- ENTREE de SECOURS -



vendredi 12 mars 2021

L'heure des choix arrive - Isabelle et Stéphane Guay

 https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=en9uijTwoRU&feature=youtu.be 

30 commentaires:

  1. - L'heure des choix arrive

    L'idiotie mise en place par le Nouvel Ordre Mondial (La 'gretagénération') est de proposer dans l'obligation un vaccin qui NE CORRESPOND PAS au virus ciblé puisqu'il n'irradie plus depuis 1 an HAHAHAHA ! et n'a MÊME PAS ÉTÉ ISOLÉ !! HAHAHAHA ! Et qu'ils en ont largué 10 ou 20 différents en un an çà et là sur le monde.

    Effectivement pour en revenir aux prévisions avancées par la dictature, le Peuple peut très bien priver les psychopathes de ses richesses en refusant lui-même de s'appauvrir (payer l'impôt), mais, comme les dictateurs inventent eux-mêmes la monnaie, ils peuvent s'en tirer des brouettes, ou des conteneurs de billets.

    (...) Mais les progrès de l'IA et de l'apprentissage automatique ont créés des algorithmes capables de surpasser les médecins, les avocats, les banquiers dans certaines parties de leur travail. Et, a mesure que les robots apprennent à effectuer des tâches de plus grande valeur, ils gravissent les échelons de l'entreprise. (...)

    Voir l'invention de la roue de brouette permettant aux brancardiers de porter à deux 100 kg et remplaçant le premier par la roue d'être poussés par un seul derrière une brouette !
    Notre monde est donc passé de la roue de brouette à l'invention de la cafetière électrique et de la calculette supprimant (ouf !) des x d'emplois.
    Et les robots qui inventent et forment des robots.

    Là, tu as raison de parler d'entreprise (15:40) qui ne voyant le bout du tunnel admettent de se restructurer avec des robots qui remplacent les emprisonnés à domicile.
    Effectivement, les virus (échappés du magma depuis 10 000 ans) ne sont plus actifs pour les 99,99999999% de leurs poussières radioactives, mais, mais il en demeure qu'ils peuvent être aperçus/constatés sur les plateformes RT-PCR (qu'ils soient actifs ou inactifs) ! (sans pouvoir dire si l'un est actif ou inactif !!).
    Que des 'robots' puissent effectuer des travaux d'humains c'est tant mieux, mais il faut faire la part des choses quant à l'agressivité de ces derniers portant sur le genre humain. (Nous avons vu des drones (dirigés par des humains ?) intervenir à tuer x personnes). D'où les limites à ne pas dépasser.

    Quant à "L'urgence sanitaire & climatique"... là il doit y avoir l'intervention de rectificateurs scientifiques dès lors que l'on touche à la vie humaine et son comportement exceptionnel.(19:58) .
    Mais, demeure la réalité que 'tous' les pays sont aujourd'hui équipés de l'EMP ! Et, cette Impulsion ElectroMagnétique peut réduire à néant toutes voies de transports de communications électriques !
    Bien sûr 'S'il n'y a plus d'employés = plus de machins fabriqués" mais aussi plus de salaires versés alors que des machines vont remplacer. Mais, s'il n'y a plus de salaires = n'y a plus d'achats ! Zéro consommateur.
    Alors, s'il te plait, arrêtes-toi sur la 'vaccination' qui ne PROTÈGE PAS (because que la nano-poussière n'irradie plus après 3 semaines et qu'il ne peut y avoir de vaccin pour la contrer en moins de 3 semaines !).
    (29:13) La pauvreté généralisée est le Seul but à atteindre pour la dictature. Qui n'a pas d'argent n'a pas d'instruction et donc pas de concurrence !
    'La Gouvernance mondiale' Whôaw ! Ne pas croire que TOUS les pays du monde marchent pareil !! Notons bien que les pays dits 'diabolisés' ne sont pas forcément avec le NOW !
    (44:51) Autonomie. Camping-car ! Bateau !

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  2. Des caméras pour analyser le port du masque dans les transports: vers «une véritable société de surveillance»


    18:17 12.03.2021


    Dorénavant, grâce à un décret du gouvernement, les caméras de vidéosurveillance pourront déterminer le pourcentage de personnes qui portent leur masque dans les transports en commun. Une mesure qui fait polémique. Thierry Vallat, avocat spécialisé dans le numérique, revient pour Sputnik sur les possibles écueils d’un tel dispositif.

    Pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, tous les moyens semblent bons pour le gouvernement. Un décret publié le 10 mars au Journal officiel autorise dorénavant le «recours à la vidéo intelligente pour mesurer le taux de port de masque dans les transports». Une mesure temporaire qui sera applicable pour une durée d’un an à partir 11 mars.

    Dans les faits, ces caméras de vidéosurveillance, couplées à un logiciel de reconnaissance d’image, permettront d’établir le pourcentage des personnes qui portent un masque dans «les véhicules ou les espaces accessibles au public et affectés au transport public de voyageurs, les exploitants de services de transport public collectif de voyageurs.»

    Port du masque dans les transports: souriez, vous êtes filmés

    Un procédé qu’a fustigé la Quadrature du Net sur Twitter. L’association de défense et de promotion des droits et liberté sur Internet a dénoncé qu’en plein débat sur la loi «sécurité globale», le gouvernement réalise un «coup de force autoritaire pour imposer un sentiment de “déjà-là”», et ainsi «éroder le rejet massif par la population des technologies d’analyse vidéo automatisée.»

    ​Maître Thierry Vallat, avocat spécialiste dans le secteur des nouvelles technologies, concède que ce dispositif est effectivement problématique. Selon lui, sous couvert de sécurité et de santé publique, certes légitime, mais pas dans tous les cas, «on observe une multiplication des textes sur l’utilisation de ces technologies.»

    Un dispositif nécessaire dans la lutte contre le Covid-19 ?

    En effet, par rapport à ses objectifs, ce décret était-il nécessaire et proportionné ? Pour l’avocat, c’est le cœur du problème: «Je ne suis pas persuadé que la proportionnalité et l’impérieuse nécessité pour des raisons sécuritaires soient démontrées.» Des éléments pourtant primordiaux puisqu’un «recours contre ce décret aurait peut-être des chances de faire annuler ce texte», analyse Me Vallat.

    «Il va peut-être être contesté par le Conseil d’État, mais en tout cas, c’est le prolongement des velléités de surveillance, qui en période de crise sanitaire éclosent de plus en plus. Cela fait craindre de plus en plus de mesures contraignantes pour les citoyens», s’alarme l’avocat.

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  3. Des inquiétudes qui avaient d’ailleurs été soulevées par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en juin dernier. Et pour cause, comme le rappelle Me Vallat, «suite aux premières tentatives qui avaient eu lieu à Cannes et dans le métro parisien, à Châtelet, la CNIL exprimait ses plus grandes réserves concernant l’utilisation de ces systèmes de vidéo intelligente.»

    Pourtant, l’avis de cette instance semble avoir évolué. Dans un communiqué publié ce 12 mars, la CNIL a ainsi indiqué qu’elle a «relevé les garanties qui encadrent le dispositif, notamment le fait qu’il ne doit pas servir à poursuivre des infractions et l’information dont doivent bénéficier les personnes.» Comment expliquer un tel revirement ?

    ​Pour Me Vallat, il est possible que ce soit un «texte de circonstance qui a été rendu pour faire plaisir à DatakaLab, l’entreprise qui est manifestement associée au projet du gouvernement», avance-t-il.

    Risques de piratage

    Dans un tweet, effacé depuis, Jean-Baptiste Djebbari, ministre des Transports, saluait d’ailleurs «DatakaLab, startup française qui aide à promouvoir le respect des gestes barrière.» Une attention à laquelle l’entreprise répondait: «Merci pour votre message. DatakaLab est fier d’être à vos côtés pour mesurer le port du masque dans les transports tout en garantissant un total respect de la vie privée.»

    Malgré le fait que le logiciel permettra une analyse en temps réel du flux vidéo et que les images captées seront «instantanément transformées en données anonymes», les caméras de vidéosurveillance restent néanmoins sujettes aux piratages. À l’image d’un groupe de hackers qui a pu accéder au flux vidéo de 150.000 caméras de surveillance placées dans des usines Tesla, des hôpitaux ou encore des écoles.
    Autant d’éléments qui poussent l’avocat spécialisé dans le numérique à plaider pour «un véritable débat parlementaire et de société» sur les caméras de surveillance.

    «Il y a la potentialité, même si ce n’est pas le cas dans le décret, d’avoir recours à la reconnaissance faciale, couplée avec ces caméras, qui pour le coup serait un véritable enfer et une véritable société de surveillance qui seraient installés. Là pour le moment on y échappe, mais pour combien de temps ?», s’inquiète Me Vallat.

