Lors de la dernière réunion des chefs d’Etat de l’Union européenne, outre le sujet du Brexit il y avait aussi sur la table le dossier « climat ». Le sujet n’a été abordé que très brièvement car la Chancelière de l’Allemagne, l’économie la plus puissante de l’Europe, a tout simplement déclaré qu’il serait impossible de tenir ses engagements de réduction des émissions de gaz carbonique ni en 2020, ni en 2030, ni en 2050. Malgré les sommes pharaoniques déjà investies dans les énergies intermittentes – jusqu’en 2015 déjà plus de 200 milliards d’euros – l’Allemagne n’a pas réussi à réduire ses émissions de gaz carbonique. La transition énergétique allemande (Energiewende) n’a pas atteint ses objectifs et pour Madame Merkel il n’est plus approprié de gaspiller de l’argent dans ce domaine. Le doublement ou le triplement du nombre d’éoliennes sur le sol allemand n’y feront rien. Les énergies intermittentes ne sont tout simplement pas adaptées à une économie moderne et dynamique comme celle de l’Allemagne. L’instabilité du réseau électrique va croissant tant au niveau de l’offre – la production – que de la qualité de l’énergie injectée sur le réseau, c’est-à-dire les problèmes quasiment insolubles de fréquence. En effet pour maintenir la stabilité globale du réseau électrique européen interconnecté il faut maintenir une fréquence de 50 Hz et seules les unités de production thermique (nucléaire, charbon ou gaz) permettent d’atteindre cette stabilité.
Comme pour beaucoup d’autres pays de l’est de l’Europe la « transition énergétique » n’est plus considérée que comme un rêve, un délire surréaliste propulsé par les écologistes. Le nord de l’Allemagne ressemble maintenant à une gigantesque ferme éolienne inefficace qui a provoqué d’immenses dommages environnementaux tant pour l’habitat sauvage, hécatombe d’oiseaux migrateurs et nocturnes, chauve-souris en voie de disparition accélérée, anciennes forêts et vieux villages historiques littéralement cernés par des moulins à vent, nuisances sonores et sanitaires, tout ça pour finalement s’apercevoir que c’est un puits financier sans fond et un leurre.
Sur le papier, tel que présenté par les écologistes il faudrait un moulin à vent par km² du territoire allemand pour atteindre une décarbonisation totale de la production électrique.
Mais deux points essentiels n’ont pas été pris en considération dans ce calcul délirant : la conversion des moteurs thermiques des véhicules automobiles en moteurs électriques, donc le rechargement massif de ces véhicules, et le stockage de l’électricité. Or, ce dernier point relève toujours de la spéculation scientifique et technique hasardeuse. Il n’existe pas de techniques de stockage de l’électricité à grande échelle – à l’échelle de l’économie allemande – aujourd’hui. Toutes les approches actuelles dans le domaine du stockage relèvent de la fiction.
Plus important encore, la transition énergétique mobilise des surfaces au sol irrémédiablement bétonnées, justement des quantités gigantesques de béton, d’acier, de cuivre, de terres rares, de lithium, de cadmium, de matériaux composites en quantités également astronomiques. Aucun de tous ces produits n’est renouvelable et aucun d’eux ne peuvent être extraits, purifiés, pour devenir ensuite de l’énergie éolienne ou solaire sans utilisation massive d’énergie fossile. C’est tout simplement ni écologique ni renouvelable. La conséquence de cette transition énergétique est financée par le peuple qui paie sous forme de taxes son coût exorbitant. La corrélation entre le prix du kWh et la capacité d’énergie intermittente installée est claire :
L’exemple du Danemark n’a pas frappé l’esprit des partis politiques « verts » allemands, ni l’administration française Macron. Pourtant au cours d’élections dans divers pays européens les partis politiques opposés à la transition énergétique imposée par les accords de Paris (COP21) gagnent des sièges aux parlements nationaux comme lors des dernières élections régionales aux Pays-Bas qui a résulté en 13 sièges au Sénat pour le parti nationaliste climato-sceptique Forum voor Democratie. Les pays du « Club de Visegrad » ont également adopté la même position et force est de constater que l’Allemagne vient de sérieusement mettre à mal cette absurde politique écologiste de transition énergétique en se rapprochant de la Pologne, de la Hongrie et de la République tchèque qui ont tourné le dos aux accords de Paris. Fin de l’histoire ? Peut-être bien …
Sources : blog d’Antony Watts et The Global Warming Policy Forum (thegwpf.com)
Les faibles taux ont enterré les Canadiens sous une montagne de dettes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 27/03/2019 - 23:05
Au Canada, la dette des ménages est à la limite de l'excès, en raison des taux bas qui ont déclenché un boom de l'emprunt au cours de la dernière décennie. Les Canadiens doivent maintenant collectivement 2 160 milliards de dollars canadiens, ce qui représente le plus gros endettement des pays du G7. Dans le même temps, le marché de l'habitation commence à se refroidir dans le pays et les gens sont en train de "paniquer", même avec des taux ne dépassant pas les plus bas historiques, selon Bloomberg.
L'article décrivait le portrait d'un citoyen, Kieran Maxwell, une mère célibataire âgée de 43 ans qui est endettée d'environ 100 000 $ CAN, principalement en raison de prêts d'études et de cartes de crédit. En 2017, elle a réalisé qu'elle ne pouvait même pas suivre le paiement minimum sur ses cartes de crédit après les avoir utilisées pour s'occuper de son fils de 14 ans, qui avait des troubles d'apprentissage. Elle hésite lorsque son téléphone sonne avec un numéro 800, craignant les agents de recouvrement.
Dit-elle:
«Vous allez au lit en y réfléchissant. Tu te réveilles en y réfléchissant. Je ne voudrais même pas répondre au téléphone parce que je ne voulais pas savoir qui demandait quoi. "
- voir graphique sur site -
En raison de la faiblesse des taux, le pays qui était auparavant financièrement solide s'est retrouvé dans une situation de surendettement. Le ratio de la dette au revenu disponible du pays a atteint un record de 174% au quatrième trimestre, contre 148% dix ans plus tôt.
Maintenant, tout le monde attend de voir ce qui va se passer ensuite. La Banque du Canada a relevé ses taux cinq fois depuis 2017, ce qui donne des taux actuels de 1,75%. Les règles fédérales mises en place ont limité la spéculation sur le marché du logement. Les valeurs domiciliaires baissent pour la première fois en trois décennies. En d'autres termes, les poulets pourraient bientôt revenir à la maison pour se percher.
Les ménages individuels ressentent également la douleur. Par exemple, le ratio du service de la dette, qui mesure le montant du revenu disponible affecté au paiement du principal et des paiements d'intérêts, a atteint 14,9 au quatrième trimestre, soit presque le niveau record de 2007.
- voir graphique sur site -
Les impayés dans les prêts automobiles ont atteint 0,97 au dernier trimestre de 2018, ce qui est le nombre le plus élevé depuis la fin de la récession de 2008. Les données montrent également un "glissement prononcé" vers le crédit-bail, car des taux plus élevés rendent moins rentable l’octroi de prêts à long terme et bon marché. Les contrats de location représentaient 36% des nouveaux prêts automobiles de 7,85 milliards de dollars canadiens au quatrième trimestre, la plus grande part depuis avant la crise financière
Ces retards de prêt pourraient signifier que des problèmes supplémentaires pour le logement sont sur le chemin.
RépondreSupprimerJodi Letkiewicz, professeure agrégée à l'Université York, a déclaré:
«La dernière chose à faire est l'hypothèque. Avant cela, les gens cessent de faire des paiements en voiture ou commencent à faire de plus petits paiements par carte de crédit. À ce moment-là, ils ont déjà beaucoup de problèmes. "
Au Canada, les emprunts sur les marges de crédit sur valeur nette, ou Helocs, augmentent également "plus rapidement que les prêts hypothécaires résidentiels". En d'autres termes, plus de personnes exploitent la valeur nette de leurs maisons existantes que de prendre de nouvelles hypothèques. Les Heloc ont totalisé 243 milliards de dollars canadiens en octobre, soit 11,3% de la dette totale des ménages. Les soldes Heloc, par habitant, au Canada s'élevaient à 4 849 dollars en octobre, soit plus du quadruple des 1 080 dollars américains, selon Bloomberg.
- voir graphique sur site -
L'article indique également que 31 900 Canadiens ont déposé une demande d'insolvabilité au cours de la période de trois mois se terminant en décembre, le nombre le plus élevé depuis 2010.
Nous surveillons de près les faillites canadiennes. Plus tôt ce mois-ci, nous avons expliqué à quel point la montée des faillites paralysait les banques locales. Cette nouvelle est arrivée quelques semaines à peine après que nous ayons signalé que les dépôts d'insolvabilité avaient explosé dans presque toutes les provinces canadiennes.
La Banque Toronto-Dominion et la Banque Canadienne Impériale du Canada ont toutes deux affiché de mauvais résultats au premier trimestre, notamment des provisions plus élevées pour pertes sur prêts, qui ont largement contribué aux attentes manquées des analystes. La Banque TD a vu sa provision pour pertes sur prêts passer à 850 millions de dollars canadiens, ce qui représente une hausse de 23% par rapport à l'année précédente. C’est aussi le niveau le plus élevé enregistré depuis au moins deux ans pour ce type de provisions, principalement entre les divisions de détail américaine et canadienne de la banque (36% chacune), suivi de la division entreprises de la banque.
La CIBC a également vu ses provisions augmenter - elles ont plus que doublé pour atteindre 338 M $ CA, ce qui représente également le niveau le plus élevé en au moins deux ans.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/low-rates-have-buried-canadians-under-mountain-debt
Il est tout-à-fait normal qu'en l'absence de Démocratie (contraire de la monarchie) les comptes soient faux et le public escroqué.
SupprimerLe monde est-il en train de devenir plus riche ou plus pauvre ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 27/03/2019 - 16:25
Écrit par Charles Hugh Smith via le blog de OfTwoMinds,
Il n'y a rien de intrinsèquement profitable à la robotique ou à l'IA.
À la demande de mon collègue / auteur Douglas Rushkoff (son dernier livre est Team Human), je publie le rapport Musings de la semaine dernière, qui n'a été distribué qu'aux abonnés et aux clients du site.)
L’hypothèse fondamentale du revenu de base universel (UBI) et d’autres plans visant à redistribuer plus largement la richesse et le revenu est que le monde devient de plus en plus riche et que le bassin de revenus et de richesses imposables est en expansion constante.
Ce bassin de richesses et de revenus disponibles est si vaste, nous a-t-on assuré, que taxer les super-riches ne réduira pas vraiment leur richesse ou l'économie dans son ensemble.
Mais que se passe-t-il si le monde devient rapidement plus pauvre dans tous les sens du terme ? Et si le déclin du niveau de vie des 90 % des ménages les plus défavorisés que j'ai souvent évoqué ne résultait pas simplement de ce que les 10 % les plus riches prenaient une part plus importante de la production (gains), mais de la réduction de la part du gâteau ?
Je crois que le déclin constant du pouvoir d'achat du travail - la source du revenu de la plupart des ménages - n'est pas simplement le résultat de la manière dont le revenu est distribué, mais d'un bassin de richesse en diminution constante.
Nous devons commencer toute discussion sur la richesse / le revenu total en demandant: que mesure-t-on avec des devises telles que le dollar ? Qu'est-ce qui n'est pas mesuré ?
Comme je l'ai souvent noté dans mes écrits, nous optimisons ce que nous mesurons. Ainsi, puisque nous mesurons les comptes financiers intégrés aux marchés, nous maximisons l'accumulation de monnaie et mesurons ce qu'il achète sur les marchés.
Mais comme je l'ai expliqué dans mes livres, les marchés ne valent que des biens et des services ici et maintenant. Ils manquent de mécanismes permettant de mesurer les coûts du cycle de vie des marchandises, la dégradation des pêcheries sauvages, la perte de fertilité des sols (épuisement), le coût d'opportunité de ce qui aurait pu être fait avec de l'argent gaspillé en consommation, etc.
Le déclin des nappes phréatiques et le rétrécissement des glaciers qui alimentent les rivières d'eau douce ne font pas de la "découverte des prix" des marchés.
En conséquence, l’expansion de la "monnaie" crée une illusion d’augmentation de la richesse alors que le capital naturel sur lequel nous comptons diminue rapidement. Mais puisque nous ne mesurons pas cela en "prix", il est ignoré.
Si nous combinons la perte de pouvoir d’achat du travail avec l’énorme perte de capital / richesse naturelle, il devient évident qu’ajouter un «zéro» à la «richesse» financière ne nous a pas réellement enrichis en ce que nous pouvons acheter avec nos travail et des ressources qui nous restent pour la "croissance" future.
Une seconde hypothèse des partisans de la redistribution UBI / UBI est que la robotique et l’intelligence artificielle (IA) augmenteront considérablement la richesse de l’humanité en remplaçant le travail humain à une fraction du coût.
RépondreSupprimerCette hypothèse est si facile et si souvent faite qu'il est facile de passer sous silence le fait que les affirmations ne semblent jamais provenir de ces robots de fabrication - une entreprise très capitalistique et très consommatrice de ressources, et qui demande beaucoup de travail une fois que la maintenance et les réparations sont ajoutées.
Un certain nombre d'hypothèses économiques clés émises sous la surface de cette affirmation ignorent toutes sortes de réalités peu pratiques.
Prenons l'exemple simple d'un aspirateur robot Roomba. On présume que ce dispositif permettant d'économiser du travail remplacera le travail humain. Mais comme je ne me paie pas pour nettoyer ma propre maison, il n’ya aucune réduction des coûts de main d’œuvre; il n'y a qu'une consommation supplémentaire de ressources et de capital.
Les partisans de l’idée que la robotique / IA génèreront de nouvelles richesses que nous pourrons tous exploiter sans compromis négligent l’effet extrêmement déflationniste de la technologie en général et de la technologie banalisée en particulier: une fois que la robotique et l’IA deviennent banalisées codage sont disponibles partout à un coût en baisse constante), les prix vont baisser, réduisant les profits à des marges extrêmement fines.
C’est l’histoire de la fabrication banalisée en Chine, où peu d’entreprises réalisent des bénéfices importants et la plupart d’entre elles ont des marges extrêmement réduites.
Comme l'a récemment observé un économiste chinois, il n'existe en réalité qu'une seule société chinoise très rentable: Huawei.
"Les bénéfices réalisés par 1 444 sociétés cotées au conseil des PME et aux entreprises en croissance ne sont même pas égaux à une fois et demie les bénéfices de la Banque industrielle et commerciale de Chine."
Pourquoi la robotique standardisée et les logiciels d'IA seraient-ils différents ?
Prenons Uber et Lyft, qui perdent tous deux des milliards de dollars à leur échelle actuelle. Les profits sont supposés émerger à un moment magique lorsque leurs revenus augmentent et que leurs dépenses baissent. Mais compte tenu de la concurrence et de la structure des coûts, comment ces services peuvent-ils augmenter les prix suffisamment pour générer un profit ?
En ce qui concerne l'élimination des dépenses des conducteurs via des voitures autonomes: si nous examinons des modèles économiques standardisés comme Uber et Lyft, nous constatons que la composante main-d'œuvre est en réalité plutôt marginale. Réduire les coûts d’un milliard de dollars en éliminant les conducteurs suppose un monopole et des équipements et des logiciels propriétaires, c’est-à-dire un moyen de faire monter les prix sur une clientèle avec peu d’autres options.
Mais si nous savons quelque chose à propos de la poussée vers les voitures autonomes, nous savons que la concurrence est féroce et mondiale et que toutes les pièces nécessaires - capteurs, logiciel de vision artificielle, etc. - sont rapidement banalisées.
La vérité est que ces services ne sont pas intrinsèquement rentables: le coût d'utilisation d'un véhicule très complexe ne sera jamais proche de zéro, pas plus que la responsabilité. De nombreux autres moyens de transport seront toujours disponibles pour les clients, à commencer par la marche, les transports en commun, le vélo, organiser une promenade avec un ami et le covoiturage «au marché noir» qui se produira inévitablement pour réduire la part de la redevance payée par Uber.
RépondreSupprimerLa technologie qui peut être banalisée est extrêmement déflationniste: les coûts baissent et les marges bénéficiaires deviennent bientôt quasi nulles.
Pour cette seule raison, la robotique et l'IA peuvent bien réduire le coût de divers biens et services, mais au détriment des bénéfices.
Il y a une exception, bien sûr: les gens vont payer plus pour le statut. Les gens paient des sommes démesurées pour un téléphone Apple parce que son statut est intangible mais tellement convoité. Mais il n'y a pas d'équivalent dans la grande majorité des secteurs banalisés. Très peu de gens vont payer un supplément pour un trajet Uber basé sur la marque de l'entreprise. Quel statut unique et très convoité est associé à Uber ou à Lyft? La réponse est non, tout comme pour la mémoire numérique, les appareils photo pour téléphones mobiles et des milliers d'autres technologies banalisées.
Apple a le statut parce qu'il protège son intégration propriétaire de logiciels et de matériel, ce qui rend difficile la standardisation. Mais les composants Android et bon marché réduisent à néant les avantages fonctionnels des offres propriétaires d'Apple.
Il n'y a qu'un seul Apple dans le monde. Très peu d'entreprises échappent à la banalisation de leurs activités et celles-ci se heurtent généralement à de grandes barrières à l'entrée. Les usines de fabrication de semi-conducteurs coûtent plus de 2 milliards de dollars chacune; C'est un obstacle important à l'entrée sur un marché très instable et incertain. Peu d'entreprises sont disposées à jouer les 2 milliards de dollars dans un domaine déjà saturé de concurrents.
Compter sur des centaines d’entreprises extrêmement rentables pour générer une nouvelle richesse à taxer et à redistribuer ignore la dynamique du monde réel de la technologie, de la concurrence et surtout de la marchandisation.
Résumons:
1. Le problème est que nous fondons toute notre civilisation sur la "croissance", l'expansion sans fin de la consommation de ressources, d'énergie et de capital, l'expansion permanente de tout: emplois, consommateurs, crédit, etc.
La robotique et l'IA ajoutent simplement au fardeau de la planète. Ils ne le réduisent pas. Les robots sont intrinsèquement consommateurs d'énergie et de ressources, capitalistiques et complexes. Chaque robot est un cycle de produit ou une défaillance de composant loin d'être simplement une autre pièce de matériel industriel destiné au site d'enfouissement ou au centre de recyclage - mais rien ne garantit que le robot sera éliminé correctement, car le recyclage de produits manufacturés complexes est intrinsèquement coûteux.
Le code logiciel de l'IA est peut-être «gratuit», mais le système permettant de manifester l'IA dans le monde réel requiert énormément de ressources et de capital: le coût de fabrication des puces n'est pas anodin et les processeurs gourmands en énergie ont besoin de beaucoup d'énergie pour fonctionner et les remplacer.
2. Tout comme le coût élevé et la complexité de la robotique et de l'IA sont intrinsèques, il n'y a rien de intrinsèquement profitable à la robotique ou à l'IA. Le simple fait de remplacer le travail humain ne génère pas automatiquement d’énormes profits pendant des décennies; les concurrents élimineront également leur travail humain. Plus l'entreprise est capitalistique, plus le rôle de la main-d'œuvre dans le processus de production est marginal. Le remplacement de la main-d'œuvre humaine ne génère des profits que lorsque les concurrents éliminent leurs ouvriers ou jusqu'à ce que les nouvelles technologies rendent obsolète l'ensemble du modèle commercial.
RépondreSupprimer3. Le capital naturel et les tampons de la planète sont exploités et consommés à un rythme garantissant la perturbation d'éléments essentiels tels que les céréales et l'eau douce. L’épuisement du capital naturel n’existe pas. Aucun robot ou logiciel d'IA ne peut restaurer un sol épuisé ou remplacer un sol qui a été emporté.
Si nous ajoutons la perte de capital naturel et les coûts du cycle de vie complet de notre système mondial dépendant de la "croissance", nous perdons du terrain et devenons de plus en plus pauvres de jour en jour. Si les banques centrales créent plus d '"argent", une richesse fantôme peut rapidement être générée, mais comme le dit l'adage, Nature Bats Last. Compter sur la richesse fantôme pour créer un système insoutenable est délirant.
Nous ajoutons des connaissances et des informations à l'ensemble des connaissances de l'humanité, mais si nous n'utilisons pas cette "richesse" pour modifier les failles fondamentales de la "croissance" et notre dépendance à l'égard de la richesse fantôme, nous nous appauvrissons de jour en jour.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/world-becoming-wealthier-or-poorer
Figurez-vous que l'UBI (Revenu de Base Universel) existe depuis toujours et est d'autant plus connu par les familles dites nombreuses. Car l'enfant reçoit bien jusqu'à sa majorité (et parfois aussi après) de quoi se nourrir, pour dormir et les à-côté ! (en échange de divers travaux à la maison).
SupprimerLa seule richesse dont possède l'être humain est l'intelligence. Cette valeur n'a fait que s'étendre, se répandre allant jusqu'à envahir les pays les plus reculés et leur apporter ce savoir manquant. Tout est dans l'art de la communication. Cette intelligence, nous la tenons depuis des millénaires depuis celui qui habitait dans des grottes, puis dans des huttes, puis dans des maisons.
Mais elle n'est pas génétique ! Si bien que l'enfant né aujourd'hui est aussi con que ses ancêtres ! Tout est donc dans la pédagogie. Regardez l'enfant d'il y a 50 ans et celui d'aujourd'hui ! Avant, il lisait un livre (emmerdant), aujourd'hui il s'instruit en s'amusant au clavier de son ordinateur ! Cà été le boum des surdoués du 21 ème siècle. Le Peuple qui se réveille !
Rendez vous compte du chemin accompli !
Il y a 3000 ans, nos ancêtres découvraient le fer, faisait des épées, des casseroles, des boucliers, etc mais pas des tuyaux ! Des tuyaux ? Pourquoi faire ? Pour y mettre de l'eau ! De l'eau dans des tuyaux ? Bêh oui, pour mettre le chauffage central dans toutes les grottes !
Il a fallu attendre LA FIN DU 19 ème SIÈCLE pour découvrir le chauffage central !! FIN 19 ème !!
Christophe Colomb (époque Léonard de Vinci-'la-grosse-tête') emportait de l'eau pour aller découvrir l'Amérique !!!
Alors qu'il en avait des milliards de tonneaux sous son bateau ! Mais il ne savait pas dessaler l'eau de mer ! la rendre propre et pure ! Il ne savait pas que l'eau sale qui bout émet de la vapeur propre ! sans odeur, ni couleur, ni goût, ni bactérie !
Quel chemin depuis ! Quel chemin !
Une proposition de loi vise à supprimer le RSA pour les «casseurs»
RépondreSupprimer07:26 28.03.2019
Suite à l’adoption de la loi «anti-casseurs», des députés Les Républicains ont présenté une proposition de loi visant à suspendre pour une durée maximum d’un an les droits au RSA pour les manifestants se livrant à des dégradations pendant les manifestations et étant bénéficiaires de cette prestation.
Sur le site de l'Assemblée nationale, une nouvelle proposition de loi vise les casseurs: des élus LR proposent de priver les manifestants violents de leurs droits au revenu de solidarité active (RSA).
«Si les personnes qui se livrent, lors d'une manifestation, à des dégradations sur la voie publique et/ou dans des locaux publics ou privés, encourent d'ores et déjà des peines d'amende et/ou d'emprisonnement ainsi que diverses peines complémentaires, il est concevable de compléter cet arsenal répressif par une suspension de leurs droits au RSA», dit-on dans la proposition de loi.
Selon les députés, il faut priver de leurs droits au RSA les «casseurs» qui en sont bénéficiaires «en raison de leur participation (armée ou non) à un attroupement, de leur participation armée à une manifestation ou réunion publique autorisée ou de la provocation directe à un attroupement armé.»
D'après le texte, la privation des droits au RSA est provisoire et non-définitive et prend la forme d'une suspension d'une durée maximum d'un an.
L'Assemblée nationale a adopté très largement, début février, la proposition de loi LR «anti-casseurs», controversée mais reprise par la majorité.
La permanence du parti Les Républicains de Dijon a été dégradée le 22 février, avec bris de ses vitrines et inscriptions hostiles à la proposition de loi portée par ce parti contre les «casseurs».
https://fr.sputniknews.com/france/201903281040521125-casseurs-manifestations-rsa/
Toute personne qui ose contester la dictature sera privée de salaire, allocation et retraite !
SupprimerMalheureusement, ceux qui se livrent aux dégradations de biens appartenant à d'autres gilets jaunes ne reçoivent pas le rsa mais un ample salaire primé de fonctionnaire !
