- ENTREE de SECOURS -



samedi 6 juillet 2019

Comment la robotique avancée affectera les marchés du travail

par Tyler Durden
Vendredi, 07/05/2019 - 23:25


Les robots vont avoir un impact majeur sur les effectifs dans le monde entier au cours des prochaines années, les travaux impliquant une activité manuelle de routine étant les plus menacés par l'automatisation.

Comme le note Niall McCarthy de Statista, afin de déterminer l'incidence de l'adoption de la robotique avancée sur le marché du travail, le Boston Consulting Group a mené une enquête auprès de cadres et de dirigeants de 1 314 entreprises mondiales au début de 2019.

Infographic: How Advanced Robotics Will Impact Job Markets | Statista
Infographic: Comment la robotique avancée affectera les marchés du travail | Statista

Le rapport sur l'emploi de juin déclenchera-t-il une réduction de la Fed en juillet ?

L'étude a révélé que 67 % des entreprises chinoises s'attendent à une réduction du nombre d'employés en raison de l'automatisation, ainsi que 60 % en Pologne et 57% au Japon. Certaines entreprises sont plus exposées que d’autres, avec seulement 34 % des entreprises italiennes s’attendant à des réductions par comparaison.

62 commentaires:

  1. Très important à savoir: Un robot travaille AU MÊME PRIX en Chine qu'aux USA ou en Europe.

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    1. Non il ne faut pas s'attendre à ce qu'un robot pense, innove pour vous ! car le cerveau est à ce point non-copiable que l'attitude à adopter face à un problème est résolue par l'intelligence de l'individu et non par le mécanisme ! Car, c'est UNIQUEMENT le mécanisme qui anime les robots et autres calculettes de poche et non l'intelligence !

      L'humain a des souvenirs, des choses qui mettent parfois des heures ou des jours à ressortir de la mémoire. Un savoir qui date de sa jeunesse, de ses rencontres et découvertes, de ses amours et qui ne sont et ne seront probablement jamais assimilables par les robots.

      Alors, oubliez l'I.A. qui n'est qu'un lobbying de plus, car c'est le mécanisme, les relais, les contacts qui font que la lumière s'éclaire à l'ampoule en manœuvrant le bouton de l'interrupteur, pas son 'intelligence' ! Les robots sont programmés pour exécuter des tâches inscrites dans leurs mémoires, pour travailler plus vite que quiconque, sans parler, sans s'arrêter, sans être payés. Juste que de temps à autre il faut mettre un peu d'essence dans la voiture, faire des révisions, entretenir ce fruit du progrès qui nous fait le café, qui lave notre linge ou qui calcule des millions de fois plus vite et sans erreurs.

      Ils pensent qu'en additionnant le savoir de plusieurs ils auront trouvé le phénomène multi-service ! Mais ce n'est pas comme çà que les choses se font ! Les gens se réunissent, ils parlent, ils critiquent, ils inventent; c'est pourquoi en Chine (1 milliard 400 millions d'habitants) il y a plus de chance de trouver des idées nouvelles que dans un pays cent fois ou mille fois moins peuplé !
      Toutes les améliorations de l'ordinateur sont venues de l'humain, pas du robot.

      C'est pourquoi les dictatures dans le monde se durcissent toutes tous les jours. En France les forces de l'ordre tuent ! Elles blessent, elles handicapent à vie des centaines de personnes qui osent défiler pacifiquement les samedis.

      Ils ont taxé les lieux de rencontres (cafés, restaurants, etc) afin que chacun reste chez soi et ne 'converse' qu'avec Internet qui est surveillé 24/24 et enregistré.
      Seule la Démocratie peut tenir compte de l'avis des gens, c'est pourquoi:

      (...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)

      https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html

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  2. Dépendance technologique et fin de la liberté


    par Tyler Durden
    Vendredi, 07/05/2019 - 21:05
    Écrit par Brandon Smith via Alt-Market.com,


    La technologie peut être éblouissante, mais aussi débilitante pour un progrès humain réel, et quand je dis «progrès», je ne parle pas de progrès dans le monde des machines, mais de progrès dans le monde des personnes et l’un ne mène pas nécessairement à l’autre.

    Premièrement, je reconnais tout à fait que chaque fois que quelqu'un tente de critiquer une innovation technologique, il prend le risque d'être qualifié de «crackpot» ou de «fossile périmé», vestige barbare d'une époque révolue. Cependant, cette attitude est ignorante. Cela suppose que le chemin sur lequel nous évoluons est celui d’une amélioration constante, tant que nous continuons à suivre le grand dieu de la technologie; mais que se passe-t-il si cette hypothèse est complètement fausse ? Que se passe-t-il si nous sommes en train de décentraliser plutôt que d’évoluer ?

    Je ne suis pas ici pour grogner et secouer ma lance au volant, au moteur à combustion et à l'ordinateur programmable - j'aime toutes ces choses. Mais ce que je n’aime pas, c’est l’avenir sombre que je vois lorsque l’humanité transforme les machines en une grande «infirmière» en métal, en polymère et en numérique et que nous perdons notre capacité de prendre soin de nous-mêmes. La dépendance est la pierre angulaire de l'esclavage et notre civilisation devient de plus en plus dépendante.

    Depuis que je suis sur cette terre, j'ai eu le privilège et la douleur de regarder l'ère numérique se concrétiser. J'ai assisté à la création de l'ordinateur à la maison, à la naissance d'Internet, à la prolifération de la technologie cellulaire et maintenant à la propagation de «l'intelligence artificielle» et de la 5G. J'ai également assisté à la décomposition de toute une génération de la génération Y vers l'inutilité et le découragement, manquant de compétences pratiques de production ou de survie et reposant entièrement sur la technologie numérique pour tout, y compris pour créer des illusions d'amitié et d'intimité. J'ai été témoin de la pussification de l'Amérique.

    Les contre-arguments contre cela varieront. Certains diront que notre société est tout simplement devenue plus pratique et plus confortable, et c'est une bonne chose. D'autres diront que les sceptiques comme moi craignent les changements sociaux liés à la mondialisation induite par l'ère numérique. D'autres encore soutiendront que la centralisation et la dépendance sont des extensions «naturelles» de l'évolution de l'homme; que c'est inévitable et que nous devrions donc l'accepter.

    Ce sont aussi les arguments classiques des futuristes, une sous-culture de fanatiques idéologiques qui croient que toutes les idées et modes de vie anciens doivent être traités comme obsolètes et rejetés pour laisser la place à toutes les idées et modes de vie nouveaux. L'idée est que toutes les nouvelles idées constituent une amélioration automatique. que chaque nouvelle génération est supérieure à la précédente car elle est supposée avoir accès à davantage de connaissances et est donc plus sage. Mais la connaissance n'est pas la même chose que la sagesse et elle est souvent mal utilisée pour atteindre des objectifs plutôt brutaux et vulgaires.

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  3. Ce que les futurologues n'admettront jamais, c'est qu'il y a très peu d'idées nouvelles dans le monde. Seules les idées anciennes ont été reprises, recyclées et repeintes pour avoir un aspect différent. Dans le grand schéma de l'histoire, la liberté en tant qu'idée est très ancienne, mais son application sociale à grande échelle est une chose entièrement nouvelle. La centralisation, que ce soit par la force, par manipulation ou par piégeage technologique, n’est pas un concept révolutionnaire. C'est la plus ancienne des philosophies.

    La tendance actuelle indique une voie vers une centralisation rapide et, d’après les preuves, il ne s’agit pas d’une progression naturelle mais de la conséquence d’un programme délibéré de groupes élitistes qui souhaitent rester au pouvoir pendant des siècles. L'avènement de nombreuses technologies aujourd'hui n'est pas nécessairement le problème, c'est la façon dont ces technologies sont appliquées dans notre société qui infantilise les masses.

    Discutons quelques exemples spécifiques ...

    Surcharge de communication
    La technologie cellulaire et Internet ont changé le monde. Avec un ordinateur connecté à Internet dans votre poche, vous serez toujours en mesure de communiquer avec les autres, vous vous perdrez rarement et vous pouvez même enregistrer des vidéos de partout où vous allez et de tout ce que vous faites - des souvenirs instantanés. Qui sait combien de temps cette technologie a ajouté à la journée d'une personne ou combien de vies elle a sauvée. Mais considérons le côté le plus sombre ...

    Premièrement, l'attention des pays occidentaux a été réduite à moins de celle du poisson rouge depuis 2002; à peu près au moment où l'utilisation du téléphone portable et d'Internet a commencé à exploser. Selon des études globales, la personne moyenne passe maintenant jusqu'à 4 heures par jour à regarder son téléphone portable et, combinée à l'utilisation quotidienne des médias sociaux à la maison et au travail, je m'attends à ce que ce nombre augmente considérablement. En fait, les adultes américains passent environ 11 heures par jour à interagir avec divers médias. C'est la majeure partie de leur vie éveillée qui est distraite par des minuties.

    Les parties du monde qui ont un accès instantané à cette technologie sont en train d'être zombifiées et ne semblent pas s'en rendre compte. La saturation excessive d'informations et la gratification instantanée déclenchent une réponse de l'ocytocine et de la dopamine dans le cerveau humain semblable à celle que nous obtenons lorsque nous socialisons normalement, mais il existe des preuves suggérant que la force de l'interaction humaine a beaucoup à voir avec le niveau de plaisir que nous recevons grâce à une réponse dopaminergique. Les interactions dans les médias sociaux sont un mauvais proxy pour des relations réelles. Ainsi, les médias sociaux créent un flux de dopamine presque constant, mais aussi plus faible et moins important. Cela a conduit à une nouvelle forme de dépendance, peut-être plus invasive que toute drogue chimique existante.

    L’interaction avec d’autres êtres humains sans médias sociaux ni gratification instantanée est devenue impensable, mais le monde réel ne fonctionne pas selon les caprices de la personne. Les gens ont donc commencé à perdre du temps à travailler loin du Web. ils deviennent grossièrement impatients, comme de jeunes enfants. Lorsqu'ils sont forcés de faire les «tâches de réparation» nécessaires à la survie, ils deviennent frustrés et complaisants. Ils évitent les pauses ou les moments calmes de la vie, refusant de méditer sur leurs expériences et explorant le sens profond des événements sur lesquels ils lisent brièvement chaque jour dans leurs fils d'actualités. Toutes les informations sont à portée de main, mais ils ne savent pas comment les absorber et les appliquer de manière critique.

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  4. Inviter les observateurs dans votre maison

    Les gens font beaucoup de bêtises au nom de la commodité, notamment en ouvrant leur maison à la surveillance et à la tyrannie sous prétexte de facilité de vie. Tandis qu'un téléphone cellulaire est essentiellement un appareil d'écoute, un appareil de surveillance vidéo et un appareil de suivi que vous-même, les gouvernements et les entreprises peuvent exploiter à tout moment, les problèmes ne s'arrêtent pas là. L'avenir de la technologie réside dans des foyers entièrement interconnectés dans lesquels tout est numérique et tout est lié à «l'internet des objets».

    Récemment, nous avons vu certaines de ces controverses susciter des controverses au sujet de la technologie Alexa d'Amazon, qui est essentiellement un appareil d'écoute important et sensible que les utilisateurs paient avec leur propre argent et qu'ils placent volontairement au milieu de leur domicile. Amazon a été surpris à plusieurs reprises en train de collecter de grandes quantités de données à partir de son réseau Alexa, notamment des enregistrements de conversations clients auxquelles les employés et même le gouvernement ont ensuite accès.

    Mais ceci est un exemple moins subtil. Pensez à TOUS vos appareils électroménagers reliés au Web et que cela signifierait-il? Surveillance par le gouvernement de l'utilisation quotidienne d'électricité et des appareils ménagers; ce qui signifie qu'ils sauraient quand vous êtes chez vous et ce que vous faites à tout moment. Cela pourrait ne pas sembler être un gros problème si vous pensez que vous «n'avez rien à cacher», mais dans un monde où les nazis du carbone tentent de dicter chaque aspect de nos vies au sujet de revendications de réchauffement global frauduleuses, votre utilisation de l'électricité peut devenir un problème juridique. journée. Sans parler du fait que si chaque appareil de votre maison est activé par la voix pour plus de commodité, cela signifie que chaque mot privé devient sujet à un examen bureaucratique.

    Allez un peu plus loin et envisagez une société dans laquelle la connexion numérique est nécessaire pour vivre. Les crypto-monnaies et la technologie blockchain jettent les bases d'un système économique sans numéraire dans lequel la vie privée dans le commerce devient un souvenir oublié de longue date. Chaque transaction peut être suivie et surveillée. Et tandis que la crypto est vendue au public sous le nom de "décentralisation", elle est en réalité encore plus centralisée que la monnaie fiduciaire, car tous les échanges doivent transiter par un réseau Internet dominé par les gouvernements et les entreprises et être enregistrés dans la chaîne de blocs pour permettre la crypto-monnaie. proliférer. De plus, de nombreuses innovations en matière de crypto sont réalisées par des personnes étroitement liées aux agences de surveillance gouvernementales telles que la NSA, et l'infrastructure est construite par des sociétés mondialistes telles que JP Morgan et Goldman Sachs.

    La vie privée est le fondement de la liberté. Toute tyrannie repose d'abord sur l'invasion de la vie privée et la suppression d'espaces privés. Le 4ème amendement existe pour une très bonne raison. L'argument selon lequel "si vous n'avez rien à cacher, vous n'avez rien à craindre" est très stupide. Les gouvernements sont généralement composés de personnes faillibles qui sont souvent corrompues ou psychopathes, mais franchement, PERSONNE n’a l’objectivité et la sagesse nécessaires pour superviser les actions et les conversations privées de millions de citoyens et les juger équitablement. Les politiciens et les bureaucrates sont les moins qualifiés et pourtant nous leur donnons le plus de pouvoir pour surveiller nos vies, au nom de la commodité technologique

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  5. Intelligence artificielle et automatisation

    En matière de technologie, la question de la surveillance de masse est le sujet le plus discuté, mais il y a un problème qui me préoccupe encore: l'automatisation. Il existe de nombreuses tâches élémentaires dans le monde qui seraient probablement gérées par l'industrie et par la robotique, mais qui pourraient bien devenir quelque chose de vraiment chaque personne. Par exemple, nous avons vraiment l'automatisation complète de la production alimentaire dans notre société ? Eh bien, c’est l’objectif des entreprises et il se pourrait que nous ayons besoin de l’avenir sous forme de connaissances de notre mémoire sociale.

    La capacité de culture des aliments et des récoltes, ainsi que des collectes de semences pour les récoltes futures, fait partie intégrante de la survie de l'homme. Le concept de chasse et de cueillette est tellement éloigné de la vie quotidienne du citoyen moyen que c'est presque une forme d'art perdu, mais nous n'avons pas encore perdu toutes nos connaissances en matière de production alimentaire. This is see the see this about a dark way of the centralization technologique se poursuit.

    Imaginez un monde dans lequel presque tout le monde est hyperconnecté aux médias, au point de porter leur appareil comme un vêtement à tout moment. Imaginez une société où la personne est tellement enveloppée par ce qu'elle est prête à être capturée par le monde. Imaginez des gens tellement infantilisés par eux-mêmes. Ils ne savent plus comment produire des biens. Ils ne savent pas comment faire quoi. Ils ne savent pas comment faire de la nourriture, trouver de l'eau, et ils ne savent même pas que ça va. Ils sont complètement dépendants de l'automatisation.

    Ils vivent complètement sur la grille - ils sont sur la grille et vous-même, ils se retirent confortablement et vous vous retrouvez au milieu des bois, de la nourriture, de l'eau et d'un éventuel abri, ils mouront bis. Maintenant, réalisez que ceci est fondamentalement la réalité aujourd'hui et que le virus de la dépendance se déploie.

    L’avancement technologique ne sert pas à l’humanité que c’est la béquille ou la cage, à moins de servir l’objet de la liberté et d’être tempéré. Les deux idéologies doivent s'équilibrer. Ceux qui disent le contraire essaient de vous convaincre d'échanger votre liberté contre un fantasme.

    * * *

    Si vous étiez payée par Alt-Market tout en recevant le contenu de la tactique avancée pour l'agenda mondialiste, abonnez-vous à notre lettre d'information exclusive The Wild Bunch Dispatch. En savoir plus à ce sujet ICI.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-05/technological-dependence-and-end-freedom

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    1. Deux choses sont à ne pas confondre:

      Non, l'arrivée des machine-à-laver n'a pas rendu les gens plus cons en supprimant les lavandières de rivières ou de lavoirs. Non, l'arrivée de l'automobile n'a pas rendu les gens plus con en supprimant les cochers, les chevaux, les bicyclettes.

      Oui, l'arrivée de ces nouvelles technologies permettant à l'humain de moins travailler s'est accompagnée de taxes nouvelles et d'impôts afin d'éviter que les travailleurs ne soient riches un jour. Et, quand sont arrivés les voitures électriques qui supprimeraient ces taxes, de nouvelles taxes de remplacement ont vu le jour. La taxe sur... l'air !
      La condamnation des humains qui osent encore respirer aujourd'hui !

      Puis est arrivée la rafle des étrangers obligés d'être transférés en camps de redressement. On devra les appeler 'des réfugiés climatiques' !
      Les autochtones ont du mal à se nourrir ? Nourrissez les étrangers !

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  6. Immigration: quand en avons-nous trop ?


    par Tyler Durden
    Vendredi, 07/05/2019 - 20:25
    Écrit par Kelli Ballard via LibertyNation.com,


    La crise frontalière continue d'être un problème croissant avec pratiquement aucune solution en vue. Les deux côtés de l'allée sont trop occupés à se battre et à lutter contre le président Donald Trump pour accomplir quoi que ce soit. Les Dems veulent des frontières ouvertes alors que le reste des États-Unis veut protéger nos frontières et tous ceux qui les habitent. Les démocrates sont sur le point de présenter un nouveau projet de loi qui portera à 100 000 le nombre de réfugiés que nous accueillons chaque année.

    La «Loi sur la stabilisation des frontières du Triangle du Nord» (H.R. 3524) présentée par la députée Zoe Lofgren (D-CA) est une tentative visant à augmenter le nombre d'immigrés réfugiés à risque en mettant l'accent sur l'accélération du processus.

    Décisions attendues de la Cour suprême des États-Unis au recensement, Obamacare
    Selon les Nations Unies, 22 900 réfugiés ont été réinstallés aux États-Unis en 2018. Permettez-moi de répéter ceci: 22 900 réfugiés l’an dernier et les Dems souhaitent porter ce nombre à 100 000 ! Pour souligner encore davantage l'énormité de cette situation, ces chiffres ne concernent que les réfugiés, définis par leur besoin de fuir leur pays d'origine en raison d'une peur ou de menaces de blessures ou de mort imminentes. Ce nombre ne tient pas compte des centaines de milliers d'immigrants qui affligent quotidiennement notre frontière méridionale. Cela n'inclut pas non plus les immigrants et les réfugiés en dehors de l'Amérique centrale. Ce numéro astronomique concerne uniquement les demandeurs d'asile des pays du Triangle du Nord: El Salvador, Guatemala et Honduras.