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    1. A cet outrage honteux s'ajoutera dans très peu de temps et logique des formes une obligation dans les véhicules personnels !! Et la dictature se prolongera jusqu'aux foyers ! (munis de caméras obligatoires !) pour un virus QUI N'EXISTE PAS (non isolé) et SANS vaccin adéquat puisque de nouveaux virus sont largués toutes les semaines dans le monde !!

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  4. Les vraies raisons pour lesquelles des millions d'Américains défieront les mandats et les vaccins COVID


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 0:10
    Rédigé par Brandon Smith via Alt-Market.us,


    Je soupçonne qu'une grande partie du public est au moins partiellement consciente lorsqu'elle est poussée ou attirée dans une façon de penser spécifique. Nous avons certainement assez d'expérience avec les institutions qui tentent de gérer nos pensées au fil des ans. Les gouvernements et les grands médias en particulier ont fait de la fabrication du consentement public leur priorité absolue. C'est ce à quoi ils consacrent la plupart de leur temps, de leur argent et de leur énergie. Tous les autres problèmes sont secondaires.

    Les médias ne rapportent pas objectivement les faits et les preuves, ils font tourner des informations pour planter un récit d'ingénierie dans l'esprit de leurs téléspectateurs. Mais le public n'est pas aussi stupide qu'il semble le penser. C'est probablement la raison pour laquelle la confiance dans les médias a chuté de 46 % au cours des dix dernières années, atteignant un niveau record cette année de 27 %.

    À l'exception des pics de la saison pré-électorale, les médias grand public de CNN à Fox en passant par CBS et MSNBC font face à un nombre d'audience lamentable, avec seulement environ 2 à 3 millions de téléspectateurs aux heures de grande écoute. Il existe de nombreux commentateurs YouTube avec un public plus large que celui-ci. Et, si vous passez au crible les débris de vidéos MSM sur YouTube, vous trouverez de faibles succès et une majorité de personnes qui visitent leurs chaînes juste pour se moquer d'elles.

    Le MSM se démène maintenant pour expliquer leur empire en ruine, ainsi que pour débattre des moyens de le sauver de l'oubli. La puissance du «quatrième état» est une façade, une illusion donnée par la fumée et les miroirs. Conclusion: personne (sauf peut-être les extrémistes de gauche) n'aime les médias d'entreprise ou les journalistes et propagandistes activistes.

    On pourrait penser que les magnats des médias et les journalistes l'auraient déjà compris. Je veux dire, s'ils acceptaient cette réalité, ils ne se débattront pas tellement avec l'idée que personne ne les écoute en ce qui concerne les mandats de pandémie et les vaccins anti-covid. Pourtant, les journalistes s'en plaignent sans cesse ces derniers temps.

    En fait, la moitié des reportages que je vois ces jours-ci ne sont pas des analyses factuelles des événements, mais des journalistes d'entreprise interviewant D'AUTRES journalistes d'entreprise et se râlant mutuellement sur le fait que les Américains sont «trop ignorants» ou «trop conspirateurs» pour comprendre que les journalistes sont les oints grands prêtres de l'information.

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  5. En fait, je trouve cette situation fascinante en tant qu'observateur de l'oligarchie et connaissant bien les mécanismes de la propagande. Le récit fondamental de la culture du contrôle est qu'il y a des «experts» que l'establishment choisit, puis il y a tout le monde. Les «experts» sont censés pontifier et dicter tandis que tout le monde est censé se taire, écouter et obéir.

    Les élitistes des médias se considèrent comme des «experts» et le public comme des acolytes dévots; un troupeau fidèle de moutons.

    Mais que se passe-t-il lorsque tout le monde commence à ignorer les éleveurs de moutons ?

    L'autre jour, je suis tombé sur cette interview révélatrice sur les nouvelles de CBS au sujet d'un sondage d'Américains montrant qu'au moins 30 % refuseraient de prendre le vaccin covid purement et simplement. L'entrevue est, pour une raison quelconque, avec un autre journaliste de l'Atlantique sans diplôme médical apparent et sans aperçu des données entourant le covid.

    Une chose à noter tout de suite est que la discussion elle-même n'aborde jamais de faits réels sur le virus, la pandémie, les verrouillages, les mandats ou les vaccins. L’establishment ne cesse de nous dire d ’« écouter la science », mais ensuite ils rejettent la science quand elle n’est pas d’accord avec leur programme. Quand le courant dominant va-t-il enfin reconnaître des faits comme ceux-ci:

    1) Selon plusieurs études officielles, y compris une étude de l'American College of Physicians, le taux de mortalité par infection (ou taux de mortalité) de Covid-19 n'est que de 0,26 % pour toute personne en dehors d'une maison de soins infirmiers. Cela signifie que 99,7 % des personnes qui ne sont pas dans les maisons de retraite survivront au virus si elles le contractent.

    2) Les patients des foyers de soins représentent plus de 40 % de tous les décès liés à Covid aux États-Unis. Ce sont pour la plupart des gens qui étaient déjà malades avec de multiples conditions préexistantes lorsqu'ils ont contracté un covid.

    3) Les propres données hospitalières du gouvernement fédéral provenant du ministère de la Santé et des Services sociaux indiquent que la capacité en lits d’hôpital est suffisante aux États-Unis et que c’est le cas depuis un an. Les patients Covid n'occupent qu'environ 13 % des lits d'hospitalisation au niveau national. Les histoires dans les médias d'hôpitaux en surcapacité en raison de covid sont donc inexactes ou sont carrément des mensonges.

    4) Des études internationales, y compris une étude danoise publiée par l'American College of Physicians, ont prouvé que le port de masques ne fait AUCUNE différence significative dans la propagation ou le taux d'infection du Covid-19. Il est intéressant de noter que les États des États-Unis avec les mandats de masque les plus fortement appliqués ont également eu les taux d'infection les plus élevés.

    5) En mars 2020, le chef du NIAID, le Dr Anthony Fauci, avait ceci à dire à propos du port du masque lors de l'interview sur 60 Minutes:

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  6. «En ce moment, aux États-Unis, les gens ne devraient pas se promener avec des masques ... il n'y a aucune raison de se promener avec un masque. Lorsque vous êtes au milieu d'une épidémie, le port d'un masque peut aider les gens à se sentir un peu mieux, et peut même bloquer une gouttelette, mais cela ne fournit pas la protection parfaite que les gens pensent que c'est, et il y a souvent des conséquences inattendues - les gens continuent de jouer avec les masques et ils se touchent le visage.

    6) Sur Twitter en février 2020, le chirurgien général américain avait ceci à dire à propos du port de masque:

    «Sérieusement les gens - ARRÊTEZ D'ACHETER DES MASQUES ! Ils ne sont PAS efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le #Coronavirus, mais si les prestataires de soins de santé ne peuvent pas les amener à soigner des patients malades, cela les met en danger, eux et nos communautés ! »

    Le Surgeon General et Fauci ont ensuite inversé leur position sur le port du masque quand cela ne convenait plus au récit de contrôle, et sont maintenant de fervents partisans de l'application des mandats de masque. Les données scientifiques continuent de montrer que le port d'un masque ne fait rien pour arrêter la propagation de Covid.

    7) Les vaccins Pfizer et Moderna Covid sont fabriqués avec une toute nouvelle technologie qui a fait l'objet de tests limités. Le NIAID a utilisé un minimum d'expérimentation animale sur des souris, mais ces souris n'étaient PAS un type qui est normalement susceptible de contracter le covid comme le sont les humains. Ces tests étaient complètement inadéquats, mais les vaccins à ARNm ont été libérés de toute façon pour l'usage humain.

    8) Les nouveaux vaccins ne contiennent pas le virus qui déclenche le COVID-19, comme le pourrait un vaccin conventionnel. Au lieu de cela, les chercheurs de Moderna et Pfizer ont utilisé une nouvelle technique pour fabriquer de l'ARN messager (ARNm), qui est similaire à l'ARNm trouvé dans le SRAS-CoV-2. En théorie, l'ARNm artificiel agira comme des instructions qui inciteront les cellules humaines à construire une protéine trouvée à la surface du virus. Cette protéine déclencherait théoriquement une réponse immunitaire protectrice. L'ensemble de l'effort de vaccination Covid était essentiellement un raccourci géant. Ce n'est pas un avantage, car les effets à long terme de tout vaccin de 1 an à 5 ans à 10 ans doivent être compris avant d'être injecté à des êtres humains.

    9) Plusieurs professionnels de l'industrie médicale, dont l'ancien vice-président de Pfizer, ont signé une pétition d'avertissement concernant les nouvelles vaccinations à l'ARNm. Ils disent que beaucoup plus de tests sont nécessaires avant que les humains ne soient exposés, et ils ont averti que les vaccins pouvaient provoquer des réponses auto-immunes sévères ou même l'infertilité.