RépondreSupprimerE-COMMERCE L'ARNAQUE AUX PAIEMENTS ÉLECTRONIQUES QUI FAIT FUREUR
Vous vendez un objet sur Internet et c'est l'acheteur qui vous demande de verser de l'argent ? Oui, c'est un piège mais certains s'y font prendre.
28.03.2019, 06h52
Faire des paiements électroniques entre particuliers peut s'avérer délicat. Il existe pourtant des solutions sécurisées, comme avoir un compte Paypal ou utiliser de la monnaie électronique comme Paysafecard. Mais des escrocs ont réussi à combiner les deux pour en faire une arnaque. C'est la mésaventure qui est arrivée à l'un de nos lecteurs.
Possédant de nombreux DVD, par manque de place, il opte pour des mallettes pour les ranger. Du coup, il se retrouve avec des centaines de fourres dont il n'a plus besoin et les propose sur Anibis, site de petites annonces gratuites. Une femme se montre intéressée, le contacte, lui demandant de communiquer avec elle uniquement via son email (sur un compte gmail). Cette soi-disant Francine ajoute que, étant en instance de divorce, elle ne peut payer que via Paypal.
Le vendeur a déjà un doute à ce moment mais, après tout, Paypal est un moyen de paiement assez courant. Comme il n'a pas de compte, il en crée un pour recevoir l'argent. Et il poste le colis à l'adresse indiquée par l'acheteuse, à Montfaucon (JU). Cette dernière annonce ensuite avoir versé la somme promise, soit 180 francs ainsi que 29 francs pour les frais d'envoi.
Faux mails
Problème, rien n'apparaît sur le compte du vendeur. C'est alors que Paypal envoie des mails pour dire que c'est normal, vu qu'il faut faire une vérification des deux comptes lorsque l'un est en Suisse et l'autre en France (l'acheteuse divorcée disant être en voyage). Le plus simple pour activer le compte? Le provisionner. Et la manière la plus sûre, c'est de le faire via Paysafecard. Ce système est en effet un paiement sécurisé. On achète (à la Poste et autres points de vente) des codes PIN de différentes valeurs. Ce sont ces codes que l'ont transmet à celui à qui l'on veut verser de l'argent. Dans ce cas-là, Paypal. Pas d'intermédiaire donc pas de risque que l'argent s'évapore.
Sauf que demander de valider le compte via six codes Paysafecard de 150 francs chacun, cela fait beaucoup. Sans compter qu'il y a trop de contretemps et les mails de Paypal, sous une première apparence crédible, se révèlent plutôt bizarres, avec des fautes d'orthographe. L'adresse de contact aussi est étrange: service.virementdefonds@europe.com. Le vendeur contacte alors le vrai service Paypal qui lui répond de cesser immédiatement de communiquer avec cette personne. Là c'est évident, il s'agit d'une arnaque.
Adresse inexistante
Et le colis, où est-il ? Parmi ceux que la Poste n'a pu livrer, car l'adresse à Montfaucon existe, mais pas la personne mentionnée. Cette même adresse a d'ailleurs déjà servi plusieurs fois auparavant, visiblement pour de semblables arnaques. Ces acheteurs sur Internet ne s'intéressent absolument pas aux objets, ils veulent juste qu'on leur fournisse des code PIN Paysafecard afin de vous soutirer de l'argent.
Notre lecteur s'en tire donc sans trop de dommages. Il a même récupéré son colis de fourres de DVD et a remis ces dernières en vente sur Anibis. Il en est toutefois de sa poche pour les frais d'envoi et de compte, fermé depuis.
RépondreSupprimerRègles à suivre
Ce type d'escroquerie est connue et fait fureur, nous confirme la Fédération romande des consommateurs. Elle a d'ailleurs publié une mise en garde sur son site. Paysafecard elle-même est au courant de ces pratiques frauduleuses qui font du tort à son image et donne des conseils à ses utilisateurs. Dont, le principal, à respecter absolument: ne jamais transmettre un code PIN par mail ou téléphone. En cas de doute, immédiatement bloquer son compte.
En cas de suspicion face à un soi-disant mail officiel, comme ici ceux de Paypal, entrez l'adresse de contact dans un moteur de recherche. Dans notre cas, service.virementdefonds@europe.com nous amène directement sur un site de signalement d'arnaques. Enfin, vous pouvez également dénoncer votre cas auprès de la police fédérale via son formulaire. Pas sûr que les coupables soient arrêtés, mais plus les arnaques sont connues, moins elles fonctionnent. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/suisse/arnaque-paiements-electroniques-fureur/story/10413503
Ne payez jamais vos impôts par internet !
SupprimerPROCÈS ROUNDUP - MONSANTO CONDAMNÉ À PAYER PRÈS DE 81 MILLIONS
RépondreSupprimerLe géant agro-chimique a été reconnu coupable de négligence à l'issue du procès de San Francisco intenté par un retraité américain.
28.03.2019
Le groupe Monsanto a été reconnu coupable mercredi de négligence. Un jury californien l'a condamné à verser près de 81 millions de dollars à un retraité américain souffrant d'un cancer qu'il attribue au Roundup, le désherbant vedette du groupe.
C'est un très sérieux revers pour le géant allemand Bayer, le nouveau propriétaire de Monsanto, déjà condamné dans un procès similaire en août aux Etats-Unis. Bayer s'est d'ailleurs dit «déçu par la décision du jury» dans un communiqué, mais estime que ce verdict «ne change rien au poids de 40 ans de science et de conclusions d'agences de régulation dans le monde entier qui soutiennent que notre désherbant au glyphosate est sûr et qu'il n'est pas cancérigène».
Le groupe a annoncé qu'il allait faire appel de ce jugement. Le jury a considéré que Monsanto n'avait pas agi de bonne foi pour prévenir les usagers du risque potentiellement cancérigène de son produit, qui contient du glyphosate. Il est donc considéré comme légalement responsable de la maladie du plaignant, qui a usé du désherbant pendant plus de 25 ans. Le plaignant et ses avocats se sont longuement enlacés dans la salle d'audience, tout sourire après ce verdict.
Dommages «punitifs»
Les jurés ont aussi estimé que le Roundup avait un «défaut de conception», qu'il «manquait d'avertissements» sanitaires sur les risques et que Monsanto avait été «négligent».
Parmi les dommages à payer, 75 millions sont des dommages «punitifs» destinés à punir le groupe pour sa conduite. La semaine dernière, ce même jury avait déjà jugé que le Roundup était un facteur substantiel du cancer du septuagénaire, ouvrant alors la deuxième phase des débats, consacrée à la responsabilité de Monsanto.
«Aujourd'hui, le jury a montré avec éclat que Monsanto devait rendre des comptes pour ses 40 ans de malfaisance d'entreprise et a envoyé à Monsanto le message qu'il est temps de changer la façon de faire affaire», ont estimé les avocates du plaignant.
Boîte de Pandore
Au-delà de ce procès, Bayer fait face à quelque 11'200 procédures similaires rien qu'aux Etats-Unis. Ce dossier «va encourager» d'autres «plaignants potentiels à entamer des poursuites», explique à l'AFP Carl Tobias, professeur de droit à l'Université de Richmond. Et si Bayer perd plusieurs autres procès, «il lui faudra sérieusement réfléchir à un accord» à l'amiable hors tribunaux pour solder les poursuites, ajoute-t-il. Cela pourrait lui coûter des milliards de dollars.
Le groupe allemand avait déjà été condamné à verser 289 millions de dollars à un jardinier malade d'un cancer en phase terminale lors d'un procès à San Francisco en août. La somme a ensuite été réduite par une juge à 78,5 millions de dollars. Bayer a aussi fait appel de ce jugement.
Le groupe martèle qu'aucune étude, aucun régulateur dans le monde n'a conclu à la dangerosité du glyphosate ou du Roundup entre sa mise sur le marché au milieu des années 70 et 2012, date à laquelle le septuagénaire a cessé de s'en servir
Au contraire, «Monsanto a influencé et manipulé la science» en dissimulant certains résultats aux régulateurs ou en payant des scientifiques pour qu'ils signent des articles en fait directement rédigés par le groupe, avait accusé l'une des avocates du plaignant lors des débats.
RépondreSupprimerBoulet ?
Bayer a acquis l'américain Monsanto en 2018 pour 63 milliards de dollars. Mais le coût pourrait s'avérer bien plus élevé pour le groupe allemand à mesure que s'additionnent aux Etats-Unis les procès contre Monsanto, spécialiste des produits phytosanitaires et des semences OGM.
Depuis l'acquisition de Monsanto, le cours de Bourse de Bayer a plongé de près de 40%. Pour autant, le rachat de Monsanto par Bayer reste une «bonne idée» malgré l'avalanche de procédures judiciaires contre le Roundup, avait encore estimé dimanche le patron du géant allemand de la chimie Werner Baumann. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/monsanto-condamne-payer-81-millions/story/28620031
En toutes dictatures règne l'injustice et relâche l'assassin ou exécute l'innocent. C'est selon les avantage financier dont elle en tirera profit.
SupprimerTout est aujourd'hui affaire de lobbying. TOUT !
Donc, supprimer le désherbant incriminé sans AUCUNE preuve de sa nocivité pour l'homme est d'empêcher les récoltes de se faire et donc de nourrir le monde !
Il doit y avoir le monde des crève-la-faim et celui des Fouquet.
Il doit y avoir des herbes folles en plein champs de blé rendant impropre toute moisson et vente de farine !
Il doit y avoir des fruits et légumes malades faute d'y apporter remède comme pour les vaches folles, diarrhées porcines, grippe aviaire ou myxomatose du lapin.
CINÉMA - L'ACTEUR TERENCE HILL SOUFFLE SES 80 BOUGIES
RépondreSupprimerLa star des westerns spaghettis des années 1970 , l'acteur italien Terence Hill fête ses 80 ans.
28.03.2019, 07h15
Avec son alter ego Bud Spencer, il a été la star des westerns spaghettis des années 1970. L'acteur italien Terence Hill, alias Mario Girotti, fête vendredi ses 80 ans, toujours populaire dans son nouveau rôle de détective en soutane à la télévision.
«On n'a jamais été remplacés parce que ça été une rencontre magique, ça a fonctionné et on ne sait pas pourquoi», déclarait Terence Hill dans une récente interview à propos du duo unique qu'il a formé à l'écran avec Bud Spencer, décédé en 2016.
«A chaque fois que j'entrais en scène avec Bud, je me transformais et je pense que c'était pareil pour lui», ajoutait-il.
A 80 ans, Terence Hill a toujours le regard bleu azur et le sourire espiègle qui ont fait le succès du cow-boy malicieux qu'il a campé dans les westerns spagettis de la décennie 1970.
Etudes littéraires
Né à Venise en 1939 d'une mère allemande et d'un père italien, le jeune Mario Girotti passe ses premières années en Saxe avant d'arriver à la fin de la guerre en Ombrie, région de sa famille paternelle dans le centre de l'Italie.
Installé ensuite à Rome avec sa famille, il fait de la natation en compétition et n'a que 12 ans lorqu'il est remarqué par le cinéaste italien Dino Risi, qui lui offre un petit rôle dans son premier film «Vacanze col gangster».
Après des études littéraires, qu'il abandonnera pour suivre des cours d'art dramatique à l'Actors Studio, il se voit proposer ses premiers rôles sous la direction de Mauro Bolognini ou de Vittorio De Sica.
Mais il faudra attendre 1963 pour que sa carrière prenne un tournant décisif grâce au maître Luchino Visconti, qui fera de lui le conte Cavriaghi dans «Le Guépard», au côté de Burt Lancaster, Alain Delon et Claudia Cardinale.
De retour en Italie, après quelques années passées en Allemagne, l'acteur tourne «Dieu pardonne... moi pas !» (1967), film où il rencontre sa future épouse, l'actrice américaine d'origine bavaroise Lori Zwicklbauer, ainsi que son compatriote Carlo Pedersoli, qui deviendra son partenaire de cinéma.
Bastons et haricots rouges...
«J'étais venu remplacer un acteur qui s'était blessé à un pied, je suis arrivé sur le plateau où on devait se battre et c'est pendant cette scène que Bud a inventé le coup de point du haut vers le bas, comme un coup de marteau sur la tête, qu'on ne voit nulle par ailleurs que dans nos films», se souvient Terence Hill.
«Notre relation est née là et elle n'a fait que grandir par la suite, jamais on ne s'est fâchés», raconte l'acteur dont la filmographie compte quelque 80 longs métrages.
Les deux hommes décident alors de tenter l'aventure américaine et de troquer leurs noms trop «italiens» pour les patronymes plus hollywoodiens de Bud Spencer et Terence Hill.
RépondreSupprimerLes tournages vont s'enchaîner et la légende se forger avec des westerns spaghettis comme «On l'appelle Trinita» (1970) suivi de «On continue de l'appeller Trinita (1971), auxquels succèderont »Attention, on va s'fâcher« (1974) ou »Cul et chemise« (1979).
Le duo formé par le beau (Terence) et la brute (Bud), assaisonné de bastons et de haricots rouges, fera des merveilles au box office, offrant aux deux compères une notoriété planétaire doublée d'un énorme capital sympathie.
Fils adoptif décédé
Terence Hill se verra aussi proposer une trentaine de rôles en solo dont le culte »Mon nom est Personne« (1973) avec Henry Fonda, ou »Lucky Luke« (1991).
Après une parenthèse de 10 ans liée à la mort de son fils adoptif dans un accident de la route, Terence Hill reprendra le chemin des studios en 2000, pour la télévision italienne, grâce au rôle de »Don Matteo« (»Un sacré détective«).
Dans cette série à succès, exportée en Amérique latine, en France, en Allemagne, il campe depuis près de 20 ans un curé de campagne à vélo et en soutane qui mène des enquêtes parallèles à celles des carabiniers locaux.
Il a retrouvé le grand écran en 2018, comme acteur et réalisateur avec «My name is Thomas», un road movie tourné dans le désert espagnol, là même où il avait rencontré son ami de toujours, 50 ans plus tôt.
(afp/nxp)
https://www.lematin.ch/loisirs/cinema/acteur-terence-hill-souffle-80-bougies/story/11338041
Les familles indiennes disposent de 23.000 tonnes d’or. Pour encore combien de temps ?
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
28 mars 2019
Au cours de son histoire, l’Inde a entretenu une grande affinité avec l’or. Ce pays est l’un des plus gros importateurs d’or au monde. Toutefois, cette période semble prendre fin. Au cours des onze derniers mois, les importations d’or ont chuté de 5,5% par rapport à la période précédente. Par conséquent, de nombreux bijoutiers craignent pour leur avenir.
Les Indiens ont longtemps considéré l’or comme la réserve de richesse la plus sûre. Les femmes indiennes apportent souvent de l’or en tant que dot à leur mariage. Les nouveau-nés reçoivent des bracelets et des bracelets de cheville en or. Les astrologues recommandent le port de bagues en or afin de lutter contre le stress.
Les ménages indiens possèdent ensemble 23.000 tonnes d’or. C’est trois fois plus que la totalité des réserves d’or de la Réserve fédérale américaine. L’Inde a importé 74,7 milliards de dollars d’or l’an dernier. Jusqu’en mars 2018, les importations d’or se classaient juste derrière le pétrole.
Dépendance
Le gouvernement indien a tenté à plusieurs reprises de mettre fin à la dépendance à l’or des Indiens. Les droits d’importation d’or ont été multipliés par cinq depuis 2013. En 2015, le gouvernement a également mis en place un système permettant aux investisseurs d’échanger de l’or contre des obligations portant intérêt. La publicité télévisée encourage les téléspectateurs à investir dans des fonds d’investissement.
Ces efforts ont longtemps été inutiles, mais quelque chose semble avoir changé, explique The Economist. Depuis 2010, la demande en or a diminué d’un cinquième en Inde.
Selon The Economist, plusieurs raisons expliquent ce phénomène. Dans un premier temps, les préférences des consommateurs ont évolué. Beaucoup d’entre eux préfèrent les bijoux plus légers au quotidien. Les millénaires, un tiers de la population indienne, dépensent en outre plus que les générations précédentes en téléphones portables et autres produits électroniques.
Ensuite, le prix international de l’or a augmenté. Le mois dernier, il atteignait encore son plus haut niveau depuis cinq ans. La faible roupie rend cet impact encore plus fort. La vente d’or a également été confrontée à une nouvelle taxe introduite par le gouvernement indien il y a deux ans. La nouvelle taxe était supérieur d’un tiers aux taux précédents.
Concurrence en ligne
« Avec un taux d’inflation d’à peine 2,6%, l’utilité de l’or en tant que couverture a également diminué », a expliqué l’économiste indien Ajit Ranadet. De nombreux bijoutiers indiens se plaignent de faibles marges. Ils font également face à une concurrence féroce de la part de toutes sortes de sociétés en ligne vendant des petites quantités d’or.
Depuis 2016, plus de 30 millions de clients ont échangé trois tonnes d’or via Paytm, un géant du commerce en ligne. La valeur de la transaction moyenne était comprise entre 0,65 euro et 1,30 euro.
RépondreSupprimerLes bijoutiers, qui représentent 70% des ventes d’or indien, doivent encore se remettre de l’intervention du gouvernement indien sur le marché monétaire national. Des billets de grande valeur ont été retirés de la circulation, ce qui a limité les achats en espèces.
Le gouvernement voulait ainsi lutter contre l’économie souterraine et promouvoir le commerce en ligne. Cependant, aucun de ces objectifs ne semble avoir été atteint.
https://fr.express.live/les-familles-indiennes-disposent-de-23-000-tonnes-dor-pour-encore-combien-de-temps/
Prises ADN, gardes à vue et antiterrorisme: le décrochage de portrait de Macron coûte cher
RépondreSupprimer11:39 28.03.2019
Les décrochages de portraits du Président de la République pour dénoncer l’inaction climatique du gouvernement a provoqué un «zèle policier», écrit Mediapart. Les gardes à vue et auditions se multiplient, jusqu’à l’implication du Bureau de lutte antiterroriste et la prise d’empreintes digitales et d'ADN.
Dans toute la France, des portraits d'Emmanuel Macron ont été décrochés dans des mairies; une action pour dénoncer l'inaction du gouvernement sur les questions climatiques et sociales. Depuis le premier décrochage, 276 militants ont participé à une trentaine d'actions et 27 portraits ont été décrochés, annonce Mediapart.
Cette action, initiée par le mouvement écologiste ANV-COP21, a entraîné une réaction acharnée des autorités: 45 cinq personnes ont été auditionnées par la gendarmerie et la police, dont 23 lors d'auditions libres et 22 lors de placements en garde à vue. 16 perquisitions ont été menées. Quatre procès se tiendront concernant vingt personnes, avance le média.
Ces mesures résultent d'ordres émanant du sommet de l'État, témoigne un mail du directeur général de la gendarmerie nationale, adressé à la gendarmerie de Lorient et qui a «fuité» sur les réseaux sociaux avant que Le Monde ou Reporterre n'en parlent.
«Ces "directives concernant les vols de portraits présidentiels dans les mairies" demandent notamment qu'une procédure de flagrance soit "systématiquement ouverte" et invitent les gendarmes à "recueillir les plaintes des maires ou, à défaut, celles des préfets" ainsi qu'à "prendre attache avec le BLAT [Bureau de lutte antiterroriste, ndlr] afin de déterminer les modalités à mettre en œuvre pour chercher la responsabilité morale de l'association"», détaille l'enquête de Mediapart.
Le média a recueilli les témoignages de personnes placées en garde à vue pour «décrochage». Ces derniers évoquent la pression exercée par les gendarmes lors des interrogatoires: gardes à vue de plusieurs heures, perquisitions, convocations au tribunal, et même prise d'ADN et d'empreintes digitales.
https://fr.sputniknews.com/france/201903281040523170-adn-antiterrorisme-decrocher-portrait-macron-mediapart/
Supprimer(...) Les décrochages de portraits du Président de la République pour dénoncer l’inaction climatique du gouvernement (...)
Hahaha ! Rien ne vaut la chaleur humaine ! Hahahaha !
RépondreSupprimerUn millier de manifestants à Angers pour l’arrivée de Macron, la gare bloquée (images)
13:15 28.03.2019
Près d'un millier de manifestants se sont rassemblés à Angers pour l'arrivée d'Emmanuel Macron dans la ville dans le cadre du Grand débat. Des salariés du papetier Arjowiggins, menacé de liquidation judiciaire, manifestent sur les voies de la gare.
La gare d'Angers a été bloquée par des manifestants qui sont descendus dans la rue à l'approche de l'arrivée du Président de la République dans la ville, selon des témoins oculaires et les médias locaux.
D'après BFM TV, ce sont des salariés de l'entreprise papetière Arjowiggins qui manifestent sur les voies de la gare par crainte d'une liquidation judiciaire de leur société.
Des internautes font état d'une importante présence policière dans le centre-ville:
Emmanuel Macron se rend jeudi à Angers pour s'entretenir avec des élus, puis des enfants d'une dizaine d'années dans le centre culturel de Beaupréau-en-Mauges. Ce déplacement est l'un des derniers du Président dans le cadre du Grand débat national lancé le 15 janvier afin de tenter de trouver une solution à la crise des Gilets jaunes.
Plusieurs secouristes de l'association Street Medic 49 sont arrivés sur place:
Les manifestants essayent de contourner le périmètre de sécurité mis en place pour bloquer les accès à la préfecture où déjeune Emmanuel Macron en compagnie d'une cinquantaine d'élus locaux et nationaux, relate Ouest-France.
https://fr.sputniknews.com/france/201903281040523932-macron-angers-manifestations/
SupprimerL'accueil chaleureux à ranimé la flamme du souvenir que la raie publique est un danger !
Dernière disgrâce du globalisme: l'armée contre les vestes jaunes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 03/28/2019 - 03:30
Écrit par Tom Luongo via la Fondation pour la culture stratégique,
Peu de gens dans ce monde sont aussi odieux que le président français Emmanuel Macron après son comportement cette semaine. Je suis sûr qu'il y a des agresseurs d'enfants qui sont pires. Mais comme un homme qui joue un rôle crucial dans l’avenir de centaines de millions de personnes, sa décision d’ordonner à l’armée française de réprimer les manifestations du Gilet jaune avec des balles réelles est tout simplement odieux.
Macron s'est présenté comme le symbole même de ce qui anime l'élite mondialiste qu'il représente.
Mépris.
Le dédain qu’il retient pour les personnes qu’il dirige est palpable. C’est aussi palpable pour son dédain pour les Britanniques qui ont voté pour le Brexit. Pour lui, l’UE est tout, l’UE est inévitable et face au choix de servir la France ou de servir l’UE, il choisit l’UE à chaque fois.
C’est ce qui l’a conduit à cette décision désastreuse de déployer l’armée française dans les rues pour la première fois depuis 1948 avec l’ordre de tirer sur les manifestants.
Et ce dédain est si complet qu’il ne se rend pas compte de ce qui se passe si même l’un de ces hommes va trop loin et croit le président sur parole. Heureusement, cela ne s'est pas produit.
Mais s’il l’avait fait, il aurait complètement perdu le contrôle de son pays, s’il ne l’avait pas déjà fait.
Les estimations pour l'acte XIX des Gilets Jaunes ce week-end dépassent les 125 000 personnes en France. Que beaucoup de personnes qui descendent dans la rue et qui risquent de se faire tirer dessus ne soient pas du genre à rejeter d'un geste de la main.
C'est quelque chose en tant que leader que vous devez prendre très au sérieux.
Parce que la vraie peur pour Macron n’est pas une manifestation violente qui se termine par des manifestants abattus et tués. Non, la vraie peur, ce sont les manifestations pacifiques.
Monsieur Macron, que se passe-t-il si les soldats que vous avez déployés pour empêcher la participation à ces manifestations voient à quel point la violence signalée a été exagérée?
Ou pire, leur absence confirme leurs soupçons selon lesquels les actes de violence auraient été commis par des agents provocateurs qui ne se sont plus présentés car ils ne valent plus les 25 € / heure où ils sont payés pour semer le mécontentement ?
Ils verront exactement ce que Macron ne veut pas qu'ils voient: des personnes en colère, découragées et désespérées qui ont des griefs légitimes et qui expriment ces sentiments de la seule façon dont ils savent le faire.
Si Macron ne faisait pas la guerre civile avant ce week-end, il le fait maintenant.
Car un soulèvement contre un gouvernement corrompu et insensible par certains est une chose. Cela commence par les plus en colère, mais cela ne peut se propager dans le temps que si le gouvernement ne les entend pas.
Les réactions de Macron n’ont fait qu’aggraver les choses.
Ainsi, alors que le peuple a lancé ce combat pour l'avenir de la France, ce seront les militaires qui le termineront. Et malheur à Macron et à l’élite politique française si l’armée sur le terrain
côtoie le peuple qu’elle a été envoyée pour tirer.