    L'American Immigration Lawyers Association (AILA) est, bien entendu, à 100% en faveur de ce projet de loi et a ajouté ses propres suggestions à mettre en œuvre. Benjamin Johnson, directeur exécutif de l'AILA, a déclaré:

    «Pour rendre le système efficace et équitable, AILA appelle le gouvernement à embaucher et à envoyer davantage d'agents d'asile à la frontière, à fournir des conseils juridiques aux migrants et à mettre un terme à ce qui est devenu une pratique instinctive de détenir des demandeurs d'asile. H.R. 3524 demande également l’embauche de plus de juges de l’immigration, mais seul, un plus grand nombre de juges n’éliminera pas l’énorme arriéré de 900 000 dossiers en retard qui ralentit les tribunaux. Le Congrès devrait immédiatement rétablir l'autorité que le MJ a retirée des juges de l'immigration pour gérer leurs rôles et décider des affaires de manière impartiale et indépendante. À long terme, le Congrès devrait créer un système de tribunal d'immigration indépendant, distinct du ministère de la Justice. Nous nous félicitons de la loi sur la stabilisation de la frontière et du triangle septentrional et exhortons le Congrès à faire avancer le projet de loi rapidement. "

    En d'autres termes, il est normal de faire venir plus d'agents à la frontière pour aider les réfugiés, mais il est immoral d'envoyer plus d'agents de patrouille pour protéger nos citoyens.

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  7. Nos centres de détention, également connus sous le nom de «camps de concentration» de génies comme Alexandria Ocasio-Cortez, sont déjà en train de se séparer à cause de la surpopulation des migrants qui se répandent dans le pays. Dems a passé une journée glorieuse sur le terrain avec des larmes de crocodile relatant les conditions horribles, inhumaines et atroces dans lesquelles les immigrants sont logés pendant que nous trouvons quoi faire avec eux. Pourquoi, alors, les législateurs avisés envisageraient-ils jamais d'augmenter le nombre maximum de réfugiés autorisés chaque année? L'augmentation du nombre n'améliorera pas les conditions à la frontière.

    L’un des éléments de la loi proposée est de faire en sorte que les immigrants demandeurs d’asile puissent le faire depuis leur propre pays afin de ne pas avoir à faire le dangereux voyage. En théorie, cela semble être une bonne idée - tant que les demandeurs pré-approuvés rencontrent toujours un système de contrôle en personne rigoureux une fois qu'ils atteignent les États-Unis. L'idée est que cela contribuera à réduire la congestion à la frontière en permettant aux personnes de se préqualifier. .

    Selon les Nations Unies, il faut actuellement entre 12 et 24 mois pour que les demandeurs d’asile soient examinés une fois qu’ils sont recommandés aux États-Unis.

    Contrôle par huit agences fédérales, y compris le département d'État, le département de la Sécurité intérieure et le FBI.

    Six contrôles de base de données de sécurité et contrôles de sécurité biométriques comparés aux bases de données fédérales américaines.

    Dépistage médical.

    Trois entretiens en personne avec des officiers du département de la Sécurité intérieure.

    Avant que nos représentants élus commencent à quadrupler chaque année le nombre de réfugiés traités par les États-Unis, une meilleure idée serait peut-être de trouver d’abord une solution pour faire face aux énormes nombres que nous avons déjà dans notre pays avant d’inviter encore plus.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-05/immigration-when-do-we-get-too-many

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  8. D'où viennent la plupart des immigrants aux États-Unis ? La réponse surprenante


    par Tyler Durden
    Vendredi, 07/05/2019 - 19:25


    Selon le Pew Research Center, aucun pays au monde ne compte plus d'immigrés que les États-Unis, qui comptent plus de 40 millions d'habitants nés dans un autre pays - soit environ 20% des migrants dans le monde en 2017.

    Le nombre de personnes nées à l'étranger aux États-Unis a atteint le chiffre record de 44,4 millions en 2017. Depuis 1965, année où les lois américaines sur l'immigration ont remplacé le système de quotas, le nombre d'immigrants vivant aux États-Unis a plus que quadruplé. Les immigrants représentent aujourd’hui 13,6% de la population américaine, soit près de trois fois plus qu'en 1970 (4,7%). Cependant, la part actuelle des immigrants reste inférieure au record de 14,8% en 1890, alors que 9,2 millions d’immigrants vivaient aux États-Unis.

    - voir graphique sur site -

    Le rendement actuel des obligations américaines n’est pas une surprise, déclare le vice-président de Calamos, Cusick
    Alors que la plupart des immigrants sont dans le pays illégalement, environ 23% ne le sont pas. Entre-temps, le Mexique est le premier pays d’origine des immigrants aux États-Unis.

    - voir graphique sur site -

    Alors que quelque 29 millions d'immigrés représentent environ 17% de la population active civile totale des États-Unis, les immigrants illégaux représentent environ 4,6% de ce chiffre.

    - voir graphique sur site -

    Qui arrive aujourd'hui ?

    Selon le rapport, plus d'un million d'immigrants arrivent chaque année aux États-Unis, la plupart d'entre eux étant asiatiques.

    Selon la race et l'origine ethnique, plus d'immigrés asiatiques que d'immigrés hispaniques sont arrivés aux États-Unis la plupart des années depuis 2010. L'immigration en provenance d'Amérique latine a ralenti à la suite de la grande récession, en particulier pour le Mexique, qui a connu une diminution des flux entrant aux États-Unis au Mexique ces dernières années. -Banc

    - voir graphique sur site -

    D'ici 2055, les Asiatiques devraient constituer le groupe d'immigrants le plus important vivant aux États-Unis et constitueront environ 38% de tous les immigrants d'ici 2065, suivis des Hispaniques (31%), des Blancs (20%) et des Noirs (9%) .

    - voir graphique sur site -

    Où vivent les immigrés ?

    Près de la moitié de la population immigrée du pays (45%) vit dans trois États: la Californie (24%), le Texas (11%) et New York (10%).

    La Californie comptait la plus grande population d'immigrants de tous les États en 2017, à 10,6 millions. Le Texas et New York comptaient chacun plus de 4,5 millions d'immigrants.

    En termes de régions, environ les deux tiers des immigrants vivaient dans l’ouest (34%) et dans le sud (33%). Environ un cinquième vivait dans le nord-est (21%) et 11% dans le Midwest.

    En 2017, la plupart des immigrants vivaient dans seulement 20 grandes régions métropolitaines, avec les populations les plus importantes à New York, Los Angeles et Miami. Ces 20 régions métropolitaines comptaient 28,7 millions d’immigrants, soit 65% du total. La majorité de la population immigrée non autorisée du pays vivait également dans ces grandes régions métropolitaines. -Banc

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  9. - voir graphique sur site -

    Éducation

    Les immigrants d'Asie du Sud et de l'Est, du Moyen-Orient, d'Europe et du Canada ont un niveau d'éducation supérieur à ceux d'Amérique du Sud, des Caraïbes, d'Amérique centrale et du Mexique. Les citoyens nés dans le pays peuvent également vouloir se faire remarquer.

    - voir graphique sur site -

    Dans le même temps, 62% des Américains interrogés ont déclaré que les immigrants renforçaient le pays "grâce à leur travail et à leurs talents", tandis que 28% estimaient que les immigrants étaient un fardeau, car ils privaient les citoyens nés aux États-Unis d'emplois, de logements et de soins de santé. Parmi les répondants, 83% des démocrates et des indépendants à tendance démocratique pensent que les immigrants renforcent le pays, tandis que 38% de leurs homologues conservateurs disent la même chose. 49% des républicains et des indépendants à tendance républicaine disent que les immigrants pèsent lourdement sur le pays.

    Anglophones ?

    Selon le rapport, 52% des immigrants de plus de 5 ans maîtrisent l'anglais. Ceux du Mexique ont les taux les plus faibles de maîtrise de l'anglais (33%), suivis des Centraméricains (34%) et des Sud-Américains (54%). Les Européens et les Canadiens sont les plus compétents en anglais (77%), suivis des Africains subsahariens (73%) et des immigrants du Moyen-Orient (61%).

    Il est intéressant de noter que plus d'immigrants ont été expulsés au cours de la première année d'Obama que de Trump.

    - voir graphique sur site -

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-03/where-are-most-immigrants-united-states

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  10. La plupart des Américains ne peuvent pas se permettre de payer un loyer, de manger de la nourriture, d'acheter des choses, ou de tomber malade (et ça va aller en s'aggravant)


    par Tyler Durden
    Vendredi, 07/05/2019 - 17:45
    Écrit par Dagny Taggart via le blog Organic Prepper,


    Nous vivons à une époque précaire et si vous ne vous préparez pas encore à un effondrement économique, il est temps de passer à l’action.

    Malgré ce que certains «experts» aimeraient vous faire croire, les États-Unis sont sur un terrain financier fragile. Plusieurs indicateurs suggèrent que les choses sont bien pires que beaucoup le pensent.

    Le plus gros stress dans la vie des Canadiens
    Voyons-les maintenant.

    Plus de la moitié des familles américaines vivent dans la «pauvreté des actifs».
    Une étude récente a révélé que plus de 63% des enfants américains et 55% des Américains vivaient dans des conditions de pauvreté. Cela signifie qu'ils disposent de peu, voire d'aucun actif, en cas de crise financière telle qu'une perte d'emploi, une crise médicale, des récessions ou des catastrophes naturelles.

    Dans un communiqué de presse, David Rothwell, co-auteur de l’étude, professeur adjoint à l’Université de la santé publique et des sciences humaines de l’UOS, a expliqué que lorsque les familles manquent d’avoirs tels que véhicules, maisons, comptes d’épargne ou placements, il est très difficile de survivre à une crise financière. «C’est une dimension de la sécurité financière à laquelle nous ne pensons pas beaucoup, et c’est assez élevé. Les résultats mettent en évidence l'étendue de l'insécurité financière parmi les familles américaines. Ces chocs ont des répercussions sur la famille et les enfants », a déclaré Rothwell.

    L'étude a été publiée dans la revue Children and Youth Services Review plus tôt cette année. Les co-auteurs sont Timothy Ottusch de l'Université de l'Arizona et Jennifer Finders de l'Université de Purdue.

    Vivre dans la pauvreté peut avoir des effets dévastateurs sur les enfants, comme l'explique le communiqué de presse:

    Rothwell étudie la pauvreté et son impact sur les familles et les enfants. Vivre la pauvreté dans l’enfance peut avoir des conséquences tout au long de la vie pour ces enfants; Des recherches antérieures ont montré que les enfants qui grandissent dans la pauvreté sont plus susceptibles d'avoir des difficultés à l'école, de gagner un revenu inférieur tout au long de leur vie et de vivre une instabilité familiale à l'âge adulte.

    De plus en plus de recherches suggèrent que les niveaux d’actif des parents prédisent également le rendement scolaire, les attentes en matière d’éducation et la probabilité d’inscription au collège et de diplomation. Les familles dont les actifs peuvent être utilisés lorsque le revenu est perturbé risquent également de connaître moins de stress financier.

    Pourtant, la pauvreté en actifs est supérieure à la pauvreté en revenus des enfants et des familles. Dans une étude menée en 2018 auprès de familles canadiennes, des chercheurs, dont Rothwell, ont découvert que la pauvreté en actifs était deux à trois fois plus répandue que la pauvreté en revenus. Les familles peuvent disposer de fonds suffisants au jour le jour, mais manquent de ressources et auraient probablement du mal à faire face à un choc financier. (la source)

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  11. Le loyer devient inabordable pour beaucoup d'Américains.
    Selon la National Low Income Housing Coalition, la location devient de plus en plus inabordable pour de nombreux Américains. Dans son dernier rapport «Out of Reach», l'organisation explique que la lutte pour trouver un logement abordable ne se limite pas aux personnes gagnant le salaire minimum ou aux chômeurs.

    La statistique centrale du rapport est le salaire de logement, qui est une estimation du salaire horaire qu'un travailleur à temps plein doit gagner pour louer une maison sans dépenser plus de 30% de son revenu en coûts de logement. Pour 2019, le salaire de logement est de 22,96 $ et de 18,65 $ pour un modeste appartement de deux et une chambre, respectivement, sur la base du «loyer loyal du marché».

    Le salaire horaire moyen du locataire est de 1,08 USD de moins que le salaire d’hébergement pour un loyer d’une chambre et de 5,39 USD de moins que le loyer de deux chambres. Cela signifie qu’un locataire moyen aux États-Unis doit travailler 52 heures par semaine. Pour mettre cela en perspective, un travailleur ayant un salaire médian dans huit des dix professions les plus importantes du pays ne gagne pas assez pour se payer un appartement d’une chambre.

    Un employé gagnant le salaire minimum fédéral (7,25 $ l'heure) devrait travailler 127 heures par semaine (soit plus de deux emplois à plein temps) pour s'offrir un appartement de deux chambres à coucher.

    Ce n'est pas juste un problème régional. Il n’existe pas d’État, de région métropolitaine ou de comté aux États-Unis où un employé à temps plein gagnant le salaire minimum peut se permettre de louer une propriété de deux chambres à coucher. Pour explorer les données de votre région, entrez votre code postal dans la case située sous la carte de cette page: Out of Reach 2019.

    Selon le rapport, les dix emplois qui devraient connaître la plus forte croissance au cours de la prochaine décennie sont ceux qui paient moins que le salaire nécessaire pour se payer un logement - et cela entraînera probablement une disparité encore plus grande entre les salaires et les coûts de logement 2026, comme le montre cette infographie de Statista:

    - voir graphique sur site -

    La nourriture est sur le point de devenir plus chère.

    Des inondations massives et dévastatrices dans le Midwest se produisent depuis mars dernier. Pour aggraver la situation, le potentiel d’inondations supplémentaires dans les principaux États agricoles se profile à l'horizon, alors que l'on prévoit davantage de pluie pour le reste du printemps. Jusqu'à présent, de fortes inondations ont touché d'importants pays agricoles, notamment le Nebraska, l'Iowa, l'Illinois et le Missouri. Les répercussions économiques des inondations seront probablement dévastatrices, comme l'explique Cat Ellis dans Une inondation dans le Midwest entraînera une pénurie de CES ALIMENTS:

    En bout de ligne: notre offre alimentaire moderne dépend en grande partie des céréales et du soja. Les principaux producteurs ayant perdu au moins une récolte cette année, le coût des aliments manufacturés et des aliments pour animaux va exploser. La viande et les produits laitiers seront doublement touchés. Alors que de nombreuses fermes ont perdu des animaux à cause des inondations et que les agriculteurs ont perdu de l'argent à la fois à cause des animaux perdus et des dégâts matériels, le coût pour nourrir ces animaux restants va monter en flèche.

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  12. Ajoutez à cela la maladie du bétail, les tarifs douaniers et la guerre commerciale avec le Mexique et la Chine, les deux pays à partir desquels nous importons le plus de produits alimentaires, les consommateurs et les agriculteurs ont de graves problèmes financiers.

    «Quelle que soit votre situation, commencez à penser à ce que vous mangez et à la manière de conserver ces aliments», a écrit Ellis. Voici comment commencer à construire ce stock.

    Les Américains perdent du pouvoir d'achat.

    Le pouvoir d'achat est la valeur d'une monnaie exprimée en termes de quantité de biens ou de services qu'une unité d'argent peut acheter. En d'autres termes, c'est combien votre argent vous achète. Le pouvoir d'achat est important car, toutes choses étant égales par ailleurs, l'inflation diminue la quantité de biens ou de services que vous pouvez acheter. L’inflation réduit la valeur du pouvoir d’achat d’une monnaie.

    Dans l’article intitulé Crise cachée de l’Amérique: cinquante ans de déclin économique, de 1969 à 2019, Charles Hugh Smith explique comment la perte de pouvoir d’achat a propulsé la classe moyenne dans la classe ouvrière:

    Les clés pour comprendre la crise de déclin dissimulée sont le pouvoir d’achat par rapport aux salaires / gains - combien de biens et services les salaires peuvent-ils acheter? Pour le ménage américain moyen, les salaires ont légèrement augmenté tandis que leur pouvoir d’achat s’est effondré.

    En outre, la qualité des biens et des services a souvent chuté de manière brutale, de sorte que même si les prix ont baissé, le rapport qualité / prix a encore diminué, ce qui a pour effet de réduire le pouvoir d'achat de vos salaires. (la source)

    Smith discute également de l'impact de l'obsolescence programmée sur le pouvoir d'achat:

    Exemple: les appareils ont été conçus et construits pour durer une génération ou plus. Les réfrigérateurs, les laveuses et les sécheuses ont duré des décennies. Désormais, l’appareil moyen tombe en panne en quelques années et la carte électronique, coûtant environ un tiers du prix total de l’appareil, tombe en panne et doit être remplacée. Avec la main-d'œuvre, le coût de la réparation est si élevé que les consommateurs envoient souvent l'appareil presque neuf à la décharge et achètent un nouvel appareil (qui ne fonctionnera pas bientôt).

    Net-Net, faible qualité réduit le pouvoir d'achat même si le prix a baissé. (la source)

    Bien que notre revenu soit plus élevé qu’il ya 40 ans, nous ne pouvons pas en acheter beaucoup, a déclaré Smith:

    En bout de ligne: combien de logements, d'études supérieures et de bien-être le salaire moyen est-il en train d'acheter par rapport aux décennies précédentes? Pas tant. Les statistiques sont sombres: les salaires sont pratiquement inchangés par rapport à la marée haute d’il ya 50 ans, qui, comme par hasard, était aussi la marée haute de la production d’énergie américaine jusqu’à très récemment. Corrigé en fonction du pouvoir d’achat et de la qualité, le salaire moyen achète beaucoup moins qu’il ya 50 ans. (la source)

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  13. La preuve que l'économie est déjà entrée dans un ralentissement est en augmentation.

    Il y a quelques jours, Michael Snyder a résumé certains des signes indiquant que l'économie américaine commence à se détériorer rapidement dans l'article intitulé La douleur de ce nouveau ralentissement économique commence à se manifester dans tout le pays:

    Mardi, nous avons reçu de nouveaux chiffres et ils étaient aussi mauvais que nous le pensions. \ Mais même avant les chiffres d’aujourd’hui, toutes les données nous disaient exactement la même chose. L'indice manufacturier Empire State de la Fed de New York vient de subir la pire baisse d'un mois de l'histoire des États-Unis, l'indice de conjoncture économique de Morgan Stanley vient de subir la plus forte baisse d'un mois jamais enregistrée, les chiffres du commerce mondial étant les plus mauvais depuis la dernière récession et la semaine dernière, j’ai détaillé le «bain de sang» complet et total auquel nous assistons actuellement dans l’industrie du camionnage aux États-Unis. Donc, compte tenu de ce que nous savions déjà, il n’aurait pas dû être surprenant que les ventes de maisons neuves aux États-Unis aient chuté de 7,8% au cours du mois de mai. (la source)

    En outre, un indicateur économique qui a précédé chaque récession au cours des cinq dernières décennies est apparu il y a quelques jours, indique NPR:

    Les économistes et les traders de Wall Street qualifient ce phénomène d’inversion de la courbe de rendement, qui se réfère au fait que les taux d’intérêt à long terme rapportent moins que les taux à court terme.

    Cette courbe se stabilise et s’est affaiblie depuis plus d’un an, ce qui inquiète certains analystes selon laquelle la vision à long terme du marché par les investisseurs du marché n’est pas positive et qu’un ralentissement économique se profile.

    Dimanche, toutefois, une étape peu propice a été franchie: la courbe des rendements est restée inversée pendant trois mois, soit un trimestre entier, ce qui indique clairement depuis un demi-siècle que l'économie se dirige vers une récession dans les neuf à 18 prochains mois, selon Campbell Harvey, un professeur de finance de l’Université Duke qui s’est entretenu avec NPR dimanche. Ses recherches au milieu des années 1980 ont d'abord lié les inversions de la courbe des rendements aux récessions.

