Audrey Duperron
4 juillet 2019
Les automobilistes européens ne sont pas vraiment intéressés par les voitures électriques, a affirmé Klaus Frölich, responsable de la recherche et du développement chez BMW. D’après lui, ce sont surtout les gouvernements qui alimentent le battage médiatique pour faire progresser les ventes.
« En gros, il y a de la demande [pour les voitures électriques] de la part des organismes de réglementation, mais aucune demande de la part des clients », a dit Frölich. BMW pourrait « inonder » l’Europe avec un million de voitures électriques si les pouvoirs publics mettaient en place des incitations importantes, mais dans le cas contraire, « les Européens n’achèteront jamais ces machins », a-t-il affirmé.
Uniquement pour les Chinois et les Californiens
D’après lui, les véhicules électriques « coûtent plus cher en termes de matières premières pour les batteries » que les voitures à moteur thermique ou hybrides. Il a ajouté que ces coûts « pourraient encore s’apprécier davantage à mesure que la demande pour ces matières premières augmente ».
« D’après ce que nous voyons, [les véhicules électriques] sont destinés à la Chine et à la Californie. Partout ailleurs, on préfère des véhicules hybrides rechargeables dotés d’une bonne autonomie pour la partie électrique », a déclaré M. Fröhlich. Il a ajouté qu’il s’attend à ce que les moteurs diesel survivent encore au moins 20 ans, et les moteurs à essence au moins 30 ans.
Remarquablement, l’ingénieur a fait ces déclarations fracassantes alors qu’il participait à un salon au cours duquel BMW s’est vanté de son avance considérable dans le domaine de la technologie électrique. Le constructeur allemand a en effet annoncé qu’il allait accélérer le lancement de toute une gamme de voitures hybrides ou totalement électriques, d’ici 2023. Il a également présenté des nouveaux modèles de véhicules hybrides ou électriques, et a indiqué qu’il avait récemment vendu sa 400 000e voiture à technologie hybride ou électrique.
Une infrastrcuture débile
Toutefois, Frölich a expliqué pourquoi les consommateurs semblaient si réticents à l’égard de ces technologies. Il a pointé les lacunes de l’infrastructure, qui font qu’il peut être encore risqué de se lancer dans un long trajet en Europe sans être certain que l’on trouvera des stations de charge disponibles régulièrement tout au long de son parcours… De plus, la batterie de ces véhicules leur confère une autonomie plus faible que celle que les véhicules conventionnels obtiennent avec un plein de carburant, que l’on réalise en quelques minutes, contre plusieurs heures pour la charge d’un véhicule électrique. A ces égards, et compte tenu du dense réseau de stations service dans tous les pays européens, les voitures à moteur thermiques présentent un avantage imparable par rapport aux véhicules électriques.
De même, compte tenu de la nouveauté de la technologie, les propriétaires de voitures électriques n’ont aucune idée de la valeur de revente de leur voiture à terme, et n’ont donc aucune idée de leur rentabilité. Et cela d’autant que l’utilisation de l’électricité reste assez coûteuse. « A Munich, un kilowattheure d’électricité coûte 50 centimes », précise-t-il. « Une voiture électrique a donc un coût de fonctionnement nettement supérieur à celui d’une voiture à moteur diesel traditionnel. »
Des efforts insuffisants des pouvoirs publics
C’est pourquoi il juge insuffisants les efforts que les gouvernements déploient pour promouvoir la vente de voitures électriques au grand public.
D’après lui, la solution pourrait venir des voitures hybrides. En effet, comme ces voitures ont aussi moteur thermique, elles disposent de bonnes puissance et autonomie, tout en bénéficiant de la possibilité de se déplacer sans émissions, sur de petits trajets, par exemple. A court terme, il semble d’ailleurs que BMW ait décidé de se concentrer sur les technologies hybrides.
L’année dernière, les constructeurs automobiles européens ont vendu à peine 302 000 voitures électriques, contre… 8,5 millions de voitures équipées de moteurs à essence ont été vendues en Europe. Les ventes de ces dernières ont progressé de 11,8 % par rapport à l’année précédente.
Les déclarations de Frölich ne sont pas passées inaperçues, mais ce n’est pourtant pas le premier signal négatif envoyé à l’encontre des voitures électriques. Les ventes décevantes du constructeur américain Tesla au cours du 1er trimestre 2019 étaient déjà révélatrices. De même, il n’est pas non plus le premier à lancer un appel pour de meilleures incitations des pouvoirs publics en faveur de cette technologie. Le patron de PSA, qui préside aussi l’Association des constructeurs européens, a déjà réclamé une participation des gouvernements à la création d’un réseau étoffé de bornes de recharge.
Aujourd'hui 4 Juillet, il y a eut plus de 60 tremblements de terre en Californie en 1 heure ! Jusqu'à la magnitude 6,6 !
RépondreSupprimerhttp://hisz.rsoe.hu/alertmap/index2.php
Secousse intense et peur à l'épicentre du séisme de magnitude 6,4 dans le sud de la Calfornie
SupprimerPar JULIA WICK, GIULIA MCDONNELL, NIETO DEL RIO et RONG-GONG LIN II
04 juillet 2019 | 11h40
Le tremblement de terre le plus important qui ait frappé le sud de la Californie en deux décennies a ébranlé les habitants près de l'épicentre de Ridgecrest et du comté de Kern.
Le tremblement de terre a provoqué des incendies et jeté des marchandises dans les magasins. On ne savait pas s'il y avait eu des victimes.
«J'étais allongée dans mon lit et j'avais les pieds sur le mur et je me sentais comme si les deux côtés de la maison bougeaient et tremblaient. J'ai donc couru, j'ai attrapé mon frère et mon enfant et suis sorti,» a déclaré Edith Mata, 22 ans, étudiant au Bakersfield College. Son fils a 3 ans et son frère a 17 ans.
«Les voisins de l'autre côté de la rue se trouvaient également à l'extérieur avec toute leur famille de cinq personnes. Mon enfant n'avait aucune idée de ce qui se passait. »Mata a déclaré qu'elle se sentait très« effrayante »et qu'elle n'avait jamais fait l'expérience de cela auparavant.
D'autres ont décrit deux événements différents.
"J'étais dans ma cuisine en train de chercher du café et toutes les fenêtres se sont mises à trembler", a déclaré Emma Gallegos, une journaliste de 34 ans vivant dans le sud-ouest de Bakersfield. «C’était juste un peu au début. Je pensais que quelque chose se passait, puis j’ai réalisé que toutes les fenêtres tremblaient. C’était un peu un long roulement doux et j’ai senti deux vagues distinctes.
