- ENTREE de SECOURS -



vendredi 19 juillet 2019

France : Haro sur le carbone !

Capture d’écran 2019-07-15 à 16.22.36.pngle 19 juillet 2019


En France il y avait des idées, des industries mais les idées et les industries disparaissent les unes après les autres. En France il y a probablement du pétrole et du gaz de schiste mais il est interdit d’y toucher. En France il y a encore une belle agriculture mais elle court à la ruine puisqu’il faut interdire les pesticides. En France enfin il y a des avions dont l’usage va devenir plus coûteux puisque le kérosène sera taxé. Par contre les idées foisonnent en tous sens quand il s’agit de réchauffement climatique, c’est normal il ne faudrait tout de même pas dénoncer le fameux accord de Paris qui auréola d’une gloire internationale certaine le couple Royal-Fabius. Alors les réservoirs de pensée (think-tank en anglais) naissent ici et là, largement subventionnés par les impôts des contribuables encore consentants, pour décrire les causes du réchauffement climatique et éventuellement trouver des solutions. Pourtant la France est le pays développé le moins polluant en termes de gaz carbonique généré pour la production d’énergie électrique.

Selon le réservoir de pensée The Shift Project (ça sonne mieux en anglais) franco-français les technologies dites digitales sont à l’origine d’un impact environnemental insoutenable qui augmente sans que l’on puisse imaginer une limite. Il faudra créer des lois et des taxes pour enrayer l’addiction aux technologies digitales et il y a certainement des petits malins qui arriveront à en imaginer quelques-unes bien croquignolettes, il est inutile d’en douter. Parce qu’en France pour imaginer de nouvelles taxes les législateurs fourmillent d’idées. Alors la nouvelle idée est qu’il est urgent d’arriver à instituer une « sobriété digitale », comprenne qui pourra.

Les vidéos en ligne représentent 60 % des flux de données sur internet et parmi elles et parmi celles-ci la pornographie arrive en deuxième place après les vidéos sur demande (VoD) avec 27 %. Les VoD se répartissent entre Netflix ou encore Amazon Prime. À ces 60 % il faut ajouter Skype et d’autres vidéos comme la télémédecine. Le seul secteur de la pornographie consomme autant d’énergie, c’est-à-dire émet autant de carbone, que des pays comme la Belgique, le Nigeria ou le Bangladesh.

Quand il s’agit de masturbation intellectuelle la France se situe dans le peloton de tête …

Source et illustrations : https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2019/07/2019-02.pdf

53 commentaires:

  1. Primo: Aucun des gaz qui compose notre atmosphère n'a de pouvoir calorifique et, de plus, TOUS les gaz se recyclent continuellement (sinon, l'être humain et animal ne serait même pas apparu sur Terre !)

    Voir les températures en mers & océans (en toutes saisons):
    https://www.ventusky.com

    Secundo: S'il peut y avoir 'réchauffement climatique' - sauf l'été où notre planète est plus proche du soleil - ces hausses de températures ne peuvent venir QUE du magma de la Terre. En effet, notre planète est composée (heureusement) d'une boule ferrique incandescente qui réchauffe le fond des mers et des océans en créant des millions (milliards ?) de sources chaudes volcaniques au fond des bassins. Ces éruptions magmatiques rejettent des milliards de fois plus de gaz que ne peuvent le faire l'humanité, les animaux et l'industrie réunis.

    C'est pourquoi, même si l'humanité, les animaux et l'industrie n'existaient, il y aurait toujours autant d'émissions de gaz !

    Ces gaz réchauffent donc les courants marins qui le portent parfois jusqu'à certaines côtes (bretonnes, d'azur, etc) puis s'élèvent dans l'atmosphère où ils se dissipent. La chaleur diminue jusqu'à son extinction à plusieurs kilomètres d'altitude (les planètes voguent en des espaces glaciaux).

    Les molécules de gaz 'ressemblent' un peu à un 'grillage' aux mailles très large et ne peuvent donc être appelées 'gaz à effet de serre' ! (serre grillagée ! Hahahaha !).

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  2. « [S]top à l’inquisition médiatique », une tribune de M. Jean-Baptiste Moreau et 16 autres députés dans l'Opinion


    19 Juillet 2019
    par Seppi
    Glané sur la toile 372

    (Source)
    Le titre complet est : « "Glyphosate: stop à l’inquisition médiatique". La tribune de Jean-Baptiste Moreau et alii ».

    Le mot « glyphosate » est peut-être de trop. Car il faut dire « stop à l’inquisition médiatique » quel que soit le sujet qui est à son origine. Il ne l'est pas si on considère que les signataires se sont investis dans la défense d'une cause qui repose sur des controverses suscitant des réactions d'une rare violence et d'incroyables soutiens aux actes délictueux des inquisiteurs.

    On peut être tellement ravi de voir 17 députés appuyer sur le bouton de la sirène d'alarme qu'on est encore plus ravi d'en donner les noms :

    « Cosignataires : Jean-Baptiste Moreau, député de la Creuse, Sophie Beaudouin-Hubière, députée de la Haute-Vienne?, Aurore Bergé, députée des Yvelines?, Grégory Besson-Moreau, député de l’Aube, Nicolas Turquois, député de la Vienne, Jean-Baptiste Djebbari, député de la Haute-Vienne, Laurent Saint-Martin, député du Val-de-Marne, Cendra Motin, députée de l’Isère, Barbara Bessot-Ballot, députée de la Haute-Saône, Marie-Christine Verdier-Jouclas, députée du Tarn, Ludovic Mendes, député de Moselle, Monique Limon, députée de l’Isère, Eric Bothorel, député des Côtes-d’Armor, Coralie Dubost, députée de l’Hérault, Jérémy Decerle, député européen, Perrine Goulet, députée de la Nièvre, Laure de La Raudière, députée d’Eure-et-Loir. »

    En chapô, une citation de la tribune :

    « Aujourd’hui les journalistes qui résistent à la doxa dominante ne sont pas qualifiés d’hérétiques ni condamnés à mort comme l’a été le philosophe Socrate dans l’Antiquité mais ils sont accusés d’être soumis aux lobbies, aux associations ou aux corporatismes. »

    Et le premier paragraphe des 17 :

    « Aujourd’hui, nous avons plus que jamais besoin d’un débat public éclairé sur les politiques agricoles et alimentaires. Or les récentes attaques médiatiques dont a été victime la journaliste Emmanuelle Ducros ont montré combien ce débat est cadenassé pour éviter l’irruption de toute opinion contraire à la pensée dominante. C’est contre cette nouvelle police de la pensée dangereuse pour notre démocratie et le manque de nuance dans le traitement médiatique de ces sujets que nous nous souhaitons nous élever. »

    En conclusion :

    « Nous prenons la plume pour défendre l’exercice d’une critique éclairée des sujets qui nous entourent, aussi sensibles soient-ils. Sans crainte. Librement. »

    Et en conclusion de ce billet : MERCI.

    http://seppi.over-blog.com/2019/07/s-top-a-l-inquisition-mediatique-une-tribune-de-m.jean-baptiste-moreau-et-16-autres-deputes-dans-l-opinion.html

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  3. Pesticides : les États-Unis d'Amérique sont-ils irresponsables ?

    19 Juillet 2019
    par Seppi

    À propos d'un article « scientifique »

    Une étude militante mais néanmoins intéressante

    - voir graphique sur site -

    Environmental Health a publié le 7 juin 2019 un article, en principe scientifique, « The USA lags behind other agricultural nations in banning harmful pesticides » (les USA à la traîne derrière d'autres nations agricoles pour l'interdiction de pesticides nocifs).

    Ce titre claque comme un slogan de militants anti-pesticides.

    De fait, l'auteur en est M. Nathan Donley, du Center for Biological Diversity, une organisation à but non lucratif états-unienne comptant 1,1 million de membres selon Wikipedia (en anglais) et œuvrant à la protection des espèces menacées, mais pas que... Le site Deniers for Hire (négateurs de science à louer) a une page sur M. Nathan Donley et affirme que le Center for Biological Diversity est un groupe qui utilise les plaintes en justice pour obtenir des règlements importants. Un prédateur...

    Une recherche de « pesticides » sur son site produit près de 2.750 résultats, et « toxic pesticides » 1.270.

    Que l'auteur soit affligé d'un biais de militantisme n'empêche pas l'article – fort long – d'être intéressant et, d'une certaine manière, instructif.

    Résumé

    En voici le résumé :

    « Contexte

    Les États-Unis d'Amérique (USA), l'Union européenne (UE), le Brésil et la Chine sont quatre des plus grands producteurs et utilisateurs agricoles de pesticides agricoles au monde. La comparaison de l’inclination et de la capacité des différents organismes de réglementation à interdire ou à éliminer les pesticides qui ont le potentiel d'être les plus nocifs pour l’homme et l’environnement peut donner un aperçu de l’efficacité des lois et de la surveillance en matière de réglementation des pesticides de chaque pays.

    Méthodes

    Le statut d'homologation de plus de 500 pesticides agricoles a été identifié auxUSA, dans l'UE, au Brésil et en Chine et comparé entre les pays. La quantité de pesticides utilisée aux USA et bannis dans ces autres pays a été compilée et une régression linéaire a été utilisée pour identifier les tendances en matière d'utilisation.

    Résultats

    Aux USA, 72, 17 et 11 pesticides approuvés pour des applications agricoles en extérieur sont bannis ou en voie d'élimination complète dans l'UE, au Brésil et en Chine, respectivement. Parmi les pesticides utilisés dans l'agriculture américaine en 2016, 146 millions de kilogrammes étaient des pesticides bannis dans l'UE, 11,8 millions de kg étaient des pesticides bannis au Brésil et 18 millions de kg étaient des pesticides bannis en Chine. Les pesticides bannis dans l'UE représentent plus du quart de toutes les utilisations de pesticides agricoles aux États-Unis. La majorité des pesticides bannis dans au moins deux de ces trois pays n’a pas sensiblement diminué aux USA au cours des 25 dernières années et presque tous sont restés stables ou ont augmenté au cours des 10 dernières années.

    Conclusions

    De nombreux pesticides encore largement utilisés aux USA, à hauteur de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de millions de kilogrammes [dans le texte original, c'est des livres, mais la conversion en système métrique ne change pas le sens] par an, ont été bannis ou sont en cours d'élimination progressive dans l'UE, en Chine et au Brésil. Parmi les pesticides bannis dans au moins deux de ces pays, beaucoup ont été impliqués dans des intoxications aiguës aux pesticides aux USA et certains sont encore davantage limités par des États individuels. L’Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (US EPA) a pratiquement abandonné le recours aux annulations non volontaires au cours des dernières années, rendant l’annulation des pesticides aux USA en grande partie un exercice qui nécessite le consentement de l’industrie réglementée. »

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  4. Quelques arrangements avec la précision

    Nous avons traduit « banned » par « banni », bien qu'« interdit » soit plus naturel. C'est que l'auteur est plus nuancé dans son texte :

    « Aux fins de cette étude, un pesticide était considéré comme "banni" aux États-Unis et dans l'UE si l'agence de réglementation avait décidé d'interdire unilatéralement l'entrée du pesticide sur le marché, d'annuler son approbation ou de notifier à la Convention de Rotterdam que ce pesticide était banni. Un pesticide était considéré comme "non approuvé" si un détenteur de pesticide avait volontairement retiré sa demande, volontairement demandé que son enregistrement soit annulé, si son enregistrement a expiré ou si le pesticide n'a jamais été approuvé. Cela visait à séparer les mesures réglementaires prises pour protéger la santé humaine et l'environnement (bannis) de celles prises pour des raisons économiques ou autres (non approuvés). »

    Cette binarité est artificielle : un détenteur de pesticide ne déposera pas une demande ou, ayant déposé une, la retirera s'il sait qu'elle n'aboutira pas pour des motifs toxicologiques ou écotoxicologiques. C'est d'ailleurs expliqué en détail dans le texte.

    Mais nous admettrons volontiers que dans une étude de ce genre, il faille faire des choix.

    - voir tableau des composants des remèdes sur site -

    En revanche, on ne peut que critiquer l'emploi du seul « banned » dans des circonstances où il aurait convenu d'évoquer toutes les causes possibles d'une absence d'autorisation d'utiliser, dans l'Union Européenne, au Brésil ou en Chine, un produit phytosanitaire autorisé aux États-Unis d'Amérique.

    Et il va de soi qu'une étude véritablement informative aurait aussi dû considérer les usages autorisés ainsi que les conditions d'utilisation, et plus généralement l'ensemble des circonstances.

    Le cas des néonicotinoïdes est à cet égard illustratif : ils ont été interdits dans l'Union Européenne pour les usages en extérieur pour des motifs essentiellement politiciens, alors même que la substitution des traitements de semences par des traitements aériens risque d'être plus nuisible sur le plan écologique.

    Un militantisme états-unien...

    La complexité et les arcanes de la décision administrative de retrait d'une AMM sont amplement décrites dans le texte.

    « Dans le cadre de la FIFRA [la législation], le retrait à l'initiative de l’US-EPA est un processus qui prend beaucoup de temps. Il requiert des ressources considérables de la part de l’agence et de multiples étapes visant à garantir, avant tout, que le secteur agricole ne subira pas de préjudice injustifié. […] Par la suite, le titulaire peut demander à être entendu par un juge de droit administratif et interjeter appel de cette décision devant une commission d’appel […] Pendant la procédure d'appel, l'approbation du pesticide reste en place et il peut continuer à être utilisé. »

    En fait, les procédures européennes ne sont guère plus rapides. La différence, s'agissant des résultats, tient davantage à l'état d'esprit, les décisions européennes étant fondées sur un large recours à la « précaution ».

    On peut dès lors considérer que le résumé est malhonnête. En tout cas, la conclusion de l'article – l'allégation de déficiences dans la législation sur les pesticides – n'est pas étayée par la description des la situation faite dans le texte de l'article.

    La critique portée contre l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis (US EPA) explicitement dans le titre est en première analyse injustifiée. Il aurait aussi fallu analyser les raisons précises des différences de statut d'une substance phytopharmaceutique pour tirer la conclusion, au mieux d'une lenteur dans les décision, sinon d'un laxisme.

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  5. La critique est implicite dans le résumé : l'EPA « a pratiquement abandonné le recours aux annulations non volontaires au cours des dernières années ». C'est au mieux fielleux.

    Mais c'est évidemment une critique qui vient à point quand on sait que l'EPA , en dépit des gesticulations militantes, vient de délivrer un brevet de bonne conduite au glyphosate.

