NASA : « La Terre est plus verte qu’il y a 20 ans grâce à l’intervention humaine
Audrey Duperron 4 mars 2019
C’est un résultat inattendu, mais au cours des vingt dernières années, la terre est devenue plus verte sur toute sa surface. C’est une constatation de la NASA, conséquence des programmes ambitieux de reforestation.
Les images satellitaires prises au cours des deux dernières décennies par l’agence spatiale et des scientifiques de l’Université de Boston montrent que sur les 20 dernières années, la verdure s’est accrue de 5 %. Cela correspond à la plantation annuelle de plus de deux millions de kilomètres carrés de plantes à feuilles vertes supplémentaires par rapport au début du millénaire.
Les deux plus grands contributeurs sont ceux que l’on soupçonnerait le moins
Ce qui est le plus contre-intuitif, c’est que ce sont la Chine et l’Inde, les deux pays les plus peuplés du monde, qui ont été particulièrement actifs dans cette reforestation. D’après Chi Chen, le chercheur en environnement à l’Université de Boston qui a dirigé ces travaux, ces deux pays ne représentent que 9 % de la végétation totale de la surface terrestre de la planète, mais ont contribué pour près d’un tiers à son reverdissement. « C’est une constatation surprenante, lorsque l’on pense à la dégradation des sols associée à la surexploitation que l’on associe volontiers aux pays à forte densité de population », ajoute-t-il.
Le rôle crucial des humains
Initialement, les chercheurs avaient mis ce changement sur le compte du réchauffement climatique. Le climat est en effet plus chaud et plus humide, et la production de gaz carbonique est également plus importante. Or, ces facteurs favorisent la pousse des plantes. Mais ils ont également constaté que les humains avaient joué un rôle.
Rama Nemani, chercheuse au Centre de recherche Ames de la NASA, souligne que la Chine a lancé des programmes de conservation et d’extension des forêts, tandis que les agriculteurs indiens ont étendu des parcelles de cultures vivrières.
L’augmentation de la surface foliaire totale enregistrée par l’Inde au cours de l’étude est égale à celle observée aux États-Unis et au Canada, où la superficie végétalisée est trois fois plus grande que celle de l’Inde (2,7%). Le pays a entrepris plusieurs projets, dont la plantation d’arbres et l’utilisation de produits de remplacement aux produits qui émettent des gaz à effet de serre.
« Si le verdissement était principalement dû au changement climatique et au réchauffement de la planète, l’augmentation de la végétation n’aurait pas été limitée aux frontières nationales. De plus, les zones situées à des latitudes plus élevées auraient dû connaître un verdissement plus rapide. Ces zones chauffent plus vite que le reste du monde. C’est ce que l’on constate, entre autres, avec le permafrost. »
« Maintenant qu’il est clair qu’une influence humaine directe est un facteur crucial du verdissement, les modèles climatiques doivent également prêter attention à cela », prévient Nemani. « Cela aidera les scientifiques à mieux prédire le comportement des différents systèmes terrestres, et contribuera à aider les gouvernements à prendre de meilleures décisions quant aux actions à prendre. »
Néanmoins, les chercheurs soulignent que ce phénomène ne compense pas les impacts négatifs sur les écosystèmes environnementaux que l’on constate ailleurs. « Le gain de verdure, qui s’est surtout produit dans les régions tempérées du Nord et les latitudes élevées, ne compense pas les dégâts causés par la perte de surface foliaire dans la végétation naturelle tropicale« , écrivent les auteurs de l’étude, citant les régions appauvries de la République démocratique du Congo, du Brésil et d’Indonésie.
Pourtant, ils demeurent optimistes malgré tout : « Une fois que les gens réalisent qu’il y a un problème, ils ont tendance à le régler », observe Nemani. « Dans les années 70 et 80 en Inde et en Chine, la situation concernant la perte de végétation n’était pas bonne. Dans les années 90, les gens s’en sont rendu compte. Et aujourd’hui, les choses se sont améliorées. Les humains sont incroyablement résistants. C’est ce que nous voyons dans les données satellites. »
(...) Et aujourd’hui, les choses se sont améliorées. Les humains sont incroyablement résistants. C’est ce que nous voyons dans les données satellites. » (...)
Plus de végétation = plus d'oxygène ! C'est-à-dire meilleure santé pour les humains sans recours aux Centres d'Oxygènothérapie Hyperbare dans les hôpitaux. (...) C’est ce que l’on constate, entre autres, avec le permafrost. » (...)
Émissions de dégazages de permafrost = émissions de gaz carbonique. Le gaz carbonique est nécessaire pour accroître la végétation et est employé de plus en plus dans les serres.
(...) Néanmoins, les chercheurs soulignent que ce phénomène ne compense pas les impacts négatifs sur les écosystèmes environnementaux que l’on constate ailleurs. « Le gain de verdure, qui s’est surtout produit dans les régions tempérées du Nord et les latitudes élevées, ne compense pas les dégâts causés par la perte de surface foliaire dans la végétation naturelle tropicale« , écrivent les auteurs de l’étude, citant les régions appauvries de la République démocratique du Congo, du Brésil et d’Indonésie. (...)
Hahahaha ! (j'ai gardé le meilleur pour la fin !): A savoir que TOUS les gaz circulent autour de la planète et, même dans le désert où il n'y a pas d'arbre ou dans les océans... l'humain peut respirer de l'oxygène !!! Çà alors !
Je ne sais pas d'où sortent ces 'chercheurs' du 'Centre de recherche Ames de la NASA' mais ils doivent être soignés en urgence ! Hahahaha !
Un néonicotinoïde et les abeilles : coexistence pacifique... en Suède
5 Mars 2019 par Seppi
Une équipe de chercheurs essentiellement suédoise – Julia Osterman, Dimitry Wintermantel, Barbara Locke, Ove Jonsson, Emilia Semberg, Piero Onorati, Eva Forsgren, Peter Rosenkranz, Thorsten Rahbek-Pedersen, Riccardo Bommarco, Henrik Smith, Maj Rundlöf et Joachim R. de Miranda – a publié le 11 février 2019 un article au titre éloquent dans Nature Communications : « Clothianidin seed-treatment has no detectable negative impact on honeybee colonies and their pathogens » (le traitement des semences à la clothianidine n'a pas d'impact négatif détectable sur les colonies d'abeilles domestiques et leurs agents pathogènes).
En voici le résumé :
« Des interactions entre plusieurs facteurs de stress ont été impliquées dans les pertes élevées de colonies d'abeilles domestiques. Nous étendons ici notre étude à l'échelle du paysage sur les effets du placement dans des champs de colza traités à la clothianidine sur les abeilles mellifères avec une année supplémentaire et de nouvelles données sur le développement des colonies d'abeilles mellifères, l'essaimage, la mortalité, les agents pathogènes et l'expression des gènes immunitaires.
Les résidus de clothianidine dans le pollen, le nectar et les abeilles étaient toujours plus élevés dans les champs traités à la clothianidine, avec de grandes différences entre les champs et les années.
Nous avons trouvé de grandes variations dans le développement des colonies et la composition microbienne et aucun impact négatif observable du placement dans les champs traités à la clothianidine.
Le traitement à la clothianidine a été associé à une augmentation du couvain, du nombre d'abeilles adultes et de Gilliamella apicola (symbiote intestinal bénéfique), et à une diminution du virus de la paralysie létale du puceron et du virus de la cellule noire de la reine, en particulier la deuxième année.
Les résultats suggèrent qu'au niveau des colonies, les abeilles domestiques sont relativement résistantes aux effets de la clothianidine dans des paysages agricoles du monde réel, avec une pression naturelle modérée des maladies. »
Pour plus de détails, un joli fil Twitter d'Agritof80.
Ce n'est qu'une étude, sur du colza de printemps. Mais elle est suffisamment originale pour mériter d'être signalée. Nous ne nous ferons cependant pas d'illusions : il n'y aura pas d'article dans le Monde Planète... ni ailleurs dans la presse généraliste.
Une pluie de cocktails Molotov s'abat sur la police à Grenoble (vidéo)
11:58 05.03.2019
En réponse à la mort de deux jeunes poursuivis par la police samedi dernier, plusieurs dizaines d’individus ont affronté cette nuit les forces de l’ordre à Grenoble. Plusieurs vidéos postées sur Internet montrent les violences envers les policiers et les pompiers, dont des cocktails Molotov jetés depuis un immeuble
Lundi soir, à Grenoble, des violences urbaines ont éclaté pour la troisième soirée consécutive, notamment dans le quartier Mistral où des individus ont lancé des cocktails Molotov sur des policiers et des sapeurs-pompiers depuis un immeuble.
L'incident s'est produit alors que les sapeurs-pompiers intervenaient pour éteindre l'incendie d'un panneau publicitaire, précise Le Dauphiné.
Par ailleurs, des individus ont affronté les forces de l'ordre avec des mortiers d'artifices tirés depuis un parking.
Environ 65 véhicules ont été incendiés dans différents quartiers de Grenoble, poursuit le quotidien régional, citant la préfecture. Plusieurs poubelles ont également pris feu.
Deux CRS ont été légèrement blessés et une femme a été transportée à l'hôpital suite à des difficultés respiratoires causées par des fumées depuis son palier.
Ces faits interviennent après la mort de deux adolescents grenoblois survenue lors d'une course-poursuite en scooter avec la police samedi 2 mars. Âgés de 17 et 19 ans, ils roulaient sans casques et ont refusé un contrôle de police avant de percuter un bus tandis qu'un véhicule de la brigade anti-criminalité les poursuivait. Une information judiciaire a été ouverte pour éclaircir les circonstances de l'accident. Le scooter était volé.
Un tir de LBD dans la tête filmé en direct au plus près (vidéo)
11:35 05.03.2019
L’enquête sur la blessure au visage d’un homme à cause d’une balle de LBD, samedi dernier lors de l’acte 16 des Gilets jaunes dans la capitale française, se poursuivant, une nouvelle vidéo de la scène a été partagée sur le Net.
Une nouvelle vidéo montrant l'homme blessé par un tir de LBD40 (lanceur de balles de défense), filmée à Paris lors de l'acte 16 des manifestations des Gilets jaunes, est apparue sur les réseaux sociaux. Sur la vidéo, on peut voir un homme courir sur le trottoir puis entendre un bruit léger alors que l'homme tombe à terre.
«Le tir de LBD40 sur un homme lors de l'acte 16 des Gilets jaunes était délibérément ciblé à hauteur du visage», a commenté un utilisateur estimant avoir discerné ce geste sur la vidéo.
Cet homme, dont l'identité est inconnue et qui était possiblement étranger à la manifestation, a été blessé au visage probablement par une balle de LBD samedi dernier, en marge du défilé parisien. Cette blessure, dont les circonstances restent à éclaircir, fait l'objet d'une enquête confiée par le parquet à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Depuis le début du mouvement de contestation des Gilets jaunes, la «police des polices» est saisie «d'une centaine de cas» d'accusations de violences policières, a fait savoir dimanche sur BFM TV le préfet de police Michel Delpuech. Selon lui, les forces de l'ordre ont «absolument besoin» du LBD en raison du «contexte» de violences et «d'émeutes urbaines».
Lors de l'acte 16 samedi dernier, 38 personnes ont été interpellées à Paris, selon la préfecture de police et le parquet.
L’hécatombe de policiers se suicidant avec leur arme continue: une balle en plein cœur
09:54 05.03.2019
Un policier s’est tiré une balle dans la poitrine avec son arme de service lundi matin dans le commissariat de Limoges. Cet incident intervient alors que des syndicats de police appellent à manifester à Paris pour dénoncer les suicides de leurs collègues.
Lundi 4 mars au matin, un agent de police âgé de 45 ans a mis fin à ses jours entre les murs du commissariat de Limoges (Haute-Vienne).
Père de famille et membre de la Formation urbaine motocycliste, l'homme s'est tiré une balle en plein cœur avec son arme de service dans les douches des vestiaires de l'Hôtel de police peu après 8 heures.
Le cadavre a été découvert par l'un de ses collègues. Immédiatement arrivé sur place, le SAMU a constaté la mort du policier qui avait une épouse et un fils de sept ans.
Le service régional de la police judiciaire a été chargé d'enquêter sur le suicide. Le parquet ne souhaite pour le moment pas s'exprimer sur le sujet.
Selon France Bleu, l'homme a eu des ennuis vendredi dernier, la journée où il a été «mobilisé sur le service d'ordre entourant la visite du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner». Le média précise cependant qu'il est «impossible de dire pour l'instant si ce geste tragique est lié à sa vie professionnelle ou pas».
Ses collègues étant en état de choc, une cellule psychologique a été mise en place au commissariat pour leur délivrer une assistance professionnelle.
Ce n'est pas la première fois que des policiers décident de mettre volontairement fin à leurs jours. Ainsi, il s'agit du 14e suicide au sein de la police nationale depuis janvier 2019, dont 10 fonctionnaires de police s'étant donné la mort durant les 22 premiers jours de l'année.
36 policiers et au moins 31 gendarmes se sont suicidés en 2018. En 2017, ce chiffre s'élevait à 51 policiers.
Afin de dénoncer les suicides dans les rangs de la police nationale, plusieurs syndicats de police appellent à manifester à Paris le 12 mars prochain à 20 heures.
Un CRS jette à terre une femme cherchant à se réfugier auprès de lui (vidéo)
12:30 05.03.2019
À Toulouse, où le parquet a déjà ouvert deux enquêtes sur le comportement de certains CRS lors de l’acte 16 des Gilets jaunes, un autre CRS a été filmé alors qu’il projetait au sol une manifestante qui cherchait à se réfugier auprès de lui pour fuir le canon à eau.
Une nouvelle vidéo s'est ajoutée aux nombreuses autres partagées sur les réseaux sociaux et montrant des violences des forces de l'ordre lors des manifestations des Gilets jaunes.
La vidéo montre que la galanterie n'est pas une qualité partagée par les CRS de Toulouse: une manifestante qui a cherché à se réfugier auprès de l'un d'entre eux pour fuir un canon à eau a été repoussée avec une telle violence qu'il lui a fallu de l'aide pour se relever.
Dans la ville rose, la mobilisation des Gilets jaunes de samedi dernier était riche en incidents de violences policières. Un homme en fauteuil roulant a été visé par un spray lacrymogène et un couple sans gilets jaunes a été frappé par des CRS.
Le parquet de Toulouse a déclaré «comprendre le caractère possiblement choquant» de ces incidents et a indiqué lundi avoir ouvert une enquête sur les deux incidents en question. Depuis le 17 novembre, Toulouse constitue l'un des bastions du mouvement des Gilets jaunes, avec des manifestations systématiquement marquées de violences. En marge de la mobilisation du 2 mars, un Gilet jaune en fauteuil roulant, Pascal Bouré, a été gazé par un policier après s'être fait confisquer son masque de protection.
Le matraquage d'un couple de passants âgés par un groupe de CRS pendant la manifestation des Gilets jaunes a été aussi filmé à Toulouse.
Un policier renverse une personne à scooter, puis s'en va en la laissant au sol (vidéo)
14:32 05.03.2019
Durant la dernière manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux, un photographe indépendant a filmé un policier interpeller et renverser une personne sans gilet jaune sur un scooter, puis la laisser sur le sol et s’en aller.
La ville de Bordeaux a vécu l'acte 16 des Gilets jaunes avec nombre d'incidents, dont une interpellation ratée. David Bross, un photographe indépendant, a filmé un policier lourdement équipé renverser une personne sans gilet jaune sur un scooter. Ensuite, l'agent l'a laissée sur le sol et a rejoint tranquillement ses coéquipiers.
Le photographe a publié la vidéo de la scène sur son compte Twitter, attirant l'attention du journaliste David Dufresne, qui dénonce depuis le début du mouvement les violences policières présumées.
L'acte 16 des Gilets jaunes a été marqué par plusieurs incidents dans toute la France. À Toulouse, un homme en fauteuil roulant a été aspergé de gaz lacrymogène après s'être vu confisquer son masque de respiration. À Paris, une personne aurait été blessée au visage par un tir de LBD. Le député La France insoumise Loïc Prud'homme a déclaré avoir reçu plusieurs coups de matraque par un policier alors qu'il quittait la manifestation parisienne. Un couple de passants a été matraqué par des CRS en fin de manifestation à Toulouse.
ETATS-UNIS - LES POLICIERS AYANT TUÉ UN NOIR DANS LE DOS LIBÉRÉS
Le jeune homme de 22 ans avait été abattu de 20 balles dans le dos en Californie, alors qu'il tentait d'échapper aux policiers. Des manifestants demandant l'inculpation des deux officiers de la police de Sacramento.
05.03.2019
Deux policiers américains qui ont abattu de plusieurs balles dans le dos un jeune Noir, dont ils auraient pris le téléphone portable pour une arme, ne seront pas poursuivis, a annoncé la procureure de Sacramento. La décision a ulcéré sa famille et la communauté noire.
La mort du Noir, tué durant la nuit du 18 mars 2018 dans le jardin de ses grands-parents, où il avait trouvé refuge après avoir tenté d'échapper à la police, avait déclenché aux Etats-Unis une vague d'indignation et de nombreuses manifestations.
Deux agents du Sacramento Police Department (SPD) avaient tiré à 20 reprises au total, ouvrant le feu avant d'intimer à la victime de montrer ses mains. Selon leurs témoignages, ils ont pris le flash de son téléphone pour l'éclat lumineux émis par un tir d'arme à feu dans leur direction.
Père de deux enfants
Les policiers étaient intervenus après un appel signalant qu'un homme brisait des vitres de voitures. L'homme correspondant au signalement de leur suspect, ils l'avaient pris en chasse, aidés par un hélicoptère de police.
Le jeune homme de 22 ans, père de deux enfants, a été touché par sept balles, dont trois dans le dos, selon les résultats de l'autopsie. Il n'était pas armé et ne tenait dans la main qu'un iPhone rose et blanc.
«Les preuves dans ce dossier démontrent que les deux officiers ont cru honnêtement et raisonnablement qu'ils étaient en danger de mort imminente, ou s'exposaient à de graves blessures corporelles», écrit la procureure dans le résumé accompagnant ses conclusions. «Par conséquent, ils ont tiré (...) de manière légale et aucune poursuite ne sera engagée», souligne-t-elle. Plusieurs rassemblements de protestation, pacifiques, ont été signalés en ville depuis l'annonce de la procureure. (ats/nxp)
Pourquoi les syndicats policiers appellent-ils à une manifestation le 12 mars ?
12:26 05.03.2019
Depuis le 1er janvier 2019, 14 agents des forces de l’ordre ont mis volontairement fin à leurs jours, une statistique qui a mis en alerte les syndicats policiers de France. Une manifestation est prévue le 12 mars à 20h à Paris, sur la place du Trocadéro, pour dénoncer le nombre inquiétant des morts volontaires au sein des forces de l’ordre.
Après qu'un 14e agent s'est ôté la vie ce lundi 4 mars, les syndicats policiers ne peuvent plus rester à l'écart. L'association Femmes des Forces de l'Ordre en Colère — FFOC — a annoncé une manifestation le 12 mars prochain pour dénoncer les suicides dans les rangs de la police.
«Parce que l'indifférence et l'inaction nous poussent au suicide», déclare le post de l'association sur Facebook.
L'organisateur appelle à se réunir à 20h sur la place du Trocadéro à Paris.
Ce n'est pas la première fois que des policiers décident de mettre volontairement fin à leurs jours. Un policier s'est tiré une balle dans la poitrine avec son arme de service le 4 mars dans le commissariat de Limoges (Haute-Vienne). Ainsi, il s'agit du 14e suicide au sein de la police nationale depuis janvier 2019, dont 10 fonctionnaires de police s'étant donné la mort durant les 22 premiers jours de l'année.
36 policiers et au moins 31 gendarmes se sont suicidés en 2018. En 2017, ce chiffre s'élevait à 51 policiers.
Élaboration et utilisation de «cacatov» lors des mobilisations des Gilets jaunes (vidéo)
12:24 05.03.2019
Alors que les jets de «cacatov» sur les forces de l’ordre deviennent de plus en plus courants en France, une vidéo publiée sur YouTube montre l’élaboration et l’utilisation de cette nouvelle arme à base de matières fécales sur les policiers lors d’une manifestation des Gilets jaunes.
Venus du Venezuela, ces projectiles à base de déjections sont récemment apparus lors des récentes manifestations des Gilets jaunes en France.
Ainsi, une vidéo expliquant l'élaboration et l'utilisation de ces «bombes d'excréments» a été postée sur le réseau social YouTube. Elle a été filmée en caméra embarquée par un individu en pleine action, visant les forces de l'ordre alors alignées dans une rue lors d'une mobilisation des Gilets jaunes à Montpellier.
«C'est de la pisse, c'est de la mer***, du tout mon frère. Du jus de poisson, je te jure», explique une voix derrière la caméra.
Gants en silicone de rigueur, la vidéo présente également les préparateurs de cette nouvelle arme, qui remplissent des pots entiers de cette substance marronnasse.
Suite à l'appel à fabriquer des «bombes d'excréments», plusieurs policiers ont été visés par des jets de matières fécales pendant l'acte 16 des Gilets jaunes, à Marseille et à Montpellier. Au moins un agent a été blessé par l'un de ces projectiles.
Face aux grenades lacrymogènes et assourdissantes ainsi qu'aux LBD, les Français font régulièrement preuve d'imagination afin de résister aux forces de l'ordre lors des manifestations. La ZAD de Notre-Dame-des-Landes s'est avérée être une terre de créativité et d'innovations dans ce domaine. Des ateliers spéciaux de confection de «cacatov», «pipitov» et autres «bombes bactériologiques» y existaient déjà, les zadistes mélangeant des excréments avec de l'eau dans des sachets en plastiques ou dans des bocaux.
(...) Venus du Venezuela, ces projectiles à base de déjections sont récemment apparus lors des récentes manifestations des Gilets jaunes en France. (...)
HAHAHAHA ! Importées du Venezuela !!! AUCUNE MERDE N'ÉTAIT MARQUÉE MADE IN FRANCE !!! Une honte ! Que va dire la CGT ? HAHAHAHAHA !
207 armes et 770 kg de munitions: un important arsenal de guerre saisit dans l’Aude
11:20 05.03.2019
Plus d’une tonne d’armes, dont du matériel de guerre, et un atelier de reconditionnement aux «ramifications internationales» ont été découverts dans la région de Carcassonne (Aude), ont annoncé lundi le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin et le procureur de Marseille.
207 armes, 770 kilogrammes de munitions, 350 chargeurs: au total, plus d'une tonne d'armes ont été saisies dans la région de Carcassonne (Aude), ont déclaré lundi le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin et le procureur de Marseille Xavier Tarabeux.
Les armes, dont 54 correspondant à du matériel de guerre, dont des Kalachnikov et pistolets mitrailleurs, a détaillé le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin dans un communiqué. Plus de 130 armes de catégorie C soumises à déclaration, 770 kilos de munitions, 350 chargeurs ainsi que des casques de vision nocturne ou encore des lunettes de tirs ont été mis au jour. La valeur totale des matériels saisis est estimée à près de 200.000 euros, selon le ministère.
Un atelier de reconditionnement de parties d'armes, importées par le réseau depuis l'étranger, puis reconditionnées et remises en état a également été découvert, écrit l'AFP.
«Les investigations ont permis d'établir des ramifications internationales en Europe et aux Etats-Unis notamment grâce à l'appui des services étrangers partenaires dans le cadre de la coopération douanière internationale», précise le ministère.
Âgés de 47, 50 et 54 ans, «trois hommes, un responsable de sécurité, un ambulancier et un garagiste chez qui les armes ont été retrouvées», ont été mis en examen dimanche notamment pour «acquisition, détention et cession en réunion de munitions et d'armes de catégories A, B et C» ainsi que pour «association de malfaiteurs», a ajouté auprès de l'AFP le procureur de la République de Marseille.
Deux d'entre eux ont été placés en détention provisoire et le troisième placé sous contrôle judiciaire, a précisé le magistrat.
L'enquête initiée par la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) a été confiée à la police judiciaire de Perpignan co-saisie avec la douane judiciaire de Toulouse sous l'autorité de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille.
Le socialisme au Royaume-Uni veut dire pas de piscine, pas de jurons et des citoyens qui se font arracher les dents
par Tyler Durden Mar., 03/05/2019 - 03:30 Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Les événements que je vais vous décrire sont à 100% vrais.
Ils se sont déjà produits à diverses personnes à travers le Royaume-Uni, ce qui, à certains égards, mène la charge à l'autoritarisme «Big Brother» du 21ème siècle.
Tout est réel et tout est dérangeant. Pour humaniser un peu ce phénomène, nous avons rassemblé plusieurs événements réels dans une seule histoire d’un homme que nous appellerons «George».
George pense qu'il pourrait passer au jardin communautaire. Ses voisins se rassemblent régulièrement autour d’une piscine gonflable jusqu’à la taille, achetée pour se protéger des chaleurs estivales.
Mais il se souvient ensuite que les propriétaires ont ordonné le retrait de la piscine… ils craignaient qu'un cambrioleur ne se blesse par inadvertance en tentant de cambrioler une maison. La piscine devait donc s'en aller.
Au lieu de cela, George pense qu'il va commencer à faire quelques courses. Il monte dans son camion de travail et s'arrête pour manger un morceau en se rendant en ville.
Mais lorsque la pizza de George, qui mange de la viande, arrive, elle semble assez petite et plus petite que ce dont il se souvient.
«Public Health England a de nouvelles normes que nous suivons», explique l'homme derrière le comptoir. "Nous avons coupé la viande et réduit la taille ... c'est pour lutter contre l'obésité chez les enfants."
Bien, je ne suis pas un enfant, pense George, mais le garde poliment pour lui-même.
George se gare dans le centre-ville et, se sentant toujours un peu en manque, jette la boîte à pizza vide dans le sac à ordures situé à l'arrière de sa camionnette.
Mais avant de pouvoir commencer ses achats, un membre de la police du conseil local se présente. Il remarqua la poubelle à l'arrière du fourgon de travail de George.
"Avez-vous un permis de transporteur de déchets pour transporter des déchets dans un véhicule utilitaire ?"
«Quoi, jeter mon déjeuner ? Je ne l’ai pas jeté par la fenêtre, non ?
George a reçu une amende de 300 £. Oui, au Royaume-Uni, vous devez maintenant obtenir un permis pour disposer de déchets dans votre propriété privée.
À présent, George se sent naturellement un peu irrité. Et quand il voit un panneau indiquant que la police mène un procès pour reconnaissance faciale, il met son sweat-shirt sur son visage.
Mais il n’a pas fait 12 pas avant que les officiers le tirent de côté.
"Il est dit que la participation n’est pas obligatoire", proteste George.
«Très méfiant pour couvrir ton visage», disent les flics. "Qu'avez-vous à cacher ?"
"Oh énervez-vous!" Crie George. Ainsi, les groupes de pression imposent à George une amende de 90 £ pour ordre public. Non, apparemment, vous ne pouvez pas désactiver la reconnaissance faciale «facultative» ni jurer au Royaume-Uni.
Exaspéré, George continue vers la quincaillerie.
Il doit acheter un marteau et des clous pour que ses voisins et lui puissent construire une barricade devant leur maison.
Un grand festival arrive en ville… et l’année dernière, la police n’a pas empêché les fêtards d’infliger des dégâts matériels considérables aux magasins et aux maisons, ainsi que de multiples coups de couteau et de nombreuses attaques à l'acide.
Au début, George pensait que les barrières étaient un peu excessives. Peut-être pourrait-il simplement obtenir un spray au poivre à la place ?
Mais lorsqu'il a consulté le site Web officiel des ressources policières du Royaume-Uni, George a été consterné de lire que «le seul produit d'autodéfense totalement légal à l'heure actuelle est une alerte au viol». Donc, pas de spray au poivre - trop de responsabilité.
George arrive à la maison, prêt à construire, mais frappe à la porte.
C’est l’unité de police britannique anti-terroriste.
Ils ont reçu un appel d'un citoyen inquiet qui avait visionné les récentes publicités de Life has no rewind Button. Les vidéos demandent aux citoyens de signaler tout comportement suspect, car «le signalement d’activités suspectes ne ruinera pas la vie, mais pourrait les sauver».
Comme dans la publicité, la citoyenne a commencé à s'inquiéter lorsqu'elle a vu George acheter un marteau ... Les citoyens sont invités à faire un rapport sur ceux qui achètent des armes ou "d'autres objets susceptibles de causer des dommages".
Il faut environ une heure à George pour prouver son innocence aux agents. Au moment où ils partent, sa putain de dent est à nouveau douloureuse à cause de tout le stress.
Qu'est-il arrivé à cette demande du Service national de la santé que j'ai faite il y a un an et demi ? George réfléchit.
Il contacte le NHS, qui lui dit d'attendre patiemment, il sera vu dès que les ressources seront disponibles. Mais il a déjà attendu plus d’un an. Et il perd patience. Qui sait combien de temps cela prendra.
Alors George serre une pince autour de sa dent… et la retire.
Cette dictature renforcée est LA MÊME qu'en d'autres pays ! Elle n'est PAS faite pour renforcer la sécurité des citoyens mais seulement faite pour justifier l'achat d'armement très lourd destiné à 'combattre les terroristes qui pourraient y avoir éventuellement peut-être sans certitude', afin d'assurer/de renforcer l'assurance d'un enracinement éternel à la dictature monarchique, républicaine ou impériale.
Ce gros tas de merde n'hésitera pas à tirer dans la foule avec des obus de chars d'assaut (voir Paris/Champs-élysées) et faire des milliers de morts (chargés au bulldozer/voir photo d'un sur les Champs-élysées) dans des camions-bennes de voirie 'Paris-propre'.
LE NATIONAL N'EN PEUT PLUS DU GASPILLAGE ALIMENTAIRE
05.03.2019, 13h12
Chaque ménage en Suisse jette entre 500 et 1000 francs de déchets alimentaires chaque année. Sans parler des 200'000 tonnes jetées par la restauration.
Pour s'opposer au gaspillage alimentaire, la droite a évoqué la multiplication des plans d'action et des mesures étatiques.
La Suisse devrait lancer un plan d'action spécifique pour éviter le gaspillage alimentaire. En sus de ce qui est déjà prévu, celui-ci pourrait contenir des mesures volontaires de la part de l'économie ainsi que des mesures d'accompagnement de la Confédération.
Le Conseil national a adopté mardi par 108 voix contre 76 un postulat d'Isabelle Chevalley (PVL/VD). Le Conseil fédéral y souscrit.
Le gaspillage coûte cher. Chaque ménage jette entre 500 et 1000 francs de déchets alimentaires chaque année. Sans parler des 200'000 tonnes jetées par la restauration, a souligné la ministre de l'environnement Simonetta Sommaruga.
Ce plan sera mis en oeuvre au moyen des ressources disponibles. Il devrait être évalué en 2024 et adapté si nécessaire. Isabelle Chevalley souhaite faire baisser le gaspillage alimentaire de 50% d'ici 2030.
La droite s'est opposée en vain au postulat. Il ne faut pas multiplier les plans d'action et les mesures étatiques. Il vaut mieux sensibiliser les consommateurs, qui sont aptes à décider eux-mêmes, selon Christian Wasserfallen (PLR/BE).
Plastique
Le National a par ailleurs accepté deux postulats visant à mieux maîtriser la consommation de plastique. Adèle Thorens (Verts/VD) demande au Conseil fédéral de montrer de quelle manière on peut assurer à l'avenir une gestion écologique, efficiente et économiquement viable des matières plastiques.
La Suisse ne doit pas rester à la traîne alors que la Commission européenne vient de lancer une stratégie visant à rendre le recyclage rentable pour les entreprises, à réduire les déchets et à stimuler les investissements et l'innovation. Cela pourrait déboucher sur 200'000 nouveaux emplois, a relevé Adèle Thorens.
Et de rappeler que chaque Suisse consomme 125 kilogrammes de matière synthétique par an, dont 45 kilogrammes d'emballage. Plus de 70 % des matières plastiques provenant des ménages ne peuvent pas être recyclées. Martina Munz (PS/SH) souhaite quant à elle évaluer la mise en place d'un plan d'action pour réduire la dispersion du plastique dans l'environnement.
Le Conseil fédéral est prêt à répondre à toutes ces questions dans un rapport. Il est nécessaire d'avoir des données bien étayées pour pouvoir agir. (ats/nxp)
(...) Le gaspillage coûte cher. Chaque ménage jette entre 500 et 1000 francs de déchets alimentaires chaque année (...)
Des branlettes où sont jetés des millions (milliards ?) d'enfants (petits suisses au rayon frais) à la poubelle !
Suissesses végans ?
Voir plus après ci-dessous, un post sur 'L'épidémie de rougeole à Madagascar' ! En réalité il n'y a pas de cas de rougeole à Madagascar mais seulement de malnutrition ! Ce qui veut dire aussi que, suite à l'alerte donnée, des laboratoires ont donc fabriqué et exporté des milliers de vaccins à Madagascar (pour se donner bonne conscience), comme pour les millions de tonnes de mais ou soja envoyées vers l'Afrique 'qui meurt de faim' et qui finissent à la poubelle ou pourrissent dans les containers acheminés ! Hahahaha !
Fascisme médical: la vaccination obligatoire contre la rougeole causera certaines épidémies cycliques
Assurez-vous que vos enfants attrapent la rougeole !
Par Bill Sardi 5 mars 2019
Fascisme: régime autoritaire caractérisé par un pouvoir dictatorial, une suppression forcée de l'opposition et une forte régulation de la société; lorsque l'industrie contrôle le gouvernement pour faire leur demande.
Oui, vous avez bien lu ce sous-titre - assurez-vous que vos enfants attrapent la rougeole, déclare le Dr Sherri Tenpenny, experte en vaccins. Quoi ? Vous devez penser que ceux qui dirigent le mouvement anti-vaccin sont vraiment fous maintenant. Mais wackos ils ne sont pas.
Les autorités sanitaires ont déployé des efforts massifs pour supprimer les exemptions non médicales de vaccins (NME) pour les vaccins. Cette épidémie de rougeole est à l'origine de ce qui semble être un effort orchestré par divers États pour adopter une législation interdisant ces NME. Une telle campagne est dirigée vers une catastrophe certaine.
Reconnaître les Centers for Disease Control définit une épidémie de seulement 3 ou plusieurs cas de rougeole dans une zone géographique. Personne aux États-Unis n'est décédé de la rougeole depuis 2015. Nous ne parlons donc pas de mortalité, nous parlons de prévenir la fièvre, les éruptions cutanées et la toux qui accompagnent la rougeole, du moins dans les populations bien nourries où la malnutrition n'est pas endémique. Oui, vous lirez des informations selon lesquelles des centaines d'enfants meurent de la rougeole sur l'île de Madagascar, mais le problème, c'est la malnutrition et non la sous-vaccination. [1] La vaccination d'urgence n'a pas pu enrayer l'épidémie de rougeole à Madagascar.
Les efforts actuels pour mettre fin aux exemptions non médicales pour les vaccins se transforment en fascisme médical. Non seulement la vaccination obligatoire est-elle catégoriquement défectueuse - l’idée que les non-vaccinés sont responsables de la propagation de la maladie infectieuse chez les vaccinés (cela signifie que les vaccins ne doivent pas être efficaces étant donné que plus de 90% des écoliers sont déjà vaccinés), il existe de solides preuves médicales la vaccination antirougeoleuse n'est pas efficace en raison de la vaccination (roulement au tambour). Cette déclaration compliquée exige des explications.
Voici les titres troublants de récents rapports scientifiques qui indiquent que la vaccination contre la rougeole est le problème, pas la solution:
«Réduction de la réponse immunitaire à la vaccination antirougeoleuse chez les nourrissons.» - Clinical Infectious Diseases, 1er octobre 2017
«Population coréenne en augmentation potentielle au fil du temps après la vaccination en Corée» - Vaccine, 24 juillet 2017
“Diminution des anticorps antirougeoleux à l’ère de l’élimination” - Vaccine, 25 janvier 2018
«Un certain nombre de pays ayant une lutte soutenue contre la rougeole ont maintenant démontré que les anticorps spécifiques à la rougeole diminuaient avec le temps depuis la vaccination», indique un rapport inquiétant des autorités sanitaires qui surveillent les maladies infectieuses en Australie. [2]
«Les taux d'anticorps antirougeoleux décroissants avec le temps augmentant après la vaccination suggèrent que la susceptibilité à la rougeole est potentiellement accrue en Corée», indique un autre rapport.
Les épidémiologistes qui supervisent les programmes de vaccination disent que le problème est lié à l'immunité limitée produite par les vaccins par rapport à «l'immunité acquise naturellement provoquée par l'infection rougeoleuse». Ce que les enquêteurs disent, c'est que seule l'exposition naturelle au virus de la rougeole, un épisode fébrile à part entière de cette maladie maladie infectieuse, développera une immunité efficace et durable. [4]
Des chercheurs canadiens expliquent la situation ainsi: la protection par anticorps des enfants nés de mères vaccinées décline par rapport à celle des mères n'ayant jamais été vaccinées et développant des anticorps après une poussée naturelle de la rougeole dans leur enfance4. Cette baisse maintenant répandue des anticorps chez les nourrissons deux ans de vie persistent même avec une deuxième vaccination (de rappel)! La vaccinologie moderne va dans la mauvaise direction. Arrêtez le train de vaccins - inversez les moteurs. La vie des jeunes enfants pourrait être menacée si les efforts de vaccination antirougeoleuse se poursuivaient.
C'est Sherri Tenpenny D.O., experte en vaccins, qui écrit et parle en ligne sur VAXXTER.com, fournit les meilleurs conseils en ligne sur la rougeole aux parents inquiets. Le Dr Tenpenny a déclaré que la vaccination ne prévient pas l’infection mais prévient la transmission.
Elle cite un rapport du CDC [5] selon lequel 42% des cas de rougeole signalés de 1985 à 1988, plus de deux décennies après l'introduction du premier vaccin antirougeoleux en 1963, concernaient des personnes vaccinées vaccinées le ou après leur premier anniversaire. Au cours de ces années, 68% des cas de rougeole chez les enfants d’âge scolaire se sont produits chez ceux qui avaient été correctement vaccinés. Dans une mauvaise direction, cela a conduit à la recommandation d'une deuxième injection de rappel.
À mesure que les programmes de vaccination progressaient, l'âge du début de la scolarité (de 5 à 19 ans) passait de moins de 5 ans à l'âge scolaire. Le rapport du CDC note que la sensibilité des nourrissons de moins de 1 an a augmenté en raison de la mère qui a développé des anticorps faibles provenant de la vaccination plutôt que d'un virus rencontré dans la circulation dans la population. Les mères dont le nombre d'anticorps était élevé suite à une infection naturelle ont transféré l'immunité à travers le placenta au fœtus et cette immunité a duré jusqu'à ce que les enfants atteignent l'âge de 5 à 9 ans, ce qui, selon le Dr Tenpenny, est le moment souhaitable pour que les enfants contractent la rougeole et se développent anticorps persistants.
