permettant au gouvernement et aux grandes entreprises technologiques de s'immiscer dans la vie privée médicale et de créer un état de surveillance numérique complet.

    Fermetures forcées d'entreprises. En intervenant directement dans l'économie et en permettant à certaines entreprises de prospérer (Amazon, Wal-Mart, Target) au détriment des petites entreprises, des magasins de la rue principale, des restaurants et des entreprises à propriétaire unique en général, l'État a fusionné le gouvernement et les entreprises en un manière qui est caractéristique du fascisme italien, ou du communisme chinois moderne. (En effet, le fait que les valeurs technologiques aient augmenté de 27% dans un quart de la pandémie montre l'un des moteurs de cette guerre contre les libertés humaines et la société humaine: chaque minute que les êtres humains passent dans une salle de classe, au pub ou au restaurant, ou dans une église ou synagogue, il est temps que les entreprises technologiques perdent de l'argent en étant incapables de collecter ces données. Les politiques de Covid dictées par «Covid-19 Response» - les entreprises technologiques - garantissent que les humains ne sont pas autorisés à se connecter sauf via des plates-formes numériques. La raison en est également le profit comme contrôle social).

    Restrictions d'assemblage. Certains États comme la Californie infligent des amendes aux gens pour avoir vu leurs amis chez eux et interdisent aux enfants d'avoir des rendez-vous avec leurs amis. Le Massachusetts a restreint les rassemblements de plus de dix personnes à la fois, forçant les synagogues et les églises à rester fermées, en dépit d'une décision de la Cour suprême contre les États obligeant les églises à fermer. Les parcs, terrains de jeux et plages ont été fermés. Dans des pays comme la Grande-Bretagne, les gens sont condamnés à une amende pour avoir quitté leur domicile pendant plus d’une heure d’exercice par jour.

    Couvre-visage forcé. Dans le Massachusetts, les gens sont condamnés à une amende s'ils ne portent pas de masques à l'extérieur - même les enfants de cinq ans sont contraints de le faire par la loi. Encore une fois, ce mandat n'a pas été étayé par des études évaluées par des pairs montrant une nécessité médicale; et aucun point final n'est proposé pour ces violations extraordinaires de la liberté personnelle.

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  48. Suppression de la liberté d'expression. Les grandes entreprises technologiques censurent les critiques de la politique Covid et de la politique en matière de vaccins, ainsi que les opinions qui se situent à droite de l'échiquier politique. «Incitation», un mot qui a une longue histoire au XXe siècle pour mettre fin à la liberté d'expression, a été utilisé comme arme par la gauche pour mettre fin aux libertés d'expression du premier amendement. Dans d'autres formes de censure et de gestion de la parole et du débat public, des magnats tels que Bill Gates ont financé d'importants médias, avec des millions de dollars destinés à «l'éducation Covid». En conséquence, les voix dissidentes sont marginalisées et humiliées, voire menacées de poursuites judiciaires ou de pertes d'emplois.

    La science a été détournée dans l'intérêt du «biofascisme». En finançant massivement des commentateurs scientifiques tels que le Dr Fauci aux États-Unis, l'Imperial College et le SAGE au Royaume-Uni, et le Dr Christian Drosten en Allemagne, un ensemble dominant de politiques et de déclarations sur Covid qui profitent à un petit groupe de mauvais acteurs - notamment la technologie et les intérêts pharmaceutiques, agissant de concert avec les gouvernements, ont obtenu des partisans reconnus. Mais lorsque d'autres scientifiques ou institutions recherchent le débat ou la transparence, ils sont menacés de perte d'emploi ou attaqués sur le plan de la réputation, comme dans le cas du Dr Simon Goddeke des Pays-Bas, à qui son université a demandé de se taire, lorsqu'il a contesté le Covid PCR défectueux. protocoles de test.

    Des données ont été détournées pour servir les intérêts de ce biofascisme. Cette manipulation de la vérité, que j'ai annoncée dans The End of America, est typique des censeurs soviétiques. Les plates-formes Covid telles que Covid19tracking et l'Université John Hopkins, financées par des technocrates tels que Michael Bloomberg, servent des données Covid invérifiables qui affectent directement les marchés boursiers. Encore une fois, alors que cette fusion non américaine des intérêts des entreprises et des politiques publiques rappelle le fascisme italien, la torsion apportée par la présentation des données numériques et sa relation avec le marché boursier est en grande partie du 21e siècle.

    Attaques contre les minorités religieuses. La communauté juive orthodoxe de Brooklyn et les églises chrétiennes de Californie ont été punies si elles ne respectent pas les règles de Covid - un ciblage de la religion caractéristique des politiques communistes de gauche, en particulier en Chine.

    Des politiques qui affaiblissent les liens entre les êtres humains et affaiblissent la famille ont été mises en place et contrôlées. C'est le développement le plus sérieux de tous.

    Le nouveau biofascisme en Occident, très poussé par les leaders de la Big Tech, et bientôt exploité géopolitiquement par nos ennemis, est une guerre contre les êtres humains libres et contre les qualités qui font de nous des humains.

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  49. Les masques brisent la capacité des êtres humains à créer des liens face à face et à apprécier le contact humain, les sourires et les blagues. Les masques réduisent l'efficacité de la «technologie» humaine, en nous empêchant de nous «lire» les uns les autres et de capter les indices sociaux. Interdire l'assemblée nous empêche de former des alliances humaines contre ces intérêts monstrueux. Interdire l'assemblage humain empêche également l'apparition de nouvelles cultures, de nouveaux héros et de nouveaux modèles commerciaux. Nous sommes tous coincés avec le Rolodex et les idées que nous avions en mars 2020.

    Obliger les enfants à prendre de la distance à l'école et à porter des masques garantit une génération d'Américains qui ne savent pas COMMENT former des alliances humaines et qui ne font pas confiance à leurs propres instincts humains. Ce sont des techniques de formation contre-révolutionnaires.

    Conduire tous les apprentissages sur des plates-formes d'apprentissage à distance (déjà préparées) garantit que les enfants ne savent pas comment se comporter dans l'espace humain, espace non médiatisé par la technologie.

    De nombreuses politiques Covid semblent conçues pour garantir que les humains n'auront pas encore d'espace «analogique» ou de culture «analogique» - aucun moyen de se sentir à l'aise simplement en se rassemblant dans une pièce, en se touchant en amis ou en alliés, ou en se réunissant.

    Enfin, diriger toutes les interactions humaines sur Zoom n'est pas seulement un moyen de récolter toutes nos technologies, nos secrets commerciaux et notre propriété intellectuelle - c'est un moyen de garantir que l'intimité et la connexion à l'avenir se feront en ligne et que le face-à-face humain. le contact sera tué.

    Pourquoi est-ce? Pourquoi développer des politiques qui punissent, encombrent et restreignent les contacts humains dans les espaces analogiques (non surveillés, non médiatisés)?

    Parce que le contact humain est la grande force révolutionnaire en matière de liberté humaine et de résistance à cette forme de biofascisme global - le biofascisme représenté par la nouvelle normalité - le dixième pas médico-fasciste.

    Maintenant, permettez-moi de récapituler l'année 2008 et de vous lire mon introduction à The End of America, ainsi que l'avertissement à la fin de ce livre.

    Son message n'a malheureusement jamais été aussi opportun. Cette fois, les menaces à la liberté justifiées par le terrorisme se sont donc repliées sur les pièges d'une pandémie médicale.

    Mais cette fois, nous ne sommes pas seulement confrontés à une guerre contre la liberté. Cette fois, nous sommes confrontés à une guerre contre les êtres humains et contre tout ce qui nous rend humains.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/end-america

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    1. Qu'il y ait des entreprises de transports qui fassent fortune ou non: ON S'EN FOUT !
      Ce qui est intéressant c'est de réfléchir au quoi qu'ils ou elles transportent.
      Les denrées sont DE PLUS EN PLUS RARES ! Because la fermeture d'entreprises d'embouteillages, conserveries ou les traiteurs comme les marchands de fruits & légumes et... COMME LES PAYSANS !!
      Et oui ! Ceux qui nourrissent le monde sont en voie de disparition sous la férule des coûts infligés à chaque entreprise. La hausse du prix des engrais, du prix des produits de traitements comme bientôt les pièces de rechange pour tracteurs et matériel agricole !

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  50. «Une menace pour la démocratie américaine» - Le juge fédéral affirme que les démocrates contrôlent presque tous les principaux médias


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 MAR 2021 - 22H00
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times,


    Un juge fédéral a déclaré cette semaine que le Parti démocrate était sur le point de contrôler la presse en détaillant ce qu'il a décrit comme un parti pris choquant contre les républicains.

    Le juge Laurence Silberman de la Cour de circuit de D.C. a souligné son opposition à la décision clé de la Cour suprême en 1964 dans New York Times v. Sullivan, qui a depuis protégé de nombreux médias contre les poursuites.

    Silberman, une personne nommée par Reagan, a écrit que la décision est «une menace pour la démocratie américaine» et doit être annulée.

    «Le pouvoir accru de la presse est tellement dangereux aujourd'hui parce que nous sommes très proches du contrôle unipartite de ces institutions. Notre tribunal s’inquiétait autrefois de la consolidation institutionnelle de la presse conduisant à un marché d’idées «fade et homogène». Il s'avère que la consolidation idéologique de la presse (aidée par la consolidation économique) est la menace bien plus grande », a-t-il poursuivi.

    «Bien que le parti pris contre le Parti républicain - et pas seulement contre des individus controversés - soit plutôt choquant aujourd'hui, ce n'est pas nouveau; il s’agit d’une tendance séculaire à long terme qui remonte au moins aux années 70. (Je ne veux pas défendre ou critiquer le comportement d'un politicien en particulier).

