- ENTREE de SECOURS -



samedi 30 mars 2019

Georges Moustaki - Sans la nommer

https://www.youtube.com/watch?v=ouaytC9njFU

10 commentaires:

  1. On «casse l'image des Gilets jaunes»: Éric Drouet commente la réponse du gouvernement


    00:12 31.03.2019


    Éric Drouet, descendu ce 20e samedi consécutif dans les rues pour manifester, mais cette fois à Bordeaux, a estimé, dans un commentaire à Sputnik, que les mesures des autorités de la ville à l'approche du jour «apocalyptique» attestaient plutôt d'une tentative de «faire passer une mauvaise image de nous, alors qu'on est venu pacifiquement».

    «Le maire a extrapolé tout ce qui allait se passer — les gens sont dehors, les commerçants ouverts — dire aux gens de ne pas sortir c'est essayer de faire passer une mauvaise image de nous, alors qu'on est venu pacifiquement», a annoncé Éric Drouet au micro de Sputnik, concernant la décision de Nicolas Florian de décréter Bordeaux «ville morte» à l'approche d'une mobilisation potentiellement «apocalyptique» ce samedi. Le nouveau maire, ayant remplacé Alain Juppé à la tête de la ville, s'était dit «très inquiet de ce qui pourrait se passer» lors de l'acte 20 des Gilets jaunes.

    Concernant l'important dispositif de sécurité, Éric Drouet estime que les autorités «ont toutes les cartes en main» pour «que cela se passe bien», cependant, «ils se débrouillent à chaque fois pour créer des tensions et casser l'image des Gilets jaunes», déplore-t-il.

    Après près de 5 mois de mobilisation, Éric Drouet regrette que rien ne change.

    «J'espère que tous ceux qui n'ont pas encore compris le mouvement comprennent bien qu'au bout de cinq mois on devrait déjà avoir un début de réponse — chose qu'on n'a jamais eu. C'est quand même fou dans un pays de droit comme le nôtre qu'on ne soit pas écoutés pour des choses aussi simple que le RIC ou que le pouvoir d'achat.»

    Condamné le 29 mars, à une amende de 2.000 euros (dont 500 avec sursis) par le tribunal correctionnel de Paris, considéré comme l'un des organisateurs du mouvement des Gilets jaunes, il était poursuivi pour ne pas avoir déclaré deux manifestations (à Versailles et à Paris sur les Champs-Élysées, respectivement les 22 décembre et 6 janvier). Un jugement dont il a fait appel.

    «Je ne suis pas le plus à plaindre […] on a énormément de Gilets jaunes qui sont derrière les barreaux à cette heure-ci. Pour avoir fait des Live, bloqué des péages. […] beaucoup ont été enfermés pour des choses complètement absurdes. C'est plutôt eux qu'il faudrait plaindre !»

    Ce samedi, les Gilets jaunes se sont de nouveau vus interdire de manifester sur les Champs-Élysées à Paris, mais aussi dans d'autres villes, telles que Saint-Étienne, Épinal et Rouen, par crainte de violences et de la venue de casseurs. Le maire de Bordeaux, Nicolas Florian, l'a décrété «ville morte», en demandant à ses habitants de rester chez eux, anticipant une «journée apocalyptique».

    https://fr.sputniknews.com/france/201903301040558392-drouet-gilets-jaunes-image-gouvernement/

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  2. 33.700 ou 3 fois plus: combien de Gilets jaunes ont manifesté en France ?


    00:03 31.03.2019


    Après que le ministère de l’Intérieur a évoqué le nombre de 33.700 Gilets jaunes ce samedi en France pour l’acte 20 de la mobilisation, un autre chiffre, donnant 120.000 manifestants a été avancé par Policiers en colère. Et d’après l’estimation de la page Facebook Le Nombre jaune, le mouvement a rassemblé 102.713 manifestants.

    Les Gilets jaunes se sont réunis à travers toute la France ce samedi 30 mars pour participer à l'acte 20 du mouvement. Les chiffres des participants diffèrent en fonction des sources. Selon le ministère de l'Intérieur, 33.700 personnes dont 4.000 à Paris ont pris part à la mobilisation des Gilets jaunes.