    10) De nombreux sondages montrent également qu'au moins 30 % à 50 % des professionnels de la santé, y compris les infirmières et les médecins, prévoient également de refuser les vaccins. Ces personnes risquent de perdre leur emploi, mais elles n'accepteront toujours pas le coup. C'est à quel point les vaccins à ARNm pourraient être potentiellement volatils; la santé à long terme est plus importante que le risque à court terme.

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  7. Lorsque tous ces faits sont pris en compte, ainsi que de nombreux autres que je n'ai pas d'espace pour mentionner ici, il n'est pas si étrange que des millions d'Américains soient sceptiques quant aux mandats médicaux et à la vaccination contre les covid.

    Pourquoi s'inquiéter de se faire vacciner contre un virus dont 99,7 % de la population survivra sans difficulté ? Pourquoi devrions-nous autoriser les fermetures économiques, les passeports médicaux ou la recherche invasive des contacts, sans parler d'une pandémie à laquelle moins de 0,3 % de la population est vulnérable ? Au-delà de cela, pourquoi devrions-nous nous porter volontaires pour être des cobayes pour une nouvelle technologie de vaccin sans savoir quelles pourraient être les conséquences à long terme ?

    Même si le covid était un danger légitime, aucune crise ne justifie la remise de nos libertés civiles en réponse.

    Le récit de base de l’establishment est le suivant: «Covid est une menace existentielle pour le public, par conséquent, nous sommes justifiés de priver les gens des libertés, de leur économie et de leur vie privée. C'est pour «le plus grand bien du plus grand nombre». La vaccination est infaillible et ne peut être remise en question. Les «experts» sont infaillibles et ne peuvent être remis en question. Ce n’est pas votre corps et ce n’est pas votre choix. Votre corps est la propriété du gouvernement et si vous ne prenez pas volontairement des injections de tout cocktail expérimental que nous vous donnons, alors nous continuerons à éroder vos libertés jusqu'à ce que vous cédiez et soumettiez. Ensuite, une fois que vous vous êtes soumis, vos libertés ne seront toujours jamais rendues. »

    Ce n’est pas vraiment un argument convaincant pour beaucoup de gens.

    Les médias comme CBS mentionneront rarement la question globale du contrôle et de l'oppression liés à la réponse à la pandémie, tout comme ils n'aborderont jamais les faits qui vont à l'encontre de leur message. Ce qu'ils feront, c'est déformer la situation afin d'obtenir la conformité. Le journal de l'Atlantique l'admet fondamentalement dans l'interview ci-dessus, arguant que les médias en particulier doivent changer le message pour mieux attacher une incitation à l'observance des vaccins. En d'autres termes, les gens sont plus faciles à manipuler lorsqu'ils sont amenés à penser qu'il y a plus à gagner à se soumettre qu'à la rébellion.

    Le système de passeport médical est la personnification d'une fausse incitation. Les médias présentent l'idée que personne ne sera «obligé» de se faire vacciner; mais ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est que sans le vaccin, ils n’auront pas de passeport médical, et sans passeport médical, ils seront coupés de l’économie normale. Vous pouvez être libre de vax, mais vous serez puni par la pauvreté et le zéro accès jusqu'à ce que vous cédiez.

    Ma question est la suivante: pourquoi s’inquiètent-ils autant si les gens ne veulent pas ou ne font pas confiance au vaccin ? Pourquoi sont-ils si obsédés ? Si le cocktail d'ARNm fonctionne réellement et ne présente pas de risque pour la santé, il doit être parfaitement à l'abri de l'infection. L'idée que les gens qui refusent constituent un danger pour les autres est absurde.

    Si nous allons commencer à parler de «mutations» potentielles qui contournent les protections vaccinales, alors pourquoi prendre un vaccin ? Si les mutations sont vraiment une menace et ne sont pas obstruées par les vaccins actuels, alors prendre un vaccin maintenant est inutile.

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  8. Et, pourquoi les tentatives constantes de division publique ? CBS et The Atlantic utilisent un stratagème évident pour affirmer que les Américains noirs et bruns ont des raisons différentes de refuser de se conformer par rapport aux conservateurs apparemment blancs. Pourquoi supposent-ils que les Noirs et les Marrons ne sont pas conservateurs ou que nous n'avons pas de raisons en commun ? Cela n'est jamais expliqué ni pris en charge.

    Enfin, comme toujours, les médias cherchent à qualifier quiconque n'est pas d'accord avec l'ordre du jour en vigueur de «complotiste», en présentant des arguments d'homme de paille tout en ignorant tous les arguments légitimes du côté de la liberté. Il existe une réalité de conspiration, et aucun de ces journalistes ne survivrait à un débat sur un pied d'égalité avec ceux d'entre nous dans les médias alternatifs en ce qui concerne le covid et les vaccins.

    Les médias et la mentalité de harceleur du gouvernement en ce qui concerne les gens sceptiques quant aux restrictions et aux vaccins covid sont troublants. Ils agissent plus comme une ex-petite amie psychopathe abandonnée plutôt que comme des personnes soucieuses de sauver des vies. Cela me dit qu'ils ont peur. Leur agenda est incertain et ils ont des doutes. C'est une bonne chose.

    Au fond, covid est un non-problème qui a été gonflé dans une crise aux proportions épiques grâce à la narration et à la vérification sélective des faits. Des millions de personnes dans le monde meurent chaque année d'une myriade de maladies, dont certaines sont aussi contagieuses que le covid. Nous ne fermons pas nos vies, ne portons pas de couches sur nos visages, ne nous injectons pas des cocktails d'altération cellulaire non testés ou ne sacrifions pas nos libertés à cause de cela. La vie, la liberté et la recherche du bonheur se poursuivent. Ceux qui souhaitent nous priver de notre autodétermination dans ces domaines sont la vraie menace; covid ne l'est pas.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/real-reasons-why-millions-americans-will-defy-covid-mandates-and-vaccines

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  9. L'Italie impose un verrouillage national alors que les souches mutantes de COVID se propagent


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 7:27


    Mise à jour (7 h 45 HE): le cabinet italien a approuvé de nouvelles restrictions sur les entreprises et les mouvements qui seront en place entre le 15 mars et le 6 avril, selon un communiqué du gouvernement. Les régions comptant plus de 250 cas pour 100 000 habitants seront confrontées à des mesures de verrouillage complet.

    Dans d'autres actualités européennes, le chef de l'Institut Robert Koch, la principale autorité sanitaire allemande, a averti vendredi que - 13 jours après le dernier semi-verrouillage allemand - les cas de COVID restent élevés et que le pays est peut-être déjà au début d'une troisième vague. .

    * * *

    Quelques heures après que le président Joe Biden a prononcé son premier discours aux États-Unis aux heures de grande écoute, le gouvernement italien a apparemment marqué le premier anniversaire du début du printemps sanglant de l'Italie en appelant à un verrouillage d'urgence au milieu des craintes croissantes concernant la menace posée par le COVID muté. souches.

    Le gouvernement italien dirigé par Mario Draghi a divulgué un projet de son dernier ordre de fermeture à Reuters: selon le plan, l'Italie sera placée sous verrouillage pendant le week-end de vacances de Pâques alors que le gouvernement italien travaille pour endiguer une augmentation inspirée des mutants dans les nouveaux cas de COVID .

    - voir graphique sur site -

    Selon l'ordonnance, l'Italie verra les magasins non essentiels fermés du 3 au 5 avril, les personnes étant uniquement autorisées à quitter leur domicile pour des raisons de travail, de santé ou d'urgence. On s'attend à ce que le diplôme puisse envoyer de nombreuses régions, y compris les centres de population de Rome et de Milan, dans un verrouillage complet. Jusqu'à 14 des 20 régions italiennes pourraient faire face aux contrôles les plus restrictifs. Au final, 2/3 des Italiens pourraient être touchés.

    Le cabinet de Draghi devait commencer à se réunir vendredi à 11 h 30, heure locale (530 HE) pour décider de désigner automatiquement les régions comme «zones rouges» à haut risque si elles ont plus de 250 cas hebdomadaires pour 100 000 habitants, selon un projet de nouveau décret vu par Bloomberg Le projet est sujet à modification.

    Le projet de décret indiquait également qu'à partir de lundi, les restrictions seraient resserrées dans les régions ''jaunes '' à faible risque du pays, où les déplacements entre les villes seraient sévèrement limités et les restaurants et les bars fermés. Parallèlement aux mesures nationales, l'Italie calibre les restrictions dans ses 20 régions selon un système de code couleur à quatre niveaux (blanc, jaune, orange et rouge) basé sur les niveaux d'infection et révisé chaque semaine.