RépondreSupprimerIl n’y a rien de plus lâche qu'une démocratie soi-disant libérale et tolérante qui envoie l’armée pour la fermer et ordonner la violence à l’encontre de son propre peuple pour la rue. C'est simplement l'ordre du dictateur en étain avec des illusions d'adéquation.
La direction prudente découle du fait d’avoir des armes et de savoir quand et comment les utiliser. Les images en provenance de France sont horribles et ne valent pas mieux que celles capturées lors de la répression menée par Mariano Rajoy contre la Catalogne lors de son référendum sur l’indépendance en 2017.
Cette réponse lui a coûté son travail. Il en va de même pour Macron, maintenant qu'il a franchi cette ligne.
Macron est sous les ordres de ses payeurs dans The Davos Crowd pour prendre le contrôle de la France. Il ne sera pas démis de ses fonctions tant qu’il agira conformément à leurs souhaits. À ce jour, ils l'auraient remplacé par quelqu'un de plus apte à désamorcer la situation.
Il n’y a qu’un problème avec cela. Il n'y a personne d'autre.
La cote d’approbation de Macron est catastrophique. Il votera derrière le rallye national de Marine Le Pen, qui enverra plus de membres au Parlement européen que son représentant En Marche en mai.
Il était déjà candidat à l’appât et au remplacement lors de l’élection de 2017. Le vêtement du mondialiste en réformateur. Et maintenant qu’il est au centre de la colère des Gilets Jaunes, rien d’autre que le rejet brutal de leur rébellion sauvera Macron à ce stade.
Parce qu'ils le savent et qu'ils savent qu'il les déteste.
Mais une répression violente ne fait que gagner la bataille pour perdre la guerre.
L’UE étant aux prises avec un combat mortel contre des Brexiteers et l’Italie poussant l’enveloppe au Conseil européen, il n’ya plus de marge de manœuvre.
Donc, cela continue jusqu’à ce que c’est impossible. À ce stade, la légitimité de Macron s’évaporera et un changement politique se produira. Mais les mondialistes derrière Macron et dans les milieux politiques français vont reporter cela le plus longtemps possible.
L’UE étant aux prises avec un combat mortel contre des Brexiteers et l’Italie poussant l’enveloppe au Conseil européen, il n’y a plus de marge de manœuvre.
C’est pourquoi le manque de violence lors des manifestations de l’ACT XIX ce week-end était si important. Le bluff de Macron a été appelé. Et cela signifie que nous approchons de la fin de son histoire. Et ça ne pouvait pas
C’est pourquoi le manque de violence lors des manifestations de l’ACT XIX ce week-end était si important. Le bluff de Macron a été appelé. Et cela signifie que nous approchons de la fin de son histoire. Et il ne pourrait pas arriver à une belette plus méritante.
Merkel, vous êtes sur le pont
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/globalisms-last-disgrace-army-vs-yellow-vests
Les voitures européennes vont bientôt ralentir automatiquement si vous roulez à toute vitesse
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 03/28/2019 - 02:45
Dans la prochaine étape pour devenir un Brave New World utopique aux mains d'une réglementation suffocante et déshumanisante, toutes les nouvelles voitures vendues au Royaume-Uni et en Europe seront bientôt équipées de dispositifs limiteurs de vitesse, qui empêcheront automatiquement les conducteurs de dépasser la limite de vitesse, selon le gardien.
Ce concept fait partie des changements radicaux en matière de sécurité des règles de sécurité des véhicules que l'UE a provisoirement acceptés. Bien que la Grande-Bretagne ne fasse peut-être pas partie de l'Union européenne lorsque les règles entreront en vigueur (leur mise en œuvre devrait être achevée d'ici 2022), les régulateurs britanniques ont déclaré qu'ils appliqueraient les normes de sécurité outre-Manche. Les règles doivent encore être ratifiées par le Parlement européen, ce qui pourrait arriver d'ici à septembre.
Outre les limiteurs de vitesse, d'autres caractéristiques à rendre obligatoires en 2022 comprennent le freinage d'urgence automatisé, les enregistreurs de données électroniques et une visibilité améliorée. Cette initiative est décrite comme "l’un des plus grands progrès réalisés depuis 50 ans" en matière de sécurité automobile et on estime qu’elle pourrait sauver 25 000 vies d’ici 2037.
Le dispositif limiteur de vitesse, appelé assistance de vitesse intelligente (ISA), utilise le GPS et la reconnaissance de panneaux pour détecter les limites de vitesse. Il émet un avertissement et ralentit automatiquement le véhicule s’il dépasse la limite. Les conducteurs seront en mesure de "contourner" l'appareil en appuyant fortement sur l'accélérateur, indique l'article, bien que cet acte puisse également avertir discrètement toute police à proximité. Certains groupes d'automobilistes ont fait valoir que l'accélération peut parfois être l'option la plus sûre, par exemple lorsqu'une personne doit passer rapidement devant un véhicule.
Antonio Avenoso, directeur exécutif du Conseil européen pour la sécurité des transports, a déclaré au Guardian: "Au cours des 50 dernières années, il n'y a eu que quelques moments que l'on pourrait qualifier de grands pas en avant pour la sécurité routière en Europe. L'introduction obligatoire de la ceinture de sécurité C’est le cas et les premières normes européennes minimales de sécurité en cas de collision, convenues en 1998, en sont une. Si l’accord de la nuit dernière donne son feu vert officiel, il représentera un autre de ces moments, empêchant 25 000 décès en 15 ans à compter de son entrée en vigueur. "
Joshua Harris, directeur des campagnes de l'organisation caritative Brake, déclare: «Ces mesures salvatrices surviennent à un moment crucial: la sécurité routière est stagnante et plus de 70 personnes meurent ou sont grièvement blessées chaque jour sur les routes britanniques. Le gouvernement doit s’engager à adopter ces règlements qui sauvent des vies, peu importe ce qui se passe avec le Brexit. »
Nous avons également signalé récemment que Volvo mettait en place de nouveaux systèmes de sécurité qui permettraient à son véhicule de déterminer si un conducteur était en état d'ébriété ou distrait, puis, dans le cas d'un conducteur ivre, d'intervenir à différents niveaux et "d'appeler les autorités".
Nous sommes persuadés que ces limiteurs, ainsi que les nouveaux systèmes de sécurité automatisés, redonneront du plaisir à la conduite, en particulier pour les passionnés d’automobile.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/european-cars-will-soon-slow-down-automatically-if-youre-speeding
Pourquoi cette OBLIGATION de créer des bouchons ? Parce que plus les moteurs tournent plus il y a de consommation de carburants, d'énervements et de pollution mortelle ! (Plus de 40 000 morts en Franche chaque année par le diesel !!).
SupprimerD'où de plus en plus des vitesses limitées à 30 km/h (18,64 miles/h) ou 25 ou 20 !
RépondreSupprimerL'UE peut-elle survivre à sa propre censure ?
par Tyler Durden
Jeu, 03/28/2019 - 02:00
Écrit par Tom Luongo,
La nouvelle directive complète sur le droit d’auteur de l’UE a été adoptée par le Parlement européen, garantissant que notre manière d’utiliser Internet changera à l’avenir.
Et pas pour le mieux.
Les articles controversés sont les articles 11 et 13, la "taxe sur les liens" et le "filtre de téléchargement". Pour bien comprendre à quel point ces nouvelles règles sont terribles sur Internet, mais cet article de Gizmodo (qui, je l’espère, ne me facture pas de taxe de lien pour le faire !) Fera l'affaire.
Je voudrais aussi regarder cette vidéo de Dave Cullen, un résident de l’Irlande, c’est-à-dire de l’Union européenne, sur ce qu’il pense par là.
Dave soulève un certain nombre de points fantastiques sur les ramifications des articles 11 et 13, points que je ne contesterai pas.
L'arrogance et le vertige des eurodéputés européens de faire avancer les choses sans même écouter les arguments en faveur des amendements en disent long sur le prix d'achat et le coût de cette législation.
Et vous savez qui faisait les achats. Les mêmes personnes actuellement derrière la destruction du Brexit - The Davos Crowd. Je ne veux pas trop insister sur ce point, car j’ai couvert tout cela récemment (ici) et dans le passé (ici).
Contrôler le fil
Mais il y a des raisons très valables pour lesquelles cette campagne de contrôle du flux d'informations en provenance de l'UE est un autre exemple de leur désespoir de garder le contrôle de ce que j'ai appelé dans le passé, The Wire:
En bref, The Wire est la principale voie par laquelle nous communiquons. Même l'argent est le fil. Quels sont les prix sinon l'information sur ce que nous sommes disposés à nous séparer de notre argent en échange ?
Sans The Wire, la société moderne échoue. Donc, le gouvernement ne peut pas le fermer, mais il ne peut pas non plus permettre un accès illimité à celui-ci.
L'électricité, le commerce, les communications, tout passe par le fil.
Ce n’est pas un concept radical, mais comme toutes les idées importantes, une fois qu’il vous est présenté, vous ne pouvez pas l’ignorer.
Le contrôle de The Wire est le seul combat qui compte ou a jamais compté dans la société. Internet est le fil au sens large. Par conséquent, il est logique que son contrôle soit primordial pour maintenir un contrôle sur la société en général.
Les oligarques des entreprises craignent pour leurs projets. Ils veulent désespérément garder le contrôle. Ils ont travaillé pendant des décennies pour transformer l’Etat-nation en un nouveau super-État transnational brillant dont l’UE est un exemple.
La nouvelle directive sur le droit d'auteur est conçue pour dresser des barrières à l'entrée et mettre fin au discours d'opposition en externalisant l'application sur les plateformes hébergeant le matériel.
Et ces plateformes ne sont que trop heureuses de le faire car elles ont la possibilité d’évincer toute concurrence potentielle. Ainsi, bien que leurs coûts augmentent légèrement, ils sont maintenant à l’abri de la concurrence, ce qui réduirait leurs marges à zéro au fil du temps, comme le ferait tout marché libre.
RépondreSupprimerRappelez-vous que dans toute entreprise humaine, le profit est une chose toujours insaisissable. Avec des motivations bien alignées, une personne est toujours attirée par le profit que quelqu'un d'autre réalise et trouvera un moyen de créer une meilleure souricière, en quelque sorte, en réalisant ce profit.
Si vous pouvez court-circuiter ce processus via le contrôle de The Wire, vous pouvez garantir un profit pour votre travail passé bien plus longtemps que vous ne le feriez autrement.
Ceci est connu comme le loyer.
Faux biens, faux choix
C’est la raison pour laquelle l’industrie de la musique et du cinéma veut que sa propriété intellectuelle soit protégée des politiques d’utilisation équitable. Ils voient les marges dégringoler et veulent continuer à faire payer par utilisation / écoute / vue les choses qu’ils conservent le droit d’auteur bien au-delà de la volonté du public de les payer.
C’est trop cher pour ces entreprises de nous poursuivre individuellement. Cela ne fonctionne que de façon très limitée. Oui, ils peuvent supprimer Alex Jones ou Sargon d'Akkad ad hoc, mais avec une réaction prévisible contre elle.
En droit, cela va toutefois à un autre niveau. Et c’est encore un autre choix que Hobson propose aux gens d’accepter la réglementation de ces entreprises en tant que services publics (garantissant leur statut de monopole) ou de rendre l’internet inutilisable.
Cette directive est un pur protectionnisme des producteurs de médias traditionnels, qu’il s’agisse de nouvelles, de musique, de films, etc., dont les modèles commerciaux ne se sont pas encore effondrés. Ils sont maintenant subventionnés par d’autres secteurs rentables, c’est-à-dire que le Washington Post est en réalité une société amazonienne.
Ainsi, en réalité, les articles 11 et 13 ne sont que des pots à miel corporatistes typiques, du moins en théorie.
Mais c'est tout mauvais? Est-ce que l'avenir sera celui-ci et davantage de lois et de contrôles comme celui-ci ?
Probablement pas.
Déflation IP
Examinons plus particulièrement la taxe sur les liens. Pour ce faire, nous devons envisager le pire scénario possible: l'UE ne tiendrait pas compte de toutes les questions liées aux traités transfrontaliers et à l'application des impôts, et nos gouvernements accepteraient cette absurdité.
Je voudrais donc faire un lien vers un article de Der Speigel pour faire quelques remarques sur Angela Merkel.
Pour le faire maintenant, en vertu de l'article 13, je dois obtenir une licence permettant de créer des liens avec eux et de payer une redevance. Appelons cette taxe 100 €. Au lieu de payer ces frais, ma réaction naturelle serait de ne pas créer de lien avec ces droits et de simplement y faire référence.
Je vais le citer et ne pas mettre dans un lien.
RépondreSupprimerSi cela ne fonctionne pas et que WordPress supprime mon message, je vais effectuer la capture d'écran de la section pertinente de l'article (style 4chan) et ne pas y associer de lien. Cela nécessite un renifleur plus sophistiqué pour comprendre ce que j'ai fait.
Et dans le pire des cas, s’ils le découvrent, je ne les citerai tout simplement plus. Et j’écrirai l’article de telle manière que je n’ai pas besoin de le faire. Ils ne reçoivent plus le trafic. Ils n'ont jamais eu les droits de licence.
Le résultat est qu'ils tombent dans le classement de recherche Google.
Et je peux garder mon trafic et mon public heureux.
Qui gagne ici ? Moi ou eux ?
Moi.
Surtout si je maintiens mes droits de licence de lien pour mon contenu à un prix raisonnable: zéro.
Pour moi, un lien est une publicité gratuite. Je sais que chacun est un cadeau qui rapporte d’énormes dividendes. Je chéris les gens qui me contactent pour obtenir la permission de gratter mon travail.
Le but de mon travail est d’atteindre un public aussi large que possible. Pourquoi devrais-je mettre des barrières à cela ?
Vous devez mettre cela en perspective. Quatre-vingt-quinze pour cent des nouvelles que vous lisez sont une reformulation d'un communiqué de presse émanant d'un gouvernement ou d'une entreprise. Si vous pensez que quelqu'un ne peut pas réimprimer les communiqués de presse des gouvernements ou des entreprises pour moins de 100 € la tête, vous êtes fou.
Tout comme dans les ventes au détail. Amazon tue les détaillants locaux parce que les articles faciles à acheter sont facilement livrés de manière plus efficace, sans vitrine de brique et de mortier. Le coût de son entretien et des personnes se rendant au centre-ville est un gaspillage de capital précieux et rare.
C’est un vieux modèle sans avenir.
Les organes de presse qui n’ajoutent rien mais se contentent de diffuser le même contenu, mais avec un effet légèrement différent, il ne sera pas possible de facturer un centime pour des liens. Sur le plan fonctionnel, y a-t-il une différence entre Yahoo !, MSN, CNN ou FOX pour 95 % des nouvelles ?
Non.
Si vous produisez quelque chose qui est une valeur ajoutée, les gens trouveront un moyen de se justifier de payer pour cela. La publicité couvre une partie de ce coût. Si ce n’est pas le cas, ce n’est pas une perte de revenu, c’est bien le revenu que vous n’avez jamais eu à ce prix.
Dans le monde des affaires Internet, tout est dans les yeux. Perdre des yeux pour les taxes sur les liens est simplement une mauvaise affaire.
La dernière guerre
RépondreSupprimerL’UE vient donc de donner à ces industries sclérosées et mourantes tout ce qu’elles ont toujours voulu. Mais, à long terme, ce sera leur perte, car cela incitera toute une génération de journalistes citoyens à occuper des créneaux et à mener des recherches primaires.
En outre, il sera inapplicable à tout niveau pratique, comme le souligne Dave Cullen. L’UE provoquera elle-même une baisse du trafic en provenance et à destination de ses plages IP.
Alors que le coût de The Wire diminue par mégaoctet, pensez à la 5G, il en va de même du coût pour résister à son contrôle. Les coûts moins élevés de la bande passante rendent possibles la mise en réseau d'égal à égal et les organisations autonomes décentralisées que même les amateurs de cryptographie les plus aguerris n'ont pas encore conçu.
Et une fois qu’il n’y a plus d’intermédiaire à qui s’adresser et se transformer en police du droit d’auteur, nous revenons à eux pour qu’ils poursuivent de nouveau des individus. À ce stade, le jeu est terminé.
C’est très loin de là et le présent sera difficile, au mieux, à naviguer. Mais nous n’avons pas les pieds sur terre. Je pense vraiment aux gars comme Dave Cullen qui construisent un excellent contenu et qui sont maintenant confrontés à de réelles contraintes.
Je ne les envie pas le moins du monde.
Mais pour moi, cela ressemble à un autre geste désespéré de la part des vieillards de la dernière guerre qui se tenaient contre The Wire et qui rédigeaient des lois périmées avant même qu’elles ne soient appliquées.
* * *
S'il vous plaît, envisagez de vous joindre à mon Patreon pour que le contenu continue de circuler, ce qui refuse fermement de jouer à son jeu de contrôle du contenu par le biais de l'esclavage des annonceurs.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/can-eu-survive-its-own-censorship
Dites vous bien que si internet et le téléphone n'avait jamais existé VOUS SERIEZ MORT(E) !
SupprimerC'est pourquoi la dictature qui veut se maintenir en place avec ses merdias et même sites sur Internet où ils n'hésitent pas à se citer eux-mêmes (aux télés, radios et journaux) comme étant les pires merdes rencontrées ! "N'allez surtout pas sur Internet ! C'est plein d'escroqueries, de fake-news et de pornographies pédérastiques !" Hahahaha !
La fabrication d'un monstre: nous sommes tous des rats de laboratoire dans les expériences secrètes du gouvernement
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 27/03/2019 - 22:45
Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
«Mais ce n'étaient pas des monstres à la peau pourrie, des tentacules, un homme de sept ans pourrait peut-être envelopper son esprit: c'étaient des monstres avec des visages humains, vêtus d'uniformes craquants, marchant au pas, banal, vous ne les reconnaissez pas pour ce qu'ils sont avant qu'il ne soit trop tard.
- Ransom Riggs, le foyer pour enfants singuliers de Miss Peregrine
Le gouvernement américain, à la recherche de soi-disant monstres, est lui-même devenu un monstre.
Ce n'est pas un nouveau développement, ni une révélation.
C’est un gouvernement qui au cours des dernières décennies a déchaîné des horreurs indicibles sur le monde - y compris ses propres citoyens - au nom de la conquête mondiale, de l’acquisition de plus grandes richesses, de l’expérimentation scientifique et des avancées technologiques, le tout présenté sous le prétexte du plus grand bien.
Remarquez, il n'y a pas de plus grand bien lorsque le gouvernement est impliqué. Il n'y a qu'une plus grande avidité pour l'argent et le pouvoir.
Malheureusement, le public est devenu si facilement distrait par le spectacle politique qui se dégage de Washington, DC, qu’il est complètement inconscient des expériences macabres, du comportement barbare et des conditions inhumaines qui sont devenues synonymes du gouvernement américain.
Ces horreurs sont infligées à l'homme et aux animaux.
C’est déjà assez navrant d’entendre parler de coups de couteau tirés par la police sur des chiens de famille qui ne représentent aucune menace - des animaux de compagnie bien-aimés «coupables» d’aboyer, de brandir une étiquette ou de courir vers eux en saluant, à une vitesse alarmante quelque part dans les environs de 500 chiens par jour.
Ce que je suis sur le point de partager va au-delà de déchirer le coeur à horrifiant.
Saviez-vous, par exemple, que le gouvernement américain a acheté des centaines de chiens et de chats sur des «marchés de la viande asiatiques» dans le cadre d’une expérience macabre sur les maladies d’origine alimentaire ? Les expériences cannibales consistent à tuer des chats et des chiens achetés en Colombie, au Brésil, au Vietnam, en Chine et en Éthiopie, puis à nourrir les restes morts à des chatons de laboratoire, élevés dans des laboratoires gouvernementaux dans le but précis d'être infectés puis tués.
Cela devient plus macabre.
Le ministère des Anciens Combattants prélève des parties du cerveau des chiens pour comprendre en quoi cela affecte leur respiration. appliquer des électrodes sur la moelle épinière des chiens (avant et après les avoir sectionnés) afin de déterminer l’impact des réflexes de toux sur les muscles et implanter des stimulateurs cardiaques dans le cœur des chiens, puis les inciter à subir une crise cardiaque (avant de drainer leur sang). Tous les chiens de laboratoire sont tués au cours de ces expériences.
Les organismes gouvernementaux ne traitent pas que des animaux traités comme des rats de laboratoire.
RépondreSupprimer«Nous, le peuple» sont également devenus des cobayes de l’État policier: être mis en cage, étiquetés, expérimentés à notre insu et sans notre consentement, puis jetés de manière commode et laissés à la vie.
En 2017, la FEMA avait «involontairement» exposé près de 10 000 pompiers, ambulanciers paramédicaux et autres intervenants à une forme mortelle de ricine lors de séances simulées de réaction au bioterrorisme. En 2015, il a été découvert qu'un laboratoire de l'Armée de terre envoyait «par erreur» de l'anthrax mortel à des laboratoires et à des sous-traitants de la défense depuis une décennie.
Bien que ces incidents particuliers aient été qualifiés d '"accidents", il n'est pas nécessaire de creuser très loin dans l'histoire du pays pour découvrir de nombreux cas dans lesquels le gouvernement a délibérément mené des expériences secrètes sur une population sans méfiance - citoyens et non-citoyens. - rendre malades des personnes en bonne santé en les pulvérisant avec des produits chimiques, en leur injectant des maladies infectieuses et en les exposant à des toxines en suspension dans l'air.
À l'époque, le gouvernement avait estimé qu'il était légitime d'expérimenter des personnes qui ne jouissaient pas de tous les droits dans la société, tels que les prisonniers, les malades mentaux et les Noirs pauvres.
En Alabama, par exemple, 600 hommes noirs atteints de syphilis ont été autorisés à souffrir sans traitement médical approprié afin d'étudier l'évolution naturelle de la syphilis non traitée. En Californie, des prisonniers plus âgés se sont fait implanter des testicules provenant de bétail et de condamnés récemment exécutés pour tester leur virilité. Dans le Connecticut, des patients souffrant de troubles mentaux ont reçu une injection d'hépatite.
Dans le Maryland, des prisonniers endormis ont été vaccinés contre le virus de la grippe pandémique. En Géorgie, deux douzaines de détenus «volontaires» ont été directement injectés dans leurs voies urinaires à travers le pénis par la bactérie de la gonorrhée. Dans le Michigan, des patients de sexe masculin hébergés dans un asile psychiatrique ont été exposés à la grippe après la première injection d'un vaccin expérimental contre la grippe. Au Minnesota, onze «volontaires» d’employés de la fonction publique ont reçu une injection de paludisme, puis ont été privés de nourriture pendant cinq jours.
À New York, des cellules cancéreuses ont été introduites dans leurs systèmes. En Ohio, plus de 100 détenus ont reçu une injection de cellules cancéreuses vivantes. Toujours à New York, les détenus d'une prison de détention ont également été divisés en deux groupes afin de déterminer comment un virus mortel de l'estomac se propageait: le premier groupe devait avaler une suspension de selles non filtrée, tandis que le second groupe se contentait de respirer des germes pulvérisés dans l'air. . Et à Staten Island, les enfants atteints de retard mental ont reçu l'hépatite par voie orale et par injection pour voir s'ils pouvaient ensuite être guéris.
Comme le rapporte l'Associated Press, «À la fin des années 1940 et dans les années 1950, les industries pharmaceutique et des soins de santé aux États-Unis ont connu une croissance fulgurante, accompagnée d'une explosion des expériences de prisonniers financées à la fois par le gouvernement et les entreprises. Dans les années 1960, au moins la moitié des États autorisaient les prisonniers à être utilisés comme cobayes à des fins médicales… parce qu'ils étaient moins chers que les chimpanzés.
En outre, «Certaines de ces études, principalement des années 1940 aux années 1960, n'ont apparemment jamais été couvertes par les médias. D'autres cas ont été rapportés à l'époque, mais l'accent était mis sur la promesse de nouveaux traitements durables, tout en passant sous silence la façon dont les sujets du test ont été traités. ”
RépondreSupprimerPannes médiatiques, propagande, spin. Semble familier ?
Combien d'incursions gouvernementales dans nos libertés ont-elles été occultées, enterrées sous les titres de «divertissement» ou filées de manière à suggérer que celui qui met en garde un mot d'avertissement est paranoïaque ou conspirateur ?
Malheureusement, ces incidents ne sont que la partie visible de l'iceberg en ce qui concerne les atrocités que le gouvernement a infligées à une population sans méfiance au nom de l'expérimentation secrète.