    Deux des trois journaux les plus influents (du moins historiquement), le New York Times et le Washington Post, sont pratiquement des journaux du Parti démocrate. Et la section actualités du Wall Street Journal va dans le même sens. L'orientation de ces trois journaux est suivie par l'Associated Press et la plupart des grands journaux du pays (tels que le Los Angeles Times, le Miami Herald et le Boston Globe).

    Presque toute la télévision - réseau et câble - est une trompette du Parti démocrate. Même la radio publique nationale soutenue par le gouvernement suit le chemin », a-t-il ajouté.

    Les organes d'information mentionnés n'ont pas renvoyé de demandes de commentaires.

    Le juge s'est également inquiété de l'influence exercée par Big Tech sur la manière dont les informations sont distribuées, faisant référence à la manière dont Twitter a limité la diffusion d'un article du New York Post sur le fils du président Joe Biden, Hunter Biden.

    Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a déclaré plus tard aux législateurs que ce qui s'était passé était une erreur.

    Silberman a ajouté qu’il y avait quelques exceptions notables aux médias qu’il a mentionnés: Fox News, le New York Post et la page éditoriale du Journal.

    «Cela devrait donner à réfléchir pour ceux qui sont préoccupés par le biais de l’information que ces institutions soient contrôlées par un seul homme et son fils. Restera-t-il un solitaire dans ce qui est autrement une culture médiatique effrayante et orthodoxe? Après tout, il y a de sérieux efforts pour museler Fox News. Et bien que des réseaux conservateurs parvenus (principalement en ligne) aient émergé ces dernières années, leur visibilité a été nettement réduite par les médias sociaux, soit par des interdictions directes, soit par la censure basée sur le contenu », a-t-il écrit.

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  51. L’uniformité du biais dans l’information a un impact politique, a poursuivi le juge en citant le livre de l’auteur Tim Groseclose en 2011: «Left Turn».

    Le professeur de l’université George Mason a déclaré dans son livre qu’il avait trouvé que la manière dont les médias rapportaient plus favorablement les démocrates aidait les candidats du parti de 8 à 10% lors d’une élection typique.

    Silberman rédigeait une dissidence partielle dans le cas des représentants du gouvernement libérien Christiana Tah et Randolph McClain contre Global Witness Publishing, une organisation qui enquête sur les violations des droits humains.

    «Il ne faut pas oublier que la première étape de tout régime autoritaire ou dictatorial potentiel est de prendre le contrôle des communications, en particulier de la diffusion des informations. Il est donc juste de conclure que le contrôle par un parti unique de la presse et des médias est une menace pour une démocratie viable. Cela peut même donner lieu à un extrémisme compensateur », a conclu Silberman.

    «Le premier amendement garantit une presse libre pour favoriser un échange d'idées dynamique. Mais une presse biaisée peut fausser le marché. Et lorsque les médias ont prouvé leur volonté - sinon leur empressement - de déformer ainsi, c'est une grave erreur de se tenir à des règles juridiques injustifiées qui ne servent qu'à renforcer le pouvoir de la presse. "

    https://www.zerohedge.com/political/threat-american-democracy-federal-judge-alleges-democrats-control-almost-all-major-news

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  52. Le juge de la Cour suprême de New York déclare que le New York Times a utilisé une "désinformation trompeuse'' pour salir le projet Veritas


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 MAR 2021-11: 27


    Un juge de la Cour suprême de New York a dénoncé la semaine dernière le New York Times, déclarant qu'il avait utilisé «un mépris imprudent» et «agi avec une réelle malveillance» lorsque deux de leurs journalistes ont présenté de manière trompeuse des opinions comme des faits dans plusieurs articles dénigrant l'organisation de dénonciateurs Project Veritas.

    Ce que le Times a fait, comme vous le verrez ci-dessous, est similaire à d'innombrables succès contre Zero Hedge et d'autres; en utilisant de larges coups de pinceau non soutenus pour calomnier leurs adversaires idéologiques. Nous ne pouvons qu'espérer que cela créera un nouveau précédent pour de futurs cas de diffamation.

    * * *

    Comme le rapporte en détail Zachary Stieber de The Epoch Times (c'est nous qui soulignons), les écrivains du New York Times ont peut-être répandu des affirmations trompeuses sur le groupe de journalisme à but non lucratif Project Veritas, un juge a statué cette semaine.

    Dans des articles de 2020 sur les vidéos du Projet Veritas, les écrivains Maggie Astor et Tiffany Hsu ont inséré des phrases qui étaient des opinions malgré les articles présentés comme des nouvelles, a déclaré le juge de la Cour suprême de New York, Charles Wood.

    «Si un écrivain exprime une opinion dans un article de presse (et cherchera à revendiquer des protections juridiques en tant qu’opinion), il va de soi que l’écrivain devrait avoir l’obligation d’alerter le lecteur, y compris un tribunal qui devra peut-être déterminer s’il s’agit d’un fait. ou une opinion, que c'est une opinion », a écrit Wood dans une décision de 16 pages rejetant la demande du journal de rejeter une action en justice de Project Veritas.

    «Les articles faisant l'objet de cette action ont qualifié la vidéo de 'trompeur', mais les définitions du dictionnaire de 'désinformation' et de 'trompeur' fournies par l'avocat des accusés s'appliquent certainement au fait qu'Astor et Hsu n'ont pas noté qu'ils avaient injecté leurs opinions dans les nouvelles. articles, comme ils le prétendent maintenant », a-t-il ajouté.

    Il s’agit de cinq articles qui, selon Project Veritas, contenaient des informations fausses et diffamatoires. Tous les cinq portaient sur un reportage vidéo 2020 du groupe de journalisme sur les pratiques de vote illégales présumées dans le Minnesota.

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  53. Dans l’un des articles d’Astor, elle a écrit: «M. O’Keefe et Project Veritas ont une longue histoire de diffusion de séquences manipulées ou éditées de manière sélective prétendant montrer des comportements illégaux de la part des démocrates et des groupes libéraux. " La source de la déclaration, et s'il s'agit d'un fait ou d'une opinion, n'est pas claire, selon le juge.

    Hsu, quant à lui, a écrit en partie que les publications conservatrices «ont amplifié la portée d'une vidéo trompeuse publiée le mois dernier par Project Veritas, un groupe dirigé par l'activiste conservateur James O'Keefe», ajoutant: «La vidéo revendiquée sans sources nommées ni preuves vérifiables que la campagne du représentant Ilhan Omar, un démocrate du Minnesota, recueillait illégalement des bulletins de vote.

    «Dire que la vidéo est« trompeuse »et déclarer« sans preuve vérifiable »de manière factuelle dans un article de presse présente certainement la déclaration comme un fait, pas une opinion», a écrit Wood dans sa décision. «De plus, les articles Astor et Hsu pourraient être considérés comme exposant Veritas au ridicule et à nuire à sa réputation de source médiatique parce que le lecteur peut lire ces articles, s'attendre à des faits, pas à une opinion, et conclure que Veritas est un groupe de fanatiques partisans, éditer une vidéo de manière trompeuse et la présenter comme une actualité. »

    Le juge a déclaré qu'il avait passé en revue le contexte global et le ton des histoires et a conclu qu'un lecteur pouvait croire que les déclarations transmettaient des faits sur le projet Veritas.

    Le New York Times avait fait valoir que les déclarations qualifiant la vidéo de «trompeuse» et de «fausse» étaient des opinions incapables d'être jugées vraies ou fausses.

    Les avocats du journal ont également fait valoir que même si le terme «trompeur» pouvait recevoir un sens objectif en tant que déclaration factuelle, les auteurs ont démontré que la vidéo était trompeuse, citant d'autres organes de presse et des soi-disant vérificateurs de faits, tels que Fox News et The Washington Post.

    "Bien qu'il s'agisse d'une longue liste médiatique, les sondages ne déterminent pas la vérité ni ne parlent de preuves, et les défendeurs n'ont pas assumé leur fardeau de prouver que les reportages de Veritas dans la vidéo sont trompeurs", a déclaré le juge. De plus, Veritas a démontré dans sa plainte qu'Astor n'avait probablement pas digéré en 63 minutes un rapport d'un groupe alléguant que la vidéo était de la désinformation, a examiné les reportages sur les problèmes de vote au Minnesota, visionné la vidéo en ligne, a obtenu un commentaire d'Alex Stamos du Stanford. Observatoire Internet, rédigez son propre article, soumettez-le à ses rédacteurs en chef et mettez-le en ligne.

    «Les faits présentés par Veritas pourraient indiquer plus que des préjugés standard dans les médias de variétés de jardin et étayer une inférence plausible de méchanceté réelle», a écrit le juge.

    Un avocat représentant le New York Times a référé The Epoch Times au journal. Un porte-parole du papier di

    https://www.zerohedge.com/political/judge-rules-new-york-times-used-deceptive-disinformation-smear-project-veritas

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  54. Où est passé le réchauffement du climat tant attendu depuis 30 ans ?


    le 21 mars 2021


    Comme a coutume de s’y conformer la blogueuse climatique nippone Kirye il est approprié de ne considérer que les données de température réelles brutes et non de se limiter à celles communiquées par des organismes inféodées aux organisations onusiennes qui ajustent, normalisent ou, pire, corrigent ces données des variations climatiques cycliques comme les statisticiens publient des chiffres relatifs au chômage « corrigés des variations saisonnières ». Le pire dans cet exercice de style consiste à représenter les déviations des températures par rapport à une moyenne souvent choisie pour faire apparaître un réchauffement plutôt qu’une stagnation de l’évolution de ces températures. In fine ce n’est plus de la sciences mais de la pseudo-science.