Oui, les personnes non vaccinées sont plus susceptibles de contracter la rougeole, mais elles sont également plus susceptibles de développer une immunité à vie, ce que la vaccination ne permet pas d’atteindre. C’est pourquoi la vaccination antirougeoleuse chez les adultes est encouragée auprès des fabricants de vaccins.
Lorsque l'industrie contrôle le gouvernement pour imposer la vaccination, comme c'est le cas actuellement, le fascisme est incontrôlable. Un public trop craintif ne peut pas voir que l’objectif est les bénéfices des entreprises, pas la santé. Faisons vacciner le monde entier - 7 milliards de personnes, puis ajoutons des vaccins de rappel. Ensuite, faites-en une loi pour que les enfants soient vaccinés. Mais la rougeole a un cycle de 2 à 3 ans qui se déclarera de manière cyclique avec les cas de rougeole indépendamment de la vaccination. Le Dr Tenpenny a déclaré que les mêmes épidémies cycliques se produiraient tous les 2 à 5 ans pour la coqueluche (coqueluche). Et les épidémies sont toutes imputables à tort aux anti-vaxxeurs.
Le Dr Tenpenny enseigne que la fièvre d'origine virale est souhaitable. La rougeole peut provoquer des fièvres de 103 à 105 ° F. Il suffit de contrôler la fièvre à 102 ° F en utilisant les vitamines A et D, explique le Dr Tenpenny et veillez à ce que les enfants soient hydratés.
Le Dr Tenpenny a déclaré: Le virus de la rougeole infecte différents organes, provoque une fièvre et réveille le système immunitaire (lymphocytes B, macrophages) et diffuse l’immunité dans tous les tissus accompagnés de fièvre au moment approprié, soit entre 7 et 9 ans. La fièvre emprisonne les membranes intestinales, rénales et la barrière hémato-encéphalique et enseigne à l'organisme à activer l'immunité contre les agents «non-soi». Elle enseigne qu'avec le temps, de plus en plus de nourrissons seront susceptibles aux infections à la rougeole en raison de la vaccination des mères. La rougeole est importante pour que les filles aient à protéger leur propre progéniture plus tard dans la vie. Sa présentation vidéo de 21 minutes sur la rougeole peut être visionnée sur FACEBOOK (s’ils ne la censurent pas).
References
[1] Chalmers V, Measles epidemic in Madagascar kills ‘more than 900 children and young adults’ with babies most at risk despite emergency vaccinations, Daily Mail UK Feb 21, 2019.
[2] Gidding HF, et al, Declining measles antibodies in the era of elimination: Australia’s experience. Vaccine 36 (4): 507-513, 2018.
[3] Kang HJ, et al, An increasing, potentially measles-susceptible population over time after vaccination in Korea. Vaccine 35 (33): 4126-4132, 2017.
[4] Carazo Perez S, et al, Reduced antibody response to infant measles vaccination: effects based on type and timing of the first vaccine dose persist after the second dose. Clinical Infectious Diseases 65 (7): 1094-1107, 2017.
[5] Measles. Epidemiology and Prevention of Vaccine-Preventable Diseases, Centers for Disease Control, May 16, 2018.
En 2018, les couples chinois ont fait 15,23 millions de bébés. Cela peut sembler beaucoup, mais c’est deux millions de moins qu’en 2017, année où 17,23 millions de naissances avaient été enregistrées. Et en 2017, il y avait 630 000 naissances de moins qu’en 2016… Malgré la fin de la politique de l’enfant unique il y a trois ans, le baby boom espéré par le gouvernement a fait pschitt.
Globalement, la population chinoise s’élèverait maintenant à 1,395 milliard d’habitants, selon les chiffres officiels du Bureau National des Statistiques publiés en début d’année 2019. Donc, la population chinoise augmente, mais à un rythme très faible.
L’Inde aurait déjà dépassé la Chine en termes de population L’Inde aurait même déjà dépassé la Chine en termes de population, selon l’expert Yi Fuxian, démographe chinois basé à l’Université de Wisconsin-Madison aux Etats-Unis. Pour lui, le gouvernement chinois a surestimé le nombre de naissances entre 1990 et 2016 de presque 90 millions, erreur qui serait due en partie à un taux de natalité trop optimiste.
Si ses calculs sont corrects, la population de la Chine s’élevait en fin d’année 2016 à 1,29 milliard d’individus, contre 1,38 milliard selon les chiffres officiels du gouvernement. Comme la population de l’Inde était alors estimée à 1,33 milliard de personnes, cela signifierait que la Chine est depuis quelques années à la place numéro 2 du classement des pays les plus peuplés, derrière l’Inde.
Ces chiffres soulignent la crise démographique à laquelle est confronté le gouvernement chinois, avec une population en âge de travailler en déclin constant depuis 2012.
Les conséquences désastreuses de la politique de l’enfant unique Yi Fuxian est un critique de longue date de la politique de l’enfant unique en Chine, qui a été appliquée depuis 1980 jusqu’à fin 2015 de manière souvent brutale. À part quelques exceptions à la règle, la plupart des familles chinoises n’avaient le droit de faire qu’un seul enfant.
Cette politique a été assouplie récemment et depuis le 1er janvier 2016 les couples chinois sont autorisés à avoir un deuxième enfant. Mais après plus de trois décennies de restriction démographique, il n’est pas si facile de faire marche arrière : la politique de l’enfant unique a entraîné une accélération du vieillissement de la population et un affaiblissement du dynamisme de l’économie.
Selon Yi Fuxian, sans la politique de l’enfant unique, la population de la Chine aurait atteint son maximum en 2040 avec 1,6 milliard de Chinois avant de commencer à diminuer, ce qui aurait permis au pays de profiter d’un « dividende démographique » beaucoup plus longtemps.
Trop tard pour faire machine arrière
Même s’ils peuvent désormais avoir un deuxième enfant, de nombreux couples chinois ne le souhaitent pas, souvent pour des raisons financières. En 2020, le contrôle des naissances devrait être complètement abandonné : les couples chinois pourront concevoir le nombre d’enfants qu’ils souhaitent.
Pour le professeur Yi Fuxian, la politique de l’enfant unique aurait dû être abandonnée il y a des années. Pour voir le taux de natalité remonter, le gouvernement va devoir mettre en place des politiques gouvernementales plus encourageantes en faveur de la maternité.
Médiatisation de l'anti-science : une longue lettre du citoyen Jean-Yves Le Déaut au président d'Arte
5 Mars 2019, par Seppi
Le député Jean-Yves Le Déaut est redevenu un « simple citoyen », ce qui ne l'empêche pas de suivre avec intérêt, notamment, les affaires dont il s'était fait une spécialité durant ses mandats successifs. Rappelons qu'il a été le président de l'Office Parlementaire d'Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) de 2014 à 2017.
Il a écrit une lettre à M. Nicolas Seydoux, président d'Arte, à propos du 28 minutes Vos Pop sur « Le retour des OGM » (émission entière ou séquence seule).
Oubliez le sujet spécifique (mais voir ci-dessous) : le problème soulevé est général.
En voici le texte.
Je suis un auditeur fidèle d’ARTE et notamment du journal, ainsi que du 28 Minutes présenté par Elisabeth QUIN.
Il m’arrive le dimanche soir de regarder Vox Pop et j’ai été assez sidéré par l’émission portant sur les « OGM cachés », diffusée le 27 janvier, réalisée par Matthieu VALLUET, produit par Coup monté Films & Cie (une dénomination prémonitoire) et Céline BITTNER, présentée par Nora HAMADI.
Sidéré parce que jamais à un moment dans le film, le réalisateur n’a indiqué que le problème des semences obtenues par ces nouvelles technologies se posait à nouveau car la modification ciblée du génome (genome editing), avait vu le jour et que cette technique était plus simple, plus rapide, plus précise, plus puissante que les technologies de transgénèse utilisées pour créer des OGM. Dans la majorité des cas, il n’y a aucun ajout de génome étranger à la plante, puisqu’on se contente d’inactiver ou de corriger un gène de la plante. Cette nouvelle technique peut donc produire des mutations analogues aux mutations naturelles, qu’il est d’ailleurs difficile de détecter. Jennifer Doudna, une des co-découvreuses de la technologie CRISPR-Cas9 a résumé cette révolution en indiquant que « dans le passé, toutes les nouvelles technologies étaient des sortes de marteaux de forgeron pour taper sur les gènes, alors que maintenant on travaille avec des scalpels moléculaires, pour découper le génome ».
A aucun moment dans l’émission, la technologie CRISPR Cas9 n’a été évoquée, alors qu’il s’agit d’une révolution dans les domaines de la médecine, de l’agriculture et de l’environnement et que nombreux sont les observateurs avertis qui pensent qu’un prix Nobel va, dans les prochaines années, récompenser les co-découvreurs.
J’ai noté dans l’émission huit interventions qui s’opposaient à ces nouvelles technologies : Christian VELOT (une fois), Guy KASTLER (deux fois), un agriculteur du Piémont, Gianpaolo ANDRISSI, (une fois), les faucheurs volontaires en action (deux fois), Mireille LAMBERTIN, devant le tribunal de Dijon (une fois) et Corinne LEPAGE (une fois) contre deux interventions qui les justifiaient : Jean-Christophe GOUACHE, directeur chez LIMAGRAIN (une fois) et Roberto ZANAZZO, agriculteur du Piémont (une fois). Le seul scientifique interrogé était Yves DESSAUX, dont le réalisateur n’a repris qu’une phrase principale, sortie de son contexte : « La mutagénèse n’est pas complètement artificielle, mais pas complètement naturelle ».
Un éclairage scientifique aurait permis de rappeler que l’évolution s’est faite en 4 milliards d’années par des mutations qui ont permis de passer de l’algue bleue à l’espèce humaine. François Jacob, prix Nobel, disait d’ailleurs à ce propos : « l’évolution c’est la somme des réussites parce que la trace des échecs a disparu ».
Le débat était, à mon sens, non seulement tronqué mais également déséquilibré par une voix off qui, soit apportait un soutien aux arguments des opposants, soit maniait l’ironie pour décrédibiliser les partisans .
Seule la firme BASF, européenne, a été mise sur la sellette, alors que ces technologies sont très largement utilisées par des société américaines. Le risque de domination économique en Europe va se poser, car cet activisme permanent, relayé sans pondération par les media, contribue à asseoir la prééminence américaine, chinoise, argentine ou brésilienne. Il est d’ailleurs paradoxal que les autorités européennes s’accommodent d’importations de produits végétaux issus de modifications du génome, considérant donc qu’il n’y a aucun risque pour la santé, alors qu’elle interdit de fait, les expérimentations et les cultures.
Les termes « d’OGM cachés », de « menaces pour les semences conventionnelles, non contaminées », de « liens éventuels entre plantes génétiquement modifiées et cancer »(C.LEPAGE), de « développement de résistance sauvage chez les plantes », de « mutations violentes, chimiques et autres », de « citoyens inquiets », de « saleté dans les champs », de références incessantes aux profits des multinationales, de rappel permanent du principe de précaution ne pouvaient qu’inquiéter le téléspectateur et le convaincre des risques de « malbouffe ». Même Gustave FLAUBERT a été appelé à la rescousse en disant que pour lui « l’innovation est toujours dangereuse ».
Docteur en Sciences, député pendant 31 ans, quatre fois Président de l’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) et premier organisateur d’une conférence de citoyens sur les OGM en 1998, unanimement saluée par tous, je suis sidéré par le contenu simpliste d’émissions en quête de sensationnalisme. Je m’insurge, car les leçons du passé n’ont pas été retenues. En effet, Gilles Eric SERALINI avait déjà fait sensation en 2012, avec le soutien du Nouvel Observateur, qui titrait « Les OGM sont des poisons », ainsi que de Corinne LEPAGE, que l’on retrouve dans ce documentaire. Leurs déclarations avaient mis à l’époque la pression sur la Commission européenne pour que des études coûtant plusieurs millions d’euros soient engagées. Six ans plus tard, les conclusions, malheureusement moins médiatisées, sont résumées par le journal Le Monde du 18 décembre 2018 : « Deux maïs testés sont sans effets sur les rats, une étude d’ampleur conclut, au contraire de ce qui avait été avancé en 2012, à l’absence de toxicité de ces plantes ».
Lors d’une réunion à l’OPECST le 19 novembre 2012, Cédric VILLANI avait résumé cette affaire SERALINI en disant : « Il faut tenter d’aller vers le consensus et ne pas se contenter d’aller vers la controverse. Pour aller vers le consensus on a deux outils ; le partage sincère de l’information ou le débat argumenté, dans lequel on répond point par point aux arguments de l’autre camp. Dans le cas présent (affaire SERALINI) on n’a ni l’un ni l’autre ». Il mettait notamment en avant le manque de puissance des tests utilisés, le très faible effectif des échantillons et disait qu’il était consterné par cette dérive.
Le réalisateur d’ARTE aurait dû s’en inspirer car je suis sidéré par cette émission pour les mêmes raisons que évoquées ci-dessus.
Depuis, de nombreuses autres émissions ont présenté des informations tronquées ou inexactes, générant des inquiétudes.
Autre étonnement, le journaliste a su reprendre l’audition de M. J-C GOUACHE, organisée à l’Office Parlementaire dans le cadre du rapport de l’OPECST,(Rapport La révolution de la modification ciblée du génome J-Y. LE DÉAUT, C. PROCACCIA, OPECST, Avril 2017) sans le citer. Notre rapport publié et adopté à l’unanimité à l’OPECST est public et Le Monde Débats a d’ailleurs publié une tribune le 22 août 2018 que j’ai rédigée avec Catherine PROCACCIA (PJ)au sujet de la décision de la Cour de Justice de l’Union européenne.
Il aurait été honnête de présenter d’autres arguments qui, pendant ces journées d’auditions publiques, ont été avancés. Je pense notamment à ceux de Philippe HORVATH, cadre scientifique chez DuPont, un des découvreurs du génome editing, à Jean-Christophe PAGES, président du conseil scientifique du Haut Conseil des Biotechnologies, à André CHOULIKA, PDG de Cellectis, une entreprise française pionnière dans la modification du génome par des nucléases , contrainte de mener ses travaux sur les végétaux aux Etats Unis ou à Emmanuelle CHARPENTIER, titulaire de nombreux prix scientifiques, directrice de l’Institut Max Planck de biologie infectieuse à Berlin, co-découvreuse de la technologie d’édition du génome Crispr-Cas9.
Une meilleure approche du journaliste lui aurait permis de relater que l’INRA, pourtant devenu très prudent sur les questions de plantes génétiquement modifiées, avait publié le 09/11/2018 un rapport sur sa stratégie d’utilisation des technologies d’édition du génome dans le domaine végétal, disant notamment. « Ces technologies sont aujourd’hui des outils de connaissance incontournables…et sont utilisées pour opérer des mutations ciblées sur des gènes identifiées…créer de nouvelles variétés de plantes. L’INRA considère qu’il relève de ses missions de recherche publique, de responsabilité sociale d’explorer les bénéfices potentiels de ces technologies et qu’en amélioration des plantes, ces techniques s’inscrivent dans une logique de durabilité environnementale, économique et sociale, par exemple en vue de la réduction des pesticides de synthèse ou de l’adaptation au changement climatique ». Arte aurait sans doute pu explorer ces voies et les confronter entre partisans et opposants.
La mutagénèse, télévisuellement représentée dans l’émission par une explosion, sans doute pour causer davantage d’effroi, est utilisée depuis plus de soixante ans pour sélectionner de nouvelles semences. Bien que les techniques anciennes utilisées m’apparaissent aléatoires et peu précises (mutation chimique ou radiation), la mutagénèse n’a pas été remise en cause et a même été exemptée des conditions exigées par les OGM par la directive européenne 2001/18 , car ces méthodes étaient dites traditionnelles.
C’est une ère nouvelle qui s’annonce pour l’agriculture, car le génome editing rend possible des procédés industriels respectueux de l’environnement, qui sont, à mon sens, complémentaires des méthodes de l’agro-écologie. A l’inverse, les traits recherchés ne concernent plus seulement les résistances aux herbicides ou l’amélioration de la productivité, mais le nouveau défi est de développer de nouvelles plantes, moins consommatrices en intrants et notamment en engrais, permettant une meilleure utilisations de l’azote, provoquant une résistance accrue ou allongeant la durée de consommation, mieux adaptés aux changement climatiques, améliorant la qualité nutritionnelle des aliments. On pourrait aussi proposer des variétés plus économes en eau, résistantes aux stress hydrique ou à la salinité…
A mon sens, ces nouvelles techniques de sélection végétale ont même un grand potentiel pour les agriculteurs bio, ce que confirme Urs NIGGLI, Directeur de l’Institut de Recherche sur l’Agriculture Biologique à Zurich (Die Tagezeistung, 06/04/2016)
Un seul exemple illustre ce propos : c’est que les viticulteurs sont aujourd’hui obligés, pour lutter contre le mildiou ou l’oïdium, d’utiliser les produits phytosanitaires ou les produits chimiques, comme le sulfate de cuivre. Ce produit chimique est d’ailleurs toléré dans les cahiers de charge de l’agriculture biologique. Il m’apparaitrait utile de pouvoir, par sélection ou par ces nouvelles technologies, produire des variétés résistantes aux maladies avec des gènes naturels trouvés chez certaines espèces de vigne, ce qui permettrait de réduire le taux de cuivre, toxique pour les sols.L’Europe vient d’ailleurs de limiter les doses de cuivre autorisées de 6 kilos/ ha ( lissé sur 5 ans) à 4 kilos /ha lissé sur 7 ans), soit une baisse de 33%.
Enfin, l’émission a omis de citer l’appel des cents lauréats du prix Nobel en faveur des nouvelles biotechnologies, signée par les Français Claude COHEN-TANNOUDJI, Roger GUILLEMIN, Serge HAROCHE et Jean-Marie LEHN, qui estiment que « continuer les campagnes de dénigrement de ces technologies constituerait un crime contre l’humanité ». La vraie question de fond est en effet de savoir comment dès la deuxième moitié du 20ème siècle on pourra nourrir 10 milliards d’individus sans prélèvements et destructions supplémentaires pour la planète. C’est cette question qui aurait dû être mise en débat, car le pilonnage et l’activisme d’associations auxquelles vous avez donné la parole, ont frappé l’opinion publique sur des risques sanitaires qui, aujourd’hui, avec vingt ans de recul, ne sont pas avérés. Toutes les agences nationales, européennes, internationales ou académiques vont dans ce sens. La contre-étude SERALINI le prouve.
Je pense donc qu’il faut organiser un vrai débat public sur les technologies vertes, qui fasse à la fois le bilan, l’évaluation des impacts dus à la transgénèse et au genome editing. Je suis étonné que la télévision de service public, sur une chaine qui privilégie le sérieux et l’objectivité, ne fasse pas de la pédagogie sur des sujets complexes, abordant ceux-ci avec recul et mettant en discussion les apports scientifiques et médicaux, les bénéfices et les risques.
Ce serait tout à l’honneur d’une chaine comme Arte de l’organiser parce que cette émission m’est apparue à sens unique, ne donnant la parole qu’aux opposants à la technologie de la mutagénèse, s’apparentant plus à la défense d’une thèse qu’à du journalisme d’investigation.
Il y a aujourd’hui une confusion, volontairement entretenue, entre savoirs et croyances qui menacent les fondements de la recherche scientifique. Les risques ne doivent pas être balayés d’un revers de main ,mais plutôt évalués rationnellement, en tenant à distance les croyances, les partis pris idéologiques, la propagande et les discours sectaires. Car, comme le disait fort justement le mathématicien, philosophe et prix Nobel de littérature Bertrand RUSSEL : « La science n’a jamais tout à fait raison, mais hélas elle a rarement tout à fait tort et, en général, elle a plus de chance d’avoir raison que les théories non scientifiques. Il est donc rationnel de l’accepter à titre d’hypothèse ».
Je transmets le double de ce courrier au président du CSA, pour qu’une réflexion globale soit engagée pour faire face aux dérives auxquelles nous assistons.
Je vous prie de croire,Monsieur le Président, à l’expression de mes meilleurs sentiments et je suis prêt à intervenir sur votre plateau, quand vous le souhaitez, défendre ces positions. »
Quel est le fil rouge de ce « reportage ? Depuis 10 ans, on cultive dans le Piémont des riz Clearfield, rendus tolérants à l'imazamox (Pulsar) par mutagenèse « traditionnelle », 90 000 hectares, soit 40 % de la production.
Jusqu'à peu, le monde alter et anti qualifiait ce genre de variétés d'« OGM cachés ». Et puis est venue un arrêt fort contestable de la Cour de Justice de l'Union Européenne qui a constaté que, selon la législation en vigueur, elles sont des OGM, mais des OGM exclus du champ d'application des règles sur les autorisations, l'étiquetage, le suivi, etc.
Quel intérêt ? Désherbage facilité et surtout possibilité de détruire le riz rouge sauvage.
Quelle différence génétique entre une variété tolérant à cet herbicide du fait d'une mutation spontanée et une variété tolérant à cet herbicide du fait d'une mutation induite (ou provoquée) ? Probablement aucune. Quel danger par rapport au soja qui est naturellement tolérant à cet herbicide ? Fondamentalement le même.
En d'autres termes, la gesticulation activiste contre les « OGM cachés » que seraient les variétés ayant acquis une tolérance à un herbicide par mutation est, disons le tout net, de mauvaise foi.
Un écologiste dit à Tucker Carlson: Les énergies renouvelables ne peuvent pas sauver la planète
4 mars 2019 De l'appelant quotidien Jason Hopkins | Enquêteur Energétique
Le militant écologiste Michael Shellenberger a expliqué à l’animateur de Fox News, Tucker Carlson, qu’il n’était pas possible de transformer complètement le réseau du pays en énergie renouvelable.
«J'étais l'un des fondateurs du premier Green New Deal de 2003 à 2007, en quelque sorte», a déclaré Shellenberger, fondateur de Environmental Progress. "Les gens ne se souviennent pas du président Obama, nous avons dépensé environ 150 milliards de dollars en énergies renouvelables entre 2009 et 2015, et nous avons continué à rencontrer le même genre de problèmes."
Shellenberger a exposé les deux principaux problèmes qui affectent les éoliennes et les panneaux solaires: manque de fiabilité et faible densité énergétique.
«Ils dépendent du moment où le soleil brille et du vent, soit 10 à 40% de l'année», a-t-il déclaré, démontrant que la production intermittente d'énergie éolienne et solaire en faisait des sources d'énergie peu fiables. «Les gens ne sont pas conscients de quelque chose: la faible densité énergétique du soleil et du vent. Ce que nous avons constaté en gros, c’est que plus la densité énergétique du carburant est faible… plus l’impact sur l’environnement est important ».
Parce que le soleil et le vent produisent de si petites quantités d'énergie, selon Shellenberger, ils ont besoin de beaucoup plus de terres pour produire de l'électricité.
Au lieu de cela, le fondateur d'Environmental Progress a vanté les avantages de l'énergie nucléaire, une source d'énergie capable de générer de grandes quantités d'énergie fiable tout en n'émettant aucune émission de carbone. Cependant, Shellenberger a déclaré que le public n'avait pas encore pleinement adopté l'énergie nucléaire, car il l'associait à des bombes nucléaires, à des accidents nucléaires passés et à une volonté d'utiliser une énergie qui s'harmonise avec le monde naturel.
«Cela s’avère être une mauvaise idée car plus nous utilisons de ressources naturelles, plus il en va de l’environnement», a-t-il déclaré.
Plante nucléaire Centrale nucléaire de Ohu, près de Landshut, en Bavière, en Allemagne. Shutterstock
Alors que les militants écologistes s'inquiètent de la menace du changement climatique, nombreux sont ceux qui réévaluent leur perception de l'énergie nucléaire. L’industrie nucléaire américaine fournit actuellement environ 20% de l’électricité totale du pays, mais environ 60% de son électricité zéro carbone. Un nombre croissant de législateurs axés sur le changement climatique passent maintenant des subventions et des programmes de soutien pour maintenir les centrales nucléaires en exploitation. (CONNEXES: Les législateurs votent massivement pour la modernisation de la flotte nucléaire américaine)
Shellenberger a ajouté qu'il était "très décevant" que le Green New Deal d'Alexandria Ocasio-Cortez, largement médiatisé, n'inclue pas de dispositions relatives à l'énergie nucléaire.
Le document FAQ original d’Ocasio-Cortez sur le Green New Deal appelait en fait à une sortie progressive du nucléaire. Cependant, à la suite de l'échec de l'accord, son équipe a retiré le langage anti-nucléaire de son site Web.
Une attaque verte bien financée contre le sceptique du climat Tony Abbott
4 mars 2019
Alors que la coalition australienne de centre droit se prépare à une défaite probable lors de la prochaine élection fédérale, de riches investisseurs verts tentent de réduire à néant toute possibilité de retour du sceptique du climat, l'ancien Premier ministre australien Tony Abbott.
Le climat de changement est une aubaine pour Steggall dans le but de renverser Abbott
EXCLUSIF BRAD NORINGTON ÉDITEUR ASSOCIÉ @BradNorington 4h du matin MARS 2019
Zali Steggall a obtenu le soutien de riches investisseurs qui souhaitent une action immédiate sur le changement climatique et pourraient retirer d'importants bénéfices financiers en passant de l'énergie au charbon à l'énergie solaire et à d'autres énergies renouvelables.
Mme Steggall, avocate et ancienne championne du monde de ski alpin faisant campagne en tant qu'indépendante pour chasser Tony Abbott de son siège libéral aux rubans bleus sur les plages du nord de Sydney, fait du changement climatique un élément essentiel de son discours de campagne.
Son affirmation selon laquelle M. Abbott est en décalage par rapport aux électeurs de Warringah, car il soutient le charbon, a permis de rallier le soutien d'individus potentiellement généreux.
Angus Gemmell, Rickard Gardell et Mark Kelly figurent parmi les soutiens locaux de Mme Steggall. Alex Turnbull et Simon Holmes (Cour) comptent parmi les partisans extérieurs ayant un intérêt profond pour le changement climatique et les investissements dans les énergies renouvelables.
…
En savoir plus (paywalled): https://www.theaustralian.com.au/news/nation/climate-of-change-looks-a-windfall-for-steggall-in-bid-to-oust-abbott/news- histoire / eb695d642ee162994f8d4e10e72c6280
Tony Abbott a été renversé de ses fonctions de Premier ministre lors d'un putsch en 2015, après avoir mené la Coalition à une victoire en 2013 sur une plateforme anti-taxe sur le carbone.
Depuis lors, Abbott n'a mis aucun de ses successeurs au défi de retrouver son ancien travail. Au lieu de cela, il a consacré la majeure partie de son temps depuis sa destitution en tant que Premier ministre de son district et à de bonnes actions, telles que la recherche de solutions aux problèmes à long terme. affligeant les communautés autochtones australiennes marginalisées.
Mais même Abbott sur le banc de touche semble être trop risqué pour le blob vert. Ils fournissent donc un énorme trésor de guerre à l’indépendante Zali Steggall pour qu’elle conteste le siège d’Abbott, dans l’espoir d’éliminer la possibilité que Abbott devienne à nouveau Premier ministre.
La mythologie de la science du climat: Il est temps d’être scientifique sur le réchauffement planétaire, a déclaré la climatologue Judith Curry.
4 mars 2019 Du journal de la ville Guy Sorman Hiver 2019
Nous avons tous rencontré des images d'ours polaires dérivant sur la banquise: victimes emblématiques du réchauffement climatique qui fait fondre les calottes glaciaires, symboles de la menace que fait peser sur notre planète notre production d'énergie incessante, mais surtout le dioxyde de carbone les usines et les automobiles émettent. Nous entendons de plus en plus entendre que nous demandons d’imposer des limites, de changer nos méthodes de gaspillage afin de sauver non seulement les ours, mais aussi la planète et nous-mêmes.
Dans le discours politique et dans les médias, les tempêtes et les inondations majeures sont généralement présentées comme des signes de catastrophe imminente, accompagnées d'invocations à l'environnement et d'appels à respecter Dame Nature. Cependant, seules les catastrophes semblent attirer notre attention et il est rarement mentionné que le réchauffement apporterait également des avantages, tels que l’augmentation de la production de céréales dans des régions auparavant gelées du Canada et de la Russie. Nous n'entendons pas non plus dire que les gens meurent plus souvent par temps froid que par temps chaud. Des voix isolées critiquent l'alarme sur le réchauffement climatique, la considérant comme une thèse pseudoscientifique dont le véritable objectif est de contrecarrer la modernisation économique et la croissance du marché libre et d'étendre le pouvoir des États sur les choix individuels.
N'étant pas moi-même climatologue, j'ai toujours eu du mal à choisir entre ces arguments. Et puis j'ai rencontré Judith Curry chez elle à Reno, dans le Nevada. Curry est une vraie climatologue. Auparavant, elle dirigeait le département des sciences de la Terre et de l'atmosphère du Georgia Institute of Technology, jusqu'à ce qu'elle abandonne l'académie pour pouvoir s'exprimer de manière indépendante. «L’indépendance de l’esprit et la climatologie sont devenues incompatibles», dit-elle. Voulez-vous dire que le réchauffement climatique n’est pas réel? Je demande. "Il y a un réchauffement, mais nous n'en comprenons pas vraiment les causes", dit-elle. "Le facteur humain et le gaz carbonique, en particulier, contribuent au réchauffement, mais jusqu'à quel point fait-il l'objet de débats scientifiques approfondis."
Curry est un érudit, pas un pandit. Contrairement à de nombreux oracles politiques et journalistiques, elle n’opte jamais sans preuves. Et elle a des données à sa disposition. Elle me dit, par exemple, qu'entre 1910 et 1940, la planète s'était réchauffée au cours d'un épisode climatique qui ressemblait beaucoup à la nôtre. Le réchauffement ne peut pas être imputé à l'industrie, a-t-elle déclaré, car à l'époque, la plupart des émissions de dioxyde de carbone résultant de la combustion de combustibles fossiles étaient faibles. En fait, selon Curry, «près de la moitié du réchauffement observé au XXe siècle s’est produit au cours de la première moitié du siècle, avant que les émissions de gaz carbonique ne deviennent importantes». Les facteurs naturels devaient donc en être la cause. Aucun des modèles climatiques utilisés par les scientifiques travaillant actuellement pour les Nations Unies ne peut expliquer cette tendance ancienne. Ces modèles ne peuvent pas non plus expliquer pourquoi le climat s'est soudainement refroidi entre 1950 et 1970, donnant lieu à de nombreuses mises en garde concernant le début d'une nouvelle ère glaciaire. Je me souviens de couvertures de magazine de la fin des années 1960 ou du début des années 1970, décrivant la planète en proie à un gel extrême annihilant. Selon un groupe de scientifiques, nous avons été confrontés à un scénario environnemental apocalyptique, mais à l'opposé du scénario actuel.
Mais les océans ne s’élèvent-ils pas aujourd’hui, j’ai contré, érodant les côtes et menaçant d’inonder les populations les plus basses et les îles entières habitées ? "Oui", répond Curry. «Le niveau de la mer monte, mais cela se fait progressivement depuis les années 1860; nous n'observons pas encore d'accélération significative de ce processus à notre époque. "Là encore, il faut envisager la possibilité que les causes de l'élévation du niveau de la mer soient en partie ou principalement naturelles, ce qui n'est pas surprenant, dit Curry, pour" le climat Le changement est un phénomène complexe et mal compris, impliquant autant de processus. »Blâmer le gaz carbonique émis par les humains n'est peut-être pas scientifique, ajoute-t-elle, mais« certains trouvent rassurant de croire que nous maîtrisons le sujet ». que "rien ne bouleverse beaucoup de scientifiques comme l'incertitude".
Cela nous amène à la raison pour laquelle Curry a quitté le monde de l'académie et de la recherche financée par le gouvernement. «La climatologie est devenue un parti politique à tendance totalitaire», a-t-elle déclaré. «Si vous ne soutenez pas le consensus des Nations unies sur le réchauffement climatique causé par l'homme, si vous exprimez le moindre scepticisme, vous êtes un« négateur du changement climatique », un pantin de Donald Trump, un quasi-fasciste qui doit être banni de la communauté scientifique. »De nos jours, le courant dominant de la climatologie n’accepte que les données qui confortent son hypothèse selon laquelle l’humanité est à l’origine du réchauffement climatique. Ceux qui osent s’intéresser aux causes naturelles possibles des variations climatiques - telles que les changements solaires ou les oscillations de la Terre - ne sont pas bien perçus par la communauté scientifique, pour le dire gentiment. Il convient de noter que la rhétorique des alarmistes est passée de «réchauffement climatique» à «changement climatique», ce qui peut vouloir dire n'importe quoi. Ce changement a débuté en 1992, lorsque l'ONU a élargi son éventail de préoccupations environnementales pour inclure tous les changements que les activités humaines pourraient causer dans la nature, en créant un filet si large que peu d'actions humaines pourraient y échapper.
La recherche scientifique devrait être basée sur le scepticisme, sur le réexamen constant des idées reçues: c'est du moins ce que j'ai appris de mon mentor, Karl Popper, le philosophe scientifique ultime de notre époque. Qu'est-ce qui pourrait amener les climatologues à trahir l'essence même de leur vocation ? La réponse, soutient Curry: "la politique, l'argent et la gloire." Les scientifiques sont des êtres humains, avec des motivations humaines; De nos jours, le financement public, les récompenses scientifiques et les promotions académiques vont à l'environnement correct. Pour les climatologues, explique Curry, "une personne ne doit pas trop aimer le capitalisme ou le développement industriel et doit favoriser le gouvernement mondial plutôt que les nations"; pensez différemment et vous vous retrouverez ostracisé. "La climatologie devient une science de plus en plus douteuse, au service d'un projet politique", se plaint-elle. En d’autres termes, «le chariot des politiques mène le cheval scientifique».
Cela a longtemps été vrai en sciences de l'environnement, souligne-t-elle. La controverse sur le réchauffement de la planète a commencé en 1973, pendant l’embargo pétrolier dans le Golfe, ce qui a suscité la crainte, en particulier aux États-Unis, de voir l’approvisionnement en pétrole épuisé. Selon M. Curry, l’industrie nucléaire a profité de la situation pour plaider en faveur de l’énergie nucléaire et a commencé à subventionner des mouvements écologiques hostiles au charbon et au pétrole, comme elle le fait depuis. Le récit réchauffant était né.
La National Aeronautics and Space Administration a joué un rôle dans la propagation de ce récit. Après avoir mis fin à ses expéditions lunaires, la NASA était à la recherche d'une nouvelle mission. Elle a donc construit des modèles climatiques provisoires axés principalement sur le gaz carbonique, car il s'agit d'un facteur facile à identifier et «parce qu'elle est soumise au contrôle humain», observe Curry. Même si ce n’est qu’un des nombreux facteurs à l’origine des variations climatiques, le gaz carbonique est devenu de plus en plus méchant. Les forces bureaucratiques à l'ONU qui promeuvent la gouvernance mondiale - par l'ONU, il va sans dire - se sont ralliées à cette ligne de recherche. Ensuite, les scientifiques ont été invités et incités à prouver qu'un tel projet politique était scientifiquement nécessaire, rappelle Curry. L'ONU a fondé le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) en 1988 pour promouvoir cet agenda, et depuis lors, les climatologues - un groupe de plus en plus visible et florissant - ont embrassé la foi.
En 2005, j’ai eu une conversation avec Rajendra Pachauri, un ingénieur des chemins de fer indien, qui s’est transformé en climatologue et est devenu directeur du GIEC, qui a reçu le prix Nobel de la paix de 2007 sous son mandat. Pachauri m'a dit, sans gêne, qu'à l'ONU, il n'avait recruté que des climatologues convaincus de l'explication du réchauffement du gaz carbonique, à l'exclusion de tous les autres. Cette extraordinaire collusion permet aujourd'hui aux politiciens et aux commentateurs de déclarer que "la science dit que" le gaz carbonique est à l'origine du réchauffement planétaire, ou qu'il existe un "consensus scientifique" sur le réchauffement, ce qui implique qu'aucune autre étude n'est nécessaire - ce qui n'a aucun sens pour le son visage, car la recherche scientifique ne repose pas sur un consensus mais sur des points de vue contradictoires.
Curry est sceptique quant aux résultats positifs pouvant résulter des traités sur l'environnement, notamment l'accord de Paris sur le climat de 2016. Selon les termes de l’accord, les pays signataires - à l’exclusion des États-Unis, qui se sont retirés du pacte - se sont engagés à réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de stabiliser la température de la planète à peu près au niveau actuel. Pourtant, comme le précise Curry, même si tous les États respectaient cet engagement - une perspective improbable - la réduction de la température en 2100 serait insignifiante de deux dixièmes de degré. Et cela suppose que les prévisions du modèle climatique sont correctes.
Si le réchauffement futur était moins important que prévu, les réductions de température résultant de la limitation des émissions seraient encore plus faibles.
(...) "Oui", répond Curry. «Le niveau de la mer monte, mais cela se fait progressivement depuis les années 1860; nous n'observons pas encore d'accélération significative de ce processus à notre époque. "Là encore, il faut envisager la possibilité que les causes de l'élévation du niveau de la mer soient en partie ou principalement naturelles, ce qui n'est pas surprenant, dit Curry,(...)
Hors marées, effectivement le niveau des mers & océan peut évolué. Comme cela se passe ? Naturellement ! Il y a qq millions d'années le continent Américain touchait l'Europe et l'Afrique. Puis, une fracture est apparue et l'eau a commencé à baisser. Baisser jusqu'à son niveau actuel mais, notons que c'est TOUS LES JOURS qu'il y a des tremblements de terre et qu'ils sont majoritairement sous océanique et sous marins ! C'est-à-dire qu'il y a des plaques qui s'éloignent l'une de l'autre tandis que d'un autre côté deux plaques se rencontrent.
Lorsque les plaques s'éloignent l'eau pénètre dans la brèche et le niveau descend, tandis que, ailleurs, deux plaques qui se rapprochent créent une îles sous océanique ou maritime. Élévation qui est plus tard appelée 'île' lorsqu'elle émerge. Il y a donc là une élévation du niveau de l'eau.
Rappel qu'il n'y a pas une goutte d'eau en plus ou en moins depuis des milliards d'années.
RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE GAZ CARBONIQUE : CARLOS TAVARES DÉNONCE LE "DIKTAT" DE L'EUROPE
par MARIE-EVE WILSON-JAMIN 04/03/2019
Carlos Tavares, dans une interview au Figaro estime que la volonté des Européens de réduire sensiblement les émissions de gaz carbonique risque de fragiliser une filière automobile qui emploie 13 millions de personnes.