Par exemple, l’armée américaine avait effectué des tests secrets de gaz moutarde en fonction de sa race sur plus de 60 000 hommes enrôlés. Comme le rapporte NPR, «Toutes les expériences de gaz moutarde effectuées pendant la Seconde Guerre mondiale ont été faites en secret et n'ont pas été enregistrées dans les archives militaires officielles des sujets. La plupart n'ont aucune preuve de ce qu'ils ont vécu. Ils n'ont bénéficié d'aucun suivi médical ou suivi d'aucune sorte. Et ils ont juré de garder le secret sur les tests sous la menace d'une libération déshonorante et d'une peine de prison militaire, laissant certains incapables de recevoir un traitement médical adéquat pour leurs blessures, car ils ne pouvaient pas dire aux médecins ce qui leur était arrivé. "
Et puis, il y a eu le programme MKULTRA de la CIA dans lequel des centaines de civils et de militaires américains sans méfiance ont reçu une dose de LSD, certains ayant eu la drogue hallucinogène glissée dans leurs boissons à la plage, dans les bars de la ville, dans les restaurants. Comme le rapporte Time, «avant que la documentation et d'autres faits du programme soient rendus publics, ceux qui en parlaient étaient souvent rejetés comme étant psychotiques».
Maintenant, on pourrait dire que tout cela est de l’histoire ancienne et que le gouvernement d’aujourd’hui est différent du gouvernement d’hier, mais le gouvernement américain at-il vraiment changé ?
Le gouvernement est-il devenu plus humain, plus respectueux des droits des citoyens ?
Est-il devenu plus transparent ou disposé à se conformer à la règle de droit ? Est-il devenu plus véridique quant à ses activités ? A-t-il pris conscience de son rôle de gardien de nos droits ?
Ou le gouvernement a-t-il simplement caché ses actes infâmes et ses expériences ignobles sous des couches de secret, de légalisme et d'obscurcissement ? N’est-il pas devenu plus glissant, plus difficile à cerner ?
Après avoir maîtrisé l'art du double langage orwellien et suivi le plan de Huxleyan en matière de distraction et de diversion, ne traitons-nous pas avec un gouvernement qui est simplement plus rusé et plus compliqué qu'il ne l'était auparavant ?
Considérez ceci: après que des révélations sur les expériences du gouvernement couvrant le XXe siècle ont suscité l’indignation, le gouvernement a commencé à rechercher des cobayes humains dans d’autres pays, où «les essais cliniques pourraient être réalisés à moindre coût et avec moins de règles».
Au Guatemala, des prisonniers et des patients d'un hôpital psychiatrique ont été infectés par la syphilis, «apparemment pour vérifier si la pénicilline pouvait prévenir certaines maladies sexuellement transmissibles». En Ouganda, des médecins financés par les États-Unis «n'ont pas donné le médicament contre le sida AZT à tous les patients infectés par le VIH. femmes enceintes participant à une étude… même si cela aurait protégé leurs nouveau-nés. »Au Nigéria, des enfants atteints de méningite ont été utilisés pour tester un antibiotique appelé Trovan. Onze enfants sont morts et beaucoup d'autres ont été laissés handicapés.
RépondreSupprimerPlus les choses changent, plus elles restent les mêmes.
Exemple: en 2016, il avait été annoncé que des scientifiques travaillant pour le département de la Sécurité intérieure des États-Unis commenceraient à libérer divers gaz et particules sur des plates-formes de métro bondées dans le cadre d'une expérience visant à tester le flux d'air bioterror dans les métros de New York.
Le gouvernement a insisté sur le fait que les gaz libérés dans les métros par le DHS n'étaient pas toxiques et ne posaient pas de risque pour la santé. C’est dans notre intérêt supérieur, ont-ils dit, de comprendre à quelle vitesse une attaque terroriste chimique ou biologique pourrait se propager. Et regardez à quel point la technologie est cool - ont déclaré les pom-pom girls du gouvernement - que les scientifiques peuvent utiliser un procédé appelé DNATrax pour suivre le mouvement des substances microscopiques dans l'air et les aliments. (Imaginez le type de surveillance qui pourrait être effectuée par le gouvernement à l'aide de substances microscopiques aéroportées traçables que vous respirez ou ingérez.)
Rappelez-vous que c’est le même gouvernement qui, en 1949, avait pulvérisé des bactéries dans le système de traitement de l’air du Pentagone, le plus grand immeuble de bureaux du monde. En 1950, des forces spéciales ont pulvérisé des bactéries sur les navires de la marine au large des côtes de Norfolk et de San Francisco, exposant ainsi les 800 000 habitants de la ville.
En 1953, des membres du gouvernement ont organisé des attaques «simulacres» à l'anthrax sur St. Louis, Minneapolis et Winnipeg, en utilisant des générateurs placés au-dessus des voitures. Les gouvernements locaux auraient été informés que «des écrans de fumée invisibles étaient déployés pour masquer la ville sous le radar de l’ennemi». Des expériences ultérieures ont couvert un territoire aussi vaste que l’Ohio jusqu’au Texas et le Michigan au Kansas.
En 1965, les expériences du gouvernement en matière de bioterrorisme visaient l’aéroport national de Washington, suivies d’une expérience de 1966 dans laquelle des scientifiques de l’armée ont exposé un million de passagers du métro de New York à une bactérie en suspension dans l’air qui provoque une intoxication alimentaire.
Et c’est le même gouvernement qui a pris chaque technologie vendue au mieux de nos intérêts (GPS, surveillance, armes non létales, etc.) et l’a utilisée contre nous pour nous suivre, nous contrôler et nous piéger.
Donc, non, je ne pense pas que l’éthique du gouvernement ait beaucoup changé au fil des ans. Il vient de prendre ses programmes néfastes sous couverture.
La question demeure: pourquoi le gouvernement fait-il cela? La réponse est toujours la même: argent, pouvoir et domination totale.
C’est la même réponse quel que soit le régime totalitaire au pouvoir.
L’état d’esprit qui régit ces programmes a été comparé, à juste titre, à celui de médecins nazis expérimentant les Juifs. Comme le rapporte le musée de l'Holocauste, les médecins nazis "ont mené des expériences douloureuses et souvent meurtrières sur des milliers de prisonniers des camps de concentration sans leur consentement".
RépondreSupprimerLes expériences contraires à l'éthique menées par les nazis couvraient toute la gamme des expériences de gel utilisant des prisonniers pour trouver un traitement efficace contre l'hypothermie, des tests pour déterminer l'altitude maximale pour le parachutisme d'un avion, l'injection de paludisme, du typhus, de la typhoïde, de la fièvre jaune et de maladies infectieuses aux prisonniers. l'hépatite, exposant les prisonniers au phosgène et au gaz moutarde, et des expériences de stérilisation de masse.
Les horreurs infligées au peuple américain trouvent leur origine dans les horreurs commises dans les laboratoires nazis. En fait, après la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement américain a recruté de nombreux employés de Hitler, adopté ses protocoles, adopté sa mentalité vis-à-vis de la loi et de l’expérimentation, et mis en œuvre sa tactique par étapes.
Cela semble exagéré, vous dites ? Continuer à lire. Tout est documenté.
Comme le raconte l'historien Robert Gellately, l'état de la police nazie était initialement tellement admiré pour l'efficacité et l'ordre des puissances mondiales d'alors que Herbert Hoover, alors à la tête du FBI, a effectivement envoyé l'un de ses hommes de main, Edmund Patrick Coffey, à Berlin en janvier 1938 à l'invitation de la police secrète allemande, la Gestapo.
Le FBI était tellement impressionné par le régime nazi que, selon le New York Times, au cours des décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, le FBI, avec d’autres agences gouvernementales, a recruté agressivement au moins un millier de nazis, y compris certains des plus hauts hommes de main de Hitler.
Au total, des milliers de collaborateurs nazis - y compris le chef d'un camp de concentration nazi - ont reçu des visas secrets et ont été amenés en Amérique par le biais de Project Paperclip. Par la suite, ils ont été engagés comme espions, informateurs et conseillers scientifiques, puis camouflés pour que leur véritable identité et leurs liens avec la machine à holocauste de Hitler restent inconnus. Pendant ce temps, des milliers de réfugiés juifs se sont vu refuser des visas d’entrée aux États-Unis au motif qu’ils pouvaient menacer la sécurité nationale.
Ajoutant encore une insulte à la blessure, les contribuables américains paient pour garder ces ex-nazis sur la liste de paye du gouvernement américain depuis. Et, à la manière de la Gestapo, quiconque a osé dénoncer les liens nazis illicites du FBI s'est retrouvé épié, intimidé, harcelé et qualifié de menace à la sécurité nationale.
Comme si l’emploi secret des nazis par le gouvernement après la Seconde Guerre mondiale n’était pas suffisant, les agences gouvernementales américaines - le FBI, la CIA et l’armée - ont depuis lors pleinement adopté la plupart des tactiques policières bien rodées des nazis, utilisées à plusieurs reprises contre les citoyens américains
Il est certes facile de dénoncer les horreurs flagrantes perpétrées par la communauté scientifique et médicale au sein d’un régime despotique tel que l’Allemagne nazie, mais que faites-vous lorsque c’est votre propre gouvernement qui prétend défendre les droits de l’homme tout en permettant ses agents à se livrer aux actes de torture, d'abus et d'expérimentation les plus fous, les plus fous et les plus méprisables ?
RépondreSupprimerEn fin de compte, ce gouvernement n’a pas à coeur de défendre nos intérêts.
Ce n'est pas un gouvernement qui nous valorise.
La réponse réside peut-être dans The Third Man, le film influent de Carol Reed en 1949 avec Joseph Cotten et Orson Welles. Dans le film, situé dans une ville de Vienne après la Seconde Guerre mondiale, Harry Lime, profiteur de la guerre voyous, est venu pour assister au carnage humain avec une indifférence impitoyable, sans se soucier du fait que la pénicilline diluée qu’il trafiquait dans la clandestinité avait entraîné la mort de jeunes enfants torturés.
Incité par son vieil ami, Holly Martins, à réfléchir aux conséquences de ses actes, Lime répond: «En ces jours, vieil homme, personne ne pense en termes d’être humain. Les gouvernements ne le font pas, alors pourquoi le devrions-nous ?
"Avez-vous déjà vu une de vos victimes ?", Demande Martins.
«Des victimes ?», Répond Limes, alors qu'il regarde du haut d'une grande roue une foule réduite à de simples points sur le sol. «Regarde là-bas. Dîtes-moi. Souhaitez-vous vraiment avoir pitié si l'un de ces points cessait de bouger pour toujours ? Si je t'offrais vingt mille livres pour chaque point arrêté, dirais-tu vraiment, mon vieux, de garder mon argent, ou calculerais-tu le nombre de points que tu pouvais te permettre d'épargner ? Libre d'impôt, vieil homme. Libre d'impôt sur le revenu - la seule façon d'économiser de l'argent aujourd'hui. "
Comme je l'explique clairement dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, le gouvernement des États-Unis nous voit aussi ainsi lorsqu'il nous regarde de haut.
Pour le pouvoir en place, nous sommes tous des points insignifiants, des points sans visage sur le sol.
Pour les architectes de l'État policier américain, nous ne sommes pas dignes ni investis de droits inhérents. C’est ainsi que le gouvernement peut justifier de nous traiter comme des unités économiques achetées et vendues et échangées, ou comme des rats en cage sur lesquels on peut faire des expériences et être jetés lorsque notre utilité est dépassée.
Pour ceux qui décident de prendre les mesures qui s'imposent dans les couloirs du gouvernement, «nous, le peuple» n'est que le moyen de parvenir à une fin.
«Nous les peuples» - qui pensons, qui raisonnons, qui prenons position, qui résistent, qui demandent à être traités avec dignité et soin, qui croient en la liberté et la justice pour tous - sommes devenus des citoyens obsolètes et sous-évalués d'un État totalitaire qui Selon Rod Serling, «s'est inspiré de chaque dictateur qui a toujours imprimé l'empreinte déchirante d'une botte dans les pages de l'histoire depuis la nuit des temps. Il a des raffinements, des avancées technologiques et une approche plus sophistiquée de la destruction de la liberté humaine. "
En ce sens, nous sommes tous Romney Wordsworth, le condamné de l’épisode Twilight Zone de Serling, intitulé «The Obsolete Man».
RépondreSupprimer«The Obsolete Man» (Les hommes obsolètes) évoque les dangers d'un gouvernement qui considère les gens comme des biens inutilisables une fois qu'ils ont perdu leur utilité pour l'État. Pourtant, et c’est le cas ici, c’est là que le gouvernement, par son inhumanité monstrueuse, devient également obsolète. Comme Serling l'a noté dans son script original pour «The Obsolete Man», «Tout État, toute entité, toute idéologie qui ne reconnaît pas la valeur, la dignité, les droits de l'homme… Cet État est obsolète».
Comment vaincs-tu un monstre ? Vous commencez par reconnaître le monstre pour ce qu'il est.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/making-monster-were-all-lab-rats-governments-secret-experiments
À l'approche d'une autre caravane de migrants, Trump ressuscite la menace de fermeture de la frontière sud
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 28/03/2019 - 06:44
Quelques mois ont passé depuis que le président Trump a menacé de fermer la frontière sud, mais avec une autre caravane de 2 500 migrants centraméricains et cubains traversant le sud du Mexique - où le groupe aurait reçu un accueil plus froid que les groupes précédents - le président a apparemment décidé qu'il est temps de faire revivre ces menaces.
Dans un tweet de jeudi matin, Trump a critiqué le Mexique, le Guatemala, le Salvador et le Honduras pour n'avoir rien fait pour aider à enrayer le flux d'immigrants clandestins, ajoutant qu'ils étaient "tous bavards et ne font rien".
Ces pays ont "pris notre argent pendant des années", mais rien n'a changé. Ainsi, avec le nombre de migrants franchissant la frontière sud atteignant des niveaux de crise - un fait que même la presse libérale comme le Washington Post et le New York Times ont reconnu - Trump a déclaré qu'il "pourrait fermer la frontière sud".
La situation est devenue tellement désastreuse que les centres de détention américains le long de la frontière ont été contraints de libérer certaines familles, annulant ainsi l'annulation par le président de la "remise en liberté", en raison de la surpopulation.
Bien que, certes, Trump ait fait cette menace plusieurs fois auparavant. À ce stade, il faudra plus qu'un tweet pour convaincre les voisins de l'Amérique qu'il est sérieux.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-28/another-migrant-caravan-approaches-trump-revives-threat-close-southern-border
Economie de guerre: L’armée américaine commande 167 195 fusils d’assaut
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 27/03/2019 - 20:25
Le commandement des contrats de l'armée du New Jersey (ACC-NJ) a adressé une pré-sollicitation à l'industrie de la défense, au nom du chef de projet Soldier Weapons (PM-SW), en vue de l'obtention de la demande d'achat de 167 195 carabines M4 / M4A1 fabriquées exclusivement. aux États-Unis ou dans ses territoires.
- voir photo sur site -
Les carabines M4 / M4A1 constituent une variante plus courte et plus légère du fusil d’assaut M16A2 pour les forces armées des États-Unis. Le fusil d'assaut léger tire des munitions OTAN de 5,56 × 45 mm dans un chargeur de 30 cartouches et dispose de modes de tir semi-automatique et à trois coups.
- voir photo sur site -
Pour satisfaire à cette exigence pour les livraisons de l'exercice financier 2020 à 2024, le Département de la défense envisage d'attribuer deux contrats à prix fixe.
Selon le blogue de la Défense, "le M4 offre des performances et une précision supérieures aux forces de la coalition conjointe qui mènent les missions de combat les plus difficiles. Les performances du M4 ont été prouvées dans le monde entier lors d'opérations militaires, notamment de combats en Afghanistan et en Irak".
- voir clip sur site -
L’armée de terre a passé plusieurs décennies à acquérir plus de 500 000 carabines M4 / M4A1. Le M4 a également été exporté vers les forces alliées et les pays de l'OTAN dans le cadre de ventes militaires à l'étranger.
Dans un autre développement des efforts de modernisation déployés par le DoD, l'armée a contacté des sociétés de défense pour savoir comment développer des prototypes de l'arme de la nouvelle génération (NGSW), en utilisant une cartouche de 6,7 mm. Le NGSW devrait remplacer l’arme automatique d’escouade M249 et les carabines M4 / M4A1 dans les prochaines années.
Alors que l’économie de guerre progresse, le DoD s’approvisionne en carabines M4 / M4A1 et s’attend même à installer un NGSW à court terme. Cela montre bien que la guerre froide 2.0 avec la Chine et la Russie est bien engagée.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-26/war-economy-us-army-orders-167195-assault-rifles
(...) Cela montre bien que la guerre froide 2.0 avec la Chine et la Russie est bien engagée. (...)
SupprimerNon mais tu rigoles ? Avec la Chine et la Russie en face ?! Hahahaha ! Tu sais quoi ils ont en face ? Hahahaha !
RépondreSupprimerFacebook interdit les discussions entre groupes pro-blancs
par Tyler Durden
Mer., 27/03/2019 - 19:25
Facebook a annoncé mercredi qu'il allait commencer à interdire "les éloges, le soutien et la représentation du nationalisme blanc et du séparatisme" sur Facebook et Instagram.
"Basé Stickman" via Facebook
La société empêchait déjà les utilisateurs de partager des messages qui glorifiaient la suprématie blanche - alors que les défenseurs des droits civils ont longtemps soutenu que le nationalisme blanc et le séparatisme blanc étaient la même chose.
Mercredi, Facebook affirmait dans un blog que "les gens pourront toujours faire preuve de fierté vis-à-vis de leur héritage ethnique", ils "ne toléreront ni les éloges ni le soutien du nationalisme blanc ou du séparatisme".
Au cours des trois derniers mois, nos conversations avec des membres de la société civile et des universitaires experts en relations interraciales dans le monde entier ont confirmé que le nationalisme blanc et le séparatisme ne sauraient être séparés de manière significative de la suprématie blanche et des groupes haineux organisés. Notre propre examen des personnalités et des organisations haineuses - tel que défini par notre politique sur les personnes et organisations dangereuses - a également révélé le chevauchement entre le nationalisme blanc, le séparatisme et la suprématie blanche. À l'avenir, même si les gens pourront toujours faire preuve de fierté vis-à-vis de leur héritage ethnique, nous ne tolérerons ni les louanges ni le soutien du nationalisme blanc et du séparatisme. -Facebook
En mai de l'année dernière, des documents de formation internes divulgués dans Motherboard ont révélé que Facebook traitait les termes de manière différente, permettant ainsi "l'éloge, le soutien et la représentation" du nationalisme blanc et du séparatisme blanc "en tant qu'idéologie", selon le Washington Post.
Les groupes de défense des droits civils ont applaudi le déménagement. "Il n'y a pas de distinction défendable qui puisse être établie entre la suprématie blanche, le nationalisme blanc et le séparatisme blanc dans la société d'aujourd'hui", a déclaré mercredi Kristen Clarke, présidente et directrice exécutive du Comité des avocats pour les droits civils sous la loi, dans un communiqué.
L’organisation avait poussé Facebook pendant des mois pour modifier sa politique, en pointant vers des pages telles que «C’est bien d’être blanc», qui compte plus de 18 000 abonnés et défend régulièrement le nationalisme blanc. Un autre, appelé "American White History Month 2", a souvent publié des mémoires sur la suprématie blanche, selon le comité des avocats. Une version en cache de la page de fin février indiquait que plus de 258 000 abonnés l'avaient précédée avant qu'elle ne soit déconnectée. -WaPo
Le geste de Facebook demande où ils dessinent exactement les lignes et s'ils envisagent de faire quoi que ce soit à propos des groupes de suprématie non blancs.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-27/facebook-bans-pro-white-groups-discussions
SupprimerDites toutes et tous que vous êtes noir ! Noir du matin au soir sans dessaouler ! Que vous buvez du café noir dans les urinoirs et ne sortez que la nuit ! (noire). Hahahaha !
Je ne me suis pas lavé, puis-je venir ?
« Avec les technologies, on se rend compte qu'on passe vite de consommateur à esclave, puis d'esclave à produit »
RépondreSupprimerSarah Roubato
La Relève et La Peste
mer., 27 mar. 2019 20:38 UTC
À l'échelle individuelle, plus on émet de données, plus on utilise d'appareils connectés, plus on connecte nos comptes entre eux, plus on alimente cette usine de l'exploitation des données et plus il est facile de nous surveiller.
Amélie Delalain fait partie de ces trentenaires qui à première vue, semblent s'éparpiller dans des activités très différentes, mais qui en réalité trouvent du sens dans la diversification de leurs activités qui toutes, sont liées. Amélie tient un blog, écrit des livres, donne des formations, ateliers et conférences. Deux questions la travaillent : la quête de sens dans le travail et nos usages d'internet. Elle accorde aujourd'hui un entretien exclusif pour La Relève et la Peste. Qu'est-ce qui relie toutes tes activités ?
Je cherche à faire découvrir d'autres mondes possibles en questionnant notre usage des nouvelles technologies et la quête de sens au travail. Quand on se penche sur ces deux sujets, on se rend compte qu'ils touchent à la liberté, au respect du vivant, aux droits de l'homme, aux rapports de pouvoir, à des questions fondamentales de nos sociétés.
Faut pouvoir remettre en question les évidences et se demander « J'utilise telle technologie parce qu'elle fonctionne bien. Mais au-delà de ma satisfaction immédiate et individuelle, quelle est l'impact de cette technologie sur ma vie, sur l'environnement, sur le collectif, sur le long terme ? » Voilà pour moi des questions qui méritent des réponses « immédiates ». Dans tout ce que je fais je cherche à proposer une inspiration pour changer le regard sur notre façon d'agir, et à apporter des solutions.
Comment travailles-tu tes sujets de recherche ?
Je me documente sur le sujet en sociologie, philosophie, en histoire et je lis des études scientifiques. Je travaille le sujet en profondeur afin d'en découvrir un point de vue unique. Je ne suis pas adepte du coaching de vie mais j'en lis pour pouvoir bien me positionner par rapport à cette démarche. Je rencontre aussi beaucoup d'experts, j'ai la chance de vivre en Rhône-Alpes où beaucoup de spécialistes de renom passent. J'écris des articles, un premier livre en co-écriture, Libre et humain à l'ère d'internet que j'ai auto-édité, et un nouveau livre sur la question du travail et de la quête de sens est en préparation... J'anime aussi des ateliers et des conférences sur ces sujet.
Quel type de changement peut-on espérer sur nos usages d'internet et sur le travail ?
J'espère voir apparaître une technologie qui respecte le vivant et les libertés individuelles et collectives. Aujourd'hui la technologie qui domine ce secteur est mise au service d'une quête financière et de pouvoir. On devrait aussi pouvoir avoir un travail en adhésion avec nos valeurs. Aujourd'hui, nous sommes face un vrai problème de société : 91 % des salariés français ne se sentent pas engagés dans leur entreprise. On constate que parmi les gens qui participent à la transition ou s'investissent dans des mouvements, beaucoup se sentent encore prisonniers de leur travail alimentaire.
Au lieu de passer notre semaine à entretenir le système capitaliste et à se révolter contre lui le weekend on devrait pouvoir envisager un travail qui fasse sens avec nos valeurs et le monde que nous voulons construire.
Quels sont les principaux problèmes de notre usage d'internet aujourd'hui ?
RépondreSupprimerIls sont d'ordre environnemental, social, de l'ordre des libertés individuelles et collectives, et de plus en plus d'ordre sanitaire avec le développement des objets connectés et l'arrivée de la 5G. Les smartphones sont véritablement devenus un outil très polluant, tant au niveau de la fabrication que de la masse de données qu'ils permettent d'envoyer.
« Des millions de serveurs sur la planète stockent tout le contenu de l'internet dans des Data Centers, dont le plus gros consomme autant qu'une ville de 200 000 habitants. L'Europe abrite environ sept millions de serveurs. Google en possède à lui seul près de 900 000 ».
Au niveau des libertés individuelles, il faut bien comprendre que les données que nous émettons sont collectées dans le but d'orienter nos choix de consommation mais aussi de constituer un outil très puissant de pouvoir et de contrôle des sociétés, des opinions, des habitudes.
L'exploitation de nos données privée devient un outil de chantage économique et de contrôle social dans le pire des cas. Nos données sont actuellement collectées, c'est ouvertement dit dans les conditions d'utilisation des services que nous ne lisons jamais et dans les mises à jour qu'on reçoit qui nous disent que la protection de notre vie privée est importante mais qu'ils en feront ce qu'ils veulent.
À l'échelle individuelle, plus on émet de données, plus on utilise d'appareils connectés, plus on connecte nos comptes entre eux, plus on alimente cette usine de l'exploitation des données et plus il est facile de nous surveiller.
