15:46 13.03.2019
«Après 14 ans de lutte anti-terroriste, l’Occident est devenu un maître dans la pratique de la barbarie et de la mise en place d’États "en faillite"». Dans une lettre ouverte «J’ai aidé à créer Daech*», un ancien soldat US explique comment les atrocités commises par l’armée US au Moyen-Orient ont amené à la formation du groupe terroriste.
Qu'est-ce qui a donné le coup d'envoi à la formation du groupe terroriste Daech*? Dans une lettre, Vincent Emanuele, ex-soldat américain de la guerre d'Irak, apporte un élément de réponse. «J'ai aidé à créer Daech*», c'est le nom de son témoignage publié sut le portail Information Clearing House.
Stationné en Irak avec le 1er bataillon, 7e régiment des Marines entre 2003 et 2005, l'homme déclare avoir «vu et participé quotidiennement à des obscénités» commises par l'armée états-unienne, à commencer par des déchets jetés par la fenêtre:
«Je ne pouvais m'empêcher de penser aux enfants que mes camarades bombardaient avec des Skittles de leurs rations. On ne lançait pas seulement des bonbons contre les enfants, mais aussi des bouteilles d'eau remplies d'urine, des cailloux, des débris et d'autres objets. Je me demande combien de membres de Daech* et d'autres organisations terroristes se rappellent de ces petites choses».
Puis, l'ex-militaire revient sur les tortures. Il «n'a jamais eu la malchance d'y travailler», mais il se rappelle «des marines lui racontant comment ils cognaient, giflaient, tapaient à coups de pied, de coudes, de genoux et de tête les Irakiens» et «forçaient les hommes irakiens à avoir des rapports sexuels avec d'autres détenus pendant qu'ils tenaient des couteaux contre leurs testicules, les sodomisant quelques fois avec des bâtons».
«Nous connaissons au moins un des prisonniers qui a survécu: Abu Bakr al-Baghdadi, le chef Daech*», écrit-il.
«Aujourd'hui, l'Irak est un État complètement dévasté. Le peuple a été empoisonné et mutilé; l'environnement naturel a été intoxiqué par des bombes à l'uranium enrichi. Après 14 ans de guerre anti-terroriste, une chose est certaine: l'Occident est passé maître dans la pratique de la barbarie et la création d'États en "faillite"», explique-t-il.
Après toutes ces années, l'homme se dit «hanté» par les regards «chaleureux et vitreux des enfants irakiens» et de ceux qu'il a tués. Ses cauchemars et ses pensées lui rappellent «sans cesse d'où vient Daech*». «Cette haine, compréhensible bien que regrettable, sera dirigée contre l'Occident pour encore des décennies», déplore-t-il.
«À l'avenir, la façon avec laquelle l'Occident gèrera le terrorisme dépendra largement de sa décision de maintenir cette attitude terroriste. La façon la plus évidente d'éviter la création de futures organisations du genre de Daech* est de s'opposer à la militarisation occidentale sous toutes ses formes: coups d'État de la CIA, guerre par procuration, frappes de drones, campagnes de contre-insurrection, guerre économique, etc.», conclut-il.
*Organisation terroriste interdite en Russie
Le NYT déboulonne l'intox de Washington sur l'incendie d'un convoi humanitaire par Maduro
RépondreSupprimer15:14 13.03.2019
En dépit des accusations américaines sur un convoi humanitaire incendié sur ordre des autorités vénézuéliennes, c’est le quotidien américain The New York Times qui a révélé une opération mensongère, annonçant que l’incendie du convoi a été provoqué par un manifestant de l’opposition, lié à Juan Guaido.
Une enquête du quotidien The New York Times réfute la version avancée par l'administration américaine, selon laquelle un convoi d'aide humanitaire a été incendié sur ordre du Président Maduro.
Un camion contenant de l'aide humanitaire a été incendié le 23 février, à la frontière entre la Colombie et le Venezuela, suscitant une réaction vive des États-Unis. Le sénateur Marco Rubio a déclaré sur Twitter que «la police nationale de Maduro a mis le feu à un camion transportant de la nourriture et des médicaments alors que le peuple du Venezuela a faim».
Un nombre important de responsables ont soutenu le sénateur, dont Juan Guaido, Mike Pompeo, John Bolton, le gouvernement colombien et plusieurs présidents du Groupe de Lima. Toutefois, cette version des faits a été contredite par l'enquête du New York Times.
En effet, le journal a étudié les images publiées sur les réseaux sociaux, ainsi qu'une vidéo non publiée (en haut de l'article), pour reconstituer l'incident. La vidéo montre que «le cocktail Molotov lancé par un manifestant anti-gouvernemental est le déclencheur le plus probable de l'incendie».
En outre, le quotidien remet en cause le chargement. Les médicaments, dont il serait question, ne figureraient pas sur la liste américaine des «dons» envoyés.
Le journal new-yorkais a procédé à la reconstitution de l'incident en comparant les images. Alors que la garde nationale bloquait le passage entre la Colombie et le Venezuela pour empêcher les camions d'entrer, un cocktail Molotov a été lancé vers la garde nationale. Mais le chiffon utilisé pour allumer le cocktail s'est désuni de la bouteille et a atterri sur le camion qui a alors pris feu.
Le gouvernement colombien, qui a été l'un des premiers à défendre et à propager la théorie selon laquelle le Président Maduro aurait ordonné l'incendie, a envoyé aux responsables américains et aux journalistes des vidéos issues des caméras de vidéosurveillance placées à la frontière. Toutefois, la vidéo en question «occulte une période de 13 minutes précédant le début de l'incendie», a écrit le journal, appelant les autorités à publier l'intégralité de la vidéo.
«Ils ont tenté de mener une opération clandestine, selon laquelle le peuple du Venezuela a brûlé un camion transportant de la nourriture avariée. Non, non, non. C'étaient eux, c'étaient les criminels d'Iván Duque», a déclaré M.Maduro à la foule, se référant au président colombien.
Suite au désordre survenu lors de la tentative d'acheminement de l'aide humanitaire au Venezuela, la Colombie a fermé le 24 février les postes de contrôle à la frontière vénézuélienne, dans le département de Norte de Santander.
La crise politique au Venezuela a éclaté quand l'opposant Juan Guaido, renvoyé le 22 janvier du poste de président de l'Assemblée nationale vénézuélienne sur décision de la Cour suprême, s'est autoproclamé le lendemain «Président en exercice du pays» et a prêté serment au cours d'une manifestation. Donald Trump l'a alors reconnu comme «Président par intérim».
RépondreSupprimerUne quarantaine de pays, dont le Royaume-Uni et l'Allemagne, en ont fait de même. La France l'a également reconnu comme «Président en charge». Le Président Nicolas Maduro a qualifié Juan Guaido de pantin des États-Unis. Des pays tels que la Chine, la Russie, la Turquie ou le Mexique ont quant à eux apporté leur soutien au gouvernement en place.
https://fr.sputniknews.com/international/201903131040344509-nyt-intox-washington-usa-convoi-humanitaire-maduro/
Grand débat 9 Français sur 10 auraient refusé l'invitation de clôture du grand débat
RépondreSupprimer12:52 13.03.2019
La France est à deux jours de la fin du grand débat national. Alors que le gouvernement souhaitait en faire un engagement citoyen massif et vantait la participation des Français, 90% des 75.000 citoyens, qui ont été invités au grand débat de clôture, ont refusé l'invitation, selon BFM TV.
L'initiative lancée il y a trois mois par Emmanuel Macron pour contrer la mobilisation des Gilets jaunes touche à sa fin. Des conférences citoyennes seront organisées pour faire une synthèse de toutes les propositions émises. Néanmoins, les Français tirés au sort sont peu motivés pour y assister, affirme BFM TV.
Des 75.000 personnes contactées, seulement 10% disent vouloir y participer, poursuit la chaîne.
«Neuf Français sur 10 ont décliné la proposition», avance un reportage de BFM TV, se référant à l'institut d'opinion Harris Interactive, chargé de tirer au sort les Français. «Dans les régions moins peuplées, comme la Normandie, l'objectif est revu à la baisse: 70 Français pour conclure le grand débat contre une centaine initialement.»
Après la fin des réunions locales, 18 conférences citoyennes régionales doivent encore être organisées dans les semaines qui viennent, dont les participants seront tirés au sort.
Dans le même temps, la députée LREM de l'Ain, Olga Givernet, s'est vantée pour sa part d'une «importante participation avec 16 000 cahiers de doléances ouverts [et] 10.000 réunions d'initiatives locales».
Le grand débat national prend fin le 15 mars. Ses «garants» ont déploré ce mardi les interventions répétées d'Emmanuel Macron et des membres du gouvernement dans la consultation, qui ont selon eux pu renforcer la méfiance des Français.
https://fr.sputniknews.com/france/201903131040341036-francais-grand-debat-cloture/
FAUT PAS PRENDRE LES FRANÇAIS POUR DES CONS !
SupprimerCe que veulent les français c'est LA Démocratie ! Et non la république (qui est une dictature où les citoyens ne proposent pas leurs lois ni ne votent leurs lois !)
Pour rappel: Une Démocratie c'est: Par le Peuple, Pour le Peuple.
Il n'y a qu'un seul pays au monde en Démocratie ! La Suisse.
Les Suisses proposent LEURS lois et votent LEURS lois. (et non par de FAUX représentants du Peuple comme en dictatures).
«GILETS JAUNES» UNE LOI «ANTICASSEURS» ADOPTÉE EN FRANCE
RépondreSupprimerLa controversée loi «anticasseurs» a été définitivement adoptée mardi soir par le Sénat français.
13.03.2019, 11h47
Le parlement français a adopté mardi une loi anticasseurs consécutive aux violences ayant émaillé les manifestations des «gilets jaunes». Les aspects les plus controversés de ce texte pourraient toutefois être annulés par la justice.
Le président français, Emmanuel Macron, a en effet saisi le Conseil constitutionnel, la plus haute instance judiciaire française, chargé de valider la constitutionnalité des lois.
Cette saisine «permettra de lever les doutes, elle permettra de lever tous les soupçons», a expliqué le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, tout en défendant le texte comme une «loi de protections».
Interdictions préventives de manifester – mesure qui a cristallisé les critiques –, fouilles, délit de dissimulation du visage: le texte adopté par la majorité de droite au Sénat, après les députés en février, a été dénoncé comme «liberticide» à gauche et critiqué par certains élus de la majorité présidentielle.
«Ce texte ne comporte pas le début d'une once d'arbitraire», a assuré Christophe Castaner, soulignant que «la justice reste l'ultime garant des libertés».
Gilets jaunes et cagoules noires
La proposition de loi visait initialement les «black blocs», des activistes anarchistes qui prônent et mènent des actions violentes lors de manifestations, et avait été approuvée une première fois par le Sénat en octobre.
Le gouvernement l'a reprise à son compte en janvier, après les premières manifestations de «gilets jaunes». Ces rassemblements, qui se déroulent tous les samedis depuis le 17 novembre, ont été la plupart du temps émaillés de violences entre manifestants et forces de l'ordre. Au début de décembre notamment, les images de chaos dans Paris et sur les Champs-Élysées avaient fait le tour du monde.
«Ce texte ne vise pas les «gilets jaunes», il vise au contraire les cagoules noires», a souligné le sénateur de droite Bruno Retailleau, rappelant que pour lui «le cœur du texte est le délit de dissimulation du visage».
Liberté de manifester «en péril»
«Il met en péril la liberté de manifester», a dénoncé pour sa part la présidente du groupe CRCE (communiste) Eliane Assassi, tandis que l'écologiste Esther Benbassa reprochait à la droite sénatoriale et à la majorité présidentielle, «main dans la main», de faire «fi des grandes institutions internationales qui ont récemment dénoncé l'escalade des violences anti manifestants dans notre pays».
Le défenseur des droits, Jacques Toubon, a lui aussi émis ses réserves sur la nouvelle loi. Il estime «clair que cette disposition sur l'interdiction de manifester peut paraître contradictoire avec nos principes constitutionnels». (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/loi-anticasseurs-adoptee-france/story/23042763
SupprimerLa loi anti-casseurs ne concernerait pas ceux qui tuent, arrachent des mains, aveuglent ou cassent la gueule aux françaises et français !
Non, maintenir enfermés des innocents n'est pas « classique »
RépondreSupprimerSyndicat de la magistrature
mer., 27 fév. 2019 22:21 UTC
Nous avons dénoncé lundi une note interne qui donne notamment pour instruction aux magistrats du parquet de Paris de ne lever les gardes à vue de « gilets jaunes » ne donnant lieu à aucune poursuite que « le samedi soir ou le dimanche matin », et ce « afin d'éviter que les intéressés grossissent à nouveau les rangs des fauteurs de troubles ».