    Cependant, le syndicat France police-Policiers en colère a décompté 120.000 manifestants à 16h00, ce chiffre dépassant de plusieurs fois l'information officielle.

    Le Nombre jaune, une page Facebook qui comptabilise aussi les participants au mouvement, a fait sa première estimation un peu plus basse: 102.713 manifestants sur 135 localités recensées.

    Ce samedi, les Gilets jaunes se sont de nouveau vus interdire de manifester sur les Champs-Élysées à Paris, mais aussi dans d'autres villes, telles que Saint-Étienne, Épinal et Rouen, par crainte de violences et de la venue de casseurs. Le maire de Bordeaux, Nicolas Florian, l'a décrété «ville morte», en demandant à ses habitants de rester chez eux, anticipant une «journée apocalyptique».

    https://fr.sputniknews.com/france/201903301040558714-gilets-jaunes-chiffres-gouvernement-police-colere/

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  3. Témoignages des Gilets jaunes blessés à Bordeaux le 8 décembre dernier


    21:34 30.03.2019


    Les Gilets jaunes ont joué ce samedi l'acte 20 de leur mouvement dans plusieurs villes de France, notamment à Bordeaux, où deux victimes des violences policières du 8 décembre dernier, Antoine et «Jim», sont revenus sur ces épisodes douloureux de leur vie au micro de Sputnik.

    La ville de Bordeaux est devenue ce samedi le centre d'attraction de nombreux manifestants pour l'acte 20 de la mobilisation des Gilets jaunes. Selon France Bleu, au moins 5.000 manifestants s'étaient rassemblés dans la ville à 14h00. Les forces de l'ordre bordelaises ont fait usage de gaz lacrymogène.

    Deux manifestants, Antoine, qui a eu une main arrachée le 8 décembre, et «Jim», qui a perdu un œil le même jour, se sont entretenus avec Sputnik et ont expliqué pourquoi ils répondaient toujours présents.

    Antoine a perdu une main en ramassant une grenade lors de heurts entre policiers et manifestants à Bordeaux.

    «Je n'étais pas au courant qu'ils utilisaient des grenades, quand je l'ai vu rouler à mes pieds. Je me suis juste dit que c'était du lacrymo», a-t-il expliqué, précisant avoir voulu ramasser le projectile pour «l'écarter». «C'était la première manif' Gilets jaune que je faisais, cela faisait très longtemps que je n'étais pas allé en manif'».

    S'il défile à Bordeaux pour défendre les revendications des Gilets jaunes, il a fait également part à notre correspondante d'un autre de ses combats, celui «contre la répression policière».

    «Aujourd'hui c'est de pire en pire», a-t-il affirmé.

    «Je me suis lancé dans le combat de l'interdiction du flashball [LBD, ndlr] et de la GLI-F4 [Grenade Lacrymogène Instantanée de type F4, ndlr], qui sont pour moi des armes de guerre utilisées uniquement en France, alors que dans les autres pays d'Europe ils arrivent à gérer des manifestations tout aussi violentes, sans ces armes, avec juste de la prévention, du renseignement et — oui, effectivement — des matraques. Mais entre des bras cassés et des mains explosées il y a quand même une énorme différence pour moi.»

    Un second manifestant, Jean-Marc, intervient. Cet ancien militaire de carrière surnommé «Jim» a lui aussi été blessé lors d'un précédent rassemblement bordelais.

    «Pourquoi on serait chez nous dans un canapé à regarder BFM TV ?», intervient un second manifestant, Jean-Marc.

    Cet ancien militaire de carrière surnommé «Jim» a lui aussi été blessé lors d'un précédent rassemblement bordelais.

    «La même journée qu'Antoine, 10 minutes après, je me suis fait shooter par la Bac bordelaise parce que j'ai voulu protéger ma femme […] J'ai plus d'œil, j'ai 50 vis, une trentaine de plaques pour me refaire tout le côté droit…», a-t-il confié à Sputnik.