    C'est fielleux car l'auteur explique dans le texte que la voie de la coopération avec les détenteurs d'autorisations est préférée pour éviter les recours en justice. C'est la voie de l'efficacité – comme en témoigne aussi le graphique ci-dessous – et non du laxisme, et c'est aussi un témoignage du sens des responsabilités des détenteurs d'AMM.

    - voir graphique sur site -

    ...devenu sans tarder un militantisme franco-français

    Le Figaro, se fondant sur une dépêche de l'AFP – toujours dans les bons coups quand il s'agit de s'en prendre aux pesticides –, titre le 7 juin 2019, jour de la mise en ligne de l'article scientifique : « Plus d’un quart des pesticides utilisés aux États-Unis sont interdits dans l’UE ».

    Il aura précédé le Monde, qui s'est fait plus mesuré sur Internet avec « Le quart des pesticides utilisés aux Etats-Unis sont interdits en Europe ». Avec en chapô une phrase bancale (sic transit gloria Mundi) :

    « L’auteur de l’étude, parue jeudi dans la revue "Environmental Health", qui dénonce l’influence des lobbys des pesticides et agricoles sur le régulateur américain. »

    Notez bien que ce quart... ce sont les quantités utilisées (aux États-Unis d'Amérique). En nombre de substances, la gesticulation est beaucoup moins efficace : 72 sur 374, cela ne fait que 20 %.

    Notez aussi que plus de la moitié de ce quart (57 %) est représentée par trois substances, l'atrazine, le dichloropropène et l'acétochlor. Ajoutez le paraquat (une vraie saloperie pour les applicateurs) et l'acide sulfurique (ce bon vieil acide sulfurique...) et vous dépassez les deux tiers.

    Mais il est vrai que l'auteur... Le Monde écrit :

    « Le bureau des pesticides de l’EPA est à blâmer, dit à l’Agence France-Presse Nathan Donley, qui dénonce l’influence des lobbys des pesticides et agricoles sur les décisionnaires.

    "Quand l’EPA prend des décisions que le secteur agricole n’aime pas, ils se retrouvent dans une situation politique délicate", ajoute-t-il, car c’est le Congrès qui décide du budget de l’EPA. »

    Rien de tout cela dans l'article scientifique...

    Notez aussi que l'article repose essentiellement sur les données statistiques de 2016 – de l'ère pré-donaldienne.

    Voilà donc encore un article scientifique qui sert de support à une campagne militante de manière caricaturale.

    Et pensez-vous que le journaliste de l'AFP aurait pu penser qu'il serait utile de faire examiner l'article scientifique et la déclaration de M. Nathan Donley par un expert ? Vérifier les informations est pourtant à la base de son métier, non ?

    http://seppi.over-blog.com/2019/07/pesticides-les-etats-unis-d-amerique-sont-ils-irresponsables.html

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  6. IMMIGRATION CHOISIE !

    Angleterre: La criminalité au couteau bat un nouveau record


    par Tyler Durden
    Ven., 19/07/2019 - 02:00
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit.news,


    Le nombre de crimes commis à l'aide de couteau a atteint un nouveau record en Angleterre et au pays de Galles, avec une hausse de 8% par rapport à l'année précédente, comme l'indiquent les nouveaux chiffres.

    «Les chiffres relatifs aux crimes enregistrés par la police ont révélé qu'il y avait 43 516 infractions enregistrées avec un couteau ou avec un instrument tranchant, ce qui est le plus élevé depuis le début des enregistrements comparables en 2011», rapporte Sky News.

    Le maire de Londres Khan au Brexit, Boris Johnson et Donald Trump
    Comme je l'ai expliqué sans relâche, les causes de cette épidémie sont facilement identifiables.

    - La réduction de «stop and search» parce qu’elle est «raciste».

    - L’émasculation en cours des forces de police britanniques entraînées qui veulent dire des mots et qui est un «crime de haine» est plus importante que la mort.

    - Les foyers noirs sans père.

    - Les gangs de rue britanniques deviennent de plus en plus violents pour faire concurrence aux immigrants de pays comme le Congo et la Somalie.

    - Les importations massives en cours de personnes de pays violents en général.

    - Explorez la musique rap qui encourage les jeunes à commettre un meurtre.

    - Les dirigeants politiques comme Sadiq Khan refusent même d’admettre qu’il est difficile de protéger leurs propres héritages pathétiques.

    Mais au lieu de s’attaquer à l’un de ces problèmes, l’establishment politique affirme avec douceur que l’absence de «clubs de jeunes» pour les jeunes et d’officiers de police racistes est à la source du problème.

    Jusqu'à la fin de cette myopie politiquement correcte, le carnage se poursuivra.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-18/england-knife-crime-hits-new-record-high

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  7. IMMIGRATION CHOISIE ! (suite)

    L'agression extrêmement violente d'une Asiatique à Vitry met en lumière un phénomène devenu commun - vidéo


    11:51 19.07.2019


    Un épisode d’agression contre une Asiatique à Vitry-sur-Seine le 12 juillet, rendu public grâce aux caméras de vidéosurveillance, a permis de mettre en avant le problème des violences racistes répandues dans cette commune. La femme a été frappée et dépouillée dans le hall de son immeuble par un suspect de 17 ans qui s’est exposé involontairement.

    À peine entrée dans le hall de son immeuble, une Asiatique de 27 ans s’est fait attaquer par un individu dont la tête était dissimulée par une capuche. L’auteur de cette agression, qui a eu lieu vers 22h le 12 juillet à Vitry-sur-Seine, n’a toutefois pas pu échapper aux forces de l’ordre grâce aux caméras de vidéosurveillance et aux empreintes qu’il a laissées sur la vitre de la porte d’entrée.

    Poignet fracturé

    L’homme a attendu sa victime dans le hall. Après l’avoir empoignée et projetée au sol, il l’a frappée et a essayé de lui arracher son sac à main. Ensuite, une lutte de deux minutes s’en est suivie, au cours de laquelle l’agresseur «redouble de violence», selon Le Parisien, qui a rendu public l’enregistrement de cette attaque. La femme a subi une fracture du poignet et a reçu une incapacité de travail de sept jours.

    L’homme a ensuite pris la fuite avec l’objet de sa convoitise, le sac à main, mais dans les derniers instants de cette scène, il a laissé ses empreintes digitales sur la porte d’entrée. Un jour après le dépôt de plainte de la victime, les forces de l’ordre ont retrouvé et interpellé un suspect de 17 ans.

    Agressions répétées contre des Asiatiques

    Les agressions de ce genre contre des personnes d’origine asiatique ne sont pas un phénomène rare pour Vitry-sur-Seine. Selon Le Parisien, ces violences sont normalement commises par de jeunes adultes, voire adolescents, et ne représentent pour eux qu’«un rite de passage». Il existe même l’expression «se faire un Chinois», action signifiant qu’ils méritent «de faire partie de la bande».

    Lors d’un récent épisode similaire, une autre femme asiatique de 40 ans a été agressée à la limite entre les communes de Choisy et de Vitry, début juillet. Elle a reçu une double fracture du poignet et un arrêt de deux mois.

    Un schéma d’agressions au point

    Il se trouve que les agresseurs procèdent selon un schéma d’actions élaboré. Ils «chassent» leur victime le long de la ligne de bus 183, «choisissent» une femme d’apparence asiatique, prennent un scooter et lui arrachent son sac à main. En 2015, une attaque selon ce scénario s’est terminée en tragédie, une femme ayant perdu la vie après avoir chuté et heurté le trottoir.

    «Ces agressions racistes sont basées sur un ciblage ethnique qui consiste à penser que les Asiatiques sont vulnérables et ont de l'argent sur eux alors qu'ils ne se promènent plus avec du liquide», résume Sun-Lay Tan, porte-parole départemental de l'association «La sécurité pour tous».

    Les victimes de ces attaques n’osent pas souvent porter plainte. Ainsi, sur plus d’une cinquantaine d’agressions faites dans le Val-de-Marne depuis le début d’année, seuls les deux tiers des victimes ont déposé plainte.

    https://fr.sputniknews.com/france/201907191041715889-lagression-extremement-violente-dune-asiatique-a-vitry-met-en-lumiere-un-phenomene-devenu-commun--/

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  8. Entre erreurs stratégiques et dogmatisme, comment les politiques ont sapé la France


    13:28 19.07.2019
    Maxime Perrotin


    Industrie, travail, élitisme républicain dans l’éducation, centres-ville et discipline économique et financière: tels sont les cinq abandons qui précipitent le déclin économique de la France, selon la Fondation Concorde. Des facteurs, explique le think tank, qui se renforcent l’un l’autre. Retour en détail sur ce cercle vicieux.

    Dans son dernier rapport, Les cinq abandons qui font le malheur de la France, le think tank Fondation Concorde tire à boulets rouges sur les décisions politiques de ces dernières décennies tant en matière d’économie, d’emploi, de finances publiques que d’éducation. En effet, cette synthèse d’une quarantaine de pages, réalisée sous la houlette de Michel Rousseau, président et fondateur du laboratoire d’idées, s’attarde sur les causes de la récession industrielle – et économique au sens large – de la France, en allant au-delà des seules décisions prises dans ce domaine bien spécifique. Ce rapport met ainsi en exergue l’interdépendance des différents maillons sociaux-économiques de notre société:

    «Notre déclin industriel a pour origine la diffusion d’une croyance collective dans une société post-industrielle et post-travail qui pourrait faire l’impasse sur la production.», synthétise-t-il.

    Jusqu’au début des années 70, les Français étaient encore les «Coréens de l’Europe», devançant en heures de travail par an tant leurs voisins européens que les États-Unis ou le Japon, avec notamment un taux d’absentéisme – hors congés – bien plus bas. Témoin de cet âge d’or, mis en avant dans le rapport du think tank: celui du futurologue américain Hermann Kahn, ainsi que de l’ouvrage «l’Envol de la France» qui s’en inspira, prédisant à la France des années 80 des jours heureux après avoir supplanté l’économie allemande.

    Cependant, les réformes socialistes, visant à réduire le chômage en taillant dans l’offre de travail (réductions successives du temps de travail hebdomadaire, ainsi que celle de l’âge de départ à la retraite), couplées à l’augmentation du nombre annuel de jours de congés, ont fait décrocher la durée de travail moyenne annuelle des salariés français et par conséquent leur compétitivité.

    500 heures de travail par an et par salarié ont ainsi été perdues dans l’hexagone entre 1970 et 2000, faisant rétrograder la France au rang de cancre des pays développés.

    1970-2000, effondrement de la valeur travail: une évolution «considérable»

    Des politiques économiques de lutte contre le chômage «axées sur le partage du travail» à l’encontre desquelles l’Institut se montre particulièrement critique: «la création d’emplois par le partage n’a aucun fondement économique théorique ou empirique», assène-t-il.

    «La conjugaison d’un faible taux d’emploi et d’une durée de travail réduite font de la France le pays où globalement on travaille le moins dans le monde.»

    À titre d’illustration, si un salarié français travaille plus en moyenne dans l’année qu’un salarié allemand, comme le soulignent régulièrement les grandes chaînes d’information, ces dernières omettent souvent de rappeler que la structure de l’emploi est différente outre-Rhin (recours à l’emploi partiel, taux d’emploi plus élevé). Ainsi, aussi «grossier» ce chiffre soit-il, une fois rapporté à l’ensemble de la population du pays, un Allemand travaille plus en moyenne sur l’année qu’un Français (respectivement 729 heures contre 635).

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  9. Non seulement le temps de travail est-il au plus bas, mais «à l’heure actuelle, le taux d’emploi français est l’un des plus faibles de l’OCDE», note le rapport, «Entre la France particulièrement travailleuse de 1970 et le record de la plus faible quantité de travail par habitant, que de chemin parcouru!»

    En parallèle, afin de faire face financièrement à cette situation appelant à plus de redistribution, les prélèvements obligatoires sur les acteurs économiques ont été augmentés.

    «La France est le pays qui s’est le plus désindustrialisé d’Europe»

    Des charges de production supplémentaires qui sont ainsi venues grever un peu plus la compétitivité de la France. Un constat particulièrement handicapant pour l’industrie tricolore:

    «Cela nous oblige à accroître nos politiques distributives pour les corriger et ce faisant, à accroître la pression fiscale pour les financer, ce qui dégrade encore davantage notre compétitivité. […] Moins de travail, c’est moins de production et donc moins de recettes fiscales et sociales. Il faut donc augmenter la pression fiscale en multipliant les taxes et en augmentant leurs taux.»

    Augmenter les impôts sur la production, un «non-sens économique», qui plus est lorsque ces taxes entrèrent en vigueur, avant d’augmenter sensiblement, au moment du premier choc pétrolier. Ainsi, pour l’auteur du rapport «on ampute ses ressources et on réduit ainsi ses capacités d’adaptation» précipitant encore un peu plus le déclin du secteur industriel tricolore. «En termes de poids de l’industrie dans la valeur ajoutée, la France est le pays qui s’est le plus désindustrialisé d’Europe», souligne-t-il, alors même que les emplois dans l’industrie sont en moyenne mieux rémunérés que dans un secteur tertiaire tant vanté.

    «La France n’est pas sortie de ce paradigme post-industriel. Au contraire même, la nouvelle concurrence des pays émergents qui occasionne de douloureuses restructurations industrielles et la montée de la sensibilité écologiste ont diffusé le tropisme anti-industrie à l’ensemble de la société française. L’industrie est devenue synonyme de pollution et de chômage. On vante ainsi le développement des emplois de service parce que “non délocalisables”.»

    Autre critère alarmant aux yeux de la fondation Concorde: le niveau de l’éducation en France. Partant des «faibles compétences» de la population française, tout en rappelant que «moins la population est compétente, plus le chômage est élevé et le taux d’emploi faible», le rapport s’interroge «en amont, à la question à la qualité de l’éducation des jeunes.»

    «Démocratisation» du savoir, effondrement du niveau scolaire ?

    Le document souligne une éducation «fortement dégradée par sa politisation au début des années 1970», flinguant au passage la réforme Jospin de 1989. Le gouvernement socialiste avait alors priorisé l’acquisition d’un «savoir et de construire sa personnalité par sa propre activité», au détriment de l’ancien modèle républicain de l’école publique, qui se donnait comme objectif de fournir un «savoir élémentaire» en écriture, lecture et calcul au plus grand nombre. À l’époque, l’école publique était déjà accusée de contribuer à reproduire les inégalités sociales existantes, certains parents étant plus à même que d’autres d’aider leurs enfants

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  10. «La volonté de démocratiser l’éducation en rompant avec une transmission de la culture jugée élitiste a abouti à l’inverse des objectifs recherchés: la France est la championne des inégalités sociales à l’école», souligne le rapport.