    La nouvelle commande de l'Italie devrait être approuvée plus tard vendredi.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/italy-imposes-national-lockdown-mutant-covid-strains-spread

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    1. Eh oui ! L'Italie n'est pas le Texas ! Des virus il y en a toujours eu depuis 10 000 ans et 24/24 h 365j/an ! Mais le 'nouveau' (non naturel du magma) extermine (vaccins létaux) le monde de 7 milliards d'habitants jusqu'à ce qu'il n'y ait que 500 000 restants !

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  10. Rickards: quel est le prix réel de l'or ?


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 11:15
    Rédigé par James Rickards via The Daily Reckoning,


    Quel est le prix de l’or ?

    Cela semble être une question ridiculement facile à répondre. Je regarde un écran de trading en ce moment, et il affiche un prix de 1 733,80 $ l'once.

    Ce prix peut changer un peu au moment où vous lirez ceci, mais il suffirait d'un regard neuf sur l'écran pour obtenir le nouveau prix. Affaire classée.

    Quel est le prix de l’argent ? Encore une fois, la question semble facile à répondre. Mon écran de trading indique actuellement 26,82 $ l'once. Ce prix change également, mais il suffit de regarder à nouveau l'écran pour obtenir le nouveau prix. Rien pour le faire.

    Si seulement les choses étaient aussi simples. Ils ne sont pas.

    En fait, établir les prix de l'or et de l'argent est bien plus difficile qu'il n'y paraît.

    En outre, les différents prix proposés et les raisons de ces différences peuvent nous en dire long sur ce qui se passe actuellement sur les marchés des métaux précieux.

    Papier, pas métal

    Tout d'abord, les prix que j'ai cités ci-dessus ne concernent pas l'or et l'argent au sens physique traditionnel.

    Ce sont les prix d'une once des contrats à terme sur l'or et l'argent du COMEX. Le COMEX, une division du Chicago Mercantile Exchange, est le plus grand marché mondial de négociation de contrats à terme et d’options sur les métaux.

    Un contrat à terme donne au détenteur une exposition au prix, mais il ne vous donne pas d'or ou d'argent physique. Il s'agit d'un contrat papier régi par des règles d'échange. Il peut faire l'objet d'une résiliation anticipée en vertu de ces règles en cas de désordre des marchés ou d'autres perturbations du marché.

    Nous parlons donc de papier-or et de papier-argent, pas de véritables métaux.

    Il existe un processus de prise de livraison physique à l'expiration d'une position contractuelle longue, mais il n'est utilisé que dans un petit nombre de contrats expirant. La plupart des contrats sont réglés en espèces, reconduits ou jumelés sans qu'aucun produit physique ne soit livré.

    Si plus d'un petit nombre de titulaires de contrat demandaient une livraison physique, les coffres autorisés manqueraient rapidement de lingots et la bourse interviendrait pour régler les contrats en espèces ou ordonner que les détenteurs «négocient uniquement pour la liquidation».

    La livraison physique serait refusée. Alors pourquoi les commerçants préfèrent-ils l'or et l'argent papier au vrai McCoy ?

    Effet de levier, effet de levier, effet de levier

    Les contrats à terme sur l'or et l'argent offrent un effet de levier. Un commerçant est tenu de déposer une marge initiale, généralement environ 5 % du montant des lingots soumis au contrat.

    Les règles de marge initiale signifient que 100 000 $ de capital peuvent contrôler 2 000 000 $ d'or ou d'argent. Un mouvement à la hausse de 5 % du prix du métal réel se traduirait par un retour sur capitaux propres de 100 % sur les liquidités investies.

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  11. C'est pourquoi les hedge funds négocient généralement des contrats à terme plutôt que des lingots physiques, car les rendements en espèces sont beaucoup plus élevés. Bien sûr, le contraire est également vrai. Il ne faudrait qu'une baisse de prix de 5 % pour effacer la marge initiale et laisser le trader avec une perte de 100%.

    Le non-respect d'un appel de marge entraîne la résiliation du contrat et l'interdiction pour le trader défaillant de poursuivre les opérations de change.

    Il s’agit d’un processus de négociation extrêmement complexe, mais l’essentiel est qu’il n’y ait pas d’or ou d’argent en jeu.

    Qu'en est-il des contrats d'or ou d'argent avec les grandes banques membres de la London Bullion Market Association (LBMA) ?

    Ces achats sont également des contrats papier pour ce que l'on appelle des lingots «non alloués». C'est une façon élégante de dire "pas de lingots". Une banque LBMA peut avoir une tonne métrique d'or et vendre 100 tonnes métriques de contrats d'or non alloués sur la base de cette tonne unique.

    Encore une fois, si tous les titulaires de contrat annonçaient qu'ils voulaient se convertir en lingots entièrement alloués et prendre livraison physique, il n'y aurait pas assez d'or ou d'argent pour tout le monde. Comme pour les contrats à terme, ces contrats LBMA seraient soumis à une résiliation anticipée et à un règlement en espèces.

    En fin de compte, vous n'obtiendrez pas de lingots physiques quand vous le voulez le plus - lors d'une panique d'achat.

    Oui et non

    Et le fameux London Gold Fix? Cela implique sûrement des lingots physiques et présente un prix de marché équitable pour le public? Oui et non.

    Ce processus implique l'achat et la vente de lingots physiques, et il se fait par le biais d'une procédure de type enchères.

    Il y a 15 banques participantes au fix or, dont HSBC, Goldman Sachs, Citi, JPMorgan Chase, Bank of China, Koch Supply, Morgan Stanley et Toronto Dominion Bank.

    Le problème est que le correctif n'est pas ouvert au public, il ne concerne que de grandes quantités (la taille minimale est un lingot d'or de 400 onces d'une valeur d'environ 720 000 $), et la majeure partie de l'or ne bouge jamais physiquement.

    Il reste simplement dans un coffre-fort désigné et la propriété change de mains via un récépissé d'entrepôt ou une entrée dans le grand livre. Il y a aussi un London Silver Fix, au fait.

    Fraude et manipulation

    En bref, toutes ces plates-formes de négociation - les contrats à terme, les contrats à terme LBMA et le London Fix - ont des caractéristiques de contrat uniques qui ne comportent aucun lingot physique ou dont les transactions sont limitées aux grandes banques, qui font des affaires en gros volumes et ne sont donc pas accessibles au quotidien. investisseurs.

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  12. Même lorsque l'or et l'argent sont du papier et non physiques, la tentation de truquer les marchés semble irrésistible.

    Tous les marchés de l'or et de l'argent papier et le London Fix ont fait l'objet d'enquêtes ces dernières années et se sont avérés s'être engagés dans divers types de front-running, de manipulation du marché et de truquage d'offres.

    Des amendes et des peines substantielles ont été imposées et certaines actions ont abouti à des condamnations pénales.

    Mais que se passe-t-il si vous souhaitez simplement acheter de l'or et de l'argent physiques et prendre livraison pour stockage dans un coffre-fort non bancaire? Comment procéderiez-vous?

    C'est là que les choses deviennent intéressantes et où le vrai prix de l'or et de l'argent est révélé.

    Le premier obstacle est de trouver un revendeur. Ce n'est pas si facile que ça en a l'air.

    Trouvez le bon revendeur

    Il existe des centaines de revendeurs en ligne disponibles. Certains ont une bonne réputation et offrent un service hors pair. (J'aime Hard Assets Alliance, dans laquelle, dans un souci de divulgation complète, mon éditeur détient une participation).

    D'autres sont sordides et essaient de vous pousser dans des «pièces rares» à prix élevé (cela ne vaut pas la peine à moins que vous ne soyez un véritable collectionneur, auquel cas vous devriez vous tourner vers un revendeur de pièces rares établi). Sinon, ils sont probablement plus intéressés par votre entreprise IRA que par la livraison de pièces et de barres.

    Les commissions des concessionnaires varient également et peuvent être assez élevées.

    À l'heure actuelle, le site Web de la Royal Mint du Royaume-Uni propose un lingot d'or d'une once troy avec une majoration ou une commission de 9,2% sur le prix du COMEX.

    Les commissions ou majorations en argent sont encore plus importantes. Une prime de 15% sur les pièces d'argent n'est pas inhabituelle. Cela ferait passer le prix d'une pièce d'argent d'une once de 26,82 $ (le prix actuel du COMEX) à 30,85 $ ou plus.

    Bien sûr, cela suppose la disponibilité. La Monnaie américaine a périodiquement annoncé qu'elle ne prendrait pas de nouvelles commandes des concessionnaires en raison d'une pénurie de lingots et de capacité de frappe. La Monnaie ne reste en activité que pour exécuter les commandes existantes jusqu'à nouvel ordre.

