Le « capitalisme vert » monétise l’air que nous respirons.
le 14 juillet 2019
Dans le monde néolibéral qui a tout monétisé il restait l’air que l’on respire à classer dans la catégorie profitable de la monétisation. Pour arriver à cette extrémité idéologique il aura fallu des années de préparation psychologique pour faire admettre au public qu’il était opportun de monétiser l’air et en particulier l’un de ses composants mineurs le gaz carbonique. Le prétexte, soigneusement préparé par les instances onusiennes avec l’aimable collaboration d’une multitude d’organisations non-gouvernementales, collaboration consentie ou imposée, était de sauver la Terre de la fournaise programmée dans laquelle elle serait précipitée si « on ne faisait rien » pour le climat. S’appuyant sur des bases scientifiques erronées ou inexistantes, les organismes officiels onusiens ont obtenu carte blanche de clubs sectaires comme « les hommes de Davos » ou le groupe de Bilderberg pour pratiquer inlassablement depuis plusieurs décennies un conditionnement de l’ensemble des populations afin qu’elles deviennent consentantes à l’impôt « pour » le climat, ouvrant ainsi la grande porte au profit en faisant payer ces populations afin d’avoir accès à ce qui était jusqu’alors gratuit : l’air que l’on respire.
Ce processus a suivi à la lettre le cheminement idéologique de l’Eglise catholique décadente de la fin du Moyen-Age. Il faut aujourd’hui, comme ce fut le cas aux XIVe et XVe siècles, acheter le droit de respirer comme l’Eglise vendait des indulgences pour avoir le droit au salut de l’âme, au repos éternel et à la résurrection. Ce ne seront plus des morceaux de papier distribués par le Vatican contre de la monnaie sonnante – si possible en or – mais des « crédits carbone », des droits d’émission de carbone, des obligations vertes de toutes sortes, et naturellement des taxes appliquées à tout produit de consommation courante qui provoque un rejet de carbone dans l’atmosphère, c’est-à-dire presque tout ! Toutes les institutions financières se préparent activement à cette véritable révolution car il y a très gros, très très gros à gagner.
Dans la ligne de cette idéologie totalitaire chaque individu sera taxé car lui-même respire et contribue donc aux émissions de gaz carbonique et le capitalisme vert, de Davos à Wall Street, c’est-à-dire des deux côtés de l’Atlantique a déjà songé à instituer ce type de taxe. De plus une campagne malthusienne honteuse prend de l’ampleur car faire des enfants est une source supplémentaire de gaz carbonique. Dans le même ordre d’idées il faudra éliminer tout objet, tout équipement, toute consommation gros producteurs de gaz carbonique et les remplacer par d’autres objets, d’autres équipements et d’autres consommations compatibles avec cette nouvelle religion malgré le fait que cette mutation, appelée ironiquement « croissance verte », produira infiniment plus de gaz carbonique que ce qu’il en est aujourd’hui.
L’enjeu planétaire et mercantile de cette nouvelle idéologie qu’est en réalité le capitalisme vert se heurtera inévitablement à l’attitude de tous les pays qui ont d’autres préoccupations que de réduire leurs émissions de carbone. Tous ces pays, répartis entre l’Amérique du sud et l’Asie en passant par l’Afrique, ne réduiront pas leurs émissions de carbone, ni ne paieront une quelconque taxe, ni ne se hasarderont à Wall Street ou à Londres pour jouer au grand casino des crédits carbone. Sans la mise en place d’une gouvernance mondiale autoritaire les objectifs de cette mafia climatique, depuis Al Gore, Davos, les ONGs « philanthropiques » et les élites capitalistes, continuera à se réunir en voyageant dans des jets privés pour profiter de plages de sable fins à l’ombre des cocotiers en peaufinant, au cours de « conférences vertes », la prédation du plus grand nombre pour le profit de la plus restreinte communauté financière.
Enfin, l’autre objectif inavoué de cette idéologie verte est de sauver le capitalisme néo-libéral moribond. L’enthousiasme suscité auprès de centaines de millions de personnes, essentiellement dans les pays développés, pour sauver la planète est le résultat d’une manipulation des opinions par ces puissances financières non pas pour sauver le climat mais pour en profiter, non pas pour sauver la nature et la biodiversité mais pour financiariser ces deux derniers sujets d’intérêt dans l’unique but de réaliser des profits se comptant en centaines de milliers de milliards de dollars, de livres ou d’euros.
Pour illustrer le propos mentionné plus haut, à savoir que de nombreux pays ne se plieront jamais aux injonctions du capitalisme occidental, la Chine, par exemple, doit avant toute chose gérer plus de 1,3 milliards d’habitants et le sauvetage du climat ou de la planète n’est pas sa préoccupation première, et de très loin. Il suffit d’examiner la production d’énergie électrique de ce pays :
- voir graphique sur site -
Comment peut-on imaginer que la Chine, l’Inde ou encore l’Indonésie mettent en place une taxe carbone ? Et à l’échelle mondiale, paradoxalement, il en est de même :
- voir graphique sur site -
La seule solution pour « sauver le climat » ou « sauver la biodiversité » en réduisant la production de carbone est simple : provoquer une dépression globale qui réduira la consommation de tous les biens de 50 % et détruira 98 % de la fortune fantôme des élites globalisées qui tentent de monétiser l’air que nous respirons. Le « Green New Deal » proposé par la représentante démocrate Alexandria Ocasio-Cortez mettrait en oeuvre – uniquement aux USA – la pharaonique somme de 93 000 milliards de dollars pour décarboner l’économie américaine. Si cette somme ne vous parle pas elle représente 600 000 dollars par foyer fiscal américain selon l’Office du Budget du Congrès américain. AOC semble ignorer quelles seront les conséquences d’un tel programme, et pourtant non : elle les connait, et c’est l’objectif poursuivi par tous ces partisans fanatiques du réchauffement du climat d’origine humaine. Un tel programme va provoquer des dommages irréparables dans les économies des pays occidentaux, et pas seulement aux USA. Le niveau de vie des citoyens de la majorité des pays de l’OCDE va inévitablement diminuer dans des proportions encore difficiles à imaginer. J’ai mentionné ci-dessus une chute de la croissance économique de 50 %, c’est une figure optimiste ! L’urgence – il faut que tout soit mis en place dans les 12 ans qui viennent – rendra très rapidement cette politique totalement hors de contrôle, et à la misère dans laquelle les peuples seront plongés s’ajoutera une dégradation tout aussi irréversible de l’environnement afin de produire massivement les matériaux nécessaires à cette transition énergétique. L’avenir n’est plus « vert » mais très noir …
Source partielle : charleshughsmith.blogspot.com, illustration NASA
Après l'eau gratuite qui sort des sources ou remplit les nappes phréatique, sont arrivées les 'stations d'épuration' qui coûtent une fortune aux contribuables et ne servent à rien puisque l'eau qui sort est imbuvable et que les mers & océans se chargent gratuitement d'en nettoyer des millions de kilomètres cubes d'eaux sales tous les jours !
Après l'eau l'air ! Tous les gaz se recyclent immédiatement et aucun n'a un pouvoir calorifique ni représente un poison autour de nous. Les mers & les océans dégazent tous les jours des milliards de fois plus de gaz que toute l'humanité, les animaux et l'industrie réunis !
Si les gaz ne se recyclaient pas la vie ne serait même pas apparue sur Terre !
Tout est fait pour ruiner les Peuples du monde qui accèdent et bénéficient de plus en plus au progrès. Tout est fait pour empêcher quiconque d'être riche alors qu'au 21è siècle c'est tout le monde qui devrait l'être ! Tout est fait pour empêcher la Démocratie de voir le jour dans les dictatures monarchiques, républicaines ou impériales !
Macron largement hué et sifflé lors de son passage sur les Champs-Élysées - vidéos
11:04 14.07.2019
Des sifflets ont été entendus quelques minutes après l’arrivée du Président de la République sur les Champs-Élysées. Il a ensuite été longuement hué et sifflé durant toute la descente de l’avenue.
Emmanuel Macron a été largement sifflé et hué, ce 14 juillet, lors de son passage sur les Champs-Élysées. Les premiers sifflets ont été entendus à quelques minutes du coup d'envoi du défilé de la Fête nationale.
Le Président a ouvert les festivités en descendant la principale avenue parisienne à bord d'un «command car».
«Démissionne !», ont scandé certains manifestants alors que la voiture passait devant la foule.
C'est le troisième défilé pour Emmanuel Macron depuis son élection en mai 2017. Il a entamé vers 10h00 la revue des troupes sur les Champs-Élysées aux côtés de son chef d'état-major, avant de rejoindre la tribune présidentielle place de la Concorde, où l'attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel ainsi que son épouse Brigitte Macron, ainsi que les membres du gouvernement dont François de Rugy.
La violence à Paris est pire depuis des mois alors que les vestes jaunes se heurtent à la police le jour de la fête nationale
par Tyler Durden Dim, 07/14/2019 - 12:05
La police anti-émeute française a une nouvelle fois affronté les manifestants après le défilé militaire du 14 juillet, à Paris, selon l'AFP.
Les manifestants ont violé les barrières de sécurité et incendié les poubelles, provoquant le déploiement de gaz lacrymogène et d'autres mesures de contrôle des foules. En dehors de l'AFP et de la RT / Ruptly de Russie, le MSM a largement ignoré ces manifestations.
Il est à noter que de nombreux manifestants ne portaient pas de gilet jaune, car tout le monde était empêché d'entrer dans la zone de rassemblement. Au lieu de cela, ils portaient des ballons jaunes.
- voir photo sur site -
Les affrontements ont perturbé la célébration nationale de la prise de la forteresse de la Bastille à Paris, en 1789, pendant la Révolution française - pour laquelle la France organise un défilé militaire annuel (imaginez si Donald Trump faisait de même!). Macron a été rejoint par plusieurs autres dirigeants européens, dont le Premier ministre néerlandais Mark Rutte et la chancelière allemande Angela Merkel.
- voir clip sur site -
Il a également été hué lors de la descente des Champs-Élysées, aux côtés du général François Lecointre, chef d'état-major de la France, selon le quotidien.
Il y avait un soldat volant à l'événement qui était modérément cool.
Comme le fait étrangement remarquer CNN, au moins 24 manifestants du gilet jaune ont perdu la vue au milieu des manifestations souvent violentes qui ont commencé en novembre dernier et se sont poursuivies de différentes tailles au cours des mois suivants.
- voir photo sur site -
L'organisateur du gilet jaune, Jerome Rodrigues, subit une blessure à l'œil
Breidenstein est l'une des 24 personnes au moins qui a perdu un œil depuis les manifestations "gilets jaunes", ou jaune, ont commencé en novembre 2018, selon Desarmons-Les, un groupe de soutien pour les personnes mutilées dans les rues des villes françaises.
Ce qui a commencé comme une campagne contre une hausse de la taxe sur l'essence s'est transformé en un rassemblement plus vaste contre le gouvernement du président Emmanuel Macron. Des scènes de violents affrontements ont éclaté en France. Les manifestants ont lancé des bombes d'essence et des briques pendant que la police antiémeute utilisait des canons à eau, des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes pour tenter de contenir la colère.
En mars, le ministère français de l'Intérieur a estimé à 2 200 le nombre de gilets jaunes blessés et à 1 500 le nombre de policiers blessés dans les affrontements. Le ministère ne donnerait pas à CNN le nombre de personnes ayant subi une blessure à la vue. -CNN
La police française a été largement condamnée par les Nations unies et par le Parlement européen pour leur usage apparent de la force excessive lors des émeutes de Yellow Vest.
Des vidéos montrant un CRS à terre frappé sur les Champs-Élysées apparaissent sur le Net
21:39 14.07.2019
Au cours des accrochages qui se sont produits ce dimanche 14 juillet sur les Champs-Élysées après le défilé et qui ont fait des blessés, un CRS tombé à terre a reçu des coups de pied, montre une vidéo publiée sur Twitter.
Pendant les troubles qui ont marqué ce dimanche matin l’avenue des Champs-Élysées, fait des blessés et conduit à des interpellations, un CRS se trouvant au sol a reçu des coups. La vidéo de la scène a été publiée par le journaliste freelance Clément Lanot.
Or, dans une autre séquence publiée sur le site de RTL, les mêmes événements sont filmés d’un autre angle. On y voit le même homme que la première vidéo s’approcher des CRS dans leur dos, alors qu’ils donnent des coups de matraque à deux personnes. Ensuite, lui et d’autres jeunes font tomber des CRS, distribuant des coups.
En réagissant à la publication de Clément Lanot, le Syndicat indépendant des commissaires de police a indiqué sur Twitter, en taguant David Dufresne en référence aux signalements à la place Beauvau que ce dernier fait, que le CRS qui se trouvait au sol avait été blessé.
Or, dans les commentaires en bas de ce dernier post, les internautes se sont montrés en général critiques. Les commentateurs ont attiré l’attention sur le fait que les forces de l’ordre tapaient des civils non casqués et que l’«homme n’avait pas l’air très blessé». D’autres ont diffusé des images montrant des violences policières.
Un commissaire de police perd son sang-froid face aux manifestants sur les Champs-Élysées – vidéo
22:02 14.07.2019
Face aux manifestants qui scandaient et huaient exprimant leur colère pendant le défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées, un commissaire de police a été filmé perdant son sang-froid lors d’un échange tendu.
Un commissaire de police a été filmé en train de perdre son sang-froid face à un groupe de manifestants sur les Champs-Élysées le 14 juillet, expose le HuffPost. La séquence a été relayée sur les réseaux sociaux.
Au début de la vidéo, un échange tendu a lieu entre les manifestants, qui sont venus exprimer leur mécontentement, et le commissaire de police. Un manifestant met devant le visage du commissaire un papier en répétant «Casse-toi!».
Après quelques instants, suite aux insultes des manifestants, comme l’indique le média, le haut fonctionnaire perd son sang-froid et fonce contre la foule tentant de la repousser physiquement.
Néanmoins, les autres policiers présents sur les lieux s’interposent pour éviter une bagarre et protéger le commissaire.
Les manifestations des Gilets jaunes le 14 juillet
Des accrochages ont eu lieu ce 14 juillet aux abords des Champs-Élysées lors du défilé militaire et dans les heures qui ont suivi. Pour disperser les manifestants, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes. Plusieurs blessés ont été rapportés, dont une femme blessée au visage. Vers 14h, la police avait déjà procédé à près de 180 interpellations à Paris, a annoncé la préfecture, citée par l'AFP.
L’auteur de l’accident mortel à Montpellier après la victoire de l'Algérie libéré
13:02 14.07.2019
Bien que le parquet de Montpellier ait demandé le placement en détention provisoire du chauffard qui a tué une mère de famille après le quart de finale de la Coupe d'Afrique des nations, sa demande n'a pas été suivie par la juge d'instruction et le jeune homme a été libéré.
Le chauffard qui a percuté une famille le 11 juillet à Montpellier, au cœur des célébrations des supporters de l'équipe d'Algérie, a été laissé libre.
Le parquet avait requis son placement en détention provisoire. Mais cet avis n'a pas été suivi par la juge d'instruction qui l'a libéré le 13 juillet au soir, a annoncé son avocate, Me Aude Widuch, au quotidien Midi libre.
Le conducteur a été mis en examen pour homicide involontaire et blessures involontaires, avec manquement délibéré à une obligation particulière de prudence. Ce manquement délibéré est double: vitesse excessive et défaut de maîtrise du véhicule, avait souligné le procureur de Montpellier.
L’identité de l’homme établie
Si auparavant l’AFP avait annoncé qu’il s’agissait d’un supporter de l'Algérie ayant perdu le contrôle de son véhicule et fauché une famille, le procureur a précisé que le mis en examen est un jeune homme de 21 ans, «de nationalité 'française', électricien de profession, détenteur du permis de conduire depuis quatre mois». Il n'avait aucun antécédent judiciaire.
FRANCE - 14 JUILLET: MACRON OUVRE LE DÉFILÉ SOUS LES SIFFLETS
La France célèbre, dimanche, sa fête nationale sous le signe de la coopération militaire européenne. Les «gilets jaunes» étaient de la partie.
Le chef de l'État lors de la revue des troupes sur la célèbre avenue parisienne, aux côtés de son chef d'état-major.
14.07.2019
Le président Emmanuel Macron a ouvert dimanche les festivités du 14 juillet en descendant les Champs-Elysées à bord d'un «command car» avant le début du traditionnel défilé militaire, placé cette année sous le signe de la coopération militaire européenne.
Des sifflets émanant de «gilets jaunes» ont été entendus sur le passage du chef de l'État, dont c'est le troisième défilé depuis son élection en mai 2017.
La veille au soir, quelques dizaines de manifestants, dont certains portaient des «gilets jaunes», avaient fait entendre leur voix devant l'Hôtel de Brienne, où Emmanuel Macron prononçait un discours, en visant le ministre de la Transition écologique François de Rugy, épinglé par Mediapart pour des dîners fastueux lorsqu'il était président de l'Assemblée nationale.
Après avoir entamé vers 10H00 la revue des troupes sur la célèbre avenue parisienne aux côtés de son chef d'état-major, le président a rejoint la tribune présidentielle place de la Concorde, où l'attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel, ainsi que son épouse Brigitte Macron, ainsi que les membres du gouvernement dont François de Rugy. (ats/nxp)
Fête nationale: les Gilets jaunes Maxime Nicolle, Jérôme Rodrigues et Éric Drouet interpellés près des Champs-Élysées
11:03 14.07.2019
Plusieurs figures des Gilets jaunes, Maxime Nicolle, Jérôme Rodrigues et Éric Drouet ont été interpellés, en marge du défilé du 14 juillet, non loin des Champs-Élysées.
Comme l'a indiqué Jérôme Rodrigues à Sputnik, «sur ordre de la hiérarchie, je suis interdit d’entrer sur les Champs ! Discrimination». Selon la figure des Gilets jaunes, il a également reçu une amende de 135 euros.
Des Gilets jaunes, dont Éric Drouet, étaient présents sur les Champs-Élysées et hurlaient «Macron démission».
Tensions sur les Champs-Élysées
Sur les Champs-Élysées, la tension avec les forces de l'ordre est montée d'un cran. Selon un correspondant du Huffington Post, «tout semble avoir commencé lorsque des policiers se sont approchés d'Éric Drouet».
La veille, plusieurs groupes de Gilets jaunes sur les réseaux sociaux rassemblant parfois des dizaines de milliers de sympathisants avaient appelé à manifester sur les Champs-Élysées dimanche 14 juillet.
La préfecture avait pris un arrêté interdisant les rassemblements de Gilets jaunes sur les Champs-Élysées et dans d'autres secteurs jugés sensibles pour samedi 13 et dimanche 14 juillet.
Dans l’Essonne, des ventes anormales d’acide chlorhydrique inquiètent la police
09:15 14.07.2019
Des magasins de bricolage de l’Essonne, réalisant des ventes inhabituellement élevées d’acide chlorhydrique, ont alerté la police, samedi 13 juillet. Selon les forces de l’ordre, ce produit peut servir à la conception d’armes dangereuses.
Plusieurs magasins de l’Essonne ont été pris de court par l’augmentation de la demande sur l’acide chlorhydrique, samedi 13 juillet. Leurs stocks sont d’ores et déjà épuisés.
Les autorités locales, la police, les pompiers et les gendarmes sont en alerte, inquiétés par ces ventes anormales. Ce sont les magasins, surpris par la croissance massive de ces achats, qui ont contacté les forces de l’ordre, rapporte Le Parisien. Parmi ces enseignes, les magasins Castorama de Montgeron de Vigneux-sur-Seine et Weldom d’Étampes ont refusé de vendre ces quantités inhabituelles d’acide chlorhydrique.
Substance dangereuse
Généralement, l’acide chlorhydrique, un concentré incolore et très corrosif, sert à déboucher les canalisations ou décaper le carrelage. Mais il peut aussi causer de graves blessures en touchant la peau ou les yeux.
Préparer des cocktails Molotov ou des bombes d’acide
D’après une source policière, des clients de ce produit pourraient l’utiliser contre les forces de l’ordre.
«Mais à la veille du 14 Juillet, on craint que ce soit utilisé pour réaliser des pétards ou des cocktails Molotov. Cela peut être jeté sur nos collègues», confirme la source policière au Parisien.
«Sachant que ce produit a été vendu en de telles quantités, on n'engagera pas nos personnels», précise une source chez les pompiers. «On évaluera le risque et s'il n'y a pas de mise en péril pour des personnes, on laissera brûler».
Les attaques à l'acide contre les forces de l’ordre se multiplient en France, notamment depuis les manifestations des Gilets jaunes et de récentes violences urbaines, comme celle de samedi 13 juillet dans le quartier de Grigny 2, où une trentaine d’individus ont attaqué des policiers, utilisant des mortiers d’artifice.
Une université enquête sur une étudiante diplômée féministe pour avoir osé dire que les hommes ne peuvent pas devenir des femmes
par Tyler Durden Samedi, 07/13/2019 - 16:05 Ecrit par Alexander Pease via The College Fix,
Le titre Title IX est impliqué
Quelles sont les chances qu'un étudiant féministe diplômé puisse être assiégé par la rhétorique féministe sur un campus californien ?
Dans un cadre intersectionnel et une définition évolutive de «femme», beaucoup plus élevé que ce à quoi vous pourriez vous attendre.
Les doctorants, anciens et «alliés» de l'Université de Californie à Santa Barbara demandent à l'administration de prendre des mesures contre Laura Tanner, critique franche de l'idéologie transgenre et candidate au doctorat au sein de son département d'études féministes.
Le fil Twitter de Tanner est dominé par la discussion sur la menace de l’idéologie transgenre pour les femmes, y compris les jeunes lesbiennes. Elle pense que les femmes transgenres - les hommes biologiques - s'approprient à tort une identité féminine.
L’en-tête de son image déclare carrément: «Une femme est une personne avec un corps de femme et n’importe quelle personnalité… pas une« personnalité féminine »et n’importe quel corps. Toute autre définition est sexisme. »Le journal de l'école The Daily Nexus a réimprimé plusieurs de ses tweets qu'il considérait comme« transphobes ».