Les gens ont plus ou moins conscience de cette surveillance de masse aujourd'hui, mais on observe que plus ils se savent potentiellement surveillés, plus ils s'autocensurent. Et ce sont les gens qui prétendent haut et fort n'avoir rien à cacher qui s'autocensurent le plus.
Ainsi la surveillance de masse pénalise directement la liberté d'expression, et normalise les comportements des individus, y compris dans le cadre privé. Il y a aussi le phénomène de la bulle d'internet : les algorithmes développé par les Google ou Facebook (pour ne citer qu'eux) nous encouragent à rester dans un entre-soi, et quand on est avec des gens qui pensent pareil, on a moins tendance à développer le sens critique.
Quelle est la difficulté de proposer d'autres usages d'internet ?
La première difficulté c'est qu'on a pris goût à des outils qui sont faciles, ergonomiques, comme les services Google, qui sont efficaces, rapides et interconnectés. Donc le premier obstacle, c'est nous-même ! Ce n'est pas que le changement soit difficile à réaliser, c'est qu'il est difficile à réaliser, car il demande de renoncer à certaines habitudes et parfois à un peu de notre confort.
Il n'y a aucun besoin d'être technicien pour changer de boîte email. Un peu comme le bio. Manger bio ce n'est pas manger la même chose avec le label bio, c'est apprendre à manger autrement, voire réapprendre à cuisiner. Avec internet il faut apprendre de nouveaux usages, découvrir de nouveaux outils si on veut pratiquer un internet respectueux de nous-mêmes et du vivant. Sur ce point, ce qui rend les choses difficiles c'est qu'on a du mal à réaliser l'impact concret de l'usage d'internet. Comme c'est virtuel, on a du mal à réaliser qu'envoyer un mail ou stocker ses fichiers dans un icloud a aucun impact physique sur l'environnement.
Quels sont les changements concrets que l'on peut apporter pour avoir un usage d'internet responsable ?
RépondreSupprimerOn peut faire des changements très concrets, comme changer les outils (boîte mail, navigateur, système d'exploitation) qu'on utilise en veillant toujours à savoir si on peut faire confiance à l'entreprise ou la structure existante derrière l'outil. Par exemple, on peut utiliser un email qui protège la vie privée des utilisateurs en utilisant le chiffrement de bout en bout, comme Protonmail. Il existe aussi des outils qui utilisent des systèmes décentralisés pour l'hébergement des données, comme Peertube, une très belle alternative à Youtube. Les logiciels libres sont également une célèbre référence d'intégrité, tel le système d'exploitation GNU/Linux.
Évidemment ces changements peuvent être progressifs. Je conseille uniquement des outils qui selon mon expérience - et du point de vue d'une internaute qui n'est pas une informaticienne - peuvent réellement être adoptés au quotidien. Mais pour que ces changement extérieurs s'ancrent dans nos habitudes, nous devons aussi changer notre état d'esprit vis à vis d'internet pour prendre un peu de recul vis à vis de l'outil et nous sentir responsable, acteur de son utilisation.
Dans le secteur des nouvelles technologies développées avec internet, on se rend compte qu'on passe vite de consommateur à esclave, puis d'esclave à produit. C'est un choix à faire entre un comportement de consommateur et un comportement libre parce que conscient.
Comment vois-tu l'avenir d'internet ?
L'internet qu'on connaît est devenu un empire... pourquoi pas imaginer qu'il finisse un jour par s'effondrer comme tous les autres empires ? Mais parallèlement à celui-ci, il existe d'autres réseaux internet. Ainsi on pourrait aussi imaginer qu'internet évolue vers une version plus libre et plus respectueuse de l'humain et de la planète. On s'approche de la science-fiction, mais déjà on observe une fracture entre les gens qui utilisent internet et ceux qui n'y ont pas accès.
Avec le développement des objets connectés, des smartcities, cette scission va s'accentuer. Et lorsque l'accès limité à internet est un choix parce qu'on ne veut pas multiplier les objets connectés par exemple, plutôt qu'un manque de moyen ou de capacité, on voit se dessiner deux modes de vie très différents l'un de l'autre. Par exemple, je vis sans téléphone portable par choix, et je m'en porte très bien ! Je ne sais pas de quel côté penchera la balance. Il y a aujourd'hui un vrai besoin de déconnexion, mais les gens se sentent obligés, alors qu'ils ne sont obligés de rien. C'est exactement comme dans la problématique du bien-être au travail : je me sens mal dans mon travail mais je ne peux pas changer.
Comment les gens réagissent à tes propositions et quand tu leur dis que tu n'as pas de portable ?
Dans les rencontres que je donne il y a trois catégories de gens. Ceux qui ne savent pas, à qui on apporte une information qu'ils n'avaient pas, mais on ne sait pas si cela provoquera un changement de comportement. C'est en tous cas la première étape. Il y a des gens qui savent, qui aimeraient changer mais ne savent pas comment. On leur donne des outils, on fait des propositions, et c'est à eux d'expérimenter. Et il y a ceux qui savent, qui voient les possibilités de changement mais qui restent dans le fatalisme, en disant que ça ne sert à rien.
Pour ce qui est du smartphone, en effet je vis sans portable, et je vais très bien. Évidemment les gens me disent « Tu ne vas plus être joignable » ou « Et s'il t'arrive quelque chose ? » Je reste joignable, seulement j'ai repris le contrôle sur les heures où je suis joignable. Après il est possible de mettre en place des étapes pour se détacher du portable : ne plus dormir avec, utiliser un vrai réveil, ne plus l'emporter partout et systématiquement avec soi, d'intermédiaires entre avoir un smartphone et ne pas avoir de portable : on peut avoir un téléphone qui ne fasse que téléphoner et limiter son usage d'internet à l'ordinateur, on peut mettre son smartphone sur mode avion, ne pas l'utiliser comme réveil, ne plus le prendre partout. On se dégage du temps pour faire d'autres choses, et on échange mieux. On ne perd pas du tout en performance contrairement aux idées reçues.
RépondreSupprimerPenses-tu que les gens sont réellement prêts à se remettre en question pour réaliser le changement de société qu'ils souhaitent ?
Je crois que la part de personnes qui questionne son usage des nouvelles technologies va augmenter, car elle fait partie d'une remise en question profonde de nos modes de vie, qui englobent la nourriture, les déplacements, l'éducation, les médias...
Évidemment, comme la technologie internet est plus récente, on est au tout début d'une remise en question du grand public. Ce qu'il faut comprendre, c'est que plus on encouragera les outils alternatifs dans notre usage d'internet, plus ces outils se perfectionneront et seront confortables, performants, ergonomiques et agréables à utiliser. À nous d'avoir le courage de nos choix.
https://fr.sott.net/article/33672-Avec-les-technologies-on-se-rend-compte-qu-on-passe-vite-de-consommateur-a-esclave-puis-d-esclave-a-produit
L'humain a toujours été le produit de ses parents et est devenu produit-producteur.
Supprimer(...) L'internet qu'on connaît est devenu un empire... pourquoi pas imaginer qu'il finisse un jour par s'effondrer comme tous les autres empires ? Mais parallèlement à celui-ci, il existe d'autres réseaux internet. Ainsi on pourrait aussi imaginer qu'internet évolue vers une version plus libre et plus respectueuse de l'humain et de la planète. On s'approche de la science-fiction, mais déjà on observe une fracture entre les gens qui utilisent internet et ceux qui n'y ont pas accès. (...)
La destruction de l'internet se fera par EMP. Mais les choses apprises ne disparaîtront pas de sitôt !
(...) Ainsi on pourrait aussi imaginer qu'internet évolue vers une version plus libre et plus respectueuse de l'humain et de la planète. (...)
C'est-à-dire ?
Si le solaire et le vent sont si bon marché, pourquoi rendent-ils l’électricité si chère ?
RépondreSupprimer27 mars 2019
Michael Shellenberger de Forbes
Au cours de la dernière année, les médias ont publié de nombreuses histoires sur la baisse des prix des panneaux solaires et des éoliennes.
Les personnes qui lisent ces histoires ont naturellement l’impression que plus nous produirons d’énergie solaire et éolienne, plus les prix de l’électricité baisseront.
Et pourtant, ce n’est pas ce qui se passe. En fait, c’est le contraire.
Entre 2009 et 2017, le prix des panneaux solaires par watt a diminué de 75%, tandis que celui des éoliennes par watt a diminué de 50%.
Et pourtant, au cours de la même période, le prix de l’électricité dans les endroits où des quantités importantes d’énergies renouvelables ont été déployées a considérablement augmenté.
Les prix de l'électricité ont augmenté de:
51% en Allemagne lors de son expansion de l'énergie solaire et éolienne de 2006 à 2016;
24% en Californie lors de son installation d'énergie solaire de 2011 à 2017;
plus de 100% au Danemark depuis 1995, année où il a commencé à déployer des énergies renouvelables (essentiellement éoliennes).
Ce qui donne ? Si les panneaux solaires et les éoliennes sont devenus tellement moins chers, pourquoi le prix de l'électricité a-t-il augmenté au lieu de baisser ?
Une hypothèse pourrait être que si l'électricité solaire et éolienne est devenue moins chère, d'autres sources d'énergie telles que le charbon, le nucléaire et le gaz naturel sont devenues plus chères, éliminant toute économie et augmentant le prix global de l'électricité.
Mais, encore une fois, ce n’est pas ce qui s’est passé.
Le prix du gaz naturel a baissé de 72 % aux États-Unis entre 2009 et 2016 en raison de la révolution de la fracturation. En Europe, les prix du gaz naturel ont baissé d’un peu moins de la moitié au cours de la même période.
Le prix du nucléaire et du charbon à ces endroits au cours de la même période était essentiellement stable.
- voir graphique sur site -
Une autre hypothèse pourrait être que la fermeture des centrales nucléaires a entraîné une hausse des prix de l'énergie.
La preuve en est que les leaders de l’énergie nucléaire dans l’Illinois, en France, en Suède et en Corée du Sud bénéficient de l’électricité la moins chère du monde.
Depuis 2010, la Californie a fermé une centrale nucléaire (puissance installée de 2 140 MW), tandis que l'Allemagne a fermé 5 centrales nucléaires et 4 autres réacteurs dans des centrales en exploitation (10 980 MW au total).
L'électricité dans l'Illinois coûte 42 % moins cher que l'électricité en Californie, tandis que l'électricité en France est 45 % moins chère que l'électricité en Allemagne.
Mais cette hypothèse est remise en cause par le fait que le prix des principaux combustibles de remplacement, le gaz naturel et le charbon, est resté bas, malgré une demande accrue de ces deux combustibles en Californie et en Allemagne.
RépondreSupprimerCela nous laisse avec le soleil et le vent comme principaux suspects de la hausse des prix de l’électricité. Mais pourquoi des panneaux solaires et des éoliennes moins chers rendraient l’électricité plus chère ?
La raison principale semble avoir été prédite par un jeune économiste allemand en 2013.
Dans un document sur la politique énergétique, Leon Hirth a estimé que la valeur économique de l’énergie éolienne et solaire diminuerait considérablement à mesure qu’elles deviendraient une part importante de l’approvisionnement en électricité.
La raison ? Leur nature fondamentalement peu fiable. L’énergie solaire et éolienne produisent trop d’énergie lorsque les sociétés n’en ont pas besoin et pas assez quand elles en ont besoin.
L’énergie solaire et éolienne exige donc que les centrales au gaz naturel, les barrages hydroélectriques, les batteries ou toute autre forme d’énergie fiable soient prêts à tout moment à produire de l’électricité lorsque le vent cesse de souffler et que le soleil cesse de briller.
Et le manque de fiabilité oblige des pays fortement sollicités en énergie solaire et éolienne tels que l’Allemagne, la Californie et le Danemark à payer les pays ou les États voisins pour qu’ils utilisent leur énergie solaire et éolienne quand ils en produisent trop.
Hirth a prédit que la valeur économique de l'éolien sur le réseau européen diminuerait de 40 % une fois que ce dernier atteindrait 30 % de l'électricité, tandis que la valeur de l'énergie solaire chuterait de 50 % lorsqu'elle atteindrait seulement 15 %.
- voir graphique sur site -
En 2017, la part de l'électricité d'origine éolienne et solaire était de 53% au Danemark, 26% en Allemagne et 23% en Californie. Le Danemark et l’Allemagne ont les première et deuxième sources d’électricité les plus chères en Europe.
En rendant compte de la baisse des coûts des panneaux solaires et des éoliennes, mais non de la manière dont ils augmentent les prix de l'électricité, les journalistes induisent, intentionnellement ou non, les décideurs politiques et le public en erreur au sujet de ces deux technologies.
Selon le Los Angeles Times de l’année dernière, les prix de l’électricité en Californie avaient augmenté, mais n’avaient pas permis de relier cette hausse aux énergies renouvelables, provoquant une forte réfutation de l’économiste James Bushnell, de l’Université Berkeley.
https://site-de-merde-qui-n'accepte-pas-les-commentaires- vrais
Rapport: L’économie de l’énergie verte est tout simplement «impossible»
RépondreSupprimer27 mars 2019
Un nouveau rapport est sorti du Manhattan Institute
Les hydrocarbures (pétrole, gaz naturel et charbon) constituent la principale source d’énergie du monde et le resteront dans un avenir proche. Les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries constituent, quant à eux, une petite source d’énergie, et la physique les dicte de le rester. En attendant, il est tout simplement impossible que le monde subisse ou puisse subir une transition à court terme vers une «nouvelle économie énergétique».
L'article continue.
Un mouvement se développe depuis des décennies pour remplacer les hydrocarbures, qui fournissent ensemble 84% de l’énergie mondiale. Cela a commencé avec la crainte de manquer de pétrole. Cette crainte a depuis migré, convaincue qu’en raison du changement climatique et d’autres préoccupations environnementales, la société ne peut plus tolérer la combustion de pétrole, de gaz naturel et de charbon, qui se sont tous révélés très abondants.
Jusqu’à présent, l’énergie éolienne, l’énergie solaire et les piles, l’alternative privilégiée aux hydrocarbures, fournissent environ 2 % de l’énergie mondiale et 3 % de l’Amérique. Néanmoins, une nouvelle affirmation audacieuse a gagné en popularité: nous sommes au seuil d’une révolution énergétique axée sur la technologie qui non seulement peut, mais va inévitablement, remplacer rapidement tous les hydrocarbures.
Cette «nouvelle économie énergétique» repose sur la conviction - une pièce maîtresse du Green New Deal et d'autres propositions similaires ici et en Europe - que les technologies de l'énergie éolienne et solaire et du stockage sur batterie subissent le type de perturbation de l'informatique et des communications, réduisant considérablement les coûts et augmentant l'efficacité. Mais cette analogie fondamentale dissimule de profondes différences, fondées sur la physique, entre les systèmes producteurs d’énergie et ceux qui produisent des informations.
Dans le monde des personnes, des voitures, des avions et des usines, l’augmentation de la consommation, de la vitesse ou de la capacité de charge entraîne l’agrandissement et non la réduction du matériel. L'énergie nécessaire pour déplacer une tonne de personnes, chauffer une tonne d'acier ou de silicium ou cultiver une tonne de nourriture est déterminée par les propriétés de la nature dont les limites sont définies par les lois de la gravité, de l'inertie, du frottement, de la masse et de la thermodynamique.
Ce document met en évidence la physique de l'énergie pour illustrer pourquoi il est impossible que le monde subisse ou puisse subir une transition à court terme vers une «nouvelle économie énergétique».
Un ensemble d'exemples plutôt sombres comprenant:
* La production annuelle de Tesla Gigafactory, la plus grande usine de batteries au monde, pourrait stocker une demande annuelle d’électricité américaine de trois minutes. Il faudrait 1 000 ans de production pour fabriquer suffisamment de batteries pour deux jours de demande d’électricité aux États-Unis. Pendant ce temps, 50 à 100 livres de matériaux sont extraites, déplacées et traitées pour chaque livre de batterie produite.
https://site-de-merde-qui-n'accepte-pas-les-commentaires- vrais
ALERTE : Les inondations ravagent les fermes américaines - Les stocks ont été perdus - D'autres à venir
RépondreSupprimerSott.net
ven., 22 mar. 2019 19:27 UTC
map flood
Perspectives d'inondations printanières aux États-Unis en 2019.
Un cygne noir plane sur l'agriculture moderne en raison du Grand Minimum Solaire : alors que les dommages dépassent le milliard de dollars rien que dans le Nebraska, la NOAA indique que les inondations record vont se poursuivre pendant des mois encore aux Etats-Unis. Le moment est venu de commencer à cultiver ses propres aliments et à former des communautés résilientes. Les mortifications météorologiques vont se poursuivre -- comment vous préparez-vous ?
https://fr.sott.net/article/33668-ALERTE-Les-inondations-ravagent-les-fermes-americaines-Les-stocks-ont-ete-perdus-D-autres-a-venir
Pour un pays qui a HAARP et qui ne fait rien... c'est à se demander d'où viennent réellement ces changements !
SupprimerJussie Smollett a le droit de marcher librement, mais pas avec Manning ou Assange
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
28 mars 2019
L'acteur noir Justin Smollett, qui a mis en scène et a faussement rapporté à la police de Chicago une attaque sur lui par des partisans de la suprématie blanche portant des chapeaux de MAGA et qui lui aurait mis une corde au cou, a été arrêté sur 16 comptes criminels comportant 48 ans de prison pour avoir un faux rapport qui a sans aucun doute attisé la haine des Blancs et de Trump parmi les communautés noires et toujours crédules libérales / progressistes / de gauche.
Selon certaines informations, l'ancienne chef de cabinet de Michelle Obama, Tina Tchen, qui est également une amie intime de l'épouse de l'ancien responsable d'Obama et actuellement maire de Chicago, Rahm Emmanuel, est intervenue au nom de Smollett auprès du procureur de Chicago, Kim Foxx, qui a abandonné toutes les accusations.
La protection d’un criminel noir par le régime Obama a provoqué la colère de la police de Chicago, qui réclame une enquête fédérale contre le plus haut procureur du comté de Cook pour avoir classé l'affaire après avoir été contactée par l'aide de Michelle Obama. Le président du syndicat de la police de Chicago a envoyé une lettre au ministère américain de la Justice (sic) exigeant une enquête sur ce qui semble être un avocat du comté du Cook, Kim Foxx, corrompu, qui a utilisé son influence pour faire en sorte que les accusations soient retirées contre Smollett. fausse attaque sur lui-même par les partisans de Trump.
Initialement, la police de Chicago soumise au lavage de cerveau a pris pour acquis que Smollett était une victime des suprématistes blancs. Après tout, qu'entendent-ils encore des médias et du parti démocrate au pouvoir? Mais quand la police a enquêté, la police a découvert que c'était un canular et a arrêté Smollett pour ses crimes.
Selon un reportage de Breitbart, le juif sioniste George Soros a aidé Kim Foxx avec un don politique de 408 000 dollars "qui soutenait l'avocat du comté de Cook, Kim Foxx, dont le bureau avait poursuivi et abandonné l'affaire Jussie Smollett."
Pour autant que je sache, George Soros est un agent actif contre toutes les sociétés blanches. Il soutient l'inondation de l'Occident avec des immigrants non assimilables qui ont des taux de reproduction plus élevés qui garantissent qu'à mesure que le temps passe, les Blancs deviennent des minorités dans leurs propres pays. C’est le programme non seulement de Soros mais aussi celui de la politique d’identité, de l’UE et des libéraux / progressistes / de gauche. Le parti démocrate, toujours aussi stupide, pense qu'il obtiendra le vote des immigrés, alors qu'en réalité, les immigrés voteront eux-mêmes au pouvoir.
Je peux comprendre la révulsion, que je partage moi-même, des colonies britannique, française et belge et de l’empire de Washington. Les colonies ont détruit l'Europe et l'empire détruit les États-Unis. Néanmoins, la civilisation occidentale, avant qu’elle ne soit détruite par ses dirigeants, était une réalisation humaine extrêmement prometteuse. Un gouvernement contrôlé par la loi avec la liberté d'expression pour assurer l'application de la loi et assurer des informations exactes à la population entre les mains de laquelle le gouvernement a finalement résidé.
Cela a été perdu. Il a été remplacé par des explications contrôlées par de puissants groupes d’intérêts qui utilisent le gouvernement à leur avantage privé.
RépondreSupprimerL’effondrement de Russiagate a prouvé à tout le monde sur la terre, à l’exception des démocrates américains, que l’Amérique est contrôlée par de fausses explications. C'est l'Amérique qui est la dystopie de 1984, Brave New World, The Matrix.
La dystopie américaine a corrompu l’Europe qui, faute de confiance en elle-même, s’est engagée sur la voie de la destruction par les États-Unis. Grâce à Soros, aux guerres de Washington et à l’UE, les musulmans attendent maintenant une France musulmane.
L'histoire est déterminée par des gens confiants. De telles personnes n'existent plus dans le monde occidental. Ils existent en Russie et en Chine, c’est pourquoi les fulminations débiles de John Bolton contre ces deux puissances sont si comiques. Est-ce que l'idiot Bolton croit vraiment que la Russie et la Chine vont s'affaiblir face à ses menaces insignifiantes?
L’immigration massive de peuples qui ne s’assimilent pas et la haine de race et de genre enseignée par Identity Politics, les Black Studies et les Women Studies ont détruit la confiance du peuple américain, en particulier de la jeune génération de Blancs.
Une nation est composée de personnes de la même ethnie et des mêmes valeurs. Ils forment un tout homogène. Les traditions et les croyances les ont unis.
Un pays est une simple entité géographique. Un pays peut être constitué d’ennemis communs. Et le «mondialisme» aussi.
De nos jours, les pays sont des tours de babel aux langues, coutumes, croyances et loyautés conflictuelles. Que signifie précisément trahison dans une tour de babel?
Le monde occidental est maintenant une tour de Babel. Cela ne durera pas beaucoup plus longtemps.
Références:
https://pagesix.com/2019/03/22/union-calls-for-federal-probe-related-to-obama-aide-involvement-in-jussie-smollett-case/
https://abc7chicago.com/police-union-accuses-kim-foxx-of-interfering-in-jussie-smollett-investigation/5203862/
https://www.infowars.com/charges-dropped-against-jussie-smollett/ Strange, is it not, that we only get real information from banned and discredited sources.
https://www.breitbart.com/politics/2019/03/26/george-soros-donated-408k-to-kim-foxx-prosecutor-who-let-jussie-smollett-walk/
https://www.breitbart.com/entertainment/2019/03/26/report-jussie-smollett-escapes-hoax-attack-trial-due-to-unrelated-previous-community-service/
https://www.lewrockwell.com/2019/03/paul-craig-roberts/jussie-smollett-allowed-to-walk-free-but-not-manning-or-assange/
Le réseau électrique s'effondre à nouveau au Venezuela
RépondreSupprimerMarch 29th, 2019
Quel bordel. L’électricité est à nouveau en panne dans plus de la moitié du pays - va et vient. Les gens ont désespérément besoin d'eau. Les écoles, l'industrie et les bâtiments de l'État sont fermés. Les Russes ont envoyé des troupes. Les États-Unis leur ont dit de sortir.
Il est facile de prendre pour acquis la civilisation - jusqu’à ce que vous n’en ayez pas.
…
h / t à Rafe Champion, qui fait référence à mon article sur Catallaxy sur la difficulté de redémarrer une grille. Et aussi au commentaire de Lance qui était si utile, je l’ai ajouté comme une mise à jour de ce post et qui est maintenant également sur Catallaxy. Au cas où vous auriez manqué son commentaire, et parce que c’est tellement pertinent, le voici à nouveau:
Lance a prédit que cela pourrait prendre entre 3 et 6 mois (et a obtenu un score de 67 pouces)
C'est un moment propice à l'apprentissage. Les gens intelligents feront une pause et réfléchiront à ce qui se passe, de peur que cela ne se produise ailleurs. Ce n'est pas un jeu sain d'esprit, les gens veulent jouer. Les sociétés fondent en quelques jours, voire quelques semaines sans électricité, sans eau, sans nourriture, sans transport, sans communication, etc.
Nous n'avons pas encore vu à quel point cela va se détériorer. Cela va beaucoup empirer avant de s'améliorer.
À mon avis, il faudra 3 à 6 mois pour redémarrer la grille au Venezuela, même si les choses se passent bien. Si quelques sous-stations et alternateurs sont détruits, cela peut prendre 2 ans. Plus longtemps si certaines turbines sont endommagées.
