28 juillet 2019
Bientôt; Selon Foreign Policy, aller au-delà de la démocratie vers un système autoritaire chinois permettrait aux gouvernements de passer outre l'obstructionnisme climatique des électeurs âgés, mais ils s'inquiètent des perturbations sociales que provoquerait le passage à l'autoritarisme.
LA DÉMOCRATIE EST LE PLUS GRAND ENNEMI DE LA PLANÈTE
Les jeunes se soucient beaucoup du changement climatique, mais la plupart d’entre eux ne peuvent pas voter. Voici comment les gouvernements peuvent s’adapter pour les accueillir.
PAR DAVID RUNCIMAN
20 JUILLET 2019
Dans la Grande-Bretagne d’aujourd’hui, un personnage public rare peut réunir des Brexiteers et des Remainers, des Conservateurs et des Travaillistes. C'est pourtant ce qu'a fait la militante pour le climat adolescente Greta Thunberg lors d'une visite à Londres en avril, alors qu'elle était fêtée par les politiciens britanniques de tous les horizons politiques.
Il aurait fallu un politicien très courageux pour minimiser le pouvoir moral absolu de ce message. Aucun de ses interlocuteurs britanniques - du leader travailliste Jeremy Corbyn au prétendu leader conservateur Michael Gove au président de la Chambre des communes, John Bercow - n'a osé. Au lieu de cela, ils ont tous accepté les accusations portées contre eux et ont promis de faire mieux.
Si les hommes politiques démocratiques tiennent leurs promesses envers Thunberg et ses pairs, l’un des obstacles les plus importants à surmonter est leur propre électorat. Et les citoyens peuvent devenir plus antagonistes à mesure que les gouvernements avancent vers de nouvelles politiques. S'attaquer au changement climatique va nécessiter un changement important de comportement: dans ce que nous mangeons, où nous vivons et comment nous voyageons. Les modes actuels de consommation d’aliments et d’énergie ne sont pas durables. Si nous et la planète voulons survivre, cela signifie moins de viande, de plus petites maisons et moins de voitures.
Si la démocratie électorale ne permet pas de lutter efficacement contre le changement climatique et qu'elle est la plus urgente à laquelle l'humanité soit confrontée, il est urgent de mettre en œuvre d'autres types de politique. La solution la plus radicale serait d’envisager d’aller au-delà de la démocratie. Le système autoritaire chinois présente certains avantages en matière de lutte contre le changement climatique: un parti unique signifie l'absence de tout cycle électoral et moins de consultations publiques. Des solutions technocratiques mettant le pouvoir entre des mains d'experts non élus pourraient permettre aux électeurs de prendre des décisions essentielles.
Mais il y a deux raisons de douter que c'est ce dont l'urgence climatique a besoin. Premièrement, toute transition d'un système démocratique à un système post-démocratique serait extrêmement perturbante. Les barrières dans la manière d'agir sur le climat sont également des barrières à d'autres formes de changement politique radical. Il y aurait une résistance, y compris de la part des générations plus âgées. Deuxièmement, cela ne satisferait pas non plus la génération de Thunberg. Elle ne demandait pas moins de démocratie. Elle demandait une démocratie dans laquelle elle pourrait être entendue.
Donner plus d’énergie à ces autres formes de démocratie - aux assemblées de citoyens et à la désobéissance civile, plutôt qu’aux élections et à la formation de partis - changera radicalement notre politique. Mais c’est peut-être le seul moyen de s’assurer que notre planète ne change pas au-delà de la reconnaissance.
Aussi divertissant soit-il de regarder un défenseur protester contre les manifestations de style Antifa et Extinction Rebellion sur le spectre des activités politiques qui mènent à un autoritarisme à la chinoise, je pense que nous devons remettre en question ces vilaines attaques des activistes du climat contre la démocratie représentative.
Des organisations allant du radiodiffuseur gouvernemental australien à l'ancien directeur du GISS pour la NASA, James Hansen, en passant par Bill Gates et des universitaires de haut niveau, ont fait l'éloge du totalitarisme en tant que solution permettant de faire leur propre politique en matière de climat. Les activistes du climat sont peut-être en train de perdre la bataille des cœurs et des esprits, mais ils ne prévoient pas de s’endormir tranquillement.
Je me souviens quand l'un de mes professeurs nous a parlé de la crise commode, de l'excuse utilisée par les meurtriers fous du pouvoir pour balayer la liberté de côté et s'installer en tyrans. Mais ce n'était qu'un jour de classe et l'enseignant qui avait donné cette leçon a quitté l'école peu de temps après.
Personne ne sait ce qui est arrivé au brave homme qui a tenu tête au char sur la place Tiananmen. L'histoire raconte que deux hommes sont sortis de la foule et l'ont emmené hors du tank pour l'emmener quelque part, mais les témoins ne sont pas d'accord pour dire si les deux hommes étaient des passants inquiets ou des policiers chinois.
(...) changement climatique va nécessiter un changement important de comportement: dans ce que nous mangeons, où nous vivons et comment nous voyageons. Les modes actuels de consommation d’aliments et d’énergie ne sont pas durables. (...)
RépondreSupprimerTout ce que nous mangeons aujourd'hui a été CHIÉ, CRACHÉ, URINÉ et SUÉ PLUS DE 400 FOIS DEPUIS CLÉOPÂTRE !
(...) LA DÉMOCRATIE EST LE PLUS GRAND ENNEMI DE LA PLANÈTE (...) !!
IL N'EXISTE QU'UN SEUL PAYS AU MONDE EN DÉMOCRATIE !!! La Suisse !
La Démocratie c'est 'Par le Peuple Pour le Peuple.'
En Suisse, les suisses proposent LEURS propres lois et votent LEURS propres lois !
En dictature (monarchies, républiques, empires) seuls les tuteurs (Députés/Sénateurs qui n'ont pas fait 1 h de Droit !!) imaginent LEURS lois et votent LEURS lois.
Le Peuple doit FERMER SA GUEULE !
Il existe même des pays avec des 'partis démocrates' !!! qui sont ANTI-DÉMOCRATIE !
PLUS FORT QUE GRETA THUNBERG !!
RépondreSupprimerSUISSE - «PATHÉTIQUE», «AFFLIGEANT»: LE SLOGAN DE BMW IRRITE LES ÉLUS
«Mille pouvoirs. Zéro devoir»: la publicité pour la BMW 5X ne fait pas dans la dentelle. Un «cynisme» irresponsable pour certains politiciens à l'heure du réchauffement climatique. Ou alors, circulez, ce n'est que de la pub...
Mille pouvoirs et aucun devoir... La nouvelle BMW X5 incarne l'ADN de la gamme BMW X, genre de tout terrain SUV, qui promet la pleine puissance sur la route sans jamais avoir de compte à rendre. Irresponsable ?
PAR ERIC FELLEY
29.07.2019, 07h50
En 2018, les ventes de SUV en Europe, en constante augmentation depuis 10 ans, ont atteint de nouveaux records. En France, ce type de véhicule a fait 36% des parts du marché. Si la tendance se poursuit, en 2022, il atteindra les 50%. Autre exemple, parmi les 25 véhicules les plus vendus dans le monde en 2018 on compte 11 berlines, 10 SUV, 3 pick-up et 1 monospace.
Cette évolution imposée par les constructeurs ne va pas sans créer une situation abracadabrante au niveau de la gestion des routes et du parcage. La largeur moyenne des voitures a augmenté de 1 cm tous les 2 ans. De 1,68 m en 1996, on est passé à 1,78 m en 2016. En termes de sécurité, les SUV sont aussi bien plus dangereux pour les piétons et cyclistes.
Comme l'illustre le slogan de BMW, cette évolution s'inscrit dans une tradition «autocentrée» de la voiture, dans les deux sens du terme. La voiture flatte la puissance, la réussite et l'égoïsme de son propriétaire. Alors qu’il faudrait des voitures plus petites, moins polluantes, moins gourmandes en place, l’industrie fait tout le contraire en continuant de jouer à qui a la plus grosse. C'est rageant de voir que les efforts et les progrès obtenus pour diminuer l'impact de l'automobile sur l'environnement sont ainsi réduits à néant.
Depuis quelques années, le parc automobile s’est modifié avec l’apparition des véhicules appelés SUV (pour Sport Utility Vehicle). En 2019, ils représentent plus du tiers des ventes de véhicules neufs. Plus grands, plus larges, plus hauts, d'inspiration américaine, ils fascinent certains, mais agacent souvent les conducteurs de berlines traditionnelles, qui y perçoivent le summum de l'arrogance.
De «larges naseaux»
RépondreSupprimerDans cette évolution, qui ne va pas sans polémique, le slogan choisi par la marque BMW pour son nouveau modèle BMW 5X annonce la couleur pour les futurs rois de la route: «Mille pouvoirs. Zéro devoir». Sa publicité prévient: «La physionomie avant, marquée par de larges naseaux en une pièce de forme légèrement hexagonale, des phares expressifs et des prises d’air massives, laisse déjà deviner son tempérament...» Autrement dit, poussez-vous quand vous me voyez dans votre rétroviseur !
Un message «terrifiant»
Ce modèle n’est toutefois pas pour Monsieur et Madame tout le monde, car il coûte entre 85 000 (76.876,49 €) à 110 000 francs (99.487,23 €) selon les options. Membre de l’Association Transports en Environnement (ATE), le conseiller national Samuel Bendahan (PS/VD) s’étrangle: «C'est vraiment affligeant. Il y a quelque chose de terrifiant de voir qu'une entreprise de cette envergure est capable sans la moindre ironie, de sortir une publicité de ce genre sans se rendre compte du message qu'elle donne.»
Un bandeau comme sur les cigarettes ?
C'est un fait, les SUV polluent plus que les berlines. En effet, ces modèles étant plus lourds et moins aérodynamiques, il faut davantage d'essence pour les faire avancer, même si des progrès techniques permettent de limiter le gaz carbonique. «Je me demande s'il ne faudrait pas mettre un bandeau, comme sur les paquets de cigarettes, pour les publicités pour des produits particulièrement polluants ou dévastateurs pour l'environnement. Ce pourrait être le cas pour les SUV», conclut le Vaudois.
«Chaque automobiliste connaît ses droits»
«Pathétique... » Sa collègue Adèle Thorens (Verts/VD) déplore un slogan «qui érige l’irresponsabilité en valeur. Cela prêterait à sourire si la situation climatique n’était pas aussi grave. C’est complètement déplacé et lamentable de cynisme». Mais, pour Manfred Bühler (UDC/BE), membre de la Commission des transports, ce n'est pas aux politiciens de juger les publicités des marques automobiles: «La puissance et la vitesse servent à vendre certaines voitures depuis des lustres. Chaque automobiliste connaît ses droits et devoirs en matière de trafic automobile, une publicité n’y changera évidemment rien. Pensez-vous sérieusement que cette publicité vient en tête de l’automobiliste au moment de prendre le volant et l’encourage à presser sur le champignon et à se croire tout permis parce qu’il n’aurait aucun devoir ?»
Au pied de la lettre
Peut-être que l'occasion fait le larron.... Son collègue Philippe Nantermod (PLR/VS) se montre en tout cas laconique: «Il me semble que malheureusement, certains conducteurs prennent ce genre de slogan au pied de la lettre dans leur manière de rouler. Heureusement, on ne laisse plus trop passer cela…»
https://www.lematin.ch/suisse/pathetique-affligeant-slogan-bmw-irrite-elus/story/12165629
(...) La largeur moyenne des voitures a augmenté de 1 cm tous les 2 ans. De 1,68 m en 1996, on est passé à 1,78 m en 2016. En termes de sécurité, les SUV sont aussi bien plus dangereux pour les piétons et cyclistes. (...)
SupprimerEt encore là ils ne parlent pas des camions, des bateaux ou des avions !!!
(...) même si des progrès techniques permettent de limiter le gaz carbonique. «Je me demande s'il ne faudrait pas mettre un bandeau, comme sur les paquets de cigarettes, pour les publicités pour des produits particulièrement polluants ou dévastateurs pour l'environnement. Ce pourrait être le cas pour les SUV», conclut le Vaudois. (...)
A quand un bandeau sur chaque être humain "JE RESPIRE ET JE TE TUE !" Hahahahahaha !
Alors que le gaz carbonique n'EST PAS un poison ! L'exemple x fois raconté du 'sac en plastique qui tue' !! "Un sac en plastique sur la tête de quelqu'un le tue car il respire son gaz carbonique !" HAHAHAHA ! Or, il meurt non pas d'avoir respiré du gaz carbonique mais seulement d'être privé d'oxygène !
Et, comme les mers & les océans dégazent des milliards de fois plus que toute l'humanité, les animaux et l'industrie réunis, et que TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! il se trouve que néanmoins s'il y a beaucoup plus de gaz carbonique (= beaucoup plus de végétation) il y a donc par évidence : beaucoup plus d'oxygène dans l'air !
C'est là une information du cours préparatoire dont les journaliste de 'Le Matin' vont découvrir et pouvoir analyser au mois de septembre suite à leur inscription à l'école 'Greta Thunbeg Univerchitie' ! Hahahaha !
Greta Thunberg Univerchitie (suite:)
RépondreSupprimerENVIRONNEMENT - IL FAUT TROIS PLANÈTES POUR VIVRE COMME UN SUISSE
Les Helvètes arriveront lundi au bout de leur quota de ressources pour 2019. C'est encore plus tôt que l'an dernier, s'alarme le WWF.
A partir du 29 juillet, nous aurons ainsi rejeté plus de gaz carbonique dans l'atmosphère que les océans et les forêts ne sont capables d'en absorber.
28.07.2019, 11h38
Dès lundi, nous aurons épuisé les ressources que la terre est capable de produire en une année. Nous arrivons au bout de notre quota après seulement sept mois, soit plus tôt que l'an passé, selon les calculs de l'organisation environnementale WWF.
Si tout le monde vivait comme les Suisses, l'humanité aurait besoin chaque année de trois planètes pour subvenir à ses besoins, relève un communiqué du WWF Suisse dimanche. Chaque année, la demande humaine en ressources naturelles dépasse la capacité de régénération de la Terre: nous consommons 1,7 planète, pour être précis.
A partir du 29 juillet, nous aurons ainsi rejeté plus de gaz carbonique dans l'atmosphère que les océans et les forêts ne sont capables d'en absorber. La quantité d'arbres abattus et de poissons prélevés dans les mers et les fleuves dépassent les capacités de régénération des océans et des forêts.
«Jour du dépassement»
Ce «jour du dépassement de la Terre», comme l'appelle le WWF marque le moment où nous avons consommé plus de ressources que la terre n'est capable d'en reproduire. Il est l'occasion pour l'organisation environnementale d'inviter chacun à évaluer sa propre empreinte écologique.
Notre empreinte globale, calculée selon la méthode du «Global Footprint Network», augmente chaque année, selon le WWF. Il y a vingt ans, selon cette même méthode, il fallait trois mois de plus à l'humanité pour atteindre ce seuil. C'est surtout le mode de vie des pays industrialisés qui contribue à alourdir ce bilan.
En Suisse par exemple, 19% des émissions de gaz à effet de serre et 28% de la pollution de l'environnement sont dus à nos habitudes alimentaires, relève le WWF. Les personnes qui diminuent leur consommation de viande à seulement trois jours par semaine, réduisent déjà leur empreinte écologique de 20%.
L'épuisement des ressources naturelles est observé par le WWF depuis les années 1970, mais le phénomène tend à s'accélérer. Les Suisses ne sont pas les derniers à y contribuer. Ils prennent l'avion environ trois fois plus souvent que leurs voisins européens. Or ces voyages augmentent les émissions de gaz carbonique, qui sont la principale cause du dérèglement climatique. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/sante/environnement/faut-trois-planetes-vivre-suisse/story/21219230
Supprimer(...) IL FAUT TROIS PLANÈTES POUR VIVRE COMME UN SUISSE (...) !!!!!!!
soit: 25 092 369 planètes pour faire vivre les 8 364 123 hab en Suisse !
(même un petit-suisse doit avoir 3 (micro ?) planètes !
SÉCURITÉ - DES BÂLOIS RÉVEILLÉS PAR LES SIRÈNES. UNE ERREUR !
RépondreSupprimerLes sirènes ont retenti à Bâle ce lundi matin alors que le test était prévu silencieux.
29.07.2019
Le sommeil de certains Bâlois a été brusquement interrompu lundi matin par les sirènes d'alarme qui ont retenti deux fois par erreur. Un test silencieux était prévu.
L'essai sans bruit avait été annoncé sur l'application mobile Alertswiss. Mais les sirènes ont bel et bien retenti à 9h, par deux fois à cinq minutes d'intervalle. Le Département bâlois de la justice et de la sécurité s'est excusé auprès de la population. Il a précisé par communiqué qu'il s'agit d'une procédure hebdomadaire.
Une quarantaine de sirènes ont été testées. Les autorités bâloises rappellent qu'en cas de déclenchement des alarmes, la population doit écouter la radio ou consulter le site ou l'application d'Alertswiss. Il ne faut pas appeler les services d'urgence, afin de ne pas les engorger. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/sirenes-reveille-blois-erreur/story/14668160
L'ombre de Greta Thunberg aurai été capté par erreur !
SupprimerSUISSE - QUINZE FONGICIDES POURRAIENT ÊTRE INTERDITS
RépondreSupprimerL'Office fédéral de l'agriculture lance une procédure pour retirer l'autorisation des fongicides contenant du chlorothalonil.
29.07.2019, 12h04
L'OFAG se penche sur quinze fongicides contenant du chlorothalonil, une substance utilisée entre autres dans la culture de céréales. Il lance mardi une procédure de consultation permettant aux organisations écologistes de s'exprimer sur le réexamen de cette substance.
La décision sur l'autorisation des produits concernés doit être rendue dans le courant de l'automne, précise l'OFAG dans un communiqué diffusé lundi. Le chlorothalonil est une substance active utilisée comme fongicide depuis les années 70 dans l'agriculture, notamment dans la culture des céréales, des légumes, de la vigne et des plantes ornementales.
Eaux souterraines contaminées
Le réexamen a montré que certains produits de dégradation de cette substance pouvaient être mesurés en quantité trop importante dans les eaux souterraines. À la fin de juin, l'eau potable du village de Domdidier (FR) a dû être coupée après que du chlorothalonil y a été découvert à un taux trop élevé.
Pour corriger ce problème, l'OFAG, d'entente avec l'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV), envisage un retrait de l'autorisation de tous les fongicides contenant cette substance.
Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le chlorothalonil est particulièrement toxique pour les poissons et les invertébrés aquatiques. Une exposition à cette substance a aussi conduit à des dommages au niveau des reins et de l'estomac chez les rongeurs, notamment des tumeurs. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/quinze-fongicides-pourraient-interdits/story/12524679
Alors que le fongicide vient de la Terre et retourne... dans la Terre d'où il est venu il va - peut-être - être interdit en Suisse !!!
SupprimerPLUS CON QUE ÇA TU MEURS !
(...) À la fin de juin, l'eau potable du village de Domdidier (FR) a dû être coupée après que du chlorothalonil y a été découvert à . (...)
La réserve d'eau du village était de 1 litre ! HAHAHAHAHA !
'un taux trop élevé' ? DE COMBIEN ? J'SAIS PÔ !
Trop con le journaliste du 'matin' !
Avec 14 lingots d’or cachés dans son estomac, ce voyageur a interloqué les douaniers d’un aéroport
RépondreSupprimer13:34 29.07.2019
Les douaniers de l’aéroport de Tachkent ont procédé à l’arrestation d’un homme ayant dissimulé 14 lingots d’or dans son estomac. La valeur totale du précieux métal englouti est estimée à environ 17.000 euros.
Vendredi 26 juillet à l’aéroport de Tachkent, les douaniers ont arrêté un homme avec plus de 400 grammes d’or dans son estomac, a informé le service de presse du comité d’État à la douane d’Ouzbékistan.
Une inspection douanière supplémentaire a été conduite à l’égard de ce passager du vol Tachkent-Delhi qui a tenté d’échapper à la douane en passant en zone verte. «Les vérifications à l’aide du scanner ont permis d’établir que l’interpellé avait essayé de faire sortir illégalement quatorze petits lingots d’or bricolés», indique le message. Selon les données de l’administration douanière, la valeur de l’or confisqué de 434 grammes s’élève à plus de 150 millions de sums, l’équivalent d’environ 17.000 euros.
Les douaniers ouzbeks annoncent régulièrement des cas d’arrestations de passagers cherchant à faire passer de l’or et des bijoux en contrebande. En mars 2019, à l’aéroport de Tachkent, deux femmes avaient été interpellées alors qu’elles se rendaient à Amritsar en tentant de transporter dans leurs estomacs des lingots d’or d’une valeur de plus de 15.000 euros.
Parmi les canaux les plus prisés par les contrebandiers opérant dans l’aéroport de Tachkent se trouvent les vols à destination de Bakou, d’Istanbul et des villes indiennes. En droit ouzbek, les particuliers sont autorisés à transporter sans taxe jusqu’à cinq unités de bijouterie et de métaux précieux dont le poids total ne dépasse pas les 30 grammes en les déclarant à la douane.
https://fr.sputniknews.com/international/201907291041815398-avec-14-lingots-dor-caches-dans-son-estomac-ce-voyageur-a-interloque-les-douaniers-dun-aeroport/
'14 lingots d'or' !!! Hahahaha !
SupprimerUn lingot d'or pèse un kilo, (la barre 12,400 kg et le lingotin 500 gr). Or, il ne s'agissait pas de '14 lingots' (d'1 kg !) mais seulement de menthes (grosseur d'une pastille) !
203,31 € les 5 gr ou, lingot: 40662 €/kg !
https://www.changevivienne.com/or
https://www.zonebourse.com/formation/espace_pedagogique/L-Or-63/
PIRE QUE L'ÉPÉE DE DAMOCLES VOICI LES PETS DE GRETA !
RépondreSupprimerLe militantisme climatique de Greta Thunberg est toujours plus critiqué
le 23.07.2019
De plus en plus voix s'élèvent, en France notamment, contre la jeune activiste suédoise Greta Thunberg. Certains craignent que ces critiques, virulentes, entachent l'image des défenseurs du climat.
Les choses ont pris une tournure assez violente ces derniers jours, comme lors du discours de Greta Thunberg à l'Assemblée nationale française, avec notamment deux prises de position qui font parler d'elles.
La charge la plus violente est venue du philosophe Michel Onfray. Il s'en est pris au physique de l'adolescente, la traitant de "cyborg qui ignore l'émotion, qui ne sourit jamais". Le Français a lancé une pique, également, contre l'entourage de Greta Thunberg en se demandant qui était vraiment derrière ses discours. Cette bataille rhétorique a vu passer d'autres qualificatifs, comme "éco-morveuse", "gourou apocalyptique" ou "mini-prêtresse."
Greta Thurnberg, Suédoise de 16 ans et militante pour le climat.
Il n'y a pas de juste milieu quand on parle d'urgence climatique.
Sentant l'animosité enfler, Greta Thunberg a répondu à ses détracteurs devant les députés français: "De nombreuses personnes, de nombreux politiques, disent qu'ils ne sont pas d'accord avec ce que nous disons", a-t-elle constaté à la tribune. "Je vous invite à lire la page 108 du dernier rapport du GIEC. Ce sont les chiffres fondés sur la science. Il n'y a pas de juste milieu quand on parle de l'urgence climatique."
La deuxième charge est venue d'un médecin, Laurent Alexandre, pour qui Greta Thunberg est "la" réussite marketing de la décennie.
Le chirurgien-urologue est critique sur le message de la Suédoise: "Son programme est contre-productif. Il aggraverait le réchauffement climatique, il entraînerait une crise économique et sociale absolument massive, qui aurait des conséquences absolument révolutionnaires", explique le fondateur du site Doctissimo lundi dans La Matinale. "Quand on baisse le pouvoir d'achat des gens de 0,5%, on a les gilets jaunes dans la rue. Si on baisse le niveau de vie des ouvriers de 50%, on aura l'extrême droite au pouvoir. Donc ce discours est un discours irréaliste et très dangereux politiquement."
Des attaques "petites" et "gratuites"
Interrogé sur ces critiques, le président des Jeunes Vert-e-s vaudois-e-s constate que ces violences augmentent mais se dit surtout étonné de leur provenance. "C'est vraiment des attaques de personnes qui se disent philosophe, des personnes dont on attend peut-être un minimum de responsabilité et de clairvoyance, et qui attaquent sur le physique et sur l'état psychologique d'une fille. Je trouve ça très petit et très gratuit", note Oleg Gafner.
Cela montre la peur de ces personnes, qui préfèrent dévier leur discours sur des choses plus faciles à juger.
RépondreSupprimerEt ces diverses prises de position représentent un risque pour les défenseurs du climat, estime Oleg Gafner. "Ce qu'on attend de ces personnes, c'est d'agir, de prendre position pour le climat, et à tous les échelons d'agir concrètement pour ça. C'est se déresponsabiliser de cette urgence en changeant de sujet. Et ça, c'est très dramatique. Cela montre peut-être aussi la peur de ces personnes qui - au lieu de s'attarder sur ce sujet - préfèrent dévier leur discours sur des choses plus faciles à critiquer et à juger."
Laurent Alexandre est précisément critique sur le message de la jeune femme et sur sa manière d'envisager la gestion de l'urgence écologique, qui selon lui, ne résume pas à un seul combat: "Il y a mille sujets que le politique doit appréhender", dit-il. "Greta Thunberg a une obsession unique, qui est le gaz carbonique. Elle ne s'intéresse qu'à ça. On ne peut pas résumer la politique à la gestion du gaz carbonique, il y a mille enjeux que le politique doit gérer simultanément."
Et si le médecin Laurent Alexandre critique le fond, il dit s'inquiéter aussi pour l'adolescente qu'est encore Greta Thunberg. Du reste, s'il avait ses parents en face de lui, il les engueulerait "pendant trois heures".
"C'est une enfant fragile"
Le praticien déplore notamment le fait qu'ils aient révélé son dossier psychiatrique. "C'est une enfant fragile", souligne-t-il. "De lui faire arrêter l'école et de la soumettre à un stress de vedette, donc de transformer une gamine de 16-17 ans en un animal de foire, c'est extrêmement mal. Et les parents commettent une faute médicale, une faute contre leur enfant."
Quoi qu'il en soit, l'activiste suédoise continue sa tournée, qui passera prochainement par la Suisse. Les jeunes du mouvement Smile for the future ont convoqué la presse dans une semaine, en sa présence. Et le 9 août, elle sera aux côtés du prix Nobel de chimie 2017 Jacques Dubochet pour une conférence.
Natacha van Cutsem/oang
Publié à 07:42 - modifié à 11:04
Comment le réchauffement influence la géopolitique
Des canicules plus fréquentes et plus intenses font partie des manifestations tangibles et faciles à identifier - sur des tendances longues. Mais le changement climatique a aussi des aspects plus difficiles à remarquer et qu'on ne lui associe pas spontanément, dans la sphère géopolitique.
C'est la thèse que développe Jean-Michel Valantin, responsable "changement climatique et sécurité» du think tank The Red (Team) Analysis Society", dans son ouvrage "Géopolitique d’une planète déréglée" (seuiol, 2017.)
Ce docteur en études stratégiques cite notamment la Syrie comme exemple des guerres climatiques. Il rappelle qu'avant la révolution contre Bachar al-Assad en 2011, l'élément déclencheur a été la sécheresse.
https://www.rts.ch/info/monde/10598872-le-militantisme-climatique-de-greta-thunberg-est-toujours-plus-critique.html
Achetez 'Greta-Pampers' la première couche déjà pleine de merde* !
Supprimer*merde bio écologique.
'MORT AUX ETRANGERS ! ICI ON TIRE A VUE !'
RépondreSupprimerLucerne prépare ses solutions pour mieux endiguer le tourisme de masse
le 29.07.2019
Pour limiter les embouteillages et apaiser sa population, la municipalité de Lucerne se dit favorable au principe d'une taxe sur les cars touristiques. Elle soumettra ses premières solutions en octobre prochain.
Victime de son attractivité mondiale, Lucerne peine à gérer le flux des touristes. Chaque année, 9,4 millions de personnes visitent la ville, soit plus de 25'000 par jour, selon la HES de Lucerne.
Mais l'immense majorité n'y passe pas la nuit: les groupes de touristes asiatiques font la visite au pas de course, avant de passer à l'étape suivante.
Pression pour des mesures supplémentaires
Et l'inquiétude d'une partie de la population a des échos au niveau politique. Depuis 2015, les cars se rendant sur les deux points d'accès aux sites historiques de la ville doivent déjà se contenter, aux heures de pointe, de laisser descendre leurs voyageurs et de repartir aussitôt.
Mais beaucoup veulent aller plus loin. En mars dernier, le parlement communal a chargé l'exécutif d'évaluer l'introduction d'une taxe de 120 francs par car s'arrêtant dans le centre-ville. L'objectif est de réduire les nuisances et faire participer les visiteurs d'un jour aux coûts d'infrastructures.
Le chef du dicastère de l'Environnement et de la Mobilité, l'écologiste Adrian Borgula, indique lundi que la Municipalité soumettra ses premières solutions en octobre prochain.
Un projet de métro jugé "irréaliste"
En matière de nouvelles infrastructures, plusieurs idées ont été lancées. Parmi elles, une initiative populaire propose d'installer un parking souterrain de cars au nord de la ville, relié au centre par un métro. Mais les autorités s'y opposent pour des raisons de coûts et parce qu'elles estiment le projet aussi inutile qu'irréaliste.
Une étude mandatée par la municipalité propose de son côté la construction d'un grand parking à l'Allmend, dans l'ouest, proche du stade de football et d'une gare RER.
Mais la ville va élaborer d'abord une nouvelle stratégie touristique, en recueillant les doléances des habitants dès la fin 2019. Le besoin en infrastructures et les règles définitives de stationnement des cars en découleront.
ats/oang
Publié à 10:33 - modifié à 10:49
Une ville "ouverte au monde"
Sur le fond, l'exécutif de Lucerne ne considère pas que les limites du "surtourisme" sont atteintes. Les flux soudains de milliers de touristes asiatiques envoyés en voyage par leur employeur en mai dernier ont été gérés "sans poser de grands problèmes pour la vie quotidienne en ville", assure Adrian Borgula.
Le magistrat rappelle que Lucerne est une ville "ouverte au monde", que ses habitants sont eux aussi souvent des touristes ailleurs et que le tourisme se limite à quelques lieux précis en ville. "Le tourisme est important pour notre économie", rappelle-t-il.
https://www.rts.ch/info/regions/autres-cantons/10599134-lucerne-prepare-ses-solutions-pour-mieux-endiguer-le-tourisme-de-masse.html
En France ils lâchent des loups et des ours, pourquoi en Suisse on lâcherait pas des lions ?!
SupprimerLes femmes deviennent mères toujours plus tard en Suisse
RépondreSupprimerUne femme enceinte de neuf mois au travail.
le 29.07.2019
L'an dernier à Genève, l'âge moyen des mères à la naissance a pour la première fois dépassé les 33 ans, a annoncé récemment l'Office cantonal de la statistique. Genève est le canton suisse où ce phénomène est le plus marqué.
C'est dans les cantons de Genève et Bâle-Ville que l'âge moyen des mères à la naissance est le plus élevé de Suisse. Pour cette comparaison par canton, il faut toutefois se baser sur les données 2017 de l'Office fédéral de la statistique (OFS), puisque celles de 2018 ne sont pas encore publiées. Selon ces chiffres, l'âge moyen des mères à la maternité était de 31,9 ans pour l'ensemble de la Suisse et d'environ un an de plus à Genève et Bâle-Ville, avec 32,7 ans.
Professeur à l'Université de Genève, le démographe Philippe Wanner relève que Genève "est un canton constitué d'une population urbaine et c'est évident que cela ne favorise pas la natalité". Il souligne également que le niveau moyen d'éducation des jeunes Genevois est élevé en comparaison nationale "et on sait que les personnes les plus formées ont tendance à avoir des enfants beaucoup plus tardivement".
A l'autre bout de ce classement, on retrouve le Jura avec une moyenne de 31,1 ans et Glaris, 30,9 ans.
- voir graphique sur site -
Les naissances vivantes selon l'âge de la mère, évolution de 1970 à 2018. [OFS-BEVNAT - Office fédéral de la statistique]
Age au premier enfant
- voir graphique sur site -
L'âge des mères au premier enfant constitue un autre indicateur, peut-être plus pertinent. L'OFS dispose de ces chiffres par canton, uniquement pour les femmes mariées, toujours pour l'année 2017. C'est à nouveau à Genève et Bâle-Ville que ce chiffre est le plus élevé: les mères y ont donné naissance à leur premier enfant à 31,8 ans en moyenne, soit un an de plus que pour l'ensemble de la Suisse, soit 30,8 ans.
Selon Philippe Wanner, l'âge moyen des mères au premier enfant pourrait encore grimper: "On sait qu'un jour ça risque de se stabiliser, il y a des limites biologiques évidentes, (…) mais on pense que ça va encore augmenter un peu avant une stabilisation".
Le démographe estime possible que cet âge moyen atteigne 35 ou 36 ans. Il relève, pour conclure, que les naissances sont très tardives en Suisse en comparaison internationale.
https://www.rts.ch/info/suisse/10599130-les-femmes-deviennent-meres-toujours-plus-tard-en-suisse.html
Si en Suisse un mec drague une femme et s'aperçoit un an après que c'est un homme...
SupprimerLes effets méconnus des orages enfin élucidés
RépondreSupprimerle 29 juillet 2019
Nous sommes tous familiers des orages qui se produisent par exemple après un épisode de forte chaleur suivi de l’arrivée d’un front froid. Il se produit alors de violents mouvements de masses d’air se ionisant puis provoquant des décharges électriques parfois spectaculaires suivies d’un bruit quelque fois assourdissant. Les éclairs sont le résultat de la présence de champs électriques intenses existant entre deux masses nuageuses ou une masse nuageuse et le sol. Ces champs électriques accélèrent des électrons à des vitesses dites relativistes. Outre l’émission de photons visibles suivant le tracé de la décharge électrique, quelques micro-secondes avant cette décharge visible il y a également l’émission de photons nettement plus énergétiques, des rayons gamma. Ce phénomène est appelé « bremsstrahlung », un terme allemand signifiant radiation de décélération.
Lorsque des électrons – ici dans les nuages – sont accélérés par un champ électrique intense, si leur vitesse décroit par interaction avec les noyaux ionisé d’autres atomes, typiquement d’azote, alors conformément à la loi de conservation de l’énergie ils émettent un rayonnement sous forme de photons dont l’énergie dépend de leur vitesse. C’est exactement le même phénomène que celui provoquant les radiations d’un synchrotron dans lequel sont accélérés des électrons à des vitesses relativistes. Ce type d’émissions de photons de haute énergie liés a des orages a été observé au début des années 1980 par des détecteurs dit de Compton embarqués dans des satellites.
Mais que se passe-t-il sur le plancher des vaches pendant que le champ électrique s’intensifie pour se terminer par une décharge électrique lors d’un orage ? C’est ce qu’a voulu approfondir une petite équipe d’étudiants doctorants de l’Université de Tokyo, dont Yuuki Wada, initiateur de ce projet. Leur préoccupation était de connaître l’aire de répartition au sol de ce rayonnement, son énergie et la durée de l’irradiation que chacun peut subir s’il se trouve à l’extérieur lors d’un orage. Le choix d’orages d’hiver a été arrêté en raison des altitudes relativement peu élevées des nuages. L’hypothèse fut que la détection des rayons gamma – car il s’agit bien de rayons gamma – en serait facilitée. Cette détection a été réalisée avec des photo-multiplicateurs équipés d’une fenêtre constituée d’un cristal d’oxyde de bismuth et de germanium sensible aux rayons gamma. Un ensemble de deux sites de détection a été installé dans la ville de Kanazawa près de la Mer du Japon et le 9 janvier 2018, au cours d’un orage ce fut une grande découverte.