Des dégâts ont été signalés près de l'épicentre, notamment des bouteilles et d'autres objets en train de tomber des étagères. Les responsables du service incendie ont déclaré qu'ils réagissaient à «près de deux douzaines d'incidents allant de l'assistance médicale aux incendies de structures dans et autour de» Ridgecrest.
Gallegos a déclaré que les piments séchés suspendus à un crochet sur le mur de sa cuisine tremblaient tous. "C'était surréaliste."
Le séisme a touché la région de Ridgecrest, une ville d’environ 29 000 habitants dans le comté de Kern, principalement connue pour être une escale pour les skieurs et les planchistes qui se rendaient de Los Angeles à Mammoth.
Le séisme a été ressenti dans toute la région de Los Angeles, a déclaré Egill Hauksson, sismologue à Caltech. Il est peu probable que des dégâts importants aient été causés dans une grande zone urbaine, étant donné que le séisme a été concentré dans une zone très peuplée.
La zone qui s'est rompue s'est produite dans une zone de failles légèrement à l'est de la Sierra Nevada. La faille de Little Lake est l’une d’elles et a subi un séisme de magnitude 6 en 1984, a déclaré Hauksson.
https://www.latimes.com/local/lanow/la-me-earthquake-ridgecrest-scene-20190704-story.html
Searles Valley ET Ridgecrest
Supprimer200 km N-E de L.A.
Le tremblement de terre le plus puissant des dernières décennies a secoué le sud de la Californie le 4 juillet
Supprimerpar Tyler Durden
Jeu., 07/04/2019 - 15:17
Alors que les Californiens étaient de retour pour célébrer le 4 juillet avec des défilés et des grillades pour les barbecues, le plus grand tremblement de terre en trois décennies a secoué la partie méridionale de l'État, enregistrée à une magnitude de 6,4.
Centre-ville de los angeles
La secousse a duré environ 30 secondes, dans la vallée de Searles, dans la région de San Bernadino, mais a également été ressentie à Los Angeles, à une centaine de kilomètres de distance et aussi loin que Las Vegas. Selon le LA Times:
Le séisme qui a eu lieu à 10 h 33 a eu lieu dans la vallée de Searles, une région isolée du comté de San Bernardino, située à environ 160 km de Los Angeles.
Le séisme était le plus important dans le sud de la Californie depuis le tremblement de terre de 6,6, en 1994, à Northridge, qui avait tué des dizaines de personnes et causé des milliards de dollars de dégâts. Mais le séisme de Northridge s’est produit au centre d’une zone peuplée, alors que le séisme de jeudi était situé loin de la région métropolitaine de Los Angeles.
Les rapports locaux de la région L.A. suggèrent que celle-ci était "lente et régulière" et que des dommages à la maison et des situations médicales d'urgence ont été signalés plus près de l'épicentre, ainsi que des évacuations de villes proches du centre du séisme.
Le centre du séisme du 4 juillet, via le LA Times.
Les secousses sismiques qui ont atteint la région métropolitaine de LA ont été ressenties par les gens pendant une période prolongée, mais n'ont pas été signalées comme violentes ou causant de graves dommages aux bâtiments ou aux infrastructures.
- voir photos sur site -
Cependant, les lignes d'urgence ont été inondées. «Nous sommes très conscients de l'important séisme qui vient de se produire dans le sud de la Californie. Veuillez NE PAS appeler le 9-1-1 sauf en cas de blessure ou de conditions dangereuses. Ne pas appeler pour des questions s'il vous plaît ", a déclaré la LAPD dans un communiqué.
Selon des sources locales, plus de 30 répliques ont été ressenties dans le sud de la Californie à la suite.
Selon CBS Los Angeles:
Le séisme a été suivi de multiples répliques dans les régions de Ridgecrest et de Searles Valley, d’une magnitude comprise entre 2,9 et 4,2.
Le tremblement de terre a été ressenti dans tout le Southland, jusqu'au sud du comté d'Orange, selon l'USGS.
Selon Lucy Jones, experte en tremblements de terre, CalTech a reçu un avertissement de 48 secondes l'informant du séisme, a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse à Pasadena.
* * *
Flux en direct:
- voir clip sur site -
développement...
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-04/strongest-earthquake-decades-rocks-southern-california-july-4th
ETATS-UNIS - LE SÉISME «LE PLUS LONG QUE J'AIE JAMAIS RESSENTI»
SupprimerJeudi, la Californie a été secouée par un tremblement de terre de 6,4, qui n'a pas fait de dégâts majeurs.
Le séisme a eu lieu dans une zone peu peuplée.
05.07.2019
«TOUT SEMBLE SOUS CONTRÔLE»
Le président américain Donald Trump a affirmé jeudi que la situation était «sous contrôle» dans le sud de la Californie, frappé par un séisme de magnitude 6,4.
«Ai été pleinement informé sur le séisme dans le sud de la Californie. Tout semble être largement sous contrôle», a-t-il tweeté. Ce séisme est le plus puissant à frapper depuis 1999 cette région à environ 240 km au nord-est de Los Angeles, mais il n'a pas fait de dégâts majeurs ni de victimes, selon les premiers bilans disponibles. L'épicentre a été localisé à 4 km de profondeur dans la région de Searles Valley.
L'Etat américain de Californie a été ébranlé jeudi par une secousse de magnitude 6,4, le séisme le plus puissant à frapper cette région depuis 1999, qui a fait quelques «blessés légers» mais pas de dégâts majeurs, selon les premiers bilans communiqués par les secours.
Le président Donald Trump s'est voulu rassurant deux heures après le sinistre. «Ai été pleinement informé sur le séisme dans le sud de la Californie. Tout semble être largement sous contrôle», a-t-il réagi sur Twitter.
Ressenti dans un vaste périmètre, ce tremblement de terre a ranimé le spectre du «Big One», un méga-séisme potentiellement dévastateur tant redouté dans l'Ouest américain.
L'épicentre a été localisé dans la région de Searles Valley, dans la partie méridionale de la Californie, une zone peu urbanisée située à environ 240 km au nord-est de Los Angeles, selon des données actualisées par l'Institut de géophysique des États-Unis (USGS). La profondeur du séisme a été évaluée à 10,7 kilomètres.
L'épicentre se trouve près de la petite ville de Ridgecrest (28'000 habitants) et d'une base militaire de l'US Navy, la Naval Air Weapons Station China Lake, une vaste étendue désertique où sont notamment testés des bombes et des missiles.