    Prenons le cas de la station météo de l’aéroport du Bourget dans la banlieue nord parisienne, près de Garges-lès-Gonesse. Cette station a archivé les températures relevées par exemple le premier avril depuis l’année 1900. Pour une plus grande clarté ces relevés des moyennes ont été effectuées afin de ne rendre pas trop inextricable la représentation graphique :

    - voir graphique sur site -

    Il paraît évident qu’il est impossible de déceler dans cette représentation une quelconque tendance sinon qu’entre 1940 et 2020 les températures du premier avril dans cette banlieue nord de Paris n’ont pas évolué. Où se trouve le réchauffement du climat ?

    Vous n’êtes pas convaincu, alors prenons l’exemple de la station météo de l’aéroport de Lyon-Bron situé à l’est de l’agglomération. Cette station située hors de toute emprise urbaine dispose de données de température depuis 1921 et il est possible de puiser dans ce thesaurus par exemple, ci-dessous, les températures relevées au cours du mois de janvier et d’en réaliser une représentation graphique faisant apparaître les températures minimales et maximales.

    - voir graphique sur site -

    Dans ce graphique apparaît aussi une série de barres vertes matérialisant l’écart entre températures maximales et températures minimales. L’hiver 1962-1963 particulièrement rigoureux dont je me souviens très bien apparaît clairement. Les point rouges et bleus sont les températures extrêmes hautes et basses respectivement (source www.infoclimat.fr ) Question à nouveau : où se trouve le réchauffement du climat ?

    Source : https://onedrive.live.com/?authkey=%21AKMmmcfwuLsSkT4&cid=DDC6747C11603709&id=DDC6747C11603709%214080&parId=DDC6747C11603709%213313&o=OneUp

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/03/21/ou-est-passe-le-rechauffement-du-climat-tant-attendu-depuis-30-ans/

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  55. Le volcan islandais éclate après des milliers de tremblements de terre


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 20 MAR 2021-09: 08


    Alors qu'un puissant séisme de magnitude 7,0 a frappé au large d'Ishinomaki, au Japon, une ville située à seulement 65 miles (104 km) de Fukushima, samedi, il y a eu une éruption volcanique plus notable dans le sud-ouest de l'Islande près de la capitale Reykjavik vendredi soir.

    - voir photo sur site -

    Ces dernières semaines, nous avons publié deux notes (voir: ici et ici) informant les lecteurs des plus de 34 000 séismes qui ont été enregistrés dans la péninsule de Reykjanes ces dernières semaines. Le 4 mars, nous avons écrit: une telle «activité de tremblement de terre a précédé des éruptions volcaniques». Le 14 mars, les tremblements de terre se sont aggravés alors que le pays était mis en «alerte élevée» pour la prochaine éruption volcanique.

    - voir photo sur site -

    Environ cinq jours après notre dernière note et des dizaines de milliers de tremblements de terre plus tard, la première éruption volcanique dans la péninsule de Reykjavik en 800 ans a été enregistrée vendredi soir. Voici une vidéo de l'éruption:

    - voir photo sur site -

    Le bureau météorologique islandais a déclaré que l'éruption avait commencé à Fagradalsfjall vers 20h45 GM, à environ 40 km de la capitale Reykjavik.

    "L'éruption volcanique a commencé à Fagradalsfjall", a tweeté vendredi soir l'office météorologique (OMI), faisant référence à une montagne située au sud-ouest de la capitale.

    Une autre vidéo montre des flux de lave rouge s'échappant d'un évent de fissure.

    - voir photo sur site -

    "La fissure est estimée à environ 200 mètres (219 yards) de long", a déclaré l'OMI.

    - voir photo sur site -

    Les résidents de Reykjavik avaient une visibilité claire de l'éruption.

    - voir photo sur site -

    Plus de photos de Reykjavik avec l'éruption en arrière-plan.

    Jusqu'à présent, Fagradalsfjall ne devrait pas causer de ravages dans le transport aérien, comme l'ont fait les cendres de l'éruption d'Eyjafjallajökull en 2010.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/iceland-volcano-erupts-after-thousands-earthquakes

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    1. La rotation intérieure de la masse ferrique incandescente modifie constamment les pôles et, ses éruptions - habituellement sous-marines et sous-océaniques compte tenu de leur proximité avec le magma - se font plus rarement entendre sur terre. Mais, l'Islande est située dans une zone 'polaire' (sources chaudes, geysers) où l’aplatissement de notre planète montre donc une proximité avec le centre de la Terre.

      Sur terre et en rapport avec la rotation de la planète, ce serait donc plutôt au Kenya (Mt Kilimandjaro - 5895 m) qu'il devrait y avoir des éruptions, mais, ces dernières sont plutôt sous-océaniques (Est-Pacifique) où se forment les ouragans.

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  56. Paris-Varsovie: cachez ce nucléaire que je ne saurais voir !


    20:12 19.03.2021


    Peu de choses ont fuité de la rencontre de Macron avec le chef du gouvernement polonais, Mateusz Morawiecki. Seule leur position commune sur la politique vaccinale de l’UE a été évoquée. Parmi les sujets qui devaient être abordés: l’atome civil, EDF lorgnant sur la construction du parc nucléaire polonais. Un tabou en France ?

    Nucléaire en Pologne: un bras de fer franco-américain perdu d’avance pour EDF ?

    Celle-ci s’est bornée à souligner qu’il s’agissait d’une réunion préparatoire au sommet européen des 25 et 26 mars prochain. Seule la position commune des deux hommes à l’égard de la politique vaccinale et de la «solidarité européenne» en la matière a retenu l’attention de nos confrères. L’Élysée s’est également contenté du service minimum, évoquant sans plus de précision des sujets «d’actualité européenne en matière de relance économique, de numérique, de climat et d’énergie» abordés durant ce déjeuner de travail, précise une unique dépêche de l’AFP. Cette sobriété pourrait-elle s’expliquer par des «relations compliquées» qu’entretiennent les deux exécutifs, aux politiques diamétralement opposées ?

    De son côté, la presse polonaise s’est montrée bien plus prolixe sur cette rencontre au sommet. Elle a souligné que Mateusz Morawiecki et Emmanuel Macron devaient avant tout discuter du développement de la relation économique bilatérale et bien sûr d’énergie. La France, dont l’énergéticien EDF est le leader mondial de la production d’électricité nucléaire, est en effet en lice pour remporter le contrat de la construction du parc polonais de centrales atomiques.

    EDF lorgne sur le marché nucléaire polonais

    Sur ce dossier, Paris a engagé un bras de fer avec Washington. Les Américains ont en effet signé un accord de coopération énergétique inédit avec Varsovie afin de remporter un contrat estimé à pas moins de 34 milliards d’euros pour faire sortir de terre six réacteurs d’ici 2043. Voilà qui pourrait aussi justifier la discrétion de l’Élysée sur cette rencontre: le nucléaire n’a politiquement pas le vent en poupe en France. Étaler publiquement le soutien de l’Élysée à EDF dans sa conquête du marché du nucléaire civil polonais, alors que l’exécutif français soigner son image écolo depuis les Municipales, ferait désordre. Sur fond d’engagement de réduire la part du nucléaire à 50 % à l’horizon 2025, près du tiers des 100 milliards d’euros alloués à la relance économique du pays sont d’ailleurs destinés à la seule «transition écologique».

    «Malheureusement, la politique énergétique de la France, qui devrait être une question de souveraineté, d’unanimité nationale, fait l’objet de tractations politiques qui sont extrêmement nuisibles à notre pays», regrettait le lanceur d’alerte écologiste Fabien Bouglé, dénonçant un «pur opportunisme» électoraliste.

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  57. L’atome, cette énergie décarbonée, est pourtant de plus en plus sollicité à travers le monde, où 50 réacteurs sont en construction. Souvent salués comme des précurseurs de la dénucléarisation, l’Allemagne, la Belgique et la Suisse font pour l’heure plutôt figure d’exceptions, évoluant à contre-courant.

    Énergie nucléaire, variable d’ajustement électoraliste

    Le cas allemand est éloquent et révélateur. Dans la foulée de l’accident de Fukushima, Berlin précipita la fermeture de ses centrales pour des considérations essentiellement électoralistes. Plus précisément, il s’agissait d’une concession d’Angela Merkel aux écologistes afin de préserver la coalition qui la maintient au pouvoir depuis 15 ans. Ces mêmes écologistes qui aujourd’hui s’émeuvent à l’idée que des centrales puissent voir le jour à quelques «centaines de kilomètres» des frontières allemandes.

    Cet aléa électoraliste semble de plus en plus peser sur la politique énergétique française à mesure que se rapprochent les échéances électorales. Au-delà des pressions de Berlin, la centrale de Fessenheim fut fermée en respect de l’accord PS/EELV passé en 2012 par François Hollande. Douze autres réacteurs nucléaires français de 900 MWh doivent fermer selon la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) adoptée en avril dernier. Un parc vieillissant qui doit être en partie remplacé par des EPR (réacteur pressurisé européen).

    Jean-Bernard Lévy, patron d’EDF, avait invité le gouvernement français à statuer rapidement sur le lancement des chantiers de six réacteurs EPR français. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique elle-même issu des rangs des écologistes et qui doit son élection aux accords de 2012, a semblé repousser cette échéance aux calendes grecques. «Il est clair que ces décisions auront un impact absolument considérable sur la commande par la Pologne de six réacteurs dans les deux, trois ans qui viennent», soulignait par ailleurs Jean-Bernard Lévy.

    En effet, comment la France peut-elle justifier vouloir vendre à Varsovie des centrales nucléaires EPR qu’elle n’est même pas capable de construire chez elle ?

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  58. Christophe Alévêque censuré par YouTube : la vidéo du crime !


    le 21/03/2021 à 22:20 - Mise à jour à 22:47


    La liste des éjectés, censurés, muselés par YouTube n'a de cesse de s'allonger. Il y a une dizaine de jours c'est FranceSoir qui a vu sa chaîne et ses plus de 270 000 abonnés partir en fumée, il y en a eu d'autres avant, il y en aura après... Et ce week-end c'est l'humoriste Christophe Alévêque qui s'est fait couper la chique par le poids lourd américain.

