- ENTREE de SECOURS -



mercredi 13 mars 2019

3 Mars 2019 - Tornade à Ellerslie & Waverly Hall en Géorgie



Aux USA, une tornade détruit un village sauf une maison (vidéo) 


16:08 13.03.2019


La tornade dévastatrice qui s'est abattue le 3 mars sur la ville de Waverly Hall, dans l'État américain de Géorgie, a presque tout détruit sur son passage, mais il semble qu'un ange gardien ait veillé sur cette maison que le tourbillon a épargnée.

Les conséquences de la tornade qui a fait des ravages dimanche 3 mars à Waverly Hall, dans le comté de Harris en Géorgie, États-Unis, ont été filmées à l'aide d'un drone par Matt Gillespie, habitant de la localité voisine d'Ellerslie.

À sa grande surprise, ce dernier s'est rendu compte que l'une des maisons qui s'était retrouvée sur le chemin de la tornade était restée, à en juger d'après les images, quasi intacte, bien que des centaines d'arbres aient été abattus tout autour.

D'après la chaîne The Weather Channel, lorsque le tourbillon est arrivé à Ellerslie et Waverly Hall, il avait atteint la force EF2, avec des vents d'une vitesse allant de 178 à 217 km/h, ce qui, selon l'échelle des tornades, peut souffler des toits sur des maisons solidement bâties.

La tornade n'a heureusement pas fait de blessés.

Au début, le phénomène avait été classé dans la catégorie force EF3, mais par la suite il a été rehaussé en EF4, la vitesse du vent ayant atteint une pointe de 274 km/h.

23 personnes ont été tuées et 63 autres blessées par cette tornade dans l'Alabama.

14 commentaires:

  1. L’endroit le plus sec des USA s’est soudainement transformé en énorme lac (images)


    14:53 13.03.2019


    Suite à la forte tempête qui s’est abattue la semaine dernière sur la vallée de la Mort, en Californie, un lac gigantesque de 16 kilomètres de long a surgi dans la région connue comme la plus sèche d’Amérique du Nord, a annoncé Live Science. Les images prises par un photographe américain révèlent une face inhabituelle du désert: inondée.
    Un lac de 16 kilomètres de long s'est brusquement formé dans l'un des endroits les plus chauds de la Terre, à savoir dans le parc national de la vallée de la Mort aux États-Unis, relate Live Science. Ce lieu est considéré comme le plus sec d'Amérique du Nord.

    Le lac a été découvert par le photographe Elliot McGucken qui a réussi à prendre des clichés des étendues du désert californien transformé. Selon une estimation préalable des spécialistes de ce parc national, la longueur du nouveau lac atteint 16 kilomètres. Cependant, il reste encore à déterminer les dimensions exactes du plan d'eau.

    Ce phénomène est intéressant du fait que la vallée est l'un des endroits les plus chauds de notre planète. La température peut y atteindre 57 degrés Celsius. De plus, les précipitations moyennes par an ne sont pas très élevées dans cette région: cinq centimètres de pluie par an. La norme annuelle de précipitations pour le mois de mars est de 0,76 centimètre.

    Néanmoins, cette norme a été dépassée de plusieurs fois la semaine dernière: une puissante tempête s'est abattue sur la Californie du Sud, charriant avec elle de fortes pluies. Les particularités du sol de la vallée ont contribué à la formation du lac, a déclaré Todd Lericos, spécialiste du Service météorologique national. Le sol du désert est très sec et dense, ce qui l'empêche d'absorber l'eau rapidement.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/201903131040344022-vallee-de-la-mort-usa-lac-desert/

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  2. NON AUX INSECTICIDES ANTI-MOUCHES & MOUSTIQUES !

    SESSION FAUT-IL ARRÊTER DE FAIRE LES FOINS POUR SAUVER LES INSECTES ?

    La diminution des insectes est un fait attesté en Suisse. A Berne, l'inquiétude est palpable. On dépense des centaines de millions pour la biodiversité, sans trop savoir si ça fonctionne.