    "Cela a été associé à la prévision d'une récession pour les sept dernières récessions", a déclaré Harvey. «À partir des années 1960, cet indicateur était fiable pour anticiper une récession et, surtout, il n'a pas encore donné de faux signaux.» (Source)

    L'économie n'a pas beaucoup repris depuis la récession de 2008.
    Beaucoup parlent de l'évaluation boursière et du taux de chômage «officiel» comme indicateurs d'une amélioration de l'économie, mais la vérité est qu'ils «brossent un tableau trompeur de la véritable situation de l'économie américaine», comme l'explique l'économiste Antony P. Mueller dans Phony Les statistiques sur la croissance économique cachent de profonds problèmes sur Main Street:

    Des calculs alternatifs des données sur l'emploi - qui incluent les travailleurs de longue durée découragés et les chômeurs chroniques - indiquent que le marché du travail est beaucoup plus inactif que ne l'indiquent les statistiques officielles. Les bénéfices ont repris au cours des premières années suivant la crise de 2008, mais ils sont restés stables au cours des cinq dernières années. Les cours des actions, mesurés par l'indice S & P 500, ont quant à eux augmenté de plus de 50% depuis 2012.

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  14. La reprise après la crise de 2008 a été provoquée par les plans de relance puis par la politique monétaire de «détente quantitative». L'expansion qui a suivi ne constitue pas une véritable croissance économique. Alors que les marchés d’actifs financiers indiquent une création de richesse, la capacité de production de l’économie tend à rester faible. Au cours des dix dernières années, le Bureau du budget du Congrès a dû réduire son estimation de la production potentielle d'année en année et la croissance de la productivité est restée inférieure à la tendance d'avant la crise de 2008. (source)

    Dans la conclusion de cet article, M. Mueller a déclaré:

    Les décideurs ignorent le principal enseignement de la crise de 2008 selon lequel les politiques de relance monétaire et budgétaire n’entraînent pas une reprise solide, mais créent une fausse croissance économique qui fausse la structure de production de l’économie. Au lieu d'une reprise en forme de V qui se produirait si le gouvernement s'abstenait d'intervenir, les décideurs politiques produisaient une agonie en forme de L.

    Comme si une stagnation prolongée n’était pas déjà suffisante, les interventionnistes agissent également comme les entrepreneurs du capitalisme. L’intervention des pouvoirs publics fausse l’économie et crée un fossé entre Wall Street et Main Street. La majorité de la population n'attribue pas à la politique des autorités la différence entre la croissance de la richesse financière et la stagnation de l'économie réelle - mais accuse le capitalisme de ce mal. (la source)

    Voici ce que vous pouvez faire pour vous préparer à une crise financière.

    Si vous êtes sceptique quant aux signes avant-coureurs du désastre économique imminent que j’ai décrits dans ce bref article, voici une excellente ressource à laquelle vous pouvez vous référer pour surveiller les événements actuels: 10 signes avant-coureurs de la récession que vous devez savoir. "Autant que l'on voudrait croire que l'économie américaine a résisté au cycle d'expansion et de ralentissement qui a caractérisé chaque économie de marché depuis la nuit des temps, ce n'est probablement pas le cas. En dépit d'un marché boursier en plein essor et d'un taux de chômage sans précédent, l'histoire dira que les beaux jours vont se terminer - probablement plus tôt que plus tard », avertit l'écrivain Joel Anderson. Dans l'article, il décrit les comportements économiques qui laissent présager une récession imminente.

    Voici une liste de ressources pour vous aider à vous préparer:

    Sans un fonds d'urgence, vous êtes un raté du désastre

    Guide du cheapskate pour vivre gros avec un petit budget

    30 astuces de vie frugales: De petits changements entraînant de grosses économies

    Les 10 habitudes quotidiennes du peuple frugal

    3 choses que vous devez savoir pour protéger votre argent (même si vous ne savez rien du marché)

    Le guide de mise en conserve du Prepper: Stocker à prix abordable une réserve d’aliments qui sauvent des vies et qui sont délicieuses et délicieuses

    Prepper’s Pantry: constituer un stock nutritif pour survivre aux blizzards, aux pannes de courant, aux ouragans, à la pandémie, à l’effondrement économique ou à toute autre catastrophe

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  15. Bien que le sort de l’économie américaine soit hors de portée de nos mains, nous pouvons faire certaines choses pour nous préparer à un ralentissement économique (et éventuellement à un crash). La préparation est complètement entre nos mains. Ceux qui choisissent de ne pas se préparer vont vivre des moments très difficiles.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-05/most-americans-cant-afford-pay-rent-eat-food-buy-stuff-or-get-sick-and-its-just

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    1. Anciens temps, c'est TOUT LE MONDE qui était paysan (depuis la préhistoire où les humains ne se nourrissaient que de chasse, de pêche et de cueillettes). Et les gens avaient du mal à vivre à cause des maladies et des insectes qui ravageaient les cultures.

      Puis, sont arrivés les produits de traitements ! Les remèdes contre toutes les maladies des plantes, des animaux et des humains. Sont arrivés aussi une alimentations choisie, appropriée à chaque type de plante: l'engrais. L'engrais a permis de donner juste ce qu'il faut à qui il faut contrairement aux fumiers qui ne correspondaient pas à 'toutes les plantes'.

      C'est ce progrès qui a permis aux paysans de faire vivre 4 ou 5 personnes à 20 ou 50 personnes. Puis, aujourd'hui, presque 200 personnes ! La mécanisation, l'arrosage et les remèdes contre les maladies et les insectes sont là.

      Oui mais, voilà qu'aujourd'hui, les remèdes sont interdits ! La famine est aux portes du monde ! SEULS les riches vont encore pouvoir se nourrir !

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  16. Glyphosate : le Monde décode sur le mode Pravda (deuxième partie)


    6 Juillet 2019
    par Seppi


    « Le glyphosate, "vrai poison" ou "faux sujet" ? Petit manuel pour comprendre le débat sur l’herbicide controversé », en principe un décodage, s'est donné pour ambition de répondre à 13 questions. Hélas, la loi de Brandolini veut qu'il faut beaucoup plus d'énergie pour répondre à des allégations que pour formuler celles-ci.

    Cette deuxième partie se consacre au volet agricole et environnemental, et à des questions subsidiaires.

    L'Agricultural Health Study (AHS)

    On passe à la question du danger pour les agriculteurs.

    Gênante l'étude d'Andreotti et al. ? Alors on met un conditionnel...

    « ...les travailleurs agricoles qui pulvérisent des produits à base de glyphosate ne seraient pas plus atteints de cancer que les autres. »

    La vraie conclusion, selon le résumé de l'étude, est :

    « Dans cette vaste étude de cohorte prospective, aucune association n'était apparente entre le glyphosate et les tumeurs solides ou les affections lymphoïdes malignes dans leur ensemble, y compris le LNH et ses sous-types. Il y avait des preuves d'un risque accru de LMA pour le groupe le plus exposé qui nécessitent une confirmation. »

    Gênante l'étude ? Alors on ressort les objections des gens de Monsanto en 1997, soigneusement « spinnées » par M. Stéphane Foucart et Mme Stéphane Horel :

    « ...Ironie de l'histoire, des experts travaillant pour Monsanto la jugeaient pourtant potentiellement biaisée dès 1997, au tout début du suivi de la cohorte. John Acquavella, l'épidémiologiste en chef de Monsanto, écrivait ainsi dans un rapport que "dans l'AHS, l'évaluation de l'exposition [des agriculteurs] sera inexacte". »

    Et c'est une citation qui, pour être textuellement conforme, n'en est pas moins particulièrement vicieuse : le document en question est un projet avec des réflexions préliminaires.

    Mais reconnaissons une petite évolution. Les deux Stéphane de la rubrique Planète n'avaient pas hésité à titrer : « Quand Monsanto qualifiait de "science pourrie" la dernière étude dédouanant le glyphosate », conférant à ce projet le statut de position officielle de Monsanto. M. Adrien Sénécat en limite toutefois la portée à un avis d'« experts », puis, comme par une sorte d'auto-correction, au seul John Acquavella.

    Il insiste sur les objections de M. John Acquavella en décrivant deux sources de biais et conclut :

    « Cette difficulté à évaluer correctement l'évaluation de l'exposition des populations se pose d'ailleurs dans bien des cas. »

    On peut souscrire sans réserve à cette observation... qui débouche à un constat qui a échappé à M. Adrien Sénécat, comme à bien d'autres : comme nous l'avons noté ici, dans le démontage d'un article de l'Obs, contester l'AHS revient aussi à invalider le classement du CIRC, qui se fonde largement sur cette étude pour conclure à des « preuves limitées » de cancérogénicité chez l'Homme (tiens... pourquoi ce constat de « preuves limitées » n'a-t-il pas été repris dans le décodage ?).

    Cette AHS n'est donc pas bonne quand elle est utilisée en défense du glyphosate, mais parfaite pour sa mise au pilori. Et elle devient parfaite quand elle entre dans

    « de nouveaux travaux [qui] ont estimé que le glyphosate présentait bien des risques pour les agriculteurs. »

    Les nouveaux travaux, ce sont Luoping Zhang et al. (notre analyse critique ici, celle de M. Geoffrey Kabat ici) et Maria E. Leon et al. (notre analyse ici – du reste, cette étude trouve un quotient de risque de 0,95 pour le glyphosate et le lymphome non hodgkinien...).

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  17. Dans les deux cas, un lien est mis vers un article de la rubrique Planète. Et rien vers les critiques de ces articles scientifiques... Les décodeurs du Monde ne s'intéressent pas à la bonne littérature... enfin peut-être que si, car il est question dans le dernier paragraphe de « certains argumentaires sceptiques ».

    Mais pourquoi ne pas les avoir cités, exploités ? Décodage décidément très partiel et très partial !

    Des risques relatifs de l'ordre de 1,4 (40 % de risque en plus par rapport à la population témoin) ne sont certes pas négligeables, mais ils ne sont pas énormes et, surtout, viennent avec des intervalles de confiance dont la limite basse est 1 ou proche de 1 (non significatif). Alors, on fait redonner du Robert Barouki :

    « "Le glyphosate, ce n'est pas l'amiante ou le tabac", deux substances pour lesquelles les risques de développer certains cancers sont multipliés des dizaines de fois, note le toxicologue Robert Barouki. Mais contrairement à ce qu'affirment certains argumentaires sceptiques, un risque accru de 40 ou 50 % est loin d'être négligeable : "Cela reste bien une augmentation du risque qui peut s'additionner à d'autres facteurs" rétorque M. Barouki. Ce qui pose la question de l'information des publics concernés et des mesures sanitaires à prendre. »

    Et hop ! Un petit coup d'« effet cocktail »... avec un supplément de prêchi-prêcha anxiogène. Les publics concernés – les agriculteurs – sont pourtant informés, les mesures sanitaires sont prises ; mais rien n'y fait au Monde.

    Monsanto et la justice

    Est-il bien vrai que :

    « La question des effets du glyphosate sur la santé humaine a été soulevée devant les tribunaux un peu partout dans le monde » ?

    Quatre plaintes aux quatre coins du monde suffisent à étayer cette information ; mais à part les États-Unis d'Amérique et ses avocats prédateurs et la France et ses activistes anti-pesticides et anti-OGM ?

    Mais on ne peut qu'être ravi par la mise en perspective :

    « Il faut cependant garder à l'esprit que de telles décisions sont d'ordre juridique. Dans ce type d'affaires, les tribunaux cherchent souvent à évaluer dans quelle mesure il est probable qu'une substance ait pu contribuer à l'émergence d'une pathologie, pas à en faire une démonstration absolue. Une telle exigence aurait d'ailleurs probablement pour effet de rendre la reconnaissance de tels préjudices impossibles dans la pratique.

    De même, bon nombre d'autres facteurs entrent en compte dans l'appréciation des juges. Par exemple, la manière dont une entreprise avertit ou non les consommateurs des possibles risques liés à ces produits ainsi que les informations données sur leurs bonnes conditions d'utilisation. Autant de facteurs qui ont joué contre Monsanto dans l'affaire qui l'opposait à Dewayne Johnson.

    Le glyphosate et l'environnement

    Trois piteux conditionnels pour commencer :

    « Le glyphosate ne serait pas si facilement dégradé et absorbé par les sols que ne le vantent ses promoteurs, avec des conséquences néfastes pour la flore ;

    Il présenterait des risques pour la faune, notamment les oiseaux sauvages et les abeilles

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  18. Il aurait également des effets indésirables sur les sols.

    Et pas de réponse claire... on entretient l'incertitude et le doute...

    « Reste qu'il est difficile pour la recherche de quantifier tous ces risques. Il est aussi délicat d'isoler les effets du seul glyphosate dans des phénomènes causés par plusieurs facteurs, tout comme il n'est pas simple d'étudier le devenir de la substance au fil des années après sa pulvérisation.

    Surtout, beaucoup de spécialistes considèrent aujourd'hui que ce sont avant tout les effets indirects de l'utilisation du glyphosate sur l'environnement qui posent problème. Par exemple […]. »

    Il y a pourtant toutes les conclusions des agences d'évaluation ! Un nombre impressionnant d'études qui apportent des réponses claires à bien des questions ! À preuve, la première publication citée donne des indications sur la demi-vie du glyphosate dans le sol...

    - voir tableau sur site -

    Par ailleurs, citer une publication de Judy Hoy, Nancy Swanson and Stephanie Seneff... et l'inclure dans « des travaux scientifiques »... pitié ! Cette dernière a été « décodée » par MM. Robin Mesnage et Michael Antoniou à une époque où ce deux auteurs passaient encore pour franchement militants. On ne peut que recommander aux décodeurs du Monde de s'adjoindre des compétences dans le domaine scientifique pour leurs travaux dans ce domaine.

    Il en est de même pour un document de la Soil Association, une entité de promotion de l'agriculture biologique au Royaume-Uni. Quant au lien pour l'étude sur les abeilles, du reste fort critiquable (voir aussi ici), c'est un article de M. Stéphane Foucart. On pratique l'endogamie au Monde.

    Cela débouche sur un argument passé à la mode ces derniers temps : le glyphosate est nocif pour les abeilles parce qu'il détruit les « mauvaises herbes » (les guillemets sont dans l'original) et donc leurs sources de nourriture. L'auteur ajoute tout de même entre parenthèses : « c'est sa fonction première ». Mais le résultat est le même avec tout autre mode de désherbage.

    « Pourquoi est-il si difficile de s'informer sur ce sujet ? »

    L'auteur évoque, à juste titre, « [d]es manipulations scientifiques », « [d]es pratiques relevant de la désinformation » et « [d]es soupçons de corruption ».

    De manière fort attendue, on cite Monsanto. Mais rassurez-vous... aucune mention des malversations de ce qu'il faut bien appeler une ligue de l'anti-gly élargie. Pas de « CIRC-gate », pas de « portier Papers »...

    Cela débouche sur les polémiques – en fait, compte tenu d'une référence à un article du Parisien, celles qui ont suivi le Cash Investigation de janvier 2019 – et cette conclusion :

    « A l'arrivée, ce phénomène a de quoi désarçonner qui cherche à s'informer sereinement sur le sujet. Il a également de quoi intimider, voire dissuader les personnalités (responsables politiques, journalistes, membres d'associations...) qui s'expriment sur la question. »

    Si cela se rapporte aux personnes susceptibles d'être harcelées par la ligue de l'anti-gly médiatique, nous sommes pleinement d'accord...

    Monsanto et le « débat »

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  19. On ne s'attend évidemment pas à une analyse lucide de la contribution du Monde au pourrissement du débat avec sa série sur les « Monsanto Papers », abondamment référencée dans cette partie.

    Il y a en revanche un début de « bon sens près de chez vous », bien sûr bémolisé puisqu'il faut faire l'article pour la rubrique planète :

    « On comprend donc que Monsanto s'efforce de défendre ses intérêts auprès des autorités et de l'opinion publique. En revanche, des milliers de documents internes à la société publiés par le biais d'une procédure juridique en 2017 ont mis en évidence des pratiques dérangeantes. »

    C'est encore une fois une rédaction maladroite. Sur les « milliers de documents », quelques-uns ont mis en évidence des choses, dont la plupart ont été soigneusement massées par les cabinets d'avocats prédateurs, l'USRTK et leurs idiots utiles pour qu'elles revêtent un caractère outrageux.

    Ainsi, en pavé : « Monsanto a coécrit des articles "indépendants" ». Et alors ? C'est un peu léger comme information car, sauf erreur, ces articles ne sont pas nombreux et, sauf pour un qui a fait l'objet d'un rectificatif, la contribution des gens de Monsanto a été précisée dans chacun d'eux.

    La critique des régulateurs

    On ne sort pas des « Monsanto Papers »... et des infox.

    Aux États-Unis d'Amérique,

    « ...certains experts au sein des agences de régulations entretiennent d'étroits liens avec la société, qui les considère comme des alliés dans la défense de ses intérêts. »

    Lisez bien cette phrase !

    Pour le niveau européen, on a également droit à la lamentable manœuvre des « copier-coller », une technique de rédaction pourtant pleinement justifiée, annoncée et expliquée par le BfR allemand dans son rapport et expliquée et ré-expliquée par la suite. Rien n'y fait :

    « Ces révélations ont semé un doute légitime sur le travail de ces autorités, alors qu'on en attend des décisions au-dessus de tout soupçon. »

    Non, le doute n'était pas légitime, et on aurait aimé que les décodeurs creusent la question et rétablissent les faits... mais cela serait revenu à mettre en cause la ligne éditoriale de la rubrique Planète...

    Et encore :

    « Il est également reproché aux agences sanitaires de donner une place prépondérante aux tests réglementaires confidentiels fournis par les industriels aux autorités. Or, une étude publiée dans la revue Environmental Sciences Europe publiée début 2019 a montré qu'il existait un hiatus entre les résultats de ces tests et les études indépendantes publiées dans la littérature scientifique. Le corpus étudié est celui sur lequel l'Agence américaine de protection de l'environnement s'est fondée pour juger que le glyphosate ne serait pas un cancérogène probable. Or, dans cet ensemble, seuls 2 % des tests des industriels concluaient que le glyphosate était génotoxique (c'est-à-dire qu'il endommage l'ADN), contre 67 % des études indépendantes. »

    Là encore, les agences ont fourni des explications à de multiples reprises, notamment Santé Canada à la suite d'objections motivées, mais non retenues au final, contre sa décision de renouveler l'autorisation du glyphosate.

    Le décodage est vraiment short. Il ne suffit pas de décrire les reproches que l'on a faits aux agences d'évaluation et de réglementation et de les laisser ainsi en suspens.

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  20. Et puis Environmental Sciences Europe... alarme ! Charles Benbrook... alarme ! Quoique... son résumé se termine ainsi :

    « Le CIRC a mis un poids considérable sur trois études positives sur les GBH dans les populations humaines exposées alors que l'EPA n'a attribué que peu ou pas de poids sur elles. »

    Quand on veut décoder, il faut savoir lire les publications que l'on cite. Ce que M. Charles Benbrook a montré, en définitive, c'est que le CIRC n'a retenu que trois études, essentiellement universitaires, sur quelque 200 (c'est du reste un indicateur de la qualité et de la pertinence des études universitaires quand on passe au processus décisionnel ; et il est fourni par le CIRC, et non par les agences d'évaluation dont l'impartialité est constamment mise en doute). L'EPA a écarté ces trois études par des décisions motivées.

    Ces décisions du CIRC et de l'EPA, en fait, ne sont pas fondamentalement contradictoires : le CIRC évalue un « danger » et dégaine dès qu'il a un nombre limité de preuves, et l'EPA évalue un « risque » et se fonde sur le poids de la preuve.

    Le glyphosate... et le reste de la chimie agricole

    On n'échappe pas à un adjectif utilisé de manière pavlovienne dès qu'il s'agit de pesticides :

    « Au-delà du glyphosate, c'est bien l'utilisation massive des pesticides qui est pointée du doigt, qu'il s'agisse de produits de synthèse ou naturels. »

    Mais M. Adrien Sénécat est mal renseigné : non, pas les « naturels », enfin pas ces substances dites naturelles (comme le sulfate de cuivre...), utilisées dans l'agriculture biologique.