Interrogé sur la transition écologique et la baisse des émissions de gaz carbonique, le patron de PSA a dénoncé un « diktat » des instances européennes. Pour lui, l'Europe fait preuve d'amateurisme.
Carlos Tavares estime que la réduction des émissions de gaz carbonique met l'industrie automobile en péril
Le président du directoire de PSA a réagi avec force quant à la décision du Parlement de Strasbourg de réduire de 40% les émissions de gaz carbonique des voitures et utilitaires de moins de 3,5 tonnes d’ici 2030. Il prévient : « Le vote du Parlement européen est un vote contre l'industrie européenne. (...) Le chemin qui est pris nous emmène dans l'impasse et ce sera très douloureux. » Carlos Tavares estime donc, à la veille de l'ouverture du salon de l'automobile de Genève, que l'industrie automobile européenne pourrait en pâtir.
Et d'insister quant aux emplois menacés : « Depuis deux mois, l'industrie automobile européenne a annoncé la suppression de plus de 20.000 postes. La volonté d'imposer la correction de trajectoire de l'industrie a parfaitement réussi ! Veut-on aller plus loin encore ? Très bien ! Les entreprises s'adapteront. Mais cela met en risque les 13 millions de personnes qui travaillent dans notre industrie et cela déstabilisera très certainement nos sociétés européennes. »
Le président du directoire de PSA dénonce : « la société a décidé de tuer le diesel »
Le dirigeant ne remet pas en cause le tout électrique mais dénonce encore : « la société a décidé de tuer le diesel. Passons à autre chose. Mais le problème, c'est que les émissions de gaz carbonique augmentent. Donc on nous dit de passer à l'électrification. » Il se demande comment les États pourront financer les réseaux de chargement.
Pour rappel, la France et l'Allemagne ont promis mi-février une nouvelle politique industrielle volontariste prévoyant notamment la mise en place d'un consortium de production des batteries pour les véhicules électriques à travers un investissement commun de 1,7 milliard d'euros. Au final, même s'il n'évouque pas une mission impossible, Carlos Tavares estime : « Le capital initial nécessaire est colossal. »
NUL n'empêchera les émissions de gaz carbonique des mers et océans qui couvrent plus de 75 % de notre planète !
Le gaz carbonique n'est PAS un poison et n'a AUCUN pouvoir calorifique. Il ne faut pas confondre avec le diesel qui émet des particules mortelles ! (Plus de 40 000 morts en France chaque année par le diesel !).
Un whisky de Lidl à 16 euros est en lice pour le prix du "meilleur whisky au monde"
1 Mar 2019, 13:00 Adam Jaime/Unsplash
Une bouteille de whisky de Lidl à seulement 15,74 euros est en lice pour remporter le prix du "meilleur whisky", décerné à l'occasion des World Whiskies Awards, dont le palmarès sera dévoilé le 28 mars 2019, selon Capital. Plus de 40 experts internationaux ont dégusté plusieurs whiskies pour la compétition. Le World Whiskies Awards est un événement annuel qui récompense "le meilleur de tous les styles de boissons internationalement reconnus", précise The Independent.
Plusieurs médias s'étaient emballés et avaient annoncé dans un premier temps le triomphe du Queen Margot huit ans d’âge de Lidl, qui serait devenu le meilleur whisky écossais du monde. Mais pour le moment, la bouteille fait simplement partie des whisky goûtés par le jury. Le Queen Margot est produit selon les méthodes traditionnelles de fabrication du whisky, qui comprennent le maltage, le brassage, la fermentation, la distillation et la maturation. Il n'est pas commercialisé en France, mais uniquement dans les magasins britanniques et néerlandais de l'enseigne.
Il contient de l'abricot et de la prune séchés, qui lui confèrent, selon le distributeur, "une douceur et une saveur riches et profondes". Son goût est de plus adouci par les huit années passées dans des fûts de chêne.
Pour rappel, le whisky est fabriqué avec trois ingrédients de base : l'eau, l'orge maltée et la levure. Une fois l'orge séchée, elle est mélangée à de l'eau chaude pour faire du moût. Le moût est ensuite fermenté et distillé, avant d'être stocké dans des fûts en bois pour la maturation.
Si Lidl est primé fin mars, ce ne sera pas une première pour l'enseigne réputée pour ses petits prix. Le distributeur a déjà été récompensé lors d'une cérémonie de remise de prix pour des alcools. En avril 2018, son gin Hortus Artisan Dry a battu des bouteilles commercialisées à un prix bien plus élevé, lors d'un test à l'aveugle réalisé par le Good Housekeeping Institute.
De plus, Lidl a récemment reçu le prix du meilleur gin de supermarché de l'année vendu en marque propre, lors de la remise des prix "Icons of Gin 2019", organisée par le magazine Gin, rapporte The Independent.
Comment les milliardaires continuent de cacher leur fortune dans les paradis fiscaux, malgré la révélation des Panama Papers
Naomi Barki Business Insider 27 Fév 2019, 11:03
L'affaire des Panama Papers a éclaté en 2016. Elle désigne la fuite de plus de 11,5 millions de documents issus du cabinet d'avocats Mossack Fonseca, concernant des centaines de milliers d'entités et sociétés de plus de 200 pays différents. Certains noms de milliardaires sont aussi apparus dans les documents. Nous avons interrogé Jake Bernstein, auteur de "Secrecy World", qui nous explique comment les méga-riches cachent des milliards en utilisant des paradis fiscaux et des sociétés écrans. Voici une transcription de la vidéo.
En 2016, 11,5 millions de documents issus de Mossack Fonseca, le quatrième cabinet d'avocats de droit offshore au monde, ont été divulgués. C'est ce que l'on a appelé les Panama Papers. Des centaines de milliers d'entités étrangères et de sociétés fictives liées à plus de 200 pays et territoires apparaissent dans les dossiers. D'éminents dirigeants mondiaux, des politiciens, des hommes d'affaires et des super riches ont été exposés pour avoir utilisé des comptes à l'étranger à des fins d'évitement fiscal, notamment.
Pourquoi vous devriez vous en soucier ? Chaque année, il manque environ 70 milliards de dollars que les États-Unis pourraient utiliser pour les infrastructures, les forces de l'ordre, la santé ou l'éducation. Un montant qui se cache derrière des entreprises fictives et des entités anonymes dans des endroits comme les îles Vierges britanniques. Maintenant, revenons en arrière. Qu'est-ce qu'une entreprise fictive ?
Jake Bernstein : La création d'une entreprise fictive est vraiment très facile. Vous pouvez vous rendre dans un endroit comme le Panama, les îles Vierges britanniques, le Delaware ou le Nevada. Habituellement, ces endroits ont des lois strictes qui ne révèlent pas qui est le bénéficiaire effectif et préservent l'anonymat des titulaires des comptes. Par exemple, vous pourriez avoir un faux dirigeant que vous payez un peu plus cher et qui fait semblant d'être le représentant de l'entreprise.
Ce n'est pas parce que vous avez une entreprise fictive que vous faites nécessairement quelque chose d'illégal. Disons, par exemple, que vous voulez avoir des activités commerciales, mais vous ne voulez pas que certains partenaires commerciaux sachent ce que vous faites. La pratique la plus courante est une forme d'évasion fiscale légale. Je pense que beaucoup de gens aux États-Unis pensent que la fraude et l'évasion fiscales sont des choses qui se produisent dans des endroits éloignés, entourés de palmiers et la brise des océans. Et en réalité, nous avons la même problématique ici.
Le Trésor américain estime qu'environ 300 milliards de dollars par an sont blanchis par les États-Unis. Des étrangers viennent et achètent des biens avec des sociétés fictives anonymes et certains de ces achats sont parfaitement légitimes. Mais il s'agit clairement de blanchiment d'argent et de corruption de fonctionnaires, avec des gens qui dépensent leur argent pour le placer dans un bien immobilier, ce qui empêche ceux qui vivent dans la zone de pouvoir payer sa valeur.
Notre gouvernement prétend qu'il n'a pas assez d'argent pour les infrastructures, les services de santé, la police ou l'éducation, et en même temps il y a énormément d'évasion et de fraude fiscales dans ce milieu clandestin. Les autorités fiscales du monde entier ont collecté plus d'un demi-milliard de dollars grâce à la fuite des Panama Papers.
Narrateur : Sur les 214 000 entités identifiées dans les documents de Panama, environ la moitié d'entre elles sont situées dans les îles Vierges britanniques. Comment ce petit territoire est-il devenu un paradis fiscal aussi vaste ? Mossack Fonseca est un cabinet d'avocats panaméen fondé en 1977. Après l'instabilité au Panama qui repoussait les clients dans les années 80, l'entreprise a découvert que les îles Vierges britanniques étaient un nouveau terrain fertile pour les entreprises fictives anonymes.
Jake Bernstein : Leur vision était d'être le "McDonald's" du système offshore, vous voyez ? Avec des volumes élevés, pour de faibles coûts, et dont le but était de développer ce réseau de sociétés fictives anonymes afin de les rendre accessibles à un public plus large. Au début, c'est un excellent modèle d'affaires, c'est vrai, parce que ce que vous faites, c'est seulement créer cette société fictive anonyme. Vous lui donnez un nom, vous ne vous souciez pas de qui se cache réellement derrière tout cela. Puis vous la rangez dans un dossier et l'oubliez pendant un an jusqu'au renouvellement. Les vérifications entrent en jeu plus tard. Les gouvernements commencent à se rendre compte qu'elles sont utilisées par des criminels, des blanchisseurs d'argent et autres, et ils disent : "Il nous faut plus d'information". Alors j'ai demandé à Jurgen Mossack : "As-tu déjà vu le merveilleux épisode "J'aime Lucy" où elle se trouve dans la chocolaterie et elle essaie de suivre le rythme du tapis roulant, qui va de plus en plus vite ?" Et il m'a répondu : "Oui." C'était tout à fait comme ça à un moment donné.
Nous savons donc que c'est un gros problème, comment cela continue à se produire ?
Jake Bernstein : Il y a beaucoup d'inertie bureaucratique et de réserve dans le fisc, c'est certain. Mais une autre grande partie du problème est que le Congrès a éviscéré le fisc et l'a privé de fonds, il y a aussi eu un grand nombre de départs à la retraite, ce qui a délibérément entravé le fisc et rendu impossible pour celui-ci de poursuivre ce type de fraude fiscale. Une grande partie de ces informations est conservée dans les banques et dans des juridictions qui ne coopèrent pas facilement avec les autorités américaines.
La seule façon pour le fisc de comprendre ce qui se passe, c'est par ces fuites. Et ce sont vraiment ces fuites des dernières années qui ont permis à l'IRS et au reste des citoyens d'avoir une véritable vision du fonctionnement et de l'ampleur de ce système, de son champ d'application global.
Il faut que les gens soient conscients que nous n'avons pas à accepter l'austérité qu'on nous impose. Les Européens nous devancent sur ce point parce qu'ils ont été très durement touchés après la crise financière. Il y a eu des coupes budgétaires importantes dans plusieurs pays. Lorsque ces enquêtes sur les fuites ont commencé à être publiées et qu'ils ont découvert que les méga-riches ne payaient pas leur juste part, les gens se sont mis en colère. Il n’y a pas eu autant de répercussions aux Etats-Unis, mais je suppose que cela se fera dans l'avenir.
Produit par Noah Friedman, Alana Kakoyiannis and Lamar Salter
Pourquoi existe t-il ces 'paradis' ? Parce que certains États volent, escroquent ceux qui osent faire des bénéfices, gagner de l'argent ! Nombreux sont ceux qui veulent de prima abord ruiner TOUTES les personnes qui résident dans leur pays ! Mais, si nous regardons bien ces dictatures, elles ne créent aucun emploi ! (sauf des fonctionnaires ! Rappelez-vous de l'arrivée de Mitterrand en 81 !), c-à-d des personnes payées PAR le Peuple.
La NSA abandonne une partie du programme de surveillance de masse exposée par Snowden
par Tyler Durden Mar., 03/05/2019 - 11:19
La National Security Agency (NSA) aurait abandonné une partie de leur infâme appareil de surveillance exposé par l'ancien sous-traitant, Edward Snowden, et utilisé pour la collecte en masse des archives de communications des Américains; y compris les journaux de téléphone, les métadonnées et les messages texte.
- voir clip sur site -
Le New York Times a noté que le conseiller à la sécurité nationale du chef de la minorité à la Chambre, Luke Murry, avait déclaré à The Lawfare Podcast que la NSA "ne l'utilisait pas depuis six mois" et qu'il "n'était pas certain que l'administration [de Trump] veuille pour démarrer cette sauvegarde "(malgré la collecte de 530 millions d’enregistrements téléphoniques en 2017)
N'oubliez pas que le rapport de la NYT ne prétend pas que la NSA a abandonné d'autres programmes tels que XKeyscore, que l'agence utilise pour rechercher et analyser des données Internet globales. Interrogé par le diffuseur allemand Norddeutscher Rundfunk "Que pourriez-vous faire si vous utilisiez XKeyscore ?" Edward Snowden a répondu:
Vous pouvez lire les emails de n'importe qui dans le monde, de n'importe qui pour qui vous avez une adresse email. N'importe quel site Web: Vous pouvez surveiller le trafic entrant et sortant. Tout ordinateur sur lequel une personne est assise: Vous pouvez le regarder. Tout ordinateur portable que vous suivez: vous pouvez le suivre lorsqu'il se déplace d'un endroit à l'autre dans le monde. C'est un guichet unique pour l'accès aux informations de la NSA.
... Vous pouvez marquer des personnes ... Disons que vous travaillez dans une grande société allemande et que je veux accéder à ce réseau, je peux suivre votre nom d'utilisateur sur un site Web sur un formulaire quelque part, je peux suivre votre vrai nom, je peux suivre Les associations avec vos amis et moi-même pouvons créer ce que l'on appelle une empreinte digitale, qui est une activité réseau unique en son genre, ce qui signifie que vous allez partout dans le monde, partout où vous essayez de cacher votre présence en ligne, votre identité. -Edward Snowden
Il est à noter que l'ancien directeur des services de renseignements nationaux, James Clapper, a été surpris en train de mentir au Congrès au sujet de la collecte de données en masse de la NSA. En réponse à une question posée par le sénateur Ron Wyden (D-OR) en 2013, "La NSA collecte-t-elle des données sur des millions, voire des centaines de millions, d'Américains ?", Clapper répondit: "Non, monsieur, pas sciemment. "
- voir clip sur site -
Au lieu d'une citation à comparaître du ministère de la Justice pour avoir menti au Congrès, Clapper perçoit maintenant un chèque de paie en tant que contributeur sur CNN.
Initié sous la présidence de George W. Bush en 2001 à la suite des attaques du 11 septembre et exposé par le contractant du renseignement Edward Snowden, le programme de collecte de métadonnées en bloc a été réduit en vertu de la loi de 2015 sur la liberté, qui devait expirer cette année. aux mains de transporteurs tels que AT & T et Verizon auxquels on pourrait accéder rapidement via une ordonnance du tribunal.
Pourtant, l'ampleur de la collecte est restée énorme: le programme a rassemblé 151 millions d'enregistrements en 2016, malgré l'obtention d'une ordonnance du tribunal pour utiliser le système sur seulement 42 suspects de terrorisme en 2016, avec quelques-uns restants de la fin de 2015. En 2017, il a obtenu des commandes pour 40 cibles et collecté 534 millions de disques.
Des problèmes avec le système sont apparus l'année dernière, lorsque la National Security Agency a annoncé qu'elle avait décidé de supprimer toute la base de données de ses dossiers rassemblés depuis l'entrée en vigueur du système Freedom Act. Glenn S. Gerstell, l'avocat général de l'agence, a déclaré lors d'une interview à l'époque qu'en raison de problèmes techniques complexes, un ou plusieurs fournisseurs de télécommunications - il a refusé de dire lequel - avait répondu aux ordonnances de la cour en envoyant des journaux à l'agence inclus à la fois des données précises et inexactes. -New York Times
L'année dernière, la NSA a reconnu qu'en raison de "problèmes techniques", elle avait collecté des informations sur des personnes aux États-Unis pour lesquelles elle n'avait pas le pouvoir de surveiller. En conséquence, les enregistrements auraient été purgés.
En juin, l'agence a publié une déclaration dans laquelle elle notifiait au public qu'elle avait commencé à supprimer tous les "enregistrements détaillés des appels" (CDR) collectés depuis 2015.
Les CDR sont remis par les opérateurs de télécommunication et contiennent des métadonnées, notamment les numéros de téléphone, ainsi que l'heure et la durée des appels. Le contenu réel des appels eux-mêmes n'est pas surveillé par ce système. Skype (et donc Microsoft) fournit cependant un peu plus au gouvernement américain, comme l'a révélé Edward Snowden, en remettant à la NSA des "listes d'amis, données de carte de crédit, enregistrements d'appels et informations de compte d'utilisateur", et éventuellement le texte en clair à l'intérieur des messages, selon Arstechnica.
À cette fin, le chiffre "choquant" de 2017 de 534 millions de CDR collectés est inférieur au nombre estimé de milliards d'enregistrements collectés chaque jour dans l'ancien système de collecte en vrac de la NSA, dont l'itération précédente avait été révélée par William Binney, dénonciateur de la NSA.
- voir clip sur site -
Comme il est peu probable que le gouvernement américain ait mis un terme à son penchant pour la surveillance, on peut imaginer que la NSA est passée à des technologies plus grandes et de meilleure qualité pour nous garder tous "en sécurité".
Gilets jaunes: un manifestant atteint aux testicules par un tir de LBD (vidéo choc)
20:22 05.03.2019
C'est durant l'acte 16, samedi dernier, à Nantes qu'un témoin a réussi à filmer une scène d'une brutalité extrême, lorsqu'un jeune qui, apparemment, n'était pas plus violent que les autres, s'est pris un tir de LBD dans les testicules.
La ville de Nantes a enregistré nombre d'incidents durant le dernier acte de la mobilisation des Gilets jaunes. Cependant, cet acte 16 a donné lieu à une scène particulièrement saisissante.
On peut y voir un jeune homme se tordre de douleur après avoir reçu un tir de LBD dans les testicules.
«Je suis désolé pour lui […] Je suis dégoûté pour lui», déclare l'auteur de la vidéo sans pouvoir faire quoi que ce soit pour le blessé.
D'autres témoins cherchent les pompiers pour prodiguer les premiers soins à la victime, mais il semble qu'il n'y ait personne pour l'aider.
Nantes vient justement de faire parler d'elle avec une vidéo choc présentant un homme qui tient une grenade et qui menace les personnes alentour: «Vous reculez de 50 mètres! Ou je dégoupille !»
Cette vidéo a été postée sur les réseaux sociaux le 3 mars, mais a déjà été vue plus de 150.000 fois.
Castaner contre-attaque face aux accusations du député matraqué, LFI quitte l’hémicycle
20:16 05.03.2019
Évoquant devant l’Assemblée nationale le cas des violences policières, Loïc Prud'homme, le député Insoumis qui affirme avoir été matraqué par les forces de l’ordre, s’est adressé à Christophe Castaner pour demander le départ du préfet de Gironde. Suite à la réponse du ministre, les députés La France Insoumise ont quitté l’hémicycle.
Le député La France insoumise de Gironde Loïc Prud'homme, qui affirme avoir été victime de violences policières alors qu'il quittait pacifiquement la manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux, a dénoncé ce fait devant l'Assemblée nationale en s'adressant au ministre de l'Intérieur pour exiger le départ du préfet de Gironde.
Pour lui, l'incident est la preuve d'un glissement autoritaire de la part du gouvernement.
«Ceci est révélateur de la dérive autoritaire de votre gouvernement. Chaque samedi de plus en plus des citoyens et citoyennes pacifiques sont frappés, mutilés, mis en garde à vue avec une doctrine de maintien de l'ordre qui ne fait qu'exacerber la violence», a lancé M. Prud'homme.
Avant d'ajouter:
«Dois-je me cacher pour éviter la répression politique et l'arbitraire ?»
Christophe Castaner a ensuite critiqué le comportement de Loïc Prud'homme.
«Il me semble que ce n'est pas la place d'un député que d'être dans un lieu interdit pour une manifestation, et que ça n'est pas l'attitude d'un député que de se retourner, de provoquer, de baisser le bouclier de protection des forces de l'ordre», a-t-il déclaré.
Tandis que les applaudissements de la majorité ont accompagné les mots du ministre, les députés La France Insoumise quittaient l'hémicycle en criant «honte à vous».
À son retour, après la séance des Questions au gouvernement, le chef de file des députés Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, a jugé ces applaudissements «extrêmement choquants».
«Il n'est pas acceptable que le ministre de l'Intérieur envoie un message qui crée un trouble ou donne le sentiment que l'on puisse légitimer de frapper un député», a-t-il affirmé.
Plus tard, le député girondin matraqué a répondu sur son compte Twitter au ministre de l'Intérieur en reprochant à Christophe Castaner de le traiter «de menteur et de provocateur».
Dans une vidéo réalisée alors qu'il quittait les lieux de la mobilisation, Loïc Prud'homme affirme avoir été «matraqué par les forces de l'ordre» alors qu'il «rentrait tranquillement récupérer [son] vélo», montrant une oreille ensanglantée.
Cinq risques liés au développement de l'intelligence artificielle
19:29 05.03.2019
Plusieurs personnalités de renom, notamment le physicien légendaire Stephen Hawking et l'innovateur Elon Musk - qui dirige les compagnies Tesla et SpaceX - ont déjà averti que l'intelligence artificielle (IA) pourrait s'avérer dangereuse.
«Aussi dangereuse que le dictateur de Corée du Nord», selon Elon Musk, l'intelligence artificielle ne cesse d'inquiéter, écrit le site d'inforamtion Vestifinance. Le fondateur de Microsoft, Bill Gates, suppose qu'il y a des raisons d'être prudent avec l'intelligence artificielle, mais qu'elle pourrait être bénéfique si elle était utilisée de manière appropriée.
Étant donné que l'IA et les secteurs afférents se développent très rapidement, beaucoup d'acteurs du marché réfléchissent également aux risques potentiels associés à cette technologie. En général, cette dernière est évoquée quand il est question de machines «intelligentes», notamment de véhicules autonomes. Et bien que la plupart des dispositifs modernes aient été créés pour servir l'humanité, les experts pensent que tout instrument puissant peut être utilisé pour nuire s'il se retrouve entre de mauvaises mains.
Bien que la machine dotée d'une super-intelligence n'ait pas encore été inventée, il existe plusieurs questions juridiques, politiques, financières et de régulation à régler pour se préparer au fonctionnement sûr d'un tel système. Même en l'absence d'un tel appareil polyvalent, l'IA pourrait dès à présent de comporter des risques.
Une arme autonome
L'IA peut être programmée pour accomplir quelque chose de dangereux. Par exemple, une arme autonome est programmée pour tuer. Et c'est l'un des risques de l'IA. Les experts supposent que la course nucléaire pourrait finalement dégénérer en course mondiale aux armes autonomes.
De plus, l'arme autonome pourrait commettre un acte selon son propre entendement, et le fait qu'un tel dispositif puisse se retrouver entre les mains d'un gouvernement peu regardant sur les vies humaines représente une menace encore plus réelle. Si elle était déployée un jour, il serait extrêmement difficile de la retirer.
Manipuler l'opinion publique
Grâce aux algorithmes automatiques, les réseaux sociaux sont très efficaces dans le marketing ciblé. Ils savent qui vous êtes, ce que vous aimez et peuvent très bien deviner ce à quoi vous pensez.
L'enquête se poursuit sur le cas de Cambridge Analytica et d'autres sociétés afférentes qui ont utilisé les informations de 500 millions utilisateurs de Facebook afin de prédire l'issue de la présidentielle américaine de 2016 et du référendum sur le Brexit au Royaume-Uni. Si ces accusations étaient confirmées, cela révélerait les immenses capacités de l'IA en matière de manipulation de l'opinion publique.
En diffusant la propagande aux personnes identifiées à l'aide d'algorithmes et de données personnelles, l'IA peut propager toutes les informations nécessaires au format qui paraîtra le plus convaincant, qu'il s'agisse de la vérité ou d'un mensonge.
A l'heure actuelle, il est possible de suivre et d'analyser chaque pas de l'homme sur internet, ainsi que ce que les gens font dans le cadre de leurs affaires. Les caméras se trouvent pratiquement partout, et les mécanismes de reconnaissance faciale permettent de savoir qui vous êtes.
Ces mécanismes contribuent au développement d'un système de crédits sociaux en Chine, qui offre à chaque habitant du pays un certain nombre de points en fonction de leur comportement.
Les autorités relèvent les infractions telles que traverser la route au feu rouge, fumer dans un lieu interdit, ou encore le temps passé à jouer aux jeux vidéo. Big Brother surveille et prend des décisions à partir de ces informations. Ce n'est pas seulement une ingérence dans la vie privée: cela pourrait également mener à un harcèlement social, craignent les analystes.
Une divergence d'objectifs entre l'homme et les machines
Les humains apprécient les machines dotées d'une IA pour leur efficacité. Mais si aucun objectif clair n'était défini pour la machine, cela pourrait être dangereux car elle pourrait en nourrir de bien différents des nôtres.
Par exemple, l'ordre «amène-moi à l'aéroport le plus vite possible» pourrait avoir des conséquences inattendues.
Si nous ne précisons pas que le code de la route doit être respecté en toute circonstance, la machine pourrait exécuter l'ordre littéralement et amener le passager à l'aéroport le plus vite possible, tout en laissant sur son chemin de nombreuses victimes.
Étant donné que les machines peuvent recueillir, suivre et analyser toutes les informations sur nous, il est fort probable qu'elles puissent aussi les utiliser contre nous. On s'imagine facilement une compagnie d'assurance refuser de vous assurer à partir d'informations révélant le nombre de fois qu'une caméra vous a pris en train de téléphoner au volant. Ou encore un employeur potentiel pourrait refuser de vous embaucher à cause de votre «classement social».
Toute technologie peut être utilisée de manière déviée. L'IA est utilisée aujourd'hui pour améliorer la qualité du diagnostic médical, trouver de nouveaux moyens pour soigner le cancer ou améliorer la sécurité des voitures.
Malheureusement, au fur et à mesure que les capacités de l'IA s'élargissent, elle pourrait devenir dangereuse ou être utilisée à mauvais escient. C'est pourquoi il est si important de parler des possibilités de rendre l'IA sûre et de minimiser son potentiel destructif.
D'abord, ce n'est pas avant 2030 qu'on verra 'l'Intelligence Artificielle' débarquer. Mais, ce rapprochement entre la réalité et la fiction est un peu trop voyant pour ne pas y prêter attention. Effectivement, aujourd'hui, des idiots nomment toutes calculettes de poche au rang prestigieux 'd'Intelligence Artificielle' !! Le doute n'est plus permis; 1+1 font bien 2 et, si demain cette même calculette nommée 'Révélation du siècle' dit 1+1=3 tout le monde sera censé la croire sans réfléchir car, il y a des calculs très compliqués qui ne sont jamais examinés.
Donc, il faut se méfier de ses faux drapeaux quotidiens dans les merdias où toutes les décisions seront censés partir de la calculette 'Révélation du siècle' !
C'est le 'que nous réserve l'ensuite' qui est effrayant aux vues de ce qui se passe les samedis et la réponse qui est faite aux français !
Smart Phones, Smart Appliances, ... Smart People ? Une puce cérébrale créera des humains super intelligents
par Tyler Durden Mar., 03/05/2019 - 19:25 Écrit par Dagny Taggart via le blog Organic Prepper,
Et si vous pouviez avoir une puce dans votre cerveau qui augmenterait votre intelligence ? Serais tu intéressé ?
Bien que ce type de technologie d'interface cerveau-ordinateur puisse sembler sortir d'un roman de science fiction dystopique, les scientifiques travaillent dur pour le développer, et il sera probablement disponible dans un proche avenir.
Cela donne un tout nouveau sens à l'expression «personne intelligente».
Les scientifiques développent actuellement des puces intelligentes pour le cerveau humain. Dans une interview avec CBS Chicago, le Dr Moran Cerf, neuroscientifique de la Northwestern University, a déclaré qu'il travaillait sur une puce intelligente pour le cerveau.
«Dans à peine cinq ans, des gens très intelligents pourraient marcher dans la rue; hommes et femmes qui ont payé pour augmenter leur intelligence », indique le rapport.
Le Dr Cerf, qui a déclaré qu'il "collaborait avec les grosses perruques de la Silicon Valley qu'il préfèrerait ne pas nommer", a expliqué que la puce intelligente permettrait "de faire en sorte qu'elle dispose d'une connexion Internet et passe sur Wikipedia, et quand je pense que cela pensé, cela me donne la réponse. "
"Tout le monde passe beaucoup de temps en ce moment à essayer de trouver des moyens d'obtenir des informations dans le cerveau sans percer un trou dans le crâne", a déclaré Cerf. “Pouvez-vous manger quelque chose qui va réellement atteindre votre cerveau ? Pouvez-vous manger des choses dans des parties qui vont s'assembler dans votre tête ? "(Source)
Je ne sais pas pour vous, mais je trouve l’idée de cette information troublante: «Tout le monde passe beaucoup de temps à essayer de trouver de nouveaux moyens d’introduire des choses dans le cerveau».
Qui est «tout le monde» et quel est leur agenda ? Quel genre de «choses» veulent-ils entrer dans notre cerveau, exactement ?
Quelles sont les conséquences éthiques des humains super intelligents ? Des humains super-intelligents sont sans aucun doute à venir, mais de graves questions se posent quant aux conséquences.
Bien qu'il travaille lui-même sur le projet, Cerf reconnaît que ce type de technologie pose d'importants problèmes éthiques:
Cerf s'inquiète de la création de lacunes en matière de renseignement dans la société; s'ajoutant aux inégalités de genre, raciales et financières existantes.
«Ils peuvent gagner de l'argent simplement en pensant aux bons investissements, et nous ne pouvons pas; alors ils vont devenir plus riches, ils vont devenir en meilleure santé, ils vont vivre plus longtemps », a-t-il déclaré. (la source)
Bien que ce soit bien que Cerf ait évoqué ces préoccupations lors de la courte interview de CBS, on peut se demander pourquoi il est toujours intéressé par le projet.
Le QI humain moyen est de 100. Les personnes avec une puce intelligente Cerf implantée dans leur cerveau auraient un QI d’environ 200, ce qui soulève une question importante: ces personnes «super intelligentes» voudraient-elles même avoir des échanges avec des humains «moyens» ?
"Est-ce qu’ils vont dire:" Regarde cet humain mignon, Stephen Hawking. Il peut faire des équations différentielles dans son esprit, comme un petit bébé avec 160 points de QI. N'est-ce pas incroyable ? Tellement mignon. Maintenant, remettons-le dans une cage et donnons-lui des bananes », a déclaré Cerf. (la source)
Bien sûr, Cerf n’est pas le seul à travailler sur ce type de technologie.
Combien de temps faudra-t-il avant que les interfaces cerveau-ordinateur ne deviennent un mode de vie ? Bien qu'ils sonnent comme de la science-fiction, les implants cérébraux et d'autres types de liens neuronaux, tels que les interfaces cerveau-ordinateur (BCI) entre le cerveau et Internet, deviennent rapidement une réalité.
Le mois dernier, nous avons signalé qu’une équipe de neuro-ingénieurs de l’Université de Columbia avait créé un système de lecture de l'esprit qui utilisait l'intelligence artificielle pour traduire les pensées des gens en discours intelligible et reconnaissable.
Et la Chine déploie déjà une technologie de surveillance émotionnelle qui extrait les données de l’esprit de ses citoyens. "Ils exploitent essentiellement l’exploration de données en lisant leur cerveau", a expliqué Meadow Clark.
Les géants de la technologie sont très intéressés par la possibilité de lire dans les pensées. Et, comme vous l'avez probablement entendu dire à présent, Facebook travaille à la construction de produits similaires avec un projet souvent appelé «Building 8». Le géant de la technologie a récemment transféré ses projets de matériel expérimental (notamment une interface ordinateur-cerveau, une robotique «douce» et un projet «d'entendre» à l'aide d'un appareil porté à la peau) du bâtiment 8 vers une division appelée Facebook Reality Labs.
Dans un article intitulé Questionner la vision de Facebook sur les dispositifs contrôlés par le cerveau, Bryan Clark présente certaines préoccupations légitimes concernant le projet de Béhémoth sur les médias sociaux:
Bien que la plupart d’entre nous craignent l’impact du suivi des cookies sur l’envoi de données aux sociétés d’analyse et aux annonceurs, l’avenir pourrait très bien consister en une connexion de nos cerveaux aux appareils responsables. Au lieu de mesurer l'affinité pour une marque ou d'afficher des annonces relatives en surveillant votre consommation de contenu, l'avenir de la sécurité pourrait tirer ces pensées directement de votre cerveau.
Pire encore, une fois la connexion établie, il y a peu de limitation du nombre de données que nous partageons, mis à part la confiance dans les entreprises qui ne nous exploitent pas. Je peux presque entendre le roulement du regard. Et vraiment, n’y a t-il pas d’autre personne qui se demande pourquoi Facebook - l’une des plus grandes plateformes de publicité au monde - a ajouté cela à sa feuille de route de 10 ans ?
Je vais vous laisser avec une autre pensée terrifiante. Une fois la connexion établie, nous communiquerons avec nos appareils les plus utilisés en n’utilisant que notre esprit. Cela vaut la peine d’être enthousiasmé, mais avec prudence, et seulement avec des réponses à des questions importantes, telles que: comment me déconnecter des casques AR / VR, des trackers de fitness, des ordinateurs portables, des appareils mobiles, de la technologie de la maison intelligente et de ma voiture connectée à mon cerveau ? (la source)
Bien qu'ils nous avertissent, ils travaillent toujours sur la technologie d'interface cerveau-ordinateur. Elon Musk - qui avait auparavant averti l'humanité des dangers possibles de l'intelligence artificielle - développait une interface cerveau-ordinateur chez Neuralink, une entreprise secrète qu'il avait fondée en juillet 2016.
Dans une interview pour novembre 2018, Musk a déclaré à Axios que son projet était de développer une interface cerveau-ordinateur à base d'électrodes pour neurones, ou ce qu'il a appelé «une puce et un groupe de minuscules fils».
Musk a expliqué que «l’aspiration à long terme avec les réseaux de neurones serait de réaliser une symbiose avec l’intelligence artificielle et de parvenir à une démocratisation de l’intelligence telle qu’elle ne soit pas détenue de manière monopolistique sous une forme purement numérique par les gouvernements et les grandes entreprises…. s'assurer que l'avenir constitue la somme de la volonté de l'humanité? Si nous avons des milliards de personnes avec le lien à large bande passante vers le I.I. une extension d'eux-mêmes, cela rendrait tout le monde hyper intelligent. "(source)
Serons-nous capables de nous retirer et de survivre ?
Dans un article incitant à la réflexion et intitulé «Des implants cérébraux sont en cours - êtes-vous prêt pour le vôtre?», Gerd Leonhard, humaniste et futuriste, soulève de nombreuses inquiétudes quant aux conséquences possibles des BCI, mais le plus terrifiant est peut-être celui-ci:
Ce qui me préoccupe le plus - et ce que vous devez également prendre en compte - est de savoir si nous aurons même le choix de ne pas participer si les BCI sont mises en œuvre. En supposant que les avantages de ces technologies soient si nombreux, serons-nous capables de trouver un bon emploi sans un BCI? Serons-nous capables de nous retirer sans devenir inutiles, comme quelqu'un qui tient à cogner sur une machine à écrire ou à envoyer des télégrammes au lieu d'utiliser un ordinateur? (la source)
La possibilité que nous perdions nos traits uniquement humains est également troublante:
De la même manière, les implants peuvent, avec le temps, résoudre la plupart des problèmes éthiques et devenir la norme dans la société en général - et même conduire à une législation facilitant et légitimant leur utilisation. L’intelligence artificielle fera ensuite son chemin dans toutes les parties de notre vie et un jour, nous ne pourrons plus fonctionner sans elle, nous perdrions notre indépendance et beaucoup de ce qui nous rend humains. (la source)
Pendant la guerre en Irak, les Americains se sont 'amusé' à projeter des idées (des ordres) vers des irakiens: "Lève-toi et va chercher une bouteille de Coca-Cola" ! Ce qui fut fait. On appelle çà le pouvoir des ondes ou la technologie scalaire.
C'est aussi ce qui se fait avec une casque sur la tête car, l'implantation d'une puce est aléatoire et risque de poser problème là où il faut la mettre ! Quand à 'l'augmentation du Q.I'.... Hahahaha ! C'est idem que sur les machine, soit: zéro !
Car, l'intelligence venue d'un autre est comme un ordre reçu. Ce n'est pas parce que l'on écoute le professeur que l'élève peut se prétendre professeur !
L'humain supplantera TOUJOURS la machine. Il ne faut pas confondre rapidité/mémoire et intelligence ! La machine (robot, ordi) sera toujours plus rapide et fiable en précision que l'humain, elle sera toujours d'une capacité mémorielle supérieure à l'humain (elle peut engranger des millions d'encyclopédies, de films et de sons) mais... elle ne fait QUE rapporter ce que lui a fourré l'humain dans ses paramètres et mémoires !
Tandis que l'humain lui, peut sentir l'effet de brise, de temps à la pluie, il a des amis, des parents, des souvenirs d'enfance, des sentiments, de l'amour, des préférences, des idées nouvelles, tandis que la machine... ne peut pas et, n'y arrivera probablement JAMAIS !
Alors, cessons svp de parler d''Intelligence Artificielle'.
La catastrophe américaine: les décès dus à la drogue, à l'alcool et au suicide atteignent des niveaux record
par Tyler Durden Mar., 03/05/2019 - 18:05 Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Depuis que le gouvernement des États-Unis a commencé à rechercher la cause du décès en 1999, les suicides, l'alcool et les décès liés à la drogue ont grimpé en flèche pour atteindre des niveaux record. Les nouvelles données des Centers for Disease Control and Prevention montrent que les Américains meurent plus jeunes alors que l'espérance de vie continue de chuter.
Les sentiments de désespoir et de désespoir sont accablants aux États-Unis. À tel point que les gens se tournent vers l’alcool, la drogue et le suicide pour atténuer leurs souffrances. L'esclavage du gouvernement et la mainmise sur l'économie rendent la vie encore plus difficile à ceux qui ont déjà du mal à s'en sortir. Et cela se voit dans les nouveaux nombres de morts publiés.