    Le fauchage des prés a lieu à partir du 15 juin dans toute la Suisse et s'échelonne en fonction de l'altitude. Pour le Conseil fédéral, la biodiversité est assurée par les mesures prises. Mais la Suisse manque de mesures sérieuses.


    PAR ERIC FELLEY
    13.03.2019, 07h24


    Face la diminution constatée des insectes en Suisse, face au déclin de la biodiversité des libellules et autres sauterelles, l'inquiétude est palpable à Berne. Beaucoup se demandent quoi faire et, surtout, comment savoir si ce que l'on fait sert à quelque chose. Plusieurs questions ont été déposées cette session à l'adresse du Conseil fédéral, qui doit soudain se pencher sur le peuple de l'herbe pour lui porter secours.

    Plus de ressources vitales

    En Suisse alémanique on appelle cette journée «nationale Heutag» qu'on peut traduire par «journée nationale des foins». Il s'agit du 15 juin, à partir duquel faucheuses et autres machines à andainer se lancent dans les prés pour ne laisser que le brin nu sur la terre. Et les insectes qui peuplent ces lieux, que deviennent-ils ? La conseillère nationale Aline Trede (Verts/BE) constate que les prairies sont presque toutes fauchées en même temps à partir de cette date: «Les insectes ne trouvent donc ensuite pratiquement plus de fleurs, perdant d'un seul coup leur nourriture et leurs ressources vitales».

    Par étape

    Elle demande quelle mesure faudrait-il promouvoir pour minimiser cet impact négatif ? Le mieux serait de ne plus faucher du tout... Mais Guy Parmelin au nom de son Département de l'économie, n'adhère pas à la thèse d'un massacre national à la faucheuse : «Cette pratique n'est pas considérée comme problématique, écrit-il en réponse à la Bernoise. Dans le cadre des surfaces de promotion de la biodiversité, toutes les prairies ne sont pas fauchées en même temps. Les prairies extensives et peu intensives sont fauchées à partir du 15 juin en zone de plaine, à partir du 1er juillet en zone de montagne I et II et à partir du 15 juillet dans les zones de montagne III et IV».

    Ainsi donc, les insectes «malins» peuvent grimper en fonction des étapes administratives et sauver leurs ailes à défaut de leur peau. Il ajoute que d'autres mesures spécifiques sont utilisées par les agriculteurs soucieux de biodiversité: pourcentage de prairie non fauchée et non pâturée, fauchage échelonné de parcelles adjacentes, report du fauchage en fonction des espèces présentes ou encore variation des types d'herbage.

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  3. 454 millions pour la biodiversité

    Conclusion, le fauchage n'est pas responsable de la disparition des insectes. Au contraire, avec cette politique les insectes trouvent une grande diversité de refuges et de nourriture dans une même région. Guy Parmelin a précisé que 414 millions de francs ont été versés en 2017 à l'agriculture pour la promotion de la biodiversité dans le cadre des paiements directs. 50 millions de francs sont alloués aux cantons pour l'amélioration des habitats et la promotion des espèces. Sans compter les 4 millions investis par la Confédération par an pour sauver les abeilles.

    Pas avant 2024-2027

    Mais comment être certain que ce système fonctionne aussi bien? Des parlementaires écologistes en appellent à un «monitoring» pointu de la réalité entomologique helvétique avant qu'il ne subsiste plus que quelques mouches autour des vaches. «Les coûts d'une telle surveillance sont difficiles à estimer, relève la cheffe du DETEC Simonetta Sommaruga.

    Dans le plan d'action en faveur de la biodiversité, le Conseil fédéral a formulé une gestion des données optimisée et modernisée en tant que mesure à examiner pour la prochaine phase possible 2024-2027».