Une responsable de cette base a indiqué à l'AFP qu'il y avait «des incendies, des fuites d'eau, des fuites de produits dangereux» mais le commandant en chef Paul Dale a assuré par la suite lors d'une conférence de presse à Ridgecrest que ses hommes «contiuaient à évaluer les dégâts». Il n'a pas voulu donner davantage de précisions.
Divers dégâts
David Witt, le chef des pompiers du comté de Kern, où se trouve Ridgecrest, a fait état de «blessés très, très légers», principalement liés à des fenêtres brisées par la secousse ou des chutes d'objets ou d'étagères dans des magasins. Les secours n'étaient toutefois pas en mesure de donner un chiffre précis.
Un responsable des pompiers a précisé lors de la conférence de presse que de nombreux renforts, en hommes et équipements, étaient arrivés dans la zone dans l'après-midi pour pouvoir réagir en cas de forte réplique.
La maire de Ridgecrest, Peggy Breeden, a expliqué que l'hôpital de la ville avait été évacué «par précaution». «Il y a de l'électricité dans certaines parties de la ville, mais pas dans d'autres», a-t-elle ajouté, soulignant que le gaz avait dû être coupé en raison de canalisations endommagées par le tremblement de terre.
SupprimerSelon les pompiers, l'électricité avait été rétablie dans de nombreux quartiers vers 15h00 (22h00 GMT) et «aucun blessé grave» n'a été recensé.
Panique
Des témoins interrogés par les télévisions américaines ont raconté comment les secousses avaient ouvert les tiroirs, fait tomber les téléviseurs et surtout suscité un sentiment de panique chez de nombreux habitants.
La secousse principale, survenue à 10h33 (17h33 GMT) selon l'USGS, a été suivie de près d'une centaine d'autres répliques plus faibles en intensité. Le tremblement de terre a été nettement ressenti à Los Angeles, durant une dizaine de secondes, selon des journalistes de l'AFP sur place.
«J'ai toujours vécu à Los Angeles. Cela a été le tremblement de terre le plus long que j'aie jamais ressenti», a tweeté la réalisatrice Ava DuVernay.
Aucun dégât n'a été signalé dans la mégalopole californienne, où les habitants ont continué comme leurs activités habituelles en ce 4 juillet, fête nationale des Etats-Unis et donc jour férié. Les pompiers ont fini leur évaluation et «Los Angeles est en grande forme», a déclaré le maire de la ville, Eric Garcetti.
- «Des centaines de séismes» -
La Californie est le plus peuplé des Etats d'Amérique mais l'épicentre du tremblement de terre a été localisé dans le désert de Mojave, une grande étendue peu peuplée.
«Il y a eu des centaines de séismes aujourd'hui (jeudi)», dont certains dépassant la magnitude 4, a expliqué lors d'un point de presse la sismologue Lucy Jones, évoquant un «grand nombre de répliques».
La spécialiste a confirmé qu'il s'agissait de la secousse la plus forte ressentie en Californie du Sud depuis 1999. Selon le Los Angeles Times, il s'agit d'un séisme de magnitude 7,1 qui avait touché la zone de Twentynine Palms cette année-là.
Lucy Jones a précisé que ce séisme n'était pas survenu le long de la célèbre faille de San Andreas, celle où les spécialistes redoutent un tremblement de terre majeur qui risquerait de provoquer le chaos à Los Angeles et le long de la côte.
La zone du séisme de jeudi est «une région avec plein de petites failles mais pas une longue faille» comme celle de San Andreas, a-t-elle expliqué.
https://www.lematin.ch/monde/californie-ebranlee-seisme-64/story/22673737
Les rayons cosmiques ensemencent les nuages lors de la dernière inversion géomagnétique
RépondreSupprimer- voir modèle sur site -
Ce n’est pas dans les modèles
Rayons cosmiques, graphe, théorie.
La théorie des rayons cosmiques, Henrik Svensmark,
July 5th, 2019
Que se passe-t-il si nos nuages sont partiellement entraînés par une pluie de radiations cosmiques provenant d'étoiles lointaines et explosant… Et si le réchauffement de la Terre avait davantage à voir avec les champs magnétiques qu'avec le CO2? h / t GWPF
Le grand test de la théorie des rayons cosmiques de Henrik Svensmark remonte à il y a 780 000 ans, lorsque les pôles de la Terre ont basculé. Pendant 5 000 années folles, notre bouclier magnétique n’avait plus que le quart de sa force normale. Cela aurait permis à davantage de rayons cosmiques de traverser l'atmosphère jusque dans la partie la plus basse, de s'écraser sur des molécules et de projeter des objets en l'air. En théorie, ces particules ionisées ensemencent les nuages, ce qui en fait un ombrage pareil pour la planète, en maintenant les choses au frais et en renvoyant toute la chaleur solaire dans l’espace. Mais comment mesurer les nuages qui ont disparu il y a trois quarts de million d'années ?
Une équipe de l’Université de Kobe a étudié les schémas de mousson en Asie de l’Est lors de l’inversion. Ils font valoir que les nuages extrêmement bas rendraient la mousson d’hiver plus forte, aussi ont-ils examiné de près les couches de poussière déposées sur le plateau de Loess au sud du désert de Gobi en Chine. Environ 2,6 millions d’années de poussière s’y sont accumulées. Lorsque les vents sont plus forts, les couches de poussière sont plus épaisses et les particules plus grosses. Et bien sûr, pendant cette période de 5 000 ans, les vents soufflaient très fort, les moussons étaient plus fortes et la poussière accumulée trois fois plus vite. Les températures ont chuté d'environ 2 à 3 degrés.
C’est donc une preuve supplémentaire que les champs magnétiques (comme celui du Soleil, assez grand) ont un effet sur les nuages. Plus les champs sont forts, moins il y a de nuages. Cela montre évidemment que les champs magnétiques changent la température sur la Terre, bien qu’il ne soit pas dit «combien». Il s’agit donc d’une quasi-preuve de concept, ce qui est très utile, mais c’était des conditions extraordinaires (où notre pôle Nord devient notre pôle Sud). Si le champ a chuté de 75% et que les températures n’ont baissé que de 2 à 3 degrés, il me semble qu’il doit y avoir d’autres acteurs majeurs que les modèles privilégiés par le GIEC n’incluent pas non plus. (Comme le vent solaire, les changements spectraux solaires, l’ozone pour commencer). Néanmoins, cet effet empirique reste plus important que tout autre effet dû au gaz carbonique. Se rappeler que l’effet supposé du gaz carbonique n’est «découvert» que par l’interrogation de modèles brisés comportant des variables manquantes pour expliquer les 50 dernières années. Si nous ignorons la majorité de la physique solaire, «ce doit être du gaz carbonique ».