    Ainsi, une fois de plus, ces réformes aboutirent au résultat contraire de celui escompté: le niveau scolaire des jeunes Français s’est depuis effondré, ce qui non seulement les discrimine sur le plan international, mais aggrave une nouvelle fois la compétitivité des entreprises sur le territoire national, sans parler de l’impact sur la santé économique du pays à long terme. Pourquoi investir dans un pays où les employés non seulement reviennent plus cher, du fait du haut niveau de prélèvement et d’un temps de travail minimum, tout en étant moins qualifiés ?

    «La politisation des questions pédagogiques a empêché toute approche rationnelle de cet enjeu fondamental, en particulier pour la question de l’apprentissage de la lecture: la méthode syllabique est accusée de conservatisme, de méthode “de droite”, et est opposée au globalisme réputé “de gauche”, en paralysant les réflexions et les évaluations sur l’efficacité des méthodes.»

    En effet, comme le souligne la Fondation Concorde, qui s’attarde sur les effets délétères du dogmatisme dans la prise de telles décisions, il aura fallu attendre 24 ans pour que soit évalué l’effet sur les jeunes Français de cette réforme.

    Désindustrialisation, racine du mouvement des Gilets jaunes

    Industrie, travail, élitisme républicain, trois premiers «abandons», qui aux yeux des auteurs, trouvent leurs racines dans les mutations des valeurs qui closent les Trente glorieuses.

    «On passe de la société de privation, d’effort, d’héroïsme de l’après-guerre à une société d’abondance, de plaisir et de consommation, où règne l’individualisme dans la recherche forcenée de l’épanouissement individuel», développe le rapport.

    À cette situation sociale et économique explosive s’ajoute l’abandon des centres-ville. Face à la vacance toujours plus grande des commerces, grandes et moyennes agglomérations ne sont pas égales. En effet, la désertification touche tout particulièrement les villes de province. Une situation provoquée en partie par le développement des centres commerciaux (qui créent de l’emploi, mais qui sont aujourd’hui menacés par l’e-commerce) et donc par la désertification industrielle (synonyme de chômage) qui a durement touché les territoires ruraux.

    «70 % des usines étant implantées à proximité de villes petites et moyennes, elle a laissé de vastes portions du territoire en déshérence.»

    Une illustration de la fracture territoriale, qui trouve un écho tout particulier sur fond de révolte des Gilets jaunes, dont la mobilisation hebdomadaire n’a pas cessé depuis novembre dernier. D’ailleurs, dès la première ligne de son préambule, le rapport du think tank évoque cette crise comme étant l’«un des symptômes de cette déréliction» de la France.

    Fragilité de la France périphérique

    Le rapport recoupe d’ailleurs les cartes de la variation d’emplois industriels de ces 20 dernières années avec la carte des votes exprimés en faveur de Marine Le Pen lors du premier tour des élections présidentielles. Sans surprise, les deux se recoupent.

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  11. Évoquant «l’extrême fragilité de notre organisation spatiale», l’auteur souligne les conséquences des politiques d’urbanisation qui ont tendu au développement des maisons individuelles et donc des zones urbaines, éloignant toujours plus le salarié de son lieu de travail et surtout le rendant toujours plus dépendant de sa voiture. Or, non seulement cette voiture est aujourd’hui pointée du doigt par les décideurs politiques (la volonté d’augmenter, sous couvert de préservation de l’environnement, les taxes sur les carburants avait mis le feu aux poudres en novembre dernier), mais elle revient au-delà du carburant extrêmement cher aux ménages modestes, faisant qu’ainsi «l’acquisition d’un pavillon éloigné du lieu de travail peut se révéler insoutenable sur le plan financier», déplore le rapport, menant ainsi à une situation totalement paradoxale.

    «Plusieurs millions de salariés se lèvent tous les matins pour un gain inférieur à 300 euros par mois par rapport au fait de rester en inactivité et de bénéficier des minimas sociaux.»

    Dernier abandon épinglé par le think tank, celui de la discipline économique. Là encore, un phénomène non seulement paradoxal, mais également marqué tant par une certaine «rigidité intellectuelle» de décideurs politiques, que par la priorité donnée par certains d’entre eux à leurs intérêts purement politiciens.

    Les conséquences tragiques des occasions manquées

    En guise d’illustration, le rapport revient sur la proposition de l’offre du président de la banque centrale de la République fédérale allemande de faire du franc une monnaie pivot pour le mark et la livre. «Une aubaine fabuleuse pour la France d’apparaître comme un pilier du système monétaire européen» qui fut toutefois rejeté par le ministre de l’Économie et des Finances d’alors, Pierre Bérégovoy, qui s’en tint à sa politique du «franc fort» après la forte inflation provoquée dans le pays par les dévaluations successives qui marquèrent le début de l’ère Mitterrand. Pour l’auteur du rapport, nous étions à l'«un de ces moments, qui reviennent régulièrement dans nos politiques monétaires ou militaires, où de bonnes politiques se mutent en carcan idéologique par rigidité mentale.»

    Une «erreur historique» dont les conséquences pour la France «furent tragiques». Non seulement d’un côté, l’Allemagne due se résoudre à revoir en conséquence à la hausse ses taux d’intérêt –ce qui impacta le marché français du crédit–, mais de l’autre, les jeux politiciens de François Mitterrand vinrent aggraver la situation. En effet, la décision du Président de soumettre la ratification du traité de Maastricht à un référendum, afin d’affaiblir la droite, provoqua le retrait de la Livre sterling du Système monétaire européen (SME) et l’effondrement de la Lire à cause des importantes craintes du rejet du texte. Conséquence, les taux s’envolèrent de nouveau en France, transformant la politique du franc fort en piège et menant le pays à un nouvel épisode de crise particulièrement éprouvant pour le secteur industriel.

    «La violente récession de 1993 entraîna une véritable vague de désindustrialisation de la France avec la destruction de 800.000 emplois», note le rapport.

    Ces dernières années, certaines décisions politiques ont mené à la dilapidation de nombreux fleurons industriels français (tels qu’Alcatel-Lucent, Alstom, Lafarge, Technip…), fragilisant encore plus le tissu économique du pays, sans parler d’un aspect d’ordre plus stratégique. Le rapport évoque également les cas plus anciens de Péchiney, Usinor ou de la CGE «avec le concept de l’entreprise sans usine de Serge Tchuruk». Aux yeux de l’auteur du rapport, le constat est sans appel: «nos élites ont laissé dépérir, voire disparaître les plus beaux fleurons de notre industrie».

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  12. Pour la fondation Concorde, tous ces «abandons» contribuent à creuser l’écart entre l’Hexagone et ses partenaires européens et donc à voir diminuer la richesse de ses habitants. Plus grave, peut-être, il souligne que «l’économie française est en train de manquer la nouvelle révolution industrielle», estimant qu’il existe un risque que la France, «qui se modernise beaucoup moins que les autres pays européens», soit «reléguée dans les pays de seconde zone».

    https://fr.sputniknews.com/economie/201907191041714386-erreurs-strategiques-et-dogmatisme-comment-les-politiques-ont-sape-la-france/

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    1. D'un côté tout a été mis en œuvre pour saper le moral des entrepreneurs depuis les charges et délais d'inscription aux registres jusqu'aux nouvelles nouvelles réglementations de Bruxelles et syndicats. D'où l'exode des entrepreneurs.

      D'autre part il y a les 'frontières ouvertes' ! où les terroristes entrent par centaines de millions en Europe et, pour achever le tout l'atmosphère de terreur qui s'installe chez tous !

      (...) un Allemand travaille plus en moyenne sur l’année qu’un Français (respectivement 729 heures contre 635). (...)

      729 h : 52 semaines = 14 h/hebdo !
      635 h : 52 semaines = 12 h 21 mn !

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  13. Existe t-il des scénarios plus catastrophes pour le futur que la faillite / dévaluation / explosion de fiscalité ?


    mercredi, 17 juillet 2019 13:07


    Bien sûr qu'il existe une catastrophe à venir... bien pire... et c'est étonnant de voir les humains dealer avec !

    Le déni le plus élementaire et primaire pour évacuer la terreur...

    Pourtant tout un chacun a bien conscience que la robotisation en cours va foutre à la porte 50% de la workforce mondiale mini. A moins d'être optimiste comme Warren Buffet qui croit à la création d'un nouveau secteur à inventer après l'agriculture, l'industrie puis les services... l'ajustement va être violent.

    Tout le monde sait également que le poids des engagements retraites représentent à peu près 100% du PIB pour les 30 ans à venir et que à ce stade, personne n'a aucune idée de comment on va pouvoir le financer à moins d'un reset monétaire géant et mondial... ou un super défaut sur promesse... ou le scénario que je vous présente ci dessous...

    Ce qui peut se passer de pire, c'est le scénario de la Grèce de 2011.

    On refuse la dévaluation. Bien au contraire. Au lieu de faire des PEG de taux, on fait des PEG de devises.

    La variable d'ajustement devient le PIB...

    Ne rigolez pas.

    Trump est en train de renégocier les traités NAFTA avec le Canada et le Mexique en insérant des clauses qui pénaliserait les pays pratiquant la dévaluation compétitive.

    Il se dit que les USA chercheraient à imposer ces mêmes clauses au Japon, à l'Europe et à la Chine.

    En clair, ils cherchent à imposer le nouvel ordre mondial VIA les devises.

    Je pense qu'au delà de ces aspects, c'est la question de l'humanité qu'on va devoir affronter.

    Je rejoins JEAN PIERRE PETIT (et suis bien placé pour savoir ce qu'il vit, puisqu'à une plus petite échelle, je "subis" les mêmes désordres de ma réalité). Le but de l'humanité, c'est de faire du lien et créer. Faire du lien avec l'espace. Toute la machine économique n'a qu'un but, se libérer des contraintes de la survie en automatisant ce process et construire avec des nouvelles technos des outils pour se casser de la terre.

    Je ne pense pas que la croissance éternelle du PIB soit désormais prioritaire. Et je ne pense absolument pas que la survie de 7 milliards d'humains soit prévue.

    Je suis intimement convaincu que les élites vont buter bien avant les 30 ans à venir tous les esclaves qui ne serviront plus à rien. A chacun de faire en sorte dans son coin de ne plus être un esclave... sinon couic... comme la dinde de noel chaque année...

    Quand au problème de la retraite en réalité, un bon petit virus et ... y a plus de problème...

    Nous allons assister à une transition majeure dans l'histoire de notre civilisation.

    Donc l'option "massacre du PIB à la sauce grecque" est également sur la table et c'est de loin, la pire...

    Charles Dereeper

    http://www.objectifeco.com/economie/dettes/faillites/existe-t-il-des-scenarios-plus-catastrophes-pour-le-futur-que-la-faillite-devaluation-explosion-de-fiscalite.html

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    1. Dire du mal de la machine à laver qui a supprimé xxx emplois de lavandières aux lavoirs ou rivières c'est comme de dire que dieu existe pour éviter de parler intelligemment de la conception des choses. Ces mêmes ordures qui parlent que 'la mer va monter' ! - alors que depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eau (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés (et continuent de le faire tous les jours !) dans les océans sans que le niveau ne monte ! - sont les mêmes qui veulent tout faire pour supprimer les machines/robots/ordinateurs afin que le Peuple en revienne à l'indigence !

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  14. PROCÈS - PAYER DES IMPÔTS? «C’EST CONTRE LA VOLONTÉ DE DIEU»

    Depuis 2011, une famille australienne refuse de s’acquitter de ses impôts pour des motifs religieux. La justice ne l’a pas entendu de cette oreille.


    PAR RENAUD MICHIELS
    19.07.2019, 07h46


    Les Beerepoot, une famille chrétienne australienne vivant en Tasmanie, refusent de payer leurs impôts. Pour des motifs religieux, affirment-ils. Ils ont tenté de défendre leur point de vue lors de leur procès, qui s’est tenu mercredi. «Transférer notre allégeance de Dieu au Commonwealth reviendrait à se rebeller contre Dieu et donc briser le premier commandement», a plaidé Rembertus Cornelis Beerepoot.

    Payer des impôts est «contre la volonté de Dieu», a continué M. Beerepoot, relate la BBC. «Nous pensons que la constitution affirme le fait que le Commonwealth est dans la juridiction de la loi de Dieu tout-puissant et que la loi de Dieu tout-puissant est la loi suprême de ce pays», a-t-il enchaîné, selon ABC News.

    Des malédiction sur l'Australie

    Rembertus Cornelis Beerepoot a encore précisé que ne pas reconnaître la loi de Dieu comme «loi suprême» de l’Australie avait déjà eu des conséquences très concrètes. «Alors que nous sortons de la juridiction de Dieu, ce pays a reçu des malédictions que nous voyons déjà sous forme de sécheresses et d’infertilité», a-t-il lancé.

    Aussi surprenants qu’ils puissent paraître, la Cour Suprême de Tasmanie a écouté les arguments de Rembertus Cornelis Beerepoot et de sa sœur Fanny Alida, qui gèrent une ferme vendant du miel et différents produits liés à l’apiculture.

    «Tu ne payeras point d’impôt»...

    Le juge Stephen Holt s’est d’abord placé sur le même registre. Mais a expliqué en somme ne pas trouver dans la bible des arguments contre les contributions publiques. «Vous ne pourrez pas me trouver dans les écritures un passage indiquant «tu ne payeras point d’impôt», a-t-il lancé aux accusés. Avant d’estimer que les affaires civiles et la loi de Dieu «opéraient dans différentes sphères».

    Le juge Holt a tenu à indiquer qu’il pensait que les prévenus étaient sincères dans leur démarche. Mais il est ensuite revenu plus terre à terre car les Beerepoot ne se sont plus acquittés de leurs dus depuis 2011. Le frère et la sœur ont donc été condamnés à payer leurs dettes fiscales, les frais administratifs et divers intérêts. Soit 1,6 million de dollars australiens chacun – un peu plus de 1,1 million de francs. Et ce quelle que soit la volonté de Dieu.

    https://www.lematin.ch/faits-divers/payer-impots-c-volonte-dieu/story/31359421

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    1. Malgré que dieu soit été appelée à la barre et ne se soit présenté, ses représentants (tuteurs jurant sur la bible) n'ont pu présenter de preuve de son existence par des photos, films, interview voire liaison téléphonique ou sms !