    D'ici là, les insectes doivent tenir bon et gageons que les fourmis s'en sortiront mieux que les cigales. (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/suisse/fautil-arreter-foins-sauver-insectes/story/28212866

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    1. La débilité n'a plus de frontières ! Grâce aux 'Forces Handicapées de la Cervelle' tous les ravageurs qui bouffent les fruits & légumes et s'attaques aux céréales pourront vivre ! Ils seront protégés (par des allocs ? 'Polices des champs' ?) et auront bientôt leurs sièges aux assemblées de la nazional socialiste.

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  4. Cofondateur de Greenpeace: «La crise climatique, ce n’est pas que de fausses informations. C'est de la fausse science »


    Par David Krayden
    Appelant quotidien
    13 mars 2019


    Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, une organisation de défense de l'environnement, a déclaré mardi que la crise du changement climatique à l'origine d'une grande partie de la politique libérale aujourd'hui "n'est pas qu'une fausse nouvelle. C'est de la fausse science. "

    Moore a également demandé lors de son apparition dans «Fox & Friends» pourquoi les gens s'inquiétaient du réchauffement planétaire: «Un peu de réchauffement ne serait pas une mauvaise chose, pour moi d'être Canadien.»

    Moore est revenue dans le débat sur le changement climatique la semaine dernière dans une querelle en ligne avec la représentante démocrate de New York, Alexandria Ocasio-Cortez, après avoir critiqué son Green New Deal pour sa non-ambition, mais son ridicule.

    «Eh bien, c’est un plan idiot; C’est pourquoi j’ai suggéré qu’elle était une petite idiote pompeuse, idiote signifiant que le lexique britannique était idiote », a dit Moore à Fox, ajoutant:« Elle m’a vraiment malmenée en disant qu'elle est «la patronne» car elle peut faire une proposition qui complètement ridicule, et personne d'autre ne l'a fait. "

    Moore, qui siège actuellement au conseil d'administration de gaz carbonique Coalition, un groupe de scientifiques américains et canadiens qui réfutent le changement climatique provoqué par l'homme, affirme que le gaz carbonique est «le principal élément constitutif de toute vie» et qu'il est bon pour l'environnement. "Il n'y a rien à craindre."

    Il ne nie pas le changement climatique. "Bien sûr, le changement climatique est réel: il se produit depuis le début des temps, mais ce n’est pas dangereux et il n’est pas créé par les gens ... un phénomène tout à fait naturel."

    https://www.lewrockwell.com/2019/03/no_author/greenpeace-co-founder-climate-crisis-is-not-only-fake-news-its-fake-science/

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  5. Birthstrikers - annuler leurs futurs enfants pour annoncer le changement climatique ?


    March 13th, 2019


    Dans 200 ans, les anthropologues s’émerveilleront devant un étrange culte du début du troisième millénaire, tellement terrorisé par le changement climatique, qu’ils ont juré de ne pas avoir d’enfants tant que le temps n’aurait pas été parfait, ou que le changement climatique ne serait plus "fini" ou que le Yeti serait apparu à leur conférence de presse.

    C’est le point final logique de l’attraction de la civilisation qui nous hait nous-mêmes.

    BirthStrikers: rencontrez les femmes qui refusent d'avoir des enfants jusqu'à la fin du changement climatique
    Elle Hunt, le gardien

    En deux semaines à peine, 140 personnes, principalement des femmes britanniques, ont déclaré «leur décision de ne pas avoir d'enfants en raison de la gravité de la crise écologique», a déclaré Pepino. "Mais nous avons également eu des contacts pour dire:" Merci d'avoir parlé de quelque chose dont je ne pensais même pas pouvoir parler à ma famille ", ajoute-t-elle. Beaucoup de ces BirthStrikers sont impliqués dans Extinction Rebellion, qui a jeté samedi des seaux de peinture rouge à l'extérieur de Downing Street pour symboliser «la mort de nos enfants» du changement climatique.

    Ainsi, les personnes impliquées dans un groupe appelé «Extinction Rebellion» se rebellent contre l'extinction en l'attendant, sans avoir d'enfants ?

    L’ironie est tellement chaude qu’elle est presque nucléaire.