    Ce samedi, les Gilets jaunes se sont de nouveau vus interdire de manifester sur les Champs-Élysées. Christophe Castaner a qualifié la demande de tenir un tel rassemblement de «provocation à de nouvelles violences».
    Les rassemblements du 30 mars ont été interdits également à Saint-Étienne, à Épinal et à Rouen par crainte de violences et de la venue de casseurs.

    Le maire de Bordeaux, Nicolas Florian, a décrété «la ville morte à Bordeaux» en demandant à ses habitants de rester chez eux, par anticipation d'une «journée apocalyptique».

    https://fr.sputniknews.com/france/201903301040557903-france-gilets-jaunes-violences-policieres-temoignages/

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  4. EN DIRECT Bordeaux qui craint le pire, Paris, Saint-Etienne... l'acte 20 des Gilets jaunes


    21:11 30.03.2019


    Ce samedi, les Gilets jaunes se rassemblent pour leur acte 20. Alors que des manifestations ont été interdites sur les Champs-Élysées à Paris et dans certaines villes en province, «la ville morte» de Bordeaux s’apprête à vivre «une journée apocalyptique», par crainte de violences et de casseurs. À quoi s’attendre pour ce rassemblement ?

    Les Gilets jaunes se réunissent ce samedi partout en France pour leur 20e journée de mobilisation.

    Cependant, les rassemblements du 30 mars ont été interdits sur les Champs-Élysées à Paris, à Saint-Étienne, à Épinal et à Rouen par crainte de violences et de l'arrivée des casseurs.
    Le maire de Bordeaux Nicolas Florian a décrété «la ville morte à Bordeaux» en demandant à ses habitants de rester chez eux en vue d'une «journée apocalyptique».

    Pour rappel, les manifestations de Gilets jaunes de l'acte 19 avaient été interdites par arrêtés préfectoraux dans plusieurs villes, notamment sur les Champs-Élysées à Paris, Nice, Marseille, Metz et Toulouse.

    Suivez le déroulement de l’acte 20 des Gilets jaunes en direct sur Sputnik.

    21:08
    Philippe Poutou commente à Sputnik la réaction des autorités au mouvement des Gilets jaunes

    Les autorités françaises cherchent à opposer la population aux manifestants considérés comme des casseurs potentiels, a déclaré à Sputnik l'ancien candidat à la présidentielle du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) Philippe Poutou, qui s'est rendu ce samedi à Bordeaux.

    Philippe Poutou analyse la réponse du «camp de privilégiés» face aux Gilets jaunes
    19:52 30.03.2019

    Le gouvernement français s’efforce de criminaliser le mouvement de contestation qui constitue «l’expression d’un ras le bol contre une société qui est profondément injuste», a déclaré Philippe Poutou (NPA) dans un entretien accordé à Sputnik en marge de la manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux.

    19:49
    33.700 Gilets jaunes en France selon l'Intérieur, alors que le syndicat France police-Policiers en colère a fait état de 120.000 manifestants à 16h00

    D'après un nouveau bilan du ministère de l'Intérieur, 33.700 personnes sont descendues dans la rue en France dont 4.000 à Paris lors de l'acte 20 des Gilets jaunes.

    Le syndicat France police-Policiers en colère a quant à lui mentionné le chiffre de 120.000 manifestants à 16h00.

    Selon la première estimation basse du Nombre jaune, un compte Facebook qui comptabilise aussi les Gilets jaunes, 102.713 personnes ont participé à l'acte 20 dans 135 localités recensées.

    Acte 20 des Gilets jaunes à Bordeaux
    33.700 ou 3 fois plus: combien de Gilets jaunes ont manifesté en France ?

    21:57 30.03.2019
    Après que le ministère de l’Intérieur a évoqué le nombre de 33.700 Gilets jaunes ce samedi en France pour l’acte 20 de la mobilisation, un autre chiffre, donnant 120.000 manifestants a été avancé par Policiers en colère. Et d’après l’estimation de la page Facebook Le Nombre jaune, le mouvement a rassemblé 102.713 manifestants.

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  5. 18:44
    Selon un nouveau bilan de la préfecture de Paris, 32 personnes ont été interpellées et il y a eu 11.945 contrôles préventifs.

