Et oui ! Tout ce qui vient de la terre y retourne !
Quelle que soit la matière extraite de notre planète elle nous compose ! La 'pollution' ne vient pas de la lune, de Mars ou de Jupiter ! elle vient de la Terre. Nous sommes toutes & tous 100 % composés de 'pollution'.
Nous recherchons aux sols de quoi nous nourrir ou de consommer celles & ceux qui s'en nourrissent. Nous extrayons des sols de quoi combler nos appétits. Les plantes et les fruits comme les animaux qui en consomment. Mais, comme TOUTES les plantes (ou espèces animales dont nous faisons partie), elles attrapent des maladies. C'est pourquoi la science (aujourd'hui dénigrée par les merdias) a recherché les remèdes et y ait parvenue ! Nous avons LES remèdes !
LES produits de traitements contre les maladies des plantes (mildiou, oïdium, phylloxéra, etc) et les maladies des animaux (vache folle, diarrhée porcine, tremblante du mouton, grippe aviaire, myxomatose chez les lapins, etc).
Mais ! ces dernières solutions appropriées sont interdites par les putains de gouvernements de merde qui dirigent afin que la dépopulation puisse exister !
Ils veulent tous vous voir crever ! Nous serions trop nombreux ! Car, plus la population du monde s'accroit, plus le nombre de personnes surdouées aussi ! Et, si ce pourcentage de 4% (en l'an 2000) représentait tout de même plus de 280 millions de personnes... il a plus que doublé/triplé en 2019 !!
NE PAYEZ PAS L'EAU BUE !
L'eau représente la vie. Elle se déverse continuellement dans les mers & océans grâce aux pluies, fleuves & rivières (et le niveau de l'eau refuse de monter !!! Cà alors !). Elle s'infiltre continuellement en fonds marins et océaniques vers le magma (boule de fer en feu au centre de la Terre). Là elle y est chauffée/brûlée et remonte en galeries souterraines (comme le ferait la cafetière ou chauffage central) vers parfois leur surfaces d'infiltration comme vers des galeries souterraines. Elle remonte et remplit les nappes phréatique et surgit aux sources de montagnes. Cette eau est donc pure et dépourvue de bactérie (contrairement aux eaux des villes où elles sont polluées par des javels et fluors qui tuent).
L'eau sort GRATUITEMENT des sources et ne peut - comme l'air - vous être facturée.
Nous ne faisons que remettre sur terre ce que nous y avons pris !
Par un milliardième de gramme de plus ou de moins !! depuis DES milliards de siècles !
SEULE la dictature vous oblige à payer ce que vous ne ne devez à personne ! Elle n'est pas plus intelligente que vous ! elle a SEULEMENT les armes pour vous contraindre !
Elle représente le contraire de la Démocratie où c'est le Peuple qui dirige !
Les monarchies, république et empires sont des dictatures où le Peuple DOIT FERMER SA GUEULE ! Tandis que la Démocratie c'est le Peuple qui dirige : La Démocratie c'est 'Par le Peuple Pour le Peuple'.
Il n'y a qu'UN SEUL PAYS au monde en Démocratie ! La Suisse.
En Suisse, les suisses proposent LEURS propres lois et votent LEURS propres lois. En dictature ce sont les tuteurs (Députés/Sénateurs qui n'ont JAMAIS fait une heure de Droit !!) ) qui inventent LEURS lois et votent LEURS lois !
Ce test de QI n’a que trois questions mais la plupart des gens échouent à y répondre
RépondreSupprimer11:11 23.07.2019
Seuls 17% des personnes ont réussi à donner les bonnes réponses à trois questions proposées dans un test de QI. Celui-ci, considéré comme le plus court au monde, a récemment refait surface sur Internet.
Le professeur de l’Institut de technologie du Massachusetts Shane Frederick a élaboré le test de QI le plus court au monde. Il comporte seulement trois questions.
Connu sous le nom de «test de réflexion cognitive», il a été mis au point en 2005 mais a récemment refait surface sur la Toile.
Voici les trois questions qu’il comporte:
- Une raquette de tennis et une balle coûtent 1,10 dollar au total. La raquette est vendue un dollar plus cher la balle. Combien coûte la balle ?
10 centimes
- Cinq machines textiles produisent cinq articles en cinq minutes. Combien de temps faudra-t-il à 100 machines pour fabriquer 100 articles ?
100 minutes
- Des nénuphars poussent dans un lac. Leur nombre double quotidiennement. Si les nénuphars recouvrent l’ensemble de la surface en 48 jours, combien de jours faudra-t-il pour en recouvrir la moitié ?
24 jours
Ce que disent les résultats du test de QI de Donald Trump
Le professeur a mené ce test avec 3.000 personnes employées dans différents domaines d’activité et avec différents niveaux de formation, mais seuls 17% d’entre eux ont donné les bonnes réponses, indique le Sun.
De son côté, Shane Frederick a expliqué que l’épreuve n’était en réalité pas aussi simple qu’elle semblait l’être au premier abord. Pour trouver la bonne solution, il a conseillé de renoncer aux premières réponses venues à l’esprit.
Les réponses les plus courantes aux questions sont dix centimes, 100 minutes et 24 jours respectivement, mais elles sont toutes fausses. En réalité, les bonnes sont cinq centimes, cinq minutes et 47 jours.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201907231041751235-ce-test-de-qi-na-que-trois-questions-mais-la-plupart-des-gens-echouent-a-y-repondre/
C'est le Gréta-test du Q.I. des écologistes dictateurs de merde !
Supprimer«Ils ont peur de moi», Greta Thunberg répond aux députés français voulant la boycotter - vidéo
RépondreSupprimer12:16 23.07.2019
Alors que Greta Thunberg s’apprête à faire un discours ce mardi 23 juillet à l’Assemblée nationale, des députés l’accusent d’être manipulée. La jeune activiste écologiste contre-attaque et affirme que personne n’est derrière elle.
Accusée d'être manipulée, l'activiste suédoise Greta Thunberg, 16 ans, a réagi aux critiques des députés dans une interview accordée à Konbini News.
«Je trouve ça très drôle. Je n’ai jamais rencontré de militant écologiste qui l’était pour de l’argent. L’idée est absurde et me fait beaucoup rire», a déclaré l’adolescente, précisant qu’il n’y avait personne derrière elle.
«Bien-entendu, je reçois beaucoup d’aide. Tous ceux qui s’accordent à dire que la crise climatique est un sujet important, m’offrent leur aide. Des gens sont désespérés et ils inventent des choses. Il ont plus peur de moi et des manifestations des jeunes que du vrai problème», a-t-elle poursuivi.
Greta Thunberg est invitée ce mardi 23 juillet par les 162 députés du collectif «Accélérons» à une réunion ouverte à l’Assemblée nationale. Elle assistera aussi à la séance des questions au gouvernement depuis la tribune d'honneur.
Certains élus ont appelé à boycotter la rencontre, dénonçant le «green business» dont la jeune fille serait l’égérie.
Dimanche 21 juillet, elle a reçu le Prix Liberté 2019 à Caen en présence de vétérans du Débarquement.
https://fr.sputniknews.com/france/201907231041752047-ils-ont-peur-de-moi-greta-thunberg-repond-aux-deputes-francais-voulant-la-boycotter---video/
" JE TE PISSE AU CUL ET TE CHIE DANS TA GUEULE !!" Après que la trisomique incendiaire ait soutenue les mouvements terroristes du climat elle s'en prend aux non-représentants du Peuple et donc aux anti-Démocratie pour leur cracher à la gueule un: "Je trouve ça très drôle". Hahahaha !
Supprimer- Dimanche 21 juillet, elle a reçu le Prix Liberté 2019 à Caen en présence de vétérans du Débarquement !! qui reculent et se plient devant les attardés mentaux qui attaquent la France !
Crise des Gilets jaunes: Macron aurait dit à ses ministres de «partir en vacances la peur au ventre»
RépondreSupprimer13:17 23.07.2019
Avant qu’ils ne commencent à profiter de leurs vacances d’été, Emmanuel Macron a fait passer quelques mots à ses ministres le 17 juillet. «Conscient» des «braises» de la crise des Gilets jaunes, qui «couvent toujours», il a notamment appelé les fonctionnaires à «partir en vacances la peur au ventre», a raconté l’un d’entre eux au Monde.
Demandant à ses ministres de faire attention à la conduite des réformes dans le contexte de la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron leur a fait passer un message lors du dernier Conseil des ministres avant leur départ en vacances, a fait savoir au Monde l’un des membres du gouvernement qui y étaient présents.
«Partir la peur au ventre»
«Il s’est dit extrêmement conscient que les braises de la crise des Gilets jaunes couvent toujours, que quelques milliards d’euros ne suffiront pas à apaiser le pays», a expliqué également l’interlocuteur du Monde.
L'éclatement de la crise des Gilets jaunes remonte au 17 novembre 2018, lorsque de nombreux membres de ce mouvement sont descendus dans les rues de villes françaises pour protester contre la hausse de la taxe sur les carburants. Lors d’une rencontre avec le ministre de la Transition écologique François de Rugy le 28 novembre, deux représentants de cette mobilisation lui ont remis un cahier de doléances précisant toutes leurs demandes. Il s’agissait notamment de la baisse des taxes, de la hausse du SMIC, du calcul des retraites et de la suppression du Sénat.
Dans son adresse à la Nation le 10 décembre, en réponse aux Gilets jaunes, le Président de la République a décrété l'«état d'urgence économique et sociale» et annoncé plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat.
Pourtant la mobilisation ne s'est pas éteinte. Et bien qu'au cours de ces dernières semaines le nombre de manifestants ait baissé, l'acte 36 s'est joué le 20 juillet dernier.
https://fr.sputniknews.com/france/201907221041749537-crise-des-gilets-jaunes-macron-aurait-dit-a-ses-ministres-de-partir-en-vacances-la-peur-au-ventre/
SupprimerLe mouvement écolo-présidentiel-jaunes des 'Gilets aux couleurs des traitres, juifs et cocus' pro-marron et anti Démocratie ferait 'peur au ventre' aux ministres qui les ont mis en, place !!!
Cette devise nationale plus attractive que les lingots d’or ?
RépondreSupprimer15:04 23.07.2019
Outre le métal jaune, cette devise asiatique ne devrait pas échapper à l’attention d’investisseurs en quête de placements sûrs de leurs capitaux.
Sur fond de tensions croissantes sur les marchés financiers et des risques qui y sont liés, les investisseurs en quête de valeurs refuges devraient prêter plus d’attention aux monnaies qu’à l’or, relate l’agence Bloomberg reprenant des experts de la banque d’investissements Goldman Sachs. Or, c’est le yen japonais qui mérite cette attention.
Du point de vue tactique, moins cher, le yen est plus avantageux que le métal jaune dont le prix ne cesse d’augmenter, estiment des analystes. En un an, le prix de l’or a augmenté de 11%, quant au prix du yen par rapport au dollar américain, il n’a cru que de 1,6%.
Or, si les États-Unis décident d’affaiblir le dollar, aussi bien le yen que l’or pourraient en tirer profit.