    Sachez qu’elle réalise que cela ne refroidira pas la planète. Elle annule ses futurs enfants en tant que campagne publicitaire:

    Pepino affirme que BirthStrike est un mouvement distinct du mouvement antinataliste (qui dit qu'avoir des enfants est moralement répréhensible parce que la vie sentimentale est si terrible) et que son but n'est pas de décourager les gens d'avoir des enfants, ni de condamner ceux qui les ont déjà, mais de: communiquer l'urgence de la crise. C'est une «reconnaissance radicale» de la manière dont la menace existentielle imminente «modifie déjà la façon dont nous imaginons notre avenir». "Nous n'essayons pas de le résoudre par BirthStrike", dit-elle. "Nous essayons de diffuser l'information."

    Apparemment, ils croient que s'ils attaquaient une fête de naissance, ils pourraient convaincre les autres de sauver la planète. Je pense que la théorie est que leurs amis verraient ce «sacrifice» et iraient acheter des panneaux solaires, des voitures électriques ou cultiveraient des fèves de soja hydroponiques? Bonne chance, hein?

    BirthStrike, explique-t-elle, «parle de:« C'est correct de faire ce choix, mais ce n'est pas normal de devoir faire ce choix. »Nous ne devrions jamais être dans une situation où nous avons vraiment peur de donner vie au monde. ”

    Oh. C’est aussi un groupe de thérapie pratique pour les personnes qui ne veulent pas d’enfants… J'espère que quelqu'un trouvera la paix là-bas.

    Cela semble assez égoïste d'échanger une vie future contre une campagne publicitaire.

    UPDATE: Il y a une clause out:
    Pepino, au moins, adopte une vision tout aussi optimiste de l’approche de BirthStrikers. C'est, dit-elle, «dans un sens, un acte très porteur d'espoir. Nous ne faisons pas que prendre cette décision, la cacher et l’abandonner. Nous politisons cette décision - et espérons que cela nous donnera l'occasion de changer d'avis. "

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  6. Optimiste ? Chère Mme Pepino, Vous avez 33 ans et vous espérez que le monde va changer de source d’énergie, décarboniser, puis refroidir, à temps pour que vous puissiez avoir un bébé ?

    Ci-dessous, Mudcrab indique qu'il s'agit à peine de 140 personnes sur 11 millions (généreux). Un échantillon minuscule. Je réponds:

    Oui, mais remarquez le peu de temps nécessaire pour faire passer un article dans les médias à travers le monde si vous diffusez le «bon message». 140 personnes signent quelque chose que personne ne vérifie, promettant quelque chose qui ne leur coûtera rien (ce qu’elles allaient peut-être faire de toute façon) et qui peut être cassé sans pénalité «par accident» tout jour et pourtant elles font la une des journaux partout.

    Les médias sont le problème.

    http://joannenova.com.au/2019/03/birthstrikers-cancelling-their-future-kids-to-advertise-climate-change/

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    1. Vont-elles relancer la chasse à courre pour éliminer le plus possible d'animaux émetteurs de gaz carbonique ?
      Vont-elles bâcher les mers et océans afin de retenir les émanation de gaz carbonique ?
      Vont-elles se foutre un bouchon dans le cul pour éviter les évasions de méthane ?

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  7. Cela semble fou, mais Fukushima, Chernobyl et Three Mile Island montrent pourquoi le nucléaire est intrinsèquement sûr


    12 mars 2019
    De Forbes
    Michael Shellenberger


    Les opinions exprimées par les contributeurs de Forbes sont les leurs.

    Energy J'écris sur l'énergie et l'environnement


    Après le tsunami qui a frappé la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon il y a huit ans aujourd'hui, provoquant l'effondrement de trois réacteurs, de nombreuses personnes estimaient que cela entraînerait une catastrophe pour la santé publique.

    «À l'heure actuelle, près d'un million de personnes sont mortes de causes liées à la catastrophe de Tchernobyl», a écrit Helen Caldicott, médecin australienne, dans le New York Times. Fukushima pourrait «dépasser de loin Tchernobyl en termes d’effets sur la santé publique».