Pourtant, Tanner s'identifie comme une féministe intersectionnelle. Sa thèse est une «analyse féministe intersectionnelle de la violence initiée par les enfants et des contraintes de la maternité», selon sa page de département. (Elle a trois enfants âgés de 16 à 23 ans, selon son site Web.)
Elle a conçu et enseigné deux cours dans le département et a été assistante pédagogique pour quatre cours, mais il n’est pas clair si elle est supposée enseigner à nouveau. Tanner n'a pas répondu aux courriels ni aux messages Twitter de The College Fix cette semaine.
Les critiques sur Twitter veulent qu'elle soit retirée de l'enseignement ou pire encore, avec des insultes personnelles lobantes chez Tanner, telles que "l'absurdité absolue" et la "garce stupide", selon le Daily. L'une a déclaré que «cette chienne avait besoin de mourir» et d'autres l'ont ciblée pour qu'elle soit blanche.
Au moins une ancienne étudiante de Tanner, Kyremina Youssef, a publiquement discuté du dépôt d’une plainte contre elle avec le comité d’éthique du département et de l’université, citant les tweets de Tanner. Elle et un autre étudiant ont également organisé une manifestation sur son campus le mois dernier.
Un autre élève qui s'est plaint de Tanner a envoyé une réponse de Laury Oaks, directeur du département de Tanner. Oaks a qualifié les messages de Tanner sur les médias sociaux de «pénibles» et a dit à l’étudiant qu’il pouvait également déposer des plaintes concernant l’éthique et le titre IX.
Il a également posté une réponse de la coordinatrice du titre IX, Ariana Alvarez, qui a déclaré que son bureau "s’engageait activement dans une réponse" et lui a demandé de transmettre "tout nouveau matériel / nouveau message" de Tanner.
En dépit de ces réponses officielles à au moins une étudiante, UCSB et le département de Tanner ont été publiquement fous en réponse à l’activisme à son encontre.
Le département d'études féministes n'a pas encore répondu à son téléphone à chaque fois que The Fix a appelé et n'a pas renvoyé de messagerie vocale. Mais un porte-parole de l'université a déclaré à The Fix jeudi soir que le département lui avait demandé de répondre en son nom.
La directrice adjointe des informations, Shelly Leachman, n'a pas répondu à la question fixe. Elle consiste à savoir si l'invalidation de l'identité transgenre est une violation du code de conduite chez UCSB, dans un contexte quelconque ou spécifiquement dans un poste d'enseignant.
«La politique de l'université interdit de discuter des détails liés aux problèmes de personnel et il nous est interdit de discuter des informations des étudiants», a écrit Leachman dans un courrier électronique. The Fix n'a pas posé de question non plus.
«L’Université dispose d’un processus pour signaler les incidents biaisés sur le campus et de procédures pour remédier à ces problèmes quand ils se présentent», a poursuivi Leachman:
L’Université a également adopté des politiques rigoureuses en matière de protection de la liberté académique et de la liberté d’expression. Les membres de la communauté universitaire sont encouragés à signaler les violations de ces règles et des comportements fautifs dans tous ces domaines.
Le genre binaire «enraciné dans les logiques du colonialisme, du racisme et de la domination sexuée»
La dispute entre Tanner et des activistes pro-trans illustre la lutte contre les frontières du féminisme au sein de l'académie et de la culture au sens large.
Elle fait partie d'une minorité féministe petite mais de plus en plus virulente, souvent qualifiée de «féministes radicales d'exclusion trans».
Leur insistance sur le fait que les hommes ne peuvent pas devenir des femmes a suscité la colère parmi les environnements de plus en plus accueillants et orientés vers les alliés qui dominent le monde universitaire d’un océan à l’autre. Le sujet est un chapitre d’un nouveau livre sur l’activisme chez les jeunes rédigé par Robby Soave de Reason, un ancien poste de Fixateur.
Tanner est le sujet anonyme de deux lettres qui semblent plus généralement critiquer le programme du département d'études féministes. Les deux sont écrits de manière si vague qu’il n’est pas clair s’ils discutent avec des instructeurs autres que Tanner.
Le premier, daté du 12 juin, a été publié «en faveur des étudiants trans, non binaires et du sexe». Moins de 20 étudiants en doctorat du département, actuellement diplômés, ont signé la lettre.
Le premier, daté du 12 juin, a été publié «en faveur des étudiants trans, non binaires et du sexe». Moins de 20 étudiants en doctorat du département, actuellement diplômés, ont signé la lettre.
«Nous sommes vraiment désolés pour les étudiants victimes de la transphobie et de la rhétorique anti-travailleurs du sexe dans notre département», ont-ils écrit, citant «la rhétorique transphobe et anti-travail des étudiants diplômés et leur comportement d’instructeur».
Ils ont affirmé que «la parité hommes-femmes… est enracinée dans les logiques du colonialisme, du racisme et de la domination sexuée»:
Les études féministes constituent un domaine enraciné dans les traditions de protestation et d'action politique. Aux étudiants qui sont troublés par tout cela, nous soutenons votre liberté d'expression telle qu'elle peut se manifester par des actions de sensibilisation, des manifestations, etc., et offrons notre collaboration pour lutter contre les sentiments de transphobie et de prostitution sur ce campus.
La lettre suggère que les professeurs du département ont déjà assuré aux signataires qu'ils étaient d'accord avec les critiques. Cela exige de la «transparence» lors de la réunion du comité du programme «afin de répondre aux préoccupations exprimées par les étudiants concernant la transphobie, la rhétorique anti-travail sexuel et les environnements de sécurité pour les étudiants trans».
Relative à Tanner, la lettre demande que "ceux qui épousent ouvertement le racisme, le travail contre le sexe et les croyances transphobes ne continuent pas à enseigner ou à enseigner au département." (Il n’est pas clair s’ils accusent personnellement Tanner de racisme.)
La lettre «Alumni and Allies» (Anciens et alliés), publiée le 14 juin et signée par des diplômés en majorité de l’UCSB, mais également par ceux d’autres campus, ne mentionne pas un instructeur non identifié.
Au contraire, elle accuse UCSB de copier l’administration Trump et sa «transphobie rampante». Répondant à un thème commun de l’intersectionnalité, la lettre associe des opinions telles que celle de Tanner à la violence physique.
«Certains documents délétères et haineux ont été présentés dans la salle de classe [Études féministes] et ciblent en ligne les étudiants transsexuels», indique la lettre:
Le matériel qui nie l’existence et les expériences vécues par les personnes transsexuelles, en particulier les femmes transsexuelles, est non seulement inexact sur le plan factuel, mais également préjudiciable aux élèves transsexuels. De tels points de vue sont incompatibles avec les responsabilités éthiques des études féministes en tant que discipline et ne devraient pas être adoptés par des instructeurs, des assistants d'enseignement ou des supports de cours.
Le ministère devient complice de «meurtres et crimes motivés par la haine visant les personnes trans», ainsi que de leurs suicides, dès lors qu’il leur permet de «nier la réalité des expériences des personnes trans ou de réifier comme essentiels ou réels les binaires sexués et sexués», poursuit la lettre. Il compte environ 400 signatures jeudi soir.
Le correctif n'a toutefois pas été en mesure de trouver des accusations spécifiques de comportement transphobe de Tanner dans la classe ou le programme.
Dans son tweet évoquant l’idée de porter plainte contre Tanner, Youssef n’a mentionné aucun incident en classe. «Je l'avais eue le dernier trimestre et elle ne connaissait pas la moitié des choses dont nous avons parlé et a essayé de faire face à ses propres difficultés lorsque nous avons parlé de la pauvreté», a-t-elle écrit. "Madame, vous êtes blanche."
Un autre élève a confié à The Fix que Tanner n’était pas un bon professeur, mais n’a pas mentionné ses opinions comme une raison. «[Il] a très peu répondu à mes demandes et s'est directement opposé à ce que le professeur avait défini comme procédure qui rendait la navigation très difficile pour moi», a-t-il écrit.
Youssef et son compatriote Ari Moini ont organisé une manifestation le 13 juin pour protester contre le point de vue de Tanner exprimé sur Twitter.
Youssef a déclaré au Quotidien qu’ils organiseraient davantage de rassemblements à l’automne si Tanner ne quittait pas l’enseignement à UCSB. Moini a affirmé que la communauté trans sur le campus était «peu sûre» tant qu'elle enseignait.
Néanmoins, Tanner a persisté.
@saltyfemst glisse à travers une salope muette! SON SUR SITE ! Baise toi et ta transphobie ! Nous sommes ici en dehors de la tonnelle de 11h à 14h, nous ne vous sautons pas pic.twitter.com/47qgA2PW6U
- val (@ valley0fwolves) 13 juin 2019
La campagne contre elle inclut l'incitation, la diffamation et le harcèlement, dit-elle
La doctorante a continué à tweeter ses critiques de l'idéologie transgenre depuis qu'elle est devenue une cause célèbre à UCSB.
Elle s'intéresse plus particulièrement aux risques de la transition que courent les enfants pour la santé, à la menace que représentent pour les lesbiennes le fait de traiter les hommes comme des femmes et au refroidissement du langage, comme le sien, en particulier au Royaume-Uni.
Quelques jours après la publication des lettres critiques, Tanner a raconté plusieurs histoires racontées par des femmes d'universités aux vues similaires, qui ont peur de parler en public.
Parmi les tweets de Tanner que le Quotidien a identifiés comme transphobes: «Aucun enfant n'est trans. Il n’est pas possible de naître dans le mauvais corps. "
Un autre: «Au lieu de résoudre la dysphorie ou la dysmorphie, la« transition »entretient et renforce un état d’opposition à son propre corps… Ce n’est pas un soin de santé mentale."
Tanner a déclaré au Quotidien que la campagne étudiante visant à la faire licencier "comprend l'incitation à la violence, des mensonges diffamatoires à propos de mon enseignement et du harcèlement à l'égard de ma race et de ma sexualité". Elle a décrit le terme d'argot TERF, utilisé contre des femmes comme elle, un «affront utilisé pour dénigrer et faire taire les femmes».
Elle a également interrogé le Daily dans un tweet pour le titre de son article. Il devrait plutôt indiquer: «Un candidat au doctorat de l’UCSB est harcelé pour avoir dit la vérité et défendu les femmes et les enfants».
Sur son site Web, Tanner explique le rôle central de l'idéologie transgenre dans ses recherches:
Ma recherche et mes travaux de recherche portent actuellement sur la résistance à l'effacement discursif des femmes et des filles, en particulier en matière de santé et de discours sur le genre; tente de dissocier le corps féminin de la féminité; l’idée erronée que le sexe biologique est socialement construit ou susceptible de changer, la perte des droits civils des femmes et des filles par le biais de modifications des lois qui suppriment les protections contre le sexe et définissent le genre comme un sentiment; et les pratiques abusives et dangereusement expérimentales d’enfants et de jeunes adultes médicalement «en transition».
Elle a déclaré au Quotidien que «le silence, l'absence de plate-forme et les représailles contre les universitaires qui remettent en question ou critiquent l'idéologie trans» ne se limitent pas à l'Amérique.
«Cela est particulièrement préoccupant dans le milieu universitaire, qui est censé être un lieu d’échange d’idées ouvert et sans entraves.»
(...) L’Université a également adopté des politiques rigoureuses en matière de protection de la liberté académique et de la liberté d’expression. Les membres de la communauté universitaire sont encouragés à signaler les violations de ces règles et des comportements fautifs dans tous ces domaines. (...)
C'est pour cette raison que les pédérastes psychopathes de l'Université de Californie à Santa Barbara interdisent l'application du 1er Amendement de la Constitution sur la liberté d’expression et que, une femme demeurera TOUJOURS une femme même travestie et, un homme restera TOUJOURS un homme même travesti en chien ou chienne ou crapaud, merde ou autre !
La trisomie gagne actuellement tout l'État de Californie où désormais les excréments s'affichent sur les trottoirs ou défilent dans les rues pour les défendre !!
Catastrophe ! La Terre est verte de plus en plus !
14 Juillet 2019 par Seppi
Le Monde Planète se ridiculise à nouveau avec son activisme
"C'est trop beau !"
Pour ceux qui ne comprendraient pas.
Un articulet et une vidéo
Le Monde a publié le 12 juillet 2019 un articulet et une séquence vidéo sous le titre : « Pourquoi le verdissement de la Terre n’est pas une si bonne nouvelle ».
La vidéo s'intitule : « La planète verdit, pourquoi c'est une mauvaise nouvelle ».
Ah bon ?
Ben oui !
« Au cours des vingt dernières années, la Terre a gagné 5 % de couverture végétale. C’est ce qu’affirme une étude publiée en février 2019 en se fondant sur les images du système satellitaire Modis de la Nasa. Comme à chaque publication de ce type d’études, des climatosceptiques ont souligné qu’il s’agissait là d’une preuve que notre planète ne se porte pas si mal.
Pourtant, ces mêmes études scientifiques montrent que les principales raisons de ce verdissement sont la hausse des températures et des niveaux de gaz carbonique. Ces nouveaux espaces verts sont également dus aux cultures intensives, et donc temporaires, qui captent peu de carbone. Pire, sur le long terme, des études alertent quant à un potentiel déséquilibre des écosystèmes. »
En prime, quatre liens (avec des descriptions biaisées) vers des articles scientifiques ou de vulgarisation, dont celui qui renvoie à MODIS, « China and India lead in greening of the world through land-use management » (la Chine et l'Inde à l'avant-garde du verdissement du monde grâce à la gestion de l'utilisation des sols) de Chi Chen et al.
L'article scientifique
En voici le résumé (nous découpons...) :
« Les données satellitaires montrent une augmentation de la surface foliaire de la végétation en raison de facteurs directs (gestion de l'utilisation des terres par l'Homme) et indirects (tels que les changements climatiques, la fertilisation au gaz carbonique, les dépôts d'azote et la récupération à la suite de perturbations naturelles).
Parmi ceux-ci, les effets du changement climatique et de la fertilisation au gaz carbonique, semblent être les principaux facteurs. Cependant, des données satellitaires récentes (2000-2017) révèlent une tendance au verdissement qui est remarquablement importante en Chine et en Inde et qui se superpose aux terres cultivées du monde entier. La Chine à elle seule représente 25 % de l’augmentation nette globale de la superficie foliaire avec seulement 6,6 % de la superficie végétalisée mondiale. En Chine, le verdissement provient des forêts (42 %) et des terres cultivées (32 %), mais en Inde, elle provient principalement de terres cultivées (82 %), avec une contribution mineure des forêts (4,4 %).
La Chine est en train d'élaborer des programmes ambitieux de conservation et d'extension des forêts dans le but d'atténuer la dégradation des sols, la pollution de l'air et le changement climatique.
La production alimentaire en Chine et en Inde a augmenté de plus de 35 % depuis 2000, principalement en raison d'une augmentation des superficies récoltées résultant de cultures multiples facilitées par l'utilisation d'engrais et de l'irrigation par des eaux de surface et/ou souterraines.
Nos résultats indiquent que le facteur direct est un facteur clé de la "Terre en voie de verdissement", représentant plus du tiers, et probablement davantage, de l’augmentation nette observée de la surface de feuilles vertes. Ils soulignent la nécessité d'une représentation réaliste des pratiques d'utilisation des sols par l'Homme dans les modèles du système Terre. »
Des résultats blasphématoires
Ce résumé semble être un peu « macronien » : changement climatique et fertilisation au gaz carbonique « semblent être les principaux facteurs » (curieusement) qualifiés d'indirects, mais, en même temps, « [n]os résultats indiquent que le facteur direct est un facteur clé ».
Plus du tiers, voire davantage ? N'est-ce pas une remarquable contribution de ce sagouin, destructeur de la Planète Mère ? Ah oui, mais cela contrevient au catéchisme des collapsologues...
Le site de la NASA a des cartes que l'on peut agrandir.
Il y a aussi des chiffres qui dérangent, notamment pour le Brésil.
L'information selon Fox News
Nous ne ferons pas une analyse détaillée de la vidéo du Monde. Il faut être vraiment aveuglé par la religion de la catastrophe climatique pour critiquer ainsi, voire refuser, la contribution humaine à ce que les chercheurs ont constaté en matière de verdissement de la planète.
Après avoir dû admettre le fait dérangeant – « ...l'équivalent de la forêt amazonienne, c'est quand même pas rien... » – l'auteur de la vidéo déraille : « Ce type d'info est souvent relayé par les médias et sur des sites conservateurs américains, mais aussi par des climatosceptiques... »
Et hop ! Le sophisme du déshonneur par association !
La première publication visée est « Earth is greener today than it was 20 years ago thanks to 'human activity,' NASA study shows » (la Terre est plus verte aujourd'hui qu'elle ne l'était il y a 20 ans grâce à l'"activité humaine" selon une étude de la NASA). Elle est de la très détestée Fox News, le média conservateur censé démontrer le premier tiers du sophisme. Mais elle est parfaitement factuelle et objective, tout comme sa vidéo d'accompagnement.
Fox News nous livre même un élément d'information qui suggère que les interprétations de l'article scientifique sur les causes du verdissement sont à prendre avec une pincée de sel :
« Initialement, les chercheurs ont attribué le changement au temps plus chaud, au temps plus humide, à la fertilisation par le gaz carbonique ajouté, mais Rama Nemani, un chercheur du Centre de Recherches Ames de la NASA, a dit que les nouvelles données montrent que "les Hommes contribuent aussi". »
Pardon ! Que dites-vous ?
Le deuxième article censé prouver le deuxième élément de l'allégation est « WATCH: Fake Reporter John Oliver and Fake Scientist Bill Nye Try to Sell You a Fake Crisis » (voir : le faux reporter John Oliver et le faux scientifique Bill Nye tentent de vous vendre une fausse crise). C'est la critique d'une émission de télévision... Certes par un blog politique conservateur états-unien.
La question du verdissement de la planète n'y est nullement abordée sauf, à l'extrême rigueur, dans la toute dernière phrase :
« Ainsi Nye tente non seulement de susciter une panique au sujet de quelque chose qui fait en réalité pousser plus d'arbres, mais encore se fonde sur des données qui sont aussi fantastiques que les contes de fées. »
Il a fallu chercher pour trouver une déclaration d'un « climatosceptique » ! L'étude issue des images de la NASA a été publiée en février 2019 et on sort une séquence d'archive de... mars 2017 !
M. Patrick Michaels est un climatologue qui se décrit lui-même comme sceptique. Il affirme que les changements seront mineurs – « une plage de réchauffement de 1,3 – 3,0°C, avec une valeur centrale de 1,9°C » pour la période de 1990 à 2100 (une valeur bien inférieure aux prédictions moyennes du GIEC) –, qu'ils ne seront pas catastrophiques et pourraient même être bénéfiques. Il est du reste loin d'être seul dans cet avis.
Cela suffit pour frapper d'infamie son « Les données satellites enregistrent un remarquable – traduit par « incroyable » dans le sous-titrage – verdissement de la planète Terre... ». Enfin, pas vraiment d'infamie... ce serait plus compliqué que ça selon notre experte.
Non, le verdissement est un fait.
Pauvre Monde...
Quant au Monde Planète, qui diffuse ainsi une critique de la contribution de l'Homme au verdissement de la planète, concomitante en Chine et en Inde (et ailleurs) à une intensification de l'agriculture et une amélioration de la sécurité alimentaire de milliards d'humains, il ne sort pas grandi de ce nouveau faux-pas de son activisme.
Et le pire serait de dire (constatation vraie:) que l'oxygène est en augmentation ! puisque ce gaz est fabriqué par la végétation.
----------------------------
Lu dans la presse:
Le Brésil en route pour une récolte record
12.07.19
La Conab, Compagnie nationale d’approvisionnement, estime que le Brésil devrait augmenter sa production de céréales et d’oléagineux de 5,7 % en 2018-2019 grâce à des conditions climatiques favorables permettant notamment une forte hausse de la seconde récolte de maïs.
Si les prévisions présentées le 11 juillet 2019 se confirment, le pays engrangerait 240,7 millions de tonnes au total, la meilleure récolte de son histoire, devant celle de 2016-2017 qui avait été de 237,7 millions de tonnes, selon la Conab.
La deuxième récolte de maïs bondit
L’augmentation de la production de céréales et d’oléagineux est tirée essentiellement par la forte progression de la seconde récolte de maïs de la saison, qui devrait atteindre 72,4 millions de tonnes, enregistrant un bond de 34,2 % par rapport à l’an dernier.
Sur cette période, « la production de céréales a été stimulée grâce à l’anticipation de la récolte de soja », réalisée avant le second semis de maïs, « et à la possibilité de profiter pleinement de la fenêtre climatique, laissant présager de bons rendements dans les champs ». Au total, le Brésil devrait produire 98,5 millions de tonnes de maïs (+22 %).
Surfaces au sommet
La surface de céréales et oléagineux doit atteindre le niveau record de 62,9 millions d’hectares, soit une hausse de 1,9 % par rapport à l’an dernier, qui s’explique surtout par la progression des terres dédiées au maïs, au soja et au coton.
La production de soja, bien qu’annoncée en baisse de 3,6 % par rapport à la récolte record de l’an dernier, est estimée à 115 millions de tonnes et devrait être la seconde plus importante jamais enregistrée dans le pays, rapporte l’organisme gouvernemental.
Le Brésil est le deuxième producteur de soja et le troisième producteur de maïs au monde.
-----------------------------------
BIENTÔT UN LÂCHER DE LIONS DANS PARIS ?
Les nouvelles règles d’indemnisation des dégâts
12.07.19
La grille et les conditions d’indemnisation des dommages causés aux troupeaux par les trois grands prédateurs, le loup, l’ours et le lynx, ont été publiés au Journal officiel le 11 juillet 2019.
La demande d’indemnisation doit être formulée dans un délai de 72 heures à compter de la date de l’attaque supposée. Un agent de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage est chargé de réaliser le constat. Des exceptions sont prévues, pour les constats portant sur moins de cinq victimes ovines ou caprines, où le préfet du département peut autoriser pour tout ou partie du département.