Interrogée ce matin sur RMC, Nicole Belloubet n'y a vu qu'une « position assez classique », « pas quelque chose d'extraordinaire », ajoutant qu'elle ne « (savait) pas quelles sont les situations précises qui sont visées ».
Nous avions pourtant précisément repris, dans notre communiqué, les termes de cette note qui vise expressément les classements sans suite pour motif n° 21 (infraction insuffisamment caractérisée), c'est-à-dire le cas des personnes pour lesquelles, pour paraphraser la note « les faits ne sont pas constitués » à l'issue de l'enquête et qui sont donc, sauf nouvel élément... innocentes.
Demander à des magistrats de maintenir ces personnes dans les geôles des commissariats de police pendant plusieurs heures après la fin de l'enquête, voire pour la nuit, alors qu'il est acquis que rien ne sera retenu contre elles et qu'elles seront libérées au final sans aucune suite n'est pas « classique ». Il s'agit au contraire d'une dérive inquiétante de la part d'une autorité judiciaire qui est pourtant, au terme de la Constitution, la gardienne de la liberté individuelle.
Le fait que la garde des Sceaux reprenne à son compte cette anomalie en dit long sur l'attention portée aux principes fondamentaux par ce gouvernement, lorsque ceux-ci sont perçus comme un obstacle à la politique qu'il souhaite - coûte que coûte - mettre en œuvre. Les recommandations adressées hier au gouvernement par la Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe sur ce sujet précis n'ont visiblement pas davantage ébranlé la ministre.
Nous ne pouvons mieux faire que d'en reproduire ici un extrait : « la Commissaire s'inquiète des interpellations et placements en garde à vue de personnes souhaitant se rendre à une manifestation sans qu'aucune infraction ne soit finalement caractérisée et ni aucune poursuite engagée à l'issue de ces gardes à vue. Elle estime que de telles pratiques constituent de graves ingérences dans l'exercice des libertés d'aller et venir, de réunion et d'expression et invite les autorités à respecter scrupuleusement l'obligation de s'assurer que toute restriction soit strictement nécessaire et à ne pas utiliser ces procédures comme des outils préventifs de maintien de l'ordre ».
https://fr.sott.net/article/33602-Non-maintenir-enfermes-des-innocents-n-est-pas-classique
Il me doit tout. Je l’ai sorti du ruisseau»: Emmanuel Macron sur Édouard Philippe
RépondreSupprimer15:25 13.03.2019
Orgueil, vanité, colère, envie… Dans une enquête fouillée, un journaliste du Parisien dévoile les péchés des femmes et des hommes politiques et révèle des propos échangés entre certains, par exemple des Présidents sortant et élu, qui ne voudraient apparemment pas qu’ils soient étalés au grand jour.
L'envie, l'orgueil, ou encore la luxure, autant de vices auxquels les femmes et les hommes politiques n'échappent pas et que le journaliste politique au Parisien Olivier Beaumont décortique dans son livre intitulé Les Péchés capitaux de la politique (éd. Flammarion) mis en vente ce mercredi 13 mars.
La reproduction d'un échange entre le nouveau et l'ancien Président le jour de la passation de pouvoir en 2017 à propos du nouveau Premier ministre Édouard Philippe permet de se faire une idée du contenu de ce livre.
«Faites attention à lui tout de même. Il vient de la droite. À un moment, il finira par s'affranchir», alerte François Hollande au sujet de Philippe.
«Pas du tout, il me doit tout. Je l'ai sorti du ruisseau », rétorque le nouveau Président.
«Mais parfois, le fait de tout devoir à quelqu'un n'empêche pas de le trahir», renvoie Hollande, qui avec son successeur sait mieux que personne de quoi il parle.
Aux trois hommes politiques, l'auteur attribue des «péchés» différents: l'orgueil à François Hollande, la vanité à Emmanuel Macron et la colère à Édouard Philippe.
https://fr.sputniknews.com/france/201903131040344165-livre-journaliste-vices-personnalites-politiques/
Les Marocains détiennent le record de la naturalisation en Europe
RépondreSupprimer15:56 13.03.2019
Les ressortissants marocains, albanais et indiens sont les plus nombreux à avoir obtenu la nationalité d’un pays de l’UE en 2017. Et la France figurait parmi les premiers pays accueillant ces immigrés, surtout les Marocains, indique Eurostat.
En 2017, près de 67.900 Marocains se sont fait naturaliser en Europe. Ils ont ainsi été les plus nombreux à le faire (8,2% des 825.000 étrangers ayant acquis la citoyenneté), a annoncé l’Office statistique de l’Union Européenne (Eurostat).
«Les citoyens marocains formaient le plus grand groupe de nouveaux citoyens d’un État membre de l’UE dont ils étaient résidents en 2017 (67.900 personnes, dont 83% ont acquis la nationalité italienne, espagnole ou française)», a indiqué Eurostat dans un communiqué.
Selon Eurostat, les Marocains ont principalement acquis la nationalité italienne (33%), espagnole (25%) ou française (25%).
En 2016, 101.300 Marocains s’étaient fait naturaliser dans un pays européen, soit 10,2% des étrangers ayant acquis la citoyenneté en Europe. La France avait alors été le deuxième pays à les accueillir (24,5%), derrière l’Espagne (14,9%) et devant la Belgique (12,5%).
https://fr.sputniknews.com/international/201903131040345727-marocains-ue-eurostat-naturalisation/
Un pied de nez au dollar ? La Chine s’active sur le marché de l’or
RépondreSupprimer11:55 13.03.2019
En trois mois, la Banque de Chine a acheté 32 tonnes d’or et si elle maintient ce rythme elle pourra devancer la Russie et le Kazakhstan, les deux pays qui ont acquis le plus d’or en 2018, selon The Financial Times.
Au cours de ces trois derniers mois la Chine a acquis 32 tonnes d'or et si elle continue d'en acheter dans les mêmes quantités, elle pourra devancer la Russie et le Kazakhstan, les deux premiers pays en termes d'accroissement des réserves d'or en 2018, a annoncé The Financial Times.
En février, la Chine a augmenté ses réserves d'or de 10 tonnes, en janvier de 11,8 tonnes et en décembre, de 9,95 tonnes. Cela lui a permis de porter ses réserves à 1.874 tonnes d'or.
La Russie, au contraire, a diminué ses achats en janvier à 6,2, la plus faible quantité depuis décembre 2006.
Le Kazakhstan, lui aussi, n'a acheté en janvier que 2,8 tonnes du métal jaune, ce qui est inférieur à ses acquisitions mensuelles moyennes de l'année dernière estimées à 4 tonnes.
Rappelons qu'en 2018, les banques centrales du monde entier ont acheté 651,5 tonnes d'or, une quantité record depuis près de 50 ans.
https://fr.sputniknews.com/economie/201903131040341372-chine-achat-or-record/
Le Boeing 767 souffre d'un "problème mécanique" lors d'un vol Beijing-Seattle; Forcé de se retourner
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 08:47
Un Boeing 767-300 âgé de 18 ans, reliant Beijing à Seattle, a été contraint de faire demi-tour mercredi pour "entretien" après que la compagnie aérienne eut déclaré que l'avion avait subi une panne mécanique, rapporte le China Times.
Le vol DL128 a reçu un avertissement moteur après le décollage à 12h20. Mercredi, selon Delta, il est retourné à l'aéroport international de la capitale Beijing environ 90 minutes plus tard. La compagnie aérienne a également déclaré que la plupart des passagers du vol passeraient au DL188, l’avion original faisant l’objet d’une évaluation de la maintenance.
L'année dernière, un vol similaire a été contraint d'atterrir, lorsqu'un Boeing 767 en provenance de Pékin a subi un dysfonctionnement moteur et a atterri dans un aéroport militaire en Alaska. 194 passagers ont été transférés dans un autre avion avant de poursuivre leur route.
Dimanche, un avion Boeing 737 Max 8 exploité par Ethiopian Airlines s'est écrasé environ six minutes après le décollage d'Addis-Abeba (Éthiopie), tuant les 149 passagers et les 8 membres d'équipage à bord. L'avion n'avait que quatre mois à l'époque.
La Chine est l'un des plus de deux douzaines de pays et de compagnies aériennes qui ont bloqué le 373 Max 8 jusqu'à nouvel ordre.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/boeing-767-suffers-mechanical-failure-flight-beijing-seattle-forced-turn-around
SupprimerUn billet de retour offert pour tout aller acheté !
En tant que reste du monde 737 Max 8s Grounds, la FAA se retrouve sous pression croissante
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 06:55
La Federal Aviation Administration est de plus en plus critiquée pour avoir soutenu la navigabilité des avions de ligne à réaction 737 Max de Boeing, alors que le nombre de pays qui les ont bloqués augmente à la suite du crash de la compagnie Ethiopian Airlines ce week-end, selon CBS News.
Curieusement, il s’agit d’un renversement du processus conventionnel où le reste du monde s’inspire de la FAA, longtemps considérée comme la référence mondiale en matière de sécurité des aéronefs. Pourtant, dans de nombreux autres pays, les régulateurs de la sécurité aérienne ont décidé de ne pas attendre que la FAA agisse et ont immobilisé les avions ou les ont bannis de leur espace aérien. En outre, au moins 10 compagnies aériennes dans le monde ont cessé de les exploiter.
Trois jours après l'écrasement d'un avion à réaction d'Ethiopian Airlines, tuant les 157 passagers à bord, quelques mois seulement après l'accident mortel en octobre d'un autre Boeing 737 Max 8 exploité par Lion Air au large de l'Indonésie, pays après pays ignoré les évaluations du gouvernement fédéral américain. Aviation Administration que l'avion est sûr à voler. Le Canada a reconnu qu'il était trop tôt pour agir, mais beaucoup sont de plus en plus nombreux derrière le premier grand pays à avoir ancré sa flotte de 737 Max - la Chine.
Ce faisant, des alliés américains de longue date, y compris le Royaume-Uni et l’Australie, ont violé la convention en snobant une autorité qui définit ce qui est en état de navigabilité depuis des décennies. La Nouvelle-Zélande, les Émirats arabes unis et le Vietnam sont devenus mercredi les derniers pays à bloquer le 737 Max, aidant ainsi à légitimer le verdict prononcé le 11 mars par la Chine, selon lequel l'avion pourrait être dangereux.
"La crédibilité de la FAA est mise à l’épreuve", a déclaré à Bloomberg Chad Ohlandt, ingénieur principal de Rand Corp. à Washington. "Les Chinois veulent que leur agence de réglementation soit considérée comme un étalon-or similaire."
Comme nous l'avons indiqué hier, l'Agence de la sécurité aérienne de l'UE, qui couvre 32 pays, a annoncé mardi qu'elle interdisait aux avions de voler dans son espace aérien. La Chine, le Royaume-Uni, l'Inde, l'Indonésie, Singapour, Oman, la Malaisie, le Vietnam, l'Australie et les Émirats arabes unis sont d'autres pays qui les ont ancrés ou temporairement interdits.
Un jour après le décollage du vol d’Ethiopian Airlines, la CAAC (Administration de l’aviation civile de Chine) a établi une connexion possible entre l’accident et les avions de Lion Air en octobre. Un rapport préliminaire sur la catastrophe précédente, qui avait coûté la vie à 189 passagers et membres d'équipage, indiquait que les pilotes avaient du mal à garder le contrôle après un dysfonctionnement de l'équipement. Les deux vols, sur des avions presque neufs, ont pris fin quelques minutes après le décollage.
La CAAC a demandé aux compagnies aériennes nationales de mettre à terre leur flotte de 737 Max 8. "Nous devons avoir une raison de changer cette décision", a déclaré le chef adjoint de la CAAC, Li Jian. Les transporteurs nationaux, dont China Southern Airlines Co. et Air China Ltd., représentent environ 20% des livraisons de 737 Max dans le monde entier jusqu’en janvier, selon le site Web de Boeing.
Selon Bloomberg, Tewolde GebreMariam, PDG d’Ethiopian Airlines, a déclaré à CNN que le dernier accident et la tragédie de Lion Air présentaient des similitudes importantes. Par ailleurs, le Wall Street Journal a annoncé que l’Éthiopie souhaitait envoyer les enregistreurs de données de vol et de conversations de poste de pilotage au Royaume-Uni, ce qui a poussé les enquêteurs américains à tenir d’intenses discussions en coulisses pour amener les pièces en Amérique.