Or vs bons du trésor
La nécessité de trouver une sorte de refuge pour les investisseurs découle du contexte de tensions croissantes dans le commerce mondial et des risques associés. Les placements dans l’or attirent les investisseurs après que son prix a atteint son plus haut niveau depuis 2013. On voit dans ce métal précieux une alternative aux titres à faible rendement du gouvernement américain.
L’or et les bons du trésor américains ont des rendements négatifs ajustés à l’inflation (-0,2% contre -0,9%), mais l’or suscite plus d’optimiste que certains papiers. Toutefois, il ne faut pas omettre que le stockage même du métal jaune nécessite des frais.
https://fr.sputniknews.com/economie/201907231041753886-cette-devise-nationale-plus-attractive-que-les-lingots-dor/
Le gouvernement Trump a construit exactement zéro mètre du mur promis
RépondreSupprimerDominique Dewitte
22 juillet 2019
Au cours des 30 mois qui se sont écoulés depuis l’arrivée au pouvoir du président Trump, son gouvernement n’a pas construit un mètre du mur promis lors de la campagne à la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Jusqu’à présent, seules les clôtures existantes, qui devaient être remplacées, ont été réparées.
La nouvelle a été confirmée la semaine dernière par le service américain des douanes et de la protection des frontières, l’agence fédérale chargée de la protection des frontières.
Selon l’agence, plus de 80 kilomètres de clôtures de poteaux en acier ont été mis en place avec de l’argent prévu à cet effet dans les budgets 2017 et 2018. Toutefois, bien que le financement visait à remplacer les clôtures dégradées et à ériger des barrières là où il n’y en avait pas auparavant, seuls les projets de remplacement ont été réalisés. Les projets visant à sécuriser des zones sans clôture n’ont pas encore été menés à bien.
Depuis deux ans et demi que Donald Trump est au pouvoir, son gouvernement a installé en moyenne 2,7 km de clôtures par mois. Cependant, rien de tout cela n’a été fait dans des zones qui n’étaient pas protégées auparavant.
Selon les initiés, il est plus facile d’effectuer des travaux de remplacement que de poser de nouveaux pans de mur. L’obtention des permis environnementaux et de construction nécessaires aux travaux de remplacement est beaucoup plus simple que la paperasserie nécessaire à l’installation de nouvelles clôtures. Selon les mêmes sources, « le projet de mur sera achevé le plus rapidement possible. L’obstacle le plus important ici est la barrière d’avocats des démocrates. »
Bien que le projet de mur n’ait guère avancé, Trump a déjà félicité son administration à plusieurs reprises pour l’état de situation. Lors d’un rassemblement électoral au début de cette année à El Paso, au Texas, la foule a commencé à scander « Build the Wall‘ (‘construisez le mur’). Trump a répondu qu’elle devrait plutôt appeler à « Finish the Wall » (« Finir le mur’). « Vous voulez dire ‘finir ce mur’ car une grande partie a déjà été construite ». Cependant, Trump n’a pas fourni de chiffres concrets sur la situation.
Pourtant, le gouvernement Trump insiste sur le fait qu’une grande partie du nouveau mur sera terminée d’ici la fin du premier mandat de Trump. Selon les responsables de l’armée américaine, d’ici novembre 2020, plus de 720 kilomètres de murs supplémentaires auront été construits.
En attente de la décision de la Cour suprême
En attendant, une procédure est également en instance contre le gouvernement Trump. Le gouvernement a réservé 6,6 milliards de dollars du budget de l’armée pour la construction du mur. Mais la cour d’appel du 9ème circuit a bloqué le plan de la Maison Blanche jusqu’à nouvel ordre. Le ministère de la Justice a ensuite demandé à la Cour suprême d’évaluer la décision du tribunal de première instance. On s’attend à ce que la Cour suprême rende bientôt son verdict.
La frontière entre les États-Unis et le Mexique s’étend sur environ 3 200 km. Plus de 1 100 km de la frontière sont pourvus d’une sorte de barrière, grâce au Secure Fence Act (‘loi sur la clôture sécurisée’), qui a été approuvé par le Congrès à l’époque de l’administration de George W. Bush. 640 km de ceux-ci sont des clôtures qui sont similaires au nouveau mur prévu, sauf que ces clôtures sont plus courtes. Les 460 km restants sont des poutres en acier. Elles sont reliées les unes aux autres pour empêcher les voitures de traverser la frontière. Cependant, la clôture de quatre mètres de haut n’empêche pas les gens de traverser la frontière.
https://fr.express.live/trump-promesse-construction-mur-frontiere-mexique/
SupprimerLes démocrates (anti-Démocratie !) ont tout fait pour empêcher les frontières d'exister ! La drogue et les armes peuvent donc passer librement comme en Europe !
RépondreSupprimerLe candidat démocrate pourrait obtenir plus de 5 millions de voix de plus que Trump en 2020 et perdre malgré tout
Dominique Dewitte
23 juillet 2019
Le président américain Donald Trump pourra remporter les élections de l’année prochaine même s’il recueille 5 millions de voix de moins que son adversaire démocrate. Le scénario qui s’est déroulé en 2016 où Hillary Clinton a obtenu 2,85 millions de voix de plus que le président actuel, a été un cauchemar pour les démocrates. Mais cela pourrait être encore pire, selon les calculs de The Cook Political Report, une agence indépendante d’analyse des résultats des élections.
La raison en est le système électoral américain, dans lequel c’est le collège électoral et non l’électeur qui décide qui peut entrer à la Maison-Blanche. Hillary Clinton a remporté le vote populaire avec 2,85 millions de voix, mais il lui manquait au total 38 872 voix dans les États du Wisconsin (11 374), de Pennsylvanie (22 146) et du Michigan (5 352) afin d’obtenir suffisamment de voix derrière elle au collège électoral, qui désigne le nouveau président.
Le « popular vote » n’est pas pertinent
Trump a même obtenu une marge plus que confortable à l’Electoral College et a battu Clinton avec 306 voix contre 232. Trump n’est pas une exception. En 2000, Al Gore a obtenu un demi-million de voix de plus que son adversaire George W. Bush, mais ce dernier s’est installé au 1600 Pennsylvania Avenue NW. En d’autres termes, le « popular vote » n’est pas pertinent.
Le plus gros problème pour les démocrates se situe dans deux États, la Californie et le Texas, ou les cinquième et dixième économies du monde, respectivement. Dans les deux États, la démographie évolue rapidement, ce qui signifie que la diversité de la population augmente beaucoup plus rapidement que dans les autres États. Les Américains d’origine asiatique et latine en particulier sont enclins à se tourner vers les démocrates, mais comme la Californie est déjà entre les mains des démocrates et que le Texas n’est pas prêt de faire la transition vers les démocrates, des millions de voix pour le candidat du parti démocrate (DNC) dans les deux États risquent de n’avoir aucun impact.
Californie
En Californie, le parti républicain est devenu si insignifiant qu’en mai 2018, il n’était plus le second parti de l’État. Il a dû céder cette place aux électeurs qui ont déclaré qu’ils n’avaient « aucune préférence pour un parti ». Clinton a obtenu 4,2 millions de voix de plus en Californie que Trump, mais dans le décompte final, près de 3 millions d’entre eux se sont révélés sans valeur. Que l’on gagne la Californie avec 1 seule voix ou avec 10 millions de voix de plus que son adversaire, le nombre d’électeurs reste le même. Cela s’applique à tous les États.
Texas
Le Texas est également un cas intéressant . Au cours des dernières années, près de 1,2 million d’électeurs d’origine non blanche se sont ajoutés à son électorat, contre 200 000 d’origine blanche. En 2016, il a manqué plus de 814 000 voix à Clinton pour qu’elle puisse placer l’État dans la colonne des démocrates. Mais la même chose qu’en Californie s’applique ici : même si le candidat démocrate au Texas obtient 800 000 voix de plus que Clinton, la victoire reviendra à Trump.
Les démocrates ont d’autres problèmes que la Californie et le Texas. Les autres États qui voient leur population évoluer rapidement font déjà partie de la colonne bleue (démocrates). Il s’agit notamment de New York, du New Jersey, du Massachusetts, du Maryland, de Washington et de l’Oregon. Tout vote supplémentaire des démocrates dans ces États ne leur sera d’aucune utilité.
RépondreSupprimerLe Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin
À l’autre bout du spectre, on trouve un grand nombre d’électeurs âgés, blancs et peu qualifiés, notamment dans le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin. Ce sont les trois Etats où Trump a gagné avec moins de 1 % des voix. Mais ils lui ont donné la victoire au collège électoral. Les changements démographiques dans ces États sont pratiquement nuls. Dans ces trois États, les démocrates ont remporté les élections de mi-mandat de 2018. Mais même si Trump ne remporte qu’un seul de ces trois États, il lui suffit de conserver les États qu’il a gagnés en 2016. Le milliardaire new-yorkais pourrait ainsi sécuriser un second mandat.
La Floride
Trois autres États joueront un rôle de premier plan lors des élections de 2020. Il s’agit des États que Trump a remportés en 2016 avec moins de 5 % des voix : la Caroline du Nord (3,7 %), l’Arizona (3,5 %) et la Floride. (1,2 %). Ce dernier Etat offrirait-il la meilleure chance de victoire pour les démocrates ? Peu probable. En 2018, ce sont les candidats républicains qui ont remporté le poste de gouverneur et le Sénat. Le nombre d’électeurs non blancs dans le Sunshine State augmente plus rapidement que dans la plupart des autres États. Mais la population latino-américaine locale est fortement tournée vers le GOP républicain.
Le scénario cauchemardesque de la DNC
Le scénario cauchemardesque de la DNC est donc le suivant. Trump perd le popular vote de 5 millions de voix. Le candidat démocrate reprend le Michigan et la Pennsylvanie. Mais Trump gagne le collège électoral avec 2 voix, car il conserve son avance en Arizona, en Floride, en Caroline du Nord, dans le Wisconsin et dans le Maine.
Bonus
Le graphique ci-dessous montre pourquoi le collège électoral a été créé. Les zones oranges des côtes abritent exactement le même nombre de personnes que les zones rouges de l’intérieur. Si le Collège électoral n’existait pas, ces zones rouges seraient largement ignorées, disent ses partisans. Les opposants, quant à eux, soulignent les résultats controversés de 2000 et 2016, où le candidat ayant remporté le vote populaire a perdu les élections.
- voir graphique sur site:
https://fr.express.live/etats-unis-geographie-elections-vote-populaire/
SupprimerL'absence de Démocratie aux USA conforte la dictature du nano-groupuscule de dirigeants.
Et oui ! C'est l'Amérique ! Libre d'aller d'un mur à l'autre et de fermer sa gueule !
Le nombre de personnes éborgnées par des LBD en France se compte en dizaines - photos
RépondreSupprimer19:15 23.07.2019
Suite à un incident en marge de la victoire algérienne en finale de la CAN, la police a de nouveau été accusée d’avoir éborgné une personne au lanceur de balles de défense, arme qui a mutilé à ce jour environ 40 personnes en France. Ce à quoi il faut ajouter une vingtaine de victimes par des flashballs et des grenades de désencerclement.