    Beaucoup de partisans du nucléaire en sont venus à penser que l'accident prouvait que le réacteur nucléaire, qui est refroidi par de l'eau, est irrémédiablement fatal. Ils ont appelé à des types de réacteurs radicalement différents pour rendre la technologie «intrinsèquement sûre».

    Mais maintenant, huit ans après Fukushima, la meilleure science disponible montre clairement que l’estimation par Caldicott du nombre de personnes tuées par un accident nucléaire était erronée d’un million. Les radiations de Tchernobyl vont tuer 200 personnes au plus, tandis que les radiations de Fukushima et de Three Mile Island ne feront pas de victimes.

    En d’autres termes, la principale leçon à tirer des pires accidents nucléaires est que l’énergie nucléaire a toujours été intrinsèquement sûre.

    La vérité sur la sécurité de l’énergie nucléaire est tellement choquante qu’il vaut la peine de regarder de plus près les pires accidents, en commençant par le pire des pires: Tchernobyl.

    La centrale nucléaire se trouve en Ukraine qui, en 1986, année de l'accident, était une république soviétique. Les opérateurs ont perdu le contrôle d'une expérience non autorisée ayant provoqué l'incendie du réacteur.

    Il n'y avait pas de dôme de confinement et l'incendie a répandu des particules radioactives partout dans le monde, ce qui a amené beaucoup à conclure que Tchernobyl n'était pas seulement le pire accident nucléaire de l'histoire, mais aussi le pire accident nucléaire possible.

    Vingt-huit pompiers sont morts après avoir éteint l'incendie de Tchernobyl. Bien que la mort d’un pompier soit tragique, il convient de mettre ce chiffre en perspective. Quatre-vingt-six pompiers sont morts aux États-Unis en 2018 et 343 pompiers sont morts lors des attaques terroristes du 11 septembre 2001.

    Depuis l'accident de Tchernobyl, selon les Nations Unies, 19 premiers intervenants sont morts pour «diverses raisons», notamment la tuberculose, la cirrhose du foie, des crises cardiaques et des traumatismes. Le Royaume-Uni a conclu que "l'attribution du rayonnement comme cause du décès est devenue moins claire".

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  8. Qu'en est-il du cancer ? En 2065, il pourrait y avoir 16 000 cancers de la thyroïde; à ce jour, il y en a eu 6 000. Étant donné que le cancer de la thyroïde a un taux de mortalité d'à peine 1% - il s'agit d'un cancer facile à traiter - on s'attend à 160 décès.

    L’Organisation mondiale de la santé affirme sur son site Web que Tchernobyl pourrait entraîner la mort prématurée de 4 000 personnes, mais selon le Dr Geraldine Thomas, qui a lancé et dirige la banque de tissus de Tchernobyl, ce nombre est basé sur une méthodologie démentie.

    «Ce numéro de l'OMS est basé sur le LNT», a-t-elle expliqué, en utilisant l'acronyme de «méthode linéaire sans seuil» pour extrapoler les décès dus à la radiation.

    LNT suppose qu'il n'y a pas de seuil en dessous duquel le rayonnement est sans danger, mais cette hypothèse a été discréditée au cours des dernières décennies par de multiples sources de données.

    L’idée selon laquelle les rayonnements sont inoffensifs aux faibles niveaux découle du fait que les personnes qui vivent dans des endroits où le rayonnement de fond est élevé, comme le Colorado, ne souffrent pas d’un taux élevé de cancers.

    En fait, les résidents du Colorado, où les radiations sont plus élevées en raison de fortes concentrations d’uranium dans le sol, bénéficient de l’un des taux de cancer les plus bas des États-Unis.

    Même des doses de rayonnement relativement élevées font beaucoup moins de mal que la plupart des gens ne le pensent. Des études approfondies, approfondies et à long terme sur les survivants des bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki offrent une démonstration convaincante.