Les attardés mentaux pensaient qu'ils mangeaient de l'herbe !! -------------------------------------
« On ne rebouchera pas la mare »
11.07.19
Un couple de Périgourdins a été condamné par la cour d’appel de Paris à reboucher une mare située sur leur propriété, car les grenouilles qu’elle abrite dérangent les voisins.
Michel Pecheras, habitant du petit village de Grignols en Dordogne possède une mare dans son jardin qui abrite une grande biodiversité dont des grenouilles. Seulement, un voisin habitant à une quinzaine de mètres se dit gêné par le bruit que font ces animaux et a attaqué le propriétaire en justice.
Trop sensibles, les abricots bio découragent certains arboriculteurs
La production d'abricots en agriculture biologique ne décolle pas en Valais.
Quelque 9500 tonnes d'abricots seront cueillies d’ici la mi-septembre en Valais, où la récolte a débuté. Mais la production biologique de ce fruit très sensible ne décolle pas et certains arboriculteurs préfèrent renoncer.
La récolte des abricots s’annonce excellente cette année, tant au niveau du goût, de la qualité que de la quantité. Mais l'abricot bio fait exception. Car ce fruit délicat est particulièrement sensible aux conditions météorologiques. Et sans produits de synthèse, bannis des cultures biologiques, il est difficile de combattre les maladies comme la moniliose, un champignon qui s’attaque à la fleur et dessèche les branches.
"Suivant les années et les variétés, la production peut passer de 2 kg au mètre carré à 300 grammes à peine, bien en deçà du seuil de rentabilité", souligne dans le 19h30 Stéphane Dessimoz, responsable production de BioFruits qui exploite 10 hectares d’abricotiers en bio dans la plaine du Rhône.
"On s'est aperçu qu'on ne s'en sortirait pas"
Et la recherche, en la matière, tâtonne encore: douze variétés sont actuellement testées par l’Office valaisan de l’arboriculture en collaboration avec l’Agroscope et deux d’entre elles sont particulièrement prometteuses. Mais Patrice Bruchez n’attendra pas. Arboriculteur bio à Saillon, il a testé une centaine de variétés et a finalement décidé de jeter l’éponge. De 5 hectares, il a divisé par dix ses surfaces d’abricotiers. "On a rêvé, on a testé, puis on s’est aperçu qu’on ne s’en sortirait pas", explique-t-il.
Si le bio ne cesse de progresser en Suisse, pour atteindre désormais plus de 15% des surfaces cultivées, il ne dépasse pas les 7% pour ce roi des vergers valaisans que représente l’abricot.
Tensions aux abords des Champs-Élysées (14 juillet), des blessésLa situation dégénère aux Champs-Élysées, plusieurs blessés – vidéo
17:44 14.07.2019
Plusieurs personnes ont été blessées ce 14 juillet aux abords des Champs-Élysées où des tensions sont apparues suite au défilé militaire. Un rassemblement non-autorisé s’est déroulé à proximité avant que nombre de manifestants ne pénètrent sur l'avenue.
Des tensions ont eu lieu ce 14 juillet aux abords ainsi qu'aux Champs-Élysées suite au défilé militaire, où un important dispositif des forces de l’ordre avait été déployé.
En début d’après-midi, les incidents restaient localisés, or un correspondant de Sputnik a fait état de plusieurs blessés.
En outre, notre correspondant sur place a filmé des street medics venant en aide à un homme gisant inconscient aux abords de l'avenue. On ignore toutefois la cause de son malaise ainsi que les circonstances.
Peu après 14h, plusieurs manifestants ont pu accéder aux Champs-Élysées où ils ont renversé des barrières métalliques, cherchant à monter des barricades.
La situation dégénère
Les tensions sont encore remontées après 15h, plusieurs heurts ayant opposé les forces de l’ordre aux manifestants. Des projectiles ont été lancés, la police est intervenue avec des lacrymogènes. Des poubelles ont été incendiées au milieu de la chaussée.
Les forces de l'ordre ont effectué à plusieurs reprises des tirs de gaz lacrymogène pour disperser les manifestants, parfois mêlés aux touristes ou aux badauds, et pour certains les visages dissimulés sous un foulard, un masque ou une capuche.
La situation s’est apaisée vers 16h, mais les manifestants sont restés sur place.
Comment tout a commencé
De premières tensions ont eu lieu vers midi aux abords de la principale avenue parisienne après le traditionnel défilé militaire.
Près de 200 individus ont tenu une manifestation non-autorisée, ils ont été bloqués par les forces de l’ordre. Ces derniers ont fait usage de gaz lacrymogènes. Une femme a été blessée au visage en marge du rassemblement.
Un correspondant de Sputnik a été témoin d'une interpellation musclée qui s'est déroulée à proximité des Champs-Élysées.
Vers 14h, la situation était plutôt calme à proximité de la place des Ternes, signale un correspondant de Sputnik. Un important dispositif des forces de l’ordre était déployé sur les lieux.
Un groupe de manifestants est par la suite remonté vers l’arc de Triomphe en vue de tenter d’accéder aux Champs-Élysées. Les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes. Une charge violente a eu lieu sur l'avenue.
La préfecture annonce 175 interpellations
Vers 17h30, la police avait déjà procédé à 175 interpellations en marge du défilé à Paris, a annoncé la préfecture à l'AFP.
Les infractions relevées par les forces de l'ordre sont liées dans la majeure partie à des cas d'«organisation de manifestation non déclarée», de «violences sur personnes dépositaires de l'ordre public» en passant par des «dégradations de biens publics» ou de «port d'arme prohibé», a-t-on détaillé de même source.
Édouard Philippe sur les sifflets dès l’arrivée du Président sur les Champs-Élysées: «Je n’ai rien entendu»
18:52 14.07.2019
Édouard Philippe a affirmé ne rien avoir entendu, interrogé par un journaliste de BFM TV sur «quelques manifestations des Gilets jaunes» qui ont eu lieu sur les Champs-Élysées dès l’arrivée d’Emmanuel Macron. D’après le Premier ministre, sans doute il y a eu juste «un certain nombre de gens» qui ont voulu exprimer leur opinion.
Tandis que lors de l’arrivée du Président de la République sur les Champs-Élysées pour le défilé du 14 juillet des sifflets et des hués accompagnés par des «Macron démission!» sont audibles sur des vidéos, Édouard Philippe a affirmé à BFM TV ne rien avoir entendu, évoquant tout simplement «un certain nombre de gens» qui ont voulu exprimer leur opinion.
«Je n'ai rien entendu. Je ne doute pas qu’un certain nombre de gens aient voulu exprimer leur opinion. […] L'important c'est que le défilé se soit bien passé et que nous ayons pu exprimer aux armées, et aux blessés des armées, notre reconnaissance et notre confiance», a déclaré le Premier ministre.
Auparavant, une vidéo du journaliste de Sputnik sur place, où des sifflets et les slogans scandés dès l’arrivée du Président ont été entendus, a été publiée sur les réseaux sociaux. Les premiers sifflets sont audibles à quelques minutes du coup d'envoi du défilé de la fête nationale. D’autres médias ont également relayé des vidéos avec des cris et des insultes.
Le défilé de la fête nationale 2019
C’est le troisième défilé pour Emmanuel Macron depuis son élection en mai 2017. Il a entamé vers 10h00 la revue des troupes sur les Champs-Élysées aux côtés de son chef d'état-major, avant de rejoindre la tribune présidentielle place de la Concorde, où l'attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel ainsi que son épouse Brigitte Macron, et les membres du gouvernement dont François de Rugy.
Les manifestations des Gilets jaunes le 14 juillet
Des accrochages ont eu lieu ce 14 juillet aux abords des Champs-Élysées lors du défilé militaire. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes. Une femme a été blessée au visage. Vers 14h, la police avait déjà procédé à 152 interpellations à Paris, a annoncé la préfecture à l'AFP.
Il dégoupille une grenade dans la poche d’un policier et celle-ci explose
17:09 14.07.2019
Plongé dans le noir dans la nuit du 13 au 14 juillet, le quartier des Champs-Montants à Audincourt est devenu le théâtre de violences urbaines. Un policier de la brigade anti-criminalité a été sérieusement blessé par une grenade.
La nuit du 13 au 14 juillet a pris des allures de guérilla urbaine à Audincourt, dans le Doubs, alors que tout le quartier des Champs-Montants était plongé dans le noir. Des agitateurs ont profité de la situation pour se livrer à des violences, relate l’Est républicain.
Pendant qu’une cinquantaine de jeunes commençait à caillasser les forces de l'ordre, un suspect a réussi à dégoupiller une grenade de désencerclement dans la poche d'un officier de la brigade anti-criminalité qui tentait de le maîtriser. La grenade a éclaté dans la main du policier et a également touché sa cuisse, relatent des médias locaux.
Brûlé au premier degré, il a été secouru par les pompiers et a reçu un arrêt maladie de deux jours, précise France Bleu. Le suspect a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il doit être présenté au parquet de Montbéliard lundi 15 juillet.
Dégâts causés par les émeutiers
Selon l’Est républicain, les émeutes à Audincourt ont été marquées par le saccage partiel d’une crèche, des barrages enflammés sur les axes principaux ainsi que des voitures et des poubelles carbonisées.
Une voiture du commissariat a par ailleurs été sérieusement endommagée par des jets de projectiles.
Le système de positionnement européen Galileo tombe en panne
17:13 14.07.2019
L’ensemble du système de positionnement par satellites (GNSS) européen Galileo subit une panne de signal important depuis l’après-midi du jeudi 11 juillet et jusqu’à présent, indique l’Agence du GNSS européen.
Depuis plus de deux jours, les utilisateurs du système de positionnement européen Galileo ne reçoivent pas les signaux des satellites, annonce un communiqué de l’Agence du GNSS européen. La panne a été détectée vers 12h00 UTC jeudi 11 juillet et n'est toujours pas réparée.
«Les équipes de l'industrie et les agences travaillent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 pour rétablir les services Galileo le plus rapidement possible. D'après les estimations actuelles, les services devraient être restaurés dans les 48 heures», a déclaré une source au site insidegnss.com.
Les ingénieurs espéraient initialement résoudre le problème dimanche soir.
Le site indique que le problème pourrait être dû à des défaillances de la station au sol de positionnement temporel située en Italie, ce qui aurait un impact sur l’ensemble de la constellation de satellites. L'installation, équipée d’horloges atomiques à césium et d'une horloge maser à hydrogène, envoient ses données aux satellites en orbite pour fournir une référence de temps précise et rendre possible la localisation de l'utilisateur.
La pornographie en ligne produit autant de gaz carbonique que tous les ménages en France
18:58 14.07.2019
Des chercheurs français ont constaté que l'ensemble des vidéos en ligne était responsable de l’émission de 300 millions de tonnes de gaz à effet de serre, dont un tiers provient du streaming de vidéos pornographiques.
Le rapport du think tank français The Shift Project intitulé «Climat: l’insoutenable usage de la vidéo en ligne» révèle le lien entre la consommation énergétique que demande le trafic et le visionnage des vidéos en ligne et l’émission de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
«Le visionnage de vidéos en ligne, qui représente 60 % du trafic de données dans le monde, a ainsi généré plus de 300 Mtgazcarboniquee au cours de l’année 2018, soit une empreinte carbonée comparable aux émissions annuelles de l’Espagne», indique le rapport.
Soulignant qu’aucune des différentes catégories d’usage «n’est négligeable en termes de trafic et donc en termes d’impact», les auteurs du rapport notent que les vidéos pornographiques sont responsables du tiers des émissions.
«Ainsi, le visionnage de vidéos pornographiques dans le monde génère-t-il en 2018 des émissions carbonées du même ordre que celle du secteur résidentiel en France.»
Les auteurs se fondaient sur les rapports des entreprises Cisco et Sandvine pour l’année 2018. Ils ont ensuite estimé la quantité d'électricité consommée pour transmettre ces vidéos et les visionner sur différents appareils. Pour en déduire la quantité de gaz à effet de serre, ils ont pris en compte le facteur d’émission associé à la génération électrique qui, en moyenne dans le monde, est égal à 0,519 kggazcarboniquee/kWh.
La société se masturbe dans la catastrophe climatique: rapport
par Tyler Durden Dim, 07/14/2019 - 17:55
Selon un nouveau rapport, les activistes du climat - et tous ceux qui regardent la pornographie en ligne - font partie du problème.
Un groupe de réflexion français, The Shift Project, révèle que les contenus pour adultes représentent plus de 4% de toutes les émissions de gaz carbonique liées aux technologies numériques, tandis que la pornographie constitue 27% de toutes les vidéos visionnées en ligne.
Tu parles d'une empreinte carbone ?
- voir graphique sur site -
Kudlow sur le rapport sur les emplois aux États-Unis pour juin, NED
"... visionner des vidéos pornographiques dans le monde en 2018 a généré des émissions de carbone du même ordre de grandeur que celles du secteur résidentiel en France", lit-on dans le rapport.
Les auteurs se tournent ensuite vers un argument moral contre le porno, suggérant que "l'un des problèmes mentionnés concernant les effets de la consommation de pornographie au niveau sociétal est le phénomène de normes changeantes: lors de la consommation de contenu par un individu, une tendance à une violence accrue par exemple, le contenu visualisé a entraîné des effets néfastes sur la sexualité de l'individu et sa perception des relations physiques. "
De plus, les hommes ne semblent pas pouvoir se branler sans porno.
- voir graphique sur site -
Catherine Solano, une sexologue, a observé «depuis plusieurs années que, pour une grande proportion d'hommes, la masturbation est indissociable de la pornographie» (Solano, 2018). L'utilisation de la pornographie et donc la visualisation de vidéos pornographiques en ligne sont donc désormais associées à une utilisation régie par des mécanismes cognitifs hautement automatiques, ce qui permet une monétisation efficace des produits proposés. Aujourd'hui, le développement économique de la visualisation de vidéos pornographiques en ligne repose donc sur un amalgame cognitif issu des pratiques marketing du secteur: l'association de l'utilisation de la pornographie à l'acte physique du sexe (Roussilhe, 2019).
Voir un corps nu active une réaction automatique initiale dans le cerveau qui suscite un intérêt lié au réflexe évolutif de la possibilité de procréation (Solano, 2018). Sachant que nos mécanismes cognitifs hébergent un biais appelé «effet de déclenchement», qui induit l'inertie dans notre processus de pensée30 (Marcinkowski, 2019), nous pouvons comprendre que la sexualisation du contenu pour le grand public introduit des utilisations pornographiques au sein d'un mécanisme plus large de influence: exposé à des contenus sexualisés grand public (publicité, clips vidéo, etc.).
So - les hommes ont une réponse pavlovienne aux femmes nues qui se traduit par une masturbation éco-hostile - à un contenu de plus en plus violent.
La pornographie en ligne en streaming produit autant de gaz carbonique que la Belgique
11 juillet 2019 Par Michael Le Page
La transmission et la visualisation de vidéos en ligne génèrent 300 millions de tonnes de gaz carbonique par an, soit près de 1% des émissions mondiales. Les services vidéo à la demande tels que Netflix en représentent un tiers, les vidéos pornographiques en ligne générant un autre tiers.
Cela signifie que le visionnage de vidéos pornographiques génère autant de gaz carbonique par an que celui émis par des pays tels que la Belgique, le Bangladesh et le Nigeria.
C’est la conclusion d’un groupe de réflexion français appelé The Shift Project. Plus tôt cette année, il estimait que les technologies numériques généraient 4% des émissions de gaz à effet de serre et que ce chiffre pourrait atteindre 8% d’ici 2025.
Maintenant, il a estimé les émissions de gaz carbonique dues uniquement aux vidéos en ligne. Les auteurs du rapport ont utilisé les rapports 2018 des sociétés Cisco et Sandvine pour calculer le trafic Internet vidéo mondial. Ils ont ensuite estimé la quantité d'électricité utilisée pour transporter ces données vidéo et les visualiser sur différents appareils, des téléphones aux téléviseurs.
Enfin, ils ont estimé les émissions globales en utilisant les chiffres moyens mondiaux pour les émissions de carbone provenant de la production d'électricité.
La vidéo en ligne représentait 60% des flux de données mondiaux en 2018, indique le rapport, soit 1 zettaoctet de données (mille milliards de milliards d'octets). La définition du terme «vidéo en ligne» donnée dans le rapport n’inclut pas la diffusion en continu de vidéos en direct, telles que les appels vidéo Skype, les «camgirls» ou la télémédecine, qui représentent 20% supplémentaires des flux de données mondiaux.
Le passage à des vidéos de qualité toujours supérieure, telles que la résolution 8K, contribuera à augmenter davantage les émissions. Il en va de même pour le lancement de services de streaming de jeux, tels que Google Stadia, mais le rapport n’essayait pas d’estimer leur impact.
Les auteurs demandent des mesures pour limiter les émissions des vidéos en ligne, en empêchant par exemple leur lecture automatique et en ne transmettant pas de vidéos en haute définition lorsque cela est inutile. Par exemple, certains appareils peuvent désormais afficher des résolutions supérieures à celles que les utilisateurs peuvent percevoir. Le rapport indique qu'une réglementation sera nécessaire.
Les estimations sont globalement conformes aux autres estimations, déclare Chris Preist de l’Université de Bristol, au Royaume-Uni, qui étudie la durabilité de la technologie.
«Cela montre une fois de plus la nécessité pour les concepteurs de services numériques de bien réfléchir à l’impact global des services qu’ils fournissent», déclare Preist. «Pour les particuliers, la mise à niveau de nos appareils moins souvent, la possession de moins d'appareils et le fait de ne pas exiger partout une connexion Internet mobile de haute qualité sont probablement les actions les plus importantes que nous puissions entreprendre.»
Pour limiter le changement climatique, nous devons réduire la consommation d’énergie et passer à des sources renouvelables, a déclaré l’un des auteurs du rapport, Maxime Efoui. «La production d’une nouvelle infrastructure énergétique génère des émissions, même si l’électricité produite est éventuellement renouvelable», a-t-il déclaré.
Les filtres sur le téléversement de l’UE arrivent. Pourquoi et comment le monde de l’Open Source doit les combattre.
Par Glyn Moody. 15 JUILLET 2019 Un article du Linux Journal
Il y a un an, j’ai tiré la sonnette d’alarme à propos d’une terrible loi sur le copyright se profilant au sein de l’UE et qui allait avoir d’importants effets néfastes sur le monde de l’Open Source. Sa disposition la plus problématique obligerait de nombreux sites commerciaux européens à utiliser des filtres algorithmiques afin de bloquer le téléversement (NdR : « upload ») par les utilisateurs de fichiers non autorisés.
À la suite d’une campagne sans précédent de désinformation, de dénigrement et de mensonges purs et simples, ses partisans ont réussi à convaincre/duper suffisamment de députés européens pour qu’ils votent en faveur de la nouvelle directive sur le copyright, notamment des filtres de téléversement complètement bancals.
Cet article pourrait vous interesser
La directive droit d'auteur va-t-elle tuer internet ? Un certain nombre de modifications ont été apportées aux propositions originelles que j’ai examinées l’année dernière. La plus importante, « les plateformes de développement et de partage de logiciels Open Source » sont explicitement exclues des pré-requis pour le filtrage des téléversements. Il serait cependant naïf de croire que la Directive sur le copyright en est devenue acceptable et que les logiciels libres ne seront pas impactés.
ATTAQUE SUR L’INTERNET OUVERT
L’Open source et l’Internet ouvert ont une relation symbiotique : chacun s’est constamment nourri de l’autre. Les filtres de téléversement sont une attaque frontale sur l’Internet ouvert, le transformant en un espace connecté soumis à autorisations. Ils vont créer un système de censure dont l’expérience prouve qu’il est propre à subir les abus aussi bien d’entreprises que d’États pour bloquer des données légitimes.
La communauté de l’Open Source commettrait une faute majeure en haussant les épaules et en disant : « c’est bon pour nous—pas notre problème.» Ces filtres sont résolument le problème de tout un chacun qui se soucie d’un Internet ouvert et sain ainsi que de la liberté d’expression.
Par exemple, le blog GitHub met en avant le fait que les faux positifs vont probablement poser problème quand les filtres seront implémentés—indépendamment d’ « exemptions » spécifique pour de l’open source : « Quand un filtre détecte un faux positif et que les dépendances disparaissent, cela ne fait pas que démolir un projet—cela impacte aussi les droits des développeurs et ceux des détenteurs de copyright. »
DU COUP, QUE PEUT-ON FAIRE ?
Comme le souligne l’eurodéputée du Parti Pirate Julia Reda dans son article résumant la bataille pluriannuelle pour améliorer le texte de la directive sur le copyright :
- « Mon message à tous ceux qui ont participé à ce mouvement : soyez fiers du chemin parcouru ensemble ! Nous avons prouvé que les citoyens organisés peuvent avoir un impact, même si nous n’avons pas réussi à faire disparaître le projet de loi au complet. Alors ne désespérez pas ! »
Plus précisément :
- «Une alliance originale d’ONG, de partis politiques et de personnes en vue dans les media sociaux a réussi à politiser et mobiliser toute une génération élevée au numérique. Des tas de gens se sont trouvé de nouveaux défis : les amuseurs de YouTube se sont subitement mis à porter la casquette de reporters ou de commentateurs politiques, les internautes celle d’activistes et d’organisateurs et beaucoup ont participé à leurs toutes premières manifestations. Ces expériences vont marquer durablement.»
C’est important parce que les préoccupations et les convictions de cette « alliance nouvelle » sont très proches de celles de la communauté des logiciels libres.
L’intérêt soudain pour des aspects jusqu’ici obscurs du monde connecté et de ses applications est une chance pour le monde de l’Open Source d’augmenter sa visibilité et d’obtenir du soutien sur ses activités. Le potentiel de diffusion est énorme : plus de cinq millions de personnes ont signé une pétition européenne contre les filtres de téléversement, et 200 000 ont pris part à des manifestations.