    "Tous les chiffres que vous allez entendre sont réels... Mais les chiffres, on leur fait dire ce que l'on veut..." C'est par ce message d'avertissement que commencait la parodique "Conférence de presse COVID-19" d'un Christophe Alévêque singeant notre bon Premier Ministre Jean Castex. Dix minutes de mise en perspective sobre mais très drôle des éléments marquants de l'épidémie, et de la manière dont gouvernement et médias nous les présentent. On y apprend notamment que si l'on en croit les chiffres officiels, "un jeune de moins de 19 ans sans comorbidités a plus de chance de gagner au Loto que d'être emporté par le virus..."

    Christophe Alévêque a-t-il malgré lui rallié le camp honni des irresponsables "rassuristes", ou pire encore de celui des perfides "complotistes" ? Quoiqu'il en soit, YouTube n'a pas apprécié sa performance et la vidéo a été supprimée de sa chaîne après 48 heures et 100000 vues au motif qu'elle ne respecterait pas le "réglement concernant les informations médicales incorrectes."

    Complotiste, rassuriste... On ne ne saurait dire, censuré en revanche, c'est certain. Voici la vidéo incriminée, et sous celle-ci, la réponse de Christophe Alévêque à YouTube.

    https://www.francesoir.fr/societe-actualites-france/christophe-aleveque-censure-par-youtube-la-video-du-crime

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  59. Le nombril du monde et la citadelle des moutons masqués : Paris à l’heure du Covid


    le 22 mars 2021
    Billet de Christophe Claudel paru sur son site GATEWAY le 20 mars 2021


    Paris vit depuis un an à l’heure du Covid. Et tente de survivre faute de s’en accommoder. Les Parisiens endurent, et pour une très large part acquiescent sans manifester aux épreuves qu’ils subissent.

    Mais qu’est-il donc arrivé aux habitants de la capitale et de sa région ? Il semble que l’orgueilleuse Ville Lumière, un an après avoir été frappée par l’épidémie du siècle et alors qu’on célèbre le 150e anniversaire de la Commune de Paris, ait été contaminée par un étrange mal qui lui ôte toute volonté, tout esprit critique, tout désir de se singulariser, de braver l’autorité régalienne et de faire front face à l’arbitraire des pouvoirs pour défendre sa Liberté chérie ? Comme elle l’avait si souvent fait au cours de son Histoire mouvementée.

    Aujourd’hui les Parisiens ne marchent plus sur Versailles pour réclamer du pain, convoquer la reine et le petit mitron au balcon. Ils ne fomentent plus des révoltes ou des révolutions. Ils ne se dressent plus derrière des barricades contre un monarque, un empereur ou l’oppression des bourgeois.

    Et si l’on ne cède pas complaisamment au chant des sirènes, force est de constater qu’il a bien longtemps que Paris n’est plus comme elle le prétend le laboratoire de l’avenir, de la culture cosmopolite, le théâtre de brillantes innovations et de stupéfiantes utopies. Paris n’imprime plus sa griffe sur la marche du monde, elle ne bat plus la mesure de l’air du temps, elle n’invente plus les courants et les modes qui font chavirer la terre. Et ne se préoccupe même plus aujourd’hui de donner des leçons de morale et de démocratie à tous les régimes.

    Mais où est donc passé ce dynamisme, cette audace, cette impertinence, cette intelligence et cette élégance, cet esprit de contradiction, de résistance et d’innovation, qui avaient fait de Paris une cité unique, aimée de tous, la capitale des arts nouveaux, des beaux esprits et des idées nouvelles, le centre du monde, sa tête pensante, son cœur et son nombril tout à la fois ?

    Les attentats de Charlie l’avait mise à terre. Le monde s’était aussitôt précipité à son chevet pour la relever, panser ses blessures, redorer son blason et l’entretenir dans l’illusion d’un mythe qui assurément n’est plus.

    « Paris sera toujours Paris… » entonnait la Reine de Paris Anne Hidalgo au soir du carnage au Bataclan. Oui mais Paris existe-t-elle toujours ?

    Aujourd’hui on peut sérieusement en douter. Que reste-t-il de Paris un an après l’instauration de l’état d’urgence sanitaire et le premier confinement décrété le 17 mars 2020 ? Une épreuve inédite qui avait laissé ses rues et ses places étonnamment désertes deux mois durant, livrées aux seuls pigeons, aux SDF et aux chats errants pourchassant des rats pullulant au milieu des détritus.

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  60. Ces images de la Place de la Concorde et celle de l’Opéra vidées de toute vie en plein midi, semblables à celles de C’était un rendez-vous, un court-métrage de Claude Lelouch réalisé sur une moto traversant à toute vitesse un Paris vidé de toute présence humaine pendant les vacances d’été de 1976, en plein mois d’août et aux premières lueurs du jour, résonne encore d’une inquiétante étrangeté. Ou celles du blockbuster américain I Am Legend (2007), avec un Will Smith incarnant le seul survivant d’une hécatombe épidémique, errant avec son berger allemand dans un Manhattan désert à la recherche de nourriture comme pour tromper la solitude. Comme si cette pandémie aussi banale qu’une grippe avait soudainement pris les allures d’apocalypse nucléaire. Et que les Parisiens d’habitude si intrépides et contestataires s’étaient laissés piéger les premiers dans ce scénario infernal.

    Depuis que les portes des prisons domestiques ont été rouvertes et que la sortie du confinement a été officiellement (quoique provisoirement) annoncée, les Parisiens ont pris l’habitude de ne jamais sortir sans leur masque réglementaire. Très peu encore aujourd’hui, même parmi les jeunes générations les plus frondeuses, transgressent cette obligation. Tous endossent sans broncher et même avec un zèle préoccupant l’uniforme blanc-bleu qu’on leur a imposé. Et gare à celui ou celle qui oublie de mettre sa muselière, ou qui la laisse glisser sous le menton. Le rappel à l’ordre des autorités, des agents de sécurité ou pire encore de la meute des moutons suivistes tombe aussitôt comme un couperet sans appel.

    Il suffit de croiser dans la rue ces regards mi atterrés mi accusateurs quand un individu refuse de s’assimiler au troupeau et ne porte pas de masque, pour mesurer à quel point les mécanismes mimétiques fonctionnent à bloc. Avec la violence et les réflexes émissaires qui les caractérisent. Des mécanismes savamment entretenus par une propagande officielle qui agit comme un véritable lavage de cerveau. A coup de messages anxiogènes, de consignes absurdes répétées en boucle jusqu’à la nausée. Dans les flashes d’info, les communiqués officiels, à la télé, à la radio, dans la presse, sur internet et les réseaux sociaux, sur les affiches, dans la rue, le métro, les bus, les petits commerces, les supermarchés, les bâtiments officiels… Partout, tout le temps et sans répit. Comme une perceuse à percussion vissée profondément dans nos cerveaux.

    Loin de manifester quelque agacement face à un tel pilonnage, loin de se rebeller contre des mesures discrétionnaires qui saccagent nos libertés, et contre un pouvoir dictatorial qui multiplie les décisions absurdes en restreignant comme peau de chagrin l’espace public de nos libertés, les Parisiens adoptent dans leur écrasante majorité une attitude de soumission, d’obéissance aveugle, de soutien inconditionnel aux consignes sanitaires. Et reprennent souvent à leur compte les messages infantilisants qu’on leur sert pour les culpabiliser, en dénonçant publiquement ceux qui rechignent à les appliquer ou tentent de s’en exonérer.

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  61. Un authentique esprit de collaboration digne des pires heures de l’Occupation s’est substitué au culte de l’exception parisienne. Il a recouvert en totalité cet esprit parisien naguère insolent et frondeur, maire et équipes municipales en tête. Une attitude conformiste et alignée relayée par tous les nouveaux préfets aux ordres récemment désignés par Macron pour faite appliquer les mesures gouvernementales aux quatre coins de l’Hexagone, et en Ile-de-France plus sujette aux révoltes notamment.

    Idem avec la Police nationale et son Préfet parisien Lallement. Laquelle ne se pose même plus la question du bien-fondé de ces mesures liberticides visant à conforter une dictature. Et qui collabore activement à l’enterrement des libertés constitutionnelles, devenant le gendarme des populations civiles, surveillant avec zèle la conformité de chacun aux nouvelles règles en vigueur. Une Police qui ne se contente plus seulement d’appliquer des consignes absurdes sans sourciller. Voire d’en rajouter à l’occasion. Comme ces milices urbaines chargées de contrôler le port du masque et la distanciation sociale des personnes attablées aux terrasses des cafés, à l’époque déjà lointaine où ceux-ci étaient encore ouverts.

    Avec la crise du Covid et l’absence totale de réaction des Parisiens, mises à part quelques répliques vite matées d’un mouvement des Gilets jaunes agonisant, c’est toute une culture parisienne, un art de vivre à la française que les Parisiens ont longtemps prétendu incarner, qu’ils laissent aujourd’hui détruire sans rien dire et un rien de temps. Apportant au besoin leur caution et leur concours à cette ignominie.

    Finis donc les cafés, les terrasses, les attroupements spontanés dès le printemps venu aux abords des places, sur les quais de Seine, dans les jardins, les Bois de Boulogne et Vincennes et autres parcs publics !

    Exit la « scène parisienne », qui brassait autrefois les spectacles les plus avant-gardistes, les concerts de jazz, de musique classique, urbaine, électronique, les opéras et les grandes premières attirant les foules du monde entier ! Tous ces événements exceptionnels inventés à Paris et copiés dans le monde entier, comme la Fête de la Musique, la Nuit Blanche ou Paris Plage. Tous ces happenings dignes d’une capitale de premier plan : morts et enterrés.