    Les forces de l'ordre ont procédé en outre à 21 verbalisations pour participation à une manifestation non-autorisée sur le périmètre interdit, qui concerne l'avenue des Champs-Elysées et ses abords.

    17:52
    La tension monte au Trocadéro, à Paris, où les forces de l'ordre essaient d'éloigner les manifestants

    Selon des médias, des dizaines de black-blocs sont arrivés au Trocadéro où deux cortèges parisiens des Gilets jaunes avaient convergé dans l'après-midi. La police a utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser les personnes cagoulées.

    Les Gilets jaunes ont commencé à se disperser, vers 18h00, sur la place du Trocadéro.

    Place du Trocadéro
    Acte 20 à Paris: premiers heurts au Trocadéro, les CRS utilisent des lacrymogènes

    17:58 30.03.2019
    Dans le cadre de l'acte 20 de la mobilisation des Gilets jaunes, la situation s'est tendue dans la soirée à Paris, au Trocadéro, où les forces de l'ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes contre des manifestants.

    17:25
    Les premiers gaz lacrymogènes à Saint-Étienne

    Face aux violences commises lors de l'acte 20 à Saint-Étienne par des gens cagoulés, les forces de l'ordre ont recouru aux gaz lacrymogènes.

    Gilets jaunes
    Les casseurs se déchaînent à Saint-Étienne lors de l’acte 20 des Gilets jaunes (vidéos)
    19:54 30.03.2019

    La manifestation de l’acte 20 des Gilets jaunes ce samedi 30 mars à Saint-Étienne a été émaillée par des dégradations et des incendies. Des heurts ont éclaté entre manifestants cagoulés et forces de l’ordre, lesquelles ont fait usage de gaz lacrymogène, a informé le quotidien Le Progrès Loire.

    16:26
    A Bordeaux, un feu a été allumé place de la République, les manifestants défilent sur le cours de la Marne

    Selon France Bleu, une dizaine de casseurs ont récupéré des tuyaux et matériel de chantier pour les incendier ou les jeter sur les CRS.

    Place de la République à Bordeaux lors de l'acte 20 des Gilets jaunes

    Deux manifestants, Antoine, qui a vu sa main arrachée lors de l'acte 4 des Gilets jaunes à Bordeaux, ainsi qu'un autre Gilet jaune, qui a perdu un œil le même jour, ont expliqué à Sputnik pourquoi ils continuent de participer à la mobilisation.

    «Je n'étais pas au courant qu'ils utilisaient des grenades, quand je l'ai vu rouler à mes pieds je me suis juste dit que c'était du lacrymo», confie Antoine à Sputnik expliquant avoir voulu la ramasser pour «l'écarter». «C'était la première manif' "Gilets jaune" que je faisais, cela faisait très longtemps que je n'étais pas allé en manif'».

    «Pourquoi on serait chez nous dans un canapé à regarder BFM-TV ?» intervient un second manifestant, Jean-Marc, lui aussi blessé lors d'un précédent rassemblement bordelais. Ancien militaire de carrière, celui qu'on surnomme «Jim», avait été blessé le 8 décembre à Bordeaux par un tir de LBD.

    «Le même jour, 10 minutes après Antoine, je me suis fait shooter par la BAC bordelaise parce que j'ai voulu protéger ma femme», relate-t-il.

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  6. Place de la République à Bordeaux lors de l'acte 20 des Gilets jaunes
    Témoignages des Gilets jaunes blessés à Bordeaux le 8 décembre dernier

    21:07 30.03.2019
    Les Gilets jaunes ont joué ce samedi l'acte 20 de leur mouvement dans plusieurs villes de France, notamment à Bordeaux, où deux victimes des violences policières du 8 décembre dernier, Antoine et «Jim», sont revenus sur ces épisodes douloureux de leur vie au micro de Sputnik.
    EN SAVOIR PLUS
    16:13
    Selon l'Intérieur, 5.600 personnes manifestaient en France à 14h00, dont 1.800 à Paris

    Dans le même temps, France Bleu a annoncé qu'il y avait au moins 5.000 manifestants rien qu'à Bordeaux.