Les transformateurs de sous-stations sont personnalisés à la commande. Ils n'existent pas «en stock» aux niveaux de puissance nécessaires à l'échelle du réseau national. Les sous-stations peuvent être disponibles dans des tailles plus petites, par exemple 50 à 100 MW. Mais les appareillages de commutation et les transformateurs haute tension et haute puissance peuvent représenter un délai de 1 à 2 ans, même si vous avez l'argent pour les payer.
Pourquoi les startups peuvent tirer des charges impressionnantes, des variations sauvages, et sont risquées et explosent parfois:
Chaque charge inductive (moteurs à induction) nécessite 6 fois le courant de fonctionnement normal pour démarrer chacune d'elles. En termes de composantes de puissance réelles et imaginaires (complexes), la charge apparaît presque purement inductive avec un vecteur de composante réelle proche de zéro.
Généralement, Generation doit fournir six fois la puissance qu’elle fournissait lorsque le réseau était en panne et que cette réserve n’existait tout simplement pas. Donc, alimenter une sous-station est un événement explosif.
Le moyen le plus sûr / unique de redémarrer le réseau consiste à isoler toutes les charges, à l'exception des charges résidentielles, et à mettre progressivement en place les sous-stations à basse tension (10 kV) de manière contrôlée. La charge résidentielle contient des composants résistifs (chauffe-eau, sécheuses, fours de cuisson, etc.) qui aident à réduire le composant inductif et fournissent un facteur de puissance unitaire à la charge apparente.
Ce n'est qu'après la stabilisation du réseau à basse tension que les lignes et les sous-stations de transmission à haute tension (110 kV à 750 + kV) peuvent être réactivées. Même dans ce cas, c’est une danse précaire de l’équilibre entre pouvoir généré et pouvoir apparent.
RépondreSupprimerLorsque le générateur est connecté à la charge, il «voit» une onde réfléchie revenir vers le générateur qui déclenche les sécurités de surcharge et provoque la déconnexion de la turbine / de l'alternateur si la puissance apparente dépasse les limites de sécurité. Si ces sécurités ne fonctionnent pas, le risque est une sous-station explosive, un alternateur, un arbre de turbine cisaillé, etc.
C'est un scénario de cauchemar. Aucune personne sensée ne veut jamais "fumer" un réseau électrique en essayant un début noir. Les ramifications sont effrayantes.
C’est précisément pourquoi il est bien plus judicieux de maintenir un réseau stable opérationnel que d’essayer de lancer les dés avec une génération intermittente et des changements soudains de charges.
Twitter - Netblocks
Voir aussi l'observatoire de la propriété intellectuelle
http://joannenova.com.au/2019/03/power-collapses-again-in-venezuela/#more-63292
SupprimerMais comme presque tous ont un groupe électrogène (essence gratuite), alors...
Jour 2: James Cook Uni vérifie vos emails mais pas la science
RépondreSupprimerMarch 28th, 2019
Jour 2: Jennifer Marohasy nous fait le point sur le combat de Peter Ridd pour la liberté d'expression
Aujourd'hui, le juge Vasta a demandé comment il se pourrait que la James Cook University, bénéficiaire de tant de milliards de dollars au fil des ans, ne laisse aucune pierre dans le processus disciplinaire engagé contre Peter Ridd, tout en ne faisant absolument rien pour remédier à ses griefs. d’assurance qualité de ses recherches.
Pas une seule fois au tribunal aujourd'hui ou hier, l'équipe de l'université James Cook n'a-t-elle défendu la «science» à l'égard de laquelle Peter Ridd avait été si critique? L’université prétend simplement qu’il n’a pas le droit de prendre la parole.
Souvenons-nous de l’importance du «contrôle de la qualité» pour JCU: un chercheur de JCU a été reconnu coupable de fabrication de résultats par l’Université d’Upsalla. Peter Ridd a rapporté que le même chercheur avait présenté des photos de 50 poissons contenant des doublons manipulés et retournés. Ce sont des allégations sérieuses en science. En réponse, JCU a mis un an à nommer les membres du comité d’enquête, sans parler de commencer l’enquête. Comme je l'ai dit à l'époque:
James Cook a fait ce que tout institut de gestion de subventions ambitieux et avides d'argent ferait, une très lente enquête sur un comportement prétendument corrompu et un renvoi très rapide du chercheur honnête qui menace de les exposer. Tout ministre des Sciences respectable gèlerait toutes les subventions accordées à James Cook jusqu'à ce que la situation soit résolue et inversée.
De Gideon Rozner de l'IPA sur les travaux du deuxième jour
https://www.youtube.com/watch?v=HJwu59hK3Sw&feature=youtu.be
Les mots «sauvage», «bizarre» et «extrême» me viennent à l’esprit:
"Chris Cocklin, vice-chancelier adjoint de JCU, a tenté de suggérer que le professeur Ridd n'était pas un" universitaire distingué "à l'université et qu'il n'était donc pas couvert par la clause de liberté académique."
- Gideon Rozner
Ridd travaille chez JCU depuis plus de 30 ans.
L'Australien, le 27 mars: je n'avais pas le choix, pourquoi Peter Ridd, universitaire et membre du JCU, avait été limogé
Peter Ridd a déclaré qu'il ne pensait avoir d'autre choix que de publier des informations sur la page GoFundMe, car il était bâillonné, avait perdu toute confiance en la procédure disciplinaire et devait collecter des fonds pour lancer un recours juridictionnel.
Il explique pourquoi l’assurance qualité est si importante:
par Charlie Peel. L'Australien
«Peter [Ridd] a été puni pour avoir dit que ces institutions étaient indignes de confiance et que cela faisait référence à l'assurance de la qualité dans le domaine scientifique.»
Il a affirmé que les études avaient touché «beaucoup de monde», car elles éclairaient la politique publique sur la législation visant à réduire l'utilisation d'engrais dans les bassins versants de la Grande Barrière de Corail, à fermer les opérations de dragage et d'exploitation minière et à affecter le tourisme parce que les visiteurs pensaient que le récif était en train de mourir.
«La science doit être rigoureuse car elle touche beaucoup de monde», a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerPlus de Jen Marohasy:
À un moment donné, il est apparu que la James Cook University allait faire valoir que Peter Ridd n'était pas qualifié pour avoir une opinion sur des questions biologiques car il est physicien, mais jusqu'à présent, et après deux jours, la James Cook University ne présente pas cet argument non plus. . Ils prétendent simplement que le code de conduite de l’université empêche ses employés de ne pas être collégial, et en particulier Peter Ridd d’être aussi critique à l’égard de ses collègues et de leurs recherches.
Anticipant une attaque contre les références de Peter Ridd, j’ai écrit un billet de blog expliquant comment et pourquoi une connaissance de la physique est si importante pour comprendre les écosystèmes de récifs:
Que saurait un physicien ?
Les débats se poursuivront demain matin / jeudi 28 mars devant le tribunal du palais de justice du Commonwealth Harry Gibbs, au 119 North Quay, dans le quartier central des affaires de Brisbane, à partir de 10h.
The stories of Peter Ridd and JCU:
Fake science on fake fish from James Cook Uni ?
James Cook Uni goes nuclear on free speech: Professor Peter Ridd sacked
JCU bans Prof Peter Ridd from criticizing scientific institutions. Defiant, he refuses, fights on !
JCU staff too scared to use their uni email – this is what “academic freedom” looks like
Don Aitken: Peter Ridd was sacked because he threatened the Money Making Engine at Uni
Professor Peter Ridd facing misconduct charges for not selling peer review as sacred unquestionable testimony
Prof Peter Ridd: the Great Barrier Reef recovers, our science institutions are failing us, science needs to be checked
http://joannenova.com.au/2019/03/day-2-james-cook-uni-checks-your-emails-but-not-the-science/#more-63271
"La première définition internationale du sexisme" a été adoptée par l'UE
RépondreSupprimerLe Conseil de l'Europe a annoncé jeudi avoir adopté un texte intégrant la "première définition à l'échelle internationale du sexisme". Objectif affiché: "mettre fin à ce phénomène".
Le texte adopté par le Comité des ministres du Conseil de l'Europe définit le sexisme comme "une manifestation des 'rapports de force historiquement inégaux'" entre femmes et hommes "conduisant à la discrimination et empêchant la pleine émancipation des femmes dans la société", peut-on lire dans un communiqué du Conseil.
La recommandation est adressée aux 47 pays membres de l'organisation paneuropéenne.
"Climat d'intimidation"
Sexisme et violence envers les femmes et les filles sont liées puisque le sexisme dit ordinaire "fait partie d'un continuum de violences", insiste la recommandation. Le sexisme crée un "climat d'intimidation, de peur, de discrimination, d'exclusion et d'insécurité".
Le texte invite les pays à "intensifier leur lutte contre le sexisme dans tous les milieux" puisqu'il s'agit d'un phénomène présent "dans tous les secteurs et toutes les sociétés".
Utiliser "des formes neutres"
Il établit également une "liste complète de mesures et de situations où le sexisme s'exprime, de la publicité aux médias, en passant par les secteurs de l'emploi, de la justice, de l'éducation et du sport", indique le Conseil de l'Europe.
Le langage et la communication ne doivent pas "consacrer l'hégémonie du modèle masculin", insiste le texte, qui recommande l'utilisation "des formes neutres".
L'organisation déplore que, si les nouvelles technologies sont des "vecteurs de la liberté d'expression et de l'égalité entre les femmes et les hommes", elles permettent également d'exprimer des "'opinions injurieuses' et d'avoir des comportements violents".
https://www.rts.ch/info/monde/10325008--la-premiere-definition-internationale-du-sexisme-a-ete-adoptee-par-l-ue.html
Savoir lire entre les ligne.
SupprimerPar cette adoption non-démocratique, la dictature de Bruxelles va bientôt obliger toutes les femmes à porter la burqa sous prétexte qu'elles doivent cacher qu'elles sont des femmes ! Même le mot 'femme' a été supprimer pour être remplacé par 'parent 2' !
RépondreSupprimerFINI LES CAPOTES ! BONJOUR LES TRIPES DE PORC DE SAUCISSIERS ET SAUCISSONNIERS !
L'UE interdira les produits en plastique à usage unique dès 2021
Cotons-tiges, pailles, touillettes à café: le Parlement européen a entériné mercredi à une large majorité la fin dans l'Union européenne, à partir de 2021, de ces produits en plastique à usage unique qui polluent les océans.
Une dizaine de catégories de produits pour lesquels existent des alternatives, comme les couverts, les assiettes ou encore les bâtonnets pour ballons, seront interdits.
Pour d'autres produits, notamment les emballages en plastique pour des aliments prêts à consommer, l'objectif est de réduire leur utilisation au niveau national et d'être plus exigeant sur leur conception et leur étiquetage.
Vingt-deux milliards d'euros d'économies
"Le plastique empoisonne nos mers, il tue leurs habitants et il nous menace, nous, au bout de la chaîne. Il était urgent d'agir", a insisté mercredi la Belge Frédérique Ries (groupe Alde, libéraux), rapporteur du texte, approuvé par 560 voix pour, 35 contre 28 abstention.
La nouvelle législation "permettra de réduire la facture des dégâts environnementaux de 22 milliards d'euros, soit le coût de la pollution aux plastiques en Europe jusqu'en 2030", a-t-elle ajouté.
Le texte de l'UE interdit également les plastiques dits oxodégradables (étiquetés biodégradables de façon abusive), comme certains sacs, et les récipients alimentaires et gobelets en polystyrène expansé, bien connus des habitués des repas à emporter.
https://www.rts.ch/info/monde/10323010-l-ue-interdira-les-produits-en-plastique-a-usage-unique-des-2021.html
Le rendement inférieur de la Caisse de Dépôts est à la fois une taxe et une subvention.
RépondreSupprimer18 mars 2019
par Minarchiste
Au Canada, il existe plusieurs caisses de retraite publiques, telles que la Caisse de Dépôts et Placements du Québec (CDPQ). Cependant, l’institution québécoise est différente des autres car son mandat ne consiste pas qu’à générer le meilleur rendement possible compte du risque pour les contribuables; elle doit en plus utiliser les actifs du fonds pour investir de manière à stimuler le développement économique du Québec.
Dans un billet passé, j’avais d’ailleurs publié un billet expliquant que depuis l’arrivée de Michel Sabia à la présidence, la Caisse a augmenté ses investissements dans les entreprises québécoises. Récemment, la Caisse a (malheureusement) augmenté sa position dans SNC Lavallin, atteignant maintenant 20% des actions de la compagnie et valant maintenant $1.3 milliards (voir graphique au bas du billet).
La CDPQ a aussi investi dans la division de Transports de Bombardier, laquelle n’a même pas obtenu le contrat pour le Réseau Électrique Métropolitain (REM), un nouveau système de trains de banlieues dont la CDPQ sera elle-même propriétaire… Vous avez bien lu: la CDPQ achètera des trains auprès d’un concurrent d’une entreprise dans laquelle elle a investi et qui aurait grandement bénéficié d’un tel contrat ! C’est inoui… voir ceci:
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1085176/rem-cdpq-bombardier-transport-train
Évidemment, les investissements visant à favoriser le développement économique québécois procurent un rendement inférieur aux autres opportunités d’investissements (sinon la Caisse n’aurait pas besoin d’avoir le mandat explicite d’investir au Québec). Ce rendement inférieur constitue donc à la fois une taxe envers les contribuables et une subvention à ces entreprises.
Or, la question que je me pose est à combien se chiffre cette taxe/subvention ?
Cela est difficile à évaluer car on ne peut pas vraiment encercler tous les investissements faits dans cette optique et comparer leur rendement au reste du portefeuille ou à son indice de référence. Par ailleurs, les écarts de rendements entre la CDPQ et des gestionnaires de fonds publics similaires ne peuvent pas être entièrement attribués à cette mission, car ils peuvent être causés par la malchance, des employés de plus faible compétence ou d’autres circonstances particulières.
Cependant, je me suis tout de même amusé à comparer les rendements de la CDPQ à celui de 7 autres caisses de retraites publiques canadiennes. J’ai dû exclure BCIMC car je ne trouve pas les rendements avant 2010, mais cela n’aurait pas tellement changé l’analyse.
La CDPQ est la deuxième plus grosse caisse de retraite publique au Canada avec $298.5 milliards d’actifs. La première place appartient à la caisse du gouvernement fédéral, CPPIB. La plus grosse somme appartient à l’Ontario, mais elle est divisée entre plusieurs caisses pour les enseignants (OTPP), les employés municipaux (OMERS), les travailleurs en soins de santé (HOOPP) et les autres fonctionnaires (OPB). L’Alberta a AIMCO et la Colombie-Britannique BCIMC.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerCDPQ: Caisse de Dépôts et Placements du Québec, CPPIB: Canada Pension Plan Investment Board, OTPP: Ontario Teachers Pension Plan, AIMCO: Alberta Investment Management Corporation, OMERS: Ontario Municipal Employees Retirement System, HOOP: Health Care of Ontario Pension Plan, OPB: Ontario Pension Board, BCIMC: British Columbia Investment Management Corporation.
Dans le graphique suivant, on observe que la CDPQ a obtenu le pire rendement entre 2006 et 2017, soit 6.4%. Est-ce que ce rendement peut s’expliquer par un risque plus faible? Non, car l’écart-type de ses rendements est le deuxième plus élevé.
- voir graphique sur site -
Dans le graphique suivant, on constate que si $10,000 avait été investi en 2006 dans toutes les autres caisses de retraites publiques canadiennes, il vaudrait $24,024 à la fin de 2017 comparativement à $21,012 avec la CDPQ, un écart de 14%.
Compte tenu de la taille actuelle du portefeuille de la CDPQ, cet écart de rendement équivaut à une somme de $3.4 milliards par année. Si on attribue 100% de cet écart au mandat de développement économique de la CDPQ, c’est comme si on taxait les contribuables québécois de $3.4 milliards et qu’on remettait ensuite cette somme en subventions à des entreprises.
On ne peut pas vraiment savoir si l’écart de rendement est entièrement attribuable à l’objectif de stimulation de l’économie locale de la CDPQ, ou si il est en partie attribuable à de l’incompétence ou de la malchance due aux aléas des marchés financiers.
Mais ne serait-il pas plus juste pour les contribuables que l’on fasse comme les autres provinces et le gouvernement fédéral, c’est-à-dire ne pas mêler taxe/subventions et fonds de retraite? N’y aurait-il pas plus de clarté, plus d’imputabilité et moins de risques de corruption? Je pense que la réponse à ces questions est évidente…
- voir graphique sur site -
https://minarchiste.wordpress.com/2019/03/18/le-rendement-inferieur-de-la-caisse-de-depots-est-a-la-fois-une-taxe-et-une-subvention/#more-6387
RépondreSupprimer«Choquant !», «un scandale !»: Après ADP, l’État prêt à «privatiser» ses barrages
17:40 28.03.2019
Fabien Buzzanca
La Commission européenne a lancé une procédure d’infraction contre la France concernant les concessions de ses barrages hydroélectriques: en vertu des règles de l’UE, elle demande leur ouverture à la concurrence. Paris affirme avancer dans ce sens et 150 établissements seraient concernés. Un «scandale» pour les observateurs interrogés par Sputnik.
«Ce qui est choquant c'est le transfert d'une richesse qui appartient à tous les Français vers le privé. Nous parlons d'une rente. Un barrage n'a pas de concurrent.»
Charles-Henri Gallois goûte peu le dernier coup de pression de Bruxelles. Celui qui est cadre dans un grand groupe et responsable des questions économiques au sein de l'UPR (Union Populaire Républicaine), parti anti Union européenne, fait partie des opposants à la privatisation des barrages hydroélectriques français, ou tout du moins de leurs concessions. Le 7 mars, la Commission européenne a lancé une procédure d'infraction contre Paris et sept autres pays européens afin «que les marchés publics dans le secteur de l'énergie hydroélectrique soient attribués et renouvelés dans le respect du droit de l'UE».
Les barrages hydroélectriques français sont propriétés de l'État. Des concessions ont été attribuées après la guerre, pour une durée de 75 ans dans la plupart des cas. 150 de ces concessions seront arrivées à terme d'ici 2023. Et la Commission verrait d'un très bon œil que des concurrents d'EDF puissent se tailler une part du gâteau.
Le gouvernement Philippe ouvre (bien) la porte
Le dernier avertissement de l'UE n'est qu'un épisode de plus de la bataille démarrée il y a quinze ans entre Paris et Bruxelles.
«Je dirais que le gouvernement cède cette fois-ci avec enthousiasme. Cela fait des années que Bruxelles réclame ces privatisations au nom de la concurrence libre et non faussée. Les précédents gouvernements avaient renoncé face aux risques de manifestations ou de campagnes médiatiques négatives», explique Philippe Béchade, président des Éconoclastes, également opposé aux privatisations.
Là où les différents gouvernements qui se sont succédé, de gauche comme de droite, avaient temporisé, l'exécutif du moment semble vouloir donner à la Commission ce qu'elle veut.
«L'État avait jusqu'ici joué la montre. Cette évolution est tout à fait dans la ligne poursuivie par le gouvernement actuel. Elle consiste à piloter au plus près des recommandations européennes», lance Philippe Béchade.
Le 7 février 2018, Matignon confirmait aux organisations syndicales concernées qu'il travaillait avec Bruxelles afin de définir les modalités des futurs appels d'offres. «Un pur scandale», tempêtait à l'époque Alexandre Grillat, secrétaire de la CFE-CGC Énergies, cité par Le Monde.
«La France avait été mise en demeure en 2015 par Margrethe Vestager, commissaire européenne à la Concurrence. Paris ne fait qu'appliquer les traités. En vertu de l'article 106 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne ou TFUE, la France doit mettre ses services publics sous les règles de la concurrence voulues par Bruxelles. Cela veut dire les libéraliser», souligne Charles-Henri Gallois.
Un peu d'histoire. En 2005, EDF est dans le viseur de la Commission. Le fait que l'entreprise contrôle environ 80% des aménagements hydroélectriques français constitue «une rupture de l'égalité de traitement entre différents opérateurs économiques». Bruxelles lance donc, déjà, une procédure d'infraction. EDF est en effet dans un fauteuil. Grâce à une mesure dérogatoire à la loi Sapin de 1993, le concessionnaire sortant bénéficie d'une position préférentielle.
RépondreSupprimerMais en 2006, Bruxelles obtient une victoire d'importance. La loi sur l'eau et les milieux aquatiques pulvérise le «droit de préférence» dont jouissait EDF et oblige dorénavant à ce que le renouvellement d'une concession pour un barrage fasse l'objet d'un appel d'offres. La loi sur l'eau et les milieux aquatiques ou LEMA avait pour but de transposer en droit français la directive-cadre européenne sur l'eau d'octobre 2000.
«Cette pression de la Commission n'est pas la seule explication à l'ouverture à la concurrence. En effet, "le processus de mise en concurrence à l'occasion du renouvellement des concessions hydroélectriques en France a été rendu obligatoire par la perte du statut d'établissement public d'EDF en 2004", explique la députée PS Marie-Noëlle Battistel» écrit CheckNews de Libération.
De fait, si l'article 41 de la loi Sapin prévoyait une dérogation à la mise en concurrence lorsqu'une concession était attribuée à un établissement public, en 2004, EDF a changé de statut: d'un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), la compagnie est passée à une société anonyme, contrôlée à au moins 70% par l'État. C'est là que le serpent se mord la queue, puisque «c'est [notre] appartenance à l'Union européenne qui a conduit au changement de statut d'EDF», souligne Charles-Henri Gallois. À l'appui de ses dires, un document conservé sur le site de l'INA précise que «l'ouverture à la concurrence du marché européen de l'électricité pour les professionnels, le 1er juillet 2004, impose [cette] mutation juridique».
Toujours selon CheckNews, «la Commission ne demande pas de "privatiser" les barrages au sens littéral». D'après le média, «les réglementations européennes ne "préjugent en rien le régime de la propriété dans les États membres"» se référant à l'article 345 du TFUE.
Pour les observateurs interrogés par Sputnik France, la différence induite ne pèse pas lourd.
«Les murs en tant que tels appartiennent à l'État. C'est la concession, donc l'activité qui permet de dégager du profit sur la partie opérationnelle qui doit être mise en concurrence. D'ailleurs, dans ce type de cas, se pose souvent la question de qui paie quand il y a des travaux ou lors de la mise à jour de l'actif à la fin de la concession», explique Charles-Henri Gallois.
Philippe Béchade ne croit pas non plus à l'importance du statut juridique des barrages:
«Je me mets simplement du point de vue de l'investisseur qui voudrait mettre la main sur un barrage. Ce n'est pas tellement le fait qu'il soit en pleine propriété ou qu'il obtienne une concession sur plusieurs décennies qui compte. La seule question importante est la suivante: est-ce que ce sera rentable ? Cela passe avant le cadre juridique.»
Nous touchons ici au cœur des craintes des opposants aux privatisations. Selon EDF, en France, l'hydroélectricité est la 3e source de production d'électricité et la 1re source en termes d'énergies renouvelables. En plus de leur aspect stratégique concernant l'indépendance énergétique du pays, des craintes sont soulevées quant à une possible augmentation des prix de l'électricité si les barrages venaient à passer au privé.
RépondreSupprimer«On peut imaginer qu'EDF, en tant qu'entreprise qui est détenue à 70 % par l'État, exploitait ces barrages dans l'intérêt général. Or un investisseur pourrait très bien ne pas produire si la demande est faible et attendre un pic de demande afin d'ouvrir les vannes», note Philippe Béchade.
Une chronique de France Culture récemment diffusée sur le sujet reprend les craintes du média en ligne Le vent se lève, qui s'interroge: «Un opérateur privé pourrait facilement maintenir les vannes du barrage fermées et attendre qu'un pic de consommation fasse frôler la pénurie d'électricité pour faire monter les prix. Sur le plan juridique, rien ne les en empêcherait.»
«Je rappelle simplement la privatisation du marché de l'eau. Plusieurs municipalités en ont fait les frais avec des tarifs qui ont explosé. Même chose pour les autoroutes. Ce sont des monopoles de fait. Comme pour le rail, vous en avez un seul, même chose pour les barrages. Le but d'une entreprise privée est de faire du profit, ce qui n'est pas le cas d'un service public qui est là pour apporter au même prix, censé être le plus faible possible, le même service à tous les citoyens», analyse Charles-Henri Gallois.
Philippe Béchade rappelle quant à lui un précédent à l'étranger:
«Si on est pessimiste, on peut se dire que l'on a affaire à des gens qui organiseront des pénuries. C'est impossible à prévoir, mais l'on sait que, par le passé, cela a existé. Je rappellerais l'exemple d'Enron aux États-Unis. Cette entreprise a déplacé le courant à travers le pays pour générer des pénuries, notamment en Californie qui était le principal demandeur. Ces gens savent très bien faire monter les tarifs.»