Le taux national de décès dus à l’alcool, à la drogue et au suicide est passé de 43,9 à 46,6 décès pour 100 000 habitants en 2017, soit une augmentation de 6 %, a rapporté mardi le Trust for America’s Health et le Well Being Trust. Il s’agit d’une augmentation plus lente que celle des deux années précédentes, mais supérieure à l’augmentation annuelle moyenne de 4% depuis 1999, a rapporté USA Today.
Le plus troublant est peut-être le fait que le nombre de décès par suicide est passé de 13,9 à 14,5 pour 100 000, ce qui représente une augmentation de 4 %. C'était le double du rythme annuel moyen de la décennie précédente. Le psychologue Benjamin Miller, responsable de la stratégie du Well Being Trust, a déclaré que des efforts plus importants étaient nécessaires pour s'attaquer aux causes sous-jacentes de la consommation d'alcool et de drogues et du suicide. «C’est presque une plaisanterie de voir à quel point nous essayons de résoudre ces problèmes», dit-il. "Nous ne changeons pas de direction et la situation empire."
C’est parce que les gens n’ont plus aucun contrôle sur leur vie. Le gouvernement contrôle chaque aspect de la vie de chacun et les médias sociaux contribuent à aggraver le problème en donnant souvent l'impression aux gens de ne pas en avoir assez ou de ne pas pouvoir "suivre le rythme des Jones". Les êtres humains ont besoin et méritent d'être libres; c’est un droit humain fondamental. Une fois que ce droit et ce libre arbitre ont été enlevés, il ne reste plus grand chose pour qui que ce soit. Malheureusement, ce n’est pas une pensée populaire, mais il faut le dire. Et les problèmes causés par le contrôle gouvernemental ne peuvent être résolus par un contrôle gouvernemental accru.
La vérité est que le grand gouvernement ne va pas nous sauver. Les gens n’ont pas besoin de plus de bureaucrates du gouvernement leur disant comment gérer leur vie. Au lieu de cela, ce dont les gens ont vraiment besoin, c'est de trouver un sens et un but à la vie, et ce n'est pas quelque chose que le grand gouvernement va fournir. –Michael Snyder, L'effondrement économique
Psychology Today a écrit qu’en 1755, dans Of Suicide, David Hume faisait valoir que, même si «un seul pas» pouvait mettre fin à sa misère, c’est vraiment être libre. Si on ne peut pas être libre dans la vie, il le sera dans la mort. Hume propose de "restaurer la liberté des hommes", en examinant tous les arguments courants contre le suicide et en démontrant que le suicide est "exempt de toute imputation de culpabilité ou de blâme".
La perte de contrôle sur sa vie (telle qu’un abus sexuel forcé) semble être une cause fréquente même dans l’article écrit par USA Today. Cependant, Miller admet que si les antidotes contre les surdoses et le traitement des troubles liés à la consommation d'opioïdes sont absolument nécessaires dans le monde d'aujourd'hui, il ne «résoudra pas» les problèmes sous-jacents qui poussent les gens à mettre fin à leurs jours, qu'ils soient intentionnels ou non ».
PORTRAIT LA STAR VÉGANE CHANGE DE DIÈTE ET DEVIENT UN RENÉGAT
Sportif de haut niveau, le Britannique Tim Shieff dit avoir recommencé à manger des protéines animales pour sauver sa santé. Ça passe mal. Face caméra durant 16 minutes Tim Shieff a tenté d'expliquer à ses fans pourquoi il a renoncé au véganisme. Beaucoup ne l'acceptent pas.
PAR RENAUD MICHIELS 06.03.2019, 06h45
Vedette mondiale du free-running et d'émissions de TV, icône végane, source d’inspiration, le Britannique Tim Shieff avait renoncé à toute protéine animale depuis six ans. Il y a trois ans, le «Guardian» publiait une interview de lui intitulée «Devient végane pour sauver la planète». Mais aujourd’hui, brutalement, pour certains véganes, Tim Shieff est devenu un paria, un renégat. Pourquoi ? Car il a expliqué avoir recommencé à manger des protéines animales. Pour sa santé.
Sur YouTube, Tim Shieff est suivi par près de 180 000 personnes. Ses vidéos donnaient d’abord à voir ses exploits sportifs. Mais elles parlaient toujours plus de santé. Jusqu’à une nommée «Suis-je encore végane ?», publiée le 15 février. Soit 16 minutes d’explications face caméra. Et la réponse à sa propre question est non: «je mange des œufs locaux et du saumon sauvage», lâche-t-il.
Il buvait son urine
Avant d’en arriver là, Tim Shieff décrit sa santé, qui déclinait beaucoup depuis trois ans. Il cite la fatigue, la dépression, des troubles de la concentration, des raideurs articulaires, des soucis digestifs, des muscles toujours plus fragiles, une perte d’explosivité. Ainsi qu’une «obsession» de guérir qui grandissait en lui.
Le trentenaire raconte ensuite avoir tout tenté ou presque pour trouver une solution compatible avec ses valeurs antispécistes: plus d’herbes, un régime riche en graisses, un autre pauvre en graisses, des suppléments, des injections. Ou dit avoir bu de sa propre urine durant des mois.
Une étonnante confession
L’homme a fini par manger des œufs et du poisson, et s’est senti physiquement rapidement mieux. Et il lâche en passant une étonnante confession. «La première nuit après avoir mangé du saumon, j’ai eu un rêve mouillé. Je n’avais pas éjaculé depuis des mois.»
Tim Shieff explique se sentir mieux. Il dit sa reconnaissance envers son parcours de vie végane. Et soutenir pleinement tous ceux choisissent ce style de vie. Mais ce n’est plus le sien. «Pour moi, il y a quelque chose de naturel à consommer des produits d’origine animale. Et je dois trouver la paix avec ça.»
Des explications qui ne passent pas
Sur YouTube, les plus de 4500 commentaires sont partagés. On salue son courage. Des proviandes glissent qu’il a enfin retrouvé la raison. Un végane note: «Désolé mais vous avez dit avoir eu un rêve mouillé après avoir mangé un animal assassiné, étouffé?»
Tim Shieff, depuis, n’est plus l’ambassadeur de la marque de vêtements végane ETHCS, dont il est l’un des fondateurs. Et il a publié d’autres vidéos, présentées comme des discussions, pour tenter d’expliquer encore et encore son parcours et sa décision.
Le «roi de la pisse»
Il dit avoir perdu des amis. Son business. Le «respect de toute mon audience». Il comprend avoir déçu mais estime que le plus déçu, c’est lui-même. Mais plaide: «Si vous êtes végane et que ça vous va, super, continuez! Mais ça ne va pas, restez ouverts.»
Mais les commentaires sont toujours plus acerbes. On le taxe d’extrémiste, de renégat, de «roi de la pisse», on fustige son ego, son manque de compassion pour les animaux. On lui intime de cesser son «mauvais drame» comme d'arrêter «de faire des vidéos sur le véganisme». On trouve aussi des insultes ou des remarques telles que: «c’est étrange ce manque de compassion pour les vaches quand on a un regard aussi bovin»... Pour certains, l’icône est manifestement devenue un traître à la cause. (Le Matin)
Le Green New Deal poursuit la «guerre contre la viande»
par Tyler Durden Mar, 03/05/2019 - 20:05 Auteur Jose Nino via The Mises Institute,
La guerre contre la viande est de retour dans l'action.
Il y a un an, j'ai écrit sur la «guerre contre la viande» qui se déroule dans l'ouest du pays, où des agences gouvernementales associées à plusieurs groupes d'activistes basés dans des usines ont mené une action concertée pour démoniser la viande. Certains plans qu’ils ont présentés consistent à taxer la viande afin de réduire sa consommation.
Avec le «Green New Deal» récemment dévoilé, les tambours de guerre qui battent contre le boeuf n’ont fait qu’augmenter. Tout comme son prédécesseur du 20ème siècle, le Green New Deal est un paquet législatif économiquement analphabète. Robert Murphy a écrit deux articles fantastiques qui réfutent bon nombre des politiques erronées incluses dans le Green New Deal, telles que les dépenses excessives et la réglementation.
Cependant, cet article se concentrera sur les aspects d'ingénierie sociale du Green New Deal. Plus précisément, sa vision anti-viande.
Blame Viande pour le réchauffement climatique
Dans la fiche FAQ du Green New Deal, il y avait une section soulignant les différences entre l’obtention d’une énergie «100% propre et renouvelable» et d’une énergie «100% renouvelable». Selon les défenseurs du Green New Deal, les émissions provenant des «vaches qui pétent» (gaz de shiste) sont ce qui entrave la réalisation d’une source d’énergie purement propre et renouvelable.
Cette affirmation a été ridiculisée sur Internet. Cependant, l'idée d'un programme gouvernemental qui contraindrait les éleveurs et les agriculteurs à abattre des animaux de ferme pour se conformer à un agenda politique n'est pas si farfelue. En fait, ce n’est même pas sans précédent.
Dans le New Deal original introduit dans les années 1930, le gouvernement fédéral prenait des mesures extraordinaires pour lutter contre la Grande Dépression. L'un d'entre eux était la loi sur l'ajustement agricole de 1933, qui prévoyait que le gouvernement fédéral procède à des «réductions d'urgence du cheptel». Les New Dealers affirmèrent qu'il y avait une surabondance de porcs qui était responsable de la baisse des prix du bétail. Dans son zèle pour «sauver» le pays, le gouvernement a commencé à acheter et à massacrer du bétail. Tom Woods explique en détail comment l'AAA a conduit à l'abattage de «quelque six millions de porcs», dans le but d'essayer de maintenir les prix élevés en période de crise.
Lorsque nous abordons rapidement le présent, nous devons maintenant parler de la réduction des émissions de méthane provenant des vaches. Comment cela sera-t-il réalisé ? Le Green New Deal n’a que très peu de détails, mais compte tenu de l’orientation idéologique de ses partisans, il n’est pas surprenant de dire qu’il s’agira de mandats émanant du gouvernement. Qui sait, l'abattage obligatoire des animaux pourrait faire son grand retour.
Quels que soient les détails exacts du Green New Deal, il s’agit bien d’un successeur spirituel au New Deal original.
La science est-elle la réponse aux questions politiques ?
Les débats sur le réchauffement climatique sont controversés et suscitent souvent des réactions davantage fondées sur la politique que sur la science objective. Cet article n’apportera aucun argument scientifique contre le Green New Deal, mais certaines études montrent que les croyances fanatiques du Green New Dealer contre la viande pourraient être mises en doute si elles étaient examinées au microscope.
L'argument selon lequel les bovins contribuent de manière significative au réchauffement planétaire n'est pas figé à 100 %. En fait, l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis estime que les émissions directes de gaz à effet de serre provenant des bovins et de leur fumier ne représentent que 2 % des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis.
Virginia Tech et USDA-ARS ont également contesté le lien entre le bétail et le réchauffement climatique. Ils sont parvenus à la conclusion que l'élimination de l'élevage de la production agricole ne réduirait que les émissions de gaz à effet de serre des États-Unis de 2,6 % ou 3,6 % au niveau mondial.
Utiliser le bœuf comme bouc émissaire pour l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre n'a rien de nouveau.
En 2006, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a publié une étude intitulée «Long Shadow Long Shadow», selon laquelle la production de viande représentait 18% des émissions de gaz à effet de serre. Cette histoire, cependant, a été immédiatement critiquée par Frank Mitloehnener de l'Université de Californie à Davis. Mitloehner a rejeté les conclusions de l'étude et affirmé que l'analyse utilisée par la FAO produisait une "analogie de pommes et d'oranges qui confondait véritablement la question". les émissions que le transport.
En résumé, la science n’est pas réglée sur la question de la production de viande et de son impact sur les émissions de gaz à effet de serre.
La science ne devrait pas être la base de l’élaboration des politiques. De peur que nous n'oubliions le scientisme, «le recours excessif ou excessif à la méthode scientifique», a englouti la pensée économique du XXe siècle. Le progressisme et ses tendances socialistes sont largement fondés sur des approches supposées «scientifiques» de la planification économique rationnelle. Ludwig von Mises n'a pas tardé à souligner dans Planned Chaos que la science avait ses limites:
«La science est compétente pour établir ce qui est. Il ne peut jamais dicter ce qui devrait être.
Pour cette raison, les justifications scientistes de l'intervention du gouvernement sont également décevantes.
La même logique s’applique aux arguments de santé relatifs à la consommation de viande. Que la viande soit saine ou malsaine ou non est à côté de la question. Le vrai problème est de savoir si l'État doit dicter ou réglementer la consommation de viande.
Nous devons poser plus de questions
Lorsque nous discutons de politiques ambitieuses qui pourraient affecter la vie de millions de personnes, nous devons toujours poser des questions.
Il est temps que nous commencions à invoquer la «règle de Deist». Ce concept est basé sur un tweet du président de Mises, Jeff Deist, posté en réponse à un article condamnant l'idéologie. La même ligne de questionnement peut être appliquée à n'importe quelle question de politique
Que peuvent faire les gens vaincus politiquement ?
Ces enquêtes sont généralement perdues pour la classe politique aveuglée par son désir de toujours "faire quelque chose". Cette impulsion est dangereuse car elle ne tient pas compte de la multitude de conséquences inattendues qui viennent inévitablement avec l’intervention du gouvernement. Des débats sur la réglementation de la consommation de viande à la construction d'une nation, nous devrions toujours poser ces questions.
Un rapport de l'OIAC sur la Syrie écrase le récit "d'armes chimiques" occidental
par Tyler Durden Mardi, 03/05/2019 - 23:25 Écrit par Tony Cartalucci via New Eastern Outlook,
L'OIAC (Organisation pour l'interdiction des armes chimiques) a présenté son rapport final sur une prétendue attaque à l'arme chimique à Douma, en Syrie, le 7 avril 2018. Malgré les tentatives des médias occidentaux de le qualifier de "preuve" que le gouvernement syrien a utilisé armes chimiques à Douma - le rapport ne dit rien de la sorte.
En fait, le rapport ne lie aucun des 43 morts allégués au chlore apparent découvert sur les lieux de l'attaque présumée.
Des militants soutenus par les États-Unis ont revendiqué l'attaque à la veille de leur défaite. L'armée syrienne a repris Douma le lendemain. Selon les premiers rapports, des armes chimiques au sarin ou au chlore auraient été déployées au moyen de deux bidons de gaz jaune modifiés en bombes.
Aucun sarin d'aucune sorte n'a été trouvé par les inspecteurs de l'OIAC.
Bien que le rapport indique que deux cartouches de gaz jaune modifiées ont été utilisées lors de l'attaque et qu'elles semblent avoir été larguées sur deux bâtiments (emplacements 2 et 4), le rapport indique également que des inspecteurs de l'OIAC ont trouvé une cartouche presque identique dans un atelier utilisé par des militants. construire des armes.
La prétendue attaque «chimique» a incité les États-Unis, le Royaume-Uni et la France à lancer des missiles contre des cibles militaires syriennes le 14 avril 2018, bien avant que les premiers inspecteurs de l'OIAC ne soient même arrivés sur les lieux de l'attaque présumée du 21 avril.
Pas de lien entre le chlore et les pertes
Le rapport de l'OIAC indiquait que les preuves vidéo et photographiques de victimes présumées d'exposition à des produits chimiques ne pourraient être liées à aucun produit chimique spécifique, y compris des traces de chlore découvertes par les inspecteurs de l'OIAC. Le rapport affirmerait spécifiquement:
De nombreux signes et symptômes signalés par le personnel médical, les témoins et les blessés (ainsi que ceux apparaissant dans plusieurs vidéos fournies par les témoins), leur apparition rapide et le grand nombre de ceux qui auraient été touchés indiqueraient une exposition à un irritant ou à une toxique par inhalation substance. Toutefois, sur la base des informations examinées et de l'absence d'échantillons biomédicaux provenant des corps des personnes décédées ou de tout enregistrement d'autopsie, il n'est actuellement pas possible de relier avec précision la cause des signes et symptômes à un produit chimique spécifique.
Dans d’autres cas, le rapport de l’OIAC citerait des témoins - y compris des membres du personnel médical qui auraient soigné les victimes de la supposée attaque - qui avaient exprimé des doutes sur la présence de produits chimiques.
Un certain nombre de membres du personnel médical interrogés qui étaient supposément présents au service d'urgence le 7 avril ont souligné que la présentation des victimes ne correspondait pas à celle attendue d'une attaque chimique. Ils ont également signalé ne pas avoir d'expérience dans le traitement des victimes d'armes chimiques. Certaines personnes interrogées ont déclaré qu'aucune odeur ne émanait des patients, tandis que d'autres témoins ont déclaré avoir perçu une odeur de fumée sur les vêtements du patient.
D'autres comptes rendus examinés par l'OIAC suggèrent qu'un grand nombre de victimes sont dues à l'inhalation de fumée et de poussière résultant d'un bombardement conventionnel.
Le rapport indiquerait spécifiquement:
Certains témoins ont déclaré que de nombreuses personnes étaient décédées à l'hôpital le 7 avril à la suite de tirs d'obus et / ou d'étouffement provoqués par l'inhalation de fumée et de poussière. Une cinquantaine de corps gisaient sur le sol du service des urgences en attendant d'être inhumés. D'autres ont déclaré qu'il n'y avait pas eu de décès à l'hôpital de Douma le 7 avril et qu'aucun corps n'avait été transporté à l'hôpital ce jour-là.
Les témoignages contradictoires, l'absence de preuve établissant un lien entre le chlore et un seul décès le 7 avril, ainsi que d'autres incohérences et contradictions rendent impossible l'utilisation des conclusions du rapport comme "preuve" que le gouvernement syrien a mené une attaque chimique meurtrière sur le site. veille de sa victoire à Douma.
Bidons similaires trouvés dans un atelier militant
Les médias occidentaux se sont concentrés sur la conclusion du rapport selon laquelle le chlore était présent et provenait peut-être des deux cartouches qui semblent avoir été larguées sur deux bâtiments de la région, mais une autre découverte cruciale a été passée sous silence.
Un atelier sur les armes dirigé par des militants et enquêté par les inspecteurs de l'OIAC a révélé un grand nombre de ressources pour travailler avec des produits chimiques afin de fabriquer des explosifs. Parmi une gamme de produits chimiques et d’équipements associés à la fabrication d’explosifs, une cartouche de gaz jaune a été trouvée.
Le rapport admettrait:
Bien que l’équipe ait confirmé la présence d’un cylindre jaune dans l’entrepôt, indiqué dans la note verbale de la République arabe syrienne (annexe 10, point 2) sous la forme d’un cylindre au chlore, pour des raisons de sécurité (risque lié à la manipulation du robinet du cylindre, voir Figure A.8.2) il n’était pas possible de vérifier ou d’échantillonner le contenu. Il y avait des différences dans ce cylindre par rapport à celles observées aux emplacements 2 et 4. Il convient de noter que le cylindre était présent dans son état d'origine et n'avait pas été modifié.
Le manque d’intérêt de la part de l’OIAC pour la cartouche malgré les implications évidentes de sa présence dans un atelier d’armement contrôlé par des militants remet en question la diligence et l’ordre du jour des inspecteurs.
Les "différences" de la boîte métallique sont dues au fait que celles des sites 2 et 4 ont été modifiées pour apparaître comme des bombes, alors que, de toute évidence, la boîte métallique dans l’atelier des militants est restée inchangée.
L’implication évidente d’une boîte de conserve presque identique dans un atelier de fabrication d’armes, c’est que les activistes ont probablement aussi fabriqué les deux boîtes converties trouvées aux emplacements 2 et 4. Les inspecteurs de l’OIAC ont découvert d’autres munitions improvisées au cours de l’atelier, notamment: de fûts métalliques de 20 litres, dont certains munis de fusibles bruts de type cordon, qui semblaient avoir été remplis d'explosifs plastiques pour servir d'explosifs improvisés. "
Les médias occidentaux ont tenté de supprimer la présence de la cartouche lors de l’atelier en suggérant qu’il s’agissait d’une «configuration» orchestrée par l’armée arabe syrienne. Le rédacteur en chef du Huffington Post UK, Chris York, irait jusqu'à qualifier l'atelier de:
… Le laboratoire d'explosifs rebelles qui avait été capturé par la SAA quelques jours auparavant et qu'ils tentaient désespérément de faire ressembler à un laboratoire d'armes chimiques.
En réalité, l'OIAC elle-même ne suggérerait rien de la sorte et a noté que tout le matériel présent était compatible avec un atelier sur les armes. L'OIAC ne suggère nulle part que quelque chose ait été modifié - y compris le canister -, ce que l'OIAC a spécifiquement noté «n'avait pas été modifié».
La présence d’une cartouche presque identique à celle trouvée aux emplacements 2 et 4 dans un atelier d’armement pour militants fournit au moins autant de preuves que les militants ont organisé la prétendue attaque chimique que les médias occidentaux affirment que les bidons aux emplacements 2 et 4 suggèrent qu’il s’agissait de la Syrie gouvernement.
En l’absence de preuves définitives quant à la personne qui a créé et déployé les cartouches trouvées aux emplacements 2 et 4, ou la façon dont elles se sont vraiment retrouvées là-bas, une meilleure question à poser est celle de savoir «pourquoi» elles s’y seraient retrouvées.
Attaque à l'arme chimique à Douma… Cui Bono ?
Pourquoi le gouvernement syrien - au beau milieu d'une grande offensive militaire, était-il sur le point de conclure victorieuse? Ne lâchiez que 2 conteneurs remplis d'une quantité limitée de produits chimiques pour tuer au maximum 43 personnes? Un simple barrage d'artillerie pourrait tuer autant de personnes - ou très probablement - beaucoup plus.
L’utilisation d’armes chimiques, même à grande échelle, s’est révélée historiquement moins efficace que les armes militaires conventionnelles - et l’utilisation du chlore à une échelle aussi petite que celle revendiquée par Douma n’a aucun but concevable - du moins pas pour l’armée syrienne.
Malgré les affirmations contraires, le gouvernement syrien n’a tiré aucun avantage de ce qu’il soit à l’origine des attaques chimiques dont il est accusé par les militants et leurs commanditaires occidentaux au cours du conflit syrien.
L’attaque de Douma - si c’était l’armée syrienne - n’aurait servi aucun objectif tactique, stratégique ou politique.
Inversement, il s'agirait de l'une des rares actions que le gouvernement syrien pourrait entreprendre pour compromettre sa victoire en justifiant une attaque militaire à grande échelle contre les forces syriennes.
En fait, à peine une semaine après l'attaque présumée, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France lanceraient effectivement jusqu'à 100 missiles en Syrie en représailles, a rapporté le Guardian.
En revanche, les militants qui occupaient Douma avaient toutes les raisons de lancer l’attaque.
En organisant l'attaque à la veille de leur défaite et en produisant des scènes graphiques de la souffrance humaine - en particulier des enfants -, les militants disposeraient d'un outil de propagande permettant d'invoquer l'inquiétude, la sympathie et le tollé publics à l'égard de la cause du monde entier - un outil de propagande leurs sponsors occidentaux se sont amplifiés avec passion par le biais de leurs plates-formes médiatiques mondiales.
Alors que les États-Unis avaient déjà lancé des guerres entières fondées sur de fausses accusations de possession d'armes chimiques, les militants ont bien supposé qu'ils allaient utiliser l'attaque mise en scène comme prétexte pour une nouvelle agression militaire directe contre l'État syrien - éventuellement pour le sauver.
Les États-Unis invoquent encore aujourd'hui des «armes chimiques» et l'incident de Douma du 7 avril 2018 - dans le cadre de son prétexte pour maintenir son occupation illégale du territoire syrien et son soutien continu aux militants qui tentent de renverser le gouvernement syrien.
L’utilisation présumée «d’armes chimiques» par le gouvernement syrien est également régulièrement le principal sujet de discussion utilisé par les médias occidentaux lorsqu’ils attaquent des politiciens, des experts et des commentateurs opposés à la guerre.
Les conclusions du rapport de l’OIAC sont trop ambiguës pour tirer une conclusion d’une manière ou d’une autre. La présence d'un conteneur presque identique dans un atelier de militants soulève de sérieuses questions et les implications associées suggérant que l'attaque a été organisée - des questions qui doivent faire l'objet d'une enquête adéquate et de réponses.
Le fait que le gouvernement syrien n’ait rien gagné à l’attaque et qu’il en était encore davantage compromis politiquement et stratégiquement - soulève des questions sur les motivations auxquelles il faut également répondre avant de tirer des conclusions.
Mais comme l'ont prouvé maintes fois les médias occidentaux - ils sont parfaitement capables de produire des mensonges totalement irrationnels fondés sur des preuves ténues ou inexistantes - et même de répéter ces mensonges après avoir été flagrément surpris en les racontant auparavant.
Le fait que les médias occidentaux tentent toujours de vendre des mensonges d’armes de destruction massive concernant la Syrie après avoir été surpris en train de les fabriquer pour justifier la guerre en Irak voisin devrait être au premier plan des préoccupations de la population mondiale lorsqu’ils examinent leurs «interprétations» du dernier rapport de l’OIAC concernant Douma, en Syrie.
Méfiez-vous des attentes irréalistes concernant la croissance du schiste
par Tyler Durden Mar., 03/05/2019 - 22:45 Auteur: Nick Cunningham via Oilprice.com,
Les foreurs de schiste (gaz méthane) américains sont confrontés à un grave problème: leurs puits ne produisent pas autant de pétrole et de gaz que prévu.
Face à l'examen minutieux des actionnaires, les foreurs de schiste ont abondamment parlé de percées technologiques, de gains d'efficacité et de techniques de forage novatrices. En effet, la production de E & Ps aux États-Unis a monté en flèche au cours de la dernière décennie, à l'exception des interruptions dues à la récession de 2014-2016. Mais même à ce moment-là, les dirigeants de schistes arguaient que le ralentissement les avait rendus maigres et méchants et qu’ils utiliseraient leur frugalité retrouvée pour accroître leur production et leurs profits.
Mais le battage médiatique a claqué dans la réalité sur plusieurs fronts.
Premièrement, après des années de financement de l’industrie du schiste dans l’espoir de réaliser des profits juteux, Wall Street commence à perdre patience. Certaines entreprises réalisent des bénéfices, mais l’industrie perd globalement de l’argent depuis sa création au milieu des années 2000. Les dirigeants promettent encore une fois que des profits énormes sont imminents, mais vous pouvez pardonner aux sceptiques de s’interroger sur le point de savoir si cela se réalisera.
Un deuxième développement - et non moins accablant - commence à se produire du côté opérationnel. Les sociétés de schistes constatent que les retours sur leurs pratiques de forage pour repousser les limites les plus intenses commencent à faire long feu. Pendant des années, les foreurs ont augmenté la longueur de leurs flancs, injecté de plus en plus de sable et d'eau dans le sous-sol et foré des puits de plus en plus rapprochés. Ces techniques d'intensification promettaient de produire plus de pétrole et de gaz pour moins d'argent.
Tout à coup, il est évident que l'industrie se heurte à un mur. Le Wall Street Journal a rapporté que des puits de schiste placés trop près les uns des autres commencent à donner des résultats inattendus. On pense que les puits interfèrent les uns avec les autres. L'ajout de nouveaux puits semble réduire la productivité de tous les puits situés à proximité. Ce problème de puits dit «parent-enfant», dans lequel des puits supplémentaires (les puits «enfants») nuisent à la performance du puits d'origine (le «parent»), pourrait être le début d'un problème plus vaste lié à l'industrie du schiste.
Le WSJ indique que certains des nouveaux puits produisent 50% de moins que les puits parents. En fin de compte, l'ajout de plus de puits peut effectivement permettre de récupérer moins de pétrole et de gaz car la pression chute et le réservoir subit des dégâts. Non seulement les puits pour enfants sont moins productifs que leurs parents, mais ils cannibalisent en fait la production des puits parents en réduisant la pression dans les réservoirs et, dans certains cas, en inondant le puits parent de fluides de fracturation.
Par exemple, l'analyse de WSJ révèle que les puits placés à 375 pieds de distance peuvent produire 28% de moins que ceux qui sont situés à 600 pieds de distance. Les chiffres s'aggravent au fur et à mesure que les puits s'emboîtent les uns dans les autres - ne les séparant que de 275 pieds, il en résulte une baisse de 40% de la production par rapport aux puits placés à 600 pieds de distance.
Mais les entreprises ne peuvent tout simplement pas espacer les puits et continuer à atteindre les mêmes objectifs de production. Ils ont une superficie limitée, parfois taillée dans un patchwork, il n’est donc pas toujours possible d’allonger le même nombre de puits prévus sur de plus longues distances.
En d'autres termes, le problème de puits parent-enfant peut signifier que les entreprises devront forer moins de puits que prévu. Cela signifie qu’ils pourraient être confrontés «à une réduction de valeur dans l’ensemble du secteur s’ils sont contraints de réduire les estimations des sites de forage qu’ils ont vantés auprès des investisseurs, dont certains promettaient des spots de choix valant des décennies», a conclu le WSJ.
Les conséquences de ce problème sont énormes. La valorisation des schistes E & Ps est basée sur les prévisions de production à long terme. Comme le rapport WSJ l'a signalé en janvier, de nombreuses prévisions de production optimistes réalisées par les foreurs de schiste au cours des dernières années ne se sont pas concrétisées.
Mais les implications vont au-delà des prix des actions des entreprises individuelles. Les prévisions des marchés pétroliers à moyen et à long terme dépendent très largement de la forte croissance du schiste américain. En d’autres termes, l’approvisionnement mondial dans 5 et 10 ans sera affecté par les problèmes de puits parent-enfant. Une étude de Wood Mackenzie a révélé que le Permien pourrait avoir une croissance inférieure à celle attendue de 1,5 million de barils par jour.
Un échange révélateur a eu lieu à la fin du mois de février à la suite d’un appel de résultats du quatrième trimestre pour Centennial Resource Development. Quand on lui a demandé pourquoi les prévisions de production de la société avaient déçu les estimations de Wall Street, Mark Papa, ancien membre d’EOG Resources et maintenant directeur général de Centennial, a délibérément écarté la prémisse de la question.
«Permettez-moi de faire une simple déclaration ici. Toutes ces attentes concernant la croissance de la production émanaient des attentes de Wall Street. Aucune de ces attentes ne venait de l'orientation du centenaire », a déclaré Papa.
Il a ajouté que les directives de Centennial "étaient très précises et que nous ne sommes tout simplement pas responsables des directives créées par Wall Street".
La divergence fait penser à un problème plus important: après des années consacrées à la promesse du schiste, Wall Street n’a toujours pas pris conscience de la réalité du problème des puits entre parents et enfants. Certaines entreprises sous-estiment la croissance de la production attendue car elles espacent les puits de trop près les unes des autres. «Le problème pour tout le bassin du Permien concerne les puits parent-enfant. Chaque année, chaque entreprise fore un pourcentage plus élevé de puits pour enfants et ceux-ci ne sont tout simplement pas aussi puissants que les puits parents », a déclaré Papa.
Papa a déclaré que l'une des raisons pour lesquelles Wall Street pouvait être confus, c'est que tant d'activités de fusions et acquisitions rendent difficile la comparaison entre pommes. Les entreprises ont connu une croissance, dans certains cas, en raison de la consolidation plutôt que des résultats opérationnels impressionnants.
Papa coupa à la chasse et donna un avertissement sévère. Il a dit que Centennial était comme toutes les autres compagnies de schiste du Permien.
«Nous avons certaines des meilleures superficies dans le bassin du Delaware et ce que nous constatons, c'est l'impact croissant des puits pour enfants», a-t-il déclaré.
«C’est justement ce dont je parle depuis quelques années, même si toute la révolution du schiste semble assez puissante… Si vous regardez sous le capot, vous voyez que chaque entreprise doit courir plus vite et plus rapidement pour atteindre la croissance parce que vous voyez l'effet de la géologie et des interférences de puits qui font des ravages. "
Les sociétés de schiste en ébullition à la faveur de nouveaux puits "boivent leur lait frappé"
par Tyler Durden Mar., 03/05/2019 - 17:45
La décision des entreprises américaines de gaz de méthane de forer de près de milliers de nouveaux puits - et à proximité de puits déjà existants - est en train de devenir une faille; Pire encore, cette approche nuit à la performance des puits déjà existants et représente une menace encore plus grande pour l’industrie déjà en difficulté. Afin de conserver les États-Unis comme centrale énergétique, les sociétés de schiste bitumineux ont creusé des puits à proximité les uns des autres, dans l’espoir de produire autant que les anciens, ce qui leur permettrait d’extraire davantage de pétrole tout en maintenant de bons résultats pour chaque puits.
- voir tableau sur site -
Ces types de prédiction ont contribué à alimenter l'intérêt des investisseurs pour les sociétés de schiste, qui ont mobilisé près de 57 milliards de dollars de financements par actions et par emprunt en 2016, contre 34 milliards il y a cinq ans, alors que le baril de pétrole dépassait 110 dollars. En 2016, les prix du pétrole ont chuté sous les 30 dollars le baril à un moment donné.
Et maintenant - surprise - les résultats réels de ces puits arrivent enfin et ils sont assez décevants.
Des puits plus récents installés à proximité de puits plus anciens permettaient de pomper moins de pétrole et de gaz, et les ingénieurs ont averti que ces nouveaux puits pourraient produire jusqu'à 50% de moins dans certaines circonstances. Ce n'est pas ce que les investisseurs - qui ont contribué aux milliards de dollars de capital utilisés par ces sociétés en 2016 - veulent entendre parler.
Pour aggraver les choses, les nouveaux puits interfèrent souvent avec la production des puits plus anciens car créer trop de trous dans des formations rocheuses denses peut endommager les puits voisins et rendre plus difficile la pénétration du pétrole. Les puits «enfants» pourraient également causer des dommages permanents aux puits «parents» plus anciens. Ceci est connu dans l'industrie comme le problème de puits "parent-enfant". Le milliardaire Harold Hamm, fondateur du foreur de schiste Continental Resources, a déclaré l'an dernier: "Les producteurs de schiste du pays s'aperçoivent que vous pouvez subir de nombreuses interférences, un puits dans l'autre. Aménager de nombreux puits peut vous causer des problèmes. ”
- voir graphique sur site -
Certains des plus grands noms du schiste, notamment Devon Energy, EOG Resources et Concho Resources, ont déjà révélé qu'ils souffraient de ce problème. En conséquence, ils pourraient, ainsi que beaucoup d’autres, être contraints de procéder à des amortissements massifs s’ils devaient réduire leurs estimations déjà optimistes des sites de forage.
Les entreprises continuent d’essayer de trouver l’équilibre parfait entre l’utilisation de puits uniques fonctionnant à la productivité optimale et de puits multiples offrant de meilleurs rendements.
Laredo Petroleum est un excellent exemple. Il y a deux ans, il était estimé à plus de 3 milliards de dollars et était un ardent défenseur du remplissage des puits dans le bassin du Permien. Son directeur général, Randy Foutch, a déclaré il y a un an que la société pourrait forer 32 puits par unité de forage, chacun produisant en moyenne 1,3 million de barils de pétrole et de gaz. En novembre, la société a annoncé que les puits fracturés en 2018 produisaient 11% de moins que prévu, en partie à cause de problèmes de "parent-enfant".
Le porte-parole de Laredo, Ron Hagood, a déclaré au WSJ: "Nous avons resserré l'espacement en 2017 et 2018 pour augmenter l'inventaire des emplacements et la récupération des ressources dans nos formations à plus haut rendement, et nous avons atteint cet objectif."
La valeur marchande de la société a chuté d'environ 75%, pour atteindre 800 millions de dollars depuis la fin de 2016. Objectif atteint ?
- voir graphique sur site -
Incidemment, nous avons d'abord signalé que les sociétés de schiste pourraient être confrontées à un "échec catastrophique" en octobre 2018. Quelques jours avant ce rapport, nous avions indiqué que les sociétés de schiste avaient un "problème criant". Nous avons conclu que le problème criant des mauvais résultats financiers de 2018 était que 2018 était censée être l'année au cours de laquelle l'industrie du schiste a finalement pris un tournant.
Plus tôt en 2018, l’Agence internationale de l’énergie avait dressé un portrait rose du schiste américain, affirmant dans un rapport que «la hausse des prix et les améliorations opérationnelles placent le secteur américain du schiste sur la voie de dégager un cash-flow libre positif en 2018 pour la première fois. ”
Maintenant, tout semble avoir été un rêve de "pipe" - ou plutôt de "lait frappé".
NASA : « La Terre est plus verte qu’il y a 20 ans grâce à l’intervention humaine
RépondreSupprimerAudrey Duperron
4 mars 2019
C’est un résultat inattendu, mais au cours des vingt dernières années, la terre est devenue plus verte sur toute sa surface. C’est une constatation de la NASA, conséquence des programmes ambitieux de reforestation.
Les images satellitaires prises au cours des deux dernières décennies par l’agence spatiale et des scientifiques de l’Université de Boston montrent que sur les 20 dernières années, la verdure s’est accrue de 5 %. Cela correspond à la plantation annuelle de plus de deux millions de kilomètres carrés de plantes à feuilles vertes supplémentaires par rapport au début du millénaire.
Les deux plus grands contributeurs sont ceux que l’on soupçonnerait le moins
Ce qui est le plus contre-intuitif, c’est que ce sont la Chine et l’Inde, les deux pays les plus peuplés du monde, qui ont été particulièrement actifs dans cette reforestation. D’après Chi Chen, le chercheur en environnement à l’Université de Boston qui a dirigé ces travaux, ces deux pays ne représentent que 9 % de la végétation totale de la surface terrestre de la planète, mais ont contribué pour près d’un tiers à son reverdissement. « C’est une constatation surprenante, lorsque l’on pense à la dégradation des sols associée à la surexploitation que l’on associe volontiers aux pays à forte densité de population », ajoute-t-il.
Le rôle crucial des humains
Initialement, les chercheurs avaient mis ce changement sur le compte du réchauffement climatique. Le climat est en effet plus chaud et plus humide, et la production de gaz carbonique est également plus importante. Or, ces facteurs favorisent la pousse des plantes. Mais ils ont également constaté que les humains avaient joué un rôle.
Rama Nemani, chercheuse au Centre de recherche Ames de la NASA, souligne que la Chine a lancé des programmes de conservation et d’extension des forêts, tandis que les agriculteurs indiens ont étendu des parcelles de cultures vivrières.
L’augmentation de la surface foliaire totale enregistrée par l’Inde au cours de l’étude est égale à celle observée aux États-Unis et au Canada, où la superficie végétalisée est trois fois plus grande que celle de l’Inde (2,7%). Le pays a entrepris plusieurs projets, dont la plantation d’arbres et l’utilisation de produits de remplacement aux produits qui émettent des gaz à effet de serre.