RépondreSupprimerLe représentant de Peter DeFazio, D-Ore, président du comité de la Chambre des transports et de l'infrastructure, a déclaré mardi dans un communiqué qu'il craignait que les autorités de réglementation de l'aviation internationale n'offrent plus de certitude au public voyageur que la FAA.
"Dans les prochains jours, il est absolument essentiel d'obtenir des réponses quant à la cause du crash du vol 302 d'Ethiopian Airlines et aux conséquences de l'accident survenu à l'accident de Lion Air il y a cinq mois à peine", a déclaré DeFazio.
Plusieurs législateurs américains ont déjà appelé à la mise à la terre des avions Max, notamment le républicain Sens. Ted Cruz du Texas et Mitt Romney de l'Utah et le démocrate. Richard Blumenthal du Connecticut, Dianne Feinstein de Californie, Elizabeth Warren et Ed Markey du Massachusetts et Bob Menendez du New Jersey. Il en va de même pour les représentants démocrates Steve Cohen du Tennessee, Adriano Espaillat de New York et Shelia Jackson Lee du Texas.
Pendant ce temps, l’Association des agents de bord et le syndicat des agents de bord d’American Airlines demandent l’échouement de Max 8, mais la FAA continue d’ignorer leurs arguments.
Il est frappant de constater mardi que des pilotes participant à au moins deux vols de transporteurs américains ont signalé qu’un système automatisé semblait provoquer la chute subite de leurs avions Boeing, le même problème susceptible de contribuer à l’écrasement au large de l’Indonésie. Les pilotes ont déclaré que peu de temps après avoir engagé le pilote automatique sur un Boeing 737 Max 8s, le nez s’est incliné brusquement. Dans les deux cas, ils ont rapidement récupéré après avoir déconnecté le pilote automatique.
American Airlines et Southwest Airlines exploitent le 737 Max 8, tandis que United Airlines propose une version légèrement plus grande, le Max 9. Les trois transporteurs ont tous deux témoigné de la sécurité des avions Max.
Les rapports de pilotes ont été classés l'année dernière dans une base de données compilée par la NASA. Ce sont des rapports de sécurité volontaires qui ne révèlent pas publiquement le nom des pilotes, des compagnies aériennes ou le lieu des incidents. Il était difficile de savoir si les comptes conduisaient à des actions de la part de la FAA ou des compagnies aériennes des pilotes.
Un vice-président d'American, le plus gros transporteur au monde, doté de 24 Max 8, a toutefois déclaré que son pays avait "une confiance totale en l'avion". Dans le même temps, le capitaine de vaisseau Jonathan L. Weaks, président de la Southwest Airlines Pilots Association, a publié une longue déclaration dans laquelle il déclarait: "Les données témoignent de la confiance constante de Southwest dans la navigabilité et la sécurité du MAX. Nous soutenons pleinement la décision de Southwest Airlines de continuer à voler. les conclusions du MAX et de la FAA à ce jour. Je continuerai à envoyer ma famille, mes amis et mes proches sur tous les vols du sud-ouest et la raison principale en est que vous, les pilotes de la SWAPA. "
Un pilote de United s'est fait l'écho de ce sentiment en déclarant à CBS News: "C'est un avion sûr. Je mettrais ma famille à bord".
RépondreSupprimerBoeing a déclaré qu'il n'avait aucune raison de retirer les avions populaires du ciel et qu'il n'avait pas l'intention d'émettre de nouvelles recommandations concernant ses appareils. Le PDG de Boeing, Dennis Muilenburg, s'est entretenu avec le président Trump et a répété que le 737 Max 8 était sûr, a déclaré la compagnie. Dans le même temps, son équipe technique a rejoint les experts américains, israéliens, kényans et autres spécialistes de l'aviation dans l'enquête menée par les autorités éthiopiennes.
La FAA a déclaré qu'elle examinait toutes les données disponibles. Le groupe espère que Boeing apportera bientôt des améliorations logicielles au système automatisé anti-décrochage soupçonné de contribuer au crash de Lion Air.
"Jusqu'à présent, notre examen ne montre aucun problème de performance systémique et ne fournit aucune base pour ordonner la mise à la terre de l'aéronef", a déclaré l'administrateur par intérim de la FAA, Daniel K. Elwell, dans un communiqué. "Aucune autre autorité de l'aviation civile ne nous a fourni des données qui justifieraient une action."
La réponse cavalière de la FAA a donné lieu à des accusations de "complicité" avec le secteur. Bill McGee, conseiller en aviation de Consumer Reports, a déclaré que la FAA était de plus en plus à l'aise avec les constructeurs d'avions et les compagnies aériennes alors qu'elle devrait être plus proactive en matière de sécurité. Le magazine et le site Web mardi ont appelé les compagnies aériennes et la FAA à immobiliser les avions de type 737 Max jusqu'à ce qu'une enquête sur la cause du crash en Ethiopie soit terminée pour déterminer si cela était lié au crash de Lion Air en octobre.
"Ils n'ont présenté aucune preuve indiquant que les problèmes que nous avons vus lors de ces deux accidents ne sont pas des problèmes qui pourraient potentiellement exister ici aux États-Unis", a déclaré McGee.
"De plus en plus, la FAA s'appuie de plus en plus sur ce que l'industrie appelle la surveillance électronique", a ajouté McGee, qui écrit sur l'aviation depuis près de deux décennies. "Ne pas sortir et cogner les pneus, voir le travail en cours, s'assurer qu'il est fait correctement."
L’ancien secrétaire aux transports, Ray LaHood, a également appelé les États-Unis à immobiliser le 737 Max, alors que son agence avait suspendu les vols de Boeing 787 il ya six ans en raison de la surchauffe des batteries lithium-ion. "Ces avions doivent être inspectés avant que les gens ne montent dessus", a déclaré LaHood mardi. "Les passagers aériens s'attendent à ce que le gouvernement se charge de la sécurité, et c'est la responsabilité du DOT."
Mais les enquêteurs vétérans sur les accidents ont défendu la FAA, qui a déclaré qu’il n’existait aucune donnée permettant de relier les deux accidents.
"Je ne vois pas les faits pour justifier ce qu'ils ont fait", a déclaré John Goglia, consultant indépendant en matière de sécurité et ancien membre du National Transportation Safety Board, à propos des mesures prises par d'autres pays pour empêcher le Max 8 de voler. "S'ils ont des faits, j'aimerais qu'ils les partagent avec le reste du monde afin que nous puissions protéger le public qui voyage en avion."
La FAA a déclaré qu'elle examinait toutes les données disponibles et qu'elle n'avait jusqu'à présent trouvé aucune base pour ancrer ses avions.
RépondreSupprimerJohn Cox, président et PDG de la société de conseil en aviation Safety Operating Systems, a déclaré que les pays qui ont fondé le Max 8 pourraient avoir lié les collisions éthiopienne et indonésienne même si les enquêteurs n'avaient pas encore analysé les boîtes noires de l'avion éthiopien.
"La FAA est sur un terrain solide jusqu'à présent", a déclaré Cox, ancien pilote de ligne et enquêteur sur les accidents. "Mais la politique peut les submerger si suffisamment de membres se réunissent et exigent que les avions soient ancrés."
Sandy Morris, analyste en aérospatiale chez Jefferies à Londres, a qualifié la série d'interdictions sans précédent pour les Boeing Max.
"Cela ressemble à une rébellion contre la FAA", a déclaré Morris.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/rest-world-grounds-737-max-8s-faa-finds-itself-under-mounting-pressure
Trump clame Newsom en faveur d'un projet visant à mettre fin à la peine de mort en Californie, sauver "737 Stone Cold Killers"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 08:26
Le président Trump a critiqué le gouverneur de Californie, Gavin Newsom (D), qui aurait l'intention de prendre des mesures en vue de supprimer la peine de mort dans cet État.
Selon l''Abeille de Sacramento', cette décision permettra aux 737 détenus en attente d'exécution de se faire rembourser - "environ un quart des condamnés à mort du pays".
"Je ne crois pas qu'une société civilisée puisse prétendre être un leader dans le monde tant que son gouvernement continue de sanctionner l'exécution prémédifiée et discriminatoire de son peuple", a déclaré Newsom dans un communiqué distribué à plusieurs médias.
Newsom dit que le système de la peine de mort a discriminé les accusés atteints de maladie mentale et les personnes de couleur. Cela n'a pas rendu l'Etat plus sûr et a gaspillé des milliards de dollars des contribuables, selon des remarques préparées, que Newsom prévoit de livrer mercredi matin lorsqu'il signera la commande.
«Notre système de peine de mort a été - à tous points de vue, un échec», a déclaré Newsom. «Le meurtre intentionnel d'une autre personne est une erreur. Et en tant que gouverneur, je ne superviserai pas l'exécution d'un individu. »-Sacramento Bee
Newsom devrait annoncer officiellement sa décision lors d'une conférence de presse tenue mercredi matin.
Par l'intermédiaire de NBC4, une source administrative du bureau de Newsom a déclaré que l'ordre avait les effets suivants:
Met en place un moratoire sur la peine de mort pour les cadres supérieurs sous la forme d'un sursis pour toutes les personnes condamnées à mort en Californie.
Retraits Protocole d'injection mortelle de la Californie.
Ferme immédiatement la chambre d'exécution à San Quentin.
Il est clair que la directive ne prévoit pas la libération d'un individu de prison ni ne modifie de quelque manière que ce soit une condamnation ou une peine en cours.
Répondant à cette nouvelle, le président Trump a tweeté mercredi matin que Newsom était "un défi aux électeurs" et que "les amis et les familles des VICTIMES toujours oubliées ne sont pas ravis, et moi non plus!"
La Californie n'a exécuté personne depuis plus de dix ans en raison de contestations judiciaires du protocole d'exécution de l'État. Toutefois, au moins 20 détenus seraient exécutés immédiatement si ces problèmes devaient être résolus. Newsom a déclaré qu'il craignait que cela n'arrive bientôt.
Newsom est un opposant de longue date à la peine de mort. Tout en faisant campagne pour une mesure visant à abroger la peine de mort en 2016, il a déclaré au comité éditorial de Modesto Bee qu'il "serait responsable de la volonté des électeurs" s'il était élu gouverneur.
"Je ne voudrais pas que mes opinions personnelles compromettent le droit du public de décider de l'endroit où il veut nous emmener" sur la peine de mort, a-t-il déclaré. Abeille -Sacramento
Le moratoire sur la peine de mort sera en vigueur pour la durée du mandat de Newsom en tant que gouverneur - tandis qu'un futur gouverneur pourrait décider de reprendre les exécutions.
RépondreSupprimerLa Californie est l’un des 31 États appliquant la peine de mort et suit les gouverneurs d’autres États qui ont imposé des moratoires similaires sur les exécutions.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/trump-slams-newsom-plan-halt-california-death-penalty-save-737-stone-cold-killers
Faut dire que c'était tous des mercenaires payés pour tuer !(?)
SupprimerLe gouvernement finlandais s'est effondré sous le poids des soins de santé socialisés
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 05:00
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Le gouvernement finlandais s’est effondré quelques semaines seulement avant les élections générales. Les nouvelles réformes socialistes et communistes ont échoué en raison de la hausse des coûts des soins de santé.
Les coûts des soins de santé, qui sont élevés en raison des gouvernements, ont entraîné l'effondrement du gouvernement finlandais. Le Premier ministre Juha Sipila et le reste du gouvernement ont démissionné après que la coalition gouvernementale ait échoué à faire adopter des réformes du parlement au gouvernement régional et aux services de santé du pays, a rapporté le Wall Street Journal.
La Finlande, comme la plupart des pays développés, est confrontée au vieillissement de sa population. Environ 26% de ses citoyens devraient être âgés de plus de 65 ans d'ici 2030, soit une augmentation de 5% par rapport à aujourd'hui. La pression sur le système médical socialisé est impossible à ignorer et ne peut être corrigée par une plus grande ingérence du gouvernement.
Et les problèmes avec le socialisme continuent, alors que l’argent est pris à certains et donné à d’autres, à terme, les preneurs seront plus nombreux que les décideurs.
Comme un nombre croissant de personnes vivent plus longtemps à la retraite, le coût des prestations de retraite et de santé peut augmenter. Ces augmentations de coûts sont financées par les impôts perçus auprès de la population en âge de travailler - qui représente un pourcentage de la population plus faible que dans les décennies précédentes. -BBC
La seule réforme qui pourrait éventuellement aider ces systèmes défaillants consiste à obliger le gouvernement à prendre du recul et à laisser la concurrence et le marché libre prospérer. Bien sûr, c’est la seule chose que les gouvernements ne peuvent ni ne veulent faire, car c’est perdre leur pouvoir et leur pouvoir sur la vie des gens.