Là où de nouvelles initiatives en matière de droits numériques sont mises en place pour exploiter la récente mobilisation des « enfants du numérique », les codeurs de logiciels libres peuvent aider les gens à comprendre que l’open source est un élément clé de la solution aux problèmes qu’ils cherchent à résoudre.
DE NOMBREUX COMBATS À VENIR
La communauté peut aussi s’impliquer dans l’étape suivante du combat contre ces filtres. La loi qui vient d’être adoptée par l’UE est ce qu’on appelle une directive ; en tant que telle, elle doit être transposée en loi nationale dans chacun des États membres au cours des deux prochaines années. La façon dont c’est effectué et ce qui en ressort dépendent des processus et des débats législatifs locaux. Les lois de transposition de la Directive offrent une grande marge de manœuvre. Cela signifie que localement, il y aura de nombreux combats dans lesquels les organisations de l’open source pourront aider à émousser les aspects les plus négatifs de la nouvelle loi.
Dès l’instauration de transpositions locales, il sera possible de commencer à contester les filtres de téléversement comme étant incompatibles avec l’actuelle loi européenne. On peut y parvenir de nombreuses manières. Le moment venu, le monde du Logiciel Libre pourra aider à inciter les gens à payer les sommes considérables qui vont en découler.
CONTOURNER LA DIRECTIVE COPYRIGHT
Au pire, si les filtres passent outre les contestations légales et sont largement appliqués, l’open source pourra — et sans doute devra — jouer un dernier rôle. La Directive européenne sur le copyright était une disposition légale profondément malhonnête car elle était censée aider les artistes — une intention louable. Mais en réalité, le but était d’attaquer Google et, dans une moindre mesure, Facebook. Le principal objectif est de les obliger à payer les éditeurs et les maisons de disques européens, essentiellement pour les punir d’être prospères, ce que ne sont pas les acteurs traditionnels dans ce domaine en raison de leur refus d’embrasser totalement le monde numérique et ses nouvelles possibilités. La Directive européenne est une tentative erronée de revenir en arrière et de faire de l’internet un medium étroitement contrôlé et passif comme la télévision.
Seuls les grands acteurs peuvent se permettre de prendre part au monde que nous promet la Directive européenne sur le copyright. La nouvelle loi exigera l’octroi de licences pour d’énormes quantités de contenus ainsi que l’implémentation de filtres complexes (et faillibles) pour bloquer tout le reste. Ces deux mesures à caractère punitif seront extrêmement coûteuses pour les PME européennes. Le pouvoir des media sera concentré entre les mains des principaux acteurs des droits sur le copyright, lesquels deviendront les gardiens et les censeurs de ce système hyper-centralisé.
On peut combattre efficacement les filtres de téléversement et la menace qu’ils font peser sur la liberté d’expression en créant des services Internet en dehors de ce cadre — en particulier, ceux qui sont entièrement distribués. Eben Moglen, avocat conseil de la Free Software Foundation depuis 13 ans, et co-rédacteur des plus récentes versions de la licence GNU GPL, l’a bien compris il y a dix ans. Voici ce qu’il me disait lorsque je l’interrogeais sur ce sujet en 2010 :
- « Ce que je propose c’est que nous construisions une pile de réseautage social fondée sur le logiciel libre dont nous disposons aujourd’hui, et qui est quasiment le même que celui qui tourne sur les serveurs actuellement ; puis, que nous fournissions un dispositif contenant une distribution libre dont tout un chacun pourrait faire ce qu’il veut ainsi que du matériel peu cher d’un type qui se répandra partout dans le monde, que nous le fassions ou non, en raison de dimensions et de fonctionnalités particulièrement intéressantes pour le prix.»
Cet article pourrait vous interesser
La réforme européenne du droit d'auteur est-elle la fin de l'internet libre ? Il a monté le projet FreedomBox afin de concrétiser cette vision. Il tourne depuis 2011 et a créé cette « pile de réseautage social » pour différents ordinateurs monocarte. La FreedomBox Foundation a récemment lancé une version commerciale plug-and-play coûtant 82 euros, qui étend le projet à des utilisateurs non-techniciens.
Cela fait quelques années que le projet FreedomBox est important même si peu connu. Aujourd’hui, dans le sillage de la désastreuse directive européenne sur le copyright, il s’avère indispensable. Bien qu’un gros travail de qualité ait déjà été accompli par les codeurs dédiés à FreedomBox, des éléments logiciels cruciaux manquent encore à l’appel et des programmes existants pourraient être améliorés. En plus d’aider à mettre en place une alternative à l’internet filtré et non-ouvert qui nous arrive de l’UE, l’initiative FreedomBox va nous rapprocher de la création d’un internet mondial plus résilient et résistant à la censure. Elle devrait devenir une priorité pour la communauté de l’open Source.
—
Traduction par Joel Sagnes pour Contrepoints de Online Censorship Is Coming–Here’s How to Stop It.
Snowden avertit, Big Tech "incarcérera des populations entières en servitude" aux corps d'armée et aux gouvernements
par Tyler Durden Dim., 07/14/2019 - 14:10
Des géants de la technologie tels que Google ou Facebook stockent de grandes quantités de données personnelles pour leur propre bénéfice, mais ils sont également «heureux de transmettre» ces données aux gouvernements, rendant ainsi les personnes vulnérables à la persécution, a averti Edward Snowden lors d'un entretien avec RT.
N'importe qui peut à peu près être certain que «tout ce que vous avez fait, tout ce que vous avez tapé dans son champ de recherche, tout ce sur quoi vous avez cliqué, tout ce que vous avez aimé» est dûment enregistré et stocké dans les énormes banques de données de la grande technologie Le lanceur d'alerte de la NSA a déclaré devant la conférence britannique Open Rights Group (ORGCON19) à Londres via un lien vidéo de Moscou.
Sénateur Blackburn sur la législation relative aux technologies, question de la citoyenneté du recensement «Vos communications, telles qu’elles se produisent en grande partie aujourd’hui, n’ont pas lieu entre vous et la personne à qui vous parlez. Ils se produisent entre vous et Facebook, qui en fournit ensuite une copie à la personne à qui vous parlez, ou vous et Gmail, qui en donne une copie à la personne à qui vous parlez et chaque fois que ces transactions se produisent. fournisseurs de services, ils en gardent une trace. "
Les entreprises le font principalement pour faire avancer leurs propres intérêts financiers et économiques, mais elles cherchent non seulement à "améliorer leur classe" mais également à "améliorer leur État" et sont donc plus qu'heureux de partager les données obtenues avec les gouvernements, Snowden a mis en garde que ceux-ci l'utilisent à leur tour dans ses programmes de surveillance de masse.
«Nous constatons que les gouvernements se soucient de moins en moins de la conformité et du pouvoir», a-t-il déclaré, ajoutant que les structures de sécurité gouvernementales, censées être créées pour protéger la population contre la menace du terrorisme, sont en réalité utilisées contre quasiment tout le monde, des journalistes aux opinions critiques, des dissidents aux immigrants et aux minorités.
Les entreprises, qui contrôlent maintenant pratiquement la majeure partie des communications Internet, abusent depuis longtemps de leur pouvoir, forçant des personnes à entrer dans des relations avec lesquelles on ne «consentirait jamais de manière significative» sans pour autant être tenu pour responsable.
La loi n'a tout simplement pas rattrapé le fait qu'une entreprise technologique peut maintenant inciter des populations entières à être asservies au bien de l'entreprise, plutôt qu'à un bien individuel ou à un bien public.
Ses avertissements ont eu lieu peu après que Facebook eut accepté de fournir aux autorités françaises des données sur les suspects de discours de haine. Un peu plus tôt, l’avocat du géant de la technologie avait ouvertement déclaré que les utilisateurs du réseau social n’avaient aucune confidentialité en ce qui concerne leurs données personnelles.
Pourtant, le lanceur d’alerte a ajouté une part d’optimisme à son discours par ailleurs sinistre en disant que les gens sont en train de se rendre compte de cette situation et «que les choses vont aller mieux» grâce aux efforts de personnes qui ne sont pas indifférentes à cette question.
Snowden vit dans un exil volontaire en Russie depuis qu'il a exposé le vaste réseau de surveillance de la NSA en 2013, mettant au jour des informations sur les activités de surveillance de masse de l'agence de sécurité américaine ciblant des millions d'Américains ainsi que des dirigeants étrangers. Il est accusé d'espionnage par Washington et risque d'être arrêté s'il retourne chez lui.
Ce sont les meilleurs et les pires états pour démarrer une petite entreprise
par Tyler Durden Dim, 07/14/2019 - 23:45
Construire une petite entreprise depuis le début jusqu'au point où son développement et son succès à long terme n'est pas un mince exploit.
Selon les données du Bureau of Labor Statistics, environ un cinquième des entreprises en démarrage ne survivent pas avant leur premier anniversaire. Et près de la moitié ne parviendront jamais à leur cinquième.
Mais comme le souligne Wallethub, il existe différentes raisons pour lesquelles les startups échouent. Parmi eux, un mauvais emplacement est l’un des plus cités. Mais au-delà du fait de situer l'entreprise dans une artère populaire, choisir le bon état pour lancer votre entreprise peut également faire une différence énorme en termes de chances de succès.
Les États qui offrent les conditions propices au succès, tels que l’accès à l’argent, des travailleurs qualifiés, des bureaux abordables et d’autres facteurs, peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement d’une entreprise.
Des étudiants d'Halifax aident les enfants de Toronto à développer leur entreprise à partir de rien Dans une étude récente, WalletHub a comparé les 50 États sur 26 indicateurs pour leur réussite au démarrage, attribuant à chaque État un numéro dans chaque catégorie, puis en calculant les États les plus favorables aux entreprises.
Les résultats ne sont guère surprenants: les États du nord-est soumis à des impôts élevés et contrôlés par les démocrates offrent certaines des pires conditions pour les entreprises, tandis que les États de la région de la Ceinture contrôlés par les républicains et à faible taux d'imposition bénéficient des meilleures conditions.
- voir carte sur site -
Source: WalletHub
Voir le classement complet ci-dessous:
Du meilleurs au pire pour y vivre:
Texas Utah Géorgie Dakota du nord Oklahoma Floride Arizona Californie Montana Colorado Idaho Washington Mississippi Caroline du Nord Louisiane Kansas Minnesota Michigan Nebraska Tennessee Kentucky Dakota du Sud Maine Indiana Nevada Oregon Nouveau Mexique Alaska Alabama Wisconsin Arkansas Missouri Wyoming Ohio Illinois Massachusetts Iowa Caroline du Sud Virginie Maryland Virginie occidentale New York Vermont Delaware Pennsylvanie Connecticut Hawaii New Hampshire New Jersey Rhode Island
Pourquoi le Maryland est le pire état pour la retraite
par Tyler Durden Dim, 07/14/2019 - 17:05
Selon une nouvelle étude de Bankrate, le Maryland a été classé parmi les pires états en matière de retraite. Rien d'étonnant à cela. L'État a toute une liste de problèmes, principalement dus à la fiscalité incontrôlable des gouvernements locaux, à l'implosion de Baltimore City, aux logements inabordables et au coût de la vie élevé.
L'analyste Bankrate a examiné onze ensembles de données publics et privés liés à la vie d'un retraité. L'étude s'est concentrée sur cinq catégories (pondérations entre parenthèses): abordabilité (40%), criminalité (5%), culture (15%), climat (15%) et bien-être (25%). Il a déterminé que le Maryland se classait dernier avec le n ° 50 et n ° 47 pour l'abordabilité, non. 33 pour crime, non. 42 pour la culture, non. 18 pour la météo, et non. 37 pour le bien-être.
- voir tableau sur site -
"Où habiter est probablement l'une des décisions les plus personnelles que l'on puisse prendre, car il ne s'agit pas uniquement de préférences, mais également des considérations financières qui y sont associées", déclare Mark Hamrick, analyste économique principal chez Bankrate.
La réalité de l'économie actuelle du Canada
Selon de nouvelles données du US Census Bureau, près de 600 000 adultes de 65 ans et plus ont été transférés dans un nouvel état ou dans le district de Columbia au cours de la dernière année.
Environ 40% des personnes interrogées affirment s'être réinstallées au moins une fois depuis leur retraite, selon un sondage réalisé en 2018 par le Centre d'études sur la retraite de la Transamerica.
- voir tableau sur site -
Les baby-boomers recherchent des zones de retraite proches de leur famille et de leurs amis, où le coût de la vie est abordable, des impôts bas, des systèmes de soins de santé et des systèmes hospitaliers de premier ordre, un climat agréable et un taux de criminalité peu élevé. Quelque chose qui manque au Maryland dans plusieurs catégories.
"De toute évidence, le coût des soins de santé est l'une des principales préoccupations des Américains âgés", a déclaré Hamrick.
"Plus nous vieillissons, plus il est probable que nous aurons de plus en plus besoin de services de soins de santé. Dans certains cas, il y aura une maladie et, dans certains cas, une maladie catastrophique. Cela peut coûter très cher. "
Fidelity Investments a récemment déclaré qu'un baby-boomer aurait besoin de 285 000 dollars en dollars d'aujourd'hui pour couvrir les dépenses médicales à la retraite.
L'augmentation du coût des soins de santé est un obstacle majeur pour les retraités, car les retraites ont disparu, les individus ont dû assumer davantage la responsabilité de financer leur retraite, a déclaré Hamrick.
Les autres États les moins performants incluent le rang de New York no. 49, l'Alaska se classe non. 48, l'Illinois se classe non. 47 et l'état de Washington se classe non. 46
De l’autre côté, les meilleurs États pour la retraite: Nebraska, Iowa, Missouri et Dakota du Sud complètent le top 4. Avec Florida no.5, Caroline du Nord no. 7 et Hawaii no. dix.
IMPORTATION MASSIVE DE PRODUITS MORTELS DE L'ETRANGER !
La lente déchéance de l'agroalimentaire français dans les Échos et l'Opinion
14 Juillet 2019 par Seppi Glané sur la toile 370
Avec « Agroalimentaire : la France perd la main en Europe », les Échos se sont fait l'écho d'un nouveau cri d'alarme, après celui, par exemple, du Sénat (voir « Sur les marchés mondiaux, l'agriculture française a encore sa place sur un strapontin... plus pour longtemps si rien ne change »).
En chapô :
« Pour la première fois depuis la guerre, la balance commerciale agroalimentaire française avec les pays européens a été négative l'an dernier, selon l'Inra. Les exportations sont quasi-stables depuis 2011, tandis que les importations ont bondi de 24 %. La France paie son positionnement haut de gamme. »
En ouverture :
« "Il y a dix ans cela aurait été impensable", s'exclame Vincent Chatellier, économiste de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra). Pour la première fois depuis la guerre, le solde des échanges agroalimentaires de la France avec le reste de l'Union européenne est devenu négatif. La France a exporté pour 38,1 milliards d'euros en Europe (21,7 milliards hors UE) en 2018. Des chiffres stables (+2 % depuis 2011) vers l'UE face à des importations en provenance des voisins européens qui ont bondi de 24 % (à 38,4 milliards d'euros). »
Le chapô est un peu court pour l'explication :
« Pour Vincent Chatellier, la France "paie le choix du localisme à tous les étages et de son positionnement haut de gamme". Trois phénomènes se sont conjugués pour créer cette situation inédite. D'abord, "nos pays clients européens" ont tous développé leur production agricole, alors que leur population n'augmente plus. Plus grave, ils se sont trouvé des fournisseurs moins chers que la France, au rang desquels "la Pologne, qui nous a pris beaucoup de parts de marché", commente Vincent Chatellier. Un grand pays, déterminé à combler son retard et dont les ambitions agricoles s'envolent. »
On peut aussi ajouter les surtranspositions du droit européen ; la dysenterie législative au détriment de l'activité économique et au profit du paraître devant une opinion dit « publique » car largement manipulée et fantasmée (demandez aux « gilets jaunes » quelles sont leurs priorités...) ; les lourdeurs administratives ; une fiscalité dissuasive ; le refus de la modernisation et du développement (par exemple en matière d'installations de grande taille ou d'irrigation) ; les freins à la recherche-développement, voire une recherche dévoyée.
C'est en partie ce que rappelle Mme Emmanuelle Ducros dans « Agriculture française: un trésor national en danger », dans l'Opinion.
M. Sébastien Abis, directeur général du club Déméter, un think tank international et intersectoriel dédié aux enjeux alimentaires mondiaux et au rôle de la filière française, est largement cité :
« "Etre une puissance agricole, c’est aussi un enjeu de souveraineté crucial à un moment ou le monde change et ou il faudra bientôt, en 2050, nourrir 10 milliards d’humains, ajoute Sébastien Abis. Mais la souveraineté en matière d’alimentation, c’est un peu comme la souveraineté en matière de défense. On la croit acquise. Tant qu’on n’en parle pas, c’est qu’il n’y a pas de problème." Là, c’est la souveraineté primaire, celle qui touche chaque Français trois fois par jour dans l’intimité de son assiette, qui est menacée. »
La France a choisi l'agriculture de Martine à la ferme ou de Sylvain et Sylvette. Mieux, son ministre fait l'éloge d'une agriculture « biodynamique » qui s'en remet par exemple à la position des astres pour ses décisions techniques...
Il est un signe qui ne trompe pas : le Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation est avant-dernier dans l'ordre protocolaire, avant le Ministère des Sports. Mais au deuxième rang, derrière le Premier Ministre : la « transition écologique et solidaire » avec un ministre d'État, une ministre chargée des transports et deux secrétaires d'État... L'interdiction des assiettes en plastique a priorité sur ce qu'on met dedans...
« Quand on est riche, on a peur de mourir empoisonné par des pesticides… Quand on est pauvre, on a peur de mourir de faim. » (Sébastien Abis)
Face aux 100 000 interdictions d'apporter des remèdes aux maladies des plantes et des animaux, presque 100 % des produits consommés en France sont importés ! Importés de pays où aucune règlementation n'empêche quiconque de traiter les fruits & légumes avec des produits toxiques !
Et pour grossir les marges ils étiquettent 'bio' ! Hahahaha !
Il fabrique sa Lamborghini avec une imprimante 3D à un tarif "imbattable"
Samedi 13 Juillet 2019 - 17:55
Un Américain détaille sur Facebok les étapes de la fabrication d'une voiture ressemblant à une Lamborghini dont la majorité des pièces osrtent de son imprimante 3D. Le résultat final, qu'il espère achever en automne, coûte 20 fois moins cher que l'original.
Pas sûr que la prestigieuse marque de voitures italiennes apprécie la démarche, si celle-ci arrive bel et bien à son terme. Un Américain espère achever d’ici octobre un projet débuté il y a un an et demi : la construction d’une Lamborghini avec des pièces majoritairement conçues par une imprimante 3D.
Les informations que ce physicien de métier publie sur son compte Facebook (voir ici) mùontrent que le projet avance et prend forme. Le tout pour un budget total d’environ 20.000 dollars (17.700 euros) alors que le modèle dont se rapproche le prototype du bricoleur dépasse les 300.000 euros.
Cet habitant du Colorado partage en outre avec les internautes les différentes étapes de la fabrication de son véhicule fait de plastique imprimé. L’homme a cependant été obligé de rajouter lui-même quelques pièces qui ne sont pas sorties de son imprimante comme un châssis en acier, des pneus, un moteur de Corvette et une transmission de Porsche, ce qui explique que le coût final atteigne tout de même le prix d’une petite voiture neuve.
L’Américain a pris comme modèle la Lamborghini Aventador après que son fils, regardant un film, lui a fait part de son rêve de pouvoir être un jour au volant d’un tel véhicule.
L’homme estime enfin que son projet n’est en rien de la contrefaçon, l’Aventador ne servant que de modèle esthétique pour un véhicule qu’il a conçu lui-même, avec des pièces de carrosserie dessinées par ses soins, pour une réplique finale qui ne sera pas à vendre.
Le « capitalisme vert » monétise l’air que nous respirons.
RépondreSupprimerle 14 juillet 2019
Dans le monde néolibéral qui a tout monétisé il restait l’air que l’on respire à classer dans la catégorie profitable de la monétisation. Pour arriver à cette extrémité idéologique il aura fallu des années de préparation psychologique pour faire admettre au public qu’il était opportun de monétiser l’air et en particulier l’un de ses composants mineurs le gaz carbonique. Le prétexte, soigneusement préparé par les instances onusiennes avec l’aimable collaboration d’une multitude d’organisations non-gouvernementales, collaboration consentie ou imposée, était de sauver la Terre de la fournaise programmée dans laquelle elle serait précipitée si « on ne faisait rien » pour le climat. S’appuyant sur des bases scientifiques erronées ou inexistantes, les organismes officiels onusiens ont obtenu carte blanche de clubs sectaires comme « les hommes de Davos » ou le groupe de Bilderberg pour pratiquer inlassablement depuis plusieurs décennies un conditionnement de l’ensemble des populations afin qu’elles deviennent consentantes à l’impôt « pour » le climat, ouvrant ainsi la grande porte au profit en faisant payer ces populations afin d’avoir accès à ce qui était jusqu’alors gratuit : l’air que l’on respire.
Ce processus a suivi à la lettre le cheminement idéologique de l’Eglise catholique décadente de la fin du Moyen-Age. Il faut aujourd’hui, comme ce fut le cas aux XIVe et XVe siècles, acheter le droit de respirer comme l’Eglise vendait des indulgences pour avoir le droit au salut de l’âme, au repos éternel et à la résurrection. Ce ne seront plus des morceaux de papier distribués par le Vatican contre de la monnaie sonnante – si possible en or – mais des « crédits carbone », des droits d’émission de carbone, des obligations vertes de toutes sortes, et naturellement des taxes appliquées à tout produit de consommation courante qui provoque un rejet de carbone dans l’atmosphère, c’est-à-dire presque tout ! Toutes les institutions financières se préparent activement à cette véritable révolution car il y a très gros, très très gros à gagner.