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  62. Quid du monde de la nuit ? Avec ses cabarets, ses revues, ses discothèques, ses fêtes incroyables, qui faisaient de Paris depuis la Belle Epoque et même avant l’une des destinations incontournables pour les plus grands artistes de music-hall, les musiciens, les plus grands DJs et les producteurs en vogue.

    Paris n’est plus une fête ! C’est devenu un fantôme, une morgue, un shéol, une antichambre du Néant et de l’Oubli.

    Il suffit de se promener en plein jour dans les rues du centre-ville, autour du quartier des Halles, autrefois l’épicentre de la mode et de la branchitude mondiales, des rues le plus souvent désertes, squattées par des hordes de miséreux, de SDF et de nouveaux pauvres jetés à la rue par la crise économique, de punks à chien, de Roms et autres mendiants, de types louches et peu engageants, ajoutés à quelques rares passants hagards qui rasent les murs, pour comprendre à quel point Paris n’est plus Paris. A peine un souvenir. Une ville hantée. Un requiem.

    Il y a bien de rares weekends ensoleillés où quelques Parisiens frondeurs bravent l’interdiction de se rassembler pour échouer à quelques centaines sur les pelouses des parcs et jardins. Comme une façon de se rassurer, une illusion de liberté volée l’instant d’un pique-nique, d’une bronzette ou d’un apéro entre amis, au milieu d’autres audacieux insensés. Mais ces parenthèses décompensatoires sont en général de courte durée. Les contrevenants sont aussitôt rappelés à l’ordre, montrés du doigt et désignés comme les responsables de la prochaine « vague » annoncée.

    Paris ne se rebelle plus. Paris ne résiste plus. Paris ne râle plus et ne pense même plus.

    Paris souffre. Paris fait le mort. Paris se laisse crever.

    Paris est la risée du monde. Non contente d’être devenue une caricature d’elle-même, un spectre, la capitale collabore à son exécution capitale. Les messages de la municipalité en rajoutent une couche chaque semaine dans l’outrance et l’inflation du terrorisme sanitaire. Sans jamais remettre en cause l’efficacité, le bien-fondé ou les limites de cette sinistre mascarade.

    Le Parisien moyen, autrefois obsédé par son look, son rang, son ego et la surenchère d’arrogance déployée pour les faire valoir, est devenu un anonyme, une loque, un numéro. Masqué, assigné au silence, résigné, la tête baissée, le regard vide, il erre dans une ville-fantôme croisant à l’occasion d’autres fantômes qui ne font même plus attention à lui et se fondent dans une indifférence générale.

    Qu’en est-il dans les autres villes et départements de la région Ile-de-France ?

    Force est de constater qu’en matière de respect des consignes sanitaires, les disparités sont énormes dès que l’on franchit le périphérique. Dans beaucoup de villes de banlieue, en Seine-Saint-Denis notamment, les consignes sanitaires sont beaucoup plus irrégulièrement voire carrément jamais respectées. Et ce en toute impunité de la part des autorités ou des forces de Police qui n’osent pas arrêter ou verbaliser les contrevenants et laissent cette hypocrisie perdurer.

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  63. A Saint-Denis par exemple, comme dans d’autres villes du 93, il existe des cités ou des quartiers entiers où le port du masque obligatoire n’est tout bonnement jamais respecté. En particulier par les jeunes. Il existe même certains bars ou restaurants, connus des habitants, qui continuent d’ouvrir discrètement en dépit de la fermeture décrétée. Il suffit de connaître le patron ou d’être accompagné par un habitué des lieux, de venir à une certaine heure et d’entrer par une porte discrète, souvent à l’arrière de l’établissement, pour pouvoir consommer à loisir et sans limite de durée des boissons, prendre un repas au beau milieu d’autres tablées, parfois même au-delà de l’heure du couvre-feu ou des heures habituelles de fermeture.

    Mieux encore, des trafics destinés à contourner le couvre-feu se sont organisés dans certaines cités. Passé l’heure du couvre-feu, des véhicules circulent dans les quartiers, s’arrêtent à certains endroits, ouvrent le coffre arrière pour vendre denrées alimentaires, cigarettes, soft drinks et boissons alcoolisées, mais aussi substances illicites en tout genre. Tout ça au vu et au su des policiers qui laissent faire, et des bons pères de famille qui viennent faire leurs courses une fois la nuit tombée.

    Impossible d’imaginer une telle fronde à Paris. Les contraintes absurdes liées au couvre-feu engendrent des embouteillages monstres bien au-delà de 18 heures sur tous les grands axes de la région Ile-de-France et aux abords de Paris. Elles obligent beaucoup de Franciliens à rester dehors et à rejoindre leur domicile bien après l’heure limite. Mais mis à part ces retards dans l’application du couvre-feu, il est loin l’esprit de résistance du Dernier métro ! Ou même l’esprit des barricades, de la Sorbonne assiégée, des rues dépavées et des slogans libertaires sur les murs du style Il est interdit d’interdire !

    Le terrorisme sanitaire et les bobards des officiels semblent fonctionner à plein régime et ôter aux petits bourgeois parisiens toute velléité contestataire. Les classes moyennes trinquent et accusent le coup sans moufeter. Les anciens ados de Mai 68 devenus des bobos rangés, planqués dans leurs immeubles des beaux quartiers, toute comme les générations montantes à l’image de cette Génération Macron et ses petits soldats hyperconformistes aux ordres de La République En Marche, s’illustrent par un conformisme frileux et servile proportionnel aux excès de leurs aînés.

    Et si l’on s’aventure en province, observe-t-on une attitude homogène ?

    Et bien non ! Dès que l’on descend au Sud de la Loire, il semble que le respect des consignes sanitaires et la crédulité à l’égard de la doxa officielle fondent comme neige au soleil. Mis à part Nice et sa région, vissées par des élus totalement aux ordres et prompts à les devancer, les habitants de la région Aquitaine par exemple ne semblent pas vraiment ressembler à leurs concitoyens parisiens.

    Du Limousin au Pays basque le masque n’est pas partout le bienvenu. Rares sont ceux qui le portent systématiquement comme sur les avenues haussmanniennes ou dans les couloirs du métro. Même son de cloche dans le Bordelais, à Libourne ou dans les Charentes. Interrogés dans la rue ou chez les commerçants, les gens disent ne pas vouloir suivre des consignes car ils doutent de leur pertinence et de leur efficacité. Masques, distanciation, tests, vaccins, rien ne semble aller de soi. Et beaucoup se demandent intuitivement quels sombres desseins sert toute cette mascarade. Pas par effronterie ou esprit contestataire. Plutôt par bon sens.

    Un bon sens qui a déserté depuis longtemps les plateaux télé parisiens, les discussions chez les commerçants, souvent limitées à « Remontez votre masque Monsieur s’il vous plait ! » et les rares dîners en ville où l’on s’interroge plus sur l’opportunité de choisir tel ou tel vaccin que sur la dérive dictatoriale du régime et cette fausse pandémie servie comme motif au basculement vers un Great Reset que les médias omettent soigneusement d’évoquer.

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  64. Car le Parisien veut bien à la rigueur être accusé d’être un fayot, un collabo, un mouton masqué. Mais jamais il n’acceptera d’être accusé de « complotisme » : la plus grande maladie honteuse du 21e siècle ! Parce que pour un Parisien orgueilleux et qui sait forcément tout sur tout, souscrire à des thèses dites complotistes, c’est être un naïf, un crétin, un plouc, doublé d’un beauf excentrique et d’un danger public. Et donc un mauvais citoyen. Alors qu’un vrai Parisien, nécessairement de gauche, est toujours dans le sens du Progrès, sensible à toutes les causes, et donc socialement incorrect mais politiquement 100% correct. Tout sauf un ensauvagé de banlieue, un antisocial crypto-fasciste ou proto-terroriste.

    Même s’il dit ne pas soutenir Macron, le Parisien est donc majoritairement et par essence un idiot utile de La Dictature En Marche. Et donc un imbécile inconscient, angoissé à l’idée de ne pas avoir raison avant les autres, et donc incapable de se risquer à réfléchir par lui-même, par crainte de manquer la dernière cause à la mode ou le dernier challenge du siècle. Il soutient Biden parce qu’il vomit Trump, et reste farouchement européen même depuis que Maastricht a remplacé Paris. Elitiste mais pas souverainiste, Démocrate mais pas populiste. Extrêmement concerné par lui-même et ses propres affects mais jamais extrémiste. Narcissique et suffisant mais jamais vulgaire, croit-il.

    Le Parisien est un spécimen aussi dérisoire que dévalué. Plus personne ne l’écoute ni ne prête attention à ses frasques. D’ailleurs il ne se risque même plus à faire le malin et se contente de faire le gros dos, en ravalant sa morgue et ses frustrations.

    Paris est un naufrage. Paris est un mirage. Paris n’est plus. Ou si peu. Même les J.O. de Paris 2024 qui n’auront sans doute jamais lieu comme ceux de Tokyo ne font plus bander les foules ni les édiles parisiens.

    Paris n’est plus qu’un carrefour malodorant. Un courant d’air. Une impasse existentielle autant qu’une verrue urbaine, en proie à la déshérence de ses habitants qui fuient la capitale par milliers depuis le début de la crise pour aller s’installer ailleurs en province, à la délinquance de sa frange la plus révoltée et à la déliquescence morale nourrie par la médiocrité de ses élus, leurs politiques burlesques et ridicules.


    Fluctuat nec mergitur. Mais pour combien de temps encore ?

    Paris sombre et s’abîme, et ne parvient plus à faire illusion. Comme le Titanic ou le Radeau de la méduse. Paris prend l’eau de toute part. L’eau des égouts et des dégoûts, et non les eaux lustrales d’une quelconque régénérescence, bien improbable et compromise par l’étendue du désastre.