    Alors, encore une fois, quel est le prix de l’or ou de l’argent ?

    La réponse dépend si vous voulez un contrat papier ou des lingots physiques. Cela dépend si vous voulez un effet de levier (et des appels de marge) ou une propriété pure et simple. Cela dépend si vous achetez une nouvelle production ou des pièces plus anciennes, plus rares, etc.

    Les taxes de vente, les frais de stockage, les frais d'assurance, les taux de change (si vous achetez auprès d'un monnayeur étranger) et les frais d'expédition rendent les calculs encore plus compliqués.

    Deux points à retenir

    Malgré ces variables, deux choses sont claires.

    Le coût de possession de pièces d'investissement ou de lingots que vous pouvez tenir dans votre main est sensiblement plus élevé que les «prix» officiels que vous voyez indiqués sur les bourses. Cela vous indique que les lingots réels sont considérablement plus rares que les lingots de papier.

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  13. Le deuxième point est que la rareté des lingots physiques par rapport aux contrats d'or et d'argent papier émergera avec une vengeance dans une panique d'achat résultant d'un certain nombre de catalyseurs, y compris la guerre, une nouvelle pandémie, un krach boursier, des faillites bancaires ou sociales. désordre. Les détenteurs de papier essaieront de se convertir au format physique et constateront qu’il est trop tard. Les coffres seront vides.

    La leçon pour les investisseurs est également claire. Obtenez votre or ou argent physique maintenant pendant que vous le pouvez encore. Ne vous inquiétez pas des commissions, car c’est le prix réel. Alors reposez-vous tranquille.

    Je prédis que l'or finira par atteindre 15 000 $ l'once. Les commissions ne sont rien quand on regarde la situation dans son ensemble.

    La panique d'achat n'est qu'une question de temps.

    https://www.zerohedge.com/commodities/rickards-whats-real-price-gold

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    1. Comme le volume mondial de métal s'arrête au cube de 21 m d’arête et qu'il n'y en a plus qui circule, il font comme si ! Ils jouent donc avec des haricots auxquels ils attribuent une valeur...or !!
      Ainsi, le papier-cul "Bon pour une tablette de chocolat" s'affiche t-il en Bourses avec toute la merde qu'il représente !

      La valeur du métal or ? 1000 000 fois la valeur donné au papier-cul ! (mais n'est pas échangeable !).

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  14. La porte dérobée au revenu de base universel


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021-11: 45
    Rédigé par Kristoffer Mousten Hansen et Peter C.Earle via l'American Institute for Economic Research,


    La route de l'enfer, selon un vieil adage, est pavée de bonnes intentions. Et il se peut que la voie pour mettre en œuvre avec succès des politiques répréhensibles soit forgée simplement en ne les nommant pas. Il n’est pas surprenant que les crises accélèrent l’adoption, ou du moins l’examen, de ce qui était autrefois des propositions limites.

    Mais ce sera une surprise pour la plupart que l’introduction de telles politiques soit en cours, bien que par le biais d’éléments politiques silencieux et apparemment inoffensifs.

    MMT furtif
    Dans un effort pour contrebalancer les résultats des politiques pandémiques - pas les effets d'un virus, pour être clair, mais les effets des interventions non pharmaceutiques - les mesures monétaires et fiscales adoptées par le gouvernement fédéral ont été sans précédent. Le bond massif de la masse monétaire au cours de l'année écoulée ne laisse guère de doute sur le fait que l'esprit de la théorie monétaire moderne (MMT) règne à Washington, même si ce n'est pas encore une doctrine officielle.

    - voir graphique sur site -

    (Source: Bloomberg Finance, LP)

    Les intellectuels (et les politiciens) du camp MMT sont au milieu d'une poussée médiatique complète: des livres, des interviews et d'autres activités promotionnelles affluent, tous conçus pour prendre pied dans la mentalité publique pour la dernière doctrine inflationniste. est que l'esprit public absorbe et accepte l'idée que l'augmentation considérable de la masse monétaire n'a pas d'importance tant que l'État peut siphonner de l'argent par la fiscalité si l'inflation des prix se matérialise. L'histoire suggère qu'avec la répétition et une place de premier plan dans l'académie, cet objectif est facilement réalisable. Des chauffeurs de bus aux comptables en passant par les médecins, les Américains semblent avoir admis que la consommation est le seul moteur de la croissance économique et que les mesures non conventionnelles introduites par la Réserve fédérale et par le Congrès sont tout à fait inoffensives.

    Les effets du traitement du dollar comme s'il était exempt de la loi de l'utilité marginale décroissante –– courbes de demande à pente descendante –– sont déjà apparents. Le rendement du bon du Trésor américain à 10 ans est passé de 0,60 % à 1,60 % en sept mois…

    - voir graphique sur site -

    (Source: Bloomberg Finance, LP)

    … Avec le spread US Treasury-TIPS à 5 ans exprimant les attentes du marché selon lesquelles l'inflation annuelle moyenne (mesurée par l'IPC) atteindra 2,5 % au cours des cinq prochaines années. (Ce n'est pas un hasard si, comme le montre l'histogramme en bas à droite, la valeur la plus extrême en plus d'un an arrive juste au moment où le dernier projet de loi Covid-19 arrive sur le bureau du président Joe Biden.)

    - voir graphique sur site -

    (Source: Bloomberg Finance, LP)

    Porte arrière UBI
    Le projet de loi de secours actuel de Covid-19 ne contient pas de dispositions explicites relatives à l'UBI. Cependant, il poursuit certains des programmes existants mis en place pour offrir une aide financière aux Américains, ainsi qu'une série de nouvelles allocations et crédits d'impôt, ce qui conduit certains à supposer qu'il s'agit d'une sorte de «waystation» stratégique qui pourrait, un jour, faciliter un déploiement plus large des politiques de revenu garanti.

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  15. Comme l'a souligné le comité de rédaction du Wall Street Journal,

    L'allocation chômage hebdomadaire améliorée du gouvernement fédéral… sera prolongée jusqu'au 6 septembre… La plupart des chômeurs gagneront encore au moins 600 $ par semaine lorsque les prestations de l'État sont incluses et autant qu'ils travaillaient. Les démocrates ont également exempté les premiers 10 200 $ de paiements perçus l'année dernière des impôts fédéraux pour les ménages dont le revenu est inférieur à 150 000 $. Cette exonération augmentera leur valeur jusqu'à 24 % en fonction du revenu et de la tranche d'imposition du ménage.

    Il y en a beaucoup d'autres, y compris de nouveaux crédits d'impôt remboursables et d'autres subventions, qui arrivent tous au moment même où les vaccinations s'accélèrent et que la croissance économique est au plus bas de l'année dernière. En effet, 67 économistes interrogés par Bloomberg ont prédit que le PIB augmenterait de 4,8 % en 2021; le CBO estime une croissance de 4,6 %.

    - voir graphique sur site -

    (Source: Bloomberg Finance, LP)

    Une poignée de villes américaines (y compris Richmond, Virginie et Saint-Paul, Minnesota) ont adopté des programmes pilotes, et quelque 25 autres (dont Pittsburgh, Pennsylvanie et Oakland, Californie) sont sur le point de commencer ou préparent des essais de programmes de revenu garanti. La poursuite de l'adoption de politiques de type UBI (peut-être «allégées») devrait être alarmante, car l'un de ses objectifs explicites est de lisser les effets des cycles économiques et des changements technologiques sur l'emploi. Bien qu'il s'agisse d'objectifs ambitieux, l'ouverture à la mise en œuvre de politiques préjudiciables l'emporte sur les biens prétendus. Même avant la pandémie, il y avait des pénuries de main-d'œuvre dans certains secteurs (construction et fabrication parmi eux). Les flux monétaires inconditionnels du gouvernement les perpétueront au moins indéfiniment, sinon les exacerberont.

    L'effondrement démontré des seuils pour la mise en œuvre d'interventions non pharmaceutiques, de schémas UBI permanents ou contingents pourrait abaisser encore la barrière. Certes, de nombreux décideurs ont mis en place des verrouillages, des ordonnances de maintien au foyer et des limitations de capacité en sachant très bien qu'ils détruiraient d'innombrables vies et moyens de subsistance. Mais avec la mise en place de programmes de revenu garanti, la justification politique des verrouillages et des ordonnances de maintien au domicile pourrait bien être élargie. En fin de compte, l'éclosion de tout agent pathogène n'importe où dans le monde - ou la menace de toute catastrophe, du terrorisme aux événements naturels - pourrait entraîner des cycles arbitraires et pendulaires d'ouverture et de fermeture d'entreprises et d'interactions sociales au niveau régional ou national.