Les célébrations de la victoire de l’Algérie en finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) ont pris le 19 juillet une tournure tragique pour Soufiane, jeune supporter des «Fennecs» à Lyon, qui, selon ses proches, a perdu un œil suite à un tir de LBD des forces de l’ordre.
«À 20 ans, il perd toute sa vie. Elle est foutue en l’air à cause d’un policier. Il faut faire quelque chose», déplore un membre de sa famille au micro de France 3.
Lundi 22 juillet, le média a annoncé que l'Inspection générale de la Police nationale (IGPN) avait été saisie par le Parquet afin de déterminer si le jeune homme a effectivement été mutilé par un tir de LBD ou non. Quant à la direction centrale de la Sécurité publique de Lyon, elle affirme que l'incident se serait produit au cours d'une altercation entre les policiers et les supporters qui jetaient des pierres en leur direction.
Des dizaines d’éborgnés
Le cas de Soufiane s’ajoute aux dizaines d’autres cas d’éborgnements liés à l’utilisation des LBD par les forces de l’ordre. Selon le collectif Désarmons-les, qui publie des photos des victimes, environ 40 personnes ont été mutilées à cause de cette arme sublétale entre 2007 et le1er mai 2019. Il précise que la plupart des incidents sont survenus lors des manifestations des Gilets jaunes. Le collectif évoque également une vingtaine de personnes éborgnées par des flashballs et des grenades de désencerclement.
L’utilisation des LBD et des grenades de désencerclement en hausse de 200% en 2018, selon l'IGPN
L’utilisation de LBD n’est qu’un cas particulier des violences policières dont l’ampleur est révélée par le nombre d’enquêtes confiées à l’IGPN. Selon les chiffres de Libération qui dit avoir consulté un décompte le 24 juin, la police des polices a été chargée de 281 procédures dont 184 ont été ouvertes par le Parquet de Paris. À cela s’ajoutent 103 enquêtes judiciaires ouvertes par la justice et confiées à des services locaux de police et gendarmerie ainsi que six enquêtes confiées à l’Inspection générale de la Gendarmerie nationale (IGGN). Ce qui donne un total de 390 enquêtes.
En outre, selon le ministère de l'Intérieur, depuis le début du mouvement des Gilets jaunes au mois de novembre 2018, plus de 2.500 manifestants et 1.800 membres des forces de l'ordre ont été blessés.
Ce que les autorités françaises en pensent
Face aux protestations des défenseurs des droits de l’Homme, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, justifiait le 18 janvier l’usage du LBD par la nécessité d’éviter une augmentation du nombre des blessés.
«Si vous supprimez les moyens de défense à nos forces de l'ordre, il leur reste quoi ? Il leur reste le contact physique - et il y aura certainement beaucoup plus de blessés - ou il leur reste l'utilisation de leurs armes de poing qui est la solution ultime», a-t-il alors déclaré sur Europe 1.
RépondreSupprimerToutefois, l’usage des LBD a été officiellement condamné par une résolution du Parlement européen le 14 février 2019. Cette décision n’a pas été prise en compte en France. L’Onu avait aussi rappelé la France à l’ordre.
En outre, après l’acte 18 des Gilets jaunes le 18 mars, marqué par des violences entre les forces de l’ordre et des manifestants à travers le pays, Édouard Philippe a déclaré devant le Sénat que «les polémiques sur l’usage des lanceurs de balles de défense ont conduit à ce que des consignes inappropriées soient passées pour réduire leur usage». Il a alors promis de «renforcer la fermeté» de doctrine française de maintien de l'ordre en vue de futures mobilisations.
Le maire de Lyon Gérard Collomb, qui a quitté son poste du ministre de l’Intérieur à quelques semaines du début de la mobilisation des Gilets jaunes, a estimé ce 30 juin sur Europe 1 que l’utilisation des LBD exigeait «une formation adaptée». Selon lui, vu le nombre de manifestants dans certaines villes, «il n’y avait pas toujours des gens aptes à pouvoir utiliser ce genre d’armes» qui sont dangereuses, «si l’on s’en sert sans formation».
https://fr.sputniknews.com/france/201907231041757112-le-nombre-deborgnees-par-des-lbd-en-france-se-compte-en-dizaines-photos/
Utilisés «à des fins politiques»: Gros plan sur les morts volontaires de policiers en France - vidéo
RépondreSupprimer20:07 23.07.2019
Une quarantaine de policiers français ont mis fin à leurs jours depuis le début de l’année en cours contre 35 en 2018. Cherchant à élucider les causes de l’augmentation de la fréquence de cet acte fatal, l’agence Ruptly s’est entretenue avec les épouses de membres des forces de l’ordre et des syndicalistes.
«Une peur, une angoisse, du stress. Genre, il en vient même à pleurer parce que les violences sont extrêmes en ce moment, de plus en plus», c’est en ces termes que cette femme de gendarme ayant requis l’anonymat décrit devant la caméra l’état de son mari. Elle avoue vivre avec un fantôme qu’elle ne voit plus et assure qu’en le voyant partir elle se demande à chaque fois si elle le reverra et comment.
«Moi, j’ai peur pour mon mari. J’ai peur que cela [l’idée du suicide, ndlr] puisse lui venir dans la tête, mais que je ne le remarque pas», poursuit-elle.
La question des suicides chez les policiers ne peut pas échapper à l’attention. Si à l’issue de l’année 2018, ils étaient 35 à s’être donné la mort, depuis le début de l’année en cours leur nombre se chiffre déjà à 41, selon le décompte de l’AFP. Soit un agent tous les cinq jours.
Denis Jacob, secrétaire général du syndicat Alternative Police CFDT, confirme qu’il s’agit d’une année inédite en termes de régularité des suicides dans la police nationale.
«Le suicide c’est aussi le signal d’alarme qui dit que si physiquement je ne me suis pas reposé, moralement on ne se repose pas non plus et ça emmène aussi à des situations extrêmes comme on le connaît depuis le début de l’année», explique-t-il.
La police en crise ?
Pour lui, ce passage à l’acte est certes multifactoriel. Toutefois, il estime que souvent la goutte d’eau qui fait déborder le vase c’est justement le travail et le fait que la majorité des policiers se suicident sur leur lieu de travail le prouverait.
C’est lié au métier, confirme à son tour Christelle Teixeira, présidente de l'association Uniformes en danger: «Souvent ça revient: hiérarchie, moyens matériels, moyens humains, reconnaissance. La détresse grandit et on arrive à l’irréparable».
«Toujours plus de missions pour des effectifs très limités, les collègues ont une pression très importante en termes de volume horaire, beaucoup de difficultés à poser des congés, tout le temps rappelé, tout le temps au travail», énumère pour sa part Michel Thooris, secrétaire général de France Police-Policiers en colère, qui juge que la police nationale traverse la crise «la plus grave depuis la Seconde Guerre mondiale».
Exploitée à des fins politiques ?
RépondreSupprimerSi l’augmentation des suicides vient de pair avec la mobilisation des Gilets jaunes qui a éclaté en novembre 2018, ce ne sont pas ces manifestations qui en sont la cause, estime Denis Jacob. Pour lui, il s’agit d’une accumulation et l’impact se poursuit depuis les attentats qui ont frappé le pays en 2015:
«C’est de l’accumulation de la fatigue depuis déjà quatre ans où d’événement en événement on reporte le repos, il y a beaucoup de reports, d’annulation de congés.»
Mais le rôle des mois de manifestations dans la fatigue qu’éprouvent les agents n’est pas à sous-estimer, à en croire Éric Roman, membre du syndicat France Police, qui précise que les protestations ont été «particulièrement violentes et où la répression que nous avons infligée aux manifestants a été particulièrement féroce».
Michel Thooris va plus loin assurant au micro de Ruptly que «le gouvernement utilise aujourd’hui la police nationale à des fins politiques».
«Ils utilisent la force publique, la police nationale tout simplement, pour repousser une échéance politique et de manifestation en manifestation on voit que de plus en plus qu’ils essaient de transformer le conflit des Gilets jaunes en affrontements entre la police nationale, la gendarmerie nationale et les Gilets jaunes», estime-t-il.
Menaces en ligne, conflits dans la vie
Comme l’explique l’épouse de gendarme, outre le stress et les difficultés liées au travail, les menaces sont là: sur les réseaux sociaux, des appels à mort des forces de l’ordre aussi bien que les clichés de certains de leurs membres circulent.
Or, parfois, ces menaces et insultes pénètrent dans la vie privée des agents. Mélanie* explique que son époux s’est fait agresser il y a quelques années en présence de ses enfants justement pour le fait d’être «un flic».
«Il s’est fait tabasser parce qu’il était policier et il était dans le cadre de la vie civile, il allait simplement chercher ses enfants à l’école. Ils ont su qu’il était policier car ils ont vu l’arme», avoue la femme.
D’ailleurs, cette hostilité se répercute même sur les enfants. Au collège, témoigne Mélanie, les enfants de son époux font objet de brimades en raison du métier de leur père.
Phase difficile à détecter
Toutes ces petites pièces du grand puzzle assemblées, certains policiers ne parviennent pas à surmonter la dépression et commettent l’acte fatal car, d’après Denis Jacob, c’est rare qu’on se plaigne de cette dépression en public par peur de se montrer faible, ce qui parait incompatible avec le métier choisi.
C’est une «phase très difficile à détecter», souligne-t-il.
Solution ? «C’est que les maris soient plus soutenus que quand il y a une intervention ils ne soient pas systématiquement bannis, qu’ils ne soient pas systématiquement considérés comme coupables», estime la femme du gendarme susmentionnée.
Quoi qu’il en soit, tout le monde est d’accord que les choses ne peuvent plus continuer comme avant et qu’il est temps de changer les choses. «On ne peut plus supporter qu’un collègue se suicide tous les deux jours», résume M.Jacob.
*Le nom a été changé à la demande de l’intéressée
https://fr.sputniknews.com/france/201907231041757252-utilises-a-des-fins-politiques-gros-plan-sur-les-morts-volontaires-de-policiers-en-france---video/
(...) «Moi, j’ai peur pour mon mari David* qui est président de la répoublique. J’ai peur que cela [l’idée du suicide, ndlr] puisse lui venir dans la tête, mais que je ne le remarque pas», poursuit-elle.(...)
Supprimer*Le nom a été changé à la demande de l’intéressée
"It's Total Anarchy": des vidéos choquantes révèlent "l'anarchie" dans les rues de New York
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 07/23/2019 - 12:00
Le maire de Blasio devrait probablement cesser de se vanter du fait que la criminalité dans sa ville est tombée à son plus bas niveau historique.
Dans une série de vidéos choquantes, on peut voir des officiers de la police de New York se faire asperger de seaux d'eau et se faire pilonner de projectiles alors qu'ils essayaient de faire leur travail (dans une vidéo, les officiers étaient en train de se faire arrêter).