C'est incroyable ce que les gens peuvent comprendre à partir d'un tas de vieille poussière.
Les moussons d’hiver sont devenues plus fortes lors du renversement géomagnétique
RépondreSupprimerDe nouvelles preuves suggèrent que les particules de haute énergie extraites de l’espace, connues sous le nom de rayons cosmiques galactiques, affectent le climat de la Terre en augmentant la couverture nuageuse, ce qui provoque un «effet parapluie».
Lorsque les rayons cosmiques galactiques ont augmenté au cours de la dernière transition de retournement géomagnétique de la Terre, il y a 780 000 ans, l’effet parapluie de la couverture nuageuse basse a provoqué une pression atmosphérique élevée en Sibérie, renforçant la mousson hivernale est-asiatique. C’est la preuve que les rayons cosmiques galactiques influencent les changements du climat de la Terre. Les résultats ont été réalisés par une équipe de recherche dirigée par le professeur Masayuki Hyodo (Centre de recherche sur les mers intérieures, Université de Kobe) et publiés le 28 juin dans l'édition en ligne de Scientific Reports.
- voir graphique sur site -
Théorie des rayons cosmiques, Mongolie, inversion géomagétique. Couverture nuageuse. Graphique, 2019.
Figure 2. Comparaison de la mousson du plateau de Loess avec les changements paléoclimatiques et paléoenvironnementaux d'autres régions. (a) Environnement paléocéanique de l'Atlantique Nord. (b) environnement paléocéanique du Pacifique Nord-Ouest (section de Chiba). c) Pluies d'été à Lingtai. (d) Pluies d'été Xifeng. e) Niveau de la mer dans la baie d'Osaka. f) Température moyenne du mois le plus chaud (MTWA) dans la baie d’Osaka; température moyenne du mois le plus froid (MTCO). g) Force de la mousson d'hiver de Lingtai. h) Force de la mousson d’hiver Xifeng. (i) Force du dipôle magnétique. j) Flux de rayons cosmiques. k) Insolation hivernale à 45 degrés nord. La barre bleue indique la période d'intensification de la mousson d'hiver sur le plateau de Loess et l'événement de refroidissement dans la baie d'Osaka.
L’effet Svensmark est une hypothèse selon laquelle les rayons cosmiques galactiques induisent la formation de nuages bas et influencent le climat de la Terre. Les tests basés sur des données d'observation météorologique récentes ne montrent que des changements infimes des quantités de rayons cosmiques galactiques et de la couverture nuageuse, rendant difficile la démonstration de cette théorie. Cependant, lors de la dernière transition d'inversion géomagnétique, lorsque la quantité de rayons cosmiques galactiques a augmenté de façon spectaculaire, la couverture nuageuse a également fortement augmenté, de sorte qu'il devrait être possible de détecter l'impact des rayons cosmiques sur le climat avec une sensibilité plus élevée.
Sur le plateau chinois de Loess, juste au sud du désert de Gobi, près de la frontière mongole, la poussière est transportée depuis 2,6 millions d'années pour former des couches de loess, sédiments créés par l'accumulation de limon emporté par le vent, pouvant atteindre jusqu'à 200 mètres de profondeur. Si le vent devient plus fort, les particules grossières sont transportées plus loin et des quantités plus importantes sont transportées. Se concentrant sur ce phénomène, l’équipe de recherche a proposé que la mousson d’hiver devienne plus forte sous l’effet général de l’augmentation de la couverture nuageuse au cours de l’inversion géomagnétique. Ils ont étudié les changements dans la taille des particules et la vitesse d'accumulation de la poussière de la couche de loess dans deux emplacements du plateau de Loess.
À ces deux endroits, pendant l’inversion géomagnétique il y a 780 000 ans, ils ont découvert des preuves de l’augmentation de la mousson hivernale: les particules sont devenues plus grossières et la vitesse d’accumulation était jusqu’à 3 fois supérieure. Ces fortes moussons d’hiver coïncident avec la période de l’inversion géomagnétique lorsque la force magnétique de la Terre est tombée à moins de ¼ et que les rayons cosmiques galactiques ont augmenté de plus de 50 %. Cela suggère que l'augmentation des rayons cosmiques s'est accompagnée d'une augmentation de la couverture nuageuse basse, que l'effet de parapluie des nuages a refroidi le continent et que la haute pression atmosphérique de la Sibérie est devenue plus forte. Ajouté à d'autres phénomènes au cours de l'inversion géomagnétique - preuve d'une chute de température moyenne annuelle de 2 à 3 degrés Celsius et d'une augmentation de la température annuelle allant des sédiments de la baie d'Osaka - cette nouvelle découverte sur la mousson d'hiver rend encore plus évident que les changements climatiques sont causés par l'effet de parapluie nuage.
RépondreSupprimer«Le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a examiné l'impact de la couverture nuageuse sur le climat dans ses évaluations, mais ce phénomène n'a jamais été pris en compte dans les prévisions climatiques en raison d'une compréhension physique insuffisante», commente le professeur Hyodo. «Cette étude offre l’occasion de repenser l’impact des nuages sur le climat. Lorsque les rayons cosmiques galactiques augmentent, les nuages bas augmentent également, et lorsque les rayons cosmiques diminuent, les réchauffements climatiques peuvent également être causés par un effet parapluie opposé. L'effet parapluie causé par les rayons cosmiques galactiques est important pour penser au réchauffement climatique actuel ainsi qu'à la période chaude de l'époque médiévale. ”
Journal Reference:
Yusuke Ueno, Masayuki Hyodo, Tianshui Yang, Shigehiro Katoh. Intensified East Asian winter monsoon during the last geomagnetic reversal transition. Scientific Reports, 2019; 9 (1) DOI: 10.1038/s41598-019-45466-8
http://joannenova.com.au/2019/07/cosmic-rays-seeded-clouds-during-the-last-geomagnetic-reversal/#more-65102
SupprimerQu'il y ait eu des périodes de grands froids, j'en conviens; qu'elles soient dues aux rayons cosmiques, pourquoi pas, mais rien n'empêchera la science évoluée d'expliquer que, même si on se les gelait à Londres et traversait la Tamise à pieds, il n'en était pas de même en d'autres régions du globe !