    16:09
    A Saint-Etienne, la végétation est en flammes près d'une voie ferrée, selon des internautes, des casseurs ont mis le feu

    15:57
    A Bordeaux, les forces de l'ordre ont fait usage de gaz lacrymogène

    Entre-temps, de nombreux manifestants rassemblés à Paris sont devant la tour Eiffel. Il y a des centaines de personnes sur le Trocadéro.

    Selon La Provence, à Avignon, les manifestants ont été encerclés de part et d'autre de l'avenue saint Ruf. Les policiers ont lancé des gaz lacrymogènes, dispersant les gilets jaunes dans les rues adjacentes. Des casseurs ont jeté des projectiles sur les forces de l'ordre.

    15:52
    A Paris, 25 personnes interpellées et 20 personnes verbalisées dans le périmètre interdit, d'après la préfecture

    La préfecture de police a en outre fait état de 8.053 contrôles préventifs réalisés par les forces de l'ordre.

    15:35
    À Rouen, des manifestants applaudissent les pompiers et huent les forces de l’ordre

    15:32
    Jérôme Rodrigues commente pour Sputnik la manifestation à Bordeaux

    Jérôme Rodrigues

    Bordeaux, «ville morte» pour l’acte 20 des Gilets jaunes? Rodrigues témoigne à Sputnik
    19:22 30.03.2019

    Les Gilets jaunes se sont rassemblés ce samedi pour un nouvel acte. Jérôme Rodrigues, figure de proue du mouvement, est venu à Bordeaux où la situation s’annonçait «apocalyptique» selon le maire de la ville, et a déclaré à Sputnik que les autorités pouvaient «l’appeler ville morte», mais «aujourd’hui le peuple se réveille».

    15:30
    Un Gilet jaune a tenté d'empêcher les personnes masquées d'incendier des poubelles à Saint-Étienne

    15:23
    Des manifestants en noir aux visages cachés et équipés de masques aperçus à Bordeaux

    15:13
    Le cortège des Gilets jaunes croise celui des enseignants à Rouen dans une ambiance bon enfant

    15:11
    Des gaz lacrymogènes à Lille

    15:07
    Des manifestants ont hué les policiers enfermés dans la gare de Bordeaux

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  7. 15:02
    Des gaz lacrymogènes aux abords de la rue Saint-Pierre à Caen

    14:53
    Éric Drouet dresse à Sputnik le bilan des quatre mois de manifestations

    Éric Drouet a évoqué au micro de Sputnik les changements obtenus au cours des quatre mois de manifestations. Il a aussi parlé de ceux qui noircissent l’image des Gilets jaunes et a evoqué les particularités des manifestations dans les régions.

    Éric Drouet à Bordeaux lors de l'acte 20 des Gilets jaunes
    On «casse l'image des Gilets jaunes»: Éric Drouet commente la réponse du gouvernement
    21:26 30.03.2019

    Éric Drouet, descendu ce 20e samedi consécutif dans les rues pour manifester, mais cette fois à Bordeaux, a estimé, dans un commentaire à Sputnik, que les mesures des autorités de la ville à l'approche du jour «apocalyptique» attestaient plutôt d'une tentative de «faire passer une mauvaise image de nous, alors qu'on est venu pacifiquement».

    14:47
    La mobilisation des enseignants à Rennes

    14:45
    Des enseignants manifestent eux aussi à Bordeaux

    14:44
    «Plusieurs milliers de manifestants» à Bordeaux

    «On souhaitait descendre sur ce qu'on appelle une "zone libre", à savoir les quais, pour pouvoir marcher étant donné qu'il y a beaucoup de monde. [...] là ils nous disent que non, on ne peut pas descendre là-bas», a déclaré un manifestant bordelais, Didier, à Sputnik.

    Il s'étonne des restrictions imposées, en termes d'espace, aux manifestants. Face au refus des forces de l'ordre de le laisser passer, il nie vouloir se rendre vers le triangle d'or (dessiné par les allées de Tourny, le Cours de l'Intendance et le Cours Georges Clémenceau), situé dans le centre de Bordeaux. Une zone visée par une interdiction préfectorale de manifester.