La superbe vidéo, qui a été vue pour la première fois en ligne lundi, montre les jeunes hommes effrontés de Harlem et de Brooklyn arroser de flaques d'eau les flics et, dans un cadre, un officier se fait prendre à l'arrière de la tête avec un seau en plastique rouge vide. Les attaques contre les policiers ont commencé alors qu'ils arrêtaient un autre jeune homme. Dans la vidéo, on peut les voir menotter l'homme alors qu'il était allongé sur le capot d'une voiture.
Des sources au sein de la NYPD et du syndicat des officiers ont parlé avec le New York Post de "l'indignation" qu'ils ressentaient à la fois pour les criminels qui ont perpétré les attaques et pour le maire Bill de Blasio, qui était hors d'état quand les attaques ont eu lieu. . Les hauts responsables de la NYPD et les dirigeants syndicaux ont maintes fois reproché à De Blasio de ne pas avoir trop dérangé les criminels et d'avoir annulé certains des progrès accomplis sous les maires Bloomberg et Giuliani, où les taux de criminalité dans la ville ont commencé à chuter de façon spectaculaire (bien que ces derniers recommencé à monter plus haut).
"Tout le monde est outré", a déclaré une source de la police de New York. "C’est dégoûtant, embarrassant. Il ya de l’anarchie ici maintenant."
Le chef de la police, Terence Monahan, a qualifié la vidéo de "répréhensible" et a déclaré que chaque New-Yorkais devait faire preuve de respect pour les officiers de la police de New York.
Un autre officier a imputé les incidents à la "police de la police de New York" vis-à-vis de ces personnes, que le maire de Blasio avait d'abord préconisée.
"Qui fait cela dans leur bon état d'esprit? Des gens qui pensent qu'il n'y a pas de conséquences", a déclaré l'officier anonyme. "C'est l'anarchie totale. C'est très triste."
Pat Lynch, président du Patrolmen Benevolent Association, et dirigeant syndical de longue date de la NYPD, a qualifié les attaques de seaux d'eau "d'aboutissement du flot de mauvaises politiques et de rhétorique anti-policière qui s'échappent de la mairie et d'Albany depuis des années".
Le compte Twitter de la PBA a tweeté l'un des clips et insiste sur le fait que nous approchons du "point de non-retour".
RépondreSupprimerLynch a ajouté que les politiciens se moquaient bien des dangers d'être un officier de la police de New York.
"En tant qu'agents de police, nous devons tracer une ligne de démarcation. Dans des situations comme celle-ci, nous devons prendre des mesures pour nous protéger et protéger le public. Les politiciens ne se soucient peut-être pas du niveau dangereux de chaos dans nos quartiers, mais des policiers et des hommes décents Nouveau Les Yorkais ne devraient pas être obligés de souffrir. "
Mais de Blasio n'a pas mentionné les vidéos sur son Twitter.
Les deux vidéos ont été initialement publiées sur des comptes Instagram distincts, mais elles ont tout d'abord gagné en popularité après avoir été partagées par un compte Twitter consacré aux urgences à New York.
Les deux vidéos ont d'abord été publiées sur des comptes Instagram distincts, puis rediffusées sur un compte Twitter consacré aux urgences à New York. Sur toutes les plateformes, les vidéos ont accumulé des centaines de milliers de vues.
Regarder des parties des vidéos ci-dessous:
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/its-total-anarchy-shocking-videos-expose-lawlessness-nyc-streets
L'agence fiscale bulgare est victime de la plus grande cyber fraude de l'histoire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 07/23/2019 - 05:00
Écrit par Alex Kimani via SafeHaven.com,
Lorsque vous entendez parler de cyber-attaques à grande échelle, vous évoquez probablement des images de néfastes geeks en informatique qui maîtrisent des systèmes d’infosec à la pointe de la technologie et détournent des montagnes de données précieuses. Il s’avère que c’est plus comme prendre des bonbons à un bébé.
La rapidité et la facilité avec lesquelles les pirates informatiques russes infiltrent les réseaux numériques mondiaux sont devenues une farce.
Le chiffre d'affaires de Kweichow Moutai
Et le gouvernement bulgare est devenu la dernière victime à découvrir cela à la dure après avoir subi son plus grand vol cyber de l'histoire.
Des pirates russes ont infiltré l’agence fiscale bulgare, la NRA, et volé les données personnelles de cinq millions de contribuables lors d’une attaque de phishing spectaculaire.
Le vol a été si vaste qu’il est à craindre que deux des trois dossiers adultes du pays aient été compromis - la plus grande violation de données jamais enregistrée pour la nation des Balkans.
Le Premier ministre bulgare, Boyko Borissov, a convoqué une réunion d'urgence pour examiner l'étendue des dégâts et s'est excusé auprès du pays.
Sociopathes occasionnels
Les informations divulguées incluent les noms, les données personnelles et les revenus financiers des particuliers et des entreprises.
Le ministre des Finances, Vladislav Goranov, a révélé que les pirates informatiques avaient infiltré plus de 110 bases de données de l’agence (environ 3% du total), bien qu’il ait rassuré les citoyens qu’aucune information classifiée ni aucun élément susceptible de compromettre la stabilité financière n’était accessible.
Le gouvernement prévoit de solliciter l'aide de l'agence européenne de cybersécurité pour procéder à des audits approfondis de ses systèmes les plus sensibles.
Le motif de l’attaque n’a pas encore été établi, bien qu’il soit soupçonné d’être un acte de représailles après que le gouvernement bulgare ait acheté plusieurs avions de combat américains F16.
Cela pourrait aussi être un mauvais cas de sociopathie occasionnelle, vu que les assaillants ont envoyé un courriel au gouvernement bulgare pour narguer "… la situation de votre cybersécurité est une blague."
En effet, le ministre des Finances a déjà rejeté un lien possible avec l'achat d'un avion, soulignant que l'attaque avait eu lieu avant l'approbation de la transaction. Les médias bulgares ont également reçu des courriels contenant des liens de téléchargement des données volées par les pirates via le fournisseur de courrier russe Yandex - encore un autre jibe cynique.
Plus du même
RépondreSupprimerVous pensez aussi bien que nous que ce ne sera pas la dernière fois que des pirates informatiques russes infiltreront des bases de données sensibles de gouvernements, d’entreprises et d’entreprises et voleront des informations précieuses.
Après tout, les pirates informatiques russes sont considérés comme les plus compétents au monde. Ok, vous vous demandez probablement comment ils évaluent les pirates, sachant que les criminels ne seraient pas prêts à passer des tests de vitesse pour déterminer la vitesse à laquelle ils déchiffrent les codes.
Dans l’étude médico-légale d’une brèche, l’objet principal est le premier point d’intrusion. La rapidité avec laquelle un intrus peut passer de cette tête de pont à une attaque de bout en bout, c'est-à-dire la vitesse d'évasion, est considérée comme un indicateur approximatif de ses compétences.
Et il s'avère que personne ne bat les Russes.
En 2018, la société de cybersécurité CrowdStrike a analysé 30 000 tentatives d'infraction et a constaté que les pirates informatiques sponsorisés par l'État russe avaient, de loin, la vitesse la plus rapide, à seulement 19 minutes de l'intrusion initiale de l'ascension de leurs privilèges au sein d'un réseau. C’est incroyablement rapide si on considère que la vitesse moyenne d'évasion est proche de cinq heures.
Les pirates nord-coréens se classent au deuxième rang et réussissent environ deux heures de plus que les Russes, tandis que les pirates chinois au troisième rang prennent environ quatre heures.
Il existe plusieurs raisons pour lesquelles les pirates informatiques russes sont si doués dans leur métier, notamment un enseignement supérieur en informatique et en informatique dès le plus jeune âge et une pénurie de points de vente comme Silicon Valley où canaliser ces compétences.
Alors, quels sont les pays les plus à risque ?
Les gouvernements peu engagés dans la cybersécurité, y compris de nombreux pays du tiers monde, courent le plus grand risque de cyberespionnage.
- voir carte sur site -
Source: Brookings.edu
Selon le Security Magazine, l'Algérie, l'Indonésie, le Vietnam, la Tanzanie et l'Ouzbékistan sont les pays les moins sécurisés au monde, tandis que le Japon, la France, le Canada, le Danemark et les États-Unis sont les moins vulnérables aux attaques.
Incidemment, les pays les moins cyber-sécurisés subissent également le moins d'attaques Telnet (provenant de l'intérieur du pays), ce qui signifie qu'ils sont principalement victimes de pirates informatiques étrangers.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-22/bulgarias-revenue-agency-falls-victim-biggest-cyber-heist-history
«La pire attaque contre la liberté des médias»: le rédacteur en chef de WikiLeaks s’exprime en exclusivité pour Sputnik
RépondreSupprimer21:10 23.07.2019
Kristinn Hrafnsson qui a succédé à Julian Assange au poste de rédacteur en chef de WikiLeaks, a parlé du rôle des lanceurs d’alerte, insistant sur leur protection dans un entretien accordé en exclusivité à Sputnik.
Sputnik: L’approche brutale adoptée contre Julian Assange est souvent qualifiée de tentative de dissuader les futurs lanceurs d’alerte. Que doit-on faire pour s'assurer que les lanceurs d'alerte potentiels soient protégés ?
Kristinn Hrafnsson: Pour protéger les lanceurs d’alerte, nous devons créer une vraie loi. Les lois sur l’information qui ont été adoptées dans de nombreux pays ont généralement l'effet inverse. Cela ne protège pas les lanceurs d’alerte, ces lois disposant que vous devez consulter certaines plateformes avant de parler aux médias. Vous devrez parler à votre patron et seulement après, monter les marches. Si vous ne vous en tenez pas strictement à cette procédure, vous risquerez des poursuites. Cela dit, il y a une compréhension et une appréciation. Les gens apprécient ce qu’Edward Snowden a fait, hormis bien sûr les autorités américaines. Je veux dire, c’était une information extrêmement importante qu’il nous apportait. Nous avons été impliqués dans WikiLeaks avec Edward Snowden parce que les médias l’ont trahi. […]. Donc, pour répondre à votre question de façon concise sur le soutien aux lanceurs d’alerte, je dirai que les lois devraient être modifiées, et que l’opinion devrait être sensibilisée à l’importance du rôle des lanceurs.
Sputnik: Voyez-vous un danger à encourager la dénonciation et la liberté de la presse pour des raisons de sécurité nationale ? Ces règles et ces lois sont mises en place pour de bonnes raisons vraisemblablement ?
Kristinn Hrafnsson: Bien sûr, il y a une limite, une ligne que vous ne franchissez pas. J'ai toujours dit que si quelqu'un publiait des fuites sur WikiLeaks et que j’y voyais des codes de lancement des missiles des sous-marins ou autre chose du genre, alors, bien sûr, cela ne serait pas publié. Il y a une limite. Mais le concept de «menace pour la sécurité nationale» - ce terme est tellement utilisé au sens large qu’il a perdu tout son sens.
Sputnik: Avez-vous un exemple de cela ?