Car à ces époques d'hivers congélateurs, n'existaient pas les satellites et ses prévisions dues aux images envoyées ! A cette époque n'existait pas l'Internet qui aurait permis de réserver à distance une place dans une galère climatisée ! Mais à cette époque existait pourtant le magma qui s'était interrompu de réchauffer les mers et océans n'importe où !
Reste donc à savoir si l'influence des rayons cosmiques est si grande que çà et que ce n'est pas tous les jours que de la glace est livrée à domicile !
Paul Craig Roberts: Quelques pensées malheureuses pour le 4 juillet
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 07/04/2019 - 14:15
Écrit par Paul Craig Roberts,
La race humaine, en tant que collection de stupides, continue de prendre des décisions qui s’imposent.
Par exemple, une simple erreur dans un système d'alerte concernant les ICBM entrants peut mettre fin à toute vie sur Terre. Les imbéciles super-intelligents qui ont inventé les armes nucléaires ne se sont pas penchés sur les éventuelles conséquences involontaires de leur travail manuel. Ils voulaient vaincre les nazis et c’était la limite de leur imagination.
Robert Hormats explique l'évolution de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine
Si vous n'aimez pas cet exemple, considérez celui-ci. La révolution numérique nous a rendus dépendants de systèmes de communication et de contrôle, tels que ceux qui exploitent des systèmes d’alimentation, pouvant être traités à la fronde, comme le soleil en dépend, tous les deux ou trois mille ans, et fermés par des pirates informatiques.
Si j'ai bien compris, une explosion nucléaire dans l'atmosphère peut entraîner la même chose. Lorsque les systèmes électriques tombent en panne, les réacteurs nucléaires peuvent surchauffer et produire des effondrements de Fukushima. Essayez d'imaginer les conséquences d'un grand nombre de ces crises. Cependant, nous avons adopté une technologie qui nous soumet à ce type de risque, ainsi qu’à l’existence d’un État policier orwellien.
Pourquoi ? Parce que la race humaine est stupide. Contrairement aux animaux non humains très intelligents et capables de prendre des décisions rationnelles, les humains ne peuvent pas voir au-delà du bout des doigts. L'odeur de l'argent est ce qu'ils répondent.
Et il existe des risques pour la santé liés à la technologie, tels que ceux associés au déploiement de la 5G.
Néanmoins, la 5G est en cours de déploiement car elle sert des intérêts matériels, à savoir les bénéfices des entreprises. Les coûts externes de ces bénéfices, si les nombreux scientifiques et professionnels de la santé dissidents, sont corrects, dépasseront de beaucoup les frais médicaux, l'infertilité, l'angoisse, la durée de vie réduite, etc., de la totalité des bénéfices de la 5G.
Mais ne pensez pas que votre gouvernement, ou les sociétés de la 5G, se soucient de vous.
Les Américains prennent leur soma sous forme de lavage de cerveau et sont devenus des moutons soumis au lavage de cerveau. Autant que je sache, ils resteront des moutons soumis au lavage de cerveau jusqu'à ce qu'ils soient battus pour devenir inexistants. Les personnes ayant subi un lavage de cerveau sont-elles capables de se rebeller?
Aujourd'hui, le 4 juillet, personne ne réclamera un soulèvement contre nos oppresseurs facilement identifiables. La raison en est que tout le monde autorisé à parler en public est à la solde de nos oppresseurs.
Les Américains sont tellement ancrés dans The Matrix qu'il est douteux qu'ils puissent être sauvés.
RépondreSupprimerLorsque le monde fait face à «la grande démocratie américaine», il fait face à un public qui a subi un lavage de cerveau, en proie à des intérêts matériels soutenus par des armes nucléaires, dont le contrôle de l'utilisation a été systématiquement supprimé depuis le régime Clinton.
Le 4 juillet, les Américains soumis au lavage de cerveau brandiront le drapeau et chanteront: États-Unis, États-Unis et États-Unis.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-04/paul-craig-roberts-some-unhappy-thoughts-fourth-july
(...) Lorsque le monde fait face à «la grande démocratie américaine» (...)
SupprimerLes USA ne représentent même pas un microbe sur le dos de l'éléphant Suisse !
Raymond Barre rattrapé par le fisc pour 7 millions planqués en Suisse
RépondreSupprimerPersonne ne doit échapper à la juste vigilance du fisc. Pas de privilèges ! Pas de petit malin qui planque son magot ! Un seul rang bien aligné, pas une seule tête ne doit dépasser.
Par Patrick Aulnas.
5 JUILLET 2019
Le Canard Enchaîné, toujours à l’affût d’informations croustillantes, vient de révéler que Raymond Barre aurait « planqué » environ sept millions d’euros en Suisse. On ignore tout de l’origine des fonds, mais il pourrait simplement s’agir d’un héritage familial, c’est-à-dire de capitaux qui avaient été placés en Suisse à une époque plus ancienne, comme cela se pratiquait couramment dans les familles aisées.
PERSONNE NE DOIT ÉCHAPPER AU FISC !
L’unanimisme médiatique sur le sujet étonnera toujours les naïfs comme l’auteur de ces lignes. C’est mal, c’est vraiment très mal de planquer son fric en Suisse. L’État doit tout connaître des revenus et des patrimoines. Simple question de justice. Comment voulez-vous prélever équitablement si vous ne disposez pas de toutes les informations ? La justice fiscale et la justice sociale imposent évidemment que chacun contribue à la construction de la société bonne et juste à proportion de ses moyens.
Le malheureux salarié, dont les revenus sont déclarés par son employeur, ne peut absolument rien cacher. Il en résulte que la transparence doit désormais être complète. Personne ne doit échapper à la juste vigilance du fisc. Pas de privilèges ! Pas de petit malin qui planque son magot ! Un seul rang bien aligné, pas une seule tête ne doit dépasser.
LE MEILLEUR DES MONDES
Personne ne semble même penser qu’un tel modèle conduit tout droit à la servitude. La justice parfaite, surtout lorsqu’elle concerne l’argent, suppose des contrôles et donc des moyens de contrôle de plus en plus inquisitoriaux. Et bien évidemment, contrôler la circulation et l’accumulation monétaire au niveau micro-économique, c’est disposer d’informations fines sur la vie privée des individus.
On pourrait ainsi imaginer un monde dans lequel d’énormes systèmes informatiques stockent intégralement l’ensemble des transactions et les analysent pour le compte de l’État, après interdiction de l’argent liquide. Nous sommes sur cette pente. Et visiblement, la direction prise par nos sociétés ne suscite aucune angoisse dans le grand public. Pour avoir la justice parfaite, laissons s’instaurer le contrôle parfait. Tout sera pour le mieux dans le meilleur des mondes.