Reuters rapporte que la flambée des coûts de traitement et la longévité accrue ont particulièrement affecté les pays nordiques. Ce n’est pas seulement la Finlande. La Suède et le Danemark sont également confrontés à des perspectives sombres pour leur socialisme.
"Les pays nordiques, où la protection sociale globale est la pierre angulaire du modèle social, ont été parmi les plus touchés", selon Reuters.
"Mais la réforme a été controversée et, en Finlande, les projets de réduction des coûts et d'amélioration de l'efficacité sont bloqués depuis des années."
Selon la Kaiser Family Foundation, 58% des Américains s'opposent à «Medicare for all» s'ils éliminaient les régimes d'assurance maladie privés et 60%, s'ils exigeaient des taxes plus élevées, selon un rapport du Washington Free Beacon. Les Américains vivent généralement d’un salaire à l’autre et souffrent déjà d’un système fiscal injuste et lourd. La médecine socialisée voudrait dire qu’une chose est sûre: plus d’argent vous sera volé pour vous le payer. Il ne s’agit pas de donner à tout le monde des soins de santé, il s’agit d’accroître le pouvoir et le contrôle des responsables gouvernementaux et des politiciens qui pensent avoir le droit de nous voler et de mener notre vie.
Quand est-ce suffisant ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-12/finlands-government-collapsed-under-weight-socialized-healthcare
La VRAIE raison est que les personnes soignées étaient... immigrées NON cotisantes ! Hahahaha !
SupprimerEt dépassaient laaaargement la population de phoques et de pingouins !
Les Millennials ont plus de mille milliards de dollars de dettes et la plupart d'entre eux ne possèdent même pas de maison
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 09:20
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Comparés à un moment similaire, les Millennials sont plus endettés que toute autre génération qui les a précédés. Et la principale raison pour laquelle ils sont si endettés peut vous surprendre.
Nous y arriverons dans une minute, mais d’abord, parlons de la montagne gigantesque de dettes accumulées par la génération du millénaire. Selon la Fed de New York, le montant total de la dette contractée par les Millennials a augmenté de 22% ces cinq dernières années…
Les nouvelles conclusions de la Réserve fédérale de New York révèlent que les millénaires ont maintenant accumulé plus de 1 billion de dollars de dettes.
Ce montant inquiétant de la dette, une augmentation de plus de 22% en seulement cinq ans, est plus que toute autre génération de l’histoire. Cette situation peut vous amener à vous demander comment les millénaires se sont retrouvés dans un tel état.
De nombreux jeunes adultes sont absolument endettés par la dette, mais la composition de cette dette est très différente de celle des générations précédentes à un moment similaire.
La dette hypothécaire et la dette liée aux cartes de crédit sont bien moins élevées chez les Millennials, mais le niveau de la dette liée aux prêts étudiants est beaucoup plus élevé…
Alors que les niveaux de dette accumulés par les millénaires dépassent ceux de la génération précédente, la génération X, à un moment similaire, le teint de la dette est très différent.
Selon un rapport publié en 2018 par la Réserve fédérale de Saint-Louis, la dette hypothécaire était réduite d'environ 15% pour la génération du millénaire et la dette contractée sur une carte de crédit parmi la génération du millénaire était environ les deux tiers de celle de la génération X.
Toutefois, la dette liée aux prêts étudiants était supérieure de 300%.
Au cours des 10 dernières années, le montant total de la dette liée aux prêts étudiants aux États-Unis a plus que doublé.
C’est un problème financier absolument énorme et il ne semble pas y avoir de solution facile. Certains politiciens de gauche se sont engagés à rendre l'éducation universitaire «gratuite» aux États-Unis, mais ils ne semblent jamais expliquer qui paiera pour cela.
Mais ce sur quoi tout le monde peut s’accorder, c’est que les niveaux d’endettement des étudiants sont totalement hors de contrôle. Les statistiques suivantes proviennent de Forbes…
Les dernières statistiques sur les emprunts d’étudiants pour 2019 montrent à quel point la crise de l’endettement des étudiants est devenue une grave crise pour les emprunteurs de tous âges et de tous âges. Aux États-Unis seulement, plus de 44 millions d’emprunteurs ont une dette d'emprunt étudiant de 1,5 billion de dollars. La dette liée aux prêts étudiants est maintenant la deuxième catégorie de dette de consommation la plus élevée - derrière la seule dette hypothécaire - et supérieure à celle des cartes de crédit et des prêts automobiles. Les emprunteurs de la promotion de 2017 doivent en moyenne 28 650 USD, selon l'Institute for College Access and Success.
RépondreSupprimerCe qui rend tout cela encore plus déprimant, c’est le fait que la qualité de «l’enseignement supérieur» aux États-Unis s’est détériorée au cours des dernières années. Pour plus d’informations à ce sujet, veuillez vous référer à mon article récent intitulé «50 titres de cours d’université qui prouvent que les universités américaines forment nos étudiants à devenir socialistes».
Nos collèges et universités ne préparent pas adéquatement nos jeunes à leur future carrière, mais ils leur imposent des obligations financières gigantesques qui en hanteront un grand nombre au cours des décennies à venir.
Nous avons un système profondément brisé et nous avons désespérément besoin d'une refonte complète de notre système d'enseignement supérieur.
En raison du fait que beaucoup d’entre eux sont submergés par des emprunts d’étudiants, le taux d’accession à la propriété des Millennials est bien inférieur au taux d’accession à la propriété des générations qui les ont précédés. Ce qui suit vient de CNBC…
Le taux d'accession à la propriété pour les moins de 35 ans n'était que de 36,5% au dernier trimestre de 2018, contre 61% pour les 35 à 44 ans et 70% pour les 45 à 54 ans, selon le recensement américain. Le taux d'accession à la propriété millénaire a effectivement chuté au quatrième trimestre par rapport au troisième trimestre, mais est resté inchangé par rapport à l'année précédente.
C'est l'une des principales raisons pour lesquelles «Housing Bubble 2» commence à éclater. La génération du millénaire achète des maisons en nombre insuffisant, et il semble que la situation pourrait être encore pire pour la génération Z.
Si vous êtes un jeune adulte, je vous encouragerais à limiter autant que possible votre exposition à la dette d'études, car la dette que vous accumulez pendant vos études peut avoir de très graves conséquences à long terme que vous pourriez même ne pas envisager maintenant.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-12/millennials-are-more-trillion-dollars-debt-and-most-them-dont-even-own-home
Les e-mails révèlent comment les enfants deviennent des pions de l'alarmisme climatique
RépondreSupprimer13 mars 2019
La genèse d’un shakedown: de nouveaux records exposent les marches des enfants en tant que composante à long terme de la campagne contentieuse
De Climate Litigation Watch
Les documents publics récemment obtenus révèlent que la récente vague de litiges «climatologiques» privés et d'enquêtes des procureurs généraux n'a pas été dévoilée à huis clos il y a sept ans lors d'une tristement célèbre réunion tenue en 2012 à La Jolla, en Californie. Il s’avère que les participants ont également appris très tôt que le théâtre de rue frénétique des marches d’enfants et les grèves des écoliers envahissent actuellement les rues, y compris cette semaine aux États-Unis.
La raison ? Ces manifestations font partie de la campagne de contentieux de l’industrie du climat, planifiée de longue date, notamment dans l’affaire Juliana c. États-Unis, la poursuite «Climate Kids» qui illustre de manière radicale l’activisme climatique extrême qui envahit les tribunaux.
Ce rassemblement de La Jolla, organisé par une coalition de groupes soutenus par la Fondation Rockefeller, a produit un plan pour ce qui est devenu une industrie du contentieux dédiée à l'obtention d'un règlement pour des centaines de milliards de dollars d'intérêts énergétiques. Elle prévoyait également d'imposer ce que nous appelons le "New Deal Vert" - par décision judiciaire. Ce plan incluait un appel à l’aide des AG militants. «Les procureurs généraux d’État peuvent également assigner des documents à comparaître, évoquant la possibilité qu’un seul procureur général sympathique réussisse à présenter des documents internes essentiels» dans le cadre du programme de contentieux des groupes. Nous savons que les AG militantes ont coopéré.
Vient maintenant Juliana, une affaire fédérale déposée à Eugene, en Oregon, qui visait à imposer aux tribunaux l’agenda du climat et qui faisait l’objet du segment «60 minutes» de CBS News. L'ordre du jour a été contrecarré par le processus démocratique. Ce processus démocratique incarne et est en grande partie protégé par notre séparation des pouvoirs que Juliana cherche à écarter.
Les archives de l'un des présentateurs de La Jolla, professeur de droit à l'Université de l'Oregon (à Eugene), montrent qu'après l'implosion du système de plafonnement et d'échange, les alarmistes du climat ont déploré que les «approches conventionnelles» leur aient échoué. Avec les électeurs et leurs représentants élus décevant à plusieurs reprises les activistes, même devant les campagnes médiatiques et les groupes de pression de l’industrie du climat représentant un milliard de dollars, les avocats avaient des projets. Ces plans comprenaient l'envoi d'enfants par vagues dans les rues.
Toute la stratégie de la perturbation civile et juridique que nous voyons, des procès, des marches et des grèves des écoliers a été exposée lors de cette audience à huis clos il y a sept ans.
Ces archives publiques produites quelques jours seulement après le segment promotionnel de 60 Minutes et quelques jours avant les débrayages nationaux pour les enfants sur le climat, affirment:
- la campagne en matière de litiges sur le climat était expressément fondée sur cet «échec des« approches conventionnelles », autrement dit notre système constitutionnel
RépondreSupprimer- il devait être «lié au mouvement des jeunes pour le climat (marches mondiales)»;
- il serait accompagné d'une stratégie de presse comprenant des documentaires mettant en scène des enfants;
- la réunion a été reconnue, mais la stratégie énoncée était «à ne pas faire connaître»;
- la stratégie visait à la fois une administration fédérale coopérative «Décrets de consentement (serait l'idéal)» - et «Amener les principaux acteurs du carbone à la table, alors quoi ?
Les villes ont alors demandé aux victimes de réclamer des dommages et intérêts s'élevant à plusieurs centaines de milliards de dollars dans le cadre d'un litige - régulièrement rejeté par les tribunaux - exigeant des industries ciblées qu'elles renflouent sous le gouvernement progressiste en faillite et financent les programmes souhaités. Comme dans l'affaire Julianacase, cela signifiait une demande d'imposition fédérale par les tribunaux - par décret, si les élections se déroulaient bien! - de ce qui est maintenant connu comme le Green New Deal dangereux mais absurde.
"Ensuite, ce qui" s'est avéré être une industrie du contentieux climatique, vouée à un shakedown. Et beaucoup d'enfants terrifiés et endoctrinés sautant de l'école pour jouer le rôle d'accessoires dans les campagnes politiques et légales.
- voir doc sur site -
Diapositive d'un animateur inconnu, conférence La Jolla 2012
Courriel et diapositives de la présentation de Mary Wood, professeure de droit de l'Oregon, conférence 2012 de La Jolla
- voir doc sur site :
https://wattsupwiththat.com/2019/03/13/emails-reveal-how-children-become-pawns-of-climate-alarmism/
SupprimerLa formation de 'Jeunesses hitleriennes' n'aurait pas fait mieux !
Les effets pervers de la politique de l’ « enfant unique » en Chine
RépondreSupprimerle 13 mars 2019
La politique de l’enfant unique mise en place en 1979 et assouplie en 2015 a profondément perturbé la démographie de la Chine. Il s’agissait de freiner la croissance démographique du pays ou du moins de la contrôler. La Chine, durant les années 1980 et 1990, développa très rapidement les conditions sanitaires et médicales car il s’agissait pour le gouvernement d’atteindre des standards équivalents à ceux des pays occidentaux. Dans le même temps l’afflux de main-d’oeuvre des campagnes vers les villes provoqué par la mécanisation de l’agriculture eut pour conséquence une prise de conscience des couples en âge de procréer des nouvelles techniques d’investigation du sexe des embryons in utero. Comme en Inde, pour une famille chinoise un enfant mâle a plus de chances de réussir dans la vie qu’une fille, parallèlement à la politique autoritaire de l’enfant unique par couple, se développèrent les avortements sélectifs.L’avortement était en effet toléré sinon encouragé par la loi dans le cadre de cette politique de l’enfant unique.