Kristinn Hrafnsson: La publication de 2010 (relative à la guerre d’Afghanistan), qui est à la base de l'acte d'accusation maintenant contre WikiLeaks, contre Julian Assange. Le gouvernement américain soutient depuis 10 ans que cette publication avait des conséquences terribles. J'avais le chef d'état-major à la télévision devant moi, affirmant que WikiLeaks pouvait déjà avoir du sang sur les mains. Il était en larmes, ce qui était un peu ironique, étant donné qu'il nageait dans le sang des massacres en Irak et en Afghanistan. Mais en 2013, le Pentagone a dû admettre dans le procès de Chelsea Manning que personne n'avait été blessé à la suite de la publication de 2010. […] Donc, au final, je ne suis pas trop inquiet, je ne vois pas que ce que fait WikiLeaks affecte réellement la sécurité nationale.
Sputnik: WikiLeaks est clairement un outil extrêmement puissant pour cette raison. Ne craignez-vous toutefois pas qu'il n'y ait pas assez de personnes qui prêtent vraiment attention aux informations publiées ?
RépondreSupprimerKristinn Hrafnsson: Cela dépend du sujet. Je veux dire que les documents les plus importants qui ont été affichés portaient sur les crimes de guerre qui ont attiré l'attention et continueront de le faire. Même les médias traditionnels sont très désireux de travailler avec WikiLeaks quand quelque chose leur est proposé car ils aiment aussi les gros titres. Mais cela ne reflète pas la façon dont ils écrivent réellement sur WikiLeaks ou Julian Assange. S'il s'agit d'un document digne d'intérêt, il attirera l'attention.
Sputnik: À propos de Julian Assange, devrait-il être jugé en tant que journaliste?
Kristinn Hrafnsson: Les journalistes ne devraient pas être jugés pour avoir publié des informations véridiques […] et je le répète, il s'agit de la pire attaque contre la liberté des médias en Occident, depuis des décennies, voire un siècle. Si ce n'est pas contesté et que ça continue, alors nous avons vraiment vu un tel coup porté à la liberté des médias. […] Vous devez remettre en question l'essence de la démocratie, lorsque la liberté des médias est attaquée de la sorte.
Sputnik: En tant que rédacteur en chef, à la suite de Julian Assange, êtes-vous inquiet pour votre liberté, du fait que vous pourriez être visé de la même manière ?
Kristinn Hrafnsson: Je suis à peu près sûr d'être ciblé d'une manière ou d'une autre, si une campagne de diffamation est décidée contre moi. Je suppose juste que cela pourrait arriver. Même dans certaines procédures judiciaires, nous savons avec certitude que deux de mes collègues et moi-même sommes soumis à une enquête du tribunal secret de Virginie. Donc, tout peut arriver, mais cela fait partie du travail. Les personnes qui s'engagent dans le journalisme s’exposent au danger. Partout dans le monde, des journalistes sont tués dans des zones de guerre […]. Nous ne pouvons donc pas nous plaindre du fait que nous pourrions avoir affaire à des conséquences négatives de notre action. Si vous croyez en certains idéaux comme je crois au journalisme, vous faites ce qui doit être fait.
https://fr.sputniknews.com/interviews/201907231041757797-la-pire-attaque-contre-la-liberte-des-medias-le-redacteur-en-chef-de-wikileaks-sexprime-en/
L'alliance militaire américano-OTAN continue la confrontation le long des frontières russes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 23/07/2019 - 23:40
Écrit par Brian Cloughley via la Fondation pour la culture stratégique,
Le Pentagone et son sous-bureau à Bruxelles, le siège de l'OTAN, dans son nouvel immeuble d'un milliard de dollars, ont à cœur de maintenir la pression militaire dans le monde entier. Les États-Unis eux-mêmes sont beaucoup plus répandus, leurs bases étant tentaculaires de continent en continent, le Pentagone admettant à 514, mais en omettant de mentionner de nombreux pays, dont l'Afghanistan, la Syrie et la Somalie.
Des chercheurs indépendants ont abouti à un total plus réaliste de 883 bases, et l'examen du budget de défense américain actuel montre que les priorités du Pentagone en matière de dépenses sont loin d'être modestes en ce qui concerne l'extension des ailes, des coques et des bottes sur le terrain pour maintenir l'armée La domination de ce que Trump appelle «la plus grande et la plus puissante nation du monde». À cette fin, son vaste programme de dépenses militaires comprend:
augmenter les effectifs de l'armée, de la marine et de la force aérienne de près de 26 000;
la construction de dix autres navires de combat pour 18,4 milliards de dollars;
augmentation de la production de l'avion le plus cher de l'histoire du monde, le F-35, coûtant plus de onze milliards; et
mettre à niveau et élargir la triade des armes nucléaires livrables aériennes, terrestres et maritimes.
Une erreur militaire avec l'Iran pourrait conduire à un grave conflit, déclare Kimmitt
Le budget militaire américain pour 2020 est officiellement de 750 milliards de dollars. Selon l'institut international de recherche sur la paix de Stockholm, les dépenses militaires totales des Etats-Unis et de l'OTAN en 2018 s'élevaient à «963 milliards de dollars, ce qui représente 53% des dépenses mondiales». En revanche, le budget total de la Russie pour la défense s'élevait à 61,4 milliards de dollars. les dépenses annuelles ayant «diminué de 3,5%», ce dont même le batteur de guerre occidental le plus lavé au cerveau aurait dû s'accorder, ne correspond pas à la politique d'un pays qui s'apprête à envahir qui que ce soit.
Pourtant, l’alliance américano-OTAN augmente le nombre et la portée des manœuvres militaires le long des frontières russes et a annoncé qu ’« en 2019, un total de 102 exercices de l’OTAN est prévu; 39 d'entre eux sont ouverts à la participation des partenaires. »Les exercices comprennent 25 manœuvres terrestres, 27 aériennes et 12 groupes de manœuvres axés sur la mer.
La «participation des partenaires» est une façon déguisée de dire que les pays non membres de l'OTAN situés aux frontières de la Russie ont été encouragés à se joindre à tous les jamborees militaires coûteux destinés à convaincre leurs citoyens qu'ils devraient suivre «la plus grande et la plus puissante nation du monde». conquêtes à venir.
Le quartier général de l'OTAN a annoncé que du 8 au 22 juin, des forces militaires de 18 pays ont pris part aux manœuvres navales BALTOPS, qui impliquaient des «forces maritimes, aériennes et terrestres composées d'environ 50 navires et sous-marins et de 40 aéronefs» dans et autour de la Baltique. Le porte-parole de l'OTAN a déclaré, vraisemblablement avec un visage sérieux et aucune allusion à l'amusement ironique des observateurs indépendants, que "BALTOPS est maintenant dans sa 47ème année et n'est dirigée contre personne." Bien sûr. Et le lapin de Pâques vient d'atterrir sur Mars.
Dans le dernier exemple de confrontation entre l’UE et l’OTAN, selon le commandement européen, «l’armée de l’air américaine a déployé des F-35 Lightning et des F-15E Strike Eagles sur la base aérienne de Spangdahlem, en Allemagne, dans le cadre de l’opération Rapid Forge du département de Concept d'emploi de la force dynamique de la Défense. Rapid Forge impliquera des déploiements avancés vers des bases situées sur le territoire des alliés de l'OTAN afin de renforcer l'état de préparation… et sera mené en coordination avec les alliés et partenaires américains en Europe. Des avions Rapid Forge sont en train de se déployer vers le territoire des alliés de l'OTAN… Le but de l'opération est d'accroître la préparation et la réactivité des forces américaines en Europe… »
RépondreSupprimerPuis, le 16 juillet, Stars and Stripes (un commentateur remarquablement objectif, par ailleurs) a annoncé que l'avion de frappe Rapid Forge avait été envoyé en Pologne, en Lituanie et en Estonie "pour tester la capacité du service à déployer rapidement de la puissance aérienne à l'étranger". déployés pour opérer le plus près possible de l'espace aérien russe.
Les manœuvres font partie du raffinement en cours de la nouvelle stratégie d'utilisation de la force dynamique du Pentagone, «axée sur l'utilisation de déploiements plus imprévisibles afin de démontrer l'agilité militaire face à d'éventuels adversaires». Ce concept implique «l'abandon des déploiements navals traditionnels de six mois au profit d'une système pouvant impliquer des séjours plus courts mais plus fréquents en mer. Et en mars, l’armée a envoyé 1 500 soldats de Fort Bliss (Texas) en Allemagne, puis en Pologne, lors de l’une des plus importantes mobilisations du service en Europe depuis des années. »
Il était intriguant de constater que la recrudescence de la confrontation des déploiements militaires entre les États-Unis et l’OTAN s’est produite alors même que les États-Unis stockaient des armes nucléaires dans toute l’Europe depuis des années. La plupart des analystes le savaient, même si rien n’avait été admis, mais, comme l’indiquait la brillante satire de la BBC, Yes, ministre, a déclaré: «Première règle en politique: ne jamais croire quoi que ce soit tant qu’il n’a pas été officiellement démenti.
Comme l'a rapporté le Washington Post, «Un document récemment publié - et ensuite supprimé - publié par un organisme affilié à l'OTAN a fait la une des journaux en Europe avec la confirmation apparente d'un secret cloué depuis longtemps: quelque 150 armes nucléaires américaines sont entreposées en Belgique. , Allemagne, Italie, Pays-Bas et Turquie. "Au moment où un" responsable de l'OTAN "a annoncé que" nous ne commentons pas les détails de la position nucléaire de l'OTAN ... ce n'est pas un document officiel de l'OTAN ", il était évident que les détails supprimés dans le document doit être précis. Et maintenant, il faut répondre à de nombreuses questions. Par exemple: sous la garde de qui ces armes sont-elles gardées? Les responsables, les politiciens et le personnel militaire des pays hôtes sont-ils autorisés à accéder aux installations de stockage nucléaire américaines? Quels sont les états de préparation nucléaire et les pays hôtes en sont-ils informés? Et il serait très intéressant de savoir si les déploiements de la pratique américaine impliquent des bombes nucléaires et des missiles.
L'un des aspects les plus importants de la saga des bases nucléaires est le lien probable entre ces armes américaines et les manœuvres militaires US-OTAN de cette année. Les déploiements 'Rapid Forge' aux frontières de la Russie impliquent des avions de combat F-35A et F15E, et Lockheed Martin nous dit qu '«une fois la domination aérienne établie, le F-35 se convertit en mode bête, transportant jusqu'à 22 000 livres de combinés internes et externes combinés. De même, le F-15E est maintenant capable de livrer des bombes nucléaires B61-12.
Comme le rapporte le quotidien belge De Morgen (en anglais dans le Brussels Times du 16 juillet), le document indiquait que "Dans le contexte de l'OTAN, les États-Unis ont déployé environ 150 armes nucléaires en Europe, en particulier B61 free- les bombes, qui peuvent être [livrées] par les avions américains et alliés. "Mais nous pouvons être certains que les citoyens des pays concernés, ou de l'un des autres pays de l'OTAN, ne seront jamais informés des conditions dans lesquelles les Etats-Unis stockent les armes nucléaires dans leurs pays et quels développements internationaux pourraient régir leur utilisation.