      Au diable les quêtes pour lui les dimanches ! Hahahaha !

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  15. BERLIN - CLIMAT: GRETA A FORCÉ L'ALLEMAGNE À FAIRE PLUS

    Angela Merkel a déclaré, dans un discours, que son gouvernement avait revu à la hausse ses ambitions pour le climat grâce à Greta Thunberg.


    19.07.2019, 13h26


    La chancelière allemande Angela Merkel a assuré vendredi que son gouvernement avait revu à la hausse ses ambitions climatiques grâce à la mobilisation des jeunes organisée par Greta Thunberg. La Suédoise se trouvait d'ailleurs à Berlin pour les «Fridays for Future».

    «Le sérieux avec lequel Greta et beaucoup, beaucoup de jeunes gens nous ont signalé que c'est de leur vie dont il s'agit (...) cela nous a amenés à nous attaquer à la chose de manière plus décidée», a dit la chancelière Angela Merkel lors de sa traditionnelle conférence de presse estivale avant son départ en congés.

    Elle a réaffirmé que son gouvernement allait présenter le 20 septembre sa stratégie pour réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et notamment la sortie du charbon de la production d'électricité. L'Allemagne a d'ores et déjà reconnu qu'elle raterait ses objectifs de baisse des émissions pour 2022 mais vise toujours pour 2030 une réduction de 55% par rapport à 1990.

    Pour cela, le gouvernement a décidé de l'abandon d'ici 2038 des centrales thermiques au charbon. Mais cette échéance est jugée trop lointaine par les activistes et dépourvue pour l'heure d'un calendrier précis pour fermer mines et centrales.

    «Les gouvernements n'en font pas assez»

    Au même moment où Angela Merkel s'exprimait devant la presse, Greta Thunberg s'adressait elle aux manifestants à Berlin où elle est arrivée en train dans la matinée.

    «Quand tu es un jeune activiste pour le climat, on a souvent la sensation que l'avenir du monde dépend de nous, et c'est un fardeau lourd à porter», a-t-elle dit.

    «Ce ne sont pas nous qui n'en faisons pas assez, ce sont le gouvernement, le monde économique et les médias qui n'en font pas assez», a-t-elle martelé, «c'est tellement étrange que les adultes n'osent pas se montrer responsables et que ce soient les jeunes, les enfants qui le font». (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/climat-greta-force-allemagne/story/22120615

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    1. La cheffe d'État atteinte de La tremblotte de la chancelière, qui prend ses sources à la Trisomique bavaroise en chaleur a reconnu s'être faite mise un bouchon à un trou sans citer lequel mais qui serait comme pour le climat "Ich sitze drauf ! " ('Je m'y assieds dessus !').

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  16. ABSURDE - QUI TRAVAILLE ÉNORMÉMENT NE PEUT PAS ÊTRE FRANÇAIS…

    Stupeur et consternation: la nationalité française a été refusée à une infirmière au motif qu’elle cumule trois boulot et travaille trop d’heures.


    PAR RENAUD MICHIELS
    18.07.2019, 15h54


    Le document a d’abord circulé sur les réseaux sociaux. Et ça sentait le canular. Mais ce n’en était pas un: le Val-de-Marne a refusé d’accorder la nationalité française à une infirmière car elle travaille trop.

    La préfecture du Val-de-Marne a en effet confirmé à 20minutes.fr l’authenticité du document publié sur Twitter. Il a été rédigé le mois dernier.

    «Outre l’emploi que vous exercez en qualité d’infirmière au sein de la clinique de l’Orangerie depuis 2011, vous effectuez en parallèle des vacations au sein du centre hospitalier intercommunal de Créteil et à la Fondation Rothschild. En 2018, vous avez effectué en moyenne, par mois, 119 heures de vacations», pointe le courrier.

    271 heures par mois

    En cumulant trois emplois, la préfecture note que la femme travaille 271 heures par mois. Et tranche: «Vous êtes ainsi en infraction au regard de la réglementation sur le temps de travail en France.» La missive précise encore que sa demande de naturalisation est ajournée pour deux ans.

    La loi française limite en effet le temps de travail à 48 heures par semaine et «44 heures par semaine en moyenne sur une période de douze jours consécutifs». Or l’infirmière approche les 59 heures.

    Reste que la décision de la préfecture du Val-de-Marne a suscité un déluge d’incompréhension et de colère. Plusieurs médecins et infirmiers ont par exemple suggéré sur les réseaux sociaux qu’on leur retire leur passeport français car eux aussi dépassent le temps de travail autorisé.

    «Scandaleux»

    C'est Nicolas Delage, un ami de l'infirmière, qui a publié le courrier. «J’ai trouvé cela scandaleux. Une des raisons pour lesquelles on devrait donner la nationalité, c’est le travail. Elle ne vole le travail de personne», commente-t-il dans 20minutes.fr.

    L’infirmière devrait recourir contre cette décision. Si elle cherche du soutien, elle pourrait peut-être se tourner vers Nicolas Sarkozy. Il avait été propulsé à l’Élysée en 2007 avec son slogan: «Travailler plus pour gagner plus»…


    https://www.lematin.ch/monde/travaille-enormement-peut-francais/story/21690638

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    1. Déjà qu'il ne faut pas être bien dans sa tête pour demander cette nationalité !...

      C'est comme si un Suisse planquait son argent en France !

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  17. ASTRONOMIE - UN DRAPEAU «SUISSE» A FLOTTÉ SUR LA LUNE

    Un capteur développé par l'Université de Berne était la seule expérience non américaine embarquée sur Apollo 11.


    19.07.2019


    Avant le drapeau américain, un drapeau «suisse» a flotté sur la Lune dans la nuit du 20 au 21 juillet 1969: la «voile solaire» développée par l'Université de Berne, qui visait à ramener des particules de vent solaire. Le voyage sur la Lune a aussi permis de mieux connaître le Soleil.

    Le temps était compté sur la surface de la Lune. A peine Edwin «Buzz» Aldrin avait-il débarqué du module lunaire «Eagle» qu'il a déroulé et planté dans le sol le Solarwind Composition Experiment, imaginé par le Pr Johannes Geiss à l'Institut de physique de l'Université de Berne. Ce n'est qu'ensuite, quatre minutes plus tard, que l'astronaute a déployé le drapeau américain en compagnie de Neil Armstrong.

    Le capteur de particules de vents solaires, une feuille d'aluminium ayant subi différents traitements, était la seule expérience non américaine embarquée sur Apollo 11. Une idée toute simple qui a convaincu la NASA également grâce au faible poids du dispositif.

    La feuille a recueilli des particules durant 77 minutes. Pour la première fois, des authentiques matériaux solaires ont été ramenés sur Terre et analysés dans des laboratoires à Zurich et Berne.

    Impossible depuis la Terre

    Il est en effet impossible d'étudier le vent solaire depuis la Terre, le champ magnétique repoussant les particules. «La mission lunaire de la NASA était une bonne occasion de capter le vent solaire en dehors du champ magnétique terrestre et ainsi d'avoir un échantillon de Soleil», a expliqué à Keystone-ATS Peter Wurz, de l'Université de Berne.

    Les chercheurs étaient particulièrement intéressés par les gaz nobles: «Comme ils sont extrêmement stables chimiquement, ils donnent des informations sur les débuts du système solaire», précise le Pr Wurz.

    Pour ce qui est de la Lune proprement dite, les différentes missions Apollo ont ramené plus de 300 kilos de roches et de poussières en provenance de notre satellite. L'Université de Berne, experte en datation et analyse de météorites par spectrométrie de masse était une des rares institutions en Europe à participer depuis le début à ces recherches.

    En quarantaine

    Le matériel était d'abord placé en quarantaine, se souvient Otto Eugster, longtemps responsable de la coordination avec la NASA. «On ne savait pas si les roches lunaires contenaient des éléments dangereux, par exemple des bactéries qui auraient pu infecter la Terre», dit-il.

    «On en donnait à manger à des souris, elles aimaient même ça et n'avaient pas de problème», raconte le physicien. D'autres analyses ont rapidement montré qu'il n'y avait pas trace de vie sur la Lune.

    Aucun nouvel élément n'a été trouvé, mais des minéraux alors inconnus. L'un d'eux a été baptisé armalcolite, contraction des noms des trois astronautes Armstrong, Aldrin et Collins.

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  18. A nouveau dans le viseur

    Depuis quelques années, la Lune est à nouveau dans le viseur des agences spatiales, américaine et chinoise notamment. Selon le Pr Eugster, cela pourrait notamment tenir à l'hélium-3, un isotope 300 fois plus présent sur la Lune que sur Terre et qui pourrait être exploité comme source d'énergie.

    La Lune pourrait en outre se transformer en étape intermédiaire pour de futures missions vers Mars, ajoute le spécialiste. Vu son faible champ gravitationnel, cela demanderait beaucoup moins d'énergie que de partir de la Terre. On pourrait également installer sur la face cachée de la Lune des télescopes qui ne seraient pas perturbés par les ondes radio terrestres.

    De manière générale, il y a encore beaucoup à découvrir sur la Lune. Les missions Apollo ont toutes aluni autour de l'équateur et sur la face orientée vers la Terre. Même en incluant les sondes, on estime que seul un vingtième de la surface de la Lune a été directement étudié.

    Berne toujours de la partie

    L'Université de Berne sera de la partie lors de futures missions d'exploration lunaire, notamment celle prévue pour 2024 par l'agence russe Roscosmos, indique encore le Pr Wurz. Une participation à la mission chinoise «Chang'e 6», aussi en 2024, est en discussion.

    La même année, la Nasa envisage d'envoyer à nouveau des humains sur la Lune, notamment la première femme, et, là aussi, l'alma mater bernoise est sur les rangs. «Mais nous n'en sommes qu'au début des discussions», conclut Peter Wurz. https://www.youtube.com/watch?v=L9Go_j_i6o8 (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/sante/sciences/drapeau-suisse-flotte-lune/story/28638986

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    1. A savoir que de nos jours les drapeaux et uniformes américains sont fabriqués... en Chine ! Reste à savoir si en 1969...

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  19. Le syndicat France Police – Policiers en colère appelle ses adhérents et sympathisants à refuser l’une des 9.162 médailles « engagement exceptionnel des forces de sécurité intérieure 2018 – 2019 » distribuées par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner en remerciements de la répression exercée contre les Gilets jaunes par nos collègues


    18 JUILLET 2019
    SYNDICAT FRANCE POLICE - POLICIERS EN COLÈRE


    Les policiers n’ont pas besoin de médailles en chocolat mais qu’on s’occupe de la question des suicides, qu’on leur paye leurs heures supplémentaires et surtout qu’on soutienne la police nationale lorsqu’elle intervient dans les banlieues face à la racaille.

    Ces décorations purement symboliques et hautement politiques vont creuser un peu plus le fossé entre nous et la population qui n’en comprendra pas le sens.

    Il s’agit d’une décision prise par des énarques totalement déconnectés des besoins réels de nos collègues qui n’attendent pas de médaille mais des réformes profondes de notre Institution.

    https://france-police.org/2019/07/18/le-syndicat-france-police-policiers-en-colere-appelle-ses-adherents-et-sympathisants-a-refuser-lune-des-9-162-medailles-engagement-exceptionnel-des-forces-de-securite-interieure-2018-2019-di/?fbclid=IwAR1A4uXvbVqRWN4jwiklz1F7hKale64upOYxbREBSeJqzfeFUPEdCiSZuZU

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  20. Les 13 choses à ne surtout pas faire lors d’une canicule


    15:01 19.07.2019


    Météo-France avertit: l’Hexagone vivra une flambée des températures dès la semaine prochaine, évoluant possiblement entre 30 et 40°C. Voici un aperçu des principales erreurs commises en période de grandes chaleurs, de l’activité nécessaire aux dangers de la climatisation, en passant par la nourriture.

    Face au nouvel épisode de canicule qui approche en France, il est temps de réviser les règles de survie en cas de températures extrêmes. Mais si vous gardez les principales recommandations bien en tête, connaissez-vous les fausses bonnes idées qui pourraient aggraver votre situation ?

    Fenêtres: ouvrir ou ne pas ouvrir ?

    La question des fenêtres est à double tranchant. Si la chaleur devient trop forte, mais aussi compte tenu de la pollution qui s’aggrave pendant la canicule, il vaut mieux fermer les fenêtres pour garder l’air frais à l’intérieur, indique Futura Sciences.

    En cela, la nuit est bien le moment où l’on peut en profiter pour aérer sa chambre. De plus, si l’air est trop sec, des draps mouillés pourront aider à l’humidifier.

    Attention à la différence de températures

    Il est recommandé de ne pas se laisser guider par sa forte envie de se rafraîchir en un clin d’œil et de prendre garde à la puissance du climatiseur. La variation de température confortable pour l’organisme entre l’extérieur et l’intérieur est de 5-6 degrés, puisque le système de régulation thermique du corps dépense beaucoup d'efforts et de temps pour s’adapter à de telles fluctuations.


    Dormir près d’un ventilateur n’est pas une bonne idée

    Si, en quête de fraîcheur, on préfère s’endormir près d’un ventilateur, il ne faut pas l’orienter vers soi car cela présente le risque de dessécher les sinus ou la gorge. Parmi d’autres inconvénients figurent des crampes ou encore une aggravation des allergies à cause des particules circulant dans l’air.

    «Avoir le nez sous le ventilateur n'est pas conseillé. Mais dormir dans une chambre bien aérée, c'est important, donc on doit trouver la bonne distance avec le ventilateur», explique Philippe Nin, le vice-président de SOS Médecins Grand Paris.

    Le médecin Jean-François Toussaint, professeur à l'université Paris-Descartes et directeur de l'Institut de recherche biomédicale et d'épidémiologie du sport (Irmes), conseille sur RTL d’installer le ventilateur de façon à qu’il souffle vers «le bas du corps», ce qui est moins risqué.

    Attention à l’eau glacée

    La Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France (FNSPF) prévient que l’idée de s’asperger d’eau trop froide ou de se plonger, partiellement ou entièrement, dans de l'eau glacée augmente le risque d’hydrocution.

    «S'asperger d'eau tempérée, c'est une bonne chose. Mais une douche d'eau glacée, non: il n'y a pas lieu de se faire un choc thermique», pointe Philippe Nin.