Dans la ligne de cette idéologie totalitaire chaque individu sera taxé car lui-même respire et contribue donc aux émissions de gaz carbonique et le capitalisme vert, de Davos à Wall Street, c’est-à-dire des deux côtés de l’Atlantique a déjà songé à instituer ce type de taxe. De plus une campagne malthusienne honteuse prend de l’ampleur car faire des enfants est une source supplémentaire de gaz carbonique. Dans le même ordre d’idées il faudra éliminer tout objet, tout équipement, toute consommation gros producteurs de gaz carbonique et les remplacer par d’autres objets, d’autres équipements et d’autres consommations compatibles avec cette nouvelle religion malgré le fait que cette mutation, appelée ironiquement « croissance verte », produira infiniment plus de gaz carbonique que ce qu’il en est aujourd’hui.
L’enjeu planétaire et mercantile de cette nouvelle idéologie qu’est en réalité le capitalisme vert se heurtera inévitablement à l’attitude de tous les pays qui ont d’autres préoccupations que de réduire leurs émissions de carbone. Tous ces pays, répartis entre l’Amérique du sud et l’Asie en passant par l’Afrique, ne réduiront pas leurs émissions de carbone, ni ne paieront une quelconque taxe, ni ne se hasarderont à Wall Street ou à Londres pour jouer au grand casino des crédits carbone. Sans la mise en place d’une gouvernance mondiale autoritaire les objectifs de cette mafia climatique, depuis Al Gore, Davos, les ONGs « philanthropiques » et les élites capitalistes, continuera à se réunir en voyageant dans des jets privés pour profiter de plages de sable fins à l’ombre des cocotiers en peaufinant, au cours de « conférences vertes », la prédation du plus grand nombre pour le profit de la plus restreinte communauté financière.
Enfin, l’autre objectif inavoué de cette idéologie verte est de sauver le capitalisme néo-libéral moribond. L’enthousiasme suscité auprès de centaines de millions de personnes, essentiellement dans les pays développés, pour sauver la planète est le résultat d’une manipulation des opinions par ces puissances financières non pas pour sauver le climat mais pour en profiter, non pas pour sauver la nature et la biodiversité mais pour financiariser ces deux derniers sujets d’intérêt dans l’unique but de réaliser des profits se comptant en centaines de milliers de milliards de dollars, de livres ou d’euros.
RépondreSupprimerPour illustrer le propos mentionné plus haut, à savoir que de nombreux pays ne se plieront jamais aux injonctions du capitalisme occidental, la Chine, par exemple, doit avant toute chose gérer plus de 1,3 milliards d’habitants et le sauvetage du climat ou de la planète n’est pas sa préoccupation première, et de très loin. Il suffit d’examiner la production d’énergie électrique de ce pays :
- voir graphique sur site -
Comment peut-on imaginer que la Chine, l’Inde ou encore l’Indonésie mettent en place une taxe carbone ? Et à l’échelle mondiale, paradoxalement, il en est de même :
- voir graphique sur site -
La seule solution pour « sauver le climat » ou « sauver la biodiversité » en réduisant la production de carbone est simple : provoquer une dépression globale qui réduira la consommation de tous les biens de 50 % et détruira 98 % de la fortune fantôme des élites globalisées qui tentent de monétiser l’air que nous respirons. Le « Green New Deal » proposé par la représentante démocrate Alexandria Ocasio-Cortez mettrait en oeuvre – uniquement aux USA – la pharaonique somme de 93 000 milliards de dollars pour décarboner l’économie américaine. Si cette somme ne vous parle pas elle représente 600 000 dollars par foyer fiscal américain selon l’Office du Budget du Congrès américain. AOC semble ignorer quelles seront les conséquences d’un tel programme, et pourtant non : elle les connait, et c’est l’objectif poursuivi par tous ces partisans fanatiques du réchauffement du climat d’origine humaine. Un tel programme va provoquer des dommages irréparables dans les économies des pays occidentaux, et pas seulement aux USA. Le niveau de vie des citoyens de la majorité des pays de l’OCDE va inévitablement diminuer dans des proportions encore difficiles à imaginer. J’ai mentionné ci-dessus une chute de la croissance économique de 50 %, c’est une figure optimiste ! L’urgence – il faut que tout soit mis en place dans les 12 ans qui viennent – rendra très rapidement cette politique totalement hors de contrôle, et à la misère dans laquelle les peuples seront plongés s’ajoutera une dégradation tout aussi irréversible de l’environnement afin de produire massivement les matériaux nécessaires à cette transition énergétique. L’avenir n’est plus « vert » mais très noir …
Source partielle : charleshughsmith.blogspot.com, illustration NASA
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/07/14/le-capitalisme-vert-monetise-lair-que-nous-respirons/
Les trisomiques s'emparent du pouvoir !
SupprimerAprès l'eau gratuite qui sort des sources ou remplit les nappes phréatique, sont arrivées les 'stations d'épuration' qui coûtent une fortune aux contribuables et ne servent à rien puisque l'eau qui sort est imbuvable et que les mers & océans se chargent gratuitement d'en nettoyer des millions de kilomètres cubes d'eaux sales tous les jours !
Après l'eau l'air ! Tous les gaz se recyclent immédiatement et aucun n'a un pouvoir calorifique ni représente un poison autour de nous. Les mers & les océans dégazent tous les jours des milliards de fois plus de gaz que toute l'humanité, les animaux et l'industrie réunis !
Si les gaz ne se recyclaient pas la vie ne serait même pas apparue sur Terre !
Tout est fait pour ruiner les Peuples du monde qui accèdent et bénéficient de plus en plus au progrès. Tout est fait pour empêcher quiconque d'être riche alors qu'au 21è siècle c'est tout le monde qui devrait l'être ! Tout est fait pour empêcher la Démocratie de voir le jour dans les dictatures monarchiques, républicaines ou impériales !
Macron largement hué et sifflé lors de son passage sur les Champs-Élysées - vidéos
RépondreSupprimer11:04 14.07.2019
Des sifflets ont été entendus quelques minutes après l’arrivée du Président de la République sur les Champs-Élysées. Il a ensuite été longuement hué et sifflé durant toute la descente de l’avenue.
Emmanuel Macron a été largement sifflé et hué, ce 14 juillet, lors de son passage sur les Champs-Élysées. Les premiers sifflets ont été entendus à quelques minutes du coup d'envoi du défilé de la Fête nationale.
Le Président a ouvert les festivités en descendant la principale avenue parisienne à bord d'un «command car».
«Démissionne !», ont scandé certains manifestants alors que la voiture passait devant la foule.
C'est le troisième défilé pour Emmanuel Macron depuis son élection en mai 2017. Il a entamé vers 10h00 la revue des troupes sur les Champs-Élysées aux côtés de son chef d'état-major, avant de rejoindre la tribune présidentielle place de la Concorde, où l'attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel ainsi que son épouse Brigitte Macron, ainsi que les membres du gouvernement dont François de Rugy.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041664123-macron-largement-hue-et-siffle-tandis-quil-defilait-sur-les-champs-elysees/
La violence à Paris est pire depuis des mois alors que les vestes jaunes se heurtent à la police le jour de la fête nationale
Supprimerpar Tyler Durden
Dim, 07/14/2019 - 12:05
La police anti-émeute française a une nouvelle fois affronté les manifestants après le défilé militaire du 14 juillet, à Paris, selon l'AFP.
Les manifestants ont violé les barrières de sécurité et incendié les poubelles, provoquant le déploiement de gaz lacrymogène et d'autres mesures de contrôle des foules. En dehors de l'AFP et de la RT / Ruptly de Russie, le MSM a largement ignoré ces manifestations.
Il est à noter que de nombreux manifestants ne portaient pas de gilet jaune, car tout le monde était empêché d'entrer dans la zone de rassemblement. Au lieu de cela, ils portaient des ballons jaunes.
- voir photo sur site -
Les affrontements ont perturbé la célébration nationale de la prise de la forteresse de la Bastille à Paris, en 1789, pendant la Révolution française - pour laquelle la France organise un défilé militaire annuel (imaginez si Donald Trump faisait de même!). Macron a été rejoint par plusieurs autres dirigeants européens, dont le Premier ministre néerlandais Mark Rutte et la chancelière allemande Angela Merkel.
- voir clip sur site -
Il a également été hué lors de la descente des Champs-Élysées, aux côtés du général François Lecointre, chef d'état-major de la France, selon le quotidien.
Il y avait un soldat volant à l'événement qui était modérément cool.
Comme le fait étrangement remarquer CNN, au moins 24 manifestants du gilet jaune ont perdu la vue au milieu des manifestations souvent violentes qui ont commencé en novembre dernier et se sont poursuivies de différentes tailles au cours des mois suivants.
- voir photo sur site -
L'organisateur du gilet jaune, Jerome Rodrigues, subit une blessure à l'œil
Breidenstein est l'une des 24 personnes au moins qui a perdu un œil depuis les manifestations "gilets jaunes", ou jaune, ont commencé en novembre 2018, selon Desarmons-Les, un groupe de soutien pour les personnes mutilées dans les rues des villes françaises.
Ce qui a commencé comme une campagne contre une hausse de la taxe sur l'essence s'est transformé en un rassemblement plus vaste contre le gouvernement du président Emmanuel Macron. Des scènes de violents affrontements ont éclaté en France. Les manifestants ont lancé des bombes d'essence et des briques pendant que la police antiémeute utilisait des canons à eau, des grenades assourdissantes et des gaz lacrymogènes pour tenter de contenir la colère.
En mars, le ministère français de l'Intérieur a estimé à 2 200 le nombre de gilets jaunes blessés et à 1 500 le nombre de policiers blessés dans les affrontements. Le ministère ne donnerait pas à CNN le nombre de personnes ayant subi une blessure à la vue. -CNN
La police française a été largement condamnée par les Nations unies et par le Parlement européen pour leur usage apparent de la force excessive lors des émeutes de Yellow Vest.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-14/paris-violence-worst-months-yellow-vests-clash-police-bastille-day
Des vidéos montrant un CRS à terre frappé sur les Champs-Élysées apparaissent sur le Net
Supprimer21:39 14.07.2019
Au cours des accrochages qui se sont produits ce dimanche 14 juillet sur les Champs-Élysées après le défilé et qui ont fait des blessés, un CRS tombé à terre a reçu des coups de pied, montre une vidéo publiée sur Twitter.
Pendant les troubles qui ont marqué ce dimanche matin l’avenue des Champs-Élysées, fait des blessés et conduit à des interpellations, un CRS se trouvant au sol a reçu des coups. La vidéo de la scène a été publiée par le journaliste freelance Clément Lanot.
Or, dans une autre séquence publiée sur le site de RTL, les mêmes événements sont filmés d’un autre angle. On y voit le même homme que la première vidéo s’approcher des CRS dans leur dos, alors qu’ils donnent des coups de matraque à deux personnes. Ensuite, lui et d’autres jeunes font tomber des CRS, distribuant des coups.
En réagissant à la publication de Clément Lanot, le Syndicat indépendant des commissaires de police a indiqué sur Twitter, en taguant David Dufresne en référence aux signalements à la place Beauvau que ce dernier fait, que le CRS qui se trouvait au sol avait été blessé.
Or, dans les commentaires en bas de ce dernier post, les internautes se sont montrés en général critiques. Les commentateurs ont attiré l’attention sur le fait que les forces de l’ordre tapaient des civils non casqués et que l’«homme n’avait pas l’air très blessé». D’autres ont diffusé des images montrant des violences policières.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041668792-vidos-montrant-un-CRS-a-terre-frappe-sur-les-Champs-elysees/
Un commissaire de police perd son sang-froid face aux manifestants sur les Champs-Élysées – vidéo
Supprimer22:02 14.07.2019
Face aux manifestants qui scandaient et huaient exprimant leur colère pendant le défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées, un commissaire de police a été filmé perdant son sang-froid lors d’un échange tendu.
Un commissaire de police a été filmé en train de perdre son sang-froid face à un groupe de manifestants sur les Champs-Élysées le 14 juillet, expose le HuffPost. La séquence a été relayée sur les réseaux sociaux.
Au début de la vidéo, un échange tendu a lieu entre les manifestants, qui sont venus exprimer leur mécontentement, et le commissaire de police. Un manifestant met devant le visage du commissaire un papier en répétant «Casse-toi!».
Après quelques instants, suite aux insultes des manifestants, comme l’indique le média, le haut fonctionnaire perd son sang-froid et fonce contre la foule tentant de la repousser physiquement.
Néanmoins, les autres policiers présents sur les lieux s’interposent pour éviter une bagarre et protéger le commissaire.
Les manifestations des Gilets jaunes le 14 juillet
Des accrochages ont eu lieu ce 14 juillet aux abords des Champs-Élysées lors du défilé militaire et dans les heures qui ont suivi. Pour disperser les manifestants, les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes. Plusieurs blessés ont été rapportés, dont une femme blessée au visage. Vers 14h, la police avait déjà procédé à près de 180 interpellations à Paris, a annoncé la préfecture, citée par l'AFP.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041668862-un-commissaire-de-police-perd-son-sang-froid-face-aux-manifestants-sur-les-champs-elysees--video/
L’auteur de l’accident mortel à Montpellier après la victoire de l'Algérie libéré
RépondreSupprimer13:02 14.07.2019
Bien que le parquet de Montpellier ait demandé le placement en détention provisoire du chauffard qui a tué une mère de famille après le quart de finale de la Coupe d'Afrique des nations, sa demande n'a pas été suivie par la juge d'instruction et le jeune homme a été libéré.
Le chauffard qui a percuté une famille le 11 juillet à Montpellier, au cœur des célébrations des supporters de l'équipe d'Algérie, a été laissé libre.
Le parquet avait requis son placement en détention provisoire. Mais cet avis n'a pas été suivi par la juge d'instruction qui l'a libéré le 13 juillet au soir, a annoncé son avocate, Me Aude Widuch, au quotidien Midi libre.
Le conducteur a été mis en examen pour homicide involontaire et blessures involontaires, avec manquement délibéré à une obligation particulière de prudence. Ce manquement délibéré est double: vitesse excessive et défaut de maîtrise du véhicule, avait souligné le procureur de Montpellier.
L’identité de l’homme établie
Si auparavant l’AFP avait annoncé qu’il s’agissait d’un supporter de l'Algérie ayant perdu le contrôle de son véhicule et fauché une famille, le procureur a précisé que le mis en examen est un jeune homme de 21 ans, «de nationalité 'française', électricien de profession, détenteur du permis de conduire depuis quatre mois». Il n'avait aucun antécédent judiciaire.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041665270-lauteur-de-laccident-mortel-a-montpellier-apres-la-victoire-de-lalgerie-libere/
Notez bien que lorsqu'il s'agit de français (par exemple: François de Rugy) le nom est cité mais lorsqu'il s'agit d'arabes le nom n'est pas marqué.
SupprimerFRANCE - 14 JUILLET: MACRON OUVRE LE DÉFILÉ SOUS LES SIFFLETS
RépondreSupprimerLa France célèbre, dimanche, sa fête nationale sous le signe de la coopération militaire européenne. Les «gilets jaunes» étaient de la partie.
Le chef de l'État lors de la revue des troupes sur la célèbre avenue parisienne, aux côtés de son chef d'état-major.
14.07.2019
Le président Emmanuel Macron a ouvert dimanche les festivités du 14 juillet en descendant les Champs-Elysées à bord d'un «command car» avant le début du traditionnel défilé militaire, placé cette année sous le signe de la coopération militaire européenne.
Des sifflets émanant de «gilets jaunes» ont été entendus sur le passage du chef de l'État, dont c'est le troisième défilé depuis son élection en mai 2017.
La veille au soir, quelques dizaines de manifestants, dont certains portaient des «gilets jaunes», avaient fait entendre leur voix devant l'Hôtel de Brienne, où Emmanuel Macron prononçait un discours, en visant le ministre de la Transition écologique François de Rugy, épinglé par Mediapart pour des dîners fastueux lorsqu'il était président de l'Assemblée nationale.
Après avoir entamé vers 10H00 la revue des troupes sur la célèbre avenue parisienne aux côtés de son chef d'état-major, le président a rejoint la tribune présidentielle place de la Concorde, où l'attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel, ainsi que son épouse Brigitte Macron, ainsi que les membres du gouvernement dont François de Rugy. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/14-juillet-macron-ouvre-defile-consacre-europe/story/13490171
Fête nationale: les Gilets jaunes Maxime Nicolle, Jérôme Rodrigues et Éric Drouet interpellés près des Champs-Élysées
RépondreSupprimer11:03 14.07.2019
Plusieurs figures des Gilets jaunes, Maxime Nicolle, Jérôme Rodrigues et Éric Drouet ont été interpellés, en marge du défilé du 14 juillet, non loin des Champs-Élysées.
Comme l'a indiqué Jérôme Rodrigues à Sputnik, «sur ordre de la hiérarchie, je suis interdit d’entrer sur les Champs ! Discrimination». Selon la figure des Gilets jaunes, il a également reçu une amende de 135 euros.
Des Gilets jaunes, dont Éric Drouet, étaient présents sur les Champs-Élysées et hurlaient «Macron démission».
Tensions sur les Champs-Élysées
Sur les Champs-Élysées, la tension avec les forces de l'ordre est montée d'un cran. Selon un correspondant du Huffington Post, «tout semble avoir commencé lorsque des policiers se sont approchés d'Éric Drouet».
La veille, plusieurs groupes de Gilets jaunes sur les réseaux sociaux rassemblant parfois des dizaines de milliers de sympathisants avaient appelé à manifester sur les Champs-Élysées dimanche 14 juillet.
La préfecture avait pris un arrêté interdisant les rassemblements de Gilets jaunes sur les Champs-Élysées et dans d'autres secteurs jugés sensibles pour samedi 13 et dimanche 14 juillet.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041663877-les-gilets-jaunes-maxime-nicolle-jerome-rodrigues-et-eric-drouet-interpelles-non-loin-des/
C'est plutôt bizarre que ceux qui soutiennent la république (dictature en place) soient interdits d'assister au sifflage et huées de son chef !
Supprimer
RépondreSupprimerDans l’Essonne, des ventes anormales d’acide chlorhydrique inquiètent la police
09:15 14.07.2019
Des magasins de bricolage de l’Essonne, réalisant des ventes inhabituellement élevées d’acide chlorhydrique, ont alerté la police, samedi 13 juillet. Selon les forces de l’ordre, ce produit peut servir à la conception d’armes dangereuses.
Plusieurs magasins de l’Essonne ont été pris de court par l’augmentation de la demande sur l’acide chlorhydrique, samedi 13 juillet. Leurs stocks sont d’ores et déjà épuisés.
Les autorités locales, la police, les pompiers et les gendarmes sont en alerte, inquiétés par ces ventes anormales. Ce sont les magasins, surpris par la croissance massive de ces achats, qui ont contacté les forces de l’ordre, rapporte Le Parisien. Parmi ces enseignes, les magasins Castorama de Montgeron de Vigneux-sur-Seine et Weldom d’Étampes ont refusé de vendre ces quantités inhabituelles d’acide chlorhydrique.
Substance dangereuse
Généralement, l’acide chlorhydrique, un concentré incolore et très corrosif, sert à déboucher les canalisations ou décaper le carrelage. Mais il peut aussi causer de graves blessures en touchant la peau ou les yeux.
Préparer des cocktails Molotov ou des bombes d’acide
D’après une source policière, des clients de ce produit pourraient l’utiliser contre les forces de l’ordre.
«Mais à la veille du 14 Juillet, on craint que ce soit utilisé pour réaliser des pétards ou des cocktails Molotov. Cela peut être jeté sur nos collègues», confirme la source policière au Parisien.
«Sachant que ce produit a été vendu en de telles quantités, on n'engagera pas nos personnels», précise une source chez les pompiers. «On évaluera le risque et s'il n'y a pas de mise en péril pour des personnes, on laissera brûler».
Les attaques à l'acide contre les forces de l’ordre se multiplient en France, notamment depuis les manifestations des Gilets jaunes et de récentes violences urbaines, comme celle de samedi 13 juillet dans le quartier de Grigny 2, où une trentaine d’individus ont attaqué des policiers, utilisant des mortiers d’artifice.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041663647-dans-lessonne-des-ventes-anormales-dacide-chlorhydrique-inquietent-la-police/
RépondreSupprimerUne université enquête sur une étudiante diplômée féministe pour avoir osé dire que les hommes ne peuvent pas devenir des femmes
par Tyler Durden
Samedi, 07/13/2019 - 16:05
Ecrit par Alexander Pease via The College Fix,
Le titre Title IX est impliqué
Quelles sont les chances qu'un étudiant féministe diplômé puisse être assiégé par la rhétorique féministe sur un campus californien ?
Dans un cadre intersectionnel et une définition évolutive de «femme», beaucoup plus élevé que ce à quoi vous pourriez vous attendre.
Les doctorants, anciens et «alliés» de l'Université de Californie à Santa Barbara demandent à l'administration de prendre des mesures contre Laura Tanner, critique franche de l'idéologie transgenre et candidate au doctorat au sein de son département d'études féministes.
Le fil Twitter de Tanner est dominé par la discussion sur la menace de l’idéologie transgenre pour les femmes, y compris les jeunes lesbiennes. Elle pense que les femmes transgenres - les hommes biologiques - s'approprient à tort une identité féminine.
L’en-tête de son image déclare carrément: «Une femme est une personne avec un corps de femme et n’importe quelle personnalité… pas une« personnalité féminine »et n’importe quel corps. Toute autre définition est sexisme. »Le journal de l'école The Daily Nexus a réimprimé plusieurs de ses tweets qu'il considérait comme« transphobes ».
Pourtant, Tanner s'identifie comme une féministe intersectionnelle. Sa thèse est une «analyse féministe intersectionnelle de la violence initiée par les enfants et des contraintes de la maternité», selon sa page de département. (Elle a trois enfants âgés de 16 à 23 ans, selon son site Web.)
Elle a conçu et enseigné deux cours dans le département et a été assistante pédagogique pour quatre cours, mais il n’est pas clair si elle est supposée enseigner à nouveau. Tanner n'a pas répondu aux courriels ni aux messages Twitter de The College Fix cette semaine.