LA PASSION DE L’ÉGALITÉ
Mais l’anticipation des risques de totalitarisme par les contrôles tous azimuts n’est pas le principal aspect du problème. L’essentiel se situe du côté de la philosophie politique. Il n’est pas nécessaire de s’envoler vers des concepts éthérés pour le comprendre. C’est tout simple. La passion de l’égalité, que Tocqueville avait entrevue très tôt, est désormais totalement admise. Par tous les grands médias, par la presque totalité de la population. Il est entendu et absolument indiscutable et indiscuté que la marche vers l’égalité est la mission première et sacrée de tout État digne de ce nom.
Quelle égalité ? D’abord et avant tout, l’égalité économique. Pourquoi pourriez-vous gagner davantage que moi ? Pourquoi, sous prétexte de compétence, de talent, d’habileté, de dynamisme, auriez-vous le droit d’accumuler des fortunes ? Si justice il y a, elle ne peut consister qu’à redistribuer. « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins », telle était la préconisation de tous les socialistes, marxistes ou non, au XIXe siècle. Il faut désormais mettre en œuvre cet excellent précepte.
RépondreSupprimerC’EST QUOI, ÇA, LA LIBERTÉ ?
Que cette mise en œuvre conduise nécessairement à étouffer la liberté, cela importe peu. Qui s’intéresse encore à une notion aussi creuse que la liberté ? C’est quoi la liberté ? La liberté d’écraser les autres, le règne du renard libre dans le poulailler libre. Ne venez surtout pas nous bassiner avec votre liberté !
Laissez-nous de grâce construire le monde juste, égalitaire, auquel chacun aspire, bref la société du bonheur pour tous avec contrôles automatisés à tous les étages. La liberté, c’est le malheur garanti. Il faut toujours se battre pour la liberté. Avec l’égalité, vous êtes tranquille. Il suffit de laisser l’État contrôler les non conformistes, les rebelles. Ils ne feront pas le poids, ils rentreront dans le rang.
https://www.contrepoints.org/2019/07/05/348397-raymond-barre-rattrape-par-le-fisc-pour-7-millions-planques-en-suisse
La prochaine crise en Amérique: le fossé en matière de santé entre riches et pauvres s'agrandit
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 07/04/2019 - 18:45
Selon une nouvelle étude publiée par le JAMA Network Open, les inégalités en matière de santé se sont multipliées aux États-Unis au cours des deux dernières décennies.
Les chercheurs Frederick J. Zimmerman, Ph.D., et Nathaniel W. Anderson, BA de l’École de santé publique Jonathan et Karin Fielding de l’Université de Californie à Los Angeles, ont utilisé les données du système de surveillance des facteurs de risque comportementaux de la CDC de 1993 à 2017 pour examiner les revenus, les jours en bonne santé (le nombre moyen de jours en bonne santé au cours des 30 derniers jours) et la justice en matière de santé (mesure de la relation entre la santé et le revenu, la race / et le sexe) de 5,45 millions de personnes (âge moyen, 44,5 ans); femmes, 58,3%, blancs non latinos, 76,3%).
Zimmerman a écrit que l'écart de santé entre les Afro-Américains et les Américains blancs s'était amélioré au cours des 25 dernières années, mais a averti que la santé de la population en général se détériorait. La justice en matière de santé a également décliné. Et le fossé en matière de santé entre riches et pauvres s'est creusé.
"Les résultats de cette étude montrent un manque inquiétant de progrès en matière d'équité en santé au cours des 25 dernières années aux États-Unis", ont écrit les auteurs.
Selon M. Zimmerman, l'inégalité des revenus engendre des résultats défavorables pour la santé. Il a ajouté que les différences en matière de santé entre le groupe de revenu le plus élevé et le groupe de revenu le plus faible ont augmenté "de manière très spectaculaire".
"Les analyses suggèrent que des disparités croissantes de revenus peuvent être associées à une stagnation de l'équité en matière de santé", ont écrit des chercheurs. "Si tel est en fait le cas, les politiques qui réduisent la prévalence et les sanctions associées à la pauvreté constitueraient un point de départ clair pour améliorer l'équité en matière de santé."
Lisa Cooper, professeure en équité en santé à la Johns Hopkins University, a qualifié l'étude de "frustrante, mais honnêtement pas surprenante".
Eileen Moore, médecin et professeure agrégée de médecine à la faculté de médecine de l'Université de Georgetown et directrice médicale de l'Alliance pour la justice en matière de santé de l'Université de Georgetown, a déclaré: "Cette étude démontre un manque flagrant de progrès au niveau macro."
Vicki Girard, professeur de droit à Georgetown et codirectrice de la Health Justice Alliance de l'Université de Georgetown, a déclaré que plus de cinq millions de personnes examinées rendaient cette étude importante. Elle a déclaré que les résultats devraient être un "appel à l'action" pour les législateurs afin de s'attaquer aux inégalités qui écrasent les 90% inférieurs des Américains.
Et pour un peu de contexte sur l’inégalité des revenus, nous avons couvert l’été dernier un rapport qui précisait que le 1% des familles américaines ayant le plus de revenus gagnait environ 26,3 fois plus de revenus que les 99% les plus pauvres en 2015.
L'inégalité des revenus est la cause fondamentale de l'inégalité en matière de santé, car les coûts des soins de santé et un mode de vie sain sont coûteux.
RépondreSupprimerLa cause fondamentale de l'inégalité des revenus est le produit de politiques monétaires extrêmes de la part des banques centrales, qui ont alimenté des bulles de prix d'actifs qui n'enrichissent que les détenteurs d'actifs. Avec un taux d'accession à la propriété comparable à celui des années 1960 et plus de la moitié des Américains n'ayant pas d'actions, ces recherches suggèrent que l'échec des politiques a conduit à l'implosion de la classe moyenne.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-03/americas-next-crisis-health-gap-between-rich-and-poor-widens
Revendication: la tectonique des plaques émergentes a causé "la boule de neige"
RépondreSupprimer8 mai 2018
Du "mais attendez, je pensais que seul le gaz carbonique avait le pouvoir de changer le climat" vient cette révélation.
De nouvelles recherches suggèrent que l'aube de la tectonique des plaques aurait pu transformer la Terre en boule de neige
Un duo de chercheurs de l'Université du Texas à Austin et UT Dallas a avancé une hypothèse qui lie l'aube de la tectonique des plaques à la «boule de neige», une période de changement climatique qui a plongé la planète dans des profondeurs de plusieurs millions d'années.