    Puis glissement vers « la nature même de l'agriculture conventionnelle » avec une citation de M. Marc Dufumier – dans le Monde évidemment – parfaitement grotesque ; glissement vers les procédures d'évaluation et de décision et... et... :

    « Le cas du glyphosate interroge également les limites de la manière dont les réglementations sanitaires sont élaborées. La complexité, les coûts et le temps requis pour réaliser les vastes études scientifiques nécessaires pour comprendre les ressorts précis de plusieurs grands problèmes d'écotoxicité fait qu'on peut légitimement plaider pour agir sans disposer de toutes les réponses, au nom du principe de précaution. »

    Ben voyons... « au nom du principe de précaution ». M. Robert Barouki est à nouveau convoqué à la barre des témoins pour une curieuse déclaration :

    « "La seule question valable, c'est de savoir si on a assez d'arguments pour prendre une décision. S'il y a suffisamment d'éléments qui plaident pour l'existence de risques considérables, c'est là que le principe de précaution doit agir", estime le toxicologue Robert Barouki. "Quand il y a des certitudes, ce n'est plus une histoire de principe de précaution, mais tout simplement de prévention", rappelle-t-il par ailleurs. »

    Décidément, ce principe de précaution ne sera jamais compris !

    La suite est encore plus fumeuse.

    Le « modèle agricole conventionnel » ?

    Voilà une forte pensée :

    « Plutôt qu'un bouc émissaire, le glyphosate est en fin de compte emblématique de l'agriculture intensive qui s'est développée depuis les années 1950 en France et partout dans le monde. »

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  21. Là, c'est M. Christian Huygue, directeur adjoint de l'INRA, qui est appelé à la barre comme troisième témoin à charge (pour la décharge... personne) ;

    « ...le succès de l'herbicide s'explique en grande partie par le fait qu'il était "totalement en cohérence avec les usages demandés par la société" au monde agricole, notamment la hausse de la productivité et le développement de produits standardisés. »

    Les « usages » ? C'est quoi, ce charabia ?

    Il eût été préférable de parler de « production » plutôt que de « productivité », et de nourrir une population mondiale qui est passée de 2,5 à 7,5 milliards de 1950 à aujourd'hui, avec les incidences politiques, sociales et économiques : notamment 1,5 milliard de personnes souffrant de sous-alimentation en 1950 contre près de 850 millions – toujours trop – aujourd'hui. Ah oui, mais, selon M. Marc Dufumier, « L’agroécologie peut parfaitement nourrir 10 milliards d’humains »... Mais qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?

    Le « modèle » est responsable de « catastrophes environnementales », par exemple – selon « [d]e sérieuses études » – « la disparition de près de 80 % des populations d'insectes en Europe ».

    Cette affirmation – faire porter le chapeau de la disparition (alléguée) des quatre cinquièmes des populations d'insectes à la seule agriculture – est tout simplement grotesque.

    De plus, l'article mis en référence – bien évidemment de M. Stéphane Foucart – est bien plus prudent avec un conditionnel journalistique en titre : « En trente ans, près de 80 % des insectes auraient disparu en Europe » ; et l'article scientifique en question – de Caspar Hallmann et al., « More than 75 percent decline over 27 years in total flying insect biomass in protected areas » (déclin de plus de 75 % en 27 ans dans la biomasse totale d'insectes volants dans des zones protégées) est très, très loin d'étayer cette affirmation. Outre ses insuffisances intrinsèques, il ne met pas l'agriculture en cause et se rapporte à un environnement particulier.

    La parole revient ensuite à M. Christian Hughe :

    « Selon M. Huygue, aborder le sujet uniquement sur le terrain de la santé humaine est dès lors une erreur : "La question de fond, c'est : 'Avons-nous le droit de créer une dette environnementale ?' De notre point de vue, elle n'est pas acceptable et c'est pour cela que nous portons une autre vision, qui consiste à basculer sur une agriculture sans pesticides." »

    Ce n'est plus du décodage. Ce ne sont plus des faits, mais une opinion (personnelle ou institutionnelle ?).

    Au demeurant, « une agriculture sans pesticides », est-ce bien sérieux ? Est-ce bien la vision de l'INRA ?

    L'article se poursuit sur l'échec des programmes Écophyto de réduction de l'utilisation des pesticides (avec une référence à un autre article de la rubrique Planète et de...). On appréciera à moitié le constat suivant :

    « Dans le cas du glyphosate comme des pesticides en général, les (réelles) contraintes économiques et techniques à court terme l'ont pour l'heure emporté sur les considérations environnementales et de santé publique. »

    Ce n'est en effet pas souvent que l'on voit une référence à ces contraintes – ni aux attentes des consommateurs qui font l'objet des deux paragraphes suivants – dans le Monde.

    Mais ce serait encore mieux si la ligne éditoriale du Monde s'infléchissait quelque peu pour informer son lectorat des bénéfices que les pesticides – judicieusement et correctement utilisés – apportent tant à la santé humaine qu'à l'environnement.

    http://seppi.over-blog.com/2019/07/glyphosate-le-monde-decode-sur-le-mode-pravda-deuxieme-partie.html

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  22. Le maire de Biarritz tente de dissiper les inquiétudes liées à l’organisation du G7


    12:58 06.07.2019


    L’organisation du sommet du G7 du 23 au 26 août à Biarritz suscite diverses inquiétudes, notamment concernant de possibles répercussions pour les commerçants et des «manifestations violentes». Interrogé par 20 minutes, le maire de la ville, Michel Veunac, a tenté de rassurer les habitants.

    Dans une interview accordée à 20 minutes, le maire de Biarritz, Michel Veunac, a commenté les contraintes imposées par l’organisation du sommet du G7 du 23 au 26 août.

    Interrogé sur les craintes des commerçants concernant une possible baisse de leur chiffre d’affaires, il a assuré que Biarritz ne serait «pas bunkérisée», et surtout, que la ville ne serait pas «morte».

    «Je comprends les inquiétudes, mais je dis qu’il faut rester ouvert. Biarritz sera la ville la plus sanctuarisée de la Terre au moment du G7, et il va y avoir une population rapportée conséquente, avec notamment 3.500 journalistes qui auront besoin de consommer», a-t-il précisé.

    Il a également indiqué que l’État étudiait «des possibilités d’indemnisation» pour ceux qui enregistreraient des pertes.

    Deux zones de sécurité prévues

    En ce qui concerne les mesures de sécurité qui seront prises lors du sommet, le maire de Biarritz a indiqué que deux zones de sécurité qui n’engloberaient «pas la totalité de la ville» seraient mises en place.

    «Dans la première zone – la bleue –, la vie continuera, à condition de s’être muni du badge qui autorise à circuler», a déclaré M.Veunac en précisant que plus de 15.000 badges avaient déjà été distribués.

    La deuxième zone ne sera accessible qu’avec une accréditation.

    «Sur le bord de mer en revanche, ce sera la zone rouge, entre les sites occupés par le G7, dont l’hôtel du Palais qui recevra les sept délégations majeures», a-t-il indiqué.

    Un contre-sommet du G7 aussi envisagé

    Afin de prévenir d’éventuelles «manifestations violentes», le préfet des Pyrénées-Atlantiques est «en train d’organiser avec les associations opposées au sommet un site où ils pourront manifester», a ajouté Michel Veunac. Il a salué l’idée de ce «contre-sommet».

    «Ce que nous voulons éviter, ce sont les black blocs, les casseurs, les vandales», a-t-il déclaré.


    Selon lui, il y a le risque que les casseurs «essaient de se mêler aux manifestants pacifiques», en particulier en périphérie. Il a assuré que «beaucoup de mesures» seraient prises pour l’éviter.

    Le 4 juillet, Christophe Castaner a promis lors de son déplacement à Biarritz une «mobilisation exceptionnelle des forces de sécurité intérieure» durant le G7. Selon lui, elles «neutraliseront» toute manifestation violente qui éclaterait en marge du sommet.

    https://fr.sputniknews.com/france/201907061041605910-le-maire-de-biarritz-tente-de-dissiper-les-inquietudes-liees-a-lorganisation-du-g7/

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    1. Pourquoi vont-ils faire chier le monde à Biarritz alors qu'ils pourraient se rencontrer à bord d'un bateau, porte-avions, sous-marin à 10 000 km de là ??!

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  23. Cette application frauduleuse de Samsung a déjà piégé plus de dix millions d'utilisateurs d’Android


    12:16 06.07.2019


    Des experts en cybersécurité ont prévenu les utilisateurs qu’une fausse application pour smartphones sur Android avait déjà arnaqué plus de dix millions de propriétaires de Samsung. Cette application n'affiche que des publicités et fait payer ses utilisateurs pour obtenir des mises à jour.

    Des spécialistes en cybersécurité de la société CSIS ont découvert une nouvelle application frauduleuse destinée aux smartphones fonctionnant avec le système Android, dont quelques millions de personnes ont déjà été victimes.

    Dans un billet sur son blog, Aleksejs Kuprins, un chercheur en sécurité du CSIS Security Group, indique qu’on propose à des utilisateurs de télécharger l’application «Updates for Samsung» sur le Google Play Store, qui prétend offrir diverses améliorations pour smartphone réalisées par des développeurs soi-disant officiels.

    Cependant, après l’installation de cette application les utilisateurs sont redirigés vers le site update.com, où sont présentés divers articles et nouvelles sur Android, ce qui réduit la vigilance du client.

    En outre, dans certaines sections de l’application de nombreuses publicités sont affichées empêchant ainsi l’usager de s’en servir confortablement. L’application propose alors de les retirer des écrans pour neuf dollars (environ huit euros).

    Dans le même temps, l’application offre aussi un abonnement annuel pour les mises à jour du smartphone pour un montant de 34,99 dollars (environ 31 euros). Toutefois, le paiement de ces services ne s’effectue pas par le Google Play, mais l’application reçoit toutes les informations de la carte de crédit de l’utilisateur.

    Pourtant, l’application dispose d’une option donnant un accès gratuit aux mises à jour, mais, dans ce cas de figure, la vitesse de téléchargement ne dépasse pas les 56 kilooctets par heure, de sorte qu’un fichier de 700 mégaoctets ne se téléchargera qu’au bout de quatre heures.

    Ne voulant pas attendre, de nombreux utilisateurs préfèrent payer pour obtenir ces «mises à jour» le plus vite possible, mais, ainsi, ils transmettent à l’application toutes les données de leurs cartes de crédit.

    Les experts de la société appellent les utilisateurs à être attentifs, car cette application a été déjà téléchargée plus de dix millions de fois sur le Google Play, et on n’ignore combien de ces utilisateurs ont transféré de l’argent.

    Les spécialistes soulignent aussi qu’il faut mettre à jour le smartphone exclusivement via les paramètres intérieurs du système.

    Google garde le silence

    «J'ai contacté le Google Play Store et leur ai demandé d'envisager de supprimer cette application», a déclaré Aleksejs Kuprins dans une interview à ZDNet.

    Mais, jusqu'à présent, malgré sa demande, le Google Play Store n'a pas retiré l'application, en dépit du fait que l'application ne respecte pas les règles de Google car elle utilise son propre système de paiement et non le Play Store officiel.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201907061041605473-cette-application-frauduleuse-de-samsung-a-deja-piege-plus-de-dix-millions-dutilisateurs-dandroid/

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  24. Agroalimentaire : la France perd la main en Europe


    Marie-Josée Cougard
    Les Echos
    ven., 05 juil. 2019 09:32 UTC


    Pour la première fois depuis la guerre, la balance commerciale agroalimentaire française avec les pays européens a été négative l'an dernier, selon l'Inra. Les exportations sont quasi-stables depuis 2011, tandis que les importations ont bondi de 24 %. La France paie son positionnement haut de gamme.

    La France réalise la moitié (47 %) de ses exportations alimentaires sur seulement cinq pays, ce qui la met dans une situation de grande fragilité.

    « Il y a dix ans cela aurait été impensable », s'exclame Vincent Chatellier, économiste de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra). Pour la première fois depuis la guerre, le solde des échanges agroalimentaires de la France avec le reste de l'Union européenne est devenu négatif. La France a exporté pour 38,1 milliards d'euros en Europe (21,7 milliards hors UE) en 2018. Des chiffres stables (+2 % depuis 2011) vers l'UE face à des importations en provenance des voisins européens qui ont bondi de 24 % (à 38,4 milliards d'euros).

    La France, réputée « puissance agroalimentaire de premier rang dans le monde », a donc acheté plus de produits alimentaires à ses voisins de l'UE qu'elle ne leur en a vendu en 2018. De quoi en sidérer plus d'un un. A la commission économique du Sénat, qui s'est intéressée au sujet, l'émotion est à son comble. « Au train où vont les choses, d'ici à cinq ans c'est la balance commerciale agroalimentaire avec le monde entier qui sera en négatif », s'affole Michel Raison, élu LR de la Haute Saône. Que s'est-il passé ?

    Concurrence des clients historiques

    Pour Vincent Chatellier, la France « paie le choix du localisme à tous les étages et de son positionnement haut de gamme » . Trois phénomènes se sont conjugués pour créer cette situation inédite. D'abord, « nos pays clients européens » ont tous développé leur production agricole, alors que leur population n'augmente plus. Plus grave, ils se sont trouvé des fournisseurs moins chers que la France, au rang desquels « la Pologne, qui nous a pris beaucoup de parts de marché », commente Vincent Chatellier. Un grand pays, déterminé à combler son retard et dont les ambitions agricoles s'envolent.

    La France a choisi un positionnement qui s'avère lourd en termes de coûts de production, et dont le boeuf est une bonne illustration. « Nous avons une viande de grande qualité, issue de races à viande, mais nous avons du mal à la vendre parce qu'elle coûte plus cher que la viande des vaches laitières allemandes, néerlandaises ou polonaises ». Bien que clients historiques de la France, des pays en crise comme l'Italie ou la Grèce lorgnent désormais les prix avant la qualité. L'Italie reste le premier marché pour les bovins vivants français, mais « ce commerce crée peu de valeur », souligne Vincent Chatellier. L'Hexagone exporte 900.000 animaux vivants par an pour 1,3 milliard d'euros, une somme inchangée depuis quinze ans. Les Italiens, qui les abattent et les transforment, font les marges.

    - Commentaire : Le choix de faire de la qualité ne veut pas dire pour autant que c'est un mauvais choix. La santé de la population dépend en grande partie de la nourriture consommée. -

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  25. Seules les boissons n'ont pas reculé

    En 2018, hormis les boissons (avec et sans alcool), la plupart des grands postes vu leur solde se dégrader : les céréales, les produits laitiers, les bovins vivants, le sucre... Et la France réalise la moitié (47 %) de ses exportations alimentaires sur seulement cinq pays, ce qui la met dans une situation de grande fragilité. Dans l'ordre : la Belgique, l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Italie et l'Espagne. « La Belgique nous achète beaucoup de céréales mais elle nous les renvoie en bonne partie après les avoir transformées ».

    L'Allemagne, qui a augmenté sa production de lait et de fromages, a réduit ses importations de France. Le marché britannique, lui, est condamné à perdre de son intérêt après le Brexit. Le Royaume-Uni, très déficitaire en produits agroalimentaires, achètera encore européen mais vraisemblablement moins, en raison des taxes qui s'imposeront alors. En Italie, le pouvoir d'achat a baissé. Quant à l'Espagne, elle a beaucoup amélioré ses vins, a doublé la France en viande porcine et elle exporte ses fruits et légumes en France.

    https://fr.sott.net/article/34099-Agroalimentaire-la-France-perd-la-main-en-Europe

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    1. Faut dire que le lobbying anti paysans français dure depuis DES décennies ! Tout y passe ! Tout ! Jusqu'aux produits de traitement contre les maladies des plantes et du désherbant obligatoire pour les champs de céréales !

      C'est ainsi que des produits similaires venus de pays très lointains - où ils ont la totale liberté de traiter les fruits & légumes avec des produits chimique réputés mortels mais autorisés à l'exportation - s'étalent aujourd'hui sur plus de 90 % des rayons de supermarchés !

      Et oui ! Après le 'bio' permettant aux criminels de vous vendre des fruits & légumes rachitiques contaminés par des maladies aux prix explosifs faisant passer TOUS les consommateurs pour des gros cons sans cervelle, voici qu'arrivent les produits infectés de substances mortelles autorisées au moyen-orient ! Hahahaha !

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  26. ALORS QU'ON DEVRAIT L'ÊTRE 44 000 FOIS PLUS RICHE GRÂCE A NOTRE PROGRES...

    Aujourd’hui, nous sommes en moyenne 4,4 fois plus riches qu’en 1950


    Dominique Dewitte
    5 juillet 2019


    Le revenu du Terrien moyen est maintenant 4,4 fois plus élevé qu’en 1950. C’est ce que montre une analyse de Max Roser, fondateur et éditeur de Our World in Data. Roser enseigne l’économie à l’Université d’Oxford. Il est connu pour ses recherches sur les tendances mondiales en matière de conditions de vie et la visualisation de ces tendances. Dans sa plus récente étude, il s’est penché sur la richesse des générations successives.

    En 1950, le revenu moyen par habitant (pour toute la planète) était d’à peine 3 300 dollars des États-Unis, alors qu’en 2016, il était passé à 14 574 dollars. Ce dernier montant correspond à peu près au revenu moyen par habitant d’un Américain en 1950. On peut donc dire que tout le monde sur terre est en moyenne aussi riche qu’un Américain en 1950.

    - voir graphique sur site -

    La population mondiale est passée de 2,5 à près de 7,5 milliards de personnes au cours de la même période. Ce dernier point n’est pas sans importance. Si l’économie mondiale était demeurée équivalente à ce qu’elle était en 1950, nous serions maintenant trois fois plus pauvres qu’en 1950. Mais si la population mondiale a triplé et que le revenu moyen a été multiplié par 4,4, cela signifie que l’économie a été multipliée par 13 depuis 1950.

    Roser a ajusté ses calculs en fonction de l’inflation et a procédé à des comparaisons sur la base de la parité de pouvoir d’achat, une méthode bien connue de comparaison du pouvoir d’achat de deux pays.

    - voir graphique sur site -

    Revenu: l’Asie en tête, l’Afrique en chute

    Bien entendu, on observe de grandes différences entre les différents pays. Les Sud-Coréens (PIB x 32,2), les Taiwanais (x 30,4) et les Singapouriens (x 27,5) ont le plus profité des énormes progrès économiques réalisés sur leur continent. Fait remarquable, ce sont les petits pays qui ont le plus profité de la mondialisation. Surtout grâce à des succès technologiques ou financiers. Le revenu belge s’est mieux comporté que la moyenne et a augmenté 5,7 fois en moyenne, pour les Néerlandais, c’est même 6,9 fois.

    À l’autre bout du spectre, on trouve 3 pays africains. Parmi eux, notre ancienne colonie du Congo et de la République centrafricaine (PIB x 0,5), sont de tristes perdants. Dans les deux pays, le revenu moyen a doublé en 60 ans. Corrigé pour tenir compte de l’inflation, c’est une réduction de moitié. La Sierra Leone fait un peu mieux avec 0,6. Aucun de ces pays n’a pu bénéficier de la mondialisation, qui n’a fait qu’accroître les inégalités de revenus. Une simple comparaison montre également que les habitants de ces 3 pays sont en moyenne 100 fois plus pauvres que les Norvégiens. Les décideurs politiques de ces pays ont donc une responsabilité écrasante, car la population est maintenant dans un état pire que dans le reste du monde. Cela se traduit par une espérance de vie inférieure, la maladie, une éducation inadéquate ou inexistante et une nutrition inadéquate ou insuffisante.

    https://fr.express.live/progression-revenu-moyen-terrien-depuis-1950/

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  27. LA DICTATURE MONARCHIQUE INTERDIT LA LIBERTE SANS DEMANDER L'AVIS DU PEUPLE !