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  21. L’ombre d’un parasol n’est pas surprotectrice

    Souvent utilisés comme protection contre les rayons UV, ni un t-shirt blanc, ni un parasol ne le sont à 100% en réalité, affirme le Syndicat national des dermatologues-vénéréologues (SNDV). Même en ville, les UV restent nocifs pour la peau, or le t-shirt «laisse passer tous les UV» et le parasol «50% des UV». Peuvent aider les vêtements sombres, en tissu à fibres serrées, ainsi que les chapeaux, lunettes, manches longues et vêtements anti-UV pour les enfants qui «doivent être impérativement protégés».

    Activité ou passivité ?

    Tant une totale passivité qu’une activité excessive ne sont pas recommandées en cas de forte chaleur. Par conséquent, il faut profiter des heures les plus fraîches pour les activités les plus énergiques et rester plus tranquille durant les périodes les plus chaudes.

    Le docteur Philippe Nin conseille «d'avoir au moins un peu d'activité, de ne pas rester totalement immobile. Cela dit, si on est fatigué, il est normal de se reposer».

    Le professeur de médecine à l'Université de Marseille Jean-Louis San Marco recommande même de renoncer au sport lors de la canicule «sinon on risque un pépin».

    Diminution de l’appétit et manque de sel

    Alors que l’organisme semble demander moins de nourriture lorsqu’il fait chaud, il faut tout de même une consommation suffisante et équilibrée pour ne pas s’affaiblir.

    Une autre erreur est de ne pas saler ses plats, ce qui peut entraîner une perte d’appétit et une déshydratation, car l’organisme a besoin de sel pour rétablir son niveau de minéraux perdus lors de la sudation.

    Boire trop ou trop peu nuit

    L’hydratation est indispensable en période de chaleur pour compenser l’eau perdue lors de la transpiration, mais tant son excès que son manque sont nuisibles à la santé.

    «Boire un peu plus que nécessaire vaut mieux que de boire moins que nécessaire. Sauf à boire 10 litres par jour», précise le Dr Nin.

    Selon son confrère Jean-Louis San Marco, dépasser 1,5 ou 2 litres, surtout pour les personnes âgées, présente des inconvénients et ne sert à rien. De quels risques s’agit-il ? Les organes qui produisent la sueur ne peuvent pas fonctionner comme il faut, entraînant un danger de complications cérébrales (œdèmes) qui pourraient être létales.

    Descendre une ou plusieurs bières très fraîches est aussi une mauvaise idée: l'alcool est d'autant moins bien supporté qu'il fait chaud.

    Les boissons à consommer avec modération

    En ce qui concerne la boisson en elle-même, il est recommandé de consommer avec modération tant l’alcool (dont la bière glacée), que les jus de fruits et boissons caféinées. En effet, les boissons fruitées consommées en excès fatiguent le processus de production d’insuline, tandis que celles alcoolisées ou contenant de la caféine ont un effet diurétique qui accélère la perte en eau de l’organisme.

    https://fr.sputniknews.com/france/201907191041719780-ces-13-choses-a-ne-surtout-pas-faire-lors-dune-canicule/

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  22. Les pompiers payent encore les péages autoroutiers en intervention, mais les choses devraient changer


    15:31 19.07.2019


    Les pompiers ne paieront plus les péages quel que soit le lieu de leur intervention, selon l’Association française des sociétés d’autoroutes. La mesure sera introduite dans les Alpes-Maritimes avant d’être étendue au reste de la France. Jusqu'à présent, les pompiers étaient exonérés de péage uniquement s'ils intervenaient sur le réseau autoroutier.

    Une convention concédant la gratuité à tous les véhicules prioritaires de pompiers en intervention a été signée jeudi à Nice entre Vinci Autoroutes et le conseil départemental des Alpes-Maritimes. Des conventions sont «en cours de signature» dans d’autres départements, a indiqué l’Association française des sociétés d’autoroutes (AFSA), qui fédère une vingtaine de concessionnaires privés.

    Jusqu’à présent, les sapeurs-pompiers ne pouvaient bénéficier de la gratuité que lorsque leur intervention se déroulait sur une portion d’autoroute.

    Proposition de badges de télépéage

    «Les sociétés concessionnaires proposent d’équiper gratuitement les véhicules prioritaires des SDIS (Services départementaux de secours et incendie) de badges spécifiques de télépéage associés aux plaques d’immatriculation afin d’assurer un passage rapide dans les voies. Il appartiendra aux gestionnaires des SDIS de confirmer, a posteriori, les passages effectués en opération et qui ne donneront lieu à aucune facturation», fait savoir l’AFSA citée par les médias.

    Cette gratuité a été introduite dans la loi par un amendement à la loi de finances 2018 du député niçois Éric Ciotti (LR), toujours en attente de décret d’application, indique l’AFP.

    Pompiers plutôt satisfaits

    Le colonel Grégory Allione, président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France a exprimé sa satisfaction sur le fond, mais a regretté que «cela prenne autant de temps».

    «En l’absence de décret, on reste sur le registre des conventions et de la bonne volonté. Cette mesure nous semble tellement tomber sous le coup de l’évidence que cela paraît assez surprenant qu’il faille encore passer des conventions et avoir une démarche volontariste des pompiers de chaque département pour les conclure», a déclaré M.Allione cité par l’AFP.

    https://fr.sputniknews.com/france/201907191041721037-les-pompiers-payent-encore-les-peages-autoroutiers-en-intervention-mais-les-choses-devraient/

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  23. Des entreprises recourent contre l'interdiction de douze pesticides

    Trois entreprises s'opposent catégoriquement à l'interdiction des pesticides décidée en mai 2019.



    Huit fabricants et distributeurs de pesticides ont fait recours contre l'interdiction de douze pesticides contenant du chlorpyrifos et chlorpyrifos-méthyl en Suisse. Ces procédures sont dénoncées vendredi par des ONG.

    Ces entreprises contestent une décision prise par l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG), à propos de ces produits qui peuvent notamment endommager le cerveau des jeunes enfants (lire encadré.*)

    Elles ont déposé une plainte auprès du Tribunal administratif fédéral (TAF), selon Greenpeace et le WWF. Contacté par l'ats, le tribunal confirme qu'il y a effectivement "huit recours pendants contre la décision de l’OFAG du 28 mai 2019".

    Trois entreprises opposées à l'interdiction

    Selon les deux ONG, trois des recourants "demandent un délai pour liquider les stocks", mais acceptent le principe de l'interdiction. Dow AgroSciences, Syngenta et Sintagro, en revanche, sont opposées à l'interdiction". "Une fois de plus, les fabricants de pesticides font passer le profit avant la santé des humains et des animaux", déplorent-elles.

    La décision prise en mai dernier par l'OFAG concerne au total 26 produits. Neuf retraits étaient immédiats, tandis que trois produits pouvaient être encore vendus pendant 12 mois.

    https://www.rts.ch/info/suisse/10582894-des-entreprises-recourent-contre-l-interdiction-de-douze-pesticides.html

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  24. Le Conseil fédéral remet en question les réserves obligatoires de café

    Le café doit-il faire ou non partie des réserves obligatoires en Suisse ?


    Le projet du Conseil fédéral de supprimer le stockage obligatoire du café est mal accueilli par les entreprises du secteur. Selon elles, le breuvage est d'importance vitale et son approvisionnement n'est nullement garanti.

    Les réserves obligatoires doivent assurer l'approvisionnement de la population en produits d'importance vitale en cas de pénurie grave. Outre des réserves stratégiques d'énergie et de médicaments, ces stocks comprennent notamment des fourrages pour le bétail, des céréales panifiables, du sucre, du riz et – jusqu'ici du moins – du café.

    Quinze entreprises stockent actuellement 15'300 tonnes de café vert dans des dépôts. Selon le Conseil fédéral, cette quantité suffit pour couvrir les besoins de la population pour trois mois.

    A cela s'ajoutent des stocks d'exploitation, près de 16'800 tonnes de café vert et de café instantané à la fin 2017, qui sont en mains des négociants, torréfacteurs et grossistes. Cette quantité couvre également les besoins de la population pour trois mois. Au total, La Suisse dispose donc de réserves de café pour six mois.

    Pas d'apport calorique

    Le gouvernement a mis en consultation jusqu'à vendredi une modification de l'ordonnance sur le stockage obligatoire. Suivant l'avis de l'Approvisionnement économique du pays (AEP), il estime que, vu son absence de calories, le café ne contribue pas à l'apport de substances énergétiques et qu'il ne peut plus être classé comme un bien vital.

    En outre, le risque de sous-approvisionnement durable est faible: les plantations sont réparties sur trois continents et la récolte est possible tout au long de l'année. De mauvaises récoltes à l'échelle locale pourraient être compensées par d'autres zones de plantation.

    Le Conseil fédéral s'appuie aussi sur un sondage réalisé auprès de quinze entreprises propriétaires de stocks obligatoires. Six d'entre elles veulent maintenir les réserves si elles sont dédommagées. Aucune n'entend maintenir des stocks sur une base volontaire et sans être indemnisées.

    Sondage contesté

    Etonnée par ces résultats, la Communauté d'intérêt Café Suisse a demandé un deuxième sondage. Celui-ci a été confié à réservesuisse, une organisation qui défend les intérêts des propriétaires de stocks obligatoires. Il a montré que toutes les entreprises concernées se sont prononcées pour leur maintien.

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  25. Dans sa réponse à la consultation, réservesuisse conteste également le faible risque de pénurie avancé par le gouvernement: l'approvisionnement en café n'est nullement garanti, puisqu'il dépend à 100% de l'étranger.

    Les réserves globales dans les pays producteurs sont en diminution constante, explique l'organisation. De même, les dégâts à l'environnement, la sécheresse, les parasites, catastrophes naturelles ou sabotages par des pirates informatiques peuvent interrompre à tout moment la chaîne de livraison.

    Rien que la baisse du niveau du Rhin l'an dernier a provoqué la rupture de voies de transport en Europe, illustre réservesuisse.

    Plaque tournante

    Enfin, la Suisse est le centre du commerce mondial du café: 70 à 75% du commerce de café vert passe par la Suisse. Le pays exporte pour plus de 2,2 milliards de francs de produits caféiers, soit 1% de son PIB.

    Pour cette raison, une interruption de l'approvisionnement pourrait produire "des effets dévastateurs à court terme sur l'ensemble de la branche du café". Les réserves obligatoires peuvent équilibrer ces carences. Et les consommateurs ne paient que 30 centimes par an et par habitant pour le café stocké.

    Donne-nous notre caféine quotidienne

    A cela s'ajoute l'importance du "petit noir" comme motivateur et stimulant, poursuit réservesuisse. Dans des situations de stress – comme ce serait le cas lors d'une pénurie – ces effets positifs peuvent encore s'accentuer.

    Avec 8,5 kilos par an et par habitant, les Suisses figurent parmi les plus gros buveurs de café au monde. Le breuvage occupe une place importante dans le quotidien d'une large part de la population et doit absolument être classé dans les biens d'importance vitale, argumente encore réservesuisse.

    Pour ces raisons, l'organisation demande au Conseil fédéral de renoncer à l'élimination du café dans les stocks obligatoires. Une décision définitive est attendue en automne.

    https://www.rts.ch/info/suisse/10582778-le-conseil-federal-remet-en-question-les-reserves-obligatoires-de-cafe.html

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  26. Drone Startup obtient la toute première approbation dans l'Iowa pour pulvériser des produits chimiques sur les cultures


    par Tyler Durden
    Ven., 19/07/2019 - 21:40


    Une startup technologique de l'Iowa est devenue la première entreprise légalement autorisée à piloter des drones pour l'application aérienne de produits agrochimiques dans l'état de l'Iowa, a annoncé Crop Life.

    «Notre technologie de drone était prête depuis quelques mois. nous avions juste besoin de clarifier le paysage réglementaire », a expliqué Michael Ott, PDG de Rantizo. «Construire la technologie est la partie la plus facile», a-t-il poursuivi.

    Rantizo, qui a mis au point une plate-forme de pulvérisation par drone facile à utiliser, pourrait bientôt arriver dans les champs en pulvérisant un fongicide sur les cultures pour empêcher les champignons parasites de se propager dans des conditions humides inhabituelles.

    «La pluie a empêché les agriculteurs de préparer leurs cultures de maïs dans les délais auxquels ils sont habitués cette année. La dernière fois que j’ai vérifié, à la fin du mois de juin, seulement 96% des cultures de maïs avaient été plantées, alors qu’elles sont généralement à 100% à ce moment-là », a déclaré Ott.

    "Cela affectera sans aucun doute les rendements", a-t-il poursuivi, citant que l'USDA avait récemment abaissé la projection de rendement national moyen du maïs à 166 boisseaux à l'acre.

    En avril, un représentant de Rantizo a déclaré à The Gazette que les drones remplaceront les pulvérisateurs traditionnels à l'avenir, car la technologie est plus précise et moins chère à utiliser.

    «Notre technologie de drones offre de nouvelles améliorations aux applications des cultures agricoles, telles que l’accès accru aux champs, la réduction des effectifs et la capacité de détection des applications», a déclaré Ott.

    "En d'autres termes, nous pouvons aller dans les champs pour traiter les parasites plus rapidement, avec moins de personnes et de manière plus efficace, nécessitant moins de produits chimiques."

    Ott a confié à The Gazette que Rantizo était confronté à plusieurs problèmes avec l'état de l'Iowa pour obtenir une certification de vol. Il a ajouté que la société devait d’abord obtenir les certifications 107 et 137 de la FAA, qui incluaient des dérogations à l’article 44807 pour la conduite d’un drone au-dessus de terres agricoles.

    La startup a éliminé tous les obstacles réglementaires et a été autorisée à voler en mai. La dernière licence pour l'application de pesticides du ministère de l'Agriculture et de l'Intendance des Terres (IDALS) de l'Iowa a récemment été accordée.

    «En tant que première entreprise de l'État à avoir demandé cette opération pour l'utilisation de drones, la courbe d'apprentissage était intrinsèquement liée, mais nous remercions IDALS d'avoir collaboré avec nous dans ce domaine, ce qui nous a permis de paver la voie nécessaire pour améliorer les pratiques agricoles. Nous allons ensuite travailler avec d’autres États pour atteindre le même objectif », a expliqué Craig Perry, directeur des opérations de Rantizo.

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  27. Les agriculteurs de l'ensemble de l'Iowa ont été frappés par des précipitations record qui ont empêché beaucoup de planeurs plus tôt dans la saison. Le temps pluvieux amène également des champignons indésirables sur les terres agricoles, ce qui pourrait réduire considérablement les rendements. Ott a suggéré que les drones pulvériseront d'abord un fongicide sur les cultures dans les prochaines semaines.