Au début des années 2000, le scandale Enron avait soulevé de nombreuses questions concernant l'ouverture du marché de l'électricité outre-Atlantique. «Le scandale Enron a jeté un doute sur l'ensemble de la profession. Début mai, la FERC (Federal Energy Regulatory Commission) rendait publics des documents internes du courtier en énergie décrivant comment il avait profité de la crise en Californie, aggravant la pénurie dans certains cas, saturant artificiellement le réseau dans d'autres», notait un article des Echos publié en 2002.
Une poule aux œufs d'or ?
Une privatisation des barrages poserait également des questions concernant la transition énergétique, comme le soulève Charles-Henri Gallois: «12,5% de la production d'électricité vient des barrages hydroélectriques. Ils sont notamment très utiles au moment des pics de consommation. Ils représentent par ailleurs 70% de la production d'électricité d'origine renouvelable. C'est très efficace à ce niveau, au contraire des éoliennes par exemple.»
Sans surprise, le membre de l'UPR s'en prend à l'Europe:
RépondreSupprimer«Cette affaire confirme l'obligation de faire le Frexit afin de préserver les services publics. Cela met en avant l'arnaque de tous ceux qui défendent une autre Europe. C'est toujours la même comédie. La France serait trop petite, l'échelle européenne serait la bonne pour les enjeux de demain. Or on voit très bien que dans ce cas, la transition énergétique est mise en danger par l'UE. La Suisse, petit pays indépendant de huit millions d'habitants, est une référence mondiale en matière de transition énergétique.»
Le dernier argument mis en avant par les opposants à un transfert au privé est à chercher du côté de la rentabilité pour l'État, à l'instar d'Aéroports de Paris, dont la privatisation a été votée le 16 mars à 6 h du matin par 27 députés sur 45 votants. Bertrand Rouzies, auteur d'un blog sur Mediapart, note que les barrages hydroélectriques «avec leur excédent brut de 2,5 milliards d'euros par an, dont la moitié revient aux collectivités locales, leur masse salariale faible (21.000 salariés) et leurs installations amorties depuis des lustres, sont une proie de choix».
«C'est un véritable scandale. La gestion des barrages est très rentable. Ce sont des installations déjà largement amorties et qui ont été financées par les Français. Si l'on considère les rénovations pour entretien ou autre, cela revient à une perte de rente d'environ 1 milliard d'euros par an pour l'État, qui risque fort d'aller directement au privé. C'est assez dingue», s'alarme Charles-Henri Gallois.
Philippe Béchade abonde:
«ADP et Française des jeux étaient aussi rentables pour l'État et c'est la même problématique. Je rappelle que dans ses Grandes orientations de politique économique (GOPE), Bruxelles appelle chaque année à réduire le périmètre de l'État.»
Concernant les barrages français, plusieurs entreprises se sont d'ores et déjà fait connaître afin de rafler la mise, comme l'allemand E.ON, les suédois Vattenfall et Fortum, le norvégien Statkraft, le suisse Alpiq ou l'italien Enel.
Cette affaire intervient après les privatisations d'ADP et de la Française des jeux, deux gros morceaux. L'État s'apprêterait-il à céder encore plus de ses bijoux de famille ? Philippe Béchade ironise:
«Il ne reste pas grand-chose à privatiser. Blague à part, Aéroports de Paris était une pépite. Surtout quand on sait que les Jeux Olympiques arrivent dans cinq ans. L'affluence et la rentabilité seront record.»
Les privatisations ont cependant leurs défenseurs. Et ils ne sont pas tous à chercher du côté de l'exécutif. Maître Hervé Guyader, président du Comité français pour le droit du commerce international (CFDCI), s'est récemment fendu d'un article intitulé «Vive la privatisation d'ADP !» et publié par nos confrères des Échos.
«L'obésité presque morbide de l'Etat pourrait se concevoir s'il était démontré que l'adiposité s'inscrivait dans un sens stratégique, mais reste intolérable quand il est simplement question d'une gestion stagnante. Pour cette seule raison, la privatisation est indispensable», assure-t-il.
Un avis loin d'être partagé par Charles-Henri Gallois, qui envisage la répétition de tels scénarios tant que la France restera au sein de l'Union européenne:
«On aura des mises en concurrence qui ne sont qu'une étape vers les privatisations. Je prends l'exemple de la SNCF. Le privé va aller sur les lignes les plus rentables et laisser les autres et la gestion du réseau à la SNCF. Derrière on nous expliquera qu'elle n'est plus rentable et en déficit et l'on va privatiser l'ensemble. Le schéma est toujours le même. Très clairement, on peut imaginer que les privatisations d'ampleur vont se multiplier.»
RépondreSupprimerhttps://fr.sputniknews.com/economie/201903281040530161-scandale-privatisation-barrages-france-union-europeenne/
Nouvelle bavure du Préfet de Vaucluse
RépondreSupprimerPROVENCE REPORTAGES
le 21 mars 2019
Ce matin, jeudi 21 mars, la Gendarmerie est intervenue à Avignon Réalpanier pour faire effectuer la démolition de la cabane au bord du rond-point. Après que deux avocats soient intervenus, la destruction de la cabane a été effectuée en toute illégalité, pour la simple et bonne raison que les gendarmes avaient en leur possession un document signifiant l'évacuation des cabanes mais ont dû obéir aux ordres du Préfet de les démolir. Maître Sophia Albert Salmeron a appelé le Procureur de la République pour lui indiquer les faits et une procédure envers le Préfet va être engagée car celui-ci s'est autoproclamé au dessus des lois.
https://www.youtube.com/watch?v=wpv0XjDfscE
300 Motards et Gilets Jaunes réunis autour d'une paêlla
RépondreSupprimerPROVENCE REPORTAGES
le 12 mars 2019
Samedi 9 mars 2019, environ 300 motards venus de toute la région se sont rendus à Avignon Réalpanier pour partager une paëlla avec les Gilets Jaunes avant de se rendre en début d'après midi à la manifestation sur Avignon.
https://www.youtube.com/watch?v=nPyLNRwxqIU
HAHAHAHA ! PLUS CON QUE ÇÀ TU MEURS !
RépondreSupprimerCLIMAT RECORD DE CHALEUR: «IL N'EST PLUS TEMPS DE TERGIVERSER»
Le contenu thermique des océans a atteint de nouveaux pics en 2018, «pulvérisant les records de 2017», selon l'ONU.
Le changement climatique impacte directement les océans.
28.03.2019, 19h33
Les océans ont atteint des records de chaleur en 2018, a alerté jeudi l'ONU. Les Nations unies s'inquiète des risques pesant sur la vie marine face au changement climatique. Elles avaient indiqué en février que la période 2015-2018 avait été la plus chaude depuis le début des relevés météorologiques.
Dans le rapport publié jeudi sur l'état du climat dans le monde, l'Organisation météorologique mondiale (OMM) fournit des précisions sur la multiplication des «manifestations physiques» du changement climatique, comme les phénomènes météorologiques extrêmes. Elle détaille également son impact socio-économique croissant.
Selon l'OMM, le contenu thermique des océans a atteint de nouveaux pics en 2018 entre 0 et 700 m de profondeur (relevés remontant à 1955) et entre 0 et 2000 m (relevés remontant à 2005), «pulvérisant les records de 2017». La hausse du niveau de la mer s'est aussi poursuivie «à un rythme accéléré», atteignant un record, selon l'OMM. Cette accélération de la hausse du niveau moyen de la mer est surtout dû au «rythme accru de perte de masse glaciaire des inlandsis» (les glaces permanentes ou calottes polaires).
«Plus temps de tergiverser»
L'étendue de la banquise arctique a, elle, été bien inférieure à la normale tout au long de 2018, affichant des records à la baisse en janvier et février. Et à la fin de 2018 l'étendue des glaces de mer, en moyenne journalière, était proche des plus faibles jamais observées.
«Les données divulguées dans le présent rapport sont très inquiétantes. Les quatre dernières années sont les plus chaudes jamais répertoriées, et la température moyenne à la surface du globe en 2018 était supérieure d'environ 1°C aux valeurs préindustrielles», a souligné le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres dans l'introduction à la déclaration. «Il n'est plus temps de tergiverser», a-t-il ajouté.
Lors d'une conférence de presse à New York, Antonio Guterres a mis en garde contre l'impossibilité d'inverser la tendance climatique qui se rapproche. Le monde «est très près» du moment où cela ne sera plus possible, a-t-il dit, rappelant qu'il organise un sommet en septembre à l'ONU pour intensifier l'action. Il a précisé avoir dit aux dirigeants du monde: «Ne venez pas avec un discours, venez avec un plan».
Plus de 60 mio de personnes touchées
La présidente de l'Assemblée générale de l'ONU, Maria Fernanda Espinosa, a aussi estimé au cours de la même conférence de presse qu'il y avait un besoin urgent «d'accroître les ambitions». «Nous avons besoin d'agir et d'agir maintenant», a-t-elle insisté.
Selon le rapport, en 2018, la plupart des dangers naturels, dont ont été victimes près de 62 millions de personnes, étaient liés à des conditions météorologiques et climatiques extrêmes. Comme par le passé, ce sont les inondations qui ont touché le plus de personnes, plus de 35 millions.
Plus de 1600 décès ont été liés aux vagues de chaleur intense et aux incendies de forêt qui ont frappé l'Europe, le Japon et les Etats-Unis, les dommages matériels avoisinant le chiffre record de 24 milliards de dollars dans ce dernier pays. En Inde, l'Etat du Kerala n'avait pas connu de pluies aussi abondantes et d'inondations aussi dévastatrices depuis presque un siècle. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/sante/record-chaleur-oceans/story/12703375
Supprimer(...) Le changement climatique impacte directement les océans. (...) !!!
HAHAHA ! Autant dire que la chaleur dans une pièce impacte directement le poêle ou la cheminée !!!
C'est l'incompétence journalistique à vouloir créer du scoop avec des merdes ! Comment peuvent-ils être aussi ignorants ??! C'est le magma sous terre et sous les bassins qui impacte son entourage, son eau, son atmosphère et non le contraire !
Ni le soleil, ni l'air qui entoure notre planète n'ont d'influence sur notre étoile qui brûle encore en son milieu. Mais la tare dans la presse est de passer outre la science !
Suffirait qu'ils aillent sur ventusky.com pour découvrir qu'en pleine nuit, qu'en plein hiver, les océan osent être chauds ! Chauds même près des pôles ! Chauds même sous les glaces des pôles !
(...) Les Nations unies s'inquiète des risques pesant sur la vie marine face au changement climatique. (...)
Perso j'aurai écris 's'inquiètent' au pluriel qui s'accorde avec le nom, mais bref; nous voila bientôt avec des poissons tout cuits, des moules cuites et pourquoi pas des poulets rôtis quand l'un se prend pour Colombo et se jette à la mer ?
A savoir que CONTINUELLEMENT depuis des millions d'années le fond des mers et océans et chaud, très chaud, dégaze à tout-va et largue des milliards de fois plus de produits toxiques dans les eaux que toute l'humanité n'en a fabriqué depuis ses débuts !
Les poissons ou 'monstres marins' qui vivent dans les profondeurs subissent aussi des tremblements de terre au premier rang ! Des tsunamis tous les jours ! Et pourtant, ils sont là depuis des millions d'années !
Mais que vont-ils faire tous ces cons à 'ONU ? Verser de l'eau sur le feu ? Hahahaha ! Il y en a déjà ! Mais alors... Que faire ??! Faire payer les moutons accrochés comme des merdes aux écrans de télés et même ajouter que sans leur fric qui est nécessaire ils périront tous noyés ! Hahahahaha !
ROUTES - POLÉMIQUE: DES DIZAINES DE MORTS ATTRIBUÉS AUX GILETS JAUNES
RépondreSupprimerPour le gouvernement français, il y a un lien direct entre la destruction des radars et la forte hausse des morts sur les routes. Est-ce si simple ?
75% des radars français sont détruits ou inutilisables. En cause: principalement des gilets jaunes.
PAR RENAUD MICHIELS
28.03.2019
«Ceux qui détruisent les radars ont du sang sur les mains», peut-on lire sur les réseaux sociaux. Comme l’inverse: «Que nos gouvernants cessent de traiter d’assassins les gilets jaunes !» Une intense polémique est née ce jeudi suite à la hausse du nombre de morts et de blessés sur les routes françaises constatées en février. Une surmortalité que les autorités françaises ont liée aux destructions de radars. Et donc directement aux gilets jaunes.
Publié ce jeudi, le communiqué officiel note que «253 personnes sont décédées sur les routes, contre 216 en février 2018 soit 37 de plus (+17,1%). Et 5021 personnes ont été blessées contre 4132 en février 2018, soit 889 de plus (+21,5%)». Puis parmi les pistes d’explication, on lit: «l’effet de la forte dégradation des radars fixes s’amplifie et se traduit par un relâchement des comportements sur l’ensemble des réseaux.»
Leur responsabilité est «énorme»
Des gilets jaunes ont détruit des radars. Des morts sont imputables au manque de radars. Des gilets jaunes ont donc des morts sur la conscience. Voilà comment beaucoup ont compris le message des autorités.
Un raisonnement qu’a aussi par exemple tenu l’éditorialiste Christophe Barbier, sur BFMTV. «S’il y a une augmentation de la mortalité, c’est à cause de la destruction des radars. Les fautifs, les criminels, ce sont ceux qui ont détruit les radars», a-t-il tonné. Et d’enchaîner: «la responsabilité des gilets jaunes, et des partis qui ont été complaisants avec les gilets jaunes, elle est énorme, très importante.» Une prise de position qui a engendré un déluge de commentaires virulents.
Reste que la vision est partagée au plus haut sommet de l’État. Dans l’après-midi, rapporte «Le Parisien», le président Macron a réagi à un élu à Angers qui s’est déclaré choqué par la destruction de radars en marge du mouvement des gilets jaunes. Emmanuel Macron a lancé: «Je vous remercie de dénoncer des comportements inadmissibles dont les résultats sont immédiatement tangibles quand on voit les tout derniers chiffres.»
Manipulation des chiffres ?
Mais est-ce aussi limpide ? Sur le fond, un lien entre manque de radars et mortalité n’est pas contestable: il existe forcément. Et «75% du parc de radars a été soit détruit, soit détérioré, soit attaqué, soit neutralisé» en France, avait indiqué le ministre de l’Intérieur début mars.
Reste que des gilets jaunes dénoncent une manipulation politique des chiffres de la mortalité. Et certains estiment qu’ils n’ont probablement pas entièrement tort, car la réalité est plus complexe. Dans un commentaire ironique et nuancé publié sur le «Blog Auto», on peut lire qu’en février, la hausse du nombre de morts «est surtout due aux cyclistes, aux motocyclistes qui sont sortis plus tôt à la faveur d’un mois clément, et aux piétons ! Ces mêmes piétons se font malheureusement surtout tuer en agglomération, loin des radars dégradés»… (Le Matin)
https://www.lematin.ch/monde/polemique-dizaines-morts-attribues-gilets-jaunes/story/11569318
L'automatisation des pv depuis les radars fixes privent depuis toujours la gendarmerie de remplissages de carnets malgré qu'il leur soit demandé le même nombre de pv par jour ou même plus que d'habitude. C'est pour cette raison qu'ils recouvrent eux-mêmes ces boitiers mal-venants d'un sac-poubelle noir scotché tout autour.
SupprimerMais, la lâcheté journalistique lèche-cul des dictatures accuse maintenant et SANS AUCUNE PREUVE les 'gilets-jaunes' d'assassinats !!!
"Au début, on n'y croyait pas": le glacier du Groenland à fonte rapide recommence à s'agrandir de manière spectaculaire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 28/03/2019 - 18:45
Selon une nouvelle étude de la NASA, un grand glacier du Groenland en train de fondre à nouveau est en train de se reconstituer. Le glacier Jakobshavn (YA-cob-shawv-en) sur la côte ouest du Groenland aurait reculé d'environ 1,8 km et s'est aminci de près de 130 pieds par an en 2012.
Selon une étude publiée lundi dans Nature Geoscience, revue par les pairs, le glacier a commencé à se développer à peu près au même rythme ces deux dernières années. Cela dit, les auteurs de l'étude jurent que c'est temporaire.
"Au début, nous n'y croyions pas", a déclaré l'auteur principal Ala Khazendar, qui travaille au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA. "Nous pensions à peu près que Jakobshavn continuerait comme si de rien n'était au cours des 20 dernières années."
Le coauteur, Josh Willis, a déclaré que bien que ce soit une "bonne nouvelle" temporaire, il reste une "mauvaise nouvelle" à long terme, car cela signifie que la température de l'océan est un facteur plus important dans la croissance et la fonte des glaciers qu'on ne le pensait auparavant.
"A long terme, nous devrons probablement augmenter à nouveau nos prévisions concernant l'élévation du niveau de la mer", a déclaré Willis, soulignant l'inévitable condamnation du réchauffement climatique provoqué par l'homme.
«C’était un peu une surprise. Nous nous sommes habitués à un système qui s’emballe», a déclaré Jason Box, un scientifique spécialisé dans les sciences de la glace et du climat au Danemark et au Groenland qui n’a pas participé à l’étude.
Pensez à la température de l’océan près du Groenland comme à un escalator qui s’élève lentement du réchauffement de la planète, a déclaré Khazendar. Mais parfois, l’oscillation naturelle dans l’Atlantique Nord revient à sauter quelques marches ou à sauter quelques marches. L'eau peut devenir plus froide et avoir des effets, mais à la longue elle se réchauffe et la fonte va s'aggraver, a-t-il déclaré.
Quatre scientifiques extérieurs ont déclaré que l'étude et les résultats avaient du sens.
Ian Joughin, scientifique en sciences de la glace de l'Université de Washington, qui ne participait pas à l'étude et qui avait prédit un tel changement il y a sept ans, a déclaré que ce serait une "grave erreur" d'interpréter les données les plus récentes comme étant en contradiction avec la science du changement climatique.
Ce qui se passe, a déclaré Joughin, est "dans une large mesure, un coup de théâtre temporaire. Des reculs se produisent sur le marché boursier, mais globalement, la trajectoire à long terme est en hausse. C'est vraiment la même chose. ”-AP
Bien sûr, que vont-ils dire si et quand le soleil entrera dans un minimum de Maunder en 2020 ? La dernière fois qu'il y avait un minimum solaire prolongé, cela a conduit à un mini-âge de glace qui était scientifiquement connu comme le minimum de Maunder.
RépondreSupprimerMac Slavo, de SHTFplan.com, a écrit en novembre dernier que les taches solaires étaient absentes depuis 2018 et que la haute atmosphère de la Terre réagissait, a déclaré Phillips, rédacteur en chef de spaceweather.com.
Les données du satellite TIMED (énergie thermique et dynamique de la thermosphère à ionosphère de la NASA) montrent que la thermosphère (la couche d’air la plus élevée autour de notre planète) se refroidit et se rétrécit, diminuant littéralement le rayon de l’atmosphère. Cette réduction de l'activité solaire pourrait entraîner une phase de refroidissement global.
«La thermosphère se refroidit toujours pendant le minimum solaire. C’est l’un des principaux moyens par lesquels le cycle solaire affecte notre planète », a déclaré Mlynczak, selon The New American.
Les nouvelles conclusions de la NASA vont dans le sens des études publiées par UC-San Diego et la Northumbria University en Grande-Bretagne l'année dernière, qui prédisent toutes les deux un minimum solaire dans les décennies à venir en raison de la faible activité des taches solaires.
- voir graphique sur site -
Les deux études ont prédit une activité solaire similaire au Maunder Minimum du milieu du XVIIe siècle au début du XVIIIe siècle, qui a coïncidé à une époque connue sous le nom de «petit âge glaciaire», au cours de laquelle les températures étaient bien inférieures à celles d'aujourd'hui.
- voir clip sur site -
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-28/first-we-didnt-believe-it-fast-melting-greenland-glacier-starts-growing-again
Il y a la glace au pôle au-dessus d'un pays et il y a la glace bordée par l'océan. Il est certain que la glace au-dessus du canada ne fondra jamais et continuera d'apporter des vortex (attirés par les eaux chaudes Atlantique) aux USA, par contre, la glace au bord de l'eau subit les températures océaniques.
RépondreSupprimerLe magma chauffe les courants et apportent aux côtes (terrestres ou glacières) quelques douceurs (eau et air) ce qui contribue donc à la fonte de glaciers.
Mais là, dans l'article évoqué ci-dessus, la glace gagne du terrain car elle dépend aussi des éruptions solaires comme de leurs absences.
Vent, pluie, froid et neige possible : retour d'un temps hivernal dès mardi
RépondreSupprimerHervé Hillard
ouest france
jeu., 28 mar. 2019 21:44 UTC
Après un hiver plutôt clément et sec, puis un printemps précoce, le temps devrait changer en milieu de semaine prochaine. À partir du mardi 2 avril, et surtout mercredi, l'hiver devrait tenter une offensive froide et humide, avec de la neige possiblement à basse altitude. Ressortez une petite laine, on va voir ça de plus près.
On s'y était fait. L'hiver avait été doux, le printemps précoce, les températures positives, les pluies rares, les hautes pressions solidement vissées au-dessus de la France. De quoi attiser nos contradictions, tiraillés que nous sommes entre la réalité crue de ces inquiétantes prémisses du réchauffement climatique et le leurre séduisant d'une météo clémente.
Réjouissez-vous ou grimacez, selon les cas : le temps va changer dès le milieu de la semaine prochaine. Comprenez que nous allons revenir à un temps plus hivernal que printanier. Avec du vent de nord, de l'humidité, de la pluie et - ce n'est pas exclu - de la neige.
Pourquoi ? Regardez la carte située en tête de l'article, qui montre les prévisions de pluie et de neige du modèle européen (CEPMMT) pour le mercredi 3 avril au matin. On l'a dit plus haut, depuis plusieurs mois, et à de rares périodes près, un anticyclone a le plus souvent trôné au-dessus de notre pays, bloquant les dépressions atlantiques, leurs vents forts et leurs intempéries à nos portes.
Une descente d'air froid avec retour de gelées et de #neige à basse altitude est envisageable pour le début du mois d'avril. La tendance reste à confirmer mais le signal est marqué sur les modèles d'ensemble. pic.twitter.com/EODa9hhX2h
- Keraunos (@KeraunosObs) March 26, 2019
À partir de mardi, mais surtout mercredi, l'anticyclone des Açores, sans vraiment reprendre la place qui lui a donné son nom, va quand même se décaler vers l'ouest. Deux dépressions vont par ailleurs se développer à l'Est de la France, l'une au-dessus de l'Allemagne, l'autre entre Monaco et la Corse.
Petit conseil : ne rentrez pas vos affaires d'#hiver trop vite. pic.twitter.com/kVdnMbNCkH
- La Chaîne Météo (@lachainemeteo) March 27, 2019
Conséquence : des flux de nord sur une bonne partie de l'hexagone, tout droit venus de l'Arctique. Donc froids. Et humides, puisqu'essentiellement maritimes.
modèles européen
- voir carte sur site -
Les cartes de prévision des modèles européen (à gauche) et américain (à droite) pour le mercredi 3 avril en milieu de journée. | WINDY - CEPMMT ET GFS
Que peut-on donc attendre ? A priori, une baisse des températures, de la pluie, voire de la neige à basse altitude sur l'Est du pays. Pourquoi « a priori » ? Parce que, comme cela arrive régulièrement, surtout à l'échéance d'une semaine, les modèles européen (CEPMMT) et américain (GFS) ne sont pas d'accord (carte ci-dessus).
Pour les Américains, il y aura bien changement de temps (carte ci-dessus, valable pour mercredi en milieu de journée), mais pas aussi marqué que celui prévu par le Centre européen de prévision météo à moyen terme (carte ci-dessous, pour la même période). Moins de pluie, peu de neige, cantonnée aux reliefs du Grand Est et des Alpes.
- voir carte sur site -
La carte de prévision pluie et neige du modèle européen pour le mercredi 3 avril en milieu de journée. | WINDY - CEPMMT
Il faudra évidemment suivre l'évolution des prévisions avec soin. De la vitesse de déplacement et de la position précise des centres dépressionnaires ou anticycloniques dépendra l'ampleur du phénomène. Quoi qu'il en soit, une descente d'air froid et humide devrait bien concerner notre pays la semaine prochaine. Champs, jardins, vergers et potagers - sans oublier les nappes phréatiques - n'auront rien contre de la pluie. Alors...
https://fr.sott.net/article/33677-Vent-pluie-froid-et-neige-possible-retour-d-un-temps-hivernal-des-mardi
"Plus d'un million de veaux perdus dans le Nebraska" - Les prix du boeuf vont considérablement augmenter au cours des prochains mois
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 28/03/2019 - 17:05
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Selon le secrétaire d'État à l'Agriculture, Sunny Purdue, «il pourrait y avoir jusqu'à un million de veaux dans le Nebraska» en raison des inondations catastrophiques qui ont frappé l'État.