- voir graphique sur site -
Les deux détecteurs ( sur la figure : a et b) étaient distants d’environ 1 kilomètre et ils ont détecté deux évènements différents, l’un se déroulant entre 80 et 20 secondes avant l’éclair – la décharge électrique – et l’autre ayant lieu au cours des 50 millisecondes suivant l’éclair. Il s’agit lors de la première « lueur » de rayons gamma d’une pluie de photons ayant une énergie de l’ordre de 1 à 3 MeV. Ces photons de relativement faible énergie sont émis par les électrons accélérés par le champ électrique lors de leur décélération et ce premier phénomène provoque ensuite l’éclair et le flash concomitant de rayons gamma de plus haute énergie, jusqu’à 30 MeV, puisque ces deux phénomènes sont liés conformément aux signaux enregistrés par les deux réseaux de détecteurs. L’un des réseaux a bien enregistré la « lueur » précédant l’éclair alors que l’autre réseau situé à 1,3 km du premier a mieux enregistré le « flash » de rayons gamma en raison de la distance séparant l’éclair lui-même de chacun des détecteurs. Les analyses ont enfin permis de calculer l’intensité de la décharge du champ électrique établi dans le nuage d’orage. Celle-ci a atteint près de deux-cent-mille ampères pour un champ d’environ un milliard de volts par m2. C’est la première fois qu’un lien a pu être établi entre ces deux phénomènes de haute intensité énergétique. Il reste maintenant à expliquer en détail le mécanisme qui provoque ce « flash » de haute énergie et il faudra accumuler les observations pour mieux comprendre ce mécanisme. Toujours est-il qu’au cours d’un orage, si on n’est pas à l’abri, on a peu de chance de se faire foudroyer mais par contre on a toutes les chances de se faire copieusement irradier par des rayons gamma …
RépondreSupprimerSource : University of Tokyo et doi : 10.1038/s42005-019-0168-y
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/07/29/les-effets-meconnus-des-orages-enfin-elucides/
Les enfants vont devenir une rareté dans les grandes villes américaines
RépondreSupprimerDominique Dewitte
29 juillet 2019
Depuis 2011, le nombre de naissances dans l’État américain de New York a diminué de 9 %. Dans le district de Manhattan, on constate une diminution de 15 %. À ce rythme, d’ici 30 ans, il y aura deux fois moins d’enfants à New York qu’aujourd’hui.
Le magazine The Atlantic consacre beaucoup de temps à cette question. Il brosse un tableau peu reluisant des grandes villes américaines. Outre New York, ce phénomène se concentre principalement à San Francisco, à Seattle et à Washington, où le nombre de familles avec enfants de six ans et plus a nettement diminué.
Le fait que les grandes entreprises de technologie aiment s’installer dans ces métropoles américaines est sans aucun doute un facteur qui a beaucop d’influence. Ces entreprises emploient principalement une population blanche, qualifiée et riche. Cette dernière préfère consacrer du temps et de l’énergie à une carrière plutôt que de fonder une famille. Le graphique ci-dessous parle de lui-même. Il indique l’évolution du pourcentage de personnes âgées de 25 à 49 ans vivant dans la ville entre 2000 et 2017. On constate une nette augmentation du nombre de Blancs titulaires d’un diplôme qui n’ont pas d’enfants d’âge scolairede même que celle des résidents sans enfants. Les non-diplômés et les familles avec enfants quittent la ville.
Les villes deviennent de plus en plus chères et hostiles pour les enfants
En conséquence, la cherté du coût de la vie dans ces villes ne fait qu’augmenter. Cela se reflète particulièrement dans le prix de l’immobilier. Que l’on achète ou loue une propriété n’a aucune importance. Le prix à payer par mètre carré est beaucoup plus élevé que dans les autres villes américaines. Quiconque a des enfants doit aussi leur accorder de l’espace. Et il n’y a souvent pas d’argent pour cela.
La plus grande concentration de maisons chères se trouve à San Francisco, où le prix d’achat de 81 % des maisons a passé la barre du million de dollars, selon un rapport de la plate-forme immobilière en ligne Trulia de l’année dernière. Quant à ceux qui veulent vivre à Manhattan, ils peuvent facilement payer 6 700 à 7 800 dollars (6 000 à 7 000 euros) par mois pour un appartement ordinaire avec deux chambres à coucher. Ceux qui recherchent un logement « fancy« doivent facilement y consacrer le double.
En 2018, le taux de natalité aux États-Unis est tombé à son plus bas niveau en 32 ans. Une autre conséquence est que les familles avec enfants sont obligées de déménager dans des quartiers plus abordables en dehors de la ville. Cela signifie que les villes de Los Angeles, Chicago, New York et Philadelphie ont perdu un total de 2 millions d’habitants au profit des banlieues entre 2010 et 2018.
En plus d’être moins chères, ces meilleures banlieues sont également plus adaptées aux familles. Les écoles, les parcs, les restaurants adaptés aux enfants, les baby-sitters et les parkings pour voitures familiales … sont beaucoup plus nombreux et moins chers que dans les grandes villes.
https://fr.express.live/enfants-grandes-villes-americaines/
EN INDE, NETFLIX LANCE UN ABONNEMENT À 2,6 EUROS
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
29/07/2019
Après la dernière publication financière, le titre Netflix a chuté de 15%.
C’est l’abonnement Netflix le moins cher du monde : en Inde, le service américain de streaming est désormais disponible au prix de 199 roupies (2,5 euros). Au-delà de la pénétration de l’immense marché indien, l’enjeu est aussi de redresser le nombre global d’abonnés.
L’Inde, un marché qui compte 600 millions d’internautes
Rien ne va plus chez Netflix, à en juger par la dernière publication financière. Les bénéfices ont chuté à 271 millions de dollars, contre 384 millions à la même période en 2018. Sur le trimestre, le nombre d’abonnés a progressé de seulement 2,7 millions de nouveaux abonnés... contre les 5 millions attendus par les analystes. Et en Bourse, la réaction ne s’est pas fait attendre : le titre Netflix a chuté de 15%.
Pour redresser la barre, Netflix a donc décidé de recourir sans attendre à une solution radicale : proposer ses abonnements très peu cher dans un immense marché en plein essor. En clair, vendre ses abonnements l’équivalent de 2,6 euro en Inde, un pays qui compte 600 millions d’internautes, et 800 autres habitants qui ne sont pas encore connectés (mais ne tarderont sans doute pas à l’être).
Pour Reed Hastings, les « prochains 100 millions d’abonnés » viendront d’Inde
En plus de son prix, cet abonnement a aussi une autre particularité : il est uniquement disponible sur mobile. Et c’est normal : les Indiens sont bien équipés en smartphones, mais pas nécessairement en ordinateurs. En plus, les forfaits 4G y sont parmi les moins chers du monde.
Reed Hastings, le président du conseil d’administration de Netflix, ne cache pas son ambition : il a récemment évoqué le marché indien en tant que source des « prochains 100 millions d’abonnés ». Et le timing est parfait : non seulement 800 millions d’Indiens ne sont pas encore connectés à Internet (et ne sont donc abonnés à aucun de ses concurrents), mais une offre à bas prix est un important facteur de différenciation sur ce marché où la plupart des consommateurs ont un budget loisirs très limité.
http://www.economiematin.fr/news-inde-netflix-abonnement-lancement
Mt Barker - Comment ne pas mesurer la température
RépondreSupprimerJuly 29th, 2019
- voir photo d'une camionette garée sur une courte allée (4 m) à côté maison et boitier de relevés de température -
Merci à Bill in Oz qui a envoyé cette photo du site de Mt Barker en Australie du Sud.
Ken Stewart au Royaume-Uni écrit: Le monde loufoque des stations météo: N ° 1 - Mount Barker
Mt Barker, photo, site du Bureau de météorologie.
…
Comptez les moyens par lesquels ce site enfreint les règles propres du Bureau of Meteorology:
Ken Stewart trouve les directives pertinentes du BoM. Il est clair que ce site est situé sur une pente, trop près des bâtiments, trop près de feuillages hauts, trop près des puits de chaleur, il ne devrait pas être arrosé artificiellement, ni près de l’asphalte. Il doit avoir une zone tampon de 30 mètres et ne pas être protégé du soleil, de la pluie ou du vent. BillinOz fait remarquer qu'il est totalement protégé des vents froids du sud et que l'air froid sera drainé de l'endroit en aval de la pente.
À quel point le Bureau de météorologie se préoccupe-t-il du changement climatique ? - Environ 1 m sur 30 ou 3% du facteur de «soins» annoncé. C’est un taux de 97% de Junk-Science. L’avenir de la vie sur Terre est censé être en jeu et les «experts» ne peuvent même pas se soucier de mesurer avec précision le changement climatique, ils nous disent que nous devons payer des milliards de dollars pour le résoudre.
Mt Barker, site du Bureau de météorologie, 2015.
Ça pourrait être pire? Bien sûr, en 2015, le thermomètre Mt Barker était de l'autre côté du pâté de maisons, à côté de l'allée et de la camionnette.
De toute évidence, chaque enregistrement revendiqué sur ce site n'a aucune signification scientifique. Ce genre d’erreur ne peut être ni homogénéisé ni corrigé, mais les Australiens qui paient des impôts pourraient penser qu’installer un bon site serait possible si nous leur payons plus d’un million de dollars par jour.
Les températures du Mt Barker sont publiées sur la page Dernières observations météorologiques. Comme le souligne Stewart, ce site défectueux est utilisé pour ajuster les températures sur les sites officiels de la superstar ACORN-SAT à Adélaïde, Cape Borda, Nuriootpa, Robe et Snowtown. C’est ainsi que de mauvaises données polluent les relevés de température australiens et les communiqués de presse utilisés pour dissuader le public de dépenser plus d’argent pour régler un problème climatique que personne ne peut se permettre de mesurer correctement.
La ligne de fond ? Demandez à notre M.P. d’auditer le Bureau of Met. Si l'environnement est important, il doit exister un audit indépendant. Les sceptiques ont demandé, et le Bureau a jeté l'ensemble du jeu de données pour éviter l'audit. Ils admettent qu'ils ne décriront pas leurs méthodes. Si les Verts ou l'Australian Conservation Foundation se préoccupaient de l'environnement, ils exigeraient un audit comme nous le faisons.
En 2015, ce site était de l'autre côté du pâté de maisons, à côté de l'allée et de la voiture. «Heureusement», réalisa le BoM, et… le déplaça à un autre endroit inadéquat.
Ces directives du bureau de fantasy:
RépondreSupprimerLes spécifications des stations météorologiques sont définies dans la spécification d'observation de la nomenclature des bâtiments 2013.1 «Principes directeurs pour l'établissement et l'exposition d'objets d'instruments météorologiques et d'installations d'observation».
http://www.bom.gov.au/climate/cdo/about/observation_specification_2013.pdf
3.4.1 «… l’enceinte de l’Instrument est une enceinte carrée de 17 mètres sur 17 mètres située au milieu d’une zone tampon de 30 mètres sur 30 mètres alignée dans le sens vrai nord-sud.»
3.4.2 L'enceinte doit être «de niveau, clairement définie et recouverte d'une partie de la végétation naturelle de la zone pouvant être coupée à une hauteur de quelques centimètres… ne doit pas être arrosée artificiellement.» Allées en béton ou en asphalte non une largeur supérieure à 0,5 mètre devrait être minimale et installée uniquement si le sol sera impraticable ou dangereux en conditions humides.
3.4.3 La zone tampon doit également être recouverte d'une végétation naturelle maintenue à moins de 0,5 mètre.
3.4.4 Un obstacle isolé d'une hauteur maximale de 15 mètres devrait avoir une distance égale à 4 fois sa hauteur par rapport à l'enceinte.
3.6.4 «Si un abri est nécessaire à des endroits où aucune enceinte d'instruments ne doit être fournie, il doit être installé dans une zone plane et recouverte soit de la végétation naturelle de la région, soit d'une herbe non arrosée, qui doit être entretenue à quelques centimètres de hauteur. Le site ne doit pas être dans un creux ou une pente raide. L'abri doit être librement exposé au soleil et au vent et ne doit pas être protégé par des arbres, des bâtiments, des clôtures, des murs ou d'autres obstacles. Il ne doit pas non plus être situé à proximité de grandes surfaces de béton, d'asphalte, de roche ou d'autres surfaces susceptibles d'altérer localement la température de l'air du site. Dans les zones où ces surfaces sont inévitables, un dégagement minimal de 5 fois la largeur de la surface non représentative est recommandé. ”
Merci à BillinOz qui a envoyé cette photo. Si les lecteurs veulent envoyer plus de photos de leurs sites locaux, veuillez commenter ou m'envoyer un email à joanne AT Ce domaine de site. À votre santé ! Jo
PS: Comme Ken le fait remarquer, les personnes à la maison ne sont pas à blâmer. Ciblez vos réponses à la BoM!
http://joannenova.com.au/2019/07/mt-barker-how-not-to-measure-the-temperature/#more-65474
SupprimerPareil qu'en France y a 1 mois où dans le Gard a été prise une photo d'une 'station météorologique' entre une route et une serre-tunnel ouverte ! Hahahaha !
Effectivement, il y a eut 'record de température' !! Hahahaha !
Une «fessée» pour Greta Thunberg: une députée suspendue sur Twitter pour la seconde fois
RépondreSupprimer16:46 29.07.2019
Sanctionnée par Twitter suite à des signalements à propos de son tweet sur Greta Thunberg, Emmanuelle Ménard, députée élue avec le soutien de RN et de DLF, a créé un nouveau compte qui a lui aussi été suspendu. La députée s’insurge et dénonce l’état de la liberté d’expression en France.
Les paroles de la députée de l’Hérault Emmanuelle Ménard, élue avec le soutien de RN et de DLF, à l’encontre de Greta Thunberg, suite à la venue de l’adolescente à l’Assemblée nationale, ne sont pas passées inaperçues. Le fait que Mme Ménard «regrette» que la fessée soit interdite dans ce cas précis a coûté à la députée le blocage de son compte Twitter, le 26 juillet.
Bien que la parlementaire ait créé un nouveau compte nommé @MENARDEmmanuel1 le jour suivant, il a été aussi suspendu.
«Cette fois-ci, c’est de l’acharnement! Ce matin, le nouveau compte Twitter que j’avais ouvert hier a été purement et simplement éliminé. Ils disent “suspendu”, mais en réalité, il n’est plus visible du tout, contrairement au précédent», s’est insurgé Emmanuelle Ménard via Facebook.
«La liberté d’expression est de plus en plus menacée dans notre pays. Ça commence comme ça, par petites touches […]. Mon nouveau compte a en effet été signalé par les mêmes qui ont signalé mon tweet osant critiquer Greta Thunberg. Le politiquement correct ne fait plus seulement la loi, il sort la matraque», a-t-elle écrit.
La députée a pourtant précisé qu’il lui restait Facebook pour communiquer et qu’elle donnerait également «des nouvelles via le compte Twitter de Robert Ménard».
«Dommage que la fessée soit interdite»
Le 23 juillet dernier, après l’intervention de la jeune Greta Thunberg à l’Assemblée nationale, la députée de la 6e circonscription de l’Hérault a écrit sur Twitter: «Greta Thunberg. Dommage que la fessée soit interdite, elle en mériterait une bonne».
Le tweet avait été plus tard effacé.
https://fr.sputniknews.com/france/201907291041817799-une-fessee-pour-greta-thunberg-une-deputee-suspendue-sur-twitter-pour-la-seconde-fois/
Heureusement on a encore des missiles ET ILS PEUVENT SERVIR !! (Twouitéuncon !).
Supprimer
RépondreSupprimerGreta Thunberg appelle «à la désobéissance civile et à la rébellion»
20:09 29.07.2019
La militante suédoise pour le climat Greta Thunberg a participé au nouvel album du groupe The 1975. Elle y exhorte notamment à «la désobéissance civile et à la rébellion».
L’activiste suédoise Greta Thunberg a prêté sa voix pour le titre The 1975, du groupe de rock britannique éponyme. Il s’agit du premier extrait de leur nouvel album, intitulé Notes on a Conditional Form.
En préambule, on entend Greta Thunberg expliquer que l’humanité est «actuellement au début d'une crise climatique et écologique». La suite est constituée d’extraits du discours de l’adolescente prononcé en janvier 2019 au Forum économique mondial, sur un léger accompagnement musical.
«Il est temps de se rebeller»
Vers la fin du titre, la célèbre militante appelle les humains à prendre des mesures et à agir.
«Il est maintenant temps pour la désobéissance civile, il est temps de se rebeller», dit-elle.
La date de sortie de l’album Notes on a Conditional Form n’a pas encore été rendue publique. Le groupe The 1975 est invité au Pitchfork Music Festival Paris, à la Grande Halle de la Villette, le 2 novembre prochain.
https://fr.sputniknews.com/international/201907291041820792-greta-thunberg-appelle-a-la-desobeissance-civile-et-a-la-rebellion/
et, a t-elle ajouté: Vive la prochaine guerre mondiale !
SupprimerQUI A PÉTÉ ?
RépondreSupprimerUne surabondance de gaz naturel écrase les foreuses américaines
par Tyler Durden
Lundi, 29/07/2019 - 12h55
Présenté par Nick Cunningham de OilPrice.com
Les perspectives pour les producteurs de gaz naturel ne sont pas excellentes. Ils se font avoir par les prix bas aujourd'hui, au milieu d'une surabondance. Mais les perspectives à moyen et long termes sont encore pires, les énergies renouvelables prenant de plus en plus de parts de marché.
L’industrie gazière s’est investie dans cette situation délicate. La production de gaz continue de grimper en flèche, reconstituant rapidement les stocks, qui avaient chuté à leur plus bas niveau en 15 ans avant le dernier hiver. Les stocks restent en dessous de la moyenne des cinq dernières années, mais ont rapidement augmenté ces derniers mois.
Si l'industrie du gaz naturel avait espéré qu'une vague de chaleur époustouflante balayant une grande partie de la côte Est permettrait de sauver les prix, elle serait sûrement déçue. Les prix du gaz naturel continuent de baisser malgré la chaleur et il y a peu de chance d'un rebond. Vendredi, les prix au comptant du gaz naturel ont encore reculé de 3%, tombant en dessous de 2,20 USD / MMBtu.
La production de disques de Marcellus est l'une des principales raisons. Mais les foreurs de pétrole sont aussi à blâmer. Le rythme effréné des forages dans le Permien - qui, certes, a ralenti depuis peu - a provoqué une vague de gaz naturel si importante que l’industrie produit des volumes énormes de gaz à cause du manque de pipelines. Les autorités de réglementation du Texas ne semblent pas disposées à réglementer le taux de flambage par peur de nuire à l'industrie, de sorte que le flambement se poursuit.
Néanmoins, les niveaux record de production de gaz associé au Permien font chuter les prix. La nouvelle capacité intermédiaire du gazoduc Gulf Coast Express apportera plus de gaz sur le marché plus tard cette année, ce qui aggravera les problèmes d'approvisionnement. D'autres pipelines sont à l'horizon 2020 et 2021.
Même les volumes croissants de gaz exportés à l'étranger ne suffisent pas pour resserrer le marché. «Nous prévoyons que l'offre excédentaire actuelle persistera, la croissance de la production, principalement de gaz provenant de bassins pétroliers, correspondant à la croissance des exportations de GNL au cours de la prochaine année», a écrit une note de la Bank of America Merrill Lynch.