    Les taux de cancer n'étaient que 10% plus élevés chez les survivants d'une explosion atomique, dont la plupart n'avaient jamais eu le cancer. Même ceux qui ont reçu une dose 1 000 fois supérieure à la limite de sécurité d’aujourd’hui ont vu leur vie raccourcie de 16 mois en moyenne.

    Mais le gouvernement japonais n’a-t-il pas récemment accordé un règlement financier à la famille d’un travailleur de Fukushima qui a prétendu que son cancer était dû à l’accident ?

    C’est le cas, mais pour des raisons clairement politiques et liées au style de consensus et d’aversion au conflit du gouvernement japonais, ainsi qu’à la culpabilité persistante ressentie par les décideurs politiques d’élite à l’égard des travailleurs et des résidents de Fukushima, qui se sentaient doublement lésés par le tsunami. et les effondrements.

    Il est très peu probable que le cancer du travailleur provienne de Fukushima car, encore une fois, le niveau de rayonnement reçu par les travailleurs était bien inférieur à celui de la cohorte Hiroshima / Nagasaki qui avait enregistré des taux de cancer (modestement) plus élevés.

    Qu'en est-il de Three Mile Island ? Après l'accident de 1979, Time Magazine a publié un article de couverture qui a superposé le titre élogieux, «Nuclear Nightmare», sur une image de l'usine. Cauchemar ? Plus comme un rêve. Quelle autre technologie industrielle majeure peut subir une défaillance catastrophique sans tuer personne ?

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  9. Rappelez-vous quand la plate-forme de forage pétrolier Deepwater Horizon a pris feu et a tué 11 personnes ? Quatre mois plus tard, un gazoduc Pacific Gas & Electric a explosé juste au sud de San Francisco et a tué huit personnes dormant dans leur lit. Et ce n'était qu'une année, 2010.

    Le pire accident énergétique de tous les temps a été la chute du barrage hydroélectrique de Banqiao en 1975. Il s'est effondré et a tué entre 170 000 et 230 000 personnes.

    Les pires accidents nucléaires montrent que la technologie a toujours été sûre pour la même raison inhérente qu’elle a toujours eu un impact environnemental aussi réduit: la densité énergétique élevée de son combustible.

    Fractionner des atomes pour créer de la chaleur, plutôt que de scinder des liaisons chimiques en un feu, nécessite de très petites quantités de carburant. Une seule canette de coke d'uranium peut fournir suffisamment d'énergie pour toute une vie riche en énergie.

    Lorsque le pire se produit et que le carburant fond, la quantité de particules qui s'échappe de l'usine est insignifiante, contrairement aux explosions ardentes de combustibles fossiles et aux émissions quotidiennes de particules provenant de maisons, de voitures, de voitures à combustion de biomasse et à biomasse et les centrales électriques, qui tuent sept millions de personnes par an.

    Grâce à la sûreté inhérente au nucléaire, la meilleure science disponible montre que le nucléaire a sauvé au moins deux millions de vies à ce jour en empêchant la combustion de biomasse et de combustibles fossiles. Remplacer ou ne pas construire de centrales nucléaires entraîne donc davantage de décès.

    En ce sens, Fukushima a entraîné une catastrophe de santé publique. Seulement, ce n’était pas dû aux faibles quantités de radiations qui s’échappaient de l’usine.

    Déplacement d'anxiété et panique

    Le gouvernement japonais, de l'avis de Geraldine Thomas, experte en systèmes de Tchernobyl, et d'autres experts en radiations, a largement contribué à faire du rayonnement une radiation largement perçue comme une toxine extrêmement puissante en ne renvoyant pas les habitants dans la province de Fukushima après l'accident et en réduisant les radiations dans le sol et dans l'environnement. l'eau à des niveaux inutilement bas.

    Le problème a commencé avec une sur-évacuation. Soixante mille personnes ont été évacuées mais seulement 30 000 sont revenues. Bien qu'une certaine quantité d'évacuation temporaire ait pu être justifiée, rien ne justifiait jamais une évacuation aussi importante et de longue durée.