Les critiques sur Twitter veulent qu'elle soit retirée de l'enseignement ou pire encore, avec des insultes personnelles lobantes chez Tanner, telles que "l'absurdité absolue" et la "garce stupide", selon le Daily. L'une a déclaré que «cette chienne avait besoin de mourir» et d'autres l'ont ciblée pour qu'elle soit blanche.
Au moins une ancienne étudiante de Tanner, Kyremina Youssef, a publiquement discuté du dépôt d’une plainte contre elle avec le comité d’éthique du département et de l’université, citant les tweets de Tanner. Elle et un autre étudiant ont également organisé une manifestation sur son campus le mois dernier.
Un autre élève qui s'est plaint de Tanner a envoyé une réponse de Laury Oaks, directeur du département de Tanner. Oaks a qualifié les messages de Tanner sur les médias sociaux de «pénibles» et a dit à l’étudiant qu’il pouvait également déposer des plaintes concernant l’éthique et le titre IX.
Il a également posté une réponse de la coordinatrice du titre IX, Ariana Alvarez, qui a déclaré que son bureau "s’engageait activement dans une réponse" et lui a demandé de transmettre "tout nouveau matériel / nouveau message" de Tanner.
En dépit de ces réponses officielles à au moins une étudiante, UCSB et le département de Tanner ont été publiquement fous en réponse à l’activisme à son encontre.
RépondreSupprimerLe département d'études féministes n'a pas encore répondu à son téléphone à chaque fois que The Fix a appelé et n'a pas renvoyé de messagerie vocale. Mais un porte-parole de l'université a déclaré à The Fix jeudi soir que le département lui avait demandé de répondre en son nom.
La directrice adjointe des informations, Shelly Leachman, n'a pas répondu à la question fixe. Elle consiste à savoir si l'invalidation de l'identité transgenre est une violation du code de conduite chez UCSB, dans un contexte quelconque ou spécifiquement dans un poste d'enseignant.
«La politique de l'université interdit de discuter des détails liés aux problèmes de personnel et il nous est interdit de discuter des informations des étudiants», a écrit Leachman dans un courrier électronique. The Fix n'a pas posé de question non plus.
«L’Université dispose d’un processus pour signaler les incidents biaisés sur le campus et de procédures pour remédier à ces problèmes quand ils se présentent», a poursuivi Leachman:
L’Université a également adopté des politiques rigoureuses en matière de protection de la liberté académique et de la liberté d’expression. Les membres de la communauté universitaire sont encouragés à signaler les violations de ces règles et des comportements fautifs dans tous ces domaines.
Le genre binaire «enraciné dans les logiques du colonialisme, du racisme et de la domination sexuée»
La dispute entre Tanner et des activistes pro-trans illustre la lutte contre les frontières du féminisme au sein de l'académie et de la culture au sens large.
Elle fait partie d'une minorité féministe petite mais de plus en plus virulente, souvent qualifiée de «féministes radicales d'exclusion trans».
Leur insistance sur le fait que les hommes ne peuvent pas devenir des femmes a suscité la colère parmi les environnements de plus en plus accueillants et orientés vers les alliés qui dominent le monde universitaire d’un océan à l’autre. Le sujet est un chapitre d’un nouveau livre sur l’activisme chez les jeunes rédigé par Robby Soave de Reason, un ancien poste de Fixateur.
Tanner est le sujet anonyme de deux lettres qui semblent plus généralement critiquer le programme du département d'études féministes. Les deux sont écrits de manière si vague qu’il n’est pas clair s’ils discutent avec des instructeurs autres que Tanner.
Le premier, daté du 12 juin, a été publié «en faveur des étudiants trans, non binaires et du sexe». Moins de 20 étudiants en doctorat du département, actuellement diplômés, ont signé la lettre.
Le premier, daté du 12 juin, a été publié «en faveur des étudiants trans, non binaires et du sexe». Moins de 20 étudiants en doctorat du département, actuellement diplômés, ont signé la lettre.
«Nous sommes vraiment désolés pour les étudiants victimes de la transphobie et de la rhétorique anti-travailleurs du sexe dans notre département», ont-ils écrit, citant «la rhétorique transphobe et anti-travail des étudiants diplômés et leur comportement d’instructeur».
RépondreSupprimerIls ont affirmé que «la parité hommes-femmes… est enracinée dans les logiques du colonialisme, du racisme et de la domination sexuée»:
Les études féministes constituent un domaine enraciné dans les traditions de protestation et d'action politique. Aux étudiants qui sont troublés par tout cela, nous soutenons votre liberté d'expression telle qu'elle peut se manifester par des actions de sensibilisation, des manifestations, etc., et offrons notre collaboration pour lutter contre les sentiments de transphobie et de prostitution sur ce campus.
La lettre suggère que les professeurs du département ont déjà assuré aux signataires qu'ils étaient d'accord avec les critiques. Cela exige de la «transparence» lors de la réunion du comité du programme «afin de répondre aux préoccupations exprimées par les étudiants concernant la transphobie, la rhétorique anti-travail sexuel et les environnements de sécurité pour les étudiants trans».
Relative à Tanner, la lettre demande que "ceux qui épousent ouvertement le racisme, le travail contre le sexe et les croyances transphobes ne continuent pas à enseigner ou à enseigner au département." (Il n’est pas clair s’ils accusent personnellement Tanner de racisme.)
La lettre «Alumni and Allies» (Anciens et alliés), publiée le 14 juin et signée par des diplômés en majorité de l’UCSB, mais également par ceux d’autres campus, ne mentionne pas un instructeur non identifié.
Au contraire, elle accuse UCSB de copier l’administration Trump et sa «transphobie rampante». Répondant à un thème commun de l’intersectionnalité, la lettre associe des opinions telles que celle de Tanner à la violence physique.
«Certains documents délétères et haineux ont été présentés dans la salle de classe [Études féministes] et ciblent en ligne les étudiants transsexuels», indique la lettre:
Le matériel qui nie l’existence et les expériences vécues par les personnes transsexuelles, en particulier les femmes transsexuelles, est non seulement inexact sur le plan factuel, mais également préjudiciable aux élèves transsexuels. De tels points de vue sont incompatibles avec les responsabilités éthiques des études féministes en tant que discipline et ne devraient pas être adoptés par des instructeurs, des assistants d'enseignement ou des supports de cours.
Le ministère devient complice de «meurtres et crimes motivés par la haine visant les personnes trans», ainsi que de leurs suicides, dès lors qu’il leur permet de «nier la réalité des expériences des personnes trans ou de réifier comme essentiels ou réels les binaires sexués et sexués», poursuit la lettre. Il compte environ 400 signatures jeudi soir.
Le correctif n'a toutefois pas été en mesure de trouver des accusations spécifiques de comportement transphobe de Tanner dans la classe ou le programme.
Dans son tweet évoquant l’idée de porter plainte contre Tanner, Youssef n’a mentionné aucun incident en classe. «Je l'avais eue le dernier trimestre et elle ne connaissait pas la moitié des choses dont nous avons parlé et a essayé de faire face à ses propres difficultés lorsque nous avons parlé de la pauvreté», a-t-elle écrit. "Madame, vous êtes blanche."
Un autre élève a confié à The Fix que Tanner n’était pas un bon professeur, mais n’a pas mentionné ses opinions comme une raison. «[Il] a très peu répondu à mes demandes et s'est directement opposé à ce que le professeur avait défini comme procédure qui rendait la navigation très difficile pour moi», a-t-il écrit.
Youssef et son compatriote Ari Moini ont organisé une manifestation le 13 juin pour protester contre le point de vue de Tanner exprimé sur Twitter.
RépondreSupprimerYoussef a déclaré au Quotidien qu’ils organiseraient davantage de rassemblements à l’automne si Tanner ne quittait pas l’enseignement à UCSB. Moini a affirmé que la communauté trans sur le campus était «peu sûre» tant qu'elle enseignait.
Néanmoins, Tanner a persisté.
@saltyfemst glisse à travers une salope muette! SON SUR SITE ! Baise toi et ta transphobie ! Nous sommes ici en dehors de la tonnelle de 11h à 14h, nous ne vous sautons pas pic.twitter.com/47qgA2PW6U
- val (@ valley0fwolves) 13 juin 2019
La campagne contre elle inclut l'incitation, la diffamation et le harcèlement, dit-elle
La doctorante a continué à tweeter ses critiques de l'idéologie transgenre depuis qu'elle est devenue une cause célèbre à UCSB.
Elle s'intéresse plus particulièrement aux risques de la transition que courent les enfants pour la santé, à la menace que représentent pour les lesbiennes le fait de traiter les hommes comme des femmes et au refroidissement du langage, comme le sien, en particulier au Royaume-Uni.
Quelques jours après la publication des lettres critiques, Tanner a raconté plusieurs histoires racontées par des femmes d'universités aux vues similaires, qui ont peur de parler en public.
Parmi les tweets de Tanner que le Quotidien a identifiés comme transphobes: «Aucun enfant n'est trans. Il n’est pas possible de naître dans le mauvais corps. "
Un autre: «Au lieu de résoudre la dysphorie ou la dysmorphie, la« transition »entretient et renforce un état d’opposition à son propre corps… Ce n’est pas un soin de santé mentale."
Tanner a déclaré au Quotidien que la campagne étudiante visant à la faire licencier "comprend l'incitation à la violence, des mensonges diffamatoires à propos de mon enseignement et du harcèlement à l'égard de ma race et de ma sexualité". Elle a décrit le terme d'argot TERF, utilisé contre des femmes comme elle, un «affront utilisé pour dénigrer et faire taire les femmes».
Elle a également interrogé le Daily dans un tweet pour le titre de son article. Il devrait plutôt indiquer: «Un candidat au doctorat de l’UCSB est harcelé pour avoir dit la vérité et défendu les femmes et les enfants».
Sur son site Web, Tanner explique le rôle central de l'idéologie transgenre dans ses recherches:
Ma recherche et mes travaux de recherche portent actuellement sur la résistance à l'effacement discursif des femmes et des filles, en particulier en matière de santé et de discours sur le genre; tente de dissocier le corps féminin de la féminité; l’idée erronée que le sexe biologique est socialement construit ou susceptible de changer, la perte des droits civils des femmes et des filles par le biais de modifications des lois qui suppriment les protections contre le sexe et définissent le genre comme un sentiment; et les pratiques abusives et dangereusement expérimentales d’enfants et de jeunes adultes médicalement «en transition».
Elle a déclaré au Quotidien que «le silence, l'absence de plate-forme et les représailles contre les universitaires qui remettent en question ou critiquent l'idéologie trans» ne se limitent pas à l'Amérique.
«Cela est particulièrement préoccupant dans le milieu universitaire, qui est censé être un lieu d’échange d’idées ouvert et sans entraves.»
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-13/university-investigates-feminist-grad-student-daring-say-men-cant-become-women
Supprimer(...) L’Université a également adopté des politiques rigoureuses en matière de protection de la liberté académique et de la liberté d’expression. Les membres de la communauté universitaire sont encouragés à signaler les violations de ces règles et des comportements fautifs dans tous ces domaines. (...)
C'est pour cette raison que les pédérastes psychopathes de l'Université de Californie à Santa Barbara interdisent l'application du 1er Amendement de la Constitution sur la liberté d’expression et que, une femme demeurera TOUJOURS une femme même travestie et, un homme restera TOUJOURS un homme même travesti en chien ou chienne ou crapaud, merde ou autre !
La trisomie gagne actuellement tout l'État de Californie où désormais les excréments s'affichent sur les trottoirs ou défilent dans les rues pour les défendre !!
Catastrophe ! La Terre est verte de plus en plus !
RépondreSupprimer14 Juillet 2019
par Seppi
Le Monde Planète se ridiculise à nouveau avec son activisme
"C'est trop beau !"
Pour ceux qui ne comprendraient pas.
Un articulet et une vidéo
Le Monde a publié le 12 juillet 2019 un articulet et une séquence vidéo sous le titre : « Pourquoi le verdissement de la Terre n’est pas une si bonne nouvelle ».
La vidéo s'intitule : « La planète verdit, pourquoi c'est une mauvaise nouvelle ».
Ah bon ?
Ben oui !
« Au cours des vingt dernières années, la Terre a gagné 5 % de couverture végétale. C’est ce qu’affirme une étude publiée en février 2019 en se fondant sur les images du système satellitaire Modis de la Nasa. Comme à chaque publication de ce type d’études, des climatosceptiques ont souligné qu’il s’agissait là d’une preuve que notre planète ne se porte pas si mal.
Pourtant, ces mêmes études scientifiques montrent que les principales raisons de ce verdissement sont la hausse des températures et des niveaux de gaz carbonique. Ces nouveaux espaces verts sont également dus aux cultures intensives, et donc temporaires, qui captent peu de carbone. Pire, sur le long terme, des études alertent quant à un potentiel déséquilibre des écosystèmes. »
En prime, quatre liens (avec des descriptions biaisées) vers des articles scientifiques ou de vulgarisation, dont celui qui renvoie à MODIS, « China and India lead in greening of the world through land-use management » (la Chine et l'Inde à l'avant-garde du verdissement du monde grâce à la gestion de l'utilisation des sols) de Chi Chen et al.
L'article scientifique
En voici le résumé (nous découpons...) :
« Les données satellitaires montrent une augmentation de la surface foliaire de la végétation en raison de facteurs directs (gestion de l'utilisation des terres par l'Homme) et indirects (tels que les changements climatiques, la fertilisation au gaz carbonique, les dépôts d'azote et la récupération à la suite de perturbations naturelles).
Parmi ceux-ci, les effets du changement climatique et de la fertilisation au gaz carbonique, semblent être les principaux facteurs. Cependant, des données satellitaires récentes (2000-2017) révèlent une tendance au verdissement qui est remarquablement importante en Chine et en Inde et qui se superpose aux terres cultivées du monde entier. La Chine à elle seule représente 25 % de l’augmentation nette globale de la superficie foliaire avec seulement 6,6 % de la superficie végétalisée mondiale. En Chine, le verdissement provient des forêts (42 %) et des terres cultivées (32 %), mais en Inde, elle provient principalement de terres cultivées (82 %), avec une contribution mineure des forêts (4,4 %).
La Chine est en train d'élaborer des programmes ambitieux de conservation et d'extension des forêts dans le but d'atténuer la dégradation des sols, la pollution de l'air et le changement climatique.
La production alimentaire en Chine et en Inde a augmenté de plus de 35 % depuis 2000, principalement en raison d'une augmentation des superficies récoltées résultant de cultures multiples facilitées par l'utilisation d'engrais et de l'irrigation par des eaux de surface et/ou souterraines.
Nos résultats indiquent que le facteur direct est un facteur clé de la "Terre en voie de verdissement", représentant plus du tiers, et probablement davantage, de l’augmentation nette observée de la surface de feuilles vertes. Ils soulignent la nécessité d'une représentation réaliste des pratiques d'utilisation des sols par l'Homme dans les modèles du système Terre. »
RépondreSupprimerDes résultats blasphématoires
Ce résumé semble être un peu « macronien » : changement climatique et fertilisation au gaz carbonique « semblent être les principaux facteurs » (curieusement) qualifiés d'indirects, mais, en même temps, « [n]os résultats indiquent que le facteur direct est un facteur clé ».
Plus du tiers, voire davantage ? N'est-ce pas une remarquable contribution de ce sagouin, destructeur de la Planète Mère ? Ah oui, mais cela contrevient au catéchisme des collapsologues...
Le site de la NASA a des cartes que l'on peut agrandir.
Il y a aussi des chiffres qui dérangent, notamment pour le Brésil.
L'information selon Fox News
Nous ne ferons pas une analyse détaillée de la vidéo du Monde. Il faut être vraiment aveuglé par la religion de la catastrophe climatique pour critiquer ainsi, voire refuser, la contribution humaine à ce que les chercheurs ont constaté en matière de verdissement de la planète.
Après avoir dû admettre le fait dérangeant – « ...l'équivalent de la forêt amazonienne, c'est quand même pas rien... » – l'auteur de la vidéo déraille : « Ce type d'info est souvent relayé par les médias et sur des sites conservateurs américains, mais aussi par des climatosceptiques... »
Et hop ! Le sophisme du déshonneur par association !
La première publication visée est « Earth is greener today than it was 20 years ago thanks to 'human activity,' NASA study shows » (la Terre est plus verte aujourd'hui qu'elle ne l'était il y a 20 ans grâce à l'"activité humaine" selon une étude de la NASA). Elle est de la très détestée Fox News, le média conservateur censé démontrer le premier tiers du sophisme. Mais elle est parfaitement factuelle et objective, tout comme sa vidéo d'accompagnement.
Fox News nous livre même un élément d'information qui suggère que les interprétations de l'article scientifique sur les causes du verdissement sont à prendre avec une pincée de sel :
« Initialement, les chercheurs ont attribué le changement au temps plus chaud, au temps plus humide, à la fertilisation par le gaz carbonique ajouté, mais Rama Nemani, un chercheur du Centre de Recherches Ames de la NASA, a dit que les nouvelles données montrent que "les Hommes contribuent aussi". »
Pardon ! Que dites-vous ?
Le deuxième article censé prouver le deuxième élément de l'allégation est « WATCH: Fake Reporter John Oliver and Fake Scientist Bill Nye Try to Sell You a Fake Crisis » (voir : le faux reporter John Oliver et le faux scientifique Bill Nye tentent de vous vendre une fausse crise). C'est la critique d'une émission de télévision... Certes par un blog politique conservateur états-unien.
La question du verdissement de la planète n'y est nullement abordée sauf, à l'extrême rigueur, dans la toute dernière phrase :
« Ainsi Nye tente non seulement de susciter une panique au sujet de quelque chose qui fait en réalité pousser plus d'arbres, mais encore se fonde sur des données qui sont aussi fantastiques que les contes de fées. »
Au secours, l'anachronisme...
RépondreSupprimerIl a fallu chercher pour trouver une déclaration d'un « climatosceptique » ! L'étude issue des images de la NASA a été publiée en février 2019 et on sort une séquence d'archive de... mars 2017 !
M. Patrick Michaels est un climatologue qui se décrit lui-même comme sceptique. Il affirme que les changements seront mineurs – « une plage de réchauffement de 1,3 – 3,0°C, avec une valeur centrale de 1,9°C » pour la période de 1990 à 2100 (une valeur bien inférieure aux prédictions moyennes du GIEC) –, qu'ils ne seront pas catastrophiques et pourraient même être bénéfiques. Il est du reste loin d'être seul dans cet avis.
Cela suffit pour frapper d'infamie son « Les données satellites enregistrent un remarquable – traduit par « incroyable » dans le sous-titrage – verdissement de la planète Terre... ». Enfin, pas vraiment d'infamie... ce serait plus compliqué que ça selon notre experte.
Non, le verdissement est un fait.
Pauvre Monde...
Quant au Monde Planète, qui diffuse ainsi une critique de la contribution de l'Homme au verdissement de la planète, concomitante en Chine et en Inde (et ailleurs) à une intensification de l'agriculture et une amélioration de la sécurité alimentaire de milliards d'humains, il ne sort pas grandi de ce nouveau faux-pas de son activisme.
- voir clip sur site :
http://seppi.over-blog.com/2019/07/catastrophe-la-terre-est-plus-verte.html
Et le pire serait de dire (constatation vraie:) que l'oxygène est en augmentation ! puisque ce gaz est fabriqué par la végétation.
Supprimer----------------------------
Lu dans la presse:
Le Brésil en route pour une récolte record
12.07.19
La Conab, Compagnie nationale d’approvisionnement, estime que le Brésil devrait augmenter sa production de céréales et d’oléagineux de 5,7 % en 2018-2019 grâce à des conditions climatiques favorables permettant notamment une forte hausse de la seconde récolte de maïs.
Si les prévisions présentées le 11 juillet 2019 se confirment, le pays engrangerait 240,7 millions de tonnes au total, la meilleure récolte de son histoire, devant celle de 2016-2017 qui avait été de 237,7 millions de tonnes, selon la Conab.
La deuxième récolte de maïs bondit
L’augmentation de la production de céréales et d’oléagineux est tirée essentiellement par la forte progression de la seconde récolte de maïs de la saison, qui devrait atteindre 72,4 millions de tonnes, enregistrant un bond de 34,2 % par rapport à l’an dernier.
Sur cette période, « la production de céréales a été stimulée grâce à l’anticipation de la récolte de soja », réalisée avant le second semis de maïs, « et à la possibilité de profiter pleinement de la fenêtre climatique, laissant présager de bons rendements dans les champs ». Au total, le Brésil devrait produire 98,5 millions de tonnes de maïs (+22 %).
Surfaces au sommet
La surface de céréales et oléagineux doit atteindre le niveau record de 62,9 millions d’hectares, soit une hausse de 1,9 % par rapport à l’an dernier, qui s’explique surtout par la progression des terres dédiées au maïs, au soja et au coton.
La production de soja, bien qu’annoncée en baisse de 3,6 % par rapport à la récolte record de l’an dernier, est estimée à 115 millions de tonnes et devrait être la seconde plus importante jamais enregistrée dans le pays, rapporte l’organisme gouvernemental.
Le Brésil est le deuxième producteur de soja et le troisième producteur de maïs au monde.
-----------------------------------
BIENTÔT UN LÂCHER DE LIONS DANS PARIS ?
Les nouvelles règles d’indemnisation des dégâts
12.07.19
La grille et les conditions d’indemnisation des dommages causés aux troupeaux par les trois grands prédateurs, le loup, l’ours et le lynx, ont été publiés au Journal officiel le 11 juillet 2019.
La demande d’indemnisation doit être formulée dans un délai de 72 heures à compter de la date de l’attaque supposée. Un agent de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage est chargé de réaliser le constat. Des exceptions sont prévues, pour les constats portant sur moins de cinq victimes ovines ou caprines, où le préfet du département peut autoriser pour tout ou partie du département.
Les attardés mentaux pensaient qu'ils mangeaient de l'herbe !!
-------------------------------------
« On ne rebouchera pas la mare »
11.07.19
Un couple de Périgourdins a été condamné par la cour d’appel de Paris à reboucher une mare située sur leur propriété, car les grenouilles qu’elle abrite dérangent les voisins.