RépondreSupprimerC’est vraisemblablement le président des États-Unis qui approuvera la libération des bombes nucléaires entreposées dans six des bases américaines en Belgique, en Allemagne, en Italie (2), aux Pays-Bas et en Turquie - mais va-t-il chercher un accord avec les gouvernements de ces pays à utiliser ces armes ? Il est loin d’être certain que la Turquie, par exemple, dont les relations avec Trump Washington sont extrêmement concurrentes s’associerait.
Que se passerait-il si le président Erdogan s’opposait à l’intention manifestement manifestée par les États-Unis de convertir les F-35 de l’USAF en «mode bête», en chargeant des bombes nucléaires B61 sur la base aérienne d’Incirlik?
Personne ne sait.
Et personne ne sait si tous ces fandangos martiaux américano-américains dans les cieux autour des frontières de la Russie impliquent le déploiement d'essai d'avions de frappe en «mode bête», alors que la préparation aux attaques nucléaires est si bien décrite par Lockheed Martin, cet éminent membre du complexe militaro-industriel de Washington. .
L'Estonie, la Lettonie, la Lituanie et la Pologne semblent ravies que l'OTAN et les États-Unis continuent de faire face à la Russie en faisant voler des avions d'attaque nucléaire dans leur espace aérien. Mais ont-ils vraiment pensé à tout cela ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/us-nato-military-alliance-continues-confrontation-along-russias-borders
Les forces armées chinoises se préparent à un exercice de guerre international massif
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 24/07/2019 - 01:00
L'Armée populaire de libération du peuple chinois (APL) se prépare à un exercice de guerre de grande ampleur, appelé Jeux internationaux de l'armée (IAG), qui devrait débuter la semaine prochaine, a annoncé l'armée chinoise.
L'exercice militaire se déroulera dans dix pays: Russie, Azerbaïdjan, Arménie, Biélorussie, Inde, Iran, Kazakhstan, Chine, Mongolie et Ouzbékistan. Plus de 6 000 soldats devraient participer du 3 au 17 août.
Au total, il y aura 31 exercices répartis dans dix pays.
YiMei Capital «prudemment optimiste» au nouveau conseil d'administration chinois
Une brigade d'aviation navale de l'ALP participera à l'exercice Aviadarts, qui implique 11 avions effectuant une surveillance aérienne en vol et des attaques aériennes de cibles au sol.
La Télévision centrale de Chine (CCTV) a rapporté dimanche qu'un exercice de guerre récent impliquant des chasseurs-bombardiers Xi'an JH-7 avait parcouru 100 km et lancé une attaque sur une zone cible.
"Ce sera la première fois que les troupes de l'aviation navale quitteront la frontière du pays pour l'IAG, et nous apprécions cette opportunité", a déclaré à CCTV, l'officier de la marine Feng Xianzheng.
Du jour au lendemain, nous avons signalé que trois avions militaires russes (deux bombardiers Tu-95 et un avion de contrôle et d'alerte rapide aéroporté A-50) avaient pénétré dans la zone d'identification de la défense aérienne de la Corée du Sud, au large de la côte est du pays. Les avions de combat sud-coréens ont réagi brusquement en tirant 80 coups de mitraillette et 10 fusées éclairantes - ce qu'ils ont décrit comme des "tirs d'avertissement". Deux bombardiers chinois ont rejoint les avions russes mardi et ont même violé l'espace aérien sud-sud-coréen. Il n'est pas rare que des avions à réaction chinois se dirigent vers l'espace aérien de la Corée du Sud et rien n'indique jusqu'à présent que cet incident soit relié à l'IAG.
Wei Dongxu, un analyste militaire basé à Beijing, a déclaré lundi au Global Times que le nombre croissant d'unités d'ALP participant à l'IAG est une preuve supplémentaire que la marine est de plus en plus convaincue de pouvoir mener des exercices avec d'autres pays.
Les bombardiers chinois et russes mèneront des raids de bombardement pendant l'IAG, permettront aux pilotes de la marine chinoise d'acquérir de l'expérience, car les pilotes russes ont déjà fait l'objet d'essais de combat, a déclaré Wei.
L'Agence de presse Xinhua a annoncé que l'APL enverrait des soldats de marine à l'exercice d'assaut maritime en Russie et, pour la première fois, des plongeurs à l'exercice Deep Sea en Iran.
Le PLA Daily a déclaré que l'armée chinoise participait à l'IAG depuis six ans et organisait des exercices en Chine pendant trois années consécutives.
Le risque de conflit armé n'a jamais été aussi élevé, alors que Washington mène des guerres économiques contre ses alliés et ses ennemis. Les premiers coups de feu de la guerre actuelle ont déjà été tirés, c'est-à-dire la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine. Ces sanctions économiques injustes pourraient finalement déboucher sur une guerre meurtrière. Le prochain exercice IAG donne une excellente idée de qui Washington pourrait combattre lors de la troisième guerre mondiale.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/china-armed-forces-prepare-massive-international-war-exercise
L'Australie désigne les terroristes nationaux des activistes des droits des animaux après les invasions de Vigilante Farm
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 23/07/2019 - 22:40
Le gouvernement sud-est de l'Australie a déclaré les "terroristes nationaux des activistes des animaux" après plusieurs incidents d'intrusion, selon The Independent.
Le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud (NSW) a introduit sur le site des accusations d'intrusion s'élevant à 1 000 USD (565 £) pour chaque «justicier» pris illégalement sur des terres agricoles privées.
Les nouvelles règles, qui entreront en vigueur le 1er août, pourraient également porter des accusations allant jusqu'à 220 000 USD (124 000 £) et des sociétés jusqu'à 440 000 USD (248 000 £) pour toute infraction majeure à la loi sur la biosécurité. -Indépendant
"Les vigilants qui pénètrent illégalement sur la propriété de nos agriculteurs ne sont rien de moins que des terroristes nationaux", a déclaré le vice-Premier ministre de la NSW, John Barilaro.
Le nouveau conseil d'administration chinois fait face à des incertitudes: le croc d'UBS
"Nos agriculteurs ont eu des tripes. Ils ne méritent pas, et n’ont pas le temps, de faire face à une intrusion illégale et au vil harcèlement d'un groupe de voyous qui signalent la vertu."
Selon le reportage, "Plus tôt cette année, des affrontements entre propriétaires de fermes et manifestants ont contraint la police à se rendre en Australie occidentale et les propriétaires d'une petite ferme à chèvres à Victoria ont imputé la fermeture à un harcèlement continu par des" activistes végétaliens "violents."
L’emprisonnement est également à l’étude comme peine supplémentaire.
"Aujourd'hui, le gouvernement avertit ces miliciens et ces voyous", a déclaré le ministre de l'Agriculture du NWS, Adam Marshall, à ABC News, en Australie.
"Ce n'est que la première partie d'un ensemble plus vaste de réformes sur lequel le gouvernement travaille, et la peine d'emprisonnement sera incluse dans les lois à venir que nous examinons."
Marshall a ajouté que les nouvelles règles constituent "les lois les plus sévères en Australie pour les personnes qui violent illégalement les propriétés des agriculteurs".
Dans le même temps, le groupe d'activistes Aussie Farms affirme que les nouvelles règles relatives au "rideau de fumée" de la biosécurité vont trop loin.
Selon le directeur exécutif Chris Delforce, "Une fois encore, la question de la biosécurité est utilisée comme prétexte pour tenter de limiter la sensibilisation des consommateurs à la cruauté systémique dans les fermes et les abattoirs à travers le pays."
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/australia-designates-animal-rights-activists-domestic-terrorists-after-vigilante
Voilà un pays qui protège ses frontières et ses propriétés privées des voleurs !
SupprimerICE n'arrête que 35 des 2 000 migrants visés par l'opération "Résolution des frontières"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 23/07/2019 - 20:00
Malgré la résistance des démocrates et les accusations hystériques contre la politique de l'administration consistant à gérer des "camps de concentration" à la frontière sud, l'administration Trump a effectué ses raids sur l'immigration planifiés depuis longtemps la semaine dernière. Malheureusement, les raids n’ont pas eu le succès escompté par ICE, ce qui explique probablement pourquoi l’administration n’a pas ménagé ses efforts pour faire connaître les résultats.
Mais d’une manière ou d’une autre, le New York Times a mis la main sur les chiffres, qui auraient été divulgués par de hauts responsables de la Sécurité intérieure, qui pourraient avoir un poids ou non. C’est ce qu’a rapporté le journal: sur 2155 migrants ciblés dans plus d’une douzaine de villes, ICE a réussi à en arrêter 35.
C'est un taux de réussite d'un peu plus de 1,6%.
Des responsables ont blâmé le flop sur le fait que le président Trump avait donné aux raids - qu'il a baptisés Operation Border Resolve - autant de publicité. L'opération était conçue comme une "démonstration de force" face à la crise persistante à la frontière, alors même que le nombre d'arrestations et le nombre de personnes franchissant la frontière ont légèrement diminué depuis les sommets atteints au printemps.
Par exemple, Trump a averti que les raids cibleraient les migrants qui avaient reçu une ordonnance d'expulsion définitive, mais qui ne s'étaient pas présentés à ICE pour commencer le processus d'expulsion. Ces migrants ont ensuite eu plusieurs semaines - grâce à des retards répétés - pour consulter des avocats spécialisés en droit de l’immigration, faire appel à des groupes à but non lucratif ou quitter temporairement leur domicile pendant un certain temps pour échapper à leur arrestation.
Des groupes à but non lucratif favorables à l'immigration se sont mis à l'action et ont commencé à informer les familles de leurs droits et à les conseiller sur les tactiques à suivre pour éviter l'ICE, telles que le refus d'ouvrir leurs portes aux agents de l'ICE. Ils ont également mis en place un réseau de volontaires qui ont rassemblé des informations sur les observations d'agents ICE et les ont partagées sur les médias sociaux.
Dans une interview lundi, Matthew Albence, chef par intérim de l'ICE, a reconnu le faible nombre d'arrestations. Albence a reproché aux guerriers de la justice sociale et à d'autres de nous avoir rendu "plus difficile la réalisation de ces ordres".
"Je ne connais aucune autre population où des gens leur disent comment éviter les arrestations à la suite d'activités illégales", a-t-il déclaré. "Cela rend certainement plus difficile pour nous d'exécuter ces ordres."
Il a également semblé critiquer de manière indirecte le président Trump pour avoir donné une telle publicité à l'opération.
"Vous n'avez pas entendu ICE en parler avant que l'opération se déroule", a-t-il ajouté.
Les 35 personnes arrêtées au cours du week-end font partie des 900 personnes arrêtées depuis la mi-mai dans le cadre de l'opération Cross Check.
Comme la grande majorité des migrants clandestins ne se présentent pas aux audiences des tribunaux de l'immigration, Albence a expliqué que, généralement, lorsque les migrants reçoivent les derniers avis d'expulsion, ils ignorent les ordres et vont se cacher.