    Environ 2 000 personnes sont décédées des suites de l'évacuation, tandis que d'autres personnes déplacées souffrent de solitude, de dépression, de suicide, de brimades à l'école et d'anxiété.

    «Avec le recul, nous pouvons dire que l'évacuation était une erreur», a déclaré Philip Thomas, professeur de gestion des risques à l'université de Bristol et chef d'un projet de recherche récent sur les accidents nucléaires. "Nous aurions recommandé que personne ne soit évacué."

    Au-delà de l’évacuation, le gouvernement a procédé à un nettoyage exagéré du sol. Pour vous donner une idée de la façon dont le nettoyage a été exagéré, considérez que le plateau du Colorado était et est plus (naturellement) radioactif que la majeure partie de Fukushima après l’accident.

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  10. «Certaines régions du monde sont plus radioactives que le Colorado et les habitants ne montrent pas de taux de cancer accrus», note le Dr Thomas. Et tandis que les niveaux de rayonnement à Fukushima diminuent rapidement, «ces zones restent élevées tout au long de la vie car le rayonnement n'est pas le résultat d'une contamination, mais du rayonnement de fond naturel».

    Même les résidents vivant dans les zones les plus contaminées par le sol ne sont pas affectés par les radiations, selon une étude majeure portant sur près de 8 000 habitants au cours des deux ou trois dernières années qui ont suivi l'accident.

    En 2017, lors de ma deuxième visite à Fukushima, j'ai perdu mon sang-froid à propos de ce problème. En décalage horaire et affamé, et voyant la somnolence coûteuse et ridicule de la couche arable fertile de la région dans des sacs en plastique verts, j’ai commencé à préparer un scientifique du ministère de l’Environnement.

    Pourquoi ont-ils détruit la précieuse couche arable de Fukushima afin de réduire les niveaux de rayonnement qui étaient déjà à des niveaux bien inférieurs à ceux qui présentaient un danger? Pourquoi le gouvernement a-t-il dépensé des milliards pour essayer de faire la même chose avec de l'eau près de l'usine elle-même? Au Japon, personne ne connaissait-il les grandes sciences de la santé en radiation ?

    Au début, le scientifique du gouvernement a répondu en répétant simplement la ligne officielle - ils remettaient en état les sols pour éliminer le rayonnement de l'accident.

    J'ai décidé de forcer la question. J'ai répété ma question. Mon traducteur m'a dit que l'expert n'avait pas compris ma question. J'ai commencé à me disputer avec mon traducteur.

    Puis, à ce moment, le scientifique du gouvernement a repris la parole. Je pouvais dire par le ton de sa voix qu'il disait quelque chose de différent.

    «Tous les scientifiques et experts en radiation du monde qui viennent ici disent la même chose», a-t-il déclaré. «Nous savons que nous n’avons pas besoin de réduire les niveaux de radiation pour la santé publique. Nous le faisons parce que les gens le veulent. "

    La vérité avait été reconnue et la tension qui régnait entre nous s'était enfin dissipée. "Arigato gozaimasu!" Dis-je, sincèrement reconnaissant pour l’honnêteté de cet homme.

    Le visage de l’homme était triste quand il expliqua la situation, mais il était également plus calme. La manie derrière son insistance sur le fait que la couche arable «contaminée» avait nécessité un «nettoyage» s'était évaporée.

    Et je n’étais plus en colère non plus, juste soulagé. J'ai compris son dilemme. Il n'avait été que le dogme officiel répété parce que son travail, ainsi que la culture et la politique au sens large, l'exigeaient.

    C’est ainsi que les scientifiques et les responsables gouvernementaux, et pas seulement au Japon, traitent les craintes des radiations depuis plus de 60 ans.

    Il n’existe aucune preuve que de faibles niveaux de radiations blessent les gens, mais plutôt que d’en parler franchement, les scientifiques ont, par le passé, obscurci la vérité, souvent par peur de méfier de la prudence, mais en permettant de nombreuses incompréhensions. les radiations persistent.