Et en moins de trois décennies arriva ce qui aurait pu être parfaitement prévu par les démographes : une pénurie de filles à marier. Il y a en effet depuis plus de 30 ans près de 120 naissances d’enfants de sexe masculin pour 100 naissances de filles et l’effet de ce déséquilibre va perdurer encore pendant au moins une génération voire plus. La modification de cette politique de l’enfant unique a été assouplie mais les effets de cette décision ne se concrétiseront que vers les années 2040 au plus tôt. D’ici là la population de la Chine va vieillir dangereusement. Fort heureusement la Chine profitera des avancées technologiques du Japon qui est déjà confronté au vieillissement critique de sa population et développe des robots d’assistance à domicile des vieillards.
Devant cette « pénurie » alarmante de femmes à marier la ville de Pékin a mis en place une sorte de banque de données qui concerne déjà plus d’un million et demi de femmes célibataires ou divorcées dont les âges s’étendent de 15 à 40 ans.
Cette banque comporte les moindres détails de ces personnes candidates potentielles au mariage (« BreedReady » en anglais) et pour qu’elles aient au moins deux enfants le gouvernement va prendre des mesures autoritaires quitte à les forcer à se marier dans ce but. Cette initiative gouvernementale aura-t-elle des effets ? On peut en douter dans la mesure où il existe en Chine une multitude de sites de rencontres, tous surveillées par le Parti d’un oeil bienveillant puisque le taux de fécondité en Chine est en chute libre et a atteint 0,8 enfant par femme en âge de procréer. La politique de l’enfant unique a définitivement déséquilibré le paysage démographique de la Chine et aucune initiative, y compris autoritaire, ne pourra juguler l’effondrement soudain et dévastateur de la population dans les années à venir.
Source partielle : The Guardian
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/03/13/les-effets-pervers-de-la-politique-de-l-enfant-unique-en-chine/
Tribune de Macron: «Il se retrouve tout seul pour son projet, il ne peut rien construire»
RépondreSupprimer17:57 13.03.2019
Maxime Perrotin
Un ennemi politique désigné qui applaudit, un allié politique qui assassine, la tribune européenne d'Emmanuel Macron n'a pas provoqué les réactions escomptées. L'initiative du locataire de l'Élysée a au moins le mérite de lancer le débat sur l'UE de demain, souhaité par certains partenaires européens et donc de faire tomber les masques. Analyse.
«Mon Dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m'en charge». Emmanuel Macron a dû méditer ce mot de Voltaire au vu des réactions suscitées par son dernier coup de communication politique.
«Réformistes» contre «nationalistes», tel était le tableau de la campagne des Européennes dressé par Emmanuel Macron, transposition à l'échelle communautaire d'une recette éprouvée en France, celle qui lui a permis d'accéder à l'Élysée. Lundi 4 mars, via une tribune publiée simultanément dans les principaux quotidiens des 28 États membres, le Président s'est ainsi adressé aux «citoyens d'Europe», les mettant notamment en garde contre la tentation du «repli» ou de la «résignation». Cependant, tout ne s'est peut-être pas passé comme prévu dans la distribution des rôles…
En effet, dès le lendemain, l'initiative du Président de la République a été saluée par Viktor Orban qui, avec le ministre de l'Intérieur italien Matteo Salvini, fait figure de principal opposant à Emmanuel Macron. Le Premier ministre hongrois affirme ainsi à Reuters qu'il était «grand temps de parler sérieusement de l'avenir de l'Europe», estimant que «cela pourrait marquer le début d'un débat européen sérieux».
Quelques jours plus tard, c'est au tour de la chef de file de l'Union chrétienne-démocrate (CDU), le parti d'Angela Merkel qu'Emmanuel Macron s'évertue à percevoir comme une indéfectible alliée dans sa vision de la construction européenne, de lui adresser une réponse… explosive.
Le catalogue des contre-propositions d'Annegret Kramp-Karrenbauer est en effet fourni: création d'un siège européen (au détriment de la France?) au Conseil de sécurité de l'ONU, suppression du siège à Strasbourg du Parlement européen ou encore acceptation d'un projet de porte-avions européen… sans oublier le «Non» ferme adressé aux propositions sociales qu'Emmanuel Macron a incluses dans sa tribune: «bouclier social» et salaire minimum européen. En somme, aux yeux de Berlin, après des décennies de concessions économiques de l'Allemagne, l'heure semble être venue pour la France de faire des concessions politiques, résume l'économiste Jean-Marc Daniel sur le plateau de BFM Business.
«Le premier enjeu est de préserver notre prospérité. Dans le marché unique européen comme ailleurs, il faut produire des richesses avant de les distribuer»,assène ainsi Annegret Kramp-Karrenbauer dans une tribune publiée le 10 mars dans l'hebdomadaire Welt am Sonntag. Surnommée «AKK», elle est pressentie pour remplacer Angela Merkel à la tête de la CDU, au pouvoir depuis plus de 15 ans. Dans la presse française, on tempère en soulignant qu'AKK n'est pas «membre du gouvernement et ne détient aucun mandat» et que par conséquent sa tribune dominicale n'a «évidemment pas le même statut» que celle du Président. Ceci tendrait pourtant à remettre la tribune d'Emmanuel Macron à sa juste place, celle d'un simple texte de campagne électorale et non d'une communication de chef d'État à chef d'État. Mais dès le lendemain, les propositions de celle qui est pressentie pour devenir la future chancelière ont été adoubées par Angela Merkel. «Je pense qu'il s'agit d'un très bon concept pour l'avenir», a-t-elle ainsi déclaré le 11 mars. Autant dire que l'on semble loin de la lune de miel du «couple» franco-allemand régulièrement invoqué par le locataire de l'Élysée.
RépondreSupprimer«C'est toujours la même fin de non-recevoir», s'exaspère François Cocq. élu local et ancien porte-parole de La France Insoumise (LFI), il est aussi cofondateur du Parti du Gauche et auteur de plusieurs essais politiques dont L'impératif démocratique (Éd. Éric Jamet, mars 2019). Ce dernier rappelle notamment les huit mois qu'avait pris Angela Merkel pour réagir au discours de la Sorbonne d'Emmanuel Macron. Une interview très mesurée de la chancelière, qui contrastait avec le discours exalté de son partenaire français.
«Cet attelage, finalement, les Allemands eux-mêmes n'en veulent pas. Pas plus que les vingt-six autres pays, puisque l'idée de l'Europe ce n'est pas l'idée de deux nations phares qui entraîneraient tous les autres derrière. C'est une mauvaise façon d'agir que met en place monsieur Macron et finalement il se retrouve bien seul sur son projet européen,» commente pour Sputnik François Cocq.
Le discours de la Sorbonne, un plaidoyer «enflammé» pour une Europe «souveraine, unie, démocratique»- relu par Angela Merkel- et au cours duquel Emmanuel Macron fustigeait déjà les idées «qui se présentent comme des solutions préférables», que sont celles du «nationalisme, identitarisme, protectionnisme, souverainisme de repli», visant tout particulièrement Victor Orban et ses alliés politiques en Europe.
Un manichéisme, sur lequel nous revenions fin août 2018, lorsque Jean-Yves le Drian vantait devant les ambassadeurs le couple franco-allemand, «moteur de la relance européenne» et adressait un avertissement, sans les nommer, aux pays qui ne respecteraient pas les «principes fondamentaux».
«Avec ce manichéisme, le Président fait courir à notre démocratie et à l'Europe un lourd danger», fustigeait le président des Républicains, Laurent Wauquiez, dans une tribune publiée le 9 mars, dénonçant une «volonté d'enfermer le débat européen dans un choix binaire». Le président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes souligne un manque d'actes concrets d'Emmanuel Macron depuis son discours de la Sorbonne, tout comme François Cocq, aux yeux duquel Emmanuel Macron mène sur la thématique européenne une «politique uniquement communicationnelle».
Pourtant, tout le monde ne se laisse pas prendre à cette communication manichéenne, souligne François Cocq: «on voit bien que certains sont un petit peu plus malins que cela», estime l'élu insoumis, au sujet de l'accueil positif réservé par Viktor Orban à la tribune du locataire de l'Élysée, alors que l'Allemagne lui adresse une réponse explosive. «Tel est pris celui qui croyait prendre», commente ainsi l'élu LFI, qui n'est pas vraiment surpris.
RépondreSupprimer«Il y a une certaine cohérence, déjà lorsqu'on accepte de voir que monsieur Macron, finalement, aujourd'hui est un illibéral au même titre que ceux auxquels il est confronté, notamment monsieur Orban.»
Le cofondateur du Parti de Gauche, pousse la comparaison entre le Premier ministre hongrois et le Président français, qui selon lui serait «lui aussi pour une forme de renforcement de l'État», du moins un État qui «se reconcentrerait uniquement sur ses fonctions régaliennes, laissant l'ensemble du champ économique aux marchés». Parallèlement, la critique de l'Allemagne vis-à-vis de la France n'est pas non plus une surprise pour l'élu LFI, «étant donné leur modèle de dérégulation total, où l'État lui-même, n'a plus aucun rôle» et ajoute
«Le parallèle va même plus loin puisque comme monsieur Orban, monsieur Macron fait feu de tout bois contre toutes les oppositions internes. Pour cela, tous les moyens pour organiser le désordre public sont bons pour ce gouvernement.»
Le parallèle s'arrête peut-être là, puisque les deux dirigeants divergent sur la question de la souveraineté. François Cocq regrette ainsi l'offensive d'Emmanuel Macron, menée au nom de la souveraineté européenne sur les souverainetés des États membres. Pour lui, «Emmanuel Macron est au milieu du gué»:
«Monsieur Macron est à la fois en échec avec les uns, avec les autres, il se retrouve tout seul pour son projet, il n'y a aucune cohérence, il ne peut rien construire sur ces bases-là sinon continuer à déconstruire l'existant et la souveraineté des différents peuples.»
«Il est l'adversaire résolu de tous les peuples européens et en même temps, il ne satisfait même pas l'Union européenne technocratique telle que nous la connaissons aujourd'hui», ajoute François Cocq. Pour l'auteur de L'impératif démocratique, Emmanuel Macron «est en échec sur toute la ligne».
«L'Union européenne ne veut pas de ce rôle politique, elle se contente très bien d'être une puissance de relégation pour laisser libre cours au marché et à la libre concurrence et elle n'a pas besoin de s'embarrasser d'un pouvoir politique puisqu'elle vise juste à laisser faire les choses et à être un imperium technocratique», développe-t-il.
Pour François Cocq, «il faut revenir à un modèle beaucoup plus simple […] celui de la souveraineté des peuples, de la souveraineté nationale, dans laquelle chacun peut décider de ce qui est bon pour soi et bon pour tous et donc de repartir sur les bases d'une création européenne avec une coopération qui respecte les choix démocratiques à tous les niveaux.»
«Le modèle de monsieur Macron n'est absolument pas celui-là,» conclut-il. Pire à ses yeux que d'être «en échec», c'est la démarche conflictuelle dans laquelle s'inscrit le Président français qui inquiète François Cocq:
«Notez que monsieur Macron est en guerre politique avec tout le monde: il est en guerre politique dans notre pays, puisqu'il est en guerre politique avec les Gilets jaunes, il est en guerre politique avec les corps intermédiaires, il est en guerre politique avec les cadres institutionnels, puisque c'était encore le cas avec le Sénat il y a quelques jours, mais il est en guerre politique, on l'a vu, avec la Hongrie, avec l'Italie, avec la Russie, aujourd'hui en confrontation affirmée avec l'Allemagne.
RépondreSupprimerCe n'est pas la place centrale, la place pour projeter les valeurs universalistes que sont celles de la République française. Monsieur Macron abaisse notre pays.»
https://fr.sputniknews.com/international/201903131040348698-Tribune-Macron-Europe-reactions-Orban/
«Un Grand débat sans débat, qu’est-ce que c’est ?»: Les Gilets jaunes contre-attaquent
RépondreSupprimer17:35 13.03.2019
Fabien Buzzanca
Alors que la fin du Grand débat national approche, des critiques s’élèvent concernant une organisation qui ne laisserait que peu de place aux échanges. Céline Crespin et son collectif de Gilets jaunes du Loir-et-Cher ont décidé de mener en parallèle leur propre travail de collecte d’idées auprès des Français. Elle s’est confiée à Sputnik France.