Ils s'attendent à ce que leur hypothèse génère une controverse. Les géologues placent habituellement le début de la tectonique des plaques à environ 3 milliards d'années, alors que la nouvelle hypothèse situe le processus dans une ère beaucoup plus jeune connue sous le nom de Néoprotérozoïque, qui s'est produite il y a environ 542 millions à 1 milliard d'années.
"Si vous regardez le dossier préservé, les preuves diagnostiques pour la tectonique des plaques moderne impliquant une subduction profonde est principalement néoprotérozoïque et plus jeune", a déclaré le co-auteur Nathaniel Miller, chercheur au Département des sciences géologiques de l'UT Austin Jackson School of Geosciences. "Mais la plupart des gens pensent que nous avons eu cela beaucoup plus tôt dans l'histoire de la Terre."
Miller et Robert Stern, professeur au Département des Géosciences de l'UT Dallas, ont examiné une série de données scientifiques publiées sur l'activité géologique au Néoprotérozoïque - l'ère de la boule de neige Terre - et trouvé un lien entre la tectonique des plaques et un monde froid.
La recherche a été publiée en ligne en décembre 2017 et dans l'édition imprimée d'avril de la revue Terra Nova.
La Terre est la seule planète connue pour avoir la tectonique des plaques, avec sa croûte et son manteau supérieur constitués de morceaux distincts qui se déplacent lentement et indépendamment, créant et détruisant des reliefs et produisant des volcans et de grands tremblements de terre.
La tectonique des plaques est l'un des processus les plus fondamentaux qui façonnent la planète, et la plupart des géoscientifiques croient qu'elle a été active pendant la majeure partie de l'histoire de 4,5 milliards d'années de la planète. Cependant, selon Miller et Stern, il y a une variété de traces dans le dossier géologique qui pourrait être compatible avec la tectonique des plaques qui ne commence pas avant le Néoprotérozoïque.
Par exemple, les formations rocheuses, les pierres gemmes et les signatures chimiques connues pour être associées à la tectonique des plaques ne datent que de cette période; et les modèles informatiques suggèrent que la Terre ne s'est pas refroidie jusqu'à la température requise pour l'activité tectonique des plaques. Les auteurs notent également que l'intervalle géologique précédant le Néoprotérozoïque montre un manque d'activité géologique - une caractéristique qui lui a valu le surnom de «milliard ennuyeux», et qui pourrait indiquer que la Terre était couverte par un seul couvercle lithosphérique plutôt que par de nombreux plaques mobiles d'aujourd'hui.
Le chevauchement temporel entre l'apparition de ces signatures d'activité tectonique des plaques et la phase de boule de neige terrestre a amené les chercheurs à penser qu'ils pourraient être liés, et que le changement climatique drastique pourrait être une conséquence de la transition de la tectonique.
"Cette crise climatique pourrait avoir été causée par un certain nombre de causes proximales, mais la grande cause globale était cette révolution dans le style tectonique de la Terre", a déclaré Stern.
RépondreSupprimerL'article énumère 22 façons dont l'activité des plaques tectoniques pourrait avoir provoqué un refroidissement global qui a causé la couverture de la Terre d'un pôle à l'autre avec de la glace. Ils comprennent des volcans explosifs qui refroidissent la planète en libérant du soufre dans l'atmosphère; le déplacement des plaques changeant l'axe de rotation de la planète; et l'augmentation de l'altération des roches entraînant le gaz carbonique - un gaz à effet de serre - hors de l'atmosphère et de retour dans la Terre.
Dans l'étude, les chercheurs ont également examiné les raisons potentielles de refroidissement non tectoniques provenant de l'espace, depuis les impacts d'astéroïdes jusqu'à l'effondrement des anneaux de glace qui pourraient s'être formés autour de la Terre. Si ceux-ci étaient la cause de la boule de neige de la Terre, la théorie de Stern et Miller s'effondre, mais il n'y a pas beaucoup de preuves pour soutenir ces déclencheurs.
Alors que tous les mécanismes de refroidissement potentiels ont été décrits pour la première fois dans d'autres documents de recherche, Stern et lui sont les premiers à évoquer la possibilité que chacun d'entre eux soit lié à la transition vers la tectonique des plaques.
"Les gens disent depuis longtemps que nous avons toujours eu la tectonique des plaques ... mais je pense que cela pourrait être un échec de l'imagination", a déclaré Stern.
Graham Shields, un professeur de géologie à l'University College London qui n'a pas participé à l'étude, a déclaré que la théorie proposée par Miller et Stern nécessite plus de preuves avant que la Terre puisse être liée au début de la tectonique plutôt qu'à une période d'activité tectonique. .
"Comment distinguer leur hypothèse d'apparition tectonique d'autres hypothèses, dont la plupart sont également liées à la tectonique et au cycle du supercontinent bien établi", écrit Graham dans une réponse par e-mail.
Les auteurs notent que leur article présente un scénario possible dans l'histoire de la Terre, et que plus de recherche est nécessaire pour tester le lien entre l'aube de la tectonique des plaques et la boule de neige de la Terre. Ils espèrent que cette recherche conduira d'autres géoscientifiques à considérer les preuves et à tester l'hypothèse.
"Les révolutions dans notre domaine ne se produisent pas souvent ou très facilement", a déclaré Stern. "Vous plantez des idées et ensuite vous allez chercher plus de données qui les soutiennent ou les réfutent."
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/ter.12321
Plus de 400 journalistes américains ont été ou le sont encore des agents de la CIA !
RépondreSupprimerJovanovic
jeu., 04 juil. 2019 20:25 UTC
La violente altercation publique entre Donald Trump et les journalistes du New York Times a permis de ZH d'écrire un article violent contre le NYT en rappelant au passage à quel point la CIA a pris le contrôle de la presse américaine. Et ZH a publié un extrait du livre de Bernstein (le journaliste du Watergate) qui explique comment les 400 journalistes des journaux américains les plus lus ont travaillé la main dans la main avec la CIA ("more than 400 American journalists in the previous 25 years had secretly carried out assignments for the Central Intelligence Agency") ce qui leur a permis d'obtenir, en récompense, des Prix Pulitzer !
"Some of these journalists' relationships with the Agency were tacit, some were explicit. There was cooperation, accommodation and overlap. Journalists provided a full range of clandestine services -from simple intelligence gathering to serving as go-betweens with spies in Communist countries.