    "La dernière chose dont les producteurs de maïs ont besoin est de perdre un rendement supplémentaire dû aux parasites et aux maladies", a déclaré Ott.

    «Les solutions actuelles offrent au mieux un résultat non optimal. Ils exigent des producteurs qu'ils arrosent tout leur champ. Cela donne des options qui ne sont ni rentables ni totalement inefficaces, alors beaucoup en profitent et ne pulvérisent rien du tout. "

    Ott a ajouté: «Les applications de fongicides sont plus efficaces dans les 72 heures suivant l’infection par la maladie. Cela signifie que si une culture de maïs est infectée, il incombe à l'agriculteur de détecter l'infection et de pulvériser le champ (souvent par un applicateur personnalisé) dans les 72 heures. Imaginez cette demande maintenant dans tout un État. "

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-16/drone-startup-gets-first-ever-approval-iowa-spray-chemicals-crops

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    1. Ce n'est pas tout le monde qui a un hélicoptère ou un avion !

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  28. "Vous êtes tous des tueurs en série": les Californiens indignés critiquent la hausse de 2 milliards de dollars des taux de PG & E


    par Tyler Durden
    Vendredi, 19/07/2019 - 19:40


    Des représentants de Pacific Gas & Electric (PG & E) et de la California Public Utilities Commission ont été entendus jeudi par les habitants en colère au sujet d'un plan visant à facturer près de 2 milliards de dollars aux clients au cours des trois prochaines années.

    PG & E dit qu'il utilisera les fonds pour financer les améliorations apportées à la sécurité contre les incendies de forêt et d'autres éléments.

    "La proposition 2020 de la GRC, qui est au centre des auditions de participation publique du jeudi, n'inclut pas les coûts liés aux incendies de forêt de 2017 et 2018", a déclaré à la Chico Enterprise-Record, Kristi Jourdan, porte-parole de PG & E.

    "PG & E est habilité à suivre les coûts liés à ces incendies, y compris les coûts associés aux réparations, à la restauration, aux dommages et aux réclamations de tiers, mais doit demander l’autorisation de la (commission des services publics) via une application distincte pour recouvrer ces frais. frais."

    La demande d'augmentation tarifaire doit être approuvée par la commission et donnerait à l'entreprise de services publics un milliard de dollars de plus que les tarifs actuels en 2020, 454 millions de dollars de plus en 2021 et 486 millions de dollars de plus en 2022.

    Selon M. Jourdan, pour le client moyen, l'augmentation des tarifs serait d'environ 10,50 USD de plus par mois, soit 8,75 USD pour l'électricité et 1,84 USD pour le gaz. -Chico Enterprise-Record

    Les sections locales ne sont pas d'accord

    "Vous savez que ce que vous faites est en train de tuer des gens, et cela signifie que vous êtes tous des tueurs en série", a déclaré Mary Kay Benson, ajoutant: "Nous ne nous contenterons pas de nous coucher et de causer des dommages collatéraux."

    "En fin de compte, les gens ne devraient pas tirer profit de l'électricité ou de l'eau, ni de ce dont ils ont besoin pour exister", a déclaré William Bynum, d'Oroville.

    La conseillère de Chico, Ann Schwab, a déclaré aux manifestants qu'il était "temps pour PG & E de rechercher d'autres moyens de réparer les dégâts et de réparer leurs infrastructures - pas à notre insu, qui avons été tellement endommagés par leurs actions".

    "Comment peut-on dormir la nuit avec ce que tu as fait?" Susan Sullivan, survivante du feu de camp, a suggéré que les PG & E soient dissociés et gérés au niveau local.

    Beaucoup étaient en colère contre les commissaires eux-mêmes pour ne pas avoir assuré une meilleure surveillance des conditions qui avaient conduit à l'incendie de camp et à d'autres incendies au cours des dernières années. Plusieurs intervenants ont déclaré qu'ils utiliseraient l'énergie solaire dès qu'ils le pourraient.

    Les représentants de PG & E ont pris la parole devant la section de commentaires du public et ont assuré aux personnes réunies que l'argent de la hausse des taux irait à la prévention des incendies de forêt - et non aux salaires des dirigeants ou à l'indemnisation des victimes des incendies de forêt.

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  29. Le sénateur d'État Jim Neilsen, R-Tehama, qui représente le comté de Butte parmi d'autres membres de l'assemblée législative de l'État, a également assisté à la réunion. Plusieurs orateurs ont déclaré qu'ils ne l'auraient pas su si le travail de son bureau n'avait pas permis de faire passer le mot. -Chico Enterprise-Record

    Les commentaires de jeudi seront versés au compte rendu officiel et pris en compte dans la décision de la commission. Des rencontres similaires sont prévues à San Francisco, à Oakland, à San José, à San Luis Obispo, à Santa Rosa, à Bakersfield et à Fresno, conformément au record d'entreprise.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-19/youre-all-serial-killers-outraged-californians-slam-2-billion-pge-rate-hikes-during

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  30. La crise des sans-abri en Californie a atteint des "proportions épiques"


    par Tyler Durden
    Vendredi, 19.07.2019 - 15:05
    Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    La crise des sans-abri dans la forteresse démocrate de Californie a atteint des proportions épiques. Même après avoir jeté des milliards de dollars sur le problème, l'État n'est pas en mesure de résoudre l'épidémie qu'ils ont créée.

    Et le plan californien de consacrer des milliards de dollars de plus à la question ne fera pas grand chose non plus. Le problème n’est pas le manque d’argent. Le problème, ce sont les politiques socialistes en place qui rendent le sans-abrisme inévitable. Le comté de Los Angeles compte aujourd'hui près de 60 000 personnes sans abri, soit une augmentation de 12% par rapport à l'année précédente, selon la Los Angeles Homeless Services Authority.

    Selon National Interest, Los Angeles n’est pas le seul comté à souffrir du poids d’une réglementation socialiste qui piétine la liberté et rend difficile pour la personne moyenne de s’en sortir, et encore moins de se payer un toit. Selon un rapport du Wall Street Journal, d'autres localités californiennes ont également connu une augmentation substantielle par rapport à 2017, année de leur dernier dénombrement. À San Francisco, le nombre [de personnes sans abri] a augmenté de 17%, tandis que le comté d'Alameda, qui comprend Oakland, a connu une augmentation de 43%. Le nombre de sans-abri a augmenté de 42% à San Jose au cours des deux dernières années et de 31% dans le comté de Santa Clara, au cœur de la Silicon Valley.

    De riches élitistes paniquent lorsque des hordes de sans-abri s'emparent de leurs quartiers sur la côte ouest

    «Même au bon vieux temps, il y avait un Skid Row. Maintenant, les mendiants, les toxicomanes et les âmes égarées sont partout dans la ville », a écrit le chroniqueur du San Francisco Chronicle, Carl Nolte.

    La ville est hors de contrôle. La circulation est un désordre, mais il est rare de voir un agent de contrôle de la circulation. Les camions sont garés en double partout. La ville est sale - une amie qui vient de rentrer de Mexico a été stupéfaite de trouver les rues bien plus propres que celles de sa ville natale. Il y a tellement de déchets humains dans les rues de San Francisco que la ville a formé une «patrouille de crottes» où les ouvriers sont payés 71 000 $ par an, soit à peu près la même chose que l’enseignant moyen.

    - Carl Nolte, San Francisco Chronicle

    Nolte cerne même la cause directe du problème, c’est le gouvernement californien et les personnes qui les élisent.

    Pour faire face à ces problèmes, les citoyens ont continué à élire des gouvernements municipaux faibles, tous bâtis sur des compromis et s'attaquant à des groupes de pression concurrents. À la mairie, tout le monde est responsable de tout et personne n'est responsable de rien.

    Pour aggraver un problème complexe, la ville a tellement de règles et de réglementations qu'il est devenu presque impossible de construire quoi que ce soit. Et la ville a désespérément besoin de nouveaux logements. San Francisco a les coûts de construction les plus élevés du pays. Les architectes et les constructeurs disent qu'il en coûte 650 000 $ en moyenne pour construire une maison ordinaire à San Francisco ces jours-ci. Même le logement abordable n'est pas abordable.

    - Carl Nolte, San Francisco Chronicle

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  31. Pour ceux qui continuent de mettre en garde contre la destruction des politiques socialistes, cela est évident. Pour ceux qui veulent que tout leur soit remis après le premier vol à quelqu'un d'autre, cela ressemble à une utopie. Mais c’est parce qu’il est plus facile de voter pour que les politiciens «volent les riches» que de battre leurs propres règles et de s’enrichir. Les humains ont perdu leur sens de l'individualité et leur liberté en prenant le chemin facile.

    De toute façon, le gouvernement californien semble avoir des problèmes plus pressants à régler, comme l’interdiction des pailles en plastique, des sacs en plastique et des reçus en papier. Ils ont également commencé à fournir une couverture santé gratuite aux immigrants clandestins pendant que leur population de sans-abri grandit. La Californie maintient un régime de protection sociale généreux et son climat tempéré et généralement agréable en font un refuge naturel pour les sans-abri.

    Mais la meilleure façon pour l’Etat d’aider le peuple est de faire la seule chose que l’Etat ne fera pas: se mettre en colère.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-19/californias-homeless-crisis-has-reached-epic-proportions

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  32. France- Destruction des libertés publiques: un projet politique déterminé

    Me Régis de Castelnau
    Vu du Droit
    lun., 01 juil. 2019 00:27 UTC


    Emmanuel Macron est porteur d'un projet politique : destruction de l'État providence comme base matérielle de l'organisation de la société, abandon de l'intervention publique comme mode de régulation sociale, fin de la démocratie représentative comme dialectique de la société civile et de l'État. Ce projet était au cœur du choix de cet inconnu par l'alliance de l'oligarchie et de la haute fonction publique d'État. Et il constitue sa feuille de route une fois installé au pouvoir.

    En 2011, Catherine Colliot-Thélène, avait publié un ouvrage qui ne fut pas suffisamment remarqué. Intitulé « La Démocratie sans « Demos » ». Elle posait les principes théoriques des nouvelles formes de « démocratie » sans le peuple nécessitées par la contradiction qui travaillait les corps sociaux. Contradiction née de l'incompatibilité entre l'aspiration des peuples et des nations à la souveraineté et les formes prises par la mondialisation néolibérale. On conseillera également la lecture du livre de Grégoire Chamayou « La société ingouvernable, Une généalogie du libéralisme autoritaire » qui dévoile les origines et la nature de ce projet politique.

    Tout le monde en convient, l'Union Européenne, par sa construction est une institution qui a sanctuarisé dans des traités à valeur constitutionnelle irréformables ce qui relevait auparavant de la délibération souveraine des peuples. Mais ce constat a masqué l'autre risque, celui de la mise en cause des libertés publiques fondamentales. Celles justement dont les opposants frustrés par le refus de prise en compte de leurs aspirations veulent se servir. Et de ce point de vue, la présidence d'Emmanuel Macron commence à ressembler à un véritable laboratoire.

    Voilà un pouvoir mis en place par surprise en 2017 après une opération politico-judiciaro-médiatique qui a pris de grandes libertés avec les règles qui gouvernent une élection régulière. Sans que les organes de contrôle qui doivent normalement veiller à cette régularité y trouve à redire. Et c'est d'ailleurs cette complaisance qui est la marque du système autoritaire que construit jour après jour Emmanuel Macron.

    Ce qui s'apparentait initialement à un coup d'État n'est pas apparu comme tel, mais c'est ensuite par la mise en place de petites touches successives que le pouvoir Macronien a sérieusement mis en cause les libertés publiques et emmène la France vers quelque chose qui commence à ressembler à un État policier. Par la volonté de ce pouvoir de passer en force, mais grâce aussi à la défaillance ou au ralliement des institutions chargées du maintien de l'équilibre des pouvoirs et de la protection des libertés. La connivence de ces organes avec l'exécutif trouve son origine dans des convergences idéologiques, sociologiques et politiques qu'ils entretiennent avec cette France d'en haut à laquelle ils appartiennent.

    Pour illustrer cette dérive, on prendra trois exemples particulièrement caractéristiques. Tout d'abord le travail législatif et méthodique destiné à détruire la liberté d'expression. Ensuite, toujours à l'aide d'une assemblée de godillots comme on en a rarement connu, la suppression de la liberté de manifestation. Et enfin l'instrumentalisation de la justice pour tenter de briser violemment un mouvement social.

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  33. Faire taire et intimider les opposants

    Tout d'abord donc la mise en cause de la liberté d'expression. Par l'adoption de textes répressifs et manifestement inconstitutionnels par un Parlement dont la majorité est complètement caporalisée. Il y a eu la loi fake news dont la simple lecture montre bien qu'elle est destinée à faire taire les réseaux dès lors qu'ils émettent ou relaient des informations qui déplaisent au pouvoir. Ce texte philosophiquement absurde qui fait du juge des référés (!) le dépositaire de la vérité objective, ne vise en fait qu'à imposer une vérité d'État. On a bien vu le rôle des réseaux lorsqu'ils ont fait triompher la réalité contre la parole officielle de l'État exprimée par son ministre de l'intérieur, à propos de « l'attaque de l'hôpital de la Pitié ».

    Le juge constitutionnel dont la jurisprudence protégeait jusqu'alors la liberté d'expression, n'a vu aucun inconvénient à la promulgation de ce texte, à la stupéfaction des juristes. En attendant bientôt la « loi contre la haine » prévoyant un parquet du même nom dont est saisi le Parlement et que les sages valideront aimablement. Dans ce domaine de la liberté d'expression, la crise des gilets jaunes a vu la répression judiciaire se déchaîner, n'hésitant pas condamner à de la prison ferme pour de simples partages de pages Facebook, ou pour des slogans lancés dans des manifestations ! Ahurissantes premières que ces sanctions uniquement destinées à intimider et à faire peur à ceux qui utilisent leur droit constitutionnel de s'opposer au pouvoir en place.

    Volonté d'intimidation que l'on va retrouver avec les convocations par la police de journalistes qui ont eu l'outrecuidance d'enquêter et de s'exprimer sur des scandales qui touchent le président de la république et son entourage. On imagine les hurlements si Nicolas Sarkozy se l'était permis, mais nous n'avons eu cette fois que la porte-parole du gouvernement oubliant la protection du secret des sources et nous disant contre la réalité juridique, que les journalistes étaient des « justiciables comme les autres ». Tout ceci est plus qu'inquiétant.