    «Ils nous renvoient vers un autre parcours qui lui aussi est autorisé dans une petite longueur mais tout le reste est interdit» s'étonne-t-il, soulignant un «paradoxe», «ils veulent nous ramener là où nous avons le village jaune», a-t-il indiqué.

    14:43
    «Environ 1.000 manifestants» à Saint-Etienne

    14:13
    A Paris, les Gilets jaunes sont aussi mobilisés

    13:56
    Interdits d'accès aux Champs-Élysées à Paris, des Gilets jaunes envahissent Bordeaux

    13:39
    Des internautes signalent une interpellation rue de Rivoli à Paris

    Interpellation violente rue de Rivoli
    Un policier se permet de me dire gentiment "recule ou je vais te défoncer"
    Je lui signale que je suis de la presse il précise je le cite "je m'en bas les couilles"
    On signale @davduf pic.twitter.com/8wDFNXQs53

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  8. — Kristellfresneau (@Kristellfresne1) 30 2019 .

    La police française (image d'illustration)
    Acte 20 des Gilets jaunes: une violente interpellation rue de Rivoli à Paris (vidéos)

    20:22 30.03.2019
    Lors de l’acte 20 des Gilets jaunes à Paris, des tensions ont été constatées aux alentours de la rue de Rivoli où l’interpellation violente d’un manifestant a été filmée. D’après plusieurs vidéos, l’homme en question, qui serait blessé, a été évacué manu militari par la police.

    13:22
    Des Gilets jaunes rassemblés à Bordeaux autour de tentes

    Des manifestants se sont réunis à Bordeaux autour de tentes ornées de petits drapeaux tricolores. Jérôme Rodrigues et Éric Drouet sont parmi les Gilets jaunes rassemblés.

    13:10
    Tensions entre manifestants et forces de l’ordre à Avignon

    Tensions observables entre manifestants et forces de l’ordre à Avignon, place de l’Horloge. Une partie des manifestants a été repoussée dans une rue perpendiculaire à la place, selon des médias. Les manifestants ont été repoussés dans le calme en dehors du périmètre qui leur est interdit aux remparts de la vieille ville.

    Tout le centre-ville d'Avignon a été interdit aux manifestants de 9h à minuit. Les autorités craignent, comme à Bordeaux, que des casseurs puissent converger vers la ville. Le pont d'Avignon, le Palais des papes et les parcs sont fermés au public ce samedi. Le dispositif policier y est le plus important depuis le début de la mobilisation des Gilets jaunes

    12:56
    Fouilles des manifestants à Saint-Étienne

    12:52
    Des grilles anti-émeutes déployées à Bordeaux

    12:41
    Manifestation des assistantes maternelles d’Île-de-France à Paris

    12:35
    Éric Drouet s’est rendu à Bordeaux

    Éric Drouet est arrivé samedi à Bordeaux pour prendre part à l’acte 20 des Gilets jaunes.

    12:30
    Les enseignants manifestent à travers la France

    Il y a également une manifestation unitaire à travers la France «pour défendre l'éducation nationale». Le départ à Paris est fixé à la place du Panthéon à 14h, le cortège prendra la direction de la place d’Italie et de Denfert-Rochereau.

    12:17
    Un dispositif policier moins important pour l’acte 20

    113 unités de forces mobiles, soit 12.000 policiers et gendarmes, seront présentes dans toute la France pour l’acte 20 des Gilets jaunes, d’après LCI. 40 unités sont déployées à proximité des Champs-Élysées ainsi qu’à des points stratégiques tels que l'Assemblée nationale et le palais présidentiel.

    12:03
    Deux manifestations déclarées à la préfecture de police pour aujourd'hui

    D'après un communiqué de presse de la préfecture de police, le premier cortège partira à 13h de Gare de l'Est (rue du 8 mai 1945) à la place de Varsovie (entre le Trocadéro et le Pont d'Iéna) avec une heure de dispersion envisagée à 18h. Le second partira à 14h de la place du Châtelet pour arriver au Trocadéro, avec une heure de dispersion envisagée à 19h.