Le Grand débat national ne se passe pas aussi bien que prévu pour le gouvernement. Il y eut le lycéen affirmant que «tout est prévu à l'avance», les critiques sur l'omniprésence de Macron, sans parler des doutes des Français qui ne croient pas en la démarche. Dernier couac en date ? Les organisateurs éprouvent toutes les peines du monde à convaincre des citoyens de participer aux réunions finales. C'est le 15 mars que les débats seront clos au niveau local. Ceux qui désirent participer sur Internet ont jusqu'au 18 mars. Ensuite, 18 conférences régionales doivent précéder la grande synthèse d'avril, si les chambres d'hôtel et les prises en charge des déplacements arrivent à convaincre assez de Français.
D'après Jérôme Fourquet, directeur du Département opinion publique à l'IFOP, qui s'est confié au Parisien, «c'est une France urbaine, socialement favorisée et retraitée qui s'est exprimée, du moins sur Internet». Il ajoute que «la carte des non-contributeurs correspond à celle du non à Maastricht». Un électorat que l'on imagine peu favorable à Emmanuel Macron.
Céline Crespin ne fait pas partie des fans du Président. Cette Gilet jaune de Vendôme, dans le Loir-et-Cher, occupe un poste de technicienne supérieure à la sécurité sociale. Elle a tout de même souhaité prendre part au Grand débat. «Le gouvernement nous a ouvert une porte et il était important de saisir cette opportunité pour leur montrer qu'on voulait bien jouer le jeu et débattre pour plus de justice sociale et fiscale», explique-t-elle. Mais vite déçue par l'organisation, elle a décidé, avec des membres de son collectif de Gilets jaunes, de mettre en place un Grand débat alternatif. Elle s'est confiée à Sputnik France afin de nous raconter cette aventure qui a accouché de dizaines de propositions. Entretien.
Sputnik France: Comment s'est déroulée l'organisation du Grand débat dans votre commune ?
Céline Crespin: «à Vendôme, quatre dates, qui correspondaient aux grands thèmes [la transition écologique, la fiscalité, la démocratie et la citoyenneté, l'organisation de l'État et des services publics, ndlr], ont été fixées pour des réunions publiques. Lors de la première, des Gilets jaunes et d'autres citoyens étaient présents. On nous a expliqué que chacun avait trois minutes pour présenter sa liste de revendications. Le problème, c'est que nous ne pouvions pas discuter entre nous. Certains ont donc récité leur petite liste de courses et des sujets très intéressants émergeaient. Des individus voulaient réagir et surtout interagir. Débattre, quoi! Tenter de formuler une revendication qui aurait pu satisfaire le plus grand nombre. Mais l'animateur de la séance coupait court à la moindre velléité de discussion pour passer le micro à quelqu'un d'autre et ainsi de suite. Un Grand débat sans débat… Qu'est-ce que c'est ?»
Sputnik France: Vous avez donc décidé d'organiser votre propre collecte de doléances en parallèle…
RépondreSupprimerCéline Crespin: «En fin de séance, les organisateurs se regroupaient et choisissaient les doléances à faire remonter au préfet et au gouvernement. Ensuite, ils annonçaient leur choix. Étonnamment, la manière dont avaient été formulées certaines revendications ne correspondait plus au sens d'origine. Il a fallu reprendre pas mal de choses. Gilets jaunes ou pas, la plupart des participants ont été très déçus. On s'est rendu compte que le vrai débat se faisait à l'extérieur de la salle, sur le parking ! C'est à ce moment que les gens débattaient réellement. Et c'est là que nous est venue l'idée d'organiser notre propre Grand débat.»
Sputnik France: Comment vous êtes-vous organisés ?
Céline Crespin: «Les administrateurs de notre collectif de Gilets jaunes local ont créé une adresse mail et mis en place un cahier de doléances à notre quartier général si l'on peut dire (rires). Chaque personne, Gilet jaune ou non, pouvait librement faire ses propositions et en discuter. En quelques semaines, nous avons recueilli 275 doléances. Un mot que je n'apprécie guère, mais qui est employé par le gouvernement dans le cadre du Grand débat. Alors on s'aligne.»
Sputnik France: Qu'avez-vous fait de ces propositions ?
Céline Crespin: «Plusieurs personnes de notre collectif de Gilets jaunes, qui compte aussi bien des personnes sans emploi que d'anciens ingénieurs, des cadres, des agriculteurs, des fonctionnaires, des professeurs, des femmes au foyer, des retraités et même un sans domicile fixe, ont travaillé pendant quatre semaines en plusieurs groupes de travail. Ils ont analysé les doléances, les ont regroupées en grands thèmes et les ont comptabilisées. Il se trouve que ce sont les revendications liées aux institutions qui sont ressorties en premier, devant celles concernant l'économie et le pouvoir d'achat. L'écologie vient derrière. Après ce traitement qui se voulait objectif, neutre et sans la moindre déformation, nous avons apporté le résultat à un avocat de la ville de Blois qui soutient notre démarche. Il a veillé à ce que les revendications soient applicables aux niveaux juridique, administratif et sociétal. Nous voulions des propositions béton et surtout réalisables.»
Sputnik France: Quelles propositions avaient la cote ?
Céline Crespin: «Sans rentrer dans les détails qui sont consultables en ligne, plusieurs revendications ressortaient beaucoup, comme celles relatives à la révision des avantages et rémunérations des représentants politiques ou la hausse du SMIC. La révision du système d'imposition pour une équité et une justice fiscale était beaucoup demandée, comme le rétablissement d'un impôt sur la fortune modifié, qui taxerait davantage les détenteurs de capital que les patrimoines immobiliers familiaux. La question des retraites et son indexation sur l'inflation a également été mise en avant. J'invite les lecteurs à consulter l'ensemble des propositions qui concernant aussi des thèmes comme l'immigration, les médias ou la politique extérieure.»
Sputnik France: Que comptez-vous faire de tout ce travail ?
Céline Crespin: «Nous l'avons remis à la dernière séance publique du Grand débat afin que tout cela remonte au préfet. Nous souhaitons également le médiatiser. La presse locale est venue nous voir. Nous avons contacté des médias nationaux, mais pour le moment, pas de réponse. Nous voulions montrer que le mouvement des Gilets jaunes, qui est tourné en ridicule par le gouvernement et certains médias, n'est pas composé de "Jojos les Gilets jaunes sur leurs ronds-points". Nous voulions prouver notre sérieux et le travail citoyen que nous étions capables de réaliser.»
RépondreSupprimerSputnik France: Qu'attendez-vous des résultats du Grand débat national ?
Céline Crespin: «On sait pertinemment que nous n'obtiendrons rien. Des membres du gouvernement commencent à anticiper la déception. Nous sommes clairs dans ce que nous voulons. Maintenant, nous allons pouvoir comparer nos propositions avec ce qui sera mis en place par l'exécutif. Et on ne lâchera rien. C'est certain.»
https://fr.sputniknews.com/france/201903131040348383-gilets-jaunes-grand-debat-macron-france/
Pour moi, un chef d'Etat qui n'écoute pas le Peuple est un dictateur !
Supprimer(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
https://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html
«Guerre électrique»: Pékin propose son aide à Caracas
RépondreSupprimer16:48 13.03.2019
Pékin a proposé au Venezuela de lui apporter son aide face à la panne d’électricité, tout en espérant que Caracas pourrait «rétablir le courant et l’ordre social à leurs niveaux normaux».
Suite à la panne de courant géante survenue au Venezuela, la partie chinoise a proposé son aide au pays latino-américain confronté depuis des mois à une crise économique assortie de très fortes tensions politiques.
Selon la porte-parole de la diplomatie chinoise Lu Kang, Pékin est disposé à «fournir son assistance et son soutien technique pour redémarrer le système électrique» au Venezuela. La Chine espère en outre que Caracas pourra «rapidement identifier la cause» de la panne dramatique et «rétablir le courant et l’ordre social à leurs niveaux normaux».
Le Président Nicolas Maduro a imputé la panne à des «attaques» fomentées par les États-Unis, avant d’annoncer la mise en place d’une commission d’enquête pour élucider les circonstances de l’incident. Il a promis notamment de solliciter «l’aide de l’Onu, de la Chine, de la Russie, de l’Iran, de Cuba», ces pays ayant selon lui «une grande expérience des cyberattaques».
La panne, qui aurait provoqué des coupures d’électricité dans 21 des 23 États vénézuéliens, est survenue le 7 mars.
Mardi 12 mars, le gouvernement a affirmé que le courant était rétabli dans la plupart des régions du pays, à l’exception du grand ouest et de certains États du centre, tandis que M.Maduro a proclamé la «victoire» dans la «guerre électrique».
https://fr.sputniknews.com/international/201903131040346503-venezuela-panne-courant-chine/
SupprimerWhôôah ! La Solidarité entre États !
Grand débat: des Gilets jaunes pour la suppression des avantages des ex-Présidents
RépondreSupprimer20:09 13.03.2019
Les avantages dont les anciens Présidents de la République bénéficient après leur retraite ont été en partie réduits par François Hollande en 2016. Le sujet refait surface aujourd'hui, dans le cadre de la crise des Gilets jaunes qui semblent décidés à continuer dans cette droite ligne.
Le grand débat engagé dans le contexte du mouvement de protestation, organisé initialement pour exiger l'annulation de la taxe carbone, soulève actuellement de nombreuses questions, notamment celle du fonctionnement des institutions. Pour élargir le cadre du débat, les Gilets jaunes ont lancé leur propre plateforme, le-vrai-debat.fr., où ils examinent l'idée de mettre fin aux privilèges accordés aux anciens chefs d'État.
La Tribune indiquait dans un article paru dès octobre 2016 que les anciens Présidents coûtaient à la République plus de 10 millions d'euros par an. Selon une recherche réalisée par l'ancien député socialiste René Dosière, «Valéry Giscard d'Estaing reste le plus coûteux: 3,9 millions d'euros, suivi de Nicolas Sarkozy, 3,3 millions d'euros. Jacques Chirac est l'ancien Président qui coûte le moins, 2,4 millions».
Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande ont droit à «des locaux meublés et équipés, dont le loyer, les charges et les frais généraux sont pris en charge par l'État», précise pour sa part le site Legifrance.
C'est François Hollande qui a décidé de revenir sur la question. Un décret réduisant certains privilèges a été inscrit au Journal officiel en octobre 2016.
«Pendant les cinq années qui suivent la cessation de leurs fonctions, il est mis à disposition des anciens Présidents de la République sept collaborateurs permanents […] ainsi que deux agents de service, appartenant à la fonction publique ou rémunérés par l'État sur contrat […] Au-delà des cinq années qui suivent la cessation de leurs fonctions, il est mis à disposition des anciens Présidents de la République trois collaborateurs permanents […] ainsi qu'un agent de service», selon le document.
Le Monde avait alors précisé que l'appartement de fonction meublé était conservé, mais que seulement deux personnes y seraient affectées. Plus de voiture de fonction avec les deux chauffeurs ni de voyages gratuits en première. Les «frais de réception et de déplacement» ne seront pris en charge par l'État que lors d'activités spécifiques à leurs fonctions d'anciens chefs d'État.
Le 15 mars, les débats seront clos au niveau local. Ceux qui désirent participer sur Internet ont jusqu'au 18 mars pour le faire. Ensuite, 18 conférences régionales doivent précéder la grande synthèse d'avril. Les «garants» du débat ont déploré ce mardi les interventions répétées d'Emmanuel Macron et des membres du gouvernement dans la consultation, qui ont, selon eux, pu renforcer la méfiance des Français.
https://fr.sputniknews.com/france/201903131040351056-france-grand-debat-anciens-presidents-avantages/
Supprimer"C'est pas vous qui payez, c'est l'État !"
Hahahaha !
À propos de ce faux sondage sur le New Deal vert ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 11:45
Écrit par Phillip Magness via l'Institut américain de recherche économique,
Plus de 80% des électeurs américains soutiennent le Green New Deal (GND), ou plutôt déclarent que ses partisans citent un sondage récent mené par un groupe de sondeurs universitaires. En outre, cette approbation publique est supposée être bipartite, avec 92% des démocrates et 64% des républicains indiquant qu'ils soutiendraient fortement ou plutôt le paquet d'extrême gauche visant à remodeler l'ensemble de l'économie américaine autour de «l'énergie verte» au cours de la prochaine décennie.
Une histoire très différente se cache sous la surface de ces statistiques impressionnantes. Bien que l’enquête ait été menée par une équipe de professeurs de l’Université George Mason en Virginie et de l’Université Yale au Connecticut, il s’agissait essentiellement d’un sondage «push» conçu pour biaiser les répondants en faveur de la proposition.