    « Le temps n'est plus aux manifestations »

    Il y a eu ensuite la « loi anticasseurs » qui en pleine crise des gilets jaunes a suscité une certaine émotion, chacun se rappelant la diatribe émue du député Charles de Courson. Rappelons que ce texte donne aux préfets des pouvoirs d'interdire individuellement à des citoyens de circuler librement et d'user de leur droit de manifestation.

    La privation de l'exercice d'un tel droit fondamental ne peut être évidemment prononcée que par un juge. Nous avons assisté à une jolie petite opération de communication pour amener le Conseil constitutionnel à valider cette hérésie. D'abord Emmanuel Macron pour faire joli, a utilisé pour la première fois dans l'histoire de la Ve République la faculté du président à déférer un texte au Conseil. On a ensuite annoncé à grand son de trompe et comme une victoire de la liberté l'annulation de la mesure donnant les pouvoirs aux préfets. Sauf que la Cour suprême a validé le principe liberticide de l'interdiction préalable. Le considérant 24 de la décision se conclut par la phrase : « Dès lors, les dispositions contestées laissent à l'autorité administrative une latitude excessive dans l'appréciation des motifs susceptibles de justifier l'interdiction. ».

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  34. L'entourloupe est bien là, car on peut lire : si le texte avait été un peu plus rigoureux et avait laissé au préfet une latitude qui ne soit pas « excessive » pour porter atteinte à une liberté fondamentale, eh bien cela aurait pu coller. Le principe de l'interdiction individuelle préalable par le préfet, c'est-à-dire l'exécutif, est donc validé. Et naturellement le texte a été utilisé dans toutes ses autres dispositions. À plusieurs reprises des attroupements de trois personnes dans la rue ont été considérés comme autant de manifestations non déclarées, entraînant gardes à vue, déferrement au parquet, comparutions immédiates, et lourdes condamnations par une justice complaisante.

    « On peut cogner chef ? »

    Et enfin il y a le scandale absolu des formes prises par la répression policière et judiciaire du mouvement social commencé au mois de novembre dernier. Emmanuel Macron ayant décidé clairement de refuser toute solution politique à cette crise, s'en est remis à la répression violente. Et il a bénéficié pour cela de l'appui inconditionnel des forces de l'ordre et de la complaisance assez sidérante de l'appareil judiciaire.

    Les stratégies utilisées pour réprimer les manifestations fussent-elles pacifiques ont été suffisamment dénoncées pour qu'il soit inutile d'y revenir. Mais simplement souligner à quel point est choquante la vision de ces centaines de vidéos où l'on voit des policiers se comporter comme des nervis, user de brutalité et de violences illégales en affichant des comportements indignes. La presse étrangère a fait à plusieurs reprises part de sa stupéfaction, sans compter les institutions internationales et les O.N.G. qui s'en sont émues. La justice quant à elle a d'abord vu la politisation inquiétante des parquets et notamment celui de Paris qui ont mis en œuvre des directives explicites données par Édouard Philippe et Nicole Belloubet, qui ont pu ensuite venir à l'Assemblée nationale, annoncer triomphalement des bilans de répression dignes d'une guerre civile.

    Gardes à vue illégales comme autant de séquestrations arbitraires, comparutions immédiates systématiques et souvent irrégulières, réquisitions délirantes ont émaillé cette période déshonorante. Malgré quelques résistances, les juges du siège ont accepté de prendre en charge par la brutalité de leurs décisions un travail de maintien de l'ordre oubliant que leur mission est de rendre la justice. Mais, docilité et acceptation de l'instrumentalisation ont également été complétées par un refus systématique de mettre en œuvre les procédures de répression des illégalités policières pourtant avérées et documentées. Sans compter bien sûr la mansuétude judiciaire grossière dont bénéficie un entourage d'Emmanuel Macron pourtant bien vulnérable sur ce point. L'ahurissante mise hors de cause des trois collaborateurs de l'Élysée pourtant signalés pour faux témoignage par un rapport du Sénat difficilement réfutable, apporte la démonstration que l'absence totale de vergogne est devenue habituelle.

    Emmanuel Macron et ses soutiens passent leur temps à mettre en avant l'opposition binaire qui existerait entre le progressisme qu'ils incarnent et la barbarie qu'ils imputent à leurs opposants souverainistes. Ce sont pourtant eux qui malmènent la République et travaillent à détruire ses précieuses libertés.

    Ces gens-là sont dangereux.

    https://fr.sott.net/article/34158-France-Destruction-des-libertes-publiques-un-projet-politique-determine

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  35. Qui sont précisément «les vulnérables»?

    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    20 juillet 2019


    Certains lecteurs, hommes et femmes, se sont demandé pourquoi je suis venu défendre la féministe Laura Tanner. Pourquoi pas, m'a-t-on demandé, laissez une fille de deux ans faire l'expérience du nom et du stress que les féministes distribuent aux hommes et aux «apologistes pour femmes»?

    La justice fait partie de la réponse. Une autre partie de la réponse est que la «civilisation occidentale» crée de nouveaux groupes de victimes si rapidement que les groupes de victimes plus âgés deviennent les victimes du nouveau. L’affaire Tanner est une affaire dans laquelle une «victime» féministe de la misogynie masculine n’a pas l’influence d’un défenseur des droits des transgenres. Il n’est pas clair si le persécuteur de Tanner, Kremina Youssef, est un transgenre ou juste un défenseur des «victimes» transgenres.

    Quoi qu'il en soit, c'est Laura dont la carrière est sur le point d'exprimer une opinion, et non celle de Kremina.

    Les termes plus anciens «minorité privilégiée» cède la place à «minorité vulnérable». Les termes plus anciens avaient une honnêteté alors que la désignation «vulnérable» résidait dans un mensonge.

    Ceux qui sont dits «vulnérables» ont en réalité tout le pouvoir. Tanner, qui a exprimé son opinion en dehors de l'université selon laquelle il est impossible de naître dans un corps erroné et, par conséquent, une personne dans un corps masculin est un homme, a découvert que ses droits à la liberté d'expression sont nuls et non avenus parce que Youssef est en détresse. C'est Tanner, pas Youssef, qui est vulnérable.

    Youssef a le pouvoir de détruire la carrière de Laura, bien que celle-ci soit protégée par la Constitution des États-Unis et par la loi sur les droits civils. La création d'un «discours de haine» a dépassé le premier amendement.

    Toute personne qui remplit les conditions de victime et se sent «affligée» par l'opinion de quelqu'un d'autre peut intenter une action pour violation des droits civils en vertu du Titre IX contre la personne qui a causé «la détresse» en exprimant son opinion. En d’autres termes, dans le mode de fonctionnement actuel de l’Amérique, si vous pouvez vous qualifier de victime, vous pouvez enfermer toute personne aux paroles de laquelle vous vous opposez.

    Quand les «vulnérables» ont ce genre de pouvoir, à quel point est-il Orwellien de les appeler «vulnérables»?

    Les sionistes ont créé l'astuce ou la tromperie consistant à s'élever au-dessus de la critique en accusant les critiques d'être des «antisémites» ayant l'intention de nuire aux Juifs. Le succès de cette stratégie a attiré l'attention des «groupes de victimes» désignés. Par conséquent, le Premier amendement ne protège que les «groupes de victimes».

    Le transgenre institutionnalise les mensonges. En Angleterre, un médecin a été licencié pour avoir refusé d'appeler un «homme à la barbe de six pieds» prétendant être une femme. Supposons que certaines personnes soient convaincues d'être nées dans le mauvais corps. Comment peut-on distinguer ces personnes de quelqu'un qui voit un avantage à prétendre être d'un genre différent ? Prenons un homme qui rêve de victoires sportives mais ne peut pas rivaliser avec d’autres hommes. Comment savons-nous qu’il pense réellement être une femme quand il s’affirme lui-même et domine les compétitions sportives féminines ?

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  36. Si un homme peut se déclarer femme et une femme peut se déclarer homme, pourquoi une personne de race blanche ne pourrait-elle pas se déclarer noire ? En effet, il y a plusieurs décennies, deux frères blancs frustrés par des quotas raciaux qui les empêchaient d'être embauchés alors que les pompiers de Boston se déclaraient noirs. Comme c'était avant l'autodéclaration, ils ont prétendu que leur grand-mère était noire. Ils ont réussi à être embauchés, mais, si ma mémoire est bonne, ont été renvoyés plus tard. Aujourd'hui, les frères pourraient être le premier cas de transrace. Ils pourraient prétendre, à en juger par le succès des revendications transgenres, être nés dans la mauvaise race.

    Où cela finit-il ? Quand les demandeurs d'espèces transsexuelles se présenteront-ils ? Supposons qu'une personne est fanatique de bête et préfère les rapports sexuels avec des animaux aux rapports sexuels avec des êtres humains, mais qu'elle est frustrée par les lois interdisant cette pratique. Qu'est-ce qui empêche la personne de prétendre être née dans la mauvaise espèce ?

    Si une personne peut naître avec le mauvais sexe, une personne peut naître mal de toute autre manière.

    Au cours de la longue campagne de normalisation de l'homosexualité, qui a duré plus de trois décennies, les opposants ont compris qu'une fois que les normes sociales et religieuses contre la déviance sexuelle seraient violées, d'autres formes de déviance sexuelle seraient également normalisées. Nous assistons aujourd’hui à la normalisation de la pédophilie sur des bases identiques à celles de l’homosexualité. Par exemple, une jeune femme, Mirjam Heine, a récemment expliqué à un auditoire TEDx d'une université allemande que la pédophilie est simplement une autre orientation sexuelle et que, par conséquent, notre perception de la pédophilie doit changer. Elle a déclaré: «Selon la recherche actuelle, la pédophilie est une orientation sexuelle immuable, tout comme l’hétérosexualité, par exemple. Personne ne choisit d'être pédophile, personne ne peut cesser de l'être. »Les psychologues cliniciens affirment, tout comme ils l'ont allégué au sujet de l'homosexualité, que la pédophilie est une prédisposition dès la naissance profondément ancrée et immuable.

    La pédophilie est en train d'être retirée de la catégorie des troubles sexuels, au même titre que l'homosexualité. Une fois cet objectif atteint, la bestialité sera ensuite normalisée. Comme le savaient jadis les juristes, le droit s’épanouit dans les limites de sa logique.

    La normalisation de la pédophilie sera facilitée par le fait que la pédophilie est une construction légale. La loi détermine l'âge du consentement sexuel. Aux États-Unis en 1880, l'âge du consentement variait entre 10 et 12 ans dans la plupart des États. Au fil du temps, l'âge du consentement a été relevé et se situe aujourd'hui entre 16 et 18 ans. Dans l'État de Géorgie, par exemple, l'âge de consentement dans les années 1950 était de 14 ans. Aujourd'hui, la pédophilie n'est pas pédophile au milieu du XXe siècle, ni à la fin du XIXe siècle. De toute évidence, on peut affirmer que la pédophilie est une construction sociale et juridique et, par conséquent, arbitraire.

    Les punitions sévères infligées aux pédophiles contribueront également à sa normalisation. Brittany Zamora, une enseignante très séduisante âgée de 28 ans, a récemment été condamnée à 20 ans d'emprisonnement pour avoir eu des relations sexuelles avec un garçon de 13 ans. Il est hautement douteux que la fillette de 13 ans se soit considérée comme victime de violence de la part de Brittany ou de quelque chose d'autre que bénie par son attention sexuelle. Pourtant, ce qui était légal en 1880 et presque légal au milieu du 20e siècle est une sanction dévastatrice aujourd’hui.

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  37. La normalisation sera également facilitée par des questions telles que: Dans quel sens peut-on affirmer que le jeune homme de 13 ans a été blessé par son expérience avec la Bretagne ? Les envahisseurs migrants de 13 ans en Europe sont-ils blessés lorsqu'ils violent une fille européenne de 10 ans ? Aujourd'hui, les relations sexuelles entre jeunes de 13 ans ne sont pas rares et, contrairement aux relations sexuelles avec une femme d'âge mûr, elles comportent un risque élevé de grossesse. Si le jeune garçon de 13 ans est blessé par son expérience avec la Bretagne, ce sera probablement à cause de la réaction de ses parents indignés. Le tapage qu'ils font peut causer des dommages psychologiques au garçon sexuellement.

    Les gens oublient que les actes homosexuels étaient autrefois considérés comme des crimes graves au même titre que la pédophilie. Lorsque les États-Unis ont été créés à la suite de la Révolution américaine, la sodomie était considérée comme un crime tellement grave qu’elle était une infraction capitale. Même le travestissement (travesti) était un crime punissable d’emprisonnement ou de châtiment corporel. Jusqu'au second semestre de 2003, les relations homosexuelles étaient toujours illégales dans 12 États américains, à Porto Rico et dans l'armée américaine. Le mariage homosexuel n'est légal que depuis quatre ans (Cour suprême, Obergefell v. Hodges, 26 juin 2015).

    Dans tout le monde occidental, ce qui s’est passé est que les normes sociales sont tombées dans la normalisation de la déviance sexuelle. Il est irréaliste de penser que la normalisation de la déviance a cessé avec l'homosexualité.

    La civilisation occidentale est en train de s'effondrer. Il est inutile de rationaliser notre effondrement en tant que progrès vers une société plus tolérante et progressiste, ou de le voir, comme le perçoit le terroriste universitaire Kremina Youssef, comme une lutte contre «le colonialisme, le racisme et la domination sexuée» et la libération de «personnes rendues invisibles». marginalisé par le binaire de genre. "

    https://www.lewrockwell.com/2019/07/paul-craig-roberts/who-precisely-are-the-vulnerable/

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    1. Ce sont là des thèmes fabriqués par les psychopathes au pouvoir qui fréquentes les bordels peuplés d'animaux où ils vont se faire chevaucher. Ils cherchent à créer la débauche au sein du Peuple et parlent même de 'doute' !! comme pour les faux 'sceptiques' du climat qui savent très bien s'il fait chaud ou froid mais sont appelés 'sceptiques' par la dictature ! Ils imaginent que le Peuple est assez con pour qu'il soit confus !! et que chaque être humain se demandera demain s'il est homme ou femme ! chien ou chat, noir ou blanc !

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  38. Véhicules diesel : l’État persiste dans l’obsolescence programmée

    Des millions de véhicules diesel encore en état de marche, dont une partie est bien moins polluante que la moyenne du parc, sont destinés à une casse prématurée.