« Si le verdissement était principalement dû au changement climatique et au réchauffement de la planète, l’augmentation de la végétation n’aurait pas été limitée aux frontières nationales. De plus, les zones situées à des latitudes plus élevées auraient dû connaître un verdissement plus rapide. Ces zones chauffent plus vite que le reste du monde. C’est ce que l’on constate, entre autres, avec le permafrost. »
Ailleurs, les dégradations se poursuivent
RépondreSupprimer« Maintenant qu’il est clair qu’une influence humaine directe est un facteur crucial du verdissement, les modèles climatiques doivent également prêter attention à cela », prévient Nemani. « Cela aidera les scientifiques à mieux prédire le comportement des différents systèmes terrestres, et contribuera à aider les gouvernements à prendre de meilleures décisions quant aux actions à prendre. »
Néanmoins, les chercheurs soulignent que ce phénomène ne compense pas les impacts négatifs sur les écosystèmes environnementaux que l’on constate ailleurs. « Le gain de verdure, qui s’est surtout produit dans les régions tempérées du Nord et les latitudes élevées, ne compense pas les dégâts causés par la perte de surface foliaire dans la végétation naturelle tropicale« , écrivent les auteurs de l’étude, citant les régions appauvries de la République démocratique du Congo, du Brésil et d’Indonésie.
Pourtant, ils demeurent optimistes malgré tout : « Une fois que les gens réalisent qu’il y a un problème, ils ont tendance à le régler », observe Nemani. « Dans les années 70 et 80 en Inde et en Chine, la situation concernant la perte de végétation n’était pas bonne. Dans les années 90, les gens s’en sont rendu compte. Et aujourd’hui, les choses se sont améliorées. Les humains sont incroyablement résistants. C’est ce que nous voyons dans les données satellites. »
https://fr.express.live/verdure-terrestre-nasa/
(...) Et aujourd’hui, les choses se sont améliorées. Les humains sont incroyablement résistants. C’est ce que nous voyons dans les données satellites. » (...)
SupprimerPlus de végétation = plus d'oxygène ! C'est-à-dire meilleure santé pour les humains sans recours aux Centres d'Oxygènothérapie Hyperbare dans les hôpitaux.
(...) C’est ce que l’on constate, entre autres, avec le permafrost. » (...)
Émissions de dégazages de permafrost = émissions de gaz carbonique. Le gaz carbonique est nécessaire pour accroître la végétation et est employé de plus en plus dans les serres.
(...) Néanmoins, les chercheurs soulignent que ce phénomène ne compense pas les impacts négatifs sur les écosystèmes environnementaux que l’on constate ailleurs. « Le gain de verdure, qui s’est surtout produit dans les régions tempérées du Nord et les latitudes élevées, ne compense pas les dégâts causés par la perte de surface foliaire dans la végétation naturelle tropicale« , écrivent les auteurs de l’étude, citant les régions appauvries de la République démocratique du Congo, du Brésil et d’Indonésie. (...)
Hahahaha ! (j'ai gardé le meilleur pour la fin !): A savoir que TOUS les gaz circulent autour de la planète et, même dans le désert où il n'y a pas d'arbre ou dans les océans... l'humain peut respirer de l'oxygène !!! Çà alors !
Je ne sais pas d'où sortent ces 'chercheurs' du 'Centre de recherche Ames de la NASA' mais ils doivent être soignés en urgence ! Hahahaha !
Un néonicotinoïde et les abeilles : coexistence pacifique... en Suède
RépondreSupprimer5 Mars 2019
par Seppi
Une équipe de chercheurs essentiellement suédoise – Julia Osterman, Dimitry Wintermantel, Barbara Locke, Ove Jonsson, Emilia Semberg, Piero Onorati, Eva Forsgren, Peter Rosenkranz, Thorsten Rahbek-Pedersen, Riccardo Bommarco, Henrik Smith, Maj Rundlöf et Joachim R. de Miranda – a publié le 11 février 2019 un article au titre éloquent dans Nature Communications : « Clothianidin seed-treatment has no detectable negative impact on honeybee colonies and their pathogens » (le traitement des semences à la clothianidine n'a pas d'impact négatif détectable sur les colonies d'abeilles domestiques et leurs agents pathogènes).
En voici le résumé :
« Des interactions entre plusieurs facteurs de stress ont été impliquées dans les pertes élevées de colonies d'abeilles domestiques. Nous étendons ici notre étude à l'échelle du paysage sur les effets du placement dans des champs de colza traités à la clothianidine sur les abeilles mellifères avec une année supplémentaire et de nouvelles données sur le développement des colonies d'abeilles mellifères, l'essaimage, la mortalité, les agents pathogènes et l'expression des gènes immunitaires.
Les résidus de clothianidine dans le pollen, le nectar et les abeilles étaient toujours plus élevés dans les champs traités à la clothianidine, avec de grandes différences entre les champs et les années.
Nous avons trouvé de grandes variations dans le développement des colonies et la composition microbienne et aucun impact négatif observable du placement dans les champs traités à la clothianidine.
Le traitement à la clothianidine a été associé à une augmentation du couvain, du nombre d'abeilles adultes et de Gilliamella apicola (symbiote intestinal bénéfique), et à une diminution du virus de la paralysie létale du puceron et du virus de la cellule noire de la reine, en particulier la deuxième année.
Les résultats suggèrent qu'au niveau des colonies, les abeilles domestiques sont relativement résistantes aux effets de la clothianidine dans des paysages agricoles du monde réel, avec une pression naturelle modérée des maladies. »
Pour plus de détails, un joli fil Twitter d'Agritof80.
Ce n'est qu'une étude, sur du colza de printemps. Mais elle est suffisamment originale pour mériter d'être signalée. Nous ne nous ferons cependant pas d'illusions : il n'y aura pas d'article dans le Monde Planète... ni ailleurs dans la presse généraliste.
http://seppi.over-blog.com/2019/03/un-neonicotinoide-et-les-abeilles-coexistence-pacifique.en-suede.html
Donc, les produits de traitements pour les plantes contre les maladies se traduisent par aussi des remèdes pour les abeilles contre leurs atteintes.
SupprimerUne pluie de cocktails Molotov s'abat sur la police à Grenoble (vidéo)
RépondreSupprimer11:58 05.03.2019
En réponse à la mort de deux jeunes poursuivis par la police samedi dernier, plusieurs dizaines d’individus ont affronté cette nuit les forces de l’ordre à Grenoble. Plusieurs vidéos postées sur Internet montrent les violences envers les policiers et les pompiers, dont des cocktails Molotov jetés depuis un immeuble
Lundi soir, à Grenoble, des violences urbaines ont éclaté pour la troisième soirée consécutive, notamment dans le quartier Mistral où des individus ont lancé des cocktails Molotov sur des policiers et des sapeurs-pompiers depuis un immeuble.
L'incident s'est produit alors que les sapeurs-pompiers intervenaient pour éteindre l'incendie d'un panneau publicitaire, précise Le Dauphiné.
Par ailleurs, des individus ont affronté les forces de l'ordre avec des mortiers d'artifices tirés depuis un parking.
Environ 65 véhicules ont été incendiés dans différents quartiers de Grenoble, poursuit le quotidien régional, citant la préfecture. Plusieurs poubelles ont également pris feu.
Deux CRS ont été légèrement blessés et une femme a été transportée à l'hôpital suite à des difficultés respiratoires causées par des fumées depuis son palier.
Ces faits interviennent après la mort de deux adolescents grenoblois survenue lors d'une course-poursuite en scooter avec la police samedi 2 mars. Âgés de 17 et 19 ans, ils roulaient sans casques et ont refusé un contrôle de police avant de percuter un bus tandis qu'un véhicule de la brigade anti-criminalité les poursuivait. Une information judiciaire a été ouverte pour éclaircir les circonstances de l'accident. Le scooter était volé.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040248376-grenoble-cocktails-molotov-police-pompiers/
Quel plaisir d'accueillir les 'réfugiés climatique' 100 % nazional socialiste !
SupprimerUn tir de LBD dans la tête filmé en direct au plus près (vidéo)
RépondreSupprimer11:35 05.03.2019
L’enquête sur la blessure au visage d’un homme à cause d’une balle de LBD, samedi dernier lors de l’acte 16 des Gilets jaunes dans la capitale française, se poursuivant, une nouvelle vidéo de la scène a été partagée sur le Net.
Une nouvelle vidéo montrant l'homme blessé par un tir de LBD40 (lanceur de balles de défense), filmée à Paris lors de l'acte 16 des manifestations des Gilets jaunes, est apparue sur les réseaux sociaux. Sur la vidéo, on peut voir un homme courir sur le trottoir puis entendre un bruit léger alors que l'homme tombe à terre.
«Le tir de LBD40 sur un homme lors de l'acte 16 des Gilets jaunes était délibérément ciblé à hauteur du visage», a commenté un utilisateur estimant avoir discerné ce geste sur la vidéo.
Cet homme, dont l'identité est inconnue et qui était possiblement étranger à la manifestation, a été blessé au visage probablement par une balle de LBD samedi dernier, en marge du défilé parisien. Cette blessure, dont les circonstances restent à éclaircir, fait l'objet d'une enquête confiée par le parquet à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Depuis le début du mouvement de contestation des Gilets jaunes, la «police des polices» est saisie «d'une centaine de cas» d'accusations de violences policières, a fait savoir dimanche sur BFM TV le préfet de police Michel Delpuech. Selon lui, les forces de l'ordre ont «absolument besoin» du LBD en raison du «contexte» de violences et «d'émeutes urbaines».
Lors de l'acte 16 samedi dernier, 38 personnes ont été interpellées à Paris, selon la préfecture de police et le parquet.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040248659-paris-lbd-gilets-jaunes/
L’hécatombe de policiers se suicidant avec leur arme continue: une balle en plein cœur
RépondreSupprimer09:54 05.03.2019
Un policier s’est tiré une balle dans la poitrine avec son arme de service lundi matin dans le commissariat de Limoges. Cet incident intervient alors que des syndicats de police appellent à manifester à Paris pour dénoncer les suicides de leurs collègues.
Lundi 4 mars au matin, un agent de police âgé de 45 ans a mis fin à ses jours entre les murs du commissariat de Limoges (Haute-Vienne).
Père de famille et membre de la Formation urbaine motocycliste, l'homme s'est tiré une balle en plein cœur avec son arme de service dans les douches des vestiaires de l'Hôtel de police peu après 8 heures.
Le cadavre a été découvert par l'un de ses collègues. Immédiatement arrivé sur place, le SAMU a constaté la mort du policier qui avait une épouse et un fils de sept ans.
Le service régional de la police judiciaire a été chargé d'enquêter sur le suicide. Le parquet ne souhaite pour le moment pas s'exprimer sur le sujet.
Selon France Bleu, l'homme a eu des ennuis vendredi dernier, la journée où il a été «mobilisé sur le service d'ordre entourant la visite du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner». Le média précise cependant qu'il est «impossible de dire pour l'instant si ce geste tragique est lié à sa vie professionnelle ou pas».
Ses collègues étant en état de choc, une cellule psychologique a été mise en place au commissariat pour leur délivrer une assistance professionnelle.
Ce n'est pas la première fois que des policiers décident de mettre volontairement fin à leurs jours. Ainsi, il s'agit du 14e suicide au sein de la police nationale depuis janvier 2019, dont 10 fonctionnaires de police s'étant donné la mort durant les 22 premiers jours de l'année.
36 policiers et au moins 31 gendarmes se sont suicidés en 2018. En 2017, ce chiffre s'élevait à 51 policiers.
Afin de dénoncer les suicides dans les rangs de la police nationale, plusieurs syndicats de police appellent à manifester à Paris le 12 mars prochain à 20 heures.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040247817-suicide-policier-limoge-france/
SupprimerOu un membre des 'forces de l'ordre' est capable d'assassiner un enfant, une femme ou un homme ou il n'en est pas !
Un CRS jette à terre une femme cherchant à se réfugier auprès de lui (vidéo)
RépondreSupprimer12:30 05.03.2019
À Toulouse, où le parquet a déjà ouvert deux enquêtes sur le comportement de certains CRS lors de l’acte 16 des Gilets jaunes, un autre CRS a été filmé alors qu’il projetait au sol une manifestante qui cherchait à se réfugier auprès de lui pour fuir le canon à eau.
Une nouvelle vidéo s'est ajoutée aux nombreuses autres partagées sur les réseaux sociaux et montrant des violences des forces de l'ordre lors des manifestations des Gilets jaunes.
La vidéo montre que la galanterie n'est pas une qualité partagée par les CRS de Toulouse: une manifestante qui a cherché à se réfugier auprès de l'un d'entre eux pour fuir un canon à eau a été repoussée avec une telle violence qu'il lui a fallu de l'aide pour se relever.
Dans la ville rose, la mobilisation des Gilets jaunes de samedi dernier était riche en incidents de violences policières. Un homme en fauteuil roulant a été visé par un spray lacrymogène et un couple sans gilets jaunes a été frappé par des CRS.
Le parquet de Toulouse a déclaré «comprendre le caractère possiblement choquant» de ces incidents et a indiqué lundi avoir ouvert une enquête sur les deux incidents en question.
Depuis le 17 novembre, Toulouse constitue l'un des bastions du mouvement des Gilets jaunes, avec des manifestations systématiquement marquées de violences. En marge de la mobilisation du 2 mars, un Gilet jaune en fauteuil roulant, Pascal Bouré, a été gazé par un policier après s'être fait confisquer son masque de protection.
Le matraquage d'un couple de passants âgés par un groupe de CRS pendant la manifestation des Gilets jaunes a été aussi filmé à Toulouse.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040249522-toulouse-crs-violence-femme-canon-eau/
Un policier renverse une personne à scooter, puis s'en va en la laissant au sol (vidéo)
RépondreSupprimer14:32 05.03.2019
Durant la dernière manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux, un photographe indépendant a filmé un policier interpeller et renverser une personne sans gilet jaune sur un scooter, puis la laisser sur le sol et s’en aller.
La ville de Bordeaux a vécu l'acte 16 des Gilets jaunes avec nombre d'incidents, dont une interpellation ratée. David Bross, un photographe indépendant, a filmé un policier lourdement équipé renverser une personne sans gilet jaune sur un scooter. Ensuite, l'agent l'a laissée sur le sol et a rejoint tranquillement ses coéquipiers.
Le photographe a publié la vidéo de la scène sur son compte Twitter, attirant l'attention du journaliste David Dufresne, qui dénonce depuis le début du mouvement les violences policières présumées.
L'acte 16 des Gilets jaunes a été marqué par plusieurs incidents dans toute la France. À Toulouse, un homme en fauteuil roulant a été aspergé de gaz lacrymogène après s'être vu confisquer son masque de respiration. À Paris, une personne aurait été blessée au visage par un tir de LBD. Le député La France insoumise Loïc Prud'homme a déclaré avoir reçu plusieurs coups de matraque par un policier alors qu'il quittait la manifestation parisienne. Un couple de passants a été matraqué par des CRS en fin de manifestation à Toulouse.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040250842-policier-scooter-bordeaux/
ETATS-UNIS - LES POLICIERS AYANT TUÉ UN NOIR DANS LE DOS LIBÉRÉS
RépondreSupprimerLe jeune homme de 22 ans avait été abattu de 20 balles dans le dos en Californie, alors qu'il tentait d'échapper aux policiers.
Des manifestants demandant l'inculpation des deux officiers de la police de Sacramento.
05.03.2019
Deux policiers américains qui ont abattu de plusieurs balles dans le dos un jeune Noir, dont ils auraient pris le téléphone portable pour une arme, ne seront pas poursuivis, a annoncé la procureure de Sacramento. La décision a ulcéré sa famille et la communauté noire.
La mort du Noir, tué durant la nuit du 18 mars 2018 dans le jardin de ses grands-parents, où il avait trouvé refuge après avoir tenté d'échapper à la police, avait déclenché aux Etats-Unis une vague d'indignation et de nombreuses manifestations.
Deux agents du Sacramento Police Department (SPD) avaient tiré à 20 reprises au total, ouvrant le feu avant d'intimer à la victime de montrer ses mains. Selon leurs témoignages, ils ont pris le flash de son téléphone pour l'éclat lumineux émis par un tir d'arme à feu dans leur direction.
Père de deux enfants
Les policiers étaient intervenus après un appel signalant qu'un homme brisait des vitres de voitures. L'homme correspondant au signalement de leur suspect, ils l'avaient pris en chasse, aidés par un hélicoptère de police.
Le jeune homme de 22 ans, père de deux enfants, a été touché par sept balles, dont trois dans le dos, selon les résultats de l'autopsie. Il n'était pas armé et ne tenait dans la main qu'un iPhone rose et blanc.
«Les preuves dans ce dossier démontrent que les deux officiers ont cru honnêtement et raisonnablement qu'ils étaient en danger de mort imminente, ou s'exposaient à de graves blessures corporelles», écrit la procureure dans le résumé accompagnant ses conclusions. «Par conséquent, ils ont tiré (...) de manière légale et aucune poursuite ne sera engagée», souligne-t-elle. Plusieurs rassemblements de protestation, pacifiques, ont été signalés en ville depuis l'annonce de la procureure. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/faits-divers/policiers-tue-noir-dos-liberes/story/10428728
Pourquoi les syndicats policiers appellent-ils à une manifestation le 12 mars ?
RépondreSupprimer12:26 05.03.2019
Depuis le 1er janvier 2019, 14 agents des forces de l’ordre ont mis volontairement fin à leurs jours, une statistique qui a mis en alerte les syndicats policiers de France. Une manifestation est prévue le 12 mars à 20h à Paris, sur la place du Trocadéro, pour dénoncer le nombre inquiétant des morts volontaires au sein des forces de l’ordre.
Après qu'un 14e agent s'est ôté la vie ce lundi 4 mars, les syndicats policiers ne peuvent plus rester à l'écart. L'association Femmes des Forces de l'Ordre en Colère — FFOC — a annoncé une manifestation le 12 mars prochain pour dénoncer les suicides dans les rangs de la police.
«Parce que l'indifférence et l'inaction nous poussent au suicide», déclare le post de l'association sur Facebook.
L'organisateur appelle à se réunir à 20h sur la place du Trocadéro à Paris.
Ce n'est pas la première fois que des policiers décident de mettre volontairement fin à leurs jours. Un policier s'est tiré une balle dans la poitrine avec son arme de service le 4 mars dans le commissariat de Limoges (Haute-Vienne). Ainsi, il s'agit du 14e suicide au sein de la police nationale depuis janvier 2019, dont 10 fonctionnaires de police s'étant donné la mort durant les 22 premiers jours de l'année.
36 policiers et au moins 31 gendarmes se sont suicidés en 2018. En 2017, ce chiffre s'élevait à 51 policiers.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040249467-syndicats-policiers-manifestation-12-mars/
Élaboration et utilisation de «cacatov» lors des mobilisations des Gilets jaunes (vidéo)
RépondreSupprimer12:24 05.03.2019
Alors que les jets de «cacatov» sur les forces de l’ordre deviennent de plus en plus courants en France, une vidéo publiée sur YouTube montre l’élaboration et l’utilisation de cette nouvelle arme à base de matières fécales sur les policiers lors d’une manifestation des Gilets jaunes.
Venus du Venezuela, ces projectiles à base de déjections sont récemment apparus lors des récentes manifestations des Gilets jaunes en France.
Ainsi, une vidéo expliquant l'élaboration et l'utilisation de ces «bombes d'excréments» a été postée sur le réseau social YouTube. Elle a été filmée en caméra embarquée par un individu en pleine action, visant les forces de l'ordre alors alignées dans une rue lors d'une mobilisation des Gilets jaunes à Montpellier.
«C'est de la pisse, c'est de la mer***, du tout mon frère. Du jus de poisson, je te jure», explique une voix derrière la caméra.
Gants en silicone de rigueur, la vidéo présente également les préparateurs de cette nouvelle arme, qui remplissent des pots entiers de cette substance marronnasse.
Suite à l'appel à fabriquer des «bombes d'excréments», plusieurs policiers ont été visés par des jets de matières fécales pendant l'acte 16 des Gilets jaunes, à Marseille et à Montpellier. Au moins un agent a été blessé par l'un de ces projectiles.
Face aux grenades lacrymogènes et assourdissantes ainsi qu'aux LBD, les Français font régulièrement preuve d'imagination afin de résister aux forces de l'ordre lors des manifestations. La ZAD de Notre-Dame-des-Landes s'est avérée être une terre de créativité et d'innovations dans ce domaine. Des ateliers spéciaux de confection de «cacatov», «pipitov» et autres «bombes bactériologiques» y existaient déjà, les zadistes mélangeant des excréments avec de l'eau dans des sachets en plastiques ou dans des bocaux.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040249427-cacatov-gilets-jaunes-video-montpellier/
(...) Venus du Venezuela, ces projectiles à base de déjections sont récemment apparus lors des récentes manifestations des Gilets jaunes en France. (...)
SupprimerHAHAHAHA ! Importées du Venezuela !!! AUCUNE MERDE N'ÉTAIT MARQUÉE MADE IN FRANCE !!! Une honte ! Que va dire la CGT ? HAHAHAHAHA !
207 armes et 770 kg de munitions: un important arsenal de guerre saisit dans l’Aude
RépondreSupprimer11:20 05.03.2019
Plus d’une tonne d’armes, dont du matériel de guerre, et un atelier de reconditionnement aux «ramifications internationales» ont été découverts dans la région de Carcassonne (Aude), ont annoncé lundi le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin et le procureur de Marseille.
207 armes, 770 kilogrammes de munitions, 350 chargeurs: au total, plus d'une tonne d'armes ont été saisies dans la région de Carcassonne (Aude), ont déclaré lundi le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin et le procureur de Marseille Xavier Tarabeux.
Les armes, dont 54 correspondant à du matériel de guerre, dont des Kalachnikov et pistolets mitrailleurs, a détaillé le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin dans un communiqué. Plus de 130 armes de catégorie C soumises à déclaration, 770 kilos de munitions, 350 chargeurs ainsi que des casques de vision nocturne ou encore des lunettes de tirs ont été mis au jour. La valeur totale des matériels saisis est estimée à près de 200.000 euros, selon le ministère.
Un atelier de reconditionnement de parties d'armes, importées par le réseau depuis l'étranger, puis reconditionnées et remises en état a également été découvert, écrit l'AFP.
«Les investigations ont permis d'établir des ramifications internationales en Europe et aux Etats-Unis notamment grâce à l'appui des services étrangers partenaires dans le cadre de la coopération douanière internationale», précise le ministère.
Âgés de 47, 50 et 54 ans, «trois hommes, un responsable de sécurité, un ambulancier et un garagiste chez qui les armes ont été retrouvées», ont été mis en examen dimanche notamment pour «acquisition, détention et cession en réunion de munitions et d'armes de catégories A, B et C» ainsi que pour «association de malfaiteurs», a ajouté auprès de l'AFP le procureur de la République de Marseille.
Deux d'entre eux ont été placés en détention provisoire et le troisième placé sous contrôle judiciaire, a précisé le magistrat.
L'enquête initiée par la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) a été confiée à la police judiciaire de Perpignan co-saisie avec la douane judiciaire de Toulouse sous l'autorité de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040247391-saisie-armes-aude-carcassonne/
SupprimerDestinées à la police ou à des 'réfugiés climatique' ?
RépondreSupprimerLe socialisme au Royaume-Uni veut dire pas de piscine, pas de jurons et des citoyens qui se font arracher les dents
par Tyler Durden
Mar., 03/05/2019 - 03:30
Écrit par Simon Black via SovereignMan.com,
Les événements que je vais vous décrire sont à 100% vrais.
Ils se sont déjà produits à diverses personnes à travers le Royaume-Uni, ce qui, à certains égards, mène la charge à l'autoritarisme «Big Brother» du 21ème siècle.
Tout est réel et tout est dérangeant. Pour humaniser un peu ce phénomène, nous avons rassemblé plusieurs événements réels dans une seule histoire d’un homme que nous appellerons «George».
George pense qu'il pourrait passer au jardin communautaire. Ses voisins se rassemblent régulièrement autour d’une piscine gonflable jusqu’à la taille, achetée pour se protéger des chaleurs estivales.
Mais il se souvient ensuite que les propriétaires ont ordonné le retrait de la piscine… ils craignaient qu'un cambrioleur ne se blesse par inadvertance en tentant de cambrioler une maison. La piscine devait donc s'en aller.
Au lieu de cela, George pense qu'il va commencer à faire quelques courses. Il monte dans son camion de travail et s'arrête pour manger un morceau en se rendant en ville.
Mais lorsque la pizza de George, qui mange de la viande, arrive, elle semble assez petite et plus petite que ce dont il se souvient.
«Public Health England a de nouvelles normes que nous suivons», explique l'homme derrière le comptoir. "Nous avons coupé la viande et réduit la taille ... c'est pour lutter contre l'obésité chez les enfants."
Bien, je ne suis pas un enfant, pense George, mais le garde poliment pour lui-même.
George se gare dans le centre-ville et, se sentant toujours un peu en manque, jette la boîte à pizza vide dans le sac à ordures situé à l'arrière de sa camionnette.
Mais avant de pouvoir commencer ses achats, un membre de la police du conseil local se présente. Il remarqua la poubelle à l'arrière du fourgon de travail de George.
"Avez-vous un permis de transporteur de déchets pour transporter des déchets dans un véhicule utilitaire ?"
«Quoi, jeter mon déjeuner ? Je ne l’ai pas jeté par la fenêtre, non ?
George a reçu une amende de 300 £. Oui, au Royaume-Uni, vous devez maintenant obtenir un permis pour disposer de déchets dans votre propriété privée.
À présent, George se sent naturellement un peu irrité. Et quand il voit un panneau indiquant que la police mène un procès pour reconnaissance faciale, il met son sweat-shirt sur son visage.
Mais il n’a pas fait 12 pas avant que les officiers le tirent de côté.
RépondreSupprimer"Il est dit que la participation n’est pas obligatoire", proteste George.
«Très méfiant pour couvrir ton visage», disent les flics. "Qu'avez-vous à cacher ?"
"Oh énervez-vous!" Crie George. Ainsi, les groupes de pression imposent à George une amende de 90 £ pour ordre public. Non, apparemment, vous ne pouvez pas désactiver la reconnaissance faciale «facultative» ni jurer au Royaume-Uni.
Exaspéré, George continue vers la quincaillerie.
Il doit acheter un marteau et des clous pour que ses voisins et lui puissent construire une barricade devant leur maison.
Un grand festival arrive en ville… et l’année dernière, la police n’a pas empêché les fêtards d’infliger des dégâts matériels considérables aux magasins et aux maisons, ainsi que de multiples coups de couteau et de nombreuses attaques à l'acide.
Au début, George pensait que les barrières étaient un peu excessives. Peut-être pourrait-il simplement obtenir un spray au poivre à la place ?
Mais lorsqu'il a consulté le site Web officiel des ressources policières du Royaume-Uni, George a été consterné de lire que «le seul produit d'autodéfense totalement légal à l'heure actuelle est une alerte au viol». Donc, pas de spray au poivre - trop de responsabilité.
George arrive à la maison, prêt à construire, mais frappe à la porte.
C’est l’unité de police britannique anti-terroriste.
Ils ont reçu un appel d'un citoyen inquiet qui avait visionné les récentes publicités de Life has no rewind Button. Les vidéos demandent aux citoyens de signaler tout comportement suspect, car «le signalement d’activités suspectes ne ruinera pas la vie, mais pourrait les sauver».
Comme dans la publicité, la citoyenne a commencé à s'inquiéter lorsqu'elle a vu George acheter un marteau ... Les citoyens sont invités à faire un rapport sur ceux qui achètent des armes ou "d'autres objets susceptibles de causer des dommages".
Il faut environ une heure à George pour prouver son innocence aux agents. Au moment où ils partent, sa putain de dent est à nouveau douloureuse à cause de tout le stress.
Qu'est-il arrivé à cette demande du Service national de la santé que j'ai faite il y a un an et demi ? George réfléchit.
Il contacte le NHS, qui lui dit d'attendre patiemment, il sera vu dès que les ressources seront disponibles. Mais il a déjà attendu plus d’un an. Et il perd patience. Qui sait combien de temps cela prendra.
Alors George serre une pince autour de sa dent… et la retire.
Juste un autre jour au Royaume-Uni socialiste.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-04/socialism-uk-means-no-pools-no-swearing-and-citizens-pulling-their-own-teeth-0
Cette dictature renforcée est LA MÊME qu'en d'autres pays ! Elle n'est PAS faite pour renforcer la sécurité des citoyens mais seulement faite pour justifier l'achat d'armement très lourd destiné à 'combattre les terroristes qui pourraient y avoir éventuellement peut-être sans certitude', afin d'assurer/de renforcer l'assurance d'un enracinement éternel à la dictature monarchique, républicaine ou impériale.
SupprimerCe gros tas de merde n'hésitera pas à tirer dans la foule avec des obus de chars d'assaut (voir Paris/Champs-élysées) et faire des milliers de morts (chargés au bulldozer/voir photo d'un sur les Champs-élysées) dans des camions-bennes de voirie 'Paris-propre'.
LE NATIONAL N'EN PEUT PLUS DU GASPILLAGE ALIMENTAIRE
RépondreSupprimer05.03.2019, 13h12
Chaque ménage en Suisse jette entre 500 et 1000 francs de déchets alimentaires chaque année. Sans parler des 200'000 tonnes jetées par la restauration.
Pour s'opposer au gaspillage alimentaire, la droite a évoqué la multiplication des plans d'action et des mesures étatiques.
La Suisse devrait lancer un plan d'action spécifique pour éviter le gaspillage alimentaire. En sus de ce qui est déjà prévu, celui-ci pourrait contenir des mesures volontaires de la part de l'économie ainsi que des mesures d'accompagnement de la Confédération.
Le Conseil national a adopté mardi par 108 voix contre 76 un postulat d'Isabelle Chevalley (PVL/VD). Le Conseil fédéral y souscrit.
Le gaspillage coûte cher. Chaque ménage jette entre 500 et 1000 francs de déchets alimentaires chaque année. Sans parler des 200'000 tonnes jetées par la restauration, a souligné la ministre de l'environnement Simonetta Sommaruga.
Ce plan sera mis en oeuvre au moyen des ressources disponibles. Il devrait être évalué en 2024 et adapté si nécessaire. Isabelle Chevalley souhaite faire baisser le gaspillage alimentaire de 50% d'ici 2030.
La droite s'est opposée en vain au postulat. Il ne faut pas multiplier les plans d'action et les mesures étatiques. Il vaut mieux sensibiliser les consommateurs, qui sont aptes à décider eux-mêmes, selon Christian Wasserfallen (PLR/BE).
Plastique
Le National a par ailleurs accepté deux postulats visant à mieux maîtriser la consommation de plastique. Adèle Thorens (Verts/VD) demande au Conseil fédéral de montrer de quelle manière on peut assurer à l'avenir une gestion écologique, efficiente et économiquement viable des matières plastiques.
La Suisse ne doit pas rester à la traîne alors que la Commission européenne vient de lancer une stratégie visant à rendre le recyclage rentable pour les entreprises, à réduire les déchets et à stimuler les investissements et l'innovation. Cela pourrait déboucher sur 200'000 nouveaux emplois, a relevé Adèle Thorens.
Et de rappeler que chaque Suisse consomme 125 kilogrammes de matière synthétique par an, dont 45 kilogrammes d'emballage. Plus de 70 % des matières plastiques provenant des ménages ne peuvent pas être recyclées. Martina Munz (PS/SH) souhaite quant à elle évaluer la mise en place d'un plan d'action pour réduire la dispersion du plastique dans l'environnement.
Le Conseil fédéral est prêt à répondre à toutes ces questions dans un rapport. Il est nécessaire d'avoir des données bien étayées pour pouvoir agir. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/national-peut-gaspillage-alimentaire/story/18183013
Supprimer(...) Le gaspillage coûte cher. Chaque ménage jette entre 500 et 1000 francs de déchets alimentaires chaque année (...)
Des branlettes où sont jetés des millions (milliards ?) d'enfants (petits suisses au rayon frais) à la poubelle !
Suissesses végans ?
Voir plus après ci-dessous, un post sur 'L'épidémie de rougeole à Madagascar' ! En réalité il n'y a pas de cas de rougeole à Madagascar mais seulement de malnutrition ! Ce qui veut dire aussi que, suite à l'alerte donnée, des laboratoires ont donc fabriqué et exporté des milliers de vaccins à Madagascar (pour se donner bonne conscience), comme pour les millions de tonnes de mais ou soja envoyées vers l'Afrique 'qui meurt de faim' et qui finissent à la poubelle ou pourrissent dans les containers acheminés ! Hahahaha !
Fascisme médical: la vaccination obligatoire contre la rougeole causera certaines épidémies cycliques
RépondreSupprimerAssurez-vous que vos enfants attrapent la rougeole !
Par Bill Sardi
5 mars 2019
Fascisme: régime autoritaire caractérisé par un pouvoir dictatorial, une suppression forcée de l'opposition et une forte régulation de la société; lorsque l'industrie contrôle le gouvernement pour faire leur demande.
Oui, vous avez bien lu ce sous-titre - assurez-vous que vos enfants attrapent la rougeole, déclare le Dr Sherri Tenpenny, experte en vaccins. Quoi ? Vous devez penser que ceux qui dirigent le mouvement anti-vaccin sont vraiment fous maintenant. Mais wackos ils ne sont pas.
Les autorités sanitaires ont déployé des efforts massifs pour supprimer les exemptions non médicales de vaccins (NME) pour les vaccins. Cette épidémie de rougeole est à l'origine de ce qui semble être un effort orchestré par divers États pour adopter une législation interdisant ces NME. Une telle campagne est dirigée vers une catastrophe certaine.
Reconnaître les Centers for Disease Control définit une épidémie de seulement 3 ou plusieurs cas de rougeole dans une zone géographique. Personne aux États-Unis n'est décédé de la rougeole depuis 2015. Nous ne parlons donc pas de mortalité, nous parlons de prévenir la fièvre, les éruptions cutanées et la toux qui accompagnent la rougeole, du moins dans les populations bien nourries où la malnutrition n'est pas endémique. Oui, vous lirez des informations selon lesquelles des centaines d'enfants meurent de la rougeole sur l'île de Madagascar, mais le problème, c'est la malnutrition et non la sous-vaccination. [1] La vaccination d'urgence n'a pas pu enrayer l'épidémie de rougeole à Madagascar.
Les efforts actuels pour mettre fin aux exemptions non médicales pour les vaccins se transforment en fascisme médical. Non seulement la vaccination obligatoire est-elle catégoriquement défectueuse - l’idée que les non-vaccinés sont responsables de la propagation de la maladie infectieuse chez les vaccinés (cela signifie que les vaccins ne doivent pas être efficaces étant donné que plus de 90% des écoliers sont déjà vaccinés), il existe de solides preuves médicales la vaccination antirougeoleuse n'est pas efficace en raison de la vaccination (roulement au tambour). Cette déclaration compliquée exige des explications.
Voici les titres troublants de récents rapports scientifiques qui indiquent que la vaccination contre la rougeole est le problème, pas la solution:
«Réduction de la réponse immunitaire à la vaccination antirougeoleuse chez les nourrissons.» - Clinical Infectious Diseases, 1er octobre 2017
«Population coréenne en augmentation potentielle au fil du temps après la vaccination en Corée» - Vaccine, 24 juillet 2017
“Diminution des anticorps antirougeoleux à l’ère de l’élimination” - Vaccine, 25 janvier 2018
«Un certain nombre de pays ayant une lutte soutenue contre la rougeole ont maintenant démontré que les anticorps spécifiques à la rougeole diminuaient avec le temps depuis la vaccination», indique un rapport inquiétant des autorités sanitaires qui surveillent les maladies infectieuses en Australie. [2]
«Les taux d'anticorps antirougeoleux décroissants avec le temps augmentant après la vaccination suggèrent que la susceptibilité à la rougeole est potentiellement accrue en Corée», indique un autre rapport.
RépondreSupprimerLes épidémiologistes qui supervisent les programmes de vaccination disent que le problème est lié à l'immunité limitée produite par les vaccins par rapport à «l'immunité acquise naturellement provoquée par l'infection rougeoleuse». Ce que les enquêteurs disent, c'est que seule l'exposition naturelle au virus de la rougeole, un épisode fébrile à part entière de cette maladie maladie infectieuse, développera une immunité efficace et durable. [4]
Des chercheurs canadiens expliquent la situation ainsi: la protection par anticorps des enfants nés de mères vaccinées décline par rapport à celle des mères n'ayant jamais été vaccinées et développant des anticorps après une poussée naturelle de la rougeole dans leur enfance4. Cette baisse maintenant répandue des anticorps chez les nourrissons deux ans de vie persistent même avec une deuxième vaccination (de rappel)! La vaccinologie moderne va dans la mauvaise direction. Arrêtez le train de vaccins - inversez les moteurs. La vie des jeunes enfants pourrait être menacée si les efforts de vaccination antirougeoleuse se poursuivaient.
C'est Sherri Tenpenny D.O., experte en vaccins, qui écrit et parle en ligne sur VAXXTER.com, fournit les meilleurs conseils en ligne sur la rougeole aux parents inquiets. Le Dr Tenpenny a déclaré que la vaccination ne prévient pas l’infection mais prévient la transmission.
Elle cite un rapport du CDC [5] selon lequel 42% des cas de rougeole signalés de 1985 à 1988, plus de deux décennies après l'introduction du premier vaccin antirougeoleux en 1963, concernaient des personnes vaccinées vaccinées le ou après leur premier anniversaire. Au cours de ces années, 68% des cas de rougeole chez les enfants d’âge scolaire se sont produits chez ceux qui avaient été correctement vaccinés. Dans une mauvaise direction, cela a conduit à la recommandation d'une deuxième injection de rappel.
À mesure que les programmes de vaccination progressaient, l'âge du début de la scolarité (de 5 à 19 ans) passait de moins de 5 ans à l'âge scolaire. Le rapport du CDC note que la sensibilité des nourrissons de moins de 1 an a augmenté en raison de la mère qui a développé des anticorps faibles provenant de la vaccination plutôt que d'un virus rencontré dans la circulation dans la population. Les mères dont le nombre d'anticorps était élevé suite à une infection naturelle ont transféré l'immunité à travers le placenta au fœtus et cette immunité a duré jusqu'à ce que les enfants atteignent l'âge de 5 à 9 ans, ce qui, selon le Dr Tenpenny, est le moment souhaitable pour que les enfants contractent la rougeole et se développent anticorps persistants.
Oui, les personnes non vaccinées sont plus susceptibles de contracter la rougeole, mais elles sont également plus susceptibles de développer une immunité à vie, ce que la vaccination ne permet pas d’atteindre. C’est pourquoi la vaccination antirougeoleuse chez les adultes est encouragée auprès des fabricants de vaccins.