    La maire d’Amsterdam veut un avenir différent pour le quartier rouge


    Arnaud Lefebvre
    5 juillet 2019



    Femke Halsema, la première femme maire d’Amsterdam souhaite réorganiser le quartier rouge. Halsema veut restructurer le quartier chaud de la ville et ses vitrines afin de protéger les travailleuses du sexe des nuisances du tourisme de masse.

    Selon les observateurs, le plan de Halsema serait la réforme la plus radicale du commerce du sexe dans la région depuis que les Pays-Bas ont légalisé la prostitution il y a près de deux décennies. Femke Halsema a proposé de mettre un terme définitif à l’exposition des travailleuses du sexe dans les vitrines.

    Cependant, ces propositions sont l’objet de nombreuses critiques.

    « La situation actuelle dans le quartier rouge est intenable », explique Halsema. Selon elle, des changements sont nécessaires en raison de changements sociaux, tels que la traite des êtres humains et l’augmentation du nombre de touristes qui utilisent leur téléphone pour prendre des photos des femmes et les publier sur les réseaux sociaux.

    « Nous y sommes contraints parce qu’Amsterdam a changé », a déclaré Halsema dans une interview. « Je pense que beaucoup de femmes qui travaillent là-bas se sentent humiliées et c’est une des raisons pour lesquelles nous envisageons des changements. »

    Quatre scénarios principaux sont à l’étude: l’arrêt des vitrines, l’augmentation du nombre de licences des travailleuses du sexe, la réduction du nombre de maisons de prostitution en centre-ville, leur fermeture totale et leur transfert ailleurs.

    Les scénarios, élaborés dans un rapport intitulé « Le futur de la prostitution à la fenêtre à Amsterdam », incluaient également une proposition plus large pour une « zone de ville érotique ». Cette zone aurait une porte d’entrée clairement définie, similaire à un système utilisé à Hambourg.

    La maire a souligné qu’il n’était pas prévu d’interdire totalement la prostitution.

    « Peut-être pourrions-nous protéger les fenêtres des maisons closes, afin que les prostituées ne soient pas vues par les passants », a déclaré Halsema.

    Enfin, la fermeture de tous les bâtiments pour hommes et leur transfert dans une autre partie de la ville sont également à l’étude. .

    Les options seront présentées aux résidents et aux entreprises lors des assemblées publiques de ce mois-ci avant d’être soumises au vote du conseil municipal plus tard cette année.

    « Nous avons légalisé la prostitution parce que nous pensions et pensons toujours que la prostitution légale offre à une femme la chance d’être autonome et indépendante. La criminalisation de la prostitution a été pratiquée aux États-Unis, ce qui, je pense, rend les femmes extrêmement vulnérables », a encore déclaré la maire d’Amsterdam.

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  28. Les changements ont trois objectifs principaux. Il s’agit de protéger les femmes des conditions de travail dégradantes, de réduire le crime et de revitaliser le quartier vieux de 500 ans qui, avec les canaux d’Amsterdam, fait partie du patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Les premières réactions des travailleuses du sexe vis-à-vis de ces plans étaient cependant peu enthousiastes. Les prostituées d’Amsterdam veulent garder les vitrines. « C’est un outil essentiel pour attirer les clients », font valoir plusieurs d’entre-elles.

    Les travailleuses du sexe n’adhèrent pas non plus à la proposition de transférer la prostitution dans un autre quartier. Elles craignent de se retrouver exilées dans des quartiers reculés, où les clients potentiels ne viendraient pas.

    « La disparition de la prostitution à la fenêtre pourrait également encourager les travailleuses du sexe à entrer dans l’illégalité », ont déclaré des représentants de prostituées. « En outre, il existe un contrôle social important dans le quartier rouge, ce qui favorise la sécurité des travailleuses du sexe. »

    https://fr.express.live/la-maire-damsterdam-veut-un-avenir-different-pour-le-quartier-rouge/

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  29. COMMENT LES SITES DE CODE PROMO ONT CHANGÉ LE E-COMMERCE FRANÇAIS


    par RÉDACTEUR
    05/07/2019


    61% des Français ont effectué au moins un achat en ligne durant l'année 2017.

    Les sites de codes promo ont permis au e-commerce de vivre une nouvelel évolution, après avoir explosé avec l'avènement d'Internet.

    Fini les files d'attente interminables dans les magasins, le consommateur opte de plus en plus pour des achats par Internet. L'e-commerce s'est développé ces dernières années avec l'apparition d'Internet dans les années 1990. Et, grâce aux nombreux sites de code promo, le commerce électronique a évolué.

    Les sites de codes promo ont changé le commerce électronique

    Avec l'avènement des sites comme Amazon ou Ebay, le commerce électronique a connu un essor sans précédent. En 2017, le rapport « Baromètre du numérique » du CREDOC révèle que 61% des Français ont effectué au moins un achat en ligne dans l’année. L’étude indique également que cette proportion a été multipliée par presque six, en passant de 11% à 61% entre 2003 et 2017.

    Mais au fil du temps, l'acheteur a ensuite voulu faire jouer la concurrence. Puis, il a commencé à chercher le prix le plus bas. Le site de code promo a donc été recherché. Sur JeChercheUnCodePromo.com de nombreuses rubriques sont disponibles. Leur but est ainsi présenté : "Vous donner le plus clairement possible les meilleurs codes promo exclusifs validés et vérifiés ainsi que tous les bons plans actuels de vos marques préférées."

    Des promotions variées

    Le consommateur y trouve des codes promo très divers par exemple sur les services de déménnageurs, mais aussi sur l'Assurance Santé de votre animal de compagnie avec SantéVet. Les meilleurs codes promo du moment sont facilement accessibles et là aussi très variés : des produits de beauté naturels au menu dans un restaurant, en passant par les produits protéinés.

    PLusieurs sites de marques de sportswear au meilleur prix sont également proposés. Et ce n'est pas tout, quatre comparateurs pour permettre à l'internaute d'économiser sur son assurance habitation, son assurance auto, son forunisseur d'énergie et son déménagement. Tous faciles d'accès, en un simple clic. Enfin, pour ceux qui veulent aller plus loin, des articles utiles sont à lire sur les dernières astuces qui existent.

    Des astuces utiles

    Ainsi on découvre pourquoi les comparateurs en ligne sont utiles : "Internet est donc un endroit idéal pour faire des économies à condition de réussir à trouver les bons plans." On comprend au fil des lignes l'intérêt de comparer avant d'acheter. Pour ceux qui sont propriétaires et recherchent des idées pour améliorer leur habitat, ils pourront, eux, découvrir des conseils : "Comment bien équiper sa maison moins cher ?" L'achat des meubles (lit, matelas et sommier, armoires, commodes, tables et chaises), des objets de décoration (papier peint, adhésif mural, vases, tapis, bas de portes, etc.) est un vrai budget, sans parler des frais pour les matériaux dont les peintures : "l'utilisation d'un site de code promo est adaptée à ce type d'achat et vous fera faire de grandes économies !"

    http://www.economiematin.fr/news-comment-sites-code-promo-change-e-commerce-francais

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  30. Acte 34 : le mouvement des Gilets jaunes se poursuit encore (EN CONTINU)


    6 juil. 2019, 11:04


    Le 6 juillet, les Gilets jaunes se réunissent pour le 34e samedi consécutif. Si le ministère de l'Intérieur a estimé l'acte 33 à 6 000 participants, le Nombre jaune lui a calculé près de 10 000 manifestants. Quel sera cette fois-ci le bilan ?

    Samedi 6 juillet
    14h39 CET

    14h33 CET
    Plus d’une centaine de manifestants battent le pavé à Nancy.

    13h40 CET
    «Une loi contre la fessée, rien contre le LBD [Lanceur de balle de défense]… La Lacrymo élue parfum de l’année par la LREM» : à Paris, un manifestant brandit une banderole afin de protester contre les violences policières.

    D'autres, réclament la libération du fondateur de WikiLeaks Julian Assange.

    13h10 CET
    Le cortège de la principale manifestation parisienne s'élance depuis la place de la République.

    12h05 CET
    En cette journée de départs en vacances, des opérations «péages gratuits» sont organisées de part et d'autre de l'Hexagone. «Barrières ouvertes, c'est départ en vacances», peut-on par exemple entendre expliquer une participante de l'action menée dans la matinée aux abords de Chignin (Savoie).
    Dans le Calvados, les forces de l'ordre sont intervenues en début de matinée pour mettre fin à une opération réunissant quelques dizaines de Gilets jaunes au péage de Dozulé, non loin de Caen.

    Comme le rapporte Le Progrès, quelque 70 Gilets jaunes ont mené une opération barrière levée à Limas (Rhône) dans la nuit du 6 au 7 juillet, avant d’être évacués vers minuit et demi par les forces de l’ordre.

    11h47 CET
    Des Gilets jaunes continuent d'arriver au point de rassemblement parisien.

    La sénatrice EELV Esther Benbassa figure parmi les premiers manifestants rassemblés sur la place de la République.

    11h07 CET
    Dans la capitale, une journaliste RT France s'est rendue sur la place de la République où une poignée participants attendent le départ du cortège parisien, prévu à 11h30.

    Les Gilets jaunes organisent le 34e acte de leur mobilisation, le 6 juillet. Arriveront-ils à ranimer la flamme après ces dernières mobilisations faibles ? Lors de l'acte 33, le 29 juin, ils étaient près de 6 000 selon le ministère de l'Intérieur et 10 000 selon le Nombre jaune à avoir manifesté. Le 6 juillet, les Gilets jaunes seront toute la journée à plusieurs endroits de Paris dont place de la République et aux Buttes-Chaumont. A l'instar des dernières semaines, la préfecture de police a interdit tout rassemblement sur les Champs-Elysées.

    A Toulouse, l'un des épicentres du mouvement, les Gilets jaunes ont intitulé l'événement : «Pas de vacances pour le gouvernement.» A Montpellier et à Lyon, ils appellent directement à la démission d'Emmanuel Macron.

    Une manifestation a été également déclarée à Nancy. Dans l'est de la France, d'autres devraient se positionner devant l'entrée de l'entreprise Saint-Gobain à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle), menacée de vente à des investisseurs chinois, ce qui pourrait entraîner la suppression de «2000 emplois sur le bassin mussipontain», selon les organisateurs de l'événement.

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  31. Plus originale, selon un événement Facebook intitulé Acte XXXIV - Plage Jaune - Clean Walking, une opération de nettoyage de la plage du Petit Travers qui est prévue à Carnon (Hérault).

    A Caen, la préfecture a pris la décision d’interdire les manifestations dans le centre-ville pour le 14e samedi consécutif. Le préfet du Doubs a lui aussi signé un arrêté interdisant les manifestation au centre-ville de Besançon, qui verra se dérouler la traditionnelle braderie.

    Lire aussi : Acte 33 des Gilets jaunes : 200 délégations attendues en Saône-et-Loire

    https://francais.rt.com/france/63669-acte-34-mouvement-gilets-jaunes-se-poursuit-encore

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    1. Malgré qu'aucune des revendication n'est été entendue par la dictature en place depuis 34 semaines, aucune pancarte ne propose la Démocratie pour remplacer la république !!!

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  32. AU PÔLE SUD C'EST L'HIVER (21/6 - 21/9)

    La glace de mer antarctique a atteint son niveau le plus bas depuis 40 ans, mais personne ne sait pourquoi: «retour à la planche à dessin»


    July 5th, 2019


    Mettez cela dans un livre d’histoire: les scientifiques ressemblent à des scientifiques - admettant qu’ils ne comprennent pas

    La glace de mer antarctique a battu des records en 2014, mais en 2016, elle a rapidement diminué et ne s’est pas encore rétablie. En effet, alors que l’hiver austral culmine au maximum, il est à un niveau record. La tendance à long terme est toujours à la hausse, mais elle ne représente plus que la moitié du taux de 2014. Sur ce blog, Mike Jonas a récemment démontré que l'océan Austral s'était refroidi, pas réchauffé comme prévu par tous les modèles. Mais ce qui compte, c’est que la glace de mer recouvre 7% de la planète et nous ne savons pas pourquoi elle change.

    Ce qui est également un record, c'est que la plupart des scientifiques et des journalistes font preuve de retenue et ne blâment pas cela comme un événement lié au changement climatique. Il est possible que les hauts niveaux de glace enregistrés il y a quelques années - ce qui allait totalement à l'encontre des prévisions du modèle climatique - aient empêché les scientifiques d'affirmer qu'ils comprenaient les changements de glace de mer en Antarctique.

    De manière étonnante, le New Scientist fait preuve d’une retenue admirable: la banquise antarctique est en train de décliner de façon spectaculaire et nous ne savons pas pourquoi. C'est la première fois depuis le début de ce blog il y a dix ans que je suis en mesure de le dire. Félicitations Adam Vaughan.

    Des décennies de déclins soudains et dramatiques ont balayé des décennies d'expansion de la banquise en Antarctique, laissant les scientifiques perplexes quant aux raisons pour lesquelles la région s'est renversée si brusquement. Cependant, les chercheurs ont mis en garde contre les changements climatiques et ont souligné qu'il était trop tôt pour dire si la contraction est le début d'une tendance à long terme ou d'un coup sec.

    Le déclin est peut-être simplement dû à la variabilité naturelle, provoquée par le changement de la configuration des vents, qui influence l’étendue de la banquise antarctique, a déclaré Mark Serreze, directeur du centre de données américain sur la neige et la glace. «Il est prématuré d'affirmer que ce récent creux est la preuve du début d'un déclin à plus long terme imputable au réchauffement de l'effet de serre.» - New Scientist.

    En moyenne, au fil des saisons, il y a environ 13 millions de kilomètres carrés de glace de mer autour de l’Antarctique. Même s’il s’agit d’un creux record, elle ne représente que 10% de moins que la normale. À l'heure actuelle, en raison de son hiver, il y a 14 millions de kilomètres carrés de glace de mer, mais à cette époque de l'année, il y en aurait normalement 15 millions de km².

    - voir graphique sur site -

    Glace de mer antarctique, graphique, juin 2019. Source: NSIDC

    Mais l’eau autour de l’Antarctique n’est pas plus chaude que la normale pour cette période de l’année:

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  33. Vous pourriez penser qu’un courant marin chaud pourrait être à blâmer, mais ce n’est pas si simple. La zone noire autour de la glace en dessous montre que la température de surface de la mer a aujourd'hui une «anomalie» de 0,0 ° C. En d'autres termes, repérez les températures moyennes. (Bien qu'il ne s'agisse pas d'un graphique de tendance, il ne s'agit que d'un graphique de la situation quotidienne pouvant changer rapidement).

    - voir graphique sur site -

    SSTA, Anomalie de la température de surface de la mer, Antarctique | Nullschool.

    Ce qui compte, ce sont les tendances à long terme de l'océan Austral. Ce qui précède est une très jolie image.

    Les scientifiques admettent qu'ils doivent revenir à la planche à dessin:
    Maddie Stone, Gizmodo - Janvier 2019:

    «La période de novembre à décembre 2016 était considérée comme une excursion extrême de la banquise antarctique à cette époque», a écrit le NSDIC.

    En bref, les scientifiques ont épinglé la dernière glace de mer sur la variabilité naturelle. Mais on ne sait toujours pas ce qui se cache derrière le krach de cette année. Cecilia Bitz, chercheuse sur les glaces de mer à l’Université de Washington, a déclaré à Earther que le mode annulaire sud n’était pas très négatif pour le moment. Nous ne soignons pas non plus la gueule de bois du monstre El Niño, comme nous le faisions fin 2016.

    «Je pense que nous devons revenir un peu à la planche à dessin», a déclaré Bitz à Earther.

    Bitz hésitait à se demander si les affaissements quasi consécutifs de la glace de mer faisaient partie d'une nouvelle tendance associée au changement climatique. Alors que certaines parties de l'Antarctique ressentent définitivement la chaleur, jusqu'à récemment, la banquise antarctique augmentait légèrement et atteignait un record en 2014. Cela n'annule pas la tendance au réchauffement, elle témoigne simplement de la complexité du comportement de la banquise dans un environnement touché par les courants océaniques et un continent géant.

    Son Ngheim, chercheur principal au Jet Propulsion Laboratory de la NASA, a expliqué à Earther que tout, des vents entraînés par la topographie continentale antarctique aux courants contrôlés par la forme du fond marin de l'océan Austral, influence la banquise Antarctique. Bitz a indiqué que la fonte des glaces sur les bords du continent était un facteur qui pourrait, paradoxalement, aider à la formation de nouvelles glaces de mer en empêchant les eaux profondes plus chaudes de remonter à la surface. Les chutes de neige pourraient également influer sur la variabilité interannuelle de la glace, selon la NASA.

    «Un autre point de faible étendue de la glace de mer en Antarctique cette année ne peut toujours pas être considéré comme une tendance climatique», a écrit Ngher à Earther dans un courrier électronique, soulignant que des flambées de plus bas records ont également eu lieu au début de l'enregistrement satellite.

    Mark Kaufman, Mashable, rapporte que la banquise antarctique était instable dans les années 1960

    Meier a étudié certaines des premières images satellitaires de l'Antarctique, datant des années 1960. Bien que les anciennes images soient de qualité inférieure et incomplètes par rapport aux enregistrements satellites modernes, elles brossent un tableau d'une Antarctique extrêmement variable - semblable à ce que Parkinson a récemment observé. Il y a presque 60 ans, la banquise antarctique présentait presque certainement des sautes géantes, avec une forte chute comparable à celle de ces dernières années, a-t-il noté.

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  34. Encore une fois, rapporté avec une prudence admirable:

    Une chose est cependant plus certaine. Contrairement à l’Arctique, il est beaucoup trop tôt pour dire si le réchauffement climatique est en cause. «Quiconque spécule de manière concluante sur le fait que les nouvelles tendances à la baisse sont liées au changement climatique surestime largement notre compréhension», a déclaré Campbell.

    Mais regardez qui imprime toujours une hyperbole sauvage - USA Today et The Guardian
    Même si nous en savons très peu, le changement climatique persiste selon Damien Carrington:

    La chute «précipitée» de la banquise antarctique depuis 2014 a révélé:
    Selon les scientifiques, la plongée est beaucoup plus rapide que dans l'Arctique et pourrait entraîner un réchauffement global

    The Guardian: La chute de l'étendue annuelle moyenne signifie que l'Antarctique a perdu autant de glace de mer en quatre ans que l'Arctique en 34 ans. La cause des pertes brusques en Antarctique est encore inconnue et seul le temps nous dira si la glace se rétablira ou continuera à se dégrader.

    Mais les chercheurs ont déclaré que la glace pourrait disparaître beaucoup plus rapidement que prévu.

    Ce qui est une autre façon de dire «les scientifiques se sont trompés». La glace de mer a montré aux scientifiques qu’elle pouvait aussi se développer beaucoup plus rapidement que prévu. Le Guardian a-t-il mentionné cela ?

    Comptez les excuses - quelque chose vient de basculer et les chercheurs ne savent pas ce que c’était:

    «L'Arctique est devenu un modèle de réchauffement de la planète», a déclaré Parkinson, mais les récentes chutes de glace de mer en Antarctique ont été bien pires. Elle suit la banquise antarctique depuis plus de 40 ans. «Tous les scientifiques pensaient que le réchauffement de la planète devrait rattraper son retard en Antarctique», a-t-elle déclaré.