    Par Michel Negynas.
    20 JUILLET 2019


    Dans un précédent billet, j’avais montré que l’annonce de l’interdiction du diesel entraînait une perte virtuelle instantanée de 130 milliards, qui se traduirait, au fil du temps, et si les interdictions deviennent effectives, par une perte réelle. Or la prime à la conversion, décidée en catastrophe lors de la crise des Gilets jaunes, pouvait s‘appliquer sous certaines conditions à des véhicules diesel récents. Elle transférait des ménages vers les contribuables (ou vers la dette de l’État) une partie de cette perte : il y a, en effet, toujours quelqu’un qui paye quelque part, même quand c’est cadeau.

    Le problème c’est que le dispositif à très bien fonctionné. Il a déjà coûté 500 millions, et, dans les conditions initiales, l’État a calculé qu’il lui coûterait 900 millions en année pleine.

    RENDRE LE DISPOSITIF MOINS ATTRACTIF

    Donc l’État va « l’améliorer » : comprenez, le trafiquer non pas pour qu’il soit plus juste et plus efficace, mais pour qu’il soit moins attractif et moins coûteux pour lui.

    Le dispositif initial était bien pensé, dans la mesure où il n’excluait pas une conversion d’un véhicule très polluant vers un véhicule d’occasion peu polluant, la limite étant 122g/km en gaz carbonique. Il ciblait surtout le « changement climatique ». Il atténuait en fait l’effet « perte de valeur » évoqué plus haut, en incluant les voitures diesel très récentes.

    Quelles sont les nouvelles dispositions ?

    les plafonds de ressource sont révisés ;
    les véhicules de plus de 60 000 euros seront désormais exclus du dispositif.
    révision à la baisse du plafond d’émission de gaz carbonique: les voitures devront afficher au maximum 117 grammes de gaz carbonique par kilomètre, contre 122 grammes jusqu’à présent. Certaines voitures des classes populaires sont désormais exclues.-
    les véhicules classés en vignette Crit’air 2 et immatriculés avant le 1er septembre 2019 ne seront plus du tout éligibles à la prime à la conversion, excluant donc du dispositif tous les diesel immatriculés avant cette date. En plus du critère gaz carbonique qui était le motif initial censé atténuer la contribution carbone, le paramètre Crit air introduit un critère « particule ».

    Le problème est que le classement en Crit’air 2 des véhicules diesel récents est complètement injustifié car ils sont beaucoup plus propres que la majorité des véhicules en circulation.

    Le risque d’acheter un véhicule diesel d’occasion, qui est à terme de se voir refuser l’accès en ville, était un peu compensé par la prime pour les véhicules récents. Mais c’était effectivement incohérent, dans l’esprit de la croisade contre le diesel.

    Maintenant c’est clair. Des millions de véhicules diesel encore en état de marche, dont une partie est bien moins polluante que la moyenne du parc, sont destinés à une casse prématurée. Le programme d’obsolescence est bien bouclé.

    https://www.contrepoints.org/2019/07/20/349452-vehicules-diesel-letat-persiste-dans-lobsolescence-programmee

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    1. Le diesel c'est plus de 40 000 morts par an en France ou en Allemagne ou en Angleterre !

      C'est plus de 10 fois plus le nombre de morts sur les routes !

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  39. Réfugiés : intégration ou exploitation ?


    20 Juillet 2019
    par Seppi


    Le samedi 6 juillet 2019, France 2 a consacré son « 13h15 le samedi » à l'intégration de réfugiés sous le titre « Le champ des possibles ».

    Ce 35 minutes est de la belle ouvrage, au ton juste et émouvant, qui présente des réfugiés sous un angle positif.

    FranceTVInfo écrit :

    « [...] Une fois leur statut [de réfugié] obtenu, tout reste à faire pour s’insérer socialement et professionnellement. Et pourquoi pas à la campagne, comme maraîchers ? Ils font ce pari, et le magazine "13h15 le samedi" [...] va découvrir avec eux s’il peut se gagner.

    L’idée est née de la collaboration de deux associations : le Groupe SOS Solidarités, spécialisé dans l’entrepreneuriat social, et le réseau des Fermes d’avenir, qui promeut la transition agro-écologique. Ensemble, elles ont dressé un double constat : d’un côté, la demande de produits bio augmente de 20% chaque année ; de l'autre, l’agriculture industrielle est à bout de souffle alors qu'un nouveau modèle émerge, basé sur l’agro-écologie et la permaculture. Mais la production ne suit pas, avec comme principal obstacle le manque de main-d’œuvre qualifiée. »

    On ne voit pas très bien ce que vient faire le prétendu essoufflement de l'agriculture qualifiée d'« industrielle ». Décidément, on ne sort pas des clichés et de l'agri-bashing bobo-écolo.

    Poursuivons dans l'enfumage :

    « Pour nourrir 33% de la population française (contre 5% aujourd’hui), Fermes d’avenir estime qu’il faudrait 25 000 installations d’exploitations de petite surface en agro-écologie d’ici à 2030. Alors que 50% des agriculteurs prendront leur retraite d’ici là, il faudrait donc recruter quelque 100 000 nouveaux paysans. [...] »

    Il serait étonnant que Fermes d'avenir nourrissent 5 % de la population française aujourd'hui et soit en mesure d'en nourrir 33 % à l'horizon 2030 avec 25.000 exploitations de petite surface. En herbettes et salades peut-être... Quant aux exploitations à reprendre à la suite des départs en retraite, ce n'est pas vraiment dans les cordes de Fermes d'avenir, sauf peut-être pour quelques fermes marginales.

    Mais bon, c'est FranceTVInfo...

    Passons au sujet principal : le Groupe SOS Solidarités et Fermes d'avenir ont lancé un programme de « compagnonnage ».

    Le documentaire nous montre une partie du parcours du Soudanais Abdelrhem, 31 ans, et de l'Erythréen Mogos, 38 ans, dans

    « un programme de compagnonnage pour offrir à des personnes réfugiées une véritable place dans la société, tout en préparant la transition écologique. »

    La bien-pensance applaudit, une larme à l'œil. Nous avons toutefois trouvé un gazouillis un peu excessif, mais qui pose la bonne question :
    (Source)

    « Donc les journalistes trouvent ça formidable que des agriculteurs en permaculture exploitent des réfugiés (sont ils seulement payés ?) pour faire tourner une ferme de 2ha, faire des boulots qu'on n'infligerait plus à des animaux etc »

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  40. Quelques clics, et voici, du site de Terres d'avenir, un « Formons les agriculteurs de demain – le programme compagnonnage – 2ème édition – spéciale réfugiés ».

    Et un élément de réponse :

    « La contribution hebdomadaire des compagnons est fixée à 35h/semaine, 5 jours par semaine. Ils sont logés, nourris et blanchis par leurs tuteurs. En échange de cet accueil et de leur implication pédagogique, les fermes formatrices sont défrayées. Les déplacements des compagnons sont également pris en charge par le programme. »

    Dont acte.

    D'ailleurs, les séjours sont de deux mois, de sorte que l'on échappe à l'obligation de verser une rémunération.

    Mais qu'en est-il de l'avenir ?

    FranceTVInfo a publié un deuxième article, « VIDEO. L'intégration de réfugiés en France avec les fermes agro-écologiques grosses demandeuses de main-d'œuvre ». Et là on cite un « tuteur » :

    « Ce sont des métiers quand même durs et assez peu rémunérateurs qui n’attirent pas la population française classique, précise l'agriculteur. En plus, c’est une manière de gérer les flux migratoires à venir. C’est une manière d’intégrer des gens qui ne peuvent plus vivre chez eux. Et nous, on a besoin d’eux, donc, tout va bien. »

    Tout va bien...

    Nous supposons qu'il entre de l'argent public dans ce programme, ne serait-ce que par les allocations qui sont versées aux réfugiés. Serait-ce trop demander à ceux qui détiennent les cordons des bourses et exercent une surveillance sur le devenir des réfugiés de veiller au bon emploi des fonds et à la bonne orientation des réfugiés ?

    Selon les chiffres même de l'emblématique ferme de la Bourdaisière, on peut affirmer que le modèle porté par cette ferme n'est pas viable économiquement. Les réfugiés acquièrent certes des éléments de formation, mais il serait regrettable qu'ils se lancent dans des activités et « des métiers quand même durs et assez peu rémunérateurs ».

    On peut aussi prendre le problème par un autre bout : les organisations professionnelles agricoles ne pourrait-elles pas monter des programmes similaires, mais d'un niveau plus relevé ?

    http://seppi.over-blog.com/2019/07/refugies-integration-ou-exploitation.html

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    1. Copié-collé de ces 'pépinières' où sont employés des... handicapés mentaux ! Des milliers de plantes non-soignées, rachitiques, pas arrosées, tiges cassées et, ils attendent les clients ! HAHAHAHAHA !

      Quand on pense que leurs tuteurs ne sont même pas paysans... HAHAHAHAHA !

      A savoir en premier que le métier de paysans est le plus complexe qui soit et qu'il est nécessaire d'avoir 3 générations de paysans pour y parvenir !

      Le savoir paysan, çà c'est de la culture ! C'est pas de la merde de musées, de télés, de radios ou pq aux couvertures glacées ! Chaque plante a sa propre nourriture, chaque plante a ses propres maladies et insectes ravageurs. Chaque plante a sa saison de semence, de récolte et ses obligations d'arrosage et d'ensoleillement.

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  41. Mise à jour de Peter Ridd: L'Université James Cook a perdu 630 000 USD en défendant les souverains des bureaucrates et envisage de faire appel


    July 20th, 2019


    La bataille continue pour Peter Ridd.
    James Cook Uni a perdu chaque point contre Peter Ridd. Aujourd'hui, lors de l'audience de sanction, nous découvrons qu'ils ont l'intention de faire appel.

    Le faux poisson uni n'a rien appris:
    Charlie Peel, l'Australien

    La James Cook University risque le mépris du rap pour avoir réagi au verdict

    L'université James Cook est sur le point d'interjeter appel de la Cour fédérale, qui a déclaré illégale le limogeage de son professeur de physique Peter Ridd.

    La réponse de JCU était si éloignée de la cible, apparemment le juge Vasta envisage de le renvoyer au juge de la Cour fédérale. Vasta a déclaré que la déclaration attribuée à Chris Cocklin de JCU était "presque méprisante".

    Les bénédictions, les a bénis, a déposé une demande d’accès pour savoir combien d’argent avait été brûlé au cours de la quête et a déclaré qu’il était grand temps que JCU s’arrête:

    Gideon Rozner: Les détails d'une demande d'accès à l'information déposée par l'Institute of Public Affairs à la James Cook University et publiée aujourd'hui révèlent que celle-ci a déjà dépensé au moins 630 000 $ en frais de justice dans l'affaire du Dr Peter Ridd.

    «Le simple fait qu'une université australienne veuille imposer le poids de toute une administration appuyée par des fonds de contribuables pour étouffer la liberté d'expression d'un universitaire a un effet dissuasif sur tout universitaire qui participe au débat public en Australie», a déclaré le directeur de la politique de l'IPA en Australie. Gideon Rozner.

    «Les actions honteuses de la James Cook University prouvent sans aucun doute la crise de la liberté d’expression dans les universités australiennes.

    «Il est renversant de penser qu'après que la Cour fédérale ait statué sur tous les points en faveur du Dr Ridd, JCU envisage de faire appel.

    «Les universités australiennes reçoivent des milliards de dollars de financement des contribuables aux fins d'une enquête intellectuelle gratuite. Maintenant, JCU veut s'adresser à un tribunal supérieur pour prouver qu'il peut empêcher la liberté de parole académique d'un de ses professeurs. C'est scandaleux. Les contribuables financent JCU pour mener des activités d’éducation et de recherche, et non pour engager des poursuites vexatoires contre son propre personnel.

    Le communiqué de presse de l'IPA.

    Il est facile d’empêcher JCU de se comporter de la sorte.
    Le ministre de l'Éducation, Dan Tehan, ou le premier ministre, Scott Morrison, pourraient régler le problème en cinq minutes. Tout ce qu’ils ont à faire, c’est d’annoncer à JCU qu’ils n’obtiendront plus d’argent d’aide tant que l’institut ne garantit pas la liberté d’expression et ne rend pas justice aux personnes qui ont gaspillé plus d’un demi-million de dollars.

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  42. L'argent de subvention JCU est mieux dépensé ailleurs. Toutes les recherches qu’ils produisent sont maintenant ternies et ne valent plus rien - peu importe ce que dit un professeur, tout le monde sait qu’ils ne sont pas libres de critiquer le personnel, les procédures ou de signaler les défauts. Ils ont peur d’utiliser leurs adresses électroniques. Nous ne saurons jamais ce qu’un chercheur de JCU retient.

    JCU est l'exemple type de ce qui se passe lorsque le financement du gouvernement étouffe la science. Les responsables du département «science» de JCU - qui décident de ce que sera le «consensus» seront les administrateurs, pas les universitaires.

    Ce n'est pas un one off. JCU a l'habitude d'expulser, de bannir et de chasser des gens qui ne sont pas d'accord avec les modes des bureaucrates (vale, Bob Carter!). Dans cette culture, plus de financement signifie plus d'étranglement. Alors arrête juste.

    Jennifer Marohasy.

    L'histoire de Peter Ridd:
    Selon le professeur Peter Ridd, la grande barrière de corail se rétablit et nos institutions scientifiques nous font défaut.
    Le professeur Peter Ridd fait face à des accusations d'inconduite pour ne pas avoir vanté sacrée l'évaluation par les pairs?
    JCU interdit au professeur Peter Ridd de critiquer les institutions scientifiques. Défiant, il refuse, se bat!
    Le professeur Peter Ridd limogé: James Cook Uni passe au nucléaire sur la liberté d'expression
    Don Aitken raconte: Peter Ridd a été limogé parce qu'il menaçait le moteur de fabrication de l'argent à l'université
    Le personnel de JCU est trop effrayé pour utiliser sa messagerie uni. C’est à quoi ressemble la «liberté académique» ?
    Fausse science sur les faux poissons de James Cook Uni?
    Affaire Peter Ridd’s Court - Liberté de parole contre James Cook Uni.
    Peter Ridd: La grande barrière de corail contient à peu près la même quantité de corail qu'en 1985

    http://joannenova.com.au/2019/07/peter-ridd-update-james-cook-university-wasted-630000-defending-bureaucrat-rulers-of-science-lost-plans-to-appeal/

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