L’astuce derrière le résultat peut être vue dans le libellé de la question. Plutôt que d’interroger directement les électeurs sur le GND, les enquêteurs leur ont tout d’abord présenté un synopsis élogieux d’une longueur de paragraphe qui vantait les prétentions fantastiques de la proposition:
Certains membres du Congrès proposent un «New Deal vert» pour les États-Unis. Ils disent qu'un Green New Deal créera des emplois et renforcera l’économie américaine en accélérant la transition des combustibles fossiles aux énergies propres et renouvelables. Le Deal générerait 100% de l’électricité du pays à partir de sources propres et renouvelables au cours des 10 prochaines années; moderniser le réseau énergétique, les bâtiments et les infrastructures de transport du pays; augmenter l'efficacité énergétique; investir dans la recherche et le développement de technologies vertes; et dispenser une formation aux emplois de la nouvelle économie verte.
Notez que ce paragraphe amène délibérément les répondants à une vision favorable du programme.
Il exalte les promesses de GND d'une conversion «d'énergie verte» sur une période de 10 ans scientifiquement impossible, comme si c'était une donnée. Il promet une abondance d'emplois et une croissance économique sans révéler que ces caractéristiques dépendent de l'adoption simultanée d'un programme fédéral sans précédent de garantie des emplois qui placerait efficacement de larges pans de l'économie sous la gestion directe du gouvernement fédéral.
Cela n'indique nullement que le même programme de garantie de l'emploi aboutirait probablement à un désastre bureaucratique lourd de planification économique centralisée. Il ne fait aucune mention des appels extrémistes de la proposition visant à éliminer progressivement les transports aériens en faveur des trains, ou à soumettre chaque bâtiment en Amérique à une rénovation et à une reconstruction coûteuses afin de se conformer aux nouvelles règles en matière d’efficacité énergétique. Et cela ne dit pas un mot sur le prix extrême de l'ensemble du paquet, qui dépasse certainement les dizaines de milliards de dollars et peut atteindre 93 milliards de dollars au bout du compte.
Au lieu de cela, tous les pièges du GND sont commodément écartés, tandis que tous les avantages promis, aussi irréalistes que coûteux, sont présentés aux répondants de l’enquête comme s’ils étaient des vérités neutres et factuelles.
RépondreSupprimerCette combinaison d'omissions intentionnelles et de questions suggestives a exploité l'ignorance du public pour produire un résultat faussé. Comme une proposition relativement nouvelle, les détails du GND sont encore inconnus de la grande majorité des Américains. Les sondeurs ont confirmé cette conclusion dans une question distincte montrant que 83% des répondants ne connaissaient «rien du tout» des détails du programme. Après leur avoir fourni un résumé trop rose et biaisé de ces détails, ils ont sans surprise trouvé de grandes majorités favorables.
Les sondages d’opinion facturés de ce type sont un sale tour fréquemment rencontré dans les campagnes politiques partisanes, dans lesquelles les entreprises de marketing associées à un certain candidat ou à une politique tentent de créer l’illusion d’un soutien public (ou d’hostilité envers le candidat de la partie adverse) en posant des questions d’enquêtes délibérément chargées. puis en rapportant les résultats comme s’ils contenaient une mesure exacte de l’opinion publique. Longtemps controversées, ces tactiques violent les pratiques standard en matière de conception d’enquêtes et de construction de questions.
Malheureusement, les enquêteurs dans ce cas ne sont pas des consultants de campagne politique, mais des professeurs d’université dans des instituts de recherche spécialisés dans la «communication sur les changements climatiques». Compte tenu de la façon dont ils ont biaisé les résultats de leurs sondages en envoyant des questions biaisées et chargées, il est raisonnable de demander si leurs résultats de recherche ont franchi la ligne éthique séparant l’érudition du plaidoyer à motivation politique.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/about-fake-poll-green-new-deal
Tant que tout le monde dort, les tribunaux abolissent toute application de l'immigration
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 23:45
Écrit par Daniel Horwitz via ConservativeReview.com,
Le Congrès ne pourrait jamais se permettre de créer des droits constitutionnels pour les étrangers en situation irrégulière, mais un tribunal inférieur l'a fait jeudi. Et là où le Congrès subirait de lourdes représailles lors de la prochaine élection, les juges sans visage ne ressentiront jamais la chaleur.
Les conservateurs craignent que les démocrates extrémistes puissent réellement abolir ICE et toute application de l'immigration, mais les juridictions inférieures abolissent déjà systématiquement l'autorité de l'ICE, annulant les lois en matière d'immigration, violant la séparation des pouvoirs et augmentant constamment la vague de demandeurs d'asile factices qu'ils ont créés autres décisions radicales. La dernière décision du neuvième circuit montre que si les républicains et le président ne s'opposent pas à ces juges radicaux et ne délégitiment pas leurs décisions, les démocrates obtiendront tout ce dont ils ont besoin sans faire face à une réaction électorale ni à la nécessité de remporter des élections.
Il est vraiment difficile d’exagérer les effets extrêmement néfastes de la décision rendue jeudi dans le neuvième circuit. Pour la première fois de notre histoire, les tribunaux ont fabriqué un droit constitutionnel pour les personnes à qui l'asile est refusé de faire appel devant les tribunaux fédéraux pour quelque raison que ce soit.
Voici le fond.
Des centaines de milliers de migrants inondent notre frontière, réclamant la formule de «peur crédible» de la persécution. Ils peuvent rester indéfiniment en ignorant leurs dates d'audience devant le tribunal de l'immigration. En raison de la fusion de plusieurs décisions judiciaires rendues par des activistes, principalement selon ce circuit, environ 90% des demandes de crainte crédibles sont approuvées par des agents d’asile et les demandeurs protégés de l’expulsion, même si le statut d’asile est finalement rejeté presque à chaque fois par un juge de l’immigration. Malheureusement, à ce stade, il est trop tard pour le peuple américain, qui est aux prises avec la grande majorité de ces demandeurs qui restent indéfiniment dans le pays. Pourtant, plutôt que de mettre fin à cette incitation factice, le neuvième circuit a imposé à un camion le respect du droit de l'immigration en affirmant qu'il existe désormais un droit constitutionnel pour même les rares personnes à qui le statut de peur crédible initial a été refusé et qui sont placées dans une procédure d'expulsion pour faire appel de leurs refus, à un juge administratif de l'immigration, mais à un juge fédéral de l'article III pour une raison quelconque.
Dans des affaires antérieures, les tribunaux ont simplement tordu les lois et en ont faussé le sens ordinaire. Dans ce cas, pour la première fois de son histoire et contrairement à une décision rendue par le troisième circuit en 2016, le neuvième circuit a statué que la loi sur l'immigration qui exclut la compétence des tribunaux fédéraux pour connaître de tels appels est inconstitutionnelle au regard de l'exigence constitutionnelle d'habeas corpus, donnant ainsi à 7,8 milliards de personnes dans le monde entier un accès en habeas corpus à nos tribunaux. Cela permettra à de nombreux étrangers clandestins, y compris les nouveaux venus d'entrer maintenant, de rester indéfiniment pendant qu'ils se revendiquent. L’ACLU, qui a bien sûr mené cette action en justice au nom d’un migrant sri-lankais à qui l’asile a été refusé, n’a pas rigolé en proclamant: «L’importance historique et pratique de cette décision ne peut pas être surestimée».
C’est l’une des nombreuses violations récentes de la doctrine de la souveraineté, connue sous le nom de «doctrine du pouvoir plénier». Ce principe de longue date dans les tribunaux est que, même si les étrangers jouissent du droit de procédure régulière contre les sanctions pénales, ils n’ont pas le droit de poursuivre en justice les expulsions, une simple extension de la souveraineté, autre que le processus défini par le Congrès. Ce principe «est devenu à peu près aussi fermement ancré dans les tissus législatifs et judiciaires de notre corps politique que n’importe quel aspect de notre gouvernement», pas «simplement» par «une page de l’histoire… mais tout un volume» (Galvan v. Press). Le concept est «inhérent à la souveraineté», conforme aux «anciens principes» du droit international et «doit être exercé exclusivement par les branches politiques du gouvernement» (Kleindienst v. Mandel).
RépondreSupprimerCe qui est tellement scandaleux dans cette affaire, c'est que le Congrès a explicitement dépouillé les tribunaux de toute juridiction pour connaître de telles demandes. La raison pour laquelle le juge de district, qui était une personne nommée par Obama, a même refusé d'entendre l'affaire, c'est parce que 8 États-Unis d'Amérique L'article1252 (e) (2) interdit aux tribunaux fédéraux (à ne pas confondre avec les tribunaux administratifs du MJ) d'entendre les demandes d'habeas corpus contre le renvoi accéléré de ceux qui se voient refuser la demande de peur crédible à moins qu'ils ne prétendent bien sûr être citoyens ou non. un résident permanent légal. Wallace Tashima, Margaret McKeown et Richard Paez, les trois membres de ce groupe du neuvième circuit nommés par Clinton, ont déclaré pour la première fois que cette disposition était inconstitutionnelle et que le tribunal de district devait connaître de l'affaire.
Le tribunal a utilisé la décision Boumediene c. Bush, qui créait un droit d'habeas corpus pour les combattants ennemis retenus à Guantanamo Bay, comme fondement de sa décision. Cette décision en elle-même était une violation flagrante de la Constitution, une décision que Scalia prédit avec colère: «La nation vivra au regret». Cependant, la distinction importante est que Boumediene est un cas de détention indéterminée, alors renforçons notre souveraineté et nous débarrassons de la personne qui peut vivre librement où elle veut. L’application de l’habeas corpus à la déportation est douteuse, même selon la norme Boumediene.
Maintenant que cette idée révolutionnaire est divisée en deux circuits, les observateurs des tribunaux de toutes les parties prédisent que la Cour suprême se chargera de l'affaire. Alors que les conservateurs sont assez confiants que cela sera ajouté à la liste interminable de renversements du neuvième circuit par SCOTUS (bien que je sois préoccupé par Gorsuch dans ce cas), ils doivent prendre en compte les facteurs créant une urgence avec la souveraineté et les tribunaux inférieurs:
Nous avons vu maintes et maintes fois comment les juridictions inférieures créent un élan juridique, politique et politique pour la création de nouveaux droits. Si elles ne sont pas écrasées dans l'œuf et délégitimées immédiatement, elles finissent par se développer et sont finalement codifiées, même si elles ont été inversées au départ par la Cour suprême. Cela s'est produit avec presque tous les droits fantômes créés par les tribunaux et a déjà commencé avec le droit de l'immigration. Les tribunaux sont en train de faire avec l'immigration ce qu'ils ont fait avec l'avortement et le mariage homosexuel, même s'il a fallu des années à la gauche pour gagner. À l'exception de Clarence Thomas, tous les juges succombent sous la pression à des degrés divers et acceptent finalement une grande partie de la doctrine anti-souveraineté mise en place par les tribunaux inférieurs.
De nombreux conservateurs suggèrent que nous “corrigions” nos lois sur l'immigration afin de mettre un terme à la fraude à l'asile, entre autres problèmes à la frontière. Ce que l’affaire démontre, c’est que les tribunaux sont si radicaux qu’ils ne déforment pas simplement le libellé des lois, mais les invalident carrément en créant de nouveaux droits constitutionnels d’immigrer. Ils invalident même impudemment les lois qui empêchent les tribunaux d’entendre des affaires, comme nous l’avons vu dans l’affaire d’amnistie TPS. Rester à l'écart des étrangers et les déporter, ainsi que définir la compétence des tribunaux, sont deux des pouvoirs les plus incontestables et les plus catégoriques du Congrès, et ils sont soutenus par la jurisprudence de notre fondation. Il ne s'agit plus d'une loi en particulier. Il n'y a pas de loi à réparer. Rappelez-vous que nous avions déjà fixé nos lois sur l'immigration en 1996. Beaucoup de choses que nous voulions faire, y compris expulser les tribunaux de ces affaires, l'avaient déjà été en 1996, y compris la loi en cause ici. Cette loi a été adoptée au Sénat à l'unanimité! Passer plus de lois tout en continuant à légitimer la suprématie des tribunaux inférieurs n’aidera pas. Si nous continuons à convenir que les juridictions inférieures régissent l'immigration, aucune modification du Congrès ne pourrait être utile, car les tribunaux déclareront les modifications anticonstitutionnelles. C’est la raison pour laquelle il est temps de prendre le taureau par les cornes et de commencer par attaquer la notion de compétence judiciaire. L'administration Trump doit commencer à se défendre contre les tribunaux.