    Kaitlin Naughten, spécialiste de la banquise au British Antarctic Survey, a déclaré: «Les vents d’ouest qui entourent le continent signifient que la banquise antarctique ne réagit pas directement au réchauffement climatique moyen régnant sur la planète entière».

    «Les changements climatiques ont une incidence sur les vents, mais le trou dans la couche d'ozone et les cycles à court terme comme El Niño le sont aussi. La glace de mer est également affectée par les eaux de fonte provenant de l'inlandsis antarctique », a-t-elle déclaré. «Jusqu'en 2014, tous ces facteurs avaient eu pour effet global de développer la banquise antarctique. Mais en 2014, quelque chose a basculé et la banquise a considérablement diminué depuis. Maintenant, les scientifiques tentent de comprendre exactement pourquoi cela s'est produit. "

    La seule véritable horreur ici est le peu de compréhension du climat.

    USA Today mentionne le changement climatique d'origine humaine et cite Mark Serreze, directeur du Centre national de données sur la neige et la glace, faisant un peu de publicité émouvante pour la cause. Il a qualifié les niveaux de glace en chute libre de «balade à mains nues». (Jo se demande à quel point devrions-nous paniquer si la banquise antarctique est proche de celle où elle se trouvait en 1981? Choc, horreur. «Les années 80»?)

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  35. - voir graphique sur site -

    Voici le graphique habituel de l'étendue de la glace de mer antarctique:

    Étendue de la glace de mer en Antarctique, carte, juin 2019.
    https://nsidc.org/data/seaice_index/images/daily_images/S_iqr_timeseries.png

    La carte, pour l'exhaustivité et la perspective.

    - voir graphique sur site -

    Anomalie de glace de mer antarctique. Graphique.

    - voir graphique sur site -

    Climate4U nous rappelle que la glace de mer recouvre 7% de la Terre et que la glace de mer antarctique disparaît presque tous les étés car elle s’étend jusqu’au nord du pôle:

    La glace de mer occupe environ 7% de la surface de la planète Terre. L'épaisseur de la glace de mer, son étendue spatiale et la fraction d'eau libre dans la banquise peuvent varier rapidement et profondément en fonction du temps et du climat. La glace de mer couvre généralement environ 14 à 16 millions de kilomètres carrés à la fin de l'hiver dans l'Arctique et 17 à 20 millions de kilomètres carrés dans l'océan Austral autour de l'Antarctique. La diminution saisonnière est beaucoup plus importante autour de l’Antarctique: il ne reste qu’environ trois à quatre millions de kilomètres carrés à la fin de l’été, contre environ sept à neuf millions de kilomètres carrés dans l’Arctique. La principale raison de cette différence est que l'océan Arctique est centré sur le pôle, alors que l'océan Austral ne l'est pas.

    Enfin, quelque chose qui a fondu est dû à la variabilité naturelle du climat
    À partir de janvier de cette année:

    https://phys.org/news/2019-01-antarctica-sea-ice-climate.html

    Pris ensemble, les preuves que nous présentons appuient l'idée que le déclin rapide de la banquise antarctique à la fin de 2016 était en grande partie dû à la variabilité naturelle du climat.

    Depuis lors, la glace de mer est restée généralement bien en dessous de la moyenne en raison de la hausse des températures dans la haute mer autour de l'Antarctique.

    Alors que les scientifiques ne font que deviner, s'agit-il de vents ?

    Nous pensons qu’ils sont le produit de vents d’ouest plus forts que la normale au cours des quelque 15 dernières années autour de l’Antarctique, à nouveau chassés des tropiques. Ces vents d'ouest plus forts ont induit une réaction dans l'océan, des eaux souterraines plus chaudes se dirigeant vers la surface au fil du temps.

    Les eaux tropicales chaudes pourraient-elles faire fondre la banquise antarctique ? Allez les gars…

    La combinaison des températures record à la surface des mers tropicales et de la faiblesse des vents d'ouest en 2016 a réchauffé les 600 m supérieurs d'eau dans la plupart des régions de l'océan Austral autour de l'Antarctique. Ces températures océaniques plus chaudes ont maintenu l'étendue réduite de la glace de mer.

    REFERENCE:
    Clair, L. Parkinson (2019) A 40-y record reveals gradual Antarctic sea ice increases followed by decreases at rates far exceeding the rates seen in the Arctic, PNAS, DOI: 10.1073/pnas.1906556116

    http://joannenova.com.au/2019/07/antarctic-sea-ice-lowest-in-40-years-but-no-one-knows-why-back-to-drawing-board/#more-63327

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    1. Les glaces polaires se forment et se déforment au gré des éruptions volcanique du magma. C'est ainsi que des glaciers peuvent se détacher du fond de mer (Arctique ou Antarctique) et être emportés par les courants océaniques

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  36. Actualité. Iran – USA – Europe


    le 6 juillet 2019


    À l’issue de l’accord entre l’Iran et la ‘Commission du plan d’action compréhensif », c’est lourd, c’est dit, le JCPOA, un organisme émanant de cet accord et supervisé par l’agence internationale de l’énergie atomique (IAEA) et l’ONU, a mandaté des experts internationaux indépendants pour contrôler les activités d’enrichissement d’uranium en Iran. Le JCPOA a été signé en Juillet 2015 entre l’Iran et les E3/EU+3, c’est-à-dire la Chine, la France, l’Allemagne, la Russie, la Grande-Bretagne et les USA. Il a été mis en application en Janvier 2016. Selon les termes de cet accord l’Iran s’engage à limiter ses activités d’enrichissement d’uranium, à se débarrasser de son stock d’uranium enrichi au delà d’une teneur en isotope 235 supérieure à 4 % et de limiter ses activités ultérieures de stockage d’uranium enrichi à 4 % pendant les 15 prochaines années.

    Le Président iranien Hassan Rouhani a prévenu les signataires du JCPOA hors USA le 8 mai 2019 que s’ils ne prenaient pas de mesure pour protéger l’économie de l’Iran contre les sanctions décidées par les USA unilatéralement sans consulter les autres signataires du traité son pays reprendrait ses activités d’enrichissement au delà des limites autorisées par le traité et au delà d’un délai de 60 jours sans action de ces signataires. La position du gouvernement iranien avait au moins le mérite d’être claire. D’ailleurs Rouhani a prévenu hier 5 juillet 2019 que dès le 7 l’Iran reprendra ses activités d’enrichissement « autant qu’il le faudra ». Le Haut commissaire aux affaires internationales européen, les ministres des affaires étrangères de la France, de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne ont déclaré qu’ils restaient toujours en faveur du traité et de son application scrupuleuse par l’Iran. L’attitude des dirigeants Iraniens à l’égard de l’Europe est claire : ils veulent que l’Union européenne agisse rapidement.

    Selon les termes de l’accord JCPOA il est interdit à l’Iran de détenir plus de 300 kg d’uranium (équivalent métal mais sous forme d’oxyde) enrichi à 4 % or le 17 juin dernier l’Organisation de l’Energie Atomique iranienne a prévenu que ses stocks dépasseraient cette limite le 27 juin. L’agence de presse iranienne ISNA a confirmé ces derniers jours que cette limite avait été dépassée. Les représentants de la JCPOA se sont donc réunis le 28 juin pour appeler l’Iran à respecter les termes de l’accord et à discuter d’une procédure pour contourner les sanctions imposées par les USA sans avoir consulté les co-signataires de l’accord JCPOA. La réunion était présidée par le secrétaire aux affaires extérieurs européennes Helga Schmid mandatée par le Haut Commissaire européen Federica Mogherini. Elle comprenait l’Iran, la Chine, la France, l’Allemagne, la Russie et la Grande-Bretagne.

    Sur le site du Ministère des Affaires Etrangères de Russie, le vice-ministre des affaires étrangères Sergey Ryabkov a déclaré que le retrait des USA du JCPOA était regrettable, qu’il mettait en danger le processus d’application du traité et que ce retrait était en claire violation de la résolution 2231 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies. Ce retrait constituait un sérieux coup pour la sécurité régionale (au Moyen-Orient) et mondiale.

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  37. Ryabkov a ajouté qu’il était du devoir des autres signataires de trouver des mesures pratiques pour que l’Iran puisse exporter son uranium enrichi ainsi que ses stocks d’eau lourde en dépit des sanctions américaines. Il a ajouté que l’IAEA était le seul organisme autorisé à faire appliquer par l’Iran ses obligations dans le cadre du JCPOA et qu’il était d’une extrême importance que l’IAEA remplisse scrupuleusement sa mission de contrôle des activités nucléaires iraniennes. La « commission conjointe » a également précisé que selon le paragraphe 8 des dispositions mises en place lors de la réunion des ministres du 6 Juin 2018 il était du devoir des pays signataires de mettre en place des mesures concrètes afin de maintenir des conditions de normalisation des relations économiques et commerciales avec l’Iran. Après la réunion de la dernière semaine de ce mois de Juin passé, les déclarations ont clairement signifié qu’il était du devoir des signataires (hors USA) d’oeuvrer pour préserver la stabilité et la paix dans la région moyen-orientale. Dans le même temps il était du devoir de ces derniers d’oeuvrer de telle sorte que les sanctions US soient levées, sanctions pour lesquelles ils exprimaient leur vif regret …

    Madame Helga Schmid a insisté sur les progrès du mécanisme INSTEX (INstrument in Support of Trade EXchanges), un véhicule spécial mis en place par la France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne en janvier 2019 pour faciliter les transactions commerciales avec l’Iran hors dollar. Ces trois pays ont informé les participants au meeting que l’INSTEX était opérationnel, accessible à tous les membres de l’Union Européenne et que les premières transactions étaient en cours de traitement. Ce mécanisme INSTEX est destiné à être ouvert à d’autres pays ne faisant pas partie de l’Union Européenne, selon Helga Schmid.

    Les participants ont aussi été informés des progrès effectués dans la mise en conformité du réacteur de recherche iranien Arak ainsi que l’installation de production d’isotopes faisant partie de la conversion de l’usine de Fordow dans le cadre des termes du JCPOA. L’IAEA a confirmé que dans le cadre du JCPOA l’Iran avait déjà exporté vers la Russie 11 tonnes d’uranium métal vers la Russie, démantelé une grande partie des centrifugeuses de Natanz et de Fordow et que le réacteur Arak ne pouvait plus être opérationnel car les ouvertures de la cuve du coeur du réacteur avaient été pratiquées selon les termes du traité JCPOA.

    Source : IAEA

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  38. Commentaire. Le trio Bolton-Pompeo-Trump se moque des accords internationaux et des résolutions de l’ONU, ce n’est pas nouveau dans l’attitude américaine. Les Américains se croient toujours les maîtres du monde et ils croient également que leur dollar subsistera à leurs turpitudes. Ils considèrent que le « billet vert » leur permettra de dominer le monde. Si les Européens, appuyés par la Chine et la Russie – cette fois-çi c’est un élément nouveau – refusent de « baisser leur culotte », excusez cette expression avilissante, et résistent au diktat américain en implémentant le dispositif INSTEX alors la suprématie du dollar sera détruite de facto. Les Iraniens commerceront en roubles, en yuans ou en or et donc, si les dirigeants européens ont une once de respect d’eux-mêmes, en euros. Reste à savoir quelle sera l’attitude à l’évidence pro-européenne de Christine Lagarde mais aussi, imprégnée de culture anglo-saxonne depuis de nombreuses années, vendue aux intérêts de la politique de la Maison-Blanche (je peux me tromper et je l’espère). Les Allemands à qui a été confiée la responsabilité de co-signer l’accord JCPOA alors qu’ils ne sont pas une « puissance nucléaire » devraient honorer leur engagement. Par contre faire confiance aux Anglais … on n’est plus à l’époque de Churchill ! Bref, sans la pression des Russes et des Chinois, alliés de l’Iran et qui n’ont pas du tout apprécié le revirement de l’administration américaine, si Trump et ses complices « imbéciles » comme le dit si bien Paul C. Roberts ne considèrent pas la réalité de la situation ils récolteront une « dédollarisation » accélérée du commerce international et un rapprochement inévitable entre l’Europe et la Russie et le jeu de poker menteur organisé par la Maison-Blanche s’arrêtera parce que aucun des autres joueurs ne pariera plus sur le dollar.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/07/06/actualite-iran-usa-europe/

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  39. Les asticots sont la solution pour nourrir une population humaine qui compte neuf milliards d'habitants

    Un seul acre de larves de mouche soldat noire peut produire plus de protéines que 3 000 acres (12 ha) de bétail ou 130 acres de soja


    Christopher Ingraham
    3 juillet 2019
    12h46 HAE


    COLLEGE STATION, Texas - Il peut être difficile de comprendre l’attrait de plonger la main dans un tas de larves qui se tordent. Mais la sensation est uniquement tactile, pas du tout désagréable, car des milliers de larves douces et charnues, chacune de la taille d’un grain de riz, se tortillent contre votre peau, de minuscules pièces buccales piquant délicatement votre chair.

    Pour Lauren Taranow et ses employés, c’est un jour de plus au travail.

    Taranow est le président de Symton BSF, où les larves de mouches soldats noires sont récoltées et vendues comme nourriture pour des animaux exotiques tels que les lézards, les oiseaux et même les hérissons. Sa «ferme à mouches», comme elle l'appelle, fait partie d'un secteur en plein essor, avec le potentiel de révolutionner la façon dont nous nourrissons le monde. C’est en raison de la capacité remarquable de la larve soldat noir à transformer presque toutes sortes de déchets organiques - déchets de cafétéria, fumier et même d’algues toxiques - en protéines de haute qualité, tout en réduisant au minimum son empreinte carbone.

    En un an, un seul acre de larves de mouche soldat noire peut produire plus de protéines que 3 000 acres de bétail ou 130 acres de soja. Ces rendements, combinés à la nécessité de trouver des protéines fiables et bon marché pour une population mondiale estimée à un bond de 30%, pour atteindre 9,8 milliards d'ici 2050, représentent une grande opportunité pour le soldat noir. Les Nations Unies, qui préviennent déjà que les régimes riches en animaux ne peuvent s’étendre aussi longtemps, encouragent les gouvernements et les entreprises à se tourner vers les insectes pour répondre aux besoins en protéines de la planète.

    Les gens qui ont vu ce que les larves de mouches de soldats noirs peuvent faire parlent souvent d’eux de façon évangélique. Jeff Tomberlin, professeur d’entomologie à la Texas A & M University, a déclaré que l’industrie des insectes pourrait «sauver des vies, stabiliser les économies, créer des emplois et protéger l’environnement».

    "Il n’y a aucune raison pour que nous ne fassions pas cela à une certaine échelle dans le monde", a-t-il déclaré.

    Alors pourquoi pas nous ?

    Lorsque les lumières LED sont allumées dans la salle de reproduction des mouches d’Evo Conversion Systems, le vacarme de milliers de petites ailes remplit l’air alors que les mouches se soucient de leurs enceintes blindées à la recherche d’un partenaire. Evo, fondée par Tomberlin, partage un mur avec Symton. Les sociétés sont distinctes mais symbiotiques: Evo élève des larves de mouches et les vend à Symton, ce qui les grasse sur un mélange de grains exclusif qui garantit une nutrition optimale aux animaux qui les consommeront.

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  40. Les mouches adultes ressemblent à de petites guêpes noires moins un stinger et sont généralement inoffensives pour l'homme. Après leur accouplement, les femelles déposent des couvées de plusieurs centaines d’œufs dans de petits morceaux de carton ondulé. Les employés d'Evo collectent le carton et le déposent dans des bocaux en verre Mason pour les incuber. Quelques jours plus tard, une couvée d'asticots - chacun pas plus gros qu'un grain de poivron - éclosent.

    Les entomologistes connaissent la promesse de la braguette soldat depuis des décennies. Les chercheurs ont proposé de les utiliser pour convertir le fumier en protéines dès les années 1970. Mais les élever à n'importe quel point se rapprochant d'une échelle commerciale semblait être une impasse: personne ne savait comment amener des mouches captives à s'accoupler et à déposer des œufs de manière fiable.

    Cela a changé en 2002 avec la publication d'un article de Tomberlin, son conseiller D. Craig Sheppard et d'autres, qui décrivait un système pour élever les insectes en captivité. Ils ont découvert que la clé était de trouver le mélange précis de température, d’humidité et, en particulier, d’éclairage pour stimuler la reproduction des mouches.

    Avant le journal, "les gens pensaient que nous étions fous" pour essayer de faire pousser des mouches soldats, a déclaré Tomberlin. Le fait que la technologie permettant de cultiver correctement les colonies de mouches n’existent même pas il ya 20 ans souligne la nouveauté de cette industrie, a t-il ajouté.

    Une larve de mouche soldat noire peut consommer deux fois son poids en aliments chaque jour. Au cours de son périple de 14 jours, de la naissance à la nymphe, une seule larve deviendra longue d'un pouce et son poids sera multiplié par 10 000. Cela ressemble à un bébé de huit livres qui gonfle à la taille d’une baleine à bosse de 40 tonnes. Ils consomment en abondance pour accumuler des nutriments pendant les deux semaines de leur vie à l’âge adulte, alors qu’ils ne mangent généralement rien du tout.

    Les larves à Evo se régalent des grains épuisés d'une poignée de distilleries et brasseries du Texas, jusqu'à 15 tonnes par mois. Nathan Barkman, de Rio Brazos Distillery, a déclaré que Evo éliminait près de la moitié de la production hebdomadaire de déchets de sa société. C’est chaud, humide, très acide et collant - "comme de la lave", a-t-il dit - rendant difficile son élimination. Les entreprises d’assainissement locales ne le prendront pas. Les éleveurs de porc le feront parfois, mais les fermes les plus proches sont à des kilomètres de la ville et personne ne veut conduire de la purée de céréales en fusion aussi loin.

    Les mouches, cependant, adorent ça. "Ce sont des généralistes", a déclaré Tomberlin, et mangent à peu près n'importe quoi. Fumier de porc ? Vérifier. Déchets humains ? Vérifier. Les restes de nourriture ? Vérifier. Les seuls matériaux organiques avec lesquels ils n’ont pas eu de chance sont les os, les cheveux et les écorces d’ananas, a-t-il déclaré.

    Leur capacité à dévorer rapidement les déchets a inspiré de nombreuses applications commerciales. Un programme pilote à la Louisiana State University déploie une petite colonie de soldats soldats pour consommer la nourriture que ses étudiants jettent dans un réfectoire. L'entomologiste responsable du projet espère que celui-ci sera étendu pour éliminer tous les déchets alimentaires du campus d'ici la fin de l'année. En Chine, des installations géantes appartenant à une société appelée JM Green traitent au moins 50 tonnes de déchets alimentaires par jour à l'aide de mouches de soldats noirs.

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  41. Utiliser les larves pour éliminer les déchets alimentaires à cette échelle pourrait changer radicalement la donne écologique. Un rapport publié en 2011 par les États-Unis a expliqué en détail comment des aliments en décomposition émettaient des millions de tonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, représentant environ 7% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Mais quand les asticots consomment des déchets alimentaires, ils emportent tout ce carbone avec eux.

    Les mouches de soldats sont «où le carbone va mourir», a déclaré Tomberlin. "Il entre dans ce système et sort de l'autre extrémité comme tous ces ingrédients bénéfiques."

    Tels que la nourriture pour les animaux.

    - - -

    Dans l’entrée de Symton, se trouve un caméléon grincheux nommé Eugene qui a tendance à siffler devant les visiteurs qui s’approchant trop. Il y a aussi un gecko de léopard au caractère doux qui passe la majeure partie de sa journée à somnoler sous un rocher. Une pichet asiatique en pot est suspendue au plafond. Ses longues tasses charnues pendent au bord du pot, ses gueules agapées.

    Les plantes caméléon, gecko et pichet ont un point commun: elles mangent des mouches soldats.