    Conclusion

    Tous ces cadeaux sont conçus pour masquer les conséquences désastreuses des politiques destructrices mises en œuvre au cours de la dernière année et étendre les tentacules de l'État-providence encore plus loin dans la société grâce à l'adoption furtive de l'UBI. Le grand catalyseur de ce développement est la Réserve fédérale, car elle semble disposée à imprimer le montant d'argent nécessaire pour répondre aux souhaits de dépenses de Washington.

    Il ne fait aucun doute quant à ses conséquences destructrices, car la création de monnaie siphonne la richesse réelle des individus travailleurs et productifs, crée des distorsions des prix relatifs et récompense les gâchis inefficaces et les clients de l'aide sociale. La seule question est de savoir combien de temps la Réserve fédérale peut continuer à prétendre ne pas adopter officiellement le MMT. L'inflationnisme est maintenant le nom du jeu sur Capitol Hill et dans le bâtiment Eccles.

    https://www.zerohedge.com/economics/back-door-universal-basic-income

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  16. Le secteur des véhicules électriques est une «grande illusion de marché», déclare Arnott, une filiale de recherche


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021-12: 45


    Rob Arnott de Research Affiliates propose une vérification de la réalité indispensable pour l'espace EV.

    Les évaluations actuelles des VE sont dues à une "illusion de prix", a déclaré Arnott dans un nouveau document qualifiant les VE de "Big Market Delusion" cette semaine. «L'industrie des véhicules électriques, avec sa croissance astronomique de la capitalisation boursière au cours des 12 mois se terminant le 31 janvier 2021, est un excellent exemple d'une grande illusion de marché», a-t-il écrit.

    - voir graphique sur site -

    Dans son article, il définit une grande illusion de marché comme «lorsque toutes les entreprises d'un secteur en évolution se développent ensemble, malgré le fait qu'elles se font concurrence». Il a utilisé les compagnies aériennes comme exemple de la BMD dans le passé. La technologie «ne se traduit pas par de grandes fortunes pour les investisseurs à moins qu'elle ne soit associée à des barrières à l'entrée qui permettent à une entreprise de générer des rendements nettement supérieurs au coût du capital pendant une période prolongée», a-t-il soutenu.

    Il a également souligné la valorisation de Tesla, qui était devenue "presque à égalité" avec la valeur de 1,1 billion de dollars des constructeurs automobiles traditionnels. «À cette capitalisation boursière, Tesla représentait environ 75 % de la valeur marchande totale du groupe EV et 35 % de la valeur marchande de l'ensemble de l'industrie automobile. Une telle capitalisation boursière immense n'a de sens que si l'on s'attend à ce que Tesla finisse par dominer l’ensemble de l’industrie automobile, pas seulement le marché des véhicules électriques. »

    - voir graphique sur site -

    Arnott a déclaré que l'évaluation n'a de sens que si Tesla supprime la capitalisation boursière des autres constructeurs automobiles, ce qui n'est pas le cas. «Cependant, l'inverse est vrai. Alors que le cours de l’action de Tesla a grimpé en flèche, les prix des sociétés de VE concurrentes l’ont également été. »

    «Toutes ces entreprises sont évaluées comme si elles allaient être d'énormes gagnants, mais ce sont des concurrents. Ils ne peuvent pas tous assumer une part de marché dominante dans les années à venir ! » Le groupe a fait valoir que les évaluations automobiles ne sont «tout simplement pas viables à long terme».

    - voir graphique sur site -

    Le document a conclu en déclarant: «À notre avis, l'industrie des véhicules électriques d'aujourd'hui est un exemple classique de l'illusion du grand marché. Le phénomène des VE ne changera pas le fait que l'industrie automobile restera hautement compétitive et à forte intensité de capital, et toutes les entreprises ne le peuvent pas. soyez un gagnant."

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  17. - voir graphique sur site -

    Il a poursuivi: «En outre, on ne sait toujours pas comment le simple fait de changer de moyen de propulsion automatique rendra l'ensemble du marché des véhicules électriques légers plus rentable, une hypothèse que le marché fait actuellement. comme ce fut le cas lors des précédents booms de l'industrie - qu'il s'agisse de l'automobile, des compagnies aériennes ou de la technologie - et avec le temps, la valeur totale de l'industrie retombera à des niveaux plus raisonnables."

    https://www.zerohedge.com/markets/ev-sector-big-market-delusion-research-affiliates-arnott-says

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    1. Le prix d'un véhicule électrique est corrélé à la valeur donnée aux éoliennes et PV comme aux papier-cul !

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  18. Billet du vendredi : Comment a-t-on pu en arriver là ?


    vendredi 12 mars 2021


    Tout cet emballement pseudo-scientifique, qui se développe autour du Covid, ne fait que confirmer cette maxime de Rabelais, bien connue de tous depuis les bancs de l'école et vite oubliée une fois entrés dans la vie dite adulte : "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Cette capacité d'oubli de l'homme, qui est devenue le pivot de notre art de vivre, a des conséquences funestes. Tout d'abord, nous avons abdiqué notre humanité et notre âme, pour ensuite, en toute logique, déposer notre corps et nos cellules entre les mains de "scientistes", faisant de leur art un outil de puissance. Cette science, qui devait sauver l'homme, le surveille, l'utilise, l'instrumentalise. Elle est devenue enjeu de pouvoir, un instrument de puissance. Elle n'est plus Science. Et nous ne sommes plus des Hommes. Comment a-t-on pu en arriver là ?

    L'actualité française s'emballe encore une fois au sujet de toute une panoplie scientifico-technologico-commerciale, qui doit prendre en main notre vie covidée, notre existence réduite à sa dimension biologique.

    La vaccination présentée comme incontournable pour sortir de cette crise sanitaire semble finalement ressembler à une opération commerciale géante, utilisant des populations écrasées pour tester à grande échelle des produits certifiés à la va-vite, sur critère idéologique. Si l'UE rejette toujours le vaccin russe, ne présentant pas d'effets secondaires particuliers, AstraZenaca lui passe sans problèmes. Et la France semble être à la pointe du progressisme, quand de plus en plus de pays suspendent son utilisation, que d'autres la retardent suite à des décès douteux, ayant eu lieu après vaccination. La France, elle, estime qu'il n'y a aucun risque, aucune relation de cause à effet. Et même l'UE en redemande. En manque de vaccins, elle exhorte les Etats-Unis à lui en envoyer.

    Donc, la France et l'UE utilisent les populations pour continuer l'expérimentation d'un vaccin prématurément certifié, puisque l'ampleur des effets secondaires ne fait qu'apparaître. La dimension commerciale de l'opération n'est pas à négliger et les liens entre d'une part La Fondation Bill Gates et Oxford pour la fabrication du vaccin, et parallèlement entre l'OMS et cette même fondation, qui est l'un des plus gros contributeurs, laisse supposer des raisons non-médicales à cette fuite en avant.

    Comme l'écrivait Oppenheimer en introduction de son ouvrage "La science et le bon sens", la science influence les conditions de vie de l'homme, sa vision de la société autant que sa perception de lui-même.

    "La science a modifié les conditions d'existence de l'homme. Elle en a changé les conditions matérielles ; par là, elle a transformé notre travail et notre repos, la puissance des individus et des groupes humains, ainsi que les limites de cette puissance ; les moyens, les instruments autant que la substance de notre savoir, les conditions et la forme dans laquelle nous jugeons du vrai et du faux. Elle a transfiguré les sociétés dans lesquelles nous vivons, aimons, apprenons et agissons. Elle nous a donné le sentiment intense et pénétrant d'une évolution dans le laps de notre vie. En un mot, les idées scientifiques ont renouvelé la conception que les hommes se font d'eux-mêmes et de l'univers."

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  19. Et grâce au Covid, aucune barrière morale n'est plus opposable à cette "évolution", qui ressemble à s'y méprendre, désormais, à une régression. La science n'existe pas indépendamment de la société et de l'homme, elle tient une place, parmi d'autres dans ces rapports complexes, qui constituent l'homme complexe. Elle se frotte à la morale, à la religion, à la philosophie, à l'histoire, la tradition, ce qui l'oblige à rester dans des limites, qui la rendent bénéfiques, car sans fanatisme, sans radicalité. Or, les sociétés postmodernes ont tué Dieu pour y faire trôner le frêle Individu, l'histoire est remplacée par un conte déraciné, la durée par l'instant, la morale et la philosophie par la tolérance. La science a le champ libre. Elle peut être instrumentalisée sans barrière, elle devient instrument de puissance en perdant sa nature scientifique.