    Plutôt que l’Après-Covid, faut-il déjà songer à l’Après-Paris ? Et où donc faudra-t-il alors situer le barycentre de l’âme française ?

    Sans doute nulle part en particulier. Ou quelque part dans cette France vivante, variée, éclectique et mouvante. A Annecy, classée première dans le Palmarès 2020 des villes de France les plus agréables où il fait bon vivre. Suivie par Bayonne.

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  65. Aux pieds des sommets alpins ou pyrénéens, léchés par les eaux calmes du Lac d’Annecy ou par les eaux salées de l’Atlantique, sur des terres de passage autrefois conquises et reprises aux anciennes marches du royaume de France, voilà où se situe donc le bonheur selon ce barème qui reflète les attentes et les choix des Français candidats au départ. Pas dans le nombril du monde autoproclamé, mais à la périphérie et au croisement de plusieurs mondes, ou du moins de plusieurs pays frontaliers : la Suisse et l’Italie pour la Savoie, et l’Espagne pour le Pays basque.

    L’avenir est donc à l’ouverture au monde et à la connexion des hommes. Pas au centralisme colbertiste, jacobin ou jupitérien. Et si Paris est aujourd’hui clairement déclassée, c’est parce que cette ville et ses habitants arrogants et insupportables incarnent cette volonté de tout centraliser et d’imposer un pouvoir arbitraire, si cuisant avec la crise du Covid, et qu’une part croissante des Français rejettent sans toujours le manifester.

    La ruine de Paris symbolise la fin de l’ère du Faste, du Prestige, de l’Autorité centralisée selon un modèle français qui a prévalu depuis les rois de France, Louis XIV en particulier. Un phénomène national aux prétentions impérialistes et universelles, repris par la Révolution et notre orgueilleuse République. Lesquelles entendaient imposer au monde leurs principes humanistes et leur vision du progrès universel. Une République souveraine qui se retrouve aujourd’hui absorbée par une dictature mondialiste déclinée dans chaque pays du monde par des marionnettes comme Macron.

    Normal que les provinces de France ne se reconnaissent pas dans ce piège illusoire du Projet macronien, dont Paris centralisateur et son establishment hautain sont le relais volontaire ou tacite.

    Cette fracture identitaire plus que politique et idéologique marque un tournant dans notre Histoire. Avec une tension critique entre une volonté de défendre des identités malmenées sinon condamnées par la mondialisation en marche, et un désir de se fondre dans un nouveau monde tantôt perçu comme une occasion riche de promesses, ou aujourd’hui comme un symbole de dissolutions normatives et de dérives totalitaires.

    Paris a longtemps cru qu’elle était la France. Or la France elle-même peine aujourd’hui à se définir. Même si les Français sont nombreux à manifester leur attachement à telle ou telle de ses composantes régionales, son terroir, son patrimoine, architectural et culturel, son art de vivre, les savoir-faire de ses artisans, de ses agriculteurs, de ses milliers de corps de métiers, sa créativité artistique foisonnante, sa gastronomie inégalée, ses start-up et ses brillants ingénieurs : autant de richesses gravement menacées de disparition avec l’épidémie de Covid.

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  66. Une épreuve qui révèle que l’être parisien est un modèle et une identité souvent en contraction avec le fait d’être simplement français. Ou d’être basque, breton, corse, gascon, auvergnat, franc-comtois, bourguignon ou picard. Car Paris n’est pas la France et ne la représente pas non plus. Ou du moins très partiellement et abusivement, au travers de stéréotypes discutables et de mythes obsolètes. Comme New York n’est pas les Etats-Unis.

    Paris sera peut-être toujours Paris. Et les Parisiens esclaves de leurs mythes et de leur avidité à occuper les premières places. Mais Paris n’est plus la France comme la France se passe fort bien de Paris. Du moins de ses prétentions et exaspérations.

    La France est un pays multicentrique dont le cœur bat tout autant à Dijon, à Toulouse, à La Rochelle, à Nîmes, à Lyon, Marseille, Lille, Strasbourg, Nantes ou Brest, qu’à Arras, Bobigny, Fontainebleau, Uzès, Pointe-à-Pitre, Cayenne, Mayotte ou Nouméa. Et même à Alger, Madagascar, Brazzaville, Bruxelles, Montréal, Lausanne ou Bâton Rouge, tous ces cœurs où bat le cœur multi-ventriculaire de la francophonie.

    La France est l’une des harmoniques de ce monde multipolaire d’aujourd’hui et de demain. Et Paris pas plus qu’une autre ville métropolitaine n’a aujourd’hui de légitimité à revendiquer le monopole de l’esprit français ou le droit à parler au nom de tous les Français qui vivent ici et ailleurs.

    Paris muselée, Paris confinée, Paris outragée, Paris martyrisée… Et Paris privée de ses libertés, de son lustre et de sa gloire. Paris assignée au silence sous un masque ridicule aussi humiliant qu’inutile. Paris désertée par son peuple, ou du moins une partie de ses habitants. Paris assiégée par d’autres peuples, d’autres cultures, d’autres appétits de conquête et de domination, ou simplement par des surgeons de révolte de la part de ces banlieusards ensauvagés qui préfèrent à l’occasion fondre sur elle faute de pouvoir se fondre en elle.

    Paris mise à sac, à bas, à nu ou à l’arrêt. Paris humiliée, oubliée, recalée.

    Dire que Paris se relèvera et recouvrera son prestige confisqué serait encore sacrifier aux mythes et aux antiennes des orateurs empressés. Un mensonge. Une lubie. Car Paris doit apprendre à faire le deuil de cet orgueil qui la dessert, à composer avec un monde qui change, et à se fondre harmonieusement dans ce monde si complexe et changeant. Sans prétendre lui imposer ses vues, ses angoisses ou ses obsessions. Mais en dialoguant au contraire à égalité avec le reste du monde, les autres peuples et cités qui le composent. Avec respect, ouverture et humilité.

    Un pari que Paris doit urgemment relever, si elle ne veut pas disparaître sous le grand laminoir identitaire et normalisateur de cette dictature mondialiste qui avance masquée, comme ses victimes que nous sommes, sans dire jamais dire ouvertement ou sans jamais plus pouvoir crier son nom.

    Note de votre serviteur. J’ai décidé de ne plus jamais retourner sur le sol de ma mère patrie. Tout ce qu’a écrit Christophe Claudel n’est qu’un constat de la triste réalité et je le remercie pour ce courage …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/03/22/le-nombril-du-monde-et-la-citadelle-des-moutons-masques-paris-a-lheure-du-covid/

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  67. Le gaz carbonique est radicalement plus bas, mais les inondations détruisent les maisons et recouvrent les plages de débris à travers la Nouvelle-Galles du Sud en 1857


    March 22nd, 2021


    Des inondations balayent la Nouvelle-Galles du Sud et 18 000 personnes ont été évacuées, et la pluie devrait continuer jusqu'à mercredi. Les inondations sont décrites comme les pires en 60 ans. Mais c’est le but. Il y a toujours eu des inondations juste après les sécheresses et les incendies - et nous le savions il y a 150 ans.

    Le scandale est qu'en 1865, les scientifiques avaient une meilleure emprise sur ce qui les avait causés. Aujourd'hui, les «meilleurs» climatologues pensent que votre voiture est à l'origine de la météo.

    Top science en 2021: les panneaux solaires et les moulins à vent auraient pu arrêter les inondations:

    Les multiples catastrophes naturelles que l'Australie a connues au cours des 18 derniers mois - telles que les inondations qui ravagent actuellement NSW - devraient être imputées au changement climatique, selon des experts du Climate Council.

    «Les pluies intenses et les inondations qui ont dévasté les communautés de Nouvelle-Galles du Sud se déroulent dans une atmosphère rendue plus chaude et plus humide par le changement climatique, qui est entraîné par la combustion du charbon, du pétrole et du gaz», a déclaré le porte-parole du Climate Council Will Steffen dans un communiqué sur Lundi.

    «Pour de nombreuses communautés confrontées aux inondations en ce moment, il s'agit du dernier d'une série d'événements météorologiques extrêmes exacerbés par le changement climatique auxquels ils ont été confrontés, notamment la sécheresse, les feux de brousse de l'été noir et les vagues de chaleur torrides», a-t-il ajouté.

    Plus nous investissons dans la science financée par le gouvernement, plus cela ressemble à de la sorcellerie
    Le gaz carbonique provoque-t-il des inondations ? Il faut 3 minutes dans les archives historiques de Trove pour tester cette théorie. À la surprise des Supermodels du monde entier, ramener le gaz carbonique à 310 ppm (même si c'était possible) ramènerait l'Australie à 1950, nous savons donc déjà comment cela fonctionne.

    Il y a eu une vague d'inondations dans l'est de l'Australie dans les années 1950 et 1960, lorsque les La Nina étaient plus courantes et que le monde se refroidissait. Par exemple, en 1949, 8 personnes ont été tuées et 20 000 se sont retrouvées sans abri en Nouvelle-Galles du Sud à cause des inondations. The Adelaide Chronicle 23 juin 1949

    Inondations, Maitland, NSW 1949


    À Maitland, en 1955, 25 personnes sont mortes, 2 000 maisons ont été inondées et 58 maisons emportées. C'était seulement trois ans après les inondations précédentes lorsque la route Hume à Camden était sous 30 pieds d'eau.

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  68. NEWSFLASH: Il y a eu des inondations en Nouvelle-Galles du Sud en 1857 avant même l'invention de l'énergie au charbon
    Un quart de siècle avant la construction de la première centrale au charbon partout dans le monde, des inondations dévastatrices ont balayé la Nouvelle-Galles du Sud. Il y a eu trois inondations distinctes en 1857, «chacune pire que la précédente». Les inondations et les tempêtes ont été décrites comme affectant une région de l'extrême nord de Taree jusqu'à Goulburn.