    L'une des premières applications commerciales des larves de mouches soldats était l'alimentation vivante pour les reptiles de compagnie. Le marché des reptiles a pris son envol dans les années 1990, a déclaré David Fluker, producteur de cricket de deuxième génération et propriétaire de Fluker Farms à Port Allen, La. Après le film «Jurassic Park» (1993), a suscité l’intérêt pour les dinosaures et l’enthousiasme pour leur approximations les plus réalisables.

    «Les reptiles étaient relativement populaires, mais ils sont partis après cela», a-t-il déclaré.

    Les grillons et les vers de farine - cultivés depuis des décennies dans le sud-est des États-Unis, d'abord comme appâts pour les pêcheurs - étaient depuis longtemps les deux piliers de l'industrie des aliments à base de lézard. Le problème, cependant, est qu’ils ne peuvent pas satisfaire les besoins en calcium des reptiles. Cela signifie que les propriétaires d'animaux domestiques doivent épousseter les aliments vivants avec le minéral pour se protéger des carences en calcium, qui peuvent provoquer des tremblements, des convulsions et même la mort.

    Le soldat mouche résout ce problème. Sheppard, conseiller de Tomberlin, a découvert qu’ils sont extrêmement riches en calcium - 50 fois plus par gramme que les vers de farine et les grillons. Quelques années plus tard, en 2006, il a obtenu une marque de commerce autorisant les larves de mouches soldats à nourrir les geckos, les dragons barbus et d’autres reptiles. Peu de temps après, d'autres entreprises d'aliments pour animaux de compagnie plus établies sont entrées sur le marché avec leurs propres marques de mouches soldats.

    Symton est l’un des nouveaux venus sur ce marché. La société texane occupe plusieurs milliers de pieds d’entrepôts commerciaux et compte environ une douzaine d’employés. C’est déjà rentable et sa croissance est rapide: la production de larves a doublé au cours des six derniers mois, jusqu’à deux millions par semaine.

    La majeure partie de la magie se déroule dans une seule pièce remplie de paniers de bacs en plastique ouverts. Chaque conteneur contient des milliers de larves à différents stades de développement et se fraye un chemin à travers des piles de purée de céréales spécialement formulée.

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  42. Comme la culture des soldats à la mouche est si nouvelle, il y a eu beaucoup d'essais et d'erreurs pour amener la société là où elle se trouve aujourd'hui, a déclaré Taranow. Les chercheurs ont dû calculer la bonne combinaison d’aliments et d’humidité (la production de cricket, en revanche, est si bien établie que vous pouvez acheter de la nourriture pour cricket dans des sacs de 40 livres). Ils devaient déterminer le bon rapport poids / alimentation, ainsi que la température, l'éclairage et l'humidité précis nécessaires pour que les larves atteignent la taille souhaitée. Si une variable est hors de contrôle, toute la colonie peut tomber en panne.

    Un autre défi pour les éleveurs de soldats est que les larves sont étonnamment malicieuses. Une larve humide peut changer de surface, du bois au verre, de sorte que les producteurs doivent maintenir des niveaux d'humidité spécifiques pour les empêcher de s'humidifier, de s'échapper de leur environnement et de se mettre en colère. Un groupe de larves sèches laissées seules dans un enclos sans nourriture se rassemblera dans un coin, empilant le style «World War Z» jusqu’à ce qu’elles soient assez grandes pour permettre à leurs compatriotes de s’échapper. Symton a résolu ce problème, en partie, en empilant une purée humide au centre de leurs bacs avec un fossé de matériau sec sur les bords pour empêcher toute fuite.

    Après avoir atteint la taille souhaitée, les larves sont tamisées, pesées et versées dans des récipients en plastique, puis expédiées dans tout le pays. L'un des sous-produits du processus est l'excrétion, terme scientifique qui désigne les excréments d'insectes. Symton produit des morceaux de ce matériel, qu’il empile à l’extérieur de l’installation et en donne aux paysagistes locaux pour les utiliser comme compost.

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    Un acre de terre utilisé pour élever des colonies de soldats peut produire plus de 130 000 livres de protéines par an, selon diverses estimations revues par des pairs. C’est plusieurs ordres de grandeur supérieurs au rendement protéique par acre de bovins (environ 40 livres), de soja (950 livres) ou de poulets (1 800 livres).

    «Les larves de mouche soldat noires peuvent produire mille fois plus de protéines que les animaux terrestres ou d’autres plantes», a déclaré Liz Koutsos, directrice générale d’EnviroFlight, basée au Kentucky, qui élève des larves de mouche soldat utilisées dans la farine protéinée pour les opérations commerciales de poisson et de volaille. Les rendements sont si élevés que les colonies de soldats peuvent être empilées verticalement, cinq à dix par étage, d’une manière qui n’est pas possible avec du bétail ou des grandes cultures. Les larves à croissance rapide peuvent également être récoltées des dizaines de fois par an.

    À l'instar d'Evo, EnviroFlight nourrit ses sous-produits larvaires de l'industrie de la distillation. Lorsque les larves atteignent leur taille réelle, elles sont récoltées, séchées dans des fours industriels et transformées en un repas riche en protéines et en une huile. Cependant, la technologie évolue si rapidement que les organismes de réglementation ont du mal à suivre.

    La farine de soldat noir n’a été approuvée comme aliment pour le poisson et la volaille qu’en 2018. Selon Koutsos, EnviroFlight et des entreprises telles que Enterra au Canada et Protix dans l’Union européenne s’efforcent d’obtenir l’approbation réglementaire pour l’utilisation du repas dans la nourriture pour d’autres animaux, y même les chats et les chiens.

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  43. L'idée est de réduire la pression sur les sources traditionnelles de protéines, comme le poisson. Environ le quart de la récolte des pêcheries marines est transformé en nourriture pour les animaux d’élevage, y compris le poisson, les porcs et la volaille. Plus de 90% de ces pêcheries sont soit pleinement exploitées, soit surexploitées, ce qui signifie que la population mondiale augmentant, la demande de sources de protéines alternatives augmentera.

    "Il ne fait aucun doute que la farine de soldat est beaucoup plus chère que la farine de poisson", a déclaré Koutsos. Mais la farine de poisson devient de plus en plus chère et la technologie de la mouche soldat devient moins chère. L’objectif, a-t-elle déclaré, est «d’être égal ou inférieur à la farine de poisson (prix) dans cinq ans».

    «Il y a vingt ans, j'aurais ri» à l'idée de nourrir le monde avec des insectes, a déclaré Fluker, producteur de cricket en Louisiane. Il a récemment étendu sa production à la mouche soldat et a découvert que les larves mangent les déjections produites par ses millions de grillons. Il a déclaré qu’il considérait la culture des insectes comme "un lien vital pour répondre aux besoins alimentaires mondiaux".

    Les données économiques sont suffisamment prometteuses pour que les grandes entreprises agricoles se lancent sur le marché des protéines pour insectes. Cargill, le géant de l’agriculture basé au Minnesota, a annoncé le mois dernier un partenariat avec la société de biotechnologie française InnovaFeed afin de produire des aliments pour poissons à base de larves de mouches soldats noires.

    «L’alimentation protéique d’insectes peut être une solution et une source renouvelable de protéines pour nourrir les poissons et nourrir le monde», a déclaré Maye Walraven, responsable du développement commercial d’InnovaFeed, dans une vidéo annonçant le partenariat.

    Les États-Unis en conviennent: un rapport de 2013 prévoyait que l'élevage d'insectes devrait jouer un rôle clé - à la fois comme aliment du bétail et pour nourrir les hommes - si le monde devait être nourri de manière durable dans les décennies à venir.

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    De retour à Symton, Taranow lui envoie dans la bouche deux larves de mouches soldat séchées au four. «Honnêtement, ils ont le même goût que Fritos», a-t-elle déclaré.

    Ils ont un goût de noisette agréable et neutre. Les assaisonner dans un assaisonnement de ranch ou de barbecue en poudre et il est facile d’imaginer des sacs volants hors des étagères des relais routiers et des dépanneurs.

    Les larves séchées ont également un avantage sur d’autres insectes comestibles, comme les chapulines du Mexique, par exemple, car elles ne ressemblent pas vraiment à des insectes. Ils ont peu de caractéristiques de buggy identifiables - pas de jambes pour rester coincé dans les dents, pas d'yeux pour vous regarder. Il serait assez facile de les confondre avec une sorte de grain exotique.

    Selon le rapport publié en 2013, près de 2 milliards de personnes dans le monde incluent déjà des insectes dans leur régime alimentaire. Les collations à base d'insectes sont couramment utilisées sur les marchés en plein air, par exemple en Thaïlande et en Chine.

    Cette pratique n’a pas fait son chemin en Europe ni aux États-Unis, en partie à cause d’attitudes culturelles de longue date à l’égard des insectes. C'est un peu étonnant, étant donné que de nombreux Occidentaux consomment avec bonheur des aliments tels que le crabe et le homard, qui sont en réalité des punaises géantes.

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  44. "Je pense absolument qu'il y aura des applications [pour le soldat fly] sur le marché de l'alimentation humaine", a déclaré Koutsos d'EnviroFlight. "Le défi est de surmonter le facteur grincheux."

    Les poudres de protéines à base d’insectes peuvent être mélangées à d’autres aliments, ce qui réduit le facteur de perte de valeur. Plusieurs compagnies le font déjà avec des grillons.

    "Beaucoup d'efforts ont été déployés dans la farine de cricket ou les vers de farine pour les ingrédients protéiques dans tous les domaines, des pâtes aux biscuits en passant par les croustilles", a déclaré Tomberlin.

    Il s'attend à ce que les protéines de la mouche soldat suivent un chemin similaire. "Lorsque vous marcherez dans ces installations au cours des 10 prochaines années, nous reviendrons sur cette époque et nous dirons que nous venons tout juste de commencer."

    Les consommateurs américains adopteront-ils un jour des protéines à base d'insectes? Comme Fluker l'a dit, il y a vingt ans, l'idée aurait été risible. Mais aujourd'hui, à l'ère du végétarien Whopper, la porte est ouverte.

    https://nationalpost.com/news/world/maggots-are-the-answer-to-feeding-a-human-population-thats-heading-to-nine-billion-people#comments-area

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  45. Le verdissement mondial se produit plus rapidement que le changement climatique, et c’est une bonne chose.

    5 juillet 2019
    par Matt Ridley, écrivant dans Die Weltwoche


    Le gaz carbonique est un aliment pour plantes. Le verdissement de la terre signifie plus de nourriture pour les animaux et de meilleurs rendements pour les humains. Pourquoi personne n'en parle ?

    - voir dessin sur site -

    Les zones vertes sont les zones dans lesquelles la végétation a augmenté depuis 1982, massivement dans certaines zones. Infografic: Université de Boston

    Alors que l'on parle d'une catastrophe planétaire imminente causée par des émissions de gaz carbonique, un autre fait est souvent ignoré: l'écologisation mondiale se produit plus rapidement que le changement climatique. La quantité de végétation qui pousse sur la terre augmente chaque année depuis au moins 30 ans. Les preuves proviennent du taux de croissance des plantes et des données satellitaires.

    En 2016, 32 auteurs issus de 24 institutions de huit pays et ayant analysé des données satellitaires ont conclu à une augmentation d'environ 14% de la végétation verte sur 30 ans. L'étude attribue 70% de cette augmentation à la quantité supplémentaire de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. L'auteur principal de l'étude, Zaichun Zhu de l'Université de Beijing, estime que cela revient à ajouter un nouveau continent de végétation verte deux fois plus grande que le continent américain.

    Le verdissement mondial a touché tous les écosystèmes - de la toundra arctique aux récifs coralliens, en passant par le plancton et les forêts tropicales humides - mais se manifeste surtout dans des régions arides comme la région sahélienne de l’Afrique, où la désertification s’est largement inversée. Cela est dû au fait que les plantes perdent moins d’eau en absorbant le gaz carbonique si la concentration en gaz carbonique est plus élevée. Les écosystèmes et les fermes seront moins stressés par l’eau à la fin du siècle que ce n’est aujourd’hui pendant les périodes de faibles précipitations.

    Il ne devrait y avoir aucune surprise à propos de cette nouvelle. Des milliers d'expériences ont été menées au cours de nombreuses années au cours desquelles les niveaux de gaz carbonique ont été augmentés par rapport aux cultures ou aux écosystèmes sauvages et ont stimulé leur croissance. Les propriétaires de serres commerciales pompent généralement du gaz carbonique dans l'air pour accélérer la croissance des plantes. Le gaz carbonique est un aliment végétal.

    Ce verdissement est une bonne nouvelle. Cela signifie plus de nourriture pour les insectes et les cerfs, pour les éléphants et les souris, pour les poissons et les baleines. Cela signifie des rendements plus élevés pour les agriculteurs; en effet, l'effet a probablement ajouté environ 3 000 milliards de dollars au revenu agricole au cours des 30 dernières années. Il faut donc moins de terres pour nourrir la population humaine et davantage de ressources pour la faune.

    Pourtant, cela n'est jamais mentionné. Dans leur désespoir de garder la peur alarmiste sur la piste, les activistes qui vivent de la peur du changement climatique font de leur mieux pour ignorer cette vérité qui dérange. Quand ils ne peuvent pas éviter le sujet, ils disent que le verdissement est un phénomène temporaire qui se résorbera dans la dernière partie de ce siècle. La preuve de cette affirmation provient de quelques modèles alimentés avec des hypothèses extrêmes, de sorte que l'on ne peut pas faire confiance.

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  46. Ce phénomène biologique peut également aider à expliquer le début et la fin des périodes glaciaires. Il a toujours été un mystère que les périodes glaciaires se refroidissent progressivement pendant des dizaines de milliers d’années, puis se réchauffent à nouveau soudainement en quelques milliers d’années. Les énormes calottes glaciaires de l’Eurasie et de l’Amérique du Nord s’effondrent et le monde entre interlude plus chaleureux, comme celui dont nous jouissons depuis 10 000 ans.

    Les tentatives d'explication de ce schéma cyclique ont pour la plupart échoué jusqu'à présent. Les niveaux de dioxyde de carbone suivent les changements, mais ils augmentent après que le monde commence à se réchauffer et diminuent après que le monde commence à refroidir. Ils ne sont donc pas la cause. Les modifications de la forme de l’orbite terrestre jouent un rôle, les plaques de glace s’effondrant lorsque les étés septentrionaux sont particulièrement chauds, mais seuls certains de ces «grands étés» entraînent la déglaciation.

    Les carottes de glace récentes de l’Antarctique semblent enfin avoir cerné le coupable: tout est une question de plantes. Au cours des périodes glaciaires, le niveau de dioxyde de carbone dans l'atmosphère diminue régulièrement, car les océans plus froids absorbent davantage de gaz. Finalement, il atteint un niveau si bas - environ 0,018 % au plus fort de la dernière période glaciaire - que les plantes ont du mal à pousser, surtout dans les zones sèches ou à haute altitude. En conséquence, de gigantesques tempêtes de poussière recouvrent toute la planète, atteignant même l'Antarctique, où la quantité de poussière dans la glace grimpe de façon spectaculaire. Ces tempêtes de poussière noircissent en particulier les calottes glaciaires du nord, ce qui les rend très vulnérables à la fonte rapide lorsque le prochain grand été arrive. La période glaciaire était une période horrible pour être en vie, même sous les tropiques: froid, sec, poussiéreux et beaucoup moins de vie végétale qu’aujourd’hui.

    Comme Svante Arrhenius, le Suédois qui a d'abord mesuré l'effet de serre, a déclaré:

    «En raison de l’influence du pourcentage croissant d’acide carbonique dans l’atmosphère, nous pouvons espérer profiter de siècles sous des climats plus équitables et meilleurs.»

    Profitez de la végétation luxuriante du monde actuel et du fait que la végétation verte change plus rapidement que les températures moyennes mondiales.

    https://www.weltwoche.ch/ausgaben/2019-27/artikel/freut-euch-des-uppigen-gruns-die-weltwoche-ausgabe-27-2019.html

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  47. EN L'ABSENCE DE DEMOCRATIE...

    Sommes-nous vraiment libres ? Peut-être qu'il est temps de faire une déclaration personnelle d'indépendance


    par Tyler Durden
    Samedi, 07/06/2019 - 23:00
    Via le blog Organic Prepper,


    À quel point l'un de nous est-il indépendant ?

    Nous aimons penser que nous vivons dans le pays le plus libre du monde, mais le faisons-nous vraiment ? Penses-y.

    Le PDG de Crunch Fitness 'se prépare pour une croissance réellement explosive' après son acquisition

    Vous ne possédez jamais votre maison, même lorsque l'hypothèque est remboursée. Chaque année, vous devez payer votre extorsion de fonds à la ville ou croyez-moi, vous ne vivrez pas longtemps dans cette maison.

    La même chose avec votre voiture. Si vous ne payez pas votre paiement annuel d’extorsion sur votre véhicule et que vous payez cent dollars pour un minuscule autocollant qui vous donne l’autorisation de le conduire, celui-ci sera rapidement emporté par la ville avec la bénédiction du gouvernement. Ensuite, comme une négociation d’otages qui a mal tourné, vous devrez payer encore plus pour couvrir le vol et l’entreposage de VOTRE véhicule.

    Sur une base régulière, vous devez payer des frais et demander au gouvernement la permission de faire un certain nombre de choses, telles que conduire une voiture, voyager à l'étranger, gérer une entreprise, ajouter une autre salle de bain à votre maison ou même attraper un poisson. Pour dîner.

    Les permis et licences génèrent de gros revenus du début à la fin - et si vous continuez sans demander la permission, ils vous extorqueront plus d’argent sous forme d’amendes. Si vous refusez de payer les amendes (ou si vous ne le pouvez pas), ils vous kidnapperont et vous enfermeront dans une cage, où vous serez forcé de faire un travail manuel à 10 cents de l'heure, quelle que soit la durée de validité des autorités judiciaires. sentir suffit à vous donner une leçon.

    Il existe des endroits dans notre pays où vous ne pouvez pas utiliser votre propriété comme vous le souhaitez. Il y a des zones où vous ne pouvez pas collecter l'eau qui tombe sur vos terres. Il y a des endroits où vous n'êtes pas autorisé à détacher votre maison de la grille. Il y a des endroits qui dictent où votre potager peut pousser (ou même si vous êtes autorisé à en avoir un), des endroits qui ne vous permettent pas de mettre vos vêtements à sécher, et des endroits qui interdisent de dormir dans votre voiture.

    En fin de compte, certains endroits aux États-Unis sont plus libres que d’autres, mais nous sommes tous encore des serfs qui paient des mensonges aux seigneurs.

    J'en ai marre.

    Saviez-vous que, en tant que propriétaire d'entreprise, lorsque j'écris un chèque de paie de 1 200 dollars à un employé, cela me coûte 1 399,91 dollars et qu'elle ne dispose que de 1042,12 dollars? Pensez à ce que nous pourrions tous faire avec un supplément de 357,79 $ par période de paie. Je parie que nous ne sortirons pas des guerres sur le sol des autres avec elle. Je parie que nous n’enrichirions pas les politiciens, les fabricants d’armes et les groupes d’intérêts particuliers.

    Je ne sais pas pour vous, mais j'en ai marre.

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  48. J'en ai assez d'être taxé localement sur l'entreprise que j'ai créée en utilisant absolument aucune ressource municipale, d'être taxé sur le salaire que je verse à mes employés, d'être taxé sur la voiture que la banque et moi-même possédons, d'être invité à une liste de la propriété personnelle afin que le gouvernement local puisse me taxer sur cela aussi.

    Malade.

    De.

    Cà.

    Et cela va bien au-delà de la taxation.