RépondreSupprimerIl y a quelque chose de beaucoup plus grand qui se passe ici. Mettant de côté certains domaines plus restreints du droit de l'immigration, la profession juridique a désormais déclenché un objectif de longue date consistant à «appliquer les normes constitutionnelles» aux ressortissants étrangers, non seulement en termes de procédures pénales, mais dans le contexte. des demandes d'immigration eux-mêmes.
Le juge Robert Jackson, grand défenseur de la justice et dissident dans l’affaire d’internement au Japon, l’a décrit ainsi: «La procédure régulière n'investit aucun étranger ayant le droit d'entrer aux États-Unis, ni ne confère à ceux qui ont été admis le droit de rester contre la volonté nationale ». La procédure prévue par le Congrès en matière d'immigration est régie par une procédure régulière pour les étrangers. Comme la Cour l'a déclaré dans Lem Moon Sing c. États-Unis, «les décisions des responsables exécutifs ou administratifs, dans le cadre des pouvoirs expressément conférées par le Congrès, sont respectées dans les règles de procédure». Les libéraux tentent de contester ce principe depuis des décennies en veillant à ce que les étrangers que nous expulsons avec succès rapidement (de plus en plus peu nombreux) peuvent rester ici indéfiniment et lier nos tribunaux à des poursuites judiciaires. Si nous permettons à ce jeu de continuer, le flux à notre frontière fera ressembler ce que l’Europe a à faire à un jeu d’enfant.
Chaque semaine, nous cédons un autre élément de notre souveraineté à des tribunaux non élus, qui violent en réalité un précédent de la Cour suprême. Le mouvement conservateur doit pousser l'administration à se lever et à mettre la Cour suprême en demeure de défendre ses précédents et doctrines et que, s'il ne parvient pas à maîtriser ses propres tribunaux très inférieurs, l'administration ne considérera certainement pas ces décisions comme supérieures à nos propres lois. Trump n'a pas d'autre choix.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/while-everyone-sleeps-courts-are-abolishing-all-immigration-enforcement
SupprimerLa dictature de la république se renforce encore et encore !
Une étude montre que les migrants utilisent près de deux fois les avantages sociaux des Américains nés dans le pays
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 22:25
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Une nouvelle recherche a révélé que les non-citoyens étrangers utilisent près de deux fois plus de prestations que les Américains nés dans le pays. Les étrangers légaux et illégaux entrent dans la catégorie des étrangers qui bénéficient du système de protection sociale.
Selon un rapport de Breitbart, dans une étude publiée récemment par le Center for Immigration Studies (CIS), des analystes ont découvert qu'environ 63% des ménages non-citoyens, ceux qui vivent légalement et illégalement aux États-Unis, utilisent une forme quelconque de protection sociale tout en seuls environ 35% des ménages américains nés dans le pays bénéficient de l'aide sociale.
La Californie et le Texas ont l'immigration la plus expansive dépendante de l'aide sociale. Par exemple, en Californie, plus de 7 ménages non-citoyens sur 10 utilisent au moins une forme de protection sociale, contre seulement 35% des ménages américains nés dans le pays qui y ont recours.
Au Texas, près de 70% des ménages non-citoyens ont recours à l'aide sociale. Comme en Californie, seuls 35% des ménages américains nés dans le pays bénéficient de l'aide sociale.-Breitbart
Dans une interview exclusive avec Breitbart News plus tôt cette semaine, le président Donald Trump a déclaré qu'il souhaitait mettre fin à toute immigration légale dépendante de l'aide sociale, ce qui imposerait des coûts aux contribuables américains.
«Je n’aime pas l’idée que les gens entrent et sortent de l’aide sociale avant 50 ans, et c’est ce qu’ils veulent pouvoir faire - et ce n’est pas bon», a déclaré Trump.
Et c'est un fardeau évident. Pour ce que l'on reçoit sans travailler pour, un autre doit travailler sans gagner. C’est une pratique vicieuse et immorale de voler de l’argent à certains pour le donner à d’autres.
L’administration Trump envisage cette année une nouvelle réglementation qui limiterait la capacité des immigrants à vivre des producteurs (contribuables). Il interdirait effectivement aux immigrants légaux de s’installer définitivement aux États-Unis s’ils constituaient un fardeau pour les contribuables américains. Ce serait un gain net pour ceux qui se font voler («contribuables»).
Les contrôles d'immigration légale suggérés par le gouvernement équivaudraient à une réduction d'impôt annuelle de 57,4 milliards de dollars - le montant que les contribuables dépensent chaque année pour payer les coûts de protection sociale, de criminalité et de scolarisation de l'importation massive du pays de 1,5 million de nouveaux immigrés légaux peu qualifiés .
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/study-shows-migrants-use-almost-twice-welfare-benefits-native-born-americans
Ce n'est pas pour rien si la Finlande a mis la clé sous la porte ! (en soins de santé pour l'immigration).
SupprimerLa CIA conspire avec ISIS, transformant les camps de réfugiés syriens en foyers chauffés par ISIS
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 21:45
La CIA conspire avec les commandants de l'Etat islamique dans le nord-est de la Syrie en leur fournissant de faux documents puis en les transférant en Irak, selon des informations parues dans des médias pro-gouvernementaux turcs.
Environ 2 000 membres de l'Etat islamique ont été interrogés dans les régions de Kesra, Buseira, Al-Omar et Suwayr dans la province de Deir Ezzor, et au moins 140 d'entre eux ont ensuite reçu de faux documents. Certains des terroristes interrogés ont ensuite été transférés dans les camps d'al-Hol, Hasakah et Rukban, contrôlés par des forces soutenues par les États-Unis. La CIA aurait également créé une installation spéciale près d'Abou Khashab dans le même but.
Des services spéciaux israéliens, français et britanniques seraient impliqués.
Une observation intéressante est que les médias du pays, qui au cours des années de guerre précédentes, conspiraient avec ISIS pour permettre à ses recrues étrangères d'entrer en Syrie et achetaient de l'huile de contrebande aux terroristes, sont désormais l'un des exposants les plus actifs du liens présumés des États-Unis avec des éléments d'ISIS.
Les médias turcs soulèvent souvent un autre problème: la mauvaise situation humanitaire dans les camps de réfugiés contrôlés par les forces soutenues par les États-Unis. Ces rapports viennent au cours d'autres révélations. Selon l'International Rescue Committee, une centaine de personnes, principalement des enfants, sont mortes récemment dans des zones de combat ou dans le camp d'al-Hol contrôlé par les Forces démocratiques syriennes soutenues par les États-Unis.
À son tour, le ministère russe de la Défense a publié une série d'images satellitaires révélant les conditions horribles dans le camp d'al-Rukban. Les images publiées le 12 mars montrent au moins 670 tombes, dont plusieurs fraîches, à proximité de la zone de vie du camp. Les tentes et les constructions légères utilisées pour installer les réfugiés sont également situées à proximité de grands dépôts de déchets.
Dans une déclaration commune des comités de coordination russes et syriens pour le rapatriement des réfugiés syriens, les réfugiés d'Al Rukban souffrent d'un manque d'eau, de nourriture, de médicaments et de vêtements chauds, ce qui est particulièrement important en hiver. Selon le communiqué, des membres du groupe armé soutenu par les Etats-Unis, Maghawir al-Thawra, ont perturbé les livraisons d'eau dans le camp, en utilisant cela comme monnaie d'échange pour le chantage et le profit.
Les tensions augmentent encore une fois entre la Syrie et Israël. Plus tôt en mars, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Faisal Mekdad, avait adressé une lettre officielle à Kristin Lund, chef de l’Organisme des Nations Unies pour la surveillance de la trêve (ONUST), selon laquelle Damas "n’hésiterait pas à affronter Israël" si ce dernier refuse de se retirer du Golan.
Les médias et les responsables israéliens ont répondu par une nouvelle série d'allégations selon lesquelles le Hezbollah s'implanterait dans le sud de la Syrie, justifiant ainsi une militarisation accrue du plateau du Golan.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/cia-conspiring-isis-turning-syrian-refugee-camps-isis-hotbeds
Chers étudiants, c'est correct de dire «il» ou «elle» encore
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 13/03/2019 - 17:26
Écrit par Daniel Cayne via The College Fix,
Les pronoms traditionnels vont bien à nouveau ...
Il y a quelques années, le Haverford College s'est donné pour mission de purger son campus de la langue sexuée.
L'école «a adopté l'utilisation de pronoms neutres, faisant référence à des membres non spécifiés de la communauté, dans le texte de l'Ordre et dans les politiques officielles» et a également supprimé le terme «étudiant de première année» en faveur de «première année». signaler toute langue de genre rencontrée dans les documents officiels du campus afin de pouvoir la "mettre à jour".
Bien. La tendance dialectique dans la vie américaine depuis un certain temps a été de s’éloigner de toute sorte de langage sexué; là où «il» servait de pronom générique parfaitement acceptable, «ils» a pris la place de la confusion.
Au cours des dernières années, des formes encore plus étranges sont apparues: où auparavant nous parlions de «femmes enceintes» (ou, nous préservent les saints, de «mères»), il est maintenant de plus en plus à la mode de dire «personne enceinte» homme enceinte caché quelque part dans le nom concret. Dans un proche avenir, nous pouvons probablement nous attendre à manger des personwiches.
Voici un fait simple: c’est bien de dire «il» et «elle».
Utiliser «il» comme nom générique convient parfaitement; très peu de gens seront offensés par cela. Si l'on a affaire à une population particulièrement sensible, il est parfaitement acceptable d'utiliser «elle» comme remplaçant; «Il ou elle» est également acceptable, bien que légèrement plus lourd. Supposer qu’un homme se tenant devant vous est un homme et qu’une femme une femme convient également. Il n’y a rien de subversif à ce sujet. c’est tout à fait normal et acceptable. Ne t'inquiète pas pour ça.
L'idéologie de genre, en particulier sur le campus, a beaucoup endommagé les conventions et les habitudes habituelles du quotidien qui facilitaient jadis un discours fluide et productif. Il est très bête que nous ayons maintenant à craindre que le fait de dire «il» ou «elle» puisse offenser gravement quelqu'un. Cette manie passera très probablement très vite; entre-temps, il vaut mieux ne pas y jouer. Dites simplement «il» si vous voulez et continuez votre vie.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-13/dear-students-its-okay-say-he-or-she-again
FRANCE - À POIL POUR PROTESTER CONTRE LES TAXES QUI LES ÉTOUFFENT
RépondreSupprimerLes propriétaires d'un café-tabac à Outreau (F) s'affichent nus sur la façade de leur établissement pour pousser un cri de colère.
L'action de ces commerçants a fait du bruit et pourrait porter ses fruits.
MICHEL PRALONG
13.03.2019
Difficile de les rater. Les propriétaires du Café de la Place, à Outreau, dans le Pas-de-Calais, ont vu les choses en grand pour pousser leur coup de gueule. Une affiche de deux mètres sur trois, placardées sur la façade de leur commerce. Eux y sont nus, masquant leur intimité par des panneaux: «Tu m'as vue... quand t'abuses» pour elle. «À découvert», pour lui.
Ces commerçants étouffés par les charges, comme ils le mentionnent sur l'affiche, précisent au «Parisien» qu'il y a dans leur action «une dose d’humour mais c’est un vrai coup de colère». Le couple a repris ce café-tabac il y a 8 ans et, pour s'en sortir, fait café, presse, PMU, des dégustations de vins et même des concerts.
Mais il dit pourtant peiner à payer les taxes qui l'accablent. «On est ouverts au minimum 75 heures par semaine, 363 jours par an et ma femme a dû prendre un travail à l’extérieur en complément. Je ne vois vraiment pas comment on peut faire plus. On en a assez de baisser notre pantalon, comme c’est noté sur notre affiche», précise-t-il au journal.
Participez au Grand Débat !
Sur leur page Facebook, les propriétaires du Café de la Place s'en prennent aux décideurs politiques, «restés sourds à la plupart de nos sollicitations, courriers ou courriels... et quand vous avez daigné nous accorder quelques instants de votre «précieux» temps, vous nous avez au mieux écouté sans nous entendre, au pire conseillé de participer au Grand Débat National...»
Ayant reçu de nombreux témoignages de soutien, l'action du couple pourrait même parvenir à faire bouger les choses car, selon «Le Parisien», plusieurs personnalités se sont manifestées et d'autres commerçants ont sollicité les patrons du Café de la Place pour faire une photo avec eux. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/faits-divers/poil-protester-taxes-etouffent/story/18286691