Michel Pecheras, habitant du petit village de Grignols en Dordogne possède une mare dans son jardin qui abrite une grande biodiversité dont des grenouilles. Seulement, un voisin habitant à une quinzaine de mètres se dit gêné par le bruit que font ces animaux et a attaqué le propriétaire en justice.
Trop sensibles, les abricots bio découragent certains arboriculteurs
RépondreSupprimerLa production d'abricots en agriculture biologique ne décolle pas en Valais.
Quelque 9500 tonnes d'abricots seront cueillies d’ici la mi-septembre en Valais, où la récolte a débuté. Mais la production biologique de ce fruit très sensible ne décolle pas et certains arboriculteurs préfèrent renoncer.
La récolte des abricots s’annonce excellente cette année, tant au niveau du goût, de la qualité que de la quantité. Mais l'abricot bio fait exception. Car ce fruit délicat est particulièrement sensible aux conditions météorologiques. Et sans produits de synthèse, bannis des cultures biologiques, il est difficile de combattre les maladies comme la moniliose, un champignon qui s’attaque à la fleur et dessèche les branches.
"Suivant les années et les variétés, la production peut passer de 2 kg au mètre carré à 300 grammes à peine, bien en deçà du seuil de rentabilité", souligne dans le 19h30 Stéphane Dessimoz, responsable production de BioFruits qui exploite 10 hectares d’abricotiers en bio dans la plaine du Rhône.
"On s'est aperçu qu'on ne s'en sortirait pas"
Et la recherche, en la matière, tâtonne encore: douze variétés sont actuellement testées par l’Office valaisan de l’arboriculture en collaboration avec l’Agroscope et deux d’entre elles sont particulièrement prometteuses. Mais Patrice Bruchez n’attendra pas. Arboriculteur bio à Saillon, il a testé une centaine de variétés et a finalement décidé de jeter l’éponge. De 5 hectares, il a divisé par dix ses surfaces d’abricotiers. "On a rêvé, on a testé, puis on s’est aperçu qu’on ne s’en sortirait pas", explique-t-il.
Si le bio ne cesse de progresser en Suisse, pour atteindre désormais plus de 15% des surfaces cultivées, il ne dépasse pas les 7% pour ce roi des vergers valaisans que représente l’abricot.
Cédric Jordan/oang
https://www.rts.ch/info/regions/valais/10565458-trop-sensibles-les-abricots-bio-decouragent-certains-arboriculteurs.html
HAHAHAHA ! Ils [les biotrouduc] veulent protéger les maladies et les insectes prédateurs et refusent tout médicament et insecticide !!!
SupprimerCéder l'agriculture à des trisomiques et comme leur céder le pouvoir de diriger le pays
Tensions aux abords des Champs-Élysées (14 juillet), des blessésLa situation dégénère aux Champs-Élysées, plusieurs blessés – vidéo
RépondreSupprimer17:44 14.07.2019
Plusieurs personnes ont été blessées ce 14 juillet aux abords des Champs-Élysées où des tensions sont apparues suite au défilé militaire. Un rassemblement non-autorisé s’est déroulé à proximité avant que nombre de manifestants ne pénètrent sur l'avenue.
Des tensions ont eu lieu ce 14 juillet aux abords ainsi qu'aux Champs-Élysées suite au défilé militaire, où un important dispositif des forces de l’ordre avait été déployé.
En début d’après-midi, les incidents restaient localisés, or un correspondant de Sputnik a fait état de plusieurs blessés.
En outre, notre correspondant sur place a filmé des street medics venant en aide à un homme gisant inconscient aux abords de l'avenue. On ignore toutefois la cause de son malaise ainsi que les circonstances.
Peu après 14h, plusieurs manifestants ont pu accéder aux Champs-Élysées où ils ont renversé des barrières métalliques, cherchant à monter des barricades.
La situation dégénère
Les tensions sont encore remontées après 15h, plusieurs heurts ayant opposé les forces de l’ordre aux manifestants. Des projectiles ont été lancés, la police est intervenue avec des lacrymogènes. Des poubelles ont été incendiées au milieu de la chaussée.
Les forces de l'ordre ont effectué à plusieurs reprises des tirs de gaz lacrymogène pour disperser les manifestants, parfois mêlés aux touristes ou aux badauds, et pour certains les visages dissimulés sous un foulard, un masque ou une capuche.
La situation s’est apaisée vers 16h, mais les manifestants sont restés sur place.
Comment tout a commencé
De premières tensions ont eu lieu vers midi aux abords de la principale avenue parisienne après le traditionnel défilé militaire.
Près de 200 individus ont tenu une manifestation non-autorisée, ils ont été bloqués par les forces de l’ordre. Ces derniers ont fait usage de gaz lacrymogènes. Une femme a été blessée au visage en marge du rassemblement.
Un correspondant de Sputnik a été témoin d'une interpellation musclée qui s'est déroulée à proximité des Champs-Élysées.
Vers 14h, la situation était plutôt calme à proximité de la place des Ternes, signale un correspondant de Sputnik. Un important dispositif des forces de l’ordre était déployé sur les lieux.
Un groupe de manifestants est par la suite remonté vers l’arc de Triomphe en vue de tenter d’accéder aux Champs-Élysées. Les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes. Une charge violente a eu lieu sur l'avenue.
La préfecture annonce 175 interpellations
Vers 17h30, la police avait déjà procédé à 175 interpellations en marge du défilé à Paris, a annoncé la préfecture à l'AFP.
Les infractions relevées par les forces de l'ordre sont liées dans la majeure partie à des cas d'«organisation de manifestation non déclarée», de «violences sur personnes dépositaires de l'ordre public» en passant par des «dégradations de biens publics» ou de «port d'arme prohibé», a-t-on détaillé de même source.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041665565-tensions-aux-abords-des-champs-elysees-une-femme-blessee--video/
Édouard Philippe sur les sifflets dès l’arrivée du Président sur les Champs-Élysées: «Je n’ai rien entendu»
RépondreSupprimer18:52 14.07.2019
Édouard Philippe a affirmé ne rien avoir entendu, interrogé par un journaliste de BFM TV sur «quelques manifestations des Gilets jaunes» qui ont eu lieu sur les Champs-Élysées dès l’arrivée d’Emmanuel Macron. D’après le Premier ministre, sans doute il y a eu juste «un certain nombre de gens» qui ont voulu exprimer leur opinion.
Tandis que lors de l’arrivée du Président de la République sur les Champs-Élysées pour le défilé du 14 juillet des sifflets et des hués accompagnés par des «Macron démission!» sont audibles sur des vidéos, Édouard Philippe a affirmé à BFM TV ne rien avoir entendu, évoquant tout simplement «un certain nombre de gens» qui ont voulu exprimer leur opinion.
«Je n'ai rien entendu. Je ne doute pas qu’un certain nombre de gens aient voulu exprimer leur opinion. […] L'important c'est que le défilé se soit bien passé et que nous ayons pu exprimer aux armées, et aux blessés des armées, notre reconnaissance et notre confiance», a déclaré le Premier ministre.
Auparavant, une vidéo du journaliste de Sputnik sur place, où des sifflets et les slogans scandés dès l’arrivée du Président ont été entendus, a été publiée sur les réseaux sociaux. Les premiers sifflets sont audibles à quelques minutes du coup d'envoi du défilé de la fête nationale. D’autres médias ont également relayé des vidéos avec des cris et des insultes.
Le défilé de la fête nationale 2019
C’est le troisième défilé pour Emmanuel Macron depuis son élection en mai 2017. Il a entamé vers 10h00 la revue des troupes sur les Champs-Élysées aux côtés de son chef d'état-major, avant de rejoindre la tribune présidentielle place de la Concorde, où l'attendaient plusieurs dirigeants européens, dont Angela Merkel ainsi que son épouse Brigitte Macron, et les membres du gouvernement dont François de Rugy.
Les manifestations des Gilets jaunes le 14 juillet
Des accrochages ont eu lieu ce 14 juillet aux abords des Champs-Élysées lors du défilé militaire. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogènes. Une femme a été blessée au visage. Vers 14h, la police avait déjà procédé à 152 interpellations à Paris, a annoncé la préfecture à l'AFP.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041668610-edouard-philippe-sur-les-sifflets-des-larrivee-du-president-sur-les-champs-elysees-je-nai-rien/
MÊME PAS ENTENDUE !
RépondreSupprimerIl dégoupille une grenade dans la poche d’un policier et celle-ci explose
17:09 14.07.2019
Plongé dans le noir dans la nuit du 13 au 14 juillet, le quartier des Champs-Montants à Audincourt est devenu le théâtre de violences urbaines. Un policier de la brigade anti-criminalité a été sérieusement blessé par une grenade.
La nuit du 13 au 14 juillet a pris des allures de guérilla urbaine à Audincourt, dans le Doubs, alors que tout le quartier des Champs-Montants était plongé dans le noir. Des agitateurs ont profité de la situation pour se livrer à des violences, relate l’Est républicain.
Pendant qu’une cinquantaine de jeunes commençait à caillasser les forces de l'ordre, un suspect a réussi à dégoupiller une grenade de désencerclement dans la poche d'un officier de la brigade anti-criminalité qui tentait de le maîtriser. La grenade a éclaté dans la main du policier et a également touché sa cuisse, relatent des médias locaux.
Brûlé au premier degré, il a été secouru par les pompiers et a reçu un arrêt maladie de deux jours, précise France Bleu.
Le suspect a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il doit être présenté au parquet de Montbéliard lundi 15 juillet.
Dégâts causés par les émeutiers
Selon l’Est républicain, les émeutes à Audincourt ont été marquées par le saccage partiel d’une crèche, des barrages enflammés sur les axes principaux ainsi que des voitures et des poubelles carbonisées.
Une voiture du commissariat a par ailleurs été sérieusement endommagée par des jets de projectiles.
https://fr.sputniknews.com/france/201907141041667979-il-degoupille-une-grenade-dans-la-poche-dun-policier-et-celle-ci-explose/
Le système de positionnement européen Galileo tombe en panne
RépondreSupprimer17:13 14.07.2019
L’ensemble du système de positionnement par satellites (GNSS) européen Galileo subit une panne de signal important depuis l’après-midi du jeudi 11 juillet et jusqu’à présent, indique l’Agence du GNSS européen.
Depuis plus de deux jours, les utilisateurs du système de positionnement européen Galileo ne reçoivent pas les signaux des satellites, annonce un communiqué de l’Agence du GNSS européen. La panne a été détectée vers 12h00 UTC jeudi 11 juillet et n'est toujours pas réparée.
«Les équipes de l'industrie et les agences travaillent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 pour rétablir les services Galileo le plus rapidement possible. D'après les estimations actuelles, les services devraient être restaurés dans les 48 heures», a déclaré une source au site insidegnss.com.
Les ingénieurs espéraient initialement résoudre le problème dimanche soir.
Le site indique que le problème pourrait être dû à des défaillances de la station au sol de positionnement temporel située en Italie, ce qui aurait un impact sur l’ensemble de la constellation de satellites. L'installation, équipée d’horloges atomiques à césium et d'une horloge maser à hydrogène, envoient ses données aux satellites en orbite pour fournir une référence de temps précise et rendre possible la localisation de l'utilisateur.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201907141041667291-le-systeme-de-positionnement-europeen-galileo-tombe-en-panne/
SANS PARLER DE LA BRANLETTE !...
RépondreSupprimerLa pornographie en ligne produit autant de gaz carbonique que tous les ménages en France
18:58 14.07.2019
Des chercheurs français ont constaté que l'ensemble des vidéos en ligne était responsable de l’émission de 300 millions de tonnes de gaz à effet de serre, dont un tiers provient du streaming de vidéos pornographiques.
Le rapport du think tank français The Shift Project intitulé «Climat: l’insoutenable usage de la vidéo en ligne» révèle le lien entre la consommation énergétique que demande le trafic et le visionnage des vidéos en ligne et l’émission de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
«Le visionnage de vidéos en ligne, qui représente 60 % du trafic de données dans le monde, a ainsi généré plus de 300 Mtgazcarboniquee au cours de l’année 2018, soit une empreinte carbonée comparable aux émissions annuelles de l’Espagne», indique le rapport.
Soulignant qu’aucune des différentes catégories d’usage «n’est négligeable en termes de trafic et donc en termes d’impact», les auteurs du rapport notent que les vidéos pornographiques sont responsables du tiers des émissions.
«Ainsi, le visionnage de vidéos pornographiques dans le monde génère-t-il en 2018 des émissions carbonées du même ordre que celle du secteur résidentiel en France.»
Les auteurs se fondaient sur les rapports des entreprises Cisco et Sandvine pour l’année 2018. Ils ont ensuite estimé la quantité d'électricité consommée pour transmettre ces vidéos et les visionner sur différents appareils. Pour en déduire la quantité de gaz à effet de serre, ils ont pris en compte le facteur d’émission associé à la génération électrique qui, en moyenne dans le monde, est égal à 0,519 kggazcarboniquee/kWh.
https://fr.sputniknews.com/societe/201907141041668656-la-pornographie-en-ligne-produit-autant-de-co2-que-tous-les-menages-en-france/
Les gaz qui sortiraient des mers et des océans seraient dus aux poissons qui baisent ! Sans parler des moules et des maquereaux qui s'y promènent !!
Supprimer(...) La pornographie en ligne produit autant de gaz carbonique que tous les ménages en France (...)
La pornographie en ligne produit autant de gaz carbonique que tous les ménages en France qui se branlent devant les écrans !
La société se masturbe dans la catastrophe climatique: rapport
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 07/14/2019 - 17:55
Selon un nouveau rapport, les activistes du climat - et tous ceux qui regardent la pornographie en ligne - font partie du problème.
Un groupe de réflexion français, The Shift Project, révèle que les contenus pour adultes représentent plus de 4% de toutes les émissions de gaz carbonique liées aux technologies numériques, tandis que la pornographie constitue 27% de toutes les vidéos visionnées en ligne.
Tu parles d'une empreinte carbone ?
- voir graphique sur site -
Kudlow sur le rapport sur les emplois aux États-Unis pour juin, NED
"... visionner des vidéos pornographiques dans le monde en 2018 a généré des émissions de carbone du même ordre de grandeur que celles du secteur résidentiel en France", lit-on dans le rapport.
Les auteurs se tournent ensuite vers un argument moral contre le porno, suggérant que "l'un des problèmes mentionnés concernant les effets de la consommation de pornographie au niveau sociétal est le phénomène de normes changeantes: lors de la consommation de contenu par un individu, une tendance à une violence accrue par exemple, le contenu visualisé a entraîné des effets néfastes sur la sexualité de l'individu et sa perception des relations physiques. "
De plus, les hommes ne semblent pas pouvoir se branler sans porno.
- voir graphique sur site -
Catherine Solano, une sexologue, a observé «depuis plusieurs années que, pour une grande proportion d'hommes, la masturbation est indissociable de la pornographie» (Solano, 2018). L'utilisation de la pornographie et donc la visualisation de vidéos pornographiques en ligne sont donc désormais associées à une utilisation régie par des mécanismes cognitifs hautement automatiques, ce qui permet une monétisation efficace des produits proposés. Aujourd'hui, le développement économique de la visualisation de vidéos pornographiques en ligne repose donc sur un amalgame cognitif issu des pratiques marketing du secteur: l'association de l'utilisation de la pornographie à l'acte physique du sexe (Roussilhe, 2019).
Voir un corps nu active une réaction automatique initiale dans le cerveau qui suscite un intérêt lié au réflexe évolutif de la possibilité de procréation (Solano, 2018). Sachant que nos mécanismes cognitifs hébergent un biais appelé «effet de déclenchement», qui induit l'inertie dans notre processus de pensée30 (Marcinkowski, 2019), nous pouvons comprendre que la sexualisation du contenu pour le grand public introduit des utilisations pornographiques au sein d'un mécanisme plus large de influence: exposé à des contenus sexualisés grand public (publicité, clips vidéo, etc.).
So - les hommes ont une réponse pavlovienne aux femmes nues qui se traduit par une masturbation éco-hostile - à un contenu de plus en plus violent.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-14/society-masturbating-its-way-climate-catastrophe-report
La pornographie en ligne en streaming produit autant de gaz carbonique que la Belgique
Supprimer11 juillet 2019
Par Michael Le Page
La transmission et la visualisation de vidéos en ligne génèrent 300 millions de tonnes de gaz carbonique par an, soit près de 1% des émissions mondiales. Les services vidéo à la demande tels que Netflix en représentent un tiers, les vidéos pornographiques en ligne générant un autre tiers.
Cela signifie que le visionnage de vidéos pornographiques génère autant de gaz carbonique par an que celui émis par des pays tels que la Belgique, le Bangladesh et le Nigeria.
C’est la conclusion d’un groupe de réflexion français appelé The Shift Project. Plus tôt cette année, il estimait que les technologies numériques généraient 4% des émissions de gaz à effet de serre et que ce chiffre pourrait atteindre 8% d’ici 2025.
Maintenant, il a estimé les émissions de gaz carbonique dues uniquement aux vidéos en ligne. Les auteurs du rapport ont utilisé les rapports 2018 des sociétés Cisco et Sandvine pour calculer le trafic Internet vidéo mondial. Ils ont ensuite estimé la quantité d'électricité utilisée pour transporter ces données vidéo et les visualiser sur différents appareils, des téléphones aux téléviseurs.
Enfin, ils ont estimé les émissions globales en utilisant les chiffres moyens mondiaux pour les émissions de carbone provenant de la production d'électricité.
La vidéo en ligne représentait 60% des flux de données mondiaux en 2018, indique le rapport, soit 1 zettaoctet de données (mille milliards de milliards d'octets). La définition du terme «vidéo en ligne» donnée dans le rapport n’inclut pas la diffusion en continu de vidéos en direct, telles que les appels vidéo Skype, les «camgirls» ou la télémédecine, qui représentent 20% supplémentaires des flux de données mondiaux.
Le passage à des vidéos de qualité toujours supérieure, telles que la résolution 8K, contribuera à augmenter davantage les émissions. Il en va de même pour le lancement de services de streaming de jeux, tels que Google Stadia, mais le rapport n’essayait pas d’estimer leur impact.
Les auteurs demandent des mesures pour limiter les émissions des vidéos en ligne, en empêchant par exemple leur lecture automatique et en ne transmettant pas de vidéos en haute définition lorsque cela est inutile. Par exemple, certains appareils peuvent désormais afficher des résolutions supérieures à celles que les utilisateurs peuvent percevoir. Le rapport indique qu'une réglementation sera nécessaire.
Les estimations sont globalement conformes aux autres estimations, déclare Chris Preist de l’Université de Bristol, au Royaume-Uni, qui étudie la durabilité de la technologie.
«Cela montre une fois de plus la nécessité pour les concepteurs de services numériques de bien réfléchir à l’impact global des services qu’ils fournissent», déclare Preist. «Pour les particuliers, la mise à niveau de nos appareils moins souvent, la possession de moins d'appareils et le fait de ne pas exiger partout une connexion Internet mobile de haute qualité sont probablement les actions les plus importantes que nous puissions entreprendre.»
Pour limiter le changement climatique, nous devons réduire la consommation d’énergie et passer à des sources renouvelables, a déclaré l’un des auteurs du rapport, Maxime Efoui. «La production d’une nouvelle infrastructure énergétique génère des émissions, même si l’électricité produite est éventuellement renouvelable», a-t-il déclaré.
https://www.newscientist.com/article/2209569-streaming-online-pornography-produces-as-much-co2-as-belgium/
Directive copyright : la censure connectée arrive
RépondreSupprimerLes filtres sur le téléversement de l’UE arrivent. Pourquoi et comment le monde de l’Open Source doit les combattre.
Par Glyn Moody.
15 JUILLET 2019
Un article du Linux Journal
Il y a un an, j’ai tiré la sonnette d’alarme à propos d’une terrible loi sur le copyright se profilant au sein de l’UE et qui allait avoir d’importants effets néfastes sur le monde de l’Open Source. Sa disposition la plus problématique obligerait de nombreux sites commerciaux européens à utiliser des filtres algorithmiques afin de bloquer le téléversement (NdR : « upload ») par les utilisateurs de fichiers non autorisés.
À la suite d’une campagne sans précédent de désinformation, de dénigrement et de mensonges purs et simples, ses partisans ont réussi à convaincre/duper suffisamment de députés européens pour qu’ils votent en faveur de la nouvelle directive sur le copyright, notamment des filtres de téléversement complètement bancals.
Cet article pourrait vous interesser
La directive droit d'auteur va-t-elle tuer internet ?
Un certain nombre de modifications ont été apportées aux propositions originelles que j’ai examinées l’année dernière. La plus importante, « les plateformes de développement et de partage de logiciels Open Source » sont explicitement exclues des pré-requis pour le filtrage des téléversements. Il serait cependant naïf de croire que la Directive sur le copyright en est devenue acceptable et que les logiciels libres ne seront pas impactés.
ATTAQUE SUR L’INTERNET OUVERT
L’Open source et l’Internet ouvert ont une relation symbiotique : chacun s’est constamment nourri de l’autre. Les filtres de téléversement sont une attaque frontale sur l’Internet ouvert, le transformant en un espace connecté soumis à autorisations. Ils vont créer un système de censure dont l’expérience prouve qu’il est propre à subir les abus aussi bien d’entreprises que d’États pour bloquer des données légitimes.
La communauté de l’Open Source commettrait une faute majeure en haussant les épaules et en disant : « c’est bon pour nous—pas notre problème.» Ces filtres sont résolument le problème de tout un chacun qui se soucie d’un Internet ouvert et sain ainsi que de la liberté d’expression.
Par exemple, le blog GitHub met en avant le fait que les faux positifs vont probablement poser problème quand les filtres seront implémentés—indépendamment d’ « exemptions » spécifique pour de l’open source : « Quand un filtre détecte un faux positif et que les dépendances disparaissent, cela ne fait pas que démolir un projet—cela impacte aussi les droits des développeurs et ceux des détenteurs de copyright. »
DU COUP, QUE PEUT-ON FAIRE ?