    Notre gouvernement n’est pas vraiment composé des élus qu’il prétend avoir. Il est constitué, principalement, de gens qui vendent leur âme à d’énormes sociétés qui ont intérêt à ce que des lois bénéfiques soient adoptées (et que des lois qui nuiraient à leurs activités soient fermées avant même qu’elles n’atteignent le bureau des présidents.

    De plus, les entités de surveillance supposées, telles que la Food and Drug Administration, la Environmental Protection Agency et le Department of Agriculture des États-Unis sont peuplées et dirigées par des personnes sélectionnées pour soutenir les entreprises, quel que soit le préjudice subi par le gouvernement. Peuple américain qu'ils prétendent protéger. Si le Congrès ressemblait à Nascar, les membres seraient obligés de porter des uniformes portant les noms de leurs sponsors. Cependant, Washington DC n'a pas la transparence de la course automobile professionnelle, nous devons donc deviner les sponsors de nos "représentants".

    Nous sommes ensevelis sous des lois stupides dans le seul but de générer des revenus ou d’augmenter la main-d’œuvre esclave dans le système pénitentiaire à but lucratif. Nous devons travailler la plupart de nos heures de veille pour pouvoir payer nos nécessités de base. Nous sommes convaincus à plusieurs reprises par le biais du divertissement et des médias sociaux que nous devons avoir des choses que nos ancêtres n'auraient jamais envisagées de posséder, et encore moins nécessitantes.

    La plupart des gens sont convaincus qu'ils doivent respecter la pyramide alimentaire, le calendrier de vaccination et les règles qui nous obligent à obtenir des licences pour chaque chose que nous faisons. Nous devons payer et obtenir la permission de nous nourrir, de nous transporter, de nous construire des abris, de nous unir dans le mariage et même de posséder des animaux de compagnie.

    Nous sommes gouvernés par la peur et la manipulation.

    Telle une sorte de parent autoritaire effrayant, ils nous assurent que c’est pour notre propre sécurité, ces violations de notre indépendance et que nous devons nous conformer ou faire face aux conséquences. Ils nous ont mis à la terre en enlevant nos permis. Ils nous envoient dans nos chambres qui se trouvent dans des prisons à but lucratif. Ils ne nous permettent pas de poursuivre la vie, la liberté et le bonheur, car une fois que nous avons goûté à cette douce liberté, nous ne voulons plus être sous leur pouce oppressant.

    Mais certains d'entre nous ont vu le gouvernement d'entreprise pour ce qu'il est: un tyran qui règne par peur des représailles et des torts graves. Ils nous tiennent ces craintes:

    Nous mourrons si nous ne mangeons pas de choses qui ont été inspectées et approuvées par eux.

    Nous serons emprisonnés, condamnés à une amende ou à nous faire enlever nos enfants si nous ne respectons pas les règles du jeu, nous les vaccinons selon les instructions, nous les soignons selon les recommandations.

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  49. Nous sommes incapables de nous débrouiller seuls, car nous ne sommes pas des «experts». Nous devons donc supprimer nos propres jugements et nous plier à leur savoir beaucoup plus étendu.

    Nous mourrons si nous ne suivons pas leurs conseils d’experts en matière de santé et de nutrition.

    Nous serons assassinés par de terrifiants terroristes étrangers si nous ne permettons pas à la TSA de se caresser les parties intimes et d’effectuer des radiographies qui nous montrent nues avant de prendre l’avion.

    Certaines personnes craignent ces choses et croient si profondément à ces récits. Elles permettent au gouvernement de faire respecter des lois ridicules et inconstitutionnelles "pour notre propre sécurité". terroriste."

    Que vous appeliez cela liberté, liberté, souveraineté ou autonomie gouvernementale, le point reste le même: si vous lisez ceci, vous voulez probablement déterminer votre propre vie, que le résultat soit un succès ou un échec. Vous voulez avoir le contrôle de votre capacité à vivre réellement, et ne pas simplement exister en tant qu'esclave des pouvoirs en place.

    Vous pouvez retirer votre consentement.

    Quand est-ce que la dernière fois que vous avez lu - lisez réellement - la Déclaration d’indépendance ?

    S'il vous plaît, permettez-moi de partager un extrait.

    Nous estimons que ces vérités vont de soi, que tous les hommes sont créés égaux, que leur Créateur est doté de certains droits inaliénables, entre autres la vie, la liberté et la recherche du bonheur. sont institués parmi les hommes et tirent leur juste pouvoir du consentement des gouvernés. - Chaque fois qu'une forme de gouvernement détruit ces fins, le droit du peuple est de le modifier ou de l'abolir et d'instituer un nouveau gouvernement son fondement sur de tels principes et l'organisation de ses pouvoirs sous une forme qui lui semble la plus susceptible de nuire à leur sécurité et à leur bonheur. La prudence, en effet, dictera que les gouvernements établis de longue date ne soient pas modifiés pour des causes légères et passagères; et en conséquence toute expérience a montré que les hommes sont plus enclins à souffrir, tandis que les maux sont souffrants, que de se redresser eux-mêmes en abolissant les formes auxquelles ils sont habitués. Mais quand une longue série d'abus et d'usurpations, poursuivant invariablement le même objet, montre le dessein de les réduire sous le despotisme absolu, ils ont le droit, ils ont le devoir de rejeter un tel gouvernement et de fournir de nouveaux gardes pour leur sécurité future .

    À présent, je n’envisage pas d’armer et de me rendre à Washington pour prendre le contrôle du Congrès, mais je continue de retirer mon consentement de toutes les manières possibles.

    Vous avez un droit humain naturel d'être libre.

    Les êtres humains naissent avec des droits naturels, chacun d'entre nous. Nous avons le droit à la vie, à la liberté et à la propriété. Nous avons le droit de tirer profit de notre propre travail.

    Et si cela ne suffit pas, il existe une solution de secours. Vous avez également le droit d'être libre garanti par la Constitution.

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  50. Le 13e amendement à la Constitution a aboli l'esclavage. Cela signifie que si vous êtes esclave aujourd’hui, c’est soit illégal, soit vous avez accepté volontairement votre servitude.

    Ni l'esclavage ni la servitude involontaire, sauf en tant que punition pour un crime dont la partie doit avoir été dûment condamnée, n'existeront aux États-Unis, ni dans aucun endroit relevant de leur juridiction.

    Vous avez un droit protégé par la Constitution d'être libre. Si vous n'êtes pas libre, alors la révolution est votre devoir maternel.

    Il ne s’agit pas d’armes à feu, de mobilisations de milices et de guérillas. Il s’agit de petits actes d’indépendance personnels. La façon dont vous menez votre vie chaque jour peut constituer une déclaration d'indépendance personnelle. En refusant de concéder tranquillement et résolument vos droits naturels, vous accomplissez un acte de révolution bien nécessaire.

    Tout le monde peut faire partie de cette révolution.

    Beaucoup de gens pensent que la révolution nécessite de diriger une marche, de se tenir devant une foule avec un porte-voix ou de former une milice. Ils ont l’impression que c’est un travail pour les Julian Assanges et James Wesley Rawleses du monde.

    Ils ont tort. Vous n'êtes pas obligé d'être une personne avec des milliers d'abonnés sur Twitter et Facebook. Vous n’êtes pas obligé d’être un dirigeant militaire sur votre CV. Vous n'avez pas besoin de vous faire arrêter sur les marches de la Maison-Blanche, d'aller en prison pour toujours pour avoir dit une vérité impopulaire, ou de regarder une bande de voyous effrayants portant des bottes.

    Mais vous devez faire quelque chose.

    Vous ne pouvez pas rester assis là et vous plaindre à moins d’être un simple fauteuil Rambo.

    La façon dont vous menez votre vie chaque jour peut être un acte de révolution. En refusant de concéder vos droits naturels, calmement et résolument, vous accomplissez un acte de révolution. Marcher n’est pas toujours synonyme de désobéissance civile ou d’appartenance à une milice. Cela nécessite votre détermination constante de ne pas laisser les autres porter atteinte à votre propre liberté.

    Peu importe que vous soyez une mère de football de banlieue, un étudiant dans un dortoir, un père et son mari religieux, ou une personne qui s'est retrouvée sans abri pendant la crise économique actuelle - en vivant résolument, vous êtes effectuer un acte de révolution.

    Ne vous méprenez pas, nous avons besoin des Julians, des milices et des JWR. Nous avons besoin des personnes qui protestent. Nous avons besoin de ceux qui exposent les actes répréhensibles. Nous avons besoin des organisateurs, des crieurs, des grandes personnalités et des dirigeants. Mais ce ne sont pas les seuls moyens de se révolter. Si chaque personne était en train d’organiser son propre rassemblement, il ne resterait plus personne pour y participer.

    Ce qu'il est impératif pour nous de faire, c'est de trouver notre boussole et de la suivre.

    Nous devons nous immuniser contre le contrôle en n’ayant pas besoin de ce qu’ils «distribuent». Nous devons nous protéger contre la façon dont tout le monde vit et choisir nos propres chemins. Nous devons refuser obstinément de participer au cerceau de la vie quotidienne en Amérique. Pour tous ceux qui croient en la liberté, nous formons une armée de non-participants obstinés au statu quo.

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  51. Actes aléatoires de la révolution

    L'acte le plus révolutionnaire consiste à être autonome et à n'avoir besoin de rien que le gouvernement puisse vous fournir en échange d'une petite liberté. Cette liste d’insurrections n’est nullement exhaustive.

    Interrogez absolument tout ce que vous entendez aux nouvelles. Sois toujours sceptique. Tous les principaux médias remontent à quelques conglomérats. Appelez-les. Lorsque vous voyez une couverture qui est clairement biaisée, prenez un moment pour appeler les médias à ce sujet. Prenez le temps de commenter les sites Web des médias traditionnels et de souligner la couverture déséquilibrée. Si vous utilisez les médias sociaux, partagez ces informations et publiez-les également sur les pages de médias sociaux du média.

    Sortez du système bancaire. En optant pour «non bancaire» ou «sous-banque», il y a une limite à ce qui peut facilement être volé. Lorsque vous avez le contrôle physique de vos actifs financiers, vous ne courez pas le risque de perdre ces actifs, et donc moins susceptible de dépendre du «système».

    Eduquer les autres. Au risque (très élevé) que les gens pensent que vous êtes fou, il est important de leur faire savoir POURQUOI vous faites ce que vous faites. Si vous vous opposez à une politique municipale, parlez lors d'une assemblée municipale ou envoyez une lettre au rédacteur en chef de votre journal local. Si vous êtes un activiste, expliquez les raisons de votre activisme. Mais soyez calme et rationnel. En hurlant de manière incohérente ou en gardant la bouche fermée, vous n'influencez personne. En fournissant des faits prouvables, vous pouvez ouvrir les esprits et réveiller les autres.

    Cultivez votre propre nourriture ou achetez local. Chaque graine que vous plantez est un acte révolutionnaire. Chaque morceau de nourriture que vous n’avez pas à acheter à l’épicerie est un cri de guerre pour votre indépendance personnelle. En vous renseignant (et en informant les autres) sur Big Food, Big Agri et les ventes de produits de la FDA en matière de sécurité alimentaire, vous verrez clairement que nous sommes seuls dans notre lutte pour des aliments sains et nutritifs. Refuse de tolérer ces atteintes à notre santé et à nos modes de vie. Si vous ne pouvez pas faire pousser votre propre nourriture, contactez les fermes locales. Vous avez le droit à une nourriture qui ne vous tuera pas. Oubliez les CAFO et les cultures industrielles traitées au glyphosate. Allez local et vous allez nourrir votre famille avec des aliments sains, nutritifs et peu susceptibles de faire l’objet de rappels comme ceux que Big Food continue de lancer.

    Refuser de se conformer. Si vous connaissez vos droits naturels, qui sont garantis par la Constitution et ses amendements, il est alors beaucoup plus difficile pour les «autorités» de vous intimider. Vous n’avez pas à les laisser fouiller votre maison sans mandat, vous n’avez pas à répondre à des questions ni à vous conformer à des lois contraires à la Constitution. Vous n'avez pas besoin d'être agressif ou de vous battre avec eux. Vous devez juste être ferme dans votre refus.

    Embrasse ton droit de porter les bras. Soyez responsable de votre propre sécurité. Le 911 ne devrait pas être votre plan de sécurité personnel. Sauve toi.

    Ne pas être endetté. Personne ne peut être libre s'il est endetté. Si vous êtes endetté, vous êtes obligé de travailler dans toutes les conditions, pour le montant offert, dans le respect des critères nécessaires pour conserver votre emploi. De plus, les taux d'intérêt élevés que vous payez ne servent qu'à enrichir les banquiers. Au lieu d’emprunter, épargnez jusqu’à ce que vous puissiez vous permettre quelque chose ou réalisez que si vous pouviez vous le permettre, vous n’auriez pas besoin d’emprunter de l’argent pour l’avoir. Si vous êtes déjà endetté, cet article vous aidera à le faire rembourser rapidement.

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  52. Soyez prêt au désastre. Ayez suffisamment de nourriture, d'eau et de fournitures pour prendre soin de votre famille en cas de catastrophe naturelle. Ne vous attendez pas à ce que la FEMA prenne soin de vous. (En savoir plus ici.)

    Participez à l’éducation de vos enfants. Pour certains, cela signifie l'école à la maison ou non, et pour d'autres, cela signifie être au-dessus de ce qu'ils apprennent dans un cadre scolaire formel. Rejoignez le PTA et faites du bénévolat si votre enfant va à l’école. Soyez un avocat pour votre enfant et insistez pour que les enseignants enseignent. Si votre enfant va à l’école, proposez-lui à la maison un discours sur les événements actuels et des sorties qui l’aident à mieux connaître le monde qui l’entoure.

    Sachez que toute liberté que vous abandonnerez ne pourra jamais vous revenir. Rappelez-vous ce que nous avons perdu dans la loi sur les «patriotes» et la loi sur la détention indéfinie (NDAA) ? Ces libertés ne reviennent jamais à moins que quelque chose de plus radical que tout ce que j'ai vu de ma vie ne se produise.

    Maintenir votre vie privée. Pour l’amour des grillons, n’est pas un idiot ignorant qui dit: «Si je n’ai rien fait de mal, je n’ai rien à craindre. Vous avez de quoi vous inquiéter. Toutes les informations peuvent être manipulées pour vous suivre, vous profiler, vous faire paraître coupable et vous contrôler. Croyez-moi, lorsque le programme de crédit social sera déployé ici, vous aurez plus à vous soucier de ce que vous avez imaginé.

    Arrêtez de faire des excuses pour les collaborateurs. Les percepteurs d'impôts qui imposent l'extorsion de votre argent ? Les agents de la TSA qui vous saluent et vous déshumanisent ? Arrêtez d'essayer de justifier leurs emplois. Arrêtez d'essayer de le faire bien. «Ces agents ne font que leur travail.» Ils devraient avoir honte d’avoir ces emplois. Heck, j’ai même entendu des gens en file à l’aéroport remercier la TSA de les avoir félicités. F * ck ça. Je ne serai pas complice de mon propre esclavage.

    Pour encore plus de moyens de cesser de soutenir le gouvernement à la dérobée, jetez un coup d'œil à 50 façons d'affamer la bête.

    Comme l'a dit Albert Camus, philosophe et auteur français, «le seul moyen de faire face à un monde non libre est de devenir si absolument libre que votre existence même est un acte de rébellion».

    Sortez et soyez la roue qui grince.

    Si vous voyez quelque chose qui ne va pas, ne l'ignorez pas. Dites quelque chose à ce sujet et continuez à dire quelque chose jusqu'à ce que cela change. Qu'il s'agisse d'un processus qui porte atteinte à votre vie privée, d'une obligation d'emploi nuisant à votre santé ou d'une autre injustice, poursuivez-le sans relâche. Posez des questions publiquement, écrivez des lettres et utilisez les médias sociaux pour faire pression pour encourager un changement.

    Si vous prenez la voie facile dans la vie, si vous vous reconnaissez comme esclave, ARRÊTEZ. Vous n'êtes pas obligé de continuer comme ça.

    Selon la Déclaration d'indépendance, «les gouvernements sont institués parmi les hommes, leur juste pouvoir dérivant du consentement des gouvernés».

    Cela signifie que vous ne devez pas accepter les lois injustes. Cela signifie que vous n’avez pas à le prendre tranquillement, en marmonnant que ce n’est pas juste, mais en osant élever votre voix. Cela signifie que "ils" ne vous contrôlent que si vous le permettez.

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  53. L’indépendance n’est pas quelque chose que vous célébrez un jour par an. L'indépendance est la façon dont vous vivez votre vie, chaque jour, refusant de vous soumettre à ce qui vous rend moins ou moins redevable que quelqu'un d'autre.

    Il y a près de 330 millions de personnes aux États-Unis. (la source)

    Seulement 3% de la population a combattu pendant la guerre d'indépendance et 10% l'ont activement soutenue.

    Si 9.900.000 personnes se révoltaient tranquillement et pacifiquement en retirant leur consentement à être gouvernés par des tyrans, nous ne pourrions nous taire.

    Si 33 millions de personnes soutenaient ces personnes révoltées, nous ne pourrions être arrêtés.

    Le gouvernement peut nous surveiller, mais nous pouvons les surveiller dès le retour.

    Faites de votre vie un acte révolutionnaire. Montrez aux gens ce que signifie vraiment la liberté, et peut-être que ça va faire son chemin.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-07-06/are-we-really-free-maybe-its-time-personal-declaration-independence

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    1. Sans la Démocratie, les States continueront à maugréer dans la dictature. Ils espèrent, ils croient, ils souhaitent, ils oublient ! Ils oublient qu'ils sont cons. Fils de cons et petits fils de cons. Alors ils se lamentent, ne savent plus sur qui taper. Se défoncent à la blanche et pensent que le drapeau Americain accroché chez eux va les sauver !

      Ils ne savent même pas qu'il n'y a qu'un seul pays au monde en Démocratie ! La Suisse.

      En Suisse les suisses proposent LEURS propres lois et votent LEURS propres lois.
      En dictatures ce sont les tuteurs (Députés/Sénateurs qui n'ont même pas fait une heure de Droit !) qui inventent des lois et votent des lois.

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  54. «Et le peuple pédale dans la misère»: banderole de Gilets jaune sur le parcours du Tour de France


    22:53 06.07.2019


    Alors que le 106e Tour de France a débuté à Bruxelles, certains Gilets jaunes ont profité de l’occasion pour défendre leur cause en affichant sur le chemin des cyclistes une grande banderole porteuse d’un message.

    En Belgique, des Gilets jaunes ont profité du départ du Tour de France pour manifester leur mécontentement: au passage du peloton de cyclistes, à Bruxelles, ils ont déployé une banderole.

    «Et le peuple pédale dans la misère» disait l’inscription ornant l’entrée d’un des tunnels du centre de la capitale belge.

    Les images d’un gilet jaune et d’une bicyclette avec une roue aux couleurs du drapeau belge et la seconde à celles de l’Hexagone accompagnaient l’inscription. Une allusion au maillot jaune du meilleur coureur ?

    Le trajet de la première étape du Tour 2019 passait par le centre historique de Bruxelles, notamment devant le palais royal. Quelque 120.000 spectateurs ont assisté à l’évènement et la police locale n’a évoqué aucune interpellation.

    34e acte des Gilets jaunes en France

    En France, d’où le mouvement des Gilets jaunes est parti, se jouait ce 6 juillet le 34e samedi de mobilisation. Les rassemblements se sont déroulés dans le calme et ni l’Intérieur, ni le Nombre jaune n’ont rendu publics ce samedi les chiffres comptabilisant les manifestants.

    https://fr.sputniknews.com/international/201907061041609016/

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