Bien que certaines de ces informations ne soient pas nouvelles, le plus étonnant est que les perspectives ne semblent pas s’améliorer à mesure que l’on regarde. Il y a peu de raisons de s'attendre à ce que les choses tournent. La production de gaz continue d'augmenter et les stocks seront bien approvisionnés l'hiver prochain. «Trop de gaz après la pointe de l'hiver maintient la pression sur l'été prochain et nous permet de maintenir notre prévision de prix de 2,6 USD / MMbtu pour la bande de 2020», a déclaré Bank of America.
Ce qui est encore plus choquant encore, c’est que la banque d’investissement a déclaré que le marché devenait de plus en plus déprimé à l’approche de 2021. «Nos perspectives d’inventaire élevées de 4,5 milliards de pieds cubes pour 2021 sont plutôt sombres et donnent lieu à une prévision de prix moyen de 2,4 $ / MMbtu pour 2021, qui est de 0,15 $ / MMbtu en dessous de la courbe actuelle », a déclaré la banque.
RépondreSupprimerAu-delà de cela, la file d'attente des nouveaux projets de GNL se tarit, faisant perdre une source croissante de demande. La surabondance de la capacité de GNL au cours des dernières années a entraîné une pénurie de DIF dans les nouvelles installations d’exportation. Au fur et à mesure que la liste des projets en construction s'achève, peu de projets arrivent derrière eux. "Le véritable problème, à notre avis, n'est pas la croissance de la capacité d'exportation de GNL au cours de la prochaine année, mais plutôt le manque d'ajout de capacité de GNL en 2021-2023", a déclaré Bank of America. «Lors de l’accalmie de la croissance des exportations de GNL aux États-Unis, les États-Unis devront probablement s'appuyer sur une combinaison d'autres sources de demande et sur un ralentissement de la croissance de la production.»
Mais c’est là que les choses se compliquent pour l’industrie gazière. Même au milieu du marché baissier actuel, la demande a également augmenté un peu. Le gaz bon marché a ouvert de nouveaux marchés dans les domaines de la pétrochimie, de l’électricité et des exportations. Mais à partir du milieu des années 2020, les énergies renouvelables commencent réellement à commencer à réduire la part de marché de l’industrie gazière. À ce jour, le gaz naturel dans le secteur de l’électricité a connu une forte croissance, prenant des parts de marché à l’industrie du charbon mortellement blessée. Mais dans les années 2020, le gaz sera plus difficile, car il commence à être la proie des énergies propres.
L'écriture est déjà sur le mur. NextEra Energy Resources a signé un accord ces derniers jours qui pourrait offrir un aperçu de l'avenir. L'accord conclu avec la Western Farmers Electric Cooperative, basée à Oklahoma, prévoit un combo d'énergies renouvelables - 250 mégawatts d'énergie éolienne, 250 MW d'énergie solaire et 200 MW de stockage sur batterie. Intégrés ensemble, le projet répond aux problèmes d’intermittence. Le kicker? C’est moins cher que le gaz naturel. "C’est en fait moins cher, économiquement, qu’une centrale de consommation de gaz de taille similaire, en particulier avec les crédits d’impôt actuellement disponibles", a déclaré à Greentech Media Phillip Schaeffer, ingénieur en planification des ressources chez Western Farmers. "Les prix ont considérablement baissé au cours des dernières années."
Comme le montre l'accord, il ne s'agit pas d'une menace abstraite et lointaine pour le gaz. Le gaz est en train de perdre les énergies renouvelables aujourd'hui. «L’énergie renouvelable pourrait constituer un frein à la demande de gaz naturel dans le secteur de l’énergie», a déclaré Bank of America. «Les projets éoliens et solaires, même sans subventions, sont maintenant compétitifs par rapport à la nouvelle génération de production de gaz naturel, ce qui est une statistique déprimante pour les futurs acheteurs potentiels de gaz naturel.»
«L'apaisement de la croissance de la demande de GNL qui débute en 2021 et les vents contraires des énergies renouvelables sont trop difficiles à surmonter pour le marché du gaz naturel», a conclu Bank of America. Les compagnies de gaz naturel vont devoir finalement freiner les nouveaux forages, a annoncé la banque.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-29/natural-gas-glut-crushing-us-drillers
Une fuite de rayonnement massive neutralisant Fukushima en provenance d'une installation de recherche russe
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 29/07/2019 - 22h40
Selon NewScientist, un nuage de rayonnement massif et inexpliqué qui a balayé l'Europe en 2017 a été attribué à l'une des plus grandes installations nucléaires de Russie.
Située entre la Volga et les montagnes de l'Oural, la fuite provenant de l'installation de développement nucléaire de Mayak a émis 100 fois plus de radiations dans l'atmosphère que la catastrophe de Fukushima.
Les scientifiques italiens ont été les premiers à sonner l'alarme le 2 octobre, en remarquant une explosion de ruthénium 106 radioactif dans l'atmosphère. Ceci a été rapidement corroboré par d'autres laboratoires de surveillance à travers l'Europe.
Georg Steinhauser de l'Université Leibniz de Hanovre en Allemagne a déclaré qu'il avait été "assommé" lorsqu'il avait remarqué l'événement pour la première fois. Une surveillance régulière détecte chaque année plusieurs fuites de radiations, principalement des niveaux extrêmement faibles de radionucléides utilisés en médecine. Mais cet événement était différent.
«Le ruthénium-106 était unique. Nous n'avions jamais rien mesuré de tel auparavant », déclare Steinhauser. -NewScientist
Après la détection de la radioactivité, l’Institut de radioprotection et de sécurité nucléaire de Paris a rapidement conclu que la source la plus probable de la fuite était l’installation de Mayak, ce que les autorités russes ont nié à l’époque.
L’équipe qui a retracé la source de l’émission a exclu un satellite car aucune organisation spatiale n’avait signalé l’absence de satellite à ce moment-là, et le type de rayonnement dans l’atmosphère ne correspondait pas à celui de la réentrée du satellite.
Le rapport affirme que bien qu’il soit beaucoup plus élevé que la libération de Fukushima, le niveau de rayonnement dans l’incident de Mayak n’était pas assez élevé pour avoir un impact sur la santé humaine.
Après une étude plus approfondie de 1 300 mesures effectuées par des centaines de stations de surveillance en Europe, Steinhauser et ses collègues ont découvert que les niveaux de rayonnement étaient "entre 30 et 100 fois plus élevés que ceux mesurés après Fukushima".
La fuite était inhabituelle car les rejets se limitaient au ruthénium radioactif. «En cas d’accident dans un réacteur, on pourrait s’attendre à ce que des isotopes radioactifs provenant de nombreux éléments soient libérés», déclare M. Steinhauser. La raison exacte pour laquelle un tel élément spécifique avait été libéré restait un mystère jusqu'à ce que Steinhauser ait appris qu'une installation de recherche nucléaire italienne avait commandé une livraison de cérium 144 à Mayak avant l'incident. «Plusieurs indices donnent à penser que la libération de ruthénium 106 était liée à cet ordre», a-t-il déclaré. -NewScientist
"C'était en effet assez alarmant", a déclaré Steinhauser.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-29/massive-radiation-leak-dwarfing-fukushima-traced-russian-research-facility
Bien sûr la censure de la presse avait été comme pour Fukushima où l'Institut norvégien NILU avait pu montrer des images satellites du déplacement des nuages radioactifs du Japon vers l'Amérique/Europe en suivant le Jet-Stream 3 fois par jour. Cette animation (toute les 8 h) a été censurée par...? afin de ne pas faire tomber le marché aux poissons !
SupprimerFaites connaissance avec le faux expert financier qui a arnaqué Consumer Reports, MarketWatch et Newsday
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 29/07/2019 - 22:00
Patricia Russell était planificatrice financière et diplômée de plusieurs collèges prestigieux. Ses conseils ont été cités dans des publications géantes telles que MarketWatch, Consumer Reports et Business Insider.
Le seul problème, comme l’a souligné le Huffington Post, est qu’elle n’est pas une personne réelle.
Un journaliste de HufPo a été prévenu par un autre journaliste que Russell était quelqu'un qui avait répondu à de nombreuses demandes de renseignements sur HARO, un service appelé "Help A Reporter Out", qui connecte les journalistes à des experts de divers domaines.
Quand une journaliste, Elizabeth Aldrich, a finalement décidé d'écrire à propos de Russell, elle n'a pu trouver aucune présence en ligne pour elle à l'exception de son site Web, FinanceMarvel, où elle prétendait être un planificateur financier agréé. De plus, la photo sur son site s'est avérée être une image de stock.
Deming de KKM Financial a un commerce haussier d'options XLF
Aldrich a déclaré: «Je lui ai envoyé un courriel pour lui demander une page LinkedIn, et elle a déclaré qu'elle n'avait aucun profil sur les réseaux sociaux. Mais pendant que j’attendais qu’elle réponde, j'ai fait une recherche inversée de la photo dans Google pour voir si je pouvais trouver son profil par moi-même, et c’est une photo. »
Peu de temps après, un profil LinkedIn est apparu mystérieusement.
"Elle a maintenant un [profil] LinkedIn, qu'elle a créé juste après que je lui ai dit que je ne pouvais pas utiliser ses réponses", a déclaré Aldrich.
Russell avait même eu des contacts avec le journaliste de l'histoire du Huffington Post sur LinkedIn. En plus d’être une planificatrice financière agréée, elle répertorie également des diplômes en comptabilité et finance du MIT et un diplôme en administration des affaires de l’Université d’Oxford. Russell avait envoyé plusieurs fois des courriels aux journalistes du Huffington Post, lui demandant de mettre son expertise au service des histoires en cours de rédaction. Elle voulait parler de tout, du meilleur moment pour acheter une voiture à la manière dont fonctionne la toile noire.
Mais à ce moment-là, plus de problèmes ont commencé à apparaître. Une recherche dans la base de données du conseil des normes de Certified Financial Planner n’a révélé le nom de Patricia Russell. La directrice des communications du conseil d'administration de la PCP a confirmé qu'il n'y avait pas de CFP nommée Patricia Russell.
Le journaliste a envoyé un courrier électronique à Russell pour lui demander si elle était certifiée sous un autre nom. Elle a dit à la journaliste qu’elle s’était récemment mariée et que ses références au PCP n’avaient pas encore été modifiées. Quand on lui a demandé son nom de jeune fille, la journaliste a affirmé qu’elle avait choisi une autre Patricia sur la liste du conseil d’administration du CFP et qu’elle essayait de se faire passer pour une autre.
Le Huffington Post a également contacté le greffier du MIT pour vérifier si Russell était présent. Le MIT a confirmé qu'il n'y avait aucune trace d'une personne portant l'un ou l'autre nom fourni au journaliste. L’Université d’Oxford n’a pas répondu aux demandes de commentaires.
FinanceMarvel, la société de Russell, a déclaré sur son site Web que Russell était diplômé de la Yale School of Management sur sa page "About". Sur cette page, Russell affirme être une femme célibataire dans la trentaine qui travaille pour être libre d’hypothèque à 40 ans.
RépondreSupprimerLe site a déclaré:
«Je vais partager mes connaissances et vous apprendre à réparer et à améliorer votre pointage de crédit, à vous libérer de l'endettement, à économiser davantage et à générer un revenu passif."
Elle a également affirmé que son score FICO "avait été bien supérieur à 800 chaque année au cours des 20 dernières années", alors qu'elle ne pouvait techniquement être adulte que depuis 17 ans.
Elle a également affirmé: «J'ai passé 25 ans à rechercher, tester et prouver ces méthodes - elles fonctionnent."
Face aux détails découverts par la journaliste, Russell a continué à refuser de s'identifier et a déclaré qu'elle utilisait un pseudonyme pour protéger sa vie privée et éviter le vol d'identité. Elle a même mis à jour sa page "À propos" pour indiquer que son nom n’est pas réel.
Elle écrit maintenant: «Même si j’ai des références pertinentes en mon vrai nom, j’ai décidé qu’il était dans mon intérêt de les supprimer pour éviter tout malentendu."
Elle a également supprimé toute l'histoire décrivant son parcours pour devenir un expert financier et l'a remplacée par un avertissement.
Son blog fait la promotion de diverses sociétés de réparation de crédit. Il peut s'agir de liens d'affiliation où "Russell" est payé chaque fois que quelqu'un s'inscrit pour obtenir des services.
Lors de la recherche d'informations sur le site Web, le rapport a révélé que les informations sur le propriétaire du site sont protégées. Toutefois, le journaliste a pu créer tous les sites Web hébergés sur le même serveur que FinanceMarvel.com et nombre d'entre eux ont trait à l'allégement de la dette et à la réparation du crédit, notamment:
Aaadebtconsolidationloan.com
Arizonadebtconsolidationquote.com
Californiadebtconsolidationquote.com
Call4debtrelief.com
Creditrepairexpert.org
Floridadebtconsolidationquote.com
Freedebtmanagementtips.com
Helpwithdebtsettlement.com
Aideavecmycreditcarddebt.com
Howtodebtnegotiation.com
Howtodebtsettlement.com
Illinoisdebtconsolidationquote.com
Nationaldebtreliefaffiliates.com
Nationaldebtreliefreviews.com
Newyorkdebtconsolidationquote.com
Nocreditcardbills.com
Pennsylvaniadebtconsolidationquote.com
Stopdebt.org
Texascreditcarddebt.com
Texasdebtconsolidationquote.com
Texaspersonalloans.org
Tous les sites ont en commun de se référer à la société National Debt Relief Relief. Adam Tijerina, responsable marketing de National Debt Relief, est répertorié en tant que propriétaire de plusieurs sites Web sur le serveur. Selon lui, il n’existe aucun lien entre son site Web et FinanceMarvel.
"Pour autant que je sache, nous ne travaillons pas avec Patricia et FinanceMarvel.com", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerLa poste a indiqué qu’elle ne savait toujours pas qui était à l’origine du personnage de Patricia Russell, mais le fait que leurs données personnelles aient disparu indique qu'ils "ont davantage à cacher que leur nom".
Elle est maintenant listée comme rédactrice en chef de Finance Marvel sur son site Web et son éducation et ses références ont été rayées de son profil LinkedIn.
Et ce n'est pas la première fois que cela se produit. En 2018, une enquête a révélé que Drew Cloud, une personnalité bien connue et souvent citée sur les prêts étudiants, était en réalité une personne fictive fabriquée par le marché des services financiers LendEDU.
«Drew Cloud est un pseudonyme utilisé par un groupe varié d’auteurs de Student Loan Report, LLC pour partager leurs expériences et informations relatives aux difficultés que rencontrent les étudiants pour financer leurs études», a déclaré Nate Matherson, PDG de LendEDU.
Nous devinons que depuis que l'histoire de Patricia Russell est devenue populaire, il ne faudra pas longtemps pour que sa véritable identité soit révélée.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-29/meet-fake-financial-expert-scammed-consumer-reports-marketwatch-newsday
La fusion nucléaire pourrait-elle devenir une réalité d'ici 2025 ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 29/07/2019 - 20h20
Écrit par Haley Zaremba via OilPrice.com,
Afin de limiter la hausse mondiale des températures de plus de 1,5 degré Celsius au cours de ce siècle, la communauté internationale devra réduire ses émissions de carbone de 45% d'ici 2030 et de les réduire à zéro d'ici le milieu du siècle. Pendant ce temps, les émissions continuent à augmenter chaque année et cette augmentation s'accélère, augmentant de 1,6% en 2017 et d'environ 2,7% en 2018 pour atteindre un niveau sans précédent. Pour aggraver encore les choses, la demande énergétique mondiale devrait augmenter d’environ 27% d’ici 2040, soit 3 743 millions de tonnes d’équivalent pétrole. Et s'il y avait une solution énergétique qui pourrait résoudre tous ces problèmes pressants ?
Bien que cela semble fantastique, il existe une solution complète. Et c’est au coin de la rue.
Amazon va "augmenter" le tiers des employés pour "les compétences que nous savons sont en demande", déclare le vice-président
L’une des formes d’énergie les plus puissantes que nous utilisons aujourd’hui est l’énergie nucléaire. Bien que le nucléaire moderne soit extrêmement efficace et ne génère aucune émission de carbone, il présente de nombreux inconvénients, qui sont importants: risques de fonte nucléaire et de déchets radioactifs qui restent dangereux pendant des milliers d’années (ce qui coûte un paquet aux contribuables). Mais il y a un meilleur moyen. Nos réacteurs nucléaires actuels sont tous alimentés par la fission nucléaire, le processus de division des atomes pour générer de l'énergie. Pendant des années, les scientifiques se sont demandé comment on pouvait exploiter la fusion nucléaire, le processus qui alimente le soleil en fusionnant des atomes, pour une utilisation sur Terre. La fusion est ultra-puissante, plusieurs fois plus puissante que la fission et ne génère aucun déchet nucléaire, car son combustible n'est pas de l'uranium ou du plutonium, mais de l'hydrogène.
«La réalisation de réactions de fusion contrôlées qui génèrent plus de puissance qu’il n’en faut, et à l’échelle commerciale, est considérée comme une réponse potentielle au changement climatique», écrit Nathanial Gronewold pour Scientific American.
«L’énergie de fusion éliminerait le besoin de combustibles fossiles et résoudrait les problèmes d’intermittence et de fiabilité inhérents aux sources d’énergie renouvelables. L'énergie serait générée sans les quantités dangereuses de radiations qui soulèvent des préoccupations concernant l'énergie nucléaire de fission. ”
Le rêve de la fusion nucléaire est depuis longtemps hors de portée, mais maintenant, avec des entreprises telles que General Fusion, soutenue par Jeff Bezos, et un immense pool de startups spécialisées dans la fusion qui réchauffent la concurrence, la fusion devient rapidement une réalité. Cette semaine encore, la «plus grande expérience de fusion nucléaire au monde» a réalisé une avancée majeure.
Des responsables du réacteur international thermonucléaire expérimental (ITER), un projet multinational basé dans le sud de la France, ont annoncé qu’il ne leur restait plus que six ans et demi avant le premier plasma, ce qui constitue une étape historique. Le projet ITER, soutenu par un consortium de 35 pays, est désormais achevé à 65%, selon le communiqué de presse de cette semaine. «La section récemment installée - la base et le cylindre inférieur du cryostat - ouvre la voie à l’installation du tokamak, la technologie choisie pour abriter le puissant champ magnétique qui encapsulera le cœur de la fusion au plasma ultra-chaud», rapporte Scientific American.