RépondreSupprimerAlbence a également révélé que ICE sévissait contre les employeurs d'immigrés clandestins dans le cadre d'une "approche à plusieurs volets".
"Une partie de notre objectif est de réduire les opportunités économiques", a déclaré M. Albence. "Nous ne pouvons pas avoir des individus qui entrent illégalement dans le pays puis vont chercher du travail clandestinement".
Albence a déclaré que ICE avait commencé à mener des "audits de paie", exigeant des entreprises qu'elles soumettent leurs informations de paie I-9 pour examen.
Malgré le faible nombre d'arrestations, les responsables du DHS ont déclaré au NYT que ce ne serait pas le dernier raid mené dans le cadre de l'opération Frontière: de nouveaux raids sont prévus avant la fin du mois.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/ice-arrests-only-35-out-2000-migrants-targeted-operation-border-resolve
Gallup: Les mentions de l'immigration comme principal problème dépassent le record
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 07/23/2019 - 19:00
Écrit par Jeffrey Jones, via Gallup
Points forts:
27% considèrent l'immigration comme le problème le plus important aux États-Unis
Surpasse le record de 23% citant le problème en juin
Un petit nombre de numéros ont déjà éclipsé 27% des mentions mentionnées depuis 2001
Après avoir atteint un nouveau sommet le mois dernier, le nombre de citations d'immigration comme le principal problème des États-Unis a encore augmenté pour atteindre 27% en juillet. Depuis que Gallup a commencé à enregistrer régulièrement des mentions sur la question en 1993, l'immigration a été citée par 6% des Américains en moyenne, bien qu'elle ait été plus élevée ces dernières années. Il y a eu des pics occasionnels, généralement de courte durée, lors d'événements d'immigration majeurs.
- voir tableau sur site -
Le sondage a eu lieu du 1er au 12 juillet alors que le gouvernement américain continuait de lutter pour traiter le grand nombre d’immigrants d’Amérique centrale qui tentaient d’entrer sur le territoire américain par la frontière américano-mexicaine. La question a été mise au premier plan au début du mois de juillet lorsque les dirigeants du Congrès démocrate et vice-président républicain, Mike Pence, se sont rendus séparément dans des installations qui retiennent les migrants en attendant les audiences d’asile. Bien que les responsables républicains et démocrates aient eu une évaluation différente de la situation, ils ont tous deux reconnu le surpeuplement et ont qualifié la situation à la frontière de crise.
Les républicains ont généralement été plus enclins que les démocrates et les indépendants à considérer l'immigration comme le problème le plus important, et c'est toujours le cas. Dans le dernier sondage, 42% des républicains, 20% des indépendants et 20% des démocrates mentionnent l'immigration.
- voir tableau sur site -
Tous les groupes politiques sont plus susceptibles de mentionner l'immigration maintenant qu'au début de cette année. En mars, quand 16% des Américains en 2019, soit le chiffre le plus faible en 2019, représentaient 31% des républicains, 14% des indépendants et 6% des démocrates, le principal problème.
L'immigration est désormais le principal problème
L'immigration figure désormais en tête de la liste des "problèmes les plus importants" pour la quatrième fois dans la tendance de Gallup, après l'avoir également fait en juillet 2014, en juillet 2018 et en novembre 2018. La question a légèrement dépassé celle du gouvernement. ou près du haut de la liste dans la dernière partie de l'administration Obama et de l'administration Trump.
Les relations raciales ou le racisme (7%) et les soins de santé (7%) sont les deux seuls autres problèmes à avoir reçu jusqu'à 5% des mentions ce mois-ci.
- voir tableau sur site -
Conformément aux évaluations positives de l’économie américaine par les Américains, seulement 14% ont cité un problème économique tel que l’économie en général, le chômage ou le fossé qui sépare les riches et les pauvres. Le plus bas historique des problèmes économiques mentionnés comme principal problème est de 12%, enregistré en février et en septembre 2018.
Seulement cinq autres problèmes ont dépassé les 27% de citations depuis 2001
Gallup pose la question du "problème le plus important" depuis 1939, et ce, mensuellement depuis mars 2001. Au cours des 19 dernières années, seuls 27 autres problèmes ont été mentionnés à un moment donné par au moins les 27% qui ont nommé l'immigration. ce mois-ci. Ceux-ci incluent l'économie en général, le chômage, la situation en Irak, le terrorisme et le gouvernement.
- voir tableau sur site -
RépondreSupprimerDepuis 2001, l’économie a atteint ou dépassé le pourcentage de dénomination de l’immigration ce mois-ci à 58 reprises, dont la dernière en novembre 2012. Cette proportion comprend 58% de la dénomination économique de novembre 2008 au cours de la Grande Récession et de la crise financière, le pourcentage le plus élevé de toutes les questions. au cours des 19 dernières années.
Le taux de chômage a atteint le seuil de 27% 17 fois depuis 2001, pour atteindre 39% en septembre 2011, alors que le taux de chômage aux États-Unis était de 9,0% et que le président Barack Obama proposait un important programme pour l'emploi.
Le gouvernement a été cité à six reprises par 27% des Américains ou plus comme étant le problème le plus important. Le record de 35% a été atteint en février de cette année, peu après la fin de la plus longue fermeture gouvernementale de l'histoire des États-Unis.
Au plus fort de la guerre entre les États-Unis et l’Iraq entre 2003 et 2007, la situation en Iraq se classait régulièrement au premier rang des problèmes auxquels le pays était confronté. À 21 reprises, le pourcentage le nommant était d’au moins 27%, avec un maximum de 38% en février 2007.
Peu de temps après les attaques terroristes du 11 septembre, 46% des Américains ont désigné le terrorisme comme le problème le plus important auquel le pays soit confronté. Les mentions de terrorisme ont dépassé les 27% à quatre reprises entre 2001 et 2002.
Les implications
L'inquiétude des Américains à l'égard de l'immigration a atteint un point culminant dans la mesure du problème de Gallup, du moins sur la base du pourcentage d'adultes américains qui perçoivent le problème comme le problème le plus important auquel le pays est confronté. Les images dramatiques de centres de détention surpeuplés et la reconnaissance par les hommes politiques des deux partis politiques que le problème est une crise ont probablement contribué à la montée des préoccupations. Et même si les démocrates et les républicains continuent de se disputer sur le meilleur moyen de remédier à la situation, le Congrès a adopté et le président Donald Trump a signé un projet de loi prévoyant des dépenses supplémentaires de 4 milliards de dollars supplémentaires pour remédier à la situation à la frontière.
Cette loi récente a marqué un cas rare où les parties ont trouvé un terrain d’entente en matière d’immigration depuis l’échec d’une tentative bipartite de régler le problème au milieu des années 2000. Obama, incapable de convaincre un Congrès dirigé par les républicains de faire adopter la réforme de l'immigration, a eu recours à des décrets pour tenter de mettre en place de nouvelles politiques d'immigration. Les tribunaux fédéraux ont bloqué cette ligne de conduite. L’immigration était sans doute le principal problème de la campagne 2016 de Trump, et lui aussi n’a pas été en mesure d’adopter une législation favorable en la matière, y compris le montant total du financement qu’il a cherché à prolonger le mur frontalier entre les États-Unis et le Mexique. Beaucoup de ses tentatives pour contourner le processus législatif ont également été bloquées par le Congrès et les tribunaux.
En tant que tel, l’immigration restera probablement une question prioritaire pour les Américains, en particulier lorsque de nombreux immigrants ou demandeurs d’asile tentent d’entrer illégalement dans le pays.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/gallup-mentions-immigration-top-problem-surpass-record-high
C'est fini: Dems et représentants conspirent à la faillite de l'Amérique et détruisent notre avenir
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 07/23/2019 - 16:34
Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Les deux principaux partis politiques travaillent ensemble pour détruire l’avenir financier de l’Amérique, et la plupart des Américains ne semblent pas s’en soucier.
Il était une fois les républicains considérés comme «le parti de la responsabilité fiscale», mais ils sont maintenant aussi mauvais que les démocrates «à dépenses libres». Comme vous le verrez ci-dessous, un accord budgétaire de «compromis» vient d'être conclu, qui augmentera considérablement les dépenses fédérales et suspendra la limite de la dette fédérale jusqu'à la prochaine élection. En d'autres termes, les deux parties conspirent pour aggraver notre problème de dette au cours des 18 prochains mois, ce qui devrait provoquer des hurlements d'indignation dans toute l'Amérique. Mais au lieu de cela, la plupart des Américains semblent se contenter des habitudes de dépense gratuites de nos dirigeants politiques, et seules quelques voix tirent la sonnette d'alarme alors que nous nous dirigeons vers l'oubli financier.
Comment McKinsey & Co. voit l'avenir du travail en Amérique
Lors de l'inauguration de Barack Obama le 20 janvier 2009, la dette nationale américaine s'élevait à 10 626 877 048 913,08 dollars.
Bien sûr, nous avons entamé la plus grande frénésie de dette de l’histoire de notre pays et lorsque les deux mandats d’Obama ont pris fin, la dette nationale américaine est passée à 19 947 304 555 212,49 $.
Ensuite, Donald Trump a pris ses fonctions et nous avons continué à nous endetter à un rythme effarant. En fait, la dette publique américaine s'élève actuellement à 22 023 119 533 123,43 dollars.
Ainsi, au cours des 10 dernières années et demie, nous avons ajouté un peu moins de 11 400 milliards de dollars à notre montagne de dettes. Et quand vous décomposez cela, cela signifie que nos politiciens ont volé plus de 100 millions de dollars toutes les heures, chaque jour, aux générations futures d’Américains pendant l’ère Trump / Obama.
Malheureusement, la situation est sur le point d’empirer. On prévoit que les «dépenses non discrétionnaires» augmenteront considérablement avec le départ sans précédent des baby-boomers au cours de la présente décennie, ce qui aura pour conséquence que notre dette nationale atteindra 30 000 milliards de dollars. Ce qui suit provient d'un article récent de Forbes…
D'ici fin 2020, il atteindra 25 000 milliards de dollars. Et cela n'inclut pas les dettes étatiques et locales de 3 billions de dollars, plus leurs engagements de pension de 6 billions de dollars non capitalisés.
Notez que tout cela est sans récession.
RépondreSupprimerLe déficit unifié atteindra facilement 2 000 milliards de dollars et approchera les 2 500 milliards de dollars lors de la prochaine récession. Deux ou trois ans plus tard, la dette totale des États-Unis sera d'au moins 30 000 milliards de dollars.
Cette dette est une menace existentielle pour notre république et, même sans tous nos autres problèmes très graves, cela suffirait pour nous faire tous tomber.
Mais au lieu d'essayer de faire quelque chose à ce sujet, nos politiciens viennent d'arriver à un accord de «compromis» qui augmentera considérablement les dépenses…
Le président des États-Unis, Donald Trump, a déclaré lundi qu'un accord budgétaire "de compromis" bipartite avait été conclu qui augmenterait les dépenses fédérales de 320 milliards de dollars et suspendrait le plafond de la dette au-delà de la prochaine élection présidentielle.