Reporters shared their notebooks with the CIA. Editors shared their staffs. Some of the journalists were Pulitzer Prize winners, distinguished reporters who considered themselves ambassadors without-portfolio for their country.
Traduction : "Certaines relations de ces journalistes avec l'Agence étaient tacites, d'autres explicites. Il y a eu coopération, accommodement et chevauchement. Les journalistes ont fourni une gamme complète de services clandestins - de la simple collecte de renseignements à l'espionnage dans les pays communistes.
Les journalistes ont partagé leurs carnets avec la CIA. Les rédacteurs en chef ont partagé leur personnel. Certains des journalistes étaient lauréats du Prix Pulitzer, d'éminents reporters qui se considéraient comme des ambassadeurs sans portefeuille pour leur pays.
Most were less exalted: foreign correspondents who found that their association with the Agency helped their work, stringers and freelancers who were as interested in the derring-do of the spy business as in filing articles, and, the smallest category, full-time CIA employees masquerading as journalists abroad.
In many instances, CIA documents show, journalists were engaged to perform tasks for the CIA with the consent of the managements of America's leading news organizations. Virtually all major US media outlets cooperated with the CIA, Bernstein revealed, including ABC, NBC, the AP, UPI, Reuters, Newsweek, Hearst newspapers, the Miami Herald, the Saturday Evening Post, and the New York Herald-Tribune. However, Bernstein added, "By far the most valuable of these associations, according to CIA officials, have been with the New York Times, CBS and Time Inc."
Traduction : La plupart étaient moins exaltés : les correspondants à l'étranger qui trouvaient que leur association avec l'Agence les aidait dans leur travail, les pigistes et les travailleurs indépendants qui s'intéressaient autant au hauts faits de l'espionnage qu'au fait de remplir un article et, la plus faible catégorie, des employés à temps plein de la CIA se faisant passer pour des journalistes étrangers.
Dans de nombreux cas, les documents de la CIA montrent que des journalistes ont été engagés pour accomplir des tâches pour la CIA avec l'accord de la direction des principaux organes de presse américains. Presque tous les principaux médias américains ont coopéré avec la CIA, a révélé Bernstein, y compris ABC, NBC, l'AP, l'UPI, Reuters, Newsweek, les journaux de Hearst, le Miami Herald, le Saturday Evening Post et le New York Herald-Tribune. Cependant, a ajouté M. Bernstein, "de loin les plus précieuses de ces associations, selon les responsables de la CIA, sont celles du New York Times, de CBS et de Time Inc.".
RépondreSupprimerIl va de soi que les bonnes vieilles habitudes continuent, d'où l'incroyable silence de la presse internationale sur les problèmes économiques, sans parler de sa honteuse manipulation des médias contre Trump et Erdogan avec l'appui des GAFA.
Rappelez-vous de mon reportage à Rome en mars 2018 pour les élections : alors que 70% des Italiens avaient voté contre l'Europe, aucun quotidien (et Dieu seul sait s'ils sont nombreux en Italie) n'avait osé titré sur le sujet !
Aujourd'hui, la situation est pire.
Nous sommes comme en 1942 quand les Allemands contrôlaient la presse, l'édition et les radios, ne donnant que des fausses nouvelles qui allaient dans leur sens. Le Deep State américain (compagnies pétrolières, médias, automobile, marchands d'armes et Gafas) a décidé de ne plus permettre à Trump d'être réélu, témoin le dernier changement des conditions d'utilisation de Tweeter lire ici. Et du coup la presse grand public est muselée.
Lire ici ZH et ici Democracy New qui explique comment le NYT a tout fait pour ne pas publier des documents qui compromettent les Saoudiens ou Israël dans les rapports sur les attentats du 11 septembre.
Traduction Sott
https://fr.sott.net/article/34089-Plus-de-400-journalistes-americains-ont-ete-ou-le-sont-encore-des-agents-de-la-CIA
Licenciements : la dernière semaine de juin 2019 où tout a dérapé
RépondreSupprimerJovanovic
jeu., 04 juil. 2019 20:13 UTC
En conformité avec toutes les prévisions dues aux trilliards de fausse monnaie déversée dans le système économique, les licenciements massifs continuent en raison de l'appauvrissement massif des populations qui consomment bien moins qu'avant. En France par exemple le gouvernement prend maintenant les impôts directement sur les salaires ce qui a provoqué une baisse radicale de 10 à 20% de la consommation.
Et cela fait 11 années que cela dure.
Non seulement il n'y a eu aucune amélioration, mais en plus le nombre de chômeurs et d'ultra pauvres ne cesse de croître.
Ainsi, la semaine passée, la Deutsche Bank a viré 20.000 banquiers de plus et, toujours en Allemagne, Loewe TV, le fabriquant allemand de téléviseurs a déposé le bilan ce 1er juillet et les 200 salariés ont été licenciés.
Et l'Allemagne donne le ton, elle qui bénéficie pourtant en première ligne de la manne de la Banque Centrale Européenne: ainsi la uber-multinationale BASF a décidé de jeter à la rue 6.000 personnes de plus, quand à Ford Allemagne, ce sont 12.000 ouvriers qui ont fait les frais de la récession.
Ajoutez les 1900 salariés de Conforama avec 32 magasins qui vont fermer.
Faites le total: en juste 2 jours, ce sont 40.000 salariés qui ont perdu leur emploi, sans parler des 40.000 autres chez les fournisseurs qui vont l'être par ricochet entre les 2 et 24 mois prochains, qui à leur tour vont déclencher d'autres licenciements, etc., etc.
Il s'agit d'une catastrophe politique européenne car passé un certain niveau, les politiques ne pourront plus se cacher derrière le 1% d'inflation officielle de la BCE qui est censée vous dire, ainsi qu'aux politiques, que tout va bien.
Depuis 10 ans, le mensonge et le trucage des chiffres officiels règnent certes en maître, mais la réalité des licenciements ramène les politiques à la réalité.
Mais voyez cette autre conséquence: comme chaque pays ment à l'autre sur ses chiffres (Espagne, France, Allemagne, Angleterre, etc.), chaque politique prend l'exemple du pays voisin pour expliquer que chez lui tout va mieux, raison pour laquelle il "faut du changement" chez soi. Macron est un parfait exemple de cette politique de menteurs reposant sur des chiffres truqués.
Un empilement de mensonges les uns sur les autres, comme une pyramide de cartes, sauf que le chômage massif va tout faire tomber d'un coup. Remerciez, entre autres, les taux négatifs.
https://fr.sott.net/article/34088-Licenciements-la-derniere-semaine-de-juin-2019-ou-tout-a-derape