Il s’agit du tout premier projet de réacteur de fusion à échelle commerciale au monde, et tous les regards sont tournés vers le tokamak d’ITER pour fixer la barre, ainsi que la chronologie, de la course à la fusion nucléaire commercialisée. Alors que le lancement du projet est prévu pour la fin de 2025, il faudra encore une décennie (au moins) pour que les installations atteignent leur pleine puissance.
RépondreSupprimer«La date du premier plasma est définie; nous allons appuyer sur le bouton en décembre 2025 », a déclaré à SA la porte-parole Sabina Griffith.
«Cela prendra encore 10 ans avant que nous n'atteignions la totalité des opérations de deutérium-tritium.»
La fusion nucléaire est si difficile à réaliser en raison des conditions extrêmes - telles que celles qui règnent au centre du soleil - devaient être reproduites ici sur Terre. Comme l'a expliqué le Département de l'énergie des États-Unis, «les scientifiques étudient les réactions de fusion, mais elles sont difficiles à maintenir pendant de longues périodes en raison de la pression et de la température énormes nécessaires pour réunir les noyaux».
Alors que la fusion nucléaire offre des perspectives incroyables pour résoudre certains des problèmes les plus difficiles du monde moderne, le temps file, et de nombreux experts disent que même avec la fusion, le temps n’est pas de notre côté. Il est à espérer que le tokamak d’ITER sera opérationnel d’ici 2025 et pleinement opérationnel d’ici 2035 environ, mais cela pourrait être trop tard. Les experts en climatologie disent maintenant que l'échéance de 12 ans que le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat a donné au monde pour inverser la tendance face au changement climatique pourrait devoir être réduite - à 18 mois. Joachim Schellnhuber, de l’Institut pour le climat de Potsdam, dit simplement: "Le calcul du climat est clair: si le monde ne peut pas être guéri dans les prochaines années, il pourrait être mortellement blessé par négligence jusqu’en 2020."
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-28/could-nuclear-fusion-be-reality-2025
Supprimer(...) Afin de limiter la hausse mondiale des températures de plus de 1,5 degré Celsius au cours de ce siècle, la communauté internationale devra réduire ses émissions de carbone de 45% d'ici 2030 et de les réduire à zéro d'ici le milieu du siècle. (...)
Là, déjà pour commencer et vous mettre à l'aise ils affichent une grosse connerie !
A savoir QUE LA TEMPÉRATURE DE NOTRE PLANÈTE DÉPEND DES ÉRUPTIONS MAGMATIQUES et non des actions inutiles menées par la dictature en place !
'réduire ses émissions de carbone de 45% d'ici 2030 et de les réduire à zéro d'ici le milieu du siècle' !!! HAHAHAHA !
Ils veulent foutre un thermostat aux volcans terrestres et sous-marins !!! HAHAHAHAHA !
Plus de 80 000 tremblements de terre ont frappé la Californie depuis le 4 juillet, les répliques se sont dirigées vers "la faille Garlock"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 29/07/2019 - 17h40
Créé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
La récente activité sismique dans l'état de Californie a pris une tournure étrange. Selon le Los Angeles Times, il y a eu plus de 80 000 tremblements de terre dans l'État depuis le 4 juillet, et la plupart de ces tremblements de terre étaient des répliques des deux très grands événements qui ont frappé la région de Ridgecrest au début du mois. Au cours des deux dernières semaines, toutefois, un schéma très inhabituel a commencé à se dessiner.
Nous avons commencé à observer des répliques sismiques sur deux des plus grandes lignes de faille du sud de la Californie, ce qui rend les sismologues très nerveux. Le fait que nous assistions à des répliques «approchant la faille d'Owens Valley» est certes alarmant, mais le fait que les répliques de Ridgecrest se dirigent également «vers la faille de Garlock» est beaucoup plus préoccupant.
"Pourquoi devrions-nous faire confiance à Facebook?" Rep. Waters demande à Marcus
Ce qui suit provient d'une source d'informations locale en Californie…
Selon un article du Los Angeles Times, des répliques du séisme de magnitude 7,1 près de Ridgecrest ont envahi des zones proches de deux failles sismiques majeures, ce qui inquiète certains sismologues pour savoir si cela pourrait déclencher un autre tremblement de terre gigantesque.
«Certaines répliques sismiques se sont produites au nord-ouest du tremblement de terre dans la vallée de Searles, à l'approche de la faille d'Owens Valley. Cette faille a déclenché un séisme d’une magnitude de 7,8 ou 7,9 en 1872, l’un des plus importants du monde moderne de la Californie », explique l’article. «Les répliques de Ridgecrest se sont également dirigées vers le sud-est en direction de la faille Garlock, une faille moins connue capable de produire un séisme de magnitude 8 ou plus. La faille qui longe le nord du désert de Mojave peut envoyer des tremblements de terre dans les comtés de Bakersfield, de Ventura et de Los Angeles. "
En fin de compte, cela pourrait ne rien être, mais il y a plusieurs raisons pour lesquelles nous souhaitons surveiller de très près la faille Garlock.
Tout d'abord, la faille de Garlock est la deuxième plus grande ligne de faille de tout l'État de Californie et constitue une menace majeure pour le sud de la Californie.
Deuxièmement, la faille de Garlock se jette directement dans la faille de San Andreas et beaucoup pensent qu'un séisme majeur sur l'un pourrait potentiellement déclencher un séisme important sur l'autre.
Si vous ne connaissez pas la faille Garlock, voici quelques informations de base sur Wikipedia…
La faille de Garlock marque la limite nord de la zone connue sous le nom de bloc Mojave, ainsi que les extrémités sud de la Sierra Nevada et les vallées de la province la plus à l'ouest du bassin et du Range. S'étendant sur 250 kilomètres, il s'agit de la deuxième plus longue faille de Californie et de l'une des caractéristiques géologiques les plus importantes du sud de l'État.
La faille de Garlock s'étend de la jonction avec la faille de San Andreas dans la vallée des Antilopes, vers l'est jusqu'à la jonction avec la faille de la vallée de la Mort, dans l'est du désert de Mojave. Il tire son nom de la ville minière historique de Garlock, fondée en 1894 par Eugene Garlock et désormais une ville fantôme.
RépondreSupprimerAlors, à quoi ressemblerait un séisme majeur le long de la faille de Garlock ?
Voici comment le Los Angeles Times a décrit le «pire scénario possible»…
Dans le pire des cas, un séisme de magnitude 7,7 débuterait à l'extrémité est de la faille Garlock, dans l'est du comté de San Bernardino, et la déverrouillerait au sud-ouest, provoquant de fortes secousses dans des villes comme California City et Tehachapi; La base aérienne Edwards et Lancaster seraient très secouées. Même Santa Clarita et la vallée de San Fernando connaîtront de fortes secousses, une grande partie du bassin L.A. et de la vallée de San Gabriel étant secouées modérément - pire que ce que L.A. a connu la semaine dernière.
Non, ce n'est certainement pas le «pire scénario» pour la faille Garlock, mais un séisme majeur le long de la faille serait bien plus destructeur que les tremblements de terre que nous avons vus les 4 et 5 juillet.
On nous a dit que ces tremblements de terre "n'ont pas causé beaucoup de dégâts", mais nous apprenons maintenant que ces tremblements de terre "ont en fait causé environ 200 millions de dollars de dégâts"…
Le puissant séisme qui a secoué la Californie plus tôt ce mois-ci a causé des dommages estimés à 200 millions de dollars.
Le coût des dommages causés par le séisme de magnitude 7,1 qui a frappé le sud-est de la Californie le 5 juillet et les tremblements de terre survenus un jour plus tôt a été estimé par l'entreprise de modélisation des catastrophes, Karen Clark & ??Company.
Donc, si des séismes relativement mineurs peuvent causer autant de dégâts économiques, que ferait un séisme mille fois plus puissant?
Parce qu’un jour, le «Big One» va frapper la faille de San Andreas, et il va libérer une telle énergie que les tremblements de terre auxquels nous avons assisté ce mois-ci ne valent même plus la peine d’être comparés. En fait, si un séisme de magnitude 9,1 devait frapper le sud de la Californie,
Parce qu’un jour, le «Big One» va frapper la faille de San Andreas, et il va libérer une telle énergie que les tremblements de terre auxquels nous avons assisté ce mois-ci ne valent même plus la peine d’être comparés. En fait, si un séisme de magnitude 9,1 frappait le sud de la Californie, il serait exactement 1000 fois plus puissant que le séisme de magnitude 7,1 qui s’est produit le 5 juillet.
Et même s’il est peu probable, les scientifiques ont admis que les grands tremblements de terre survenus plus tôt ce mois-ci pourraient déclencher un séisme sur la faille de San Andreas…
Les scientifiques savaient presque immédiatement que deux grands séismes qui ont frappé près de Ridgecrest au début du mois ne venaient pas de San Andreas. Mais depuis lors, ils étudient si les tremblements de terre pourraient causer plus d’activité sismique à partir d’autres failles, y compris celle de San Andreas, à près de 100 miles de distance. Un nouveau calcul effectué ces dernières semaines à la US Geological Survey a montré qu’il était très peu probable que San Andreas soit déclenché par les tremblements de terre de Ridgecrest.
Espérons que cela n'arrivera pas de si tôt, mais les sismologues nous assurent que ce n'est qu'une question de temps avant que «The Big One» ne frappe la Californie. Ils nous ont répété à plusieurs reprises que la faille de San Andreas était «verrouillée et chargée» et qu’elle pouvait potentiellement «dézipper tout à la fois». Et lorsque ce jour-là est enfin arrivé, les scientifiques ont déterminé que le niveau du sol pourrait chuter de jusqu'à 3 pieds, ce qui aurait pour conséquence que de vastes parties du sud de la Californie seraient soudainement recouvertes par l'océan Pacifique.
RépondreSupprimerNous vivons à une époque où notre planète devient de plus en plus instable, et nous assistons quotidiennement à des séismes majeurs et à d’énormes éruptions volcaniques dans le monde entier.
Pendant longtemps, les États-Unis avaient été épargnés, mais cela a soudainement changé les 4 et 5 juillet.
Depuis ce temps, il y a eu plus de 80 000 tremblements de terre dans l'état de Californie et ce n'est que le début de la secousse qui s'annonce.
https://www.zerohedge.com/news/2019-07-29/over-80000-quakes-have-hit-california-july-4th-aftershocks-headed-toward-garlock
(...) Selon le Los Angeles Times, il y a eu plus de 80 000 tremblements de terre dans l'État depuis le 4 juillet, (...)
SupprimerA savoir qu'il y en a tout autant tous les jours dans le monde ! Oui mais c'est sous marins ou sous océanique !
(D'où les dégazages permanents qui changent de place tous les jours !)
Catastrophe, même la Terre empile de la dette écologique !
RépondreSupprimerCe n’est plus le 20 août, mais le 29 juillet.
Chaque année, la Terre augmenterait sa dette écologique. Un concept qui ne veut rien dire.
29 JUILLET 2019
Magie des vacances, puissance phénoménale de la réflexion journalistique, écologisme de combat poussé dans les retranchements les plus obscurs d’une pensée féconde de n’importe quoi qui gazouille, à mi-chemin entre la pignouferie de combat et le fluffysme ultime, la presse nous relaie une nouvelle effrayante : à partir de ce jour, la Terre vit à crédit.
Oui, vous avez bien lu, mais je vais reprendre le chapeau de l’article pour bien vous faire prendre conscience de toute l’horreur de la situation :
Il n’aura fallu à l’humanité qu’un peu moins de huit mois, 232 jours exactement, pour consommer toutes les ressources naturelles que la planète peut produire en un an. Ce mardi 20 août correspond au « Global Overshoot Day » ou « jour du dépassement planétaire » selon l’organisation non gouvernementale Global Footprint Network (GFN), qui calcule chaque année ce « jour triste et solennel ». Principaux responsables de ces dégâts : le rejet massif de gaz carbonique et la surexploitation des milieux naturels.
C’est dit.
Le 20 août, plus d’air, plus d’eau, plus de pétrole, plus rien.
À côté, l’Armageddon économique qui nous pend au nez depuis un moment, ou l’Armageddon politique que la France subit depuis 40 ans en tache de fond, c’est de la rigolade, un parcours de santé, une plaisanterie de potache : le 20 août 2013, c’est le jour où la Terre va s’arrêter net d’exister. Pouf. Comme ça.
Et comme c’est une ONG éco-consciente qui le dit, non seulement c’est vrai, mais ça doit nous obliger à prendre du recul et à penser très sérieusement à notre place d’humain sur cette pauvre planète. Mais vite : il nous reste 72 heures avant le « pouf ! » final.
Au passage, on admirera le joli logo de l’ONG en question :
Catastrophe, même la Terre empile de la dette écologique !
C’est une ONG qui ne fait pas dans la demi-mesure, puisqu’elle travaille à Faire Avancer la Science de la Durabilité. Tout de suite, un slogan pareil, ça vous pose une ONG dans le domaine du sérieux méticuleusement calculé. Ainsi, la Durabilité est une Science. Et on peut la faire avancer, notamment en expliquant à tout le monde que les ressources de la Terre commenceront à être surexploitées à partir du 20 août.
Plus exactement et pour reprendre le gloubiboulga du journaliste bien en peine de comprendre quelque chose au charabia indigeste de l’association de branquignoles à roulettes qui fait avancer son pipeau durable, à partir du 20 août, les humains auront épuisé les ressources naturelles pouvant être fournies cette année par la Terre.
Et à partir du 20 août, ils auront le choix :
ne plus rien consommer du tout. Ce qui va poser des problèmes. Si si, je vous assure.
consommer des ressources à crédit, ce qu’aucune espèce d’explication physique ou mathématique ne permet d’éclairer.
Par je ne sais quelle sorte de bricolage insensé, on en arrive donc à dire que les Terriens, ces gros mammifères encombrants, qui rotent, qui pètent et qui polluent, vont brûler du pétrole qu’ils n’ont pas encore extrait, et manger des ressources qui ne sont pas encore produites.
Évidemment, ici, le « travail » grotesque du journaliste aura permis, de façon assez élégante, de fusiller définitivement le « travail » ridicule de l’ONG. Un peu comme les interférences destructives dans la physique ondulatoire, on constate ici que les ondulations lancinantes de l’ONG visant à nous faire paniquer sur une dette de l’humanité sont annulées par les ondulations à contre-phase des journaleux qui transmettent n’importe comment une information déjà fortement suspecte de foutaisitude au départ.
RépondreSupprimerIl va de soi que l’ONG n’a pondu qu’un de ces copieux calculs basés sur de l’air, manipulés à la grosse louche, entourés de conditions et de prérequis frisant le comique et aboutissant à des conclusions burlesques. Les folliculaires, s’emparant de la nouvelle, la prémâchent pour en obtenir un jus quintessenciel de conneries consternantes, comme d’habitude.
L’idée générale de l’ONG est de prétendre pouvoir calculer le temps que met la biosphère terrestre dans son ensemble à reproduire la biomasse consommée par les Terriens dans une période donnée. Chose amusante, le calcul de 2009 avait été trop optimiste sur cette capacité de la Terre à reproduire ses ressources, d’où un différentiel d’un mois – oui, 1/12e d’année – avec le résultat du calcul de 2010. On imagine la précision diabolique des calculs. Depuis, on tombe heureusement toujours à peu près à la même date. Ouf. Les apparences scientifiques sont sauves.
Immédiatement, des questions – qui n’effleureront pas les journalistes – viennent à l’esprit :
Pourquoi utiliser l’empreinte carbone pour ces calculs fumeux ? Cela fait un moment qu’on sait que le gaz carbonique n’est pas un polluant et constitue même une véritable ressource. L’ONG serait-elle en retard d’un combat ?
Comment calculer les ressources initiales, sachant qu’on ne connaît pas tout de cette planète, loin s’en faut ? Ne connaissant pas même 1 % des espèces vivantes, il paraît en effet pour le moins couillu de prétendre en connaître précisément les entrées-sorties. Par exemple, le caca humain (merdus vulgaris) est, malgré tout, un substrat pour pas mal de choses, qui vont, d’une façon ou d’une autre, permettre à d’autres choses de vivre ou survivre et aboutir, au final – oui c’est troporrible aussi mais c’est comme ça – dans une assiette humaine.
D’autre part, et même en imaginant que les données initiales sont connues (hypothèse hardie, on l’a vu), la conclusion qui aboutit à un déficit devrait être sujette à caution : d’où vient le manque à gagner ? D’une part, l’humanité n’a pas, discrètement et sur une autre planète, constitué un petit stock de denrées pour y puiser de temps en temps ce qui lui manquerait pour finir l’année. D’autre part, dès lors que des ressources manquent, leur consommation diminue : eh oui, quand il n’y a pas de pétrole, on n’en brûle pas.
Ce qui veut dire que toute idée de déficit écologique est, à proprement parler, absurde : au pire, l’humanité ne pourra pas se maintenir à six milliards d’êtres humains, voire disparaîtra doucement – ce qui est, au final, ce qui se passe pour toute espèce vivante à terme -, au mieux, elle pourra très bien vivre, et dans ce cas, pas de quoi en faire tout un foin.
Mais en tout cas, à aucun moment, elle ne constituera une dette envers d’hypothétique extra-terrestres qui viendraient nous fournir de la nourriture, des pilules énergétiques ou un stock conséquent de papier nécessaire à l’impression de tous les euros et les dollars que la crise économique va nous obliger à imprimer.
RépondreSupprimerCe mois d’août montre en tout cas la force cumulée des journalistes et des fluffies : à partir d’un calcul absurde, et d’une conclusion qui l’est tout autant, on aboutit à des articles consternants.
https://www.contrepoints.org/2019/07/29/135560-catastrophe-meme-la-terre-empile-des-dettes
TARE ECOLOGIQUE (suite:)
RépondreSupprimerPESSIMISME LE JOUR DU DÉPASSEMENT DE LA TERRE... ET APRÈS ?
Année après année, la date du jour du dépassement de la terre s'avance inexorablement. Le temps de la fatalité est-il révolu ? Réponse avec Pierrette Rey du WWF.
Après seulement sept mois, l’humanité a consommé plus de ressources que ce que la Terre est capable de produire.
PAR ERIC FELLEY
29.07.2019
Voilà la seule journée internationale qui n'est pas fixe. La date du jour du dépassement de la terre est avancée quasi en continu depuis plus de 30 ans. L'année dernière, elle est tombée sur le 1er août, cette année elle est avancée de trois jours, ce 29 juillet. Après seulement sept mois, l’humanité aura donc consommé plus de ressources que ce que la Terre est capable de produire. Que faire ?