    Puissance de l'argent, tout d'abord. Car si les économies nationales s'effondrent, certains domaines liés à la pharmaceutique ou aux technologies, eux, font des bénéfices. Puissance politique aussi, car c'est un moyen de gouvernance. Gouvernance par la peur et la surveillance. L'on appréciera en ce sens l'idée des passeports sanitaires pour limiter et contrôler les déplacements à l'extérieur d'un territoire, des QR Codes pour surveiller les déplacements à l'intérieur d'un territoire, etc. Mais la puissance passe également par l'écrasement des populations, l'annonce d'un "test temporaire" de surveillance vidéo dans les transports pour chiffrer les non-masqués arrive, puisqu'il va bien falloir relâcher les survivants - biologiquement parlant. Et rien ne dure plus longtemps que le temporaire. Or, la soumission, elle, ne doit pas être temporaire.

    Et la boucle de la puissance de l'argent conjuguée à la puissance politique se referme, s'entretient, s'augmente, devient spirale, puisque ces "trouvailles" favorisent et la pharmaceutique et les technologies, donc leurs intérêts et commerciaux et leur instrumentalisation politique.

    Et la société est transformée autant que l'homme. Fini l'homme complexe, bonjour l'homme molécule, l'Homo Covidicus - que l'on sort et rentre à volonté, que l'on masque, que l'on pique. Finie la société complexe, bonjour l'alignement.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2021/03/billet-du-vendredi-comment-t-on-pu-en.html

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    1. Attention, erreur d'identification: Le 'vaccin' N'EXISTE PAS ! Il ne s'agit que d'EXPERIMENTATIONS directes sur des cobayes ! Si les vaccinés meurent ou sont handicapés à vie ce ne sont pas les merdias ni les politichiens qui vous le diront !

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  20. Bovard: les verrouillages ont détruit la démocratie dans le monde


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 23:40
    Rédigé par James Bovard via l'American Institute for Economic Research,


    Alors que le nombre de décès attribués à Covid-19 est soigneusement suivi par les gouvernements, peu de gens ont reconnu à quel point les répressions provoquées par une pandémie ont dévasté la démocratie dans le monde. Les proclamations d'urgence ont autorisé les présidents et autres représentants du gouvernement à saisir de vastes nouveaux pouvoirs qui leur étaient auparavant interdits.

    Les bureaucrates du gouvernement sont devenus un nouveau sacerdoce qui pouvait sanctifier des sacrifices illimités simplement en invoquant des extrapolations statistiques douteuses des périls futurs.

    En octobre, Freedom House a publié un rapport, Democracy under Lockdown - The Impact of COVID-19 on Global Freedom, qui avertissait que depuis le début de la pandémie, «la condition de la démocratie et des droits de l'homme s'est aggravée dans 80 pays». Sarah Repucci, co-auteur du rapport, a averti que «les réponses des gouvernements à la pandémie érodent les piliers de la démocratie dans le monde». Les abus de pouvoir ont été motivés par la présomption que les représentants du gouvernement ont droit à tout le pouvoir dont ils prétendent avoir besoin pour assurer la sécurité des gens.

    Lorsque la pandémie est arrivée en Amérique, les gouverneurs de nombreux États ont réagi en lâchant l'équivalent d'une bombe à neutrons inversés - quelque chose qui détruit l'économie tout en laissant soi-disant indemnes les êtres humains. Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a établi la norme lorsqu'il a effectivement déclaré qu'il était en droit d'infliger n'importe quel fardeau aux résidents de son État pour «sauver une seule vie». La gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, a interdit à quiconque de quitter son domicile pour rendre visite à sa famille ou à des amis. Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a interdit aux gens de marcher ou de faire du vélo à l'extérieur. Plus de dix millions d'emplois ont été perdus à cause des verrouillages, l'une des principales raisons pour lesquelles l'espérance de vie aux États-Unis a connu l'an dernier sa plus forte chute depuis la Seconde Guerre mondiale.

    L'Australie a imposé certaines des restrictions les plus sévères. En août, l'État de Victoria a dicté 20 heures. à 5 heures du couvre-feu pour la région de Melbourne et interdit aux gens de s'aventurer à plus de cinq kilomètres de leur résidence. Le premier ministre de Victoria, Daniel Andrews, a décrété: "Là où vous avez dormi la nuit dernière est l'endroit où vous devrez rester pendant les six prochaines semaines." Melbourne a été frappée par des verrouillages répétés depuis lors.

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  21. La Grande-Bretagne a déchaîné certaines des restrictions les plus absurdes. En juin, il a interdit aux couples vivant dans des maisons différentes d'avoir des relations sexuelles à l'intérieur. The Independent (Royaume-Uni) a noté: «Les personnes qui ont des relations sexuelles à l'extérieur peuvent être punies en vertu des lois préexistantes visant à outrager la décence publique et à dénoncer à la pudeur.» Steve Watson a rapporté en janvier pour Summit News que les ministres britanniques «avaient débattu en privé pour empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, et même empêcher les gens de quitter leur domicile plus d'une fois par semaine, et instaurer des couvre-feux». Le ministre britannique des Vaccins, Nadhim Zahawi, s’est inquiété: «Je suis préoccupé par certaines des photos que j’ai vues d’interactions sociales dans les parcs, si vous devez faire de l’exercice, vous ne pouvez sortir que pour faire de l’exercice.» Apparemment, un vœu national de silence est nécessaire pour combattre Covid. Summit News a noté: «La police exige également de nouveaux pouvoirs pour forcer l'entrée dans les maisons des contrevenants présumés du verrouillage.» L'ancien juge de la Cour suprême britannique, Jonathan Sumption, s'est plaint le mois dernier: «Les voyages à l'étranger sont interdits, ce qui fait de nous une île ermite parce que nous ne pouvons pas savoir quelles mutations peuvent se cacher là-bas. La logique de ces politiques est que nous devons être enfermés pour toujours simplement parce que le monde est un endroit dangereux.

    La Nouvelle-Zélande a imposé quatre verrouillages distincts dans sa quête pour bannir le virus de l'île, plaçant à plusieurs reprises les résidents de la capitale en résidence surveillée. En octobre, le gouvernement a annoncé qu'il créait des «centres de quarantaine» pour toute personne dont le test est positif et refuse d'obéir aux ordres du gouvernement. Un wag de Twitter s'est moqué: «La Nouvelle-Zélande est passée de l'interdiction des armes à feu aux camps de concentration en moins d'un an.»

    Les horreurs de Covid ont été plus dramatiques dans certains pays en développement.

    En Ouganda, comme l'a rapporté The Economist, Francis Zaake, un membre du parlement, a livré de la nourriture à ses électeurs les plus nécessiteux lors d'une pandémie de verrouillage. Mais «le président ougandais Yoweri Museveni a ordonné que seul le gouvernement puisse distribuer une aide alimentaire. Quiconque le fait peut être accusé de meurtre, a menacé M. Museveni, car ils pourraient le faire de manière désordonnée, attirer les foules et ainsi propager le coronavirus.

    La police et les soldats sont entrés de force dans la maison de Zaake et «l’ont traîné dans une camionnette et l’ont jeté dans une cellule. Il dit qu'ils l'ont battu, lui ont donné des coups de pied et l'ont coupé, lui ont écrasé les testicules, lui ont pulvérisé un produit chimique aveuglant dans les yeux, l'ont traité de chien et lui ont dit de quitter la politique. Il prétend que l’un d’entre eux a ricané: «Nous pouvons faire tout ce que nous voulons pour vous ou même vous tuer… Personne ne manifestera à votre place parce qu’ils sont sous clef.» »

    Au Kenya, la police a tué au moins 15 personnes au cours de la répression brutale des présumés contrevenants aux décrets de verrouillage. Amnesty International a déclaré que la pandémie de Covid-19 était «l'orage parfait pour la violence de masse aveugle» de la police, grâce à «la culture généralisée de l'impunité parmi les membres des services [de police] qui s'appuient sur la corruption systémique».

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  22. Les journalistes de nombreux pays ont risqué leur peau s’ils violaient le monopole des politiciens sur la peur. Près d'une centaine de pays ont imposé de nouvelles restrictions à la liberté d'expression et à la liberté de la presse depuis le début de la pandémie. Freedom House a rapporté: «Les gouvernements ont adopté une nouvelle législation contre la diffusion de« fausses nouvelles »sur le virus. Ils ont également limité les interrogatoires indépendants lors des conférences de presse, suspendu l'impression des journaux et bloqué des sites Web. » Reporters sans frontières, une organisation à but non lucratif pour la liberté de la presse, a averti: «La plupart des gouvernements ont cédé à la tentation, en recourant à diverses mesures répressives…, de faire des canaux officiels les seules sources d'information crédibles et faisant autorité.» De nombreux régimes ont élargi la définition de «fake news» pour justifier la répression:

    «En Éthiopie, la définition de la désinformation est si large qu'elle donne aux autorités le pouvoir discrétionnaire de déclarer toute information fausse.»