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  11. Nous savons aussi maintenant que lorsque les sociétés n’utilisent pas le nucléaire, elles utilisent principalement des combustibles fossiles, pas des énergies renouvelables. Après Fukushima, le Japon a fermé ses centrales nucléaires et assisté à une montée en flèche de la pollution atmosphérique.

    Comme d'habitude, les plus grands perdants sont les plus vulnérables: ceux souffrant de maladies respiratoires, telles que l'emphysème et l'asthme, les enfants, les personnes âgées, les malades et les pauvres, qui vivent généralement dans les quartiers les plus pollués des villes.

    Il est également clair que les gens déplacent les inquiétudes suscitées par d’autres sujets au profit d’accidents nucléaires. Des études qualitatives approfondies menées dans les années 1970 ont montré que les jeunes, au début de cette décennie, dissipaient la peur des bombes nucléaires sur les centrales nucléaires.

    Les centrales nucléaires sont considérées comme de petites bombes et les accidents nucléaires comme de petites explosions atomiques, avec des retombées et la peur de la contamination.

    Il est impossible de voir la réaction excessive de la population japonaise face à la panique du public japonais et de ne pas y voir en partie une motivation motivée par l’horreur de voir 15 897 citoyens tués sur le coup, et 2 533 autres disparus après le tsunami qui a frappé la région.

    Le sociologue Kyle Cleveland affirme de manière convaincante que Fukushima était une «panique morale», motivée par le désir des médias et du public japonais de se venger d'une élite industrielle et technique jugée indifférente, arrogante et corrompue.

    https://wattsupwiththat.com/2019/03/12/it-sounds-crazy-but-fukushima-chernobyl-and-three-mile-island-show-why-nuclear-is-inherently-safe/

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  12. TRAVAIL - LA VIE DES SUISSES EST PLUS SIMPLE GRÂCE À INTERNET

    Près de 75% des Suisses utilisent Internet pour s'informer. Le reste du temps que les utilisateurs passent en ligne est dédié à l'amusement, au divertissement.


    12.03.2019, 13h54


    Le Web a bouleversé le monde professionnel. Pour un tiers des Suisses, le point le plus positif d'Internet est la nouvelle manière de travailler. Pour un autre tiers, le Net permet de trouver plus facilement une offre d'emploi. C'est ce qui ressort d'un sondage réalisé pour les 30 ans de la Toile.

    Internet comporte de nombreux avantages, notamment dans la recherche d'offres d'apprentissages et d'emplois pour les Suisses. Ce sont les résultats du sondage effectué par Cisco. A l'occasion des 30 ans du Web, l'entreprise spécialisée en informatique a examiné l'utilisation actuelle d'Internet en Suisse.

    Pour 50% des Suisses âgés de plus de 55 ans, le Web s'est particulièrement développé dans le monde professionnel. Chez les 16 à 24 ans, seuls 49% perçoivent un essor particulier dans ce domaine. La jeune génération a grandi dans une société où le Web est omniprésent. Il lui est donc plus difficile de percevoir son influence, indique Cisco.

    S'informer d'abord, s'amuser ensuite

    Près de 75% des Suisses utilisent Internet pour s'informer. Le reste du temps que les utilisateurs passent en ligne est dédié à l'amusement, au divertissement (67%) ainsi qu'à la communication avec des membres de la famille et des amis (65%).

    Dans les prochaines années, le Web va continuer de se développer. Mais c'est dans les domaines de la santé et de la formation continue que les retombées seront les plus importantes d'après les sondés.

    Le Web a vu le jour en mars 1989, au CERN, à Genève. Une année plus tard, son concepteur Tim Berners-Lee l'a nommé "World Wide Web". Les informations sur Internet étaient désormais consultables dans le monde entier et le Net s'est rapidement ouvert à une utilisation commerciale et sociale.

    L'enquête de Cisco a été réalisée en ligne du 1er au 6 mars 2019 auprès de 1004 personnes résidant en Suisse. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/high-tech/vie-suisses-simple-grce-internet/story/29495631

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