156 jours plus tôt...
Les méthodes de calculs de l'organisation Global Footprint Network ont passablement évolué au fil du temps. Selon les dates retenues par les médias, le jour du dépassement de la terre tombait merveilleusement bien au 31 décembre 1986. Depuis il n'a cessé de remonter dans l'année. En 1990 le 7 décembre, en 2000 le 1er novembre, en 2005 le 20 octobre, en 2010 le 21 août, en 2015 le 13 août... 156 jours ont été mangés en 33 ans. A ce rythme là, en 2063, le jour du dépassement de la terre serait le 1er janvier...
Les Etats-Unis le 15 mars!
La Suisse est en avance. Le 7 mai dernier a eu lieu la Journée suisse du dépassement. Nous ne sommes pas les pires. Le Qatar a atteint son jour du dépassement après seulement 42 jours, le 9 février, et les Etats-Unis le 15 mars. A l'inverse, le Vietnam est le meilleur élève avec le 21 décembre. La porte-parole du WWF Suisse, Pierrette Rey, répond à quelques questions sur l'utilité et les objectifs de cette date.
Chaque année, l'annonce de cette date semble révéler une fuite en avant, qui nous interpelle le temps une journée, en attendant l'année suivante... Est-ce une fatalité ?
Ce n'est pas une fatalité... Mais, depuis le temps que l'on répète les mêmes messages, il est certain qu'on aimerait davantage de résultats. C'est clair aussi que nous sommes de plus en plus nombreux sur cette planète et cela compte aussi. Pour limiter les effets pessimistes de cette annonce, nous encourageons les gens à utiliser notre calculateur d'empreinte carbone. Celui-ci montre que les gens peuvent, à leur échelle, changer leur comportement sans avoir à faire des efforts incommensurables. Par exemple en luttant contre le gaspillage alimentaire, qui est très important en Suisse. Il n'y a aucune raison pour gaspiller autant.
Pour Pierrette Rey, porte-parole du WWF, nous devons changer notre mode de consommation vers moins de gaspillage.
N'y a-t-il pas une corrélation entre la croissance constante d'un côté et la consommation des ressources de l'autre ?
Il y a probablement des liens entre les deux. Au WWF, nous militons pour une croissance modérée, une croissance qui doit être découplée de l'usage intensif des ressources. Encore une fois, il faut repenser notre mode de consommation. Nous n'avons pas de raison de changer de téléphone ou d'ordinateur chaque année. Pour les voitures, les gens doivent choisir des modèles moins gourmands en essence, il y a énormément de véhicules lourds sur les routes de Suisse, qui, même si les moteurs s'améliorent, dégagent trop de gaz carbonique. La Confédération vient de publier des résultats qui montrent que les objectifs en la matière n'ont pas été atteints.
Pourtant, le discours critique envers ce consumérisme est omniprésent. Les jeunes manifestent, Greta Thunberg fait la une, chaque jour des études montrent la disparition de la biodiversité. Comment expliquer que les comportements évoluent si peu ?
RépondreSupprimerNotre espoir, si on peut dire, est que les canicules fassent prendre conscience aux gens que les changements sont déjà là, maintenant, et qu'on va les subir encore longtemps. Mais c'est humain. C'est comme quelqu'un qui mange régulièrement un aliment qui n'est pas sain. Un jour il tombe malade et il se rend compte qu'il s'est trompé... Aujourd'hui, nous sommes contents de voir que la prise de conscience s'élargit, notamment avec les manifestations des jeunes. Mais il reste à dépasser le stade de la parole et transformer cette volonté en actions.
https://www.lematin.ch/suisse/jour-depassement-terre/story/18444800
SupprimerLes journaleux (suisses ou d'ailleurs) ne sont PAS des scientifiques ! Mais, pour vendre leur merde ils sont allés jusqu'à chercher une trisomique (qui bientôt traversera l'Atlantique en marchant au fond car elle ne sait pas nager) pour guider leur recherche !
Ils s'interdisent de parler que sur notre planète TOUT se recycle ! TOUT ! et qu'il ne manque pas 1 gr de plus ou de moins depuis des milliards d'années ! Mais, la déficience mentale gagne du terrain et a envahi les rédactions depuis des décennies !
Enfant prophètes et prosélytistes de la catastrophe climatique
RépondreSupprimerPosted on July 29, 2019 by curryja
by Andy West
Le rôle des enfants dans la culture du catastrophisme climatique
1.Des scénarios graves pour les enfants: réalité ou culture ?
1.1 Effrayer nos enfants: Quand trouvons-nous acceptable d'effrayer institutionnellement les enfants ? Notre première idée est peut-être que cela ne devrait jamais se produire, mais dans la pratique, il existe au moins deux scénarios dans lesquels cela est considéré comme moralement acceptable. Le premier est celui où des réalités dures et dangereuses, indépendantes de la volonté des adultes, exigent que les enfants apprennent à respecter ces réalités. Cela peut souvent entraîner une certaine peur parmi les autres techniques, dans l’espoir d’aider les enfants à rester en sécurité de manière autonome. La formation aux masques à gaz de la seconde guerre mondiale en est un exemple. En effet, les adultes ne peuvent pas être partout à la fois pour aider tous les enfants à porter leur masque à temps. Le second scénario est celui où il est moralement acceptable de soutenir une culture qui a défini le paysage moral (ou une culture émergente qui tente de le faire). Dans ce deuxième cas, l'instauration de peurs approuvées par la culture est considérée comme normative pour obtenir le comportement social souhaité, accorder l'accès aux avantages collectifs et fournir de supposées récompenses culturelles. Par exemple, effrayer les enfants du péché, de l’enfer ou de la crucifixion2, afin de renforcer le comportement social chrétien et de présenter la carotte qui consiste à aller au paradis (au lieu de l’enfer) pour se conformer.
1.2 Protestation des enfants: Quand les enfants se regroupent-ils pour tenter de faire entendre la voix de la protestation en commun par la société ? Comme ci-dessus, il existe au moins deux scénarios. Le premier est une réaction à une infraction grave existante et généralisée d’enfants (et éventuellement d’adultes également). La seconde est une réaction aux fortes peurs suscitées par la culture, qui ont été interprétées à tort comme une menace ou un préjudice réel et présent (section 5). Dans les deux cas, des mesures sont demandées aux adultes afin d'éliminer ou d'atténuer le problème. Certains adultes participent généralement à l’organisation d’un mouvement d’enfants, partageant les mêmes intérêts; de la protection de leurs enfants (ou de leurs intérêts) à la signalisation de la vertu. Des exemples de scénarios suivent plus tard.
1.3 Enfants responsables: Quand les dirigeants de la société préconisent-ils et mettent-ils en œuvre (ou tentent-ils) la politique principale exprimée par un enfant ? Là encore, il existe au moins deux scénarios. Le premier est celui où un préjudice généralisé, comme dans le paragraphe immédiatement ci-dessus, promu au leadership social par un enfant victime représentatif, est réputé réclamer réparation. Que les enfants soient gravement désavantagés ou souffrent psychologiquement ou physiquement ou de tous ces éléments, et que la causalité implique ou non des éléments culturels, il s’agit essentiellement d’un problème de la réalité actuelle. Le deuxième scénario est celui où les dirigeants sont incapables de résister à la politique de l’enfant / de la contredire, même si les impacts sont probablement très négatifs, car cela exprime une crainte, approuvée par la culture, que les premiers sont déjà préparés. Ou du moins pour une culture montante, résister est toujours un défi majeur pour le leadership. Les préjugés culturels aveuglent les gens face aux inconvénients, et nos instincts enracinés pour éviter la stigmatisation sont probablement exacerbés chez ceux qui veulent conserver le leadership; un manque de soutien risque d’entraîner une stigmatisation culturelle grave, notamment la honte de ne pas reconnaître la censure morale d’un enfant «lésé» (c’est-à-dire selon le récit culturel accepté). Des exemples de scénarios suivent plus tard.
1.4 Lequel est lequel ? Une société laïque, raisonnée et raisonnable devrait aspirer à éviter les scénarios culturels de tous ces cas, qui engendrent des peurs inutiles, des traumatismes, des faux espoirs et des actions sociales inappropriées. Une société religieuse raisonnable devrait aspirer à limiter le contexte aux valeurs fondamentales et à empêcher toute inquiétude alarmiste / extrémiste de notre préoccupation émotionnelle pour les enfants, ainsi que les dommages causés aux enfants qui sont poussés au-delà d'une participation religieuse bénigne. Pourtant, quelle que soit la protestation ou la politique exprimée aux dirigeants, ou suscitant la peur, comment savoir quel scénario correspond à quel scénario ? Et donc en effet si la peur constante du changement climatique a insufflé chez nos enfants (section 5, dernier paragraphe), les grèves climatiques qui en résultent et les aspirations dramatiques exprimées par Greta Thunberg, tombent dans la tranche de réalité ou la tranche culturelle? Le discours de Greta à l’ONU en tant que réalité est-il basé sur le discours de Malala Yousafzai, mais a pourtant besoin d’eux beaucoup plus de soutien pour un changement mondial ? La nature du climat scolaire semble-t-elle finalement aussi matérielle et justifiable que la croisade des enfants de 1963, alors que le problème soulevé par les enfants est bien plus vaste ? De larges franges de la société soutiennent avec enthousiasme les grèves dans les écoles et Greta; ils auraient sûrement dit «oui» à ces deux dernières questions. Mais comment faire co
RépondreSupprimer1.4 Lequel est lequel ? Une société laïque, raisonnée et raisonnable devrait aspirer à éviter les scénarios culturels de tous ces cas, qui engendrent des peurs inutiles, des traumatismes, des faux espoirs et des actions sociales inappropriées. Une société religieuse raisonnable devrait aspirer à limiter le contexte aux valeurs fondamentales et à empêcher toute inquiétude alarmiste / extrémiste de notre préoccupation émotionnelle pour les enfants, ainsi que les dommages causés aux enfants qui sont poussés au-delà d'une participation religieuse bénigne. Pourtant, quelle que soit la protestation ou la politique exprimée aux dirigeants, ou suscitant la peur, comment savoir quel scénario correspond à quel scénario ? Et donc en effet si la peur constante du changement climatique a insufflé chez nos enfants (section 5, dernier paragraphe), les grèves climatiques qui en résultent et les aspirations dramatiques exprimées par Greta Thunberg, tombent dans la tranche de réalité ou la tranche culturelle ? Le discours de Greta à l’ONU en tant que réalité est-il basé sur le discours de Malala Yousafzai, mais a pourtant besoin d’eux beaucoup plus de soutien pour un changement mondial ? La nature du climat scolaire semble-t-elle finalement aussi matérielle et justifiable que la croisade des enfants de 1963, alors que le problème soulevé par les enfants est bien plus vaste ? De larges franges de la société soutiennent avec enthousiasme les grèves dans les écoles et Greta; ils auraient sûrement dit «oui» à ces deux dernières questions. Mais comment se passe la comparaison détaillée ?
2. Cas comparatifs d'enfants en charge: Malala, Greta et Nongqawuse
L’article «Les enfants soldats dans la guerre des cultures3» indique: «La proposition de valeur représentée par les enfants politiquement actifs est évidente. Les sujets sensibles qui passent au crible sans scrupule s'épanouissent lorsque ce genre d'analyse est tabou. »L'influence émotionnelle du message selon lequel les enfants innocents possèdent une perspicacité et une véracité particulières renforce considérablement le caractère persuasif de toutes ces filles. (Malgré cela, meme est faux4 et n’est pas pertinent pour des aspects personnels tels que le syndrome de Greta’s Asperger). Ces facteurs créent un écran de fumée émotif qui peut amplifier l'irrationnel dans nos perceptions. Pour déterminer, par section 1, si la réalité ou la culture dominent les arguments de ces trois filles en matière d’autorité en ce qui concerne les grands problèmes sociaux complexes, voici quelques questions à poser:
RépondreSupprimera) L'enfant est-il moralement parrainé par une culture ?
b) Si oui à a), le discours de l’enfant est-il enraciné dans / motivé par le récit principal de la culture ?
c) Le pitch représente-t-il un problème de faux [s] actuel ou futur ? L'avenir est plus probablement culturel.
d) Est-ce que l'enfant dicte une solution spécifique (et un calendrier) ? Même avec une grande complexité, la culture peut.
e) Si oui à d) et quelle que soit a) / b), la solution semble-t-elle irrationnelle5 ? Les solutions fortement culturelles sont.
f) Quelle est l'ampleur de la demande (changement de comportement et d'infrastructure) ? Les demandes culturelles peuvent être astronomiques.
(Le niveau de respect est également intéressant, la croyance fervente ne respecte en définitive aucune autorité supérieure à la sienne). Les réponses nous disent si l'amélioration émotionnelle est simplement une poussée supplémentaire vers un discours déjà réaliste, ou un moyen essentiel de garantir l'invocation des peurs culturelles6.
La réponse à a) est «oui» pour les trois cas. Dans son discours des Nations Unies prônant l'éducation des enfants (en particulier des filles) et protestant contre l'extrémisme / les préjugés et la pauvreté qui la résorbe, Malala, la jeune fille tuée d'une balle dans la tête par les talibans, indique très clairement qu'elle adhère à la religion. Elle commence par remercier Dieu puis cite l'inspiration de Mahomet et de Jésus-Christ (entre autres). Cependant, en ce qui concerne b), il est également clair que son cas n’est pas principalement motivé par un discours religieux. En effet, sa propre victimisation résultait d’une interprétation (extrémiste) du récit religieux, comme le dit elle-même Malala, d’un «mauvais usage du nom de l’Islam». Sa promotion de la valeur suprême du savoir, associée à un plaidoyer en faveur de la paix, de la prospérité, de la gratuité de l’enseignement universel et de la protection des droits, est conforme à ses principes religieux. Pourtant, ces objectifs sont néanmoins en grande partie laïques et ne sont certainement pas dus à des peurs inculquées par la culture (religieusement). La question c) est «actuelle» pour le terrain de Malala (pour plus de détails, voir la note 7 de bas de page). Concernant d), tout en appelant au rejet des préjugés et à la détermination des pays développés, Malala ne dicte pas de solution spécifique ni de date à laquelle des progrès importants doivent être réalisés. Donc e) est n / a. Mais avec un objectif implicite d'aider les patients actuels, la demande est toujours grande. Une accélération majeure des efforts de longue date et de nouvelles initiatives est probablement nécessaire; cependant en ce qui concerne f), ce n’est pas astronomique8. Malala montre son respect pour le leadership9.
La culture qui soutient le discours de Greta auprès des autorités se caractérise ici. Le récit principal de cette culture, propagé depuis des décennies par de nombreuses sources de l’autorité depuis un sommet parmi les plus élevés au monde, est une grande certitude d’une catastrophe climatique mondiale imminente (plusieurs décennies). Les mots de Greta10 ne laissent aucun doute sur le fait que son discours est motivé par ce récit, alors b) est un «oui». Malgré quelques revendications secondaires de dommages actuels11, le discours de Greta concerne principalement des dommages futurs et extrêmement plus importants, même si elle insiste sur l’imminence (à «irréversible»). Donc, c) est ‘futur’. Là où l'événement principal se produit déjà clairement, cela ne peut pas être une crainte culturelle; cela pourrait être le cas pour un événement futur projeté (bien que même dans le premier cas, la causalité pourrait toujours être attribuée à un conte de fées). En ce qui concerne d), Greta dicte une solution et une échelle de temps12. Répondre e) implique des points de vue subjectifs. Cependant, bien que Greta considère la catastrophe climatique, «le sacrifice de la civilisation et de la biosphère», comme il est admis dans son bref discours à l’ONU, ses plus longs discours au Royaume-Uni13 et en France13a citent le GIEC comme confirmant cette catastrophe. Mais la science13b du GIEC n’appuie pas une certitude élevée d’une catastrophe climatique mondiale imminente (plusieurs décennies). [Remarque: ceci confirme l’hypothèse tirée des caractéristiques sociales observées selon le lien ci-dessus, c’est-à-dire que le récit central contrôlé du catastrophisme est émotivement émergent, c'est-à-dire faux]. En appliquant cette référence, la solution de Greta vise à traiter l’invention émotionnelle et non la réalité. C'est en effet irrationnel; e) est un «oui». En f), Greta s'adresse aux autorités mondiales et demande que le monde soit astronomique. Résoudre l’apocalypse mondiale imminente nécessite la plus grande adaptation comportementale / infrastructure de l’humanité depuis la révolution industrielle, peut-être depuis l’invention de l’agriculture, à l’échelle du temps14. Quelles que soient les politiques que la science traditionnelle pourrait demander, cela ne justifie pas cette radicalité. Greta ne montre aucun respect pour le leadership14a et affirme avoir menti (de manière générique) 15; conviction émotionnelle à la catastrophique rend sans doute cela semble irréfutable.
RépondreSupprimerEn 1856, la nation xhosa d’Afrique du Sud, dont le mode de vie et l’économie reposaient en grande partie sur l’élevage de bétail, était sous pression. Après un siècle d'empiètement colonial grave, d'une maladie pulmonaire mortelle (sortie d'Europe) qui a touché un grand nombre de leurs bovins et de rivalités politiques internes alors que le pays luttait pour faire face à une situation difficile. En avril 1856, une jeune fille, Nongqawuse, la nièce et fille adoptive du conseiller du roi roi Sarhili, apporta une prophétie de salut aux dirigeants xhosa (chefs Sarhili et tribus). La prophétie a été communiquée à Nongqawuse, décrit à l’époque entre 14 et 16 ans par «les esprits de deux ancêtres». Pour parvenir au salut, a-t-elle ajouté, tous les animaux des Xhosa doivent être tués, les céréales détruites et la culture arrêtée.
De plus, de nouvelles maisons / enclos doivent être construits; il ne reste essentiellement rien de «contaminé». À la fin, les nouveaux bovins non souillés seraient ressuscités, les (nouveaux) greniers réapprovisionnés et les colons européens balayés. Avec le temps, mais pas dans toute la nation, comme certains chefs l'ont résisté, la prophétie a été adoptée à la majorité. Ainsi, plusieurs centaines de milliers de bovins ont été tués (dont la viande ne pouvait pas être mangée) et beaucoup de nourriture a été détruite. La nation a rapidement sombré dans la famine et le chaos. La population de la patrie xhosa a diminué de trois quarts (environ 78 000 personnes), en raison de la famine (environ 40 000 personnes) et du retrait de son emploi salarié colonial ou de l'esclavage16. L'indépendance des xhosa, déjà faible, a été perdue.