Lorsque l'industrie contrôle le gouvernement pour imposer la vaccination, comme c'est le cas actuellement, le fascisme est incontrôlable. Un public trop craintif ne peut pas voir que l’objectif est les bénéfices des entreprises, pas la santé. Faisons vacciner le monde entier - 7 milliards de personnes, puis ajoutons des vaccins de rappel. Ensuite, faites-en une loi pour que les enfants soient vaccinés. Mais la rougeole a un cycle de 2 à 3 ans qui se déclarera de manière cyclique avec les cas de rougeole indépendamment de la vaccination. Le Dr Tenpenny a déclaré que les mêmes épidémies cycliques se produiraient tous les 2 à 5 ans pour la coqueluche (coqueluche). Et les épidémies sont toutes imputables à tort aux anti-vaxxeurs.
Le Dr Tenpenny enseigne que la fièvre d'origine virale est souhaitable. La rougeole peut provoquer des fièvres de 103 à 105 ° F. Il suffit de contrôler la fièvre à 102 ° F en utilisant les vitamines A et D, explique le Dr Tenpenny et veillez à ce que les enfants soient hydratés.
RépondreSupprimerLe Dr Tenpenny a déclaré: Le virus de la rougeole infecte différents organes, provoque une fièvre et réveille le système immunitaire (lymphocytes B, macrophages) et diffuse l’immunité dans tous les tissus accompagnés de fièvre au moment approprié, soit entre 7 et 9 ans. La fièvre emprisonne les membranes intestinales, rénales et la barrière hémato-encéphalique et enseigne à l'organisme à activer l'immunité contre les agents «non-soi». Elle enseigne qu'avec le temps, de plus en plus de nourrissons seront susceptibles aux infections à la rougeole en raison de la vaccination des mères. La rougeole est importante pour que les filles aient à protéger leur propre progéniture plus tard dans la vie. Sa présentation vidéo de 21 minutes sur la rougeole peut être visionnée sur FACEBOOK (s’ils ne la censurent pas).
References
[1] Chalmers V, Measles epidemic in Madagascar kills ‘more than 900 children and young adults’ with babies most at risk despite emergency vaccinations, Daily Mail UK Feb 21, 2019.
[2] Gidding HF, et al, Declining measles antibodies in the era of elimination: Australia’s experience. Vaccine 36 (4): 507-513, 2018.
[3] Kang HJ, et al, An increasing, potentially measles-susceptible population over time after vaccination in Korea. Vaccine 35 (33): 4126-4132, 2017.
[4] Carazo Perez S, et al, Reduced antibody response to infant measles vaccination: effects based on type and timing of the first vaccine dose persist after the second dose. Clinical Infectious Diseases 65 (7): 1094-1107, 2017.
[5] Measles. Epidemiology and Prevention of Vaccine-Preventable Diseases, Centers for Disease Control, May 16, 2018.
https://www.lewrockwell.com/2019/03/bill-sardi/medical-fascism-mandatory-measles-vaccination-will-cause-certain-cyclical-outbreaks/
La Chine n’est plus le pays le plus peuplé
RépondreSupprimerSarah Liénart
5 mars 2019
En 2018, les couples chinois ont fait 15,23 millions de bébés. Cela peut sembler beaucoup, mais c’est deux millions de moins qu’en 2017, année où 17,23 millions de naissances avaient été enregistrées. Et en 2017, il y avait 630 000 naissances de moins qu’en 2016… Malgré la fin de la politique de l’enfant unique il y a trois ans, le baby boom espéré par le gouvernement a fait pschitt.
Globalement, la population chinoise s’élèverait maintenant à 1,395 milliard d’habitants, selon les chiffres officiels du Bureau National des Statistiques publiés en début d’année 2019. Donc, la population chinoise augmente, mais à un rythme très faible.
L’Inde aurait déjà dépassé la Chine en termes de population
L’Inde aurait même déjà dépassé la Chine en termes de population, selon l’expert Yi Fuxian, démographe chinois basé à l’Université de Wisconsin-Madison aux Etats-Unis. Pour lui, le gouvernement chinois a surestimé le nombre de naissances entre 1990 et 2016 de presque 90 millions, erreur qui serait due en partie à un taux de natalité trop optimiste.
Si ses calculs sont corrects, la population de la Chine s’élevait en fin d’année 2016 à 1,29 milliard d’individus, contre 1,38 milliard selon les chiffres officiels du gouvernement. Comme la population de l’Inde était alors estimée à 1,33 milliard de personnes, cela signifierait que la Chine est depuis quelques années à la place numéro 2 du classement des pays les plus peuplés, derrière l’Inde.
Ces chiffres soulignent la crise démographique à laquelle est confronté le gouvernement chinois, avec une population en âge de travailler en déclin constant depuis 2012.
Les conséquences désastreuses de la politique de l’enfant unique
Yi Fuxian est un critique de longue date de la politique de l’enfant unique en Chine, qui a été appliquée depuis 1980 jusqu’à fin 2015 de manière souvent brutale. À part quelques exceptions à la règle, la plupart des familles chinoises n’avaient le droit de faire qu’un seul enfant.
Cette politique a été assouplie récemment et depuis le 1er janvier 2016 les couples chinois sont autorisés à avoir un deuxième enfant. Mais après plus de trois décennies de restriction démographique, il n’est pas si facile de faire marche arrière : la politique de l’enfant unique a entraîné une accélération du vieillissement de la population et un affaiblissement du dynamisme de l’économie.
Selon Yi Fuxian, sans la politique de l’enfant unique, la population de la Chine aurait atteint son maximum en 2040 avec 1,6 milliard de Chinois avant de commencer à diminuer, ce qui aurait permis au pays de profiter d’un « dividende démographique » beaucoup plus longtemps.
Trop tard pour faire machine arrière
Même s’ils peuvent désormais avoir un deuxième enfant, de nombreux couples chinois ne le souhaitent pas, souvent pour des raisons financières. En 2020, le contrôle des naissances devrait être complètement abandonné : les couples chinois pourront concevoir le nombre d’enfants qu’ils souhaitent.
Pour le professeur Yi Fuxian, la politique de l’enfant unique aurait dû être abandonnée il y a des années. Pour voir le taux de natalité remonter, le gouvernement va devoir mettre en place des politiques gouvernementales plus encourageantes en faveur de la maternité.
https://fr.express.live/chine-population-vieillissement/
SupprimerLes réserves d'indiens ne sont plus ce qu'elles étaient !
Médiatisation de l'anti-science : une longue lettre du citoyen Jean-Yves Le Déaut au président d'Arte
RépondreSupprimer5 Mars 2019,
par Seppi
Le député Jean-Yves Le Déaut est redevenu un « simple citoyen », ce qui ne l'empêche pas de suivre avec intérêt, notamment, les affaires dont il s'était fait une spécialité durant ses mandats successifs. Rappelons qu'il a été le président de l'Office Parlementaire d'Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) de 2014 à 2017.
Il a écrit une lettre à M. Nicolas Seydoux, président d'Arte, à propos du 28 minutes Vos Pop sur « Le retour des OGM » (émission entière ou séquence seule).
Oubliez le sujet spécifique (mais voir ci-dessous) : le problème soulevé est général.
En voici le texte.
Je suis un auditeur fidèle d’ARTE et notamment du journal, ainsi que du 28 Minutes présenté par Elisabeth QUIN.
Il m’arrive le dimanche soir de regarder Vox Pop et j’ai été assez sidéré par l’émission portant sur les « OGM cachés », diffusée le 27 janvier, réalisée par Matthieu VALLUET, produit par Coup monté Films & Cie (une dénomination prémonitoire) et Céline BITTNER, présentée par Nora HAMADI.
Sidéré parce que jamais à un moment dans le film, le réalisateur n’a indiqué que le problème des semences obtenues par ces nouvelles technologies se posait à nouveau car la modification ciblée du génome (genome editing), avait vu le jour et que cette technique était plus simple, plus rapide, plus précise, plus puissante que les technologies de transgénèse utilisées pour créer des OGM. Dans la majorité des cas, il n’y a aucun ajout de génome étranger à la plante, puisqu’on se contente d’inactiver ou de corriger un gène de la plante. Cette nouvelle technique peut donc produire des mutations analogues aux mutations naturelles, qu’il est d’ailleurs difficile de détecter. Jennifer Doudna, une des co-découvreuses de la technologie CRISPR-Cas9 a résumé cette révolution en indiquant que « dans le passé, toutes les nouvelles technologies étaient des sortes de marteaux de forgeron pour taper sur les gènes, alors que maintenant on travaille avec des scalpels moléculaires, pour découper le génome ».
A aucun moment dans l’émission, la technologie CRISPR Cas9 n’a été évoquée, alors qu’il s’agit d’une révolution dans les domaines de la médecine, de l’agriculture et de l’environnement et que nombreux sont les observateurs avertis qui pensent qu’un prix Nobel va, dans les prochaines années, récompenser les co-découvreurs.
J’ai noté dans l’émission huit interventions qui s’opposaient à ces nouvelles technologies : Christian VELOT (une fois), Guy KASTLER (deux fois), un agriculteur du Piémont, Gianpaolo ANDRISSI, (une fois), les faucheurs volontaires en action (deux fois), Mireille LAMBERTIN, devant le tribunal de Dijon (une fois) et Corinne LEPAGE (une fois) contre deux interventions qui les justifiaient : Jean-Christophe GOUACHE, directeur chez LIMAGRAIN (une fois) et Roberto ZANAZZO, agriculteur du Piémont (une fois). Le seul scientifique interrogé était Yves DESSAUX, dont le réalisateur n’a repris qu’une phrase principale, sortie de son contexte : « La mutagénèse n’est pas complètement artificielle, mais pas complètement naturelle ».
Un éclairage scientifique aurait permis de rappeler que l’évolution s’est faite en 4 milliards d’années par des mutations qui ont permis de passer de l’algue bleue à l’espèce humaine. François Jacob, prix Nobel, disait d’ailleurs à ce propos : « l’évolution c’est la somme des réussites parce que la trace des échecs a disparu ».
RépondreSupprimerLe débat était, à mon sens, non seulement tronqué mais également déséquilibré par une voix off qui, soit apportait un soutien aux arguments des opposants, soit maniait l’ironie pour décrédibiliser les partisans .
Seule la firme BASF, européenne, a été mise sur la sellette, alors que ces technologies sont très largement utilisées par des société américaines. Le risque de domination économique en Europe va se poser, car cet activisme permanent, relayé sans pondération par les media, contribue à asseoir la prééminence américaine, chinoise, argentine ou brésilienne. Il est d’ailleurs paradoxal que les autorités européennes s’accommodent d’importations de produits végétaux issus de modifications du génome, considérant donc qu’il n’y a aucun risque pour la santé, alors qu’elle interdit de fait, les expérimentations et les cultures.
Les termes « d’OGM cachés », de « menaces pour les semences conventionnelles, non contaminées », de « liens éventuels entre plantes génétiquement modifiées et cancer »(C.LEPAGE), de « développement de résistance sauvage chez les plantes », de « mutations violentes, chimiques et autres », de « citoyens inquiets », de « saleté dans les champs », de références incessantes aux profits des multinationales, de rappel permanent du principe de précaution ne pouvaient qu’inquiéter le téléspectateur et le convaincre des risques de « malbouffe ». Même Gustave FLAUBERT a été appelé à la rescousse en disant que pour lui « l’innovation est toujours dangereuse ».
Docteur en Sciences, député pendant 31 ans, quatre fois Président de l’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) et premier organisateur d’une conférence de citoyens sur les OGM en 1998, unanimement saluée par tous, je suis sidéré par le contenu simpliste d’émissions en quête de sensationnalisme.
Je m’insurge, car les leçons du passé n’ont pas été retenues. En effet, Gilles Eric SERALINI avait déjà fait sensation en 2012, avec le soutien du Nouvel Observateur, qui titrait « Les OGM sont des poisons », ainsi que de Corinne LEPAGE, que l’on retrouve dans ce documentaire. Leurs déclarations avaient mis à l’époque la pression sur la Commission européenne pour que des études coûtant plusieurs millions d’euros soient engagées. Six ans plus tard, les conclusions, malheureusement moins médiatisées, sont résumées par le journal Le Monde du 18 décembre 2018 : « Deux maïs testés sont sans effets sur les rats, une étude d’ampleur conclut, au contraire de ce qui avait été avancé en 2012, à l’absence de toxicité de ces plantes ».
Lors d’une réunion à l’OPECST le 19 novembre 2012, Cédric VILLANI avait résumé cette affaire SERALINI en disant : « Il faut tenter d’aller vers le consensus et ne pas se contenter d’aller vers la controverse. Pour aller vers le consensus on a deux outils ; le partage sincère de l’information ou le débat argumenté, dans lequel on répond point par point aux arguments de l’autre camp. Dans le cas présent (affaire SERALINI) on n’a ni l’un ni l’autre ». Il mettait notamment en avant le manque de puissance des tests utilisés, le très faible effectif des échantillons et disait qu’il était consterné par cette dérive.
Le réalisateur d’ARTE aurait dû s’en inspirer car je suis sidéré par cette émission pour les mêmes raisons que évoquées ci-dessus.
RépondreSupprimerDepuis, de nombreuses autres émissions ont présenté des informations tronquées ou inexactes, générant des inquiétudes.
Autre étonnement, le journaliste a su reprendre l’audition de M. J-C GOUACHE, organisée à l’Office Parlementaire dans le cadre du rapport de l’OPECST,(Rapport La révolution de la modification ciblée du génome J-Y. LE DÉAUT, C. PROCACCIA, OPECST, Avril 2017) sans le citer. Notre rapport publié et adopté à l’unanimité à l’OPECST est public et Le Monde Débats a d’ailleurs publié une tribune le 22 août 2018 que j’ai rédigée avec Catherine PROCACCIA (PJ)au sujet de la décision de la Cour de Justice de l’Union européenne.
Il aurait été honnête de présenter d’autres arguments qui, pendant ces journées d’auditions publiques, ont été avancés. Je pense notamment à ceux de Philippe HORVATH, cadre scientifique chez DuPont, un des découvreurs du génome editing, à Jean-Christophe PAGES, président du conseil scientifique du Haut Conseil des Biotechnologies, à André CHOULIKA, PDG de Cellectis, une entreprise française pionnière dans la modification du génome par des nucléases , contrainte de mener ses travaux sur les végétaux aux Etats Unis ou à Emmanuelle CHARPENTIER, titulaire de nombreux prix scientifiques, directrice de l’Institut Max Planck de biologie infectieuse à Berlin, co-découvreuse de la technologie d’édition du génome Crispr-Cas9.
Une meilleure approche du journaliste lui aurait permis de relater que l’INRA, pourtant devenu très prudent sur les questions de plantes génétiquement modifiées, avait publié le 09/11/2018 un rapport sur sa stratégie d’utilisation des technologies d’édition du génome dans le domaine végétal, disant notamment. « Ces technologies sont aujourd’hui des outils de connaissance incontournables…et sont utilisées pour opérer des mutations ciblées sur des gènes identifiées…créer de nouvelles variétés de plantes. L’INRA considère qu’il relève de ses missions de recherche publique, de responsabilité sociale d’explorer les bénéfices potentiels de ces technologies et qu’en amélioration des plantes, ces techniques s’inscrivent dans une logique de durabilité environnementale, économique et sociale, par exemple en vue de la réduction des pesticides de synthèse ou de l’adaptation au changement climatique ».
Arte aurait sans doute pu explorer ces voies et les confronter entre partisans et opposants.
La mutagénèse, télévisuellement représentée dans l’émission par une explosion, sans doute pour causer davantage d’effroi, est utilisée depuis plus de soixante ans pour sélectionner de nouvelles semences. Bien que les techniques anciennes utilisées m’apparaissent aléatoires et peu précises (mutation chimique ou radiation), la mutagénèse n’a pas été remise en cause et a même été exemptée des conditions exigées par les OGM par la directive européenne 2001/18 , car ces méthodes étaient dites traditionnelles.
C’est une ère nouvelle qui s’annonce pour l’agriculture, car le génome editing rend possible des procédés industriels respectueux de l’environnement, qui sont, à mon sens, complémentaires des méthodes de l’agro-écologie. A l’inverse, les traits recherchés ne concernent plus seulement les résistances aux herbicides ou l’amélioration de la productivité, mais le nouveau défi est de développer de nouvelles plantes, moins consommatrices en intrants et notamment en engrais, permettant une meilleure utilisations de l’azote, provoquant une résistance accrue ou allongeant la durée de consommation, mieux adaptés aux changement climatiques, améliorant la qualité nutritionnelle des aliments. On pourrait aussi proposer des variétés plus économes en eau, résistantes aux stress hydrique ou à la salinité…
RépondreSupprimerA mon sens, ces nouvelles techniques de sélection végétale ont même un grand potentiel pour les agriculteurs bio, ce que confirme Urs NIGGLI, Directeur de l’Institut de Recherche sur l’Agriculture Biologique à Zurich (Die Tagezeistung, 06/04/2016)
Un seul exemple illustre ce propos : c’est que les viticulteurs sont aujourd’hui obligés, pour lutter contre le mildiou ou l’oïdium, d’utiliser les produits phytosanitaires ou les produits chimiques, comme le sulfate de cuivre. Ce produit chimique est d’ailleurs toléré dans les cahiers de charge de l’agriculture biologique. Il m’apparaitrait utile de pouvoir, par sélection ou par ces nouvelles technologies, produire des variétés résistantes aux maladies avec des gènes naturels trouvés chez certaines espèces de vigne, ce qui permettrait de réduire le taux de cuivre, toxique pour les sols.L’Europe vient d’ailleurs de limiter les doses de cuivre autorisées de 6 kilos/ ha ( lissé sur 5 ans) à 4 kilos /ha lissé sur 7 ans), soit une baisse de 33%.
Enfin, l’émission a omis de citer l’appel des cents lauréats du prix Nobel en faveur des nouvelles biotechnologies, signée par les Français Claude COHEN-TANNOUDJI, Roger GUILLEMIN, Serge HAROCHE et Jean-Marie LEHN, qui estiment que « continuer les campagnes de dénigrement de ces technologies constituerait un crime contre l’humanité ». La vraie question de fond est en effet de savoir comment dès la deuxième moitié du 20ème siècle on pourra nourrir 10 milliards d’individus sans prélèvements et destructions supplémentaires pour la planète. C’est cette question qui aurait dû être mise en débat, car le pilonnage et l’activisme d’associations auxquelles vous avez donné la parole, ont frappé l’opinion publique sur des risques sanitaires qui, aujourd’hui, avec vingt ans de recul, ne sont pas avérés. Toutes les agences nationales, européennes, internationales ou académiques vont dans ce sens. La contre-étude SERALINI le prouve.
Je pense donc qu’il faut organiser un vrai débat public sur les technologies vertes, qui fasse à la fois le bilan, l’évaluation des impacts dus à la transgénèse et au genome editing. Je suis étonné que la télévision de service public, sur une chaine qui privilégie le sérieux et l’objectivité, ne fasse pas de la pédagogie sur des sujets complexes, abordant ceux-ci avec recul et mettant en discussion les apports scientifiques et médicaux, les bénéfices et les risques.
Ce serait tout à l’honneur d’une chaine comme Arte de l’organiser parce que cette émission m’est apparue à sens unique, ne donnant la parole qu’aux opposants à la technologie de la mutagénèse, s’apparentant plus à la défense d’une thèse qu’à du journalisme d’investigation.
Il y a aujourd’hui une confusion, volontairement entretenue, entre savoirs et croyances qui menacent les fondements de la recherche scientifique. Les risques ne doivent pas être balayés d’un revers de main ,mais plutôt évalués rationnellement, en tenant à distance les croyances, les partis pris idéologiques, la propagande et les discours sectaires. Car, comme le disait fort justement le mathématicien, philosophe et prix Nobel de littérature Bertrand RUSSEL : « La science n’a jamais tout à fait raison, mais hélas elle a rarement tout à fait tort et, en général, elle a plus de chance d’avoir raison que les théories non scientifiques. Il est donc rationnel de l’accepter à titre d’hypothèse ».
RépondreSupprimerJe transmets le double de ce courrier au président du CSA, pour qu’une réflexion globale soit engagée pour faire face aux dérives auxquelles nous assistons.
Je vous prie de croire,Monsieur le Président, à l’expression de mes meilleurs sentiments et je suis prêt à intervenir sur votre plateau, quand vous le souhaitez, défendre ces positions. »
Quel est le fil rouge de ce « reportage ? Depuis 10 ans, on cultive dans le Piémont des riz Clearfield, rendus tolérants à l'imazamox (Pulsar) par mutagenèse « traditionnelle », 90 000 hectares, soit 40 % de la production.
Jusqu'à peu, le monde alter et anti qualifiait ce genre de variétés d'« OGM cachés ». Et puis est venue un arrêt fort contestable de la Cour de Justice de l'Union Européenne qui a constaté que, selon la législation en vigueur, elles sont des OGM, mais des OGM exclus du champ d'application des règles sur les autorisations, l'étiquetage, le suivi, etc.
Quel intérêt ? Désherbage facilité et surtout possibilité de détruire le riz rouge sauvage.
Quelle différence génétique entre une variété tolérant à cet herbicide du fait d'une mutation spontanée et une variété tolérant à cet herbicide du fait d'une mutation induite (ou provoquée) ? Probablement aucune. Quel danger par rapport au soja qui est naturellement tolérant à cet herbicide ? Fondamentalement le même.
En d'autres termes, la gesticulation activiste contre les « OGM cachés » que seraient les variétés ayant acquis une tolérance à un herbicide par mutation est, disons le tout net, de mauvaise foi.
http://seppi.over-blog.com/2019/03/mediatisation-de-l-anti-science-une-longue-lettre-du-citoyen-jean-yves-le-deaut-au-president-d-arte.html
Un écologiste dit à Tucker Carlson: Les énergies renouvelables ne peuvent pas sauver la planète
RépondreSupprimer4 mars 2019
De l'appelant quotidien
Jason Hopkins | Enquêteur Energétique
Le militant écologiste Michael Shellenberger a expliqué à l’animateur de Fox News, Tucker Carlson, qu’il n’était pas possible de transformer complètement le réseau du pays en énergie renouvelable.
«J'étais l'un des fondateurs du premier Green New Deal de 2003 à 2007, en quelque sorte», a déclaré Shellenberger, fondateur de Environmental Progress. "Les gens ne se souviennent pas du président Obama, nous avons dépensé environ 150 milliards de dollars en énergies renouvelables entre 2009 et 2015, et nous avons continué à rencontrer le même genre de problèmes."
Shellenberger a exposé les deux principaux problèmes qui affectent les éoliennes et les panneaux solaires: manque de fiabilité et faible densité énergétique.
«Ils dépendent du moment où le soleil brille et du vent, soit 10 à 40% de l'année», a-t-il déclaré, démontrant que la production intermittente d'énergie éolienne et solaire en faisait des sources d'énergie peu fiables. «Les gens ne sont pas conscients de quelque chose: la faible densité énergétique du soleil et du vent. Ce que nous avons constaté en gros, c’est que plus la densité énergétique du carburant est faible… plus l’impact sur l’environnement est important ».
Parce que le soleil et le vent produisent de si petites quantités d'énergie, selon Shellenberger, ils ont besoin de beaucoup plus de terres pour produire de l'électricité.
Au lieu de cela, le fondateur d'Environmental Progress a vanté les avantages de l'énergie nucléaire, une source d'énergie capable de générer de grandes quantités d'énergie fiable tout en n'émettant aucune émission de carbone. Cependant, Shellenberger a déclaré que le public n'avait pas encore pleinement adopté l'énergie nucléaire, car il l'associait à des bombes nucléaires, à des accidents nucléaires passés et à une volonté d'utiliser une énergie qui s'harmonise avec le monde naturel.
«Cela s’avère être une mauvaise idée car plus nous utilisons de ressources naturelles, plus il en va de l’environnement», a-t-il déclaré.
Plante nucléaire
Centrale nucléaire de Ohu, près de Landshut, en Bavière, en Allemagne. Shutterstock
Alors que les militants écologistes s'inquiètent de la menace du changement climatique, nombreux sont ceux qui réévaluent leur perception de l'énergie nucléaire. L’industrie nucléaire américaine fournit actuellement environ 20% de l’électricité totale du pays, mais environ 60% de son électricité zéro carbone. Un nombre croissant de législateurs axés sur le changement climatique passent maintenant des subventions et des programmes de soutien pour maintenir les centrales nucléaires en exploitation. (CONNEXES: Les législateurs votent massivement pour la modernisation de la flotte nucléaire américaine)
Shellenberger a ajouté qu'il était "très décevant" que le Green New Deal d'Alexandria Ocasio-Cortez, largement médiatisé, n'inclue pas de dispositions relatives à l'énergie nucléaire.
Le document FAQ original d’Ocasio-Cortez sur le Green New Deal appelait en fait à une sortie progressive du nucléaire. Cependant, à la suite de l'échec de l'accord, son équipe a retiré le langage anti-nucléaire de son site Web.
https://wattsupwiththat.com/2019/03/04/environmentalist-tells-tucker-carlson-renewables-cant-save-the-planet/
Une attaque verte bien financée contre le sceptique du climat Tony Abbott
RépondreSupprimer4 mars 2019
Alors que la coalition australienne de centre droit se prépare à une défaite probable lors de la prochaine élection fédérale, de riches investisseurs verts tentent de réduire à néant toute possibilité de retour du sceptique du climat, l'ancien Premier ministre australien Tony Abbott.
Le climat de changement est une aubaine pour Steggall dans le but de renverser Abbott
EXCLUSIF
BRAD NORINGTON
ÉDITEUR ASSOCIÉ
@BradNorington
4h du matin MARS 2019
Zali Steggall a obtenu le soutien de riches investisseurs qui souhaitent une action immédiate sur le changement climatique et pourraient retirer d'importants bénéfices financiers en passant de l'énergie au charbon à l'énergie solaire et à d'autres énergies renouvelables.
Mme Steggall, avocate et ancienne championne du monde de ski alpin faisant campagne en tant qu'indépendante pour chasser Tony Abbott de son siège libéral aux rubans bleus sur les plages du nord de Sydney, fait du changement climatique un élément essentiel de son discours de campagne.
Son affirmation selon laquelle M. Abbott est en décalage par rapport aux électeurs de Warringah, car il soutient le charbon, a permis de rallier le soutien d'individus potentiellement généreux.
Angus Gemmell, Rickard Gardell et Mark Kelly figurent parmi les soutiens locaux de Mme Steggall. Alex Turnbull et Simon Holmes (Cour) comptent parmi les partisans extérieurs ayant un intérêt profond pour le changement climatique et les investissements dans les énergies renouvelables.
…
En savoir plus (paywalled): https://www.theaustralian.com.au/news/nation/climate-of-change-looks-a-windfall-for-steggall-in-bid-to-oust-abbott/news- histoire / eb695d642ee162994f8d4e10e72c6280
Tony Abbott a été renversé de ses fonctions de Premier ministre lors d'un putsch en 2015, après avoir mené la Coalition à une victoire en 2013 sur une plateforme anti-taxe sur le carbone.
Depuis lors, Abbott n'a mis aucun de ses successeurs au défi de retrouver son ancien travail. Au lieu de cela, il a consacré la majeure partie de son temps depuis sa destitution en tant que Premier ministre de son district et à de bonnes actions, telles que la recherche de solutions aux problèmes à long terme. affligeant les communautés autochtones australiennes marginalisées.
Mais même Abbott sur le banc de touche semble être trop risqué pour le blob vert. Ils fournissent donc un énorme trésor de guerre à l’indépendante Zali Steggall pour qu’elle conteste le siège d’Abbott, dans l’espoir d’éliminer la possibilité que Abbott devienne à nouveau Premier ministre.
https://wattsupwiththat.com/2019/03/04/well-funded-green-attack-against-climate-skeptic-tony-abbott/
La mythologie de la science du climat: Il est temps d’être scientifique sur le réchauffement planétaire, a déclaré la climatologue Judith Curry.
RépondreSupprimer4 mars 2019
Du journal de la ville
Guy Sorman Hiver 2019
Nous avons tous rencontré des images d'ours polaires dérivant sur la banquise: victimes emblématiques du réchauffement climatique qui fait fondre les calottes glaciaires, symboles de la menace que fait peser sur notre planète notre production d'énergie incessante, mais surtout le dioxyde de carbone les usines et les automobiles émettent. Nous entendons de plus en plus entendre que nous demandons d’imposer des limites, de changer nos méthodes de gaspillage afin de sauver non seulement les ours, mais aussi la planète et nous-mêmes.
Dans le discours politique et dans les médias, les tempêtes et les inondations majeures sont généralement présentées comme des signes de catastrophe imminente, accompagnées d'invocations à l'environnement et d'appels à respecter Dame Nature. Cependant, seules les catastrophes semblent attirer notre attention et il est rarement mentionné que le réchauffement apporterait également des avantages, tels que l’augmentation de la production de céréales dans des régions auparavant gelées du Canada et de la Russie. Nous n'entendons pas non plus dire que les gens meurent plus souvent par temps froid que par temps chaud. Des voix isolées critiquent l'alarme sur le réchauffement climatique, la considérant comme une thèse pseudoscientifique dont le véritable objectif est de contrecarrer la modernisation économique et la croissance du marché libre et d'étendre le pouvoir des États sur les choix individuels.
N'étant pas moi-même climatologue, j'ai toujours eu du mal à choisir entre ces arguments. Et puis j'ai rencontré Judith Curry chez elle à Reno, dans le Nevada. Curry est une vraie climatologue. Auparavant, elle dirigeait le département des sciences de la Terre et de l'atmosphère du Georgia Institute of Technology, jusqu'à ce qu'elle abandonne l'académie pour pouvoir s'exprimer de manière indépendante. «L’indépendance de l’esprit et la climatologie sont devenues incompatibles», dit-elle. Voulez-vous dire que le réchauffement climatique n’est pas réel? Je demande. "Il y a un réchauffement, mais nous n'en comprenons pas vraiment les causes", dit-elle. "Le facteur humain et le gaz carbonique, en particulier, contribuent au réchauffement, mais jusqu'à quel point fait-il l'objet de débats scientifiques approfondis."
Curry est un érudit, pas un pandit. Contrairement à de nombreux oracles politiques et journalistiques, elle n’opte jamais sans preuves. Et elle a des données à sa disposition. Elle me dit, par exemple, qu'entre 1910 et 1940, la planète s'était réchauffée au cours d'un épisode climatique qui ressemblait beaucoup à la nôtre. Le réchauffement ne peut pas être imputé à l'industrie, a-t-elle déclaré, car à l'époque, la plupart des émissions de dioxyde de carbone résultant de la combustion de combustibles fossiles étaient faibles. En fait, selon Curry, «près de la moitié du réchauffement observé au XXe siècle s’est produit au cours de la première moitié du siècle, avant que les émissions de gaz carbonique ne deviennent importantes». Les facteurs naturels devaient donc en être la cause. Aucun des modèles climatiques utilisés par les scientifiques travaillant actuellement pour les Nations Unies ne peut expliquer cette tendance ancienne. Ces modèles ne peuvent pas non plus expliquer pourquoi le climat s'est soudainement refroidi entre 1950 et 1970, donnant lieu à de nombreuses mises en garde concernant le début d'une nouvelle ère glaciaire. Je me souviens de couvertures de magazine de la fin des années 1960 ou du début des années 1970, décrivant la planète en proie à un gel extrême annihilant. Selon un groupe de scientifiques, nous avons été confrontés à un scénario environnemental apocalyptique, mais à l'opposé du scénario actuel.
Mais les océans ne s’élèvent-ils pas aujourd’hui, j’ai contré, érodant les côtes et menaçant d’inonder les populations les plus basses et les îles entières habitées ? "Oui", répond Curry. «Le niveau de la mer monte, mais cela se fait progressivement depuis les années 1860; nous n'observons pas encore d'accélération significative de ce processus à notre époque. "Là encore, il faut envisager la possibilité que les causes de l'élévation du niveau de la mer soient en partie ou principalement naturelles, ce qui n'est pas surprenant, dit Curry, pour" le climat Le changement est un phénomène complexe et mal compris, impliquant autant de processus. »Blâmer le gaz carbonique émis par les humains n'est peut-être pas scientifique, ajoute-t-elle, mais« certains trouvent rassurant de croire que nous maîtrisons le sujet ». que "rien ne bouleverse beaucoup de scientifiques comme l'incertitude".
RépondreSupprimerCela nous amène à la raison pour laquelle Curry a quitté le monde de l'académie et de la recherche financée par le gouvernement. «La climatologie est devenue un parti politique à tendance totalitaire», a-t-elle déclaré. «Si vous ne soutenez pas le consensus des Nations unies sur le réchauffement climatique causé par l'homme, si vous exprimez le moindre scepticisme, vous êtes un« négateur du changement climatique », un pantin de Donald Trump, un quasi-fasciste qui doit être banni de la communauté scientifique. »De nos jours, le courant dominant de la climatologie n’accepte que les données qui confortent son hypothèse selon laquelle l’humanité est à l’origine du réchauffement climatique. Ceux qui osent s’intéresser aux causes naturelles possibles des variations climatiques - telles que les changements solaires ou les oscillations de la Terre - ne sont pas bien perçus par la communauté scientifique, pour le dire gentiment. Il convient de noter que la rhétorique des alarmistes est passée de «réchauffement climatique» à «changement climatique», ce qui peut vouloir dire n'importe quoi. Ce changement a débuté en 1992, lorsque l'ONU a élargi son éventail de préoccupations environnementales pour inclure tous les changements que les activités humaines pourraient causer dans la nature, en créant un filet si large que peu d'actions humaines pourraient y échapper.
La recherche scientifique devrait être basée sur le scepticisme, sur le réexamen constant des idées reçues: c'est du moins ce que j'ai appris de mon mentor, Karl Popper, le philosophe scientifique ultime de notre époque. Qu'est-ce qui pourrait amener les climatologues à trahir l'essence même de leur vocation ? La réponse, soutient Curry: "la politique, l'argent et la gloire." Les scientifiques sont des êtres humains, avec des motivations humaines; De nos jours, le financement public, les récompenses scientifiques et les promotions académiques vont à l'environnement correct. Pour les climatologues, explique Curry, "une personne ne doit pas trop aimer le capitalisme ou le développement industriel et doit favoriser le gouvernement mondial plutôt que les nations"; pensez différemment et vous vous retrouverez ostracisé. "La climatologie devient une science de plus en plus douteuse, au service d'un projet politique", se plaint-elle. En d’autres termes, «le chariot des politiques mène le cheval scientifique».
Cela a longtemps été vrai en sciences de l'environnement, souligne-t-elle. La controverse sur le réchauffement de la planète a commencé en 1973, pendant l’embargo pétrolier dans le Golfe, ce qui a suscité la crainte, en particulier aux États-Unis, de voir l’approvisionnement en pétrole épuisé. Selon M. Curry, l’industrie nucléaire a profité de la situation pour plaider en faveur de l’énergie nucléaire et a commencé à subventionner des mouvements écologiques hostiles au charbon et au pétrole, comme elle le fait depuis. Le récit réchauffant était né.
La National Aeronautics and Space Administration a joué un rôle dans la propagation de ce récit. Après avoir mis fin à ses expéditions lunaires, la NASA était à la recherche d'une nouvelle mission. Elle a donc construit des modèles climatiques provisoires axés principalement sur le gaz carbonique, car il s'agit d'un facteur facile à identifier et «parce qu'elle est soumise au contrôle humain», observe Curry. Même si ce n’est qu’un des nombreux facteurs à l’origine des variations climatiques, le gaz carbonique est devenu de plus en plus méchant. Les forces bureaucratiques à l'ONU qui promeuvent la gouvernance mondiale - par l'ONU, il va sans dire - se sont ralliées à cette ligne de recherche. Ensuite, les scientifiques ont été invités et incités à prouver qu'un tel projet politique était scientifiquement nécessaire, rappelle Curry. L'ONU a fondé le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) en 1988 pour promouvoir cet agenda, et depuis lors, les climatologues - un groupe de plus en plus visible et florissant - ont embrassé la foi.
RépondreSupprimerEn 2005, j’ai eu une conversation avec Rajendra Pachauri, un ingénieur des chemins de fer indien, qui s’est transformé en climatologue et est devenu directeur du GIEC, qui a reçu le prix Nobel de la paix de 2007 sous son mandat. Pachauri m'a dit, sans gêne, qu'à l'ONU, il n'avait recruté que des climatologues convaincus de l'explication du réchauffement du gaz carbonique, à l'exclusion de tous les autres. Cette extraordinaire collusion permet aujourd'hui aux politiciens et aux commentateurs de déclarer que "la science dit que" le gaz carbonique est à l'origine du réchauffement planétaire, ou qu'il existe un "consensus scientifique" sur le réchauffement, ce qui implique qu'aucune autre étude n'est nécessaire - ce qui n'a aucun sens pour le son visage, car la recherche scientifique ne repose pas sur un consensus mais sur des points de vue contradictoires.
Curry est sceptique quant aux résultats positifs pouvant résulter des traités sur l'environnement, notamment l'accord de Paris sur le climat de 2016. Selon les termes de l’accord, les pays signataires - à l’exclusion des États-Unis, qui se sont retirés du pacte - se sont engagés à réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de stabiliser la température de la planète à peu près au niveau actuel. Pourtant, comme le précise Curry, même si tous les États respectaient cet engagement - une perspective improbable - la réduction de la température en 2100 serait insignifiante de deux dixièmes de degré. Et cela suppose que les prévisions du modèle climatique sont correctes.
Si le réchauffement futur était moins important que prévu, les réductions de température résultant de la limitation des émissions seraient encore plus faibles.
https://wattsupwiththat.com/2019/03/04/climate-sciences-myth-buster-its-time-to-be-scientific-about-global-warming-says-climatologist-judith-curry/
(...) "Oui", répond Curry. «Le niveau de la mer monte, mais cela se fait progressivement depuis les années 1860; nous n'observons pas encore d'accélération significative de ce processus à notre époque. "Là encore, il faut envisager la possibilité que les causes de l'élévation du niveau de la mer soient en partie ou principalement naturelles, ce qui n'est pas surprenant, dit Curry,(...)
SupprimerHors marées, effectivement le niveau des mers & océan peut évolué. Comme cela se passe ? Naturellement ! Il y a qq millions d'années le continent Américain touchait l'Europe et l'Afrique. Puis, une fracture est apparue et l'eau a commencé à baisser. Baisser jusqu'à son niveau actuel mais, notons que c'est TOUS LES JOURS qu'il y a des tremblements de terre et qu'ils sont majoritairement sous océanique et sous marins ! C'est-à-dire qu'il y a des plaques qui s'éloignent l'une de l'autre tandis que d'un autre côté deux plaques se rencontrent.