    11:59
    Bordeaux préparée à une éventuelle arrivée des casseurs

    Alors que les autorités de Bordeaux ont évoqué le danger potentiel de la venue de casseurs, un important dispositif de sécurité a été mis en place dans la ville.

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  9. 11:46
    Les premiers rassemblements des Gilets jaunes

    Paris
    Nice
    Rouen
    Caen
    Tarbes

    11:41
    Plusieurs stations de métro fermées à Paris

    Ce samedi, le métro de Paris a fermé plusieurs de ses stations en vue de la 20e journée de mobilisation des Gilets jaunes.

    11:39
    Des fouilles de passants sur les Champs-Élysées

    Alors qu’il est interdit de manifester ce samedi aux Champs-Élysées, les forces de l’ordre ont mis en place des fouilles pour les passants circulant dans le périmètre. Un dispositif de sécurité y est déployé.

    11:31
    Un important dispositif de contrôle aux entrées d’Avignon

    Un dispositif de contrôle a été déployé aux différents accès à Avignon. Les forces de l’ordre procèdent à des opérations de filtrage. Des voitures et des piétons sont fouillés. Un hélicoptère de la gendarmerie survole le centre ville

    https://fr.sputniknews.com/france/201903301040550143-gilets-jaunes-acte-vingt-france-manifestation/

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  10. Philippe Poutou analyse la réponse du «camp de privilégiés» face aux Gilets jaunes


    20:55 30.03.2019


    Le gouvernement français s’efforce de criminaliser le mouvement de contestation qui constitue «l’expression d’un ras le bol contre une société qui est profondément injuste», a déclaré Philippe Poutou (NPA) dans un entretien accordé à Sputnik en marge de la manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux.

    Confrontées à la contestation populaire, les autorités françaises cherchent à opposer la population aux manifestants considérés comme des casseurs potentiels, a déclaré à Sputnik l’ancien candidat à la présidentielle du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) Philippe Poutou, qui s'est rendu ce samedi à Bordeaux.

    Auparavant, le nouveau maire de Bordeaux, Nicolas Florian, avait appelé à une «ville morte» alors que les Gilets jaunes se mobilisaient pour un 20e samedi consécutif. Pour M.Poutou, une «caste de privilégiés installée à Bordeaux depuis très longtemps» cherche à rallier à sa cause la population locale:

    «La seule manière qu’ils ont de ne pas répondre au problème qui est posé c’est de faire peur, de jouer les gros bras», regrette-t-il, «et c’est de dire "regardez, la contestation sociale c’est forcément des casseurs" et c’est cela qu’il faut abattre».

    Interrogé sur la mobilisation le 28 mars de commerçants bordelais, ainsi que sur celle des Foulards rouges le 14 mars —dans plusieurs villes françaises– pour exprimer leur ras-le-bol face aux manifestations des Gilets jaunes, M.Poutou a jugé «évident» que les associations de commerçants se dressaient contre les Gilets jaunes. Dans le même temps, il a dénoncé «une grosse intox» sur les dégâts causés aux magasins locaux lors des manifestations:

    «Il n’y a pas eu de problème avec les magasins rue Porte-Dijeaux ou rue Saint-Catherine pendant toutes les manifs —à part Apple à l’entrée de la rue Saint Catherine-, donc il y a un gros cinéma, il y a une grosse intox qui est faite, afin d’essayer d’opposer la population aux manifestants!»

    Toujours d’après Philippe Poutou, les Français se rendent bien compte «qu’on est dans une société injuste» face à «un camp de privilégiés, représenté par des Juppé, par le pouvoir actuel». Il met en doute la capacité du pouvoir actuel de régler la crise par des moyens purement sécuritaires:

    «Si le gouvernement ne veut pas répondre à cela, c’est pour cela qu’aujourd’hui il essaie de criminaliser le mouvement, alors qu’en réalité la contestation sociale —et même les casseurs– c’est l’expression d’un ras le bol contre une société qui est profondément injuste. Et si cela ne veut pas être entendu, cela ne sera pas les flics qui changeront le problème», conclut-il.

    https://fr.sputniknews.com/france/201903301040557171-gilets-jaunes-bordeaux-poutou/

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