RépondreSupprimerL’histoire est très complexe, voir la note 17 de bas de page pour plus d’informations, mais cela n’annule pas l’applicabilité du même ensemble de questions. Pour a), «oui», croyances spirituelles incluant le culte des ancêtres et mélangées avec des éléments du christianisme. Pour b) «oui», en ce sens que la poix provenait directement des «ancêtres», qui sont apparus à Nongqawuse au bord d’une rivière. Pour c), «actuel». Pour d), «oui», Nongqawuse a dicté une solution dramatique et une date difficile. Pour e), "oui". Malgré la complexité et certains aspects secondaires controversés17, les historiens voient dans les tueries de bétail xhosa la réponse millénaire d'une société stressée18. La solution irrationnelle de Nongqawuse n’aurait jamais pu qu'empirer les choses, au point de faire de nombreuses victimes. Pour f), sacrifier les ressources personnelles ainsi que la base économique de la nation tout entière ne peut être considéré que comme astronomique.
Ces simples contrôles ne sont pas sans jugement de valeur21. Néanmoins, le tableau ci-dessus indique que le ton de Malala est basé sur la réalité et que Greta est culturel. Bien que les torts causés à la société de Nongqawuse étaient courants, son discours est aussi culturel (solution hautement irrationnelle). Il existe des parallèles frappants entre les cas de ces deux dernières filles, qui sont toutes deux essentiellement des prophètes du salut, exigeant le respect total et strict d’une ‘solution’ culturelle (et astronomique) étroite, qu’elles considèrent comme le seul moyen d’échapper à la terrible calamité. Dans le cas de Nongqawuse, la solution est une invention culturelle; dans l’urgence de Greta est une invention culturelle, la catastrophe mondiale imminente correspondante n’est pas étayée par la climatologie traditionnelle (et sceptique). Dans les deux cas, leurs dirigeants étaient fermement inspirés par le récit culturel pertinent22, qui, lorsqu'il était répété sous la forme distillée par la bouche de filles innocentes, constituait un moyen essentiel d'invoquer les peurs et les espoirs culturels qui prévalaient sur l'objectivité et unissait un large éventail de convictions publiques22a. Le pouvoir de la culpabilité dans de tels terrains est noté par Greta elle-même22b. En comparaison, le discours de Malala la caractérise en tant qu’ambassadrice des injustes, présentant des appels sérieux mais non des exigences astronomiques. Et oui, stimulé par des émotions (positives) et un certain contexte culturel, mais pas par des histoires existentielles extrêmement urgentes portant un poids écrasant de persuasion émotionnelle (fausse).
RépondreSupprimerLes jeunes filles Greta et Nongqawuse appellent de leurs vœux l’élimination rapide de ce qui a été le principal moyen de subsistance et de réussite de la société au sein de la société des générations les plus importantes. Si le sacrifice n’a pas nécessairement un impact équivalent pour des sociétés très différentes, il existe une conviction émotive équivalente à un rejet irrationnel du patrimoine. En dictant des absolus, les deux filles maîtrisent bien cela plutôt que de plaider24, bien qu'elles interprètent un récit culturel de longue date23. Alors que Greta parle de ses propres particularités comme d’un avantage pour son rôle qu’elle se perçoit soi-même, son identité personnelle (y compris son courage, sa passion et son dévouement) n’est pas une clé unique. Sans Greta, il y aurait un Hreta ou un Ireta ou… pour Yreta ou Zreta et ainsi de suite. Et pas nécessairement jeune et féminin20. Des mouvements culturels forts créent des conditions qui vont faire surface, à partir d’une immense diversité d’humanité et de nombreux adhérents, ceux qui s’identifieront le plus étroitement à la culture et en maîtriseront le plus efficacement la narration.
Bien que la plupart des médias traditionnels aient vanté Greta, ou du moins n’ont pas critiqué explicitement Greta, un angle millénariste19 n’est pas passé inaperçu dans les médias les plus marginaux, qui couvrent également les dangers (examinant Greta) des adultes qui réagissent de manière excessive aux enfants messianiques. du tabou de défier une écolière, ce qui entraîne une simplification exagérée, en plus de la réponse irrationnelle des adultes (y compris les dirigeants de l'ONU) à l'accouchement mal informé d'un enfant (à tort) effrayé exigeant que nous paniquions tous. Le sentiment millénaire d’un tournant décisif pour tout peut englober un «renouveau» dans lequel l’ancien doit être rejeté, est en quelque sorte contaminé. Cet angle est très présent dans le cas des Xhosa et peut expliquer pourquoi de nombreux partisans ardents du catastrophisme climatique rejettent le nucléaire libre d'émissions25, ou le gaz naturel en tant que solution de transition, ou même tout ce qui sent vaguement une infra-structure d'énergie pré-renouvelable25a. La question nucléaire pourrait éventuellement provoquer une scission hérétique au sein du catastrophisme climatique25b.
3. Cas comparatifs d'enfants manifestant: la croisade de 1963 et les grèves dans les écoles
S'agissant des manifestations massives d'enfants, les mêmes questions de la section 2 clarifient la nature culturelle ou réelle des événements. La croisade des enfants de 1963 à Birmingham, en Alabama, s’est déroulée dans le cadre d’une campagne plus vaste visant à déségréguer la ville et à attirer davantage l’attention sur la discrimination raciale. Bien qu’il s’agisse d’une manifestation non violente (au moyen de laquelle les enfants ont été scolarisés), leur utilisation a été jugée controversée par beaucoup, notamment par des adultes participant à la campagne de déségrégation proprement dite. En fin de compte, les militants ont misé sur le fait que le statut social protégé des enfants, la honte des autorités et les réactions émotionnelles de publics plus vastes pourraient leur procurer un avantage considérable. Mais au risque pour leurs enfants; et si perçu comme cynique, il risque également de se retourner contre lui. Le président Kennedy a désapprouvé, mais a ajouté que seuls les griefs doivent être résolus. Les églises étaient des bases physiques et les manifestants étaient soutenus par leur foi. Il y avait donc un sponsor culturel. Cependant, comme pour le discours de Malala, les objectifs de la croisade étaient laïcs.
Les enfants ont eux-mêmes été lésés (facteur essentiel) et actuellement, bien que ce soit également le cas pour leurs parents et pour toute la communauté de couleur. Ces enfants n’étaient pas des pions; directement et indirectement, ils ont subi des injustices et leur résistance est réelle. Ils ont appelé à la négociation, mais finalement à une solution spécifique, la fin de la ségrégation (la portée du problème est assez étroite). Comme nous l’avons vu aujourd’hui et selon les principes en vigueur aux États-Unis et dans le monde, ce n’était certainement pas irrationnel. Et certainement pas astronomique, bien que nécessitant un changement de comportement de la part d'une minorité dotée de pouvoir.
RépondreSupprimerGreta étant la principale porte-parole des grèves du climat chez les enfants, elle répond également:
Un robot de Mars trouverait-il les mêmes réponses ? Nous ne pouvons pas savoir; impossible de se libérer de tout préjugé. Pourtant, la grève climatique est largement privilégiée et les enfants ne subissent pas les torts actuels; leur peur est un mythe qui n’est pas étranglé par les adultes. Ils n’exposent aucun risque de réaction violente, ce qui n’infirme pas en soi leur cause, mais semble faire pression sur une porte culturelle déjà ouverte. Il y a eu beaucoup d’approbation des adultes et des influenceurs du monde entier, et essentiellement aucune opposition officielle de la part des autorités. Pousser sur une porte ouverte semble être un paradoxe pour une manifestation. C’est parce que les peurs culturelles ne sont pas réelles, mais les mécanismes subconscients ne peuvent certainement pas être admis comme tels. Cela ne signifie pas que les enfants sont des pions, sauf dans le sens où eux-mêmes et les adhérents adultes sont inconsciemment des pions du récit culturel; comme le note Greta elle-même, beaucoup sont (vraiment, voir 5 ci-dessous) anxieux et tristes, en colère ou effrayés. Mais cela signifie qu’il s’agit essentiellement de prosélytistes émotionnels d’un récit culturel30b, c’est-à-dire du catastrophisme climatique, et que cette culture les entraînera en tant que facteur de pouvoir. En comparaison, les enfants de 1963 ont été confrontés à une réaction très dure: canon à eau, chiens et prison. Ils ont définitivement poussé contre une porte fermée, que nous savons rétrospectivement (et en réalité, même à l'époque) était ancrée dans la sous-culture locale. Ils n’étaient certainement pas des prosélytistes jouant le jeu de leur propre culture pour capturer l’engagement de l’autorité en faveur de la conviction; ils ne demandaient pas la conformité à la narration existentielle émotive. Malgré le déploiement de leurs avantages sociaux en tant qu'enfants, ils représentaient l'équité et la raison qui contrecarrait une sous-culture du racisme bien ancrée. L'histoire a souri à leur pari en 1963, mais on ne peut pas le prévoir.
4.Enfants et absorption culturelle
Nous avons manifesté un comportement culturel avant d’être homo-sapiens-sapiens26. En raison de la longue co-évolution gène-culture, nos cerveaux sont axés sur le comportement culturel, y compris le soutien à un système de reconnaissance et de renforcement au sein du groupe / hors groupe. Ces derniers peuvent contourner notre raisonnement au nom de l’unité du groupe, par le biais d’une forte conviction culturelle et de l’alignement. Les religions sont la classe la plus familière des cultures fortes et, en raison de notre scientifique cognitif en héritage, Justin Barret, explique dans «Born Believers» que les enfants ont une "affinité" ou un instinct par défaut pour le concept de dieu / dieux. Un trou en forme de religion, si vous voulez, qui ne demande qu’à être comblé par une ‘forme’ sociale correspondante dans l’environnement de l’enfant27.
La théorie ne supprime pas le rôle important de l'endoctrinement religieux (bien que Barret précise que ce n'est pas un facilitateur exclusif / principal de la prise en charge de croyances), qui renforce l'affinité par défaut et fournit des détails sur le système religieux particulier acquis.
RépondreSupprimerL’auteur suppose que des efforts importants et une refonte du cadre peuvent «insérer de force» d’autres concepts dans ce «trou», par exemple. la théorie de la sélection naturelle en tant que fondement de la vision du monde. Mais, mis à part les principaux inconvénients potentiels28, cet ajustement est très médiocre. Aucun cadre raisonnable ne peut imprégner cette théorie d'espoirs et de peurs existentiels, de cocktails émotionnels convaincants et, bien entendu, d'une identité profondément ressentie, qui sont tous des traits caractéristiques de cultures qui, pour la plus grande partie de notre histoire, étaient dirigées par des dieux / des esprits. Cependant, les cultures laïques sont essentiellement des religions avec des détails différents, fonctionnant selon les mêmes mécanismes et présentant le même éventail de comportements, y compris des convictions émotives qui contournent la raison. Ainsi, pendant le développement de l’enfant, le catastrophisme climatique, avec son apocalypse29 de climat anthropomorphisé29, son péché carbonique et son espoir ténu de salut fondé sur des articles de foi tels que les énergies renouvelables30, glisseront très facilement dans un tel «trou» lorsque les enfants sont exposés à cette culture. Et quelle que soit la combinaison affinité / endoctrinement, les revendications de catastrophe climatique portant ce fardeau émotionnel majeur font partie de la vie scolaire et familiale de nombreuses sociétés. Par l'intermédiaire d'une promotion répétitive enseignant30a / parent / pair / média, l'endoctrinement (qui n'est généralement pas du genre agressif) se produira. Et les revendications évoluent, par exemple à XR: "De telles affirmations ont l’effet recherché de terrifier les enfants pour qu’ils soutiennent les objectifs de la Rébellion de l’extinction: Thunberg est l’un de ces enfants." [gratuit].
Avec suffisamment d'années / exposition, le catastrophisme climatique ci-dessus se transforme en "appris à l'âge adulte", superposant / modifiant ainsi les croyances existantes, à une culture "reçue", absorbée, voire semblable à la religion, pendant l'enfance. Cela crée une croyance bien plus profondément enracinée et beaucoup moins de chances que la raison l'emporte contre les partis pris. Sans parler de beaucoup plus de peur associée (et légitimement morale), d'espoir simultané et d'un large éventail d'autres émotions. Un sous-produit problématique est l’approbation morale d’enfants agissant de manière normalement intolérable, par ex. public chants30b dénigrant grossièrement un dirigeant ou toute personne qui est perçue (à tort ou à raison) comme bloquant la «solution» culturelle à la catastrophe. Ce génie ne rentrera pas facilement dans la bouteille.
5. Interprétation de la peur culturelle
Les peurs inculquées par les entités culturelles ne sont pas réelles. Nous ne sommes pas censés les croire littéralement. En effet, nos cerveaux semblent avoir un système permettant de savoir inconsciemment qu’ils ne sont pas réels, bien que nous ne sachions pas encore comment cela fonctionne31. Dans le cadre d’une carte «morale», leur objectif est le renforcement au sein du groupe. Mais parfois, le système tourne mal et crée une véritable peur. Par exemple, en ce qui concerne: a) une nouvelle culture naissante ou une variante culturelle où les équilibres n’ont pas encore été établis, en particulier en ce qui concerne une culture laïque qui utilise l’autorité de la science comme voile.
b) les enfants, qui manquent d'expérience mentale pour faire la distinction entre culture et réalité. Et c) probable pour certaines conditions (par exemple Asperger) où les subtilités de la communication ne sont pas traitées, de sorte que les récits culturels ne sont pas interprétés normalement à la lettre, sont néanmoins perçus de cette façon32.
RépondreSupprimera) entraîne des adultes craintifs. a) et b) aboutit à de nombreux enfants craintifs (neurotypiques). c) peut s’ajouter aux alinéas a) et b), ce qui entraîne la peur chez les jeunes TSA, comme Greta. Même là où le système fonctionne, les peurs culturelles ont un impact, font encore peur. Mais pas assez pour déclencher la même intensité et le même type de réaction que pour les peurs de la réalité33. Ironiquement, Greta identifie correctement une hypocrisie apparente en relation avec cet effet, cause véritable que ses interprétations littérales ont peut-être obscurcie pour elle32a.
Ce qui constitue une information effrayante et à quel point les enfants devraient y être exposés est subjectif, étant donné que les croyants adultes et les non-croyants dans un récit culturel fort auront des points de vue différents. Cependant, la manifestation effective d'enfants effrayés (et de jeunes adultes) et la reconnaissance de la part des psychologues et des tuteurs légaux sont beaucoup plus objectives. Les croyants qui se trouvent dans une catastrophe climatique mondiale imminente pourraient prétendre à un «échec moral» ou peut-être à un «malaise utile», mais ne peuvent prétendre que le problème n'existe pas. (Les psychologues sont généralement des croyants et leurs conseils sont donc au mieux inutiles, par exemple, «vous ressentez le chagrin de voir à quel point tout cela est beau», peut-être même exacerbant). Et l'inculcation de la peur culturelle chez les enfants peut avoir un aspect moins noble34. Remarque: l’engagement culturel émotionnel n’est pas moins important lorsque l’échec est un processus interne que la peur n’est pas réelle. Peut-être l'inverse; une peur réelle pourrait encore amplifier le comportement culturel, bien que ce soit pour la plupart une étape comportementale. La nature culturelle devrait éventuellement s’inscrire, ce qui entraînerait un ajustement (certains pourraient perdre totalement confiance).
6. Une spirale culturelle
Des décennies de propagation de récits de catastrophes hautement émotionnels (et par la science traditionnelle et sceptique, fausses) de la part d'autorités, du plus haut au monde et dans tous les domaines de la société, ont fourni une légitimation morale pour favoriser la culture climatique catastrophique chez nos enfants tout au long de leur développement. Soutenu par une affinité instinctive pour un modèle culturel et un endoctrinement dans certains contextes sociaux, cela a abouti à une adoption à grande échelle de la culture. À son tour, cela transforme les enfants en prosélytistes vocaux de masse pour la culture transmise par des histoires catastrophiques / urgentes, et non en tant que manifestants de torts fondés sur la réalité. Dans la section 5 ci-dessus, la peur réelle et associée est généralisée chez les enfants (et certains adultes) où la nature culturelle de la menace n’a pas été réalisée de manière interne, amplifiant encore la pression sur la société pour qu’elle agisse de manière irrationnelle. Ces peurs, ainsi que l’aspect millénaire de la culture36, ont fait surface et sont des porte-parole sociaux protégés pour la culture et son récit sans compromis pour le salut, tels que Greta et d’autres représentants de la grève des enfants.
Ces prophètes font ensuite un retour aux dirigeants culturellement bien préparés (et à leur propre propagation), la vérification «moralement irréfutable» et «populaire» de la base, nécessaire au prochain niveau d’expansion et de domination de la culture. Mais finalement, ils servent tous une entité qui ne possède pas d’agence et encore moins de sensibilité; cela fonctionne uniquement via une sélection émotionnelle et l'engagement résultant de comportements évolués depuis longtemps.
RépondreSupprimerLes bandes d'enfants effrayés et la nature des grèves climatiques des enfants, exigences absolues de la part du monde de la part d'un enfant qui leur dit de paniquer au sujet de l'apocalypse imminente (avec un défi peu sérieux37), ces phénomènes devraient être un grand drapeau rouge avec «culture» écrite dessus. Mais les disciplines qui étudient de tels phénomènes semblent croire en masse le morceau du récit culturel qui déclare que (catastrophe sans action dramatique) catastrophe climatique imminente (plusieurs décennies), est un produit indéniable de la science dure. C'est faux; la science traditionnelle ne le supporte pas. La société fait peur à des millions d'enfants.
7.Posterscript
Une question soulevée par l'aspect millénaire de la culture climatique catastrophique et sa quête d'éliminer et de ré-imaginer notre comportement et notre énergie / infrastructure à une vitesse «urgente» est la suivante: «quel stress subissons-nous qui pourrait provoquer une telle réaction ? De plus: «ce qui est réel et ce qui est simplement perçu ?» Les cultures peuvent potentiellement créer les tensions artificielles qui les maintiennent dans les affaires et / ou utilisent des angoisses réelles / artificielles antérieures35. Le stress généré de manière externe sur les Xhosa était sévère.
https://judithcurry.com/2019/07/29/child-prophets-and-proselytizers-of-climate-catastrophe/
SupprimerComme la Démocratie est comprise par tous les terriens et gagne du terrain chaque jour, elle pourrait renverser les dictatures (monarchies, républiques, empires) au pouvoir. D'où l'idée de faire admettre à TOUT LE MONDE QU'ILS SONT TOUS CONS depuis la petite enfance jusqu'à 'l'âge de mourir' !!