Lorsque les plaques s'éloignent l'eau pénètre dans la brèche et le niveau descend, tandis que, ailleurs, deux plaques qui se rapprochent créent une îles sous océanique ou maritime. Élévation qui est plus tard appelée 'île' lorsqu'elle émerge. Il y a donc là une élévation du niveau de l'eau.
Rappel qu'il n'y a pas une goutte d'eau en plus ou en moins depuis des milliards d'années.
RÉDUCTION DES ÉMISSIONS DE GAZ CARBONIQUE : CARLOS TAVARES DÉNONCE LE "DIKTAT" DE L'EUROPE
RépondreSupprimerpar MARIE-EVE WILSON-JAMIN
04/03/2019
Carlos Tavares, dans une interview au Figaro estime que la volonté des Européens de réduire sensiblement les émissions de gaz carbonique risque de fragiliser une filière automobile qui emploie 13 millions de personnes.
Interrogé sur la transition écologique et la baisse des émissions de gaz carbonique, le patron de PSA a dénoncé un « diktat » des instances européennes. Pour lui, l'Europe fait preuve d'amateurisme.
Carlos Tavares estime que la réduction des émissions de gaz carbonique met l'industrie automobile en péril
Le président du directoire de PSA a réagi avec force quant à la décision du Parlement de Strasbourg de réduire de 40% les émissions de gaz carbonique des voitures et utilitaires de moins de 3,5 tonnes d’ici 2030. Il prévient : « Le vote du Parlement européen est un vote contre l'industrie européenne. (...) Le chemin qui est pris nous emmène dans l'impasse et ce sera très douloureux. » Carlos Tavares estime donc, à la veille de l'ouverture du salon de l'automobile de Genève, que l'industrie automobile européenne pourrait en pâtir.
Et d'insister quant aux emplois menacés : « Depuis deux mois, l'industrie automobile européenne a annoncé la suppression de plus de 20.000 postes. La volonté d'imposer la correction de trajectoire de l'industrie a parfaitement réussi ! Veut-on aller plus loin encore ? Très bien ! Les entreprises s'adapteront. Mais cela met en risque les 13 millions de personnes qui travaillent dans notre industrie et cela déstabilisera très certainement nos sociétés européennes. »
Le président du directoire de PSA dénonce : « la société a décidé de tuer le diesel »
Le dirigeant ne remet pas en cause le tout électrique mais dénonce encore : « la société a décidé de tuer le diesel. Passons à autre chose. Mais le problème, c'est que les émissions de gaz carbonique augmentent. Donc on nous dit de passer à l'électrification. » Il se demande comment les États pourront financer les réseaux de chargement.
Pour rappel, la France et l'Allemagne ont promis mi-février une nouvelle politique industrielle volontariste prévoyant notamment la mise en place d'un consortium de production des batteries pour les véhicules électriques à travers un investissement commun de 1,7 milliard d'euros. Au final, même s'il n'évouque pas une mission impossible, Carlos Tavares estime : « Le capital initial nécessaire est colossal. »
http://www.economiematin.fr/news-reduction-emissions-co2-tavares-diktat-europe
SupprimerNUL n'empêchera les émissions de gaz carbonique des mers et océans qui couvrent plus de 75 % de notre planète !
Le gaz carbonique n'est PAS un poison et n'a AUCUN pouvoir calorifique. Il ne faut pas confondre avec le diesel qui émet des particules mortelles ! (Plus de 40 000 morts en France chaque année par le diesel !).
Un whisky de Lidl à 16 euros est en lice pour le prix du "meilleur whisky au monde"
RépondreSupprimer1 Mar 2019, 13:00
Adam Jaime/Unsplash
Une bouteille de whisky de Lidl à seulement 15,74 euros est en lice pour remporter le prix du "meilleur whisky", décerné à l'occasion des World Whiskies Awards, dont le palmarès sera dévoilé le 28 mars 2019, selon Capital. Plus de 40 experts internationaux ont dégusté plusieurs whiskies pour la compétition. Le World Whiskies Awards est un événement annuel qui récompense "le meilleur de tous les styles de boissons internationalement reconnus", précise The Independent.
Plusieurs médias s'étaient emballés et avaient annoncé dans un premier temps le triomphe du Queen Margot huit ans d’âge de Lidl, qui serait devenu le meilleur whisky écossais du monde. Mais pour le moment, la bouteille fait simplement partie des whisky goûtés par le jury. Le Queen Margot est produit selon les méthodes traditionnelles de fabrication du whisky, qui comprennent le maltage, le brassage, la fermentation, la distillation et la maturation. Il n'est pas commercialisé en France, mais uniquement dans les magasins britanniques et néerlandais de l'enseigne.
Il contient de l'abricot et de la prune séchés, qui lui confèrent, selon le distributeur, "une douceur et une saveur riches et profondes". Son goût est de plus adouci par les huit années passées dans des fûts de chêne.
Pour rappel, le whisky est fabriqué avec trois ingrédients de base : l'eau, l'orge maltée et la levure. Une fois l'orge séchée, elle est mélangée à de l'eau chaude pour faire du moût. Le moût est ensuite fermenté et distillé, avant d'être stocké dans des fûts en bois pour la maturation.
Si Lidl est primé fin mars, ce ne sera pas une première pour l'enseigne réputée pour ses petits prix. Le distributeur a déjà été récompensé lors d'une cérémonie de remise de prix pour des alcools. En avril 2018, son gin Hortus Artisan Dry a battu des bouteilles commercialisées à un prix bien plus élevé, lors d'un test à l'aveugle réalisé par le Good Housekeeping Institute.
De plus, Lidl a récemment reçu le prix du meilleur gin de supermarché de l'année vendu en marque propre, lors de la remise des prix "Icons of Gin 2019", organisée par le magazine Gin, rapporte The Independent.
https://www.businessinsider.fr/un-whisky-de-lidl-a-16-euros-est-en-lice-pour-le-prix-du-meilleur-whisky-au-monde/
Comment les milliardaires continuent de cacher leur fortune dans les paradis fiscaux, malgré la révélation des Panama Papers
RépondreSupprimerNaomi Barki
Business Insider
27 Fév 2019, 11:03
L'affaire des Panama Papers a éclaté en 2016. Elle désigne la fuite de plus de 11,5 millions de documents issus du cabinet d'avocats Mossack Fonseca, concernant des centaines de milliers d'entités et sociétés de plus de 200 pays différents. Certains noms de milliardaires sont aussi apparus dans les documents. Nous avons interrogé Jake Bernstein, auteur de "Secrecy World", qui nous explique comment les méga-riches cachent des milliards en utilisant des paradis fiscaux et des sociétés écrans. Voici une transcription de la vidéo.
En 2016, 11,5 millions de documents issus de Mossack Fonseca, le quatrième cabinet d'avocats de droit offshore au monde, ont été divulgués. C'est ce que l'on a appelé les Panama Papers. Des centaines de milliers d'entités étrangères et de sociétés fictives liées à plus de 200 pays et territoires apparaissent dans les dossiers. D'éminents dirigeants mondiaux, des politiciens, des hommes d'affaires et des super riches ont été exposés pour avoir utilisé des comptes à l'étranger à des fins d'évitement fiscal, notamment.
Pourquoi vous devriez vous en soucier ? Chaque année, il manque environ 70 milliards de dollars que les États-Unis pourraient utiliser pour les infrastructures, les forces de l'ordre, la santé ou l'éducation. Un montant qui se cache derrière des entreprises fictives et des entités anonymes dans des endroits comme les îles Vierges britanniques. Maintenant, revenons en arrière. Qu'est-ce qu'une entreprise fictive ?
Jake Bernstein : La création d'une entreprise fictive est vraiment très facile. Vous pouvez vous rendre dans un endroit comme le Panama, les îles Vierges britanniques, le Delaware ou le Nevada. Habituellement, ces endroits ont des lois strictes qui ne révèlent pas qui est le bénéficiaire effectif et préservent l'anonymat des titulaires des comptes. Par exemple, vous pourriez avoir un faux dirigeant que vous payez un peu plus cher et qui fait semblant d'être le représentant de l'entreprise.
Ce n'est pas parce que vous avez une entreprise fictive que vous faites nécessairement quelque chose d'illégal. Disons, par exemple, que vous voulez avoir des activités commerciales, mais vous ne voulez pas que certains partenaires commerciaux sachent ce que vous faites. La pratique la plus courante est une forme d'évasion fiscale légale. Je pense que beaucoup de gens aux États-Unis pensent que la fraude et l'évasion fiscales sont des choses qui se produisent dans des endroits éloignés, entourés de palmiers et la brise des océans. Et en réalité, nous avons la même problématique ici.
Le Trésor américain estime qu'environ 300 milliards de dollars par an sont blanchis par les États-Unis. Des étrangers viennent et achètent des biens avec des sociétés fictives anonymes et certains de ces achats sont parfaitement légitimes. Mais il s'agit clairement de blanchiment d'argent et de corruption de fonctionnaires, avec des gens qui dépensent leur argent pour le placer dans un bien immobilier, ce qui empêche ceux qui vivent dans la zone de pouvoir payer sa valeur.
Notre gouvernement prétend qu'il n'a pas assez d'argent pour les infrastructures, les services de santé, la police ou l'éducation, et en même temps il y a énormément d'évasion et de fraude fiscales dans ce milieu clandestin. Les autorités fiscales du monde entier ont collecté plus d'un demi-milliard de dollars grâce à la fuite des Panama Papers.
RépondreSupprimerNarrateur : Sur les 214 000 entités identifiées dans les documents de Panama, environ la moitié d'entre elles sont situées dans les îles Vierges britanniques. Comment ce petit territoire est-il devenu un paradis fiscal aussi vaste ? Mossack Fonseca est un cabinet d'avocats panaméen fondé en 1977. Après l'instabilité au Panama qui repoussait les clients dans les années 80, l'entreprise a découvert que les îles Vierges britanniques étaient un nouveau terrain fertile pour les entreprises fictives anonymes.
Jake Bernstein : Leur vision était d'être le "McDonald's" du système offshore, vous voyez ? Avec des volumes élevés, pour de faibles coûts, et dont le but était de développer ce réseau de sociétés fictives anonymes afin de les rendre accessibles à un public plus large. Au début, c'est un excellent modèle d'affaires, c'est vrai, parce que ce que vous faites, c'est seulement créer cette société fictive anonyme. Vous lui donnez un nom, vous ne vous souciez pas de qui se cache réellement derrière tout cela. Puis vous la rangez dans un dossier et l'oubliez pendant un an jusqu'au renouvellement. Les vérifications entrent en jeu plus tard. Les gouvernements commencent à se rendre compte qu'elles sont utilisées par des criminels, des blanchisseurs d'argent et autres, et ils disent : "Il nous faut plus d'information". Alors j'ai demandé à Jurgen Mossack : "As-tu déjà vu le merveilleux épisode "J'aime Lucy" où elle se trouve dans la chocolaterie et elle essaie de suivre le rythme du tapis roulant, qui va de plus en plus vite ?" Et il m'a répondu : "Oui." C'était tout à fait comme ça à un moment donné.
Nous savons donc que c'est un gros problème, comment cela continue à se produire ?
Jake Bernstein : Il y a beaucoup d'inertie bureaucratique et de réserve dans le fisc, c'est certain. Mais une autre grande partie du problème est que le Congrès a éviscéré le fisc et l'a privé de fonds, il y a aussi eu un grand nombre de départs à la retraite, ce qui a délibérément entravé le fisc et rendu impossible pour celui-ci de poursuivre ce type de fraude fiscale. Une grande partie de ces informations est conservée dans les banques et dans des juridictions qui ne coopèrent pas facilement avec les autorités américaines.
La seule façon pour le fisc de comprendre ce qui se passe, c'est par ces fuites. Et ce sont vraiment ces fuites des dernières années qui ont permis à l'IRS et au reste des citoyens d'avoir une véritable vision du fonctionnement et de l'ampleur de ce système, de son champ d'application global.
Il faut que les gens soient conscients que nous n'avons pas à accepter l'austérité qu'on nous impose. Les Européens nous devancent sur ce point parce qu'ils ont été très durement touchés après la crise financière. Il y a eu des coupes budgétaires importantes dans plusieurs pays. Lorsque ces enquêtes sur les fuites ont commencé à être publiées et qu'ils ont découvert que les méga-riches ne payaient pas leur juste part, les gens se sont mis en colère. Il n’y a pas eu autant de répercussions aux Etats-Unis, mais je suppose que cela se fera dans l'avenir.
Produit par Noah Friedman, Alana Kakoyiannis and Lamar Salter
https://www.businessinsider.fr/video-panama-papers-comment-milliardaires-cachent-fortune-paradis-fiscaux-societes-fictives/
Pourquoi existe t-il ces 'paradis' ? Parce que certains États volent, escroquent ceux qui osent faire des bénéfices, gagner de l'argent ! Nombreux sont ceux qui veulent de prima abord ruiner TOUTES les personnes qui résident dans leur pays !
SupprimerMais, si nous regardons bien ces dictatures, elles ne créent aucun emploi ! (sauf des fonctionnaires ! Rappelez-vous de l'arrivée de Mitterrand en 81 !), c-à-d des personnes payées PAR le Peuple.
La NSA abandonne une partie du programme de surveillance de masse exposée par Snowden
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 03/05/2019 - 11:19
La National Security Agency (NSA) aurait abandonné une partie de leur infâme appareil de surveillance exposé par l'ancien sous-traitant, Edward Snowden, et utilisé pour la collecte en masse des archives de communications des Américains; y compris les journaux de téléphone, les métadonnées et les messages texte.
- voir clip sur site -
Le New York Times a noté que le conseiller à la sécurité nationale du chef de la minorité à la Chambre, Luke Murry, avait déclaré à The Lawfare Podcast que la NSA "ne l'utilisait pas depuis six mois" et qu'il "n'était pas certain que l'administration [de Trump] veuille pour démarrer cette sauvegarde "(malgré la collecte de 530 millions d’enregistrements téléphoniques en 2017)
N'oubliez pas que le rapport de la NYT ne prétend pas que la NSA a abandonné d'autres programmes tels que XKeyscore, que l'agence utilise pour rechercher et analyser des données Internet globales. Interrogé par le diffuseur allemand Norddeutscher Rundfunk "Que pourriez-vous faire si vous utilisiez XKeyscore ?" Edward Snowden a répondu:
Vous pouvez lire les emails de n'importe qui dans le monde, de n'importe qui pour qui vous avez une adresse email. N'importe quel site Web: Vous pouvez surveiller le trafic entrant et sortant. Tout ordinateur sur lequel une personne est assise: Vous pouvez le regarder. Tout ordinateur portable que vous suivez: vous pouvez le suivre lorsqu'il se déplace d'un endroit à l'autre dans le monde. C'est un guichet unique pour l'accès aux informations de la NSA.
... Vous pouvez marquer des personnes ... Disons que vous travaillez dans une grande société allemande et que je veux accéder à ce réseau, je peux suivre votre nom d'utilisateur sur un site Web sur un formulaire quelque part, je peux suivre votre vrai nom, je peux suivre Les associations avec vos amis et moi-même pouvons créer ce que l'on appelle une empreinte digitale, qui est une activité réseau unique en son genre, ce qui signifie que vous allez partout dans le monde, partout où vous essayez de cacher votre présence en ligne, votre identité. -Edward Snowden
Il est à noter que l'ancien directeur des services de renseignements nationaux, James Clapper, a été surpris en train de mentir au Congrès au sujet de la collecte de données en masse de la NSA. En réponse à une question posée par le sénateur Ron Wyden (D-OR) en 2013, "La NSA collecte-t-elle des données sur des millions, voire des centaines de millions, d'Américains ?", Clapper répondit: "Non, monsieur, pas sciemment. "
- voir clip sur site -
Au lieu d'une citation à comparaître du ministère de la Justice pour avoir menti au Congrès, Clapper perçoit maintenant un chèque de paie en tant que contributeur sur CNN.
Initié sous la présidence de George W. Bush en 2001 à la suite des attaques du 11 septembre et exposé par le contractant du renseignement Edward Snowden, le programme de collecte de métadonnées en bloc a été réduit en vertu de la loi de 2015 sur la liberté, qui devait expirer cette année. aux mains de transporteurs tels que AT & T et Verizon auxquels on pourrait accéder rapidement via une ordonnance du tribunal.
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerPourtant, l'ampleur de la collecte est restée énorme: le programme a rassemblé 151 millions d'enregistrements en 2016, malgré l'obtention d'une ordonnance du tribunal pour utiliser le système sur seulement 42 suspects de terrorisme en 2016, avec quelques-uns restants de la fin de 2015. En 2017, il a obtenu des commandes pour 40 cibles et collecté 534 millions de disques.
Des problèmes avec le système sont apparus l'année dernière, lorsque la National Security Agency a annoncé qu'elle avait décidé de supprimer toute la base de données de ses dossiers rassemblés depuis l'entrée en vigueur du système Freedom Act. Glenn S. Gerstell, l'avocat général de l'agence, a déclaré lors d'une interview à l'époque qu'en raison de problèmes techniques complexes, un ou plusieurs fournisseurs de télécommunications - il a refusé de dire lequel - avait répondu aux ordonnances de la cour en envoyant des journaux à l'agence inclus à la fois des données précises et inexactes. -New York Times
L'année dernière, la NSA a reconnu qu'en raison de "problèmes techniques", elle avait collecté des informations sur des personnes aux États-Unis pour lesquelles elle n'avait pas le pouvoir de surveiller. En conséquence, les enregistrements auraient été purgés.
En juin, l'agence a publié une déclaration dans laquelle elle notifiait au public qu'elle avait commencé à supprimer tous les "enregistrements détaillés des appels" (CDR) collectés depuis 2015.
Les CDR sont remis par les opérateurs de télécommunication et contiennent des métadonnées, notamment les numéros de téléphone, ainsi que l'heure et la durée des appels. Le contenu réel des appels eux-mêmes n'est pas surveillé par ce système. Skype (et donc Microsoft) fournit cependant un peu plus au gouvernement américain, comme l'a révélé Edward Snowden, en remettant à la NSA des "listes d'amis, données de carte de crédit, enregistrements d'appels et informations de compte d'utilisateur", et éventuellement le texte en clair à l'intérieur des messages, selon Arstechnica.
À cette fin, le chiffre "choquant" de 2017 de 534 millions de CDR collectés est inférieur au nombre estimé de milliards d'enregistrements collectés chaque jour dans l'ancien système de collecte en vrac de la NSA, dont l'itération précédente avait été révélée par William Binney, dénonciateur de la NSA.
- voir clip sur site -
Comme il est peu probable que le gouvernement américain ait mis un terme à son penchant pour la surveillance, on peut imaginer que la NSA est passée à des technologies plus grandes et de meilleure qualité pour nous garder tous "en sécurité".
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/nsa-abandons-mass-surveillance-program-exposed-snowden
Gilets jaunes: un manifestant atteint aux testicules par un tir de LBD (vidéo choc)
RépondreSupprimer20:22 05.03.2019
C'est durant l'acte 16, samedi dernier, à Nantes qu'un témoin a réussi à filmer une scène d'une brutalité extrême, lorsqu'un jeune qui, apparemment, n'était pas plus violent que les autres, s'est pris un tir de LBD dans les testicules.
La ville de Nantes a enregistré nombre d'incidents durant le dernier acte de la mobilisation des Gilets jaunes. Cependant, cet acte 16 a donné lieu à une scène particulièrement saisissante.
On peut y voir un jeune homme se tordre de douleur après avoir reçu un tir de LBD dans les testicules.
«Je suis désolé pour lui […] Je suis dégoûté pour lui», déclare l'auteur de la vidéo sans pouvoir faire quoi que ce soit pour le blessé.
D'autres témoins cherchent les pompiers pour prodiguer les premiers soins à la victime, mais il semble qu'il n'y ait personne pour l'aider.
Nantes vient justement de faire parler d'elle avec une vidéo choc présentant un homme qui tient une grenade et qui menace les personnes alentour: «Vous reculez de 50 mètres! Ou je dégoupille !»
Cette vidéo a été postée sur les réseaux sociaux le 3 mars, mais a déjà été vue plus de 150.000 fois.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040258267-france-gilets-jaunes-nantes-blesse-testicules/
Castaner contre-attaque face aux accusations du député matraqué, LFI quitte l’hémicycle
RépondreSupprimer20:16 05.03.2019
Évoquant devant l’Assemblée nationale le cas des violences policières, Loïc Prud'homme, le député Insoumis qui affirme avoir été matraqué par les forces de l’ordre, s’est adressé à Christophe Castaner pour demander le départ du préfet de Gironde. Suite à la réponse du ministre, les députés La France Insoumise ont quitté l’hémicycle.
Le député La France insoumise de Gironde Loïc Prud'homme, qui affirme avoir été victime de violences policières alors qu'il quittait pacifiquement la manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux, a dénoncé ce fait devant l'Assemblée nationale en s'adressant au ministre de l'Intérieur pour exiger le départ du préfet de Gironde.
Pour lui, l'incident est la preuve d'un glissement autoritaire de la part du gouvernement.
«Ceci est révélateur de la dérive autoritaire de votre gouvernement. Chaque samedi de plus en plus des citoyens et citoyennes pacifiques sont frappés, mutilés, mis en garde à vue avec une doctrine de maintien de l'ordre qui ne fait qu'exacerber la violence», a lancé M. Prud'homme.
Avant d'ajouter:
«Dois-je me cacher pour éviter la répression politique et l'arbitraire ?»
Christophe Castaner a ensuite critiqué le comportement de Loïc Prud'homme.
«Il me semble que ce n'est pas la place d'un député que d'être dans un lieu interdit pour une manifestation, et que ça n'est pas l'attitude d'un député que de se retourner, de provoquer, de baisser le bouclier de protection des forces de l'ordre», a-t-il déclaré.
Tandis que les applaudissements de la majorité ont accompagné les mots du ministre, les députés La France Insoumise quittaient l'hémicycle en criant «honte à vous».
À son retour, après la séance des Questions au gouvernement, le chef de file des députés Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, a jugé ces applaudissements «extrêmement choquants».
«Il n'est pas acceptable que le ministre de l'Intérieur envoie un message qui crée un trouble ou donne le sentiment que l'on puisse légitimer de frapper un député», a-t-il affirmé.
Plus tard, le député girondin matraqué a répondu sur son compte Twitter au ministre de l'Intérieur en reprochant à Christophe Castaner de le traiter «de menteur et de provocateur».
Dans une vidéo réalisée alors qu'il quittait les lieux de la mobilisation, Loïc Prud'homme affirme avoir été «matraqué par les forces de l'ordre» alors qu'il «rentrait tranquillement récupérer [son] vélo», montrant une oreille ensanglantée.
https://fr.sputniknews.com/france/201903051040257472-castaner-accusations-depute-matraque-lfi/
Cinq risques liés au développement de l'intelligence artificielle
RépondreSupprimer19:29 05.03.2019
Plusieurs personnalités de renom, notamment le physicien légendaire Stephen Hawking et l'innovateur Elon Musk - qui dirige les compagnies Tesla et SpaceX - ont déjà averti que l'intelligence artificielle (IA) pourrait s'avérer dangereuse.
«Aussi dangereuse que le dictateur de Corée du Nord», selon Elon Musk, l'intelligence artificielle ne cesse d'inquiéter, écrit le site d'inforamtion Vestifinance. Le fondateur de Microsoft, Bill Gates, suppose qu'il y a des raisons d'être prudent avec l'intelligence artificielle, mais qu'elle pourrait être bénéfique si elle était utilisée de manière appropriée.
Étant donné que l'IA et les secteurs afférents se développent très rapidement, beaucoup d'acteurs du marché réfléchissent également aux risques potentiels associés à cette technologie. En général, cette dernière est évoquée quand il est question de machines «intelligentes», notamment de véhicules autonomes. Et bien que la plupart des dispositifs modernes aient été créés pour servir l'humanité, les experts pensent que tout instrument puissant peut être utilisé pour nuire s'il se retrouve entre de mauvaises mains.
Bien que la machine dotée d'une super-intelligence n'ait pas encore été inventée, il existe plusieurs questions juridiques, politiques, financières et de régulation à régler pour se préparer au fonctionnement sûr d'un tel système. Même en l'absence d'un tel appareil polyvalent, l'IA pourrait dès à présent de comporter des risques.
Une arme autonome
L'IA peut être programmée pour accomplir quelque chose de dangereux. Par exemple, une arme autonome est programmée pour tuer. Et c'est l'un des risques de l'IA. Les experts supposent que la course nucléaire pourrait finalement dégénérer en course mondiale aux armes autonomes.
De plus, l'arme autonome pourrait commettre un acte selon son propre entendement, et le fait qu'un tel dispositif puisse se retrouver entre les mains d'un gouvernement peu regardant sur les vies humaines représente une menace encore plus réelle. Si elle était déployée un jour, il serait extrêmement difficile de la retirer.
Manipuler l'opinion publique
Grâce aux algorithmes automatiques, les réseaux sociaux sont très efficaces dans le marketing ciblé. Ils savent qui vous êtes, ce que vous aimez et peuvent très bien deviner ce à quoi vous pensez.
L'enquête se poursuit sur le cas de Cambridge Analytica et d'autres sociétés afférentes qui ont utilisé les informations de 500 millions utilisateurs de Facebook afin de prédire l'issue de la présidentielle américaine de 2016 et du référendum sur le Brexit au Royaume-Uni. Si ces accusations étaient confirmées, cela révélerait les immenses capacités de l'IA en matière de manipulation de l'opinion publique.
En diffusant la propagande aux personnes identifiées à l'aide d'algorithmes et de données personnelles, l'IA peut propager toutes les informations nécessaires au format qui paraîtra le plus convaincant, qu'il s'agisse de la vérité ou d'un mensonge.
L'ingérence dans la vie privée
RépondreSupprimerA l'heure actuelle, il est possible de suivre et d'analyser chaque pas de l'homme sur internet, ainsi que ce que les gens font dans le cadre de leurs affaires. Les caméras se trouvent pratiquement partout, et les mécanismes de reconnaissance faciale permettent de savoir qui vous êtes.
Ces mécanismes contribuent au développement d'un système de crédits sociaux en Chine, qui offre à chaque habitant du pays un certain nombre de points en fonction de leur comportement.
Les autorités relèvent les infractions telles que traverser la route au feu rouge, fumer dans un lieu interdit, ou encore le temps passé à jouer aux jeux vidéo. Big Brother surveille et prend des décisions à partir de ces informations. Ce n'est pas seulement une ingérence dans la vie privée: cela pourrait également mener à un harcèlement social, craignent les analystes.
Une divergence d'objectifs entre l'homme et les machines
Les humains apprécient les machines dotées d'une IA pour leur efficacité. Mais si aucun objectif clair n'était défini pour la machine, cela pourrait être dangereux car elle pourrait en nourrir de bien différents des nôtres.
Par exemple, l'ordre «amène-moi à l'aéroport le plus vite possible» pourrait avoir des conséquences inattendues.
Si nous ne précisons pas que le code de la route doit être respecté en toute circonstance, la machine pourrait exécuter l'ordre littéralement et amener le passager à l'aéroport le plus vite possible, tout en laissant sur son chemin de nombreuses victimes.
Étant donné que les machines peuvent recueillir, suivre et analyser toutes les informations sur nous, il est fort probable qu'elles puissent aussi les utiliser contre nous. On s'imagine facilement une compagnie d'assurance refuser de vous assurer à partir d'informations révélant le nombre de fois qu'une caméra vous a pris en train de téléphoner au volant. Ou encore un employeur potentiel pourrait refuser de vous embaucher à cause de votre «classement social».
Toute technologie peut être utilisée de manière déviée. L'IA est utilisée aujourd'hui pour améliorer la qualité du diagnostic médical, trouver de nouveaux moyens pour soigner le cancer ou améliorer la sécurité des voitures.
Malheureusement, au fur et à mesure que les capacités de l'IA s'élargissent, elle pourrait devenir dangereuse ou être utilisée à mauvais escient. C'est pourquoi il est si important de parler des possibilités de rendre l'IA sûre et de minimiser son potentiel destructif.
https://fr.sputniknews.com/presse/201903051040254660-intelligence-artificielle-risques-avertissement/
SupprimerD'abord, ce n'est pas avant 2030 qu'on verra 'l'Intelligence Artificielle' débarquer. Mais, ce rapprochement entre la réalité et la fiction est un peu trop voyant pour ne pas y prêter attention. Effectivement, aujourd'hui, des idiots nomment toutes calculettes de poche au rang prestigieux 'd'Intelligence Artificielle' !! Le doute n'est plus permis; 1+1 font bien 2 et, si demain cette même calculette nommée 'Révélation du siècle' dit 1+1=3 tout le monde sera censé la croire sans réfléchir car, il y a des calculs très compliqués qui ne sont jamais examinés.
Donc, il faut se méfier de ses faux drapeaux quotidiens dans les merdias où toutes les décisions seront censés partir de la calculette 'Révélation du siècle' !
C'est le 'que nous réserve l'ensuite' qui est effrayant aux vues de ce qui se passe les samedis et la réponse qui est faite aux français !
Smart Phones, Smart Appliances, ... Smart People ? Une puce cérébrale créera des humains super intelligents
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 03/05/2019 - 19:25
Écrit par Dagny Taggart via le blog Organic Prepper,
Et si vous pouviez avoir une puce dans votre cerveau qui augmenterait votre intelligence ? Serais tu intéressé ?
Bien que ce type de technologie d'interface cerveau-ordinateur puisse sembler sortir d'un roman de science fiction dystopique, les scientifiques travaillent dur pour le développer, et il sera probablement disponible dans un proche avenir.
Cela donne un tout nouveau sens à l'expression «personne intelligente».
Les scientifiques développent actuellement des puces intelligentes pour le cerveau humain.
Dans une interview avec CBS Chicago, le Dr Moran Cerf, neuroscientifique de la Northwestern University, a déclaré qu'il travaillait sur une puce intelligente pour le cerveau.
«Dans à peine cinq ans, des gens très intelligents pourraient marcher dans la rue; hommes et femmes qui ont payé pour augmenter leur intelligence », indique le rapport.
Le Dr Cerf, qui a déclaré qu'il "collaborait avec les grosses perruques de la Silicon Valley qu'il préfèrerait ne pas nommer", a expliqué que la puce intelligente permettrait "de faire en sorte qu'elle dispose d'une connexion Internet et passe sur Wikipedia, et quand je pense que cela pensé, cela me donne la réponse. "
"Tout le monde passe beaucoup de temps en ce moment à essayer de trouver des moyens d'obtenir des informations dans le cerveau sans percer un trou dans le crâne", a déclaré Cerf. “Pouvez-vous manger quelque chose qui va réellement atteindre votre cerveau ? Pouvez-vous manger des choses dans des parties qui vont s'assembler dans votre tête ? "(Source)
Je ne sais pas pour vous, mais je trouve l’idée de cette information troublante: «Tout le monde passe beaucoup de temps à essayer de trouver de nouveaux moyens d’introduire des choses dans le cerveau».
Qui est «tout le monde» et quel est leur agenda ? Quel genre de «choses» veulent-ils entrer dans notre cerveau, exactement ?
Quelles sont les conséquences éthiques des humains super intelligents ?
Des humains super-intelligents sont sans aucun doute à venir, mais de graves questions se posent quant aux conséquences.
Bien qu'il travaille lui-même sur le projet, Cerf reconnaît que ce type de technologie pose d'importants problèmes éthiques:
Cerf s'inquiète de la création de lacunes en matière de renseignement dans la société; s'ajoutant aux inégalités de genre, raciales et financières existantes.
«Ils peuvent gagner de l'argent simplement en pensant aux bons investissements, et nous ne pouvons pas; alors ils vont devenir plus riches, ils vont devenir en meilleure santé, ils vont vivre plus longtemps », a-t-il déclaré. (la source)
Bien que ce soit bien que Cerf ait évoqué ces préoccupations lors de la courte interview de CBS, on peut se demander pourquoi il est toujours intéressé par le projet.
Le QI humain moyen est de 100. Les personnes avec une puce intelligente Cerf implantée dans leur cerveau auraient un QI d’environ 200, ce qui soulève une question importante: ces personnes «super intelligentes» voudraient-elles même avoir des échanges avec des humains «moyens» ?
RépondreSupprimer"Est-ce qu’ils vont dire:" Regarde cet humain mignon, Stephen Hawking. Il peut faire des équations différentielles dans son esprit, comme un petit bébé avec 160 points de QI. N'est-ce pas incroyable ? Tellement mignon. Maintenant, remettons-le dans une cage et donnons-lui des bananes », a déclaré Cerf. (la source)
Bien sûr, Cerf n’est pas le seul à travailler sur ce type de technologie.
Combien de temps faudra-t-il avant que les interfaces cerveau-ordinateur ne deviennent un mode de vie ?
Bien qu'ils sonnent comme de la science-fiction, les implants cérébraux et d'autres types de liens neuronaux, tels que les interfaces cerveau-ordinateur (BCI) entre le cerveau et Internet, deviennent rapidement une réalité.
Le mois dernier, nous avons signalé qu’une équipe de neuro-ingénieurs de l’Université de Columbia avait créé un système de lecture de l'esprit qui utilisait l'intelligence artificielle pour traduire les pensées des gens en discours intelligible et reconnaissable.
Et la Chine déploie déjà une technologie de surveillance émotionnelle qui extrait les données de l’esprit de ses citoyens. "Ils exploitent essentiellement l’exploration de données en lisant leur cerveau", a expliqué Meadow Clark.
Les géants de la technologie sont très intéressés par la possibilité de lire dans les pensées.
Et, comme vous l'avez probablement entendu dire à présent, Facebook travaille à la construction de produits similaires avec un projet souvent appelé «Building 8». Le géant de la technologie a récemment transféré ses projets de matériel expérimental (notamment une interface ordinateur-cerveau, une robotique «douce» et un projet «d'entendre» à l'aide d'un appareil porté à la peau) du bâtiment 8 vers une division appelée Facebook Reality Labs.
Dans un article intitulé Questionner la vision de Facebook sur les dispositifs contrôlés par le cerveau, Bryan Clark présente certaines préoccupations légitimes concernant le projet de Béhémoth sur les médias sociaux:
Bien que la plupart d’entre nous craignent l’impact du suivi des cookies sur l’envoi de données aux sociétés d’analyse et aux annonceurs, l’avenir pourrait très bien consister en une connexion de nos cerveaux aux appareils responsables. Au lieu de mesurer l'affinité pour une marque ou d'afficher des annonces relatives en surveillant votre consommation de contenu, l'avenir de la sécurité pourrait tirer ces pensées directement de votre cerveau.
Pire encore, une fois la connexion établie, il y a peu de limitation du nombre de données que nous partageons, mis à part la confiance dans les entreprises qui ne nous exploitent pas. Je peux presque entendre le roulement du regard. Et vraiment, n’y a t-il pas d’autre personne qui se demande pourquoi Facebook - l’une des plus grandes plateformes de publicité au monde - a ajouté cela à sa feuille de route de 10 ans ?
Je vais vous laisser avec une autre pensée terrifiante. Une fois la connexion établie, nous communiquerons avec nos appareils les plus utilisés en n’utilisant que notre esprit. Cela vaut la peine d’être enthousiasmé, mais avec prudence, et seulement avec des réponses à des questions importantes, telles que: comment me déconnecter des casques AR / VR, des trackers de fitness, des ordinateurs portables, des appareils mobiles, de la technologie de la maison intelligente et de ma voiture connectée à mon cerveau ? (la source)
RépondreSupprimerBien qu'ils nous avertissent, ils travaillent toujours sur la technologie d'interface cerveau-ordinateur.
Elon Musk - qui avait auparavant averti l'humanité des dangers possibles de l'intelligence artificielle - développait une interface cerveau-ordinateur chez Neuralink, une entreprise secrète qu'il avait fondée en juillet 2016.
Dans une interview pour novembre 2018, Musk a déclaré à Axios que son projet était de développer une interface cerveau-ordinateur à base d'électrodes pour neurones, ou ce qu'il a appelé «une puce et un groupe de minuscules fils».
Musk a expliqué que «l’aspiration à long terme avec les réseaux de neurones serait de réaliser une symbiose avec l’intelligence artificielle et de parvenir à une démocratisation de l’intelligence telle qu’elle ne soit pas détenue de manière monopolistique sous une forme purement numérique par les gouvernements et les grandes entreprises…. s'assurer que l'avenir constitue la somme de la volonté de l'humanité? Si nous avons des milliards de personnes avec le lien à large bande passante vers le I.I. une extension d'eux-mêmes, cela rendrait tout le monde hyper intelligent. "(source)
Serons-nous capables de nous retirer et de survivre ?
Dans un article incitant à la réflexion et intitulé «Des implants cérébraux sont en cours - êtes-vous prêt pour le vôtre?», Gerd Leonhard, humaniste et futuriste, soulève de nombreuses inquiétudes quant aux conséquences possibles des BCI, mais le plus terrifiant est peut-être celui-ci:
Ce qui me préoccupe le plus - et ce que vous devez également prendre en compte - est de savoir si nous aurons même le choix de ne pas participer si les BCI sont mises en œuvre. En supposant que les avantages de ces technologies soient si nombreux, serons-nous capables de trouver un bon emploi sans un BCI? Serons-nous capables de nous retirer sans devenir inutiles, comme quelqu'un qui tient à cogner sur une machine à écrire ou à envoyer des télégrammes au lieu d'utiliser un ordinateur? (la source)
La possibilité que nous perdions nos traits uniquement humains est également troublante:
De la même manière, les implants peuvent, avec le temps, résoudre la plupart des problèmes éthiques et devenir la norme dans la société en général - et même conduire à une législation facilitant et légitimant leur utilisation. L’intelligence artificielle fera ensuite son chemin dans toutes les parties de notre vie et un jour, nous ne pourrons plus fonctionner sans elle, nous perdrions notre indépendance et beaucoup de ce qui nous rend humains. (la source)
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/smart-phones-smart-appliances-smart-people-brain-chip-will-create-super-intelligent
Intelligence Artificielle II !
SupprimerPendant la guerre en Irak, les Americains se sont 'amusé' à projeter des idées (des ordres) vers des irakiens: "Lève-toi et va chercher une bouteille de Coca-Cola" ! Ce qui fut fait. On appelle çà le pouvoir des ondes ou la technologie scalaire.
C'est aussi ce qui se fait avec une casque sur la tête car, l'implantation d'une puce est aléatoire et risque de poser problème là où il faut la mettre !
Quand à 'l'augmentation du Q.I'.... Hahahaha ! C'est idem que sur les machine, soit: zéro !
Car, l'intelligence venue d'un autre est comme un ordre reçu. Ce n'est pas parce que l'on écoute le professeur que l'élève peut se prétendre professeur !