L’accord, s’il devait être approuvé par le Congrès, permettrait au gouvernement fédéral d’emprunter davantage d’argent et d’éviter un défaut catastrophique dans les mois à venir, tout en augmentant considérablement les plafonds budgétaires consacrés à la défense et aux dépenses intérieures.
Je ne sais pas si j’ai même les mots pour décrire à quel point je suis dégoûté de tout cela.
Bien sûr, des créatures des marais telles que le chef de la majorité au Sénat, Mitch McConnell, sont tout simplement ravis de ce qui vient de se passer…
«Je suis très encouragé par le fait que l'administration et le président Pelosi ont conclu un accord de financement de deux ans garantissant les ressources nécessaires pour continuer à reconstruire nos forces armées», a déclaré McConnell, R-Ky. «C’était notre principal objectif: continuer à rétablir l’état de préparation de nos forces armées et à moderniser nos forces armées afin de dissuader et de nous défendre contre les menaces croissantes pour notre sécurité nationale. Cela comprend l’investissement dans nos installations chez nous, comme Fort. Knox, Ft. Campbell et le Blue Grass Army Depot, que mon État du Kentucky est fier d’héberger. "
Il ne semble pas avoir la moindre honte de ce qu’il fait à l’Amérique.
Nous ne reviendrons jamais sur une dette de 30 000 milliards de dollars. C'est la dette la plus importante jamais accumulée par un gouvernement dans l'histoire du monde. Elle menace de détruire le brillant avenir que nos enfants et nos petits-enfants étaient censés avoir.
Heureusement, il y a quelques voix qui ont encore le courage de parler. L'un d'entre eux est Maya MacGuineas…
"Cet accord est une renonciation totale à la responsabilité fiscale du Congrès et du président", a déclaré Maya MacGuineas, présidente du Comité pour un budget fédéral responsable, un groupe de pression de Washington. "Il s’agira peut-être du pire accord budgétaire de l’histoire de notre pays, proposé à un moment où notre
"Cet accord est une renonciation totale à la responsabilité fiscale du Congrès et du président", a déclaré Maya MacGuineas, présidente du Comité pour un budget fédéral responsable, un groupe de pression de Washington. «C’est peut-être le pire accord budgétaire de l’histoire de notre pays, proposé à un moment où nos conditions fiscales sont déjà précaires.»
Et après l’annonce de cet accord budgétaire, le représentant américain Mark Walker a publié une image du Joker en train de brûler un énorme tas d’argent…
Je souhaite vraiment que nous puissions être optimistes quant à l'avenir, mais si les républicains et les démocrates se moquent de l'explosion de notre dette nationale, il n'y a vraiment aucun espoir, car nous n'avons pas d'autres options politiques viables. . Lorsque je me suis présenté au Congrès, j'avais fait de la dette nationale l'un de mes principaux problèmes, mais malheureusement, les grands PAC de Washington sont arrivés avec une tonne d'argent extérieur et ont veillé à ce qu'un de mes adversaires gagne.
RépondreSupprimerMalheureusement, ce n’est pas seulement les États-Unis qui se noient dans les dettes. Selon les derniers chiffres, le montant total de la dette dans le monde a atteint 246 milliards de dollars…
Selon le dernier Global Debt Monitor de l'IIF publié aujourd'hui, la dette mondiale a atteint 246 000 milliards de dollars au premier trimestre 2019, en hausse de 3 000 milliards de dollars au cours du trimestre et dépassant ainsi le taux de croissance de l'économie mondiale, le ratio dette / PIB s'élevant à 320%
Toute notre dette ne peut jamais être remboursée dans notre système actuel.
En fin de compte, la seule chose à faire est de continuer à augmenter la taille de la bulle jusqu’à ce qu’elle éclate inévitablement et que tout le système économique mondial s’enflamme.
L'emprunteur est le serviteur du prêteur et la dette est utilisée pour asservir littéralement la planète entière.
L’humanité a désespérément besoin de se réveiller, mais à l’heure actuelle, il n’ya pas assez de gens pour éduquer les gens sur ces questions.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-23/its-over-dems-reps-both-conspiring-bankrupt-america-and-destroy-our-future
Les 'démocrates' et les républicains ont TOUJOURS été contre la Démocratie.
Supprimer« L’ère des robots radicalisés est proche »
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
23 juillet 2019
« Les robots pourraient se radicaliser s’ils sont mal codés », a prévenu un expert. En outre, si les machines en venaient à prendre le contrôle, l’humanité serait en outre entraînée dans une dystopie infernale.
Selon le professeur d’ingénierie électrique et informatique Subhash Kak de l’Université de l’Oklahoma, les robots pourraient devenir des meurtriers s’ils ne sont pas codés correctement. Bien que ce danger n’existe pas avec la technologie actuelle, le professeur estime que de futurs dysfonctionnements pourraient mettre en danger la vie de milliers de personnes.
Radicalisation
Kak s’était déjà fait remarquer par le passé lorsqu’il avait déclaré qu’une éventuelle prise de contrôle par la machine mènerait l’humanité vers une dystopie infernale. L’expert a maintenant expliqué que les robots pourraient se radicaliser comme les humains.
« Des cerveaux de robots défectueux peuvent produire des comportements similaires à ceux d’humains radicalisés. L’appel lancé par les dirigeants de groupes religieux aux jeunes auto-radicalisés ayant conduit à de nombreux incidents terroristes au cours des dernières années ressemble à l’utilisation d’esprits robotiques auto-radicalisés », a-t-il déclaré.
Ces dysfonctionnements pourraient survenir à cause d’un bug dans le code, a-t-il ajouté sans fournir plus de détails.
Selon Kak, si les robots se radicalisent, les entreprises responsables de leur conception essaieront de faire porter le blâme à d’autres. Elles feront probablement pression sur les organes législatifs pour s’exonérer de toute responsabilité.
Ces dernières années, plusieurs personnalités et chercheurs ont expliqué que l’intelligence artificielle serait capable de remplacer l’humain pour chaque tâche et chaque emploi d’ici quelques décennies.
Dystopie infernale
L’entrepreneur milliardaire Elon Musk, qui dirige SpaceX, Tesla et la société Boring, a également mis en garde contre les dangers de l’IA. Selon lui, les robots sont potentiellement plus dangereux que les armes nucléaires. Musk croit que nous pourrions en venir à créer « un dictateur immortel auquel nous n’échapperions jamais ».
Kak estime qu’une prise de contrôle de la machine pourrait conduire l’humanité à une « dystopie infernale ».
Selon le chercheur, l’emploi offre aux personnes une estime de soi et de la valeur. Cette valeur pourrait être perdue à mesure que les robots prennent le contrôle, ce qui conduirait les humains à vivre une existence de misère. La dépendance aux opioïdes aux États-Unis et la montée des groupes extrémistes sont les premiers présages d’un avenir dystopique, a-t-il encore déclaré.
« Le chômage sera massif. Les personnes veulent être utiles et le travail donne un sens, et le monde sombrera dans le désespoir. »
Selon un rapport publié récemment, 800 millions de travailleurs pourraient être remplacés par des machines d’ici 2030.
« Les responsables politiques ont commencé à parler d’un revenu minimum garanti, offrant à chacun de la nourriture, un abri et un téléphone intelligent, ce qui ne résoudra pas le problème. À mon avis, l’épidémie actuelle d’opioïdes et de drogues aux États-Unis est une manifestation de ce désespoir », a expliqué Kak. « De même, des phénomènes tels qu’ISIS sont une réponse à l’absence de signification que l’on trouve dans un monde consacré uniquement au culte du corps. »
Personne ne sait vraiment combien d’emplois sont menacés par les robots. Une étude réalisée par le cabinet de conseil McKinsey a récemment parlé d’environ 60 %. Selon le rapport, il y aura assez de travail pour maintenir le plein emploi jusqu’en 2030, mais les transitions seront difficiles et dans environ 60% des emplois, au moins un tiers des activités pourrait être automatisé.
https://fr.express.live/lere-des-robots-radicalises-est-proche/
Depuis belle lurette les activités en Bourses sont gérées 100% par ordinateurs !
SupprimerMillennials se déplacent vers ces villes américaines
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 07/23/2019 - 23:20
Haven Life Insurance Agency LLC (Haven Life), une agence d’assurance vie en ligne, a mené une nouvelle étude qui révèle qu'entre 2012 et 2017, la génération du millénaire a déménagé dans de grandes régions métropolitaines qui en comptaient déjà de grandes concentrations.
L'enquête a révélé que les millénaires vivaient dans le luxe chez des voisins coûteux, avec des salaires élevés, des prix de l'immobilier en hausse et une augmentation globale du coût de la vie. Dans ces régions, les expériences sont abondantes et certains quartiers répondent même au style de vie de ces jeunes.
Les Millennials ont afflué dans les grandes régions métropolitaines où se retrouvaient une forte concentration de leurs camarades, malgré la hausse des prix de l'immobilier et du coût de la vie. Les données ont montré que ces personnes ne se déplacent pas vers l'Amérique rurale ni dans les banlieues.
La raison d'un séjour prolongé dans la ville pourrait être due au retard dans le mariage et aux familles fondant un foyer - grâce aux dettes insurmontables de prêts étudiants, aux paiements par carte de crédit à intérêt élevé et aux prêts auto de 72/84 mois - a rendu leur mobilité financière limité.
La génération Y est moins soucieuse des prix que toute autre génération, malgré le fait que le krach financier de 2008 avait eu lieu il y a un peu plus de dix ans.
Haven Life a examiné les données du Census Bureau afin de compiler une liste des 50 premières villes. L’agence d’assurance vie a également examiné les données de Zillow afin de déterminer les prix médians de son logement et celles de l’ensemble de données sur la parité de prix régionales du Bureau d’analyse économique pour les chiffres du coût de la vie.
Les régions métropolitaines de Portland, de Seattle, de Denver, de San Francisco et d’Austin ont été parmi les plus chaudes où la génération du millénaire a déménagé au cours de cette période.
- voir tableau sur site -
Portland a eu le pourcentage de variation de millénaire le plus significatif de tous les grands métros de 2012 à 2017. Le coût de la vie est parmi les plus élevés du pays, mais il est inférieur à celui de San Francisco et de Seattle. Les brasseries de la ville, les restaurants, les pistes cyclables, les quartiers branchés, les parcs, les plages, les montagnes et la facilité à vivre de la côte ouest constituent le principal argument de vente pour la génération du millénaire.
Seattle était la deuxième ville la plus populaire parmi les millénaires, attirés par des emplois plus rémunérateurs dans le secteur de la technologie. Le centre-ville de Seattle abrite un certain nombre de sociétés du classement Fortune 500, notamment Amazon, Starbucks et Microsoft.
Parmi les villes qui figuraient sur la liste du bas, on trouve Rochester, New York, qui a connu une baisse du millénaire. Virginia Beach-Norfolk-Newport News, Virginie-Occidentale, a également enregistré une baisse importante de la population plus jeune. Tucson, en Arizona, est arrivé dernier avec un exode massif de la génération du millénaire au cours de cette période.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2019-07-22/millennials-are-moving-these-us-cities