Prochain slogan: On veut: "Des pères noel, des sucettes et du chocolat" ! Na !
Murray Bridge, Australie-méridionale, où les thermomètres enregistrent quotidiennement les déchets indésirables
RépondreSupprimerJuly 30th, 2019
Grâce à Bill in Oz qui a envoyé la photo du mont Barker, Ken Stewart a commencé à auditer d’autres sites en Australie du Sud et a découvert ce chef-d’oeuvre de choix d’emplacement. Et grâce à Ken, vous pouvez voir le monde des stations météo Wacky: N ° 2 - Murray Bridge.
- voir sur site -
Bureau de météorologie, Australie-Méridionale, pont Murray, îlot de chaleur urbain, ACORN.
Année d'ouverture: 1885. Qui a l'impression que le site ressemble à ceci il y a 130 ans ?
Comme il le fait remarquer:
L’écran se trouve dans une cour intérieure près de chemins en béton, de potagers et d’arbustes, à proximité d’une clôture, à moins de 5 mètres des hangars, à l’abri du sud d’une clôture de 1,6 mètre de hauteur, avec des bâtiments à l’est, au nord et à l’ouest, et moins de 10 mètres de la route du bitume.
Tout comme Mt Barker, il s'agit d'un autre site qui n'est pas un site ACORN «classé au premier rang» utilisé par le Bureau de météorologie, mais ses résultats servent à ajuster les sites ACORN tels que Mount Gambier, de sorte qu'il fait partie de facto de ce réseau. Des sites comme celui-ci sont également utilisés pour créer de la propagande, pardon, des communiqués de presse sur les «enregistrements les plus chauds jamais enregistrés».
Les BoM savent exactement à quel point ce site est mauvais et avec des détails soigneusement mesurés.
Quelque part, un bureaucrate rémunéré a mesuré et répertorié avec dévouement tout ce qui ne devrait pas se trouver dans un rayon de 30 mètres.
Pont Murray, plan du site, Bureau de météorologie, BOM, données climatiques.
À partir de leur fichier de données de site PDF
Réfléchissez à l'attention portée aux détails pour un site qui n'aurait jamais dû être sélectionné. Dans ce lien PDF unique, il n'y a pas qu'une seule carte comme celle-ci, mais 14 cartes distinctes de ce même site, datant d'environ une fois par an depuis 2004. Le secteur privé dépenserait-il autant d'argent pour documenter un échec ou serait-il simplement ... en train de déplacer le site dang?! Et puis, il y a plus de cartes antérieures à celle du site lorsqu'il était situé près de la gare (voir ci-dessous pour la photo).
Des données d'expert sans signification
Une entreprise privée dépenserait-elle de l'argent en analysant l'heure exacte de la journée sur ce thermomètre chaque mois de l'année, ou se contenterait-elle de trouver un terrain dégagé de 30 mètres par 30 mètres de profondeur sur le continent habité le plus vide de la planète? Quelqu'un pense-t-il qu'un superordinateur pourrait calculer ce que le thermomètre aurait dû enregistrer, et si oui, pourquoi se donner la peine d'avoir un thermomètre?
- voir sur site -
Murray Bridge, skyline, Bureau de météorologie, données climatiques.
Comme le dit Ken, ne blâmez pas le propriétaire, blâmez le BoM. Comme le dit Jo, envoyez un message à votre représentant élu. Si la vie sur Terre dépend de la science climatique, pourquoi le Bureau de météorologie ne se soucie-t-il pas des données? Nous leur donnons plus d'un million de dollars par jour, mais ils utilisent pourtant des sites comme celui-ci pour nous dire que l'Australie a connu un réchauffement «sans précédent».
Indésirable moderne utilisée, qualité ancienne oubliée
RépondreSupprimerLes thermomètres que les scientifiques ont installés en 1896 et qui enregistraient une chaleur extrême étaient peut-être plus précis que le réseau «expert» moderne, mais la BoM ignore ceux-ci et utilise de la malbouffe comme celle-ci.
- voir sur site -
Voici la vue agrandie du site choisie en 2004 (la flèche blanche marque l'endroit). En un coup d’œil, il existe d’autres sites qui pourraient vous sembler meilleurs, comme le genre situé sous les points rouges. Juste une pensée?
Pont Murray, emplacement du Bureau de météorologie.
Pourquoi mettre ce thermomètre dans une cour arrière? Murray Bridge n'est pas exactement une métropole sans espace ouvert….
Avant 2004, le site se trouvait à proximité de la ligne de chemin de fer qui devait subir de grandes améliorations. Mais la question demeure: pourquoi le thermomètre est-il passé d'un mauvais site à un pire?
- voir sur site -
Ancien pont thermomètre de Murray Bridge, gare.
Notez l'espace ouvert idéal de l'autre côté de la voie ferrée…
Mais qui veut vraiment savoir si Murray Bridge se réchauffe? Pas le BoM australien.
___________
Si les gens veulent envoyer plus de photos du site, commencez par la page BoM pour Climate Data Online. Tapez dans la ville et "Trouver" le site le plus proche. En haut à droite de la page de ce site, recherchez le bouton "Détails" pour connaître les valeurs lat et long. Si vous visitez un site, veuillez respecter la vie privée des propriétaires, ne communiquez pas les adresses de la rue ou les plaques d'immatriculation des voitures au public. Envoyez-moi un e-mail: joanne À ce site domain.Bouton de détails du site, BoM, Bureau of Meteorology.
Ken Stewart publie un blog sur Ken’s Kingdom: Le monde farfelu des stations météo: N ° 2 - Murray Bridge.
http://joannenova.com.au/2019/07/murray-bridge-south-australia-where-thermometers-record-junk-every-second/#more-65526
Pitoyable : « Les 20 aliments du quotidien les plus cancérigènes » de Marie France (et MSN)
RépondreSupprimer30 Juillet 2019
par Seppi
« Les 20 aliments du quotidien les plus cancérigènes » est un marronnier qui permet à certains sites de se faire de la thune avec la publicité dont le lecteur est bombardé puisqu'il doit, dans le cas qui nous intéresse ici, cliquer une bonne vingtaine de fois pour lire le texte complet. MSN vient de le remettre en ligne le 18 juillet 2019. Il l'avait déjà fait le 27 avril 2019. Le texte d'origine est de Marie France et date du 4 mai 2018... Le diaporama a évidemment des avatars, par exemple ici.
Les images sont belles. Mais le texte est tellement grotesque que nous vous le livrons ci-dessous.
« Le pain blanc
Selon une étude menée par des chercheurs de l'Université du Texas, les aliments présentant un indice glycémique élevé comme le pain blanc, augmenteraient de 49 % les risques de cancer du poumon.
Les boissons chaudes
Café, thé, chocolat... attention à ne pas les boire brûlants ! Selon, l'agence du cancer de l'OMS, boire des boissons dont la température exède [sic] les 65° C accentuerait les risques de cancer de l’œsophage.
Les frites
Depuis plusieurs années déjà, les autorités sanitaires s'inquiètent de la présence d'acrylamide dans les aliments frits. Cette substance toxique se forme lorsqu'un aliment contenant de l'amidon ou des sucres est chauffé à plus de 120 °C.
Les chips
A l'instar des frites, les chips sont suspectées de contenir de l'acrylamide.
Les aliments génétiquement modifiés [voir la photo ci-dessus...]
De nombreuses études ont montré que les OGM favoriseraient l'apparition de tumeurs cancéreuses. Conseil, privilégiez les aliments Bio.
La viande grillée
C'est bien connu, aussi délicieuse qu'elle soit, la viande grillé au BBQ est mauvaise pour la santé ! De nombreuses études ont montré qu'elle pourrait avoir un lien avec le cancer du pancréas, du rein et même du sein.
Les pâtes blanches
Au même titre que la pain blanc, consommer régulièrement des pâtes blanches ne serait pas sans danger.
Le lait
Si le lait est particulièrement recommandé pour les enfants, il l'est beaucoup moins pour les adultes ! Et pour cause, selon la Société Canadienne du cancer, la graisse animale contenue dans la boisson favoriserait le cancer de la prostate. A consommer avec modération.
La viande transformée
Bacon, charcuterie, saucisse...Selon l'OMS, consommer 50 grammes de viande transformée par jour augmenterait de 18 % les risques de cancer colorectal.
La viande rouge
Au même titre que la viande transformée, la viande rouge à haute dose serait nocive pour la santé. En consommant 100 grammes de viande rouge par jour, les risques de cancer colorectal augmentent de 17 %.
L'huile de tournesol chauffée
RépondreSupprimerD'après diverses études, l'huile de tournesol et de maïs seraient cancérigènes lorsqu'elles sont chauffées.
Les arachides
Si les arachides sont plutôt connues pour leurs bienfaits, il peut arriver que certaines soient contaminées par une substance toxique appelée aflatoxine. Cette dernière produite par un champignon favorise le cancer du foie. Toutefois, les continents principalement concernés sont l'Asie et l'Afrique.
Le saumon d'élevage
Une étude de 2004, pointe du doigt le saumon d'élevage. En effet, le poisson particulièrement apprécié des consommateurs, contiendrait un taux élevé de polluants cancérigènes.Les personnes consommant du saumon d'élevage plus d'une fois par mois auraient plus de risques de développer un cancer que celles qui mangent du saumon sauvage.
Les tomates en conserve
Selon une étude de 2008 réalisée par le laboratoire XenoAnalytical LLC de l'université du Missouri, les tomates en conserve, entre autres, contiendraient du diphénol A. Un composé chimique utilisé pour la fabrication de produits en plastiques et responsable du cancer du sein …
Le popcorn au micro-ondes
Quoi de plus agréable qu'un bol de pop-corn devant le film du dimanche soir ? Problème, les sachets de préparation vendus dans le commerce sont bourrés de produits chimiques pouvant entraîner le cancer du foie, du pancréas et des testicules.
La farine blanche
En plus de contenir du dioxyde de chlore pour blanchir son aspect, la farine blanche contient du bromate de potassium, un oxydant particulièrement nocif pour l'homme et considéré comme possible cancérigène par le Centre international de recherche sur le cancer.
Le poisson salé
Particulièrement apprécié en Afrique ou en Asie, le poisson salé comporterait de sérieux risques pour la santé. Selon la société canadienne du cancer, les régions qui consommeraient beaucoup de ce poisson seraient les plus touchées par le cancer du nasopharyns [sic].
L'alcool
Consommer de l'alcool, oui mais avec modération. Selon une étude de 2016 menée par l'université d'Otago en Nouvelle-Zélande et publiée dans la revue Addiction, consommer de l'alcool pourrait entraîner sept cancers différents, à savoir oropharynx, larynx, œsophage, foie, côlon, rectum et sein. Les risques augment en fonction du degrés de consommation.
Le sucre raffiné
En plus de l'obésité et du diabète, les sucres raffinés sont connus pour "nourrir" les cellules cancéreuses.
Hypocondriaques, ne buvez plus, ne mangez plus ! Euh, non ! Mari France vient à votre secours avec un autre torchon, « Les 20 meilleurs aliments anti-cancer », du 13 avril 2018.
Et, après la grenade (le fruit), que trouvez-vous en deuxième position ?
« Le saumon
On connait (sic) toutes les bienfaits des oméga-3. Le saumon est donc un allié de taille dans la prévention du cancer, et plus particulièrement du cancer du sein. »
Il y a aussi – mais attention, ne le buvez pas trop chaud :
« Le thé vert
On retrouve de nombreuses molécules de catéchines, connues pour leur propriétés anti-cancer dans le thé vert. Alors, n'attendez plus pour en consommer régulièrement. »
http://seppi.over-blog.com/2019/07/pitoyable-les-20-aliments-du-quotidien-les-plus-cancerigenes-de-marie-france-et-msn.html
« Semences paysannes » en Île-de-France : vive l'agriculture de nos grands-parents !
RépondreSupprimer29 Juillet 2019
par Seppi
La France Agricole a publié un intéressant article, « Le changement sur le terrain demande cinq à dix ans » (réservé aux abonnés). Il est résumé comme suit :
« Depuis 2017, l’association Agrof’Île accompagne les producteurs dans l’expérimentation de variétés paysannes de blé tendre en Île-de-France. Si les filières se montent, le changement, sur le terrain, demande du temps. »
En bref, l’association Agrof’Île – Agroforesterie et Sols vivants en Île-de-France – se propose d’aider des agriculteurs à créer un mélange de variétés adapté précisément à leurs terres, à leurs pratiques, et à leurs circuits de commercialisation en proposant une cinquantaine de variété :
« Étoile de Choisy, Touzelle, ou encore Blé des Yvelines : depuis 2017, les agriculteurs de l’Île-de-France sont invités à puiser dans la collection de blés de l’association Agrof’Île pour trouver leur bonheur. »
Comment ? Étoile de Choisy, une « variété paysanne » ? C'est une obtention de l'Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) inscrite au catalogue en... 1950. Très diffusée, particulièrement en zone méridionale, elle n'avait pas bonne presse chez les meuniers.
Comment ? Touzelle ? Ce mot du sud de la France désigne un blé précoce dont l'épi est sans barbe. La Touzelle anone est une variété très ancienne. Dans Les meilleurs blés (1880) Henry de Vilmorin écrit :
« La Touzelle anone est très anciennement cultivée dans le midi de la France, en Provence surtout, et son nom semblerait indiquer qu'elle date de la domination romaine ; cependant elle est devenue assez rare aujourd'hui. C'est tout à fait une race méridionale, sans intérêt pour le centre ni le nord de la France où elle souffre du froid. »
Certes, il y a eu le changement climatique...
Comment ? Blé des Yvelines ? Aucune trace sur la toile autre qu'un poster d'Agrof'Île.
Bienheureux ce pays de cocagne qui peut se permettre d'allouer des terres à des variétés anciennes de blé – paysannes de quelque 100 ans d'âge ou de sélectionneur vieilles de 70 ans –, de renoncer au progrès génétique qui a été accompli depuis lors, et de verser dans un « c'était mieux avant » pourtant largement démenti.
Mais il n'y a pas que le progrès... La France Agricole rapporte :
« L’objectif, pour l’association, est d’aider chaque producteur à créer un mélange de variétés adapté précisément à ses terres, à ses pratiques, et à ses circuits de commercialisation. "Avec l’agroforesterie, les couverts, ou les associations de cultures, on entre dans des pratiques auxquelles les semences des catalogues n’ont pas été confrontées", estime Valentin Verret. »
Ces gens savent-ils ce qu'ils font ? Ont-ils une idée de l'instabilité des mélanges et de la rapidité de leur évolution ?
Dans le poster précité, on peut lire :
« Les “populations dynamiques”, sont constituées d’individus tous différents provenant l’origine d’un mélange de variétés. Le mélange est ressemé année après année. Sa composition évolue. Les plants les plus résistants sont conservés. Ces mélanges s’adaptent rapidement au terroir et aux fluctuations du climat grâce à son importante diversité génétique. Chaque mélange est unique, propre au paysan qui le cultive. »
Maman ! Un mélange de plantes de variétés homozygotes d'une espèce presque exclusivement autogame produirait en peu de temps des « populations dynamiques […] d'individus tous différents » ?
RépondreSupprimerL'idéologie suit immédiatement :
« Les variétés modernes, contrairement à leurs cousines anciennes et paysannes ont été sélectionnées en condition de forte utilisation d’engrais et de protection chimique des cultures (fongicide et herbicide), et pour une utilisation en boulangerie industrielle. Le rendement et la facilité de transformation technologique ont été les principaux critères de sélection au détriment d’autres qualités. La diversité génétique des blés cultivés s’est énormément appauvrie. »
Sur une autre page, c'est, avec un intéressant conditionnel :
« Les variétés disponibles dans le catalogue officiel ont été sélectionnées dans des conditions de cultures idéales et sans facteur limitant (azote disponible, pas de concurrence des mauvaises herbes, protection anti-fongique), et pour répondre aux critères des filières dominantes. Aujourd’hui, ces variétés ne seraient pas les plus adaptées aux nouvelles pratiques agricoles liées au non travail du sol, aux couverts végétaux et à l’agroforesterie. »
C'est triste de voir ça. Et aussi que le département du Val-de-Marne contribue à ce projet. Nous pensons qu'il y a de meilleures utilisations pour l'argent public.
Mais il n'y a pas que le département... Dans l'article de la France Agricole :
« Attention : s’investir dans les semences paysannes demande du temps. Selon l’Inra et le Réseau Semences Paysannes, environ trois ans seraient ainsi nécessaires pour qu’une variété donnée se réadapte dans un nouveau terroir, avant de révéler son véritable potentiel. »
L'INRA ! Une variété comme Étoile de Choisy – une lignée pure – s'adapterait à un « nouveau terroir », alors qu'elle n'héberge aucune variabilité susceptible de faire évoluer le matériel génétique dans un sens ou un autre ? Un « nouveau terroir », alors qu'elle était largement diffusée ? Et une « réadaptation » en trois ans seulement ?
Au secours ! Lyssenko revient !
Il y a cependant des parcelles de vérité dans la suite :
« Et ce n’est pas tout. "Entre la multiplication des semences et l’adaptation des pratiques, ce changement sur le terrain demande cinq à dix ans", poursuit Valentin Verret. Ce n’est qu’avec l’expérimentation, par exemple, que l’on comprend que ces variétés exigent moins d’azote que leurs cousines plus courantes. "Si on les sème après luzerne, le relargage d’azote est trop important et on peut être certain que ça va verser", prévient-il. »
Toutefois, pour l'azote, on savait...
On fait donc de l'expérimentation... mais on se fait très, très cachottier sur les résultats :
« Les prix constatés [jusqu'à, paraît-il, 600 €/t] s’expliquent encore par les rendements. Les données demeurent rares, mais la productivité est évidemment en baisse par rapport aux semences commerciales. "Pour les semences paysannes, on parle souvent de 2 à 3 tonnes à l’hectare", reconnaît Valentin Verret. Des chiffres qui seraient à nuancer par le fait que les expérimentations ont longtemps été réservées à des terres difficiles. »
Ben voyons... c'est la faute à pas bon sol...
- voir photos sur site -
http://seppi.over-blog.com/2019/07/semences-paysannes-en-ile-de-france-vive-l-agriculture-de-nos-grands-parents.html