    Sydney Morning Herald, 1857

    - voir photo sur site -
    Inondations de la rivière Hunter, 1857

    «Cinq ans de bois de chauffage» échoués:

    Il est impossible de déterminer quelle quantité de biens a été détruite par l'inondation. Les tas de bois, qui à eux seuls fourniraient du bois de chauffage aux habitants de l’Est et de l’Ouest du Maitland pendant les cinq prochaines années, ont sans aucun doute enfoui des propriétés d’une valeur de plusieurs centaines de livres. De nombreuses familles sont entièrement privées de nourriture et de vêtements. Il est impossible de donner une description précise de cette scène désolée.

    Sur le Hawkesbury «Windsor était presque une île, il n'y avait pas de fuite sur la terre ferme.» À Mudgee, «les conséquences ont été des plus désastreuses». .. la pluie est tombée en torrents… »« D'autres inondations se sont produites à Penrith, Camden, Gouldburn et Cassilis. »

    Lisez l'histoire de bateaux piégés pendant des jours, dont un «petit vaisseau fidèle» qui a été «dévié par la violence de la tempête à quelques milliers de kilomètres» et hors de vue de la terre pendant dix jours, tandis que les gens ont survécu sur des biscuits. Les plages étaient couvertes à «une hauteur incroyable avec les trophées d'une inondation dévastatrice…» les débris comprenaient les côtés et les toits des maisons, des meubles, des choux, des citrouilles, des chèvres et des porcs. Le courrier a été arrêté et au moins trois bateaux ont été vus naufragés.

    - voir photo sur site -

    Inondations, NSW, 1857, Manning River, Trove, NSW.

    Partie A Floods, NSW, 10 septembre 1857, Manning River, Trove, NSW. Sydney Morning Herald

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    Inondations Nouvelle-Galles du Sud, 1857, Maitland, Taree, Sydney.
    Partie b. Inondations, NSW, 10 septembre 1857, Manning River, Trove, NSW. Sydney Morning Herald

    En 2021, entre autres, les vaches sont même sauvées des vagues sur les plages, ce qui les rend probablement beaucoup plus chanceuses que celles qui ont été emportées en aval en 1857.

    Réflexions et meilleurs vœux à tous ceux qui sont pris dans cette catastrophe naturelle.

    https://joannenova.com.au/2021/03/carbon-dioxide-radically-lower-but-floods-destroy-houses-cover-beaches-in-debris-across-nsw-in-1857/

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  69. STUPID est le nouveau «progrès»… L'Oregon tente d'abolir les mathématiques, prétendant qu'elles sont racistes


    Dimanche 21 mars 2021
    par: Ethan Huff


    (Natural News) Le ministère de l'Éducation de l'Oregon (ODE) a lancé un nouveau programme d'enseignement pour les enseignants des écoles publiques de tout l'État qui prétend que le sujet des mathématiques est «raciste» et promeut la «suprématie blanche».

    Le département a envoyé une brochure en ligne intitulée «Une voie vers un enseignement équitable des mathématiques» qui contient une section intitulée «Éliminer le racisme dans l'enseignement des mathématiques». Dans ce document, les enseignants sont invités à réinventer la nature des mathématiques pour les rendre plus «inclusives» pour les Noirs et les Marrons qui ont apparemment du mal à les comprendre.

    Il ne faut pas nécessairement dire aux élèves que les réponses techniquement fausses en mathématiques sont «erronées» sur le plan existentiel, suggère la brochure. Prétendant qu'une réponse à une question mathématique est bonne ou mauvaise est intrinsèquement «raciste», il conclut en expliquant aux enseignants les moyens d'abolir ce type de pensée «suprémaciste blanche» de la classe.

    «Alors que la culture de la suprématie s'infiltre dans les salles de classe de mathématiques dans les actions quotidiennes des enseignants», déclare la brochure. «Associés aux croyances qui sous-tendent ces actions, ils perpétuent des préjudices pédagogiques sur les élèves [des minorités], leur refusant un accès complet au monde des mathématiques.»

    Afin de démanteler efficacement les idées de la «suprématie blanche» comme s'il y avait de bonnes et de mauvaises réponses en mathématiques, les enseignants de l'Oregon doivent examiner de près leurs «actions, croyances et valeurs autour de l'enseignement des mathématiques». Tout ce qui pourrait être «offensant» pour les étudiants doit être aboli.

    Un cours de mathématiques typique implique de passer beaucoup trop de temps à essayer d'obtenir les bonnes réponses, ce que la brochure dit être «raciste». Les étudiants qui doivent trouver individuellement ces bonnes réponses sont également «racistes», car les mathématiques devraient être un effort de groupe, selon l'ODE.

    «Souvent, l’accent est mis sur l’apprentissage des mathématiques dans le« monde réel », comme si nos salles de classe ne faisaient pas partie du monde réel», explique la brochure. «Cela renforce les notions de pensée de l'un ou de l'autre, car les mathématiques ne sont considérées comme utiles que lorsqu'elles se situent dans un contexte particulier.»

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  70. «Cependant, cela peut conduire à utiliser les mathématiques pour soutenir les manières d'être et les compréhensions capitalistes et impérialistes du monde.»

    Bill Gates a aidé à financer un programme anti-math pour l'Oregon
    Comme c'est souvent le cas, l'ODE relie les mathématiques, les idées du bien et du mal, et l'éducation traditionnelle au capitalisme et à l'impérialisme, qui, selon elle, sont mauvais et incarnent la «suprématie blanche».

    Pour rendre les mathématiques moins «racistes», il doit y avoir un terrain d'entente anormal où les élèves sont libres d'imaginer les réponses qu'ils jugent correspondre à l'équation. Dans un monde «égal», il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses, même en mathématiques, soutient l'ODE.

    Pour aider les élèves noirs et bruns à atteindre le même niveau de réussite scolaire que les élèves blancs, l'ODE encourage les enseignants à réfléchir à la manière dont ils peuvent réinventer les mathématiques pour «aider à résoudre les problèmes affectant les communautés d'élèves», ainsi qu'à reconnaître «les façons dont les communautés de les couleurs s'engagent dans les mathématiques et la résolution de problèmes dans leur vie de tous les jours. »

    On demande également aux enseignants des écoles publiques de l'Oregon de «remettre en question la manière dont les mathématiques sont utilisées pour défendre les opinions capitalistes, impérialistes et racistes».

    «Le concept des mathématiques étant purement objectif est sans équivoque faux, et son enseignement l'est encore moins», peut-on lire dans le cours. «Soutenir l'idée qu'il y a toujours de bonnes et de mauvaises réponses perpétue [sic] l'objectivité ainsi que la peur d'un conflit ouvert.»

    Actuellement, le cours est facultatif. Les enseignants qui la refusent, cependant, pourraient être soumis à une «annulation» et à d'autres formes de punition visant à nuire à ceux qui résistent à cette tentative de reprogrammation marxiste.

    «Nous ne pouvons pas démanteler le racisme dans un système qui exploite les gens à des fins privées», soutient-il. «Si nous voulons démanteler le racisme, nous devons construire un mouvement pour la justice économique.»

    Comme d'habitude, la Fondation Bill & Melinda Gates est à l'origine du nouveau programme, ayant donné «un généreux soutien financier» à sa création.

    D'autres articles sur le sujet peuvent être trouvés sur CampusInsanity.com.

    Les sources de cet article incluent:

    WesternJournal.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-03-21-oregon-trying-abolish-math-racist.html

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    1. Demain, nous passerons à la musique: notes blanches & noires, et le piano (touches).
      Fini le café 'noir', les dents 'blanches', le pain 'noir', le lait 'blanc', les idées 'noires', les nuits 'blanches', etc !

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  71. Les guerres culturelles «réveillées» font une autre victime dans les entreprises américaines car le simple fait de remettre en question le wokesterisme vous fait virer


    Dimanche 21 mars 2021
    par: Ethan Huff


    (Natural News) Le chef de la division britannique du géant comptable KPMG a été licencié de son poste après avoir fait un commentaire politiquement incorrect sur «la formation aux préjugés inconscients».

    Lors d'un appel Zoom, le président de KPMG Royaume-Uni, Bill Michael, s'est moqué du concept, le qualifiant de «merde complète». Il a ajouté qu '"après chaque [séance] de formation sur les préjugés inconscients qui ait jamais été faite, rien n'est jamais amélioré."

    La formation sur les préjugés inconscients, au cas où vous ne seriez pas familier avec le terme, est un effort de rééducation qui cherche à laver le cerveau des employés blancs en leur faisant croire qu'ils ont intrinsèquement des préjugés contre les non-Blancs. Il devient un pilier de nombreuses grandes entreprises.

    Michael a également pris pour cible le coronavirus de Wuhan (Covid-19), affirmant que le personnel de son entreprise l'utilisait pour jouer «le rôle de la victime». Ils travaillent dans un «secteur très chanceux», a-t-il ajouté, affirmant qu'ils devraient «prendre le contrôle» de leur vie plutôt que «rester là et se plaindre» de la «pandémie».

    En entendant cela, plusieurs employés mécontents ont déposé une plainte contre Michael, ce qui a incité KPMG à ouvrir une enquête sur ses propos. Il s'est d'abord tenu à l'écart pour attendre les résultats, mais a depuis choisi de démissionner en affirmant que sa position était désormais «intenable».

    "Ainsi se termine son mandat de 30 ans dans l'entreprise", a rapporté en pointe. «Mais ce que Michael a dit était correct. La formation sur les préjugés inconscients est une merde complète.