    «En Inde, en Égypte, au Botswana et en Somalie, seules les déclarations du gouvernement sur le sujet peuvent être publiées.»

    «Au Cambodge, le gouvernement s'est donné le pouvoir légal d'interdire la publication de« toute information susceptible de provoquer des troubles, de la peur ou du désordre ».

    Au Rwanda, le journaliste qui dirige la chaîne d'information YouTube Ishema TV a été emprisonné pour avoir enfreint les règles de verrouillage de Covid. «Au moment de son arrestation, il faisait état des effets du verrouillage sur la population et enquêtait sur les allégations de viols commis par des soldats chargés d'appliquer le verrouillage», note Reporters sans frontières.

    Au Zimbabwe, quiconque «publie ou diffuse des informations« fausses »sur un fonctionnaire, ou qui entrave la réponse à la pandémie, risque jusqu'à 20 ans de prison», a rapporté The Economist.

    La Tanzanie a subi une vague de censure après que le président du pays a publiquement dénoncé Covid-19 comme un «complot occidental». «Plusieurs organes de presse, dont le principal journal en swahili du pays, Mwananchi, ont été fermés après avoir publié des articles sur Covid-19. D'autres ont été contraints de diffuser des excuses après avoir diffusé des reportages sur le sujet qui ont provoqué la colère des autorités », a noté Reporters sans frontières.

    En Thaïlande, a rapporté Amnesty International, «les autorités poursuivent les utilisateurs des médias sociaux qui critiquent le gouvernement et la monarchie dans une campagne systématique pour écraser la dissidence qui est exacerbée par les nouvelles restrictions du COVID-19. Les autorités n’ont pas perdu de temps à utiliser les lois répressives existantes afin de censurer les «fausses» communications liées au COVID-19. » Le gouvernement a décrété des peines de cinq ans de prison pour tous les journalistes ou médias thaïlandais qui ont publié des informations selon lesquelles les responsables de l’information jugent «capables de semer la peur dans le public».

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  23. «Le gouvernement sait ce qu'il y a de mieux» est le sous-texte des décrets arbitraires publiés dans le monde. Un article de l'Associated Press en janvier expliquait pourquoi les Californiens se voyaient refuser l'accès aux informations qui déterminaient le sort de leur liberté: «Les responsables de la santé de l'État ont déclaré qu'ils s'appuyaient sur un ensemble très complexe de mesures qui confondraient et pourraient induire le public en erreur si elles étaient rendues publiques. . » Mais de nombreuses politiques dictatoriales fondées sur les données reposaient sur des données frauduleuses, artificielles ou ridiculement inexactes. Le jour où Joe Biden a été inauguré en tant que président, l'Organisation mondiale de la santé a modifié la norme de test pour définir les cas de Covid, garantissant que beaucoup moins de «cas» seraient signalés et se moquant ainsi des données des 10 derniers mois.

    Les précédents de la pandémie représentent un péril à long terme pour la liberté dans le monde. Freedom House s'attend à ce que «les réponses officielles au COVID-19 aient jeté les bases des excès du gouvernement qui pourraient affecter la démocratie dans les années à venir». Cela était prévisible depuis le début de la pandémie, mais les médias de certains pays occidentaux ont été les plus grands pom-pom girls pour avoir effacé les limites du pouvoir politique. Le secret qui a proliféré pendant la pandémie rendra plus difficile pour les citoyens de reconnaître à quel point ils ont été mal gouvernés.

    À l'avenir, les citoyens de nombreux pays pourraient apprécier ce vieil adage de la politique américaine: «La Constitution n'est pas parfaite, mais elle est meilleure que ce que nous avons actuellement.» Le juge fédéral William Stickman IV a déclaré en septembre: «Les verrouillages à l'échelle de la population sont une inversion si dramatique du concept de liberté dans une société libre qu'ils sont presque présomptivement inconstitutionnels.» Mais à moins d'une décision sévère similaire de la Cour suprême, les fermetures pourraient revenir chaque fois que les politiciens peuvent paniquer suffisamment de citoyens avec une nouvelle menace.

    Les victimes du lock-out dans le monde entier auraient intérêt à tenir compte de l’avertissement de Thomas Jefferson de 1798 selon lequel la doctrine «selon laquelle le gouvernement général est le juge exclusif de l’étendue des pouvoirs qui lui sont délégués [n’est] rien de moins que du despotisme; car le pouvoir discrétionnaire de ceux qui administrent le gouvernement, et non la Constitution, serait la mesure de leurs pouvoirs. La pandémie a douloureusement illustré comment les responsables du gouvernement peuvent toujours concocter les données pour justifier le décret qu'ils ont envie de publier. Et quels que soient les décès et les perturbations inutiles causés par les politiques gouvernementales, ce seront les opposants aux verrouillages qui seront qualifiés de grands-mères tueurs.

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  24. L’administration Biden est en train de relancer le prosélytisme américain pour la démocratie dans le monde entier. Mais la répression de Covid-19 est un avertissement pour que les gens se méfient des gouvernements oppressifs quel que soit leur mandat présumé. Le monde n’a plus besoin de démocraties de gardiens de cage où les bulletins de vote des citoyens désignent simplement qui les placera en résidence surveillée.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/bovard-lockdowns-wrecked-democracy-around-world

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  25. Visualiser la hausse du coût des études collégiales aux États-Unis


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 12 MAR 2021 - 23:20


    Le coût moyen d'obtention d'un diplôme universitaire a grimpé en flèche par rapport à l'inflation globale au cours des dernières décennies. En fait, comme le détaille maintenant Govind Bhutada de Visual Capitalist, depuis 1980, les frais de scolarité et les frais universitaires ont augmenté de 1 200 %, tandis que l'indice des prix à la consommation (IPC) pour tous les articles n'a augmenté que de 236 %.

    En 1980, il en coûtait 1856 dollars pour fréquenter une école publique délivrant des diplômes aux États-Unis et 10 227 dollars pour fréquenter une école privée après ajustement pour tenir compte de l'inflation. Depuis, les chiffres sont montés en flèche. Voici comment les frais de scolarité et l'IPC ont tous deux changé depuis 1980:

    - voir graphique sur site -

    Source: Centre national des statistiques de l'éducation, U.S. News

    Remarque: les frais de scolarité et les frais sont en dollars constants de 2018-2019. Pour les écoles publiques, les frais de scolarité et les frais de scolarité en vigueur dans l'État sont utilisés. Toutes les valeurs de variation de l'IPC en% sont calculées pour le mois de janvier.
    Selon le Bureau of Labor Statistics, la plus forte variation d'une année à l'autre des frais de scolarité et des frais de scolarité des collèges a été enregistrée en juin 1982 à 14,2 % - et au cours de la même période, l'inflation globale a augmenté de 6,6 %.

    D'un autre côté, novembre 2020 a connu la plus faible variation d'une année à l'autre du coût moyen des études collégiales à 0,6%, principalement en raison du passage aux cours en ligne au milieu de la pandémie COVID-19. En fait, certaines écoles offrent des rabais aux étudiants, et certaines annulent même entièrement les augmentations prévues des frais de scolarité dans le but de rester attrayantes.

    Pourquoi le coût du collège augmente-t-il ?

    S'il est difficile de déterminer les raisons exactes de la flambée rapide du coût de l'éducation, quelques facteurs pourraient aider à expliquer pourquoi les collèges américains augmentent leurs prix.

    Diminution du financement de l'État

    Le financement de l'État par étudiant est passé de 8800 dollars (2007-08) à 8200 dollars (2018-19), tandis que la part des frais de scolarité dans les revenus des collèges augmentait.

    Augmentation de la demande

    La demande d'études collégiales a augmenté au fil du temps. Entre 2000 et 2018, les inscriptions au premier cycle dans les établissements décernant des diplômes ont augmenté de 26%.

    Augmentation de l'aide fédérale

    Selon une étude de la Fed de New York, chaque dollar de prêt étudiant fédéral subventionné augmente les frais de scolarité de 0,60 dollar. La dette des prêts étudiants a doublé depuis la récession de 2008.

    En outre, les coûts de l'enseignement, appelés dépenses institutionnelles, ont également augmenté au fil du temps. Celles-ci comprennent les dépenses consacrées à l'enseignement, aux services aux étudiants, au soutien administratif, aux opérations et à l'entretien, qui sont tous essentiels à l'expérience des étudiants.

    Avec la dette étudiante à des niveaux sans précédent et les débats publics en cours autour de la hausse des coûts de l'éducation, on ne sait pas comment les frais de scolarité vont évoluer. Cependant, étant donné le début des cours virtuels, d'autres hausses des frais de scolarité pourraient être suspendues dans un avenir prévisible.

    https://www.zerohedge.com/economics/visualizing-rising-cost-college-us

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