L'humain supplantera TOUJOURS la machine. Il ne faut pas confondre rapidité/mémoire et intelligence ! La machine (robot, ordi) sera toujours plus rapide et fiable en précision que l'humain, elle sera toujours d'une capacité mémorielle supérieure à l'humain (elle peut engranger des millions d'encyclopédies, de films et de sons) mais... elle ne fait QUE rapporter ce que lui a fourré l'humain dans ses paramètres et mémoires !
Tandis que l'humain lui, peut sentir l'effet de brise, de temps à la pluie, il a des amis, des parents, des souvenirs d'enfance, des sentiments, de l'amour, des préférences, des idées nouvelles, tandis que la machine... ne peut pas et, n'y arrivera probablement JAMAIS !
Alors, cessons svp de parler d''Intelligence Artificielle'.
La catastrophe américaine: les décès dus à la drogue, à l'alcool et au suicide atteignent des niveaux record
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 03/05/2019 - 18:05
Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,
Depuis que le gouvernement des États-Unis a commencé à rechercher la cause du décès en 1999, les suicides, l'alcool et les décès liés à la drogue ont grimpé en flèche pour atteindre des niveaux record. Les nouvelles données des Centers for Disease Control and Prevention montrent que les Américains meurent plus jeunes alors que l'espérance de vie continue de chuter.
Les sentiments de désespoir et de désespoir sont accablants aux États-Unis. À tel point que les gens se tournent vers l’alcool, la drogue et le suicide pour atténuer leurs souffrances. L'esclavage du gouvernement et la mainmise sur l'économie rendent la vie encore plus difficile à ceux qui ont déjà du mal à s'en sortir. Et cela se voit dans les nouveaux nombres de morts publiés.
Le taux national de décès dus à l’alcool, à la drogue et au suicide est passé de 43,9 à 46,6 décès pour 100 000 habitants en 2017, soit une augmentation de 6 %, a rapporté mardi le Trust for America’s Health et le Well Being Trust. Il s’agit d’une augmentation plus lente que celle des deux années précédentes, mais supérieure à l’augmentation annuelle moyenne de 4% depuis 1999, a rapporté USA Today.
Le plus troublant est peut-être le fait que le nombre de décès par suicide est passé de 13,9 à 14,5 pour 100 000, ce qui représente une augmentation de 4 %. C'était le double du rythme annuel moyen de la décennie précédente. Le psychologue Benjamin Miller, responsable de la stratégie du Well Being Trust, a déclaré que des efforts plus importants étaient nécessaires pour s'attaquer aux causes sous-jacentes de la consommation d'alcool et de drogues et du suicide. «C’est presque une plaisanterie de voir à quel point nous essayons de résoudre ces problèmes», dit-il. "Nous ne changeons pas de direction et la situation empire."
C’est parce que les gens n’ont plus aucun contrôle sur leur vie. Le gouvernement contrôle chaque aspect de la vie de chacun et les médias sociaux contribuent à aggraver le problème en donnant souvent l'impression aux gens de ne pas en avoir assez ou de ne pas pouvoir "suivre le rythme des Jones". Les êtres humains ont besoin et méritent d'être libres; c’est un droit humain fondamental. Une fois que ce droit et ce libre arbitre ont été enlevés, il ne reste plus grand chose pour qui que ce soit. Malheureusement, ce n’est pas une pensée populaire, mais il faut le dire. Et les problèmes causés par le contrôle gouvernemental ne peuvent être résolus par un contrôle gouvernemental accru.
La vérité est que le grand gouvernement ne va pas nous sauver. Les gens n’ont pas besoin de plus de bureaucrates du gouvernement leur disant comment gérer leur vie. Au lieu de cela, ce dont les gens ont vraiment besoin, c'est de trouver un sens et un but à la vie, et ce n'est pas quelque chose que le grand gouvernement va fournir. –Michael Snyder, L'effondrement économique
Psychology Today a écrit qu’en 1755, dans Of Suicide, David Hume faisait valoir que, même si «un seul pas» pouvait mettre fin à sa misère, c’est vraiment être libre. Si on ne peut pas être libre dans la vie, il le sera dans la mort. Hume propose de "restaurer la liberté des hommes", en examinant tous les arguments courants contre le suicide et en démontrant que le suicide est "exempt de toute imputation de culpabilité ou de blâme".
La perte de contrôle sur sa vie (telle qu’un abus sexuel forcé) semble être une cause fréquente même dans l’article écrit par USA Today. Cependant, Miller admet que si les antidotes contre les surdoses et le traitement des troubles liés à la consommation d'opioïdes sont absolument nécessaires dans le monde d'aujourd'hui, il ne «résoudra pas» les problèmes sous-jacents qui poussent les gens à mettre fin à leurs jours, qu'ils soient intentionnels ou non ».
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/american-catastrophe-drug-alcohol-suicide-deaths-hit-record-levels
PORTRAIT LA STAR VÉGANE CHANGE DE DIÈTE ET DEVIENT UN RENÉGAT
RépondreSupprimerSportif de haut niveau, le Britannique Tim Shieff dit avoir recommencé à manger des protéines animales pour sauver sa santé. Ça passe mal.
Face caméra durant 16 minutes Tim Shieff a tenté d'expliquer à ses fans pourquoi il a renoncé au véganisme. Beaucoup ne l'acceptent pas.
PAR RENAUD MICHIELS
06.03.2019, 06h45
Vedette mondiale du free-running et d'émissions de TV, icône végane, source d’inspiration, le Britannique Tim Shieff avait renoncé à toute protéine animale depuis six ans. Il y a trois ans, le «Guardian» publiait une interview de lui intitulée «Devient végane pour sauver la planète». Mais aujourd’hui, brutalement, pour certains véganes, Tim Shieff est devenu un paria, un renégat. Pourquoi ? Car il a expliqué avoir recommencé à manger des protéines animales. Pour sa santé.
Sur YouTube, Tim Shieff est suivi par près de 180 000 personnes. Ses vidéos donnaient d’abord à voir ses exploits sportifs. Mais elles parlaient toujours plus de santé. Jusqu’à une nommée «Suis-je encore végane ?», publiée le 15 février. Soit 16 minutes d’explications face caméra. Et la réponse à sa propre question est non: «je mange des œufs locaux et du saumon sauvage», lâche-t-il.
Il buvait son urine
Avant d’en arriver là, Tim Shieff décrit sa santé, qui déclinait beaucoup depuis trois ans. Il cite la fatigue, la dépression, des troubles de la concentration, des raideurs articulaires, des soucis digestifs, des muscles toujours plus fragiles, une perte d’explosivité. Ainsi qu’une «obsession» de guérir qui grandissait en lui.
Le trentenaire raconte ensuite avoir tout tenté ou presque pour trouver une solution compatible avec ses valeurs antispécistes: plus d’herbes, un régime riche en graisses, un autre pauvre en graisses, des suppléments, des injections. Ou dit avoir bu de sa propre urine durant des mois.
Une étonnante confession
L’homme a fini par manger des œufs et du poisson, et s’est senti physiquement rapidement mieux. Et il lâche en passant une étonnante confession. «La première nuit après avoir mangé du saumon, j’ai eu un rêve mouillé. Je n’avais pas éjaculé depuis des mois.»
Tim Shieff explique se sentir mieux. Il dit sa reconnaissance envers son parcours de vie végane. Et soutenir pleinement tous ceux choisissent ce style de vie. Mais ce n’est plus le sien. «Pour moi, il y a quelque chose de naturel à consommer des produits d’origine animale. Et je dois trouver la paix avec ça.»
Des explications qui ne passent pas
Sur YouTube, les plus de 4500 commentaires sont partagés. On salue son courage. Des proviandes glissent qu’il a enfin retrouvé la raison. Un végane note: «Désolé mais vous avez dit avoir eu un rêve mouillé après avoir mangé un animal assassiné, étouffé?»
Tim Shieff, depuis, n’est plus l’ambassadeur de la marque de vêtements végane ETHCS, dont il est l’un des fondateurs. Et il a publié d’autres vidéos, présentées comme des discussions, pour tenter d’expliquer encore et encore son parcours et sa décision.
RépondreSupprimerLe «roi de la pisse»
Il dit avoir perdu des amis. Son business. Le «respect de toute mon audience». Il comprend avoir déçu mais estime que le plus déçu, c’est lui-même. Mais plaide: «Si vous êtes végane et que ça vous va, super, continuez! Mais ça ne va pas, restez ouverts.»
Mais les commentaires sont toujours plus acerbes. On le taxe d’extrémiste, de renégat, de «roi de la pisse», on fustige son ego, son manque de compassion pour les animaux. On lui intime de cesser son «mauvais drame» comme d'arrêter «de faire des vidéos sur le véganisme». On trouve aussi des insultes ou des remarques telles que: «c’est étrange ce manque de compassion pour les vaches quand on a un regard aussi bovin»... Pour certains, l’icône est manifestement devenue un traître à la cause. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/monde/star-vegane-change-diete-devient-renegat/story/16238771
Le Green New Deal poursuit la «guerre contre la viande»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 03/05/2019 - 20:05
Auteur Jose Nino via The Mises Institute,
La guerre contre la viande est de retour dans l'action.
Il y a un an, j'ai écrit sur la «guerre contre la viande» qui se déroule dans l'ouest du pays, où des agences gouvernementales associées à plusieurs groupes d'activistes basés dans des usines ont mené une action concertée pour démoniser la viande. Certains plans qu’ils ont présentés consistent à taxer la viande afin de réduire sa consommation.
Avec le «Green New Deal» récemment dévoilé, les tambours de guerre qui battent contre le boeuf n’ont fait qu’augmenter. Tout comme son prédécesseur du 20ème siècle, le Green New Deal est un paquet législatif économiquement analphabète. Robert Murphy a écrit deux articles fantastiques qui réfutent bon nombre des politiques erronées incluses dans le Green New Deal, telles que les dépenses excessives et la réglementation.
Cependant, cet article se concentrera sur les aspects d'ingénierie sociale du Green New Deal. Plus précisément, sa vision anti-viande.
Blame Viande pour le réchauffement climatique
Dans la fiche FAQ du Green New Deal, il y avait une section soulignant les différences entre l’obtention d’une énergie «100% propre et renouvelable» et d’une énergie «100% renouvelable». Selon les défenseurs du Green New Deal, les émissions provenant des «vaches qui pétent» (gaz de shiste) sont ce qui entrave la réalisation d’une source d’énergie purement propre et renouvelable.
Cette affirmation a été ridiculisée sur Internet. Cependant, l'idée d'un programme gouvernemental qui contraindrait les éleveurs et les agriculteurs à abattre des animaux de ferme pour se conformer à un agenda politique n'est pas si farfelue. En fait, ce n’est même pas sans précédent.
Dans le New Deal original introduit dans les années 1930, le gouvernement fédéral prenait des mesures extraordinaires pour lutter contre la Grande Dépression. L'un d'entre eux était la loi sur l'ajustement agricole de 1933, qui prévoyait que le gouvernement fédéral procède à des «réductions d'urgence du cheptel». Les New Dealers affirmèrent qu'il y avait une surabondance de porcs qui était responsable de la baisse des prix du bétail. Dans son zèle pour «sauver» le pays, le gouvernement a commencé à acheter et à massacrer du bétail. Tom Woods explique en détail comment l'AAA a conduit à l'abattage de «quelque six millions de porcs», dans le but d'essayer de maintenir les prix élevés en période de crise.
Lorsque nous abordons rapidement le présent, nous devons maintenant parler de la réduction des émissions de méthane provenant des vaches. Comment cela sera-t-il réalisé ? Le Green New Deal n’a que très peu de détails, mais compte tenu de l’orientation idéologique de ses partisans, il n’est pas surprenant de dire qu’il s’agira de mandats émanant du gouvernement. Qui sait, l'abattage obligatoire des animaux pourrait faire son grand retour.
Quels que soient les détails exacts du Green New Deal, il s’agit bien d’un successeur spirituel au New Deal original.
La science est-elle la réponse aux questions politiques ?
Les débats sur le réchauffement climatique sont controversés et suscitent souvent des réactions davantage fondées sur la politique que sur la science objective. Cet article n’apportera aucun argument scientifique contre le Green New Deal, mais certaines études montrent que les croyances fanatiques du Green New Dealer contre la viande pourraient être mises en doute si elles étaient examinées au microscope.
L'argument selon lequel les bovins contribuent de manière significative au réchauffement planétaire n'est pas figé à 100 %. En fait, l’Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis estime que les émissions directes de gaz à effet de serre provenant des bovins et de leur fumier ne représentent que 2 % des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis.
RépondreSupprimerVirginia Tech et USDA-ARS ont également contesté le lien entre le bétail et le réchauffement climatique. Ils sont parvenus à la conclusion que l'élimination de l'élevage de la production agricole ne réduirait que les émissions de gaz à effet de serre des États-Unis de 2,6 % ou 3,6 % au niveau mondial.
Utiliser le bœuf comme bouc émissaire pour l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre n'a rien de nouveau.
En 2006, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a publié une étude intitulée «Long Shadow Long Shadow», selon laquelle la production de viande représentait 18% des émissions de gaz à effet de serre. Cette histoire, cependant, a été immédiatement critiquée par Frank Mitloehnener de l'Université de Californie à Davis. Mitloehner a rejeté les conclusions de l'étude et affirmé que l'analyse utilisée par la FAO produisait une "analogie de pommes et d'oranges qui confondait véritablement la question". les émissions que le transport.
En résumé, la science n’est pas réglée sur la question de la production de viande et de son impact sur les émissions de gaz à effet de serre.
La science ne devrait pas être la base de l’élaboration des politiques. De peur que nous n'oubliions le scientisme, «le recours excessif ou excessif à la méthode scientifique», a englouti la pensée économique du XXe siècle. Le progressisme et ses tendances socialistes sont largement fondés sur des approches supposées «scientifiques» de la planification économique rationnelle. Ludwig von Mises n'a pas tardé à souligner dans Planned Chaos que la science avait ses limites:
«La science est compétente pour établir ce qui est. Il ne peut jamais dicter ce qui devrait être.
Pour cette raison, les justifications scientistes de l'intervention du gouvernement sont également décevantes.
La même logique s’applique aux arguments de santé relatifs à la consommation de viande. Que la viande soit saine ou malsaine ou non est à côté de la question. Le vrai problème est de savoir si l'État doit dicter ou réglementer la consommation de viande.
Nous devons poser plus de questions
Lorsque nous discutons de politiques ambitieuses qui pourraient affecter la vie de millions de personnes, nous devons toujours poser des questions.
Il est temps que nous commencions à invoquer la «règle de Deist». Ce concept est basé sur un tweet du président de Mises, Jeff Deist, posté en réponse à un article condamnant l'idéologie. La même ligne de questionnement peut être appliquée à n'importe quelle question de politique
Qui décide ?
RépondreSupprimerQuelles sont les incitations à la coopération ?
Que peuvent faire les gens vaincus politiquement ?
Ces enquêtes sont généralement perdues pour la classe politique aveuglée par son désir de toujours "faire quelque chose". Cette impulsion est dangereuse car elle ne tient pas compte de la multitude de conséquences inattendues qui viennent inévitablement avec l’intervention du gouvernement. Des débats sur la réglementation de la consommation de viande à la construction d'une nation, nous devrions toujours poser ces questions.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/green-new-deal-continues-war-meat
Un rapport de l'OIAC sur la Syrie écrase le récit "d'armes chimiques" occidental
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mardi, 03/05/2019 - 23:25
Écrit par Tony Cartalucci via New Eastern Outlook,
L'OIAC (Organisation pour l'interdiction des armes chimiques) a présenté son rapport final sur une prétendue attaque à l'arme chimique à Douma, en Syrie, le 7 avril 2018. Malgré les tentatives des médias occidentaux de le qualifier de "preuve" que le gouvernement syrien a utilisé armes chimiques à Douma - le rapport ne dit rien de la sorte.
En fait, le rapport ne lie aucun des 43 morts allégués au chlore apparent découvert sur les lieux de l'attaque présumée.
Des militants soutenus par les États-Unis ont revendiqué l'attaque à la veille de leur défaite. L'armée syrienne a repris Douma le lendemain. Selon les premiers rapports, des armes chimiques au sarin ou au chlore auraient été déployées au moyen de deux bidons de gaz jaune modifiés en bombes.
Aucun sarin d'aucune sorte n'a été trouvé par les inspecteurs de l'OIAC.
Bien que le rapport indique que deux cartouches de gaz jaune modifiées ont été utilisées lors de l'attaque et qu'elles semblent avoir été larguées sur deux bâtiments (emplacements 2 et 4), le rapport indique également que des inspecteurs de l'OIAC ont trouvé une cartouche presque identique dans un atelier utilisé par des militants. construire des armes.
La prétendue attaque «chimique» a incité les États-Unis, le Royaume-Uni et la France à lancer des missiles contre des cibles militaires syriennes le 14 avril 2018, bien avant que les premiers inspecteurs de l'OIAC ne soient même arrivés sur les lieux de l'attaque présumée du 21 avril.
Pas de lien entre le chlore et les pertes
Le rapport de l'OIAC indiquait que les preuves vidéo et photographiques de victimes présumées d'exposition à des produits chimiques ne pourraient être liées à aucun produit chimique spécifique, y compris des traces de chlore découvertes par les inspecteurs de l'OIAC. Le rapport affirmerait spécifiquement:
De nombreux signes et symptômes signalés par le personnel médical, les témoins et les blessés (ainsi que ceux apparaissant dans plusieurs vidéos fournies par les témoins), leur apparition rapide et le grand nombre de ceux qui auraient été touchés indiqueraient une exposition à un irritant ou à une toxique par inhalation substance. Toutefois, sur la base des informations examinées et de l'absence d'échantillons biomédicaux provenant des corps des personnes décédées ou de tout enregistrement d'autopsie, il n'est actuellement pas possible de relier avec précision la cause des signes et symptômes à un produit chimique spécifique.
Dans d’autres cas, le rapport de l’OIAC citerait des témoins - y compris des membres du personnel médical qui auraient soigné les victimes de la supposée attaque - qui avaient exprimé des doutes sur la présence de produits chimiques.
Le rapport indiquerait:
RépondreSupprimerUn certain nombre de membres du personnel médical interrogés qui étaient supposément présents au service d'urgence le 7 avril ont souligné que la présentation des victimes ne correspondait pas à celle attendue d'une attaque chimique. Ils ont également signalé ne pas avoir d'expérience dans le traitement des victimes d'armes chimiques. Certaines personnes interrogées ont déclaré qu'aucune odeur ne émanait des patients, tandis que d'autres témoins ont déclaré avoir perçu une odeur de fumée sur les vêtements du patient.
D'autres comptes rendus examinés par l'OIAC suggèrent qu'un grand nombre de victimes sont dues à l'inhalation de fumée et de poussière résultant d'un bombardement conventionnel.
Le rapport indiquerait spécifiquement:
Certains témoins ont déclaré que de nombreuses personnes étaient décédées à l'hôpital le 7 avril à la suite de tirs d'obus et / ou d'étouffement provoqués par l'inhalation de fumée et de poussière. Une cinquantaine de corps gisaient sur le sol du service des urgences en attendant d'être inhumés. D'autres ont déclaré qu'il n'y avait pas eu de décès à l'hôpital de Douma le 7 avril et qu'aucun corps n'avait été transporté à l'hôpital ce jour-là.
Les témoignages contradictoires, l'absence de preuve établissant un lien entre le chlore et un seul décès le 7 avril, ainsi que d'autres incohérences et contradictions rendent impossible l'utilisation des conclusions du rapport comme "preuve" que le gouvernement syrien a mené une attaque chimique meurtrière sur le site. veille de sa victoire à Douma.
Bidons similaires trouvés dans un atelier militant
Les médias occidentaux se sont concentrés sur la conclusion du rapport selon laquelle le chlore était présent et provenait peut-être des deux cartouches qui semblent avoir été larguées sur deux bâtiments de la région, mais une autre découverte cruciale a été passée sous silence.
Un atelier sur les armes dirigé par des militants et enquêté par les inspecteurs de l'OIAC a révélé un grand nombre de ressources pour travailler avec des produits chimiques afin de fabriquer des explosifs. Parmi une gamme de produits chimiques et d’équipements associés à la fabrication d’explosifs, une cartouche de gaz jaune a été trouvée.
Le rapport admettrait:
Bien que l’équipe ait confirmé la présence d’un cylindre jaune dans l’entrepôt, indiqué dans la note verbale de la République arabe syrienne (annexe 10, point 2) sous la forme d’un cylindre au chlore, pour des raisons de sécurité (risque lié à la manipulation du robinet du cylindre, voir Figure A.8.2) il n’était pas possible de vérifier ou d’échantillonner le contenu. Il y avait des différences dans ce cylindre par rapport à celles observées aux emplacements 2 et 4. Il convient de noter que le cylindre était présent dans son état d'origine et n'avait pas été modifié.
Le manque d’intérêt de la part de l’OIAC pour la cartouche malgré les implications évidentes de sa présence dans un atelier d’armement contrôlé par des militants remet en question la diligence et l’ordre du jour des inspecteurs.
Les "différences" de la boîte métallique sont dues au fait que celles des sites 2 et 4 ont été modifiées pour apparaître comme des bombes, alors que, de toute évidence, la boîte métallique dans l’atelier des militants est restée inchangée.
RépondreSupprimerL’implication évidente d’une boîte de conserve presque identique dans un atelier de fabrication d’armes, c’est que les activistes ont probablement aussi fabriqué les deux boîtes converties trouvées aux emplacements 2 et 4. Les inspecteurs de l’OIAC ont découvert d’autres munitions improvisées au cours de l’atelier, notamment: de fûts métalliques de 20 litres, dont certains munis de fusibles bruts de type cordon, qui semblaient avoir été remplis d'explosifs plastiques pour servir d'explosifs improvisés. "
Les médias occidentaux ont tenté de supprimer la présence de la cartouche lors de l’atelier en suggérant qu’il s’agissait d’une «configuration» orchestrée par l’armée arabe syrienne. Le rédacteur en chef du Huffington Post UK, Chris York, irait jusqu'à qualifier l'atelier de:
… Le laboratoire d'explosifs rebelles qui avait été capturé par la SAA quelques jours auparavant et qu'ils tentaient désespérément de faire ressembler à un laboratoire d'armes chimiques.
En réalité, l'OIAC elle-même ne suggérerait rien de la sorte et a noté que tout le matériel présent était compatible avec un atelier sur les armes. L'OIAC ne suggère nulle part que quelque chose ait été modifié - y compris le canister -, ce que l'OIAC a spécifiquement noté «n'avait pas été modifié».
La présence d’une cartouche presque identique à celle trouvée aux emplacements 2 et 4 dans un atelier d’armement pour militants fournit au moins autant de preuves que les militants ont organisé la prétendue attaque chimique que les médias occidentaux affirment que les bidons aux emplacements 2 et 4 suggèrent qu’il s’agissait de la Syrie gouvernement.
En l’absence de preuves définitives quant à la personne qui a créé et déployé les cartouches trouvées aux emplacements 2 et 4, ou la façon dont elles se sont vraiment retrouvées là-bas, une meilleure question à poser est celle de savoir «pourquoi» elles s’y seraient retrouvées.
Attaque à l'arme chimique à Douma… Cui Bono ?
Pourquoi le gouvernement syrien - au beau milieu d'une grande offensive militaire, était-il sur le point de conclure victorieuse? Ne lâchiez que 2 conteneurs remplis d'une quantité limitée de produits chimiques pour tuer au maximum 43 personnes? Un simple barrage d'artillerie pourrait tuer autant de personnes - ou très probablement - beaucoup plus.
L’utilisation d’armes chimiques, même à grande échelle, s’est révélée historiquement moins efficace que les armes militaires conventionnelles - et l’utilisation du chlore à une échelle aussi petite que celle revendiquée par Douma n’a aucun but concevable - du moins pas pour l’armée syrienne.
Malgré les affirmations contraires, le gouvernement syrien n’a tiré aucun avantage de ce qu’il soit à l’origine des attaques chimiques dont il est accusé par les militants et leurs commanditaires occidentaux au cours du conflit syrien.
L’attaque de Douma - si c’était l’armée syrienne - n’aurait servi aucun objectif tactique, stratégique ou politique.
Inversement, il s'agirait de l'une des rares actions que le gouvernement syrien pourrait entreprendre pour compromettre sa victoire en justifiant une attaque militaire à grande échelle contre les forces syriennes.
En fait, à peine une semaine après l'attaque présumée, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France lanceraient effectivement jusqu'à 100 missiles en Syrie en représailles, a rapporté le Guardian.
RépondreSupprimerEn revanche, les militants qui occupaient Douma avaient toutes les raisons de lancer l’attaque.
En organisant l'attaque à la veille de leur défaite et en produisant des scènes graphiques de la souffrance humaine - en particulier des enfants -, les militants disposeraient d'un outil de propagande permettant d'invoquer l'inquiétude, la sympathie et le tollé publics à l'égard de la cause du monde entier - un outil de propagande leurs sponsors occidentaux se sont amplifiés avec passion par le biais de leurs plates-formes médiatiques mondiales.
Alors que les États-Unis avaient déjà lancé des guerres entières fondées sur de fausses accusations de possession d'armes chimiques, les militants ont bien supposé qu'ils allaient utiliser l'attaque mise en scène comme prétexte pour une nouvelle agression militaire directe contre l'État syrien - éventuellement pour le sauver.
Les États-Unis invoquent encore aujourd'hui des «armes chimiques» et l'incident de Douma du 7 avril 2018 - dans le cadre de son prétexte pour maintenir son occupation illégale du territoire syrien et son soutien continu aux militants qui tentent de renverser le gouvernement syrien.
L’utilisation présumée «d’armes chimiques» par le gouvernement syrien est également régulièrement le principal sujet de discussion utilisé par les médias occidentaux lorsqu’ils attaquent des politiciens, des experts et des commentateurs opposés à la guerre.
Les conclusions du rapport de l’OIAC sont trop ambiguës pour tirer une conclusion d’une manière ou d’une autre. La présence d'un conteneur presque identique dans un atelier de militants soulève de sérieuses questions et les implications associées suggérant que l'attaque a été organisée - des questions qui doivent faire l'objet d'une enquête adéquate et de réponses.
Le fait que le gouvernement syrien n’ait rien gagné à l’attaque et qu’il en était encore davantage compromis politiquement et stratégiquement - soulève des questions sur les motivations auxquelles il faut également répondre avant de tirer des conclusions.
Mais comme l'ont prouvé maintes fois les médias occidentaux - ils sont parfaitement capables de produire des mensonges totalement irrationnels fondés sur des preuves ténues ou inexistantes - et même de répéter ces mensonges après avoir été flagrément surpris en les racontant auparavant.
Le fait que les médias occidentaux tentent toujours de vendre des mensonges d’armes de destruction massive concernant la Syrie après avoir été surpris en train de les fabriquer pour justifier la guerre en Irak voisin devrait être au premier plan des préoccupations de la population mondiale lorsqu’ils examinent leurs «interprétations» du dernier rapport de l’OIAC concernant Douma, en Syrie.
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/opcw-syria-report-crushes-western-chemical-weapons-narrative
Méfiez-vous des attentes irréalistes concernant la croissance du schiste
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 03/05/2019 - 22:45
Auteur: Nick Cunningham via Oilprice.com,
Les foreurs de schiste (gaz méthane) américains sont confrontés à un grave problème: leurs puits ne produisent pas autant de pétrole et de gaz que prévu.
Face à l'examen minutieux des actionnaires, les foreurs de schiste ont abondamment parlé de percées technologiques, de gains d'efficacité et de techniques de forage novatrices. En effet, la production de E & Ps aux États-Unis a monté en flèche au cours de la dernière décennie, à l'exception des interruptions dues à la récession de 2014-2016. Mais même à ce moment-là, les dirigeants de schistes arguaient que le ralentissement les avait rendus maigres et méchants et qu’ils utiliseraient leur frugalité retrouvée pour accroître leur production et leurs profits.
Mais le battage médiatique a claqué dans la réalité sur plusieurs fronts.
Premièrement, après des années de financement de l’industrie du schiste dans l’espoir de réaliser des profits juteux, Wall Street commence à perdre patience. Certaines entreprises réalisent des bénéfices, mais l’industrie perd globalement de l’argent depuis sa création au milieu des années 2000. Les dirigeants promettent encore une fois que des profits énormes sont imminents, mais vous pouvez pardonner aux sceptiques de s’interroger sur le point de savoir si cela se réalisera.
Un deuxième développement - et non moins accablant - commence à se produire du côté opérationnel. Les sociétés de schistes constatent que les retours sur leurs pratiques de forage pour repousser les limites les plus intenses commencent à faire long feu. Pendant des années, les foreurs ont augmenté la longueur de leurs flancs, injecté de plus en plus de sable et d'eau dans le sous-sol et foré des puits de plus en plus rapprochés. Ces techniques d'intensification promettaient de produire plus de pétrole et de gaz pour moins d'argent.
Tout à coup, il est évident que l'industrie se heurte à un mur. Le Wall Street Journal a rapporté que des puits de schiste placés trop près les uns des autres commencent à donner des résultats inattendus. On pense que les puits interfèrent les uns avec les autres. L'ajout de nouveaux puits semble réduire la productivité de tous les puits situés à proximité. Ce problème de puits dit «parent-enfant», dans lequel des puits supplémentaires (les puits «enfants») nuisent à la performance du puits d'origine (le «parent»), pourrait être le début d'un problème plus vaste lié à l'industrie du schiste.
Le WSJ indique que certains des nouveaux puits produisent 50% de moins que les puits parents. En fin de compte, l'ajout de plus de puits peut effectivement permettre de récupérer moins de pétrole et de gaz car la pression chute et le réservoir subit des dégâts. Non seulement les puits pour enfants sont moins productifs que leurs parents, mais ils cannibalisent en fait la production des puits parents en réduisant la pression dans les réservoirs et, dans certains cas, en inondant le puits parent de fluides de fracturation.
Par exemple, l'analyse de WSJ révèle que les puits placés à 375 pieds de distance peuvent produire 28% de moins que ceux qui sont situés à 600 pieds de distance. Les chiffres s'aggravent au fur et à mesure que les puits s'emboîtent les uns dans les autres - ne les séparant que de 275 pieds, il en résulte une baisse de 40% de la production par rapport aux puits placés à 600 pieds de distance.
RépondreSupprimerMais les entreprises ne peuvent tout simplement pas espacer les puits et continuer à atteindre les mêmes objectifs de production. Ils ont une superficie limitée, parfois taillée dans un patchwork, il n’est donc pas toujours possible d’allonger le même nombre de puits prévus sur de plus longues distances.
En d'autres termes, le problème de puits parent-enfant peut signifier que les entreprises devront forer moins de puits que prévu. Cela signifie qu’ils pourraient être confrontés «à une réduction de valeur dans l’ensemble du secteur s’ils sont contraints de réduire les estimations des sites de forage qu’ils ont vantés auprès des investisseurs, dont certains promettaient des spots de choix valant des décennies», a conclu le WSJ.
Les conséquences de ce problème sont énormes. La valorisation des schistes E & Ps est basée sur les prévisions de production à long terme. Comme le rapport WSJ l'a signalé en janvier, de nombreuses prévisions de production optimistes réalisées par les foreurs de schiste au cours des dernières années ne se sont pas concrétisées.
Mais les implications vont au-delà des prix des actions des entreprises individuelles. Les prévisions des marchés pétroliers à moyen et à long terme dépendent très largement de la forte croissance du schiste américain. En d’autres termes, l’approvisionnement mondial dans 5 et 10 ans sera affecté par les problèmes de puits parent-enfant. Une étude de Wood Mackenzie a révélé que le Permien pourrait avoir une croissance inférieure à celle attendue de 1,5 million de barils par jour.
Un échange révélateur a eu lieu à la fin du mois de février à la suite d’un appel de résultats du quatrième trimestre pour Centennial Resource Development. Quand on lui a demandé pourquoi les prévisions de production de la société avaient déçu les estimations de Wall Street, Mark Papa, ancien membre d’EOG Resources et maintenant directeur général de Centennial, a délibérément écarté la prémisse de la question.
«Permettez-moi de faire une simple déclaration ici. Toutes ces attentes concernant la croissance de la production émanaient des attentes de Wall Street. Aucune de ces attentes ne venait de l'orientation du centenaire », a déclaré Papa.
Il a ajouté que les directives de Centennial "étaient très précises et que nous ne sommes tout simplement pas responsables des directives créées par Wall Street".
La divergence fait penser à un problème plus important: après des années consacrées à la promesse du schiste, Wall Street n’a toujours pas pris conscience de la réalité du problème des puits entre parents et enfants. Certaines entreprises sous-estiment la croissance de la production attendue car elles espacent les puits de trop près les unes des autres. «Le problème pour tout le bassin du Permien concerne les puits parent-enfant. Chaque année, chaque entreprise fore un pourcentage plus élevé de puits pour enfants et ceux-ci ne sont tout simplement pas aussi puissants que les puits parents », a déclaré Papa.
Papa a déclaré que l'une des raisons pour lesquelles Wall Street pouvait être confus, c'est que tant d'activités de fusions et acquisitions rendent difficile la comparaison entre pommes. Les entreprises ont connu une croissance, dans certains cas, en raison de la consolidation plutôt que des résultats opérationnels impressionnants.
RépondreSupprimerPapa coupa à la chasse et donna un avertissement sévère. Il a dit que Centennial était comme toutes les autres compagnies de schiste du Permien.
«Nous avons certaines des meilleures superficies dans le bassin du Delaware et ce que nous constatons, c'est l'impact croissant des puits pour enfants», a-t-il déclaré.
«C’est justement ce dont je parle depuis quelques années, même si toute la révolution du schiste semble assez puissante… Si vous regardez sous le capot, vous voyez que chaque entreprise doit courir plus vite et plus rapidement pour atteindre la croissance parce que vous voyez l'effet de la géologie et des interférences de puits qui font des ravages. "
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/be-wary-unrealistic-shale-growth-expectations
Les sociétés de schiste en ébullition à la faveur de nouveaux puits "boivent leur lait frappé"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 03/05/2019 - 17:45
La décision des entreprises américaines de gaz de méthane de forer de près de milliers de nouveaux puits - et à proximité de puits déjà existants - est en train de devenir une faille; Pire encore, cette approche nuit à la performance des puits déjà existants et représente une menace encore plus grande pour l’industrie déjà en difficulté. Afin de conserver les États-Unis comme centrale énergétique, les sociétés de schiste bitumineux ont creusé des puits à proximité les uns des autres, dans l’espoir de produire autant que les anciens, ce qui leur permettrait d’extraire davantage de pétrole tout en maintenant de bons résultats pour chaque puits.
- voir tableau sur site -
Ces types de prédiction ont contribué à alimenter l'intérêt des investisseurs pour les sociétés de schiste, qui ont mobilisé près de 57 milliards de dollars de financements par actions et par emprunt en 2016, contre 34 milliards il y a cinq ans, alors que le baril de pétrole dépassait 110 dollars. En 2016, les prix du pétrole ont chuté sous les 30 dollars le baril à un moment donné.
Et maintenant - surprise - les résultats réels de ces puits arrivent enfin et ils sont assez décevants.
Des puits plus récents installés à proximité de puits plus anciens permettaient de pomper moins de pétrole et de gaz, et les ingénieurs ont averti que ces nouveaux puits pourraient produire jusqu'à 50% de moins dans certaines circonstances. Ce n'est pas ce que les investisseurs - qui ont contribué aux milliards de dollars de capital utilisés par ces sociétés en 2016 - veulent entendre parler.
Pour aggraver les choses, les nouveaux puits interfèrent souvent avec la production des puits plus anciens car créer trop de trous dans des formations rocheuses denses peut endommager les puits voisins et rendre plus difficile la pénétration du pétrole. Les puits «enfants» pourraient également causer des dommages permanents aux puits «parents» plus anciens. Ceci est connu dans l'industrie comme le problème de puits "parent-enfant". Le milliardaire Harold Hamm, fondateur du foreur de schiste Continental Resources, a déclaré l'an dernier: "Les producteurs de schiste du pays s'aperçoivent que vous pouvez subir de nombreuses interférences, un puits dans l'autre. Aménager de nombreux puits peut vous causer des problèmes. ”
- voir graphique sur site -
Certains des plus grands noms du schiste, notamment Devon Energy, EOG Resources et Concho Resources, ont déjà révélé qu'ils souffraient de ce problème. En conséquence, ils pourraient, ainsi que beaucoup d’autres, être contraints de procéder à des amortissements massifs s’ils devaient réduire leurs estimations déjà optimistes des sites de forage.
Les entreprises continuent d’essayer de trouver l’équilibre parfait entre l’utilisation de puits uniques fonctionnant à la productivité optimale et de puits multiples offrant de meilleurs rendements.
Laredo Petroleum est un excellent exemple. Il y a deux ans, il était estimé à plus de 3 milliards de dollars et était un ardent défenseur du remplissage des puits dans le bassin du Permien. Son directeur général, Randy Foutch, a déclaré il y a un an que la société pourrait forer 32 puits par unité de forage, chacun produisant en moyenne 1,3 million de barils de pétrole et de gaz. En novembre, la société a annoncé que les puits fracturés en 2018 produisaient 11% de moins que prévu, en partie à cause de problèmes de "parent-enfant".
RépondreSupprimerLe porte-parole de Laredo, Ron Hagood, a déclaré au WSJ: "Nous avons resserré l'espacement en 2017 et 2018 pour augmenter l'inventaire des emplacements et la récupération des ressources dans nos formations à plus haut rendement, et nous avons atteint cet objectif."
La valeur marchande de la société a chuté d'environ 75%, pour atteindre 800 millions de dollars depuis la fin de 2016. Objectif atteint ?
- voir graphique sur site -
Incidemment, nous avons d'abord signalé que les sociétés de schiste pourraient être confrontées à un "échec catastrophique" en octobre 2018. Quelques jours avant ce rapport, nous avions indiqué que les sociétés de schiste avaient un "problème criant". Nous avons conclu que le problème criant des mauvais résultats financiers de 2018 était que 2018 était censée être l'année au cours de laquelle l'industrie du schiste a finalement pris un tournant.
Plus tôt en 2018, l’Agence internationale de l’énergie avait dressé un portrait rose du schiste américain, affirmant dans un rapport que «la hausse des prix et les améliorations opérationnelles placent le secteur américain du schiste sur la voie de dégager un cash-flow libre positif en 2018 pour la première fois. ”
Maintenant, tout semble avoir été un rêve de "pipe" - ou plutôt de "lait frappé".
https://www.zerohedge.com/news/2019-03-05/shale-companies-turmoil-newer-wells-drink-their-milkshake
Sans parler du nombre stupéfiant de tremblements de terre occasionnés par la fracturation et les nappes phréatique polluées pour des siècles !
Supprimer