    «Ces sessions de formation traitent une affirmation idéologique absurde - que nous sommes tous secrètement racistes, sans même nous en rendre compte - comme un fait. Ils obligent les gens à admettre des préjugés inexistants. Ils ne valent le temps de personne. »

    Pour mémoire, Michael a également déclaré lors de l’appel Zoom qu ’« il y a beaucoup de choses… plus généralement à changer »chez KPMG. Il ne croit pas, cependant, que la formation sur les préjugés inconscients soit la voie à suivre.

    "Cela ne devrait pas être une opinion controversée", a en outre rapporté le communiqué. «Mais de telles nuances se sont perdues dans la clameur de son limogeage.

    «Les compteurs de haricots de KPMG se considèrent clairement comme des défenseurs de la justice sociale. Il semble que le Grand Réveil a capturé le secteur des entreprises.

    Les hommes ne sont plus autorisés à être des hommes dans le nouvel ordre mondial
    Michael était en charge de KPMG au Royaume-Uni depuis 2017. Il a fait des commentaires «offensants» lors d'une réunion publique virtuelle avec des membres de l'équipe de consultants de la société financière.

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  72. L'Australien de 52 ans a ensuite présenté des excuses affirmant qu'il regrettait les commentaires qu'il avait faits. Il semblerait cependant que Michael ait été victime d'intimidation pour démissionner, ce qui est essentiellement un licenciement.

    «J'adore le cabinet et je suis vraiment désolé que mes paroles aient causé du tort à mes collègues et pour l'impact que les événements de cette semaine ont eu sur eux», a déclaré Michael.

    «À la lumière de cela, je considère ma position comme intenable et j'ai donc décidé de quitter l'entreprise. Ce fut un privilège d'avoir présidé KPMG. Je suis extrêmement fier de tous nos employés et des réalisations qu'ils ont accomplies, en particulier en ces temps très difficiles.

    En d'autres termes, Michael l'a dit tel quel, comme tout homme bon le ferait, ce qui a déclenché une hystérie totale dans les flocons de neige de son ancienne entreprise. Il a ensuite été battu pour se soumettre, a présenté des excuses et a démissionné.

    C'est «annuler la culture» à son meilleur, le tout enveloppé dans un arc bien rangé de «décence» qui place les «sentiments» des faibles au-dessus des vérités difficiles. Personne n'est plus autorisé à mettre quelqu'un d'autre mal à l'aise, même si les choses qui mettent certaines personnes mal à l'aise changent constamment.

    Comme cet écrivain l'a rapporté l'été dernier, même l'industrie des jeux de société a succombé à l'annulation de la culture, car Scrabble a été surpris en train d'interdire certains mots que certaines personnes pourraient trouver «offensants».

    Pour plus de nouvelles connexes, assurez-vous de consulter PoliticalCorrectness.news.

    Les sources de cet article incluent:

    Spiked-Online.com
    TheGuardian.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-03-21-woke-culture-wars-corporate-kpmg-fired.html

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  73. Mettez fin aux masques Covid, aux vaccins sales et aux «quarantaines publiques» pour les Américains à FAIBLE RISQUE

    Samedi 20 mars 2021
    par: S.D. puits


    (Natural News) Assez, c'est assez. Mettre en quarantaine les personnes en bonne santé est absurde et inutile. Nous ne l'avons jamais fait avec la rougeole ou la grippe, alors pourquoi maintenant? Eh bien, la plupart d'entre nous réalisons que c'était pour truquer les élections, et parce que nous pensions tous «mieux vaut prévenir que guérir», mais maintenant que le temps est passé, et ces dures leçons ont été apprises. En fait, mettre en quarantaine la distance sociale saine et le port ridicule et perpétuel du masque détruisent tous l'immunité naturelle, car nous sommes tous cachés de la nature et des virus sauvages contre lesquels nous construisons tous des anticorps au jour le jour.

    Si quoi que ce soit, nous aurions dû simplement mettre en quarantaine les Américains à haut risque, qui luttent actuellement contre le cancer et le diabète, et ceux qui prennent une douzaine de médicaments prescrits par le charlatan par jour, car ce sont les personnes les plus susceptibles de mourir de Covid-19, si elles attrape ça.

    Les verrouillages, les masques, les vaccins et la distanciation sociale exacerbent en fait la propagation et la virilité du virus China-19 et de ses mutations
    Cette campagne de vaccination de masse qui se déroule dans le monde entier est sur le point de déclencher une catastrophe mondiale dont Bill Gates et Fraudulent Fauci sont bien conscients. Avez-vous déjà entendu parler de «fuite immunitaire virale?» Cela signifie essentiellement que la série de vaccins Covid-19 cause beaucoup plus de mal que de bien, car le virus se transforme, et les nouvelles souches vaincront les personnes qui ont été «immunisées» synthétiquement avec de l'ARNm, et elles seront les premières à mourir. de Covid-21 et Covid-22.

    Oui, un virologue et un expert en vaccins dévoué, qui se trouve être un ancien initié des vaccins de GSK, Novartis et GAVI du nom du Dr Bossche, a dénoncé la plus grande erreur médicale que le monde puisse jamais faire, et c'est en masse. vaccinez le monde avec des jabs Covid, ce qui ne fera qu'intensifier les nouvelles souches virales plus virulentes, dangereuses et mortelles dans lesquelles le coronavirus mute à mesure que vous lisez ceci.

    Les mutations du virus chinois créé en laboratoire ou «grippe de Wuhan» deviendront plus infectieuses et plus mortelles pour les moutons vaccinés soumis au lavage de cerveau qui se sont précipités pour se faire tirer dessus avec une série de vaccins qui les rend plus faibles, aux virus et au cancer. Oh l'ironie.

    Covid est si intelligent qu'il ne sait se propager que dans les États bleus maintenant
    Principalement, seuls les États «bleus» dirigés par les démocrates sont toujours soumis à des verrouillages massifs basés sur la peur (et non sur la science) de Covid, à des lois de masques obligatoires partout (masques qui abaissent votre fonction immunitaire), à ​​une tyrannie de distanciation sociale (qui ruine l'immunité collective) et la dictature de la vaccination forcée (se faire piéger par le poison ou perdre son emploi). C’est parce que toute la plandémie a été planifiée (d’où le surnom) par le mal, complotant des mondialistes qui ont utilisé des plates-formes démocratiques pour prendre le contrôle de l’Amérique avec ce nouveau régime communiste / marxiste.

    C'est pourquoi Covid n'attaque que dans les États bleus, car les gouverneurs des États rouges ont finalement réalisé que la plandémie était terminée et que Covid n'était qu'une autre grippe, qui a été introduite dans le monde comme un mécanisme de réduction de la population et un moyen de créer 80 millions de faux bulletins de vote par correspondance pour Biden.

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  74. En mettant en quarantaine les personnes en bonne santé, les mondialistes accomplissent 10 objectifs majeurs.
    #1. Rendre tous les Américains sans visage, pour qu'ils n'aient aucune personnalité et se sentent sans valeur, comme les peuples démunis de la Chine et de la Russie communistes.

    # 2. Augmentez le prix de tous les divertissements publics de 400% afin que seuls les riches et les élitistes puissent faire quelque chose d'amusant en dehors de leur maison. Si vous ne le croyez pas ou si vous n’avez pas vérifié récemment, vous ne pouvez pas aller au bowling ou aux clubs de comédie sans payer un bras et une jambe juste pour entrer dans la porte.

    # 3. Ruinez le fonctionnement du système immunitaire de chacun en limitant / éliminant tout contact avec le monde naturel, ruinant ainsi notre équilibre des bactéries intestinales (flore) de 85% de bonnes bactéries et 15% de mauvaises.

    # 4. Gardez des masques sur le visage de chacun pour aider à engendrer des infections bactériennes et à pneumonie, par manque d’oxygène adéquat et par manque d’échappement des bactéries nocives que nous expirons de nos poumons.

    # 5. Détruire l’économie pour que tout le monde mendie des trucs gratuits, des renflouements et de l’argent de relance que seuls les «démoncrates» peuvent vous donner, si vous êtes si chanceux.

    # 6. La distanciation sociale élimine la collaboration, donc personne ne parle de l'escroquerie massive qui se passe réellement, ni de la manière de la changer, ni de la manière d'y échapper.

    #7. Convainquez tout le monde qu'une pandémie mortelle est toujours dans l'air tout autour de nous à tout moment afin que tout le monde reçoive les vaccins mortels à ARNm qui nous mettent tous à mort par virus et cancer très bientôt.

    # 8. Mettez en faillite toutes les petites et moyennes entreprises en limitant les heures, la capacité, le service, les employés, les clients et les bénéfices. Cela habilite les 5 sociétés qui dirigent le monde, y compris les médias.

    # 9. Blâmez tout sur le réchauffement climatique, donc les Américains croient toujours qu'il n'y a pas de remède à quoi que ce soit, mais de donner tous vos revenus au gouvernement pour essayer de vous sauver.

    #dix. Ayez une excuse pour augmenter le prix de tous les produits, y compris la nourriture, les médicaments, le carburant, les divertissements, et bientôt, les taux d'intérêt et l'inflation vont monter en flèche. Tout cela est basé sur les billions de dollars que les Américains pensent être imprimés pour «sauver le pays».

    C’est pourquoi nous devons tous mettre fin aux masques Covid, aux vaccins sales et aux «quarantaines publiques» pour les Américains à FAIBLE RISQUE maintenant. C’est une arnaque de nous contrôler, de nous mettre en faillite et de transformer l’Amérique en un enfer communiste. Réglez votre connexion Internet sur SupplementsReport.com pour obtenir des mises à jour sur les moyens de réduire votre stress afin que vous puissiez fonctionner à haute capacité et éviter Covid.

    Sources for this article include:

    supplementsreport.com

    NaturalNews.com
    GatewayPundit.com
    EW.com

    https://www.naturalnews.com/2021-03-20-end-covid-masks-dirty-vaccines-quarantines-now.html

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