Comme le souligne l’eurodéputée du Parti Pirate Julia Reda dans son article résumant la bataille pluriannuelle pour améliorer le texte de la directive sur le copyright :
- « Mon message à tous ceux qui ont participé à ce mouvement : soyez fiers du chemin parcouru ensemble ! Nous avons prouvé que les citoyens organisés peuvent avoir un impact, même si nous n’avons pas réussi à faire disparaître le projet de loi au complet. Alors ne désespérez pas ! »
Plus précisément :
- «Une alliance originale d’ONG, de partis politiques et de personnes en vue dans les media sociaux a réussi à politiser et mobiliser toute une génération élevée au numérique. Des tas de gens se sont trouvé de nouveaux défis : les amuseurs de YouTube se sont subitement mis à porter la casquette de reporters ou de commentateurs politiques, les internautes celle d’activistes et d’organisateurs et beaucoup ont participé à leurs toutes premières manifestations. Ces expériences vont marquer durablement.»
C’est important parce que les préoccupations et les convictions de cette « alliance nouvelle » sont très proches de celles de la communauté des logiciels libres.
RépondreSupprimerL’intérêt soudain pour des aspects jusqu’ici obscurs du monde connecté et de ses applications est une chance pour le monde de l’Open Source d’augmenter sa visibilité et d’obtenir du soutien sur ses activités. Le potentiel de diffusion est énorme : plus de cinq millions de personnes ont signé une pétition européenne contre les filtres de téléversement, et 200 000 ont pris part à des manifestations.
Là où de nouvelles initiatives en matière de droits numériques sont mises en place pour exploiter la récente mobilisation des « enfants du numérique », les codeurs de logiciels libres peuvent aider les gens à comprendre que l’open source est un élément clé de la solution aux problèmes qu’ils cherchent à résoudre.
DE NOMBREUX COMBATS À VENIR
La communauté peut aussi s’impliquer dans l’étape suivante du combat contre ces filtres. La loi qui vient d’être adoptée par l’UE est ce qu’on appelle une directive ; en tant que telle, elle doit être transposée en loi nationale dans chacun des États membres au cours des deux prochaines années. La façon dont c’est effectué et ce qui en ressort dépendent des processus et des débats législatifs locaux. Les lois de transposition de la Directive offrent une grande marge de manœuvre. Cela signifie que localement, il y aura de nombreux combats dans lesquels les organisations de l’open source pourront aider à émousser les aspects les plus négatifs de la nouvelle loi.
Dès l’instauration de transpositions locales, il sera possible de commencer à contester les filtres de téléversement comme étant incompatibles avec l’actuelle loi européenne. On peut y parvenir de nombreuses manières. Le moment venu, le monde du Logiciel Libre pourra aider à inciter les gens à payer les sommes considérables qui vont en découler.
CONTOURNER LA DIRECTIVE COPYRIGHT
Au pire, si les filtres passent outre les contestations légales et sont largement appliqués, l’open source pourra — et sans doute devra — jouer un dernier rôle. La Directive européenne sur le copyright était une disposition légale profondément malhonnête car elle était censée aider les artistes — une intention louable. Mais en réalité, le but était d’attaquer Google et, dans une moindre mesure, Facebook. Le principal objectif est de les obliger à payer les éditeurs et les maisons de disques européens, essentiellement pour les punir d’être prospères, ce que ne sont pas les acteurs traditionnels dans ce domaine en raison de leur refus d’embrasser totalement le monde numérique et ses nouvelles possibilités. La Directive européenne est une tentative erronée de revenir en arrière et de faire de l’internet un medium étroitement contrôlé et passif comme la télévision.
Seuls les grands acteurs peuvent se permettre de prendre part au monde que nous promet la Directive européenne sur le copyright. La nouvelle loi exigera l’octroi de licences pour d’énormes quantités de contenus ainsi que l’implémentation de filtres complexes (et faillibles) pour bloquer tout le reste. Ces deux mesures à caractère punitif seront extrêmement coûteuses pour les PME européennes. Le pouvoir des media sera concentré entre les mains des principaux acteurs des droits sur le copyright, lesquels deviendront les gardiens et les censeurs de ce système hyper-centralisé.
On peut combattre efficacement les filtres de téléversement et la menace qu’ils font peser sur la liberté d’expression en créant des services Internet en dehors de ce cadre — en particulier, ceux qui sont entièrement distribués. Eben Moglen, avocat conseil de la Free Software Foundation depuis 13 ans, et co-rédacteur des plus récentes versions de la licence GNU GPL, l’a bien compris il y a dix ans. Voici ce qu’il me disait lorsque je l’interrogeais sur ce sujet en 2010 :
RépondreSupprimer- « Ce que je propose c’est que nous construisions une pile de réseautage social fondée sur le logiciel libre dont nous disposons aujourd’hui, et qui est quasiment le même que celui qui tourne sur les serveurs actuellement ; puis, que nous fournissions un dispositif contenant une distribution libre dont tout un chacun pourrait faire ce qu’il veut ainsi que du matériel peu cher d’un type qui se répandra partout dans le monde, que nous le fassions ou non, en raison de dimensions et de fonctionnalités particulièrement intéressantes pour le prix.»
Cet article pourrait vous interesser
La réforme européenne du droit d'auteur est-elle la fin de l'internet libre ?
Il a monté le projet FreedomBox afin de concrétiser cette vision. Il tourne depuis 2011 et a créé cette « pile de réseautage social » pour différents ordinateurs monocarte. La FreedomBox Foundation a récemment lancé une version commerciale plug-and-play coûtant 82 euros, qui étend le projet à des utilisateurs non-techniciens.
Cela fait quelques années que le projet FreedomBox est important même si peu connu. Aujourd’hui, dans le sillage de la désastreuse directive européenne sur le copyright, il s’avère indispensable. Bien qu’un gros travail de qualité ait déjà été accompli par les codeurs dédiés à FreedomBox, des éléments logiciels cruciaux manquent encore à l’appel et des programmes existants pourraient être améliorés. En plus d’aider à mettre en place une alternative à l’internet filtré et non-ouvert qui nous arrive de l’UE, l’initiative FreedomBox va nous rapprocher de la création d’un internet mondial plus résilient et résistant à la censure. Elle devrait devenir une priorité pour la communauté de l’open Source.
—
Traduction par Joel Sagnes pour Contrepoints de Online Censorship Is Coming–Here’s How to Stop It.
https://www.contrepoints.org/2019/07/15/349098-copyright-censure-connectee-arrive-voici-comment-larreter
Snowden avertit, Big Tech "incarcérera des populations entières en servitude" aux corps d'armée et aux gouvernements
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim., 07/14/2019 - 14:10
Des géants de la technologie tels que Google ou Facebook stockent de grandes quantités de données personnelles pour leur propre bénéfice, mais ils sont également «heureux de transmettre» ces données aux gouvernements, rendant ainsi les personnes vulnérables à la persécution, a averti Edward Snowden lors d'un entretien avec RT.
N'importe qui peut à peu près être certain que «tout ce que vous avez fait, tout ce que vous avez tapé dans son champ de recherche, tout ce sur quoi vous avez cliqué, tout ce que vous avez aimé» est dûment enregistré et stocké dans les énormes banques de données de la grande technologie Le lanceur d'alerte de la NSA a déclaré devant la conférence britannique Open Rights Group (ORGCON19) à Londres via un lien vidéo de Moscou.
Sénateur Blackburn sur la législation relative aux technologies, question de la citoyenneté du recensement
«Vos communications, telles qu’elles se produisent en grande partie aujourd’hui, n’ont pas lieu entre vous et la personne à qui vous parlez. Ils se produisent entre vous et Facebook, qui en fournit ensuite une copie à la personne à qui vous parlez, ou vous et Gmail, qui en donne une copie à la personne à qui vous parlez et chaque fois que ces transactions se produisent. fournisseurs de services, ils en gardent une trace. "
Les entreprises le font principalement pour faire avancer leurs propres intérêts financiers et économiques, mais elles cherchent non seulement à "améliorer leur classe" mais également à "améliorer leur État" et sont donc plus qu'heureux de partager les données obtenues avec les gouvernements, Snowden a mis en garde que ceux-ci l'utilisent à leur tour dans ses programmes de surveillance de masse.
«Nous constatons que les gouvernements se soucient de moins en moins de la conformité et du pouvoir», a-t-il déclaré, ajoutant que les structures de sécurité gouvernementales, censées être créées pour protéger la population contre la menace du terrorisme, sont en réalité utilisées contre quasiment tout le monde, des journalistes aux opinions critiques, des dissidents aux immigrants et aux minorités.
Les entreprises, qui contrôlent maintenant pratiquement la majeure partie des communications Internet, abusent depuis longtemps de leur pouvoir, forçant des personnes à entrer dans des relations avec lesquelles on ne «consentirait jamais de manière significative» sans pour autant être tenu pour responsable.
La loi n'a tout simplement pas rattrapé le fait qu'une entreprise technologique peut maintenant inciter des populations entières à être asservies au bien de l'entreprise, plutôt qu'à un bien individuel ou à un bien public.
Ses avertissements ont eu lieu peu après que Facebook eut accepté de fournir aux autorités françaises des données sur les suspects de discours de haine. Un peu plus tôt, l’avocat du géant de la technologie avait ouvertement déclaré que les utilisateurs du réseau social n’avaient aucune confidentialité en ce qui concerne leurs données personnelles.
Pourtant, le lanceur d’alerte a ajouté une part d’optimisme à son discours par ailleurs sinistre en disant que les gens sont en train de se rendre compte de cette situation et «que les choses vont aller mieux» grâce aux efforts de personnes qui ne sont pas indifférentes à cette question.
RépondreSupprimerSnowden vit dans un exil volontaire en Russie depuis qu'il a exposé le vaste réseau de surveillance de la NSA en 2013, mettant au jour des informations sur les activités de surveillance de masse de l'agence de sécurité américaine ciblant des millions d'Américains ainsi que des dirigeants étrangers. Il est accusé d'espionnage par Washington et risque d'être arrêté s'il retourne chez lui.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-14/snowden-warns-big-tech-will-indenture-entire-populations-servitude-corps-govts
Ce sont les meilleurs et les pires états pour démarrer une petite entreprise
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 07/14/2019 - 23:45
Construire une petite entreprise depuis le début jusqu'au point où son développement et son succès à long terme n'est pas un mince exploit.
Selon les données du Bureau of Labor Statistics, environ un cinquième des entreprises en démarrage ne survivent pas avant leur premier anniversaire. Et près de la moitié ne parviendront jamais à leur cinquième.
Mais comme le souligne Wallethub, il existe différentes raisons pour lesquelles les startups échouent. Parmi eux, un mauvais emplacement est l’un des plus cités. Mais au-delà du fait de situer l'entreprise dans une artère populaire, choisir le bon état pour lancer votre entreprise peut également faire une différence énorme en termes de chances de succès.
Les États qui offrent les conditions propices au succès, tels que l’accès à l’argent, des travailleurs qualifiés, des bureaux abordables et d’autres facteurs, peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement d’une entreprise.
Des étudiants d'Halifax aident les enfants de Toronto à développer leur entreprise à partir de rien
Dans une étude récente, WalletHub a comparé les 50 États sur 26 indicateurs pour leur réussite au démarrage, attribuant à chaque État un numéro dans chaque catégorie, puis en calculant les États les plus favorables aux entreprises.
Les résultats ne sont guère surprenants: les États du nord-est soumis à des impôts élevés et contrôlés par les démocrates offrent certaines des pires conditions pour les entreprises, tandis que les États de la région de la Ceinture contrôlés par les républicains et à faible taux d'imposition bénéficient des meilleures conditions.
- voir carte sur site -
Source: WalletHub
Voir le classement complet ci-dessous:
Du meilleurs au pire pour y vivre:
Texas
Utah
Géorgie
Dakota du nord
Oklahoma
Floride
Arizona
Californie
Montana
Colorado
Idaho
Washington
Mississippi
Caroline du Nord
Louisiane
Kansas
Minnesota
Michigan
Nebraska
Tennessee
Kentucky
Dakota du Sud
Maine
Indiana
Nevada
Oregon
Nouveau Mexique
Alaska
Alabama
Wisconsin
Arkansas
Missouri
Wyoming
Ohio
Illinois
Massachusetts
Iowa
Caroline du Sud
Virginie
Maryland
Virginie occidentale
New York
Vermont
Delaware
Pennsylvanie
Connecticut
Hawaii
New Hampshire
New Jersey
Rhode Island
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-08/these-are-best-and-worst-states-start-small-business
Pourquoi le Maryland est le pire état pour la retraite
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 07/14/2019 - 17:05
Selon une nouvelle étude de Bankrate, le Maryland a été classé parmi les pires états en matière de retraite. Rien d'étonnant à cela. L'État a toute une liste de problèmes, principalement dus à la fiscalité incontrôlable des gouvernements locaux, à l'implosion de Baltimore City, aux logements inabordables et au coût de la vie élevé.
L'analyste Bankrate a examiné onze ensembles de données publics et privés liés à la vie d'un retraité. L'étude s'est concentrée sur cinq catégories (pondérations entre parenthèses): abordabilité (40%), criminalité (5%), culture (15%), climat (15%) et bien-être (25%). Il a déterminé que le Maryland se classait dernier avec le n ° 50 et n ° 47 pour l'abordabilité, non. 33 pour crime, non. 42 pour la culture, non. 18 pour la météo, et non. 37 pour le bien-être.
- voir tableau sur site -
"Où habiter est probablement l'une des décisions les plus personnelles que l'on puisse prendre, car il ne s'agit pas uniquement de préférences, mais également des considérations financières qui y sont associées", déclare Mark Hamrick, analyste économique principal chez Bankrate.
La réalité de l'économie actuelle du Canada
Selon de nouvelles données du US Census Bureau, près de 600 000 adultes de 65 ans et plus ont été transférés dans un nouvel état ou dans le district de Columbia au cours de la dernière année.
Environ 40% des personnes interrogées affirment s'être réinstallées au moins une fois depuis leur retraite, selon un sondage réalisé en 2018 par le Centre d'études sur la retraite de la Transamerica.
- voir tableau sur site -
Les baby-boomers recherchent des zones de retraite proches de leur famille et de leurs amis, où le coût de la vie est abordable, des impôts bas, des systèmes de soins de santé et des systèmes hospitaliers de premier ordre, un climat agréable et un taux de criminalité peu élevé. Quelque chose qui manque au Maryland dans plusieurs catégories.
"De toute évidence, le coût des soins de santé est l'une des principales préoccupations des Américains âgés", a déclaré Hamrick.
"Plus nous vieillissons, plus il est probable que nous aurons de plus en plus besoin de services de soins de santé. Dans certains cas, il y aura une maladie et, dans certains cas, une maladie catastrophique. Cela peut coûter très cher. "
Fidelity Investments a récemment déclaré qu'un baby-boomer aurait besoin de 285 000 dollars en dollars d'aujourd'hui pour couvrir les dépenses médicales à la retraite.
L'augmentation du coût des soins de santé est un obstacle majeur pour les retraités, car les retraites ont disparu, les individus ont dû assumer davantage la responsabilité de financer leur retraite, a déclaré Hamrick.
Les autres États les moins performants incluent le rang de New York no. 49, l'Alaska se classe non. 48, l'Illinois se classe non. 47 et l'état de Washington se classe non. 46
De l’autre côté, les meilleurs États pour la retraite: Nebraska, Iowa, Missouri et Dakota du Sud complètent le top 4. Avec Florida no.5, Caroline du Nord no. 7 et Hawaii no. dix.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-14/find-out-why-maryland-worst-state-retirement
IMPORTATION MASSIVE DE PRODUITS MORTELS DE L'ETRANGER !
RépondreSupprimerLa lente déchéance de l'agroalimentaire français dans les Échos et l'Opinion
14 Juillet 2019
par Seppi
Glané sur la toile 370
Avec « Agroalimentaire : la France perd la main en Europe », les Échos se sont fait l'écho d'un nouveau cri d'alarme, après celui, par exemple, du Sénat (voir « Sur les marchés mondiaux, l'agriculture française a encore sa place sur un strapontin... plus pour longtemps si rien ne change »).
En chapô :
« Pour la première fois depuis la guerre, la balance commerciale agroalimentaire française avec les pays européens a été négative l'an dernier, selon l'Inra. Les exportations sont quasi-stables depuis 2011, tandis que les importations ont bondi de 24 %. La France paie son positionnement haut de gamme. »
En ouverture :
« "Il y a dix ans cela aurait été impensable", s'exclame Vincent Chatellier, économiste de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra). Pour la première fois depuis la guerre, le solde des échanges agroalimentaires de la France avec le reste de l'Union européenne est devenu négatif. La France a exporté pour 38,1 milliards d'euros en Europe (21,7 milliards hors UE) en 2018. Des chiffres stables (+2 % depuis 2011) vers l'UE face à des importations en provenance des voisins européens qui ont bondi de 24 % (à 38,4 milliards d'euros). »
Le chapô est un peu court pour l'explication :
« Pour Vincent Chatellier, la France "paie le choix du localisme à tous les étages et de son positionnement haut de gamme". Trois phénomènes se sont conjugués pour créer cette situation inédite. D'abord, "nos pays clients européens" ont tous développé leur production agricole, alors que leur population n'augmente plus. Plus grave, ils se sont trouvé des fournisseurs moins chers que la France, au rang desquels "la Pologne, qui nous a pris beaucoup de parts de marché", commente Vincent Chatellier. Un grand pays, déterminé à combler son retard et dont les ambitions agricoles s'envolent. »
On peut aussi ajouter les surtranspositions du droit européen ; la dysenterie législative au détriment de l'activité économique et au profit du paraître devant une opinion dit « publique » car largement manipulée et fantasmée (demandez aux « gilets jaunes » quelles sont leurs priorités...) ; les lourdeurs administratives ; une fiscalité dissuasive ; le refus de la modernisation et du développement (par exemple en matière d'installations de grande taille ou d'irrigation) ; les freins à la recherche-développement, voire une recherche dévoyée.
C'est en partie ce que rappelle Mme Emmanuelle Ducros dans « Agriculture française: un trésor national en danger », dans l'Opinion.
M. Sébastien Abis, directeur général du club Déméter, un think tank international et intersectoriel dédié aux enjeux alimentaires mondiaux et au rôle de la filière française, est largement cité :
« "Etre une puissance agricole, c’est aussi un enjeu de souveraineté crucial à un moment ou le monde change et ou il faudra bientôt, en 2050, nourrir 10 milliards d’humains, ajoute Sébastien Abis. Mais la souveraineté en matière d’alimentation, c’est un peu comme la souveraineté en matière de défense. On la croit acquise. Tant qu’on n’en parle pas, c’est qu’il n’y a pas de problème." Là, c’est la souveraineté primaire, celle qui touche chaque Français trois fois par jour dans l’intimité de son assiette, qui est menacée. »
La France a choisi l'agriculture de Martine à la ferme ou de Sylvain et Sylvette. Mieux, son ministre fait l'éloge d'une agriculture « biodynamique » qui s'en remet par exemple à la position des astres pour ses décisions techniques...
Il est un signe qui ne trompe pas : le Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation est avant-dernier dans l'ordre protocolaire, avant le Ministère des Sports. Mais au deuxième rang, derrière le Premier Ministre : la « transition écologique et solidaire » avec un ministre d'État, une ministre chargée des transports et deux secrétaires d'État... L'interdiction des assiettes en plastique a priorité sur ce qu'on met dedans...
« Quand on est riche, on a peur de mourir empoisonné par des pesticides… Quand on est pauvre, on a peur de mourir de faim. »
(Sébastien Abis)
http://seppi.over-blog.com/2019/07/la-lente-decheance-de-l-agroalimentaire-francais-dans-les-echos-et-l-opinion.html
SupprimerFace aux 100 000 interdictions d'apporter des remèdes aux maladies des plantes et des animaux, presque 100 % des produits consommés en France sont importés ! Importés de pays où aucune règlementation n'empêche quiconque de traiter les fruits & légumes avec des produits toxiques !
Et pour grossir les marges ils étiquettent 'bio' ! Hahahaha !
Il fabrique sa Lamborghini avec une imprimante 3D à un tarif "imbattable"
RépondreSupprimerSamedi 13 Juillet 2019 - 17:55
Un Américain détaille sur Facebok les étapes de la fabrication d'une voiture ressemblant à une Lamborghini dont la majorité des pièces osrtent de son imprimante 3D. Le résultat final, qu'il espère achever en automne, coûte 20 fois moins cher que l'original.
Pas sûr que la prestigieuse marque de voitures italiennes apprécie la démarche, si celle-ci arrive bel et bien à son terme. Un Américain espère achever d’ici octobre un projet débuté il y a un an et demi : la construction d’une Lamborghini avec des pièces majoritairement conçues par une imprimante 3D.
Les informations que ce physicien de métier publie sur son compte Facebook (voir ici) mùontrent que le projet avance et prend forme. Le tout pour un budget total d’environ 20.000 dollars (17.700 euros) alors que le modèle dont se rapproche le prototype du bricoleur dépasse les 300.000 euros.
Cet habitant du Colorado partage en outre avec les internautes les différentes étapes de la fabrication de son véhicule fait de plastique imprimé. L’homme a cependant été obligé de rajouter lui-même quelques pièces qui ne sont pas sorties de son imprimante comme un châssis en acier, des pneus, un moteur de Corvette et une transmission de Porsche, ce qui explique que le coût final atteigne tout de même le prix d’une petite voiture neuve.
L’Américain a pris comme modèle la Lamborghini Aventador après que son fils, regardant un film, lui a fait part de son rêve de pouvoir être un jour au volant d’un tel véhicule.
L’homme estime enfin que son projet n’est en rien de la contrefaçon, l’Aventador ne servant que de modèle esthétique pour un véhicule qu’il a conçu lui-même, avec des pièces de carrosserie dessinées par ses soins, pour une réplique finale qui ne sera pas à vendre.
http://www.francesoir.fr/tendances-eco-monde/il-fabrique-sa-lamborghini-avec-une-imprimante-3d-un-tarif-imbattable