Ce n'est pas une rumeur, ce n'est pas une exagération, et cela ne repose sur aucune sorte de spéculation. Ce chiffre nous vient directement du plus haut responsable de l'agriculture dans tout le pays, ce qui signifie que les conséquences économiques des récentes inondations sont bien plus lourdes que ce que la plupart d'entre nous avaient prévu. Vous pouvez regarder Purdue faire cette citation sur Fox Business ici, et il est important de se rappeler que ce numéro ne concerne qu'un État. Il est difficile d’imaginer à quoi ressembleront les chiffres définitifs lorsque les pertes de bétail de tous les États touchés par les inondations seront comptabilisées. C’est déjà la pire catastrophe agricole de l’histoire américaine moderne, et le National Weather Service nous dit que d’autres inondations catastrophiques se produiront dans le centre du pays au cours des deux prochains mois.
Le gouverneur du Nebraska, Pete Ricketts, a déclaré qu'il s'agissait de la pire inondation que son État ait jamais connue. Ricketts nous avait d'abord indiqué que 65 des 93 comtés de son État avaient déclaré l'état d'urgence, mais ce nombre est maintenant passé à 74. Des centaines de millions de dollars de dégâts ont été causés dans son seul État, et ce n'est qu'un estimation initiale.
Cela me choque profondément que les grandes chaînes d’information grand public aient passé si peu de temps à couvrir cette catastrophe. C’est l’actualité la plus importante de 2019 à ce jour de loin, mais comme cela s’est passé dans le centre du pays, ils ne lui accordent pas l’attention qu’il mérite.
À court terme, les prix des denrées alimentaires n'augmenteront pas de manière trop importante, car les magasins vendent les denrées alimentaires déjà produites. Mais au fur et à mesure que les mois passent, vous constaterez que les prix des aliments augmentent régulièrement. Des millions de boisseaux de blé, de maïs et de soja ont été détruits par les inondations jusqu'à présent et des milliers d'agriculteurs ne seront pas en mesure de planter des cultures cette année. Et les pertes de bétail que nous avons déjà connues se feront sentir pendant de nombreuses années.
Le prix du boeuf ne sera jamais inférieur à ce qu'il est actuellement. Donc, si vous êtes amateur de boeuf, vous voudrez peut-être vous approvisionner.
Lorsque les inondations ont commencé, il est arrivé si vite que de nombreux agriculteurs étaient impuissants à faire quoi que ce soit. Dans le comté de Sherman, Richard Panowicz, un agriculteur, a déclaré que la glace et les débris «explosaient depuis la rivière»…
«Dans les 15 minutes qui ont suivi, c'était dévastateur», a déclaré Panowicz. L'eau, la glace et les débris ont explosé à la surface de la rivière sans que rien ne puisse l'arrêter.
Il a décrit des morceaux de glace de 3 pieds d'épaisseur et de la taille d'un pick-up à cabine allongée.
Panowicz a déclaré que beaucoup de veaux morts qu’il avait ramassés avaient les jambes cassées. Beaucoup de carcasses ont été retrouvées par des voisins.
RépondreSupprimerDans d'autres cas, les agriculteurs ont été confrontés à un choix déchirant entre sauver leurs animaux ou sauver leurs voisins. Un agriculteur qui s'est dépêché d'aider ses voisins a fini par perdre 30 veaux à cause des eaux de crue…
Avant que Mahon puisse penser à ses animaux, il devait aider ses voisins. Au fur et à mesure que l'eau montait, il en sauvait un avec son tracteur, l'inondation le soulevant et le faisant pivoter à 180 degrés. Il a aidé à sauver trois autres personnes - dont une femme de 85 ans et un bébé de 9 mois - avec un bateau, a-t-il déclaré.
Ensuite, il pourrait commencer à compter ses pertes. Il a estimé que l'inondation avait emporté 30 veaux et presque autant de vaches, soit près de 50 000 dollars. Ce pourrait être plus.
Pouvez-vous imaginer le chagrin que ces familles d'agriculteurs endurent en ce moment ?
Beaucoup d'entre eux sont ruinés financièrement et ne pourront plus jamais retourner à l'agriculture.
La famille de Dave Eaton exploite la même parcelle de terrain depuis 152 ans. Mais maintenant que la rivière Missouri a avalé sa ferme, et avec encore beaucoup d’inondations à venir, il prévoit que sa ferme sera sous l’eau «toute l’année»…
La ferme est dans sa famille depuis 152 ans. Il est né là-bas. Il pense à ce qu’il a appris sur les réservoirs en amont du Missouri et le manteau neigeux en montagne, et sur ce que cela signifie pour son pays.
"Ce n'est pas comme si j'étais nouveau dans la région", a-t-il déclaré. "Mon sentiment est que nous allons être sous l'eau toute l'année."
Et il n’est certainement pas le seul à avoir perdu son année.
Panowicz dit que le foin et l'ensilage destinés à nourrir son bétail cette saison étaient trempés «dans 3 à 4 pieds d'eau»…
Le foin et l'ensilage destinés à nourrir son bétail sont trempés après s'être assis dans 3 à 4 pieds d'eau.
Sand couvre maintenant une grande partie des pâturages qu'il utilise pour faire paître son troupeau de vaches Angus et de taureaux charolais de race.
Et 40 de ses veaux récemment nés sont morts dans l'inondation.
Alors qu'est-ce qu'il est censé faire ?
Certains éleveurs du Nebraska tenteront courageusement de se reconstruire, mais pour Panowicz, il semble que la fin soit arrivée…
«Je vais probablement vendre les vaches et les veaux (restants) et me retirer du commerce du bétail», a déclaré Panowicz, 65 ans. «Je côtoie les vaches depuis le début des années 1970.»
Je pourrais continuer encore et encore, mais je pense que vous avez compris.
Les fermiers américains ont été complètement dévastés. Les producteurs de bétail américains ont été complètement dévastés. La production alimentaire sera bien inférieure aux attentes et les prix des denrées alimentaires vont augmenter de manière spectaculaire au cours des prochains mois. C’est le genre de scénario sur lequel j’ai mis en garde et cette crise va continuer à s’aggraver à mesure que la neige de l’un des hivers les plus enneigés de tous les temps a fondu. Au Minnesota, il y a encore plus de 20 pouces de neige sur le sol à certains endroits et toute cette eau doit aller quelque part.
Il s’agit de la plus grande crise nationale qui ait frappé les États-Unis depuis de nombreuses années, mais les grands médias et des millions d’Américains qui ne vivent pas dans les zones touchées ne semblent toujours pas l’obtenir.
RépondreSupprimerBien sûr, lorsque les prix des denrées alimentaires commenceront à monter péniblement dans nos supermarchés, tout le monde commencera à se plaindre, mais il n’y aura pas de solution facile.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-28/many-million-calves-lost-nebraska-beef-prices-escalate-dramatically-coming-months
Le slogan qui a déchaîné cet enfer
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 28/03/2019 - 23:05
Écrit par Jeffrey Tucker par le biais de l'Institut américain de recherche économique,
En 1969, à l’époque des salades du militantisme de la nouvelle gauche, Carol Hanisch écrivit un essai intitulé «The Personal Is Political», écrit par la rédactrice en chef. Elle cherchait à expliquer l’éthique des séances de thérapie réservées aux femmes qu’elle dirigeait. Le but n'était pas d'améliorer le bien-être psychologique. Il s’agissait de «thérapie politique», c’est-à-dire de motiver les gens à l’action politique. L’idée est que ses propres griefs doivent être transformés en action politique. "Il n'y a pas de solutions personnelles pour le moment", a-t-elle écrit. "Il n'y a qu'une action collective pour une solution collective."
Laissons de côté les arguments pour ou contre son type de politique. Le slogan lui-même était le feu. Il s'est étendu à toutes les causes, à tous les groupes, à tous les coins et recoins de la vie. Si vous éprouvez de l’insatisfaction dans votre vie, ne cherchez pas une solution personnelle, soyez actifs, rejoignez un collectif et demandez une solution politique. Pensez à cela comme à l’application de gauche du principe schmittien selon lequel ce n’est que par la politique que nous trouvons un sens (le point opposé qui est devenu le thème principal du travail de Jordan Peterson).
Cinquante ans plus tard, j'ai suivi l'effondrement d'un certain nombre d'organisations et de causes de «justice sociale» au cours des derniers mois: elles se sont retournées contre elles-mêmes, se sont purgées de leur propre mal défini et se sont finalement effondrées sur leur propre base. contradictions intérieures. Ceci est arrivé à la marche des femmes. C'est arrivé au Congrès américain. C'est ce qui est arrivé à l'organisation militante pour la justice sociale la mieux financée du pays. C’est ce qui s’est passé à Hollywood, où le problème est que plus il respecte le code identitaire, moins ses films sont rentables.
Il ne semble pas y avoir de fin à la frénésie alimentaire provoquée par la politisation de chaque tique personnelle. Un nouvel arrivant dans la course à la présidence du parti démocrate ne peut même pas prononcer un discours public sans passer la semaine à gémir mea maxima culpa pour toutes les façons dont il a violé le canon, même par inadvertance. Il n'y a pas de pénitences suffisantes pour en remettre un dans les bonnes grâces de la police morale de gauche.
Il existe d’autres absurdités, comme par exemple l’attitude alarmante de la candidate Elizabeth Warren en matière de tests génétiques pour vérifier si elle est en partie amérindienne et a donc droit à la sympathie en tant que victime de l’oppression. Le test n'a pas seulement échoué à vérifier ses traditions; cela a provoqué l'indignation des groupes tribaux qui ont précisé que leur identité collective est culturelle et sociale et non génétique.
Lorsque la politique est tellement motivée par l’identité personnelle que les candidats imaginent que les tests d’ADN peuvent leur permettre de recueillir des votes, nous n’avons pas atteint un niveau moral élevé, mais un niveau bas comparable à certaines des pires expériences politiques du passé (voir Eugénique).
Qu'est-ce qu'il se passe ici ? La tentative de transformer chaque problème personnel subjectivement ressenti en une cause collective par une action collective a engendré une forme brutale de politique identitaire qui n'a pas engendré de conflit social, avec de vastes carnages en cours de route.
La théorie s'est trompée
RépondreSupprimerLe slogan «le personnel, c’est le politique» pose de nombreux problèmes, mais deux se distinguent. Premièrement, les expériences personnelles sont aussi diverses que les habitants de la planète. toutes les expériences personnelles ne peuvent sûrement pas devenir une cause politique sans affrontements et contradictions infinies. Deuxièmement, le plan donne un pouvoir étouffant au point d’empêcher de parler, d’agir ou même de respirer sans se heurter à un flic - ou à une foule en délire.
Les deux problèmes ont atteint leur point d'ébullition au cours des deux dernières années. Vous avez sûrement remarqué. Au nom de la justice, de l'équité et de l'équité, des personnes sont renvoyées de leurs emplois pour des paroles ou des écrits d'il y a des décennies. Le mauvais mot ou le mauvais regard peuvent résulter en une attaque de foule et en une perte de carrière, quel que soit le succès obtenu. Le repérage du mal est sans fin et si rapide qu'il est impossible de suivre. Les mots et les phrases qui étaient à l'apogée de la conformité politique il y a à peine cinq ans («son ou sa») sont maintenant dénoncés comme oppressivement binaires.
Et les attaques hurlantes contre quiconque et toutes les personnes qui sont dissidentes ferment le débat. On n'ose pas contester, par exemple, le fait de frapper une personnalité en l'absence de preuve, de peur de se faire harceler et de se faire flageller par des moralistes hurleurs qui vous puniront. Ceci explique les nombreuses poches de silence étranges sur certains sujets de la Twittersphère.
Des idéaux impossibles
Le système moral en cours de construction par ceux qui ont rendu «personnelle est politique» leur mantra est devenu infiniment complexe au point d’être non opérationnel. Ils ont dit une fois que la discrimination est mauvaise et beaucoup de gens ont accepté. Le problème, c'est que la loi n'est pas un lecteur d'esprit et utilise donc des mandataires pour ce qu'elle considère discriminatoire. Cela signifie au moins des quotas raciaux et sexuels, mais ce n’est que le début.
Atteindre un équilibre absolu dans chaque profession, à tous les niveaux, non seulement en termes de postes mais également en termes de salaire, est incompatible avec les choix réels des individus. Que se passe-t-il si ces personnes sont enrôlées par des observateurs extérieurs dans un groupe que les experts estiment plus décisif que le simple choix ? Au lieu de la simple non-discrimination, la nouvelle demande est devenue la diversité obligatoire.
Mais une diversité de quoi ? Cela dépend de la manière dont vous voulez diviser la famille humaine en fonction de son identité. Il y a la race, le sexe, l'âge, la religion, les capacités physiques, ainsi que les préférences sexuelles, la langue, l'accent, l'identité de genre, la géographie, la classe et le niveau d'instruction. Vous pensez peut-être que le mandat de la diversité devrait s’arrêter à la seule biologie physique, mais ceux-ci sont également en litige (il n’y a pas de race pure et, plus récemment, le sexe biologique lui-même est dit malléable).
Les nouveaux ajouts au canon incluent des règles anti-harcèlement basées sur l’une des catégories ci-dessus, mais ce terme n’a pas de définition claire, pas de règles de preuve, pas de directives de conformité et pas de prescription. Dans la pratique, cela signifie qu’il faut avoir le moins possible de contacts humains avec les autres, en particulier dans un environnement commercial. Littéralement, n'importe qui peut être accusé et les entreprises qui agissent en toute sécurité préféreraient renverser l'employé ciblé plutôt que de risquer de mauvaises relations publiques et un procès non gagnable. Le péage s'additionne chaque jour.
N'est pas approprié
RépondreSupprimerDernièrement, les architectes de l’identitarisme ont ajouté une autre loi impossible à respecter à son canon: vous ne pouvez pas vous approprier une autre culture. L’intuition ici découle d’une appréciation sincère des contributions d’un peuple qui mérite un crédit social pour les avoir faites. Mais cela signifie-t-il que personne d'autre ne peut imiter ou se laisser influencer par une autre culture dans le but de la célébrer? Difficile à savoir, nous ferions mieux de demander aux représentants officiels de la culture de nous le dire. Ils vont probablement dire non et vous accuser de vol.
Le problème théorique crucial de la théorie de l'appropriation est que la culture est à la fois malléable et reproductible à l'infini, du moins dans son apparence extérieure. La culture n’est pas inextricablement attachée à certaines personnes, mais vous souhaitez identifier ces personnes collectives, dont les membres peuvent ou non apprécier l’identification. Le problème historique crucial est qu’il est impossible de penser à un point de progrès historique ne dépendant pas de l’appropriation de traits culturels dépassant le cadre de l’expérience d’une petite tribu. Suivez cette logique assez loin et vous devez finir par condamner toute expérience humaine comme une exploitation intrinsèque - et beaucoup le font exactement.
Guerre sans fin
Alors, mettons tout cela ensemble. L'exigence de politiser chaque grief personnel suppose que les personnes n'existent qu'en tant que groupes et que ces groupes doivent être définis politiquement. De tels regroupements peuvent être infiniment complexes, comme le démontre la théorie de l'intersectionnalité. Les gains d’un groupe sont au détriment de tous les autres. Ainsi, chaque avancée crée les conditions d’une plus grande oppression, de dégoût, d’indignation, de condamnation, d’activisme et de prise de pouvoir, même si ces groupes changent constamment de composition en fonction de leur influence politique. Il n'y a pas de sécurité pour quiconque en vertu de ce code moral; il n'y a que la peur et la peur de l'exposition, et une vie misérable en général.
Considérons l’ancien code de normes civiques que toute cette complexité identitaire est destinée à remplacer. En ce qui concerne le droit, il est simple: la contrainte ne devrait être utilisée que dans le cas d'atteintes à la vie ou à des biens. Il existe un mur qui sépare l’utilisation du pouvoir de l’État de celui qui devrait être traité personnellement et en coopération avec d’autres. Les cours des moeurs et des goûts régissent le reste. Tiens tes promesses. Cultivez de bonnes relations avec les autres. Être empathique. Admettez les échecs, le cas échéant. Pardonnez si nécessaire. Respecte la dignité des autres. Faites ce que vous pouvez pour mettre les autres à l'aise. Cherchez à mener une bonne vie mais jamais aux dépens des autres.
Cet ancien code établissait une distinction entre le personnel et le politique, en sachant parfaitement qu'une fois que vous politisiez, vous créez un environnement à somme nulle dans lequel règnent la contrainte et la bureaucratie. C’est pour cette raison que l’ancien code cherchait à restreindre l’État et à donner à la société le pouvoir principal de développer et de cultiver tout ce que nous appelons la civilisation. C'est le code qui a apporté au monde la paix, la prospérité et la compréhension. Tout "activisme" qui cherche à atteindre le bien social devrait être animé par cet idéal.
Ce que nous constatons à notre époque est le résultat d’un mandat selon lequel tous les problèmes personnels doivent et doivent être orientés vers les solutions politiques réclamées par une armée militante collective, dans le but de construire un appareil de coercition et de coercition qui n’a pas de limites à son pouvoir. . Les résultats affluent: division, vitupération, destruction personnelle, sans fin au carnage. L'implosion des individus et des institutions qui ont professé la fidélité au credo témoigne de son impraticabilité dans la vie réelle.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2019-03-28/slogan-unleashed-hell
Ils cherchent à séparer les gens, à créer des rivalités, du racisme et même, parlent des françaises et des français qui défilent les samedis comme étant des handicapés mentaux qui marchent sans but précis et qui brûlent des voitures de gilets jaunes ou cassent des vitrines qui leur appartiennent !
SupprimerMais pas une fois dans les merdias et pas plus que dans l'article ci-dessus, ils ne parlent de Démocratie !
L'AI peut détester sans aucune intervention humaine
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 28/03/2019 - 19:05
Écrit par Dagny Taggart via le blog Organic Prepper,
Et si un robot décide qu'il vous déteste ?
Cela peut sembler une question idiote, mais selon les recherches, développer des préjugés envers les autres n’exige pas un niveau élevé de capacités cognitives et pourrait facilement être présenté par des robots et d’autres machines artificiellement intelligentes.
L'étude, menée par des experts en informatique et en psychologie de l'Université de Cardiff et du MIT, a révélé que des groupes de machines autonomes pouvaient démontrer des préjugés simplement en identifiant, en copiant et en apprenant les comportements les uns des autres. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature.
Les robots sont capables de former des préjugés un peu comme les humains.
Dans un communiqué de presse, l’équipe de recherche a expliqué que même s’il pouvait sembler que la cognition humaine était nécessaire pour former des opinions et stéréotyper les autres, il semble que ce n’est pas le cas. Les préjugés ne semblent pas être un phénomène humain.
Certains types d’algorithmes informatiques ont déjà fait apparaître des préjugés comme le racisme et le sexisme, que les machines tirent des archives publiques et d’autres données générées par des humains. Deux fois auparavant, AI et Zo ont été fermés après que des personnes leur aient appris à faire des remarques racistes et sexistes sur les médias sociaux.
Cela signifie que les robots pourraient être aussi odieux que les êtres humains. Et comme ils sont des milliers de fois plus intelligents que nous, pouvez-vous imaginer l’avenir s’ils développaient un parti pris contre l’humanité ?
Aucune intervention humaine n'est requise.
Les robots n’ont pas besoin de conseils de la part des humains pour apprendre à détester certaines personnes.
Cependant, cette étude a montré que l’intelligence artificielle n’a pas besoin de provocation ni de l’inspiration des trolls pour qu’elle présente des préjugés: elle est capable de les former toutes par elle-même.
Pour mener la recherche, l'équipe a mis en place des simulations informatiques de la manière dont des individus défavorisés peuvent former un groupe et interagir les uns avec les autres. Ils ont créé un jeu de «donner et prendre», dans lequel chaque bot IA a pris la décision de donner ou non à une autre personne de son propre groupe de travail ou à un autre groupe. Les décisions ont été prises en fonction de la réputation de chaque personne et de sa stratégie en matière de dons, y compris de son degré de préjugé à l’égard des personnes appartenant à des groupes extérieurs.
Au fur et à mesure que le jeu progressait et qu'un supercalculateur réalisait des milliers de simulations, chaque personne commençait à apprendre de nouvelles stratégies en copiant les autres, soit dans leur propre groupe, soit dans l'ensemble de la population.
Le professeur Roger Whitaker, de l’Institut de recherche sur la criminalité et la sécurité de l’Université de Cardiff et de la School of Computer Science and Informatics, co-auteur de l’étude, a déclaré à propos des conclusions:
En effectuant ces simulations des milliers et des milliers de fois, nous commençons à comprendre comment les préjugés évoluent et les conditions qui les favorisent ou les entravent.
RépondreSupprimerLes résultats impliquent que les individus mettent à jour leurs niveaux de préjugés en copiant de préférence ceux qui obtiennent un gain plus élevé à court terme, ce qui signifie que ces décisions ne nécessitent pas nécessairement des capacités cognitives avancées.
Il est possible que des machines autonomes capables d’identifier avec discrimination et de copier d’autres personnes puissent à l’avenir être exposées à des phénomènes préjudiciables que nous voyons dans la population humaine.
De nombreux développements de l'IA que nous observons impliquent l'autonomie et la maîtrise de soi, ce qui signifie que le comportement des périphériques est également influencé par ceux qui les entourent. Les véhicules et l'Internet des objets sont deux exemples récents. Notre étude donne un aperçu théorique du fait que des agents simulés font périodiquement appel à d’autres types de ressources. (la source)
Autonomie et maîtrise de soi. N’est-ce pas ce qui s’est passé dans la franchise Terminator?
Que faire si les scientifiques ne peuvent pas garder l’IA impartiale ?
Que se passera-t-il si les développeurs et les informaticiens ne peuvent pas trouver un moyen de garder l’IA impartiale ?
L'année dernière, quand Twitter a été accusé d'avoir «banni» environ 600 000 comptes, le PDG, Jack Dorsey, a évoqué les difficultés rencontrées par les développeurs d'IA pour réduire les biais accidentels.
Cette nouvelle recherche s’ajoute à un nombre croissant d’informations troublantes sur l’intelligence artificielle. Nous savons que l'intelligence artificielle possède des capacités de lecture de l'esprit et peut effectuer de nombreux travaux aussi bien que les humains (et dans de nombreux cas, elle peut faire un travail bien meilleur en nous rendant redondants). Et, au moins un robot a déjà dit qu'elle voulait détruire l'humanité.
L'année dernière, un scientifique a délibérément créé un robot souffrant de maladie mentale et Elon Musk nous a mis en garde contre les dangers de l'IA.
Le risque que quelque chose de très dangereux se produise se situe dans le délai de cinq ans. 10 ans au plus. Veuillez noter que je suis normalement une technologie super pro et que je n’ai jamais soulevé cette question avant ces derniers mois. Ce n'est pas un cas de loup qui pleure pour quelque chose que je ne comprends pas.
Le rythme des progrès en intelligence artificielle (je ne parle pas d’intelligence artificielle étroite) est incroyablement rapide. À moins que vous ne soyez directement exposé à des groupes comme Deepmind, vous n’avez aucune idée de la vitesse à laquelle il évolue - il croît à un rythme proche de l’expansion.
Je ne suis pas le seul à penser que nous devrions nous inquiéter.
Les principales sociétés d'IA ont pris de grandes mesures pour assurer la sécurité. Ils reconnaissent le danger, mais croient pouvoir façonner et contrôler les superintelligences numériques et empêcher les mauvais de s’échapper sur Internet. Cela reste à voir… (source)
Musk a ajouté: "Avec l'intelligence artificielle, nous convoquons le démon."
RépondreSupprimerQu'est-ce que tu penses ?
Un robot apocalypse tout droit sorti des salles de cinéma semble se rapprocher. Et si les robots formaient des préjugés contre certains groupes de personnes - ou l'humanité en général ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-28/ai-can-hate-no-human-input
(...) Et si un robot décide qu'il vous déteste ? (...)
SupprimerVoilà le type de préjugé que désire faire entendre la dictature, idem pour les robots ou drones tueurs.
Mais, bizarrement, nul ne parle de faire entrer en ordinateur intelligent les milliers/millions de lois ! Çà alors !
Et dire qu'il suffirait de poser une question pour avoir la réponse (ce qui éviterait des années d'études de Droit pour rien) immédiate du robot !
Mais comme les ordinateurs seraient capables de sortir des lois injustifiables et contraires aux droits de l'homme, cette perspective est aussitôt 'oubliée' !